Comme tous les magasins Biocoop, le magasin BIOCOOP SOLFERINO de Lille s’est engagé dans une démarche équitable et responsable. Il adhère totalement aux valeurs mises en place par ce réseau coopératif, comme des produits exclusivement issus de l’agriculture biologique, une rémunération juste des producteurs ou encore une diminution au maximum de l’empreinte carbone en bannissant le transport aérien. De plus, tous les produits sont sélectionnés selon un cahier des charges strict. Des produits bio de qualité … Sur les 170 m² d’espace de vente du magasin BIOCOOP SOLFERINO, vous pourrez faire l’ensemble de vos courses puisque vous y trouverez des fruits et légumes de saison, de l’épicerie salée et sucrée, des surgelés, des boissons y compris des vins, des produits ultra frais, mais aussi des compléments alimentaires, des produits d’entretien, des cosmétiques et des produits bébé, tous 100 % bio. Dans la partie épicerie, 120 références de produits vendus en vrac, avec entre autres céréales, pâtes, légumes et fruits secs, sont à emporter dans des sacs en coton ou des bocaux en verre, réutilisables. Avec ces articles, vous bénéficierez de tarifs compétitifs et vous pourrez tendre vers une consommation alimentaire zéro déchet. Et aussi une offre locale Biocoop privilégie également les produits locaux dès que cela est possible. Ainsi BIOCOOP SOLFERINO vous propose des fruits et des légumes provenant de producteurs locaux et toute l’offre de boucherie/charcuterie, ainsi que les plats traiteur tels que des lasagnes, des tartes et sandwich, sont préparés directement par les équipes Boucherie/charcuterie/traiteur du magasin Saveurs et Saisons à Villeneuve d’Ascq. ...
La propriété familiale existe depuis 5 générations. En 2015, Laurent reprend les rênes avec l’objectif de « réaliser les plus grands vins possibles », nous confie-t-il. Le vigneron profite de la localisation géographique privilégiée de son terroir pour signer des Grands Crus d’exception issus de l’appellation Gevrey-Chambertin et des cuvées de finesse et d’élégance de l’appellation Bourgogne. Le vignoble se trouve effectivement au cœur des Côtes de Nuits, sur les hauteurs du village de Gevrey-Chambertin et s’étend sur une superficie de 6,5 hectares. Ces hauts-lieux bourguignons sont classés au patrimoine mondial de l’UNESCO, ce qui constitue une preuve irréfutable de leur richesse et de leur singularité. Un vigneron responsable et passionné Dans son travail, Laurent s’évertue toujours à prendre en considération l’héritage à laisser aux générations futures. C’est pourquoi le domaine opère dans le strict respect de l’environnement. L’adoption d’une démarche raisonnée dans la gestion des vignes est antérieure à l’obtention de la certification Haute Valeur Environnementale niveau 3 (HVE 3). Depuis toujours, la maison exploite ses terres dans un souci d’instaurer l’harmonie entre l’homme et la nature. Elle a aussi fait le choix d’opter pour des rendements faibles dans une volonté d’obtenir des vins plus concentrés capables d’exprimer la quintessence de leur terroir. Les récoltes s’effectuent à maturité optimale. « Nous attendons notamment que les raisins atteignent un niveau de sucre adapté afin d’arriver à un meilleur équilibre possible », explique le vigneron. Des vins de parfums et de matières À l’issue des vendanges manuelles, le pinot noir, le chardonnay et l’aligoté subissent un processus de vinification en cuve inox d’une durée de 15 jours puis un élevage en fûts de chêne entre 12 et 18 mois en fonction des appellations travaillées. De ces méthodes prônant un savoir-faire séculaire naissent des cuvées authentiques et généreuses qui tiennent toutes leurs promesses. Parmi les best-sellers de la maison figurent les cuvées Les Carougeots et Vieilles Vignes, du 100 % pinot noir qui se veut charmeur et expressif. ...
C’est à Paimpol, au cœur de la Bretagne, que cette conserverie élabore des recettes succulentes tartinables destinées à sublimer les apéritifs. À déguster entre amis, en famille ou entre collègues, « ces tartines artisanales à vocation gastronomique apportent un vrai plaisir en bouche », nous explique Yann Trébaol, propriétaire de la conserverie. S’exportant, entre autres, à l’international, la Paimpolaise s’affiche aujourd’hui parmi les meilleurs de son domaine avec des nouveautés tous les ans et, en prime, des coffrets cadeaux disponibles tout au long de l’année. Des tartines ambassadrices du terroir Perdue entre terre et mer, la Bretagne reste une région riche de ses traditions, de son histoire et de sa gastronomie. La Paimpolaise Conserverie tient ainsi à révéler ce que cette région a de meilleur à offrir grâce à un éventail de produits artisanaux, allant des tartinables aux soupes, en passant par les tapas disponibles en plusieurs formats. « Élaborées de A à Z dans nos ateliers, les tartinables sont faites à base de poissons, de coquillages et de crustacés, afin d’animer les apéros », reprend le gérant. Fumés ou cuits, assaisonnés ou nature, ces fruits de mer, allant des moules au thon, sont savamment mariés à des produits de la terre tels que le gingembre, le citron, le champignon ou la coriandre. Ces mariages ingénieux, fidèles à l’identité tantôt marine tantôt terrestre de la Bretagne, révèlent toute la fraîcheur et la subtilité des produits de la mer ainsi que la douceur des herbes et des condiments. Agrémentez ainsi vos instants gourmands de tartines de rigadell et aile de raie à la coriandre. Accompagnés de vins, ces toasts allient harmonieusement fraîcheur marine et saveurs propres au terroir. « Les tartinables de haute qualité que nous produisons valorisent la Bretagne et rehaussent l’économie de toute la région », continue notre interlocuteur en précisant le fait que toute la chaîne de production est approvisionnée de produits locaux. Découvertes culinaires inédites, extase gustative et plaisirs du palais se retrouvent ainsi dans chaque bouchée des tartinables de cette conserverie dont la réputation est acquise au-delà des mers. Tapas et soupes : autant de recettes artisanales à découvrir Mis à part les tartinables, la conserverie de Paimpol mise également sur des produits emblématiques tels que les tapas ou les soupes. Les tapas apéritives, déclinées en plusieurs recettes s’adaptant à tous les goûts, s’apprécient autour d’un verre à l’occasion de vos instants conviviaux appelant à la gourmandise. Faisant le bonheur des gastronomes, des amateurs de bonne cuisine et des amoureux des délices de la mer, chaque portion de tapas, notamment celle en format 100 g, révélera ce côté « ensoleillé » et quelque peu fougueux de la Bretagne. Pour ce qui est des soupes, ces dernières sont concoctées de manière artisanale, toujours fidèles à l’identité authentique de la gamme de produits de la Paimpolaise Conserverie. Allant des traditions typiquement bretonnes, à l’instar de la fameuse soupe de poisson, aux innovations gastronomiques, pour ne citer que les veloutés de coquillages et les soupes sont ici l’affaire gourmande de tous ceux qui aiment allier goût du vrai et innovation culinaire. ...
À la suite des différents scandales autour de l’industrie de la viande, les Français sont de plus en plus exigeants quant à la qualité de viande qu’ils consomment. Et cette qualité, ils ont l’assurance de la trouver en quelques clics chez Éric Pineau. Des produits venant directement du producteur Pour pouvoir se procurer des produits d’exception sans passer par des intermédiaires, les consommateurs sont invités à se rendre sur le site et y passer leurs commandes. Les viandes proposées sont issues uniquement de la race charolaise. Elles proviennent de la ferme familiale située dans la commune du Voide (Maine-et-Loire) qui compte un cheptel de 70 bovins. Une fois par mois, la famille Pineau procède à une vente. Afin d’apporter du goût et de la tendreté à la viande, une maturation de 15 à 20 jours est nécessaire. Un artisan boucher s’occupe ensuite de la préparation des colis en fonction des différentes commandes. Une fois les colis préparés, place à la livraison express ! Sur ce point, Antoine Pineau, le fils d’Éric, souligne : « Nous vendons dans toute la France nos colis de viande issue de notre élevage. Ils partent directement de chez l’artisan boucher. » En collaborant avec le service chronofresh, les Pineau s’assurent du strict respect de la chaîne du froid. Des colis personnalisés En fonction de leurs besoins, les consommateurs peuvent se procurer des colis de viande de 5, 10, 15 ou 20 kg. Par ailleurs, ces derniers ont la possibilité de personnaliser leur colis. Ils ont ainsi droit à 50 % (au choix) de viande à cuisson rapide et 50% (au choix) de viande à cuisson longue et/ou de steak haché et/ou de saucisses. « On est les seuls en France à proposer aux clients de personnaliser directement sur le site leurs colis de viande », explique Antoine Pineau. Et au cas où le consommateur manquerait d’idée sur la manière de cuisiner la viande, de nombreuses recettes via le site Internet sont à découvrir. Ces suggestions gourmandes viennent des blogueurs qui travaillent en partenariat avec Éric Pineau. « Les blogueurs reçoivent nos produits, les testent, donnent leur avis et en contrepartie, ils écrivent des recettes », rajoute Antoine Pineau. ...
A quelques encablures du Lac Léman et non loin du Palais des Congrès, le restaurant Entre Nous est l’étape gastronomique incontournable à Evian-les-Bains. Dans cet établissement chaleureux, les clients ne manquent pas de témoigner d'une bistronomie originale pour cette belle table qui allie service décomplexé et agréable cuisine.Terroir, élégance et créativité sont trois termes qui décrivent parfaitement le talent de la maison. Une cuisine du terroir Passionnés par l'art culinaire, les Bernis ont développé un lieu de rencontre authentique autour de bons plats. Le restaurant utilise des produits locaux de saison, frais et sains. La cuisine ici valorise le terroir savoyard avec des poissons du lac Léman et les condiments de la Haute-Savoie. De l'entrée au dessert, tout est fait maison. Pour cette adresse qui ne dispose que de 50 couverts, la carte est bien évidemment courte. Un fait apprécié par la clientèle, avec des plats qui changent en fonction des saisons. En guise d’entrée, le restaurant propose de grands classiques à l'instar du tartare de féra. La féra est un poisson très prisé du lac Léman. Après avoir badigeonné d'huile d'olive la chair de la féra découpée en petits dés, il y ajoute de fines herbes, du jus de citron et de la vinaigrette. Une entrée simple et légère, relevée par un parfum d’aneth et de cerfeuil. Comme plat principal, le cœur de rumsteak. Plat traditionnel, il est orchestré à base de fromage d’abondance fondu dans du vin blanc, avec un accompagnement d’un écrasé de pommes de terre et d’herbes. Autre plat signature, la côte de bœuf au four. Pour élaborer ce plat, la viande est grillée de chaque côté dans une poêle, de façon à lui donner une coloration joyeuse à l’œil en plus de son gout de fumé. La côte de bœuf est par la suite enfournée à très haute température, pour être servie accompagnée d’une sauce au foie gras et aux morilles. Le généreux assaisonnement au sel et au poivre rehausse les senteurs épicées de ce plat. En dessert, crème brûlée à base de jaune d'œuf, sucre en poudre, d’une décoction de thé vert et feuilles de menthe fraîche. Le tout est battu au fouet afin d'obtenir un mélange homogène. Une fois la crème blanchâtre refroidie, elle est caramélisée à chaud. Le procédé confère une sensation de fraîcheur aux papilles. En somme, Sophie et Marc cuisinent des plats à la manière « Entre Nous », à travers une cuisine minutieuse qui marie admirablement recettes classiques et originalité. L’harmonie mets-vins La carte des vins est aussi courte que celle des plats, avec quelques bouteilles servies au verre. Celles-ci mettent remarquablement en valeur le terroir savoyard. Sophie Bernis a vite fait de comprendre que l'expression « Le client est roi », signifie non seulement repas succulents, mais aussi accord parfait mets-vins. En accompagnement des magnifiques dressages en assiette de la maison, des vins comme l’AOC Roussette Cru Marestel Tradition du Domaine Barlet. Ce vin blanc à la robe jaune or se marie parfaitement avec le tartare de féra. Il est doté d’un nez fruité exotique, mais aussi d’une bouche riche et moelleuse. Comme accompagnement pour le cœur de rumsteak, l’AOC Mondeuse d’Arbin Graine de Terroir du Domaine Perrier. Un rouge à la robe pourpre intense et équilibrée sur des tanins fruités, poivrés et vanillés. Sa bouche complexe révèle des notes réglisses du court passage en fut de chêne ...
Dans un terroir au sol perméable et argilo-calcaire poussent des cépages typiques des Pays de la Loire. C’est au cœur de cette région historique qu’est situé le Domaine de l’Enchantoir, produisant des cuvées répondant à l’appellation unique « Saumur Puy-Notre-Dame », qualifiant le vin fait à un seuil minimum de 85 % de cabernet franc. Fiers de cette distinction, Jean-Michel et Fabienne Brunet, heureux propriétaires de cette exploitation séculaire, nous emmènent à la découverte de cette terre déjà viticole depuis le Moyen-Age. « Un milieu dédié aux vignes » Ces propos de Jean-Michel et Fabienne Brunet justifient la forte réputation vinicole de Puy-Notre-Dame, une notoriété datant du 19ème siècle. Grâce à son microclimat d’altitude propice à la culture vinicole, ce terroir est le lieu de prédilection de deux cépages caractéristiques, à savoir le cabernet franc, pour le vin rouge, et le chenin, pour le vin blanc. Afin de rendre hommage à cette terre généreuse, le Domaine de l’Enchantoir privilégie ces deux cépages, avec un peu de chardonnay, sur ses 17 hectares de vignobles. Par cette recherche de l’authenticité, cette maison produit des cuvées rouges, blanches, rosées et pétillantes riches en saveurs subtiles et voluptueuses, et fortes de la mosaïque d’arômes propres à ce « terroir qualitatif », précise nos interlocuteurs. L’agriculture bio mise à l’honneur Certifié « Agriculture biologique », le Domaine de l’Enchantoir se veut être la figure de proue de plusieurs générations de vignerons soucieux de l’environnement et prônant un processus de vinification traditionnelle. Les cuvées issues de cette culture raisonnée gardent ainsi toute la typicité gustative du terroir, à l’instar du « Terres pourpres », un saumur rouge au caractère affirmé et succulent en bouche. Toujours dans cet esprit, les trois vins blancs produits par la maison ont le mérite d’être certifiés 100 % bios afin de préserver ce riche patrimoine naturel de Puy-Notre-Dame. ...
Depuis plus de 50 ans, Plage Royale sait vous faire bénéficier d’un cadre idyllique au bord de la Méditerranée, que ce soit pour vous restaurer ou pour passer un après-midi de détente. Installée le long de la Croisette, elle vous offre plus de 780 m² de sable doré et 150 transats pour profiter du soleil en toute tranquillité, à l’écart de la foule. Mais vous pourrez également séjourner à l’ombre sur la terrasse tout en dégustant un délicieux cocktail maison. Plage Royale a misé sur le blanc pour son mobilier moderne et confortable ainsi que pour sa décoration, afin de mettre en valeur cet environnement unique. Le restaurant Le chef Alexandre Elia aime revisiter les classiques locaux en les habillant des saveurs des différents pays méditerranéens. Tous les plats sont préparés à base de produits frais. La carte change à chaque saison. Cet hiver, vous pourrez ainsi découvrir la succulente terrine de foie gras de canard à la compotée de coings et baies de goji ou le pavé de morue à la Portugaise, cuit au four avec huile d’olive, câpres, tomates séchées, olives et oignon. Vous pourrez également satisfaire vos papilles avec le loup grillé accompagné d’une fricassée de légumes et de pommes vapeur ou la bouillabaisse royale au safran et condiments. Un menu enfant est également proposé pour que toute la famille puisse partager un agréable moment. Vos événements Dans cet espace complètement modulable, vous pourrez organiser événements privés ou professionnels selon vos envies. Toute l’équipe de Plage Royale est à votre écoute pour mettre en place votre projet dans les meilleures confitions. Mariage, anniversaire, cocktail, concert, réunion de travail ou déjeuner d’affaires pourront ainsi bénéficier de la terrasse ou de la plage en accès privatisé. ...
Située près des plages de la Côte fleurie, en Pays d’Auge, La Cavellerie est une propriété cidricole de 50 hectares, dont 40 % sont couverts de pommiers de différentes variétés. Son propriétaire Gontran Dondain est également propriétaire du Mas Roc de Bô, en Minervois, et du Château Cabezac. Les pommes du Père Gontran Le domaine de La Cavellerie est constitué d’un verger de 20 hectares sur lequel se développent 26 variétés différentes de pommiers dites de hautes tiges et adaptées à la fabrication de cidre et de calvados. Les pommes livrent des saveurs douces, amères, aigres et douces-amères. Parmi les plus connues et les plus représentatives du Pays d’Auge, il y a la Fréquin Rouge, la Rambault, la Moulin à Vent, la Cimetière de Blangy, la Marie Ménard ou la Douce Coët Ligné. Variant selon les caprices météorologiques, la récolte se fait au plus tôt à la mi-octobre et au plus tard vers fin novembre, avec un tonnage pouvant aller de 80 à 150 tonnes. Ce rendement est doublé lorsque les pommiers de La Cavellerie atteigneront leur pleine maturité d’ici à quelques années. De la pomme au cidre Après leur récolte, les pommes sont d’abord stockées plusieurs jours afin qu’elles puissent développer leur degré en sucre, nécessaire à la bonne teneur en alcool. Elles passent ensuite par la laveuse avant d’être réduites en morceaux par une broyeuse. La répartition des morceaux obtenus sur la machine à presse est la seule étape où le travail manuel est nécessaire. Enveloppée de toiles de jute, cette presse classique garantit la douceur et la constance du jus obtenu sans en altérer la qualité. Finalement, après 3 mois passés dans des cuves de fermentation, le jus de pommes est transformé en cidre. Il faut remarquer qu’à la Cavellerie cette étape de fermentation s’effectue selon les méthodes traditionnelles, avec fermentation et prise de mousse naturelle. Une partie du cidre obtenu est conditionnée et mise en bouteilles sous le doux nom de « Père Gontran Cidre Brut » en appellation AOC Pays d’Auge. Ce cidre possède un caractère fruité et généreux et accompagne à merveille les plats traditionnels comme le lapin au cidre ou le poulet vallée d’Auge. Quant au reste de la production, elle doit encore suivre quelques étapes de transformation avant de devenir un produit plus noble, typique du Pays d’Auge. Du cidre au calvados Le calvados s’obtient après une double distillation du cidre. Mais, avant, le cidre doit encore patienter 6 mois en cuve. Vers le mois de juin ou de juillet survient la première distillation dont est issu un produit dit « petite eau » ou « bouillis », qui deviendra le calvados. Celui-ci est alors élevé en futs de chêne, dans un chai de vieillissement, durant 3 ans au minimum avant d’être mis en bouteille. À 3 ans, un calvados sera dit « fin » ; à 4 ans, « réserve » ; à 5 ans, « vieille réserve » ; à 6 ans, « VSOP » ; et à partir de 7 ans, il est appelé « hors d’âge ». La collection de calvados de La Cavellerie se décline en 8 cuvées en appellation AOC Pays d’Auge, classées selon leur âge, dont les plus fameuses sont le « Père Gontran Fine » de 3 ans, se caractérisant par des arômes de pommes fraiches et de fruits rouges et élaboré avec une seule cuvée. Autre produit incontournable : le « Père Gontran hors d’âge 7 ans », élaboré avec une seule cuvée et livrant un nez vif et puissant aux notes boisées et fruitées. Le « Père Gontran hors d’âge 24 ans », assemblage des millésimes 1989 et 1991 aux notes végétales puis boisées et caramélisées, figure, quant à lui, au panthéon des meilleurs produits du domaine. ...
Le Vieux Couvent a décidément tout pour plaire. Son cadre déjà, sous ses airs bucoliques, s’admire à travers les grandes baies vitrées qui surplombent la salle et qui donnent sur la rivière du Brunnwasser. Sa cuisine, bien sûr, mise en scène avec délicatesse et passion par Alexis Albrecht. Dans l'assiette : les légumes du jardin, les herbes aromatiques, les fleurs comestibles, les poissons sauvages et de la pêche locale, les gibiers de nos chasseurs et les producteurs locaux remplacent les produits industriels. Le talent et le savoir-faire d’une référence gastronomique Après son apprentissage à Ottrott avec Patrick Fritz, Alexis Albrecht évolue auprès des étoiles de la gastronomie française, dont Jacques Maximin à Vence, Émile Jung au Crocodile et les frères Pourcel à Montpellier. De retour au Vieux Couvent en 1997, il y seconde son père, Jean Albrecht. Maître restaurateur, membre des étoiles d’Alsace ainsi que du club gastronome Prosper Montagné, Alexis dirige maintenant le restaurant étoilé. Ses menus dévoilent une mélodie de saveurs qui se succèdent harmonieusement depuis l’entrée jusqu’au festival de desserts. Un détail important qu’il nous fait savoir : « Je me sens autant cuisinier que pâtissier et je pense qu'il est important d'avoir une vraie continuité entre la partie salée et la partie sucrée. » En effet, Alexis a été élu « pâtissier de l'année 2015 » par le guide Gault & Millau. Une cuisine au naturel et au rythme des saisons La maison propose une cuisine inventive, inspirée de la nature et des produits issus du jardin de la maison familiale. « La nature, de la fourche à la fourchette, fait partie de notre façon de travailler. J’y puise toutes mes idées », fait savoir Alexis Albrecht, pour expliquer l’évolution de la carte du restaurant. Les plats emblématiques de la maison, comme le carpaccio d’espadon, le foie gras d’oie ou la matelote recuisinée, restent sur la carte généralement toute l’année mais se retravaillent différemment au fil des saisons. Côté vins, Alexis et son équipe proposent près de 350 références de vins français et étrangers garantissant des accords en parfaite harmonie. ...
Ancienne propriété d’Olivier de Serres (1539-1619), illustre agronome français connu pour sa contribution au développement des techniques agricoles, ce domaine viticole de 10 ha produit aujourd’hui des vins qui se hissent parmi les références de l’appellation IGP Coteaux-de-l’Ardèche. Des pratiques respectueuses de la Nature Ce vignoble en altitude, conduit en lutte raisonnée et bio-logique, est planté en coteaux sur des sols à dominante argilo-calcaire. L’encépagement se compose de syrah, de grenache et de merlot au niveau des rouges et de viognier pour les blancs. En favorisant la biodiversité, le domaine offre à ses vignes les conditions optimales à leur épanouissement. Résultat, des raisins de qualité qui seront plus tard délicatement vendangés à la main. Des cuvées d’exception Sur les cinq cuvées proposées par le domaine, deux peuvent prétendre au titre de « cuvée ambassadrice » : la cuvée « Olivier des Serres 2017 » et la cuvée « Viognier 2017 ». 100 % merlot, la première présente un nez intense avec des arômes de mûres. En bouche, on trouve une belle palette aromatique et des tanins structurés. La seconde est également un monocépage, un 100 % viognier qui séduit par ses arômes de fruits à chair blanche. En bouche, ce vin dévoile rondeur et complexité. Idéal pour l’apéritif, accompagné de brochettes de poulet mariné ou encore de foie gras. ...
« De tous les arts, l'art culinaire est celui qui nourrit le mieux son homme. » C’est avec cette belle citation de Pierre Dac que le Bistrot des Anges fait son entrée en matière. Une manière de dire qu’au sein de cette brasserie bordelaise on vient pour le plaisir de déguster une cuisine savoureuse et traditionnelle, revisitée selon l’inspiration et l’humeur du chef. Une manière aussi de vous assurer qu’on y privilégie l’art de bien recevoir. Des anges pour s’occuper de vous Durant l’arrivée des beaux jours, vous ne résisterez pas à l’envie de vous installer sur cette belle et spacieuse terrasse ombragée. Il faut dire que, depuis la rue, on n’a d’yeux que pour elle. À l’intérieur, la salle invite aussi à passer de bons moments. Toute l’attention se focalise sur cet immense bar en bois éclairé par des luminaires encastrés. En face, des tables et des banquettes en cuir accolés en mur rappellent immédiatement l’ambiance bistrot. Une autre salle beaucoup plus intimiste est proposée aux clients en quête de discrétion à l’arrière du restaurant. Celle-ci révèle des couleurs claires qui procurent un effet élégant et apaisant. Dans cette ambiance conviviale et chaleureuse, vous serez accueilli par les anges. Aux manettes : Vincent, qui est le chef d’orchestre de cette équipe de professionnels et qui fera de votre passage au sein du restaurant un pur moment de plaisir. Aux fourneaux : Nuno, un chef passionné qui concocte une cuisine généreuse, à l’image de sa personnalité. Il régale les papilles avec ses plats traditionnels mâtinés de saveurs issues des quatre coins du monde. La maison propose des menus qui changent tous les jours en fonction des arrivages du marché. À midi, 4 formules, dont les tarifs commencent à 10 €, sont élaborées. Le soir, une carte modifiée régulièrement attend les habitués ou les voyageurs de passage. En entrée, le raviole au foie gras et sa crème de cèpes émoustilleront vos palais. En plat principal, optez pour les gambas flambées au pastis et risotto à l’encre de seiche. Une grosse faim ? Dans ce cas, la côte de bœuf d’un kilo accompagnée de salade et de frites pour 2 personnes est proposée. La touche de douceur, quant à elle, sera apportée par la sphère chocolat irish cream. Pour vos moments de détente La nuit tombée, l’ambiance prend une autre tournure. Le rythme effréné du midi destiné à servir rapidement les clients pressés est délaissé au profit d’une atmosphère plus conviviale et bon enfant. Que vous soyez en groupe, en couple ou solo, le Bistrot des Anges vous garantit un accueil digne de ce nom. Le Cocktail des anges, le Mojito royal, la Pinacolada, le Daiquiri, le Bloody Mary… grâce à la large sélection de cocktails, il y a de quoi passer une bonne soirée. L’établissement a sélectionné également un large choix de vins français et étrangers ainsi que de bières ; à consommer avec modération, cela va de soi. Pour les petites faims, des tapas à partager. Au choix : les calamars en persillade et balsamique, l’assiette de brebis, confiture de cerises noires ou, pourquoi pas, la grande planche du Bistrot. Dès l’approche du weekend, la température monte d’un cran au Bistrot des Anges. Sur un fond de bonne musique, vous pourrez échanger, partager et faire des rencontres. ...
« Un engagement à tous les niveaux, où chaque action mise bout à bout finit par compter. » Voilà résumé en quelques mots l’état d’esprit qui anime le Château Tourteau Chollet, niché à Arbanats, dans l’appellation de Graves. L’objectif du Château Tourteau Chollet : se développer autour de grands terroirs en continuant à protéger l’environnement En plus du bannissement des désherbants chimiques, les 63 hectares de vignes du domaine profitent de gestes concrets. Nous pouvons citer, entre autres, la plantation d’un verger pour améliorer le bilan carbone, la suppression des fertilisants chimiques, la suppression d’insecticides grâce à des produits de biocontrôles ou encore la confusion sexuelle. Fin 2019, le Château Tourteau Chollet s’est vu attribuer le label Bee Friendly : un label européen qui distingue les exploitations respectueuses des abeilles et des pollinisateurs. ...
La traçabilité et la fraîcheur des produits locaux inspirent à un retour à l’alimentation saine. L’on ne s’étonne que peu du regain d’intérêt du consommateur à acheter local. Et pour cause, ces derniers sont de plus en plus attentifs à ce qu’ils mangent. C’est une aubaine pour la Ferme de Sigy qui se veut être un instigateur de la démarche locavore, au profit de l’économie et de la consommation locale. Si le projet d’Ottman et Omar de se lancer dans la transformation laitière n'a pu se réaliser à la date prévue, c'était sans compter sur leur détermination et leur volonté à défendre les produits du terroir, si chers à leurs yeux. Une transformation laitière à la démarche engagée Après avoir acquis quinze ans d’expérience au sein de l’industrie laitière, c’est en 2013 qu’Ottman et Omar se lancent dans l’aventure en reprenant la fromagerie de Robert Villain pour donner naissance à la Ferme de Sigy. La ferme a progressivement pris son envol pour devenir aujourd’hui une référence dans les produits laitiers. Les particularités qui font le succès de la maison ? Sa spécialisation dans la transformation laitière artisanale, la vente en circuit court et son implantation au cœur même d’une ferme laitière. Attaché à l’idée de rendre le produit local et les produits bio finis plus accessibles, de fournir des produits de proximité à prix raisonnable, le duo gagnant travaille en partenariat avec le groupement des agricultures biologiques d’Île-de-France, et leur enseigne est sociétaire de la coopérative bio de la région. La production est ainsi destinée pour la consommation locale et la maison fournit les cantines scolaires, les restaurants d’entreprise, mais aussi des magasins et supermarchés de la région, qui adhèrent à leur valeur et partagent leur conviction. Par ailleurs, un chalet de vente permet de mettre les produits finis directement à disposition des consommateurs avec ceux d’autres producteurs locaux, à l’instar du miel et d’autres fromages. Pour les deux associés, la croissance spectaculaire que connaît la maison leur offre une opportunité d’étendre leurs activités hors de Sigy. C’est ainsi qu’en 2016, ils se lancent dans la transformation du lait bio par le biais des nouveaux ateliers de transformation laitière biologique à la Bergerie nationale de Rambouillet. En dehors de l’approvisionnement des restaurants franciliens, les yaourts et le fromage blanc bio qui y sont fabriqués sont commercialisés par la SCOP Bio d’Île-de-France. Une large sélection de bons produits laitiers Véritables mordus du lait, ces artisans de talent veulent partager le bon goût des produits laitiers à travers une production diversifiée à l’instar du yaourt aromatisé dont la texture se rapproche de celle du yaourt maison. Rien à voir avec le yaourt industriel. Les parfums se déclinent dans toutes les possibilités à l’aide d’un arôme naturel pour éveiller les sens des fins gourmets. Avis aux amateurs, le yaourt bio La Ferme de Sigy élaboré avec le lait de la ferme de Beaulieau est disponible sur le marché depuis 2014. Les férus de fruits ne manqueront pas d’apprécier le Raïbi ainsi que le yaourt aux fruits conçu avec une base de préparation de fruit comme l’ananas, la myrtille, la cerise, la fraise, ou la vanille pour une touche d’exotisme. Ces produits sont élaborés avec des fruits de Nogent-sur-Seine pour qu’ils conservent toute leur fraîcheur, gage de qualité des produits de l’enseigne. Les crèmes desserts au chocolat, au caramel, ou au café sont des délices qui ravissent les papilles les plus délicates. Le fromage qui représente le patrimoine gastronomique français n’est pas en reste. La maison produit en l’occurrence du fromage blanc de campagne ainsi que du fromage frais et du fromage blanc bio. Le lait étant la base de fabrication de ces produits, la Ferme de Sigy élargit ses offres avec le lait pasteurisé ou fermenté et adapte les conditionnements aux besoins de la restauration. D’ailleurs, c’est une partie du lait issu de la bergerie qui sert à la fabricatio...
Situé à quelques enjambées de la maison de la Radio, le restaurant Chaumette continue d’honorer l’art culinaire traditionnel français. Une valeur qui a fait de la maison un endroit unique en son genre. Un vestige du siècle dernier Caché derrière une authentique façade en bois se trouve le restaurant Chaumette. À l’intérieur règne une ambiance rétro, bon enfant et chaleureuse. Le décor, propre aux bistrots des années 1930, réveille un sentiment de nostalgie et de bien-être : boiseries, petites tables serrées. Ici sont suspendues des photos anciennes. Et là trônent des cadres dédicacés, où l’on peut lire des lignes élogieuses à faire pâlir d’envie n’importe quel restaurateur. La preuve que Chaumette a été l’endroit coup de cœur de plusieurs personnalités comme Édith Piaf, Arletty, Jacques Brel ou Joséphine Baker. Un haut lieu de la cuisine traditionnelle française Vincent Spirito et son équipe conservent le concept qui a su séduire les convives du restaurant Chaumette durant presque huit décennies : une cuisine traditionnelle française et faite maison, des ingrédients frais et de qualité issus en majeure partie de filières françaises. Savourez en entrée une terrine de foie gras de canard, confiture d'oignons ou du vol-au-vent d'escargots crème de champignons. En plat, passer à côté du pot-au-feu, l’emblème incontournable du restaurant depuis sa création, serait bien dommage. Mais cela n’empêche pas de se laisser éblouir par d’autres spécialités : noix de ris de veau, blanquette de veau, rognon de veau à la moutarde de Meaux, civet de sanglier, pigeon rôti découpé sur toast à la farce d'abats… Et au dessert aussi, quelques classiques sont au rendez-vous : millefeuille à la vanille bourbon, soufflé au chocolat... Côté cave, Chaumette privilégie les vignerons indépendants et ceux qui ont une démarche globale de respect de l’environnement et des méthodes de production. Les vins bio voire nature sont mis à l'honneur sur l'ensemble des vignobles mais particulièrement en Languedoc, Loire, Rhône... ...
Déjà de l’extérieur, Le Bouchon Gourmand attire irrémédiablement l’attention avec sa belle terrasse ombragée par des platanes et son mobilier de couleur ardoise. L’intérieur, parfaitement assorti avec la terrasse, propose une ambiance à la fois claire et sombre due à ses murs en gris parsemés de « touches de rouge partout pour donner une chaleur à l’ensemble », décrit Cédric Dupuis, le maitre des lieux. Le tout est agrémenté par une musique de jazz en sourdine, qui invite au calme et à la volupté. La simplicité du « fait maison » Extrêmement attentif sur le concept du circuit court, Cédric Dupuis dresse la majorité de ses plats à partir de produits issus de la région. Les poissons sont, par exemple, achetés à deux pas du restaurant, aux Halles. Côté qualité et fraicheur, le chef se porte totalement garant de ses produits : « Je préfère payer un peu plus cher pour avoir une qualité meilleure. » Il assure ainsi à ses clients une cuisine absolument faite maison, saine, copieuse et toujours bien présentée. Le Bouchon Gourmand propose au choix une carte et plusieurs formules. Très variée, la carte propose des plats à des prix réellement abordables. Mentions spéciales au double burger aux trois fromages, très prisé des ados, à l’épaule de veau cuisson basse température, à la côte de bœuf de race bovine, aux seiches à la persillade à la plancha, sans oublier le duo tartare de Saint-Jacques : des plats savoureux qui font le bonheur des habitués. Les différentes formules sont, quant à elles, à destination d’un large public. On y trouve la formule végétarienne mais aussi la formule express, le midi, pour les travailleurs un peu pressés qui n’ont pas beaucoup de temps pour manger : sur un même plateau sont rassemblés l’entrée, le plat et le dessert, « afin que les clients ne soient pas tributaires du service ». Une cave à vins à 99 % régionale Pour accompagner ses plats, Le Bouchon Gourmand dispose d’une carte des vins exceptionnelle, composée uniquement de vins issus de châteaux et domaines de la région, du Minervois, de la Clape et des Corbières. « Nous avons la réputation d’avoir une très bonne cave à vins, qui correspond à tous les goûts », se félicite Cédric Dupuis. Toujours disponible, celui-ci ne se lasse jamais pour prêter conseil à ses convives. « En général, c’est moi qui oriente les clients, soit par rapport à ce qu’ils mangent, soit par rapport à leurs goûts personnels », note-t-il. À titre d’exemple, Cédric Dupuis propose son confit de canard avec un 100 % Syrah du Château de Parazza, qu’il décrit comme « un mariage extraordinaire ». ...
Depuis 2007, le domaine La Grange est la propriété de Renate et Rolf Freund. Soucieuse de préserver l’environnement, la maison mène sur 65 ha de vignes une conduite raisonnée avec la certification Terra Vitis. Côté vinification, on trouve des équipements de pointe, indispensables pour poursuivre des objectifs qualitatifs. Une nouvelle cave, des cuves en inox et des cuves en béton à revêtement époxy ont ainsi permis des améliorations importantes, notamment sur la gamme classique, dont les cuvées ont été récompensées, entre autres, par le Guide Hachette. Une quête permanente de qualité Des notes épicées issues de la garrigue viennent s’ajouter aux arômes des vins, dues certainement au thym et au romarin entourant le vignoble. En dégustation, les tannins apportent structure et matière pour donner une bouche soyeuse tout en rondeur. ...
A proximité du village provençal d’Eygalières et de Saint-Rémy-de-Provence, Le Potager du Mas, restaurant du Domaine de la Rose, est l’adresse « détente » pour passer un week-end dans une demeure de charme et profiter des plaisirs d’une cuisine au plus proche de la nature. Sa propriétaire, Fabienne Huppert et Franck Reveniault responsable du restaurant ont permis à cet établissement, s’étendant sur un domaine de 25 hectares, d’être labélisé « Marque Accueil du Parc », « Table Remarquable » par Châteaux et Hôtels Collection et obtenir 2 fourchettes au prestigieux et très convoité guide Michelin. Mas du Potager : cuisine et vins du terroir Ici, la cuisine est réalisée par le chef Fabien Taguemount. Un jeune chef qui a fait ses classes dans de prestigieux établissements : L’Oustau de Baumanière aux Baux-de-Provence, La Table du Château à Rochegude. Au Potager du Mas, il présente une cuisine gastronomique française aux accents de la Provence. Une cuisine simple et de saison privilégiant des produits d’exception cultivés au sein même du Domaine de la Rose mais également en provenance de maraîchers locaux. Ayant la passion du beau produit, Fabien Taguemount propose une carte étoffée composée de plats signature fait maison, savoureux et aux couleurs vives. La reconnaissance des plus grands chefs a révélé son talent et l’originalité majeure de certains de ses plats. C’est le cas de l’aubergine du potager. Une entrée soigneusement élaborée à partir d’une aubergine grillée et confite au four avec des aromates, des herbes de provence, de l’ail et de l’huile d’olive. Le tout cuit lentement au four et sur lequel sont plantés des légumes cuits et crus comme des radis, tomates-cerises et concombres. Un plat accompagné d’une simple vinaigrette balsamique dont l’huile d’olive est produite directement au domaine de la Rose. En bouche, toutes les saveurs de la Provence se révélent avec des sensations étonnantes de croquant et moelleux. Accompagné d’une Cuvée Confidence millésime 2013 du domaine d'Eole, l’Aubergine du potager affirme toute son originalité. Autre plat signature, l’agneau des Alpilles. Plat élaboré à partir d’un carré et d’une souris d’agneau. Ici, le carré d’agneau entier est accommodé d’une fine croûte d’herbe fraîche et de pignons de pin dont la cuisson parfaite laisse à la viande toute la jutosité. A l’oeil, une chair légérement rosée. En bouche, une viande à la texture tendre avec des sensations croustillantes par sa croûte légére et ses pignons dorés. Ce carré est également accompagné d’une souris d’agneau, confite lentement au jus de viande et au vin rouge, ce qui donne à ce plat un caractère doux et caramélisé. Servi avec des aubergines, de fines tranches de lard et un crumble au parmesan et basilic, il révéle toutes les saveurs du terroir provençal. En guise de dessert, le tartare de fraises et framboises élaboré à partir de fruits de saison du domaine. Découpés finement et nappés d’une confiture d’olives noires, le chef arrive à créer un contraste particulier au niveau des couleurs et des sensations étonnantes au niveau du palais. L’ensemble est accompagné d’une crème mousseline à la vanille, d’un sorbet au fromage blanc et d’olives noires réhaussé d’une fine feuille de verveine donnant fraicheur et un goût légérement citroné à la composition. Globalement, l’établissement défend les valeurs du beau produit, du manger frais et de saison. Quant au chef, Fabien, sa philosophie est de sublimer le produit en proposant des textures en bouche contrastées, finement étudiées et une cuisine originale qui met toute la Provence dans notre assiette. Une carte des vins Le Potager du Mas propose une sélection de blancs, de rouges et de rosés, principalement issus du terroir et mettant en avant des productions viticoles et A.O.C de la région. Des cépages du Domaine du Trévallon comme l’Eloi Dürrbach, un rouge millésime de 2010, du Domaine du Vallon des Glaug...
« Devenir acteur de notre alimentation », c’est en ces mots que Patrick Elziere explique les motivations qui l’ont poussé avec son associé Philippe Boissel à lancer la marque Monsieur Appert. Le concept : proposer des conserves préparées à base de produits du terroir. « Nous avons décidé de remettre au goût du jour les conserves qui n’ont pas toujours eu bonne presse pour en faire de très beaux produits. », fait savoir notre interlocuteur. La spécialité de la maison consiste à proposer surtout des fruits et légumes « pas toujours bien valorisés dans le commerce surtout sur le marché des conserves. » Ces matières premières sont sélectionnées selon la saisonnalité et, comme le bon vin, deviennent des millésimes. Un travail de haut niveau Les produits de la Maison Appert se distinguent pour leur qualité où le terroir est mis en avant à sa juste valeur. Récolté dans les meilleures conditions et de façon naturelle, chaque fruit et légume, issu de l'agriculture biologique et raisonnée, est travaillé artisanalement. « La priorité de la Maison Appert est de préserver au maximum l’écosystème afin de rendre à la nature ce qu’elle a donné », précise Patrick Elziere. L’étape la plus importante, qui est la transformation des aliments, est faite par une équipe de chefs créatifs, avant la mise en bocal. De la fraîcheur gourmande Utilisant des produits nobles et typiques, Monsieur Appert désire avant tout réinventer, et transcender les Légumes et les Fruits se déclinant en plusieurs gammes : tartinades, pickles, chutneys, aides culinaire, fruits au sirop, accompagnement (ratatouille, purée de butternut par exemple). Parmi ses produits phares figure la compotée d’oignons rosée de Roscoff, fait avec 92 % d’oignons de Roscoff (AOP), de l’ail rosé de Bretagne, de la graisse de canard, du sel, du thym, du laurier et de l'arôme naturel de fumée. S’ajoute à cela le citron de Menton confit dans son huile (artisanalement), qui accompagne bien les salades aux fruits de mer ou un bar au four. Un des produits les plus prisés par la clientèle est l’écrasée de pomme de terre, l'andouille de Guémené au beurre, qui rappelle la bonne cuisine bretonne. Pour des moments sympas et intimes, en tartine ou en apéritif toutes les recettes de la gamme Monsieur Appert ont été étudiées afin que chaque produit puisse s’adapter selon les besoins et les envies de chacun. Un concept plutôt classique et accessible à tous qui permet de goûter à la haute gastronomie chez soi avec des produits 100 % sains, nature et délicieux. À rappeler que les produits Appert sont testés avant d’être mis à la vente et que la conservation se fait naturellement sans sans additifs, adjuvants ni colorants. Une charte qualitative précise est respectée, s’appuyant sur un réseau de producteurs locaux issus d'une agriculture de qualité dans un rayon de 250 km autour du lieu de transformation. ...
Que ce soit en famille, en amoureux ou entre amis, les occasions ne manquent pas pour partager un bon repas autour d’une excellente table, dont les plats et les services n’ont rien à envier aux autres établissements des alentours. Une cuisine de goût et de créativité La bonne humeur et la convivialité sont constamment au rendez-vous lorsqu’il s’agit de goûter à la cuisine bistronomique et de bon goût du chef, qui vous invite à de belles découvertes. Laissez-vous tenter par sa terrine de jarret de veau au romarin et aux noisettes, une cuisson faite au bouillon et reconstituée en terrine avec un peu de gélatine à laquelle s’ajoutent du romarin, des noisettes, un petit peu d’oignon et de carottes, le tout servi avec une petite vinaigrette. Continuez avec son savoureux rognon de veau, poêlé avec une sauce moutarde (cuisson 30 à 35 minutes) et des échalotes revenues au beurre, puis déglacé au vin blanc et mouillé au fond de veau avec de la moutarde. On crème un petit peu, on passe au chinois, on monte au beurre et on ajoute de la moutarde en grains. Servi avec une fondue de choux et des petits lardons. Terminez sur une note joyeuse par son moelleux au chocolat avec une glace vanille, qui est un savoureux mélange chocolat-farine-œufs, cuit au four avec un cœur légèrement fondant liquide. Pour accompagner chacun de vos repas, le Bistrot du Maquis propose une belle carte de vins issus de la culture raisonnée biodynamique, sélectionnés directement auprès de propriétaires, vignerons et autres représentants, parmi lesquels se distinguent le Marcel Lapierre, la Principauté-d’orange de Paul Daumene ou encore le Bouzeron du Domaine Cruchandeau. ...
Situé en région Midi-Pyrénées, Martel est une cité médiévale fondée au XIe siècle par les vicomtes de Turenne. Elle est aussi connue sous le nom de « la ville aux 7 tours » car, au XVe siècle, elle abritait pas moins d’une trentaine d’échauguettes, de tourelles et de tours. Un autre attrait de la commune est qu’elle se trouve sur la route de la noix du Périgord. Au XIIIe siècle, la noix était considérére comme un bien aussi précieux que l’or dans la région. Parmi ses dérivés les plus consommés figure l’huile de noix, un produit star à découvrir au sein de l’épicerie fine du Petit Moulin, qui abrite aussi un restaurant et un bar à vins. Un chef passionné par son métier Le Petit Moulin de Martel s’inscrit dans la lignée des restaurants bistronomiques. Il a été créé par Adrien Castagné, qui le dirige. Ce jeune manager, fils et petit-fils d’agriculteur et producteur d’huile de noix et d’agneaux, est diplômé en œnologie à Bordeaux. Il exprime une passion si forte pour l’univers de la cuisine qu’il a décidé de renforcer ses compétences dans ce milieu. Il débute sa carrière en tant que sommelier et barman dans un bar à vins nommé La Parcelle, situé aussi à Bordeaux. Aujourd’hui, grâce à la richesse de ses vies passées et de son expérience, il a ouvert sa propre entreprise dans sa ville natale, au sein de laquelle il est secondé par son amie, Emma Buquet. Celle-ci endosse le rôle de chargée de communication et assure également l’accueil des clients. Un restaurant très particulier Au sein du restaurant, les clients peuvent investir la salle qui se trouve dans le hall, un lieu très cosy et moderne. La pièce révèle un style scandinave, moderne et raffiné. Les meubles en bois sont un signe de douceur et de chaleur. À l’étage, une ancienne chambre à l’esprit vintage a été aménagée. Elle est notamment équipée d’un tourne-disque et de vinyles, qui plongent les convives dans une ambiance musicale. Pour profiter du grand air, la terrasse ombragée et blottie au coin d’une petite rue propose calme et détente. Le bar à vins, quant à lui, invite à passer des instants agréables entre amis ou en famille. C’est le jeune chef lui-même qui vient servir ses convives d’un bon vin en accord avec les mets proposés. À côté de ce bar, l’épicerie fine propose différents types de vins, de produits locaux comme le pâté de foie gras, les rillettes et le confit de canard… L’huile de noix constitue le produit phare de l’établissement. La gastronomie avec des produits du terroir Adrien Castagné propose des plats faits maison, élaborés avec des produits du terroir. Il aime concocter une cuisine traditionnelle revisitée avec gout, en utilisant des ingrédients typiques du Périgord. Les spécialités de la maison sont la raviole de canard et le filet mignon de porc. Côté menu, le chef propose une formule à 26,50 €, composée de deux entrées, de deux plats, de fromage et d’un dessert. Le restaurant dispose d’une carte courte, constituée de cinq entrées, de quatre plats et de quatre desserts au choix. En entrée, les fins gourmets seront séduits par l’assiette de foie gras de Marie-Claude. Le filet mignon de porc en croute de noix fait office de plat de résistance. Et, pour le dessert, la tarte diamant aux agrumes et crème café blanc procure une touche de douceur et de gourmandise. ...
Dans le domaine de l’ostréiculture, la côte bretonne a toujours été associée à une production de qualité. Déjà à l’époque de l’Empire romain, les huîtres d’Armorique jouissaient d’une excellente réputation et étaient très prisées de la noblesse romaine. Aujourd’hui, la renommée des huîtres de la baie de Quiberon et de l’huître de Cancale n’a pas pris une seule ride et dépasse largement les frontières de l’Hexagone. Les huîtres bretonnes Qu’elles soient plates ou creuses, les huîtres de Bretagne ont une saveur incomparable. Cela s’explique notamment par une forte teneur en iode ainsi qu’à un équilibre parfait entre le sucré et le salé. Il faut dire que, dans la région, les huîtres bénéficient de conditions d’élevage optimales. Un environnement sauvage et préservé allié à un savoir-faire presque « ancestral » des ostréiculteurs de la région fait des huîtres bretonnes les meilleures au monde. Bien que l’on se dirige actuellement vers une tendance à la modernisation de la filière, certains ostréiculteurs restent farouchement attachés à des valeurs plus traditionnelles. C’est le cas de Jean-Noël et Tifenn YVON. Les établissements Yvon, des huîtres naturelles de qualité Installée à Listrec depuis les années 50, l’entreprise a été reprise par l’actuel producteur en 1989. De père en fils, la famille a su faire perdurer sa passion pour les huîtres tout en maintenant un degré de qualité élevé. En vue de garantir cette qualité sur le long terme, l’entreprise a adhéré au réseau Cohérence et se plie rigoureusement à un cahier des charges très strict. Privilégiant une exploitation rationnelle, elle adopte une démarche reposant totalement sur le respect du cycle naturel de l’huître. Les huîtres poussent en mer sur 14 ha du domaine public maritime avec une partie en élevage au sol et l'autre dans des poches (8 000 environ). Une exploitation à petite échelle si l’on se réfère à la structure de production autorisée. Ce respect du produit et de l’environnement s’inscrit parfaitement dans le cadre du mouvement Slow Food auquel adhère l’entreprise. Elle est devenue d’ailleurs sentinelle Slow Food depuis 2009. Créé en 1986 par l’Italien Carlo Petrini, ce mouvement se veut garant du bien manger avec une nourriture de qualité en opposition au concept de fast-food. ...
Un lien bimillénaire unit les vignerons à ce terroir. Volcanique, maritime, champêtre, la vie géologique confère forces et vulnérabilités à des vins emblématiques, fruits d’une sincère communion entre femmes, hommes et nature. Avec des savoir-faire affinés au fil du temps, la priorité aujourd’hui est, pour de nombreux domaines, la préservation de l’environnement. Des vins de convictions aux arômes du terroir Il y a trente ans, le Château de Montpezat et le Domaine du Petit Roubié furent parmi les premiers à produire des vins biologiques, c’est-à-dire sans aucun traitement chimique, avec des rendements maîtrisés du vignoble, un respect des cycles de la nature. Aujourd’hui, chacun cultive son histoire, ses traditions, ses sols et ses initiatives. Pour exemple, dans les domaines Le temps fait tout et La Garance, des chevaux labourent le sol, nourris au foins cultivés sur place. Pour la seule commune de Montagnac, les Domaines Paul Mas, le Domaine de Campaucels et le Domaine de la Conseillère, font appel à des bergers locaux et proposent leurs vignes comme terrain de pâturage, un bon moyen écologique d’entretenir les terres. Les caves coopératives comme celles de l’Ormarine et les Caves Molière jouent également le jeu en proposant des vins en agriculture biologique. D’autres choisissent de produire des vins natures, sans sulfites, exigeant un savoir-faire précis et beaucoup de patience comme les Domaines Fontedicto et Stella Nova. Les domaines La Croix Gratiot ou la Font des Ormes ont choisi la culture biodynamique pour préserver et encourager l’écosystème. Les énergies, les cycles terrestres et lunaires, les matières végétales, animales ou minérales utilisées sont ici considérées comme intrinsèquement liées. Démarrer ces méthodes demande par ailleurs un investissement humain et financier conséquent pour les domaines et certains hésitent encore à se lancer dans l’aventure. Leur nombre augmente pourtant et témoigne d’une dynamique locale pleinement engagée pour son avenir. A découvrir le temps d’un parcours œnologique ludique et réjouissant. ...
En 2013, Mee Godard rachète un domaine de 5 ha implanté sur l’AOC Morgon. Cette œnologue de formation a su en très peu de temps tirer le meilleur du terroir pour produire des vins rouge d’exception. Une affaire de patience Au pied de la colline Côte du Py, ce vignoble planté en gamay fait maintenant 6,5 ha. Ici, de vieilles vignes sont cultivées sur trois parcelles différentes : Corcelette, Grands Cras et Côte du Py. La méthode de travail est résolument tournée vers le bio mais la reconversion se fera à son rythme. En effet, pour Mee Godard, le travail du vin est surtout une question de patience. Pas étonnant que les 5 cuvées du domaine subissent une macération longue de 3 semaines. ...
Sur un sol argilo-calcaire, le Château Haut-Barrail produit Merlot et Cabernet Sauvignon sous un climat océanique. Bénéficiant d’un climat privilégié, le Château est souvent épargné par les hivers rudes qui sévissent dans la région. Situé dans la commune de Bégadan, on retrouve l’Atlantique à seulement 20mn du domaine et la ville de Bordeaux à 45mn en voiture. Avec des pieds qui ont une moyenne d’âge de 30 ans, le domaine produit un peu moins d’une dizaine de gammes de vins. Un passé entre céréales et vignes En 1362, sur l’actuelle propriété, se dressait « La Maison de la Bernède ». Une histoire qui remonte ainsi à plus de six siècles et dont ne subsiste aujourd’hui plus qu’un moulin. Au XVIIème siècle, de nouveaux bâtiments sont construits et le logis arbore des éléments architecturaux du XVIIIème siècle avec gravé sur le fronton dans les pierres, deux symboles : « Vigne et Blé ». Témoin alors du passé céréalier du domaine. En 1987, alors qu’ils étaient déjà propriétaires de Vieux Château Landon, la famille Gillet rachète Haut-Barrail. Après la retraite des parents Gillet, le fils Cyril Gillet finira par se séparer de Vieux Château Landon en 2012 en le revendant à un chinois. Ce qui permettra au domaine de Bergadan d’améliorer ses installations. Une vinification aux petits soins Afin de produire l’un des meilleurs vins du Médoc, la vinification sur le domaine est un lent processus auquel une attention toute particulière est portée. Les vendanges ont lieu fin septembre de manière mécanique. Une fois les grappes récoltées, elles sont emmenées vers les cuves de fermentation. Des cuves de vinification en inox qui ont une capacité de 100hl et qui sont thermorégulées via des serpentins qui parcourent les cuves. Durant 15 à 18 jours les cuves sont maintenues à 30 ~32°C pour la fermentation alcoolique. Une fois cette première étape achevée, le vin de presse est récupéré pour être à nouveau fermenté cette fois-ci à 22° pour la fermentation malolactique. Une fois les fermentations terminées, les vins sont vieillis dans des chais de barriques de chêne neuves ou des barriques d’un à deux vins. ...