A déguster aussi bien sur les tables du restaurant Jules Vernes que ceux de Guy Savoie, les vins du vigneron Laurent Habrard se déclinent sous les appellations Crozes-Hermittage, Hermitage et Saint-Joseph. Cultivé sur des côteaux de granit, de LOESS et d’un peu d’argile, les vignes apportent des fruits qui font la particularité de la production. Pour la petite anecdote, l’une des parcelles du vignoble jouit d’un ascendant bien connu. En effet, la parcelle Hermitage a été achetée au gendre du général de Gaulle, Alain de Boissieu. Ces vignes vendangées à la main sont gérées par Laurent Habrard depuis 1998. Issu d’une famille de viticulteurs, il représente déjà la cinquième génération de la famille à travailler le vin. Ce vin dont certains sont vieillis en fûts quand d’autres sont vieillis dans des cuves de béton et d’inox. Une démarche complète et globale pour l’environnement Depuis 2008, les vins du domaine Laurent Habrard sont labellisés « Bio ». Une démarche soutenue depuis déjà longtemps en faveur de l’environnement associée à des méthodes de production sans sulfites notamment pour les vins rouges. Mais l’engagement du domaine ne s’arrête pas là. Afin d’adopter une démarche plus complète et globale, le domaine s’est associé à l’Association pour la protection des animaux sauvages (ASPAS). A travers cette association, le domaine souhaite tel que l’explique Laurent « remercier la nature de donner des récoltes ». Et cela en faisant un don de 25 000€, récupéré sur l’ensemble des ventes des cuvées de vin rosé de l’année passée. Grâce à différents dons, l’ASPAS achète du foncier pour ensuite le mettre sous cloche et laisser la nature reprendre seule ses droits. Grâce au domaine Laurent Habrard et sa contribution, ce sont 16 ha de réserve de vie sauvage qui vont être établies. ...
Au centre d’un village pittoresque du département de l’Ardèche, entourée de vignobles et de champs de lavandes, juste à 15 km de la grotte du Pont d’Arc, s’impose modestement une auberge qui force naturellement à la halte : l’Auberge La Farigoule. Toutefois, les réservations sont de rigueur, et Brigitte Dumarché, maitresse des lieux, s’attèle à offrir un accueil des plus chaleureux aux touristes de passage et aux habitués de la maison. Cette auberge composée de trois chambres, d’un restaurant et d’une boutique de produits régionaux est labellisée à la fois « Qualité tourisme » et « Bistrot de pays ». Une auberge recommandée par les guides Murs en pierres apparentes, buffet digne de la campagne, vaisselle ancienne, cheminée où crépite le feu en période d’hiver : un décor comme on en retrouve dans les romans de Marcel Pagnol. Pendant l’été, les hôtes de Brigitte profitent pleinement de la terrasse et, bien avant même de commander, ils ont d’ores et déjà la possibilité de savourer une vue ensoleillée sur les étendues vertes et violettes des vignobles et des champs de lavandes qui,tous deux, alternent jusqu’à l’horizon. Recommandée par les guides régionaux tels que Le Guide vert Michelin ou encore Le Petit Futé, l’Auberge La Farigoule offre un cadre convivial et même familial aux visiteurs souhaitant séjourner en Ardèche et profiter de la région. Elle met ainsi à la disposition de sa clientèle3 chambres attrayantes et reflétant parfaitement l’esprit de la Farigoule. En clair, un total dépaysement qu’affichent les décors des chambres, qui ont chacune un accès indépendant à une salle d’eau avec douche, wc et lavabo, en plus de la terrasse qu’elles partagent. Lorsque les hôtes finissent par quitter leurs chambres en début de matinée, c’est direction le restaurant de l’auberge ! Une cuisine typiquement ardéchoise Aux fourneaux, Brigitte Dumarché, cuisinière en chef, mène la cadence en proposant des plats faits maison qui racontent les histoires d’Ardèche et parlent des Ardéchois. En effet, la cuisine traditionnelle ardéchoise ici est à l’honneur avec des plats authentiques. Des plats comme le broufado, qui est une recette provençale au goût remis à jour et un met propre aux mariniers du Rhône ; des recettes originales, mixant truffes, cèpes et châtaignes comme le cuissot de cochon aux cèpes fait maison, le bœuf aux cèpes et ses brisures de châtaignes, le gratin vivarois, fourré aux cèpes ; chacun de ces plat pouvant être accompagné d’un vin rosé des côtes du Rhône et d’un fondant aux châtaignes en dessert. Des recettes que la maitresse des lieux a héritées de sa famille, couplées à d’autres recettes de livres anciens. Recettes qu’elle partage avec ses hôtes depuis 18 ans tant elle est passionnée par la cuisine de l’Ardèche, une cuisine aux saveurs locales qu’elle considère comme le moyen le plus efficace pour valoriser, faire découvrir et faire apprécier sa région. Les gourmets viennent et reviennent nombreux déguster les saveurs du terroir qui sont parfois inédites, et provenant toujours à 95 % de produits locaux. Brigitte Dumarché valorise ainsi les produits du terroir à travers les plats proposés à la carte, mais aussi à travers les produits régionaux disponibles dans sa boutique. Des produits de diverses saveurs que les touristes rapportent en souvenir, tels que la crème de châtaignes, la terrine de porc, les marrons grillées ou encore la confiture de châtaignes. Brigitte Dumarché, à travers l’Auberge La Farigoule, se donne à cœur joie pour promouvoir les saveurs du terroir de son Ardèche tant aimée. Et elle conclut tout naturellement : « Je suis un produit du terroir, moi aussi ! » ...
Acheté en 2012 par le propriétaire actuel, le Château Moncets a profité d’une transformation radicale. En 2015, sera intégré à l’exploitation le Château Chambrun et son vignoble. Des vins de Bordeaux bio respectant le terroir Divisé en parcelles, le domaine qui se trouve à la croisée des appellations de Pomerol et St Emilion est travaillé pour mettre l’accent sur les caractéristiques naturelles du terroir. Enherbement choisi, travaux en verts maitrisés et vendanges manuelles sur mesure contribuent à la qualité du vin. Ensuite, les jus sont vinifiés dans un chai gravitationnel et parcellaire thermo-régulé. Pour les parcelles les plus qualitatives, une vinification intégrale en barrique (fût de chêne français) sera réalisée afin d’extraire tout le potentiel du millésime. Cela permet de créer des vins, tels que le savoureux Château Moncets, qui seront ensuite vendus via le caveau de dégustation ou la boutique en ligne. ...
Occupant avantageusement l’espace d’un magnifique parc de 4 ha aux arbres centenaires, le Domaine de la Colombière est un ancien château au décor raffiné, où règne le calme exemplaire de la campagne iséroise. Jouissant d’un cadre champêtre sublimé par une superbe vue sur les montagnes, cet hôtel de caractère représente une halte apaisante qui vaut absolument le détour. Bâtisse de caractère Le Domaine de la Colombière est une splendide bâtisse à l’ambiance cosy, nichée dans un écrin de verdure qui séduit dans une irrésistible invitation à la découverte. Situé à deux pas de Vienne, ce château de caractère est agencé avec gout et raffinement avec l’arrivée d’une nouvelle direction et où tous les éléments sont réunis pour rendre votre séjour des plus agréables. À travers un cadre majestueux et un emplacement privilégié, le domaine s’apparente à un havre de paix authentique, où familles, amis et amoureux aiment s’évader. Un lieu propice au dépaysement et qui vaut réellement le détour ! « On peut diner à l’intérieur en ayant l’impression d’être à l’extérieur », selon les précisions de Catherine Heredia, responsable évènementiel. Un restaurant de très bonne facture Blotti dans l’immensité d’un parc spacieux, au cœur d’une structure indépendante du domaine, se dévoile un restaurant de 80 couverts à la table raffinée, ouvert sur une jolie terrasse ensoleillée d’une capacité d’accueil de 40 couverts. On se laisse d’emblée agréablement surprendre par l’accueil chaleureux et le service sympathique du personnel, des qualités de nos jours très recherchées et qui font toujours la différence aux yeux des habitués et des clients de passage. L’établissement dispose également d’un salon VIP privatisable à la demande, pour accueillir des repas privés de 15 couverts, à l’instar d’autres salons disponibles pour différents événements privés d’entreprise ou familiaux. Le restaurant est particulièrement apprécié pour l’authenticité de sa cuisine traditionnelle semi-gastronomique, où les produits de saison sont particulièrement privilégiés. Formule à la carte et menus Parmi les nombreux plats proposés en cuisine, le magret de canard est très souvent suggéré par le chef ou, mieux, réclamé par les habitués du restaurant : il représente en quelque sorte un de ses plats-signatures. Bien que préparé à la bonne manière traditionnelle française, le magret revêt toujours « une petite touche d’originalité à chaque fois », comme aime le préciser Catherine Heredia, notre interlocutrice. Le restaurant du Domaine de la Colombière propose « 3 types de menus qui changent une ou deux fois par saison », nous indique-t-on. Le menu Tradition laisse deviner ses ravioles de fromage de chèvre de Moissieu, son suprême de poulet fermier de l’Ain farci ou son filet de féra. Le menu Colombière permet de découvrir sa terrine de foie gras de canard au Beaumes de Venise, sa poêlée de Saint-Jacques aux déclinaisons d’asperges vertes ou encore son filet de turbot à la brandade de moules. Sans oublier le menu Gourmand qui « se décline en plusieurs services ». ...
À travers un esprit chalet aux matériaux bruts, où se fondent des bardages en bois de châtaigner, le restaurant se démarque par ses épaisses tables en bois brut, sa cuisine ouverte, qui permet de voir ce qui se passe aux fourneaux, et son esprit comptoir, qui dégage une ambiance conviviale et chaleureuse ; sans parler de la table d'hôtes en bois massif dédiée aux grandes occasions ou aux réceptions privées. La satisfaction vaut franchement le détour. Vous y découvrirez une excellente cuisine à base de produits frais et de saison essentiellement, avec de très belles viandes maturées d’ici et d’ailleurs, dont les goûts authentiques vous feront voyager, des États-Unis à l'Argentine, en passant par la France ou l'Australie. Le nouveau lieu de prédilection des gourmands En collaboration avec notre chef spécialisé dans la viande d’exception, qui maîtrise l’art de tailler les viandes en de très beaux quartiers, le restaurant est en mesure de proposer une carte riche et variée, qui change à chaque saison, et également une carte des vins aux accords qui se marient à merveille avec les viandes, à savoir le Roc d’Anglade du Pays du Gard ou encore les grands Bordeaux. Pour ceux qui ne sont pas friands de viande, l’enseigne a toujours un poisson frais au retour du marché, avec, à côté, la possibilité de manger végétarien si la demande est formulée. Découvrez tous les midis une formule du jour variée entrée-plat, plat-dessert ou entrée-plat-dessert. Laissez-vous tenter par son filet de bœuf normand maturé, concocté par le chef, servi avec des épices diverses, ou par sa côte de bœuf espagnole maturée huit semaines sur l’os, particulièrement fondante et persillée à souhait, pour une aventure gustative hors du commun. Terminez par une touche agréable avec son cheesecake au spéculons fait maison, absolument renversant ! ...
Dans un décor inspiré des plus beaux palais marocains, le restaurant baigne dans une ambiance conviviale et envoutante avec, à la clé, un généreux mélange d’épices et de parfums d’Orient. Tout, au Palais Bahia, donne la nette impression d’entrer dans un palais des Mille et Une Nuits, sans parler de la cuisine tout à fait à l’image du Maroc, qui est tout autant gouteuse que copieuse ! Une cuisine authentique Succulents tajines, différents couscous et savoureuses grillades rivalisent de concert pour émerveiller les papilles, dans un bel alliage de raffinement et d’authenticité. Préparée à toutes les sauces, chaque spécialité est une véritable découverte qui se décline en plusieurs variétés. Belle découverte en plein cœur de Nantes, Le Palais Bahia dispose d’un large choix de menus. Le menu Midi Express à 10 € (sauf les weekends et jours fériés) vous donne le choix entre un couscous (poulet, agneau, merguez ou boulettes) et un tajine fassi (poulet citron confit ou agneau haricots verts) suivi d’un thé ou d’un café. Le menu Aladin à 36 € est composé d’un cocktail Aladin, d’un couscous Bahia aux trois viandes ou d’un tajine royal (agneau cuit à l’étouffée ou poulet, pruneaux, dattes et miel) avec un dessert au choix, thé ou café. Le menu Maison à 30 €, quant à lui, est composé d’un couscous Bahia aux trois viandes ou d’un tajine royal, d’un dessert au choix et d'un thé ou d'un café. Un menu Enfant à 8 €, composé d’une couscoussette à la viande et d’une boule de glace, est également proposé par le restaurant, ainsi qu’un menu Étudiant à 16 € comportant un cocktail maison, un couscous à la viande et un thé. ...
Niché sur le village médiéval du Haut-de-Cagnes, sur la Côte d’Azur, le Château Le Cagnard abrite un restaurant d’exception, qui met l’accent sur la cuisine gastronomique et méditerranéenne avec une parfaite maîtrise des produits locaux et de saison, de l’entrée au dessert. Château Le Cagnard : un vestige séculaire exceptionnel Vieille bâtisse datant du XIIIe siècle, le Château Le Cagnard a su conserver son charme médiéval et provençal qui envoûte les passionnés d’art et d’histoire. Sa cheminée voûtée installée dans l’ancienne salle des gardes en témoigne encore. Perché sur les remparts et les collines du légendaire château médiéval Grimaldi, le domaine se trouve en plein cœur d’un véritable site historique et dépaysant qui donne une vue panoramique sur la mer. En 1960, la famille Barel achète la bâtisse pour en faire un hôtel familial depuis plus de cinquante ans. Séduit par la splendeur de l’édifice et son architecture médiévale particulière, la famille suédoise Ivarsson décide de racheter la propriété en 2011. Sans attendre, elle commence à rénover complètement l'hôtel et le restaurant afin de lui apporter un renouveau tout en conservant les pièces historiques. Honneur à la cuisine gastronomique régionale Pouvant accueillir jusqu’à 50 couverts, le restaurant du château est un lieu historique et magique qui met merveilleusement en avant des meubles et des œuvres d’art d’antan, notamment celles d’Émile Wéry dans la salle des gardes. Les 200 fresques toutes peintes à la main, « couvrent le toit amovible de la salle qui s’ouvre sur le ciel d’azur pour procurer une ambiance romantique dans la salle », témoigne Gregory Cousaert, Directeur de l'établissement. À l’extérieur, juchée sur les remparts du village, la terrasse offre une vue imprenable sur la Côte d’Azur avec vingt couverts disponibles. Côté menu, le chef Stéphane Laurin concocte une cuisine divine, raffinée et régionale à base de produits du terroir et de saison dans laquelle on trouve le « menu de saison » avec trois plats et le « menu dégustation » avec quatre plats. Ici, « la carte est en constante évolution et les produits sont issus directement des producteurs locaux et quelques fois bio, pour les œufs par exemple ». Parmi ses spécialités, le chef suggère en entrée, des Crevettes Sauvages, courgette et vinaigrette de fraise, en plat de résistance, un Pigeon à l'ananas, fenouil et ricotta safranée et en dessert, un Soufflé parfum d'orange et son granité yuzu basilic. « On ne peut avoir de culture gastronomique sans vin ». Voilà un dicton de Julia Child qui ne laisse pas indifférent le sommelier du château. Pour accompagner et mettre en avant la cuisine régionale du chef, il propose « des vins locaux niçois ou de Côte de Provence de la plaine du Var, tels que le Clos Saint-joseph, le vin modelé du Domaine de Toasc et les Coteaux du Verdon », nous rapporte le directeur en continuant que « le restaurant dispose aussi de grands crus, de premiers crus et de crus classés de Bourgogne et de Bordeaux » pour le plaisir des amateurs de bons vins. ...
Origine - Qualité – AOC - maîtres mots chez Cartron Judith Cartron, première femme à piloter l’entreprise a succédé à son père Xavieren 2011. Fière de ses racines, elle aime à rappeler l’héritage de la Bourgogne au travers du savoir-faire ancestral familial. Croquer dans le fruit est la promesse de la Maison.Aussi, pour y parvenir, le liquoriste sélectionne les meilleures variétés, assurance de puissance aromatique et d’excellence. Chaque fruit est alors récolté à pleine maturité, cassis Noir de Bourgogne, framboises Lloyd Georges, pêches de vigne, poires williams, abricots des Monts du Lyonnais, melon, mirabelles de Lorraine…, des fruits charnus et juteux.Cette exigence,Cartron l’applique à toute sa matière première, le gage d’un produit haut en goût qui réveille nos papilles. Parmi les incontournables de sa gamme de liqueurs et eaux-de-vie de fruits, citonsla Crème de Cassis de Bourgogne Double Crème Joseph Cartron, fleuron de la maison dont sa grande puissance aromatique sculpturale nappe verre et palais. En 2015 elle a reçu comme sa Crème de Cassis de Bourgogne 15° l’appellation indication géographique Cassis de Bourgogne véritable gage de qualité pour les amateurs de crèmes de cassis haut de gamme. Cette IG souligne l’excellence et la territorialité du produit dont la recette est gardée secrète de père en fille. Mais il y a aussi le Marc et la Fine de Bourgogne et leurs AOC…. un héritage qui se partage avec plaisir. Secrets de fabrication et trésor de goût Cartron un savoir-faire ancestral qui innove On connait Cartron par ses classiques, sa double crème de cassis, ses crèmes de fruits, ses eaux-de-vie de poire william, de vieille prune, son marc et sa fine de bourgogne et ses liqueurs de fruits bien ancrés sur notre territoire. Le distillateur aime aussi à se distinguer par son originalité. Il innove au travers de recettes uniques apportant un petit plus qu’il aime vous laisser découvrir. Ses dernières créations, ses liqueurs de thé rooibos, vert, fumé, sa crème de mirabelle, sa liqueur de sureau et la dernière-née, la liqueur de violette sont les muses des barmen.« Le consommateur comme les barmen aiment les nouveautés. L’innovation est primordiale, elle fait partie de notre ADN, de la marque Cartron qui aime surprendre et se positionne en véritable architecte du goût. » souligne Judith Cartron pour qui créativité est avant tout aussi synonyme de goût. ...
C’est sur ces terres de craie que s’épanouissent les arômes subtils de raisins blancs mûrissant lentement sous un ensoleillement adapté. Le domaine de 6,4 hectares est établi sur un noble terroir, et les propriétaires aussi sont détenteurs des traditions champenoises. Deux raisons expliquant la qualité des champagnes de la maison. Un travail minutieux, synonyme d’excellence Le travail du terroir se fait dans les règles de l’art au Champagne Moineaux. La cueillette manuelle se fait avec précision, et l’étape de vinification aussi. L’emploi d’outils de pointe, notamment des cuves en inox équipées de thermorégulation, améliorant la qualité du vin. Thibault Soyer, propriétaire du domaine, mise sur la qualité. « Nous ne millésimons nos cuvées qu’en cas d’excellentes années », évoque-t-il. D’ailleurs, ses millésimes sont issus des meilleurs crus. Ces champagnes d’excellence se conservent au moins cinq ans, pour faire éclore tous leurs arômes délicats. Récoltant-manipulant, Thibault Soyer prend également en main le marketing et la commercialisation de ses produits. Il a réussi à percer des marchés à l’étranger, au Danemark, en Suède, en Grande-Bretagne et en Espagne, ce qui fera grimper sa production à près de 50 000 bouteilles par an. Les grands crus, objets de convoitise lors des visites œnotouristiques Les champagnes Moineaux sont classés Blanc de Blancs Grand Cru. Élaborés uniquement avec du chardonnay, ils font l’objet de curiosité lors des visites œnotouristiques, durant lesquelles un parcours guidé, allant du terroir au cellier, est proposé. L’étape de dégustation est incontournable lors de la visite, où les perles rares se dévoilent aux visiteurs de la cave. Parmi elles, la cuvée Brut millésime représente à merveille le terroir. C’est aussi le fer de lance de la maison. La cuvée Prestige est également éloquente. C’est un champagne d’exception issu d’une parcelle vieille de 50 ans. Sa finesse et son élégance provoquent de belles sensations de fraîcheur. ...
Reliant Dijon à Santenay, la route des grands crus de Bourgogne a été créée en 1937 par le conseil général de la Côte-d’Or. Traversant une mer de vignes qui forme un paysage atypique façonné par la nature et perfectionné par la main de l’homme, il s’agit là de la première route à avoir associé le développement du tourisme à la commercialisation des vins de Bourgogne. Ce concept visionnaire, auquel elle doit son incomparable succès, lui a ainsi permis d’acquérir une notoriété bien au-delà des limites de l’Hexagone. La route des grands crus de Bourgogne, comme si on y était… Sur un parcours de 60 kilomètres qui permet la traversée de 37 villages aux appellations légendaires ainsi que les villes de Dijon et de Beaune, particulièrement réputées pour leurs richesses patrimoniales, la route des grands crus est un itinéraire merveilleux au cœur du vignoble de la Bourgogne où sont répertoriés des centaines de climats aux noms intrigants pour ne citer que Le clos des ducs, Les amoureuses, La ruchotte, Creux de Tillet, Les pas de chat ou encore Climat du val… Loin de la signification originelle du terme « climat », il fait ici référence à une traduction typiquement bourguignonne du mot « terroir ». Ce qui confère à l’ensemble un caractère spécifique qui fait toute la différence. Partiellement aménagée en chemins pour les randonneurs et en véloroute pour les cyclistes, la route est une pure invitation à la découverte. Les paysages typiques, l’histoire du vignoble de Bourgogne et ses « climats » lui valent d’être, depuis l’été 2015, inscrits au patrimoine mondial de l’Unesco. La Route des grands crus de Bourgogne : la vidéo 14 mai 1937 – 14 mai 2017 : 80 ans de succès Première route viticole touristique de France, la Route des Grands Crus de Bourgogne fête aujourd’hui ses 80 ans d’existence ! Une célébration marquée notamment par l’exposition photographique Nature humaine du réalisateur Cédric Klapisch, qui a tourné son dernier film sur la route des grands crus, accueillie au cœur du Château du Clos de Vougeot du 14 mai au 14 juillet. L’occasion de découvrir la magnifique architecture style cistercien et Renaissance du berceau du vignoble bourguignon. A travers la découverte de ce site emblématique des climats du vignoble de bourgogne, c’est avant tout l’entrée dans le monde de la viticulture de terroir, inventée en bourgogne, que l’on comprend et que l’on ressent. Berceau de nombreuses inspirations cinématographiques Faisant désormais partie des sites de prédilection des réalisateurs, les villes et villages situés sur la Route des grands crus de Bourgogne ont toujours inspiré de nombreux films pour ne citer que les grands succès d’antan que furent La Grande Vadrouille, avec Bourvil et Louis de Funès, Les Amants, avec Jeanne Moreau, Le Repos du guerrier, avec Brigitte Bardot et Michel Serrault, sans oublier L’Étudiante de Claude Pinoteau tourné à Dijon avec Sophie Marceau et Vincent Lindon ou encore le fameux Cyrano de Bergerac avec Gérard Depardieu. Claude Lelouch a récemment choisi Beaune pour le tournage de son film intitulé Chacun sa vie dont la sortie en salles a eu lieu en mars. Quant à Cédric Klapisch, il a choisi le cœur du vignoble pour tourner son nouvel opus Ce qui nous lie, dont la sortie est programmée le 14 juin, et qui relate l’histoire d’une lignée de frères et de sœurs qui reprend l’exploitation familiale en Bourgogne. ...
Maison La Mauny, générosité et richesse aromatique L’histoire de Maison La Mauny débute en 1749 quand Ferdinand Poulain, comte de Mauny, débarque sur l’île et épouse la fille d’un riche planteur qui possédait des terres dans la petite ville de Rivière-Pilote. Il devient ainsi propriétaire d’une exploitation agricole à qui il donne son nom. Avec la terrible crise de l’industrie sucrière de 1820, la distillerie se développe et commence à produire du rhum agricole élaboré à partir du pur jus de cannes du domaine, utilisées jusque-là exclusivement pour la production de sucre. Presque cent ans plus tard, les frères Bellonnie reprennent le domaine pour ensuite s’associer à la famille de négociants marseillais, les Bourdillon. On est en 1996 quand le groupe commence les démarches nécessaires pour faire des rhums martiniquais les premiers, et jusqu’à aujourd’hui les seuls, rhums certifiés AOC au monde. Maison La Mauny travaille depuis toujours ses rhums dans l’art complexe de l’assemblage pour exalter une large palette d’arômes et une générosité particulière. Le maître de chai de la Maison, par petites touches, comme un peintre avec leur palette, sélectionne les fûts et élabore les meilleurs assemblages pour exprimer toutes les subtiles particularités de la situation géographique des plantations dans ce qu’elles offrent de plus généreux. Situées dans une vallée verdoyante à la terre rouge argileuse, les cannes ici se gorgent de sucre dans une chaleur et une humidité particulière. Cela leur confère des notes aromatiques très fruitées, que l’on rencontre dès les rhums blancs, mais qui s’expriment encore plus délicatement dans les vieux rhums. Riche de son histoire et de son authenticité, Maison la Mauny est une distillerie dite « fumante » c’est à dire une distillerie toujours en activité pendant la période de la récolte de la canne qui a lieu de mi-février à fin juin. La visite guidée se fait en petit train où vous découvrirez le savoir-faire des hommes qui perpétuent, d’année en année, les méthodes traditionnelles d’élaboration des rhums agricoles Maison La Mauny. A la Cabane à rhum, vous serez initiés aux ti-punchs et cocktails, et apprendrez tout sur l’art du vieillissement en dégustant les rhums vieux d’exception. Les rhums Trois Rivières, élégance et puissance aromatique C’est sur le site de Rivière Pilote que la précieuse colonne à distiller originelle de Trois Rivières a été déplacée pour garantir la qualité et la singularité de ses rhums. Fondée en1660 par Nicolas Fouquet, la plantation Trois Rivières fait partie des plus anciennes de la Martinique. Située au sud de l’île, surplombant la mer des Caraïbes, Trois Rivières bénéficie d’un microclimat aride qui diffère totalement de celui de Maison La Mauny. Cette situation géographique exceptionnelle renforce la concentration en sucre de ses cannes réellement exceptionnelles. Ce terroir du Sud s’exprime pleinement dans le Trois Rivières Cuvée de l’Océan, dont les cannes élevées sur l’Anse Trabaud à Ste Anne affichent autant leur forte sucrosité que l’intensité des notes iodées portées par les Alizés Visible de loin au milieu des champs de canne, un moulin à vent indique l'emplacement des Plantations Trois Rivières. Ce site est un lieu de découverte pédagogique, des procédés de distillation du rhum mais aussi de l'histoire de la Martinique. Un savoir-faire d’exception Dès la coupe, les cannes sont immédiatement apportées à la distillerie pour préserver toute leur fraîcheur. On en extrait le pur jus qui va fermenter pendant 24 à 48 heures. C’est dans la colonne à distiller, unique à Trois Rivières, que le jus des cannes se transforme en « esprit du rhum » ruisselant doucement le long des parois. Le rhum blanc, qui sort entre 65 et 75%, sera ensuite réduit au degré d’alcool voulu avant d’être commercialisé. Les rhums vieux, quant à eux, doivent vieillir au minimum tr...
Située rue du Louvre, le restaurant La Dame de Pic vous accueille dans une ambiance féminine avec des tons très poudrés. Imaginée par Bruno Borrione, la décoration intérieure associe dans une parfaite harmonie le blanc des murs avec effet de pierres apparentes, le rose pâle des appliques, la couleur havane des sièges en cuir et le palissandre des tables. Quant aux tableaux en cuir où feuilles et fleurs se découpent, ils évoquent l’univers culinaire d’Anne-Sophie Pic. Tout concourt à une atmosphère conviviale, cosy et chaleureuse. Dans la cuisine ouverte sur la salle, tout est blanc. Sous le regard des convives, le chef Jean-Yves Bournot et sa brigade écrivent chaque jour une nouvelle page dans un cadre apaisant. Le Guide Michelin a décerné une étoile à La Dame de Pic dès février 2013. L’univers d’Anne-Sophie Pic Toute la cuisine d’Anne-Sophie Pic découle d’une recherche constante autour de l’association et de l’équilibre des saveurs. Elle aime sublimer les produits un peu oubliés, mal aimés, les produits du quotidien. Végétaux, épices, herbes aromatiques, fleurs, bourgeons et même feuilles de fruits prennent une place importante dans ses créations. Pour une expérience gastronomique Vous pouvez choisir entre 3 menus. Le menu déjeuner à 59 € est servi le midi en semaine et comprend une entrée, un plat et un dessert. Avec le menu plaisir à 105 €, vous pourrez déguster deux entrées, un poisson ou une viande et un dessert. Quant au menu gourmandise à 135 €, vous vous régalerez avec une entrée, un poisson, une viande et un dessert. Tous ces menus sont régulièrement renouvelés pour mettre à l’honneur les nouvelles créations d’Anne-Sophie Pic. Toutes les assiettes sont composées avec délicatesse, recherche esthétique ainsi qu’avec un travail sur les couleurs. Elles sont toujours agrémentées d’un petit jus ou d’un consommé. Une grande importance est donnée aux herbes aromatiques et aux herbes sauvages. On retrouve souvent des notes anisées, réglissées ou mentholées. Le sommelier, originaire de la Drôme, vous propose une belle sélection de vins, notamment des vins de la vallée du Rhône. Avec une possibilité de vins au verre. ...
Charismatique, le vignoble Schlumberger est aussi étendu qu’inspirant. Une partie des vignes - la totalité courant sur 850 kilomètres - est organisée en terrasses, soutenues elles-mêmes par des murs romains en pierres sur 50 kilomètres. Deux maçons s’attèlent à les ériger et à les préserver, dans le respect des traditions. Une cave centenaire, une récolte manuelle ou encore, deux chevaux de labour, révèlent les valeurs du domaine, portée par la famille Schlumberger depuis sept générations. Fidèles à leur terre, ces vignerons dans l’âme sont aussi 100% récoltants. Tout est fait maison, dans l’amour du vin et de la nature, loin des productions impulsives. 70 hectares sont classés Grands Crus : Kitterlé, Kessler, Saering, Spiegel. Le vignoble peut bien s’enorgueillir. Malgré un rendement assez faible et une production délibérément limitée, le domaine Schlumberger est considéré comme le plus grand producteur de crus d’Alsace. Ses vins sont certifiés Haute Valeur Environnementale (niveau 3, le maximum) et respectent consciencieusement la charte d’une culture raisonnée. Ici, on aime la biodiversité dans son ensemble et au détail, les raisins bien sur, en passant par les fleurs, les insectes etc. Une terre chérie depuis 1810 Thomas et Séverine Schlumberger sont à l’écoute de la nature. Ils ont repris le flambeau dans cet esprit, comme une philosophie intrasèque à leur héritage. La connaissance du terroir, de ses souvenirs à ses respirations, est sublimée dans chaque gamme du vignoble. Elles se racontent aussi, devant un verre de vin à la rondeur délicieuse et au caractère inspiré par les pierres ancestrales alentours. Fort d’une équipe investie, le domaine aspire à l’authenticité et à l’excellence sans compromis. Un bon vin est un plaisir que l’on prend le temps de choisir, dans une cave connaisseuse, un marché convivial, ou qu’on déguste dans un restaurant raffiné. Exportées dans le monde entier, médaillées et classées dans tous les guides, les bouteilles Schlumberger savent se rendre accessibles tout en préservant l’instant unique de leur dégustation. Des vins de collections aux grands crus Les Princes Abbés interpellent par leur nom, invitant à savourer de nouveaux récits. Durant 1000 ans, les abbés entretenaient le terroir de Guebwiller. En leur honneur, cette gamme classique se décline en deux couleurs. Des blancs à la fraîcheur limpide et à la robe citronnée y cotoient des rouge rubis soyeux ou joyeusement printanniers. Les grands crus du vignoble adoptent humeurs salines ou minérales, selon leurs sols d'origine. Ils diffusent leurs arômes, tour à tour moelleux, bucoliques, tendus ou tendres. Les cuvées de collection sont l’expression de grains nobles et de grands crus, qu’il a parfois fallu attendre longtemps, avant de vendanger. Baptisées par les prénoms des membres historiques de la famille Schlumberger, ils sont aussi des vins rares, à l'éclat patient. Le site Internet du domaine est à son image : épuré et généreux à la fois. Véritable poème pour les amateurs de très bons vins, il vous dira aussi comment associer les finesses entre elles. Cette fois, c’est le repas qui accompagnera le vin, pas l’inverse. ...
Déjà de l’extérieur, Le Bouchon Gourmand attire irrémédiablement l’attention avec sa belle terrasse ombragée par des platanes et son mobilier de couleur ardoise. L’intérieur, parfaitement assorti avec la terrasse, propose une ambiance à la fois claire et sombre due à ses murs en gris parsemés de « touches de rouge partout pour donner une chaleur à l’ensemble », décrit Cédric Dupuis, le maitre des lieux. Le tout est agrémenté par une musique de jazz en sourdine, qui invite au calme et à la volupté. La simplicité du « fait maison » Extrêmement attentif sur le concept du circuit court, Cédric Dupuis dresse la majorité de ses plats à partir de produits issus de la région. Les poissons sont, par exemple, achetés à deux pas du restaurant, aux Halles. Côté qualité et fraicheur, le chef se porte totalement garant de ses produits : « Je préfère payer un peu plus cher pour avoir une qualité meilleure. » Il assure ainsi à ses clients une cuisine absolument faite maison, saine, copieuse et toujours bien présentée. Le Bouchon Gourmand propose au choix une carte et plusieurs formules. Très variée, la carte propose des plats à des prix réellement abordables. Mentions spéciales au double burger aux trois fromages, très prisé des ados, à l’épaule de veau cuisson basse température, à la côte de bœuf de race bovine, aux seiches à la persillade à la plancha, sans oublier le duo tartare de Saint-Jacques : des plats savoureux qui font le bonheur des habitués. Les différentes formules sont, quant à elles, à destination d’un large public. On y trouve la formule végétarienne mais aussi la formule express, le midi, pour les travailleurs un peu pressés qui n’ont pas beaucoup de temps pour manger : sur un même plateau sont rassemblés l’entrée, le plat et le dessert, « afin que les clients ne soient pas tributaires du service ». Une cave à vins à 99 % régionale Pour accompagner ses plats, Le Bouchon Gourmand dispose d’une carte des vins exceptionnelle, composée uniquement de vins issus de châteaux et domaines de la région, du Minervois, de la Clape et des Corbières. « Nous avons la réputation d’avoir une très bonne cave à vins, qui correspond à tous les goûts », se félicite Cédric Dupuis. Toujours disponible, celui-ci ne se lasse jamais pour prêter conseil à ses convives. « En général, c’est moi qui oriente les clients, soit par rapport à ce qu’ils mangent, soit par rapport à leurs goûts personnels », note-t-il. À titre d’exemple, Cédric Dupuis propose son confit de canard avec un 100 % Syrah du Château de Parazza, qu’il décrit comme « un mariage extraordinaire ». ...
Ce domaine appartient à la famille Fabre depuis 1928. C’est un plaisir et un véritable challenge pour elle d’allier sa passion pour le vin avec des méthodes culturales veillant au respect de l’environnement. Un terroir privilégié Le vignoble se situe sur un sol argilo-calcaire recouvert de galets roulés produisant principalement les cépages syrah, grenache, roussanne et chardonnay. Pour préserver la qualité de ses sols, la maison mise sur l’agriculture biologique. « Nous avons officiellement décroché le label bio en 1978, même si nous avons pratiqué ce mode cultural bien avant », spécifie Jean-Baptiste, co-gérant du domaine. Tous les intrants chimiques sont bannis du cahier des charges « Agriculture biologique ». Les vignes du Château des Coccinelles bénéficient du chaleureux climat méditerranéen. « Nos vignes sont parfaitement exposées au soleil, mais notre arme secrète reste le mistral qui nous aide énormément à préserver la qualité des raisins jusqu’aux vendanges. » Vinification, entre tradition et modernité Après les vendanges en vert et les dernières analyses de maturité en laboratoire, c’est la dégustation des baies sur le terrain qui déclenchera les vendanges. Rendez-vous alors dans le chai pour y sublimer la récolte. Grâce aux rendements maitrisés et au savoir-faire de la maître de chai, il y sera produit des vins à la fois complexes, gourmands et élégants. Aujourd’hui comme par le passé, l’entreprise familiale vinifie de façon traditionnelle sans se priver d'outils modernes. Résultat : un enchantement de saveurs qui rend honorablement ses lettres de noblesse à l’appellation Côtes-du-Rhône et Signargues. La maison est particulièrement fière d’une cuvée (sans sulfites ajoutés) baptisée « Elytres », un Côtes du Rhône rouge spécialement élaboré en l’honneur du centenaire du domaine. Cette production tire son succès de ses arômes intensément fruités qui se marient idéalement avec la cuisine méditerranéenne. ...
Rutabago vous réconcilie avec les fourneaux en vous facilitant totalement la vie. Le concept : passez commande sur le site Internet de vos paniers prêts-à-cuisiner et ils vous seront livrés chaque semaine afin que vous puissiez mitonner de bons petits plats. En plus d’être pratique, Rutabago est une invitation à manger équilibré et surtout bio. Que demander de plus ? Paniers prêts-à-cuisiner : des produits sélectionnés avec soin Votre rythme de vie, aussi effréné qu’il est, ne sera plus une excuse pour éviter de cuisiner chez vous grâce à Rutabago. Avec ses recettes classiques ou végétariennes, la marque vous propose ses paniers prêts-à-cuisiner bio dans lesquels tout est inclus : viandes, poissons, légumes et fruits frais jusqu’aux épices et herbes aromatiques. Les producteurs fournissant les ingrédients sont triés sur le volet afin de garantir qualité et fraîcheur. « La traçabilité est importante pour nous et sera gage de fiabilité pour nos clients », fait savoir Pierre Pointard, cofondateur de la start-up. Outre les ingrédients, le panier contient un livret de dégustation qui comprend les fiches de recettes et retrace la provenance de chaque produit. Les recettes ! Parlons-en justement. Se prêtant à une véritable aventure gastronomique, elles ont été concoctées par des chefs, puis validées par une diététicienne. La cuisine française et la cuisine du monde sont également à l'honneur. Les suggestions changent chaque semaine et vous êtes ainsi certains de ne pas toujours manger la même chose. Côté timing, pas de panique, puisque la moitié des recettes ont été formulées pour que vous ne passiez pas un long moment en cuisine. « Une moyenne de vingt minutes, préparation et cuisson incluses », nous indique-t-on. Et dans l'optique de ne livrer qu'en juste quantité, les ingrédients sont pré-dosés et conditionnés de façon optimale. Il est en effet très important de spécifier que selon l'ADEME, chaque français gaspille en moyenne 20 kg de nourriture chaque année. « Consommer les paniers-recettes Rutabago permet de diviser ce taux par deux » explique Mathieu, cofondateur et responsable de la logistique. ...
Exploitation familiale depuis 4 générations, ce domaine a vinifié ses premières cuvées en 2017. Aujourd’hui, il produit des rouges, des blancs et surtout des rosés qui font sa fierté. Une palette de terroirs et de cépages Travaillant sur les 3 appellations, le domaine de Cabaudran bénéficie d’une diversité de terroirs où s’épanouissent le mourvèdre, cépage roi de l’AOP Bandol, mais aussi le grenache, le cinsault et le rolle. Côté vinification, la maison opte pour une vendange matinale pour préserver les arômes. Au niveau des rouges, ceux-ci font l’objet d’une macération de 3 ou 4 semaines en cuve inox. S’ensuit un décuvage avant la mise en barrique. Les rosés à l’honneur Les rosés AOP Bandol et Côtes-de-Provence constituent les cuvées phares du domaine. Le premier, un assemblage de mourvèdre (40 %), de cinsault (30 %) et de grenache (30 %), séduit par ses arômes de fleurs blanches, de fruits blancs et de pêche. Le second, issu de grenache (35 %), de cinsault (35 %), de syrah (10%), de rolle (10 %) et de mourvèdre (10 %), dévoile des arômes d’agrumes et d’abricots accompagnés de notes acidulées. ...
La commune de Sens, riche d’histoire, est célèbre pour ses paysages de fleurs, ses édifices, mais également pour son terroir. Au sein de cette belle localité, la Brasserie Larché est devenue, au fil des années, un patrimoine bourguignon, apprécié par les amateurs de bière. Elle fait partie des premières brasseries dans cette partie de la France, à fabriquer des bières de haute et double fermentation, ce qui consiste à jouer sur la quantité des matières premières afin d’obtenir une bière au corps plus corsé. Aujourd’hui, l’entreprise brasse dix types de bières différentes. Plus de vingt années d’histoire Depuis sa création en 1996, la Brasserie Larché fait partie des producteurs qui ont su préserver l’authenticité de sa marque. Elle reste surtout très présente en Bourgogne et un peu en France (région parisienne et PACA). « Notre zone de chalandise est restreinte mais la volonté de grandir et d’être mieux référencé au niveau national est bien réelle. » nous confie Eric Poirier, actuel gérant. Parmi les fleurons de la gamme figure la bière Alésia, 100 % bio, qui a reçu en 2016 une médaille lors du Concours général agricole dans la catégorie « Bières blondes ». La maison possède d’autres produits ambassadeurs qui font sa fierté à l’instar de la Thomas Becket Ambrée, première bière élaborée par la brasserie, à fermentation haute et refermentée en bouteille avec un ajout de miel de l'Yonne. La marque Thomas Becket se présente sous différentes déclinaisons : blonde, blanche, brune et ambrée et rousse également. De manière saisonnière : « nous brassons une bière de printemps et une bière de Noël » précise notre interlocuteur. Les amateurs pourront également se laisser tenter par la Burgindia (IPA), une bière plus houblonnée, plus pâle et plus amère au goût. Depuis peu, la Brasserie Larché intervient dans la fabrication de caramel de bière et de vinaigre de bière, faisant le bonheur des amoureux de cuisine originale. Et dans une volonté de faire découvrir son savoir-faire, elle se tient prête à accueillir le public dans le cadre d’une visite comprenant la découverte des techniques de fabrication, une dégustation et un passage en boutique. ...
Dans les Vosges, le Haut Jardin accueille ses hôtes dans un cadre intimiste, avec des chalets équipés de spas privés et le service très haut de gamme d’un Logis d’exception. À très courte distance de Gérardmer, l’adresse convie à une expérience singulière de la détente et du bien-être. Son restaurant accueille les gourmets pour leur révéler une gastronomie du terroir déclinée dans la vision combinée de deux générations de chef. Une cuisine inspirée par les pépites des montagnes Des produits sélectionnés dans les fermes du voisinage et le jardin du domaine, assortis des plantes et des fleurs comestibles des montagnes des Vosges. C’est dans ce répertoire rendant hommage au terroir que la cuisine servie à la table du Haut Jardin puise son inspiration. À la tête des fourneaux, deux chefs maîtres restaurateurs (les Masson, père et fils) qui partagent leur passion de la bonne chère en toute convivialité. C’est ainsi qu’en entrée, les bourgeons de sapin des Vosges viennent embaumer la truite crue salée. Le carré d’agneau est également exquis, savoureusement rehaussé par la croûte d’ail des ours qui l’enveloppe. Les inconditionnels de douceur résisteront peu au « Chaud-froid de mirabelles flambé à la mirabelle ». Pour arroser le tout, la carte des vins de la maison déploie quelque 350 références, notamment issues de la Lorraine. En apéritifs, ne pas hésiter à essayer les petits crus vosgiens distillés à partir de plantes comme le pissenlit, le sureau ou la rhubarbe. ...
Un vignoble inspiré et des vins enchanteurs Elevés sous l’appellation AOC et certifiés "Agriculture Biologique", les vins du domaine mûrissent dans l’intimité de caves troglodytes, caractéristiques de la région. Avant cette étape, les exploitants cultivent avec soin leurs cépages de Cabernet Franc, de Chardonnay et de Chenin. Travail manuel, traditionnel et technologies s’accordent naturellement sur une terre respectée, du sol aux fruits. Les caves du domaine abritent des cuvées de rouges ronds et affirmés (élevées en AOP Saumur-Puy-Notre-Dame), de blancs fruités et peuvent aussi tirer fierté de leurs "Pétillants naturels", dont les bulles fines se libèrent dans une expansion de fraîcheur et de notes fruitées. Les portes de l’Enchantoir se poussent sur rendez-vous, le temps d'une visite et d'une dégustation savoureuse. ...
La région des Pierres Dorées, surnommée « la petite Toscane beaujolaise » doit son nom à cette quarantaine de villages remarquables construits avec les pierres calcaires locales d’une couleur ocre jaune. Ce territoire, labellisé depuis 2010 Vignobles et Découvertes, compte aujourd’hui plus de 80 partenaires (vignerons, hébergeurs, restaurateurs, prestataires de loisirs et structures patrimoniales) qui forment ainsi un réseau solide d’échange et de promotion autour de cette destination, animé par les Offices de tourisme Beaujolais Pierres Dorées et Villefranche Beaujolais Saône. Grâce à ce label, le client peut bénéficier d’une offre de produits multiples et complémentaires (hébergement, restauration, visite de cave et dégustation, site culturel, événement...) avec des prestations de qualité. Le Fascinant Week-end Vignobles et Découvertes Depuis 4 ans, le territoire labellisé organise le Fascinant Week-End Vignobles & Découvertes. Que vous soyez sportifs, gastronomes, mélomanes ou amateurs d’expériences nouvelles, profitez le temps d’un week-end, fin octobre, de l’univers passionnant du vignoble, en trouvant une activité qui correspond à vos envies. A cette occasion, vous pourrez participer à des visites commentées, des ateliers découvertes, assister à des concerts aux répertoires éclectiques, découvrir des expositions ou vous adonner à des activités sportives et insolites… Vous êtes libres de choisir votre animation, partager vos émotions et explorer les produits de ce terroir. Lors de vos différentes activités, les paysages exceptionnels du Beaujolais sauront se dévoiler à vous. Sélection Pierres Dorées Mais la région des Pierres Dorées est aussi une région vinicole produisant des vins de qualité, avec les trois couleurs représentées : rouge, blanc et rosé. Des viticulteurs passionnés travaillent tout au long de l’année pour créer des vins subtils et étonnants, des vins gourmands et généreux, et pourtant méconnus. Pour faire découvrir la richesse et la typicité de ce territoire, l’Office de tourisme organise depuis 20 ans une sélection de vins. Les meilleurs vins et millésimes du Beaujolais des Pierres Dorées y sont récompensés. Cette sélection est également mise en avant lors de soirées événementielles. Lors de votre passage, vous pourrez la découvrir dans un guide pratique. Ainsi l’Office de tourisme s’engage également depuis une dizaine d’années pour la reconnaissance de l’appellation AOC « Pierres Dorées », en étroite collaboration avec l’Organisme de Défense et de Gestion de l’appellation Beaujolais-Beaujolais Villages depuis peu. ...
Œuvrant dans la filière depuis 1929, quatre générations de la famille Dérouillat se sont succédées, pour se transmettre et pérenniser un savoir-faire unique. Sous la houlette de leur père, Fanny et Cécile Dérouillat dirigent actuellement cette exploitation familiale. Un terroir qui permet tous les assemblages Réparti sur 5,7 hectares, le domaine a la chance d’avoir des vignes à la fois sur la côte des Blancs, sur les coteaux Sud d’Épernay ainsi que dans la vallée de la Marne. Comme le précise Fanny Dérouillat, cette répartition contribue à la variété des vins produits : « Cela nous permet d’avoir les trois cépages de la Champagne et de faire des assemblages différents, et ainsi de retrouver tous les caractères de la Champagne. » En outre, le vignoble et l’exploitation en général sont travaillés selon les méthodes de la viticulture saine et durable, où les engrais chimiques n’ont plus cours. « Nous utilisons des bouteilles légères. L’habillage et les cartons sont issus de matières recyclées et recyclables », assure également Fanny. Des cuvées liées au terroir 40 000 bouteilles départagées en huit cuvées différentes sont produites chaque année par la maison. Leur point commun : elles expriment parfaitement la qualité et les typicités du terroir. Le Georges William - Secret de famille reflète le plus la personnalité du domaine. Concoctée à partir d’un assemblage tenu secret, comme son nom l’indique, cette cuvée est un hommage aux pères fondateurs de la maison. Il s’agit d’un champagne racé, souple et gourmand, accompagnant tous les plats, de l’apéritif au dessert. ...
Dans un terroir au sol perméable et argilo-calcaire poussent des cépages typiques des Pays de la Loire. C’est au cœur de cette région historique qu’est situé le Domaine de l’Enchantoir, produisant des cuvées répondant à l’appellation unique « Saumur Puy-Notre-Dame », qualifiant le vin fait à un seuil minimum de 85 % de cabernet franc. Fiers de cette distinction, Jean-Michel et Fabienne Brunet, heureux propriétaires de cette exploitation séculaire, nous emmènent à la découverte de cette terre déjà viticole depuis le Moyen-Age. « Un milieu dédié aux vignes » Ces propos de Jean-Michel et Fabienne Brunet justifient la forte réputation vinicole de Puy-Notre-Dame, une notoriété datant du 19ème siècle. Grâce à son microclimat d’altitude propice à la culture vinicole, ce terroir est le lieu de prédilection de deux cépages caractéristiques, à savoir le cabernet franc, pour le vin rouge, et le chenin, pour le vin blanc. Afin de rendre hommage à cette terre généreuse, le Domaine de l’Enchantoir privilégie ces deux cépages, avec un peu de chardonnay, sur ses 17 hectares de vignobles. Par cette recherche de l’authenticité, cette maison produit des cuvées rouges, blanches, rosées et pétillantes riches en saveurs subtiles et voluptueuses, et fortes de la mosaïque d’arômes propres à ce « terroir qualitatif », précise nos interlocuteurs. L’agriculture bio mise à l’honneur Certifié « Agriculture biologique », le Domaine de l’Enchantoir se veut être la figure de proue de plusieurs générations de vignerons soucieux de l’environnement et prônant un processus de vinification traditionnelle. Les cuvées issues de cette culture raisonnée gardent ainsi toute la typicité gustative du terroir, à l’instar du « Terres pourpres », un saumur rouge au caractère affirmé et succulent en bouche. Toujours dans cet esprit, les trois vins blancs produits par la maison ont le mérite d’être certifiés 100 % bios afin de préserver ce riche patrimoine naturel de Puy-Notre-Dame. ...
Le restaurant Victor Hugo propose quotidiennement à sa clientèle des plats nobles et généreux qui honorent la cuisine française traditionnelle. Concoctés par le talentueux chef Damien Delgado à partir de produits frais de saison, présentés ensuite avec une touche contemporaine, ces plats ont fait de la maison un authentique écrin de la gastronomie française. Une cuisine savoureuse à l’honneur En entrée, la variation autour du thon fait la singularité du restaurant. « Il s’agit de travailler le thon de trois manières différentes », décrit Damien Delgado. En mi-cuit avec une vinaigrette de mangue épicée, en nem ou bien mariné dans le miel et la sauce soja, le thon sera dans tous les cas un vrai délice. En guise de plat de résistance, rien de tel que la noix de Saint-Jacques accompagnée d’une purée de panais et de salsifis avec une noisette poivre et sel. En dessert, l’habituel citron déstructuré prend, dans ce lieu d’exception, une toute autre saveur. La base de la pâte est broyée puis présentée dans le fond d’une verrine. Une crème au citron traditionnelle l’accompagne et est enrichie d’une meringue suisse, « petit clin d’œil à la marque Mövenpick », spécifie le chef. Le dynamisme d’une table gourmande La carte est, quant à elle, très évolutive. Elle est renouvelée deux fois dans l’année afin de saluer la saisonnalité des produits. Et toujours dans cette volonté de satisfaire la clientèle, des plats allégés sont proposés toute l’année sur un menu « Go Healthy ». Celui-ci est « une initiative du siège Mövenpick et tourne autour de la diététique et de la santé », explique Damien Delgado. La cave à vins de la maison est pareillement des plus éclectiques, comprenant une large palette de vins du monde et des vins français. Le Mâcon Blanc en est exemplairement l’un des plus appréciés par les convives. Pour couronner le tout, le 58 Bar & Lounge a coutume d’organiser une multitude d’autres activités, telles « Le rendez-vous du mercredi », les soirées afterwork tous les soirs de la semaine, les happy hours et l’animation live music un mercredi sur deux, où l’ambiance et les racines latines du chef sont mises à l’honneur (Bossa nova, tango Argentin, musique Cubaine et Flamenco). ...