Ils ont une spécialité : la cuisson à la broche de pièces choisies de viande charolaise. Le couple se déplace au domicile de ses clients ou sur n’importe quel site dans les départements de la Loire (42) et de la Côte-d'Or (21), notamment pour offrir la saveur unique des morceaux ainsi cuisinés, mais également une variété de créations colorées. Fêtes familiales, événements d’entreprises ou d’associations deviennent alors des instants conviviaux autour de saveurs singulières et fraîches. Une cuisine festive, aux couleurs des envies Si le couple sert surtout des spécialités françaises, Françoise Ostler souligne que les offres de son entreprise se veulent être à l’image des événements pour lesquels on les sollicite. Variés et éclectiques, les arrangements de saveurs déployés pour chaque occasion couvrent donc diverses gammes. L’on peut très bien se faire servir de la tartiflette ou du jambalaya selon les envies de l’instant. « On est dans une cuisine gourmande […] une cuisine de saveurs », résume notre interlocutrice. Au milieu de ces riches options savoureuses, la prestation de ce couple dont les services couvrent également l’Ain (01) et le Rhône (69) se singularise avec l’option cuisson à la broche. Agneau, porc, cuisseau de veau, cuisse de bœuf et de nombreux autres morceaux choisis du Charolais expriment ainsi leur note persillée distinctive en cuisant doucement au feu de bois. Dans cette gamme de prestation, l’enseigne peut servir jusqu’à 800 convives. Chiffre limité à 300 pour des repas plus classiques, par souci de qualité. Artisans pour particuliers et professionnels Les services offerts par Or Traiteur se diversifient au gré des demandes qui lui sont faites. Repas de mariage, apéritifs ou cocktails déjeunatoires, buffets sont organisés à la hauteur du budget du client. Sinon l’équipe de la maison s’adapte aux attentes de celui-ci, faisant appel, s’il le faut, à une main-d’œuvre extra. Simples ou plus élaborés, les repas commandés bénéficient de la même garantie de qualité, et ce, pour des interventions couvrant des rayons jusqu’à 100 km. ...
C’est sur le terroir de la Côte des Bar que les cuvées Cordeuil puisent leur typicité et leur mosaïque aromatique. Au cœur de la Champagne-Ardenne, dans le département de l’Aube, le vignoble de quatre hectares est ancré sur une terre propice à la viticulture. Salima et Alain y cultivent essentiellement 2/3 de pinot noir et 1/3 de chardonnay selon les principes de la viticulture biologique depuis 2012 et ont reçu la certification en 2015. La marque s’est engagée de façon officielle avec l’organisme ECOCERT afin d’offrir « une visibilité claire et indéniable au consommateur désireux d'un champagne sans intrants chimiques, sans pesticides », fait savoir Salima. Rigoureux dans la viticulture, ce couple de récoltants-manipulants l’est aussi dans la vinification. A la cave, les vins sont vieillis plusieurs années de façon à favoriser la meilleure expression de leur caractère. « Après tout, en Champagne, c’est au vigneron de faire vieillir son vin et non au consommateur » déclare notre interlocutrice. Ainsi, les vins issus de la gamme de 2011 n’ont été mis en vente qu’à partir de 2016. Une gamme qui s’étend d’année en année De ces procédés particulièrement stricts naissent les quatre cuvées de qualité qui ont « de la bouteille (de l’âge) ». Depuis 2014, la maison a produit une cuvée mono parcellaire appelée Les Charmottes, selon une démarche lente et attentive afin d’atteindre singularité et authenticité. Salima nous confie qu’ils sont également en train de travailler un mono parcellaire Blanc de Blancs qui constituera leur sixième cuvée. ...
De nombreuses personnes ont déjà tenté l’expérience de la spiruline en tant que complément alimentaire. Et vous ? Des produits de qualité 100% français Pour les personnes qui ne connaissent pas la spiruline, il faut savoir que c’est une "micro-algue" spiralée de couleur bleu-vert. Intégrée à l’origine dans l’alimentation de nombreuses populations primitives, elle est aujourd’hui appréciée pour ses valeurs nutritionnelles. Elle regorge, en effet, de vitamines, de minéraux et de protéines. Elle est d’ailleurs considérée comme un « super aliment » utilisé pour lutter contre les carences et la malnutrition dans les pays en développement. D’après, l’OMS, c’est même le « meilleur aliment pour l’humanité au 21e siècle ». En France, elle est consommée en tant que complément alimentaire. Ainsi, que vous l’achetiez sous forme de paillettes, concassée, en comprimé, en gélule ou déjà préparée (sous forme de pâte par exemple), elle vous fournit tout ce dont votre corps a besoin. Idéal pour les sportifs qui veulent améliorer autant leur résistance que leur endurance, elle répond aussi aux besoins quotidiens des végétaliens (pour son incroyable apport en protéines et vitamine B12), des femmes enceintes (surtout celles sujettes à des carences en fer et vitamine A) et des séniors (pour une meilleure vitalité et une amélioration des défenses naturelles). Tout le monde peut apprécier à sa juste valeur les bienfaits de la spiruline. Algosud : un producteur français expert Depuis plus de 18 ans, l’entreprise française Algosud propose une offre de qualité pour se démarquer de ses nombreux concurrents. Ayant fait le choix de produire de la spiruline 100% française afin de fournir à ses consommateurs des articles d’excellentes qualités, elle répond parfaitement aux normes en vigueur. C’est ce qui la différencie d’une large majorité d’entreprises du secteur qui ont préféré l’industrialisation et la production à l’étranger. En faisant confiance à Algosud, chaque consommateur trouve ainsi des références de haute qualité, produites sous contrôle d’un laboratoire indépendant. Vous voulez en savoir plus ? L’entreprise partage, en toute transparence, sa charte qualité et ses résultats d’analyse sur son site. ...
Situé dans le Golfe de Saint-Tropez, le Domaine La Tourraque arpente la colline jusqu’à la Méditerranée. La viticulture est une affaire de famille chez les Brun-Craveris. La répartition des tâches pour la bonne marche du domaine se fait donc en ce sens : l’oncle s’occupe des vignes, le père et le frère sont affectés à la vinification, la mère assure l’administration et Sébastien Craveris prend en main le côté commercial et le tourisme. Ce dernier affirme que le site protégé des Trois Caps, au-dessus duquel ils se trouvent, « sera bientôt intégré au Parc national de Port-Cros ». En accord avec ce contexte, le domaine se convertit au bio en 2013. Le domaine Au domaine La Tourraque, la famille Brun-Craveris s’occupe de 30 ha de vignes. Les qualités argilo-siclicieuse du terroir et ainsi que la fraicheur du climat, emmenée par les vents de la Méditerranée, protègent la qualité des raisins. Les cépages Grenache, Cinsault et Tibouren sont utilisés pour le Rosé qui occupe 70% de la production. Pour le Rouge, la famille utilise le Grenache, la Syrah et le Mourvèdre et pour le Blanc, ce sont le Rolle, l’Ugni-blanc et le sémillon. Ce qui donne 3 cuvées principales : Joseph brun, Classic et Harmonie. Les 2 hectares restants sont dédiés aux oliviers, puisque le domaine produit aussi de l’huile d’olive. La vinification La collaboration familiale constitue un atout pour les Brun-Craveris. Tout en respectant les traditions et en maîtrisant les caractéristiques de leur terroir, ils utilisent des techniques modernes de vinification. (…) Le moût est fermenté avec des levures indigènes, puis est vinifié dans des cuves en inox thermorégulées avant la mise en bouteilles. Toutefois, le domaine utilise quelques barriques de chêne pour l’élevage. Seules 10% d’entre elles sont renouvelées chaque année pour préserver le côté fruité du vin. L’agriculture biologique Situé sur le Site Classé des Trois Caps qui est un espace protégé, La Tourraque se devait bien de s’accommoder à cet environnement naturel. Ainsi, le domaine a passé trois longues années de conversion avant de voir le label « AB » apposé sur les bouteilles du millésime 2013. Depuis, le rendement a diminué jusqu’à près de 50% au profit d’une meilleure qualité. L’agriculture biologique préserve la diversité. Tous les types de vins de toutes les textures peuvent en être issus. Ces produits sont d’une qualité qui rafle les récompenses des concours régionaux, nationaux, internationaux et mondiaux. Enfin, les vins bio révèlent une authenticité particulière. Le meilleur Sommelier au monde en 1989, Serge Dubs, le résume assez bien en disant que « le bio permet au terroir de s’exprimer pleinement ». ...
Destination idéale pour tutoyer les cimes entre France et Italie, Saint-Véran attire autant l’hiver que l’été. Réputé pour sa beauté et ses 2.040 mètres d’altitude, le village abrite l’hôtel l’Alta Peyra à l’architecture remarquable alliant luxe et authenticité. Tout y est pour passer un moment d’évasion exceptionnel: des chambres chaleureuses, un paysage de rêve, un personnel attentif sans oublier la touche gastronomique proposée par le jeune chef Alexandre Lechêne, issu de l’école Ducasse, et développant sa première grande table avec le Roc Alto. L’élégance à l’honneur Le Roc Alto est situé au dernier étage d'un des chalets qui composent l’Alta Peyra. Tout comme l’hôtel, il allie parfaitement l’élégance à la sobriété. Dès la porte franchie, l’atmosphère sereine et intime de la salle se ressent. La décoration combine des matériaux nobles et naturels qui s’intègrent parfaitement à l’esprit du village de Saint-Véran. Ainsi, le mobilier contemporain de Ligne Roset contraste à la perfection avec le parquet de vieux bois qui couvre le sol. Dans cette ambiance feutrée, l’ancienne cheminée dénichée auprès de l’antiquaire Zunino apporte un brin de romantisme à l’ensemble. Mais le restaurant n’a pas fini de surprendre. Il propose grâce à sa cuisine ouverte aux yeux des convives, un spectacle inédit où le chef et sa brigade en sont les talentueux artistes. Pour couronner le tout, le Roc Alto jouit d’une vue imprenable sur les sommets alpins du Queyras. Une escalade du plaisir gourmand Tout comme le lieu, l’authenticité de la cuisine proposée allie les plus grandes exigences. Des grands classiques méditerranéens en passant par les incontournables spécialités italiennes, le restaurant met à l’honneur la beauté et le goût des produits du terroir. La carte et les menus évoluent au rythme des saisons et des produits du marché. La carte propose trois entrées, quatre plats (poisson ou viande) et trois desserts au choix. Quant aux menus, les convives auront droit à un voyage culinaire décliné en trois étapes pour 58 €, ils se laisseront surprendre par la cuisine du marché et l’inspiration du chef avec le menu « Grands espaces ». Pour 78€, le menu « Les Contrepentes de l’Estoilies » reprend, quant-à-lui, les plats phares de la carte. En entrée, le choix s’annonce cornélien entre le fameux Petit épeautre de Lazer, le caviar des céréales typique de la Haute-Provence ou une nouvelle version du risotto accompagné d’asperges vertes de Roques-Hautes et de son jus. En plats, deux options se présentent : côté viande, la savoureuse côte de cochon des Hautes-Alpes accompagnée de radicchio et oignons rouges braisés au vinaigre balsamique démontre l’alliance maitrisée des saveurs et des textures. Côté poisson, le saumon de Fontaine du Rabious ravira par son goût délicieux, relevé par la sauce d’oignon Topea qui l’accompagne. En dessert, le citron en sucre soufflé accompagné d’agrumes épate les papilles par sa douceur et sa simplicité. Un chef passionné et passionnant Derrière ces œuvres culinaires aux accents méditerranéens se cache un chef aussi créatif que talentueux : Alexandre Lechêne. Après un parcours brillant dans les établissements d’Alain Ducasse, « Le Louis XV » et « La Trattoria » à Monaco, « Aux Lyonnais » à Paris, Alexandre décide de se poser à l’Alta Peyra où il met en exergue son savoir-faire et à sa créativité depuis 2012. Petit à petit, il affine son empreinte culinaire en sélectionnant rigoureusement les meilleurs produits proposés, d’artisans et de petits producteurs de la région, créant ainsi une cuisine sublimée par le travail des herbes de montagnes. Une confiance mutuelle s’est ainsi installée entre Alexandre et ses partenaires sans qui, rien ne serait possible. ...
Désireuse de préserver l´environnement et d´améliorer davantage la qualité des trois cépages cultivés, dont le pinot noir, le pinot Meunier et le chardonnay, la famille Lecomte a adopté la viticulture raisonnée. Et quand un tel terroir d´exception s´allie avec d´aussi rigoureuses méthodes, quand le savoir-faire se conjugue à la passion, les champagnes promettent saveur et raffinement. Les trésors phares de la maison En parfait écrin du champagne, la marque Lecomte Père et Fils produit quelque 70 000 bouteilles, classées en huit cuvées différentes chaque année. Parmi ses bijoux œnologiques se distinguent deux cuvées, devenues emblèmes de la maison, le Darling et le Brut Tradition. Le Darling, lui, se veut surprenant. Élaboré à 100 % avec du pinot Meunier, le Darling est une cuvée très fruitée, qui convient aux palais les plus exigeants. Harmonieux assemblage des trois cépages champenois que sont le pinot noir, le pinot Meunier et le chardonnay, et vieilli pendant trois ans dans les caves, le Brut Tradition est le champagne de tous les instants. Il peut être le roi de l´apéritif, mais il embellit également les repas, et particulièrement les viandes blanches et les poissons. De robe jaune or pâle avec une bouche révélant des arômes de fruits rouges, il accompagnera tout aussi parfaitement les desserts aux fruits rouges. Des instants « pétillants » au cœur des vignes Au sein de son domaine, la famille Lecomte ne se contente pas de produire des champagnes à faire pâlir d´envie les œnophiles. Elle a aussi ouvert les portes au public, offrant ainsi ce passionnant univers à ceux qui souhaitent le découvrir. Le domaine organise plusieurs journées portes ouvertes tout au long de l´année, au cours desquelles les gens peuvent se promener dans les vignes, découvrir l´histoire du village et du domaine, visiter la cave du champagne Lecomte ou même s’initier à la dégustation. Une balade en Cadillac au cœur des vignes et du vignoble y est aussi proposée. C´est la manière idéale d´admirer le paysage, d'apprendre davantage sur le vin et de se détendre, le tout en même temps. ...
Ce mas, situé sur la commune de Tulette, est un héritage familial de Corinne Depeyre, venant de son père qui, lui-même, l’a hérité de son père Henri et de son grand-père Clément. Ainsi, après trois générations, Corinne est la première vigneronne de la famille à reprendre le flambeau. Un rôle qu’elle assure et assume pleinement avec passion. L’agriculture biologique, une réelle conviction Au sein du Domaine Corinne Depeyre, l’agriculture biologique est un véritable art de vivre. Pour la viticultrice, il s’agit d’un gage d’avenir. C’est pourquoi elle cultive ses 19 hectares de vignes suivant cette technique respectueuse de l’environnement et de la biodiversité. Les vignes vivent ainsi au rythme des labours, selon les cycles naturels et grâce à des techniques ancestrales destinées à lutter contre les parasites et les maladies. Corinne Depeyre cultive notamment la phacélie au milieu de son vignoble. Il s’agit d’une fleur qui a la propriété de régénérer les sols naturellement. Des rangées de rosiers ont été plantées au pied des vignes. En plus d’offrir un décor visuellement très attrayant, les rosiers préviennent de l’apparition de maladies comme l’oïdium provoqué par un champignon destructeur. Les vins de Corinne Le Domaine Corinne Depeyre commercialise trois gammes de vins bien distinctes. Parmi les plus connues figurent les cuvées Style, se déclinant en rouge, blanc et rosé. Le Style Rouge Côtes-du-Rhône est issu de vignes de 30 ans d’âge établies sur un terroir argilo-calcaire, recouvert de galets roulés. Il est élevé en cuve de béton souterraine. Le vin se pare d’une robe rouge grenat aux reflets pourpres, marqué par un nez intense, floral et fruité, avec des notes d’épices. En bouche, il développe beaucoup de fraicheur et de la souplesse. Le millésime 2015 a été primé d’une médaille d’or lors du Concours des vins d’Orange. Le Style Blanc Côtes-du-Rhône est né d’un assemblage à 50 % de clairette, 25 % de viognier et de 25 % de roussanne. Il est élevé en cuve en inox et fermente en cuve inox thermorégulée. La robe est jaune pâle avec des reflets verts. Il s’agit d’un vin subtil avec un nez aux notes d’abricots et d’agrumes. Il se savoure en apéritif et accompagne un fromage de chèvre ou un poisson en sauce. La cuvée 2015 a été récompensée d’une médaille d’argent lors du Concours des vins d’Orange et de celui de Mâcon cette année. La troisième cuvée est le Côtes-du-Rhône Rosé, un vin aux couleurs provençales, avec un nez d’agrumes et de petits fruits rouges. La gamme intermédiaire est représentée par la cuvée Phacélies AOP Côtes-du-Rhône Rouge. Elle rend hommage aux fleurs présentes sur les parcelles pour attirer les abeilles. Le vin est issu de vieilles vignes de 50 ans. Le millésime 2014 a été primé d’une étoile au Guide Hachette. Le haut de gamme se décline en deux cuvées rouge et blanc Âme du Chêne AOP Côtes-du- Rhône. La propriété possède également une cuvée dénommée Cuvée de l’Amitié, un vin de pays de Méditerranée encore très confidentiel. La vigneronne travaille uniquement avec le circuit traditionnel (cavistes, restaurateurs) pour commercialiser sa production. « Je n’ai pas du tout l’intention de travailler avec la grande distribution », souligne-t-elle. Elle projette néanmoins de s’ouvrir à l’export. ...
Ce bistrot à la réputation déjà faite a été repris par des propriétaires bien sympathiques qui maîtrisent du bout des doigts l'art de recevoir. Une cuisine savoureuse réalisée sous la houlette d’un chef aussi créatif que talentueux, Mouss. Mouss et Muriel proposent au Bistrot Dumas une pause gourmande qui mérite le détour, dans une salle privatisable pouvant accueillir jusqu’à 50 personnes. Planté dans un cadre cosy et chaleureux, il séduit les épicuriens par sa cuisine bistronomique. Sa décoration soignée type Art déco s’illustre dans ses superbes vitraux qui ornent les luminaires et le plafond, en illuminant la salle de mille feux. Un festival de couleurs que l’on imagine comme un avant-goût de ce que la maison a à offrir. Ici, le ton est donné avec une salle spacieuse baignant dans une lumière naturelle, propice à des moments agréables à passer en toute décontraction et convivialité entre collègues, amis, ou en famille. Une carte riche au gré des saisons pour une invitation à la découverte À travers des plats succulents que lui connaissent ses habitués, la maison fait entreprendre un joyeux périple culinaire à ses convives. L'enchaînement des saisons se reflète à travers les couleurs ensoleillées des plats dont le visuel est soigneusement travaillé. En entrée, la carte variée et attrayante propose, par exemple, de commencer les réjouissances avec un velouté de courge muscade et butternut ou le saumon mariné houmous de betterave et délice au beurre. Comme plat de résistance, difficile de résister à l’appel du pavé de cerf ou des cuisses de grenouille à la persillade, des plats hors du commun qui constituent les spécialités de la maison. Pour continuer sur cette lancée, les œufs en meurette et la sole petit bateau cuite sur arête sont aussi des incontournables. Et que dire du tartare de bœuf coupé minute au couteau ou de la quenelle de brochet sauce homardine qui comblent les plus fins des gourmets. Les plus aventureux se laisseront tenter par l’os à moelle coupé dans la longueur pour découvrir une saveur qui fond en bouche, et pourquoi pas une salade de chèvre chaud. Le moelleux au chocolat, les meilleures tartes de Genève ou les mignardises faites maison sont d’une finesse incroyable pour finir les festivités sur des notes de douceur. Le plus qui fait le succès de la maison : des plats bien exécutés « concoctés avec des produits issus des agriculteurs locaux », nous confie le chef Mouss. ...
Le château de Montvillargenne voit le jour dès 1914 sous l’initiative de la famille de Rothschild. Avant de devenir l’hôtel de luxe tel qu’on le connaît aujourd’hui, il a servi d’abri pour les Allemands durant la Seconde Guerre mondiale et de couvent pour le Sacré-Cœur de Jésus. C'est en 1985 que le château de Montvillargenne devient un établissement hôtelier. En 2003, c’est la consécration puisqu’il décroche sa quatrième étoile. Un duo de chefs en action Implanté au cœur de la forêt de Chantilly, le restaurant gastronomique du château vous reçoit dans une salle bien éclairée qui offre une magnifique vue sur les terrasses. La carte est dressée par deux Chefs hors pair, dont l’artiste culinaire Stéphane Gourault qui orchestre les mets. Il orne les tables avec des assiettes uniques, généreuses en couleurs et en saveurs, le tout, dans une belle mise en scène. Stéphane est très attaché à la saisonnalité des produits qu’il choisit, qui sont, autant que possible, locaux, renouvelant ainsi la carte chaque saison. Notons que le Chef se sert aussi dans le potager du château pour justement garantir la fraîcheur de sa cuisine. De son côté, le Chef pâtissier, tel un maestro, crée les desserts les plus gourmands et les plus originaux. Ce duo talentueux saura émoustiller les papilles en concoctant à sa façon les spécialités françaises revisitées. Suggestion de plats Depuis l’entrée jusqu’au dessert, les plats font honneur à la richesse du terroir. L’entrée la plus prisée est représentée par les cuisses de grenouille, les œufs de caille pochés sur un toast de pain de campagne et le velouté froid de petits pois. Une assiette très raffinée idéalement suivie d’un bon plat de côte de porc d’antan de Picardie, d'une réduction d’un jus à la sarriette, d'une julienne des sables de la baie de Somme « Maison Bayard » en pommes Anna et laitue braisée. En dessert, laissez-vous tenter par des classiques revisités comme la Tartelette renversée au citron et à l'avocat. Pour accompagner ces plats divinement savoureux, Le Vilargène vous réserve une carte de vins éclectique où se marient grands crus et vins de petits producteurs, trouvés dans les grandes régions viticoles du pays. Le bar James Édouard : un véritable plaisir pour tous les sens Ce bar accueille tous ceux qui veulent profiter d’un moment de détente et de partage dans une ambiance feutrée. Les cocktails sont accompagnés d'une carte snacking pour un déjeuner sur le pouce. Pour le plus grand plaisir de tous, les barmans concoctent de nouveaux cocktails chaque mois. À l’heure du thé, pâtisseries et gourmandises invitent à prendre place sur les fauteuils en cuir ou sur la terrasse bien ensoleillée. ...
Terroir viticole et originalité bordelaise La notion de terroir est au cœur de la tradition viticole. Le terroir est un lieu insolite - son climat, sa pédologie et ses traditions - situé à la croisée de deux chemins longs de plusieurs siècles : celui d’un homme et d’un cépage qui s’y sont rencontrés et qui, depuis, cheminent ensemble. L’originalité des vins de Bordeaux naît du rituel de l’assemblage de ses cépages, chaque année recommencée dans le secret de nos chais. Classicisme Bordelais Au cœur de l’Entre Deux Mers, le château Grand Ferrand est doté d’un terroir de vallons et de terres argileuses. De ces terres que l’on dit tantôt fortes, dures à travailler ou à apprivoiser ; et tantôt amoureuses tant elles se cramponnent et collent aux pieds de qui les foule. C’est pourtant sur ce terroir de caractère que s’épanouissent avec harmonie nos vignes de Cabernet Sauvignon, Merlot, Malbec, Sémillon, Muscadelle et Sauvignon. Qu’elles y sont vendangées, vinifiées et scrupuleusement assemblées en des vins élégants, puissants et racés, héritiers du Classicisme Bordelais. ...
Chez les Leconte, la passion pour la viticulture débute en 1870, à l’époque d’Onésime Leconte, qui fait l'acquisition de ses premières parcelles. Depuis, la tradition se transmet de génération en génération, jusqu’à Xavier Leconte. Nourri de sa passion, et des ambitions plein la tête, il mise tout sur la qualité et la typicité de son terroir pour obtenir des vins expressifs. Aujourd’hui, son fils Alexis veut maintenir les valeurs de la maison dans la fabrication des champagnes en ayant recours à une démarche qualitative initiée par ses ancêtres, et qui continue à porter ses fruits. Des techniques d’antan Amoureux de ses terres, Xavier Leconte a voulu partager cette passion avec ses enfants. C’est certainement pour cette raison qu’il a décidé de baptiser deux de ses cuvées L’intuition d’Alexis et le Charme d’Anaïs, pour leur faire honneur. Alexis, en tout cas, entrevoit déjà, dès son jeune âge, sa carrière de vigneron. Et c’est avec un grand plaisir qu’il reprend les rênes de l’exploitation en 2003. Comme le faisaient ses ancêtres avant lui, il soigne son vignoble et ses vins, selon les cycles lunaires. Particulièrement à l’écoute de la nature, il mise ainsi sur ce qu’elle a à offrir de meilleur, pour garantir la qualité de ses vins ; tout cela sans jamais déroger au style de la maison. Des terroirs d’exception, pour des vins expressifs Le vignoble, réparti sur 40 parcelles et établi à Troissy, Dormans, Mareuil-le-port, Vandières et Aÿ, est traité selon une démarche raisonnée, dans le respect de l’environnement et de la biodiversité. Après la récolte, les trois cépages, à savoir le chardonnay, le pinot noir et le pinot meunier, sont à 25 % vinifiés fûts, et le reste en cuves inox thermorégulées, preuve que, malgré un fort attachement aux gestes ancestraux, Alexis mise également sur l’innovation pour rester dans l’air du temps. Cette heureuse alliance entre tradition et modernité se découvre au sein la cuvée l’Héritage de Xavier de 70 % de pinot noir et de 30 % de pinot meunier. Appelée aussi Cuvée Prestige, elle se révèle ample et complexe. De quoi faire le bonheur des épicuriens. ...
Lancée en 1981, La Roumanière est un Établissement et Service d’Aide par le Travail (ESAT) implanté dans le département du Vaucluse. Elle fait partie des établissements fondés par l’Association Vauclusienne d’Entraide aux Personnes Handicapées (www.aveph-asso.com). Un établissement en plein essor Établie sur le village de Robion, une localité située au cœur du verger provençal, La Roumanière se spécialise dès son origine dans la fabrication de confitures, qu’elle complète par celles de biscuits et de miels. Ses activités se sont tournées principalement vers les marchés du domaine de l’agroalimentaire. « On a continué à développer l’activité avec une biscuiterie en 2009 et, depuis 2012, nous avons développé un site de production à Avignon », précise Norbert Guillarme, le directeur de l’établissement. L’enseigne compte actuellement plus de 600 clients actifs. Ces fidèles consommateurs sont composés de maisons d’hôte, de commerces de proximité « et même de compagnies aériennes », nous souffle-t-on. Insertion sociale et professionnelle Fidèle à ses valeurs et à ses engagements, La Roumanière favorise l’insertion professionnelle des personnes en situation de handicap. Son personnel est constitué de quatre-vingt-trois personnes « extraordinaires ». « J’ai trente-huit personnes sur le site originel de production situé à Robion, cinq autres personnes assurent la logistique et la préparation des commandes en expédition dans le monde entier, et quarante personnes sur le site de production d’Avignon », précise notre interlocuteur. «Ces personnes bénéficient d’un accompagnement socio-professionnel permanent. » Des produits prestigieux Grâce à leur saveur exquise, les confitures sont des douceurs indétrônables de la gastronomie française. Afin d’être à la hauteur des besoins des consommateurs, La Roumanière propose une quarantaine de variétés de confitures avec des conditionnements variés, allant du pot en verre de 25 g à 1 kg. « Les best-sellers, ce sont les confitures très classiques à base d’abricots, de fraises ou de figues. Nous avons aussi une dizaine de variétés qu’on appelle "la confiture de prestige" », fait savoir Norbert. Catégorisées dans les produits haut de gamme, les confitures de prestige sont confectionnées à partir d’un cocktail de fruits et d’alcool. Conçu à partir d’une recette traditionnelle, le confit de figue au nougat est un autre incontournable qui fait des ravages surtout en période de fin d’année. Ce produit gourmand au goût authentique accompagne parfaitement un plat de foie gras. Attestant de la qualité des produits, ces derniers sont référencés dans les meilleurs guides comme Le Guide du Routard ou Le Petit Futé et cela, depuis plus d'une dizaine d'années. ...
Située à Nantes, LA TABLÉE prône une cuisine familiale et conviviale, inspirée par le partage d’un repas comme à la maison. Le restaurant se distingue par ses plats réalisés à partir des conserves de Sardines, Thons et Maquereaux de la Conserverie la belle-iloise. La décoration originale de la salle reflète bien cet esprit : maison de famille, thème marin, murs en pierre, meubles en bois clair, quelques touches de couleur rouge et jaune mélangées au bleu marin, des photos de famille et illustrations rappelant l’histoire de la Conserverie… Bref, un branding vraiment recherché invitant à une nouvelle découverte culinaire. Entre terre et mer En cuisine, le Chef Patrice Christodoulos fait preuve d’une grande créativité et d’ingéniosité pour révéler ce que l’on fait de mieux avec les poissons en conserve. « Ce sont des produits qui sont déjà travaillés, assaisonnés, et notre objectif est de cuisiner différemment pour offrir une cuisine de qualité originale à nos clients », explique-t-il. Avec d’autres ingrédients frais et rigoureusement sélectionnés à sa disposition, il peut laisser libre cours à son imagination pour élaborer des recettes savoureuses, raffinées et hautes en couleur. En plus des produits de la conserverie familiale, la maison travaille également avec des producteurs locaux. Ces derniers assurent l’approvisionnement en fruits et légumes, en viandes ou autres ingrédients. « Les matières premières sont fraîches et cuisinées sur place afin de vraiment sublimer nos plats », continue le Chef. Une carte du midi et une carte du soir Les menus s’adaptent au rythme de la clientèle. Avec la formule BBI à midi par exemple, à emporter ou à consommer sur place, le client va pouvoir choisir son burger maison parmi les cinq spécialités proposées, opter pour une boisson chaude ou froide, avant de terminer avec le dessert du jour. Le soir, des plats plus élaborés sont au rendez-vous à travers le menu Quiberon, avec au choix la terrine de foie gras au thon blanc germon accompagné d’un pain d’épices à l’émietté de Sardine des Bastides ou encore le pavé de thon blanc germon lardé braisé de cinq heures. « On se rapproche vraiment du civet, marinade de vin rouge et plantes aromatiques pour relever le goût !», reprend le Chef en décrivant ce plat. La carte Tapas où se côtoient croquetas de ratatouille au Thon fumé et accras de Maquereaux à la moutarde est disponible tout aussi bien le midi qu’en soirée. Le tartare de bœuf et Sardines à la Luzienne ou encore les Aubergines rôties au Brocciu et Sardines au citron coriandre viennent s’intégrer à la nouvelle carte de LA TABLÉE, pour ravir les gourmets. « Les gens aiment bien faire des découvertes, ils s’intéressent aux nouvelles choses », renchérit notre interlocuteur. Pour accompagner ces plats, le restaurant propose une carte de vins assez riche, où l’on y retrouve des vins de la région et des vins bio, le tout en rouge, en blanc et en rosé. Côtes-du-rhône, Menetou-Salon et Bourgogne pinot noir figurent parmi la sélection de rouges. En blanc, l’on cite les vins en appellation Muscadet-Sèvre-et-Maine et Gaillac. Le rosé AOP Côteaux-d’Aix-en-Provence complète la liste des vins qui marchent le mieux. LA TABLÉE privilège aussi les bières locales, à l’image de la Brigantine, une bière biologique fabriquée à Pornic. ...
L’univers de la boisson est une affaire de longue date à la Distillerie Janot. Cette expérience a permis à la famille de connaitre toutes les subtilités du secteur et lui a appris à exploiter l’arôme des produits. Racheté en 2007 à la famille Maunier par Serge Girardot, l’établissement fait aujourd’hui raisonner son nom au-delà des frontières hexagonales. Distillerie Janot : le N°1 des fabricants de boissons avec ou sans alcool C’est l'histoire d’une exploitation familiale qui a débuté en 1928. A l’époque, Alfred MAUNIER tenait les rênes de l’entreprise. Sa longue carrière de négociant en vins et spiritueux le pousse plus tard à lancer sa propre affaire en composant sa gamme de produits. De là naît la Distillerie Janot dont le principal objectif sera de transmettre l’intensité et la richesse des arômes issus des boissons créées. En adoptant pour le Pastis une technique de fabrication peu commune, il réussit à offrir une qualité exceptionnelle à son produit phare. Celui-ci macère le plus longtemps possible afin qu’il libère sagement et en douceur ses arômes, sans trop de contraintes. La maison veut perpétuer la tradition et l’esprit de la Distillerie Janot. A l’heure actuelle, elle fait partie des rares fabricants du pays à encore produire du Pastis. Pastis, liqueur et crèmes : des boissons alcoolisées de grande qualité L’arôme dégagé par les boissons de la Distillerie fait la réputation de l’entreprise. Dans la gamme des Pastis, qui est d’ailleurs la fierté de l’établissement, il existe quelques produits phares à commencer par le Pastis Tradition 45°. Assemblage d'armoise, d'épices et de réglisse, il est macéré pour une durée minimum de trois semaines. Autre incontournable : le Pastis Bleu se distingue davantage par sa couleur unique et son goût désaltérant. Adouci en réglisse, il a une bonne longueur en bouche. Quant au Pastis Alfred Maunier d’une teneur en alcool de 45°, ses saveurs en Cardamone et épices contribuent à son succès. Dans la catégorie des boissons sans alcool, la Distillerie Janot doit sa notoriété à la production du fameux sirop Gambetta. Issue de la macération de différents produits (plantes, fruits, écorces d’une cinquantaine de plantes, etc…), cette boisson emblématique qui, à l’origine se dégustait normalement en apéritif, dévoile un goût caramel sucré légèrement acidulé. Aujourd’hui, elle est surtout considérée comme un sirop. Parmi les ambassadrices de cette gamme de boissons d’origine provençale ancienne figurent le Gambetta classique et le Gambetta Bitter. La gamme Bio pour encore plus de saveurs La Distillerie Janot propose depuis sept ans une gamme Bio. Cette catégorie renferme un large choix de bouteilles telles que le Whisky Main Fields Bio 40° 70cl, un produit très recherché grâce à la présence du malt d’orge biologique. Apprécié pour son goût unique relevé par le zeste d’orange, de vanille et de grains torréfiés, il se distingue par son intensité, son parfum et sa complexité. ...
Au Moyen Âge, Pierrefeu-du-Var, situé dans le triangle d’or des vins Côtes-de-Provence, formé de Pierrefeu, de Puget-Ville et de Cuers, était déjà réputé pour la qualité exceptionnelle de ses vins. Un terroir complexe Les 22 hectares de vignes du Clos Real se trouvent sur un terroir schisteux très particulier et varié, constitué notamment de schiste, de quartz, de feldspath, de gneiss et de schiste bleu. Les parcelles du vignoble se trouvent sur des terrasses en altitude particulièrement difficiles à cultiver et dont le sous-sol très pauvre est enclavé dans le maquis. Il faut remarquer que, sur la production totale de vins réalisée dans l’Hexagone, celle du vin de schiste ne représente que 5%. Installées dans la vallée fluviale du Réal Martin, les vignes du domaine sont par ailleurs soumises à un microclimat unique, méditerranéen et à tendance continentale. Concernant les cépages de l’exploitation, ils sont conformes aux exigences de l’appellation Côtes-de-Provence. Grenache noir, syrah, vermentino, cinsault, carignan noir connu pour apprécier les sols schisteux et mourvèdre en petite quantité sont présents sur le domaine. Les cépages de vigne sont en moyenne âgés de 19 ans ; toutefois, certaines parcelles comportent des vieilles vignes âgées de 50 ans, voire de 100 ans pour les raisins blancs. La biodynamie au service de l’agriculture et de la vinification Au Clos Real, la méthode d’agriculture mise en pratique est biodynamique. Dans les faits, cela signifie non seulement que les produits phytosanitaires chimiques sont proscrits, mais aussi que l’usage des produits dits naturels comme le cuivre ou le soufre sont drastiquement limités afin de préserver au maximum l’environnement. Pour lutter contre les attaques de parasites et les maladies, des tisanes et des décoctions de plantes dynamisées avec de l’eau sont utilisées. S’agissant de la vendange et de la vinification, le Clos Real procède à la méthode de sélection microparcellaire : les cépages d’une même parcelle sont vendangés et vinifiés ensemble, contrairement à la méthode classique où seuls les mêmes cépages sont vendangés et vinifiés ensemble. Cette pratique était celle qu’employaient les moines au Moyen Âge, qui avaient compris que cette mixité avait un effet bénéfique sur le goût, la couleur, la saveur et la texture des vins. Du fait de la déclivité importante du terrain, seule la vendange manuelle est possible à pratiquer et elle s’effectue en suivant le calendrier lunaire. Le concept de biodynamie est encore et toujours présent à la cave, où le travail est un compromis entre tradition et modernité. Les vins sont élaborés dans des cuves en inox avec deux méthodes thermiques opposées. Dans la réalisation de la presse, aucune pompe ni pressoir ne sont utilisés, car c’est la gravité qui est mise à contribution avec ces caves disposées sous forme de succession d’étages. Au final, on obtient un vin d’une complexité anodine avec une forte empreinte de son terroir. En raison de tous ces facteurs contraignants (biodynamie, petite surface et structure du sol), la production annuelle du Clos Real est faible, avec moins de 600 hectolitres par an. Toutefois, ce faible rendement permet de favoriser la qualité des vins. ...
De petites tables en bois et un grand comptoir sont à votre disposition à l’intérieur tout au long de l’année. L’été, vous pouvez profiter des tables en terrasse dans une voie piétonne. Une ambiance sobre pour un pur moment de convivialité, c'est l'accueil que vous réserve La Réserve des initiés. Formé au Dôme, le chef Sébastien Martiny propose une cuisine contemporaine confectionnée avec des produits ultrafrais et de qualité. Tout est fait maison, même les cocktails et les desserts. Une cuisine inventive Consultez l’ardoise pour faire votre choix. Préférez-vous seulement deux plats (entrée et plat, ou plat et dessert) ou un repas plus complet avec une entrée, un plat et un dessert ? Les plats changent tous les jours mais, en entrée, vous avez en général le choix entre un tartare de viande ou de poisson, une soupe et des crudités. En plat, vous serez enchanté par le très apprécié risotto aux Saint-Jacques. En dessert, savourez l’incontournable et délicieuse mousse au chocolat. Le soir, choisissez de petites ou de grandes assiettes à partager. Des compositions faites maison avec des produits de saison, une cuisine inventive. Des associations très réussies comme les cuisses de grenouille et la mousseline de céleri ou encore la salade de quinoa, crabe, grenade et granny smith, parfumée à la coriandre. Sans oublier les incontournables planches de charcuterie ou de fromages. À accompagner d’un bon verre de vin ou d’un cocktail maison comme le succulent Green Belet : du gin, du sirop de sureau et de l’eau de concombre. Les dimanches et lundis soir, des menus « Spécial cocotte » comme en préparaient nos grands-mères viennent compléter l’offre. Le dimanche, place aux brunchs. Bien copieux pour satisfaire tous les appétits. Du pain, des confitures, une boisson chaude, un jus de fruits frais, un plat et un assortiment de desserts. De quoi se régaler en famille ou entre amis. ...
S’il fallait remonter aux origines de la famille, cela nous ramènerait jusqu’en 1605, à l’époque d’un certain Jaume Fabre. Tour à tour, ses descendants ont perpétué son œuvre jusqu’à faire briller le patronyme familial dans le paysage viticole languedocien et par-dessus les frontières. L’immense patrimoine est aujourd’hui composé de cinq domaines dont Château Fabre Gasparets de Boutenac, berceau historique de la maison. Aux origines d’un Cru Boutenac Situé dans le Massif du Pinada, le secteur du Boutenac s’inscrit comme l’un des plus beaux terroirs des Corbières. Suite à une politique de hiérarchisation, cette zone géographique a obtenu officiellement l’autorisation d’opérer en tant qu’appellation à part entière. Une victoire pour Louis Fabre et sa sœur Marie qui se sont consacrés pendant plusieurs années aux côtés de nombreux autres vignerons à faire reconnaître le Cru Boutenac. Pour les Fabre, cette terre s’étendant du Massif des Corbières jusqu’au Massif des Pyrénées est digne d’un tableau de maître. Les vignes entourées de pinèdes et de garrigues avec des collines comme toile de fond proposent un paysage envoûtant, à l’image des vins qui y sont produits. De grands vins concentrés, symboles d’excellence Sur ces sols composés de grès de Boutenac et de galets roulés, le carignan est travaillé selon des pratiques culturales qui promeuvent l’équilibre entre les vignes et l’environnement. Transporté par les fameux « wagonnets », il arrive au chai sans éraflure et peut se dévoiler dans sa plus belle expression. Le Château Fabre Gasparets propose deux cuvées : une éponyme et l’autre intitulée La Serre,une cuvée parcellaire limitée à 3000 bouteilles par an. Ambassadeurs du savoir-faire séculaire, ces deux vins sont produits d’une façon relativement spécifique car le carignan qui est à la base un cépage tannique et puissant n’est pas élevé dans des barriques, mais plutôt dans des jarres de 150 litres en argile et en forme d’œuf. Après un assemblage avec la syrah et le mourvèdre et un élevage de 12 à 15 mois, les Crus obtenus s’illustrent pour leur raffinement et la subtilité de leurs arômes. ...
Plantées en coteaux, les vignes idéalement exposées bénéficient des qualités d’un sol argilo-calcaire conférant puissance et saveurs typées aux cépages. Les méthodes traditionnelles conjuguées à la modernité révèlent l’authenticité du champagne, valeur véhiculée par cette maison solidement ancrée entre l’Aube et la côte des Bar. Une nature généreuse préservée « Mes grands-parents et mon père Pascal étaient déjà sensibles à l’environnement », nous confie Adeline Bonnet, associée exploitante. Elle perpétue ainsi des gestes salvateurs pour la biodiversité de sa région en « excluant totalement l’usage d'insecticides et d’herbicides depuis maintenant vingt ans, en favorisant un enherbement contrôlé et en ayant pour objectif de fertiliser le sol avec des composts afin de réduire au maximum l’empreinte carbone et préserver l’écosystème ». Des cuvées d’exception expressives du terroir Les vendanges manuelles et la vinification traditionnelle sont autant de gages de qualité pour les cuvées Camille Marcel. Parmi les cuvées phares de la maison, appréciez le Brut de Noirs, un 100 % pinot noir vieilli trois ans en cave et représentant fidèlement le terroir de la côte des Bar. Ses notes fruitées avec un peu de structure en font une « cuvée puissante aromatique mais élégante et ronde, à servir en repas ou avec du fromage du terroir », conseille Adeline. Appréciez également en cocktail ou en dessert une cuvée spéciale rendant hommage à une ancienne danseuse, courtisane et non moins espionne, Mata Hari. La touche suave et la volupté de ce champagne vous ramènent alors à l’univers envoûtant de cette femme de légende. ...
À mi-chemin entre le port de Noirmoutier et la plage du bois de la Chaise, cet Hôtel-Restaurant 3*** blotti dans un magnifique parc paysager arboré de palmiers et d’oliviers, invite à la félicité et au bien-être. Ses deux salles de restaurant ont été décorées avec goût et raffinement : grande baie vitrée, poutres en bois de pins, murs en bois clair, toiles au thème marin. À l’extérieur, une agréable terrasse ombragée disputant la vue sur le château Noirmoutier et les champs de vignes accueille les hôtes. Quelle que soit la saison, ce petit bout de paradis est l’endroit parfait pour partager une table gastronomique en famille, entre amis ou entre collaborateurs. Le concept du restaurant Le gérant propriétaire du lieu, Pierrick Wattecamps, définit si bien le style d’Éric Pichou, son chef de cuisine depuis 25 ans : « C’est une cuisine fine, créative, pleine de subtilité, et avec une pointe gourmande sans pour autant être très riche. »C’est précis et totalement maîtrisé. Noirmoutier-l’Île oblige, le chef s’inspire des parfums de la cuisine méditerranéenne et des couleurs de la cuisine de l’Atlantique dans l’élaboration de ses plats. « La saveur océane est vraiment notre spécialité. On travaille le poisson tout en finesse et on le prépare ensuite avec des produits du terroir procurés dans la région. » Ainsi, le restaurant a imaginé trois menus pour découvrir les incontournables de la maison : Saveurs de printemps, Éveil des sens et Au fil des saisons. Une farandole de saveurs et de textures En entrée, le chef fait plaisir aux épicuriens avec son saumon confit à 53°, fromage blanc au yuzu et gingembre, crème végétale et pickles d’oignons rouges. En guise de plat, le cœur balance entre le dos de lieu jaune rôti en croûte de piquillos, fenouil et safran, jus de crevettes à la verveine et l’entrecôte de cochon ibérique, pommes de terre façon Macaire. Ces assiettes sont accompagnées d’une cassolette de pommes de terre primeur rissolées au beurre salé, une petite merveille qui fait la signature de la maison. Une autre spécialité à ne surtout pas manquer : les intemporelles moules gratinées à la crème d’ail qui déclenche à chaque fois des émotions. D’autres plats plus recherchés et plus audacieux sont également concoctés, à l’instar des langoustines saisies au beurre demi-sel, pulpe de panais, réduction de clémentines, anis et vodka, ou encore le filet de canette laqué au sésame noir, aigre doux à la bière brune, navets confits et betteraves rouges. « Nous travaillons énormément sur les accompagnements, les sauces, les jus, les parfums, qui vont changer au gré des saisons », explique le gérant. Sur une note finale, des petites douceurs maison viennent embellir l’expérience culinaire : demi-sphère noire avec sa compotée de fruits exotiques, nuage de mascarpone et crème glacée au petit-suisse ou fraise Gariguette au naturel, éclat de meringue et thé vert matcha, sorbet fraise et crémeux à la menthe poivrée. Ce sont les créations d’un jeune talent, dont Pierrick Wattecamps est particulièrement fier : « Il est sans doute le meilleur pâtissier que nous avons eu depuis 25 ans. » Expérience à vivre en famille Pour les déjeuners ou événements en famille, la maison a réservé deux menus spéciaux aux jeunes gourmets. Ils peuvent déguster la terrine de foie gras de canard, la poitrine de veau fermier confite, jus parfumé au thym et seront gâtés par le carpaccio d’ananas, sorbet noix de coco. Les plus petits vont apprécier la salade de crudités de saison et l’éventail de charcuterie accompagné de pommes de terre de Noirmoutier. Au dessert, ce sera deux boules de glace au choix ou un yaourt aux fruits de chez Beillevaire. En outre, parents et enfants peuvent prolonger leur expérience dans l’hôtel 3*** et se laisser tenter par les activités offertes sur place : piscine chauffée, salle de jeux, aire de jeu extérieur (tennis de table, badminton, terrain de pé...
Acheté en 2012 par le propriétaire actuel, le Château Moncets a profité d’une transformation radicale. En 2015, sera intégré à l’exploitation le Château Chambrun et son vignoble. Des vins de Bordeaux bio respectant le terroir Divisé en parcelles, le domaine qui se trouve à la croisée des appellations de Pomerol et St Emilion est travaillé pour mettre l’accent sur les caractéristiques naturelles du terroir. Enherbement choisi, travaux en verts maitrisés et vendanges manuelles sur mesure contribuent à la qualité du vin. Ensuite, les jus sont vinifiés dans un chai gravitationnel et parcellaire thermo-régulé. Pour les parcelles les plus qualitatives, une vinification intégrale en barrique (fût de chêne français) sera réalisée afin d’extraire tout le potentiel du millésime. Cela permet de créer des vins, tels que le savoureux Château Moncets, qui seront ensuite vendus via le caveau de dégustation ou la boutique en ligne. ...
C’est en remontant à ses origines que Jean-Sébastien Robicquet, fondateur de la maison, découvre l’histoire oubliée de ses ascendants, notamment Jehan Robicquet, artisan passionné, attaché à sa terre d’accueil, à savoir la région charentaise qui lui ouvre ses portes vers la fin du XVe siècle. Pelletiers ou orfèvres, ses ancêtres ont développé le goût pour la perfection jusqu’à s’accorder les faveurs d’une royauté friande de produits d’exception. C’est ainsi en s’inspirant de cette forte identité retrouvée qu’il fonde son entreprise, « une société engagée dans sa ville et dans sa région et dont les racines remontent au temps de François Ier », nous raconte Jean-Sébastien Robicquet, Président-Fondateur. Une épopée moderne peu conventionnelle animée par le respect et une vraie quête de l’excellence. Des spiritueux uniques à l’authenticité retrouvée Œnologue de formation, Jean-Sébastien Robicquet a souhaité créer une gamme de spiritueux premium au goût historique du terroir. C’est alors qu’il décide de fonder une société axée sur cet objectif en proposant des produits singuliers, inspirés de leurs terres et uniquement à base de raisin. En effet, « dans mon optique d’offrir des spiritueux haut de gamme, j’ai souhaité utiliser exclusivement le plus noble de tous les produits, à savoir le raisin » explique Jean-Sébastien Robicquet. Cognac, Gin, Vodka ou liqueurs sont ainsi élaborés à partir de cette matière noble illustrant parfaitement l’art de vivre à la française. Raisins ou fleurs de vignes sont ici travaillés avec soin afin d’obtenir des spiritueux au goût unique, aux saveurs authentiques et figurant parmi les meilleurs de leur catégorie et, ce, à l’échelle mondiale. Les produits ambassadeurs de la maison Parmi les fleurons de la gamme se trouve la vodka Cîroc - réputée pour sa fraîcheur - créée pour et avec Diageo, le leader mondial des spiritueux. Toujours dans cette gamme premium, G’Vine s’illustre élégamment dans le Top 3 mondial des meilleurs gins super-premium. Grâce à un mariage harmonieux entre le raisin et la fleur de vigne, G’Vine innove par sa rondeur exquise et sa fougueuse délicatesse, faisant de ce spiritueux le précurseur prestigieux du gin super-premium. Enfin, parmi les ambassadeurs de la maison, La Quintinye Vermouth Royal est élaborée afin de « rendre hommage au jardinier botaniste de Louis XIV, Jean-Baptiste de la Quintinye, chargé de réaliser le jardin botanique du fastueux Château de Versailles », continue-t-il. C’est dans cet esprit d’agronome que ce vermouth, composé d’infusions de plantes et de Pineau des Charentes, fut récompensé en 2016 par The Ultimate Spirits Challenge de Paul Pacult du prix du meilleur vermouth français du monde. Maison Villevert propose une liqueur, June, élaborée à base de fleurs de vigne. En Juin, lorsque le soleil réchauffe la terre, ces éphémères fleurs sont récoltées à la main dans les vignobles de France, puis distillées pour en extraire leurs arômes exaltants et captivants. La fleur de Merlot apportera des arômes de fraise des bois, celle de Cabernet Sauvignon la framboise, la fraise et la violette et celle du cépage Ugni Blanc, des notes de poire, de fruits exotiques et de fleurs blanches. Maison Villevert propose aussi une Tequilla, Excellia vieillie en fûts ayant contenus du Sauterne Grand Cru ou du Cognac. Enfin, également viticulteur et bouilleur de cru, Maison Villevert propose une collection - La Guilde du Cognac – destinée à (re)découvrir ce produit en dégustant des cognacs de villages et de bouilleurs de cru. La Guilde offre ainsi un véritable voyage olfactif, gustatif et émotionnel, à travers quatre petits trésors jusque-là cachés provenant de quatre crus du terroir du Cognac. ...
Construite à partir des pierres anciennes récupérées du temps où la prison de la Bastille avait été démolie, la bâtisse abritant le restaurant conserve l’authenticité des éléments de l’époque. À cela s'ajoutent les couleurs flamboyantes, les poteries, les tableaux, les luminaires berbères, les poutres apparentes… Une décoration qui mène les invités sans détour vers le Maghreb. Cette alliance d’art, d’histoire et de culture apporte une ambiance chaleureuse et accueillante au restaurant La Ferme Saint-Bernard. Un chef venu d’ailleurs Ayant travaillé dans le domaine de l’administration dans son Algérie natale, l’actuel propriétaire du restaurant La Ferme Saint-Bernard a très vite décidé de changer de cap. Il entreprit quelques voyages avant de s’installer en France il y a maintenant 20 ans. Animé par la passion culinaire et l’amour de sa culture, Hamou Messaoudi a instauré, depuis 2007, dans son restaurant, un concept très précis : « Prôner l’art berbère, faire découvrir les bijoux culturels du Maghreb en s’investissant dans les particularités de sa cuisine. » De l’entrée jusqu’au dessert, les invités rencontreront les saveurs de l’Afrique du Nord ainsi que celles de la Méditerranée. Les délices du Maghreb dans l’assiette La dégustation commence par le felfel, une entrée constituée de piments écrasés avec des tomates, arrosés d’huile d'olive et qui s’accompagne de galettes kabyles. D’autres entrées feront aussi le bonheur de ceux qui savent les apprécier : les différentes variations de bricks (au thon, au fromage ou à l’œuf) ou le chakchouka, une spécialité maghrébine non piquante à base de poivrons, d’oignons, de pommes de terre et qui est escortée d’œufs brouillés. Mention spéciale également pour la fameuse boulette de semoule marinée dans la menthe fraiche et la coriandre, pour les différentes sortes de tajines (boulettes, poulet, agneau, végétarien) ou encore pour les couscous à la vapeur. Outre l’incontournable thé à la menthe qui termine traditionnellement les repas maghrébins, des glaces ou une variété de pâtisseries garnies de miel sont aussi parfaits pour achever ce doux voyage. ...
Fondée juste après la Première Guerre Mondiale, la maison de champagne J.MARGOUILLAT accueille ses clients depuis 4 générations. Son vignoble s’étend sur les coteaux sud d’Epernay (Commune de Chavot) où sont cultivés les fameux cépages champenois que sont le pinot noir, le pinot meunier et le chardonnay. Champagne J. Margouillat : un millésime 2013 qui fait le bonheur des amoureux de vin effervescent C’est à partir de leurs fruits que sont élaborés quatre types de vin effervescents aussi riches qu’équilibrés. L’emblème de la maison est symbolisé par le « Millésime 2013 », une année particulièrement favorable pour réaliser le mariage parfait entre les 3 cépages. La maison a toujours forgé la notoriété de ses produits sur le système du bouche à oreille. Une façon humble et pourtant efficace de promouvoir des cuvées de grande qualité uniquement disponibles « en direct » auprès du producteur. Seules quelques épiceries fines soigneusement sélectionnées disposent de certaines cuvées. La société est actuellement dirigée par François MARGOUILLAT, un passionné qui perpétue soigneusement la tradition familiale. ...
Niché sur le village médiéval du Haut-de-Cagnes, sur la Côte d’Azur, le Château Le Cagnard abrite un restaurant d’exception, qui met l’accent sur la cuisine gastronomique et méditerranéenne avec une parfaite maîtrise des produits locaux et de saison, de l’entrée au dessert. Château Le Cagnard : un vestige séculaire exceptionnel Vieille bâtisse datant du XIIIe siècle, le Château Le Cagnard a su conserver son charme médiéval et provençal qui envoûte les passionnés d’art et d’histoire. Sa cheminée voûtée installée dans l’ancienne salle des gardes en témoigne encore. Perché sur les remparts et les collines du légendaire château médiéval Grimaldi, le domaine se trouve en plein cœur d’un véritable site historique et dépaysant qui donne une vue panoramique sur la mer. En 1960, la famille Barel achète la bâtisse pour en faire un hôtel familial depuis plus de cinquante ans. Séduit par la splendeur de l’édifice et son architecture médiévale particulière, la famille suédoise Ivarsson décide de racheter la propriété en 2011. Sans attendre, elle commence à rénover complètement l'hôtel et le restaurant afin de lui apporter un renouveau tout en conservant les pièces historiques. Honneur à la cuisine gastronomique régionale Pouvant accueillir jusqu’à 50 couverts, le restaurant du château est un lieu historique et magique qui met merveilleusement en avant des meubles et des œuvres d’art d’antan, notamment celles d’Émile Wéry dans la salle des gardes. Les 200 fresques toutes peintes à la main, « couvrent le toit amovible de la salle qui s’ouvre sur le ciel d’azur pour procurer une ambiance romantique dans la salle », témoigne Gregory Cousaert, Directeur de l'établissement. À l’extérieur, juchée sur les remparts du village, la terrasse offre une vue imprenable sur la Côte d’Azur avec vingt couverts disponibles. Côté menu, le chef Stéphane Laurin concocte une cuisine divine, raffinée et régionale à base de produits du terroir et de saison dans laquelle on trouve le « menu de saison » avec trois plats et le « menu dégustation » avec quatre plats. Ici, « la carte est en constante évolution et les produits sont issus directement des producteurs locaux et quelques fois bio, pour les œufs par exemple ». Parmi ses spécialités, le chef suggère en entrée, des Crevettes Sauvages, courgette et vinaigrette de fraise, en plat de résistance, un Pigeon à l'ananas, fenouil et ricotta safranée et en dessert, un Soufflé parfum d'orange et son granité yuzu basilic. « On ne peut avoir de culture gastronomique sans vin ». Voilà un dicton de Julia Child qui ne laisse pas indifférent le sommelier du château. Pour accompagner et mettre en avant la cuisine régionale du chef, il propose « des vins locaux niçois ou de Côte de Provence de la plaine du Var, tels que le Clos Saint-joseph, le vin modelé du Domaine de Toasc et les Coteaux du Verdon », nous rapporte le directeur en continuant que « le restaurant dispose aussi de grands crus, de premiers crus et de crus classés de Bourgogne et de Bordeaux » pour le plaisir des amateurs de bons vins. ...