Quand Luc Van Honsebrouck a repris la direction de la brasserie Kasteel dans les années 60, il a décidé de ne plus se consacrer uniquement aux pils, mais de produire désormais des bières spéciales. « Mon père était visionnaire », dit Xavier Van Honsebrouck, la septième génération de la brasserie familiale belge. « Dans les années 60, notre brasserie était avant-gardiste, et nous en récoltons encore les fruits aujourd’hui. » Bière spéciale blonde Filou : la dernière création belge de la brasserie Kasteel... Plus de 20 bières spéciales sont produites à la brasserie aujourd’hui. La dernière née est la « Filou », une bière blonde forte titrant à 8,5 %. C’est une bière qui oscille entre une triple et une Strong Golden Ale, brassée avec 100 % de malt de pils et du houblon de type Golding, Saphir et Saaz. « En tant que propriétaire de brasserie familiale, on se doit de créer une nouvelle bière fantastique », dit Xavier. « Je crois que la "Filou" est ma deuxième grande réalisation, après le lancement réussi de la Kasteel Rouge. » Sa recette a nécessité plus de huit mois pour être parfaitement aux goûts de Xavier Van Honsebrouck et du maître brasseur Hans Mehuys. La Filou se boit avec une facilité déconcertante, tout en étant suffisamment complexe pour tomber dans les bonnes grâces des amateurs de bières spéciales. Cette robuste blonde est un cas à part, dont le nom et le style rencontrent les faveurs d’un large public, en Belgique comme à l’étranger. Son nom est un clin d’œil, aussi bien à la bière elle-même qu’à celui qui la déguste. « Pratiquement personne ne peut en rester à un seul verre », affirme le brasseur en riant sous cape. « Mais qui est le plus grand filou dans cette histoire ? », demande Xavier Van Honsebrouck. « Le breuvage qui séduit le buveur, ou le buveur qui ne peut résister à en redemander un deuxième verre ? » Il y a de quoi s’interroger. ...
Gourmandes, fines et expressives, les cuvées Sylvie Moreau puisent leur finesse dans le sol argileux de Reims, leur fraîcheur dans le calcaire de la vallée de l’Ardre et leur bouquet variétal dans la terre de la vallée de la Marne. Ce terroir qualitatif, gâté par mère nature, est la source d’expression de prédilection du champagne Sylvie Moreau. Du champagne en terre promise Plantés sur un terroir d’exception au climat idéal, les trois cépages champenois confèrent aux cuvées toute la typicité de la région. Le pinot noir y puise sa puissance exprimée dans les bulles de l’Émeraude, une cuvée délicate avec une superbe persistance. La Racine Brut Tradition, un assemblage des trois cépages avec prédominance du meunier, est une cuvée expressive et typée de par ses notes suaves et son nez admirablement aromatique qu’elle tire de cette terre généreuse. Agréable à l'apéritif et sublimé aux côtés de mets raffinés, le champagne Sylvie Moreau se veut être une magnifique expression du terroir. Entre tradition et modernité Les onctueuses saveurs du champagne Sylvie Moreau sont le fruit béni d’une osmose harmonieuse entre terroir riche et élaboration traditionnelle. Pratiques agricoles raisonnées, vendanges manuelles, vieillissement long et pressage traditionnel sont autant de gages d’authenticité et de qualité pour les cuvées d’exception de la marque. Une note de modernité accompagne élégamment cet attachement aux valeurs traditionnelles afin de créer une apothéose de succulences dans chaque bouteille. ...
Existant depuis 1850, le domaine ne commence à vinifier qu’en 1994. En 2010, Philippe Betschart apportera sa touche personnelle, en s’appropriant l’approche biodynamique dans le mode cultural et les techniques de vinification. La personnalité de chaque cuvée est marquée par un élevage qui diffère d'un millésime à l'autre. 2014 signe une démarche innovante puisqu'en décidant d'exclure les apports d'origine animale à la vigne et à l'élaboration du vin, le château débouche sur une certification VEGAN (EVE01), permettant à tout un chacun, dont les végétariens, de goûter à des vins faciles à boire qui ont de la personnalité. Un atout de taille qui lui permet de conquérir des tables prestigieuses aussi bien locales (le Prince Noir à Bordeaux) qu'à l'internationale (au Japon entre autres). Vinification : entre tradition et modernité Le domaine des Graves de Viaud a élu le merlot, le cabernet franc et le cabernet sauvignon comme principaux cépages. Les vignes bénéficient des meilleurs soins conformes aux exigences du label Demeter, dont le cahier des charges impose une vinification sans aucun intrant chimique, excepté le soufre. Les levures indigènes sont donc privilégiées pour les fermentations, tandis que les cuvaisons durent de 25 à 35 jours. « Notre mode de vinification tient à rester le plus naturel possible », souligne Philippe Betschart, propriétaire-gérant du domaine. Ainsi, les Côtes-de-Bourg du Château Les Graves de Viaud arborent finesse et élégance. « Nous produisons des cuvées modernes et classiques de bordeaux, prisées pour leur fraicheur, leur souplesse ainsi que leurs saveurs fruitées », nous indique-t-on. Le fruit avant tout Les vins de la maison sont répartis en deux gammes. D’une part, on trouve la gamme des cabernets où s’inscrivent des cuvées résolument modernes telles que « Les Cadets » et « Terroir ». « Les Cadets » est appréciée pour sa simplicité et ses délicieuses notes florales tandis que « Terroir » est privilégiée pour sa délicatesse et sa complexité issues d’un long élevage en barrique. D’autre part, on distingue la gamme des merlots qui regroupe des cuvées, certes plus classiques, mais absolument exquises. Parmi la liste figure la cuvée « Origine », qui est un assemblage à 90 % de merlot. Connaissant un succès certain à l’export, ce vin est un véritable enchantement pour les papilles. La cuvée « Réserve » fait également partie de la gamme des merlots. Ici, place à une sélection de vieilles vignes de plus de 60 ans qui sont élevées en barriques neuves durant 18 à 24 mois. Le résultat garantit un plaisir optimal à la dégustation ! ...
Féru de travail et minutieux dans la conservation du savoir-faire ancestral, Bernard Boutinet reste toutefois un homme sympathique, généreux et surtout courageux. Et pourtant, il intervient dans une activité difficile qu’est la production de cognac. «C’est un produit très sensible aux crises économiques qui touchent les pays du monde », nous confie-t-il. Pour pallier ce phénomène, il a heureusement un secret : « rendre un travail bien fait et laisser faire le temps ». Une rigoureuse fabrication La maison Boutinet ne cesse de répondre aux besoins des amateurs de cognacs en leur proposant des eaux-de-vie d’exception élaborées dans des conditions les plus naturelles et traditionnelles possibles. Pour elle, le secret de fabrication réside dans la récolte des fruits, la fabrication du vin, le passage de l’alambic et enfin le vieillissement dans des barriques de chênes qui peut aller jusqu’à vingt-cinq ans. Toutes les étapes sont respectées, donnant finalement une eau-de-vie noble et riche en bouche. La partie du travail la plus dure commence dans le vignoble de 27 hectares doté d’un sol argileux et sableux sur lequel est cultivé le cépage «ugni blanc ». Après distillation, l’eau-de-vie fruitée et dotée d’un caractère floral typique des Fins bois est vieillie en fûts de chêne en toute intimité pour arborer ses belles tonalités ambrées. Dans ce processus d’élaboration très strict, Bernard Boutinet confie que « la qualité du cognac dépend principalement de son assemblage, mais aussi de la qualité du vin. » En expert, il nous explique que «l’acidité du vin est un facteur favorable pour le Cognac». Les produits ambassadeurs Parmi les produits phares de la maison figure le Cognac&Cigars. Médaillé d’or en 2016 et 2017 à Moscou, il s’agit d’un assemblage de deux très vieux cognacs. Les autres incontournables selon le maître des lieux restent le VSOP, le Napoléon et le XO. Des produits délicats et d’une rare complexité qui se découvrent à l’occasion de visites et de séances de dégustations au domaine. En complément du Cognac, les visiteurs peuvent visiter la Galerie de peintures de Marie Claire PAJEILE, artiste qui expose dans plusieurs pays du monde. Afin de prolonger l’expérience dans l’univers du cognac, les convives peuvent réserver une chambre au Logis de l’Astrée à Saint Bris des Bois (17 ), une maison d’hôte appartenant à la fille de Bernard, Sophie Boutinet-Mangeard, qui produit également son propre vin. Ce Logis vient de Paul Boutinet, grand père de Bernard, alors que son domicile actuel était l’héritage de Céleste Vincent, sa grand-mère. ...
Un Cru Bourgeois au féminin La mention « Cru Bourgeois » puise son origine au Moyen-âge. A cette époque les bourgeois du « bourg » de Bordeaux acquièrent les meilleures terres de la région qui prennent le nom de « Crus des Bourgeois », puis « Crus Bourgeois ». Ce classement est aujourd’hui le garant d’une aristocratie des terroirs et d’un savoir-faire qualitatif, devenu un symbole de luxe et dont Château Moulin à Vent est un des dignes représentants en AOC Moulis. Unique dans le Médoc, l’équipe dirigeante est 100% féminine : Reine, la Responsable Technique, Florence la Responsable Administrative et Karine notre Œnologue président aux destinées du Château Moulin à Vent avec une attention toute maternelle. Un château au cœur de l’AOC Le Cru Bourgeois Château Moulin à Vent est un digne représentant de son appellation qui tire sa légitimité de la qualité des vins qu’il produit, de son nom qui est à l’origine de celui du village de « Moulis » et de son histoire : le vignoble de notre propriété a plus de deux siècles d'existence, sa chartreuse date du début du XIXème siècle et son chai fut construit en 1873. Notre terroir est un concentré du Médoc viticole : graves garonnaises et graves pyrénéennes reposent sur un substrat argilo-calcaire, favorisant une maturation longue et homogène des Merlots et des Cabernets Francs. Cette disposition favorise l’expression de vins puissants, élégants et racés. ...
Sous l’impulsion de son directeur général Joël Julien, élu meilleur manager de l’année en Languedoc Roussillon, la cave est actuellement une référence mondiale en vins de Beauvignac, avec près de 20 millions d'euros de chiffre d’affaires annuel. Des appellations de renom Sur les 1800 hectares de vignoble, 450 sont classés en AOP Picpoul de Pinet. « Il s’agit de l’appellation emblématique de la coopération, celle qui a permis d’acquérir une notoriété reconnue dans le monde », explique Joyce Arends, responsable caveaux et marketing. Ces vins, élevés sur des terres en arc de cercle ensoleillées et argilocalcaires nommées Costières, s’apprécient pour leur fraîcheur, leur vivacité et leurs arômes fruités de pamplemousse et de citron vert. Outre cette fameuse appellation, le vignoble en compte d’autres tout aussi prestigieuses, comme l’AOP Languedoc, l’IGP Pays d’Oc ou encore l’IGP Côtes de Thau. Parmi la large palette de grands vins blancs, rouges et rosés que propose la coopérative, on retrouve la cuvée exceptionnelle Chardonnay Beauvignac ou encore l’incontournable cuvée Prestige Cabernet Sauvignon, les deux médaillées d’Or lors du concours général agricole de Paris 2016. Avec sa robe jaune pâle aux reflets vifs, la cuvée Beauvignac AOP Picpoul de Pinet (médaille d’argent) offre un équilibre harmonieux entre fruité et vivacité et se déguste avec les huîtres de Bouzigues. De nombreuses animations œnotouristiques Au sein de la cave, une initiation à la dégustation sous la houlette d’un sommelier est proposée afin de découvrir les saveurs et arômes subtils des vins de Beauvignac. Les visiteurs peuvent également partir à la découverte du savoir-faire Beauvignac à travers des visites complètes allant de la vinification jusqu’à la mise en bouteille finale. Des escapades gourmandes en catamaran ou bien encore des balades sur le terroir avec en prime une initiation aux plantes aromatiques dirigée par l’herboriste Corinne Fabre complètent l’apprentissage sur l’univers des vins et affinent les connaissances sur la biodiversité. ...
Au centre d’un village pittoresque du département de l’Ardèche, entourée de vignobles et de champs de lavandes, juste à 15 km de la grotte du Pont d’Arc, s’impose modestement une auberge qui force naturellement à la halte : l’Auberge La Farigoule. Toutefois, les réservations sont de rigueur, et Brigitte Dumarché, maitresse des lieux, s’attèle à offrir un accueil des plus chaleureux aux touristes de passage et aux habitués de la maison. Cette auberge composée de trois chambres, d’un restaurant et d’une boutique de produits régionaux est labellisée à la fois « Qualité tourisme » et « Bistrot de pays ». Une auberge recommandée par les guides Murs en pierres apparentes, buffet digne de la campagne, vaisselle ancienne, cheminée où crépite le feu en période d’hiver : un décor comme on en retrouve dans les romans de Marcel Pagnol. Pendant l’été, les hôtes de Brigitte profitent pleinement de la terrasse et, bien avant même de commander, ils ont d’ores et déjà la possibilité de savourer une vue ensoleillée sur les étendues vertes et violettes des vignobles et des champs de lavandes qui,tous deux, alternent jusqu’à l’horizon. Recommandée par les guides régionaux tels que Le Guide vert Michelin ou encore Le Petit Futé, l’Auberge La Farigoule offre un cadre convivial et même familial aux visiteurs souhaitant séjourner en Ardèche et profiter de la région. Elle met ainsi à la disposition de sa clientèle3 chambres attrayantes et reflétant parfaitement l’esprit de la Farigoule. En clair, un total dépaysement qu’affichent les décors des chambres, qui ont chacune un accès indépendant à une salle d’eau avec douche, wc et lavabo, en plus de la terrasse qu’elles partagent. Lorsque les hôtes finissent par quitter leurs chambres en début de matinée, c’est direction le restaurant de l’auberge ! Une cuisine typiquement ardéchoise Aux fourneaux, Brigitte Dumarché, cuisinière en chef, mène la cadence en proposant des plats faits maison qui racontent les histoires d’Ardèche et parlent des Ardéchois. En effet, la cuisine traditionnelle ardéchoise ici est à l’honneur avec des plats authentiques. Des plats comme le broufado, qui est une recette provençale au goût remis à jour et un met propre aux mariniers du Rhône ; des recettes originales, mixant truffes, cèpes et châtaignes comme le cuissot de cochon aux cèpes fait maison, le bœuf aux cèpes et ses brisures de châtaignes, le gratin vivarois, fourré aux cèpes ; chacun de ces plat pouvant être accompagné d’un vin rosé des côtes du Rhône et d’un fondant aux châtaignes en dessert. Des recettes que la maitresse des lieux a héritées de sa famille, couplées à d’autres recettes de livres anciens. Recettes qu’elle partage avec ses hôtes depuis 18 ans tant elle est passionnée par la cuisine de l’Ardèche, une cuisine aux saveurs locales qu’elle considère comme le moyen le plus efficace pour valoriser, faire découvrir et faire apprécier sa région. Les gourmets viennent et reviennent nombreux déguster les saveurs du terroir qui sont parfois inédites, et provenant toujours à 95 % de produits locaux. Brigitte Dumarché valorise ainsi les produits du terroir à travers les plats proposés à la carte, mais aussi à travers les produits régionaux disponibles dans sa boutique. Des produits de diverses saveurs que les touristes rapportent en souvenir, tels que la crème de châtaignes, la terrine de porc, les marrons grillées ou encore la confiture de châtaignes. Brigitte Dumarché, à travers l’Auberge La Farigoule, se donne à cœur joie pour promouvoir les saveurs du terroir de son Ardèche tant aimée. Et elle conclut tout naturellement : « Je suis un produit du terroir, moi aussi ! » ...
Lancée par la coopérative vinicole de Colombé-le-Sec et ses environs, la marque Charles Clément travaille sur un vignoble s’étendant sur 120 ha selon un encépagement à majorité de pinot noir. Les champagnes sont issus d’un sol argilo-calcaire, très fertile et qui a la particularité de bénéficier d’un ensoleillement généreux. Un savoir-faire unique Afin de produire des champagnes de grande qualité, la marque Charles Clément mise avant tout sur le respect du savoir-faire traditionnel et la maîtrise de tout le processus d’élaboration du champagne. Pour cela, elle n’hésite pas à utiliser des équipements à la fois modernes et performants tels que des pressoirs pneumatiques, des celliers de stockage climatisé, des cuveries en inox…Chaque étape est réalisée avec minutie. Par ailleurs, les cuvées atteignent leur plein équilibre au terme d’une très lente maturation en cave. Ceci vaut en particulier pour les millésimes. Les spécialités de la maison La cuvée tradition, la cuvée blanc de noir, la cuvée spéciale et la cuvée nature figurent parmi les incontournables de la maison Charles Clément. Élaborée avec 50 % de pinot noir, 30 % de chardonnay et 20 % de pinot Meunier, la cuvée tradition est typique du terroir. Elle présente des arômes de fleurs blanches accompagnés d’une palette d’arômes lactés. Cette cuvée revêt une robe brillante avec des reflets dorés. L’attaque en bouche est franche et donne une sensation croustillante. À déguster à l’apéritif mais également pour accompagner des viandes blanches ou des plats légers. Ensuite la cuvée blanc de noir, élaborée exclusivement à partir de pinot noir, est sans doute la plus représentative. « Nous avons 80% du vignoble qui est en pinot noir, donc c’est un produit incontournable chez nous », explique M. Loïc LEFEVRE, le responsable commercial. Puis, la cuvée spéciale qui fait partie des cuvées haut de gamme est élaborée avec 70 % de chardonnay dont 25 % de vin de réserve et 30 % de pinot noir. D’une grande finesse et légèreté, ce champagne s’habille d’une robe dorée et éclatante. Cette cuvée enveloppe des arômes de melon et de fruits blancs (poire) agrémentés d’une touche épicée. En bouche, celle-ci est structurée et charnue. Enfin, dernière-née de la marque Charles Clément, la cuvée Millésime 2007« Natura » est issue d’un assemblage de 42 % de chardonnay, de 36 % de pinot noir et de 22 % de pinot meunier. « Il s’agit d’un brut nature, sans aucun dosage ni rajout à la fin », précise Loïc LEFEVRE. Un site, un label La maison Charles Clément ouvre toute l’année et organise régulièrement des visites et des dégustations gratuites. « Nous avons une cave labélisée Vignoble et découverte qui est un véritable atout au niveau œnotouristique », souligne fièrement notre interlocuteur. Concernant les événements, deux randonnées figurent au programme de cette année et auront lieu respectivement le 27 juillet et le 10 août 2018. Enfin, la maison lance « le vendangeur d’un jour », un concept nouveau où les touristes sont invités à rejoindre les vignes pour faire de la vendange. Une visite et une dégustation viendront clôturer en beauté cette singulière expérience. ...
Au terme d'une vie professionnelle bien remplie, nous avons donc choisis de « boucler la boucle » dans cette magnifique vallée du Beaufortain, au Planay-Arèches-Beaufort, mondialement connu grâce à la Pierra Menta, une des premières épreuves de ski-alpinisme (32ème édition cet hiver 2016-2017). Dans ce chalet redécoré et sa terrasse au bord des pistes, une cheminée habillée avec un bois centenaire, nous vous accueillons dans une ambiance chaleureuse. Nous vous proposons des mets de terroir, d'ici ou d'ailleurs, mais toujours élaborés avec des produits de qualité soigneusement choisis. Le midi, vous aurez le choix entre le plat du jour, la carte ou une restauration plus rapide.Le soir, dans une ambiance plus intime, vous pourrez apprécier une cuisine traditionnelle, avec foie gras maison, gigot à la ficelle cuit dans la cheminée, cassoulet à la toulousaine et bien d'autres gourmandises selon l'inspiration du Chef, et également des plats régionaux, fondue, tartiflette, raclette, croziflette, matouille… La Bartavelle : un havre de chaleur en plein paradis blanc Des mets classiques et gourmands qui ravivent les papilles, les douces soirées d’hiver autour de la cheminée. Vous apprécierez l'atmosphère de ce restaurant installé dans un vieux chalet et le service attentif de notre équipe. Nous vous attendons du 17 Décembre 2016 au 7 Avril 2017. La qualité des produits avant tout Nous nous efforçons de ne servir que les meilleurs produits et visons certes la qualité, mais aussi la quantité. Aucun convive ne quitte la table sans avoir été amplement satisfait. Le rendez-vous privilégié des familles La clientèle du Planay-Arèches-Beaufort a choisis le calme et l'environnement préservé, loin de l'agitation des "grosses" stations. La Bartavelle s'inscrit dans ce choix. ...
La brasserie Les Éclusiers se situe à Henridorff, entre Sarrebourg et Saverne, proche du camping du plan incliné d’Arzviller. Les clients sont reçus dans un cadre authentique : une grande salle au style contemporain agrémenté par une décoration épurée, une terrasse bien spacieuse avec vue panoramique sur le paysage. Le Chef Nicolas Kohler et son équipe promettent un moment agréable dans une ambiance décontractée que ce soit en salle ou à l’extérieur. Un endroit théâtre de sorties entre amis, rendez-vous en tête à tête ou même repas en famille. Une cuisine du terroir La carte ainsi que les menus du jour mettent en valeur une cuisine du terroir. « La carte est renouvelée trois fois par an au gré des produits de saison », nous explique le propriétaire Frédéric Beno, cuisinier de métier. En entrée, l’on redécouvre la terrine campagnarde maison ou le carpaccio de bœuf façon Fritz, des classiques mais un régal garanti à chaque dégustation ! En résistance, les clients peuvent opter pour des plats à base de poissons frais, telle la truite aux amandes de vivier, pêchée à la minute. Pour les amateurs de viandes, la carte propose un savoureux faux-filet de viande charolaise ou encore de l’entrecôte Angus bien tendre. Un plus non négligeable : « La cave à maturation pour les viandes », révèle le chef. Au passage, difficile de résister au cordon-bleu de veau avec sa crème faite maison. Pour terminer, la bûchette exotiko aux fruits et autres créations sucrées de la maison signées par le pâtissier Cédric Jacob achèvent en beauté le périple culinaire. Les menus suggérés sont inspirés par les produits frais du marché et se déclinent en quatre, dont un menu enfant. Les plats typiques de la région sont au rendez-vous : quiche lorraine, joue de bœuf à la bière, rognon de veau flambé à la crème, Kougelhopf et baba au rhum. Avec le menu Découverte, les clients peuvent composer eux-mêmes leur formule entrée, plat et dessert. Pour un accord mets et vin réussi, la brasserie Les Éclusiers sélectionne une vingtaine de références en vins français. L’on cite notamment les vins alsaciens, des côtes-du-rhône ou des bordeaux. Au plus près des producteurs locaux Labélisée « maître restaurateur », la brasserie Les Éclusiers s’engage dans une démarche locale et s’approvisionne en produits frais directement auprès des producteurs de la région. La maison travaille avec la pâtisserie Reutenauer et la boulangerie tabac-presse Rein Chistian pour garnir son café gourmand. En outre, la pisciculture Messang située à Abreschviller assure la livraison en produits marins. Côté boisson, la maison possède sur place une branche dédiée à la fabrication de bières artisanales. « Nous élaborons trois types de bières à la pression : blonde, blanche et ambrée », reprend Frédéric Beno en présentant fièrement ces produits que les clients sirotent avec grand plaisir. ...
Quatrième génération d’une lignée de viticulteurs, Vincent Gobert allie à merveille savoir-faire, modernité et talent pour faire de son exploitation l'une des plus originales en Champagne. Des cuvées de haute voltige Détenant en tout et pour tout deux hectares de vignes, Vincent Gobert produit annuellement 10 000 bouteilles de ce précieux nectar. La maîtrise du rendement permet au viticulteur de concentrer sa production sur la qualité, dont les soins les plus méticuleux sont apportés depuis le vignoble jusqu’à la mise en bouteille. Il en est ainsi du classique « Brut Tradition », un assemblage des trois cépages champenois, idéal pour les apéritifs, tout comme de la « Cuvée de Réserve », vieillie quatre ans en cave sur lattes, ce qui lui confère son arôme distingué et sa mousse abondante et fine. Cette dernière a d’ailleurs permis au domaine d’être finaliste lors du Concours des jeunes talents de Champagne 2015. « Fûts n’en Bulles » « Fûts n’en Bulles » est une nouvelle cuvée de la maison Vincent Gobert, qui va sortir courant mai 2017. Outre son nom, ce champagne est original à tout point de vue, comme l’explique Vincent, le propriétaire : « Cette cuvée est particulière, car elle a été élaborée entièrement de façon manuelle, depuis le pressoir jusqu'à l’expédition. » Un champagne des plus naturels possible, avec pour unique ajout du sulfite à très faible dose. Avis aux amateurs ! ...
Des sols diversifiés alternant couches marneuses et argilo-calcaires, associés à une belle exposition sud-est ont conduit Martin Klipfel à établir son domaine à Barr, en plein cœur de l’Alsace, dans le Bas-Rhin. Ici, tous les ingrédients sont réunis pour élaborer des crus à la hauteur de toutes les espérances. Une maison chargée d’histoire et de tradition Tout commence en 1824, lorsque Martin Klipfel fait l’acquisition du Clos Zisser, dont il a le monopole. En 1921, grâce à son fils Eugène, le domaine fut un pionnier en matière de Vendanges Tardives et de sélection de Grains Nobles. Louis, le petit-fils, a œuvré pour faire connaitre la Maison à travers le monde et transmettre naturellement sa passion de la vigne à ses enfants. Aujourd’hui, la Maison bénéficie d’une belle notoriété en France et à l’étranger, notamment grâce à la qualité et à l’authenticité de ses vins. Quand Cépages, terroir et savoir-faire s'allient pour permettre au vin une pleine expression de son élégance Présente sur les 3 appellations alsaciennes : Alsace Grand Cru, Vin d’Alsace et Crémant d’Alsace, la Maison Klipfel travaille tous les cépages emblématiques du terroir et a la volonté de toujours innover Une large panoplie de vins, crémants et autres spécialités d'Alsace est ainsi proposée. S'agissant des vins, les oenophiles auront le choix entre les cuvées Louis Klipfel, les cuvées André Lorentz, les Grands Crus d'Alsace, les Hospices de Strasbourg Grands Crus, les Vendanges Tardives ou les Sélections de Grains Nobles, en plus bien sûr des grands crus Kirchberg-de-barr et Kastelberg. Les Crémants se déclinent en Brut, Brut Chardonnay, Noirs Brut et Brut Rosé. La Maison compte parmi ses offres des spécialités d'Alsace, à l'instar du « Nuances de Pinots » ou le Sylvaner Côtes de Barr. Dans cette catégorie, le Sushi K., vin sec d'assemblage, étonne par sa souplesse et son fruité, et se dote d'une belle potentialité de garde. Il accompagne idéalement des plats asiatiques ou de fruits de mer. A découvrir. Et toujours dans l'optique d'élargir ses offres, Maison Klipfel met également à disposition de sa clientèle des liqueurs, des Crèmes et des eaux de vie. Le tout disponible en grands et petits formats. Bref, de quoi satisfaire tous les goûts et toutes les envies ! ...
L’histoire du Château Camille Gaucheraud remonte à 1999. En empruntant le nom de son arrière-arrière-grand-père, Benoit Latouche tient à lui rendre hommage tout en développant sa propre gamme de vins. Très vite, la production devient une histoire de famille dans laquelle s’implique passionnément Freddy Latouche depuis 2012. Aujourd’hui, ce vigneron indépendant mise sur l’export pour étendre la notoriété des vins du domaine familial. En marche vers le bio Certifié HVE, le domaine souhaite aller encore plus loin dans sa démarche environnementale. Depuis juillet 2018, le nouveau défi consiste en une reconversion bio, qui devrait se concrétiser d’ici à l’horizon 2020. Dans cette perspective, la maison veille à ce que sa technique de vinification ait le moins possible recours à l’utilisation de produits chimiques tels que le soufre. « En alternative, nous incorporons une levure particulière afin d’éviter l’oxydation du vin pendant la fermentation. Le résultat semble très prometteur ! », confie Freddy Latouche. ...
Passionné par sa région et animé d’une vision avant-gardiste dans l’élaboration de ses champagnes, Pierre Laurent se veut « créateur de bien-être » en proposant des cuvées les plus naturelles possible, manifestant les typicités du terroir, le tout selon une démarche écoresponsable. Tradition, plaisir et partage sont autant de valeurs héritées de père en fils, qu’il ambitionne de véhiculer. Au plus proche de la nature L’histoire de la maison de champagne Pierre Laurent existe depuis 5 générations et la création de la marque fut en 2010. Issu d’une lignée de viticulteurs, Pierre Laurent veut perpétuer la tradition familiale et implante ses vignes sur les coteaux de la vallée de la Marne, plus précisément au sein des terroirs de Saulchery, Charly-sur-Marne, Azy-sur-Marne, Crouttes-sur-Marne et Domptin. Le vignoble, d’une superficie totale de 4,5 hectares, est planté des trois cépages champenois dans le respect des gestes ancestraux. Le domaine est effectivement l’un des rares à encore travailler la terre par le cheval. En effet, le tassement du sol provoqué par le passage des tracteurs entraîne un phénomène d’imperméabilité et empêche le développement correct des insectes et micro-organismes. Avec ce procédé traditionnel, le sol est mieux alimenté en eau et en minéraux, gage de la bonne santé des vignes. Dans une volonté de préserver ce précieux héritage qu’est le terroir de la vallée de la Marne, Pierre Laurent a aussi opté pour une viticulture raisonnée, avec pour ambition de décrocher les certifications Haute valeur environnementale et Viticulture durable. « C’est un travail qui requiert des connaissances, de la patience et du temps, mais les résultats en valent la peine », déclare-t-il. Cette forte implication et cet attachement à des notions comme la qualité et le bien-être ont été couronnés de succès, puisque les champagnes de la maison sont aujourd’hui disponibles dans l’un des endroits les plus prestigieux du pays : le château de Versailles. Les royales cuvées investissent Versailles Pour clôturer en beauté la découverte de la résidence des rois de France réputée pour sa perfection et son glamour, une halte dans la boutique de souvenirs est de rigueur. Quelques flacons signés Pierre Laurent trônent fièrement sur les rayonnages. Les deux cuvées, Louis XIV et Marie-Antoinette, ont brillamment su trouver leur place dans ces lieux mythiques. La cuvée masculine Louis XIV se démarque déjà de par son packaging d’un bleu doux. Constitué de 40 % de chardonnay, 40 % de pinot noir et 20 % de pinot Meunier, ce champagne plaît pour ses bulles fines et son nez puissant et fruité, complété par une bouche arrondie et douce. Il s’apprécie en apéritif ou servi avec des plats légers, comme un rouget à l’oignon rouge et à la menthe. La cuvée Marie-Antoinette, quant à elle, sera plus à l’image de la femme. Elle arbore des tons glamours par ses tonalités rose pâle. « Durant mon voyage au Japon en février 2015, j’ai découvert qu’ils étaient passionnés du sakura, le cerisier. J’ai donc choisi sa couleur rose pour cette cuvée, afin de plaire un peu plus aux Asiatiques », confie le vigneron. Ce champagne, fait à 50 % de pinot Meunier, 30 % de pinot noir et 20 % de chardonnay, a bénéficié d’un vieillissement de quatre années en cave. Il ouvre sur des arômes de figues et de dattes, suivis de notes florales et minérales qui en font un bel allié sur des desserts gourmands comme les crèmes vanillées caramélisées ou les pralines. ...
A quelques minutes de Saint-Tropez, La Réserve Ramatuelle est un des rares Palaces de la Côte d’Azur. Une distinction qui favorise les établissements présentant des caractéristiques exceptionnelles, capables de promouvoir à l’international l’attractivité de la France et l’art de vivre à la française. Un tremplin vers les étoiles Eric Canino, le chef fait ses premières gammes à Manosque en 1987 puis effectue une formation de pâtisserie chocolat avec René Fontaine, Meilleur ouvrier de France Chocolatier à Barcelonnette. Et, c’est aux Roches de Lavandou qu’il débute sa carrière pour devenir au fil du temps le chef des cuisines de Michel Guérard considéré comme l'un des fondateurs de la « nouvelle cuisine ». Le Grand Véfour profite ensuite de son talent avant qu’il ne prenne ses quartiers au Restaurant La Voile en tant que Chef exécutif. S’appuyant sur son riche parcours, Eric compte aussi énormément sur son équipe avec qui il partage toutes ses réussites. Grâce à sa passion, sa ferveur et à sa rigueur, il décroche l’un des titres les plus convoités : l’étoile au Michelin. Des produits frais et locaux Avec des produits bruts issus du terroir provençal, il orchestre des plats d’exception. Il veille à réaliser une cuisine aux couleurs du sud amplifiée par des saveurs inouïes. Inspiré et créatif, il perfectionne ses plats en conciliant gourmandise et simplicité afin de régaler les papilles. Pour ses créations culinaires, ce maestro s’appuie d’une part sur le potager de La Réserve Ramatuelle situé à proximité des cuisines du restaurant. Avec un mode d’exploitation raisonnée, ce potager s’ouvre à une douzaine de variétés de tomates, à plusieurs herbes aromatiques comme l’origan, la marjolaine et la citronnelle de Madagascar. Le chef Canino y cueille également ses légumes tels que les poivrons rouges et les aubergines blanches sans oublier les arbres fruitiers qui en plus d’offrir une décoration verdoyante, apporte finalement tout ce dont le chef a besoin pour sublimer ses plats.Le restaurant travaille aussi avec de petits producteurs locaux œuvrant de Marseille à Nice et rigoureusement sélectionnés pour la qualité de leurs produits. Une cuisine raffinée et savoureuse En avant-goût, les recettes délicates et aromatisées aux senteurs provençales font place au Calamar cuit au parfum de tomate au basilic et la Seiche rôtie et pattes croustillantes accompagnés d’olives Taggiasche.Parmi les plats aux saveurs marines, le Chapon de Méditerranée farci aux épinards et calamar. Ce poisson de roche évoluant dans les eaux profondes est méticuleusement préparé et servi avec du fenouil confit à la passion accompagné de pomme de terre fondante au jus de bouillabaisse. Côté viande, le Veau du pays Basque quasi rôti et en tartare accompagné de girolles marinées abricot rôti et cylindre d’agria au romarin se savoure sans hésitation. En dessert, le Chocolat grand cru du Pérou : « After eight » à la menthe poivrée du jardin joint à un Sorbet Perrier Menthe amuse le palais au grand bonheur des gourmands. Un cadre épuré et naturel Traversé par la lumière naturelle, le restaurant aux immenses baies vitrées habillée d’un blanc immaculé offre une vue imprenable sur la Méditerranée. Les lignes épurées et élégantes insufflent une ambiance douce et chaleureuse où le bien-être, le confort et l’élégance sont de mise. A l’extérieur, sur la terrasse ombragée, les convives apprécient le climat doux azuréen. Doté d’un environnement naturel exceptionnel, le jardin offre un paysage authentique sublimé notamment par les impressionnants oliviers bicentenaires. Les senteurs méridionales renforcent la beauté du cadre avec les myrtes et les romarins parsemant l’ensemble de la propriété. ...
L’ADEME estime que la France jette plus de 10 millions de tonnes de déchets alimentaires chaque année. Dans le but de réduire ce chiffre, les initiatives ne manquent pas : sensibilisation intensive, adoption d'une loi obligeant la grande distribution à distribuer les invendus, création de 5000 nouvelles associations, etc... « Dans ce combat, nous avons fait le choix de positionner la lutte contre le gaspillage alimentaire sous l’angle de la valorisation, telle une reconnaissance des engagements des commerçants », fait savoir Franck Nganiet, CEO et cofondateur Care Eat. Il explique comment l’innovation de cette startup va contribuer à la nouvelle ère du zéro déchet et de l’économie solidaire. Un label, un engagement, une reconnaissance « Le label n’est que l’aboutissement des initiatives déjà prises par les commerçants. Nous avons matérialisé dans un cadre méthodologique les leviers d’actions pertinents adaptés à la typologie des commerces de bouche », explique notre interlocuteur. Élaboré avec une centaine de commerces indépendants, ce cahier des charges définit 14 catégories d’évaluation et 112 points de contrôle. L’idée est de proposer aux établissements partenaires les outils leur permettant de s’auto-évaluer, d’exécuter, mais aussi, de mesurer l’impact de leur pratique anti-gaspillage, le tout en temps réel. Le deuxième volet de l’action Care eat consiste à valoriser ces initiatives. « Il s’agit de permettre aux consommateurs d’identifier les commerces engagés dans son territoire », déclare l’équipe Care Eat. Étiquette apposée sur la devanture, espace Web et mobile, référencement dans le premier annuaire des professionnels engagés dans la lutte contre le gaspillage alimentaire ou encore supports de communication font partie des outils à disposition des adhérents. Enfin, la startup offre gratuitement sa plateforme numérique (tableau de bord, fiches d’actions, cadre méthodologique numérisé, etc.) permettant aux commerces de se rapprocher du zéro déchet. Impact économique, environnemental et social Le fait que la solution apporte une rentabilité économique durable peut déjà suffire comme argument. En effet, en agissant sur la chaine production-achat-vente, la gestion des stocks, le recyclage, la démarche qualité et plus encore, l’accompagnement Care Eat propose un modèle d’organisation de pratique éco-responsable sur la question du gaspillage alimentaire. « Au-delà de cette dimension financière, le label garantit l’engagement zéro déchet de nos clients. C’est une visibilité certaine auprès des consommateurs, et surtout des "consom’acteurs" (20% des consommateurs), dans sa zone géographique », souligne Franck Nganiet. Autrement dit, le concept fédère toute une communauté autour des valeurs écoresponsables pour réduire l’empreinte du gaspillage alimentaire en France et, ainsi, dans le monde. Comme axe de développement, Care Eat envisage de lancer bientôt une application mobile qui va permettre la collecte de produits de qualités, à un prix symbolique, aux personnes à revenu modeste. Cette démarche s’inscrit pleinement dans l’engagement social de la startup qui vise à agir au-delà de ses ambitions économiques et environnementaux. Source : https://www.novethic.fr/lexique/detail/consom-action.html ...
Fondée en 2002, par le célèbre architecte d’intérieur et designer et chef Antoine Pinto, la brasserie de luxe belge Belga Queen est considérée comme le plus bel établissement de bouche de Belgique et sans doute d'Europe. Belga Queen est aussi un lieu chargé d’histoire. La brasserie prend place dans un bâtiment datant du début du XVIIIème siècle, ayant auparavant abrité l’Hôtel de la Poste, puis une banque, le Crédit du Nord. L’endroit est aux antipodes d’une brasserie traditionnelle « coude à coude », l’architecture et la gastronomie s’y rencontrant de manière exceptionnelle. Une gastronomie authentique et soignée Belga Queen propose une cuisine belge mise au goût du jour, allégée et agrémentée de touches très nationales à travers notamment l’accompagnement de nombreux plats par la bière. Une gastronomie authentique avec d’excellents produits minutieusement choisis auprès d’artisans belges ayant su garder le respect du terroir. Les vins proviennent de producteurs exclusivement belges tandis que le café Ponti est un mélange de grains ’Pur Arabica’ de plusieurs provenances et torréfiés par un maître belge en la matière. Preuve s’il en faut que le Belga Queen fait la part belge à tout ce que ce pays fait de bon et au-delà. Une architecture dévastatrice Véritable miraculée de l'architecture bruxelloise dévastatrice de la fin des 30 glorieuses, la brasserie Belga Queen en conserve les fondations sérieuses, une salle des coffres impressionnante abritant désormais le légendaire « Club de Cigare », des escaliers propices à se dérober aux regards indiscrets et une verrière surplombant la salle principale dont seuls quelques privilégiés ont pu, à ce jour, observer l'état aérien de grâce et de conservation d'une œuvre d'art à nulle autre pareille. ...
« C’est un peu une cuisine de voyage. » C’est sur cette phrase que la chef du restaurant Zakhang décrit ses créations culinaires. Cet établissement situé sur le quai du bord de la rivière d’Isère doit son nom au terme tibétain za khang, qui signifie « restaurant ». Il faut dire que tout le concept du restaurant s’inspire de ce pays asiatique situé au nord de l’Himalaya. Étant cosmopolite, le restaurant explore aussi les techniques culinaires issues d’autres contrées pour plonger ses convives dans cet esprit de voyage. Une cuisine traversant les mers et les océans Dans l’élaboration de ses plats, la chef s’inspire d’une diversité de produits tels que les condiments japonais, le chutney d’ananas et la sauce Maratika (du nom de la grotte népalaise), une sauce aux épices découvertes lors de ses voyages dans ce pays. « Ma cuisine s’inspire de ce que j’ai pu gouter en Inde, au Népal, en Chine», confie-t-elle. Effectivement, un repas au Zakhang est une invitation à la découverte de nouvelles saveurs exotiques qui ravissent les papilles. L’établissement propose, le jeudi et le vendredi, une formule midi comprenant une entrée, un plat et un café gourmand à 15 €. Lors de notre passage, nous avons eu plaisir à déguster le panna cotta au maïs et son coulis de poivrons rouges en entrée. Un succulent cabillaud sauce kéfir, curcuma a été servi en plat de résistance. Outre ses formules du midi, le restaurant propose aussi une carte qui suit la saisonnalité. De l’entrée au dessert, les plats sont agrémentés d’épices exotiques qui subliment les saveurs des produits frais utilisés. Pour commencer, les fins gastronomes se régaleront d’une soupe sauvage, bruschetta au lard de Colonnata. Ici, les saveurs italiennes sont mises en avant, notamment ce lard, un produit typique de la charcuterie italienne élaboré à Colonnata. En plat, le suprême de pintade sauce au poivre de Tasmanie mise aussi sur ce mix liant tradition et exotisme. Pour finir, le black pearl : chou noir à la crème d’hibiscus, crème glacée au poivre rouge du Sichuan. Une carte des vins bien élaborée Zakhang propose une carte des vins assez éclectique. « Au départ, on pensait faire dans un rayon de 300 km de Grenoble en incluant les vins italiens, les vins de Savoie…Mais on a aussi un peu élargi à des vins de Bourgogne, des bordeaux et quelques vins d’Alsace », raconte la chef. Parmi les vins issus de la vallée du Rhône et du Languedoc-Roussillon figure le Crozes-Hermitage blanc AOP 2014 du domaine du Colombier aux senteurs d’arômes floraux. Et dans la série des vins de Bourgogne, le restaurant suggère du Mâcon-Cruzille « Les Genevrières » AOP 2013 du domaine Guillot-Broux, qui fait la fierté du terroir. À déguster également : l’Alsace blanc Riesling 2013 du domaine Dirler-Cadé et le vin italien Chianti rouge 2013 de Fattoria Montellori. ...
Vouant depuis longtemps une passion pour les spiritueux, Miko Abouaf décide de quitter le monde de la finance et débarque à Cognac (Charente) en 2011. Il commence à distiller pour de grandes maisons au sein d’une importante distillerie. Puis, dans une volonté de proposer quelque chose de différent, l’idée lui est venue de lancer ses propres créations. En 2013, il crée alors Audemus Spirits. Un an plus tard, il rencontre son ami et associé Ian Spink. C’est le début d’une collaboration fructueuse qui va plus tard donner naissance à des produits uniques au style inimitable. Entre parfumerie et distillerie Audemus Spirits se spécialise dans l’élaboration de gins, de spiritueux, de liqueurs et autres apéritifs. Loin d’être une distillerie comme les autres, la maison revendique des méthodes de fabrication qui lui sont propres. « Pour produire nos alcools, mon travail se place à l’intersection de la distillation et de la parfumerie », fait savoir Miko Abouaf. En effet, tel un chimiste évoluant dans son laboratoire, ce dernier utilise des alambics en verre afin de fabriquer ses précieux nectars. Sans pourtant vouloir tourner le dos aux méthodes de distillation traditionnelle, Miko Abouaf se plait à expérimenter tout en usant de techniques pour le moins originales. À titre d’exemple, pour fabriquer un des produits ambassadeurs de la maison, le « Pink Pepper Gin », il fait macérer et distille séparément les neufs plantes qui entrent dans la composition de ce gin d’exception. Ces différentes distillations font ensuite l’objet d’un assemblage. Résultat : les arômes gardent à la fois toute leur richesse et toute leur intensité au cours de la dégustation. « S’il était question d’un gin classique, les ingrédients auraient tout simplement été mis dans un alambic puis distillés ensemble », indique Miko Abouaf. En matière de distillation justement, Audemus Spirits se démarque de ses concurrents par le procédé de distillation dite « sous vide ». Une technique qui permet de réduire considérablement la température d’ébullition de l’alcool et limite ainsi le risque de dégradation occasionnée par un chauffage trop important. Des matières premières de qualité Tout le monde sait que les meilleurs vins ne s’obtiennent qu’avec des vignes de qualité. C’est tout aussi valable dans l’univers des spiritueux lorsqu’on évoque les ingrédients nécessaires à leur fabrication. « Nous essayons le plus possible de nous fournir près de la source dans le but d’avoir les meilleurs produits », explique Miko Abouaf. Ainsi, la maison s’approvisionne en miel auprès d’un agriculteur situé non loin de la distillerie. « Pour le gin, nous sommes en train de mettre en place une collaboration avec des planteurs de vanille de São Tomé. » Des créations uniques en leur genre À travers ses créations originales, Audemus Spirits promet une expérience différente aux amateurs de spiritueux. Le « Pink Pepper Gin », un gin incomparable en termes de saveurs, fait la fierté de la maison. Pas moins de neuf éléments aromatiques (dont trois sont tenus secrets) composent ce breuvage exceptionnel : fèves tonka, vanille, miel, baies de genévrier, baies roses et cardamome. Au nez, on retrouve l’intensité du genièvre, de la cardamome et la fraicheur du poivre. Ces trois arômes reviennent en bouche pour laisser ensuite place à la douceur des notes vanillées, tonka et miel mille fleurs. « C’est un des rares gins qui se déguste sec, sans besoin de le mélanger avec d’autres boissons. » Autre merveille à découvrir : l’« Umami », un étonnant spiritueux à base de câpres. Ce nectar présente un nez légèrement salin, délicat et élégant, associé à des notes fraiches citronnées. La bouche est suave et savoureuse avec de superbes arômes de câpre suivie des notes très subtiles de garrigue. Enfin, une finale précise et longue révèle toute la qualité des distillations. Toujours dans l’originalit&e...
Véritable patrimoine gastronomique français, le fromage traverse les siècles et se redécouvre ici au travers d’une large gamme de produits affinés de manière artisanale. C’est en 1871 que l’épopée familiale commence pour se perpétuer jusqu’à aujourd’hui grâce à un attachement à des valeurs telles que l’authenticité, la rigueur et l’excellence. Pionnier de l’affinage effectué dans le respect de la tradition, avec un brin de modernité, la Maison Losfeld se veut être la fière ambassadrice de la richesse gourmande de sa région. Une identité séculaire… Nous sommes au XIXe siècle. « Alors ouvrier, César Losfeld décide de se reconvertir, sous les conseils bienveillants de sa femme, Sophie-Adélaïde, dans le commerce de fromage. En vendant leurs produits en faisant du porte à porte auprès de la bourgeoisie d’antan, César Losfeld se découvre une passion qui va grandir au fur et à mesure à l’image de son petit commerce. Ainsi naquit la maison César Losfeld », nous raconte Monsieur Losfeld, quatrième génération de cette famille animée par le désir de partager les bonnes choses. Avec le temps, les fromages, en pâte dure ou en pâte pressée, seront affinés par la petite entreprise qui, pour répondre à l’essor du marché, décide d’acquérir de nouvelles caves plus spacieuses et dotées de la température idéale pour un affinage réussi. Ces nouvelles caves seront situées dans une ancienne usine textile sise à Roubaix dans laquelle l’affinage continue de se faire jusqu’à aujourd’hui. Ce patrimoine très bien conservé s’est doté d’un équipement moderne afin de faciliter l’acheminement du fromage, son affinage, son entreposage et sa distribution tant auprès des particuliers qu’auprès des crémiers. Afin de garantir, par ailleurs, la qualité et l’origine des précieuses meules, l’entreprise a pris, à partir des années 90, une nouvelle orientation marquée par un partenariat avec les fromagers et les fermiers locaux. De plus, l’affinage des fromages se fait sur des planches en bois de sapin avec un retournement et un brossage manuel qui favorisent le goût corsé et typé de chaque fromage, succulence rehaussée par une maturation longue de deux à vingt-quatre mois. Ces soins artisanaux et ces origines à la traçabilité fiable font ainsi l’identité et la renommée de la Maison Losfeld dont la réputation dépasse désormais les frontières françaises grâce à l’exportation de ses produits vers l’extérieur, notamment vers les États-Unis et le Japon. L’affinage… Ce savoir-faire, permettant aux cirons et aux acariens de grignoter la croûte du fromage et de faire ressortir l’humidité de chaque meule, est transmis de génération en génération et fait la fierté de la famille Losfeld, qui s’est donnée pour mission de valoriser les fromages locaux et régionaux. « Fondées sur l’affinage et la sélection du fromage, allant du négoce à l’achat, les activités de l’entreprise sont désormais axées sur l’affinage de pâte pressée à l’instar de la mimolette, produit phare de la maison, ou du pavé du Nord, un fromage en forme de pavé et doté d’une pâte pressée, spécialité créée il y a de cela vingt-cinq ans », reprend notre interlocuteur. Affinant également des fromages à pâte orangée tels que le géant des Flandres ou le gouda, Losfeld propose tout un éventail de produits inclus dans la gamme La Reine du Nord. ...
L’exposition idéale des sept hectares de plants de pinot noir et de chardonnay confère aux cuvées de la marque toute leur typicité. Allant de la cuvée Blanc de Noirs, un monocépage pinot noir puissant au goût relevé et fruité, à la cuvée Brut, aux arômes agréables, et élaborée à 60 % de chardonnay et 40 % de pinot noir, le champagne Germar Breton, qui élabore également une cuvée Blanc de Blancs et une cuvée Rosé, se veut être l’ambassadeur de l’excellence de la côte des Bar. Un terroir d’exception mis à l’honneur Le champagne de la maison Germar Breton puise sa mosaïque d’arômes et de goûts dans le sol riche situé dans quatre communes de Barsuraubois. Les saveurs propres à ce terroir unique sont savamment révélées au travers de cuvées, « privilégiant la richesse des arômes du chardonnay et du pinot noir », affirmentKarine et Laurent Breton, propriétaires de la maison de Champagne Germar Breton depuis 1989. Donnant la priorité au savoir-faire artisanal, cette maison exigeante en matière de qualité mise sur des procédés d’élaboration oscillant entre tradition et modernité. Cet attachement aux valeurs ancestrales confère ainsi aux cuvées Germar Breton toute leur authenticité. Une terre bénie travaillée avec soin Afin de préserver la richesse de cette terre généreuse, Karine et Laurent Breton s’attèlent à travailler les vignes en donnant la primauté aux pratiques durables. Les produits fongicides sont alors utilisés de manière raisonnée et le « traitement ne se fait que quand c’est nécessaire, suivant les besoins et le climat », continuent Karine et Laurent Breton. Cette agriculture raisonnée préserve ainsi « l’héritage précieux que représentent les vignes héritées de nos grands-parents et parents », nous confient-ils. ...
Avec sa terrasse ombragée idéale pour déjeuner en été, la Farigoule est un petit coin de paradis au cœur de Vence. Dans cette cité au riche patrimoine historique, l’établissement s’impose comme une adresse de choix pour déguster une subtile cuisine provençale et traditionnelle. Georges et Agnès Beeuwsaert font le choix de produits frais et du fait maison pour la préparation des menus saisonniers de leur restaurant. D’ailleurs, en guise de reconnaissance de ce travail acharné et de la priorité donnée à la qualité, le guide Michelin leur a attribué le Bib gourmand depuis 2015. Des menus saisonniers qui font toute la différence Chef autodidacte, Georges crée savamment les mets figurant dans les menus proposés à La Farigoule. Le menu Saison comporte deux entrées, plats et desserts au choix. En guise de plats pour cette formule, la restauratrice suggère vivement les joues de porc au cumin. « C’est délicieux et très fin », réplique-t-elle. Le Grand Menu donne le choix entre trois entrées, plats et desserts encore plus appétissants. Le « Caprice d’Agnès », dessert figurant dans ce menu, est assez particulier, comme l’explique notre interlocutrice : « Mon mari l’a créé pour moi, il s’agit d’un dessert à base de chocolat, sans farine, et qui est un mélange entre la mousse et le soufflé au chocolat. On utilise un cacao à 72 % que l’on met au four. » D’ailleurs, elle ne tarit pas d’éloges sur les douceurs sucrées élaborées par la maison. « Nous sommes très forts sur les desserts », clame-t-elle, avant de citer un autre incontournable : « Le carpaccio d’ananas, qui est de l’ananas coupé très finement que l’on met dans un sirop au rhum vanillé. » Un établissement historique Créée en 1958, La Farigoule est un restaurant vençois typique ayant su garder sa splendeur. Voilà dix ans que le duo de choc a repris l’établissement pour représenter ainsi la troisième génération de propriétaires. Au fil de son long passé, La Farigoule s’est bâti une excellente réputation grâce notamment au bouche-à-oreille, qui est, selon la restauratrice, « la meilleure publicité ». L’âme romantique des lieux a été conservée. Les meubles anciens, héritages de l’ancienne propriétaire Georgette, ont par exemple été restaurés et conservés permettant à l’endroit de respirer le charme et l’authenticité. La déco, quant à elle, a subi un lifting pour être totalement dans l’air du temps. Le patio ombragé aménagé avec 50 couverts constitue la cerise sur le gâteau. Cette « très jolie terrasse, fleurie en été », comme la décrit la propriétaire, se trouve à l’arrière de la salle du restaurant et reste unique en son genre dans le centre-ville de Vence. ...
Ouvert à la fin de l’année 2005, La Pizzetta a vu sa salle entièrement remplie, seulement trois mois après. Ce rapide succès est dû à certaines nouveautés, comme par exemple la pizza à base de farine complète ou les ingrédients sont utilisés après cuisson afin de garder pleinement toutes les saveurs et le goût. Situé au 22 avenue Trudaine, tout près de la place Pigalle, dans le 9ème arrondissement, La Pizzetta est une authentique trattoria de la cuisine traditionnelle. C'est-à-dire, un restaurant italien calme, populaire et sans prétention. Un endroit où l’ambiance est conviviale et le service est simple et assez fluide. Un menu varié constitué de plats de qualité à des prix raisonnables Le restaurant La Pizzetta est l’endroit idéal pour déguster une excellente pizza, version pâte classique ou intégrale. Les pâtes et le carpaccio sont également mis à l’honneur et parfaitement exécutés. Au total, on retrouve au menu 6 différents types d’entrées, 6 plats de pâtes, 14 variétés de pizza, 2 catégories de poissons et 2 choix de viandes, proposés à des prix très raisonnables. La preuve, si besoin en est, que la carte est largement variée. A l’instar de la pizza, on retrouve d’autres plats traditionnels italiens comme le succulent Paccheri avec des petits calmars, des olives noires, de l’ail et des petits-pois mais aussi les délicieux Gnocchi de pommes de terre aux palourdes, de savoureux Tagliolini au thon frais, avec du céleri, des tomates cerises et de l’oignon rouge, des succulentes Pennette sans gluten avec la sauce de tomates San Marzano, de l’ail et du basilic frais et de somptueux et exquis Fagottini au gorgonzola, avec des pointes d’asperge et du speck croquant. Sans oublier, les incontournables Tortiglioni all'ortolana avec des légumes frais de saison, de l’huile d'olive et du persil. La possibilité d’avoir un repas pantagruélique idéal pour satisfaire les palais les plus exigeants. D’ailleurs, le critique gastronomique Gilles Pudlowski ne tarit pas d’éloges à propos de l’établissement sur son blog en parlant d’une adresse connue depuis des années qui « vaut toujours la fréquentation et la revoyure ». Il s’émerveille de « l’authenticité des produits, de l’huile d’olive, des pâtes cuites al dente et du vinaigre balsamique de Modène ». Cette cuisine sincère à base de produits frais est servie par un personnel présent depuis l’ouverture de l’établissement. Ce qui engendre une nette fluidité dans le service et par une grande rapidité dans son exécution. Une ambiance conviviale et une décoration alliant tradition et modernité La Pizzetta dispose d’une petite salle de 35 places et d’une terrasse d’hiver avec 20 couverts supplémentaires. Le lieu s’enorgueillit d’une contre-terrasse en période d’été et peut ainsi accueillir 20 personnes de plus. Les moulures au plafond et sur les murs, rappelant l’époque de Napoléon 3 (vers 1850), rajoute une touche de baroque à un design moderne et provoque une ambiance très chaleureuse et conviviale dans un cadre calme, donnant envie aux clients de rester un peu plus longtemps. L’élégance et la simplicité de la décoration conjuguées à la chaleur de son accueil et à l’authenticité de sa cuisine font de cet établissement un moyen de téléportation vers l’Italie. Un voyage instantané dès que l’on entre dans ce sympathique et typique restaurant italien. ...
Existant depuis 1898, l’hôtel-restaurant Morganti a été créé par l’arrière-grand-père de Jean-Toussaint. Le petit-fils prend la relève et invite les locaux ou les touristes de passage à découvrir une cuisine corse qui sublime la richesse du terroir. Cuisine de tradition Dans le calme olympien de la salle et de la terrasse ombragée de Morganti, les assiettes se révèlent gourmandes et respectueuses de la saisonnalité. Les recettes tirent leur riche saveur des produits exceptionnels de la mer et de la terre corse. Les langoustes proviennent directement des arrivages du cap Corse. Les poissons sont livrés à peine pêchés de Balagne. Les charcuteries, les fromages et les vins locaux sont les fruits du talent et de la patience des artisans œuvrant sur l’île de beauté. Vous l’aurez compris, chez Morganti, seuls les produits frais ont leur place. Et tout cela, sans que vous n’ayez à craindre une addition salée. La maison prône effectivement l’excellence de son rapport qualité/prix, ce qui lui a permis d’ailleurs d’obtenir la nouvelle distinction « l’Assiette » du Guide Michelin en 2015. Quelques plats emblématiques Le restaurant Morganti a bâti sa réputation autour de plats emblématiques, comme la bouillabaisse traditionnelle et les spaghettis à l’araignée de mer. D’autres plats viennent s’ajouter à la liste des ambassadeurs de la maison comme la soupe de poisson, sa rouille et ses croûtons ou la salade de poulpes. En dessert, rien de mieux que le moelleux à la châtaigne. Des signatures à accompagner de la traditionnelle planche de charcuteries corses et d’autres spécialités régionales typiques du maquis. Pour compléter ce voyage gustatif, les plats s’accompagnent d’une carte de vins faisant la part belle aux produits de la région, comme ceux du Domaine Pieretti ou du Domaine de Saparale. ...