Tous les chocolats de la Maison Dalloyau sont fabriqués à partir de Criollo, de Forastero ou de Trinitario. Ces grands crus sont finement sélectionnés et importés du Venezuela, de l’Équateur, de Madagascar ou encore de la Côte d’Ivoire. Du sur-mesure Pour l’Opéra et tous les enrobages noirs de ses bonbons de chocolat, Dalloyau utilise une couverture sur mesure, créée en exclusivité pour la Maison : le TANNEA® 72. Réalisé à partir de cacao à 72 % et de beurre de cacao à 42 % pure origine Madagascar, ce chocolat développe des notes fraiches et fruitées. Ses arômes, marqués d’agrumes, sont présents dès l’attaque en bouche avec une mise en avant de saveurs citronnées. Le savoir-faire des maitres chocolatiers Ganaches de pure origine et matières premières d’exception choisies pour leurs saveurs naturelles et intenses : les bonbons de chocolat Dalloyau sont réalisés par les maitres chocolatiers selon des techniques artisanales et des gestes précis. Gianduja, Praliné craquant, Rocher lait praliné, Irrésistible caramel lait, Infiniment lacté, Carré d’épices, Lait de vanille, Cœur de fruits, Pralinas, Rocher noir praliné, Irrésistible caramel noir, Infiniment chocolaté, Intense 80 %, Fleur de jasmin, Mogador, Lady Grey… Rien que leurs noms mettent l’eau à la bouche ! Plaisir au quotidien et grandes occasions La Maison Dalloyau propose des écrins carrés avec des assortiments de 25 à 144 bonbons en chocolat à offrir ou à s’offrir. Les tablettes au chocolat au lait ou au chocolat noir préparées à partir de chocolat pure origine Madagascar, agrémentées de noisettes entières, d’amandes entières, de fruits secs, d’oranges confites, de cacahuètes salées ou de céréales croustillantes, sont parfaites pour se faire plaisir au quotidien. Les bouchées triples (Rocher noir, Rocher lait, Infiniment noir ou Infiniment lait) font chavirer les plus gourmands. Quant aux truffes, elles sont exceptionnellement fondantes en bouche. Pour les grandes occasions, la Dentelle de chocolat est mise à l’honneur. Chaque pièce, réalisée avec du chocolat noir 100 % pure origine Madagascar (boite, œuf de Pâques, bûche), est unique. Des pâtisseries intensément cacaotées Côté pâtisseries, l’indétrônable Opéra, créé en 1955 par Cyriaque Gavillon, contribue à la réputation de la Maison. Sa ganache au chocolat mariée à une crème au café, posée sur un biscuit Joconde, continue à séduire de nombreux palais. L’amusant Échiquier émoustille les papilles des gourmands avec ses 3 chocolats. Quant à la Religieuse de rêve®, élaborée dans un moule unique qui a nécessité de la part des chefs 9 mois de recherche, elle ravit 6 à 8 convives avec sa crème légère et fondante, intensément cacaotée. Une production artisanale Tous les produits sont fabriqués de façon artisanale dans l’unité de production située en région parisienne. Ils sont exclusivement vendus dans les 39 boutiques de la marque (11 en France, 21 au Japon, 3 à Dubaï, 2 en Azerbaïdjan, 2 à Hong Kong) et sur Internet. En 2016, le Guide des croqueurs de chocolat a décerné pour la deuxième année consécutive la distinction de « Tablette d’or » à la Maison Dalloyau. ...
Située au carrefour du Berry, de la Sologne et de la Touraine, Selles-sur-Cher est une commune française dont le nom évoque une mosaïque de paysages faits de landes et de prairies. Géographiquement implanté dans une zone de production de lait, de fabrication et d’affinage de fromage, Selles-sur-Cher compte parmi ses activités la viticulture, la gastronomie ainsi que des activités de campingen bordure du Cher. Ces caractéristiques en font un remarquable terroir où le fameux fromage du même nom a connu ses premières heures de gloire du XIXe siècle, à l’époque même où les femmes de quelques familles de fermiers de la région en faisaient un complément d’activités. Savoir-faire historique, fabrication stricte Fabriqué à partir de lait de chèvres issues de deux races typiques au terroir qui sont l’alpine et la saanen, le Selles sur Cher est un fromage au goût authentique qui n’a pas son pareil. Les conditions d’élevage des animaux dont il est issu ainsi que leur système de production sont strictement limités à leur unique zone géographique, où les chèvres bénéficient d’un espace adapté à leur bien-être et à leur productivité optimale en lait. Celles-ci sont principalement nourries au foin des prairies naturelles de la région (Fouzon, Nahon, Sologne) auquel vient s’ajouter des compléments de céréales autoproduites, le principe étant de conserver la quasi-totalité de leur alimentation exclusivement sur le territoire en interdisant les OGM et l’huile de palme. ...
Les quatre hectares de vignes du domaine se trouvent sur un terrain aux conditions physiques extrêmes. Les vignes y sont installées en terrasse sur des pentes escarpées difficiles d’accès et constamment soumises au mistral. Et pourtant, la région était déjà convoitée depuis l’époque romaine pour la viticulture. En effet, les plants de Syrah, cépage central de l’appellation Côte Rôtie, se plaisent particulièrement sur ces sols schisteux et granitiques. De plus, la situation en coteaux des vignes favorisent un excellent ensoleillement tout au long de l'année, permettant une maturation optimale des raisins. La gamme des vins Chaque année, le Domaine du Corps de Loup produit douze-mille bouteilles réparties en quatre cuvées. « Notre classique est notre Côte Blonde sur le lieu-dit Corps de Loup. C’est un vin 100% Syrah sur du granit » explique Martin Daubrée. Cette cuvée, qui s’appelle évidemment « Corps de Loup » en AOP Côte-Rôtie, est un vin à dominante fruitée. Issue du même terroir, la cuvée « Marions-les » AOP Côte-Rôtie, est issue d’une sélection parcellaire, assemblage du Viognier et de la Syrah. « Le principe de cette cuvée est de vinifier ensemble les deux cépages, ce qui va donner une Côte-Rôtie plus aromatique, plus douce, avec une belle rondeur en bouche » précise Martin. La cuvée « Paradis » AOP Côte-Rôtie est quant à elle tirée du lieu-dit Janet, sur les hauteurs d’Ampuis, sur la Côte Brune. C’est un vin complexe et profond, doté d’une riche palette aromatique. Le domaine produit également une élégante de cuvée d'AOP Condrieu, élevée neuf mois en fûts. Des formules adaptées pour la visite Tout le long de l’année, le vignoble et le caveau du Domaine du Corps de Loup sont ouverts aux amateurs et passionnés de vins. « C’est quelque chose que nous avons beaucoup développé ces dernières années. Nous avons plusieurs formules qui s’adaptent à tous les goûts. On a la chance d’habiter un site avec les vignes et la cave qui se trouvent au même endroit » explique Martin Daubrée. Côté tarif, les prestations peuvent varier du gratuit à 25 euros selon la formule choisie. L’initiation, accessible sans rendez-vous au préalable, propose une dégustation commentée et gratuite de tous les vins du domaine. La formule visite, déclinée en mini-visite et visite complète, inclut une visite du domaine et de la cave, ainsi que la dégustation de la gamme complète du domaine. La formule complète s’accompagne de produits du terroir pour la dégustation. Pour cet été, le domaine a créé la formule spéciale « Prestige », proposant une visite complète du domaine, la dégustation de la gamme Côte-Rôtie sur fut et la dégustation de la gamme complète du domaine, le tout accompagné de produits du terroir. Il faut savoir également que le domaine fait partie du label « Vignobles et Découvertes » et travaille en relation étroite collaboration avec les offices du tourisme de la région. ...
Construit vers le XIVe siècle sur la commune de Bormes-les-Mimosas, dans le Var, l’imposant Château Léoube a été racheté en 1997 puis complètement restauré par l’industriel anglais Lord Anthony Bamford. Le domaine est situé sur l’un des plus beaux sites protégés d’Europe, au cap Bénat, près de Saint-Tropez, et s’étend sur quatre kilomètres de littoral sauvage. À lui seul, il couvre 560 hectares, dont 68 hectares dédiés à la culture de vignes et 23 hectares à l’olivier. Un domaine viticole exceptionnel Bénéficiant d’une situation géographique exceptionnelle, avec un ensoleillement optimal et une terre ocre-argileuse très généreuse, « le vignoble génère une production annuelle de 450 000 bouteilles de vins blancs, rouges et principalement des rosés, tous certifiés biologiques par le label Ecocert depuis 2011 », rapporte Jean Dubille - Directeur général du Château Léoube. Outre son terroir d'exception, le Château Léoube véhicule des valeurs humaines qui contribuent à son succès. Une équipe de 80 personnes assure le bon fonctionnement des activités de l'exploitation. Parmi elles, figure l’œnologue Romain Ott qui affirme son savoir-faire et sa passion du vin à travers ses cuvées aussi fruitées qu’équilibrées. Des vins rosés dignes des tables gastronomiques Romain Ott et son équipe élaborent une variété des meilleurs crus de Côtes de Provence grâce à un processus de fabrication rigoureux et respectueux de l’environnement. Le Château Léoube se distingue particulièrement par ses vins rosés qui se déclinent sous quatre gammes, à savoir le Rosé de Léoube, le Sparkling de Léoube (rosé pétillant), le Léoube La Londe et le Secret de Léoube, la cuvée emblématique du domaine. Ces deux derniers produits sont des « vins rosés de gastronomie », note Romain Ott. Par ailleurs, même si le vignoble est implanté sur la terre de prédilection de vins rosés qu’est la Provence, il produit merveilleusement des vins rouges structurés et puissants et aussi des vins blancs élégants à déguster avec délectation. Une offre œnotouristique séduisante en bord de mer Le château propose dans sa boutique des dégustations de vins toute l’année et des visites de caves. Cerise sur le gâteau : la plage naturelle du Pellegrin qui se trouve à quelques mètres du domaine est accessible à tous les visiteurs par un parking payant. Là, les parasols du Café de Léoube n’attendent que les vacanciers, avec au menu des produits biologiques locaux, sans oublier les vins de la maison servis sur place. ...
La Bourgogne-Franche-Comté, une région de bonne cuisine La Bourgogne-Franche-Comté produit des escargots, le bœuf charolais et le poulet de Bresse qui servent à la préparation de plats délicieux comme le filet de bœuf charolais aux champignons et le poulet de Bresse à la crème aux truffes. Le comté, fromage produit en Franche-Comté, est un des plus utilisés dans la cuisine française. La région se veut être une des régions françaises les plus connues en matière de bonne cuisine. Les spécialités régionales sont, entre autres, le bœuf bourguignon et le coq au vin. Elle est aussi connue pour son vignoble qui compte plus de 80 AOC de Bourgogne et celui du Jura qui produit des vins blancs d’appellation Côtes-du-Jura ainsi que des vins jaunes et paillés d’AOC Arbois. Le Rabutin, de père en fils Le Rabutin est un restaurant pizzeria traiteur ouvert en 2000 par M. Funès. Armé d’une quarantaine d’années d’expérience culinaire, il y travaille depuis 2002 avec son fils Mickael. Le restaurant charme par sa proximité avec le château de Bussy-Rabutin et le Muséoparc d’Alésia, dans la ville d’Alise-Sainte-Reine. À l’extérieur de l’établissement, on trouve une terrasse fleurie et ombragée. L’intérieur est magnifiquement décoré selon le gout du propriétaire. En effet Mickael Funès est passionné de Harley Davidson. « À partir du moment où le client entre dans le restaurant, il entre chez moi. Je l’ai décoré sur un thème un peu rétro, un peu Harley », nous explique-t-il. Le restaurant compte aussi un bar et dipose d’une salle des fêtes à proximité, qui accueille des concerts sur invitation et bien d’autres évènements. Une cuisine familiale et traditionnelle bourguignonne Le Rabutin propose des pizzas à l’andouillette et à l’époisses avec des huiles d’olive méticuleusement sélectionnées et des farines importées d’Italie. Mais le restaurant fait de la cuisine traditionnelle bourguignonne son véritable point d’honneur. Mickael Funès utilise 98 % de produits frais comme le bœuf charolais de Bourgogne, le poulet de Bresse, les betteraves, les concombres, les tomates, les œufs. Il s’assure bien évidemment que ce sont des produits locaux de qualité. « Nous proposons des assiettes très généreuses avec des produits de qualité. Nous servons du label Charolais de Bourgogne », souligne-t-il. Il travaille aussi avec des producteurs locaux bien connus comme Ma très bonne glace. Le Rabutin, c’est aussi un service traiteur avec des buffets campagnards, dont des plateaux de charcuterie issues du Jura, du Doubs et du Morvan. Pour l’entrée, le choix est vaste. Les œufs cocotte à la dijonnaise sont une cuisson d’œufs frais dans une petite cocotte, dans un four à pizza à très haute température. En fin de cuisson, on y rajoute une petite sauce crème à la moutarde à l’ancienne. Il sont servis avec des mouillettes et s’accordent parfaitement avec du vin blanc. La terrine de campagne maison est une terrine de campagne traditionnelle faite à base de gorge de porc et de foies de volaille. Cette entrée est dressée avec une tranche de terrine, un petit bouquet de salade verte à l’huile d’olive bio et au vinaigre balsamique, ainsi que des framboises. Elle s’accorde parfaitement avec le Boisset Bourgogne. Pour le plat principal, la tête de veau traditionnelle est cuisinée avec du veau Charolais de Bourgogne et servie chaude avec sa sauce Gribiche et des pommes vapeur. Les œufs en meurette sont des œufs pochés dans du vin rouge, égouttés, servis sur un crouton de pain aillé et nappés d’une sauce au vin rouge. Ils sont parfaits avec des vins d’appellation Maranges comme les Clos Roussots. La mousse au chocolat, la crème caramel, la crème brulée au grand marnier, la tarte aux fruits de saison et la crème de cassis de Dijon sont les principaux desserts du Rabutin. ...
Équipé d’un espace intérieur de 1 500 m2 et d’un espace extérieur de même superficie, le Nouveau Chalet du lac est un lieu d’émotion qui permet de recevoir jusqu’à 2 000 personnes en cocktails et 900 couverts en repas assis et doté de trois terrasses, un parking gratuit ainsi qu'un fumoir. Rendez-vous sur la piste après diner Conçu et pensé pour le confort et la convivialité, l’établissement s’assimile à une grande maison d’hôtes de campagne, propice aux invitations festives et gourmandes, où décor rétro et décor contemporain sont en parfait accord. Offrant un mélange minutieux d'Italie et de tradition française, ce lieu emblématique comble les fins palais qui, après un bon dîner, peuvent enchaîner sur une pure soirée dansante sur fond de musique généraliste jusqu'au petit matin. Brunch dominical : un incontournable Le Nouveau Chalet du Lac est une adresse bien connue pour les brunchs dominicaux dans le Bois de Vincennes. Au programme : crêpes, mini-viennoiseries, jus de fruits, fromage blanc, thé, café, chocolat et yaourts. Le buffet est également composé de plusieurs plats salés pour ne citer que les œufs brouillés, antipasti, carpaccio de rosbeef, tartes, saumon froid au thym et citron, charcuterie et fromages. Au dessert, les îles flottantes, gâteaux au chocolat, salades de fruits, verrines de panna cotta ou de tiramisu apportent une touche de douceur. Comme le restaurant ne désemplit jamais, une réservation par téléphone est conseillée. Lieux privatisables à souhait Le Nouveau Chalet du lac est un lieu idéal pour les réceptions en extérieur. Situé en plein cœur du bois de Vincennes et à faible distance du lac, vous avez le choix entre la terrasse Clémentine pour une immersion dans l’écrin de verdure de l’entrée du bois, où parasols et bar de terrasse se prêtent volontiers à un éventuel cocktail privatif ou à un diner d’esprit guinguette, et le terrain attenant au Chalet qui offre un espace totalement modulable. Un moment d’immersion en pleine nature, ouvert sur un espace accueillant d’inventives scénographies en perspective. Figurant parmi les espaces privatisables du Chalet, la véranda d’une capacité d’accueil de 150 personnes en cocktail et de 80 repas assis est idéale pour accueillir une réception conviviale avec vue sur le lac. Faisant office de salle de commission attenante aux deux autres salons, l’espace Véranda s’adapte à la demande à différentes configurations, en journée comme en soirée. ...
Le Domaine Gayrard est une propriété de 100 hectares située au cœur du vignoble de Gaillac, sur le plateau Cordais, à Milhavet, dans le Tarn. Depuis 5 siècles, les générations de la même famille se sont succédées. L’arrière-grand-père Maurice a notamment été un des pionniers de la vente en bouteilles de mousseux dans les années 1950. Une tradition interrompue en 1992 avec l’arrachage des vignes du domaine au profit de cultures céréalières. Aujourd’hui, Pierre Fabre et sa compagne Laure Gros ont repris l’activité viticole avec pour objectif premier de porter haut les flambeaux du domaine historique. La renaissance Pierre Fabre, ingénieur agronome de formation, a mené une carrière d’expert pour des compagnies d’assurance. Le déclic d’une reconversion est venu lors d’un stage pour une formation dans une winery en Californie. Dès lors, il s’oriente dans l’expertise de la vigne, puis, il y a deux ans, se décide finalement à relancer le domaine familial. Avec l’aide précieuse de sa compagne Laure Gros, il replante d’abord 4 hectares de vignes sur le domaine puis acquiert 4 autres hectares de vieilles vignes au cœur du vignoble de Gaillac, à quelques kilomètres de là. A l’horizon 2017, ils envisagent encore de doubler la surface en production. En parallèle, le couple investit dans une nouvelle cave ultramoderne afin de relancer la production. Avec déjà deux vendanges et deux millésimes, la conversion en Agriculture Biologique du domaine vient d’être amorcée. Le domaine étant situé sur une route touristique entre Albi et Cordes-sur-Ciel, inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO, Pierre Fabre et Laure Gros prévoient également d’y développer l’œnotourisme, en ouvrant notamment la cave au public. Deux gammes pour cinq cuvées Le domaine Gayrard focalise ses efforts vers la production de vins monocépages. Il produit deux gammes de vins raffinés et conviviaux, répartis en deux rouges, deux blancs et un rosé. La cuvée Tradition composée du « Rouge Syrah » et du « Blanc Sec Loin de l’Œil » s’apprécie pour son élégance et sa finesse. Le « Rouge Braucol » charnu, rustique et coloré, le « Blanc Sec Sauvignon » et le « Rosé Maurice » qui rend hommage à l’arrière-grand-père de Pierre Fabre forment une gamme de vins fruités et gourmands. En 2015, 8 000 bouteilles ont été produites au domaine. À l’horizon 2017, le domaine souhaite atteindre le cap des 20 000 bouteilles. La commercialisation ne fait que commencer, mais déjà le couple Fabre a pour projet de se tourner vers l’exportation à destination des pays germanophones et anglophones. En parallèle, le domaine produit également des truffes sur 2 hectares de parcelles, le péché mignon de Pierre Fabre. Il est d’ailleurs adhérent au syndicat des trufficulteurs du Tarn. L’objectif est de pouvoir associer la dégustation de ses truffes avec celle de ses vins. ...
En 1953, alors que l’appellation Buzet n’existe pas encore, un groupe de viticulteurs s’allie pour former la coopérative Les Vignerons de Buzet. La coopérative Les Vignerons de Buzet représente aujourd’hui 95% de l’appellation Buzet. Elle s’engage à vinifier et commercialiser des vins issus de pratiques responsables et durables. Une démarche responsable et durable à tous les niveaux « Nous sommes une coopérative fortement engagée sur le thème du développement et de la transition agroécologique », introduit Mariane Riboulet, responsable de la communication chez Les Vignerons de Buzet. Depuis 12 ans maintenant, cette philosophie est appliquée de la vigne à la bouteille. A cet effet, les vignes sont conduites en agriculture raisonnée et certains traitements chimiques sont supprimés. Ce qui signifie : zéro engrais chimiques, zéro désherbants chimiques résiduaires, zéro produits CMR (cancérigènes, mutagènes, reprotoxiques). Et comme la coopérative veille méticuleusement à la préservation de l’écosystème, les insecticides nocifs pour les abeilles, dont les néonicotinoïdes, sont également bannis du cahier des charges. Par ailleurs, la question de l’économie d’énergie est réellement prise au sérieux. Les Vignerons de Buzet misent notamment sur les couverts végétaux afin de mieux gérer la ressource en eau dans les vignes. Toutes ces initiatives sont volontaires et vont au-delà de l’aspect environnemental. « Ces démarches écoresponsables ne se limitent pas au niveau du traitement des vignes », ajoute Mariane Riboulet. « Nous nous employons à ce que tout le processus d’élaboration du vin soit conforme à notre vision. C’est pourquoi nous travaillons aussi à l’écoconception de nos bouteilles, cartons, coffrets, etc…». Des vins pour tous « Baron d’Ardeuil » est un vin représentatif de la coopérative. « C’est la cuvée historique de la maison », nous confie notre interlocutrice. Le Baron d’Ardeuil se décline en rouge et en blanc. Baron d’Ardeuil rouge est issu de terroir de graves et d’argilocalcaires où les cépages Merlot, Cabernet Franc et Cabernet Sauvignon s’enracinent harmonieusement. Baron d’Ardeuil rouge est un vin plutôt puissant, boisé sans excès. De son côté, la cuvée Petit Baron se révèle être une porte d’entrée dans l’univers des vins de Buzet. Lancée en mars 2019, sur les trois couleurs (rouge, rosé et blanc), la gamme Petit Baron est née d’une volonté de donner une place à la chouette Chevêche d’Athéna, espèce protégée qui accompagne les viticulteurs des Vignerons de Buzet depuis longtemps car elle a été réintroduite dans le vignoble. Guidés par la chouette, Les Vignerons de Buzet reversent 1% des bénéfices générés par les ventes de cette cuvée en soutien à des initiatives environnementales, via l'organisme "1% for the Planet". La coopérative a également développé des vins sans sulfites ajoutés. Cette fois-ci, on dit non au soufre ajouté, additif qui a désormais rejoint le rang des allergènes. Parmi les ambassadrices de cette gamme de vins figure la cuvée "Sans", qui se décline en vin sans sulfites ajoutés rouge, rosé et blanc. Dans l’atelier du vigneron Les Vignerons de Buzet proposent une visite guidée dans le vignoble. L’animation est assurée par un viticulteur et un apiculteur qui se feront un plaisir d’exposer le cœur de métier de la coopérative. « Ces experts expliqueront respectivement toutes nos pratiques culturales liées à la transition agro-écologique. Les visiteurs découvriront, par exemple, comment sont préservés les insectes pollinisateurs, notamment les abeilles », éclaire Mariane Riboulet. Notons que la coopérative est engagée dans le label Bee Friendly qui promeut fervemment la protection des abeilles. Cette balade pédestre s’achève par une séance de dégustation où les visiteurs peuvent apprécier les vins et les produits du terroir en toute convi...
Identifié par le négociant Edouard Kressmann dès 1871, c’est seulement en 1930 que son fils ainé Alfred acquiert la propriété. Ce dernier décide alors de renommer la propriété afin d’éviter toute confusion avec son illustre homologue du Médoc, le Château-Latour. En 1954, c’est au tour de Jean Kressmann de reprendre le flambeau. Celui-ci agrandit le domaine avec l’acquisition de nouvelles parcelles, qui passe de 15 à 30 hectares. Il fait partie de ces hommes qui ont contribué à la création de l’appellation communale Pessac-Léognan. Actuellement, le domaine est dirigé par Tristan et Loïc Kressmann, fils cadets de Jean. Ils ont poursuivi l’œuvre de leur père avec notamment la rénovation importante des chais intervenue au début des années 90 et l’ajout de parcelles de Sauvignon Blanc à celles du Sémillon pour tirer profit du meilleur de ce terroir de graves. Terroir d’exception en viticulture raisonnée Le vignoble de Château Latour-Martillac est réparti en deux parcelles bien distinctes. Grattecap est une très vieille parcelle de seulement 65 ares qui date de 1884. Située au sud-est du domaine, elle accueille du Sémillon, de la Muscadelle et du Sauvignon Blanc. Le plateau du Martillac, dispose d’un terroir à mosaïque de graves, mélange de quartz, jaspes, lydiennes et silex. Ce genre de sol est parfait pour la culture de la vigne, particulièrement pour le Cabernet Sauvignon et le Petit-Verdot. Plus près de la Garonne, le terroir est constitué de sol argilo-calcaire avec des graves en surface. Les cépages blancs comme le Sauvignon Blanc et le Sémillon s’y plaisent particulièrement. Au Château Latour-Martillac, le respect de l’environnement est une préoccupation majeure. Avec l’aide de Denis Wendling, chef de culture, le domaine a mis en place une viticulture raisonnée. L’utilisation d’intrants chimiques est limitée au profit de la plantation de jachères et de haies qui favorise une faune auxiliaire. Des labours, échardages, effeuillages et vendanges vertes sont menés et prennent le pas sur les herbicides. Les effluents viticoles sont également récupérés et traités grâce une aire de lavage moderne. Une vinification de haute voltige Le Château Latour-Martillac doit sa réputation à ses vins blancs exceptionnels. Afin de perpétuer cette renommée, le domaine a recruté au début des années 1990 l’œnologue Valérie Vialard. Sous l’impulsion de Loïc Kressmann, elle supervise avec une précision chirurgicale toute la vinification. La totalité de la vendange est effectuée manuellement, avec des tris successifs et sélectifs des grappes de raisins. Les vins blancs sont fermentés dans des barriques et élevés sur lies, avec un bâtonnage régulier pour apporter arômes et structures aux vins. La fermentation des vins rouges se fait dans des cuves en inox thermorégulées. Chaque parcelle est vinifiée séparément et l’élevage s’effectue dans des barriques en chêne français durant 16 à 18 mois. Des vins de référence Depuis qu’ils ont pris les rênes de la propriété, Tristan et Loïc Kressmann ont mis en place une belle gamme de vins de Bordeaux, dont le Château Latour-Martillac, Cru Classé de Graves en rouge et en blanc depuis 1953. Au fil des millésimes, les vins du domaine sont devenus des références del’appellation Pessac-Léognan. Lagrave-Martillac est le second vin du Château Latour-Martillac. Il existe depuis 1986 pour le rouge et 1990 pour le blanc, toujours en appellation Pessac-Léognan. Avec l’acquisition du Château Langlet en 1999, les équipes du château ont élargi leur expertise à l’appellation Graves. Le « Château Latour-Martillac » blanc 2013 est issu à 70% de Sauvignon Blanc et 30% de Sémillon. Il a été élevé sur lies durant 15 mois dont 10 en barrique. Au nez, ce vin dévoile des arômes de fruits blancs et agrumes. En bouche, son attaque est élégante et équilibrée, avec des notes de pêches blanches. Cette cuvée se révèle être un excellent vin de garde. « Lagrave Martillac » rouge est élabor...
Le restaurant D’Eux-Mêmes garantit à ses hôtes de jolies découvertes culinaires rouennaises. Inspirée de l’esprit Escoffier, la cuisine respecte le gout authentique des produits frais. David Oper et Amélie Tessier, propriétaires du restaurant et du bistrot gourmand, soutiennent : « La cuisine est instinctive et ludique. Le produit est la star car notre philosophie c’est de dénicher un produit local d’exception ! ». Au restaurant, une carte audacieuse, des produits frais et des prix attractifs séduisent les gourmets. Aux Halles : l’esprit marché Aux Halles, Ici, c’est comme au marché, un même lieu pour savourer plusieurs ambiances : cave à vins, boucherie, terre et mer, et aussi espace boudoir et salon privé. Une salle privative dédiée au rugby reçoit les sportifs pour la troisième mi-temps mais aussi pour les clients d’affaire. Fauteuils en cuirs, tables et sièges colorés, le décor des Halles by D’Eux-Mêmes est une invitation aux moments festifs et conviviaux. Côté cuisine, les mets sont riches de saveurs. Spontanéité et inventivité sont les lignes de conduite du chef. On y goute sa spécialité : le fish and chips. Les merlans en colère, voutés et alignés en cercle, sont panés. Au milieu, se nichent des frites croustillantes. Côté boucherie, les amateurs apprécient les déclinaisons de jambons basques ou normands. Les pièces sont de qualité : iberico ou bodega reserva, avec 24 à 60 mois d’affinage. Une spécificité maison : thon, saumon et canard sont fumés à la sciure de bois à l’intérieur de la cuisine. En bref, aux Halles, c’est ici, que l’on sirote un mojito glacé ou une sangria rosé et que l’on croque de bons tapas, tout en bavardant entre copines. Les amateurs de vins s’accoudent au bar, et dégustent un des crus sélectionnés avec soin. Restaurant D’Eux-Mêmes : jeux de saveurs Au restaurant, fraîcheur et originalité sont maîtres-mots. « On s’inspire des voyages autant au niveau de la décoration comme de l’assiette » sourit David Oper, propriétaire des lieux. Les produits du terroir sont choisis avec soin par le chef. Les fournisseurs sont des producteurs locaux pêcheurs du Havre, éleveurs de Normandie. Les plats d’inspiration normande enchantent les papilles. En entrée, dégustez le foie gras de canard mi-cuit en terrine, assaisonné aux grains de café torréfiés, le chef présente un accord délicat de sucré-salé. Le pressé d’épaules et de pieds de cochons normands est un plat réputé du pays. Ici, le chef l’arrose de vin rouge et le sert à la façon d’une terrine, agrémenté d’une sauce à la moutarde de violette. En plat principal, on choisit la côte de bœuf frottée finement à la fleur de sel avec ses pommes de terres montées au beurre frais. Côté mer, on goûte le pavé de cabillaud snacké au beurre ½ sel, étuvée de poireaux aux coques, émulsion au lard fumé légèrement iodé. Les curieux la saint jacques raidies à la plancha, betterave en déclinaison de textures et de saveurs, quelques gouttes d’hules de noisettes. En dessert, optez pour une des créations originales du chef : parfait glacé à la clémentine, copeaux de chocolat noir, jus de clémentines réduit aux clous de girofles ou bien un biscuit moelleux à l’amande et chocolat blanc, fine compote de pommes à la vanille bourbon et sa glace. Tout chocolat : palet chocolat a l’ariaga noir, crémeux au miel de fleur et cacao, glace chocolat une douceur pleine de sensualité. La carte des vins propose une sélection variée avec quelques crus bourgeois. Amoureux du gout du « vrai », le chef met à l’œuvre dans l’assiette l’esprit D’Eux-Mêmes : des produits frais, une cuisine spontanée pour le plaisir des sens. Le Restaurant D’Eux-Mêmes est continuellement à la recherche d’artistes locaux afin de vous proposer un endroit toujours en mouvements. Le Restaurant propose régulièrement des animations ainsi que ...
Installé en plein cœur du centre de la ville d’art et culture, sur la Place des Cardeurs, le restaurant l’Epicurien tranche par la qualité des services et des menus proposés. Une adresse discrète à l’ambiance intimiste qui fait le bonheur des aixois et touristes de passage venus déguster une cuisine bistronomique. Un chef inspiré et créatifPour vivre une expérience culinaire hors des sentiers battus, dans une ambiance conviviale aux couleurs du sud, l’Epicurien ouvre ses portes. Un établissement qui porte bien son nom, dirigé par un chef passionné. Ludovic Aillaud fait ses premières gammes dans le Luberon au sein de l’établissement étoilé d’Edouard Loubet où il se découvre une prédilection pour les herbes, qu’il apprendra à maîtriser à la perfection. En parallèle, il continue ses études dans les métiers de la restauration et de l’hôtellerie. Plus tard, il intègre l’établissement marseillais Le Charles Livon et exerce comme second de Christian Ernst. Avec son expérience et ses talents, il est temps pour le chef de voler de ses propres ailes. En 2010, il investit le Forum des Cardeurs et concrétise un rêve : l’ouverture de son restaurant aux allures de bistrot chic, devenu rapidement l’une des références les plus citées de la ville. L’intérieur propose un cadre agréable et cosy ponctué par une décoration raffinée. Les toiles d’artistes ornant les murs et les tables en bois donnent tout son cachet à la salle. Le personnel est sympathique et Laura Aillaud, la maitresse des lieux, garantit un bon acceuil et service. Elle pourra notamment vous conseiller sur les choix des vins car il faut savoir que l'établissement possède une centaine de références variant régulièrement. Des vins de vignerons oeuvrant dans le respect du terroir et de leur écosystème ont été spécialement sélectionnés. Une cuisine de saisonEcrite à l’ardoise, la carte est évolutive et change toutes les semaines. Elle est élaborée suivant la saisonnalité, la qualité et la fraîcheur des produits mais surtout, en fonction de l’inspiration et de l’humeur du chef. Pour flatter les papilles, il n’hésite pas à plonger dans ses livres de cuisine qui lui soufflent les idées les plus originales. Chaque jour, trois entrées, trois plats et trois desserts sont proposés, de quoi satisfaire toutes les envies.Des plats signatures ? Oui. En été, les aixois investissent la belle terrasse de l’Epicurien qui se prolonge dans la rue pour venir déguster les fameux fleurs de courgette qui font la réputation du chef. Il lui arrive même d’organiser des ateliers où il partage tous les secrets de préparation de cette spécialité provençale. En tempura, vapeurs ou farcies, les fleurs de courgette se déclinent en de multiples saveurs. A ce titre, si vous souhaitez participer aux cours de cuisine du chef, il est temps de d’ores et déjà vous renseigner. Mais vous pourrez aussi faire appel à ses services pour animer vos événements (anniversaire, séminaire d’entreprise, enterrement de vie de jeune fille…) dans le cadre d’ateliers privés. ...
Frais Émincés, c’est avant tout une entreprise à taille humaine, employant une quarantaine d’employés. « Chez nous, la valeur familiale est très ancrée dans notre culture du travail », renchérit Marc Pajotin, le directeur de l’enseigne. Cette dimension humaine pousse l’entreprise à privilégier une démarche locavore, non seulement pour honorer les produits de la région Loire-Atlantique mais surtout pour avoir la garantie d’obtenir des produits frais à tout moment. Du producteur à notre assiette La fraîcheur et la qualité constituent l’ADN de Frais Émincés. L’entreprise s’approvisionne directement et quotidiennement auprès des maraîchers régionaux travaillant en agriculture raisonnée. « On vérifie à la réception la bonne qualité des fruits et légumes, car on a des critères exigeants sur le choix de matières premières », explique notre interlocuteur. Les produits sont alors épluchés, débactérisés et lavés avant d’être découpés sous plusieurs formes : en rondelle, en émincé, en julienne, en cube, en lanière… À partir de là, des procédés variés permettent alors de réaliser différents types de produits, soit par simple mélange pour les apéritifs et snacking, soit par une technologie à haute pression afin de conserver plus longtemps la fraîcheur, soit par des méthodes de découpe particulières pour répondre aux demandes spécifiques des clients de la restauration. Les produits sont alors prêts à être conditionnés et sont envoyés à la livraison. Et toutes ces étapes sont réalisées en un temps record, pour relever le défi de « livrer dans la journée toute commande reçue le matin et ainsi ne pas altérer la fraîcheur ». Une gamme de fruits et légumes prête à l’emploi et prête à la consommation « À la base, notre idée était de fournir des produits super frais prêts à l’emploi aux restaurateurs pour leur faire gagner du temps », reprend Marc Pajotin pour expliquer le concept. En effet, les légumes et fruits découpés présentent un double avantage pour les restaurateurs, aussi bien sur la rapidité de la préparation que sur la qualité de la présentation des plats, pour être à la hauteur des exigences de leurs clients. Toujours avec cette même expertise, Frais Émincés a décidé d’adapter ses offres à une demande plus large et pour un usage quotidien, en essayant de varier les recettes et le mode de cuisson. En 2005, donc, elle a lancé le plateau apéro qui se compose de bâtonnets de carottes, de céleris et de courgettes accompagnés d’une petite sauce pour manger sainement tout au long de la journée. De savoureux shakers de fruits ont été également introduits quelques années plus tard au sein des rayons frais des fruits et légumes en Grande Distribution. C'est la société Frais Emincés qui récemment a lancé les spaghettis de légumes ou une nouvelle gamme de fraîche découpe bio que l'on retrouve dans les rayons frais des Fruits et Légumes en Grande Distribution. « Il est important pour nous de proposer un large choix de produits de qualité et surtout des produits qui ont du goût », termine-t-il. ...
Sous le charme authentique au décor intimiste et raffiné d’un établissement 5 étoiles, le lieu séduit par son ambiance méditerranéenne, enveloppée d’un léger romantisme. L’établissement saisit l’occasion du printemps pour ouvrir son patio florentin et laisser apparaitre une charmante fontaine surplombée d’une façade en trompe-l’œil, afin de permettre aux clients de vivre une exceptionnelle Dolce Vita. Une cuisine de haute tenue Créatif et talentueux, le chef Ugo Gastaldi se plait à composer de belles assiettes où le meilleur des saveurs italiennes se dévoile au grand plaisir des gourmets et des gourmands. Des atouts incomparables qui lui valent de proposer une carte aux charmes méditerranéens au sein du restaurant l’Assaggio et de faire du Castille une référence parisienne. Découvrez une carte variée qui change au gré des saisons avec un très large choix de vins d’Italie qui permettent de belles associations. ...
En 1992, Corinne Chevrier-Loriaud, 4e génération de vignerons, fait l’acquisition du domaine Château Bel-Air La Royère. Entourée par une équipe à 90 % féminine, celle-ci s’est fixé une mission : redonner au cépage malbec ses lettres de noblesse. Une palette de terroirs En conversion biologique depuis 2016, ce vignoble de 12 ha est réparti sur diverses parcelles avec chacune un terroir spécifique. Ici, les cépages merlot (60 %), malbec (39 %) et cabernet sauvignon (1 %) poussent soit sur des sols sablo-graveleux, soit sur des sols argilo-calcaires. Grâce à cette diversité, le domaine a la possibilité de réaliser d’intéressants mélanges et de produire des vins complètements différents. Des vins devenus une référence La maison produit aujourd’hui 5 vins rouges et 1 vin blanc. Parmi eux, 2 cuvées partagent le titre de « cuvée ambassadrice » : le « Château Bel-Air La Royère » et « L’Esprit de Bel-Air La Royère ». Élaborée à partir de très vieilles vignes, le « Château Bel-Air La Royère » est un assemblage de merlot (65 %) et de malbec (35 %). Ce vin puissant et structuré a bénéficié de 20 à 22 mois d’élevage en barrique. En bouche, on trouve une explosion de fruits rouges associée à des notes vanillées. Ce vin sublimera des plats de viandes rouges ou du fromage. « L’Esprit de Bel-Air La Royère », quant à lui, est obtenu à partir de merlot (90 %), de malbec (5 %) et de cabernet-sauvignon (5 %). Présentant des tanins souples et soyeux, il séduit également par ses notes de fruits noirs et un boisé élégant. Les vins du domaine Château Bel-Air La Royère sont régulièrement cités par Bettanne & Desseauve, le Guide Hachette ou encore La Revue du vin de France. ...
Aujourd’hui, nombre de consommateurs font attention à ce qu’ils mettent dans leur assiette. La volonté de manger des plats sains et légers, bénéfiques pour la santé, prend le dessus. Implanté à Névez, dans le Finistère, en Bretagne, le restaurant gastronomique Ar Men Du est conscient de cette nouvelle exigence. C’est pourquoi il propose une invitation tout à la fois à la gourmandise et aux menus bio : deux concepts qui se marient à merveille ! Un restaurant étoilé Michelin au cadre idyllique Pierre-Yves Roué, propriétaire des lieux, a su choisir un emplacement au cadre idyllique pour son restaurant. Le sens du service y trouve toute sa signification avec une équipe efficace et à l’écoute pour répondre au plus près aux demandes de la clientèle. Les prestations incluent également un service de petit déjeuner majoritairement fait maison, un luxe que les clients peuvent se permettre sur les lieux ! Dans un décor intimiste à l’ambiance élégante, le restaurant Ar Men Du offre une vue imprenable sur la mer. Au fil de leurs découvertes gastronomiques, les clients n’ont qu’une envie : celle d’y retourner pour retrouver des plaisirs gustatifs oubliés ou découvrir de nouvelles saveurs insoupçonnées, qui font rêver et voyager. L’esprit de famille à l’honneur, dans un tandem gagnant Dans les coulisses de l’Ar Men Du interviennent un talent culinaire : Jean-Marie Le Guen, ancien second de cuisine qui a pris la relève et remplace désormais son père Patrick Le Guen, une figure bien connue du carré des 3 toques Gault & Millau. Bien qu’il ait aujourd’hui laissé sa place à son fils, Patrick reste malgré tout présent en cuisine. Dans un bel esprit de famille, le duo travaille de concert pour proposer une cuisine raffinée, à la cuisson légère, où les légumes faits à la minute trouvent naturellement leur place. Ces ingrédients sont associés à la valeur sûre des produits de terre et de mer bretons, dans un concept résolument bio. Une pause gustative au cœur de la Bretagne Le chef s’est bâti une réputation dans l’art de préparer des plats aux saveurs authentiques et raffinées. Pour une halte gourmande au cœur de la Bretagne, l’Ar Men Du propose une carte riche en produits du terroir, fournis directement par des producteurs locaux. C’est aussi la garantie d’une qualité bio, exigée par le métier. Poitrine de porc aux ormeaux, turbot au jus de viande, tartares de bar de ligne et sashimis bretons font partie des plats signatures qui font la réputation de la maison, sans oublier le subtil ris de veau et le dessert d’agrumes raffiné. Une cave à vins d’exception Pierre-Yves Roué peut s’enorgueillir d’avoir réussi le défi de constituer une cave à vins particulièrement bien fournie, qui n’a rien à envier à celle d’autres établissements. En effet, le restaurant Ar Men Du est aujourd’hui en mesure de proposer une carte de près de 600 références, privilégiant deux régions phares réputées pour leurs vignobles, qui sont notamment les Pays de la Loire et la Bourgogne. La passion du métier aidant, toute l’équipe de l’Ar Men Du se fera un plaisir de servir des vins d’exception, qui accompagneront différents repas de famille ou de fête. ...
Dans la rue Saint-Léonard, L’Instinct Gourmand est devenu le lieu de rendez-vous incontournable des nantais. La façade crée un contraste réussi entre l’ancien et le moderne avec sa plaque de fer qui prolonge le bâtiment et ses grandes portes vitrées. A l’intérieur, le restaurant dispose de deux salles dotées d’un sol en parquet aux tons bruns avec des éléments boisés clairs habillant les murs. Le plafond est sublimé par les poutres apparentes noires. Dans ce décor plutôt sobre, la couleur rouge du comptoir apporte une touche de gaieté tandis que le tissu bleu des chaises amène une sensation de douceur. « Un bistrot sans étiquette » Loin de tout formalisme, le bistrot se veut sans étiquette. Sylvain Le Bras et Thomas Brunel, les deux propriétaires, estiment que c’est aux clients de définir leur cuisine. Pour proposer une cuisine aussi gourmande, le chef Sylvain puise dans la richesse de ses vies passées. Il a fréquenté de grandes maisons notamment chez Bernard Loiseau (Trois étoiles au Michelin) ou encore chez Raymond Blanc au Manoir des Quat’Saisons. C’est d’ailleurs là-bas que les deux amis se rencontrent. Ensemble, ils décident d’ouvrir une table discrète, rue Saint-Léonard. A L’Instinct Gourmand, chaque plat est aussi inventif que maitrisé et démontre l’équilibre parfait entre les saveurs tout en mettant à l’honneur les produits. L’ardoise est assez courte mais les plats, à base de produits nobles, savent satisfaire les fins palais. Le midi, les convives ont droit à « La P’tite Monnaie », une formule simple et délicate à 15,90 euros constituée de deux entrées, deux plats et deux desserts au choix (renouvelée toutes les semaines). Le soir, le chef concocte un menu raffiné à 32 euros où les convives choisissent entre 3 entrées, 3 plats et 4 desserts. En entrée, la maison suggère par exemple le Foie gras maison aux fruits du mendiant et aux fruits de la passion, les oursins en brouillade avec des topinambours ou la Raviole ouverte de langoustines accompagnée d’un matignon de légumes avec du jus d’étrilles. Côté plat, le Filet de Saint-Pierre aux asperges blanches et jaune d’œufs, la côte de veau accompagnée de mini-légumes et d’une purée de panais ou encore le filet de canette accompagné d’un millefeuille de navets et d’une cuisse confite émoustille les papilles. Et en dessert, le fameux Fondant au chocolat noir, cœur coulant au caramel beurre salé qui est la spécialité de la maison donc toujours disponible à la carte. Pour que le plaisir soit à son comble, chaque plat est travaillé de façon à s’adapter davantage à la sélection de vins. Une occasion pour les convives de jeter un œil sur la carte qui regroupe les meilleurs vins du pays, notamment de la Loire. Un bib pour L’Instinct Gourmand Dans ce bistrot-chic, le service est à la hauteur de la qualité de la cuisine. Efficace, réactive et souriante, l’équipe est aux petits soins. Une qualité qui n’est pas passée inaperçue et qui a valu à l’établissement un prix honorifique. En effet, en janvier dernier, le Guide Michelin a attribué un Bib Gourmand qui récompense l’excellent rapport qualité/prix à L’Instinct Gourmand. Mais bien que Sylvain Le Bras et Thomas Brunel soient contents de cette récompense, ils savent qu’ « il leur reste encore beaucoup à faire ». ...
Un savoir-faire transmis de père en fils couplé aux expertises d’œnologues renommés tels que Michel Rolland, Stéphane Derenoncourt ou Pascal Poussevin. C’est ainsi que le Château La Croix Saint André élabore de grands vins, parmi les meilleurs du vignoble de Bordeaux. Un terroir qui suscite l’admiration Intrigué par la particularité de son terroir, dont une partie reste inébranlable durant la période des grandes chaleurs, Francis Carayon, vigneron propriétaire du domaine, n’a pu s’empêcher de mener son enquête. « Des analyses de fosses, conduites avec des spécialistes, révèlent la présence d’argiles smectites dans mes sous-sols », explique-t-il. Cette typicité est connue pour favoriser le drainage durant une pluviosité importante et restituer l’humidité durant les sécheresses. L’équilibre du sol reste ainsi maintenu, afin de permettre aux raisins d’exprimer leur pleine potentialité. Près de la Barbanne, la rivière qui charrie des pierres et autres sédiments, propices pour la vigne. « C’est de cette partie-là du terroir que sont issus mes premiers vins », fait valoir le vigneron. Des vins issus des cépages emblématiques du Bordelais Bien que les Lalande-de-Pomerol présentent de nombreuses personnalités, ils sont d’emblée reconnaissa-bles à leur robe d’un rouge profond, promesse d’un vin puissant et bouqueté. C’est le merlot, cépage roi du terroir travaillé à 80 % par le domaine, qui marque profondément leurs personnalités. De même, il apporte aussi la rondeur et le côté charpenté aux cuvées. Ici, il est complété par le cabernet franc et le sauvignon pour un bouquet complexe et dense, pouvant évoluer vers des notes de truffe et de cuir avec l’aération. De ce fait, l’on ne s’étonne que de peu de la capacité de ces vins à s’accorder avec la gastronomie mondiale. Le cabernet, quant à lui, confère une belle capacité de conservation aux vins Lalande-de-Pomerol. Comme la majorité des châteaux bordelais, Château La Croix Saint André propose un premier et un second vin. Qualité oblige, les mêmes soins sont apportés tant aux premiers qu’aux seconds. D’autant plus que « l’obtention de ces deux catégories de vins ne se fait qu’en bout d’élevage et représente la plus belle part de notre métier », renchérit Francis Carayon. ...
Situé dans la ville médiévale de Mirepoix, à mi-parcours entre Carcassonne et Foix, le restaurant Le Commerce est une vitrine ouverte sur un héritage de plusieurs générations qui est toujours resté dans le giron de la famille Puntis. Jouissant d’un emplacement privilégié au cœur de l’Ariège, l’établissement séduit par son cadre rustique, à l’ambiance campagnarde où les saveurs ariégeoises sont autant de plaisirs à retrouver qu’à découvrir. Une cuisine aux accents de terroir Confortablement installée dans une région riche en histoire dans le Pays cathare, le restaurant Le Commerce propose une cuisine élaborée à partir de produits frais et de région, avec chaque jour un arrivage de poissons frais. Sous l’impulsion du chef André Puntis, qui tient aujourd’hui les rênes de l’établissement, les plats sont concoctés avec passion, dans le respect des traditions, avec des recettes jalousement conservées et transmises de père en fils. À travers une cuisine généreuse qui privilégie les produits du terroir, le restaurant constitue une adresse incontournable où familles et amis aiment se rendre pour partager un bon repas et où il fait bon profiter d’une ambiance conviviale. Un cadre sympathique aux tons chauds Le restaurant Le Commerce est un établissement au charme d’antan qui jouit d’un cadre particulièrement agréable. Les lieux permettent notamment de gouter aux plaisirs de la table à l’ombre d’une magnifique terrasse ombragée où sont servis les repas en période estivale. Sa salle aux tons chauds rassure les plus exigeants et lui confère une ambiance familiale au cadre rustique. Dans ses propos, André Puntis décrit « un établissement d’une capacité d’accueil de 70 couverts en terrasse et une soixantaine en salle avec la possibilité d’abriter à la demande tout type d’événements selon la disponibilité ». Une belle alliance mets-vins Proposant de belles alliances en matière de vins, le restaurant Le Commerce dispose d’une cave à vins particulièrement fournie dans un bon rapport qualité/prix. Parmi les références les plus connues figurant sur la carte, on peut notamment citer les Côtes de Malepère, le Vacqueyras, le Gigondas ou encore la Clape AOC ainsi que « plusieurs produits régionaux » selon les précisions d’André Puntis. Les clients peuvent à la demande, solliciter les suggestions du chef pour connaître les meilleures alliances afin d’accompagner certains plats. À travers ses connaissances et ses expériences, il se fera un plaisir de les conseiller. ...
Installée dans des bâtiments neufs à la sortie de l’autoroute à Chemillé-en-Anjou dans le département du Maine-et-Loire, l’herboristerie Cailleau bénéficie de 4.500 m² pour recevoir, transformer, conditionner et expédier en respectant les dernières normes de production. Elle regroupe 2 secteurs d’activité : la vente aux détaillants comme les herboristeries, les coiffeurs, les magasins diététiques ou les pharmaciens et la vente aux industriels comme les brasseurs de bières, les industries agroalimentaires et cosmétiques La société ayant reçu son agrément pharmaceutique depuis un an maintenant, elle peut désormais vendre les plantes du domaine pharmacopée aux pharmacies. Aujourd’hui, l’Herboristerie Cailleau emploie 30 salariés à temps plein. Un catalogue de plus de 800 références Son catalogue contient plus de 800 plantes déclinées sous différentes formes : feuilles, fleurs, sommités fleuries, racines, coupées, entières, poudre… L’Herboristerie mise sur l’excellence botanique de ses produits et sur le savoir-faire de ses fournisseurs, pour procurer des plantes de haute qualité à ses clients. Elle en garantit l’identité botanique. Avec son pharmacien, la société analyse et contrôle chaque réception pour garantir in fine la sécurité des consommateurs. Elle se fournit au plus proche, favorisant les circuits courts et les producteurs locaux. Mais certaines plantes ne sont pas cultivées dans la région. Ainsi par exemple la lavande arrive du sud, le génépi des Alpes. D’autres doivent être importées, particulièrement de Pologne, Hongrie, Lituanie, Espagne, Portugal, Maroc, Tunisie ou encore Brésil. Elle s’est également engagée dans une démarche bio pour répondre à une demande de plus en plus importante. Actuellement les plantes bio représentent 25% du catalogue. Les plantes sont préparées sous toute forme (coupée, pulvérisée), transformées (gélule, macérât aqueux, huile essentielle, infusette) et conditionnées (de 250 g à 2,5 T) dans les locaux de la société, suivant les besoins et les demandes des clients. Plus de 2000 clients lui font déjà confiance. La qualité de ses produits est également reconnue à l’étranger puisque l’Herboristerie Cailleau réalise 15% de son chiffre d’affaires à l’export. Depuis 1 an l’herboristerie a aussi ouvert un site de ventes en ligne dédié aux particuliers, répondant ainsi à l’ensemble des demandes de ses clients. ...
La jeune entreprise Cueillette Urbaine souhaite créer des bâtiments plus propres tout en favorisant la consommation de produits locaux par le biais de potagers productifs et écologiques. Une mission qui s’inscrit dans un contexte écologique et gastronomique recherché par les entreprises et les particuliers. Apprendre à mieux consommer grâce à Cueillette Urbaine L’entreprise Cueillette Urbaine a été créée avec un seul objectif : mettre en place des fermes urbaines écologiques sur les toits des villes. Pour cela, la jeune société met à disposition des espaces de cultures pour les entreprises et collectivités. Au sein de ceux-ci, les participants apprendront à cultiver différents fruits et légumes de saison tout en créant du lien social avec les autres jardiniers experts ou néophytes. Mais le concept ne s’arrête pas là. Car, les clients peuvent donner les fruits et légumes cueillis à un chef qui s’occupera de les cuisiner à sa façon. Ainsi, à l’inverse d’un restaurant traditionnel où il est nécessaire de choisir un plat défini à l’avance, ici, ce sont les participants qui sélectionnent eux-mêmes ce qu’ils veulent consommer. À savoir : les différentes variétés de fruits et légumes sont de saison. Ainsi, en printemps/été, vous trouverez plutôt des tomates, des aubergines et des piments tandis qu’en automne/hiver, vous aurez la possibilité de faire pousser des navets, des carottes et des épinards. De plus, il est aussi possible d’acheter des paniers à raison de 5 € le kilo. D’après Paul Rousselin, le CEO de Cueillette Urbaine, en faisant pousser ses propres produits, nous évitons la pollution liée au transport. Ainsi, en plus de manger sain et équilibré, vous faites un geste pour la planète. Des bâtiments propres et écologiques C’est un fait : l’urbanisation grandissante de ces dernières décennies laisse de moins en moins de place à la végétation. Ainsi, nous observons de plus en plus de pics de pollution dans les grandes villes. En partant de ce constat, la jeune start-up s’est lancée le défi de végétaliser les toits de nombreuses grandes villes. Cela afin de lutter contre la pollution, les inondations et garantir un maintien de la biodiversité grâce à des techniques culturales innovantes telles qu’une jardinière autosuffisante et des murs végétalisés d’aromatiques. D’après Paul Rousselin, l’installation de fermes urbaines sur les toits des immeubles permet une meilleure gestion des eaux de pluie, une amélioration de la qualité de l’air, une réduction des îlots de chaleur ainsi qu’un meilleur recyclage des déchets organiques grâce au compostage. Tout cela s’inscrit dans les objectifs de développement durable fixés par l’ONU en répondant à 9 d’entre eux (sur 17). C’est pourquoi de nombreuses entreprises et collectivités sont intéressées par ce concept novateur et écologique. Une entreprise avec une mission durable L’aventure Cueillette Urbaine commence en 2016. Créée par plusieurs amoureux du monde végétal (dont Paul Rousselin, le CEO, et Pierre-Frédéric Bouvet, le CTO), cette entreprise veut se lancer dans une quête avec un fort enjeu écologique. En s’appuyant sur des techniques innovantes et en aidant les sociétés et les collectivités à créer des espaces dédiés à la culture de fruits et légumes de saison, elle souhaite mettre en valeur le concept de circuit court autant que celui de permaculture. De plus, très vite, le concept de restauration germe dans l’esprit des créateurs qui pensent immédiatement à se rapprocher de chefs intéressés par ce projet. Ainsi, en contrôlant chaque étape de la vie d’un légume ou d’un fruit, le consommateur est sûr de manger sain tout en apprenant, s’il le souhaite, les bases du jardinage (par le biais d’ateliers). Nous sommes en plein mouvement locavore. Dans ce cas précis, une entreprise ou une collectivité fait un geste pour ses employés, pour les habitants et pour l’environnement. Lorsqu’une action individuelle profite à l’ensemble de la population, il est d...
La marque Sassy est lancée en 2014 sous l’impulsion de deux amis d’enfance Pierre-Emmanuel RACINE-JOURDREN et Xavier D’AUDIFFRET-PASQUIER, originaires de Normandie et vouant une grande passion pour le cidre. Au cours de leurs études à l’étranger, ils constatent un engouement autour des « ciders ». Cependant, ces boissons à base de concentrés de jus de pomme sont loin des standards qualitatifs auxquels nos deux amis sont habitués. Ils décident alors de proposer un produit « made in France » à la fois moderne et haut de gamme. Des créations tendances Visant une qualité optimale, les créations Sassy sont sans ajouts et non concentrées. Du 100 % pur fruit, élaboré en partenariat avec un maitre de chai. Pour être dans l’air du temps, le design a été soigneusement travaillé et les créations mises en valeur dans des bouteilles de verre blanc de 75 et de 33 cl. Mais c’est véritablement sur la qualité que tout se joue. Pour preuve, les créations Sassy sont associées à des grands noms de la gastronomie et de la mixologie comme Alain Ducasse (éminent chef étoilé) ou Julien Escot (champion du monde de cocktail). Du brut au plus fruité, en passant par des arômes acidulés, les 5 produits de la maison se prêtent idéalement aux jeux des associations. ...
Féru de travail et minutieux dans la conservation du savoir-faire ancestral, Bernard Boutinet reste toutefois un homme sympathique, généreux et surtout courageux. Et pourtant, il intervient dans une activité difficile qu’est la production de cognac. «C’est un produit très sensible aux crises économiques qui touchent les pays du monde », nous confie-t-il. Pour pallier ce phénomène, il a heureusement un secret : « rendre un travail bien fait et laisser faire le temps ». Une rigoureuse fabrication La maison Boutinet ne cesse de répondre aux besoins des amateurs de cognacs en leur proposant des eaux-de-vie d’exception élaborées dans des conditions les plus naturelles et traditionnelles possibles. Pour elle, le secret de fabrication réside dans la récolte des fruits, la fabrication du vin, le passage de l’alambic et enfin le vieillissement dans des barriques de chênes qui peut aller jusqu’à vingt-cinq ans. Toutes les étapes sont respectées, donnant finalement une eau-de-vie noble et riche en bouche. La partie du travail la plus dure commence dans le vignoble de 27 hectares doté d’un sol argileux et sableux sur lequel est cultivé le cépage «ugni blanc ». Après distillation, l’eau-de-vie fruitée et dotée d’un caractère floral typique des Fins bois est vieillie en fûts de chêne en toute intimité pour arborer ses belles tonalités ambrées. Dans ce processus d’élaboration très strict, Bernard Boutinet confie que « la qualité du cognac dépend principalement de son assemblage, mais aussi de la qualité du vin. » En expert, il nous explique que «l’acidité du vin est un facteur favorable pour le Cognac». Les produits ambassadeurs Parmi les produits phares de la maison figure le Cognac&Cigars. Médaillé d’or en 2016 et 2017 à Moscou, il s’agit d’un assemblage de deux très vieux cognacs. Les autres incontournables selon le maître des lieux restent le VSOP, le Napoléon et le XO. Des produits délicats et d’une rare complexité qui se découvrent à l’occasion de visites et de séances de dégustations au domaine. En complément du Cognac, les visiteurs peuvent visiter la Galerie de peintures de Marie Claire PAJEILE, artiste qui expose dans plusieurs pays du monde. Afin de prolonger l’expérience dans l’univers du cognac, les convives peuvent réserver une chambre au Logis de l’Astrée à Saint Bris des Bois (17 ), une maison d’hôte appartenant à la fille de Bernard, Sophie Boutinet-Mangeard, qui produit également son propre vin. Ce Logis vient de Paul Boutinet, grand père de Bernard, alors que son domicile actuel était l’héritage de Céleste Vincent, sa grand-mère. ...
Son propriétaire, Jérémy Thien, a passé les quinze premières années de sa vie active dans l’administration. Natif de la région beaujolaise, il sait apprécier les bons vins. Sa passion le pousse à se reconvertir dans le métier de vigneron, lorsqu’une occasion se présente à lui. « C’était un virage très important dans ma vie. C’est un métier qui ne s’improvise pas et il faut retourner à l’école » admet-il. Il a repris ce domaine fin 2012 et produit son premier millésime en 2013. La qualité avant tout Les 12 hectares de parcelles du Domaine des Frontières sont juchés à 350 mètres d’altitude sur un terroir de marnes bleues, qui confère au vin une belle concentration et des notes épicées et poivrées. Jérémy Thien met une rigueur particulière dans la culture de ses vignes, car pour lui : « tout part de la production du raisin ; la qualité du vin vient à 90% de la qualité du raisin ». Ses cuvées sont issues de vieilles vignes, vendangées entièrement à la main. La vinification se fait selon les procédés traditionnels du Beaujolais, avec macération semi-carbonique, poussée jusqu’à 14 jours de façon à obtenir des tanins soyeux et ronds. L’élevage est long afin qu’ils puissent être directement bus au moment où ils sont mise en bouteille. Les vins du domaine Le Domaine des Frontières produit deux cuvées en appellation « Juliénas » et une en appellation « Beaujolais ». Le « Domaine des Frontières Juliénas » est un vin issu à 100% de vieilles vignes Gamay Noir. Révélant une robe couleur rubis, il propose un bouquet floral et fruité au nez, avec des notes de cassis, cannelle et poivre. C’est un vin nerveux, charpenté avec une belle longueur en bouche. Il peut s’accompagner de côtes de veau, de poissons de rivière, de grillades de bœuf ou de desserts à base de fruits rouges. Le millésime 2013 a obtenu le deuxième prix de la Saint-Vincent des vignerons de Jullié. Le « Domaine des Frontières Juliénas Cuvée réservée » pour sa part est une pure merveille issue de vieilles vignes de Gamay Noir. La robe est rubis intense, le nez floral et fruité, avec des notes de cuir et légèrement boisé ; la bouche est très longue, nerveuse et charpentée. Ce vin peut évoluer et se garder jusqu’à sept ou huit ans. Il se savoure accompagné d’une blanquette d’agneau, d’un magret de canard ou d’un potage au potiron. Dernier et non des moindres : le « Domaine des Frontières AOC Beaujolais Villages » qui est issu de vieilles vignes de 60 ans de Gamay Noir à jus blanc. Sa robe est brillante, aux éclats violacés caractéristiques des vins jeunes. Au nez, on note des arômes de fruits rouges. En bouche, c’est un vin souple et frais. Pour un meilleur accord, il accompagne la charcuterie, la viande blanche, les escargots et les fromages. Le millésime 2014 a été récompensé de la meilleure note des Beaujolais Villages au Guide Rouge de la revue du Vin de France, tandis que le millésime 2015 a reçu une médaille d’argent au Concours des Grands Vins du Beaujolais. ...
Dans un décor lumineux à l’ambiance intimiste et chaleureuse, L’Envergure est très certainement « le restaurant qui possède la plus belle vue de Chamonix », précise Louise Lahiani, la directrice. Il offre surtout une belle découverte culinaire à travers une cuisine préparée selon les inspirations d’un chef créatif. L’Envergure privilégie « les produits de saison 100 % frais, sans aucun produit surgelé », souligne Louise Lahiani. Dans un voyage gustatif aux saveurs inattendues dont il a le secret, le chef aime surprendre avec ses plats mariant saveurs du Sud et produits savoyards. Une cuisine pleine de fraicheur Le restaurant du Best Western Plus Excelsior Chamonix Hôtel & Spa s’adresse à tous ceux qui souhaitent se laisser surprendre par une cuisine généreuse et raffinée. « De belles déclinaisons de couleurs, de formes et de volumes les attendent », nous souffle la directrice. L’établissement travaille dans la mesure du possible avec « des producteurs locaux tout autour de la Haute-Savoie », renchérit-elle. Une assurance pour les clients de gouter à des produits 100 % frais. Une cave à vins aux accents régionaux Le restaurant L’Envergure est particulièrement apprécié pour la diversité de sa carte des vins, qui « va de tarifs accessibles à des vins plus renommés », à travers diverses régions de France. Un soin tout particulier est porté sur le conseil pour offrir aux clients les meilleurs accords mets et vins. Des formules adaptées aux besoins des clients Le restaurant L’Envergure sait également s’adapter aux besoins de ses convives en proposant « une formule midi à 21 € avec entrée/plat ou plat/dessert et, le soir, une formule à 29 € avec la suggestion du jour », explique Louise Lahiani. Il offre également des plats-signatures comme la canette fumée, un plat qui fait la renommée de la maison et qui est réclamé le plus souvent par les habitués. ...