A moins d’une heure d’Avignon, l’hôtel Crillon le Brave séduit par son charme délicieusement vintage et la sensation de bien-être qu’il dégage. Il est perché sur le sommet de la colline du village et offre une vue imprenable sur le Mont Ventoux et les dentelles de Montmirail. Labellisé Relais & Château, il arbore fièrement le luxe et le chic d’un endroit remplit d’histoires. Installé dans les anciennes écuries, le restaurant Jérôme Blanchet attire l’intérêt et l’attention. La décoration, signée Penny Lydon de Chalkhouse Design, reflète la parfaite harmonie entre l’ancien et le contemporain. Les pierres voutées sur les murs témoignent de l’authenticité du style provençal du XVIIIè siècle tandis que les somptueux luminaires apportent une touche de modernité. Dans cette ambiance feutrée, la chaleur procurée par l’imposante cheminée ajoute un brin de romantisme à l’ensemble.
Une cuisine du terroir…
Créatif et dynamique, le chef Jérôme Blanchet surprend les papilles avec sa cuisine raffinée et savoureuse reflétant la richesse du terroir. Ancien sous-chef du Negresco à Nice, c’est à la tête de la brigade des restaurants de l’hôtel Crillon le Brave qu’il exploite depuis 2013 son talent et son savoir-faire. Des atouts qui lui ont valu le titre de Maître Restaurateur de France en 2015 et qui a permis au restaurant d’obtenir sa troisième toque au Guide Gault&Millau, la même année.
Depuis sa tendre enfance, le charentais se passionne pour la cuisine du terroir. « Enfant, je concoctais le cochon en terrine, les confitures maison et les légumes du potager avec mes parents » confie-t-il. Aujourd’hui, c’est dans ce même esprit qu’il impose son empreinte culinaire et s’appuie sur un vaste panel d’artisans et de petits producteurs de la région.
Une confiance mutuelle s’est installée entre Jérôme et ses partenaires. Chaque jour, ces derniers lui livrent directement les meilleurs produits locaux. Parmi eux, Claudine Vigier de la fromagerie du Comtat pour les fromages ; Pierre et Philippe Silvain de Sylvain Frères pour les nougats ; Le Potager d’Olivier pour les fruits et légumes de saison ; la Boucherie Choc Viande pour le cochon, l’agneau, le bœuf et la charcuterie…
Un restaurant à part…
Au sein du restaurant qui porte son propre nom, le chef Jérôme Blanchet propose de la haute gastronomie qui revisite à la perfection les grands classiques de la cuisine française en y ajoutant une pointe d’innovation. Avec finesse et authenticité, chaque plat met à l’honneur les produits issus du terroir local.
Pour satisfaire toutes les envies, Jérôme propose deux différents menus : le menu de saison et le menu dégustation. Avec le premier, il dévoile sa propre interprétation de chaque saison et propose une entrée, un plat, un fromage et dessert au choix pour 69 €. Avec le second, il invite les convives à se laisser tenter par une expérience culinaire inédite. Pour cette formule à 99 €, le service s’effectue en sept notes. Ce n’est pas tout ! Une carte qui évolue au rythme des saisons et qui met l’accent sur les produits frais du marché est à découvrir.
En entrée, le délicieux carpaccio de loup de méditerranée au piment d’Espelette révèle toute la fraîcheur des produits provençaux. Comme plat, le succulent rouget de roche, fenouil et pommes de terre à l’or rouge des trois rivières démontre le parfait équilibre des textures et des saveurs. Et en dessert, le soufflé chaud au limoncello au sorbet verveine apporte une touche de douceur. Pour accompagner toutes ces savoureuses suggestions, le restaurant propose une intéressante carte de vins qui regroupe plus de 600 références dont principalement des vins de la Vallée du Rhône. Le tout, à déguster en salle ou sur la terrasse panoramique du restaurant pour profiter d'un cadre inoubliable, et servi par un personnel aussi sympathique que réactif.
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Le chef Grégory Mirer propose au restaurant des Bories & Spa une approche contemporaine de la cuisine, surprenant mélange de parfums et de textures. Un véritable voyage à la recherche de saveurs qui excitent le palais et invitent à de nouvelles découvertes. Ponctués d’herbes aromatiques et de fleurs du jardin, ses plats contribuent au plaisir des yeux, mais aussi des papilles. Ce chef suit une trajectoire méditerranéenne mais ne dédaigne pas des incursions exotiques de cuisine fusion, notamment agrémentées d’algues japonaises, de wakamé, etc.
Restaurant Les Bories : cuisine et chef étoilé...
Le chef est diplômé de la célèbre École supérieure de cuisine française Ferrandi. Il a commencé sa carrière en tant que commis de cuisine à l’hôtel Meurice, à Paris. Il a travaillé pendant deux ans avec Joël Robuchon au restaurant l’Astor, « 2 étoiles Michelin ». Il a enchaîné avec l'Atelier de Joël Robuchon, avant d'intégrer l'Hôtel Métropole, à Monaco, « 2 étoiles Michelin ». Puis il a officié au restaurant Mirazur, à Menton, « 2 étoiles Michelin », pour le chef argentin Mauro Colagreco, où il s'est perfectionné dans l’utilisation des herbes et des fleurs. Le chef Grégory Mirer a su conserver l’étoile Michelin obtenue par son prédécesseur au Château de Curzay, Relais et Château, avant de se voir confier la direction de la cuisine du restaurant Le Jardin à l’Hôtel de Mougins, l’une des adresses incontournables du village. C'est en 2015 qu'il a rejoint l'Hôtel des Bories & Spa, à Gordes.
Les Bories : un restaurant aux saveurs et senteurs de la Provence et du Luberon
Le restaurant gastronomique des Bories bénéficie d’un cadre raffiné, d’une très belle terrasse ombragée, ainsi que d’une vue panoramique sur le Luberon. Son domaine de huit hectares d’oliviers, de cyprès, de chênes verts et de lavandes, avec ses jardins aromatiques, offre une cuisine généreuse, ensoleillée et rajeunie, afin de savourer chacun des mets et de passer un agréable moment.
L’élégance discrète d’un service attentionné plonge la clientèle dans une ambiance chic décontractée, feutrée et conviviale, donnant la sensation d’un lieu calme et bienfaisant. Le chef a le don de faire danser les herbes et les fleurs dans d’étonnantes assiettes !
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À consommer sur place ou à emporter, les produits mis en avant dans ce restaurant du Puy-en-Velay reflètent les valeurs authentiques du terroir. Ces produits sélectionnés avec soin proviennent d’une collaboration solidaire entre l’enseigne et une vingtaine d’artisans régionaux riches de leur histoire et de leur savoir-faire ancestral.
« Découvrir, déguster et partager »
Ici, en dégustant les bons petits plats proposés, le consommateur est sûr de contribuer au développement et à la valorisation des entreprises agroalimentaires régionales et artisanales. Mélissa Bouchut, directrice et cheffe de l’établissement, s’assure, en effet, que « les produits soient proposés en appliquant le prix juste, c’est-à-dire presque au même prix que chez le producteur ». Cette valorisation du terroir se retrouve également dans la composition de chaque recette faite à base de « produits frais récupérés le matin auprès de maraîchers ou dans un magasin bio pour les légumes et auprès d’artisans travaillant le fromage, la charcuterie ou la pâtisserie », continue Mélissa. De plus, pour assurer son caractère authentique, la maison travaille avec un producteur par produit et propose une dégustation en self-service de nombreux produits, à l’instar d’une viande cuite sur place, ou de délices sucrés disponibles à partir de 16 h au bar à pâtisseries (avec une formule à volonté de cinq euros par personne). Dans un menu composé d’une purée de pommes de terre accompagnée d’une salade verte et d’une planche de charcuterie ou de fromage, les hôtes retrouveront ainsi l’âme d’un agriculteur local, l’héritage ancestral d’un fromager et la passion d’un maître artisan charcutier. L’objectif de la maison, toujours selon Mélissa, est de « faire des choses simples pour mettre le produit en avant ». De la formule « Gourmet » à celle dénommée « Authentique » en passant par l’ « Essentiel », les hôtes deviendront alors des « acteurs de la promotion des richesses du terroir », ajoute Mélissa.
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Lieu propice aux escapades gourmandes, le restaurant dévoile de belles surprises culinaires qui valent réellement le déplacement. Ce restaurant bistronomique à la carte évolutive est une excellente adresse à découvrir et à recommander, avec un clin d’œil particulier pour le côté fraîcheur et la qualité des produits.
Son cadre à l’ambiance raffinée, qui enchante les pupilles et les papilles, permet un plaisir toujours renouvelé. Sous une véranda qui présente une incroyable vue panoramique sur le village de Gordes et la vallée, le lieu laisse opérer sa magie.
Le chef exécutif Antoine James ajoute sa touche personnelle aux belles compositions dont il est le seul à détenir le secret avec Marc de Passorio, chef étoilé signant la carte pour Alexandre Deshaies. Une signature très appréciée et facilement reconnaissable par les habitués. Avec une carte élaborée en collaboration avec le chef étoilé Marc de Passorio, l’établissement a de quoi satisfaire gourmands et gourmets.
Tatin d’échalote confite au Châteauneuf du Pape, carré de cochon des Pyrénées Label Rouge, chariot de fromages accompagnée de mesclun et d’une confiture maison sont autant de délices à découvrir, sans parler de son chou à la crème mascarpone et noix torréfiées.
Des saveurs de saison
Proposée à 25 €, sa formule exclusive du midi comprend une entrée et un plat, ou un plat et un dessert. Pour le midi et le soir, le restaurant propose également un menu au nom évocateur à 32 €, qui change toutes les semaines en fonction des produits disponibles sur le marché, à savoir, le menu Retour du marché. Ayant plus d’un tour dans son sac, L’Esprit des Romarins dispose encore du menu Esprit à 45 €, sans parler de la carte et les suggestions de la semaine.
Difficile de résister à son savoureux foie gras, réalisé avec du muscat Beaume de Venise, ou à son carré d’agneau les Comtes de Provence, un agneau 100 % provençal, travaillé au naturel avec tous les condiments et les aromates qu’on peut trouver en Provence. Au dessert, craquez pour son délicieux chocolat Weiss, un très bon chocolat fait comme un After Eight, qui n’est pas sans rappeler les After Eight préparés chaque saison par le chef pâtissier Simon Pacary de Marc de Passorio, mais accommodés à notre façon.
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« Les tables d’Euphrosyne » s’impose majestueusement en hauteur de ce village mythique de Gordes, classé plus beau village de France. Dans ce restaurant, tout est fait pour impressionner : le panorama qui donne sur la vallée du Luberon, la décoration inspirée de la renaissance italienne, et la cuisine qui incarne mélodieusement les saveurs provençales.
Un festival de goûts
Le restaurant travaille une cuisine « bionomique », raffinée, audacieuse qui respecte le thème de la « naturalité ». « L’idée est de proposer des plats légers et savoureux, élaborés avec les propres produits des potagers et vergers de l’établissement » explique Sarah Lauferon, la gérante du restaurant. Le chef prône une philosophie bio, et décline ses plats en des menus sans gluten, végétariens et végétaliens. Ponctuée par une influence méditerranéenne, la pétillante cuisine des tables d’Euphrosyne conjugue gaieté et fraicheur. Des légumes de saison, des herbes fines aromatiques, des poissons frais, de l’huile d’olive de la Vallée du Luberon forment un mariage de saveurs surprenant. Et que dire des truffes : travaillées en amuses-bouche, en plats ou en desserts, elles constituent la signature du restaurant. Un dressage millimétré et artistique rehausse chaque assiette.
Au rythme des saisons, le menu Buffet du Soleil à 30€ par personne propose un assortiment de salades, de planchas de légumes et viande ou poisson, des fromages et des desserts de grand-mère et constitue un très bon rapport qualité prix. Le Déjeuner Fleuri par contre se concocte au gré de l’inspiration du chef et se compose de trois formules au choix, allant de 29€ à 65€ en fonction du nombre de plats. En outre, la carte du soir suggère un menu complet à 65€ et éventuellement un accord met/vin à la carte. D’ailleurs, la cave à vins abrite des cuvées d’exception issues du domaine Juliette Avril situé en Chateauneuf du Pape, des vins bios de la Cave des Lumières à Goult.
L’amour de la terre
Le jardin de « la fleur de l’abondance », entretenu par Laurie Gornes, approvisionne le restaurant en fruits et légumes bio ainsi qu’en fleurs aromatiques. Il s’épanouit dans une agriculture « bionomique », qui exige un travail du sol très soigné, un respect à la lettre du calendrier lunaire et de la rotation des cultures. Ses récoltes sont généreuses, expressives et authentiques, rappelant la philosophie du restaurant. En outre, les clients peuvent visiter ce jardin-verger bio pour ressentir tous les bienfaits émanant de cette terre.
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A proximité du village provençal d’Eygalières et de Saint-Rémy-de-Provence, Le Potager du Mas, restaurant du Domaine de la Rose, est l’adresse « détente » pour passer un week-end dans une demeure de charme et profiter des plaisirs d’une cuisine au plus proche de la nature. Sa propriétaire, Fabienne Huppert et Franck Reveniault responsable du restaurant ont permis à cet établissement, s’étendant sur un domaine de 25 hectares, d’être labélisé « Marque Accueil du Parc », « Table Remarquable » par Châteaux et Hôtels Collection et obtenir 2 fourchettes au prestigieux et très convoité guide Michelin.
Mas du Potager : cuisine et vins du terroir
Ici, la cuisine est réalisée par le chef Fabien Taguemount. Un jeune chef qui a fait ses classes dans de prestigieux établissements : L’Oustau de Baumanière aux Baux-de-Provence, La Table du Château à Rochegude. Au Potager du Mas, il présente une cuisine gastronomique française aux accents de la Provence. Une cuisine simple et de saison privilégiant des produits d’exception cultivés au sein même du Domaine de la Rose mais également en provenance de maraîchers locaux.
Ayant la passion du beau produit, Fabien Taguemount propose une carte étoffée composée de plats signature fait maison, savoureux et aux couleurs vives. La reconnaissance des plus grands chefs a révélé son talent et l’originalité majeure de certains de ses plats. C’est le cas de l’aubergine du potager.
Une entrée soigneusement élaborée à partir d’une aubergine grillée et confite au four avec des aromates, des herbes de provence, de l’ail et de l’huile d’olive. Le tout cuit lentement au four et sur lequel sont plantés des légumes cuits et crus comme des radis, tomates-cerises et concombres. Un plat accompagné d’une simple vinaigrette balsamique dont l’huile d’olive est produite directement au domaine de la Rose. En bouche, toutes les saveurs de la Provence se révélent avec des sensations étonnantes de croquant et moelleux. Accompagné d’une Cuvée Confidence millésime 2013 du domaine d'Eole, l’Aubergine du potager affirme toute son originalité.
Autre plat signature, l’agneau des Alpilles. Plat élaboré à partir d’un carré et d’une souris d’agneau. Ici, le carré d’agneau entier est accommodé d’une fine croûte d’herbe fraîche et de pignons de pin dont la cuisson parfaite laisse à la viande toute la jutosité. A l’oeil, une chair légérement rosée. En bouche, une viande à la texture tendre avec des sensations croustillantes par sa croûte légére et ses pignons dorés. Ce carré est également accompagné d’une souris d’agneau, confite lentement au jus de viande et au vin rouge, ce qui donne à ce plat un caractère doux et caramélisé. Servi avec des aubergines, de fines tranches de lard et un crumble au parmesan et basilic, il révéle toutes les saveurs du terroir provençal.
En guise de dessert, le tartare de fraises et framboises élaboré à partir de fruits de saison du domaine. Découpés finement et nappés d’une confiture d’olives noires, le chef arrive à créer un contraste particulier au niveau des couleurs et des sensations étonnantes au niveau du palais. L’ensemble est accompagné d’une crème mousseline à la vanille, d’un sorbet au fromage blanc et d’olives noires réhaussé d’une fine feuille de verveine donnant fraicheur et un goût légérement citroné à la composition.
Globalement, l’établissement défend les valeurs du beau produit, du manger frais et de saison. Quant au chef, Fabien, sa philosophie est de sublimer le produit en proposant des textures en bouche contrastées, finement étudiées et une cuisine originale qui met toute la Provence dans notre assiette.
Une carte des vins
Le Potager du Mas propose une sélection de blancs, de rouges et de rosés, principalement issus du terroir et mettant en avant des productions viticoles et A.O.C de la région. Des cépages du Domaine du Trévallon comme l’Eloi Dürrbach, un rouge millésime de 2010, du Domaine du Vallon des Glaug...
A proximité des villages de Gordes et de Roussillon, le Mas des Herbes Blanches est posé dans une nature exceptionnelle qui appelle à la détente et à la sérénité. Le restaurant du Mas prolonge ce cadre en vous plongeant dans une ambiance poétique et chaleureuse. Dalles hexagonales, amples voilages en lin, mariage délicat entre mobilier et matières vous séduiront et vous permettront de vivre un moment unique.
Un nouveau Chef en 2018
En mars 2018, le Chef Cyril Mendès a pris les rênes de la cuisine du Mas des Herbes Blanches, après avoir travaillé dans de nombreux établissements étoilés. Après des débuts aux côtés de Michel Roth au Ritz, il a officié au Mas d’Artigny à Saint Paul de Vence, au Palace des Neiges ou à l’Alpe Hôtel du Pralong à Courchevel. Ici, ce jeune chef a décidé de miser sur une cuisine créative avec des produits de saisons et locaux, tout en s’inspirant de ses origines portugaises.
Ainsi d'avril à octobre le restaurant gastronomique vous propose une carte déclinée autour d’un produit, carte renouvelée tous les mois. Ce menu se compose de 5 assiettes : une mise en bouche, une entrée, un poisson, une viande et un dessert, où mariage de couleurs, subtilité des saveurs et fraicheur des produits sont mis à l’honneur pour le plus grand plaisir de vos papilles.
Vous pourrez déguster ces mets dans la salle du restaurant baignée de lumière tout au long de l’année. Pendant la période estivale, vous pourrez profiter de sa terrasse avec une vue panoramique sur cette superbe région, ou de son restaurant bistronomique à ciel ouvert.
L’établissement met également à votre disposition une salle de réception pouvant accueillir jusqu’à une centaine de personnes, un espace idéal pour vos séminaires ou vos événements familiaux.
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L’Esprit du Samaritain tire l’origine de sa dénomination des précédents établissements (Le Samaritain et L’Esprit tapas) que tenait Philippe Flambard, son propriétaire. Ce nom reflète également la philosophie générale des lieux, où les clients sont toujours assurés d’être bien accueillis et bien servis.
Un décor surprenant, alliance d’ancien et de moderne
Installé dans un secteur sauvegardé de la ville d’Uzès, le bâtiment qui abrite le restaurant L’Esprit du Samaritain est une ancienne sellerie, dont les fondations remontent au XIVe siècle. « Une partie de l’entrée est bâtie sur les anciens remparts de la ville. Le milieu de la salle est une voute croisée tout en pierre. Le bâtiment en lui-même parle de lui tout seul », décrit Philippe Flambard. Le mobilier très contemporain forme un mariage assez surprenant mais très joli avec le style ancien. Ici et là pendent une douzaine de bassinoires et de pièces de cuivre, dont Philippe est un fervent collectionneur. En tout, la salle peut accueillir jusqu’à 42 couverts.
Une cuisine d’instinct
L’Esprit du Samaritain sert une cuisine traditionnelle française. Le chef Philippe Flambard aime préparer ses plats à l’instinct. « J’achète moi-même tous mes produits frais. Je travaille tout à la minute pour le client, il n’y a rien de prêt chez moi », explique-t-il. Ainsi, l’établissement ne propose ni menu, ni carte, ni formule spéciale. « Je prépare ce que je trouve sur le marché. Tout est relatif. La cuisine que je fais reste le plus simple possible et laisse exprimer toute la saveur du produit », poursuit-il.
Cependant, le chef apprécie en particulier les poissons frais et le bœuf (il ne travaille que les races françaises) mais toujours en fonction de ce qu’il trouve au marché. Une de ses spécialités est la côte de bœuf grillée à l’ancienne ou la souris d’agneau à l’ail confit qui revient régulièrement sur son ardoise. Ses habitués sont également friands de sa terrine de foie gras au pain d’épices, cuite 25 minutes à basse température. Accompagné de petites framboises et de toasts de pain grillé, ce plat est un pur régal pour les fins gourmets.
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Installée dans une maison familiale dans l’Enclave des papes, à Richerenches, la table du chef Nicolas Pailhes propose une cuisine qui invite vraiment à L’Escapade. Ici, « les produits sont assemblés de manière instinctive », dit-il.
Depuis l’ouverture de l’établissement, le plaisir de partager une passion et l’envie d’échanger des moments sont les valeurs qui animent L’Escapade. « Un restaurant n’est pas que la cuisine : le vin, le chef et le serveur, ce sont aussi des moments dont on se souvient », relate Nicolas Pailhes. Avec ce même esprit, il espère ouvrir plus tard un deuxième restaurant.
Une cuisine d’inspiration
Situé en Provence, le restaurant L’Escapade bénéficie d’un terroir riche et de vignobles d’exception. Parmi les produits de la région, la truffe noire (ou tuber melanosporum) inspire le plus Nicolas Pailhes, du moins lorsque la saison le permet.
De l’entrée au dessert, le menu peut s’ouvrir par une assiette d’œufs brouillés aux truffes, suivie d’un demi-pigeonneau de la Lance braisé aux truffes et finir par une pomme Ariane à la truffe de Richerenches. La maison est approvisionnée par l’un des plus grands marchés aux truffes d’Europe, se trouvant à proximité.
Le restaurant se métamorphose en été : la truffe cède la place aux asperges, fraises, gigot d’agneau, pied de cochon, volaille et terrine. Parfois, le chef Nicolas Pailhes navigue du côté de la cuisine méditerranéenne, en utilisant des poissons d’eau douce. Ces derniers sont travaillés de la même manière que les poissons d’eau de mer, c’est-à-dire avec des sauces fortes à base d’aïoli ou de bouillon de safran.
Le menu de L’Escapade présente chaque semaine trois entrées, trois plats et trois desserts. Les suggestions changent en fonction des produits disponibles, ce qui garantit la fraicheur de la cuisine.
Côté vins, la carte favorise à 90 % ceux qui sont issus du terroir. Les préférences de la maison vont aux domaines Art Mas et Famille Perrin. Les cuvées Parure d’Art Mas et Les Coudoulets de Beaucastel sont idéales pour accompagner la truffe.
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Niché au cœur des Alpilles, au pied de l’un des plus beaux sites de France : les Baux de Provence, l’hôtel La Benvengudo perpétue une tradition familiale de plus d’un demi-siècle.
Une destination de luxe où le temps n’a plus d’emprise sur vous
Daniel Beaupied, chef étoilé auprès de la Riboto de Taven aux Baux et son épouse Maryse décident en 1967 de construire leur propre hôtel dans une superbe propriété au pied du château des Baux de Provence. Ils voulaient un établissement à leur image pensé comme une maison de famille où convivialité rime avec le plaisir de recevoir. Un demi-siècle plus tard, l’esprit de la maison est toujours là avec leur fille Carole et son mari Viktor qui ont repris les rênes de ce merveilleux domaine.
Au cours de cette décennie, la propriété a fait l’objet de plusieurs rénovations. La nouvelle génération a voulu laisser son empreinte dans l’histoire de cette saga familiale afin d’en faire un des plus intimistes hôtels de luxe des Alpilles. L’ambiance est à l’image des lieux : conviviale, élégante et raffinée.
Coté décoration, deux déclinaisons de couleurs ont été appliquées à l’ensemble des chambres : le blanc et un camaïeu de beige. Une touche de couleur est amenée par les toiles de l’artiste régional Yves Boussin. Les chambres, suites et maisons ont été rénovées dans un style contemporain. Les meubles anciens se marient avec élégance et raffinement avec des pièces plus modernes. Toutes les chambres bénéficient d’une douche à l’italienne ainsi que pour certaines d’une baignoire balnéo. Les produits d’accueil sont signés Nuxe et sa gamme « Rêve de Miel ». Si votre choix se porte sur les chambres « Côté Jardin », vous bénéficierez d’un jardin ou d’une terrasse avec une magnifique vue sur l’oliveraie.
Au cœur de la Provence, point de départ vers de multiples découvertes culturelles et sportives
La Benvengudo jouit d’un emplacement exceptionnel car elle se trouve à proximité des plus beaux sites touristiques de Provence.
Il est possible de partir pour une journée à la découverte d’Aix-en-Provence et de son musée Paul Cézanne, de flâner dans les ruelles de Saint Rémy de Provence un jour de marché, une ballade au soleil couchant dans le parc naturel de la Camargue ravira les amoureux de la nature et de beaux paysages.
Les amoureux de golf seront à quelques minutes de greens d’exception. Quant aux cyclistes, ils pourront partir pour de belles excursions à travers les oliveraies et à l’ombre des pins.
Un virtuose de romantisme culinaire
Jouant avec subtilité avec les accords pour faire chavirer votre cœur et vos papilles, le jeune chef Thomas Voisin sait orchestrer à merveille les produits frais qu’il trouve sur les marchés régionaux. Sous-chef de cuisine pendant 3 ans à la Benvengudo, il est revenu cette année en tant que Chef de Cuisine dans cette belle maison après avoir fait ses armes dans de prestigieuses maisons étoilées telles que l’hôtel des Bories à Gordes, le restaurant l’Ekrin de l’hôtel le Kaila à Méribel avec le chef provençal Laurent Azoulay ainsi que Reine Sammut à l’Auberge de la Fenière à Lourmarin.
Avant de passer à table, on aime s’installer dans le salon de jardin avec une coupe de champagne pour contempler le parc où toutes les essences du Sud se dessinent tel un tableau de Paul Cézanne.
Le chef va vous emporter dans un songe gastronomique, les produits du terroir se retrouvent dans une partition de saveurs ou sont magnifiées les notes méditerranéennes et provençales.
L’odeur du plat emblématique de la maison vient caresser vos narines. Ne passez surtout pas à côté du carré d’agneau rôti et fumé au thym de la garrigue du domaine. Christophe, le pâtissier va relever la douceur d’une belle soirée avec une compotée d’ananas au vieux rhum, crème légère à la passion, sorbet ananas et biscuit moelleux à l’huile d’olive du Domaine.
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Chef consultant, José Maréchal a misé sur une cuisine inventive mettant en valeur les produits du terroir, les produits de saison et des producteurs locaux, majoritairement bio.
Stephan Paroche, ancien propriétaire du restaurant La Magnanerie dans les Alpes-de-Haute-Provence est le nouveau chef. Il a conçu les cartes des trois lieux de restauration. Il aime particulièrement revisiter les classiques. Il apprécie également les alliances terre-mer et la cuisine méridionale.
Cicada
À Cicada, cartes inventives qui subliment les produits du terroir et valorisent les producteurs locaux. Une cuisine tonique pleine de fraîcheur, tendance bio, saine et équilibrée, qui sait joyeusement surprendre et s’inspire du potager et du jardin des herbes aménagés au cœur des lieux. Gastronomie authentique, chic et glamour, qui allient avec virtuosité les classiques et la modernité. Les suggestions sont sans cesse renouvelées pour créer la surprise. Il suffit de consulter l’ardoise pour connaître les propositions du jour. Les convives sont libres d’imaginer leur menu comme bon leur semble, selon leurs envies et leur faim.
Compter 35 € le menu du midi. En soirée, menus à partir de 69 € et découverte du "menu signature" à 119 €.
Parmi les plats de saisons à découvrir à Cicada, l’asperge présentée en trois plats pour découvrir de façon différente un produit du terroir. En dessert, l’éclair au yuzu est un incontournable.
Dîner en tête à tête, profiter de la terrasse ou s’attabler avec ses amis ou ses proches : tout est possible à Cicada.
Le Camion Bleu
Sur la Place du village au sein de l’hôtel, tout au long de l’été, les clients peuvent dîner en extérieur pour une soirée décontractée. Le Camion Bleu propose une cuisine simple, pleine de saveurs que vous pourrez facilement partager avec ses petites ou grandes salades, ses viandes grillées ou ses planches de viandes, de fromages ou de légumes pour un apéritif dînatoire. Tout cela en s’enivrant de la scène musicale et de ses concerts de jazz.
Compter environ 25 € par personne. Du mardi au samedi de 19 h 30 à 22 h. Ouverture du 1er Juin au 15 Septembre. Les soirées thématiques sont à découvrir sur le site web www.hameaudesbaux.com.
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Faisant partie des 180 hôtels relais du silence, le Moulin de Valaurie est un havre de paix blotti dans un cadre sain et écologique, au sein du département de la Drôme dans la région Rhône-Alpes. Cet ancien moulin en pierres apparentes se trouve effectivement dans un parc arboré de 4 hectares proposant une véritable immersion au sein d’une nature enchanteresse.
Paysage marquant et spacieux
Détente, gourmandise, confort : ces trois mots suffisent amplement à décrire le Moulin de Valaurie. Situé à quelques kilomètres de Grignan, à la sortie de Valaurie, l’établissement prône le plaisir des pupilles et celui des papilles. Dès leur arrivée, les convives se laisseront surprendre par l’ambiance provençale qui plane dans cet ancien moulin rénové aux volets bleus/lavande. Dans le restaurant, la salle éclairée par les baies vitrées inspire calme et douceur. Installée confortablement sur leur chaise, les clients prendront plaisir à admirer l’environnement bucolique et enchanteur proposé à l’extérieur. Pour ceux qui aiment plutôt le grand air, la terrasse ombragée sous les platanes offre un espace épuré propice à la dégustation des merveilles du chef. Dans un très grand jardin verdoyant et fleuri, le parfum de lavande procure bien-être et sérénité.
Un gage de qualité et de créativité
Reconnu pour sa cuisine provençale, le chef Eric Berthillot revisite à la perfection les recettes traditionnelles françaises en privilégiant les produits frais et de saison, qui sont essentiellement issus du terroir. Le potager bio de la propriété s’étendant sur une superficie de 3000m2 lui fournit les légumes et fruits et la totalité des herbes de Provence telles que le thym, le romarin, et la sauge. Les autres produits contribuant à l'élégance de son art culinaire sont soigneusement sélectionnés par le chef auprès des producteurs locaux. Original et créatif, il prépare uniquement des plats gourmands fait-maison. Renouvelée tous les deux mois, la carte du Moulin de mai 2016 est une ode à la gourmandise avec ses innombrables suggestions. En entrée, le Foie gras de Canard de la Vallée de Limagne, cuit en terrine fait voltiger les papilles. Laissez-vous ensuite séduire par les saveurs de l’Epaule d’agneau confite et fondante. Au dessert, l’incontournable Gâteau à l’orange servi avec un sorbet orange sanguine et des tuiles au romarin fait partie des mets phares à ne pas manquer dans le restaurant. A midi, la maison sert une formule spéciale composée d’une entrée élaborée avec les produits du potager, d’un mitonné du jour ou de poisson ou viande du moment et d’un dessert ou de fromage. La formule composée de trois plats est à 29 euros.
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Au centre d’un village pittoresque du département de l’Ardèche, entourée de vignobles et de champs de lavandes, juste à 15 km de la grotte du Pont d’Arc, s’impose modestement une auberge qui force naturellement à la halte : l’Auberge La Farigoule. Toutefois, les réservations sont de rigueur, et Brigitte Dumarché, maitresse des lieux, s’attèle à offrir un accueil des plus chaleureux aux touristes de passage et aux habitués de la maison. Cette auberge composée de trois chambres, d’un restaurant et d’une boutique de produits régionaux est labellisée à la fois « Qualité tourisme » et « Bistrot de pays ».
Une auberge recommandée par les guides
Murs en pierres apparentes, buffet digne de la campagne, vaisselle ancienne, cheminée où crépite le feu en période d’hiver : un décor comme on en retrouve dans les romans de Marcel Pagnol. Pendant l’été, les hôtes de Brigitte profitent pleinement de la terrasse et, bien avant même de commander, ils ont d’ores et déjà la possibilité de savourer une vue ensoleillée sur les étendues vertes et violettes des vignobles et des champs de lavandes qui,tous deux, alternent jusqu’à l’horizon. Recommandée par les guides régionaux tels que Le Guide vert Michelin ou encore Le Petit Futé, l’Auberge La Farigoule offre un cadre convivial et même familial aux visiteurs souhaitant séjourner en Ardèche et profiter de la région. Elle met ainsi à la disposition de sa clientèle3 chambres attrayantes et reflétant parfaitement l’esprit de la Farigoule. En clair, un total dépaysement qu’affichent les décors des chambres, qui ont chacune un accès indépendant à une salle d’eau avec douche, wc et lavabo, en plus de la terrasse qu’elles partagent. Lorsque les hôtes finissent par quitter leurs chambres en début de matinée, c’est direction le restaurant de l’auberge !
Une cuisine typiquement ardéchoise
Aux fourneaux, Brigitte Dumarché, cuisinière en chef, mène la cadence en proposant des plats faits maison qui racontent les histoires d’Ardèche et parlent des Ardéchois. En effet, la cuisine traditionnelle ardéchoise ici est à l’honneur avec des plats authentiques. Des plats comme le broufado, qui est une recette provençale au goût remis à jour et un met propre aux mariniers du Rhône ; des recettes originales, mixant truffes, cèpes et châtaignes comme le cuissot de cochon aux cèpes fait maison, le bœuf aux cèpes et ses brisures de châtaignes, le gratin vivarois, fourré aux cèpes ; chacun de ces plat pouvant être accompagné d’un vin rosé des côtes du Rhône et d’un fondant aux châtaignes en dessert. Des recettes que la maitresse des lieux a héritées de sa famille, couplées à d’autres recettes de livres anciens. Recettes qu’elle partage avec ses hôtes depuis 18 ans tant elle est passionnée par la cuisine de l’Ardèche, une cuisine aux saveurs locales qu’elle considère comme le moyen le plus efficace pour valoriser, faire découvrir et faire apprécier sa région. Les gourmets viennent et reviennent nombreux déguster les saveurs du terroir qui sont parfois inédites, et provenant toujours à 95 % de produits locaux. Brigitte Dumarché valorise ainsi les produits du terroir à travers les plats proposés à la carte, mais aussi à travers les produits régionaux disponibles dans sa boutique. Des produits de diverses saveurs que les touristes rapportent en souvenir, tels que la crème de châtaignes, la terrine de porc, les marrons grillées ou encore la confiture de châtaignes. Brigitte Dumarché, à travers l’Auberge La Farigoule, se donne à cœur joie pour promouvoir les saveurs du terroir de son Ardèche tant aimée. Et elle conclut tout naturellement : « Je suis un produit du terroir, moi aussi ! »
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La bodega est en Espagne un bar à vins dans lequel se rassemblent les participants aux férias pour danser, discuter et boire. La Bodeguita revendique aujourd’hui cette étiquette de lieu de rendez-vous. Sa proximité avec les Arènes d’Arles est un atout favorable. Effectivement, les férias se déroulent dans cet amphithéâtre romain inspiré du Colisée de Rome qui est devenu le monument le plus visité de la ville.
Une cuisine méditerranéenne
Le Chef Anthony Attouras aime mélanger les saveurs nord-africaines, italiennes et espagnoles dans ses recettes. Pour cela, il s’inspire un peu de tout. L’ardoise peut alors varier selon les trouvailles au marché, les saisons ou une illumination lors d’une émission culinaire à la télévision. Toujours en quête de la meilleure qualité de produit, le Chef n’hésite pas à franchir la frontière pour rencontrer ses fournisseurs en Catalogne ou à Barcelone. Cela ne l’empêche pas pour autant de travailler avec des partenaires locaux pour les fruits et légumes régionaux. Le restaurant n’impose aucun menu, les convives peuvent aussi bien commander une seule tapas que de savourer les assiettes généreuses du Chef. Ce dernier ne supporte pas l’idée que ses clients sortent insatisfaits de son établissement.
La table de la Bodeguita s’identifie par les tapas et les plats à l’ardoise. Pour le premier, la maison suggère un voyage au-delà des Pyrénées. Avec le développement des produits espagnols, une nouvelle gamme de charcuterie 100% ibérique et de fromage espagnol a été ajoutée à la carte. « Jamon bellota ibérique la jabuguena » ou « Paleta belotta ibérique beher do guijelo », des appellations exotiques pour de savoureuses amuses-bouches. Pour les repas en groupe, la maison offre des formules comme la « planche XXL de charcuterie » ou la « planche de fromage queso espagnol » qui combine trois fromages d’Espagne. Toutefois, il est possible de commander une planche mixte. L’ardoise du restaurant affiche des propositions encore plus alléchantes, du camembert rôti au four farci de magret de canard fumé, des gambas à la plancha et différentes salades. La maison propose même des plats végétariens comme les champignons au vinaigre de Xérès ou les cœurs d’artichauts à la crème d’ail. Bref, il y en a pour tous les goûts. Cerise sur le gâteau : les commandes peuvent être à emporter.
La cave des vins français et espagnols
La gestion de la cave repose sur la passion et l’expertise de la maîtresse des lieux Stéphanie Laugier. Elle travaille en étroite collaboration avec la Cave des saveurs pour acquérir les appellations de vins qui figureront à la carte. Leur sélection se fait généralement au coup de cœur. Le Bordeaux et la Bourgogne ont été laissés de côté pour faire découvrir les domaines issus des Côtes de Provence, de la Vallée du Rhône et de Languedoc.
Stéphanie est aussi à l’aise sur la carte cocktails que sur les vins, c’est d’ailleurs elle qui en est à l’origine. On y trouve une gamme de shooters, de rhums arrangés et de cocktails traditionnels. La Bodeguita est la reine du Mojito sur Arles. La talentueuse compagne du Chef parfume cette boisson avec de la fraise, de la framboise ou de la banane. De délicieux mélanges à consommer avec modération.
Un écrin de culture et d’histoire, à l’image de la ville
La Bodeguita est située en plein cœur de la ville d’Arles, une ville carrefour où se rencontre la route vers l’Italie et celle vers l’Espagne. Les passionnés de tauromachie, « aficionados » se donnent rendez-vous dans les Arènes de cette ville à l’occasion de la féria de Pâques qui se déroule du 25 au 28 mars, des fêtes des gardians en mai, des fêtes d’Arles en début juillet, de la féria des prémices du riz du 10 au 11 septembre, du Trophée des As en octobre et les courses de Camarguaises. En outre, la cité offre la possibilité de visiter le théâtre Antique, la place de la République, le Muséon Arlaten, le Mus&eac...
Installé dans une bâtisse d’antan qui a connu ses heures de gloire à Barjac, 7ici est repris en 2013 par un couple belge. 7ici porte bien son nom car « c’est ici qu’on a choisi d’investir et de s’installer, de créer un restaurant comme à la maison », souligne Thierry Lemaire, propriétaire.
Un bel esprit de famille entoure à la fois le personnel et la clientèle, avec toujours la présence rassurante des propriétaires : lui, actif devant les fourneaux ; et son épouse, généralement en salle, s’occupant intégralement de toute la production et des desserts qu’elle fabrique artisanalement comme à la maison.
Une cuisine de saison, une ambiance conviviale
Au cœur d’une vieille pièce voûtée chargée d’Histoire, la salle du restaurant a entièrement été refaite et remise au goût du jour par ce couple passionné de cuisine. 7ici a l’allure d’un restaurant très cosy au cadre révolutionnaire, à découvrir absolument. Son mobilier en cuir noir et ses tables en chêne confèrent au lieu un cachet particulier et une ambiance familiale.
Disposant d’un personnel présent à plein temps, l’enseigne est en l’occurrence « un des rares établissements de la région à être ouvert toute l’année », apprend-on. Un paramètre qui fait la force de l’établissement. On y partage de vrais moments de plaisir en famille.
7ici, c’est avant tout de la cuisine fraiche et raffinée, issue de producteurs locaux, avec des produits 100 % français. Du fait de son implantation dans une région où l’on produit énormément de fromage de chèvre, les suggestions sont loin de manquer. L’on nous recommande notamment du pélardon des Cévennes et du fin gras du Mézenc, « une viande de bœuf persillée en appellation d’origine protégée de la race limousine », une exclusivité de la maison d’avril à juin. Beaucoup d’autres spécialités sont à découvrir selon la saisonnalité des produits. Par conséquent, la carte change tous les 15 jours.
Le midi, 7ici reçoit plutôt une clientèle d’affaires et propose « une carte réduite avec un lunch en produits frais au tarif de 15 € dans la formule entrée-plat-dessert-café bio ». Le soir vient une autre clientèle qui vient plutôt en famille : les menus sont composés par les clients eux-mêmes à partir de 3 entrées et de 3 plats, avec une carte qui s’adapte au rythme des saisons pour un budget de 32 €.
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Discrètement blotti dans un parc arboré et bordé d’oliviers, ce restaurant fait la part belle à l’élégance, aussi bien dans l’assiette qu’au niveau du décor. Pour atteindre la salle, il faut déjà traverser cet espace verdoyant qui apporte tout son charme à l’établissement. Quand le temps n’est pas capricieux, vous pouvez vous installer sur la terrasse ombragée, qui focalise irrémédiablement l’attention avec ses couleurs vives et gaies et d’où vous pouvez admirer le paysage.
N’hésitez pas à investir la salle si vous cherchez plus d’intimité. L’intérieur plait pour son décor raffiné, sans tomber dans le pompeux. Patricia et Sébastien Lucet, propriétaires des lieux, ont voulu recréer une ambiance chic, conviviale et apaisante, sur fond de modernité. Les couleurs claires qui habillent la salle apportent un vent de sérénité.
Jeunesse et dynamisme
L’histoire de l’Auberge des enclos est étroitement liée à celle des débuts de Sébastien Lucet. Durant ses études, il travaille déjà pour l’établissement durant les weekends, afin de perfectionner ses acquis dans le milieu de la gastronomie. Son diplôme en poche, il décide de changer d’horizon et met le cap sur la Grande-Bretagne, où il exerce au sein d’un restaurant traditionnel anglais. Il va ensuite rejoindre le groupe Bocuse pendant un an, à Orlando, en Floride.
Pour ce globe-trotter, le moment est venu de rentrer au bercail. Avec son épouse, il rachète en 2013 ce restaurant dans lequel il a fait ses débuts il y a plusieurs années. Un rêve d’enfant se réalise. Le chef est désormais libre de proposer sa propre cuisine, qu’il veut raffinée, actuelle et savoureuse.
Il vivra cette passion aux côtés de Patricia Lucet. Diplômée de l’institut culinaire de Mexico, elle se rend plus tard en Floride pour travailler au sein d’un groupe américain. C’est là-bas que les deux amoureux se rencontrent.
Pour faire tourner leur nouvelle affaire, ils s’entourent d’une équipe de jeunes professionnels dynamiques, qui les suivent depuis maintenant deux ans et demi. Le chef déclare avec fierté que « c'est grâce à eux qu'on a fait tout ce chemin ».
Un mix entre tradition et modernité
Les gastronomes avertis seront heureux de savoir que la carte raffinée de l’établissement ne se réduit pas uniquement aux spécialités régionales. La maison propose une cuisine moderne mais n’en n’oublie pas moins les produits du terroir acquis auprès de certains producteurs locaux.
Trois types de menus sont proposés : menu escapade à 28 €, menu détente à 39 € et menu gastronomique à 55 €. Ce dernier vous entraine vers un pur moment de plaisir. En entrée, vous vous laisserez tenter par l’escalope de foie gras poêlée aux pommes. En plat principal, le tournedos de bœuf « sélection plus » grosse frite de polenta et petits légumes n’attend plus qu’à être dégusté. Pour achever ce mélodieux repas, choisissez le banofee pie, qui est une mousse légère de lait, servie sur son émincé de banane et spéculoos.
Un environnement riche et préservé
L’Auberge des enclos a la chance de bénéficier d’une excellente localisation. Nichée en plein cœur d’un décor de vignoble et de garrigue, elle se trouve au sud de la zone frontalière, entre l’Ardèche et le Gard. La petite commune constituée de nombreux hameaux est connue pour son passé lié à l’extraction du charbon, la culture de la châtaigne et celle des vers à soie.
La région possède de nombreuses richesses naturelles qui méritent le détour, à l’instar de la célèbre grotte de la Cocalière, qui fait partie des trois plus belles grottes de France et qui se trouve à moins d’un kilomètre de la commune de Saint-Paul-le-Jeune.
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A mi-chemin entre Valence et Montélimar, La Treille Muscate est un charmant restaurant-hôtel trois étoiles au cœur du village de Cliousclat. Elle est implantée dans une magnifique bâtisse de pierre typique de la région, recouverte de vigne vierge, calme et paisible et qui jouit d'une vue imprenable sur les villages haut perchés de la vallée de la Drôme provençale.
Une cuisine de saison
A la Treille Muscate, les assiettes du chef Eric Richard sont de véritables œuvres d'art, à la fois délicieuses et élégamment présentées. La toque au Gault et Millau, la fourchette et le Bib gourmand au guide Michelin sont la preuve d'une cuisine d’excellence et raffinée. Le restaurant est également référencé dans de nombreux guides tels que le Guide du Routard, les Tables et Auberges de France, le Petit Futé ou encore le Gault et Millau. De même, il est présent dans le mythique guide du voyageur anglais : Alastair Sawday’s. Variant suivant les saisons, la carte propose en entrée un Foie gras de canard mi-cuit au torchon. Dans la gamme des plats de résistance, l’Agneau des comtes de Provence grillé au thym frais satisfera toutes les gourmandises. Pour clore en beauté le repas, rien de tel que les glaces et les sorbets faits maison présents à la carte toute l’année. Côté cave, la carte de la Treille Muscate est particulièrement bien fournie, avec une belle sélection de vins AOC Côtes-du-Rhône proposés par des vignerons locaux.
Un endroit de charme
Le restaurant la Treille Muscate offre une chaleureuse table dans un environnement calme et reposant propice au repas en famille, entre amis ou en couple. Pour profiter de la belle saison et d'une vue superbe donnant sur le lac, le jardin avec ses 55 couverts et la terrasse de 25 couverts invitent à la détente. Blottis dans ce cadre verdoyant, les convives profitent d’une ambiance conviviale et chaleureuse pour des moments gourmands inoubliables. A l’intérieur, la salle voutée capable d’accueillir 60 couverts, garantit quant à elle une atmosphère plus intimiste. La décoration joue sur les couleurs pour conférer plus de dynamique au restaurant. Les clients s’y sentent comme chez eux grâce à l’ingénieux choix des meubles embellissant les lieux et leur agencement.
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A Aix-en-Provence, à une centaine de mètres au nord du centre-ville, le restaurant l'Esprit de la Violette vous accueille dans un cadre raffiné et agréable. Dès l'entrée, le grand jardin au design graphique et parfaitement entretenu donne le ton. Si vous préférez prendre votre déjeuner bercé par le chant des cigales, la terrasse extérieure n'attend plus que vous. Mais sachez que l'intérieur vous promet autant d'élégance. Ici, rien de trop pompeux. On reste dans un esprit sobre tout en raffinement avec de jolis jeux de lumière. Les nappes de tables noires ébène tendent à surprendre. Mais passée cette première impression, la décoration contemporaine et recherchée se révèle dans toute sa splendeur.
Marc de Passorio, retour de l’étoile
L'histoire de l'Esprit de la Violette commence en 2014. Alors que Jean-Marc Banzo décide de mettre en vente son établissement, Marc de Passorio saute sur l'occasion et reprend le restaurant sur un coup de cœur. Un projet qui lui tient terriblement à cœur puisqu'il choisit d'abandonner ses autres activités pour s'y consacrer exclusivement. Une passion et un dévouement qui seront rapidement récompensés. En 2014, il reçoit le prestigieux prix du Gault & Millau d’or en PACA puis en 2015, un rêve d'enfant se concrétise : le chef est consacré par une étoile Michelin. Un titre qui vient aussi récompenser sa cuisine inventive, généreuse et un brin décalé. Car il faut dire que ses créations culinaires savent amuser nos papilles. Entre émotion et éblouissement, découvrez le foie gras de canard cuit au torchon délicatement accompagné d'une pâte de calisson d'AIX " feuille de poire " . La carte des desserts est tout aussi mélodieuse. L' " After Eight " Millésime été 2015 Chocolat Samana Grand Cru République Dominicaine par exemple achèvera de vous convaincre.
Toutes ces succulentes suggestions sont minutieusement préparées avec des produits de saison. Le chef puise sa source d'inspiration sur les étals des marchés d'Aix et travaille avec beaucoup de producteurs locaux. Une manière de rendre hommage à la richesse des produits du terroir. Au cours de ses innombrables périples aux quatre coins du monde, il a aussi rapporté des trésors qui viennent ajouter une note d'innovation à sa cuisine.
Entre originalité, raffinement et générosité
A l'Esprit de la Violette, il existe plusieurs manières originales de déguster votre repas. Investissez, pour un délicieux moment entre amis, l'impressionnante cathédrale des vins. Il s'agit d'une salle spécifique dédiée aux vins où de nombreuses bouteilles sont agencées façon " cathédrale ". A découvrir également, le carré VIP, un espace intimiste directement installé dans la cuisine qui est propice aux dégustations en tout genre. Vous y verrez le chef et sa brigade à pied d'œuvre. Une découverte et une expérience sous le signe du partage que vous n'oublierez pas de sitôt.
Car pour Marc de Passorio, transmettre sa passion est essentiel. D'ailleurs, il organise aussi des cours de cuisine accueillant débutants ou amateurs éclairés. Décidément, ce chef dynamique est présent partout, même là où on l'attend le moins. En 2015, l'Esprit de la Violette accueille un événement pas comme les autres où gastronomie et haute couture forment un heureux mariage. A cette occasion, la maison de couture Sandrine Godin a présenté sa collection tandis qu'en cuisine, le chef a concocté un dîner digne de ce nom associant modernité, tradition, excellence et élégance. Mais ce n'est pas tout ! Il lui arrive aussi d'organiser des soirées littéraires avec des écrivains incluant bien sûr, un menu qui surpasse aisément toutes les exigences.
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Installé en plein cœur du centre de la ville d’art et culture, sur la Place des Cardeurs, le restaurant l’Epicurien tranche par la qualité des services et des menus proposés. Une adresse discrète à l’ambiance intimiste qui fait le bonheur des aixois et touristes de passage venus déguster une cuisine bistronomique. Un chef inspiré et créatifPour vivre une expérience culinaire hors des sentiers battus, dans une ambiance conviviale aux couleurs du sud, l’Epicurien ouvre ses portes. Un établissement qui porte bien son nom, dirigé par un chef passionné. Ludovic Aillaud fait ses premières gammes dans le Luberon au sein de l’établissement étoilé d’Edouard Loubet où il se découvre une prédilection pour les herbes, qu’il apprendra à maîtriser à la perfection. En parallèle, il continue ses études dans les métiers de la restauration et de l’hôtellerie. Plus tard, il intègre l’établissement marseillais Le Charles Livon et exerce comme second de Christian Ernst. Avec son expérience et ses talents, il est temps pour le chef de voler de ses propres ailes. En 2010, il investit le Forum des Cardeurs et concrétise un rêve : l’ouverture de son restaurant aux allures de bistrot chic, devenu rapidement l’une des références les plus citées de la ville. L’intérieur propose un cadre agréable et cosy ponctué par une décoration raffinée. Les toiles d’artistes ornant les murs et les tables en bois donnent tout son cachet à la salle. Le personnel est sympathique et Laura Aillaud, la maitresse des lieux, garantit un bon acceuil et service. Elle pourra notamment vous conseiller sur les choix des vins car il faut savoir que l'établissement possède une centaine de références variant régulièrement. Des vins de vignerons oeuvrant dans le respect du terroir et de leur écosystème ont été spécialement sélectionnés. Une cuisine de saisonEcrite à l’ardoise, la carte est évolutive et change toutes les semaines. Elle est élaborée suivant la saisonnalité, la qualité et la fraîcheur des produits mais surtout, en fonction de l’inspiration et de l’humeur du chef. Pour flatter les papilles, il n’hésite pas à plonger dans ses livres de cuisine qui lui soufflent les idées les plus originales. Chaque jour, trois entrées, trois plats et trois desserts sont proposés, de quoi satisfaire toutes les envies.Des plats signatures ? Oui. En été, les aixois investissent la belle terrasse de l’Epicurien qui se prolonge dans la rue pour venir déguster les fameux fleurs de courgette qui font la réputation du chef. Il lui arrive même d’organiser des ateliers où il partage tous les secrets de préparation de cette spécialité provençale. En tempura, vapeurs ou farcies, les fleurs de courgette se déclinent en de multiples saveurs. A ce titre, si vous souhaitez participer aux cours de cuisine du chef, il est temps de d’ores et déjà vous renseigner. Mais vous pourrez aussi faire appel à ses services pour animer vos événements (anniversaire, séminaire d’entreprise, enterrement de vie de jeune fille…) dans le cadre d’ateliers privés. ...
À travers une belle association de tradition et de saveurs, le Restaurant Chez Féraud (puisque c’est de lui qu’il s’agit), propose une cuisine gourmande et généreuse où la fraîcheur et l’authenticité de la Provence se conjuguent au présent jusque dans les assiettes.
Un emplacement privilégié
Reliant la rue Granet à la rue Loubon, la rue du Puits-Juif, où l’établissement est implanté, se trouve dans un quartier historique, ce qui fait tout son charme et sa particularité. Ce privilège constitue pour l’enseigne un atout majeur qui joue en faveur du lieu et qui fait qu’il soit particulièrement apprécié des clients. Dans une ambiance simple et bon enfant, le restaurant surprend autant qu’il séduit avec son décor intemporel, et avec juste ce qu’il faut comme dose d’audace et de curiosité. Grâce à une belle devanture joliment couverte de lierre, il est non seulement un véritable plaisir pour les yeux, mais aussi une excellente adresse, où la gourmandise et la découverte sont en parfaite harmonie.
Une délicieuse cuisine aux accents de Provence
Chez Féraud, c’est aussi l’histoire d’une famille de cuisiniers à l’ancienne dont le goût pour les recettes familiales s’est jalousement transmis de père en fils. C’est ainsi que derrière les fourneaux de cette belle adresse, mijotent en permanence de bons plats traditionnels aux accents du Sud pour ne citer que la soupe au pistou, la dorade royale à la provençale et les clémentines semi-confites avec, à côté, la daube et les pieds paquets marseillais ou encore les figues rôties au miel et au caramel. Un parfait accord mets-vins qui met à l’honneur des valeurs sûres comme les coteaux d'aix-en-provence et vient sublimer le tout, constituant une véritable surprise pour les papilles.
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Le restaurant se trouve dans un bel immeuble à l’architecture provençale. Dans sa salle voûtée au charme originel, une ambiance conviviale accompagnera les repas des familles ou des amis venus passer un moment d’intimité. Durant l'arrivée des beaux jours, la terrasse de seize places, quant à elle, permet de profiter des premiers rayons du soleil.
Pour flatter les papilles des gourmands et des gourmets, le chef exécute une cuisine familiale et savoureuse élaborée à partir de produits du terroir. « Nous faisons appel à des petits producteurs locaux, car il est important pour nous de mettre en valeur les trésors régionaux », nous confie Baptiste. Son huile d’olive, il en fera acquisition au sein du domaine La Michelle. Pour les fromages, « je fais confiance depuis toujours au savoir-faire des fromages du Montaiguet », déclare-t-il. Grâce à cette relation de proximité avec ses producteurs et la sélection rigoureuse de ses produits, il peut suggérer des plats fleurant bon la Provence au fil des saisons.
Quelques suggestions du chef
Dans son restaurant, l’artichaut à la barigoule fait rage en entrée. Cette assiette typique de la Provence riche en couleurs et en saveurs titille les narines et les yeux. Les plats de résistance à base de poisson, dont le maigre rôti avec sa sauce au citron et ses légumes de saison, sont les plus prisés. Pour terminer en beauté, l’abricot poché au romarin, avec ses couleurs gaies et son parfum provençal, laisse un délicieux souvenir du passage à L'alcôve. La carte est renouvelée en fonction des produits sur le marché. Fraîcheur, originalité et créativité sont ainsi toujours au rendez-vous.
Et pour valoriser ses succulents plats, L’alcôve vous réserve une sélection de vins provenant de producteurs locaux ainsi que quelques grands crus. La cave à vins visible depuis la salle met en scène quelques belles trouvailles issues des régions viticoles du pays.
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Près de la Tour de Constance et du centre des monuments nationaux, dans la Rue du 4 septembre de la cité d’Aigues Mortes, le restaurant Le Dit Vin reçoit les locaux et voyageurs de passage. C’est dans une ambiance chaleureuse et conviviale que le personnel de l’établissement accueille les convives au bar, dans les salles ou dans le patio. Grâce à une jeune équipe aux fourneaux, la carte évolue au gré des saisons. Une partie vitrée du plancher du rez-de-chaussée laisse entrevoir l’impressionnante collection de vins qui est bien gardée entre les murs de pierres anciennes de la cave.
Bar à tapas
Pour une journée gastronomique bien remplie chez Le Dit Vin, on a le choix de savourer des tapas autour du comptoir ou déguster un menu selon les suggestions de la Carte et de le savourer autour d’une belle table. Un large choix de tapas froids, chauds, salés et sucrés ainsi que de fromages et mini-desserts figurent à l’ardoise. Pour 12 euros, une proposition constituée de 5 mini-brochettes de bœuf ou de gambas est proposée. Et pour moins que cela, il est possible de déguster 6 croquettes de jambon ou un bol de frites maison. Si les préférences penchent pour les tapas froids, la Bûche et pâté Landais, le Tartare de Daurade aux agrumes et mangue ainsi que les huîtres de Bouzigues sont disponibles.
Du Muscat, une coupe de Champagne ou un Américano maison peuvent s’accorder à ces amuse-bouches ainsi qu’une sélection maison de vins au verre issus de différents domaines de Languedoc comme l’Ermitage du Pic Saint Loup et le Château Puech-Haut, de Condrieu comme le Château Mont de Lys ou de Beaujolais tel que Marcel Lapierre. A la carte figurent plus de 100 références dont une majorité venant de la région. Une nouvelle formule, « la Carte OFF » a été élaborée récemment pour y présenter quelques flacons de renom, à découvrir sur place.
La carte et les formules du restaurant
Selon les envies, chacun peut composer son propre menu en choisissant à la carte qui change chaque saison. Parmi les entrées, du Foie gras de canards élevés en plein air mi-cuit maison ou poêlé en croquette et du Nem de taureau accompagné de purée de maïs et d’aïoli au Wasabi. Ensuite, le choix est ouvert entre une assiette de poisson comme la Lotte marinée au lait de coco et gingembre, en wok de nouilles chinoises ou un plat de viande accompagné de garniture de saison comme l’Epaule d’agneau cuite 7h au four, jus de cuisson, ail et échalotes. Pour clore le repas en beauté, l’Assiette gourmande de la pâtissière du restaurant est simplement divine.
Accueil des groupes
Le restaurant a la chance de bénéficier de plusieurs espaces aménagés parmi lesquels figure le coin bar, la terrasse, le patio et le rez-de-chaussée. Son agencement facilite l’accueil des groupes ou d’événements privés. A l’étage se trouve une grande salle dans laquelle de nombreux professionnels organisent des réunions, des séminaires ou des assemblées générales. L’équipe en place se charge de s’occuper de tout selon les besoins des clients.
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Ville culturelle au riche patrimoine viticole, Aix-en-Provence est devenue, au fil du temps, une terre de la haute gastronomie française. Chaleur et convivialité se ressentent dans le moindre recoin de la ville, qui laisse penser qu’elle est bénie des dieux. C’est dans cet environnement véhiculant l’art de vivre à la provençale et immortalisé à jamais dans les œuvres du célèbre peintre Cézanne qu’Olivier Scola a entamé son projet de vie : l’ouverture de son restaurant Ze Bistro.
Manger simple mais bien…
Ze Bistro fait dans la cuisine de marché, travaillant qu’avec des produits frais mais aussi du terroir. Chaque jour, le chef bénéficiant du titre de maître restaurateur propose une nouvelle carte, suivant les saisons et les envies de la clientèle. Rien n’est laissé au hasard chez Olivier Scola, tout est préparé pour que chaque personne s’y sente bien et reparte avec le sourire après un bon repas. Un menu parfait ? Un Foie gras de la mer, asperge verte et orange, suivi d’un pavé d’agneau au citron confit et au jus de géranium qui finit sur un sablé breton aux fraises des bois, un blanc-manger au basilic. La carte des vins, elle, ne demande qu’à être découverte, créée par Olivier Scola en personne, avec l’aide de restaurateurs et de vignerons.
Le vin, une passion
Outre la cuisine, le chef est aussi un grand amateur de vins. Une passion qu’il partage avec sa compagne, originaire d’Alsace qui d’ailleurs fait partie de ses régions viticoles préférées. Enfant du terroir, il a un respect profond pour les artisans producteurs avec qui il collabore et n’hésite pas à leur rendre un vibrant hommage sur son site. Homme au grand cœur, professionnel, charmant, Olivier Scola est avant tout un artiste dans l’âme, reconnu pour ses talents de cuisinier avec dix huit années passées derrière les fourneaux.
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Sous la direction d’Élisabeth, Émilie et André-Yves Piaguet, le Restaurant Nouvel Hôtel Les Jeunes Chefs se distingue par ses mets originaux et raffinés, à prix raisonnable… Se dressant au cœur d’un village ancien entre Die et Crest, dans la commune de Saillans, Les Jeunes Chefs est l’endroit incontournable pour profiter de la nature et découvrir les paysages et les cultures de la Haute-Provence. Au programme : plaisirs culinaires, hébergements et divertissements.
Des préparations culinaires à la portée de toutes les bourses
En étroite collaboration avec un chef exigeant et une équipe de jeunes cuisiniers qualifiée, le restaurant Les Jeunes Chefs propose une cuisine recherchée à base de produits locaux et frais notamment des herbes de la colline drômoise, des volailles, des poissons et des truites. Entre culture culinaire et restauration-culture, les adeptes de la cuisine bistronomique trouveront leur bonheur, en été comme en hiver. Avec des tarifs entre 14 et 34 €, les amateurs de bonne cuisine pourront se régaler dans un cadre convivial et paisible.
« Chez Les Jeunes Chefs, dites adieu aux plats conventionnels et habituels ! » s’exclame André-Yves Piguet, propriétaire des lieux. Non seulement les menus sont renouvelés chaque semaine, mais le chef s’efforce également de proposer une nouvelle carte tous les mois selon les produits locaux et les saisons. Les menus « Petites Faims », par exemple, sont composés d’une entrée et d’un plat ou un plat suivi d’un dessert. Quant au menu « Mise en appétit », différents plats sont proposés tels que de la truite à l’aneth ou des médaillons de volaille. Pour la « Découverte culinaire », les convives peuvent déguster des mets à base de poissons, de viande ou de volaille. « Il est trés important pour nous de spécifier que nos mets sont positionnés Coeur de Drôme : produits de la vallée et de la colline» déclare notre interlocuteur.
Les amateurs de vins ne sont pas en reste. La carte reste éclectique pour satisfaire toutes les envies, même si elle réserve une place de choix aux Côtes-du-rhône dont une référence très appréciée, « la Clairette de Die, un vin emblématique de la Drôme », selon André-Yves Piguet
Un lieu d’hébergement incontournable
Les Jeunes Chefs, c’est aussi un hôtel proposant des chambres doubles, triples ou familiales, à prix attractif. Il dispose de sept chambres pouvant accueillir jusqu’à quatre à cinq personnes selon la formule choisie.
Soigneusement aménagée avec des décors africains, la salle à manger de l’olivier est conçue pour recevoir jusqu’à vingt-six couverts par service, voire plus si besoin est. La terrasse des Lauriers rouges, quant à elle, offre une vue imprenable sur les paysages environnants.
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