A l’extérieur du village de Saint Paul de Fenouillet, à 37 km de Perpignan, se dresse le château de Peyralade, demeure du XVIIIème siècle où Véronique et Xavier Maury reçoivent leur clientèle en table et en chambre d’hôtes. Situé à 45 minutes de la mer et à une heure de la montagne, ce site est dédié à la culture œnologique et gastronomique. Géographiquement, le château de Preyralade s’inscrit pleinement dans le territoire viticole du Roussillon et de sa production où vins rouges et blancs secs disputent désormais la vedette aux célèbres et ancestraux Vins Doux Naturels (VDN) de Maury, Rivesaltes et Banyuls. Mais sa situation également proche de celle du vignoble de Limoux lui permet de bénéficier des célèbres Crémant et Blanquette, effervescents éponymes. L’occasion en un périmètre restreint, de présenter tous les types de vins au cours de ses ateliers oenologiques. Des ateliers œnologiques complets et variés Au château de Peyralade, Xavier & Véronique animent tout au long de l’année un large choix d’ateliers éclectiques (12 au total) qui traitent des vins classiques et spéciaux, de façons ludique et interactive. L’occasion de raconter l’histoire de cette boisson depuis les origines de l’humanité et son lien aux Hommes et aux civilisations, tout en dévoilant son usage médical, social, sacramentel et économique. Dans un autre atelier, sera contée l’histoire des VDN et de leur inventeur Arnaud de Villeneuve, emblématique personnage médiéval des XIII° & XIV° siècles célèbre théologien catalan et médecin du roi Jacques Ier d’Aragon. Xavier dévoilera l’approche sensorielle et les outils du goût, en révélant notamment à chacun ses propres niveaux de perception des quatre saveurs fondamentales et démystifiera le langage des professionnels du vin. Chacun aura également l’occasion de mieux connaître les deux seuls crûs du Roussillon, les AOP Maury et Banyuls, d’apprendre à cerner les contours de leurs terroirs, en piéger les senteurs et en découvrir les saveurs d’exception. Au château de Peyralade, Xavier invitera chacun à confronter les deux AOP Maury et Rivesaltes, ou à découvrir chacune d'entre elles grâce à deux leviers : le premier, intitulé "Verticale" comparera un seul et même vin mais issu de plusieurs millésimes, le second, dénommé "Variation" présentera les interprétations d'un seul et même millésime de plusieurs producteurs. Enfin, les Rancios sont également explorés. Ces vins spéciaux résultent d’un élevage oxydatif long et puissant. Leur mystère sera éclairci à la lumière de plusieurs vins remarquables secs et doux. Un hébergement cosy pour une restauration fine et délicieuse Le château de Peyralade dispose de 2 chambres doubles et d’une suite pour un couple et deux enfants (ou 4 personnes), toutes avec salle d'eau privative et non-fumeur. D.O 620 est la dernière chambre aménagée. Malgré sa grande taille (24 m²), elle est la plus modeste. Ses teintes murales bleues lui confèrent un esprit très cosy et sa salle d’eau au coté rétro offre tout le confort nécessaire pour un séjour de tout repos. La suite Flavène, aux teintes très nature, se compose d’une chambre principale claire pour les parents, et d'une seconde pour 2 enfants (ou 2 adultes) à l'esprit très "cabane". La Anthocyane allie, quant à elle, l’ancienneté de la demeure à la modernité des équipements, en témoigne la présence de meubles d’antan associés à une décoration et des matériaux contemporains. L’anthocyane est la substance naturelle du raisin qui teinte les vins rouges Fort logiquement, cette couleur donne le ton de cette chambre. Le petit-déjeuner est continental et toujours inclus dans le prix de l’hébergement (Breakfast possible avec supplément et réservation la veille). De plus, Véronique et Xavier convient chaque soir leurs clients à partager la table d’hôtes autour d’un apéritif traditionnel suivi d’un repas complet En termes de r...
Le vignoble du domaine des Pradelles s’enracine sur une ancienne propriété des Chevaliers de l’ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem, située sur la commune de Vacquiers (Haute-Garonne). Les vins On distingue parmi les produits phares les cuvées « Prestige » et « Légende rouge », dont l’encépagement est à dominante négrette. Preuve du succès de ses vins, depuis 2001, le domaine des Pradelles a accumulé les récompenses dans différents concours nationaux. Les médailles d’argent ont été attribuées aux cuvées « 100sations 2017 » AOC Fronton et « Réserve de Malo 2017 » IGP Comté-Tolosan au concours Saveurs et Senteurs du Frontonnais 2018. ...
L’entreprise familiale est implantée à Dorlisheim, dans le Bas-Rhin, sur la route des Vins. Dirigée par Vincent Goesel, elle prône actuellement les valeurs d’une agriculture raisonnée, respectueuse de la Terre et de la biodiversité. Terroir et saveurs, une conjugaison parfaite Le vignoble se dresse sur un sol de type argilo-calcaire, qui, grâce à ses éléments minéraux, donne vie et fraicheur à la vigne. « Nous produisons tous les cépages alsaciens », déclare Vincent Goesel. Parmi les variétés cultivées figurent le sylvaner, le riesling, le gewurztraminer ou encore le pinot noir. « À partir de ces cépages, nous produisons des vins blancs et rouges ainsi que des crémants. » Du vin pour tous les goûts La maison dispose d’une large gamme de vins et de cuvées. Parmi les plus appréciés, Vincent Goesel cite « Ma Petite Folie », un vin fruité et moelleux à base de muscat. Arborant un bel arôme de fruit mûr au nez, il offre une véritable révélation en bouche. « La Cuvée de la mer » figure également dans la liste des produits phares de la maison. « Il s’agit d’un assemblage dédié aux fruits de mer », confie le gérant du domaine. ...
Le restaurant S’Zwilling Stuebel, établi depuis 1998 dans la rue Kuhn, dans le quartier de la Gare, à Strasbourg, est tenu par Joan et Maxime Bitzner. Un couple complice et polyglotte, qui se fait un plaisir à recevoir les convives venus de la région mais aussi de lointaines contrées. Ici, esprit de partage et valeurs culinaires traditionnelles sont à l’honneur. Le riche parcours du chef S’inspirant de ses voyages en Asie, notamment la Chine qu’il affectionne particulièrement, puisque son épouse en est originaire, Maxime Bitzner invite à la découverte d’une cuisine française revisitée qui se réserve quelques petites touches exotiques. C’est avec fierté qu’il nous confie : « Ma cuisine est influencée par les endroits que j’ai parcourus. » Il aime ainsi explorer les saveurs et les produits exotiques pour perfectionner ses créations culinaires. Sortant de l’école hôtelière de Strasbourg, ce chef passionné a effectué sa formation dans le Gers et a acquis ses premières expériences dans le Var, à Bordeaux, à Nancy et dans le nord de la France. Après avoir exercé un temps au Château de Pourtalès, il décide de poser ses valises à Strasbourg pour y ouvrir son propre restaurant. Fort de ses nombreuses années d’expérience, il propose une cuisine française, s’ouvrant au monde et préparée avec des produits frais. « Mon objectif est de ne jamais dénaturer le produit, de lui laisser sa plus belle expression », raconte-t-il. Une cuisine aux mille et une saveurs Pour les travailleurs pressés du midi, S’Zwilling Stuebel propose une formule à 10 € composée d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert. Pour ceux qui souhaitent déguster les spécialités régionales, un menu à 26 € met à l’honneur les saveurs du terroir. Pour le printemps, la maison réserve à ses convives une carte gourmande et savoureuse. En entrée, la déclinaison de pommes de terre à l’huile de noisette égaye déjà les papilles des plus gourmands. Le repas se poursuit avec une gibelotte de lotte rôtie au basilic accompagnée de petits légumes. Au dessert : rien de tel qu’une mousse au chocolat et coulis de fruits rouges ou un tiramisu à l’italienne maison pour apporter de la douceur à ce repas mélodieux. Côté vins, la carte privilégie les grands millésimes d’Alsace comme le riesling grand cru et du pinot gris. Et pour accompagner les gibiers agrémentés de sauces légèrement corsées, rien de tel que les côtes-du-rhône et les bordeaux, qui prennent une place importante dans la gamme des vins. ...
Le fromage de chèvre Charolais a déjà un long passé puisqu’il est produit depuis le XVIe siècle comme l’attestent certains écrits. À cette époque, il était fabriqué par une population d’ouvriers agricoles et il prenait une large place dans l’alimentation des paysans. Après avoir bénéficié de l’appellation d’origine contrôlée, en 2010, il a obtenu le label AOP depuis 2014. Aujourd’hui, avec toujours le même savoir-faire, les producteurs doivent suivre à la lettre un cahier des charges précis et exigeant. Les règles mises en place sont respectueuses de l’animal et de l’environnement. Les chèvres doivent soit pâturer, soit fourrager au vert au minimum 160 jours. L’alimentation peut être complétée par du foin ou des céréales, produits sur place. Sont interdits tous les produits OGM, tout ensilage et tout fourrage fermenté. Les caractéristiques Le fromage de chèvre AOP Charolais est confectionné à partir de lait cru frais, sur la base d’un caillé de type lactique. Il est moulé à la louche dans un moule cylindrique puis égoutté. Légèrement salé, il est démoulé puis posé sur des grilles. Il est ensuite retourné manuellement deux fois par jour. Son délai minimal d’affinage doit être de seize jours. Il se couvre progressivement de penicillium. C’est cette couverture bleutée qui caractérise, entre autres, le fromage Charolais. Il se présente comme un cylindre d’une hauteur de 7,5 cm. Il pèse entre 250 et 320 grammes. Il faut environ 2 litres de lait pour fabriquer un seul fromage. Le fromage de chèvre Charolais a un goût doux et subtil avec des notes végétales (noix, noisettes ou herbes coupées). Il est souvent consommé frais et moelleux mais il peut être conservé jusqu’à six mois pour offrir une texture plus sèche et un goût plus affirmé. Il peut également être utilisé dans de nombreuses recettes de cuisine. Il est très apprécié aux quatre coins de l’Hexagone, mais sa notoriété a depuis longtemps dépassé les frontières puisqu’il s’exporte jusqu’au Canada ou au Japon. ...
Guillaume et Corinne vous accueillent dans un restaurant à l’ambiance chaleureuse et réconfortante. Telle une extension de la maison, Chez Nous² marque le début d’une aventure entre deux passionnés de cuisine que tout semblait diviser… Lui, passionné des Alpes et de tartiflette, et elle, une amoureuse des grandes terres du Montana et de cuisine méditerranéenne, avec toutefois une passion commune : le plaisir de recevoir de la clientèle au même titre que les amis et cuisiner pour eux. Un restaurant pour toutes les envies L’établissement baigne dans une ambiance qui s’adapte aux différents moments de la journée. Dans un rythme plutôt dynamique le midi, il reçoit une vague de clientèle qui arrive en même temps et qui repart également au même moment mais aussi une clientèle qui n’est pas forcément de bureau et qui prend un peu plus son temps pour déjeuner. Le soir, le restaurant propose des Popotes Dînatoires, où, sur un fond de mur coloré, les convives pourront prendre tranquillement un verre tout en partageant des plats conviviaux ou des assiettes-planches très gourmandes. Chez Nous2, « c’est surtout de la cuisine 100% fait maison même la pâte des tartes et les pâtes fraîches » déclare Corinne, propriétaire des lieux. Le midi, laissez-vous tenter par sa blanquette de veau faite dans les règles de l’art. Au registre des desserts, craquez pour son ile flottante farcie de fruits rouges et accompagnée de pain perdu comme à la maison. Le soir, découvrez notamment le velouté de Marennes, un velouté d’huitres très doux, qui est une belle découverte culinaire très appréciée des clients. Vous l’aurez compris, dans cet établissement, vous n’aurez droit qu’à des produits frais cuisinés sur place avec passion par le chef. Et comme garantie, attendez-vous à trouver de nouvelles cartes chaque semaine. Pour le weekend, notamment le samedi, Chez Nous2 propose un menu semi-gastronomique avec 3 entrées, 3 plats et 3 desserts au choix, une manière de faire découvrir à la clientèle une autre facette de sa cuisine. Le dimanche se veut plus convivial avec la formule du brunch à la française : un moment de plaisir à partager en famille avec son buffet de hors-d’œuvres à volonté (12 variétés disponibles), suivi de 2 plats chauds, dont 1 plat cocotte avec une brouillade d’œuf, sans oublier le buffet de desserts. Une carte des vins éclectique La carte des vins s’accorde avec la carte du déjeuner ou du soir et change une fois par mois. Tous les vins du restaurant sont proposés au verre de 12 et 16 cl mais aussi à la bouteille avec quelques très bons crus pour avoir de jolies gammes. Parmi les vins qui marchent le mieux figurent le Chorey-lès-Beaune (Bourgogne) et le Pouilly-Fumé (Loire), un vin blanc très fruité. ...
Que vous soyez en famille, entre amis ou avec des collègues, Loire Vins Aventure vous propose une expérience inoubliable pour une promenade de quelques heures ou une croisière d’une journée. Au programme : découverte des villages riverains le long de la Loire et de leurs héritages architecturaux. Le tout agrémenté par des dégustations de grands vins de Loire à bord d’un bateau de pêche traditionnel. Une balade féerique Loire Vins Aventure a été lancé à l’initiative de Denis Retiveau. À l’âge de 30 ans, ce Turquantois, à la fois vigneron et marinier, est « tombé amoureux » de la Loire, après avoir fait du canoë sur le fleuve en compagnie de quelques amis. « L’expérience m’a tellement plu que j’ai acheté des bateaux pour emmener les amis et la famille. Et c’est là que m’est venue l’idée des balades fluviales avec des dégustations de vins », raconte-t-il. Depuis quelques années, Denis Retiveau embarque les visiteurs pour des excursions uniques à bord de L’Étoile qui rit. C’est sur cette « toue cabanée », une embarcation traditionnelle entièrement construite avec du bois massif, qu’il accompagne ses voyageurs à la rencontre des villages pittoresques. Parmi les destinations : Montsoreau et son château, classé au patrimoine mondial de l’Unesco, ou encore Candes-Saint-Martin et sa fameuse collégiale datant du Moyen Âge. Selon les envies, la balade peut durer de 2 à 4 heures ou prendre toute une journée avec, en prime, de splendides couchers de soleil sur le fleuve. Au cas où les passagers auraient un petit creux, Denis Retiveau a pensé à tout. « Ils peuvent apporter leur panier de pique-nique, faire des grillades ou un barbecue à bord » explique-t-il. En outre, grâce à un partenariat avec le restaurant Diane de Méridor, les fins gourmets ont largement de quoi satisfaire leur appétit. Au menu, des amuse-bouches et un repas gastronomique peuvent être servis. Côté vins, le maître à bord profite de ce moment de convivialité pour endosser son costume de vigneron, en suggérant à ses hôtes une dégustation des différentes cuvées issues de son domaine. Enfin, pour les amoureux, Loire Vins Aventure leur propose une nuit romantique à bord de L’Étoile qui rit. Le bateau sera amarré sur les bords d’une berge ou d’un îlot et aura une vue splendide sur les villages environnants. Des cuvées exceptionnelles Troisième génération à la tête du domaine des Champs fleuris, Denis Retiveau s’occupe d’un vignoble de 20 ha, dont la moitié se situe à Turquant et l’autre à Montsoreau. L’encépagement se compose de 90 % de cabernet franc et de 10 % de chenin. À partir de ces cépages, le domaine élabore 11 cuvées d’exception, dont 2 blancs, 1 rosé, 5 rouges et 3 crémants. « Je propose aux passagers de déguster entre 6 et 8 de mes cuvées », fait-il savoir. Parmi la sélection, les invités peuvent trouver à la dégustation : la cuvée « Audace », qui se distingue par sa légèreté, sa fraicheur et ses arômes de fruits rouges ; la cuvée « Crémant de Loire », un rosé élaboré à 100 % de cabernet franc et renfermant une très grande richesse aromatique ; ou encore « Les Roches », un vin élevé durant 18 mois en fûts de chêne neuf, idéal pour accompagner un rôti, un gibier ou un fromage. Gage de leur grande qualité, les vins du domaine des Champs fleuris ont été récemment primés lors de grands concours. À l’image de la cuvée « Vieilles Vignes », qui a obtenu la médaille de bronze et la médaille d’argent en 2016 et en 2017 au concours général agricole. La cuvée « Tufolies 2016 » a, quant à elle, décroché le premier prix du « Top 100 des meilleurs rapports qualité-prix » du Guide des vins Bettane + Desseauve 2018. ...
« Grands Sites de Midi-Pyrénées », « Pays d’art et d’Histoire », « Plus Beaux Villages de France »... Décidément, Najac rafle toutes les récompenses et on comprend aisément pourquoi. Son paysage authentique et sa nature préservée insufflent un vent de sérénité que l’on ne ressentira nulle part ailleurs. Tendrement blotti dans cet environnement d’exception, le restaurant L’Oustal del Barry accueille les visiteurs amateurs de bonne chère. Au programme : une cuisine personnelle et contemporaine signée Rémy Simon. Un chef amoureux d’un terroir authentique Dès son arrivée en Aveyron, il y a un peu moins de 20 ans, Rémy Simon exprime déjà un amour fort pour les produits régionaux. Le savoir-faire et le métier des producteurs locaux suscitent en lui une véritable passion, si bien que sa cuisine tout en finesse et en élégance met en scène les trésors du terroir. L’objectif est de les travailler simplement, sans jamais les dénaturer pour exhaler les odeurs, les saveurs et les couleurs de chaque produit. Toute cette subtilité transparait au travers du menu mettant en avant certains plats emblématiques, à l’instar de l’Astet Najacois accompagné d’un aligot de fromage de Laguiole. Outre son menu terroir, l’établissement propose une carte gourmande privilégiant les produits de la mer et de la terre et évoluant au fil des saisons. En entrée, vous allez succomber au foie gras de canard mi-cuit servi avec son chutney figues-abricot, son pain d’épices et son sorbet mangue. Place ensuite à des bonbons de langoustine en brick de basilic ou à un pavé de veau servi rosé avec des échalotes compotées au vin rouge. Au dessert, vous prendrez bien évidemment le sublime du Barry et son pailleté de chocolat noir, dont l’intitulé donne déjà un aperçu de ce qui vous attend. Entre élégance et perfection La dégustation de toutes ces succulentes suggestions s’effectue à l’extérieur ou à l’intérieur, selon votre convenance. En salle, les grandes fenêtres permettent de profiter de la magnifique vue qui donne directement sur le château ou sur le potager de l’établissement. L’ambiance y est raffinée : salle lumineuse, profonds fauteuils tapissés, rideaux fleuris, pavage à l’ancienne et cheminée d’époque. Tout est fait pour garantir le confort. Une équipe jeune, dynamique et agréable est aux petits soins de ses clients. Mais si l’idée de pénétrer un autre univers vous intéresse, l’établissement organise de temps à autre des stages de cuisine. Le chef et sa brigade vous initient à l’art de la bonne cuisine dans une ambiance conviviale, où, progressivement, vous découvrirez les rouages de ce métier d’exception. Trésors historiques Aventuriers dans l’âme ? Najac regorge de trésors qui méritent amplement le déplacement. Classée monument historique, la forteresse royale datant du XIIe siècle fait partie des incontournables. En déambulant dans la rue médiévale, vous vous laisserez surprendre par la beauté d’un paysage jonché d’innombrables sites historiques : l’église Saint-Jean-l’Évangéliste, la fontaine des Consuls, la chapelle Saint-Barthélemy aujourd’hui devenue une habitation… ...
« Privilégier l’agriculture locale et travailler en direct avec les producteurs », tel est le credo de Mon-panier-de-campagne.fr, projet à l’initiative de Nathalie Bottan, qui, souhaitant privilégier la nourriture locale dans son alimentation, a décidé de collaborer avec de petits producteurs de la région toulousaine et permettre ainsi aux locavores comme elle de bénéficier, au quotidien, de produits frais et de saison. Aujourd’hui reprise par Julie Lechat, cette épicerie en ligne de produits locaux, créée en 2010, a su faire de plus en plus d’adeptes au fil des années. Ne se cantonnant pas uniquement à offrir des produits de qualité à ses clients, le site marchand propose un vrai service de proximité. Un panier de courses personnalisable Sur le site Mon-panier-de-campagne.fr, les particuliers font leur choix sur une sélection de produits alimentaires issus de la ferme en composant eux-mêmes leurs paniers. Les laitages, viandes, poissons, fruits et légumes mis à disposition sont fournis directement par de petites exploitations triées sur le volet. Outre la qualité gustative de leurs produits, ces dernières ont été sélectionnées pour leur mode de production artisanale, fermière ou bio, ainsi que leur proximité, c’est-à-dire à Toulouse et ses environs. À travers cette démarche écoresponsable, Mon-panier-de-campagne.fr contribue à valoriser l’économie locale. Des idées de recettes Faciliter la vie grâce à des paniers contenant préalablement tous les aliments nécessaires à un menu hebdomadaire et proposer diverses recettes, c’est la bonne idée qu’a eue ce marché de producteurs en ligne pour une meilleure consommation des aliments qu’il propose. Julie Lechat réfléchit elle-même à des menus journaliers en se basant sur la sélection de produits à suggérer aux consommateurs. De l’entrée au dessert, tout est pensé pour aider ceux-ci à mieux consommer les bons produits de la ferme et pour maximum 5 euros par repas complet et par personne. Mais privilégiant toujours les goûts du consommateur, Mon-panier-de-campagne.fr leur offre la possibilité de supprimer ou d’ajouter des articles sur ces paniers-là. Une logistique bien pensée En optant pour le circuit court comme mode de distribution, Mon-panier-de-campagne.fr use d’une livraison assurant la bonne conservation des produits commandés. « Les clients passent commande le week-end et jusqu’au lundi 14 h pour une livraison en fin de semaine », nous fait savoir Julie Lechat. « Les commandes sont préparées le lendemain et livrées à domicile le jeudi ou le vendredi suivants », continue-t-elle en nous expliquant le fonctionnement de son service. Par ailleurs, le site assure le respect de la chaîne du froid en maintenant les commandes acheminées dans un camion frigorifique. Et pour l’emballage de ses paniers écoresponsables, Mon-panier-de-campagne.fr opte pour des sacs en cabas réutilisables limitant l’impact environnemental. ...
Marie-Line et Michel Roche, les propriétaires commencent à faire des travaux à partir de 1988 pour construire un petit restaurant, puis une partie hôtellerie en 2002. Pour optimiser l’ambiance et le charme du lieu, ils aménagent l’extérieur d’un jardin personnalisé et mettent aussi sur pied une jolie terrasse ombragée. Les clients de l’Auberge y viennent pour « passer un bon moment et se reposer en même temps. », d'après Michel Roche. Aujourd'hui, l'établissement compte 60 places assises, 11 chambres et 4 suites. Une ambiance douce L’Auberge Bienvenue porte bien son nom. Son magnifique jardin fleuri et verdoyant reflète d’ores et déjà son accueil chaleureux. Ses murs extérieurs de couleur naturelle et les auvents roses présagent une ambiance conviviale, où il fait bon vivre. L’intérieur n’en est pas moins coquet et chic. Des belles arcades surplombent la salle, le bois modernisé apporte élégance et raffinement. Les chambres, quant à elles, sont décorées avec goût, bien spacieuses et confortables. Une cuisine originale Au piano : Michel Roche se plaît à revisiter les recettes traditionnelles pour en faire ressortir des plats savoureux. Il ne cuisine que des produits frais, en grande partie issus du terroir. Ses sauces, dont il est le seul à connaître le secret, relèvent le goût de ses assiettes, ce qui lui vaut d’ailleurs d’être primé par plusieurs guides culinaires, tels que Logis, le Guide Michelin, le Bottin Gourmand et le Gault et Millau. Les menus sont tous attirants, l’entrée la plus prisée est la demi-mangue rôtie et son escalope de foie gras poêlée. En résistance, le filet de sandre rôti au four avec sa sauce rehaussée de vin savennières crée une explosion de saveurs qui séduit tous les palais. Pour finir en beauté, le parfait glacé au Cointreau et ses zestes d’orange confits est un incontournable « que l’on a régulièrement à la carte, ce dessert est très sollicité», souligne le maître des lieux. Une carte de vins élaborée au rythme des saisons vient valoriser chaque plat. En été, les vins du Val de Loire sont mis à l’honneur, tandis qu’en hiver, les Bordeaux et Bourgognes prennent le relais. « Il y a de quoi satisfaire les clients, autochtones comme plaisanciers », conclut notre interlocuteur. ...
La bière Singha, titrant à 5°, d'alcool, a été créée en 1933. Cette lager est une bière de type pils à fermentation basse, conçue par la brasserie Pathumthani. Fruit d’un procédé de fabrication ancestral, Singha accompagne nombre de touristes et de vacanciers tout au long de leurs voyages et séjours en Thaïlande. Véritable invitation au voyage, son nom, emblème de la bière, évoque l'un des lions légendaires habitant la forêt d'Himanapant. Il est représenté sur la plupart des fresques des temples bouddhistes de Thaïlande. On trouve ce lion dans toutes les cultures asiatiques. Singha, Thaïlande : une bière d'exception marquée du sceau royal Fabriquée à partir d’ingrédients de toute première qualité, et brassée exclusivement à partir de malt d’orge, Singha est une bière au goût particulièrement riche et rehaussé de saveurs de houblon. Cette bière est idéale pour accompagner les spécialités culinaires asiatiques, mais également pour une consommation rafraîchissante et festive. La bière Singha dispose du sceau royal marqué sur son col. L’emblème officiel de la famille royale est une distinction très rare en Thaïlande, attribuée à des institutions ou des sociétés au service de la cour royale depuis un certain nombre d’années (en l’occurrence, depuis 1939). Elle souligne l’excellence du produit et la qualité de ses services dans le royaume, et en fait un ambassadeur du pays. C’est la plus haute distinction donnée à une société et un vrai motif de fierté pour la marque. La bière Singha classique est distribuée en France par la société International Beers & Beverages, importateur officiel. Un nouveau format fût de 30 litres fait son apparition en 2017. ...
« Une expérience aromatique mémorable avec des notes miellées, épicées, douces et boisées », c’est en ces mots que Caroline Borga, chef de produit de la Distillerie des Alpes, décrit la dégustation du Vermouth Routin Original Rouge. Produit emblématique de la distillerie, avec sa recette créée en 1883, ce Vermouth est le fruit d’un habile assemblage entre 24 plantes, fleurs et épices et doit son goût si particulier à un vieillissement en fûts de chêne. Fort d’un grand succès qui lui a valu de nombreuses récompenses depuis le début du 20ème siècle, notamment la médaille d’or lors de l’Exposition universelle de Londres en 1902, le Vermouth se décline également en blanc. « Relancé en 2016, il est également issu d’une ancienne recette retrouvée », nous précise Caroline. Le Vermouth Routin Blanc résulte d’un assemblage entre fleurs, plantes et épices macérées dans du vin 100% français et s’apprécie pour son bouquet raffiné qui se caractérise par des notes aromatiques type thym, vanille ainsi que de légères notes épicées. La gamme comprend également le Vermouth Routin Dry issu de la macération de 17 plantes, fleurs et épices. Moins sucré, il possède des notes fraîches, florales, épicées et légèrement herbacées. Il s’utilise dans les cocktails ou pour déglacer viandes et poissons, en cuisine. D’autres produits originaux des Alpes… Parmi les fleurons de la gamme, le Génépi l’Ancienne s’illustre par son long processus de distillation et de macération offrant une explosion de saveurs en bouche. La recette créée par Philibert Routin en 1893, démontre véritablement un savoir-faire centenaire. Dernier et non des moindres : le Pastis complète cette gamme inspirée des recettes originales des Alpes. Fait à base d’anis, de cannelle et de réglisse, il s’impose comme l’apéritif emblématique des vacances et plaît pour son côté aromatique, ses notes subtiles de génépi et sa touche boisée de vulnéraire. ...
Située à l’angle de la rue Balzac et de la rue Mazerolles, La Gerbe d’Or est un endroit emblématique de Loches depuis maintenant près d’un siècle. Repris par Hélène et Didier Harbonnier en août 2014, le restaurant est aujourd’hui un lieu de rendez-vous incontournable des Lochois et des touristes en quête d’un moment agréable autour d’une bonne table. Une ambiance conviviale et chaleureuse En trois espaces, La Gerbe d’Or conjugue à la perfection le raffinement et la simplicité. Avec une prédominance du bois, la décoration est à la fois épurée et élégante. Dès la porte franchie, la première salle aux couleurs sobres séduit par la sensation de douceur qu’elle dégage. De l’autre côté, la grande salle charme avec son imposante cheminée qui apporte du romantisme au lieu. À l’étage, un salon offre un moment beaucoup plus intimiste et cosy pour 20 couverts. Dans chaque espace, de magnifiques tableaux signés par des artistes de la région viennent orner les murs en parfaite harmonie avec l’endroit. Durant les beaux jours, les convives peuvent aussi se restaurer, à l’ombre des glycines, sur la terrasse joliment agencée. Une cuisine traditionnelle La Gerbe d’Or propose une cuisine traditionnelle et raffinée. Avec une touche de modernité et un brin d’exotisme, le chef Gérard Guignard réalise un mélange dosé de saveurs et de textures, sans pour autant dénaturer le produit principal. À base de produits frais issus du terroir, tous les plats sont labellisés « faits maison ». Au gré des saisons, la carte se décline en plusieurs plats, dont les plus prisés sont la succulente tartine tiède d’oignons confits au chinon et jambon de pays, le fameux haddock poché au lait aux pommes anglaises accompagné par un crémeux d’échalotes au muscadet ou encore le délicieux suprême de volaille de Racan farci au foie gras et son ragout de légumes de saison. Pour plus de surprises, les convives peuvent aussi opter pour le menu du jour. Affiché à l’ardoise, il est renouvelé au quotidien selon la disponibilité des produits sur le marché et propose une entrée, un plat et un dessert. En semaine, ce menu est à 13,90 € et le weekend à 15,90 €. Un verre de vin est offert tous les midis pour accompagner le repas, sauf le dimanche. Par ailleurs, le restaurant propose aussi deux autres menus renouvelés au fil des saisons : le menu Gourmand et le menu Mélodie qui proposent trois entrées, trois plats et trois desserts au choix. Ces menus mettent à l’honneur des composantes locales pour un grand moment de plaisir gustatif. Le petit plus Pour accompagner dignement cette expérience culinaire, quoi de mieux qu’un bon vin ! En la matière, La Gerbe d’Or possède une riche collection dans sa cave, qui met à l’honneur le terroir viticole du Val-de-Loire et tout particulièrement des vins issus de la biodynamie. L’occasion pour les convives de déguster d’excellents vins en accord avec les plats proposés. Cependant, même si les vins originaires du Val-de-Loire occupent presque 90 % de la cave, quelques régions viennent compléter la sélection, avec, notamment, les Bordeaux, les Côtes- du-Rhône, les Bourgognes et d’autres bonnes surprises. Le tout est servi par un personnel de professionnel aussi sympathique que réactif. ...
Discrètement blotti dans un parc arboré et bordé d’oliviers, ce restaurant fait la part belle à l’élégance, aussi bien dans l’assiette qu’au niveau du décor. Pour atteindre la salle, il faut déjà traverser cet espace verdoyant qui apporte tout son charme à l’établissement. Quand le temps n’est pas capricieux, vous pouvez vous installer sur la terrasse ombragée, qui focalise irrémédiablement l’attention avec ses couleurs vives et gaies et d’où vous pouvez admirer le paysage. N’hésitez pas à investir la salle si vous cherchez plus d’intimité. L’intérieur plait pour son décor raffiné, sans tomber dans le pompeux. Patricia et Sébastien Lucet, propriétaires des lieux, ont voulu recréer une ambiance chic, conviviale et apaisante, sur fond de modernité. Les couleurs claires qui habillent la salle apportent un vent de sérénité. Jeunesse et dynamisme L’histoire de l’Auberge des enclos est étroitement liée à celle des débuts de Sébastien Lucet. Durant ses études, il travaille déjà pour l’établissement durant les weekends, afin de perfectionner ses acquis dans le milieu de la gastronomie. Son diplôme en poche, il décide de changer d’horizon et met le cap sur la Grande-Bretagne, où il exerce au sein d’un restaurant traditionnel anglais. Il va ensuite rejoindre le groupe Bocuse pendant un an, à Orlando, en Floride. Pour ce globe-trotter, le moment est venu de rentrer au bercail. Avec son épouse, il rachète en 2013 ce restaurant dans lequel il a fait ses débuts il y a plusieurs années. Un rêve d’enfant se réalise. Le chef est désormais libre de proposer sa propre cuisine, qu’il veut raffinée, actuelle et savoureuse. Il vivra cette passion aux côtés de Patricia Lucet. Diplômée de l’institut culinaire de Mexico, elle se rend plus tard en Floride pour travailler au sein d’un groupe américain. C’est là-bas que les deux amoureux se rencontrent. Pour faire tourner leur nouvelle affaire, ils s’entourent d’une équipe de jeunes professionnels dynamiques, qui les suivent depuis maintenant deux ans et demi. Le chef déclare avec fierté que « c'est grâce à eux qu'on a fait tout ce chemin ». Un mix entre tradition et modernité Les gastronomes avertis seront heureux de savoir que la carte raffinée de l’établissement ne se réduit pas uniquement aux spécialités régionales. La maison propose une cuisine moderne mais n’en n’oublie pas moins les produits du terroir acquis auprès de certains producteurs locaux. Trois types de menus sont proposés : menu escapade à 28 €, menu détente à 39 € et menu gastronomique à 55 €. Ce dernier vous entraine vers un pur moment de plaisir. En entrée, vous vous laisserez tenter par l’escalope de foie gras poêlée aux pommes. En plat principal, le tournedos de bœuf « sélection plus » grosse frite de polenta et petits légumes n’attend plus qu’à être dégusté. Pour achever ce mélodieux repas, choisissez le banofee pie, qui est une mousse légère de lait, servie sur son émincé de banane et spéculoos. Un environnement riche et préservé L’Auberge des enclos a la chance de bénéficier d’une excellente localisation. Nichée en plein cœur d’un décor de vignoble et de garrigue, elle se trouve au sud de la zone frontalière, entre l’Ardèche et le Gard. La petite commune constituée de nombreux hameaux est connue pour son passé lié à l’extraction du charbon, la culture de la châtaigne et celle des vers à soie. La région possède de nombreuses richesses naturelles qui méritent le détour, à l’instar de la célèbre grotte de la Cocalière, qui fait partie des trois plus belles grottes de France et qui se trouve à moins d’un kilomètre de la commune de Saint-Paul-le-Jeune. ...
La canne à sucre. On peut dire qu’Elie Gomba est tombé dedans dès sa plus tendre enfance. Ce passionné a grandi dans une famille elle-même spécialisée dans la production de canne à sucre. Son grand-père qui possède une importante exploitation familiale aux Antilles lui a transmis cette envie d’anoblir ce précieux produit. C’est avec volonté et détermination qu’il décide alors de créer un concept à vocation de démocratiser le jus de canne à sucre et le faire connaître aux quatre coins du globe. Le concept CannElie offre l’opportunité aux consommateurs de déguster du pur jus de canne fraîchement pressé. Avec l’aide d’un fabricant spécialisé dans la conception d’extracteur de jeu, Elie Gomba créée la première machine homologuée CE qui permet de broyer la canne à sucre surgelée fournie par l’entreprise puis d’obtenir le fameux breuvage. Très simple d’utilisation, elle offre également une importante capacité de production allant jusqu’à 300 verres par jour. Son installation est aisée puisqu’il suffit d’une prise pour la faire fonctionner. Comme la machine est à la fois discrète, compacte et surtout très stylée, elle se fond naturellement dans tous les décors. Les bars, les restaurants, les cafés, les night-clubs, les traiteurs et même les professionnels de l’évènementiel souhaitant proposer un bar à jus de canne pourront facilement l’intégrer dans leur environnement. Au niveau des matières premières utilisées, la sélection se veut très rigoureuse. « Il existe plus de 4000 variétés de cannes à sucre dans le monde et la plupart ne sont pas faites pour être dégustées. Nous choisissons plusieurs variétés avec différents taux de sucre en fonction des besoins de chacun », explique l’entrepreneur. Une panacée aux mille et un bienfaits Encore peu connu en Europe, le jus de canne révèle pourtant une myriade de vertus. Il est très riche en vitamine B1, B5, B3 et en vitamine C et contient de l’oméga 3 ainsi que de l’oméga 6. Ce nectar a entre autres le pouvoir de booster le système immunitaire, d’augmenter la capacité de concentration, d’optimiser la digestion, de renforcer les ongles, de ralentir le vieillissement cutané ou lutter contre la chute de cheveux. Il est même préconisé chez les diabétiques à taux glycémique bas. « Il s’agit d’un sucre naturel qui est facilement assimilé par le corps, c’est pourquoi il peut être consommé par tout le monde, des jeunes au moins jeunes », plaide notre interlocuteur. Les sportifs notamment pourront se fier aux apports énergétiques du jus de canne lors des phases de récupération après l’effort. Le jus de canne pour émoustiller les palais Par ses multiples qualités nutritionnelles et ses saveurs tropicales insoupçonnées, CannElie a déjà réussi à séduire de nombreux hôtels, bars et restaurants en France, en Belgique, au Luxembourg ou encore en Suisse. Seul accompagné de quelques glaçons ou associé avec des jus de fruits exotiques et des alcools, le jus de canne se révèle dans sa plus belle expression et fait le bonheur des mixologistes de tout horizon. CannElie a aussi imaginé d’innombrables recettes de cocktails, de mocktails ou de smoothies qui invitent à découvrir ce breuvage sous un nouveau jour. De la Canarita, au Can’Soft, en passant par le Can’Ginger, le Canamango ou le Canabrico, il y en a pour tous les goûts et toutes les envies. ...
À travers les saveurs d’une cuisine traditionnelle française, préparée à base de produits frais et de saison sélectionnés avec rigueur par le chef, la Brasserie Haussman nous surprend avec d’authentiques recettes à redécouvrir, chaque fois, par un plaisir renouvelé. Un cadre empreint d’élégance À travers une décoration à la fois ancienne et contemporaine inspirée du style Art déco des années 20, cette brasserie chic du quartier de l’Opéra se démarque par son plafond aux vitraux, son sol en parquet, ainsi que ses boiseries d’acajou et ses longues banquettes de velours rouge qui lui confèrent un caractère particulier. Dans une ambiance chaleureuse au service impeccable et soigné, les lieux se prêtent merveilleusement bien aux repas d'affaires ainsi qu'aux retrouvailles en famille, aux rencontres entre amis ou en amoureux. Comme toute adresse qui vaut réellement le détour, la Brasserie Haussmann est tout indiquée pour apprécier de réels moments de détente et de convivialité, où tout le monde trouve son compte, surtout les gourmands et gourmets. Profitez des plats soigneusement préparés et constamment améliorés par le chef, qui, à force de créativité et de savoir-faire, apporte le goût et le raffinement dans vos assiettes. L’enseigne n’a rien à envier à ses pairs, et c’est là toute la différence ! Elle vous accueille dans un cadre typiquement français, où se marient avec harmonie terrasse ouverte sur le boulevard Haussmann et décor atypique illuminé par un dôme en verre. Le raffinement dans les assiettes Grâce à une cuisine ouverte sur la salle, vous ne sentirez pas le temps passer en dégustant les nombreuses suggestions gourmandes du chef : Tagliatelles fraîches aux trois fromages, magret de canard landais et son potimarron rôti accompagné d’oignon confit et duo de raisin, Brochette de Saint-Jacques à la citronnelle, Lotte et son cele’risotto, Crumble de rhubarbe et sa glace au speculoos sont autant de découvertes culinaires à explorer. Chaque met est rehaussé par une belle sélection de vins. La carte fait le tour des plus grandes régions viticoles du pays allant de Bordeaux, à la Bourgogne, en passant par le Beaujolais, la Vallée de la Loire et la Provence. ...
Le domaine du Champagne Pierre Moncuit sublime sa terre depuis plus d’un siècle. Ses vignes courent sur 20 hectares, dont 15 en grand cru, où des pieds de Chardonnay d’une moyenne d’âge de 50 ans, s’épanouissent et s’expriment sous le regard bienveillant de leurs propriétaires. Vigneronnes de mère en fille Nicole Moncuit, fille de Pierre Moncuit, reprend le domaine dans les années 80 en tant que vinificatrice. Avec son frère, Yves, pour la partie commercialisation, elle dessine dès lors la renommée du domaine et de ses cuvées, devenues incontournables pour les amateurs de Champagne. Cet amour de la terre et du métier, elle le communique à sa fille, Valérie, aujourd’hui à la tête du vignoble. Toutes deux travaillent à la production, complices et habitée par les mêmes valeurs. Ici, la viticulture est certifiée Haute Valeur Environnementale. Le sol est chéri et confie toute son élégance aux champagnes du domaine. La production ne se fait jamais au détriment du temps ou de la nature. La sagesse et la précision révèlent des cuvées aux fruits sublimés, aux aromes complexes et à la longueur en bouche admirable. Si Valérie Charpentier parle avec ferveur des différentes cuvées, elle cite avec une tendresse toute particulière la cuvée du nom de sa maman, Nicole Moncuit. Réalisée à partir des plus vieux pieds du vignoble (90 ans d’âge), elle en révèle tout le caractère et la sagesse. Il n’y a plus qu’à sortir les coupes pour savourer la perfection d’un champagne délicat, aux bulles joyeuses et raffinées. ...
Il faut d’abord traverser les pelouses à l’anglaise du parc de l’hôtel pour découvrir le restaurant, face à la mer. Le Castel Marie-Louise est le terrain de jeu du chef Eric Mignard depuis 30 ans. Le chef fait jongler dans l’assiette à sa façon les saveurs de la région. La cuisine gastronomique et créative laisse un souvenir impérissable. Une cuisine pleine d’imagination Dans l’assiette, s'opère une rencontre ingénieuse des produits de la terre et de la mer, issue de l’esprit inventif du chef. « Ma cuisine est une cuisine qui célèbre les saisons et qui magnifie leurs produits. Mes ingrédients sont ceux de la mer et du terroir » explique Eric Mignard. Les spécialités fleurent bon le pays de la Baule : cochon noir, andouille de Guéméné, langoustine, huitre et sel de Guérande. Raffinement ultime, le chef ajoute sa propre touche originale aux recettes traditionnelles. Notamment les huitres servies avec un granité d’anis, ou la tomate de Madame Huitric et son sorbet framboise-betterave. Eric Mignard partage volontiers une de ses recettes créatives dont il a le secret : le foie-gras cuit cru au sel gris de Guérande. Après avoir laissé tremper le lobe deux heures dans du lait et de la glace, il le fait mariner deux à trois jours dans un mélange à lui : sel, sucre et poivre de Pondichéry. « Au nez, des parfums de fruits mûrs, de pain d’épice. à la dégustation, une première approche légèrement sucrée, un gout puissant sans trop, avec des notes de fruits confits ». Ensuite, le foie gras est coupé en tranches très fines, puis garni d’une salade croquante d’automne avec des lamelles fines de betterave, de radis daikon et de potiron. Une vinaigrette balsamique relève le tout. Un mets à savourer avec une belle tranche de pain au levain grillé. Le réveil des papilles Les arômes dansent, se mêlent entre eux et créent des saveurs inconnues. Et vous apprenez bien vite à les apprécier. Dès entrée de jeu, le chef vous soumet un de ces amuse-bouches dont il a le secret, histoire d’apprêter le palais. Puis s’enchaînent, au choix, une succession de mets des plus raffinés : foie gras de canard pressé à la langoustine, filet de Saint-Pierre et son jus d’araignée au Yusu, ou lotte rôtie au sarrasin grillé, avec sa framboise écrasée à l’huile d’amande douce. Sans omettre la spécialité du chef : le pigeon de Mesquer. Pour clore la kyrielle, optez pour une douceur sucrée : un soufflé chaud à la fraise du pays. Mais la véritable vedette de l’assiette du Castel-Louise s’avère être le homard. Eric Mignard lui dédie un menu spécial : le homard est d’abord poché en tartare, puis rôti et accompagné d’une mousseline de carottes des sables à la cannelle et à la badiane, et enfin servi au vin jaune, avec un pied de cochon et encormet. Les amateurs apprécient ces multiples déclinaisons savoureuses. Détente et relaxation à l’anglaise Après le diner, l’idéal est de prolonger ces moments d’agrément au bar de l’hôtel. Un endroit à l’esprit « so british ». Non sans raison, en effet les lieux ont servi de décor lors du tournage de « Hercule Poirot », série policière adaptée des romans d’Agatha Christie. Laissez-vous envouter par l’âme britannique : le barman vous sert un des whiskies ou cognacs soigneusement sélectionnés de l’éblouissante carte. Chaque semaine le Castel Marie-Louise vous donne rendez-vous. Le samedi après-midi, au cours d’un atelier cocktail, le barman dévoile les techniques et les secrets pour réussir de savoureux cocktails. Le dernier vendredi du mois, le sommelier initie les amateurs aux subtilités des arômes des vins, au cours d’un atelier d’œnologie. Pour parfaire les accords, les ateliers sont accompagnés de découvertes gustatives du chef Eric Mignard. ...
Présente en France depuis déjà deux siècles, la maison familiale Cuperly est en perpétuel progrès en basant sa production sur la vitiviniculture traditionnelle et raisonnée avec une parfaite maîtrise des techniques de vinification modernes. Situé dans la montagne de Reims, son vignoble s’étend principalement au sein de trois grandes communes plébiscitées pour la qualité de leur sol et de leur climat à produire des vins d’exception, Verzy, Verzenay et Mailly-Champagne. La trentaine de parcelles est destinée à la culture du pinot noir et du chardonnay, les seuls cépages qui entrent dans l’élaboration des champagnes grand cru Cuperly. En tant qu’entreprise familiale, « une partie de nos raisins provient des achats familiaux », nous informe Anne-Sophie Cuperly, gérante. Une gamme éclectique de cuvées S’inscrivant dans une démarche de production durable et de qualité, la maison Cuperly exclut la fermentation malolactique (FML) dans son processus de fabrication afin de garder la fraîcheur de ses produits. En effet, « une partie de nos vins est élevée en fûts de chêne de 300 litres et nous faisons nos liqueurs nous-mêmes à partir des raisins de la production grand cru, pour sublimer nos champagnes et respecter le dosage traditionnel », ajoute notre interlocutrice en toute franchise. Quel que soit l’événement à célébrer, la large palette de cuvées grand cru et carte verte (grande réserve) de la marque raviront tous les palais à l’instar des champagnes grande réserve rosé, blanc de blancs et prestige Millésime 2009. À l’occasion de la Saint-Valentin par exemple, Cuperly propose les collections fleur grande réserve (bouteille rouge) et prestige (bouteille bleue) pour le bonheur des couples. La grande réserve joyeuses fêtes, quant à elle, se déguste volontiers lors des grandes fêtes : Noël, fin d’année, etc. Parmi ces produits, les cuvées prestige ( environ 30 % de chardonnay et 70 % de pinot noir) et le blanc de noirs (100 % pinot noir) constituent respectivement les champagnes emblématiques et typiques de la maison. Une expérience inédite au cœur de la Champagne Tout au long de l’année, des visites guidées au sein de sa propriété pour découvrir tous les processus de fabrication du champagne Cuperly, depuis le chai à la cave à millésimes sont organisées. Quant à la dégustation, la maison dispose d’un espace d’accueil éblouissant et convivial où l’initiale de la marque est mise en avant sur un mur en bouteille de verre éclairé. Par ailleurs, en partenariat avec les offices de tourisme de Châlons-en-Champagne, d’Épernay et de Reims, Champagne Cuperly développe actuellement une offre œnotouristique particulière afin de permettre aux visiteurs de profiter pleinement de leur séjour dans la région du Grand-Est. ...
Le Cassissium est un site singulier et inspiré. Créé en 2001 à Nuits-Saint-Georges, à proximité des côtes viticoles, il ne tarit pas d’idées pour mettre en lumière un fruit aux nombreuses vertus parfois méconnues. Visite du musée, découverte de la liquoristerie, conception de cocktails et dégustation permettent une immersion totale dans le monde du cassis. Un parcours interactif étonnant, durant lequel les visiteurs deviennent acteurs, y compris les enfants. Un musée gastronomique ludique Implanté sur le domaine de la liquoristerie Védrenne, dont le savoir-faire opère depuis 1923, le Cassissium est composé d’une exposition permanente, d’une salle de projections, d’un espace de dégustation et d’une boutique. Ce sont ainsi 1 000 m2 qui sont dédiés à la petite baie noire. Histoire, utilisation, savoir-faire sont tour à tour présentés au public, invité à déguster les produits maison à la fin de la visite. La muséographie fait alterner histoires ludiques et jeux. Des tiroirs à ouvrir, des quizz, des écrans tactiles, des animations mécaniques permettent aux grands comme aux petits de manipuler de nombreux objets. Un film est projeté dans une salle insolite habillée de pierres, à l’image des vignes en Côte-d’Or. La star de l’histoire, Supercassis, y raconte son ascension. Trois thèmes ponctuent le parcours. Le premier consiste à découvrir le fruit via ses aspects historiques et agricoles. Le deuxième présente ses bienfaits médicaux et cosmétiques. Le troisième consiste à découvrir l’exploitation de la plante, en sollicitant les sens des visiteurs. Le tout est accessible en plusieurs langues. De la liquoristerie Védrenne à la dégustation La maison Védrenne, créée par Joseph Védrenne il y a près de 96 ans, a acquis sa notoriété grâce à son savoir-faire. Reconnue comme le plus grand chai d’eau-de-vie de Bourgogne, la liquoristerie détient tous les secrets de fabrication de la crème de cassis. Cette étape du parcours est un moment privilégié, à la rencontre d’un artisanat amoureux des arômes. La passion du fruit et l’ambiance particulière qui y règne révèlent une contribution inhérente à la renommée de la gastronomie bourguignonne. Et toutes ces senteurs donnent soif ! La visite se poursuit au bar du Cassissium. Le public est invité à déguster les crèmes, les subtils mélanges à base de cassis et de liqueurs, les liqueurs elles-mêmes ou encore les sirops pour les plus petits. Des jeux de couleurs et de matières transforment les produits disposés sur le comptoir en véritable palette artistique. Des ateliers cocktails imaginatifs Le Cassissium aime son fruit et déborde d’idées pour partager sa passion avec les visiteurs. Tous les 10 du mois, un atelier est organisé, destiné à désacraliser le cocktail, avec ou sans alcool. Le but : apprendre aux curieux à marier les saveurs, à revisiter les classiques et à composer au feeling de jolies et savoureuses boissons. Cassis et citron vert, gin et concombre, thé citron et sirop de rose, ces étonnantes associations sont infinies et se fardent de noms délicieux : Cocktail Soleil levant, Rose Mary, Crème brûlée Védrenne, etc. Les ateliers sont adaptés en fonction des saisons. L’été invite à réaliser des cocktails frais, tandis que l’hiver appelle à apprécier des cocktails plus chaleureux. Ces moments créatifs sont aussi ouverts aux enfants, initiés à la conception de cocktails dont les sirops jouent avec les couleurs de l’arc-en-ciel. Pour terminer la visite, 50 crèmes, liqueurs de fruits et sirops emplissent la boutique du Cassissium pour le bonheur des barmen et des amateurs de cocktails, d’ici ou d’ailleurs. Mojito, Blue lagoon ou encore Cosmopolitain n’ont, à ce stade, plus de secrets pour les visiteurs. Des visites à la carte Le site est ouvert à tous les publics. Mais il peut aussi être privatisé le temps d’un séminaire ou d’un évènement. Des déjeuners, des cocktails dinatoires et des visites privées sont organisés à la carte pour le to...
Issue d’une lignée de viticulteurs de père en fils, le Domaine Jaume s’attache à accorder un soin particulier à sa terre et à ses vignes voilà maintenant plus d’un siècle. Animée par la même passion, elle s’efforce aujourd’hui de valoriser la typicité de son terroir dans le respect de l’environnement et de la tradition. Un vignoble, deux terroirs Vinsobres est le premier cru des côtes-du-rhône de la Drôme provençale. C’est là que le Domaine Jaume a choisi de cultiver ses vignes sur une superficie totale de 92 ha. Le vignoble repose sur deux terroirs : le coteau et les collines. Tandis que le premier est constitué d’un sol argilo-calcaire présentant des strates de calcaire assez profondes, le second est plutôt sablonneux avec une présence en quantité égale de limons et d’argiles. Sur ces différents sols poussent une belle palette de cépages composée de grenache, de syrah et de mourvèdre, utilisés pour l’élaboration des vins rouges, ainsi que des roussanne, marsanne, clairette, grenache blanc et viognier pour les vins blancs. Vinéa Natura, la charte écologique propre au Domaine Jaume Soucieuse de préserver l’équilibre naturel du sol, la famille Jaume privilégie depuis 20 ans une viticulture responsable et met en place des pratiques culturales respectueuses de l’environnement. De génération en génération, le domaine a su préserver et perfectionner une méthode de travail qui lui est propre. Celle-ci est désormais inscrite dans une charte environnementale appelée Vinéa Natura. « À travers notre charte, nous souhaitons montrer aux gens notre façon de travailler et leur expliquer qu’il y a d’autres solutions alternatives qui fonctionnent très bien en dehors du bio », souligne Anthony Jaume, responsable commercial. Labour traditionnel, apport d’engrais organiques, désherbage naturel, enherbement avec des céréales et des légumineuses, confusion sexuelle pour protéger les vignes contre les insectes… Ici, tout est fait pour que la culture soit en harmonie avec la Nature. « Ce qui nous importe le plus, c’est que nos vins soient exempts de tous résidus», rapporte notre interlocuteur. Côté vinification, celle-ci se fait dans le plus pur respect de la tradition. « Nous faisons presque tout à la main », spécifie Anthony Jaume. Ainsi, le pigeage et le remontage sont réalisés manuellement. La maison accorde une importance particulière à la phase d’élevage et procède chaque année à de nombreuses expériences afin de déterminer le contenant le mieux adapté pour ses vins. Des vins exceptionnels Le domaine élabore des cuvées d’exception qui sauront, à coup sûr, ravir le palais des consommateurs, qu’ils soient amateurs ou avertis. Parmi les spécialités de la maison, la cuvée « Altitude 420 » est, à juste titre, la plus représentative. Elle est obtenue à partir de l’assemblage de 60 % de grenache et 40 % de syrah. Au nez, ce vin dévoile des notes de fruits rouges et une belle ampleur sur les fruits frais comme la groseille et le cassis. Afin de préserver les arômes et les tanins fondus, cette cuvée a été partiellement élevée en foudre. Au niveau des accords, elle est la complice idéale pour accompagner des viandes rouges grillées. ...
La crêpe bretonne ne cesse de faire des émules dans l’Hexagone. Faite à base de froment ou de sarrasin, appelé aussi « blé noir », elle doit son succès à son côté gourmand et convivial. Aujourd’hui, les crêperies ne manquent pas d’imagination pour varier les accompagnements de leurs crêpes, qu’elles soient salées ou sucrées. À Chalon-sur-Saône, la crêperie la plus appétissante est certainement Au Bonheur Breton. Crêpes et galettes bretonnes La différence entre crêpe et galette suscite parfois des ambiguïtés chez la plupart des gourmands mais cela n’enlève en rien leurs saveurs exquises. Si certains évoquent une simple différence de sources étymologiques, d’autres parlent d’une différence d’ingrédients. Au Bonheur Breton, on adhère à cette deuxième hypothèse. La crêpe contient de la farine de froment, des œufs, du lait et du sucre. Il est d’usage de la manger en dessert, mais elle est parfois accompagnée de garnitures salées. La galette est en revanche faite de farine de sarrasin (sans gluten), d’eau et de sel. Elle accompagne généralement des plats salés, mais peut quelquefois se déguster sucrée. Comme il est de coutume dans les crêperies traditionnelles, la galette complète doit figurer tous les jours à la carte du Bonheur Breton. À la demande des clients, la galette chèvre frais avec sa fondue de poireaux et un concassé de noix ainsi que sa confiture de figue ou sa gelée de cidre y figure aussi régulièrement. Le chef se réserve donc la galette du moment pour mettre à l’épreuve sa créativité. Il le fait à la noix de Saint-Jacques, au pastis et au poivre de cassis. Toutes les galettes sont accompagnées de salades et il est possible d’obtenir des suppléments d’ingrédients. Pour se désaltérer, la maison suggère des apéritifs et vins, mais c’est le cidre fermier du domaine La Charloise qui fera l’unanimité autour des tables. Il est disponible en bouteille ou en bolée comme le veut la tradition bretonne. Un état d’esprit, une éthique La crêperie Au Bonheur Breton s’est donné pour mission de servir des produits bio. Une initiative qui favorise une agriculture saine et une façon de manger tout ce qu’il y a de vrai à Chalon-sur-Saône. La maison privilégie le circuit court en travaillant avec des artisans locaux. Ces derniers l’approvisionnent alors en cidre, farine, œufs, charcuterie, confiture et autres produits. Les relations du chef Jean-Jacques Rocheteau avec ses fournisseurs se sont construites au fil des rencontres ou par l’intermédiaire de connaissances ou même des clients. Un restaurant ouvert aux artistes Au moment de l’acquisition de la crêperie par Jean-Jacques Rocheteau, la décoration était toute neuve. Il a donc décidé de ne rien changer et de garder cette ambiance chic et cosy. La salle offre un cadre agréable et la cuisine ouverte permet de suivre le chef dans ses préparations de galettes et de crêpes. Pour donner du piment à cette atmosphère et surtout faire découvrir les délicieuses crêpes du Bonheur Breton, des expositions et vernissages sont fréquemment organisés. La maison favorise principalement les artistes locaux (peintres, photographes, céramistes ou sculpteurs). Le temps d’une soirée, Jean-Jacques Rocheteau réunit au mois d’octobre tous les artistes qui ont exposé dans sa crêperie durant l’année. ...
Allergènes, produits chimiques, conservateurs, mauvaises graisses… Scruter l’étiquette des produits alimentaires devient monnaie courante chez bon nombre de consommateurs. Grâce à son panel de produits sains et bio triés sur le volet, la boutique en ligne Kazidomi se donne pour mission de faciliter leur quotidien mais aussi celui des personnes suivant un régime alimentaire strict. Mais avec elle, produits de qualité riment désormais avec petits prix. Une start-up belge qui monte Alors étudiante en gestion à la Solvay Brussels School, Emna Everard nourrissait déjà l’ambition de se lancer dans la conception de magasins « 100 % healthy ». Auparavant sujette à des intolérances alimentaires, cette fille de médecin spécialisé en nutrition mesure l’importance d’avoir une alimentation saine. Avec Alain, passionné d’entrepreneuriat et ayant achevé ses études à l’université MIT de Boston, Emna crée Kazidomi en avril 2016. Très vite, le projet des deux jeunes Belges séduit et trouve de nombreux contributeurs, comme le réseau Entreprendre et Solvay Entrepreneurs. En usant du crowdfunding, la start-up améliore ses infrastructures et étend son offre. Tirer profit des avantages d’acheter en ligne Kazidomi fait figure de pionnier sur Internet à travers son offre de plus de 1 000 références en produits sains et bio. Mieux qu’une simple sélection, ses articles passent par la validation de médecins et d’experts en nutrition avant d’être proposés aux internautes. Avec son système de filtrage des résultats, le consommateur souhaitant privilégier ou éliminer tel ou tel ingrédient trouvera en une seconde les produits qu’il cherche réellement. Le site met également en avant les points spécifiques de chaque référence (sans gluten, sans lactose, sans huile de palme, etc.), ce qui est utile et pratique au niveau des restrictions alimentaires. Outre l'alimentation, des catégories « Cosmétiques », « Bébé », « Maison », « Livre » ou encore « Régime spécifique » sont à découvrir sur le site. Économiser sur de bons produits Que ce soit par choix ou par nécessité, opter pour une nutrition de qualité implique généralement un coût élevé. Kadizomi met un frein à cette idée commune en permettant aux consommateurs d’avoir accès aux produits sains et bio sans qu’ils aient à payer le prix fort. En souscrivant à l’abonnement annuel de 100 €, la facture est considérablement revue à la baisse, car le consommateur réalise une économie allant de 20 à 50 % sur le montant initial de ses achats en ligne. Cette offre a d’ailleurs permis à la start-up de faire décoller son chiffre d’affaires. ...
Lancée en Mai 2017, Closer to the world compte déjà de nombreux adeptes. Si le site e-commerce ciblait essentiellement les Parisiens de 25 à 35 ans, les consommateurs viennent désormais des quatre coins du pays. Des gens qui rêvent de voyager et de découvrir d’autres richesses gastronomiques. Closer to the world exauce leur souhait en leur proposant des coffrets gourmands. Une expérience insolite pour apprécier la cuisine du monde « Closer to the world », derrière cette dénomination traduite littéralement par « plus proche du monde » se cache un concept innovant. Muriel Mechica, la gérante du site e-commerce dévoile la genèse de sa start-up : « L’idée est née de ma frustration de la disponibilité limitée en France des nombreux produits gastronomiques que j'avais découverts lors de mes nombreux séjours à l'étranger. Mon objectif est de faire vivre une parenthèse d’évasion pour découvrir une culture à travers des produits gourmets et de qualité, mais aussi d’apprendre un peu plus sur les traditions culinaires dans le monde». Pour garantir l’authenticité des produits qu’elle commercialise, l’entreprise s’approvisionne directement auprès des artisans locaux et des entreprises familiales. Cette démarche permet d’assurer la traçabilité et la qualité des produits. Une explosion de saveur et la découverte ludique d’une culture Les amateurs de la gastronomie peuvent s’offrir un voyage culinaire au Portugal grâce au coffret mis en avant par Closer to the world. Ce panier est composé, entre autres, de la sauce piri-piri, une épice qui haussera le goût du poulet à la portugaise. Les sardines à l’huile d’olive ou le thon en filet Cantara sont, de leur côté, des mets riches en goût pour le plaisir des papilles. Du thé vert des Açores ou encore des biscuits traditionnels viennent compléter le coffret. Afin de choisir les meilleurs produits, Closer to the world travaille en collaboration avec des chefs cuisiniers œuvrant un peu partout dans le monde. Une démarche garantissant la haute qualité et l’authenticité des produits. Outre les produits en question, « chaque coffret contient un guide de culture qui participe à l'immersion dans la culture du pays ainsi qu'une présentation du chef, ses recettes de cuisine exclusives pour utiliser certains produits du coffret et également l'histoire derrière chaque produit gourmet proposé », souligne le nº 1 de la plate-forme en ligne. Pour l’achat de ces produits, les consommateurs ont le choix entre différentes formules d’abonnement. Muriel précise que les prix sont dégressifs si la durée de l’abonnement s’étend sur plusieurs mois. ...