André dit « Dédé » et Michèle vous accueillent dans un cadre resté « rustique » avec poutres, pierres apparentes et objets anciens. Une fois à l’intérieur, vous aurez le choix entre le café où se rencontrent les habitués, la petite salle où sont proposées les fondues (fromage, aux bolets, bourguignonne) et le cadre chaleureux de la salle de restaurant proprement dite. Ici, l’ambiance se veut décontractée et chaleureuse. Des plats gourmands pour tous les goûts Dédé fait le bonheur des amateurs d’une cuisine « à l’ancienne », gouteuse et … copieuse. Vous apprécierez les saveurs des plats mijotés par « le roi de la cuisine canaille » comme se plaît à le mentionner M. Alain Giroud, critique gastronomique de La Tribune de Genève, dans son article du 21 avril 2017. La fraîcheur des ingrédients est garantie par une carte qui varie en fonction des saisons. Par exemple, en automne, la carte de chasse propose la selle de chevreuil avec sa sauce Grand Veneur, le filet de lièvre ou l’entrecôte de cerf avec sauce poivrade, le civet de chevreuil « façon grand-mère », le tout accompagné des garnitures de chasse et des spaetzlis maison. Les incontournables de la maison, qui ont fait la réputation de Dédé aux Pâquis où il a œuvré pendant plus de 20 ans, se dégustent tout au long de l’année. Parmi ses plats phares, on retrouve les œufs en meurette, les pieds de cochons désossés, les « énormes » cordons bleus, les joues de bœuf confites, les cuisses de grenouilles, les filets de perches, ... Ne vous en faites pas, l’été, la carte se fait plus légère avec , entre autre, des tagliatas de bœuf, des sashimis de thon, des tartares de bœuf, … A l’apéritif, pourquoi ne pas partager une planchette de Malakoff (petites boules chaudes à base de fromage), un pot de rillettes d’oie ou une assiette valaisanne ? Puis, craquez pour la terrine maison, le foie gras et son chutney de mangue, les salades diverses, … En plat, la joue de bœuf ou le coq au vin sont servis en cassoton, l’entrecôte du Val d’Herens (Valais) ou le pavé de bœuf vous sont proposés avec une sauce maison ou une sauce au poivre ou encore la sauce aux morilles, le tout avec légumes, gratin dauphinois ou frites maison. La cuisine se veut gourmande et les plats variés et généreux combleront toute la famille puisque les enfants ne sont pas oubliés : nuggets de poulet ou filets de perches avec frites maison et … ketchup ! Les desserts sont également faits « maison » et le choix peut rapidement devenir cornélien entre le fondant au chocolat, le millefeuille aux fruits rouges, les meringues à la crème de Gruyère, … Des plats du jour à Frs. 19.- vous sont proposés, à midi, du mercredi au vendredi, avec une petite entrée ou un dessert. Enfin, Dédé travaille beaucoup avec les suggestions du moment en fonction de ses achats et des désirs de ses clients ; il peut donc vous proposer de la choucroute, des tripes, de la fricassée genevoise, … à vous de lui faire part de vos envies. Côté vins, ici, à la campagne, la maison et les clients privilégient les vins locaux mais la carte présente également une sélection de vins vaudois, valaisans et français. ...
Faisant aujourd’hui figure d’institution en matière de gastronomie française, l’établissement est un haut lieu de restauration, où s’apprécie une cuisine qui mêle élégance, tradition et intuition créative. Quand la magie des lieux opère Situé sur la prestigieuse avenue Montaigne au sommet du Théâtre des Champs-Élysées, cet établissement riche d’une réputation construite depuis plus de vingt-huit ans est aujourd’hui le fief de Bruno Franck et de son équipe qui y font jouer leur expérience et leur savoir-faire. Dans une ambiance intérieure raffinée et cosy, laissez-vous transporter dans un confortable voyage ou à l’ombre de son admirable terrasse qui fait face à la tour Eiffel pour une expérience gustative d’exception dans la farandole des saveurs d’une cuisine à la qualité irréprochable. À travers un vaste espace de 440 m2 offrant de multiples possibilités, la maison est constituée de deux niveaux : une salle qui longe une baie vitrée vertigineuse et verticale avec une vue dominante sur l’Ouest parisien et une mezzanine située en hauteur qui révèle son lot de surprises en s’ouvrant sur un paysage plus élargi sur la capitale et qui permet de découvrir un bar lumineux aux couleurs variables ou encore une incroyable terrasse, la terrasse Georges V telle une oasis illuminée de pleins feux par la Dame de fer, la tour Eiffel. Une cuisine d’exception, inventive et raffinée Constamment au rendez-vous, le mariage réussi des textures et des saveurs aux couleurs contrastées se suivent et se succèdent au restaurant Maison Blanche, fortement inspirées des nombreux voyages du chef Fabrice Giraud et des influences méditerranéennes de son enfance. C’est ainsi que, jour après jour, naissent de belles assiettes inventives préparées selon le marché du moment où la surprise et l’authenticité sont toujours à l’honneur. À cela s’ajoute le savoir-faire d’un excellent chef pâtissier Paul Donore, qui, depuis de nombreuses années, fait chanter les desserts à travers de grands classiques revisités à sa manière. Découvrez à travers une carte prometteuse, où sucré et salé forment un bon équilibre, un savoureux saint-pierre au citron confit et au fenouil, un plat emblématique revisité par le chef qui s’harmonise à merveille avec le Crozes de Combier 2012 Clos des Grives, au nez de framboise et de violette. Un lieu hors du commun pour accueillir vos événements Perché sur les hauteurs du Théâtre des Champs-Élysées, le restaurant Maison Blanche est également un haut-lieu de festivités parisiennes, où opère la magie des strass et des paillettes. L’établissement réunit dans diverses ambiances, tout un essaim de noctambules en quête de fêtes et de soirées bien orchestrées. Chaque samedi, cette institution se métamorphose en un night-club branché, où l’ambiance diffuse du Club Montaigne permet de se retrouver autour d’un verre sous la cadence d’une musique rythmée, et ce, jusqu’au bout de la nuit. Maison Blanche, c’est aussi un lieu d’accueil unique pour tous types d’événements. Anniversaires, séminaires, conférences de presse et aussi mariages, dîners de gala ou événements d’entreprise y sont les bienvenus. Pour toute demande de renseignements, une équipe commerciale particulièrement à l’écoute se tient à votre disposition pour la réalisation et la personnalisation de vos événements. N’hésitez pas à demander un devis. ...
Datant de 1923, cet établissement se trouve au cœur de la Bretagne, à Pontivy, plus précisément au bord du Blavet. Odile et Philippe Berland ont un coup de cœur pour cet endroit chargé d’Histoire et décide de le reprendre en août 2009, à la suite de la cession par la famille Robic. Le couple apprécie la bonne cuisine de ce restaurant, si bien qu’il décide de garder le nom des anciens propriétaires. Cette initiative contribue aussi à préserver l’âme des lieux et à faire connaitre son riche passé. « Le fils de la famille Robic nous a donné tous les descriptifs historiques du bâtiment », déclare avec fierté Philippe Berland. Un cadre chic et spacieux Le restaurant affiche trois espaces pour savourer pleinement les petits plats bretons : une salle de 50 couverts, une autre à 35 places ainsi qu’une terrasse qui peut accueillir 25 personnes. Les différents espaces révèlent une décoration moderne avec une prédominance de couleur sobre. Effectivement, les chaises en résine tressée révèlent une élégance tout à fait particulière. Les murs sont habillés de tableaux faisant référence à la nature. Le tout forme une belle harmonie et confère une ambiance intimiste et agréable. Des saveurs aux milles senteurs Pendant qu’Odile est à l’accueil et au service, Philippe est aux fourneaux, prêt à préparer de succulents mets. « Je suis du métier » raconte-t-il. Ce chef passionné dispose d’un CAP en cuisine et a également suivi une formation en pâtisserie. Il a ensuite évolué dans divers milieux relatifs à l’univers de la gastronomie. Sa riche expérience lui a permis de lancer sa première affaire à Vannes. Ayant eu envie de changer d’horizon, il déménage à Pontivy pour continuer à vivre de sa passion dans ce lieu historique. Le chef se plait à proposer une cuisine simple, préparée à base de produits frais. Il travaille en étroite collaboration avec les producteurs locaux, afin de garantir la qualité de ses mets qui rendent hommage à la richesse du terroir breton. Des spécialités bretonnes Avec des prix abordables, la carte est relativement courte afin que la maison puisse privilégier le fait maison à base de produits bruts. Savoureuse et gourmande, elle est enrichie de plats classiques appréciés de tous. En entrée, rien de tel qu’une grande salade côté terre, composée de pomme de terre, salade, avocat, blanc de volaille, foie gras, magret et tomate. Une autre déclinaison côté mer est aussi proposée. En plat de résistance, les gourmands se laissent tenter par le hamburger maison ou par une entrecôte XL de 300 g accompagnée de salade et de frites maison. Assez éclectique, la carte de vins, quant à elle, privilégie les Coteaux-de-Languedoc comme l’Ermitage du Pic Tour Saint-Loup et le Mas Bruguière. « Nos vins sont sélectionnés par un caviste qui travaille directement avec de nombreux vignerons. On lui fait entièrement confiance », explique Philippe. Menu à découvrir La maison Robic concocte une formule du Boucher, composée d’un plat et d’un dessert à 16 €. Pour répondre aux envies de chacun, trois choix de plats sont proposés : une pièce de bœuf poêlée, un tartare de bœuf minute ou un carpaccio de bœuf à volonté, le tout avec frites et salade. En dessert, une crème brûlée ou une salade de fruits apporte la touche douce et sucrée qu’il fallait pour clore en beauté ce repas. ...
L’histoire du domaine G. Tribaut remonte à 1935, lorsque le grand-père, Gaston, acquiert une dizaine d’hectares de vignoble pour se vouer à la fabrication du champagne. Depuis, son fils, Ghislain, et ses petits enfants,Vincent et Valérie, perpétuent son œuvre en créant des champagnes dignes de la région et de la famille. Un terroir de premier choix Du fait de son terroir crayeux, la vallée de Marne est une région qui se prête bien à la viticulture. Et les 12 hectares de vignoble du domaine G. Tribaut sont plus que privilégiés, du fait de son installation sur des coteaux classés Premier Cru, avec un ensoleillement idéal tout au long de l’année. Alliées à une agriculture raisonnée, toutes ces conditions permettent à Vincent et Valérie d’obtenir, au fil des années, de belles récoltes de raisins, car, comme on le sait, « le raisin fait le vin ». Des cépages typiques Côté cépages, les responsables du domaine ont opté pour trois variétés typiques de la région champenoise, à savoir le Pinot noir, le Meunier et le Chardonnay. Les différentes cuvées et millésimes s’obtiennent grâce à un savant dosage entre ces trois cépages, à l’exemple de la « Cuvée de Réserve », à 40 % de Chardonnay, 30 % de Pinot noir et le reste en Meunier. Ce champagne complexe et plein d’expression en séduira plus d’un avec son bouquet fruité aux notes de poire et de litchi, ample et gras en bouche, très gourmand. Autre produit phare du domaine, le « Blanc de Blancs de réserve » a été élu coup de cœur du Guide Hachette des vins 2017. Caractérisé par sa fraîcheur et sa légèreté, ce champagne 100 % Chardonnay est idéal pour l’apéritif, servi avec des mets tels que les huîtres ou des coquillages. ...
Bio et écologique. Le vignoble du Château de Lagarde est le seul en France à dégager un bilan énergétique positif. Le domaine dévoile en effet un splendide paysage forestier de 600 ha. En son cœur siège un parc photovoltaïque de 20 ha, qui alimente 5 000 foyers. L’excellence comme mot d’ordre Le terroir, quant à lui, se prête idéalement à la culture de 5 cépages : syrah, cabernet, grenache, rolle et pinot noir. Cet encépagement varié permet de produire différents types de vins. Côté vinification, la maison opte pour le pressurage direct pour les blancs et les rosés, et la réception gravitaire pour les rouges. Ainsi naissent d’excellentes cuvées, parmi lesquelles figurent les vins de haut de gamme « Prestige », produits phares de la maison. Depuis 2005, le Château de Lagarde a accumulé les récompenses lors de nombreux concours. ...
Après une enfance passée loin de la métropole, plus précisément sur l’île de Madagascar, les frères Pire rejoignent l’Europe pour leurs études. En 1998, Adrien, Guillaume et leurs parents tombent sous le charme de ce vignoble. Mais c’est seulement en 2010 que toute la famille se retrouve à Fosse-Sèche. D’une superficie de 45 hectares d’un seul tenant, le domaine est constitué d’une quinzaine d’hectares de vignes plantées sur un sol jurassique associant silex et oxyde de fer. Dans une volonté de préserver ce terroir et d’offrir des vins les plus naturels possible, la maison pratique l’agriculture biologique depuis 2006 et biodynamique depuis 2012, et bénéficie des certifications Ecocert et Biodyvin. Sur le chemin des grandes cuvées L'une des particularités du Château de Fosse-Sèche se trouve dans sa cave, dans laquelle des cuves ressemblant étrangement à des œufs y sont entreposées. Il s’agit en fait de cuves ovoïdes fabriquées avec du béton d’argile permettant au vin d’exprimer au maximum le terroir et les cépages. De réputation noble, les cépages de la région sont répartis comme suit : 5 hectares de chenin, 9 hectares de cabernet blanc et, enfin, 1 hectare de cabernet sauvignon. Trois types de vins (AOC) - Saumur rouge, Saumur blanc et Saumur Puy-Notre-Dame - y sont produits. Nature et vin, duo mythique C’est grâce au dévouement de passionnés comme les frères Pire que l’âme du terroir de Fosse-Sèche renaît et offre aux vins toute sa splendeur. De leur cave sortent des cuvées produites à partir de vignes vieilles de plus de 60 ans, comme la Réserve du Pigeonnier 2014, un 100 % cabernet franc (rouge), complexe et fin, avec une finale longue et minérale, un vin de garde (20 ans) ; ou l’Arcane, 100 % chenin (blanc), fermenté neuf mois à basse température et élevé en cuve, dont le millésime 2015 est très ciselé. ...
Situé rive droite, à deux pas du palais de l’Élysée et de l’avenue des Champs-Élysées, le restaurant Le Gabriel se trouve au cœur de la Ville Lumière. Sis dans ce bel immeuble de style haussmannien niché derrière des arbres imposants, il a l’avantage d’être préservé des palpitations parisiennes. À l’intérieur, l’ambiance chaleureuse émanant du décor contemporain est l’œuvre du designer Jacques Garcia Un restaurant doublement étoilé Au restaurant Le Gabriel, le chef Jérôme Banctel conjugue les ingrédients de qualité à son talent et à son savoir-faire pour faire honneur à une cuisine française contemporaine. En partant toujours de ses solides bases classiques, il essaye de sublimer et en aucun cas de dénaturer le produit. Mais ce respect pour la tradition et le produit ne l’empêche pas d’apporter une bonne dose d’inventivité à ses créations. C’est ainsi que notre chef tente de faire de chacun de ses plats une expérience gustative unique. Un pari dignement réussi vu les deux étoiles Michelin récemment attribuées à l’établissement. Du début à la fin, les grands classiques teintés de l’inspiration de Jérôme Banctel surprennent les sens. En entrée, le Saumon de Norvège, raviole d’aubergine fumée, crème de ziste ou le Cœur d’artichaut « Macau » en impression de sakura et coriandre fraiche ne sont que l’avant-gout de ce qui va suivre. Les Noix de Saint-Jacques rôties, carottes aux sucs d’orange et baies roses ou le Cochon de lait de Burgos croustillant, sauce curry, avocat et mangue révèleront ensuite tout le talent du chef. Et, pour finir, rien de mieux que le Crémeux mékonga, chantilly caramel épicé, confit de mangue et glace au caramel. Des vins et cocktails pour toutes les envies Côté vins, Le Gabriel possède une carte à faire rêver tout œnophile. Que ce soit un vin en bouteille ou en verre, son impressionnante collection satisfait toutes les envies. Les références issues du Château Cos d’Estournel et du prestigieux Domaine Tokaj Hétszõlõ comme le Goulée by Cos d’Estournel, Médoc 2012 ou le Tokaji Furmint « Selection » 2010 sont, ici, particulièrement privilégiées. Les adeptes de cocktail ne sont pas laissés-pour-compte car la carte chante également le répertoire des grands classiques en la matière : Mojito, Midnight Express ainsi qu’une multitude d’autres boissons alcoolisées ou non. ...
Le nom de Molin’Agly est dérivé du mot molin qui veut dire moulin en occitan et d’Agly, la vallée où se situe cette exploitation. Elle est la propriété d’Eric Pimpurniaux, un Belge qui a reçu le soutien de la population locale pour sa passion du vin. Cinq ilots de vignes Le vignoble qui se trouve à une altitude de 350 à 400m, est éparpillé sur cinq parcelles autour du village de Caudiès de Fenouillèdes. Exposé plein sud et légèrement en pente, l’encépagement du « Mousquier » est composé de Chardonnay et Merlot. « Le Ravin des Sieures » et « Garrigue Haute » sont quant à eux plantés de la Syrah et « Le Cagne » est cultivé de Chardonnay, Sauvignon Blanc et Cabernet Franc. La dernière parcelle, « Bram Fam », est le joyau du domaine avec ses vieilles vignes de Carignan de 50 à 80 ans d’âge. Le domaine de Molin’Agly profite du climat méditerranéen tout en étant préservé de la sécheresse estivale grâce à sa proximité avec les Pyrénées, conférant à ses vins une belle fraîcheur et des arômes puissants. A l’instar de la plupart des agriculteurs de la région (80%), le domaine Molin'Agly est en phase de reconversion pour être agréé sous le label agriculture biologique. Ainsi, les produits chimiques ont été bannis de toutes les parcelles depuis les dernières années. Une cave bien équipée Ne disposant pas de cave propre au domaine, Molin’Agly a opté pour la location d’une cave de la région pour vinifier et élever ses vins. Inutilisée pendant un certain nombre d’années, elle a été complètement rénovée et rééquipée. Elle est dotée d’une cuverie inox, d’un groupe de froid, d’un pressoir et d'égrappoirs. Ces matériels permettent à l’œnologue du domaine d’obtenir des produits à l’hygiène impeccable et de minimiser au maximum syndical l’oxydation des produits qui y sont stockés et en cours d’élevage. Des vins au caractère bien trempé Depuis sa reprise en 2014 par la bande à Eric, Molin’Agly produit une belle gamme de cinq vins qui se distinguent par leur nom à l’image de leur caractère. Ainsi, ces cuvées s’appellent « L’Intense », « L’Audacieux », « L’Espiègle », « Du Nord au Sud » et « Bram Fam ». Cette dernière, qui signifie littéralement « Crie la faim » en occitan, est issue de Syrah lieu-dit éponyme. Toujours fin et très équilibré quel que soit le millésime, ce vin se déguste en accord parfait avec des viandes rouges, du gibier ou des mets relevés tels que tajines ou grillades. Pour le domaine de Molin’Agly, jeunesse ne rime pas avec inexpérience, puisque ses vins se retrouvent d’ores et déjà sur les tables de restaurants belges de renom tels que le « Pilori » à Ecaussines, la « Loungeatude » à Louvain-la-Neuve, ou récemment au restaurant éphémère « La Saison » à Corbais, mais également en France au restaurant « Verte Campagne» à 10 minutes de Toulouse ! ...
Oi Sushi est un établissement familial où les membres de l’équipe sont également des membres de la famille. Unis par la même passion du métier et l’art de composer de belles assiettes avec, en plus, le sens de l’accueil et du service au client, le personnel travaille en phase et dans la même direction… De quoi ravir tous les clients qui se sentent bien accueillis et prêts à une découverte culinaire hors du commun. Quand on parle de cuisine japonaise, le sushi est toujours en tête d’affiche. Plat tout autant incontournable qu’intemporel, c’est une spécialité typique du Japon qu’on aime déguster dans un plaisir toujours renouvelé. D’une grande fraicheur et quasi sans gras ajouté (hormis celui naturel du poisson), ces fameuses boules de riz japonaises vinaigrées sont des spécialités qui conservent tout leur luxe au Japon. Saines et faciles à digérer, elles se déclinent sous plusieurs formes au restaurant Oi Sushi. Généralement présenté sous forme de riz roulé en ovale, une pointe de wasabi et par-dessus une fine tranche de poisson, le choix est large entre le saumon, le thon, l’anguille, le poulpe ou l’omelette japonaise… Manger sainement à la japonaise Le restaurant Oi Sushi est une adresse à recommander à celles et à ceux et qui se soucient réellement de leur ligne. Dans « une ambiance chaleureuse et conviviale », l’enseigne figure parmi les lieux qu’on aime particulièrement découvrir ou fréquenter en famille ou entre amis. En fonction des gouts (poisson, viande ou végétarien) des clients, « le restaurant propose du sushi maki, des brochettes de poisson ou des menus végétariens maki et brochette », nous explique Xia, gérant de l’établissement. Selon lui, « les menus midi Sushi, California et Maki » sont les plus appréciés des clients, d’autant plus qu’ils sont copieux et pas chers avec un bon rapport qualité-prix. ...
Entre une savoureuse cuisine du terroir et ses quelques spécialités montagnardes, L’Auberge de la Montagne promet une belle découverte au cœur d’Arpajon. Ce lieu de lumière au décor élégant baigne par ailleurs dans une ambiance décontractée où le bien-être et la convivialité sont toujours au rendez-vous. Saveurs traditionnelles dans vos assiettes Que ce soit dans une salle chaleureuse, sur une terrasse ombragée l’été ou dans le jardin d’hiver abrité par une verrière, le temps semble être suspendu… Un moment privilégié pour savourer sa salade d’avocat aux gambas grillées et décortiquées, servie avec une émulsion de tomate et un filet d’huile d’olive, ainsi que son délicieux rognon de veau poêlé, dégraissé, saisi et déglacé au cognac, puis mouillé avec un jus de veau et terminé avec une graine de moutarde légèrement crémée. Redécouvrez le goût du « fait maison » avec ses incomparables profiteroles qui soit dit en passant, constituent de véritables délices à tomber par terre ! Dans un décor montagne moderne aux tons gris avec des tables aux couleurs contrastées, des chaises aux couleurs chaudes et aux pieds noirs, L’Auberge de la Montagne constitue une véritable invitation au plaisir et au bien-être. De bons vins pour un repas parfait Le restaurant se démarque aussi par sa très belle carte de vins, qui met toutes les régions à l’honneur, notamment des spécialités de montagne, qui, selon Armand Norbert, chef propriétaire, « fonctionnent très bien » : principalement quelques Bourgueils et Beaujolais ainsi que d'incontournables Bordeaux. D’octobre à mars, tous les vendredis, c’est parti pour des soirées raclette à volonté, et des planchas à volonté tous les vendredis soirs, uniquement d'avril à juillet. La maison accueille tous types d’événements, allant des repas d’anniversaire aux banquets de mariage, en repas assis ou en buffet. ...
À la découverte des grands classiques La cuisine thaïe est l’une des plus réputées en Asie, ses saveurs sont uniques et la variété de ses ingrédients infinie. Curry, citronnelle, menthe, coriandre, basilic, piment figurent parmi les incontournables des plats les plus emblématiques que l’on retrouve à la carte du Baan Boran – Laab neua, Tom Yam Khun, Pad Thaï, Som Tam, Ped tod rad bamboo sauce, Khaow niaow, (le fameux «Tigre qui pleure »). En version plus ou moins épicée selon les goûts des clients, accompagnés de riz parfumé ou de légumes sautés au wok. Chacun de ces plats préparé à la minute témoigne de la richesse de la gastronomie thaïlandaise et de sa très grande légèreté. Plats allégés et fruits colorés Pour satisfaire l’ensemble de ses clients, le Baan Boran réserve une partie de sa carte à des spécialités allégées et végétariennes à base de légumes et de tofu. Une gastronomie light qui s’accommode bien de riz et de salades, mais aussi de fruits exotiques dont la Thaïlande est l’un des premiers producteurs et consommateurs en Asie du Sud-Est. Des fruits dont certains entrent dans la composition de cocktails avec ou sans alcool que propose le Baan Boran, tandis que la carte des vins réserve de belles surprises aux amateurs de vins du Monde. ...
De la rue, d'immenses baies vitrées qui laissent d'ores et déjà entrevoir l'ambiance lumineuse et conviviale du restaurant. Sur place, vous avez le choix entre vous installer sur l'immense terrasse de 250 m2 ou investir plutôt la salle au volume assez vaste, avec un espace bar en bas, une mezzanine en haut et une cuisine ouverte d'où vous pourrez admirer la dextérité des chefs en cuisine. Le style industriel associant une forte présence d'objets vintage, d'éléments boisés et métalliques donne le ton. Au programme : de la dynamique et un esprit branché. Urban Kitchen joue la carte de la modernité et de l’authenticité. Un trio d'amis veille aux fourneaux Une cantine créative et récréative, un concept dont on n'entend pas souvent parler mais qui a déjà fait son bout de chemin Outre-Atlantique. Un thème qui fait "tilt" chez ce trio d'amis composé de Stéphane Lamani, Jérémy Magnan et Michaël Cohen et qui décide de lancer son propre établissement en s'appuyant sur cette base-là. Résultat : un restaurant accueillant où l'on aime se retrouver. Il n'a pas fallu longtemps à la maison pour se faire connaître. Et pour cause, elle partage une cuisine innovante qui met à l'honneur des produits frais de saison et fait-maison. Parmi les plats signatures figure le fameux filet de bœuf Wellington qui est délicieusement accompagné de foie gras et d'épinards, le tout enveloppé d'une légère pâte feuilletée croustillante qui fond dans la bouche. Une pure merveille culinaire à déguster avec un Minervois Le Prince Arthur 2007, rouge, Château Cabezac. La carte aux accroches intéressantes vous fera voyager entre Londres, Marseille, Japon, New-York ou Rome en fonction des jours. Elle est à l'image de la personnalité de nos trois chefs : généreuse, cosmopolite et inventive. Toutes les saveurs des plats suggérés seront rehaussées par une carte de vins composée des meilleures productions locales. ...
C’est dans à Condom, une petite commune située au sud-ouest de la France que Jean-Luc Mazur concrétise un projet de vie : l’ouverture de son restaurant. Dans un cadre pittoresque et authentique, Le Sarment exprime l’amour du chef pour les produits du terroir frais qu’il sublime avec créativité dans les assiettes. Mot d’ordre : convivialité ! Dès votre arrivée, vous ressentirez cette ambiance très détendue et conviviale qui fait la réputation de l’établissement. La générosité, une qualité attribuée aux propriétaires, transparaît aussi dans les assiettes soigneusement dressées et tellement gourmandes. « Ma cuisine est toujours ouverte, et donc je peux voir les clients pendant que je cuisine », explique Jean-Luc. Un concept qui souligne encore une fois cette convivialité qui est chère à la maison. « Chez nous, la carte est renouvelée tous les trois mois environ et fait honneur au terroir du Gers », poursuit-il. En collaboration avec les producteurs locaux, le chef propose des plats à base de produits sains et bio. Parmi ceux qu’il recommande fortement figurent les cuisses de grenouille en entrée, suivi d’un duo de rognon et ris de veau, en plat de résistance. Le repas s’achève sur une note plus douce et résolument gourmande avec le coulant au chocolat "fait maison". ...
Petit déjeuner, pause déjeuner, plateaux repas, cocktail ou encore buffet... Tout & Bon, c’est avant tout de nombreuses formules au choix, élaborées exclusivement à partir de produits sains, sélectionnés pour leur qualité et leur fraicheur. Produits frais, réactivité, large choix L’enseigne a été créée en 2010 par Marc-Antoine Toulemonde. Celui-ci débute son aventure dans l’univers de la restauration en ouvrant un salad bar, implanté à Lille. Très vite, ce jeune entrepreneur se tourne vers la restauration d’entreprise et décide de se lancer dans la livraison de plateaux repas. Aujourd’hui, Tout & Bon se destine exclusivement à une clientèle B to B. L’enseigne se positionne en tant que premier réseau de restauration livrée en entreprise sur le marché de la livraison, avec plus d’une vingtaine d’établissements ouverts et en cours d’ouverture d’ici à fin 2018. Elle compte plus de 10 000 clients dans toute la France. Elle suggère une offre complète de produits frais directement préparés dans ses cuisines. Celle-ci inclut une gamme adaptée à des régimes alimentaires spécifiques (sans gluten, sans lactose ou végétarien). Ce qui fait surtout la force de l’enseigne, c’est sa capacité à apporter une réponse rapide et adaptée à toutes les demandes. « Nous avons su répondre à une demande grandissante d’un public de professionnels en quête de toujours plus de réactivité et de plus de choix dans leurs besoins de restauration. Ainsi, nous proposons la livraison de produits frais, commandés et livrés en un clic, même en dernière minute ! », fait valoir Marine Bolzan, chargée de communication de Tout & Bon. Un traiteur engagé En 2019, le traiteur national met l’accent sur le développement de packagings éco-conçus en intégrant des matières uniquement recyclées, recyclables ou biodégradables. Les coffrets de tous les plateaux repas Tout & Bon sont exclusivement fabriqués en France. L'enseigne propose également à ses clients un sourcing en faveur du « mieux manger » en incluant majoritairement des produits labélisés, respectant les divers régimes et contraintes alimentaires, en proposant une sélection de produits issus du commerce équitable, de l’agriculture biologique et des produits régionaux. Dans ce contexte, un partenariat avec l’association Reforest’Action a été établi pour compenser son empreinte carbone avec un objectif : 1 arbre planté tous les 100 repas servis ! ...
Situé non loin de la magnifique église d’Ars-en-Ré, le restaurant O de Mer offre une cuisine gourmande et raffinée, qui fait plaisir aux fins palais. Faire plaisir, justement, est l’une des valeurs qui animent cet établissement, au sein duquel vous vous sentirez comme à la maison. Un maitre restaurateur aux fourneaux Ayant débuté sa carrière en Europe dans le domaine de la restauration, Thierry Hainaut a forgé son expérience, longue de 25 ans, en Australie. Poussés par leur volonté et leur passion, Thierry et sa femme ont trouvé un coin de paradis à Ars où ils ont décidé de poser définitivement leurs valises. « Il y a 7 ans, nous avons rouvert ce petit restaurant avec Corinne pour retravailler à deux les produits qui nous font plaisir. Mais aussi pour retrouver la compagnie de nos clients, qui sont d’ailleurs devenus des amis très proches », explique Thierry Hainaut. Depuis 2014, le chef a été gratifié du titre de « maitre restaurateur », un statut délivré par l’État pour les restaurants traditionnels français. Ce label engage les restaurateurs à propose runiquement des plats faits maison, notamment avec des produits bruts et frais issus du circuit court.En 2016, Thierry Hainaut devient membre fondateur du Collège Culinaire de France, ce qui a permis à son bistrot de figurer parmi les « Tables gourmandes Poitou-Charentes ». Un cadre intimiste et agréable Le restaurant O de Mer est doté d’une belle salle, où le plancher en bois ancien confère tout son charme au lieu et les tables, couvertes de nappes blanches et entourées de chaises en cuir, renforcent l’aspect élégant du restaurant. Durant la période hivernale, un petit coin feu apporte chaleur et réconfort, tandis que, en été, la terrasse offre une vue imprenable sur le clocher d’Ars. Implanté dans la rue piétonne, ce restaurant intime de 22 couverts est idéal pour les rendez-vous romantiques. Une adresse gourmande au pied du célèbre clocher d’Ars-en-Ré Le chef élabore avec soin et créativité une cuisine gastronomique revisitée selon ses humeurs et la saisonnalité. Sa spécialité est la truffe fraiche. D’ailleurs, la maison a développé une carte, où les mets peuvent être accompagnés de truffe fraiche râpée selon les choix et les envies. En entrée, les convives se laisseront séduire par les saveurs du foie gras des Landes mi-cuit aux algues de Roscoff, salade de mer en tartare et brioche moelleuse. En plat de résistance, ils se laisseront tenter par la bouillabaisse de bar, Saint-Jacques et homard façon « Ô de mer », parfums d’orange et anisette, pommes grenailles et mousseline de rouille. Au dessert, les gourmands seront satisfaits par un petit bonbon chaud de chabichou du Poitou, cœur de miel et truffe, sirop pom’poires. Quant au menu, la maison propose en entrée une Ile flottante au délicat parfum de Tuber Albidum sur un velouté de cèpes de Dordogne. Vient ensuite, en plat de résistance, le bœuf Wagyu australien confit 8 heures et pâtes fraiches réduction de vieux pomerol aux perles du Japon et truffe. Le mélodieux repas s’achève avec le minestrone glacé de fruits de saison d’ici et d’ailleurs, glace à la truffe. ...
Avec ses magnifiques poutres bicentenaires, sa salle de 180 m2, ses tables grandement espacées et ses 12 m sous plafond, cette magnifique grange au nom évocateur séduit par sa cheminée centrale. Telle une capsule dans le temps, elle abrite par ailleurs un petit coin de paradis d’une autre époque, tant au niveau du luxe que celui du décor. Dans une ambiance chaleureuse et romantique où le temps date d’une autre époque, La Grange aux dîmes propose une cuisine moderne au gout du jour, tout le temps revisitée… Une cuisine gastronomique plus que traditionnelle, où de petites notes exotiques s’ajoutent au terroir français. Souhaitant être le plus proche possible des producteurs, l’enseigne aime travailler frais et acheter local, en sélectionnant des matières premières de qualité, tout en essayant vraiment de chercher le côté original des produits. Un menu unique, clin d’œil aux produits locaux Découvrez son menu à 38 € du midi et du soir, composé de 2 entrées, 2 plats et 2 desserts au choix. À goûter absolument, ses Coquilles Saint-Jacques au panais et jus de barbe poêlées juste comme il faut pour en faire ressortir le gout, son délicieux Filet de Bavière au caviar de courgettes et aux pommes fondantes, préparé avec de la viande de Bavière maturée pendant plusieurs semaines, son Croquant de noisettes à la mousse de châtaignes et petites meringuettes ou son dessert tout chocolat aux kumquats confits. Une mention particulière également pour la cuisson toujours parfaite et à la nacre du chef pour le Thon saisi et sa variété de choux, une de ses plus belles signatures. Pour accompagner chacun de vos repas, La Grange aux dîmes dispose d’une très belle carte des vins, qui met en avant tant les grandes appellations que les petits propriétaires. Des grands bordeaux aux champagnes, une riche sélection vous attend. Le Domaine Reignard, le Pouilly Fumé La Doucette ou encore la Maison Joseph Drouhin sont quelques références phares proposées par le restaurant. ...
Sous la houlette d’Éric Violette, qui est à l’accueil, et son chef cuisinier écossais. La cuisine Faite Maison de ce bistrot chic se déguste dans une ambiance conviviale et amicale. La petite anecdote des lieux concerne son nom Aux 24 Colonnes, qui s’inspire de la proximité avec le Palais de Justice du Vieux Lyon. Une cuisine gourmande dans un cadre authentique Implanté dans le quartier du Vieux Lyon, classé au patrimoine mondial de l’humanité, Le Bistrot du Palais offre un cadre authentique et original, puisqu’il est installé dans une ancienne écurie de la primatiale Saint-Jean-Baptiste, qui date de 1388. Tous les matériaux du bâtiment sont faits uniquement en matière naturelle, avec du bois ou de la pierre. Rien que son plafond à la française du début du XIXe siècle mérite amplement le détour. La salle affiche un décor traditionnel et élégant. Les grandes banquettes, les tables et les chaises en bois donnent tout son cachet à cet espace intérieur. Les nombreuses surfaces vitrées donnent l’impression d’agrandir les lieux tout en conférant un air chic et rétro au restaurant. Les spécialités lyonnaises à l’honneur Le restaurant prône une cuisine faite maison, élaborée avec des produits frais et de saisons. Toutes les matières premières sont fournies par des professionnels de la région comme la charcuterie Bobosse, la fromagerie de la Mère Richard, le glacier Nardone ou le pain des Jacobins. Elles permettent au chef d’élaborer de nombreux plats gourmands qui ravissent les palais. Ici, pas de menu. Seule une carte constituée de nombreuses spécialités lyonnaises est proposée. Celle-ci change tous les 3 mois, à chaque changement de saison. Tous les plats, même les spécialités de la région, sont revisités à la façon 24 Colonnes et font la réputation du restaurant. En entrée, les convives se délecteront d’une gratinée lyonnaise, de l’œuf meurette ou d’une salade lyonnaise à base de 5 variétés de salades, de lardons, de croûtons et d’œuf poché, ou encore du Claqueret. En plat de résistance, place à l’andouillette « Bobosse » à la Beaujolaise, le blanc de Poulet de Bresse farci au boudin noir et jambon cru, la Quenelle aux queues d’Ecrevisses. Pour les desserts, la tarte pralinée, le cake à la rhubarbe et aux amandes, le soufflé au chocolat achèvent le repas en beauté. ...
Forte d’une tradition séculaire, la distillerie Isautier produit du rhum d’exception alliant richesse aromatique et saveurs exotiques. La large gamme de Rhums blancs, Rhums vieux, Arrangés et Punchs, est l’emblème de la noble quête de qualité et d’excellence qui a animé plusieurs générations d’amoureux de cet élixir de vie. Une maison fière et forte de ses racines Nous sommes au milieu du XIXe siècle lorsque Louis et Charles Isautier jettent l’ancre sur une île qui deviendra, au fil des années, le sanctuaire d’une entreprise familiale de renom. Investissant d’abord dans le sucre, les Isautier prennent petit à petit la route du rhum. Cet engagement, en hommage à la richesse du terroir réunionnais, se concrétisera par la création de la distillerie Isautier en 1845 sous l’impulsion de Charles Isautier, le frère de Louis. Commence alors une épopée familiale couronnée de succès grâce à la diversification des produits de l’entreprise-mère mais surtout grâce à la production d’un rhum artisanal de qualité élaboré dans le respect de la pure tradition réunionnaise. L’âme du terroir dans chaque bouteille Les Isautier se consacrent principalement au rhum dans les années 1990 afin de donner le meilleur du terroir réunionnais. Depuis, leur ambition est de proposer une gamme de spiritueux authentiques et fidèles aux traditions en donnant la priorité à l’innovation. Cette ambition, à maintes reprises dignement récompensée, fait aujourd’hui partie de l’identité de la marque. Riche de près deux siècles d’existence, la Maison élabore ainsi des spiritueux à la mosaïque aromatique caractérisant l’île de la Réunion avec, en prime, du rhum vieux… et plus vieux encore. ...
Verzenay, avec ses 1 000 habitants, se trouve dans la Grande montagne de Reims. Réputé pour ses vignes qui dominent les terres à perte de vue, le village compte environ 410 hectares de vignobles pour une surface totale de 1 062 hectares. Son encépagement comprend 86 % de pinot noir, 14 % de chardonnay et 0.6 % de meunier, avec une classification 100 % Grand cru. Son climat fait une de ses particularités, puisqu’il jouit d’un climat dit « océanique dégradé ». Son terroir quant à lui repose sur un sol argilo-calcaire et de la coccolite (craie). C’est sur cette terre bénie par la nature que la famille Vignon produit ses champagnes dans le respect des traditions. Grâce à un savoir-faire ancestral et une grande passion pour le champagne de terroir, la maison Vignon fait partie des plus respectées dans sa région. Ses cinq hectares de vignes permettent la production de 15 000 à 18 000 bouteilles, dont 30 % est vouée à l’exportation (Allemagne, Japon, Angleterre, Italie, Costa Rica, Espagne, Belgique). Sur ce terroir, Stéphane Vignon prône « le respect au maximum de la nature ». Animé par l’amour de la terre et dans un souci de préserver l’environnement, le vigneron y pratique une viticulture raisonnée, d'ailleurs, le vignoble est en conversion pour obtenir l'HVE (Haute Valeur Environnementale). Des champagnes élaborés avec passion et amour La maison Vignon fait partie des producteurs à user de la technique de vinification parcellaire, dont 65% est travaillée en fûts issus de chênes des forêts de Verzenay. L’élevage en fûts se fait dans un nouveau cellier inauguré en 2006. Les vins quant à eux vieillissent dans une cave voûtée du 19e siècle. Un autre aspect important, les cuvées sont non filtrées, non collées, sur lies, dosées en extra-brut et la chaptalisation n'est pas recherchée. Des champagnes riches en goût et en saveur prennent ainsi vie au sein du domaine, à l’exemple du Vignon les Marquises Rosé (2012) élaboré à partir d'une seule vigne de 1965 et avec lequel la maison a gagné le Concours des Jeunes Talents du Champagne. Laissez-vous également charmer par la cuvée Vignon la Réserve des Marquises (2013), issue de sélection parcellaire de vieilles vignes de plus de 40 ans des terroirs Grand Cru de Verzy et Verzenay. ...
Terroir viticole et originalité bordelaise La notion de terroir est au cœur de la tradition viticole. Le terroir est un lieu insolite - son climat, sa pédologie et ses traditions - situé à la croisée de deux chemins longs de plusieurs siècles : celui d’un homme et d’un cépage qui s’y sont rencontrés et qui, depuis, cheminent ensemble. L’originalité des vins de Bordeaux naît du rituel de l’assemblage de ses cépages, chaque année recommencée dans le secret de nos chais. Classicisme Bordelais Au cœur de l’Entre Deux Mers, le château Grand Ferrand est doté d’un terroir de vallons et de terres argileuses. De ces terres que l’on dit tantôt fortes, dures à travailler ou à apprivoiser ; et tantôt amoureuses tant elles se cramponnent et collent aux pieds de qui les foule. C’est pourtant sur ce terroir de caractère que s’épanouissent avec harmonie nos vignes de Cabernet Sauvignon, Merlot, Malbec, Sémillon, Muscadelle et Sauvignon. Qu’elles y sont vendangées, vinifiées et scrupuleusement assemblées en des vins élégants, puissants et racés, héritiers du Classicisme Bordelais. ...
Mélange subtil entre les saveurs de l’Asie et de l’Europe, ce restaurant vous propose une rencontre inédite née de la fusion volontariste entre cuisine française et Asiatique. Un jardin Zen aux couleurs de l’Asie Décorée aux façons de l’Asie, la terrasse extérieure est à elle seule une invitation à la détente. Les convives glissent naturellement dans une ambiance zen où le stress n’a pas son mot à dire. Ici, entre deux parties de pétanque, de ping-pong ou de badminton, les invités s’accordent une pause digestive à l’ombre des platanes. A l’intérieur, on découvre un cadre plutôt simple mais convivial où le mobilier ainsi que les éléments de décors arborent fièrement une couleur vert-Jade. Clin d’œil à peine voilé pour la Chine dont sont originaires les propriétaires. Cuisine française avec une touche asiatique Derrière les fourneaux, le chef Konno Naoki distille un mélange de culture et de saveurs exotiques au gré des commandes. En entrée, le carpaccio de Saumons noirs vinaigrette wasabi fait mouche à tous les coups ! En plat principal, entre poissons ou viandes, le plus difficile est de choisir. Pour faire honneur aux origines du chef, pourquoi ne pas se laisser tenter par les fameuses gambas flambées au saké avec riz rouge pilaf ? Un pur délice ! Pour achever comme il se doit ce périple culinaire, rien de tel que le cheesecake saveur yuzu au azuki (haricot rouge japonais). Pour les habitués, le restaurant propose un rendez-vous dominical autour d’une formule brunch. L’occasion est idéale pour savourer de délicieux raviolis japonais aux poulets et légumes grillés ou encore un DimSum à la vapeur (porc et crevette). Côté boisson, l’endroit est connu pour ses nombreuses bières du monde. ...
Situé au bord de la plage de Biscarrosse, le restaurant du Grand Hôtel de la Plage accueille les gourmands en quête d’une cuisine savoureuse à déguster dans un cadre idyllique. Située sur la dune, les pieds dans l’eau, la terrasse en pin des Landes offre une vue imprenable sur l’océan Atlantique. À l’intérieur, une décoration moderne et authentique donne déjà un aperçu de l’allure raffinée de l’endroit. Les couleurs noir et blanc de la salle témoignent de son élégance et de sa simplicité tandis que les chaises en rose poudre apportent une note apaisante. De son côté, le bar en Corian, qui a été moulé sur place, charme par ses courbes arrondies et plans inclinés donnant forme à une cabine de bateau. Pour couronner le tout, l’éclat des lumières qui ont été intelligemment installées à travers la salle sublime l’ensemble. D’une cuisine de bistrot à une cuisine gastronomique Lieu emblématique de la ville de Biscarrosse, le restaurant du Grand Hôtel de la plage propose une cuisine bistronomique, qui combine parfaitement la convivialité d’un bistrot à l’aspect gastronomique de plats haute couture. Au menu comme à la carte, un large choix est proposé pour satisfaire les envies de chaque convive, même celle des plus exigeants. Se trouvant à proximité de la mer, le restaurant invite à vivre une fusion avec la nature marine et propose plusieurs plats à base de fruits de mer et de poissons, comme le navarin de homard et langoustines, le filet de maigre au beurre d’orange, le filet de bar aux poivrons confits ou les Saint-Jacques snackées et la purée d’artichauts aux agrumes. De même pour les huitres, qui proviennent directement du bassin d’Arcachon. Les amateurs de viandes ne sont pas en reste. Une série de succulentes suggestions les attend : pot-au-feu de canard, escalope de ris de veau façon viennoise, magret à la mangue rôtie, côte de veau bouchère à la crème de morilles. Aux fourneaux, Lionel Ménard, le chef, est loin d’être à court d’imagination. En s’inspirant de la cuisine de sa grand-mère maternelle, il réalise une cuisine traditionnelle savoureuse et simple, où les produits locaux sont à l’honneur. Néanmoins, il n’hésite pas à explorer les différentes saveurs du monde pour faire découvrir de nouveaux horizons culinaires aux plus aventuriers. Au gré des saisons, le chef se réinvente et se surpasse pour proposer des plats aussi audacieux qu’authentiques. Pour Lionel Ménard, la qualité est primordiale. Il préfère surtout s’approvisionner auprès des producteurs locaux afin de garantir la fraicheur des produits. En outre, il s’assure que le mariage met et vin soit bien réussi pour chaque plat. Une occasion pour les convives de découvrir la belle collection de vins, locaux et venus d’ailleurs, du restaurant. Par ailleurs, le bar ouvert convie à la dégustation des cocktails exotiques et originaux (Americano, ti-punch, piña colada…) ou des portagayola, qui sont une boisson issue de la macération de vin rouge, rosé ou blanc, de fruits entiers, d’armagnac et de sucre. Un endroit historique Demeure de charme des années 1930, l’hôtel a rouvert ses portes en 2013. Les travaux de rénovation ont apporté une touche de modernisme et d’authenticité à l’établissement sans que celui-ci perde son âme d’antan. En tout, il propose 33 chambres, dont 5 au rez-de-chaussée, 14 au premier étage et 14 au second, réparties en 5 catégories différentes. Chaque chambre éblouit par sa décoration sobre et chic, gardant le ton « noir et blanc » de l’établissement. De plus, les chambres sont toutes orientées vers l’océan et bénéficient soit d’un balcon, soit d’une terrasse pour que les clients profitent pleinement de ce paysage inédit. Et pour que la détente atteigne son paroxysme, l’hôtel met à disposition une grande piscine à débordement (durant l’été), un jacuzzi et un sauna. ...
Faire plaisir, il n’en faut pas beaucoup plus pour faire le bonheur de ces deux épicuriens. Riches de leurs expériences passées et animés par une passion effrénée pour leur métier, Sébastien Riou et Catell Kergadallan peuvent se targuer d’offrir l’une des tables les plus réputées de Périgueux. A l’honneur : une cuisine gastronomique, gourmande et maîtrisée à travers laquelle vous vous laisserez surprendre par la créativité débordante du chef. Chaque plat raconte une histoire : celle d’une originale association de saveurs et produits triés sur le volet auprès de producteurs locaux. Un concept unique Ayant passé son enfance en Lorraine, Sébastien Riou fait ses classes dans de prestigieux établissements notamment à Carantec auprès du chef doublement étoilé Patrick Jeffroy ou encore à Valence chez Anne-Sophie Pic détentrice de trois macarons au Guide Michelin. Chez l’un, Sébastien s’initie à la sélection rigoureuse des produits, chez l’autre, il apprend à mettre en avant rigueur et inventivité. Grâce à ses talents, il décroche un poste important à Puylaurens au Cap du Castel dont il devient le chef de cuisine. Voulant s’épanouir davantage en ayant la liberté de faire sa propre cuisine, le chef décide d’ouvrir son établissement. Il vivra cette aventure avec sa compagne Catell Kergadallan, pour qui l’univers de la cuisine n’a plus aucun secret. Ayant grandi dans une famille de maraîchers, elle est très tôt initiée au goût des bons produits. Son parcours au sein des grandes maisons comme les Relais & Châteaux des Côtes Finistériennes ou encore chez Michel Chabran à Pont de l’Isère (26) l’a aidé à acquérir une importante expérience qu’elle met désormais à profit au Parfum de Gourmandise où elle assure l’accueil et le service. Au rythme des saisons, ce restaurant désormais incontournable à Périgueux s’est lancé dans le concept de menu unique. L’idée est de vous faire découvrir des produits nouveaux qui n’auront probablement pas attiré votre attention dans un autre contexte. Laissez-vous guider par le prodigieux talent du chef en cuisine et appréciez l’expérience. Une rigoureuse sélection de produits auprès de producteurs locaux Ce menu unique est à la base constitué de quatre plats à savoir deux petites entrées, un plat et un dessert. Toutefois, il est possible d’aller jusqu’ à cinq voire sept services pour ainsi goûter à toutes les propositions suggérées par la maison. La cuisine personnelle inspirée de l’enfance du chef promet de surprendre vos papilles. L’un des ingrédients pique votre curiosité ? Catell vous donne de plus amples explications et va même aller le chercher en cuisine pour vous le montrer. Ce moment d’échange contribue à amplifier votre expérience Au Parfum de Gourmandise. La création des menus s’effectue en fonction des produits disponibles chez les éleveurs et agriculteurs locaux. « Tout est réfléchi d’avance. Deux à trois mois à l’avance, on fait un point avec nos maraîchers pour savoir ce qu’ils vont pouvoir nous offrir d’ici quelques mois. C’est de là que naissent les idées du chef » raconte Catell. D’ailleurs, en consultant la carte, la liste de producteurs qui ont aidé le chef à monter son menu est affichée. Une manière de rendre hommage au fabuleux travail de ces professionnels. Quand la simplicité côtoie le raffinement Le décor mise sur la simplicité et le raffinement. Rien de trop guindé. La salle révèle un style sobre avec une prépondérance de couleur claire pour conférer plus de luminosité. La cheminée en pierre donne un côté rétro-chic tandis que les poutres apparentes procurent une ambiance plus traditionnelle. Les luminaires judicieusement agencées donnent du charme à l’ensemble sans oublier l’art de table, avec des assiettes notamment dénichées chez la céramiste du coin. En tout, le restaurant possède 16 couverts répartis sur 6 tables. Pour être sûr d’y avoir ses entrées, il est donc plus sage de r...
L’histoire des champagnes Météyer commence en 1860, année durant laquelle Pierre Clément hérite des vignes de son beau-père. Le domaine passe de père en fils. Depuis 1989, c’est la cinquième génération, en la personne de Franck Météyer, qui s’occupe de l’exploitation avec son épouse, Anna. Vigneron indépendant, Franck prend soin de ses vignes en utilisant des méthodes de travail respectueuses de l’environnement et de la tradition champenoise. Plusieurs champagnes récompensés Parmi les champagnes proposés : La Carte Argent est un assemblage de Pinot Noir, Pinot Meunier et Chardonnay, offrant une robe dorée aux reflets argent, avec des bulles fines et persistantes. Ce Champagne, médaillé au prestigieux concours international Decanter en 2016, fut à plusieurs reprises sélectionné au Guide Hachette des Vins (2016 inclus). La Cuvée Marine, rareté présentée dans une bouteille bleue au look moderne et élégant, est composée de 50 % de Chardonnay, de 25 % de Pinot Noir et de 25 % de Pinot Meunier. En bouche, elle se démarque par une belle minéralité. Cette Cuvée, sélectionnée plusieurs fois au Guide Hachette des Vins et finaliste au Jeunes Talents du Champagne, fut médaillée au Challenge International du vin en 2016. L'Exclusif, l'un des trois monocépages de la gamme Météyer, est un champagne gastronomique. Ses dix ans de maturité lui confèrent des arômes puissants, tout en longueur et sans amertume. Cette cuvée zéro dosage atteint son apogée lorsqu'elle est carafée. Champagne plébiscité par “Le Monde”, sélectionné au Guide Hachette 2015 et médaillé Decanter 2016! Art et champagne Marquez un arrêt Champagne en visitant la cave de l’exploitation, où sont conservées de précieuses bouteilles. Poursuivez votre visite au musée de la vigne et du vin, pour découvrir, à travers d'anciens outils, l'histoire de la Champagne et du champagne. Parmi les curiosités : une machine à démasquer, un bossin, une guérite à dégorgement, une boucheuse à maillet du XIXe siècle ou un calice du XVIIIe siècle... Mais aussi d’anciens flacons et des costumes d’époque. Une salle de dégustation sublime et insolite vous révélera les trésors de la famille Météyer, et mettra en scène des expositions temporaires d'artistes du monde entier. ...