Sous le ciel ensoleillé de Trélou-sur-Marne, sur la rive droite de la Marne, entre Épernay et Château-Thierry, la maison Couvent Fils prend soin de ses trois hectares de vignes avec la plus grande rigueur. De ce terroir situé dans la vallée de la Marne se développent les trois cépages champenois, dont le pinot Meunier en sera le roi (70 %). Les vignes sont cultivées de façon raisonnée dans une optique de préserver le patrimoine, héritage des générations futures. Des bulles pétillantes Médaillée d'argent lors du Concours Général Agricole auquel la marque participe pour la première fois, la cuvée Empreinte est l’ambassadrice de la maison Couvent Fils. Elle est issue de l’association de trois cépages champenois et a bénéficié d'un vieillissement de 24 à 36 mois dans les caves. Pour satisfaire les amoureux de la gastronomie fine, la maison propose le Plaisir secret. Cette cuvée est élaborée à partir d’un millésimé sélectionné en fonction de sa finesse. Au moment du dégorgement, un dosage en demi-sec est réalisé. À consommer en apéritif, elle révèle aussi toutes les saveurs d’un foie gras et constitue l’allié incontournable des douceurs chocolatées. À la découverte d’un savoir-faire La maison Couvent Fils invite les touristes à découvrir le champagne à la source. Un parcours durant lequel la visite des caves ou du pressoir est organisée. Après cette balade pédagogique, les vignerons proposent une dégustation à leurs convives. L’occasion d’apprécier les cuvées fabriquées dans le respect des techniques traditionnelles. L’immersion totale au cœur de l’univers champenois s’effectue quant à elle grâce à un séjour complet au sein d’un gîte pour six personnes labellisé Gîte de France (trois épis). ...
Le Mas Janeil Le Mas Janeil est une propriété située dans la vallée de l’Agly, dans les Pyrénées-Orientales, avec des parcelles sises entre les communes de Maury et de Tautavel. Son terroir, à cheval sur une faille géologique, présente une très grande diversité. Ses vignes sont constamment soumises aux souffles de la tramontane et du marin. Les vieilles vignes de grenache, de mourvèdre et de syrah ne sont vendangées qu’à leur pleine maturité, ce qui confère aux cuvées une belle maturité aromatique. Les vins qui y sont produits sont déclinés sous le nom de « Mas Janeil », en appellation AOP Côtes-du-Roussillon et Côtes-du-Roussillon Village et « Les Hauts de Janeil » en IGP Pays d’Oc. Le Château des Erles François Lurton a acquis avec son frère ce vignoble situé aux confins des Corbières en 2001. Les 18 hectares, composés de sols schisteux mélangés à du grès noir, sont plantés de carignan, de grenache et de syrah, en faible densité de 3000 pieds par hectare. Il est soumis à un climat méditerranéen typique et une pluviométrie faible qui sont à l’origine de la fraicheur prononcée de ses vins. Les herbes de Provence qui entourent le vignoble donnent à ses cuvées des notes d’herbes. Le domaine produit deux vins en appellation Fitou : le « Grand Vin du Château des Erles » et la « Cuvée des Ardoises ». Le Domaine du Ministre Le Domaine du Ministre, situé sur la commune de Murviel-lès-Béziers, se trouve en plein cœur de l’appellation Saint-Chinian. Ses cépages de syrah, de grenache et de mourvèdre grandissent sur un sol calcaire contenant de la marne. L’exploitation produit le vin du même nom, le « Domaine du Ministre », qui bénéficie d’une couleur rouge rubis profond, avec un nez complexe et intense,tout en offrant un bel équilibre en bouche avec des tanins suaves et des arômes concentrés. Le Domaine des Salices Le Domaine des Salices est un vignoble situé dans le Minervois, entre la Montagne noire et la Méditerranée. Ses vignes bénéficient d’un excellent ensoleillement toute l’année, qui garantit un murissement parfait des raisins. Le terroir produit quatre cuvées en appellation IGP de Pays d’Oc. Les Fumées Blanches « Les Fumées Blanches »constitue la cuvée de référence qui fait la renommée mondiale de François Lurton. Celle-ci tire son nom de la brume matinale qui couvre les vignes de sauvignon blanc, au pied de la Montagne noire, entre l’Atlantique et les Pyrénées. Ce vin de cépage monovariétal est un assemblage de sauvignon blanc issu de plusieurs terroirs différents dans cette région du Gers, à 150 km de Bordeaux. Créée il y a 18 ans, la gamme de vins s’est dotée d’une nouvelle venue, plus pétillante grâce à l’ajout d’une légère dose de dioxyde de carbone qui révèle la délicatesse des arômes du cépage. ...
Avec une vue imprenable sur le clocher de la cathédrale, Le Petit Jardin est un lieu connu des Montpellierrains. Un peu caché, le restaurant a été entièrement rénové en 2009. Avec une salle à manger lumineuse, de larges baies vitrées, une terrasse spacieuse donnant sur un jardin, l'accueil est chic et souriant. Ode aux terres du Sud Au menu, des plats de saison réinventés par le chef Fabrice Ammar, disciple d’Escoffier, dans un style méditérranéen raffiné. Pour réaliser ses créations, le chef choisit rigoureusement des produits frais aidés de producteurs de proximité. Dans l’assiette, une ode aux terres du Sud composée avec une simplicité saine et élégante. Sardines riviera, tataki de thon, asperges de Maugujo, ces entrées fleurent bon « la mer au milieu des terres ». Le menu est sous le signe du poisson avec le classique sole meunière et son écrasé de pomme de terre à l’huile d'olive. D'autres plats plus recherchés sont au rendez-vous. La lotte au lard paysan et son crémeux de fèves, garnie de ses légumes de printemps et de son émulsion de parmesan et d'anchois. Une association inédite avec un goût fort en bouche. En viandes, le filet de bœuf Rossini légèrement relevé avec sa noix de beurre offre son croquant avec sa garniture aux légumes. Les prix des mets varie de 28 à 71 €. Inédit : le restaurant propose même des plats de saison sans gluten ou végétariens. Pour un instant gourmandise, des desserts phares comme le soufflé Grand Marnier avec son confit d'orange chaud et sa glace au chocolat, la spécialité de la maison, ou encore le parfait croustillant au praliné cloront votre repas avec délice. Une cuisine inspirée des cinq continents Nouvelle ambiance au bistrot. Un lieu cosy avec une décoration typique où s’entremêlent des aquarelles peintes par des artistes de villages de la région et de l’artisanat local. Tables, chaises hautes, buffets debout : ce lieu se prête aux travailleurs pressés. La convivialité en plus, dans le bistrot du Petit Jardin, ce sont petits plats à partager et vins de terroirs locaux. Ici, cuisine méditerranéenne mais surtout cuisine du monde inspirée des cinq continents. Pour l’Asie, cocotte de poulet fermier au tandoori, accompagné de ses citrons confits. Direction l’Europe, en Italie, avec des linguines aux palourdes d’un arôme fondant finement aillé. Vers les Antilles, les incontournables accras de morue légers, moelleux et subtilement relevés au persil se prêtent bien à un apéritif décontracté. Pour un plat typiquement français, la tarte niçoise avec son parmesan et sa basilicade fait figure de met estival, toujours dans la simplicité méditérranéenne. Le Petit Jardin réinvente également la street-food avec le burger de cochon Duroc de Batallé au lard grillé et cheddar et pommes grenailles, un plat gastronomique mais moderne. Le bistrot fait la part belle au jambon, avec le bellotta, issu de la tradition ibérique, prisé pour sa chair persillée et son onctuosité en bouche. Authenticité, tradition et élégance Un assortiment de fromages avec sa confiture accompagnera également avec élégance le Mas Julien, vin réputé du Languedoc, très juteux et frais. Le Banyuls surprend également avec Al Tragou 1988, complexe et persistant, avec un fin rancio. La carte des vins est fournie, avec des étiquettes à dominante locale rigoureusement sélectionnées par le sommelier. Mais les autres terroirs français ne sont pas en reste avec un souci d'authenticité et de tradition. Retour aux basiques mais classiques avec les desserts : île flottante pralinée, fraisier et Paris-Brest... Pour le déjeuner, une formule à 21 € est proposée avec un plat et un café gourmand. Le Petit Bistrot dispose également d’une cave à cigares élégante et discrète. Une ambiance raffinée mais également festive, puisque Le Petit Jardin met à disposition ses lieux pour des diners d’entreprises, des mariages et anniversaires. Caché dans une ruelle près de la cathédrale, le tout dans deux ambiances, deux cuisines, deux inspirations mais dans un même ...
De toutes les propriétés viticoles de l’aire d’appellation Luberon, le Château de Clapier se démarque pour être le seul et unique domaine à disposer du Pinot Noir qui, associé au Grenache et à la Syrah, apporte une touche d’originalité et d’élégance aux vins. Un vigneron digne de son héritage Ancienne propriété des Marquis de Mirabeau, le Château de Clapier a été acquis quelque temps après la Révolution par Théodore Barataud, aïeul de l’actuel propriétaire, Thomas Montagne. Loin de déroger à cet héritage familial, ce dernier le prolonge et même au-delà. En atteste Julie Bogenschütz, responsable commercial au sein du domaine, « Thomas Montagne est le président des Vignerons Indépendants au niveau national et au niveau européen. Il défend la cause vigneronne au parlement européen, notamment ». Comme il est aussi père d’une fratrie de six enfants, cette histoire de legs n’est pas près de s’arrêter en si bon chemin. Un domaine privilégié par mère Nature Établis sur le lieu-dit du Clapier, les 35 hectares du vignoble du Château de Clapier sont installés sur un terrain argilo-calcaire et caillouteux. Bénéficiant d’un ensoleillement très favorable toute l’année, les vignes du domaine sont de plus soumises à l’effet bénéfique de l’air frais qui descend des Alpes par le goulot naturel des deux falaises qui encadrent la Durance. Résultat, les traitements en intrants y sont limités au strict nécessaire. Du vin à l’Opéra, il n’y a qu’un pas Grand amateur d’opéra, Thomas Montagne a décidé de nommer ses cuvées ambassadrices en référence à cet art lyrique. Ainsi, dans l’appellation Luberon, les cuvées du Château se déclinent en deux gammes baptisées Soprano et Vibrato, toutes disponibles dans les trois couleurs. « La gamme Vibrato, élevée en cuve inox, développe des notes de fruit et de la fraicheur, tandis que la gamme Soprano travaillée en barriques, sont des cuvées de gastronomie pour accompagner les repas », explique Julie Bogenschütz. Outre les AOP Luberon, le domaine produit également quelques vins atypiques en appellation IGP Méditerranée. ...
Les vins et les produits du terroir en France Le vin fait partie de la culture française. Le pays compte 16 grandes régions vinicoles qui couvrent une superficie totale de plus de 835 000 hectares, des terroirs diversifiés et produit plus de 3400 vins différents avec plus de 1400 dénominations. Villette Œnologie & Gastronomie et les produits du terroir A travers un salon, le club événementiel met en relation des consommateurs potentiels avec des vignerons et des producteurs du terroir comme l’escargot, le miel, le thé et les épices, pour ne citer que ceux-là. Les saveurs proposées sont diverses et variées pour tous les goûts. Les exposants proposent des produits allant du plus salé au plus sucré. On trouve entre autres des produits italiens, corses, des escargots, de la charcuterie, du foie gras, des fromages, du chocolat, des confitures, des gâteaux…. Les prestations du club événementiel Il vend des espaces sous forme de stands aux prestataires (vignerons, agriculteurs et producteurs) qui proposent directement leurs produits aux invités. Comment participer au salon ? Comme l’alcool est interdit aux mineurs, le public ciblé est donc la frange 18 à 99 ans. Le salon ouvre le samedi 5 novembre 2016, de 14h00 à 20h00 et le 6 novembre 2016 de 10h00 à 19h00. L’entrée est gratuite sur invitation que V.O.G. et les prestataires partagent. Dans le cas contraire, elle ne coûte qu’1 €. Pour des mesures d’hygiène, les organisateurs proposent aux visiteurs un verre sérigraphié, au prix de 2 €. Pour sélectionner les exposants, V.O.G cherche à éviter les doublons. Ils sont choisis pour leur dynamisme et pour la qualité de leurs produits. « Nous voulons devenir un salon de référence à l’est de Lyon, nous souhaitons donc passer par la qualité » nous explique le secrétaire. Pour cela, V.O.G. sélectionne des appellations qui permettent que le choix soit exhaustif et fournisse aux visiteurs une vision pertinente du vignoble et des terroirs français. « On évite tout ce qui est revendeur et les produits vendus sur nos stands sont essentiellement artisanaux » selon les mots du coordinateur de l’événement. Les produits exposés sont uniquement des produits maison. Pour permettre aux participants de mieux vendre, VOG ne privilégie pas un exposant plutôt qu’un autre, ni un produit par rapport à un autre, car pour lui ce serait pénaliser les autres. V.O.G, une belle lucarne La manifestation est ouverte à tous les fins gourmets, depuis ceux qui apprécient le foie gras, les escargots et le fromage jusqu’à ceux qui aiment la charcuterie et les douceurs, en passant par les amateurs de vins et autres nectars qui viendront déguster et découvrir le vignoble français. Une ambiance festive et chaleureuse prévaut dans la salle d’exposition, car en novembre, les fêtes de Noel et du nouvel an approchent, c’est alors le moment idéal pour faire son marché. Des chefs d’entreprise profitent de cette opportunité pour acheter des cadeaux pour leurs collaborateurs et clients, des cavistes font le plein de leurs caves, des dames achètent du thé, des épices. Bref, le moment est bien choisi pour se préparer à la fête. Les exposants proposent des dégustations et d’autres animations. Par ailleurs, une tombola est organisée. Elle est caractérisée par des tirages au sort du billet d’entrée toutes les 20 minutes et le gagnant récupère directement son lot sur le salon. Le bar à huitres rencontre tous les ans un vif succès sur les deux jours. ...
Situé au cœur de la Provence verte, le Château la Curnière est une propriété provençale digne de ce nom, qui couvre en tout 121 hectares du village de Tavernes. Ame du domaine, le château proprement dit est un grand bâtiment qui a su traverser les époques et les générations de propriétaires sans perdre de son faste. Autour de lui se trouve son vignoble et sa petite oliveraie. Le reste du domaine est constitué d’un parc et d’un immense jardin à la française, avec ses allées et ses massifs de buis, une chapelle consacrée datant du XVe siècle ainsi qu’une cave et un caveau dédiés à la fabrication des vins. Une situation géographique privilégiée Le vignoble du domaine accapare 17 hectares sur les 121. « Nous avons le domaine le plus haut dans l’appellation Coteaux Varois en Provence » explique Tomasz Pawlak, responsable du vignoble. « Nous sommes installés dans une cuvette, ce qui nous met à l’abri des grandes intempéries, en l’occurrence le gel et la grêle » poursuit-il. Sans compter que sa situation en coteaux et son type de sol drainant lui offrent une irrigation idéale des vignes tout au long de l’année. Des procédés garants de la qualité Depuis les vignes jusqu’à la mise en bouteille, le Château la Curnière s’est imposé une méthode de travail garantissant la qualité de ses produits. Dans les champs, le domaine a fait le choix d’une agriculture raisonnée, sans aucune utilisation d’intrants chimiques. Au chai et à la cave, la vinification est menée selon les techniques traditionnelles. « Nous procédons à des analyses de nos vins qui montrent 0% de pesticides, comme quoi nos vins sont bons pour la santé, mais à boire avec modération bien entendu » explique Tomasz sur le ton de la plaisanterie. Quatre cuvées plusieurs fois récompensées Chaque année, le Château la Curnière produit dans les 450 hectolitres de vins qui se répartissent en quatre cuvées : « Château La Curnière » AOC Coteaux Varois de Provence en rouge, blanc et rosé ; « Château La Curnière Les 3 Croix » AOC Coteaux Varois de Provence ; « Domaine La Curnière Chardonnay » IGP Var-Coteaux du Verdon et « Château La Curnière Cuvée V » IGP Var-Coteaux du Verdon en rouge, blanc et rosé. Parmi tous les millésimes, le « Château La Curnière Rouge 2010 » mérite particulièrement d’être mis en avant, notamment en raison de ses multiples récompenses : une étoile au Guide Hachette 2012, trois étoiles au Guide des vins de Provence 2013 et une médaille d’or au Concours Interrégional des Vins de Brignoles 2001. Pour autant, les autres cuvées n’ont rien à lui envier, la majorité ayant également raflé des médailles lors des concours auxquels ils ont participé et font l’objet de citations régulières au sein des guides spécialisés. Un domaine ouvert aux amateurs de vins et de verdure Toute l’année, le Château la Curnière est ouvert à la visite sur rendez-vous, du mardi au samedi. Cette activité inclut un tour du domaine, la découverte des cuves des templiers, une balade dans le jardin et le parc ainsi que la découverte de la chapelle. Elle se termine autour de verres de vins et d’huile d’olive élaborés par le domaine. « Ponctuellement, nous organisons également des pique-niques chez le vigneron, avec des châteaux gonflables, des animaux de la ferme, des tirs à l’arc » conclut Tomasz Pawlak. ...
Créée en 1951 par ses fondateurs M. Lucien Vitteaut et son épouse Maria, née Alberti, la maison Vitteaut-Alberti ne cesse de s’agrandir au fil des années afin de maintenir la qualité et la richesse de ses cuvées. Elle exploite aujourd’hui 23 hectares de vignes réparties sur la côte de Beaune et les hautes-côtes de Beaune ainsi que sur la côte chalonnaise entre les villages de Rully et Mercurey. L’ensemble de ses vignes est cultivé selon le principe d’une lutte raisonnée, dans le plus grand respect du sol et de l’environnement. Par ailleurs, depuis trois générations, le domaine familial travaille le crémant de Bourgogne suivant la méthode traditionnelle, une technique presque similaire à la méthode champenoise sauf que 100 % du cépage utilisé doit provenir du sol bourguignon et que l’élevage se fait sur 12 mois et non sur 15 mois. Crémant de Bourgogne : la combinaison parfaite Chardonnay, pinot noir, aligoté sont les cépages de prédilection de la Maison Vitteaut Alberti. « Ce sont des cépages qui permettent d’obtenir des produits très frais, très subtils en termes d’arômes », souligne Sandie Deboissy, la responsable commerciale et marketing du domaine. Pour élaborer un crémant de Bourgogne, 80 % de chardonnay et 20 % d’aligoté en provenance de la côte chalonnaise et de la côte de Beaune sont nécessaires. À la clé : un produit frais et raffiné qui séduit de plus en plus de monde. « Aujourd’hui le crémant de Bourgogne connaît une croissance incroyable. Les gens ne le consomment pas uniquement lors d’occasions particulières mais, à tout moment, en apéritif, durant les repas », tient à préciser notre interlocutrice. Sa vinification se fait par « méthode traditionnelle » et c’est tout un art dont la maison Vitteaut-Alberti est fière d’en être la gardienne. Ce savoir-faire particulier lui a permis de rafler des récompenses dans des concours régionaux et nationaux : 1er prix au concours de vin de la côte chalonnaise 2017, coup de cœur Guide Hachette des vins 2014, sélection dans Cuisine et Vins de France Décembre 2013. Un nouveau style, le même esprit Le domaine propose une gamme de produits bien fournie : des crémants, des mousseux et récemment des cuvées spéciales. Parmi ses produits phares figure la cuvée Agnès. Elle a été introduite en 2006 et rend hommage à l’arrivée de la 3e génération, Agnès Vitteaut, qui a repris le domaine. La cuvée est élaborée uniquement à partir de la meilleure sélection de chardonnay de la côte chalonnaise et de la côte de Beaune. Elle est ensuite élevée jusqu’à 36 mois pour obtenir une complexité aromatique incroyable : côté vineux, une belle longueur en bouche, finesse de bulles. Désireux de parfaire sa collection, et surtout de raconter son histoire, le domaine prévoit de lancer chaque année une marque de cuvée spéciale. Pour cette année, il a concocté la cuvée Dentelle: « Un packaging original, fait main et tout peint sur la bouteille, 100 % chardonnay, cuvée très élégante, beaucoup de finesse, de légèreté, dans laquelle on ne prend que les premiers jus de presse, les plus fins », célèbre Sandie Deboissy. Elle ne sera commercialisée qu’au nombre de 4 200 bouteilles et sera spécialement réservée aux clients restreints du caveau. Car même si la production de la maison Vitteaut-Alberti atteint les 500 000 bouteilles par an, elle est avant tout un domaine familial qui souhaite préserver son intimité avec ses clients. Elle insiste pour offrir un accueil chaleureux et personnalisé à chacun de ses convives. ...
Utilisé depuis le Moyen-âge, le verjus est remis au goût du jour pour reprendre sa place prestigieuse dans le monde culinaire. Apprécié des chefs gastronomiques et adulé par les amateurs de cuisine, ce jus de raisin vert est aujourd’hui un must. Redécouvrez ainsi ce produit très apprécié durant l’ère médiévale pour son goût délicatement acidulé et ses vertus thérapeutiques. Un condiment qui a traversé les âges Egalement appelé vert-jus ou vert jus, cet élixir est obtenu en cueillant des grappes de raisins verts qui seront ensuite pressées en vue d’obtenir le fameux nectar. Le verjus est un condiment acidulé servant à relever les sauces, à apporter l’acidité ample de la moutarde et à accompagner toutes sortes de recettes. Véritable alternative au vinaigre et au citron, ce nectar des vignobles est, en plus du cognac, un des produits phares du Domaine Castel-Sablons. Dans cette exploitation familiale, le raisin vert est alors récolté, pressé, et conservé par pasteurisation, il est sans conservateurs ni sulfites. Le verjus « Perle de Raisin » authentique qui en découle se démarque ainsi par sa teneur légèrement moins acide par rapport au citron et plus suave que le vinaigre. Revisiter ses recettes grâce au verjus Bien que tombé dans l’oubli durant un certain temps, le verjus fait aujourd’hui sa réapparition dans vos cuisines. Revisitez ainsi les recettes de vos grand-mères ou vos créations personnelles en les rehaussant de « Perle de Raisin ». Ce condiment acidulé accompagnera élégamment les plats à base de poissons et fruits de mer mais aussi les viandes blanches. Il révèlera le goût des sauces à la crème et sera parfait en déglaçage. Laissez votre créativité s’exprimer, jouez avec les arômes et manipulez les saveurs en les ponctuant de verjus « Perle de Raisin ».Découvrez les idées recette. ...
Ville de tradition, Saint-Chamond se distingue par sa nature environnante préservée, la richesse de sa culture locale et son patrimoine historique et industriel. La commune abrite plusieurs sites et monuments : entre autres, l’Eglise Saint-Pierre datant du XVIIème siècle, les belles maisons bourgeoises d’époque, le parc naturel régional du Pilat… C’est dans ce cadre qu’Alexandre Cipriani a décidé de démarrer un projet de vie : l’ouverture de son propre restaurant, aujourd'hui le siège et le partenaire du club Rotary de la vallée du Gier. Une belle aventure qui débute en 2006 et qu’il vivra aux côtés de son épouse. Ancien point relais de diligence Le Pont Nantin est un restaurant de diligence chargé d’histoire. Celle-ci commence il y a une centaine d’années, à l’époque des échanges commerciaux qui se déroulaient dans la Loire. L’établissement était alors l’un des points relais des diligences s’occupant du transport des produits maraîchers qui descendaient vers le Rhône. Dans l’optique de préserver l’identité des lieux, le couple Cipriani décide de faire de la notion de « diligence » sa marque de fabrique. On y cultive un état d’esprit : être diligent avec les clients et proposer un service rapide et efficace car la maison accueille, en majeure partie, une clientèle d’affaires recherchant la réactivité et très à cheval sur la qualité. Cela tombe bien car au Pont Nantin, les clients sont choyés par un service performant et soigné et dorlotés par une cuisine traditionnelle et généreuse orchestrée par un chef passionné.En sa qualité de Maître Restaurateur, Alexandre Cipriani propose du « fait maison » réalisé avec des produits bruts, de qualité. Vous y dégusterez volontiers un délicieux foie gras de canard ou des viandes grillées (rumsteak, entrecôte, filet de boeuf, bavette…) proposées au menu chaque jour. N’oublions pas les glaces « maison » élaborées avec des produits naturels et se déclinant en de nombreux parfums originaux voire insolites : caramel beurre-salé, foie gras, mojito, rhum raisin… Pour le plaisir des papilles Pour ravir les palais, le restaurant affiche à l’ardoise des plats variés, chaque semaine, composés d’au moins quatre choix d’entrée, quatre choix de plats principaux et quatre choix de desserts. Une manière, également, pour le chef de s’amuser en cuisine et de laisser libre cours à son imagination. Curieux et créatif, il valorise les produits du terroir avec une cuisine moderne et gourmande dont il est le seul à avoir le secret. Toutes les propositions culinaires sont sublimées par une carte des vins qui fait la part belle à la Vallée du Rhône avec quelques références bien connues (Saint-Joseph, Crozes Hermitage …). ...
L’histoire du domaine remonte aux XVIème siècle. Il fut d’abord la propriété de la famille du Comte du Périer de Larsan qui y a véritablement forgé l’histoire du domaine. Puis a ensuite été la propriété de la famille de Montesquiou / David-Weill. La famille FLAGEUL rachète finalement la propriété en 1975 et l’agrandit en même temps. Quasiment historique dans la région, dès 1874, le Guide Féret sur Bordeaux et ses vins consacre déjà le vignoble comme l’un des meilleurs de l’appellation. Les vins du Château Brillette sont reconnus pour leur goût authentique, un mariage de fruits et d’épices. Avec un sol constitué d’un tiers d’argile, de galets et de graviers, le vignoble s’étend en partie sur des parcelles de « graves », spécificités géologiques de la région. En ce qui concerne les cépages, ils sont composés à 60% de Cabernet Sauvignon et le reste de Merlot et de Petit Verdot. Le vignoble n’utilise ni engrais chimique ni insecticides. La pratique de la culture y est raisonnée et manuelle. Le domaine garde un savoir-faire traditionnel héritage de son histoire glorieuse. C’est grâce à cette manière de travailler que depuis 2018, le château a acquis la plus haute labellisation en la matière puisqu’il est certifié HVE-3 (Haute Valeur Environnementale). L’utilisation de produits testés sur les animaux ou qui mettent les animaux en danger y est ainsi proscrite et une partie de la production est même certifiée végan. La vigne fonctionne dans un écosystème privilégié. Avec un climat bordelais océanique porté par l’Atlantique, les raisins obtiennent une belle maturité. L’élevage et les vendanges Les vendanges se font pendant trois semaines, précisément entre le 25 Septembre et le 15 Octobre de l’année. La vinification est toujours traditionnelle, et le vin est très peu travaillé pour lui donner un goût intense naturellement. Ce vin de terroir a une typicité qui se retrouve dans le même type de vin même s’ils changent de directeur ou de Maître de chais. Sur le domaine, ce sont 15 personnes qui travaillent en permanence et pendant les vendanges, cela peut aller jusqu’à 60 personnes. En ce qui concerne l’élevage, qui se fait en général sur une période de 12 mois, l’équipe fait la récolte, vinifie et procède à la macération post fermentaire. Pendant 10 jours, le vin est extrait, on sépare le marc du jus et tous les vins partent en barrique. Pour ne pas avoir un goût boisé dans le vin, les barriques sont peu chauffées. Le Maître de chais collabore étroitement avec l’œnologue reconnu Eric Boissenot dans l’assemblage de certaines cuvées. Des vins d’exception au cœur de l’appellation Parmi les vins produits sur le domaine qui se démarquent particulièrement, on retrouve la bouteille « Haut Brillette ». Un vin à base dominante de merlot assorti à du Cabernet Sauvignon et de Petit Verdot selon les années. C’est un vin frais et très fruité en bouche. Il est issu principalement de jeunes vignes et met en avant le terroir constitué de graves de Günz et d’argile. Autre vin à découvrir également, le Château Brillette qui jouit d’une palette typée de fruits noirs, d’épices et d’un boisé subtil. Composé de trois cépages, du Cabernet Sauvignon, du Merlot et selon les saisons du Petit Verdot, c’est un vin de couleur noire car les couleurs restent assez longtemps. Au niveau du nez, on ressent une note de fruit, avec un goût particulier mentholé et d’eucalyptus. A la dégustation, il accompagne les viandes, la charcuterie, le fromage ou encore les plats thaïlandais épicés. Les vins du Château Brillette se dégustent au bout de 5 ans et possèdent une bonne garde de 15 à 20 ans. On peut les retrouver sur de grandes tables comme Chez René, Fontaine de Mars, Chez André rue Marbeuf, Stella ou Sebillon. Ils sont aussi présents chez de grands cavistes reconnus comme La Vignery. Le domaine produit plus de 160.000 bouteilles par an principalement destinées au marché local mais aussi exportées vers la Martinique, la Guadeloupe...
Chaque jour, en salle ou en terrasse, ce repaire d’amateurs de grillades ou de cassoulet célèbre dans la bonne humeur l’art de la bonne bouffe où la viande est consacrée reine. Au Chevillard, que la fête commence ! Au menu de ce bistro, des spécialités issus de nos terroirs composés de beaux produits uniquement. Une cuisine traditionnelle mijotée avec amour, faite de passion et revisitée grâce au savoir-faire du chef Olivier Ribourt. À la direction de ce restaurant, Laurent Perris, digne successeur de son beau-père Tony Carmen, qui perpétue cet héritage unique pour le plus grand bonheur de ses clients et des nostalgiques des Halles d’autrefois. D’authentiques produits Bœuf de Simmental, agneau du Lot, viandes de l’Aveyron, canards de la Maison Samaran, charcuteries, saucisses de Toulouse, jambons, boudins, Pata Negra de Bellota Pura de l’artisan-charcutier Garcia, sélection du fromager-affineur de la célèbre Maison Betty à Toulouse. On l’aura compris, Le Chevillard est à la quête de produits d’exception et des meilleures adresses que compte la ville rose. Cet établissement, devenu la cantine de prédilection des Toulousains, propose midi et soir une sélection des meilleurs produits gourmands de nos terroirs. Labellisé « Maitre restaurateur », distinction indépendante et très officielle permettant aux clients de repérer les établissements d’excellence, Le Chevillard rend hommage aux produits nobles, frais et de saison, au manger local privilégiant les circuits courts et surtout à une cuisine du tout fait maison. Une tradition, un esprit, un savoir-faire perpétués maintenant depuis plus de 20 ans par ce restaurant. La viande à l’honneur À la lecture de la carte, les spécialités du chef sont nombreuses. En entrées, la salade de pot-au-feu au gros sel, un des plats signatures de la maison, ouvre l’appétit et semble faire l’unanimité ; ou bien encore les filets de rougets frais à l’huile d’olive ou les sardines marinées aux poivrons rouges feront l’affaire. Parmi les suggestions « canailles du Chevillard » : une poêlée de boudin à l’oignon accompagnée de pommes vapeur ; une cassolette d’andouillette à l’ancienne, dont la cuisson colorée et déglacée au vin blanc avec justesse est servie accompagnée d’une sauce moutarde à l’ancienne, le tout légèrement gratiné. Pour les plats, c’est la viande qui est à l’honneur. La maison Chevillard propose une variété de viandes de qualité gouteuses, persillées, sélectionnées et travaillées avec soin par le chef. Ici, les cuissons sont au charbon de bois. En bouche, la viande au grain fin et à la chair rose offre toute sa jutosité et livre toutes ses saveurs aromatiques. Grillades d’agneau du Lot, pièces de bœuf de Simmental ou de l’Aveyron, abats avec rognons ou pavé de foie de veau au xérès ou au marsala sont proposés pour les amateurs éclairés de bonnes viandes. À découvrir également, dans la catégorie des « gourmandises du Chevillard » des spécialités incontournables propres à Toulouse comme le cassoulet maison aux manchons de canard ou, pour 2 personnes, la côte de bœuf sauce marchand de vin et sel de Guérande : un classique mais un pur régal. Côté desserts, il faut absolument compter sur le fromage du jour sélectionné avec soin par le célébre fromager-affineur Betty. Cet établissement travaille depuis des années en étroite collaboration avec le Chevillard. Également, le vacherin fait maison à base de meringue fourrée de glace masqué de crème chantilly accompagné, suivant l’humeur du chef, de fruits confits et d’un coulis de framboise ou de fraise est un choix judicieux pour finir sur une note sucrée. Outre la carte, l’établissement propose deux formules. Un menu à 24 € avec entrée, plat et dessert ou une formule du midi à 15 € avec un plat et une entrée ou un dessert. Des formules simples, abordables et de qualité, qui font tout le succès de cette brasserie devenue l’adresse incontournable sur Toulouse pour déjeuner ou diner entre amis en toute convivialit&ea...
Allant du quinoa d’Inde au coco des Philippines, en passant par le baobab du Sénégal, chaque filière est ici gérée suivant une politique humaniste veillant à assurer une juste répartition des bénéfices des activités commerciales. Dans cette gamme bio, la poudre de baobab fait figure de fleuron de par son caractère emblématique et ses nombreux bienfaits. Consommée quotidiennement, cette poudre garantit force et vitalité de par les nombreux éléments nutritifs qu’elle contient. La poudre de baobab : un pré-biotique naturel Symbole majestueux d’Afrique, le baobab dans son intégralité est, depuis des siècles, utilisé au Sénégal à des fins alimentaires ou médicinales. Le fruit de baobab, duquel est tirée ladite poudre, contient, par exemple, du potassium, du manganèse, du calcium, de la vitamine C ainsi que des antioxydants. « Également riche en fibres solubles, cette poudre est un probiotique permettant de nourrir la flore bactérienne intestinale », nous explique Pierre-Alexandre Huber, fondateur de la marque. Ce dernier de rajouter : « Le transit intestinal et le système digestif dans son ensemble sont ainsi améliorés. » Le baobab : une filière équitable Grâce à un partenariat durable avec un fournisseur sénégalais, Ecoidées figure parmi les précurseurs du commerce équitable et durable. La filière éthique du baobab au Sénégal trouve sa raison d’être dans une action inscrite dans le développement social et économique des populations locales, notamment des familles impliquées dans le processus de production de la poudre de baobab. Les hommes et les femmes impliqués dans la collecte et la transformation du baobab et qui travaillent dans différents villages au Sénégal bénéficient des actions sociales sur le terrain et des retombées du commerce de cette ressource naturelle. ...
L’histoire du lien qui unit le Château La Dauphine et le Château de Versailles remonte au 17e siècle. En 1634, le Cardinal de Richelieu fait l’acquisition du duché de Fronsac. Puis, en 1750, la Dauphine de France (épouse du fils héritier de Louis XV) lui donne son titre de noblesse suite à son séjour à la propriété. Depuis cette époque, ces deux châteaux possèdent un lien très fort. Un vin complexe apprécié pour ses « vertus thérapeutiques » Depuis le 17e siècle, le Château de La Dauphine est l’une des boissons les plus appréciées des convives du Château de Versailles. À noter : certains courriers de l’époque évoquent même le fait que ce vin pourrait calmer les maux d’estomac. Pour obtenir ce nectar savoureux, le domaine revendique une véritable philosophie environnementale et s’emploie à moderniser sans cesse son processus de vinification. Preuve en est avec sa conversion à l’Agriculture biologique découlant sur l’obtention de la certification AB en 2015 et des labels HVE 3 et SME en 2018. ...
Véritable invitation à la détente et au repos, l’enseigne attire la sympathie par son ambiance intimiste et chaleureuse, que l’on prend plaisir à savourer et qui procure de purs moments de bien-être. La Butte s’inspire de son environnement naturel et renvoie à l’image de la côte et de tout le littoral pour donner un cadre contemporain avec des dominantes de beige et de gris. À travers une cuisine particulièrement lisible et authentique, où les produits du terroir sont essentiellement à l’honneur, on s’y rend pour le plaisir de (re)découvrir ou retrouver des plats aux goûts très francs, avec d’agréables et incroyables explosions en bouche. Un repas savoureux Ne passez pas à côté de son homard poché, poêlé au beurre noisette et cru à cœur, qui garde vraiment sa saveur, servi avec des asperges ou des légumes du moment, ou tout autre accompagnement selon la saison. Poursuivez l’aventure avec son délicieux ormeau poêlé au beurre, accompagné de vermicelles et de jus de volaille sur un lit d’algues rouges (Dulse). Finissez en beauté avec son Mingaux à base de gros lait fermier, une spécialité bretonne qui ne manquera pas de vous plaire. La Table de La Butte, c’est aussi, une très belle carte de vins riche de près de 350 références, avec de très bons Bordeaux et des cuvées exceptionnelles de la maison Trimbach par exemple. Quel que soit le vin choisi, la satisfaction et le plaisir seront toujours au rendez-vous. ...
2014 est une année riche en émotions pour ChampikaWijesekera et Fanny Jospeh. Le couple ouvre son premier restaurant, qu’il décide de nommer Merci Bernard, en référence à unprivatejoke entre la propriétaire et sa meilleure amie. Une déco conviviale et sans chichis Dès l’extérieur, l’établissement appelle à la convivialité. On ne s’imagine pas que derrière ce bâtiment à la façade noir et blanc, au logo visuellement graphique et contemporain, se cache un excellent restaurant. Une fois que vous pénétrez dans la salle, vous êtes touché par toute la simplicité et l’esprit cosy qui s’en dégagent. Les tables sont entourées de chaises rouges apportant de la dynamique à la décoration. Merci Bernardprône une cuisine dite urbaine.Les produits du terroir garnissent les assiettes copieuses concoctées par le chef ChampikaWijesekera. Justement, parlons-en de ce passionné des fourneaux originaire du Sri Lanka. Après avoir forgé ses armes pendant près de 17 ans dans de nombreux restaurants parisiens,ChampikaWijesekerafinit par voler de ses propres ailes, en ouvrant son restaurant à Carquefou, petite commune tranquille située au nord-est de Nantes. Son épouse Fanny Jospeh l’épaulera dans cette belle expérience. Le rendez-vous des gourmands La maison propose une carte riche et gourmande aux saveurs du monde. En entrée, l’honneur est bien évidemment donné au Sri Lanka avec les rolls présentés sous forme de rouleaux de pommes de terre et garnis de poireaux et de thon. Envie plutôt d’une escapade en Espagne ? La quesadilla n’attend plus que d’être dégustée. Elle est délicieusement constituée de tortilla de blé, de guacamole, de cheddar fondu et de salade. Pas de panique. Merci Bernard n’a pas oublié ceux qui désirent manger « léger ». Le chef a prévu une sélection de salades intitulées Popeye, Chèvre, Caesar ou Bernard. En plat de résistance, place à des mets plus consistants à l’instar des incontournables burgers qui sont des ambassadeurs de cette cuisine urbaine que veut promouvoir le restaurant. Plusieurs déclinaisons sont proposées : Montagne, Anglais, Veggie, Seguin, Classique… En outre, la maison sert des fajitas ou encore des travers de porc à la sauce barbecue. Et pour terminer en beauté ce voyage culinaire, les classiques cheese cake et brownie feront le bonheur de tous. Tous les jours, la maison sert aussi des plats et des desserts classiques mais qui varient quotidiennement : de quoi permettre aux clients de découvrir à chaque fois de nouvelles saveurs. Outre cette carte, quatre menussont disponibles : à 8 € (enfant), à 11,50 € (formule midi), à 14,90€ (formule Bernard) et à 17 € (formule Grand Bernard). Le menu Bernard est notamment constitué d’un burger ou d’un plat ou d’une salade, avec un dessert ou une entrée. Les producteurs locaux à l’honneur Bien qu’il soit assez jeune, puisqu’il a été lancé en 2014, le restaurant Merci Bernard a déjà réussi à se construire une solide réputation grâce à la fraicheur et à la qualité de ses plats. Il faut dire que l’établissement travaille énormément avec des producteurs locaux.Boucher, boulanger, fromager, maraicher… tous les fournisseurs sont basés à Carquefou ou dans ses environs. Même pour le choix des vins, Fanny Jospehet ChampikaWijesekerafont confiance à un caviste sis à Nort-sur-Erdre. Celui-ci se charge de sélectionner les meilleures appellations en accord avec les plats servis au sein du restaurant. Les vignerons de Carquefou sont privilégiés. ...
Faire plaisir, il n’en faut pas beaucoup plus pour faire le bonheur de ces deux épicuriens. Riches de leurs expériences passées et animés par une passion effrénée pour leur métier, Sébastien Riou et Catell Kergadallan peuvent se targuer d’offrir l’une des tables les plus réputées de Périgueux. A l’honneur : une cuisine gastronomique, gourmande et maîtrisée à travers laquelle vous vous laisserez surprendre par la créativité débordante du chef. Chaque plat raconte une histoire : celle d’une originale association de saveurs et produits triés sur le volet auprès de producteurs locaux. Un concept unique Ayant passé son enfance en Lorraine, Sébastien Riou fait ses classes dans de prestigieux établissements notamment à Carantec auprès du chef doublement étoilé Patrick Jeffroy ou encore à Valence chez Anne-Sophie Pic détentrice de trois macarons au Guide Michelin. Chez l’un, Sébastien s’initie à la sélection rigoureuse des produits, chez l’autre, il apprend à mettre en avant rigueur et inventivité. Grâce à ses talents, il décroche un poste important à Puylaurens au Cap du Castel dont il devient le chef de cuisine. Voulant s’épanouir davantage en ayant la liberté de faire sa propre cuisine, le chef décide d’ouvrir son établissement. Il vivra cette aventure avec sa compagne Catell Kergadallan, pour qui l’univers de la cuisine n’a plus aucun secret. Ayant grandi dans une famille de maraîchers, elle est très tôt initiée au goût des bons produits. Son parcours au sein des grandes maisons comme les Relais & Châteaux des Côtes Finistériennes ou encore chez Michel Chabran à Pont de l’Isère (26) l’a aidé à acquérir une importante expérience qu’elle met désormais à profit au Parfum de Gourmandise où elle assure l’accueil et le service. Au rythme des saisons, ce restaurant désormais incontournable à Périgueux s’est lancé dans le concept de menu unique. L’idée est de vous faire découvrir des produits nouveaux qui n’auront probablement pas attiré votre attention dans un autre contexte. Laissez-vous guider par le prodigieux talent du chef en cuisine et appréciez l’expérience. Une rigoureuse sélection de produits auprès de producteurs locaux Ce menu unique est à la base constitué de quatre plats à savoir deux petites entrées, un plat et un dessert. Toutefois, il est possible d’aller jusqu’ à cinq voire sept services pour ainsi goûter à toutes les propositions suggérées par la maison. La cuisine personnelle inspirée de l’enfance du chef promet de surprendre vos papilles. L’un des ingrédients pique votre curiosité ? Catell vous donne de plus amples explications et va même aller le chercher en cuisine pour vous le montrer. Ce moment d’échange contribue à amplifier votre expérience Au Parfum de Gourmandise. La création des menus s’effectue en fonction des produits disponibles chez les éleveurs et agriculteurs locaux. « Tout est réfléchi d’avance. Deux à trois mois à l’avance, on fait un point avec nos maraîchers pour savoir ce qu’ils vont pouvoir nous offrir d’ici quelques mois. C’est de là que naissent les idées du chef » raconte Catell. D’ailleurs, en consultant la carte, la liste de producteurs qui ont aidé le chef à monter son menu est affichée. Une manière de rendre hommage au fabuleux travail de ces professionnels. Quand la simplicité côtoie le raffinement Le décor mise sur la simplicité et le raffinement. Rien de trop guindé. La salle révèle un style sobre avec une prépondérance de couleur claire pour conférer plus de luminosité. La cheminée en pierre donne un côté rétro-chic tandis que les poutres apparentes procurent une ambiance plus traditionnelle. Les luminaires judicieusement agencées donnent du charme à l’ensemble sans oublier l’art de table, avec des assiettes notamment dénichées chez la céramiste du coin. En tout, le restaurant possède 16 couverts répartis sur 6 tables. Pour être sûr d’y avoir ses entrées, il est donc plus sage de r...
« Privilégier l’agriculture locale et travailler en direct avec les producteurs », tel est le credo de Mon-panier-de-campagne.fr, projet à l’initiative de Nathalie Bottan, qui, souhaitant privilégier la nourriture locale dans son alimentation, a décidé de collaborer avec de petits producteurs de la région toulousaine et permettre ainsi aux locavores comme elle de bénéficier, au quotidien, de produits frais et de saison. Aujourd’hui reprise par Julie Lechat, cette épicerie en ligne de produits locaux, créée en 2010, a su faire de plus en plus d’adeptes au fil des années. Ne se cantonnant pas uniquement à offrir des produits de qualité à ses clients, le site marchand propose un vrai service de proximité. Un panier de courses personnalisable Sur le site Mon-panier-de-campagne.fr, les particuliers font leur choix sur une sélection de produits alimentaires issus de la ferme en composant eux-mêmes leurs paniers. Les laitages, viandes, poissons, fruits et légumes mis à disposition sont fournis directement par de petites exploitations triées sur le volet. Outre la qualité gustative de leurs produits, ces dernières ont été sélectionnées pour leur mode de production artisanale, fermière ou bio, ainsi que leur proximité, c’est-à-dire à Toulouse et ses environs. À travers cette démarche écoresponsable, Mon-panier-de-campagne.fr contribue à valoriser l’économie locale. Des idées de recettes Faciliter la vie grâce à des paniers contenant préalablement tous les aliments nécessaires à un menu hebdomadaire et proposer diverses recettes, c’est la bonne idée qu’a eue ce marché de producteurs en ligne pour une meilleure consommation des aliments qu’il propose. Julie Lechat réfléchit elle-même à des menus journaliers en se basant sur la sélection de produits à suggérer aux consommateurs. De l’entrée au dessert, tout est pensé pour aider ceux-ci à mieux consommer les bons produits de la ferme et pour maximum 5 euros par repas complet et par personne. Mais privilégiant toujours les goûts du consommateur, Mon-panier-de-campagne.fr leur offre la possibilité de supprimer ou d’ajouter des articles sur ces paniers-là. Une logistique bien pensée En optant pour le circuit court comme mode de distribution, Mon-panier-de-campagne.fr use d’une livraison assurant la bonne conservation des produits commandés. « Les clients passent commande le week-end et jusqu’au lundi 14 h pour une livraison en fin de semaine », nous fait savoir Julie Lechat. « Les commandes sont préparées le lendemain et livrées à domicile le jeudi ou le vendredi suivants », continue-t-elle en nous expliquant le fonctionnement de son service. Par ailleurs, le site assure le respect de la chaîne du froid en maintenant les commandes acheminées dans un camion frigorifique. Et pour l’emballage de ses paniers écoresponsables, Mon-panier-de-campagne.fr opte pour des sacs en cabas réutilisables limitant l’impact environnemental. ...
À travers des produits de qualité qui mettent à l’honneur le savoir-faire de petits producteurs, Made in France Box reflète, dans les moindres détails, toute l’authenticité de la cuisine française. Ce concept innovant a vite fait de faire parler de lui avec, comme principe, de dénicher à la source le meilleur du terroir et le faire découvrir au plus grand nombre. Le meilleur du terroir livré chez vous Présentée dans un package de carton luisant, simple à offrir et peu encombrant, une box contient huit variétés de produits d’une région qui peuvent varier selon la disponibilité. Le pack renferme, notamment, un livret justifiant du choix de la sélection avec une présentation de chaque produit et l’histoire de chaque producteur ainsi que des idées de recettes exclusives. Parmi les box les plus prisées, figurent les box à fort terroir, comme le confit d’oignon rose au miel et chouchen de la box Bretagne ou aussi le caramel de pommes dieppois au beurre salé de Jean-Pierre Roussel, qui est l'un des produits de la box Normandie. Un mois, une région Made in France Box porte haut le flambeau de la cuisine française et permet de découvrir et de retrouver des saveurs longtemps oubliées qui mettent chaque mois l’accent sur une région différente. Recevoir régulièrement chez soi d’authentiques produits du terroir n’est pas un luxe réservé à une clientèle restreinte. Aujourd’hui, chacun a la possibilité d’accéder au produit à peu près partout dans le monde. Grâce à un simple abonnement sur le site, la France vient à vous le plus simplement du monde, dans votre boîte aux lettres comme une lettre à la poste. ...
Entre les Brocard et les vins se cachent une véritable histoire d’amour. La grande aventure familiale a commencé en 1973, lorsque Jean-Marc Brocard rencontre son épouse, descendante d’une lignée séculaire de vignerons de Saint-Bris-le-Vineux qui partage avec lui une passion effrénée pour le vin. Le destin de Jean-Marc change radicalement lorsqu’il se rapproche de Louis Petit, un grand virtuose des vins qui l’initie dans l’art de manipuler la vigne comme il se doit, avec patience et respect. Ainsi motivé, Jean-Marc Brocard devient viticulteur et installe son domaine au cœur du vignoble, à Préhy (Yonne). Son fils Julien, ayant grandi au rythme de la vigne, se laisse séduire par le métier de vigneron à partir de 1995. Ce dernier étant passionné par la biodynamie, il décide d’insuffler un nouvel élan à la production en misant sur un mode cultural qui respecte la Nature. Le terroir de prédilection du chardonnay La maison Brocard a choisi de travailler en monocépage. L’heureux élu est le chardonnay, une variété tout à fait caractéristique de l’appellation Chablis. Aujourd’hui, ce cépage règne en maitre absolu sur 200 ha de sol argilo-calcaire. À noter que le chablis est un vignoble de bassin sédimentaire, c’est-à-dire une terre riche en matières et dont le sous-sol est constitué du fameux kimméridgien. Cet étage géologique datant du Jurassique supérieur est notamment composé de couches de marnes et de calcaires qui forgent tout le caractère des vins chablisiens. Ainsi, le chablis fait partie des rares vignobles d’appellation à pouvoir vanter expressément son identité géologique. Et pour les Brocard, se trouver sur un tel terroir ne peut être qu’une fierté. Qui dit « terroir exceptionnel » dit « traitement exceptionnel ». Julien Brocard insiste sur la contribution de l’agriculture biologique et de la biodynamie dans la qualité de ses vins : « Ces méthodes culturales nous conduisent à pratiquer une vinification naturelle. Ainsi, nous n’utilisons que des levures indigènes et laissons place à une fermentation spontanée pour obtenir des vins d’une harmonie optimale. » Les ambassadeurs de la maison Précision, force et fraicheur… Ces trois mots résument le style de production de la maison. Soit, tout ce que représente la cuvée « Sainte Claire ». Au-delà de ses arômes et de ses notes fraiches, caractéristiques du terroir, ce vin raconte une histoire. Son nom rend hommage à l’église voisine du domaine, autour de laquelle se sont enracinées les premières vignes de Jean-Marc Brocard. La cuvée « Montée de Tonnerre » quant à elle, est un emblème par excellence de l’AOC Chablis. « C’est un Premier Cru qui nous tient particulièrement à cœur et qui, d’autant plus, est très apprécié des amateurs de chablis », déclare fièrement notre interlocuteur. Idéal pour une longue garde, le vin en question séduit par ses arômes d’agrumes légèrement épicés et ses délicieuses notes toastées. Enfin, il est impératif de faire mention de « La Boissonneuse », le premier chablis conduit en biodynamie. Cette cuvée symbolise 20 ans de travaux acharnés dans le respect de l’environnement. « Des pratiques culturales entièrement saines qui vont vitaliser la terre et la vigne, afin de donner naissance à un vin naturellement exquis. » Découvrir le domaine Le cadre a tout pour plaire : un domaine, des vignes et une église du XVe siècle qui offre un beau panorama sur l’ensemble du vignoble chablisien. Quand des visiteurs viennent au domaine, les Brocard et leur équipe professionnelle se font un plaisir de les accueillir le temps d’une halte œnotouristique. Au programme : tour du vignoble à pied ou en gyropode, dégustation et déjeuner au domaine… Les œnophiles peuvent également acquérir quelques produits dans les boutiques de vente. Par ailleurs, une salle de réception est mise à disposition des clients désireux de fêter une occasion spéciale dans l’ambiance chablisienne. Les prof...
La Font des Pères produit des vins AOC Bandol, IGP Mont-Caume et Côtes-de-Provence. Des élixirs qui ont la particularité d’être à la fois fins et complexes, dotés d’une belle ampleur et d’une grande fraicheur. Un terroir unique Dans ce vignoble se trouvant à quelques kilomètres des côtes méditerranéennes, les vignes sont implantées sur une colline taillée en restanque. Jouissant d’une exposition nord, celles-ci s’épanouissent sur un sol caillouteux, tout en bénéficiant de l’influence de la mer. Ici, le mourvèdre, cépage rouge typique des bords de la Méditerranée, règne en maitre absolu. « C’est un cépage qui murit assez tard. En combinant richesse et puissance, il procure au vin un relief aromatique unique », souligne Philipe Chauvin, le propriétaire actuel. Le reste de l’encépagement se compose de grenache, de cinsault, de carignan, de clairette, de bourboulenc, de rolle et d’ugni blanc. L’excellence comme leitmotiv Le domaine privilégie les vendanges manuelles dans la mesure où elles permettent de trier les raisins au niveau de chaque parcelle. « Afin d’assurer une qualité optimale, il nous arrive de vendanger une seconde fois avec quelques jours d’intervalle », nous confie-t-on. Côté vinification, les rouges, issus des plus vieilles vignes du domaine, subissent une longue macération avant d’être élevés 18 mois en foudre, en demi-muid ou en barrique d’au moins deux vins. Au niveau des blancs, ceux-ci font l’objet d’une macération pelliculaire à froid, afin d’extraire le maximum d’arômes. Un élevage sur lies est ensuite réalisé pour apporter davantage de structure et de rondeur. Quant aux rosés, les raisins ayant servi à leur élaboration ont été refroidis dans une chambre froide juste après la récolte. L’objectif de cette opération est de préserver les arômes. Les spécialités de la maison La Font des Pères propose au total 7 cuvées différentes. Parmi ses spécialités, les vins de Bandol font particulièrement la fierté du domaine. De l’aveu même du propriétaire : « Bien qu’il s’agisse d’une petite appellation, sa renommée est incontestable. » Issu de l’assemblage de mourvèdre, de grenache et de cinsault, le rosé La Font des Pères 2017 dévoile des notes de buis, de fleurs, d’agrumes, tout en présentant une jolie trame minérale. Pour le blanc La Font des Pères 2017, celui-ci est obtenu à partir de 55,4 % de clairette, 39 % de bourboulenc et 5,6 % de vermentino. Le nez s’ouvre progressivement, avec finesse, sur une trame florale associée à des notes d’aubépine et de fruits blancs. Enfin, le rouge est issu à 90 % de mourvèdre et à 10 % de grenache. En bouche, ce vin est suave, équilibré, mêlant la fraicheur exprimée par les notes de rose et de mentholé à une finale structurée, avec des tanins enrobés, à la tonalité café, chocolat et pain grillé. ...
A quelques encablures du Lac Léman et non loin du Palais des Congrès, le restaurant Entre Nous est l’étape gastronomique incontournable à Evian-les-Bains. Dans cet établissement chaleureux, les clients ne manquent pas de témoigner d'une bistronomie originale pour cette belle table qui allie service décomplexé et agréable cuisine.Terroir, élégance et créativité sont trois termes qui décrivent parfaitement le talent de la maison. Une cuisine du terroir Passionnés par l'art culinaire, les Bernis ont développé un lieu de rencontre authentique autour de bons plats. Le restaurant utilise des produits locaux de saison, frais et sains. La cuisine ici valorise le terroir savoyard avec des poissons du lac Léman et les condiments de la Haute-Savoie. De l'entrée au dessert, tout est fait maison. Pour cette adresse qui ne dispose que de 50 couverts, la carte est bien évidemment courte. Un fait apprécié par la clientèle, avec des plats qui changent en fonction des saisons. En guise d’entrée, le restaurant propose de grands classiques à l'instar du tartare de féra. La féra est un poisson très prisé du lac Léman. Après avoir badigeonné d'huile d'olive la chair de la féra découpée en petits dés, il y ajoute de fines herbes, du jus de citron et de la vinaigrette. Une entrée simple et légère, relevée par un parfum d’aneth et de cerfeuil. Comme plat principal, le cœur de rumsteak. Plat traditionnel, il est orchestré à base de fromage d’abondance fondu dans du vin blanc, avec un accompagnement d’un écrasé de pommes de terre et d’herbes. Autre plat signature, la côte de bœuf au four. Pour élaborer ce plat, la viande est grillée de chaque côté dans une poêle, de façon à lui donner une coloration joyeuse à l’œil en plus de son gout de fumé. La côte de bœuf est par la suite enfournée à très haute température, pour être servie accompagnée d’une sauce au foie gras et aux morilles. Le généreux assaisonnement au sel et au poivre rehausse les senteurs épicées de ce plat. En dessert, crème brûlée à base de jaune d'œuf, sucre en poudre, d’une décoction de thé vert et feuilles de menthe fraîche. Le tout est battu au fouet afin d'obtenir un mélange homogène. Une fois la crème blanchâtre refroidie, elle est caramélisée à chaud. Le procédé confère une sensation de fraîcheur aux papilles. En somme, Sophie et Marc cuisinent des plats à la manière « Entre Nous », à travers une cuisine minutieuse qui marie admirablement recettes classiques et originalité. L’harmonie mets-vins La carte des vins est aussi courte que celle des plats, avec quelques bouteilles servies au verre. Celles-ci mettent remarquablement en valeur le terroir savoyard. Sophie Bernis a vite fait de comprendre que l'expression « Le client est roi », signifie non seulement repas succulents, mais aussi accord parfait mets-vins. En accompagnement des magnifiques dressages en assiette de la maison, des vins comme l’AOC Roussette Cru Marestel Tradition du Domaine Barlet. Ce vin blanc à la robe jaune or se marie parfaitement avec le tartare de féra. Il est doté d’un nez fruité exotique, mais aussi d’une bouche riche et moelleuse. Comme accompagnement pour le cœur de rumsteak, l’AOC Mondeuse d’Arbin Graine de Terroir du Domaine Perrier. Un rouge à la robe pourpre intense et équilibrée sur des tanins fruités, poivrés et vanillés. Sa bouche complexe révèle des notes réglisses du court passage en fut de chêne ...
Avec ses magnifiques poutres bicentenaires, sa salle de 180 m2, ses tables grandement espacées et ses 12 m sous plafond, cette magnifique grange au nom évocateur séduit par sa cheminée centrale. Telle une capsule dans le temps, elle abrite par ailleurs un petit coin de paradis d’une autre époque, tant au niveau du luxe que celui du décor. Dans une ambiance chaleureuse et romantique où le temps date d’une autre époque, La Grange aux dîmes propose une cuisine moderne au gout du jour, tout le temps revisitée… Une cuisine gastronomique plus que traditionnelle, où de petites notes exotiques s’ajoutent au terroir français. Souhaitant être le plus proche possible des producteurs, l’enseigne aime travailler frais et acheter local, en sélectionnant des matières premières de qualité, tout en essayant vraiment de chercher le côté original des produits. Un menu unique, clin d’œil aux produits locaux Découvrez son menu à 38 € du midi et du soir, composé de 2 entrées, 2 plats et 2 desserts au choix. À goûter absolument, ses Coquilles Saint-Jacques au panais et jus de barbe poêlées juste comme il faut pour en faire ressortir le gout, son délicieux Filet de Bavière au caviar de courgettes et aux pommes fondantes, préparé avec de la viande de Bavière maturée pendant plusieurs semaines, son Croquant de noisettes à la mousse de châtaignes et petites meringuettes ou son dessert tout chocolat aux kumquats confits. Une mention particulière également pour la cuisson toujours parfaite et à la nacre du chef pour le Thon saisi et sa variété de choux, une de ses plus belles signatures. Pour accompagner chacun de vos repas, La Grange aux dîmes dispose d’une très belle carte des vins, qui met en avant tant les grandes appellations que les petits propriétaires. Des grands bordeaux aux champagnes, une riche sélection vous attend. Le Domaine Reignard, le Pouilly Fumé La Doucette ou encore la Maison Joseph Drouhin sont quelques références phares proposées par le restaurant. ...
En septembre 2014, Charles Danet et Agnès Peyre ont ouvert le restaurant Le Timbre, situé à proximité du Jardin du Luxembourg et du quartier Montparnasse. Ce restaurant porte bien son nom puisqu’il est agréablement étroit, de la taille d’une salle de séjour. Il peut accueillir jusqu’à 22 personnes. Les tables en bois disposées côte à côte en deux rangées renforcent l’ambiance intimiste et conviviale du lieu. Dans la cuisine ouverte sur la salle, seul le chef Charles Danet s’expose aux regards pour concocter votre repas. Après l’Australie et Bruxelles, il met toute son expérience au service d’une cuisine de bistrot personnelle et innovante. Il excelle dans les méthodes de cuisson, notamment la basse température. Pas de carte, des menus fixes L’établissement propose uniquement des menus fixes, renouvelés toutes les 2 semaines. À midi, vous avez le choix entre le menu à 23 €, composé d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert, et le menu à 28 €, incluant une entrée, un plat et un dessert. Le soir, également 2 formules : à 36 € avec une entrée, un plat et un dessert ou à 45 € avec 2 entrées, un plat et un dessert. Les plats phares, le pigeon désossé cuit à basse température et la poitrine de cochon caramélisée au gingembre, sont plébiscités par les clients. Mais vous pourrez peut-être y déguster un filet de merlu de ligne avec une émulsion à l'ail des ours ou un maquereau mariné, huile d'orange et eau de tomate verte. Tous ces plats sont mariés avec subtilité à des légumes de saison. Vous serez également conquis par les desserts comme les figues rôties servies avec une glace Panettone maison ou le crémeux au chocolat NYANGBO 68% et noisettes du Piémont. Notons également les fantastiques truffes noires du pays de Forcalquier en saison. Une carte des vins composée avec passion Agnès Peyre a mis sa touche personnelle pour composer la carte des vins. Elle offre une sélection de domaines qui mettent en avant le travail de vignerons de petites propriétés, travaillant en agriculture biologique, en biodynamie, ainsi que certains vins « nature ». Vous découvrirez, par exemple, La Roche aux moines de Clément Baraut, des blancs du Jura de Jean-François Ganevat, des bourgognes de Sylvain Pataille et Fanny Sabre, des vins du Basque Imanol Garay ou du Languedocien Romain Portier. Chaque jour, des vins au verre sont suggérés : 3 rouges, 3 blancs et 1 rosé. ...
CAROLEPICELINE a été créée en juillet 2017 sous l’impulsion de Carole Lalay-Martins et de Céline Kissel, deux amies d’enfance tombées amoureuses de Madagascar et de ses richesses naturelles. Aujourd’hui, les deux amies ont à cœur de partager ces trésors naturels, le tout dans une démarche écoresponsable. Respect de l’environnement et de l’humain CAROLEPICELINE, c’est avant tout des épices premium de qualité supérieure, issues d’une agriculture traditionnelle qui respecte l’environnement et en provenance exclusive de l’île de beauté située aux larges de l’océan Indien. « Nos épices sont cultivées sans engrais ni pesticides. Et nous essayons d’accompagner les cultivateurs et les récoltants dans la pérennisation de leurs terres », explique Carole Lalay-Martins, cofondatrice de l’enseigne. Toujours dans cette démarche écoresponsable, l’entreprise fait preuve de rigueur dans le choix de ses fournisseurs et travaille ses packagings afin de limiter ses émissions de CO2. Les produits phares CAROLEPICELINE met à disposition 3 gammes de produits accessibles via sa boutique en ligne : « Épices de Madagascar », « Préparations rhum arrangé » et « Epice ta beauté® ». Parmi les épices proposées, Carole et Céline recommandent tout particulièrement le poivre sauvage voatsiperifery, une épice endémique de l’île à la saveur intense et profonde. Autre produit d’exception : le combava, un petit citron exotique très prisé pour son essence. Ces trésors récoltés dans des régions spécifiques de l’île s’adressent à une cible élargie. « Notre offre se destine au BtoC à travers notre site Internet et la vente de nos produits en boutiques éphémères ou lors d’évènements. Nous avons également une offre dédiée au BtoB par le biais de notre activité Cadeaux d’affaires. Et une autre s’adresse aux professionnels de la restauration avec la vente en vrac », soulignent les co-fondatrices. ...