La Franche-Comté est réputée pour sa cuisine traditionnelle et ses produits issus des zones géographiques du Jura occidental, des Vosges du Sud, de la plaine de Saône et de la Bresse. Les fromages, les charcuteries, les morilles, la truite du Jura et les vins sont essentiels dans la cuisine franc-comtoise. Les spécialités culinaires sont composées, entre autres, de la potée comtoise préparée à base de viande de salaison et de croute aux morilles cuisinée avec des morilles et des croutons de pain grillé.
On y trouve aussi le vignoble du Jura, avec son célèbre cépage Savagnin. Ce vignoble produit des vins blancs d’appellation Côtes-du-Jura, des vins jaunes et paillés d’AOC Arbois et des mousseux d’AOC Crémant du Jura.
Un cadre enchanteur
Véritable havre de paix, La Mainaz est aménagée avec délicatesse pour permettre aux personnes à mobilité réduite d’y accéder facilement. Niché au col de la Faucille, l’établissement jouit d’un panorama unique sur la chaîne des Alpes, le Mont-Blanc et le lac Léman. Dotée de 21 chambres et suites confortables dûment décorées, d’un restaurant gastronomique « la Table de la Mainaz », d’un bistrot « le Panorama », d’un bar « le 1720 » et d’une salle de séminaire entièrement équipée, la Mainaz peut répondre à toutes vos attentes.
Dans un cadre naturel préservé, la Mainaz est le point de départ idéal pour découvrir cette magnifique région située entre l’Ain, le Jura et la Suisse. Vous découvrirez de magnifiques sentiers de randonnée dans des paysages exceptionnels, ainsi qu’un large éventail d’activités touristiques et sportives, dont le ski nordique et le ski alpin.
Ses principaux fournisseurs sont des producteurs locaux, notamment ceux du Genevois et du Jura. La qualité des produits et l’aspect humain sont les véritables critères de sélection. La Mainaz souhaite construire des relations sur le long terme avec ses fournisseurs qu’elle considère comme des collaborateurs allant dans le même sens pour valoriser et promouvoir le Haut-Jura et ses environs.
Une cuisine créative et une hospitalité garantie
Le personnel est fortement qualifié. Mathieu Sagardoytho, le Chef cuisinier, a été Sous-Chef cuisinier du Bristol avant de passer au poste de Chef à L’Agapée, où il a maintenu l’étoile Michelin. On trouve aussi dans l’établissement diverses compétences dans plusieurs domaines, notamment dans l’international. L’anglais, le mandarin et le japonais sont couramment parlés.
À La Mainaz, il importe de mettre en place un environnement propice au travail afin d’élaborer une cuisine créative prônant un équilibre entre tradition et modernité. « Notre but est de faire de ce restaurant une véritable institution locale, tout en restant dans un esprit familial. Le salarié arrive le matin avec le sourire et le client se sent comme chez lui. On veut concilier la tradition locale à la modernité », fait-on valoir.
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Le Cerf se plaît à surprendre ses convives à travers une cuisine qui allie parfaitement excellence, innovation et créativité.
Un cadre enchanteur
Entraînant ses hôtes dans un voyage intemporel, le restaurant du Cerf a choisi comme cadre une charmante bâtisse du Moyen Âge. Ici, les invités dégustent une cuisine d’exception dans une ambiance cosy avec un style soigné et créatif, le tout conservant une certaine sobriété. Bien visibles, des arches et piliers en pierre signent l’originalité et l’authenticité du lieu. Bref, un endroit idéal pour passer un moment agréable en famille, entre amis ou collègues.
Une cuisine évolutive toujours au plus proche du produit.
En cuisine, le chef Carlo Crisci, doublement étoilé au Michelin, accorde beaucoup d’importance au respect du produit et de ses origines. « L’inspiration vient du produit essentiellement », souligne-t-il au passage. Dans ses créations, le chef s’adapte ainsi en fonction des saisons. Résultat, les convives se retrouvent avec quatre menus au choix : surprises, fixe 4 entrées, prestige et gastro-business. Avec la promesse de pouvoir découvrir à chaque fois de nouvelles saveurs, les menus surprises connaissent un large succès auprès des habitués. « Nous sommes en constante évolution. Nos clients n’ont ainsi pas l’impression de manger à chaque fois la même chose. Ils viennent justement pour cela, la découverte », explique le chef. Ainsi, le mardi, mercredi et jeudi, Carlo Crisci propose aux plus audacieux le menu surprise 2 entrées, accompagné de ses 5 crus au verre. Pour les moins téméraires, le chef leur suggère d’opter pour le menu prestige en dégustant par exemple une frivolité de turbot à la moelle, beurre fumé et émulsion d’oursins. Et pourquoi pas le menu fixe 4 entrées avec un filet de rouget rôti en écailles de taro matelote aux flaveurs de carvi.
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Le lac et l’auberge sont indissociables, comme si la nature voulait que cet établissement soit érigé à cet endroit. Le premier offre de multiples activités sportives et dépaysantes, la deuxième propose un hébergement et une succulente cuisine de terroir. Le restaurant se spécialise dans les grillades. Avis aux gourmands et aux gourmets.
Le restaurant du lac Genin
Le grand-père de Denis Godet a remis en état une ancienne ferme détruite par la guerre, sa gestion devient une affaire de famille depuis près d’une cinquantaine d’années. Transformée en auberge, elle accueille aujourd’hui les convives pour un repas en famille, une sortie en amoureux ou entre amis. Le bois, qui est omniprésent à l’extérieur comme à l’intérieur, se marie très bien à cet environnement bucolique et il en est de même pour les murs de pierres apparentes. Une cheminée majestueuse trône dans la salle à manger du restaurant. Les pièces de viande y sont grillées offrant un spectacle inédit.
La maison suggère une cuisine traditionnelle et du terroir. Elle se spécialise dans la grillade au feu de bois. Le chef Godet prépare la côte de veau moutardée, le tournedos aux morilles, le contrefilet forestier ou la côte « Maitre Rôtisseur » devant les yeux attentifs des convives. La carte propose également du saucisson au vin braisé, de la croûstade d’escargots aux cèpes, du croûton aux morilles et un jambon cru « Chamois Blanc », des délices qui sont meilleurs lorsqu’ils sont accompagnés de salades.
Les poissons ne sont pas en reste, les gourmets se délecteront des filets de perchettes au beurre ou des filets de truite rose aux échalotes.
Enfin, le chef concocte délicieusement les plats régionaux que sont les fondues savoyarde et bourguignonne.
Le « Petit Canada du Haut-Bugey »
Le lac Genin est une étendue d’eau de 8 hectares, entourée d’une forêt de type jurassien. Il se partage entre les communes d’Oyonnax, d’Échallon et de Charix. L’endroit propose un dépaysement total pour les visiteurs qui s’offrent un séjour à l’Auberge du lac Genin. Plusieurs activités sont accessibles selon les saisons.
En hiver, le paysage se couvre d’une épaisse couche de neige et la glace peut atteindre une épaisseur de 40 cm sur le lac lorsque la température est au plus bas. Celui-ci devient donc une vaste patinoire naturelle, sur laquelle on peut pratiquer du patin à glace ou de la plongée sous glace pour les initiés. Balades en raquettes et ski de fond et luges sont également sources de bonheur dans ces moyennes montagnes. Tous les matériels nécessaires sont disponibles à la location à l’Auberge du lac Genin.
En été, le lac est ouvert à la pêche. On y trouve des brochets, perches, tanches, gardons, carpes et truites. De juillet à août, les visiteurs peuvent s’autoriser une baignade surveillée, avant de savourer les délicieux mets préparés par le chef Godet. Le circuit de randonnées commence au lycée Painlevé d’Oyonnax pour s’achever au lac, en passant en grande partie par la forêt. Ceux qui ont le goûu de l’effort et de la réussite bénéficient de trois circuits VTT praticables, un parcours facile de 8 km ou circuit vert, un parcours de 18 km avec une difficulté moyenne ou circuit bleu et un circuit assez difficile de 26 km. Il est également possible de grimper sur les arbres pour découvrir ce milieu naturel exceptionnel, sous l’encadrement d’une personne ayant un certificat de qualification professionnelle de grimpe encadrée dans les arbres.
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La crêpe bretonne ne cesse de faire des émules dans l’Hexagone. Faite à base de froment ou de sarrasin, appelé aussi « blé noir », elle doit son succès à son côté gourmand et convivial. Aujourd’hui, les crêperies ne manquent pas d’imagination pour varier les accompagnements de leurs crêpes, qu’elles soient salées ou sucrées. À Chalon-sur-Saône, la crêperie la plus appétissante est certainement Au Bonheur Breton.
Crêpes et galettes bretonnes
La différence entre crêpe et galette suscite parfois des ambiguïtés chez la plupart des gourmands mais cela n’enlève en rien leurs saveurs exquises. Si certains évoquent une simple différence de sources étymologiques, d’autres parlent d’une différence d’ingrédients. Au Bonheur Breton, on adhère à cette deuxième hypothèse. La crêpe contient de la farine de froment, des œufs, du lait et du sucre. Il est d’usage de la manger en dessert, mais elle est parfois accompagnée de garnitures salées. La galette est en revanche faite de farine de sarrasin (sans gluten), d’eau et de sel. Elle accompagne généralement des plats salés, mais peut quelquefois se déguster sucrée.
Comme il est de coutume dans les crêperies traditionnelles, la galette complète doit figurer tous les jours à la carte du Bonheur Breton. À la demande des clients, la galette chèvre frais avec sa fondue de poireaux et un concassé de noix ainsi que sa confiture de figue ou sa gelée de cidre y figure aussi régulièrement. Le chef se réserve donc la galette du moment pour mettre à l’épreuve sa créativité. Il le fait à la noix de Saint-Jacques, au pastis et au poivre de cassis. Toutes les galettes sont accompagnées de salades et il est possible d’obtenir des suppléments d’ingrédients.
Pour se désaltérer, la maison suggère des apéritifs et vins, mais c’est le cidre fermier du domaine La Charloise qui fera l’unanimité autour des tables. Il est disponible en bouteille ou en bolée comme le veut la tradition bretonne.
Un état d’esprit, une éthique
La crêperie Au Bonheur Breton s’est donné pour mission de servir des produits bio. Une initiative qui favorise une agriculture saine et une façon de manger tout ce qu’il y a de vrai à Chalon-sur-Saône. La maison privilégie le circuit court en travaillant avec des artisans locaux. Ces derniers l’approvisionnent alors en cidre, farine, œufs, charcuterie, confiture et autres produits. Les relations du chef Jean-Jacques Rocheteau avec ses fournisseurs se sont construites au fil des rencontres ou par l’intermédiaire de connaissances ou même des clients.
Un restaurant ouvert aux artistes
Au moment de l’acquisition de la crêperie par Jean-Jacques Rocheteau, la décoration était toute neuve. Il a donc décidé de ne rien changer et de garder cette ambiance chic et cosy. La salle offre un cadre agréable et la cuisine ouverte permet de suivre le chef dans ses préparations de galettes et de crêpes.
Pour donner du piment à cette atmosphère et surtout faire découvrir les délicieuses crêpes du Bonheur Breton, des expositions et vernissages sont fréquemment organisés. La maison favorise principalement les artistes locaux (peintres, photographes, céramistes ou sculpteurs). Le temps d’une soirée, Jean-Jacques Rocheteau réunit au mois d’octobre tous les artistes qui ont exposé dans sa crêperie durant l’année.
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Le restaurant le Vieux Logis est un patrimoine familial de 120 ans, hérité depuis 4 générations. Situé à deux pas de la Suisse et des monts de Chablais, l’établissement est réputé pour son excellente cuisine où les produits du terroir sont privilégiés en fonction des saisons.
Restaurant aux accents savoyards
Implanté dans le quartier historique d’Yvoire en Haute-Savoie, le Vieux Logis fait partie des adresses à recommander à tous ceux qui sont en quête de ressourcement et d’authenticité dans le pays du lac Léman. À travers une architecture médiévale au confort contemporain qui laisse présumer un riche héritage historique, l’établissement dégage à la fois chaleur, calme et volupté. Le cadre intimiste de son petit café favorise les rencontres mais aussi la pure réflexion. Sa terrasse ombragée entourée de vieux murs confère au lieu un charme aux accents savoyards qui fait toute son originalité. L’accueil sympathique et attentionné du personnel conforte les clients dans leur sentiment de bien-être et de satisfaction. On s’y sent particulièrement bien accueilli avec la forte envie d’y revenir.
Cuisine de tradition française
Ancré dans le centre du village médiéval, le Vieux Logis est un restaurant de charme à l’excellente table qui met en avant la cuisine française traditionnelle et ce, dans un bon rapport qualité/prix. Mis à l’honneur, le féra (poisson du lac Léman) fait partie des plus grandes spécialités de la maison à l’instar des perches meunières qui demeurent presque toujours un des plats les plus recherchés en fonction des saisons et ce ne sont pas les clients de passage qui diront le contraire ! Fraîchement cueillies du lac Léman et délicatement accompagnées de vins locaux comme le Crépy, le Marin ou le Marignan, les perches font partie des plats-phares de l’enseigne qu’on n’oublie jamais de réclamer ou de recommander. Trou normand et mignardises, mais aussi foie gras maison, huitres et autres Saint-Jacques constituent, quant à eux, de véritables merveilles pour le palais.
Service professionnel à l’accueil parfait
Faisant partie de la lignée Jacquier-Durand de la 4ème génération, le couple Paul et Nicole Jacquier-Durand a tout naturellement hérité de la direction du Vieux Logis. Tenté à l’origine d’embrasser d’autres filières, le chef et non moins propriétaire Paul Jacquier-Durand a cédé à la passion du métier, qu’il partage par ailleurs avec sa femme Nicole, pour reprendre les rênes du restaurant en lui apportant un nouveau souffle. Soutenus par une équipe professionnelle au service attentionné, ils mettent les petits plats dans les grands pour séduire la clientèle et ravir les papilles si bien que l’établissement fait aujourd’hui partie des adresses incontournables absolument à recommander en termes de restauration.
Un cadre agréable à l’ambiance médiévale
Le restaurant le Vieux Logis a le double avantage de disposer de deux salles de restauration : « une petite salle à manger pouvant accueillir 35 couverts et une salle dédiée aux banquets et aux mariages d’environ 180 couverts » ajoute Paul Jacquier. Jouissant d’une ambiance médiévale au confort contemporain, l’établissement séduit par cette dualité qui lui est propre et qui lui confère un caractère particulier.
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Perdu au milieu des champs de vignes et idéalement installé au cœur d’une réserve naturelle, le restaurant Les Granges puise son inspiration dans ce cadre exceptionnel. Ici, le soleil et les chants d’oiseaux sont complices du charme du moment. Le soin apporté à la décoration procure encore plus d’apaisement : la lumière naturelle, les meubles en bois, les lignes épurées et le style moderne et minimaliste.
Un jeu de saveurs dans les assiettes
Aux fourneaux, le duo de chefs formé par le chef Erwan Le Cadet et Alexis Lejeune propose une cuisine de brasserie à mi-chemin entre tradition et gastronomie, où les produits locaux de première qualité sont à l’honneur. « Le restaurant est axé autour d’une démarche de proximité, et la charte signée avec Pro Natura nous engage à utiliser au maximum des produits du terroir et des produits bio », nous dévoile Gaëlle Le Cadet, la gérante. C’est avec le respect de cette philosophie « engagée » que l’établissement confectionne sa carte, son menu de la semaine et ses formules en privilégiant les produits de saison.
Les incontourables de la carte sont les assortiments de burger maison, la viande à la broche tous les samedis de Mai à Septembre, les plats de la semaine et le brunch tous les dimanches.. Erwan Le Cadet concocte des plats plus sophistiqués et audacieux à l’instar de la daurade sauce vierge et riz parfumé ou la joue de porc cuite à basse température cuisson 13 heures. Côté dessert, c’est le jeune chef pâtissier Alexis Lejeune qui s’y attelle en déployant toute sa créativité. Ses signatures : le moelleux chocolat crème anglaise ou son café gourmand. « Les Granges est une aventure qui nous lie tous, chacun apporte sa personnalité et son énergie », nous rappelle l’équipe.
Animée par la volonté d’offrir l’excellence à ses clients, ce pool de passionnés travaille exclusivement avec les producteurs locaux, dont la Culture locale à Dardagny, la boucherie d’Onex et la Genevoise du Terroir. Enfin, pour enrichir la cave à vins, la maîtresse des lieux sélectionne les meilleures cuvées genevoises comme celles issues du domaine Dugerdil, du domaine Chafalet et du domaine Clos des Pins, tous situés à Dardagny.
Des formules gourmandes
De mai à septembre, les samedis c'est viande à la broche, avec possibilité de broche en dehors des samedis pour les groupes ( mariages, anniversaires, ...) à partir de 30 personnes... « Les morceaux sont découpés et préparés devant les clients, servis avec un buffet de salade, de frites et ratatouille ». Un brunch à discrétion est en revanche proposé tous les dimanches pour environ 54 francs, avec possibilité de brunch en dehors du dimanche à partir de 30 personnes également. Le brunch consiste en un gigantes-que buffet chaud/froid, avec boissons sans alcool (café, thé, jus de légumes) à déguster ou à emporter. Petits et grands vont se régaler avec les mini-viennoiseries, jus de fruits de saison, amuses-bouche salés, boissons chaudes, et desserts maison au choix. Et, en été, on sort pour profiter du beau temps et du paysage. Ces formules alléchantes sont ponctuées d’une ambiance champêtre qui s’adapte à tout événement familial.
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Un jardin fleuri et une grande piscine qui ajoute une note de convivialité tout en invitant à la détente. Bienvenue à La Ferme aux vins. Bourguignons ou voyageurs de passage sont accueillis par une équipe dynamique, souriante et chaleureuse, placée sous la houlette de Marie-Pierre Bêche, la directrice des lieux.
Quand le temps le permet, les parasols s’ouvrent à l’extérieur pour recevoir les clients avides de soleil et d’air frais. L’intérieur est tout aussi propice à la convivialité. Le décor propose un doux et ingénieux mélange entre confort et modernité. C’est dans cette ambiance de charme qu’évolue le chef Xavier Bitarelle, un spécialiste de la cuisine traditionnelle qui maitrise son art à la perfection.
Capital confiance
La Coupole à Paris, Dalloyau, l’Hostellerie de Levernois : Xavier Bitarelle fait ses armes dans les établissements les plus prestigieux. Cette longue et riche expérience lui vaut toute la confiance de la famille Jacquier, qui lui confie les rênes du restaurant La Ferme aux vins en 2008. Rappelons que, depuis 4 générations, l’existence du groupe Hôtels Bourgogne Qualité est fondée sur les valeurs portées par la famille Jacquier, profondément attachée à la Bourgogne, et passionnée par les métiers de l’hôtellerie et de la restauration. Aujourd'hui, Hotels Bourgogne Qualité, ce sont 11 hôtels en Bourgogne, de l’économique au 5 étoiles, ainsi que 7 restaurants gourmets et gastronomiques.
Xavier Bitarelle, un maestro de la cuisine bourguignonne
Prêt à redynamiser La Ferme aux vins, ce chef efficace et fignoleur y sculpte les parfums, les goûts et les harmonies pour au final proposer une cuisine de terroir relevée par une pointe d’innovation. Ainsi, au fil des saisons, les clients sont sûrs de trouver une carte évolutive qui s’approprie les beaux produits qu’offre la Bourgogne. Car le chef reste des plus exigeants quant à la qualité et à la fraicheur de ses ingrédients commandés auprès de fournisseurs locaux.
Toute cette rigueur et ce perfectionnisme se découvrent aisément au travers des plats proposés : magret de canard aux baies de cassis, volaille de Bresse à l’époisse...
La carte affiche aussi ses spécialités, les fondues bourguignonnes, vigneronnes ou bressanes, pour faire honneur au concept de « cuisine conviviale ». On n’oubliera pas de mentionner les menus, dont celui qui est intitulé « Bourgogne » qui offre de jolis clins d'œil à la région. Sur l’ensemble, le prix moyen par convive de 35 € reste des plus raisonnables.
Une belle carte des vins
La carte des vins met en scène la Bourgogne. Elle est élaborée sur des coups de cœur et au fil des rencontres et des dégustations faites avec les viticulteurs. Pour que vous soyez au fait des meilleurs accords mets-vins, l'équipe de serveurs vous guide dans votre choix, qui peut vite devenir cornélien compte tenu de la richesse de la cave constituée de plus de 200 références.
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À nouvelle gérance, nouveau décor ! En reprenant le restaurant il y a 2 ans et de par ses nombreux voyages un peu partout dans le monde, Loïc Ledu a apporté une signature unique. Il propose majoritairement « des menus de France revisités » comme il aime si bien le dire, avec une cuisine gourmande qui lui fait rappeler son enfance, une irrésistible nostalgie qui revient souvent dans ses inspirations.
Un globe-trotter passionné
Après une vie de globe-trotter (Écosse, Australie, Dubaï, Europe) au cours de laquelle il a toujours nourri sa passion pour le métier, Loïc Ledu a réussi de belles expériences de vie dans la restauration. Pour aller plus loin dans l’aventure, il choisit avec sa femme Céline de poser ses valises en terre française et de s’y installer. Son coup de cœur pour Le 111 a nourri en luide nouvelles inspirations créatives et originales.
Un lieu de rencontres à l’ambiance intimiste
Le 111 est un établissement qui plaît à la clientèle. Selon Loïc Ledu, c’est un « restaurant très fréquenté par les femmes », qui y trouvent un lieu idéal pour se retrouver. L’endroit offre en effet un décor intimiste aux couleurs à dominance gris et rouge imprégnées d’une ambiance feutrée qui séduit particulièrement les couples et les amoureux. « Le succès du restaurant vient du bouche à oreille », se satisfait le chef. Le 111 a une capacité d’accueil de 30 couverts en terrasse, de 40 couverts en salle et de 18 couverts pour les différents évènements de groupe (anniversaire, évènement familial…).
Du fait maison bistronomique
Le 111 propose une cuisine au concept bistronomique, c’est-à-dire des « produits simples, cuisinés de façon créative, avec de belles présentations et à prix abordables », fait valoir Loïc Ledu. Il tient notamment à préciser que l’établissement ne fait que du frais : « Tout ce qu’on a à la carte est fait maison, à base de produits bruts sans aucun produit transformé. »
C’est d’ailleurs ce qui fait la particularité de la maison. À travers ses notes sucré-salé, aux couleurs et aux goûts de France, Le 111 porte bien la signature du chef. Pour garantir la fraicheur des produits proposés, le choix des fournisseurs est très strict (meilleure régularité, meilleure viande, meilleurs produits).
Le bœuf Wellington, les Noix de Saint-Jacques et beurre de clémentine et les Ravioles de Joue de bœuf restent à ce jour les plats-signatures du restaurant, mais d’autres plats viennent s’y ajouter selon les goûts et préférences des fidèles de l’établissement. « Nous travaillons beaucoup le bœuf », explique Loïc Ledu, et les clients apprécient grandement « tartare et carpaccio », des produits coupés à la minute et au couteau.
Le 111 possède également une section grill, qui permet de préparer du steak maison avec des frites coupées à la main. Pour satisfaire encore plus les clients, le restaurant vient de sortir sa nouvelle carte d’été avec des menus adaptés, dont des noix de Saint-Jacques, du suprême de pamplemousse et du tartare de saumon.
Cerise sur le gâteau : toutes ces suggestions gourmandes peuvent se déguster depuis la salle du bas, tout en appréciant une vue imprenable sur une grande cave à vin vitrée révélant plus de 130 références.
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Deux étoiles au guide Michelin, ce restaurant perché au plein cœur du vignoble suisse est une adresse de référence internationale pour les gastronomes depuis près de trente ans. Travailler dur pour réaliser son rêve. C’est l’histoire du chef genevois Philippe Chevrier, qui anime les fourneaux de ce charmant site champêtre situé à Satigny, une des plus grande commune viticole suisse.
Un chef qui prône la simplicité
A sept ans, Philippe Chevrier le savait déjà : il sera un jour cuisinier. Bosseur né, adolescent, il entre par la petite porte, en commençant par la plonge et en enchaînant avec des stages en boulangerie et en confiserie/pâtisserie. Quelques années plus tard, il devient l’élève des cuisiniers renommés Louis Outhier et Frédy Girardet. A 29 ans, il devient propriétaire du magnifique domaine de Châteauvieux. C’est dans sa première maison qu’il affirme ses talents culinaires. Aujourd’hui, cet alchimiste des produits du terroir est multi-restaurateur et fourmille d’idées pour créer de nouveaux concepts. Et Châteauvieux reste sa plus belle réussite. Avec son 19/20 Gault&Millau, ses deux macarons Michelin, membre de Relais&Châteaux, des Grandes Tables du Monde et des Grandes Tables de Suisse, le château cumule les titres prestigieux. Il est devenu un emblème de la gastronomie suisse autant qu’un lieu d’évasion couru, puisqu'on peut aussi séjourner dans cette magnifique bâtisse datant du XVI ième siècle.
Produits de qualité et amour des saisons
Accompagné du talentueux Damien Coche, Philippe Chevrier y concote une cuisine généreuse et cultive un amour inconditionnel de la convivialité. A Châteauvieux, ce sont ne sont pas les effets de mode, mais les saisons et leur temporalité naturelle qui sont au cœur de l’art culinaire. Dans cette ancienne ferme vigneronne superbement rénovée, le cadre fait la part belle à la chaleur des matériaux simples comme les pierres et poutres apparentes. L’écrin est rustique mais cosy et chic. Les tables blanches nappées et espacées, le bois, la cheminée : tout est là pour appeler à la détente et la sérénité. La terrasse, espace privilégié a la belle saison, offre une vue imprenable sur les vignes et le Rhône. Le jardin des plantes et le potager sont un véritable vivier d’inspiration avec les aromates, plantes, fruits et légumes de saison. Sous les couteaux des chefs, sont travaillés des produits de qualité pour révéler les arômes et les saveurs de matières généreuses. Viandes et volailles, poissons et crustacés sont à l’honneur des formules. Les menus subliment des aliments nobles comme le homard, le bœuf suisse des Alpages ou encore la truffe noire en hiver. On retient à la carte, la truffe noire de la Drôme cuite entière en chausson au foie gras, l’aile de raie bouclée poêlée a la farine de châtaigne ou encore le cœur de filet et petits farcis de bœuf des alpages suisse. En salle, c’est Esteban Valle qui met en scène les desserts avec des flambages et des découpages dont il a une parfaite maîtrise .Proposant près de 800 crus, la carte des vins, elle, est à tomber. A Châteauvieux, le voyage est des plus savoureux, loin du tumulte de la ville et idéal pour une pause nature hautement gastronomique. Le must : On peut même fumer des cigares dans le "fumoir" du domaine en savourant la digestion dans un fauteuil en cuir. Une escale d’exception et une invitation au rêve pour tous les amoureux de la campagne, de la simplicité et du bien manger.
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Café du Soleil est un ancien relais de chasse reconverti en auberge, pour devenir aujourd’hui un bistrot sympathique à l’identité bien affirmée. Le décor de la maison qui préserve son air d’antan malgré les rénovations subies raconte 400 ans d’histoire. Ici, les habitués comme les clients de passage se sentent très vite chez eux et se laissent emporter par l’ambiance chaleureuse qui rythme la salle, « comme dans un vrai bistrot », selon Adriano Dupraz, le gérant.
Offrir une palette de goûts
La carte est variée, alléchante et reprend les grands classiques de la cuisine bistronomique. « Elle change selon la saison : la chasse en automne, des plats plus légers et des salades en été, et des recettes plus consistantes à base de fromage en hiver. »D’ailleurs, la fondue suisse constitue la signature de la maison, un plat qui continue à faire son petit effet à chaque dégustation. Elle est préparée uniquement à base du fromage AOC Gruyère et relevée ensuite par du vin blanc. En guise d’entrée, le chef propose l’intemporelle salade paysanne ou encore la salade de foies de volaille, une assiette qui séduit à tous les coups. Les malakoffs, une spécialité locale, s’imposent également et prennent la forme de savoureuses boules de fromages. En guise de plat, les grillades sont au rendez-vous : steak de bœuf grillé servi avec, au choix, de la sauce au poivre vert ou un beurre maison aux échalotes, accompagné de frites maison et d’une petite salade. En parallèle, le chef suggère un plat du jour selon les produits de saison : de la choucroute maison garnie de charcuteries du pays, ou encore de l’escalope de saumon d’Écosse poêlé sur lit de chou et pommes vapeur. Le périple culinaire s’achève sur une touche de gourmandise. « Les clients ont le choix entre la meringue double crème de Gruyère, un dessert phare en Suisse, le moelleux au chocolat et sa boule vanille, ou l’ananas frais au basilic. »
Côté vins, la carte met à l’honneur les vins suisses et les vins locaux. Parmi les références : du chardonnay issu du domaine Centaure Claude Ramu en blanc, de l’AOC Gamaret La Clémence de la Cave de Genève en rouge, du rosé de gamay du domaine Château l’Évêque Mevaux. En outre, la cave a toujours en réserve quelques vins étrangers pour satisfaire une clientèle internationale.
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Le restaurant La Perle du Lac s’affirme dans un style traditionnel qui plonge sa clientèle dans une ambiance chaleureuse et douillette. Dans la salle principale et les salons privés aux larges baies vitrées, les tables se parent d’un ensemble de nappes, napperons et serviettes pour accentuer le charme séculaire des lieux. Sur la terrasse décrite comme « la plus belle terrasse de la ville » par M. La Marche, directeur du restaurant, les clients contemplent à volonté la vue sur le Mont-Blanc et la Rade.
La cuisine d’autrefois revisitée aux goûts actuels
M. La Marche qualifie la cuisine proposée de « bourgeoise et traditionnelle française ». Désireux de partager l’histoire des lieux avec ses clients, le restaurant propose, en plus du menu du jour, le menu Byron, en l’honneur du poète anglais ayant vécu sur les bords du lac Léman et qui aurait séjourné au chalet, et le menu Orangerie, pour rappeler qu’autrefois, ce chalet abritait les agrumes d’hiver de son ancien propriétaire Bartholomé.
Une carte qui sent bon le raffiné
À travers sa carte, élaborée selon le profil d’une clientèle internationale, La Perle du Lac propose des plats emblématiques, à l’instar du gratin d’écrevisses, servi principalement en septembre, l’omble chevalier meunière, la féra du lac à la sauce genevoise et le suprême de volaille du Nant d’avril relevé par une crème d’estragon. Pour l’entrée, les préparations au foie gras, en terrine ou poêlée avec du vinaigre de framboise, constituent la signature de la maison. Au dessert, le chariot savamment composé de huit assortiments de pâtisseries accommodés aux fruits de saison, d’une salade de fruits et d’une spécialité locale, fruits rouges accompagnés de meringue et de double-crème de gruyère, termine en beauté le repas.
Pour accompagner avec délice les préparations traditionnelles concoctées par le chef et son équipe, le restaurant propose une carte de vin très éclectique réunissant des références genevoises, françaises, libanaises, argentines, espagnoles, etc.
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Fraîcheur et authenticité ne sont pas de vains mots, quand on parle de la cuisine servie à La Cueillette®. Le chef, audacieux et créatif, concocte des menus colorés et goûteux – pour le plaisir – et d’une rare délicatesse, pour la santé. Car bien manger est ici un art cultivé par le maître des lieux, Jean Garnier, médecin et nutritionniste de son état.
Un cadre fastueux pour le plaisir des yeux
Le château de Cîteaux qui abrite La Cueillette® imprime à cette dernière les fastes de son époque d’origine. Les décors muraux, rehaussés de dorures exceptionnelles, tout comme le grand lustre, ont été reconstitués à l’identique de la salle à manger qui recevait les convives dans le château d’apparat datant de 1860. Chaque dîner dans les murs de ce restaurant de caractère est alors comme une incursion dans une époque, où le raffinement était une vertu essentielle. Dans une ambiance claire, la transparence des couverts dressés semble prédire la légèreté élégante qui enveloppe les plats à venir.
Une cuisine simplement créative, pour saisir le meilleur de la nature
Les cartes de La Cueillette® sont imaginées par le chef Sébastien Dorier rompu aux arts de la création culinaire sur la base de produits locaux. Le pléthorique n’est pas de mise. On privilégie l’essentiel, le bon goût de chez soi, en sélectionnant ses ingrédients chez les producteurs aux alentours au rythme des saisons. Les plats seront également créés selon les arrivages du marché. Finalement, les convives se retrouvent avec des plats simples et sains – tel ce filet de volaille fermière de Bourgogne – à apprécier les saveurs authentiques d’antan. Un bon cru sélectionné des domaines alentour finit de célébrer ce que le terroir a de plus vrai.
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Il paraît difficile de passer à côté de cette enseigne tant son architecture interpelle le regard. Aménagé dans une ancienne cour et « greffé » entre deux immeubles, l’établissement est formé par une structure de verre et d’acier avec une devanture entièrement vitrée. À l’intérieur, les convives apprécient une belle hauteur sous plafond qui donne l’impression d’un lieu d’exception. La configuration se prête idéalement au jeu des suspensions luminaires apportant au passage un design très épuré. Les invités baignent dans une ambiance conviviale et décontractée. Pour finir sur une touche insolite, une cuisine partiellement vitrée offrant aux invités le ballet des cuisiniers virevoltant aux fourneaux.
Une cuisine italienne de qualité
Avec l’arrivée d’une nouvelle direction, il souffle un vent de renouveau à la Brasserie da Matteo ! Et cela se sent surtout en cuisine. « Depuis la reprise de l’établissement, il y a de cela un an, la direction a voulu proposer une cuisine italienne de qualité axée sur la fraîcheur des produits », explique l’équipe. Ainsi, la carte change tous les trois mois en fonction des produits du marché. Pour commencer, les invités auront à choisir entre une entrée chaude ou froide. Chez Matteo, les antipasti sont toujours très appréciés. La tomate et mozzarella di Bufala, le jambon cru de Parme ou encore la salade composée font le bonheur des fins gourmets. En plat principal, le chef suggère un délicieux filet de turbot avec sa sauce au salsifis et fregola sarda, un incontournable de la maison. Pour les plus gourmands, la côte de veau milanaise promet des moments de pur délice. Pour terminer comme il se doit cette escapade culinaire italienne, les douceurs de Matteo régalent petits et grands. Entre le moelleux chocolat avec sa crème de mascarpone vanillée, le cheese-cake au caramel beurre salé ou le tiramisu classique, le choix est vite fait ! Côté vin, l’établissement possède une carte très riche qui met à l’honneur les vins italiens et français. En tout, une centaine de références qui ravira les plus fins connaisseurs.
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Du bœuf de Kobe, à l’agneau d’Irlande en passant par le porc Genevois, le chef suisse doublement étoilé au Domaine de Châteauvieux Philippe Chevrier attise les braises dans son steak house à l’américaine. Cet authentique grill à l’américaine situé en plein cœur de Genève, sur la célèbre rue du Rhône est un repère idéal pour les fins gourmets. Célébrée dans un décor époustouflant, la viande est au centre des saveurs gastronomiques.
Un peu de New York à Genève
Pour Philippe Chevrier, cuisinier genevois doublement étoilé, c’est un vieux rêve qui s’est réalisé, avec l’ouverture de ce grill en fin 2015, à Genève. Le chef multi-restaurateur qui a bâti sa réputation au domaine mythique de Châteauvieux a toujours été fasciné par New-York. Preuve en est, il s’y rend régulièrement depuis 1984 pour participer au marathon. Plus qu’une inspiration, il a ramené du pays de l’oncle Sam de nouvelles façons de savourer la cuisine. Sur deux immenses étages boisés au chic incontestable tout de briques et de poutres, de matières brutes et de gros volumes, le décor de Chez Philippe semble tout droit sorti des quartiers de Brooklyn. Très fréquenté, l’établissement propose un dyptique au charme certain. Au rez-de-chaussée, le bar, lounge et décontracté propose à la carte burger, salades et viandes. Idéal pour un verre entre amis ou un repas sur le pouce. Le petit plus pour un moment after work : un pianiste qui accompagne les moments culinaires dans une ambiance conviviale. La brasserie est ouverte 7 jours sur 7 et prend les dernières commandes à 23h. A l’étage, c’est la partie grill-restaurant qui se dévoile. Plus intimiste, cultivant l’élégance et le raffinement cosy. Un immense loft au plafond haut et au décor vitré accueille le visiteur. Dans une ambiance tamisée et un design épuré, les chefs de Chez Philippe mettent sur le feu une gastronomie tendre et juteuse. Le succès du restaurant repose en effet sur la grande variété de viandes proposées sur le grill. A la carte, vous trouverez une vingtaine de pièces de viandes cuisinées et réputées pour leurs qualités gustatives. On y trouve, entre autres, de l’agneau d’Irlande, du porc Suisse, du boeuf d’Australie et du bœuf de Kobe (japonais). De quoi satisfaire toutes les envies des gourmets.
Des tranches de rêve dans l’assiette
Comme toujours dans les établissements signés Philippe Chevrier, les produits locaux restent à l’honneur avec des viandes suisses d’exception. Gourmandes, les recettes que l’on retrouve aux tables sont toutes réalisées avec maîtrise et savoir-faire sur le grill. Les plus belles races de bœuf, maturées sur l'os pendant 3 à 5 semaines sont travaillées par les chefs sur la base d’une cuisson au bois de hêtre dont les vertus sont reconnues pour une cuisine plus saine et diététique mais protéinée. Chez Philippe, la viande est aussi sélectionnée sur des marchés d’excellence incontournable, nous dit-on. En témoigne une collaboration fidèle depuis l’ouverture de l’établissement avec la grande boucherie du Molard, une institution Genevoise incontournable depuis 1921. Un boucher est d’ailleurs présent le midi pour découper la viande sous l’œil des clients dans les règles de l’art. Loin de se confiner à l’art terrien, la cuisine prend aussi le grand large. Homards, crevettes, noix de Saint Jacques snackées et autre mets de la mer connaissent également l’épreuve du feu avant de rejoindre le bois somptueux des tables et du bar. Le restaurant propose également un joli banc d’huitres d’Oleron. Du côté des desserts, les clins d’œil à New York se multiplient avec l’Empire State Building, ce gros gâteau meringué, servi aux fruits exotiques l’été et aux fruits rouges l’hiver. Le Genève-New-York est aussi à la carte, une sorte Paris Brest revisité et rebaptisé, véritable gourmandise agrémentée de chocolat et de café.
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Le village de Puligny-Montrachet, situé au Sud de Beaune, enveloppe des paysages magnifiques bordés de vignes, la fameuse Côte de Beaune. L’un des domaines les plus réputés de la région accueille les œnophiles et les amateurs de bonne chère dans sa « Table de Dégustation » : son Restaurant, où l’on peut déguster et acheter directement le vin. Chez Olivier Leflaive on prône une culture de la qualité et une philosophie engagée, à l’image du domaine.
Mariage de régions et de saveurs
« Notre cuisine bistronomique et notre concept oenotouristique sont le fruit d’un travail de longue haleine depuis 2006 : notre idée est de travailler sur l’équilibre subtil entre l’accueil , la viticulture, le tourisme et l’accord mets et vins », résume Olivier Leflaive, le maître des lieux. « Le Restaurant est avant tout une vitrine, destinée à célébrer la richesse et la diversité de nos vins.
Pour le déjeuner, la formule Repas-Dégustation se décline en deux sélections comportant chacune 3 plats, qui évoluent au fil des saisons, avec une dégustation de 6 à 9 vins. Si le Carpaccio de Lotte aux légumes croquants se marie merveilleusement bien avec un Puligny-Montrachet Enseignères 2011, le suprême de volaille rôti, crémeux butternut, carotte et coppa est relevé par la puissance d’un Meursault 1er Cru Poruzot 2012.
Au dîner, les clients peuvent composer eux-mêmes leur formule sur les conseils précieux des sommeliers-animateurs. « Ils se déplacent de table en table pour expliquer les vins à nos hôtes et guider leurs choix ». La carte des Vins compte plus de quatre-vingts références, toutes vinifiées par la Maison Olivier Leflaive, essentiellement du blanc ; mais aussi quelques propositions en rouges issus d’autres domaines.
Un amour effréné pour la Bourgogne
L’histoire d’Olivier Leflaive La Maison Hotel**** et le Restaurant est intimement liée à la famille, si bien que des visites de vignes et de caves sont organisées chaque jour par les frères Leflaive, pour que les clients puissent mieux saisir l’univers du vin. Ces balades techniques et pédagogiques au milieu des vignes ont lieu presque tous les jours et sont rythmées par une ambiance familiale et chaleureuse. Mieux encore, le gérant conseille les bonnes adresses, les domaines viticoles et les monuments à visiter dans la région pour compléter le séjour. « Notre objectif va bien au-delà de la concurrence, nous avons une plus grande vision qui est d’honorer notre région. »
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L’enseigne est située rue du Rhône, dans le food hall du grand magasin Globus à Genève. Elle s’est lancé un défi de taille : donner au fast-food un nouveau visage en proposant de délicieux burgers gastronomiques, à déguster sur place ou à emporter. Créé sous l’impulsion du chef doublement étoilé Philippe Chevrier, le pari est réussi pour ce snack artisanal et gourmet. Chez Denise, la carte fait aussi la part belle à des hot-dogs, des salades et des desserts gourmands, tous disponibles à emporter.
Quand le fast-food devient gourmet
Au homard, au bœuf suisse des alpages, à l’agneau, au foie gras ou encore végétarien. Toujours des garnitures uniques et créatives pour des petits pains sains mais gourmands. Des produits du terroir sélectionnés avec soin par une équipe conviviale. C’est l’idée que l’on se fait du burger chez Denise, goûteux mais simple et accessible. Dans ce snack haut de gamme, vous pourrez goûter à l’originalité raffinée de la maison comme « le homard du Maine avec sa rémoulade au citron vert nappé d’une mousseline d’avocat ». Le Spice Lamb propose, quant à lui, une recette alléchante à base d’agneau confit aux sept épices dans un pain pita. On compte au total près de sept recettes finement élaborées et chaque mois possède son lot de surprises avec un burger spécial à la carte. Un classique simple et indémodable ? Le Roast Chicken avec son poulet rôti confit, ses chips maison et sa sauce moutarde à l’ancienne. Si l’enseigne jouit d’une belle sélection de viandes, les végétariens n’en sont pas pour autant délaissés avec au menu un burger spécial galette de maïs aux délicieux légumes. Le tout est servi dans de jolis pains buns à l’épeautre, au sésame, à l’encre de seiche ou encore aux graines de courge, réalisés sur mesure par un artisan boulanger de Genève. Philippe Chevrier, chef doublement étoilé, affirme avec simplicité sa passion pour les produits du terroir et sa volonté de proposer un snack de qualité et accessible à tous ceux qui cultivent le « fast good ».
Tous à la gastronomie
Le lieu, décontracté et familial, invite les gourmands à vivre des instants culinaires conviviaux, cristallisés autour d’une idée essentielle : la sélection de bons produits tels que la célèbre tomme genevoise ou le bœuf suisse auprès des meilleurs producteurs locaux. Et pour rompre définitivement avec les clichés sur le burger, l’enseigne se veut responsable et proche de ses consommateurs comme de ses fournisseurs. Chez Denise, tout est fait « maison ». Même les sauces, comme la fameuse sauce Denise. À l’opposé de la malbouffe, on déguste ici le burger au naturel, c’est-à-dire sans arôme, sans conservateur, avec des produits cent pour cent locaux. Résultat ? Dans les cuisines, le burger subit un lifting complet pour retrouver ses lettres de noblesse. Manger sur le pouce mais gastronomique, c’est aussi une invitation à la convivialité, une valeur chère à Philippe Chevrier. Et pour perpétrer le paradis sensoriel découvert dans la cuisine familiale, le chef a choisi de rendre hommage à sa mère en lui dédiant son restaurant. « Depuis ma tendre enfance, le plaisir de la cuisine, transmis par plusieurs femmes dont ma maman, n’a fait qu’inculquer en moi cette passion et cette force qui m’ont fait grandir tout au long de ma vie », explique-t-il. Ces quelques mots rappellent que l’art culinaire est avant tout un savoir-faire empreint d’histoires qui nous replongent dans les souvenirs d’un repas de famille autant qu’une passion pour l’excellence. Sur place, en plus des produits frais et de la conception de burgers uniques, l’invitation à déguster se fait sans complexes et de manière décontractée. On voit les cuisiniers à l’œuvre dans la cuisine vitrée, en train de s’activer autour du toaster et de la plancha. Côté sucré, on se laisserait volontiers envoûter par le cake aux carottes et au gingembre, le cheese-cake new-yorkais à moins que...
L’endroit a tout pour plaire ! Classé au patrimoine, l’établissement a trouvé refuge dans une ancienne brasserie, structurée d’un majestueux décor de boiseries de chêne. Philippe Chevrier, actuel gestionnaire des lieux, a voulu renforcer l’esprit traditionnel de la maison à travers une cuisine italienne… certes classique, mais rayonnante de saveurs.
À la découverte de la cuisine méditerranéenne
Le restaurant Marjolaine s’approvisionne auprès de fournisseurs italiens implantés en Suisse. Simple et raffinée, la « cuisine du soleil » se prépare à partir des produits de premier choix. Avec une carte assez flexible, la maison se fait un plaisir de sublimer les produits de saison.
Philippe Chevrier a trouvé en Francesco Tedesco, un généreux chef turinois, idéal pour son restaurant italien ! Sa restauration met en avant les ingrédients typiques de l’Italie, à l’instar de la burrata, de la mortadelle, du salami, de la bresaola et, bien évidemment, les pâtes ! Au restaurant Marjolaine, tout est fait maison : spaghettis, raviolis, tagliatelles, linguine, paccheri et gnocchi de pommes de terre.
Vous vous ferez un réel plaisir à la seule vue des linguine au homard, sauce tomate ou encore des spaghettis « alla carbonara ». Si vous aimez la viande, vous n’hésiterez pas à déguster le filet de bœuf « Molard » aux bolets et chanterelles avec son jardin de légumes, le tout rehaussé d’une appétissante sauce espagnole. Les enfants se régaleront avec une escalope « alla Milanese » qui s’accompagnera de la garniture du jour. Vous êtes végétarien ? No problemo ! Francesco Tedesco, chef de cuisine, propose le minestrone della « Mamma » comme entrée et un bon risotto aux artichauts servi avec du fromage de chèvre au citron confit comme plat principal. L’aventure culinaire se termine en beauté avec une marjolaine à l’orange, sauce vanille ou tout simplement en savourant un grand classique du répertoire italien : le tiramisu.
Qui dit bon repas dit bon vin
En matière de vins, l’établissement dispose d’une cave riche en références. En apéritif ou en accompagnement, la cuvée qu’il vous faut est disponible au restaurant Marjolaine. Le maitre d’hôtel Filippo Denise, alias « Pippo », vous aidera à choisir le meilleur accompagnement pour votre repas.
L’établissement propose notamment des cuvées suisses, italiennes et françaises. Les vins suisses proviennent essentiellement de maisons genevoises comme Chasselas Domaine du paradis ou le Domaine du Clos des pins. Retrouvez également Les Vins de Philippe Chevrier. Cette fois, dans la peau d’un vigneron, notre chef présente des millésimes 2016 à base de sauvignons blanc et de sauvignon gris. Les vins de France sont représentés à travers des appellations renommées comme le bourgogne ou les côtes-du-rhône.
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Situé rue de l’Ale, un lieu foisonnant de commerces et de restaurants dans le centre-ville de Lausanne, en Suisse, le restaurant L’Orchidée est une adresse incontournable pour les amateurs de cuisine asiatique depuis son ouverture en 1999. Entre une flânerie au cœur de la Cité, où règne la majestueuse cathédrale de Lausanne, et une balade aux Escaliers du marché, l'un des endroits mythiques de la ville suisse, faire une pause gourmande au sein de cet établissement de type brasserie n’est pas de refus.
Fondues et spécialités vietnamiennes au menu
Si le restaurant de Bao Dang est populaire pour ses soupes vietnamiennes, ses autres spécialités asiatiques comme le canard laqué, la fondue chinoise ou encore les salades de vermicelle sont aussi énormément prisées par ses convives. Sa fondue thaïe à volonté, le fondateur de L’Orchidée nous la décrit comme étant « un bouillon Tom Yam, qui est un bouillon à base à citronnelle, avec des herbes aromatiques, des racines de galanga et un peu de basilic, et que l’on sert avec des vermicelles et des viandes ». Riz, charbonnade, potages, nouilles, raviolis, salades, spécialités au poulet, au porc, aux crevettes, au bœuf, au canard et au poisson font également partie de la carte. Les plats proposés dans la sélection « Délices du Mékong », de leur côté, font voyager les sens avec leurs saveurs du Vietnam. Chez L’Orchidée, on n’oublie pas non plus les tofus et les plats à base de légumes qui font le bonheur des papilles végétariennes.
Une ambiance tout simplement « sympa »
Selon le propriétaire, ce qui séduit à L’Orchidée, « c’est son atmosphère chaleureuse qui réveille l’appétit, son cadre sympa, accueillant, mais aussi évidemment la bonne cuisine », avant de préciser que son restaurant, qui comprend également une terrasse, s’inscrit globalement « dans un style sobre, avec des boiseries comme éléments de décor ». Le cadre convient autant pour un déjeuner entre collègues, un dîner en amoureux, ou un repas entre amis. La clientèle du restaurant est toute aussi éclectique et se compose autant de jeunes adultes que de seniors.
Une équipe de passionnés
Aux fourneaux, cinq cuisiniers s’attellent à préparer les plats traditionnels du Vietnam. Le chef, lui, est au service de l’établissement depuis une dizaine d’années. Pour ceux qui souhaitent mieux savourer leurs repas accompagnés de bons crus, la carte des vins privilégie les vins locaux avec une prédilection pour les cépages classiques comme le pinot noir et le merlot. On y trouve essentiellement des marques bordelaises, vaudoises et suisses.
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À Dijon, le restaurant La Closerie propose une cuisine raffinée, toujours concoctée à partir de produits frais et de saison. Du 100 % fait maison qui ravira à coup sûr les fins palais.
Deux salles, deux ambiances
Le restaurant dispose de deux salles distinctes. Côté jardin, les invités ont droit à un cadre intimiste, qui révèle une atmosphère empreinte de douceur et d’authenticité. Avec ses poutres apparentes datant du XVIIe siècle et ses murs de pierres, le lieu ne manque certes pas d’originalité. Côté cour, l’ambiance est plutôt à la décontraction avec le bar à vins, qui offre un espace lounge propice aux échanges et à la convivialité.
De l’authenticité et de la saveur
En cuisine, le chef Arnaud Riandet affectionne les produits locaux et s’approvisionne donc en circuit court. « Pour moi, le plus important est de travailler des produits frais et de qualité », nous explique-t-il. Ce dernier concocte chaque jour une cuisine raffinée, qui marie à la perfection tradition et modernité.
En entrée, le jambon persillé avec sa crème de moutarde et pesto de cresson fait toujours l’unanimité auprès des convives. En plat, le chef suggère la joue de bœuf confite au vin rouge ou bien la volaille « Gaston-Gérard » façon revisitée et son gratin dauphinois, une pure merveille. Enfin, le vacherin au cassis noir de Bourgogne clôturera en beauté cette découverte culinaire.
Pour accompagner idéalement tous ces plats, l’établissement propose pas moins de 250 références de vins. Une carte qui fait honneur à la Bourgogne, puisque 90 % des vins servis sont issus de la région.
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Sis dans un ancien hôtel particulier du 15e siècle, le restaurant La Closerie a été entièrement pensé pour répondre aux besoins des clients. Il se décline en effet en deux salles différentes, avec deux ambiances spécifiques. La première salle, côté jardin, propose un cadre élégant et intimiste marqué par la présence d’un beau plafond à la française et d’une cheminée en pierres de Bourgogne.
Envie de prendre un verre entre amis ? La seconde salle, côté cour, est l’endroit idéal. Ce bar à vin dont l’animation est assurée par un sommelier distille une ambiance lounge et décontractée, où règne également la convivialité.
Une cuisine authentique dans un cadre de charme
La Closerie propose une cuisine raffinée et surtout faite maison, comme l'exigent les critères d'affiliation au titre de Maître Restaurateur, où les recettes traditionnelles se mêlent à l’inventivité et à l’imagination du chef Emeric Buisson. La réputation de ce chef s’est construite à travers ses menus élaborés avec des produits frais et de premier choix qui évoluent au gré des saisons. Dans la gamme des plats phares qui font sa renommée figure le jambon persillé assorti de crème fouettée à la moutarde, une entrée très appréciée de la clientèle. En ce qui concerne les plats, la joue de bœuf confite au vin rouge, fricassée de légumes se distingue du lot. Les fins gourmets apprécieront la tendreté et l’onctuosité de la viande, laquelle a fait l’objet d’une concoction de vin rouge durant un minimum de huit heures. Enfin, dans le registre des desserts, la maison se fait un réel plaisir de proposer le vacherin au cassis et pain d’épices. Sa particularité réside dans la combinaison parfaite de deux produits du terroir. Le chef a également utilisé du pain d’épices issu de la fameuse maison « Mulot & Petitjean » pour sublimer ce dessert très particulier.
Les vins de Bourgogne à l’honneur
La carte des vins de La Closerie fait la part belle aux vins de Bourgogne, lesquels sont certainement les mieux indiqués pour accompagner les plats concoctés dans cet établissement dijonnais. Dans la liste de ses meilleures références figurent les vins de la Côte de Nuits, de la Côte de Beaune ou encore de Gevrey-Chambertin.
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Entre bœuf et homard
Propriétaire du restaurant Le Patio, emblématique de la gastronomie genevoise depuis les années 70, la famille Prato semble avoir trouvé en Philippe Chevrier le successeur culinaire idéal. Reconnu pour sa cuisine traditionnelle et créative, l’étoilé avait fait ses armes tout jeune au Patio, c’était donc une opportunité évidente que de reprendre l’établissement en 2013. Au-delà des classiques de bistrot, il y développe un concept original : le « Bœuf & Homard ». Aux tables du Patio, ces deux produits d’exception sont rois. Avec une texture fondante et un goût si singulier, sublimés avec talent, ils se réinventent sous les couteaux des chefs avec une déclinaison infinie de plats. Côté mer, on s’emballe pour des carapaces travaillées en bisques ou consommés aromatiques, parfumées au porto, au lemon grass, assaisonnées à la fleur de sel ou en gelée de fenouil. Côté terre, on salive pour le bœuf et sa traditionnelle entrecôte, ou en tartare, en carpaccio, farci, braisé, mitonné ou encore en ragoût. En entrée, les ravioles de queue de bœuf braisées et liées au foie gras et au porto font concurrence à la bouchée à la reine « comme faisait maman Denise ». Avec des classiques comme le tibia de bœuf à la fleur de sel et le homard grillé au beurre de corail, les plats sont authentiques et efficaces. Entre terre et mer, un trésor culinaire séduira à coup sûr les papilles des plus gourmets. Il s’agit du « Surf & Turf », alliant un cœur de filet de bœuf et un demi-homard grillé décortiqué. Souhaitant perpétuer la tradition, le restaurant revisite également les classiques d’une gastronomie d’antan, c’est-à-dire les plats phares de la famille Prato. Tartares, cuisses de grenouille, filets de perche, turbot sauvage ou encore carré d’agneau sont quelques-unes des spécialités présentes à chaque saison pour compléter le concept « Bœuf & Homard ». Pour concocter et servir cette cuisine gastronomique et audacieuse, l’équipe talentueuse du Patio réunit Gilles Granziero le directeur, deux chefs de cuisine, Romain Loiseau et Rodolphe Estiot-Braud, et Alexia Chenevard, maître d’hôtel.
Une gourmandise authentique au cœur de Genève
Tant du côté des saveurs que du décor, Le Patio est marqué par le sceau d’une élégance intemporelle. Entre lac et vieille ville, l’antre culinaire peuplé d’habitués accueille le visiteur à Genève dans une ambiance plutôt intimiste. Mêlant subtilement charme du bistrot de quartier et chaleur du restaurant douillet, difficile de résister à cet endroit. Les jolis murs de pierres apparentes sont tapissés des œuvres colorées du peintre cubain Carlos Boix, un habitué et ami du chef qui en a fait son repaire. Réputé pour son authenticité, le bistrot célèbre également le terroir à travers des soirées dédiées aux vignerons, aux cigares, à la truffe, et au gibier. « Sans vignerons et sans agriculteurs, le restaurateur n’est rien », a dit Philippe Chevrier, pour qui la cuisine est avant tout un art de la générosité et du partage. Et ce n’est pas l’incroyable sélection de vins du Patio qui nous fera dire le contraire. Des crus suisses mais aussi français et italiens sont à l’honneur d’une carte des vins étoffée et raffinée. Les chefs ont également élaboré une gamme de desserts aussi gourmands les uns que les autres. Parmi eux, on retient le traditionnel baba au rhum, la tarte fine aux pommes, ou encore le moelleux au chocolat. Le Patio reste à la fois un bistrot de quartier d’une belle tradition culinaire, qu’une institution genevoise incontournable de la rive gauche de Genève. Recommandé à tous ceux qui souhaitent partir à la chasse aux saveurs dans l’élégance de la simplicité et la chaleur de la vieille ville.
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Grâce aux saveurs uniques de la cuisine traditionnelle française concoctée à base de produits frais et sélectionnés avec minutie par le chef, Le Château Bourgogne réserve de belles surprises aux épicuriens. Avec, à chaque fois, la promesse d’un plaisir renouvelé !
Un cadre élégant
Ayant récemment fait « peau neuve », le restaurant arbore fièrement ses nouveaux attraits. Dans un décor très cosy, l’élégance transparaît à travers chaque détail. Ici, on retrouve une décoration contemporaine, très moderne où le luxe s’affiche sans complexe. Tout renvoie à l’équilibre et à l’harmonie : les couleurs, les matières sont prétextes à une combinaison d’élégance et de convivialité. Un endroit intimiste qui n’est pas dénué de charme. Les lieux conviennent parfaitement aux retrouvailles en famille, entre amis ou aux repas d’affaires. En été, vous avez la possibilité de profiter d’une belle terrasse à proximité de la piscine pour plus de tranquillité.
Le raffinement dans vos plats
Grâce à un partenariat privilégié avec ses fournisseurs locaux, l’établissement s’assure d’offrir à ses clients les meilleurs produits afin de leur concocter des plats incomparables. Au gré des saisons et des saveurs, le chef se propose de livrer une belle partition mettant à l’honneur les subtilités de la cuisine traditionnelle française. En entrée, le duo d’œufs en meurette est juste à tomber. Un vrai régal pour les gourmands de passage. En plat, rien de tel qu’un filet de bœuf charolais avec sauce aux morilles pour s’imprégner des saveurs régionales. Tous les dimanches, ce restaurant a l’habitude de convier les initiés à son traditionnel brunch « Le Spécial Sunday Buffet ». L’occasion aussi pour l’établissement de faire connaître aux convives le savoir-faire de ses trois pâtissiers d’exception et leur célèbre chariot de desserts.
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Grâce aux saveurs uniques de la cuisine traditionnelle française concoctée à base de produits frais et sélectionnés avec minutie par le Chef Gonzalo Pineiro, Le Château Bourgogne réserve de belles surprises aux épicuriens, avec à chaque fois la promesse d’un plaisir culinaire renouvelé !
Un cadre élégant
Ayant récemment fait « peau neuve », le restaurant arbore fièrement ses nouveaux attraits. Dans un décor très cosy, l’élégance transparaît à travers chaque détail. Ici, on retrouve une décoration contemporaine, très moderne où le luxe s’affiche sans complexe. Tout renvoie à l’équilibre et à l’harmonie : les couleurs, les matières sont prétextes à une combinaison d’élégance et de convivialité. Un endroit intimiste qui n’est pas dénué de charme. Les lieux conviennent parfaitement aux retrouvailles en famille, entre amis ou aux déjeuners d’affaires. Pour des repas plus intimes, le restaurant dispose de beaux espaces privatifs comme le Salon Président et le Salon Bourgogne, pouvant accueillir respectivement 10 à 30 personnes. En été, vous avez la possibilité de profiter d’une jolie terrasse, ouverte sur le jardin, à proximité de la piscine chauffée.
Le raffinement dans vos plats
Au gré des saisons et des saveurs, le chef Gonzalo Pineiro se propose de livrer une belle partition mettant à l’honneur les subtilités de la cuisine traditionnelle française, à travers des produits frais et de qualité. « En approvisionnement, nous privilégions au maximum les producteurs locaux », souligne Alexander Krips, directeur de l’établissement. La qualité et la fraicheur des produits utilisés se ressentent naturellement dans les assiettes. Pour s’en convaincre, il suffit de déguster les succulents escargots de Bourgogne au Chablis ou bien les Oeufs Bio en Meurette au Pinot Noir en entrée. Pour prolonger le plaisir, le Chef et sa brigade suggèrent le Filet de bœuf Charolais accompagné de son incontournable purée d’Amandine du Château à l’huile de Truffes, une spécialité de la maison ! Au Château Bourgogne, les poissons sont également à l’honneur : entre la Saint-Jacques, la Lotte ou le Turbot Sauvage, les invités ont droit à un choix alléchant. De quoi partager un bon moment autour de plats incomparables !
Le restaurant jouit d’une bonne réputation dans la région, notamment grâce à son célèbre plateau de fromages avec plus de 15 variétés. Pour les palais sucrés, les 3 pâtissiers régaleront les convives avec des douceurs entièrement faites maison. Côté vins, l’établissement présente une carte éclectique comprenant près de 300 références de Bourgogne et d’ailleurs. Demandez conseil au sommelier, qui sublimera vos plats et vous fera découvrir les cépages et appellations régionaux.
Tous les dimanches, Le Château Bourgogne a l’habitude de convier les initiés à son propre brunch « Le Spécial Sunday Buffet ». Chaque semaine, un nouveau thème est à l’honneur, avec une composition de menu différente. L’équipe en cuisine fait alors marcher son imagination et sa créativité pour sortir un repas complet et à volonté, salé, sucré, chaud et froid, pour un voyage gustatif garanti ! Le thème est dévoilé quelques jours à l’avance sur leur page Facebook.
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Créé il y a 60 ans, Le Café des Sources était à l’origine un petit café sympathique connu du quartier. « C’était un bistrot espagnol où les gens venaient plutôt pour boire, il n’y avait pas la cuisine », nous raconte Éric Vouriot, l’actuel propriétaire depuis 2009. Il a réussi avec brio le challenge de garder l’esprit de la maison et en faire une adresse iconique de la cuisine canaille à Genève. Cette identité genevoise se reflète bien dans la décoration de la salle : grande façade en baie vitrée, mobilier en bois, vieilles banquettes de 100 ans, l’intemporel tableau noir et un grand bar au milieu : « Un endroit qui est resté identique, authentique », comme le décrit si bien le propriétaire du lieu.
Une cuisine simple et authentique
La carte propose des plats qui épatent par leur succulence et leur générosité. Parmi eux, le ris de veau aux morilles, la quenelle de brochet soufflée avec sa sauce à l’américaine, ou encore le steak de calamar et crevettes au piment et gingembre, qui sont devenus les incontournables du restaurant et se savourent tout au long de l'année. En période de chasse, d'octobre à la mi-décembre, l'on se laisse facilement tenter par le filet de lièvre rôti au romarin et coings confits ou bien les noisettes de cerf sauce poivrade avec une garniture composée de choux rouge braisé, de spatzlis ou encore de la poire au vin et purée de céleri. Des spécialités typiquement suisses s’ajoutent également à carte, tels le malakoff ou le filet de bœuf à la moelle, bien tendre et délicieux. En dehors de la chasse, les saveurs gourmandes se déclinent pour toutes les saisons. Ainsi, que ce soit en printemps, en été ou en automne, les suggestions du chef ne manqueront pas de surprendre agréablement les épicuriens par des plats travaillés et finement présentés.
En dessert, l’on se laisse tenter par le tiramisu au beurre caramel salé ou le baba au rhum et mangues confites. Et comment ne pas parler de la tarte Tatin aux poires caramélisées au beurre salé et sa glace, un dessert qui frôle la perfection. En outre, les clients peuvent se laisser séduire par les suggestions du chef, qui varient dans la semaine selon la saisonnalité et les produits au marché.
Côté vins, la quarantaine de références proposées met à l’honneur les vins genevois. Une sélection de vins français, dont ceux en appellation côtes- du-rhône et les vins de Bordeaux, figure aussi sur la carte. Enfin, des vins en provenance du Valais, en Suisse, viennent compléter la liste.
Label de qualité
Le Café des Sources est le royaume du fait maison : plats, jus, desserts, sauces sont élaborés sur place avec des produits frais et locaux. « Nos produits viennent de Genève ou du Canton de Vaud », renchérit notre interlocuteur. Cette démarche engagée produits locaux lui a valu le label « Ambassadeur du terroir genevois », gage de la qualité de ses produits et de leur origine. Toujours en quête de l’excellence, le restaurant a raflé en 2017 le premier prix catégorie bistrot pendant le concours de la semaine du goût organisé par la ville.
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