Dans un environnement fascinant, le Restaurant Hôtel Gavrinis se présente comme un lieu de repos incontournable où l’on peut se ressourcer tout en dégustant les succulents plats concoctés par Christopher Le Coq en collaboration avec le maître des lieux Serge Lignières. Un esprit maison de famille Après sa reprise par Serge et Quyen Lignières en 2004, le Gavrinis affiche un décor allégé. Il se trouve au cœur d’un environnement calme et harmonieux qui vous invite à la détente après une partie de golf dans un des 4 parcours à proximité ou des activités nautiques. Le cadre cosy et raffiné ne fera qu’accentuer le charme de sa cuisine gastronomique. Le décor intérieur de la maison s’inspire de l’environnement du golfe du Morbihan. La grande salle à manger baigne dans la lumière grâce à une ouverture sur la terrasse. La décoration reste dans un style naturel et épuré qui rappelle l’atmosphère bord de mer : galets, corde, raphia… Décidément, un air de vacances plane dans ce joli établissement. Une gastronomie audacieuse Issu de la gastronomie de luxe, Serge Lignières apporte innovation et raffinement à la cuisine traditionnelle bretonne. En cuisine Christopher Le Coq et son équipe misent davantage sur les poissons et fruits de mer. Pour l’étonnement et le plaisir de vos papilles, des saveurs exotiques et mélanges audacieux sont associées pour relever l’authenticité des saveurs locales. Le Chef adapte ses plats aux saisons, les poissons et crustacés sont choisis en fonction de la pêche et la majorité des légumes sont cultivés biologiquement sur Baden. Les saisons, les inspirations et les rencontres orientent l’évolution de la carte du restaurant Gavrinis. La cuisine est « fait-maison », même le pain. Vos papilles se délecteront des plats proposés dans les menus « saison de la truffe », « inspiration terroir », ou encore « esprit d’équipe ». La « Noix de coquille saint jacques tièdes farcie de truffes noir mélanosporum Salade maraichère et heliantis à l’huile de truffe », ou le « FOIE GRAS DE CANARD en terrine fait maison, servi avec un chutney du moment » raviront les gourmets. Ces succulentes suggestions se dégustent dans une ambiance de douceur et de bien-être. En travaillant avec des viticulteurs indépendants et majoritairement bios, la maison offre une sélection de vins de qualité qui s’accordent harmonieusement aux mets. Petit bonus : il vous convie également à choisir un thé issu de la gamme subtile de la Maison des Trois Thés, « le plus grand cave à thés au monde », créé par le maitre Tseng dans le respect ancestrale de la tradition chinoise. Un service attentif et rigoureux En quête permanente de satisfaction pour lui et pour ses convives, Serge Lignières s’est fixé des objectifs de qualité et de rigueur. Cette exigence l’a poussé à confier les fourneaux à Christopher Le Coq pour garantir, finesse, saveurs et régularité des mets servis. Le Chef aime particulièrement approcher ses clients en toute discrétion et convivialité pour leur faire part de sa passion des associations mets et vins étonnantes où le thé peut y trouver sa place très élégamment. Cette rigueur de service est étalée à l’ensemble de l’établissement. Ayant une forte expérience en tant que gouvernante générale auprès de nombreux hôtels de luxe à Paris, la maîtresse des lieux Quyen Lignières utilise aujourd’hui ses compétences pour rendre le Gavrinis accueillant, chaleureux et convivial. Elle s’occupe personnellement de l’accueil et de la gestion de l’hôtel. ...
Depuis ses débuts dans l’univers du vin, Jean-Luc Thunevin a souhaité briser les codes du milieu. Le vin Bad Boy en est un exemple concret. Bad Boy : un vin pas comme les autres La première chose qui interpelle quand on observe la bouteille, c’est son étiquette. Cette dernière reprend les codes qui ont fait la réputation de Jean-Luc Thunevin. Le mouton noir, tout d’abord. Mais aussi la notion de « vin de garage » et enfin, le nom. Jean-Luc Thunevin est, en effet, surnommé le Bad Boy de Saint-Émilion. Créé à partir d’un cépage 100% Merlot, ce vin est élevé en barrique neuve pendant 14 mois. D’après les commentaires de son créateur, le vin Bad Boy est très facile à boire et peut facilement être vieilli pendant quelques années supplémentaires. À cela, il faut rajouter le fait qu’il soit proposé à un excellent rapport qualité/prix et que les différents millésimes sont particulièrement bien notés (entre 86 et 90/100 en moyenne selon les millésimes). ...
Avec son appartenance à l'AOP Languedoc et à l'IGP Cévennes certifiés Demeter et Agriculture Biologique, le vignoble du Mas Costeplane est l'incarnation même de l'excellence viticole en biodynamie. Une viticulture qui est bien plus qu'une simple méthode d'agriculture biologique puisqu’elle vise à travailler en harmonie avec les cycles de la nature, à favoriser la création d'un écosystème afin de régénérer les sols, renforcer la vitalité des vignes pour ne produire que des raisins certes en quantité limitée mais d'une qualité exceptionnelle. En France, moins de 500 domaines viticoles sont sous le label Demeter. Ils appliquent de bonnes pratiques agronomiques qui permettent aux vins d’exprimer pleinement ses qualités et la typicité d’un terroir. Quant au Mas Costeplane, pionnier dans le domaine de la biodynamie, il est à retenir que ses sols n’ont vu aucun pesticide depuis plus de 50 ans. Un gage de qualité qui restitue dans la bouteille tout le reflet du terroir avec pour chaque millésime des raisins sains, récoltés à parfaite maturité tout en évitant intrant ou additif en vinification. Mas Costeplane : terroir d’excellence, respect de la Nature et biodiversité Sur 30 hectares, le mas Costeplane bénéficie d'un terroir d'exception caractérisé par des sols argilo-calcaires entourées de collines où prédominent garrigues, chênes verts, pins, plantes aromatiques et une biodiversité végétale et animale exceptionnelle. Le seul voisin du Mas est la miellerie du Clairan qui se situe à 2 kms environ du domaine. En somme, une véritable terre promise pour ce vigneron car elle lui apporte un terroir équilibré avec des conditions climatiques certes rudes mais idéales pour la culture de la vigne. Le climat avec la proximité de la mer, le soleil méditerranéen souvent torride en été, les vents frais des Cévennes avec une centaine de nuits de gel en hiver confèrent aux raisins et aux cépages cultivés une richesse et une complexité unique. Dans cette perspective, Loïc Manchec en vigneron attentif, véritable gardien de la terre prend en compte l'ensemble de son environnement, des insectes aux oiseaux qui survolent les vignes aux micro-organismes foisonnant dans le sol. Ici, au Mas Costeplane, chaque élément de cet écosystème est considéré comme essentiel pour maintenir l'équilibre et la vitalité de la vigne où 7 cépages sont cultivés afin de donner des vins authentiques au véritable reflet du terroir. Richesse des cépages pour des vins blancs authentiques… Pour les blancs, le Vermentino, le Grenache blanc et le Chardonnay sont à l'honneur. En ce qui concerne le Vermentino, ce cépage nécessite un climat chaud et sa culture ne peut se faire que sur des parcelles bien exposées au soleil. Pioch de l’Oule 2020 en blanc en AOP Languedoc (15 €), vinifié, assemblé avec le Grenache blanc et le vermentino donne un vin blanc aromatique avec au nez des senteurs d’herbes sauvages, de fenouil, de zestes de citron vert, de citronnelle et de fruits à chair blanche. En bouche, il révèle une belle fraîcheur avec une longueur, une ampleur et un léger piquant herbacé. D’une couleur « paille brillante » aux reflets verts, ce vin a reçu la note de 90/100 au Blind Tasted de Andreas Larsson, meilleur sommelier au monde et fervent défenseur de de la dégustation à l’aveugle. Une véritable récompense pour Mas Costeplane puisque le succès est également au rendez-vous avec une production en vin blanc notamment pour la cuvée Vermentino 2022 blanc en IGP Cévennes (7,80 €) en rupture chaque année dès la fin juin. Un vin à la robe d'une pureté cristalline aux reflets verdoyants et au bouquet d’agrumes, de fleurs blanches avec en bouche une rondeur et une finale légèrement saline. En somme, toute l’expression magistrale de ce cépage qu’est le Vermentino que l'on retrouve dans les vins du domaine Costeplane. Pour les amateurs de chardonnay, cépage de raisin blanc originaire de la Bourgogne, on le retrouve également au Mas Costeplane dans une production assez confidentielle limitée à 30 Hl/ha pour ne conserver uniquement que le meilleur. Résultat, u...
Bienvenue dans un univers magique ! Un majestueux palais fleurant bon la cuisine d’exception. Là où l’art, dans toute sa splendeur, règne en maître, les chefs-d’œuvre architecturaux contrastant élégamment avec une décoration contemporaine aiguisent l’appétit des hôtes friands de délices. Exaltation des sens et succulences raffinées viennent embellir ce lieu dédié à la perfection. Une cuisine expressive et prestigieuse Un déjeuner ou un plat à la carte, la cuisine délectable du Pré Catelan Lenôtre s’apprécie sans modération. Ici, la haute gastronomie se conjugue avec des produits maniés avec délicatesse et savamment révélés par une équipe passionnée et maîtrisant l’art de l’effluve culinaire. Allant du ris de veau, au goût flatteur, à la langoustine, audacieuse et succulente, chaque plat est une invitation à l’extase gustative. L’essence des assiettes revêt la forme d’une mosaïque de saveurs excitant les papilles. Idéalement accompagné d’un spiritueux d’une prestigieuse cave à vins et à champagnes aux mille références, chaque menu s’en trouve sublimé. Christelle Brua, pâtissière de renom et ambassadrice de l’excellence gastronomique au féminin, vient magnifier les assiettes de délices sucrés élaborés avec créativité et raffinement, à l’image d’un paris-brest onctueusement préparé pour illustrer l’élégance. Cette table prestigieuse, fière de sa réputation forgée sur plus d’un siècle au service de l’excellence, est l’expression même de la quintessence gastronomique. ...
Discrètement blotti dans un parc arboré et bordé d’oliviers, ce restaurant fait la part belle à l’élégance, aussi bien dans l’assiette qu’au niveau du décor. Pour atteindre la salle, il faut déjà traverser cet espace verdoyant qui apporte tout son charme à l’établissement. Quand le temps n’est pas capricieux, vous pouvez vous installer sur la terrasse ombragée, qui focalise irrémédiablement l’attention avec ses couleurs vives et gaies et d’où vous pouvez admirer le paysage. N’hésitez pas à investir la salle si vous cherchez plus d’intimité. L’intérieur plait pour son décor raffiné, sans tomber dans le pompeux. Patricia et Sébastien Lucet, propriétaires des lieux, ont voulu recréer une ambiance chic, conviviale et apaisante, sur fond de modernité. Les couleurs claires qui habillent la salle apportent un vent de sérénité. Jeunesse et dynamisme L’histoire de l’Auberge des enclos est étroitement liée à celle des débuts de Sébastien Lucet. Durant ses études, il travaille déjà pour l’établissement durant les weekends, afin de perfectionner ses acquis dans le milieu de la gastronomie. Son diplôme en poche, il décide de changer d’horizon et met le cap sur la Grande-Bretagne, où il exerce au sein d’un restaurant traditionnel anglais. Il va ensuite rejoindre le groupe Bocuse pendant un an, à Orlando, en Floride. Pour ce globe-trotter, le moment est venu de rentrer au bercail. Avec son épouse, il rachète en 2013 ce restaurant dans lequel il a fait ses débuts il y a plusieurs années. Un rêve d’enfant se réalise. Le chef est désormais libre de proposer sa propre cuisine, qu’il veut raffinée, actuelle et savoureuse. Il vivra cette passion aux côtés de Patricia Lucet. Diplômée de l’institut culinaire de Mexico, elle se rend plus tard en Floride pour travailler au sein d’un groupe américain. C’est là-bas que les deux amoureux se rencontrent. Pour faire tourner leur nouvelle affaire, ils s’entourent d’une équipe de jeunes professionnels dynamiques, qui les suivent depuis maintenant deux ans et demi. Le chef déclare avec fierté que « c'est grâce à eux qu'on a fait tout ce chemin ». Un mix entre tradition et modernité Les gastronomes avertis seront heureux de savoir que la carte raffinée de l’établissement ne se réduit pas uniquement aux spécialités régionales. La maison propose une cuisine moderne mais n’en n’oublie pas moins les produits du terroir acquis auprès de certains producteurs locaux. Trois types de menus sont proposés : menu escapade à 28 €, menu détente à 39 € et menu gastronomique à 55 €. Ce dernier vous entraine vers un pur moment de plaisir. En entrée, vous vous laisserez tenter par l’escalope de foie gras poêlée aux pommes. En plat principal, le tournedos de bœuf « sélection plus » grosse frite de polenta et petits légumes n’attend plus qu’à être dégusté. Pour achever ce mélodieux repas, choisissez le banofee pie, qui est une mousse légère de lait, servie sur son émincé de banane et spéculoos. Un environnement riche et préservé L’Auberge des enclos a la chance de bénéficier d’une excellente localisation. Nichée en plein cœur d’un décor de vignoble et de garrigue, elle se trouve au sud de la zone frontalière, entre l’Ardèche et le Gard. La petite commune constituée de nombreux hameaux est connue pour son passé lié à l’extraction du charbon, la culture de la châtaigne et celle des vers à soie. La région possède de nombreuses richesses naturelles qui méritent le détour, à l’instar de la célèbre grotte de la Cocalière, qui fait partie des trois plus belles grottes de France et qui se trouve à moins d’un kilomètre de la commune de Saint-Paul-le-Jeune. ...
La propriété familiale existe depuis 5 générations. En 2015, Laurent reprend les rênes avec l’objectif de « réaliser les plus grands vins possibles », nous confie-t-il. Le vigneron profite de la localisation géographique privilégiée de son terroir pour signer des Grands Crus d’exception issus de l’appellation Gevrey-Chambertin et des cuvées de finesse et d’élégance de l’appellation Bourgogne. Le vignoble se trouve effectivement au cœur des Côtes de Nuits, sur les hauteurs du village de Gevrey-Chambertin et s’étend sur une superficie de 6,5 hectares. Ces hauts-lieux bourguignons sont classés au patrimoine mondial de l’UNESCO, ce qui constitue une preuve irréfutable de leur richesse et de leur singularité. Un vigneron responsable et passionné Dans son travail, Laurent s’évertue toujours à prendre en considération l’héritage à laisser aux générations futures. C’est pourquoi le domaine opère dans le strict respect de l’environnement. L’adoption d’une démarche raisonnée dans la gestion des vignes est antérieure à l’obtention de la certification Haute Valeur Environnementale niveau 3 (HVE 3). Depuis toujours, la maison exploite ses terres dans un souci d’instaurer l’harmonie entre l’homme et la nature. Elle a aussi fait le choix d’opter pour des rendements faibles dans une volonté d’obtenir des vins plus concentrés capables d’exprimer la quintessence de leur terroir. Les récoltes s’effectuent à maturité optimale. « Nous attendons notamment que les raisins atteignent un niveau de sucre adapté afin d’arriver à un meilleur équilibre possible », explique le vigneron. Des vins de parfums et de matières À l’issue des vendanges manuelles, le pinot noir, le chardonnay et l’aligoté subissent un processus de vinification en cuve inox d’une durée de 15 jours puis un élevage en fûts de chêne entre 12 et 18 mois en fonction des appellations travaillées. De ces méthodes prônant un savoir-faire séculaire naissent des cuvées authentiques et généreuses qui tiennent toutes leurs promesses. Parmi les best-sellers de la maison figurent les cuvées Les Carougeots et Vieilles Vignes, du 100 % pinot noir qui se veut charmeur et expressif. ...
La marque Batisse Lancelot a été lancée dans les années 1970 au temps des parents de Guillaume Batisse, première génération de la famille à travailler les vignes et à élaborer du champagne. Les cuvées phares En quatre générations, la maison a su se démarquer à travers des cuvées comme « Prestige » et « Brut Rosé ». Tandis que l’une révèle l’équilibre parfait entre chardonnay et pinot noir, l’autre séduira les papilles avec ses arômes intensément fruités. ...
Suite au décès de son mari en 2003, Brigitte Beaufort décide de changer de vie et de quitter son métier de chef de projet informatique. Elle souhaite récupérer les terres champenoises que louait son époux. Mais au préalable, elle doit retourner sur les bancs de l’école pour obtenir son diplôme d’exploitant viticole. Ce n’est qu’en 2008 qu’elle devient propriétaire d’une exploitation de 4 hectares avec 14 parcelles sur les communes de Bouzy, d’Ambonnay et de Tours-sur-Marne. En 2012, elle acquiert un bâtiment à Bouzy qu’elle fait rénover et agrandir. Il lui reste encore à faire l’acquisition de cuves pour devenir totalement indépendante. Dès le départ, Brigitte Beaufort a choisi de soigner ces cépages de Pinot noir et Chardonnay dans un processus de viticulture raisonnée et durable en prohibant les pesticides, en minorant au maximum les intrants et en privilégiant les molécules certifiées bio. Pendant la vendange, en tant que récoltant-expéditeur, elle fait presser et vinifier ses raisins chez un autre viticulteur. Par contre c’est elle qui reste maitre de l’assemblage, de la mise en bouteille, du vieillissement et du dégorgement. Avec l’aide du Syndicat Général des Vignerons, elle fait connaitre ses champagnes lors de salons professionnels en France ou à l’étranger. Plusieurs cuvées sont déjà présentes sur les tables de l’hôtel Crillon et au relais Richelieu. Ses champagnes sont également disponibles chez des cavistes, comme à St-Etienne et Béziers. Des champagnes Grand Cru Depuis le début, Brigitte Beaufort a pris le parti de ne réaliser que de petites cuvées mono-année. Avec ses 80% de raisins Pinot noir et ses 20% de raisins Chardonnay, elle crée des champagnes Grand Cru peu dosés en sucre. Par exemple, le champagne Expression Grand Cru aux fines bulles et aux parfums délicats de quetsche, ananas, citron et menthe. ...
Le Château de la Galinière siège dans la commune de Châteauneuf-le-Rouge. Situé sur un lit de terres rouges argilo-sableux, le site figure parmi les 4 meilleurs terroirs de Provence pour la viniculture. Implantés sur le plateau du Cengle et sur le flanc de la Montagne Sainte-Victoire, ses vignobles bénéficient d'un sol très filtrant et diversifié alternant couches graveleuses et sablo-argilo-limoneuses. S'ajoutent à cela une contrainte de faible rendement associée à un micro-climat méditerranéen et septentrional, les vins issus de ce terroir ne peuvent qu'être riches et structurés. Un style affirmé et pleinement assumé justement par le Rosé Sainte-Victoire, une des cuvées emblématiques de la maison. Entre histoire et terroirs « C’est une propriété qui a un charme exceptionnel », déclare Cathy Stoffel, chef de produit au sein du domaine. Le nom du site est tiré de celui d’un ancien campement romain appelé « La Galinière ». Les premiers bâtiments sont construits vers l’an 1200. Mais ce n’est qu’en 1733 que le domaine prend officiellement le titre de Château de la Galinière. La notoriété de ses vins produits en AOC Côtes-de-Provence ne repose pas uniquement sur la valeur historique du site, mais se fonde aussi et surtout sur la particularité des terroirs provençaux. À cela s’ajoute un microclimat continental forgé par le soleil et les reliefs de la région. « C’est une région et un climat qui se prêtent notamment très bien à l’agriculture biologique », confie notre interlocutrice. C’est ainsi tout naturellement que le domaine obtient la certification bio délivrée par Ecocert. Des vins d’un style particulier Les principaux cépages travaillés par la maison sont le grenache, le cinsault, la syrah, le rolle, le cabernet et le viognier. Blancs, rouges ou rosés…, les cuvées de la maison se distinguent par leur fraicheur et leur complexité. « La vendange se fait de nuit la plupart du temps pour récolter les raisins au plus frais et préserver leurs arômes. » L'oenologue du domaine Solange Dremière parle également d’un style de vinification pour transformer les cépages en vins très équilibrés et intensément aromatiques. « Nous procédons à une macération préfermentaire à froid, sur bourbes, pendant 2 à 3 semaines pour extraire au maximum les arômes des raisins. » Actuellement, le millésime 2018, une nouveauté de la maison récemment en vente étonne par son côté aérien et facile à boire : une bouche franche marquée par une fraicheur intense, suivie d'une finale aussi tendue que suave. Bref, un verre en appelle un autre! ...
Le terroir est installé dans la région du champagne Premier Cru, au cœur du village de Villers-Marmery. Cette commune viticole se présente comme une mosaïque de coteaux célébrant une belle diversité de sols, tantôt argilo-calcaires, tantôt crayeux. Le climat océanique et l’exposition solaire gâtent les vignes qui bénéficient d’une maturité parfaite. La maison exploite un vignoble de 6,40 ha qui se compose à 97 % de chardonnay et 3 % de pinot noir, entièrement conduit en lutte raisonnée. La passion de la vigne Bien au-delà d’un cahier de charges à respecter, chaque soin accordé aux vignes relève d’un savoir-faire. De la taille à la vendange, les interventions dans les vignes sont manuelles, et les travaux d’entretien se font mécaniquement. Pour un seul hectare, le couple Marion et Jean-Michel passent plus de 520 heures de travail dans les vignes, témoignant du lien vivant qui existe entre les viticulteurs et les champagnes. Le domaine utilise une technique de vinification particulière incluant le batônnage sur lie de fûts. La méthode consiste à harmoniser la stabilisation naturelle des composants aromatiques, conférant aux jus une bouche intense et une texture onctueuse. « Pendant l’élevage, nous laissons nos vins développer tout seul leur typicité grâce à la fermentation malolactique, qui se déclenche avec les bactéries naturelles du vin », comme l’explique Marion Boutillez. Des cuvées distinguées La gamme, «Tout Chardonnay», se décline des cuvées de blanc de blancs millésimées ou non jusqu'au haut de gamme en fût de chêne : l'Ecrin n°1. Parallèlement nous pouvons y découvrir un rosé d'assemblage. Le Blanc de Blancs Millésime 2005 Premier Cru, en monocépage chardonnay, est la cuvée signature du domaine. Les bulles fines et cristallines embellissent la belle robe dorée. Le nez, agréablement corsé, dégage des arômes de dentelle subtilement relevés par une senteur d’agrumes et de pain de mie. Une attaque bien structurée en bouche, qui se termine sur une finale élégante mêlée à une note minérale. « Ce champagne a beaucoup de fruité, de la rondeur et de la longueur en bouche. » Il est lauréat de la médaille d’argent du concours des Vinalies internationales 2015, au Concours Général Agricole 2015 et également au Concours Mondial de Bruxelles 2016. Le Ratafia, jouissant d’un vieillissement en fût de chêne de plus de dix ans d’âge, est aussi une cuvée exclusive de la maison. La maturité apporte une touche boisée sur une palette aromatique complexe, aux notes de figue et de fruits jaunes à noyau. En bouche, l’attaque est soyeuse avec une finale persistante, finement épicée. Cette cuvée a reçu une médaille d'argent au concours général agricole de Paris en 2015 et 2017. À savoir qu’une partie de ces cuvées est présente dans quelques tables gastronomiques, à l’image du Coq d’Or à Chénérailles, Le Cheval Rouge à Sainte-Menehould, La Terrasse de Duras et A l'Orée du Bois. ...
L’hommage au Père Labat, de son vrai nom Jean-Baptiste Labat, est inévitable pour la famille Rameau, par son histoire qui a longtemps habité les Antilles. De son vivant, cet homme d’Église a contribué pleinement au développement de la culture de la canne à sucre, tout en modernisant les techniques de fabrication de l’eau-de-vie. Aujourd’hui encore, cette tradition et ce savoir-faire anciens font de la distillerie Poisson un incontournable du patrimoine historique antillais. Une exploitation digne des grands terroirs Chaque rhum a sa particularité, tant dans sa fabrication que pour son goût. À la distillerie Poisson, les soins apportés à la canne à sucre, matière première utilisée dans la fabrication du rhum, sont très importants. Sur un champ de 150 hectares, chaque plant est coupé à la main. Un travail de longue haleine et rare puisque « nous sommes les seuls à encore user de cette technique dans le monde » déclare avec fierté Jean-Cédric Brot, PDG de l’entreprise. S’en suit la transformation du jus de canne frais, par la fermentation qui va jusqu’à 72 heures. Durant le processus, notre interlocuteur nous fait savoir que « seule la levure boulangère est utilisée pour la fermentation ». Et lui de continuer « nous nous distinguons aussi pour nos colonnes à distiller en cuivre, ancien héritage du Père Labat, qui donnent un arôme puissant et authentique à l’eau-de-vie. » Du rhum authentique La distillerie Poisson fabrique plusieurs variétés de rhums : le rhum blanc agricole, le rhum doré, le rhum ambré, le rhum vieux… Chaque année, 300 000 bouteilles sortent de l’exploitation, dont 80 % sont directement dédiées à l’exportation. L’Europe reste le continent qui apprécie le plus le rhum traditionnel des Antilles, suivi par les Amériques et l’Asie. Pour Jean-Cédric Brot, le coup de cœur reste pour le rhum millésimé Père Labat 1997, « boisé et fruité en arôme et assez complexe en bouche », selon ses termes. Il cite également le rhum blanc 59° Père Labat, grand classique de Marie-Galante, souple et suave en bouche qui est en production limitée. Un dernier né, Le rhum soleil 59° et 55°, unique, légèrement boisé puisque séjourné 6 mois en foudre de chêne avant d’être mouillé puis embouteillé. Il nous informe également « qu’une nouveauté vient récemment de voir le jour : la liqueur Père Labat mint ». Elle est élaborée à partir de rhum agricole et de menthe et se boit très frais ! ...
L’oenotourisme à la bordelaise, signé Bernard Magrez, se conjugue avec visites, séjours d’exception et haute gastronomie au sein de Châteaux Grands Crus classés ainsi que dans son boutique-hôtel 5*. « Grand propriétaire de domaine viticole, avec 42 vignobles dans le monde, cet amoureux du bon vin est animé par le désir de partager sa passion à travers l’hospitalité, la gastronomie, la culture et le vin », nous confie Cécile DAQUIN, Directrice Générale de La Grande Maison Bernard Magrez et Luxury Wine Experience. Un oenotourisme propice au développement des sens L’expérience oenotouristique se vit au sein des trois châteaux : le Château Pape Clément, le Château Fombrauge et le Château La Tour Carnet. Des séjours, des visites de vignobles et de chais, des dégustations de vins et bien entendu, la découverte de ces châteaux sont au programme. D’emblée, le charme néogothique du Château Pape Clément, Grand Cru Classé de Graves ne laisse personne indifférent. Les plus anciennes vendanges datent ici du XIIIe siècle et les arbres séculaires y trônent fièrement, perdus dans un écrin de verdure. Dans ce joyau de Pessac, hommage au savoir-faire vinicole du pape Clément V, vous serez séduit par l’élégance des chambres et des suites dont les noms rappellent la douce symphonie des 60 ha de vignes murant le château. Toujours dans ce raffinement, le Château Fombrauge, une ancienne chartreuse du XVIIe siècle, perpétue une tradition vinicole authentique vieille de plusieurs siècles. Son vignoble de 60 ha et datant du XVIe siècle, fait fière figure d’ambassadeur de cet héritage. L’histoire, celle d’un des plus Grands Crus de Saint-Emilion, se raconte dans les suites luxueuses nichées dans le charme intemporel de ce château d’exception. Enfin, imprégnez-vous des temps médiévaux figés à jamais au cœur du Château La Tour Carnet, Grand Cru Classé du Haut-Médoc. Deux suites apaisantes, véritables mémoires de l’intime, font l’esprit de cette forteresse médiévale, « une des plus anciennes propriétés du Médoc » selon les dires de notre interlocutrice. Vin, gastronomie et culture A part les visites et dégustations de vins, Bernard Magrez Luxury Wine Expérience organise des ateliers inédits intitulés B-winemaker. « Le vin de Bordeaux est un vin d’assemblage. Luxury Wine Experience propose alors aux invités d’apprendre à créer leur propre vin en faisant eux-mêmes les assemblages de différents cépages en fonction de leurs goûts. Ils créeront, par la suite, leur bouteille, leur étiquette et repartiront avec leur bouteille de vin personnalisée », nous indique Cécile DAQUIN. L’immersion au sein de ce nouvel Art de Vivre véhiculé par Bernard Magrez ne sera pas complète sans un passage dans le boutique-hôtel 5* La Grande Maison de Bernard Magrez située en plein cœur de Bordeaux. Propice à une escapade épicurienne, l’hôtel abrite six luxueuses chambres ainsi qu’un restaurant étoilé dirigé par Pierre Gagnaire. Au sein de celui-ci, une cuisine tendre et sincère fidèle à la richesse du terroir est exécutée par cet éminent chef élu homme de l'année 2016 dans la catégorie gastronomie par le magazine international GQ et élu également meilleur chef étoilé du monde par ses pairs en 2015. Pour l’épauler, il fait appel à son équipier de toujours Jean-Denis Lebras. Chaque repas sera sublimé ici par une carte de vins unique au monde enrichie de 259 références et proposant tous les Grands Crus Classés de Bordeaux et assimilés (Bourgeois et Pomerol). L’expérience peut s’achever au sein de l’Institut Culturel Bernard Magrez situé en face de la Grande Maison de Bernard Magrez. Ayant pour mission de faciliter la création contemporaine à tous, cet espace ouvert en 2011 propose une riche programmation d’expositions d’art contemporain et moderne. Dans une optique d’aider à la production d’œuvres inédites, des artistes en résidence y sont ...
Saint-Graal est une création originale d’Alexis Briol, élu meilleur brasseur de l’année 2012 en Belgique. Elle est brassée par la brasserie Saint Feuillien, une référence et une icône en la matière en Belgique, réputée pour la qualité exceptionnelle de ses produits. Une bière blonde authentique La Saint-Graal est une bière blonde dite de triple fermentation conçue pour la dégustation. Sa robe est blond pâle, légèrement voilée. Ses bulles sont fines et sa mousse à flocons moyens tient bien, tout en offrant une légère texture crémeuse au centre. Au nez, elle propose des arômes donnant sur des fruits exotiques (pamplemousse et agrume) et floraux conférés par le houblon SAAZ. En bouche, elle est ronde, souple et maltée, avec des arômes orientés sur les épices. A la dégustation, elle offre une amertume fine et délicate qui se marie harmonieusement avec son goût très prononcé sur les fruits. Cette sublime complexité lui a valu une médaille de bronze France lors du dernier World Beer Awards. Un packaging pour sortir de l’ordinaire La bière Saint-Graal est conditionnée dans une bouteille classique de 33 centilitres, mais ce qui en fait sa particularité, à part ses saveurs spécifiques bien entendu, est son conditionnement très original. En effet, elle est présentée sous forme de coffret prestige « édition limitée » comprenant quatre bouteilles accompagnées d’un verre en bois du type calice, spécialement conçu pour sa dégustation. Elle est également disponible en cagette de bois composée de huit bouteilles. La bière Saint-Graal est disponible à la vente dans 120 points en France ainsi qu’en ligne sur le site minutevin.fr. ...
Ici, le champagne se réinvente. Grâce à la richesse du terroir associée au talent et à la créativité des vignerons, les champagnes Xavier Loriot révèlent un style inimitable, une onctuosité enchanteresse qui sublime les plus beaux instants. Champagne Xavier Loriot : inventivité et avant-gardisme en héritage L’histoire de la maison Xavier Loriot remonte à 120 ans quand George Jobert, un vigneron ambitieux, a commencé à cultiver une petite parcelle de vignes à Binson-et-Orquigny. La propriété et les savoir-faire furent ensuite transmis de père en fille, de fille en fille, de fille en fils et de fils en filles. Au fil des décennies, l’aspiration du fondateur a continué à inspirer et guider ses descendants. La maison a ainsi prospéré, les terres se sont élargies, les outils sont devenus de plus en plus modernes. Aujourd’hui, ce sont les sœurs Charlène et Marine Loriot qui sont à la tête de cette exploitation familiale avec ses 10,5ha de vignes. Afin de préserver ce précieux héritage, Marine Loriot s’occupe de l’aspect environnemental des activités et oriente ses méthodes vers l’agriculture raisonnée. Et Charlène soutient leur père Xavier Loriot dans le travail des vignes. Authentiquement Loriot Au domaine Xavier Loriot, l’anticonformisme se reflète dans chacune des 8 cuvées : Collision Brut, O Dosage, 100S- Sans Sulfites Ajoutés, Hypnotic Brut, Collision Rosé, Fragment Brut, Insaisissable Brut, Millésime Brut. La cuvée Collision Brut illustre à merveille l’esprit de la maison. Contenant uniquement du pinot meunier, elle dévoile des arômes puissants. C’est la plus honnête expression de ce fabuleux terroir de champagne au sol crayeux. L’hypnotic Brut, lui, est un harmonieux assemblage entre 40 % de chardonnay, 30 % de pinot noir et 30 % de pinot meunier. Vin complexe et expressif, son intensité fait découvrir l’âme du champagne et conduit au cœur du terroir. Les cuvées 100 S- Sans Sulfites Ajoutés et 0 Dosage, quant à elles, sont les emblèmes suprêmes des pensées créatrices de la maison Xavier Loriot. Elles repoussent les normes, défient le classicisme champenois pour ne révéler que les plus précieux : des arômes et des saveurs dans leurs formes les plus pures et les plus nobles. ...
Au ReminiSens, on ne réserve pas pour manger. On bloque un créneau pour se laisser emporter dans une gamme d’expériences culinaires et culturelles, empreintes de magie, de voyage dans le temps. L’esprit de la maison réside justement en cela. Le temps d’une soirée, remonter aux fastueuses époques où Versailles était ville royale. Se divertir comme on l’eût fait alors, se délectant des saveurs fines d’antan, se laissant bercer par l’heureux babillage des « nobles » acteurs recréant les intrigues et anecdotes d’époque. Une capsule « hors du temps » pour une soirée d’exception Tenant boutique rue Baillet Reviron, au numéro 20, ReminiSens peut vite devenir un incontournable pour les férus de programmes exceptionnels. Dans une ambiance baroque, reconstituant l’esprit des appartements privés du temps des rois de France, l’on pénètre dans une capsule – hors du temps – où les yeux reçoivent les premières décharges. Caroline Masselin, conceptrice et source de cette inspiration inattendue, n’a rien laissé au hasard. Rideaux, lustres, appliques murales, chandeliers, tout est là pour recréer une atmosphère qui donne envie de s’abandonner, faisant fi des contraintes du moment. Les costumes d’apparat du personnel – également d’époque – ajoutent la touche finale pour vraiment propulser le visiteur dans le Versailles d’alors. Ces courtisans-acteurs divertiront la galerie, tout au long du dîner, par des saynètes reprenant des détails croquants de la vie à la cour. D’avance, l’on trépigne de curiosité alors que les papilles n’ont encore aucune idée des plaisirs auxquels le chef de la maison va les initier. Honneur au bien manger de l’époque Les tables de ReminiSens rendent un hommage vibrant à la gastronomie du temps où le Roi Soleil et Louis XV régentaient la France. Les menus, concoctés avec de sérieuses références historiques, célèbrent le potager, la chasse et la pêche. Il faut se laisser guider par la fibre de la Chef Marie Bin pour initier ses papilles aux mystères des gibiers comme l’on peut en avoir goûté à l’époque. Le potager se fait mine de saveurs royales quand elle propose la « Découverte de M. Parmentier ». L’on redécouvre les notes perdues de légumes comme le topinambour. L’on garde longtemps en bouche les délicats effluves de sa « Truite au champagne ». ...
André dit « Dédé » et Michèle vous accueillent dans un cadre resté « rustique » avec poutres, pierres apparentes et objets anciens. Une fois à l’intérieur, vous aurez le choix entre le café où se rencontrent les habitués, la petite salle où sont proposées les fondues (fromage, aux bolets, bourguignonne) et le cadre chaleureux de la salle de restaurant proprement dite. Ici, l’ambiance se veut décontractée et chaleureuse. Des plats gourmands pour tous les goûts Dédé fait le bonheur des amateurs d’une cuisine « à l’ancienne », gouteuse et … copieuse. Vous apprécierez les saveurs des plats mijotés par « le roi de la cuisine canaille » comme se plaît à le mentionner M. Alain Giroud, critique gastronomique de La Tribune de Genève, dans son article du 21 avril 2017. La fraîcheur des ingrédients est garantie par une carte qui varie en fonction des saisons. Par exemple, en automne, la carte de chasse propose la selle de chevreuil avec sa sauce Grand Veneur, le filet de lièvre ou l’entrecôte de cerf avec sauce poivrade, le civet de chevreuil « façon grand-mère », le tout accompagné des garnitures de chasse et des spaetzlis maison. Les incontournables de la maison, qui ont fait la réputation de Dédé aux Pâquis où il a œuvré pendant plus de 20 ans, se dégustent tout au long de l’année. Parmi ses plats phares, on retrouve les œufs en meurette, les pieds de cochons désossés, les « énormes » cordons bleus, les joues de bœuf confites, les cuisses de grenouilles, les filets de perches, ... Ne vous en faites pas, l’été, la carte se fait plus légère avec , entre autre, des tagliatas de bœuf, des sashimis de thon, des tartares de bœuf, … A l’apéritif, pourquoi ne pas partager une planchette de Malakoff (petites boules chaudes à base de fromage), un pot de rillettes d’oie ou une assiette valaisanne ? Puis, craquez pour la terrine maison, le foie gras et son chutney de mangue, les salades diverses, … En plat, la joue de bœuf ou le coq au vin sont servis en cassoton, l’entrecôte du Val d’Herens (Valais) ou le pavé de bœuf vous sont proposés avec une sauce maison ou une sauce au poivre ou encore la sauce aux morilles, le tout avec légumes, gratin dauphinois ou frites maison. La cuisine se veut gourmande et les plats variés et généreux combleront toute la famille puisque les enfants ne sont pas oubliés : nuggets de poulet ou filets de perches avec frites maison et … ketchup ! Les desserts sont également faits « maison » et le choix peut rapidement devenir cornélien entre le fondant au chocolat, le millefeuille aux fruits rouges, les meringues à la crème de Gruyère, … Des plats du jour à Frs. 19.- vous sont proposés, à midi, du mercredi au vendredi, avec une petite entrée ou un dessert. Enfin, Dédé travaille beaucoup avec les suggestions du moment en fonction de ses achats et des désirs de ses clients ; il peut donc vous proposer de la choucroute, des tripes, de la fricassée genevoise, … à vous de lui faire part de vos envies. Côté vins, ici, à la campagne, la maison et les clients privilégient les vins locaux mais la carte présente également une sélection de vins vaudois, valaisans et français. ...
Inscrit parmi les maisons de champagne françaises, le domaine Charles Mignon doit sa renommée à son dévouement à la qualité. Il n’exploite que les meilleurs cépages de la région, lesquels sont issus de ses propres vignobles dans la vallée de la Marne et de la Côte de Blancs, ou fournis par une cinquantaine de domaines partenaires. Des cuvées au goût du terroir Nées de la haute tradition champenoise, les sept cuvées de la maison Charles Mignon ont été cultivées avec passion, assemblées avec talent et manipulées avec rigueur. Un véritable modèle d’excellence. Le Premium Reserve Brut Premier Cru témoigne parfaitement de l’esprit de la maison. Ici, la puissance du pinot noir côtoie l’élégance du chardonnay pour donner un champagne aristocrate qui s’avère être une parfaite entrée en matière. La minéralité et la pureté sont à l’honneur, faisant le bonheur des amateurs. La cuvée Comte de Marne Brut Grand Cru mettra les épicuriens dans tous leurs états. Elle est faite de 55 % de pinot noir et de 45 % de chardonnay, les meilleurs cépages issus de terroirs classés Grand Cru. Riche et complexe, ce vin aux arômes puissants exprime la générosité de la nature. Cette cuvée trouvera harmonieusement une place à côté des mets raffinés tels que le foie gras poêlé ou les noix de Saint-Jacques. Découvrir le domaine dans la convivialité Le domaine Charles Mignon a également mis en place toute une structure à travers laquelle il invite à découvrir l’univers champenois. Une visite personnalisable est proposée au domaine, au cours de laquelle Manon Mignon, la fille de Bruno Mignon, partage ce fascinant monde avec ses convives. Elle se plaît à expliquer l’élaboration du champagne et à répondre aux éventuelles questions, le tout dans une ambiance familiale et chaleureuse. La famille prône également les mérites de la région à travers une exposition et un film mettant en scène la beauté du paysage, les machines utilisées et la méthode d’élaboration des champagnes. Afin d’octroyer une touche pétillante à la visite et aux moments de découverte, les convives sont invités à déguster les trésors de la maison. ...
En cinq générations de savoir-faire, la famille Eldin excelle dans la production des vins AOP Côtes-du-Vivarais et IGP Coteaux-de-l’Ardèche. Des vins de qualité Les terroirs du domaine sont composés d’un sol argilo-calcaire caillouteux et des parcelles de grés. Cette variété géologique permet de cultiver différents cépages, grâce auxquels la maison peut produire 15 cuvées différentes. La cuvée phare est « Mersy », un délicieux assemblage de merlot et de syrah vieilli en fûts de chêne français. ...
C’est à l’angle de la rue Rambuteau et la rue Saint Martin que les férus de bonne cuisine seront accueillis dans une brasserie spacieuse et chaleureuse. Bonne ambiance, personnel qualifié et recettes authentiques sont autant d’ingrédients faisant la renommée de ce lieu où l’authenticité et la convivialité règnent en maîtres. Plaisirs du palais propres à Paris Dans un cadre raffiné mais décontracté, Le Cavalier Bleu est « une brasserie type priorisant les produits locaux produits par des producteurs afin d’élaborer des recettes simples et généreuses», explique le gérant, Thomas. Chaque plat est la promesse d’une explosion de saveurs et d’arômes. « Allant du palet de chèvre au miel au tartare de bœuf en passant par la crème brûlée, les spécialités propres à la région sont mises à l’honneur dans des plats concoctés avec passion », rajoute Thomas. Un spiritueux de la cave à vins et alcools de marques viendra débuter et clore en beauté votre repas. Une brasserie typique au goût du jour Les cocktails, les chopes de bière et les salades composées sont à déguster entre amis, en couple ou en famille dans une salle conviviale ou sur une terrasse à l’ambiance agréable. De nombreux événements sont, entre autres, organisés dans ce lieu propice à la détente, à l’instar des soirées à thème. Afin de mettre en avant la richesse vinicole du pays, « Le Cavalier Bleu met tous les mois un vin à l’honneur. Ce vin du mois sera proposé à un prix attractif afin de faire du partage le maître-mot », conclut Thomas. ...
Issue d’une lignée de viticulteurs de père en fils, le Domaine Jaume s’attache à accorder un soin particulier à sa terre et à ses vignes voilà maintenant plus d’un siècle. Animée par la même passion, elle s’efforce aujourd’hui de valoriser la typicité de son terroir dans le respect de l’environnement et de la tradition. Un vignoble, deux terroirs Vinsobres est le premier cru des côtes-du-rhône de la Drôme provençale. C’est là que le Domaine Jaume a choisi de cultiver ses vignes sur une superficie totale de 92 ha. Le vignoble repose sur deux terroirs : le coteau et les collines. Tandis que le premier est constitué d’un sol argilo-calcaire présentant des strates de calcaire assez profondes, le second est plutôt sablonneux avec une présence en quantité égale de limons et d’argiles. Sur ces différents sols poussent une belle palette de cépages composée de grenache, de syrah et de mourvèdre, utilisés pour l’élaboration des vins rouges, ainsi que des roussanne, marsanne, clairette, grenache blanc et viognier pour les vins blancs. Vinéa Natura, la charte écologique propre au Domaine Jaume Soucieuse de préserver l’équilibre naturel du sol, la famille Jaume privilégie depuis 20 ans une viticulture responsable et met en place des pratiques culturales respectueuses de l’environnement. De génération en génération, le domaine a su préserver et perfectionner une méthode de travail qui lui est propre. Celle-ci est désormais inscrite dans une charte environnementale appelée Vinéa Natura. « À travers notre charte, nous souhaitons montrer aux gens notre façon de travailler et leur expliquer qu’il y a d’autres solutions alternatives qui fonctionnent très bien en dehors du bio », souligne Anthony Jaume, responsable commercial. Labour traditionnel, apport d’engrais organiques, désherbage naturel, enherbement avec des céréales et des légumineuses, confusion sexuelle pour protéger les vignes contre les insectes… Ici, tout est fait pour que la culture soit en harmonie avec la Nature. « Ce qui nous importe le plus, c’est que nos vins soient exempts de tous résidus», rapporte notre interlocuteur. Côté vinification, celle-ci se fait dans le plus pur respect de la tradition. « Nous faisons presque tout à la main », spécifie Anthony Jaume. Ainsi, le pigeage et le remontage sont réalisés manuellement. La maison accorde une importance particulière à la phase d’élevage et procède chaque année à de nombreuses expériences afin de déterminer le contenant le mieux adapté pour ses vins. Des vins exceptionnels Le domaine élabore des cuvées d’exception qui sauront, à coup sûr, ravir le palais des consommateurs, qu’ils soient amateurs ou avertis. Parmi les spécialités de la maison, la cuvée « Altitude 420 » est, à juste titre, la plus représentative. Elle est obtenue à partir de l’assemblage de 60 % de grenache et 40 % de syrah. Au nez, ce vin dévoile des notes de fruits rouges et une belle ampleur sur les fruits frais comme la groseille et le cassis. Afin de préserver les arômes et les tanins fondus, cette cuvée a été partiellement élevée en foudre. Au niveau des accords, elle est la complice idéale pour accompagner des viandes rouges grillées. ...
Chef consultant, José Maréchal a misé sur une cuisine inventive mettant en valeur les produits du terroir, les produits de saison et des producteurs locaux, majoritairement bio. Stephan Paroche, ancien propriétaire du restaurant La Magnanerie dans les Alpes-de-Haute-Provence est le nouveau chef. Il a conçu les cartes des trois lieux de restauration. Il aime particulièrement revisiter les classiques. Il apprécie également les alliances terre-mer et la cuisine méridionale. Cicada À Cicada, cartes inventives qui subliment les produits du terroir et valorisent les producteurs locaux. Une cuisine tonique pleine de fraîcheur, tendance bio, saine et équilibrée, qui sait joyeusement surprendre et s’inspire du potager et du jardin des herbes aménagés au cœur des lieux. Gastronomie authentique, chic et glamour, qui allient avec virtuosité les classiques et la modernité. Les suggestions sont sans cesse renouvelées pour créer la surprise. Il suffit de consulter l’ardoise pour connaître les propositions du jour. Les convives sont libres d’imaginer leur menu comme bon leur semble, selon leurs envies et leur faim. Compter 35 € le menu du midi. En soirée, menus à partir de 69 € et découverte du "menu signature" à 119 €. Parmi les plats de saisons à découvrir à Cicada, l’asperge présentée en trois plats pour découvrir de façon différente un produit du terroir. En dessert, l’éclair au yuzu est un incontournable. Dîner en tête à tête, profiter de la terrasse ou s’attabler avec ses amis ou ses proches : tout est possible à Cicada. Le Camion Bleu Sur la Place du village au sein de l’hôtel, tout au long de l’été, les clients peuvent dîner en extérieur pour une soirée décontractée. Le Camion Bleu propose une cuisine simple, pleine de saveurs que vous pourrez facilement partager avec ses petites ou grandes salades, ses viandes grillées ou ses planches de viandes, de fromages ou de légumes pour un apéritif dînatoire. Tout cela en s’enivrant de la scène musicale et de ses concerts de jazz. Compter environ 25 € par personne. Du mardi au samedi de 19 h 30 à 22 h. Ouverture du 1er Juin au 15 Septembre. Les soirées thématiques sont à découvrir sur le site web www.hameaudesbaux.com. ...
La région de Provence-Alpes-Côte d’Azur est le terroir à forte inspiration gastronomique et viticole qui abritele Château Paradis. Poursuivant l’œuvre de leurs prédécesseurs, les nouveaux propriétaires,qui ont hérité de ce domaine, bénéficient d’un patrimoine d’exception et d’un savoir-faire particulier en termes de vinification. Une agriculture viticole raisonnée La famille Thieblin est installée et pratique la viticulture dans la commune de Puy-Sainte-Réparade depuis 2011. Bien avant, le domaine a été la propriété de Jacques Héon durant une vingtaine d'années. Par la suite, il est passé aux mains de la famille Deschamps en 2003. Xavier et Odile, exploitants de spiritueux à la Réunion, l'ont racheté ensuite et ont étendu le vignoble avec 50 hectares supplémentaires, passant de 30 à 80 hectares en 2012. Un soin particulier est apporté au travail des sols et une surveillance accrue de l’état des vignes permet un travail plus respectueux. De plus, l’ensoleillement et le Mistral sont naturellement propices à une culture raisonnée. Les vins du domaine sont élaborés à partir de cépages de qualité, comme le Grenache, le Sauvignon, le Cabernet Sauvignon et la Syrah. Ils se déclinent en deux gammes différentes :"Terre des Anges" et "Château Paradis". Une vinification dans les règles de l’art « Terre des Anges rouge », à la robe pourpre profond, est ponctué en nez par son côté minéral. En bouche, il éveille les papilles par sa rondeur et sa finesse. Ce vin s’accorde bien avec une daube de sanglier. Pour une meilleure dégustation, il est conseillé de le servir entre 10 et 12 °C. « Château Paradis blanc », très séduisant par ses reflets dorés à l’œil, d’un nez frais ponctué de notes d’agrumes, enchante les papilles avec ses arômes de grenache blanc. Il s’apprécie parfaitement avec une papillote de bar, citron confit et coriandre. La douceur et la générosité de ces vins est la résultante d’une vinification faite dans les règles de l’art. Le processus de vinification bénéficie des conseils œnologiques de Michel Tardieu et de Philippe Cambie. Le domaine s’est doté, en 2003, d’une cave par gravité et utilise des cuves tronconiques pour altérer le moins possible la qualité et la nature du raisin. ...
Ouvert du lundi au dimanche, le restaurant au style contemporain fait partie des meilleures tables de France et fait la fierté de Montpellier. Artiste dans l’âme, Philippe Chapon concrétise ses assiettes en empruntant leur aspect à des tableaux où les formes et les couleurs se mélangent, sans oublier l’alliance des goûts, faisant de sa cuisine, un délice digne de la haute gastronomie française. Le savoir-faire du sud de la France Depuis quinze ans, Le Tamarillos ne cesse de proposer de nouvelles recettes, tout en conservant un savoir-faire dont seul Philippe Chapon détient le secret. Pour agiter vos papilles, toutes les créations culinaires sont parsemées de fleurs aux couleurs, textures et saveurs différentes. C’est à travers les produits du terroir de la région que les convives découvrent ce qu’est la bonne cuisine du Sud, tantôt bistronomique (midi), tantôt gastronomique (soir). Le plus pour l’établissement est l’utilisation du chiller, outil qui permet de rafraîchir les boissons en quelques minutes seulement, ce qui fait le plaisir des amateurs de vin. Cuisine de façon nature… « Faire de la cuisine de façon nature, selon ce que la nature procure », dixit Philippe Chapon, passionné de cuisine et de pâtisserie. Le menu parfait est, pour lui, composé d’un carpaccio de noix de saint-jacques, de pamplemousse, de tartare d’algues et d'un festival de fleurs, suivi d’un filet de loup de région et d'une purée aux fines herbes, de jus à la vanille, accompagnée de fleurs de bourraches, pour s’achever avec une émotion fraise et rose. La cuisine est un don, une passion, une vocation chez Philippe, raison pour laquelle il projette d’organiser des expositions de vernissage en rapport avec les fleurs, toujours accompagnées de bons petits plats. Il est également auteur de plusieurs ouvrages dans lesquels il partage ses recettes (Éditions du Chêne). Une de ses signatures : il est créateur de la dentelle de fruits, une technique qui permet de réaliser de fines lamelles de fruits croustillantes. ...
Les spiritueux A Valence, dans un petit entrepôt, nous faisons rapidement faire le tour du propriétaire : des alambics, coeur de la fabrication, des bouteilles en stock, prêtes à être vendues, des fûts dans lesquels vieillissent rhum et whisky. Là sont proposés pas mal de spiritueux : de l’Esprit de bière, de l’Esprit de malts, de la vodka quadruple distillation, du rhum blanc et du rhum humble, du whisky 3 ans d’âge (disponible en 2020), du London Dry gin et un apéritif à la mistelle de malts (du moût de malts), nommé Caryopse. Tout est fameux, vous ne vous tromperez pas ! Et il propose déjà un beau panel d’apéritifs et de digestifs, après seulement un an d’existence, il faut le souligner. La fabrication O’Baptiste utilise deux alambics, un de 50 et un de 300 litres. Pour chaque spiritueux qu’il fabrique, il fait deux passes (comprenez deux distillations). Ainsi, après la première macération, il obtient un brouillis, qui est ensuite re-distillé. A l’issu de cette double distillation, l’alcool titre 70 degrés. L’ajout d’eau permet d’obtenir le titrage souhaité, généralement 40 ou 45 degrés. Ses matières premières sont bio, notamment pour l’Esprit de malt qui provient de la malterie coopérative Malteurs Echos qui se situe à une quarantaine de kilomètres de Valence, en Ardèche. Les matières premières sont locales, en particulier pour l’esprit de bière, fabriqué à partir de bières artisanales locales. La seule matière première ne venant pas du Sud-Est est la mélasse de canne à sucre utilisée pour fabriquer le rhum. Elle vient de loin : d’Asie, de Thaïlande pour être précis (l’Asie est l’autre grand producteur mondial de sucre avec l’Amérique latine), mais cette mélasse est bio. Embrassez des inconnus C’est un concept vraiment déroutant : eau de vie de crachoir. Certains trouvent cela amusant, d’autre répugnant mais tous s’accordent à dire que c’est étonnant. O’Baptiste a été contacté par un festival de vins naturel qui se tenait à Paris, pour fabriquer cette eau de vie, et renouveler l’expérience d’un distillateur australien : Peter Bignell de la distillerie Belgrove, avec qui Baptiste a collaboré pour cet esprit. Il n’a pas réfléchi longtemps avant d’accepter. Ainsi, a-t-il récupérer les cuves contenant les vins dégustés puis recrachés par 1300 Parisiens. Et de là est né l’appellation « Embrassez des inconnus ». La distillation étant un processus de purification… il n’y a aucun risque sanitaire. Vous pouvez donc boire ces résidus de festival, titrant 43 degrés, en digestif. Les bouteilles seront prêtes à être vendues d’ici peu ! Les rhums Les rhums sont fabriqués à partir de mélasse de canne à sucre bio. Là où c’est beau et bon, il n’y a pas de colorant, d’additif, de sucre ou quoique ce soit. On est sur du rhum pur, qui a obtenu sa couleur (pour le rhum humble) au travers de son vieillissement. Le rhum blanc est issu d’une double distillation, puis mis en bouteille immédiatement après. Le rhum humble (ambré) a quant à lui vieilli 3 mois en fût d’acacia. Le fût d’acacia permet d’apporter des notes vanillées et caramélisées, ce qui donne un rhum rond et assez doux. Le rhum blanc est, à l’odeur, vanillé et fruité. L’arôme se révèle également fleuri et vanillé. On retrouve également des notes de fruits exotiques. Il y a également quelque chose de boisé. En clair, ce rhum est très riche en goût et s’apprécie vraiment pur. Le rhum Humble a été primé de bronze au Congrès International du rhum de Madrid en mai 2018. L’Esprit de bière Petite dégustation, on trouve un goût très présent de céréales et un peu de levures, en fin de bouche ressent légèrement du chocolat. Mais on ne retrouve pas le goût de la bière pour autant, ce n’est pas de la bière ne vous attendez pas à boire ça, vous seriez déroutés. Au nez, on perçoit un goût de malt. C’est une eau-de-vie donc c&rsqu...