2014 est une année riche en émotions pour ChampikaWijesekera et Fanny Jospeh. Le couple ouvre son premier restaurant, qu’il décide de nommer Merci Bernard, en référence à unprivatejoke entre la propriétaire et sa meilleure amie. Une déco conviviale et sans chichis Dès l’extérieur, l’établissement appelle à la convivialité. On ne s’imagine pas que derrière ce bâtiment à la façade noir et blanc, au logo visuellement graphique et contemporain, se cache un excellent restaurant. Une fois que vous pénétrez dans la salle, vous êtes touché par toute la simplicité et l’esprit cosy qui s’en dégagent. Les tables sont entourées de chaises rouges apportant de la dynamique à la décoration. Merci Bernardprône une cuisine dite urbaine.Les produits du terroir garnissent les assiettes copieuses concoctées par le chef ChampikaWijesekera. Justement, parlons-en de ce passionné des fourneaux originaire du Sri Lanka. Après avoir forgé ses armes pendant près de 17 ans dans de nombreux restaurants parisiens,ChampikaWijesekerafinit par voler de ses propres ailes, en ouvrant son restaurant à Carquefou, petite commune tranquille située au nord-est de Nantes. Son épouse Fanny Jospeh l’épaulera dans cette belle expérience. Le rendez-vous des gourmands La maison propose une carte riche et gourmande aux saveurs du monde. En entrée, l’honneur est bien évidemment donné au Sri Lanka avec les rolls présentés sous forme de rouleaux de pommes de terre et garnis de poireaux et de thon. Envie plutôt d’une escapade en Espagne ? La quesadilla n’attend plus que d’être dégustée. Elle est délicieusement constituée de tortilla de blé, de guacamole, de cheddar fondu et de salade. Pas de panique. Merci Bernard n’a pas oublié ceux qui désirent manger « léger ». Le chef a prévu une sélection de salades intitulées Popeye, Chèvre, Caesar ou Bernard. En plat de résistance, place à des mets plus consistants à l’instar des incontournables burgers qui sont des ambassadeurs de cette cuisine urbaine que veut promouvoir le restaurant. Plusieurs déclinaisons sont proposées : Montagne, Anglais, Veggie, Seguin, Classique… En outre, la maison sert des fajitas ou encore des travers de porc à la sauce barbecue. Et pour terminer en beauté ce voyage culinaire, les classiques cheese cake et brownie feront le bonheur de tous. Tous les jours, la maison sert aussi des plats et des desserts classiques mais qui varient quotidiennement : de quoi permettre aux clients de découvrir à chaque fois de nouvelles saveurs. Outre cette carte, quatre menussont disponibles : à 8 € (enfant), à 11,50 € (formule midi), à 14,90€ (formule Bernard) et à 17 € (formule Grand Bernard). Le menu Bernard est notamment constitué d’un burger ou d’un plat ou d’une salade, avec un dessert ou une entrée. Les producteurs locaux à l’honneur Bien qu’il soit assez jeune, puisqu’il a été lancé en 2014, le restaurant Merci Bernard a déjà réussi à se construire une solide réputation grâce à la fraicheur et à la qualité de ses plats. Il faut dire que l’établissement travaille énormément avec des producteurs locaux.Boucher, boulanger, fromager, maraicher… tous les fournisseurs sont basés à Carquefou ou dans ses environs. Même pour le choix des vins, Fanny Jospehet ChampikaWijesekerafont confiance à un caviste sis à Nort-sur-Erdre. Celui-ci se charge de sélectionner les meilleures appellations en accord avec les plats servis au sein du restaurant. Les vignerons de Carquefou sont privilégiés. ...
C’est un décor inédit qu’offre le domaine Château Bourdieu Fonbille, situé en plein cœur du terroir Monprimblanc, et proposant depuis près de 36 ans de belles cuvées qui lui font honneur. Juste à 41 kilomètres au sud-est de Bordeaux, ce domaine bénéficie d’une magnifique situation géographique, avec de merveilleuses vallées et collines jonchées de vignes. Château Bourdieu Fonbille, c’est l’histoire d’un couple passionné par la terre et le savoir-faire, l’histoire de Fabienne et Jean-Marie Galineau. Vignoble d’exception La propriété s’étend sur 25 hectares de cépages traditionnels dont Merlot, Cabernet Sauvignon et Cabernet franc pour les rouges, Sémillon et Sauvignon pour les blancs. L’élégante finesse résultant de l’harmonie de ces cépages avec le sol de type argilo-calcaire et boulbène de ce terroir, donne lieu à des appellations diverses, et à une diversité selon les appellations. Bordeaux, Côtes-de-Bordeaux, Loupiac et Crémant-de-Bordeaux sont quelques appellations phares du Château Bourdieu Fonbille. Ainsi, les vins du domaine apportent satisfaction de par leurs arômes diversifiés, suaves, riches, mais également surprenants. Ici, l’exposition des vignes est multiple, les vendanges s’effectuant de manière mécanique et manuelle, la culture traditionnelle et raisonnée tendant évidement vers le bio, étant donné que Jean-Marie Galineau, puriste et passionné, s’attèle à proposer des vins authentiques. L’âge des vignes varie entre 1 et 70 ans, des vignes qui s’épanouissent dans de très bonnes conditions, et se bercent sur un terrain vallonné en décrivant une magnifique fresque aux ondoyantes couleurs. Aux brumes matinales elles sont vaporeuses ou or clair lorsque la lumière du soleil miroite sur les versants ocres, et rouge orangé au coucher de soleil. Des vins à la structure franche Au Château Bourdieu Fonbille, les méthodes de travail conduisent à élaborer des vins rouges, blancs et rosés qui accompagnent parfaitement les repas et moments conviviaux. Le Côtes-de-Bordeaux rouge 2010,"cuvée tradition" à l' encépagement 50% de Merlot, 30% de Cabernet, et 20% de Cabernet Sauvignon séduit l'oeil par sa robe pourpre argentée et brillante, il dévoile des arômes d’épices dégageant de douces senteurs qui mènent le dégustateur vers des sous-bois, avec des ressenti des fraise et tabac . Frais et charnu en bouche, il saura sublimer les viandes, gratins et fromages. Ce délice plein de charme est récolté puis passé en macération pelliculaire à froid avec des remontages réguliers pendant toute la fermentation alcoolique . Tout ceci en vue de mieux faire ressortir l’expression des cépages. Loupiac Cuvée tradition, millésime 2003 comme le dernier qui va être mis en bouteille, le 2015, AOC liquoreux avec 90% de Sémillon et 10% de Muscadelle après récolte à la main par tris successifs évolue au chai avec uniquement la levure naturelle et l’élevage en barriques de chêne américain avec un brulage spécialement choisi pour les liquoreux du domaine. Avec une harmonie parfaite des saveurs exotiques, melon, et orange, cette cuvée enchante par ses arômes subtils qui changent suivant des années. Bordeaux blanc moelleux, millésime 2013, encépagement au Sémillon. Ce vin est élaboré par vinification classique après les vendanges en fermentation thermo régulée également . Cette bouteille dévoile un nez intense de miel et fruits blancs, sur une bouche grasse et suave, avec un merveilleux équilibre entre acidité et douceur. ...
Ayant littéralement baigné dans la cuisine française depuis sa tendre enfance, le maitre des lieux Ludovic Perraudin y puise toute son inspiration. Cependant, c’est son imagination culinaire surprenante qui fait toute la différence dans chacune de ses créations. Burgermania à Paris C’est dans un cadre entièrement renouvelé que le fils Ludovic opère toute sa magie. Installé derrière son comptoir, ce chef gastronomique élabore des burgers comme vous n’en dégusterez pas ailleurs. Au choix : plus d’une dizaine de variétés. Parmi les burgers qui ont reçu le plein d’éloges de la part des clients figure le Black Spicy, composé de steak de viande bovine française, de pickels, tomate, oignon, cantal AOP, sauce pimentée, tabasco, fleur de sichuan (petit bouton de fleur du sud de la Chine), salade de type iceberg ; le tout enrobé de pain à l’encre de seiche, dont l’apparence noire apporte un contraste au plat. Dans le registre végétarien, le burger Veggie fait le bonheur des foodies avec sa crème truffée, champignons de Paris, tomate, cantal AOP, escorté d’une galette de pommes de terre qui ne cannibalise pas les saveurs des ingrédients mais, bien au contraire, en affirme le gout. Des viandes de qualité Pains issus du boulanger Au Bon Louis, sauce maison, fromage affiné, viandes d’origine française, recettes originales : telles sont les combinaisons gagnantes qui ont fait le succès de Wagy Burgers du Père Claude. La maison va même jusqu’à proposer des steaks de bœuf Wagyu, appréciés pour leur délicatesse, leur texture tendre et persillée. Une cuisson à point est recommandée aux clients afin de savourer au mieux ces viandes d’exception. ...
C’est pour rendre hommage à leur trisaïeule dénommée Angèle, une femme à fort caractère, que les deux frères Jacques et David Florent ont décidé d’attribuer son nom à ce domaine familial. En effet, c’est elle qui a commencé à planter les premières vignes à la fin du XIXe siècle et a su développer le vignoble au fil du temps. Une viticulture raisonnée Le vignoble, d’environ 30 ha, repose sur des sols argilo-calcaires profonds et limono-argileux. Depuis 25 ans, Jacques et David Florent, les propriétaires du Domaine de l’Angèle, y mènent une lutte raisonnée. La santé du sol et des vignes est au centre de leur préoccupation, avec une attention toute particulière accordée à la faune et à la flore. « Nous avons semé des enherbements dans les vignes afin de favoriser une activité microbienne au niveau du sol. Et nous utilisons uniquement des engrais organiques », souligne David Florent. Pour traiter leurs vignes, les deux frères multiplient les précautions afin d’effectuer des traitements les moins agressifs possibles. La maison privilégie les vinifications en monocépage. La syrah, le grenache et le mourvèdre sont ainsi vinifiés séparément pour être ensuite assemblés. Le Domaine de l’Angèle se démarque également par ses longues macérations. « Pour les rouges, nous poussons les maturités le plus longtemps possible. En général, les fermentations durent 15 jours, puis nous procédons à 15 jours de macération sous marc, ce qui implique une durée de vinification de plus d’un mois », explique notre interlocuteur. Les cuvées La maison produit des vins en AOP (Ventoux et Luberon) et IGP (Vaucluse). Dans la gamme des rouges, la cuvée « Ludivine » mérite une attention particulière. Ce vin 100 % syrah est élaboré à partir de vieilles vignes. Il a fait l’objet d’une longue macération (plus de 30 jours) en cuve béton et a vieilli en barrique entre 12 et 16 mois. N'ayant rien à envier à cette dernière, la cuvée « Hippolyte » occupe tout aussi bien une place de choix parmi les vins du domaine. Un vin 100 % grenache noir qui a subi plus d’un mois de macération en cuve béton et a vieilli 12 à 16 mois en demi-muid. ...
La vallée de la Marne, également connue sous le nom de région du Meunier en raison de la prévalence de sa culture, est aussi réputée pour être l’une des niches des meilleures cuvées de la Champagne. Implanté dans cette région, le Château de Boursault, construit en 1843 par la veuve Clicquot, surplombe et entoure un vignoble de treize hectares où poussent les trois cépages champenois, garants de l’identité des cuvées de ce terroir. Privilégier les méthodes traditionnelles Le Château de Boursault est l’un des rares en Champagne à posséder un clos dans lequel se trouvent les vignes, le pressoir, la cuverie et les caves. « Le champagne y est élaboré suivant un processus artisanal préservé depuis maintenant quatre générations, et ce, afin de produire de la qualité », selon Alexandre Fringhian, héritier de l’exploitation. Ainsi, tout le processus de conception du champagne, allant de la culture des vignes à la fermentation en passant par la vinification, se fait suivant la méthode purement artisanale. Cette quête d’authenticité justifie les nombreuses récompenses que les cuvées Boursault ont reçues, notamment le millésime 2002, une cuvée exquise aux arômes équilibrés, récompensée de la Palme des Vinalies en 2016. Outre cette cuvée très appréciée, la cuvée Prestige élaborée à 50 % de chardonnay et 50 % de pinot noir et dotée d’une finesse et d’une fraîcheur aérienne sans égal, figure également parmi les fleurons de la gamme Château de Boursault. Prioriser la qualité du raisin Certifié Haute Valeur Environnementale (HVE) et Viticulture Durable, Château Boursault se veut être une exploitation traditionnelle et artisanale respectueuse de l’environnement. L’usage de pesticides, d’herbicides et d’autres produits chimiques est ainsi rigoureusement limité, selon Alexandre, pour « le maintien du terroir et du vignoble ». Toujours dans cette optique, le domaine privilégie « les petits rendements en faveur de la qualité du raisin » et en vue toujours de maintenir la qualité optimale des cuvées. ...
La célébration des 2 600 ans de Marseille aura été pour lui une très belle occasion de faire la promotion de cette marque de chocolat d’exception qui bouscule tous les codes en se payant le culot de porter avec audace un symbole de reconnaissance universel : le rameau d’olivier. Francesco Martorana associe l’Espérantine de Marseille au singulier concept de « gourmandise raisonnée », un petit laisser-aller gourmand qui ne peut que faire du bien. Loin de la qualification classique de « péché mignon », qui laisse supposer que manger du chocolat est culpabilisant, surtout pour les femmes, l’Espérantine de Marseille est intimement liée au bon usage de la gourmandise, c’est-à-dire, un juste équilibre entre les textures et les saveurs, avec l’envie de partager. Des ingrédients de première qualité pour une gamme de chocolats de haut vol Grâce à une sélection des meilleurs cacaos grands crus issus des maisons comme Valrhona, qui dégagent des effluves gourmands mêlés à d’authentiques saveurs, d’incroyables assemblages se découvrent et se dévoilent pour faire grandir naturellement le plaisir d’en consommer. À partir de ces nobles matières premières, L’Espérantine de Marseille produit deux gammes de chocolat : Les Espérantines et Pulsion cacao. La première est issue du très fameux et exclusif chocolat à l’huile d’olive de Francesco Martorana. Les Espérantines se sont imposées avec brio dans le cercle très restreint des chocolats de prestige et ont obtenu le prix de Cordon Bleu de la meilleure Confiserie à Paris. Une distinction bien méritée au vu de l’implication dans la recherche et la créativité de son créateur, Francesco Martorana. La seconde a été regroupée sous la bannière Pulsion Cacao, une sélection de produits de première qualité qui nous apprend à apprécier le chocolat autrement. Bien plus qu’un simple réflexe gourmand, la pulsion n’obéit à aucune règle. Avec ses différentes variétés de chocolats, Francesco Martorana a su faire naître ces pulsions dans le bon sens, des pulsions d’autant plus légitimées par d’incroyables productions « fait maison », qui, en plus de titiller les papilles, nourrissent la créativité. À travers une incroyable palette d’ingrédients, où se retrouvent des fruits secs grillés caramélisés, des chocolats noir, lait ou blanc pur beurre de cacao, ce sont des saveurs précises et tranchées qui vous poussent à retrouver le vrai goût des traditions chocolatières. Les spécificités d’un chocolat artisanal Subtil mélange de chocolat et d’huile d’olive, l’Espérantine de Marseille est un emblème de libération pour les férus de chocolat, qui peuvent décomplexer leur envie de gourmandise. Avec le rameau d’olivier, qui apporte une dimension symbolique à la marque, l’Espérantine de Marseille est un chocolat exclusif de fabrication 100 % artisanale. Un réel savoir-faire et un méticuleux travail d’assemblage et de choix contribuent d’ailleurs à son succès, ponctué par le rameau d’olivier, un symbole qui rassure et qui démontre une autre façon d’être gourmand. ...
Profitant d’une situation très convoitée en plein cœur du centre historique de la Ville des Lumières, le restaurant L’Éclat côtoie la Cathédrale, la colline de Fourvière et les rives de Saône. À l’intérieur, lustre Tom Dixon, tons boisés et formes design sont sublimés par des jeux de matières et des couverts raffinés. Vitrée, la cuisine permet à la clientèle de découvrir les talents du chef Vincent Leleu et de sa brigade. L’éclat de la cuisine à la française C’est à travers des sélections de recettes gastronomiques raffinées que le restaurant L’Éclat évoque toute l’intensité d’une cuisine riche en traditions. Du choix des produits jusqu’à la présentation artistique et moderne de chaque assiette, en passant par la maîtrise des cuissons, l’établissement garantit de vivre d’intenses découvertes gustatives. La carte propose des mets qui allient diversité et authenticité. Foie gras, merlu, rouget, cabillaud, pigeon de Pornic, bœuf et cochon s’agrémentent de champignons, de truffes et de légumes de saison. Chaque recette témoigne d’un savoir-faire respectueux des produits. Ces derniers révèlent de parfaites textures en bouche sublimées par des concentrés de saveurs. Pour l’approvisionnement, la maison collabore avec des fournisseurs triés sur le volet. « Nous avons fait le choix de ne travailler qu’avec des producteurs qualifiés et des produits de saison », nous précise le jeune chef de talent, Vincent Leleu. Celui-ci privilégie aussi bien les producteurs locaux que d’autres professionnels situés dans les autres régions, pour mettre en valeur toutes les particularités et richesses du pays. Dans la cave à vins qui est visible depuis la salle, toutes les régions sont également mises en valeur. La carte propose actuellement près d’une centaine de références, dont des bios, spécialement choisies pour être en harmonie avec les mets proposés. Une touche d’innovation personnelle Permettant de redécouvrir les standards de la cuisine traditionnelle française, le restaurant L’Éclat met en scène tout le savoir-faire de son chef Vincent Leleu. Avec talent et discipline, il élabore chaque recette avec minutie tout en respectant les valeurs d’une gastronomie ancrée dans l’air du temps. C’est à travers quatre choix de menus alliant tradition et innovation qu’il invite à voyager au sein de la culture culinaire française. Dans son ambiance design, chic et contemporaine, le restaurant propose entre autres de profiter d’agréables repas d’affaires. Servi à midi, le menu affaires à 30 € propose carotte, poire et jésus de Morteau en guise d’entrée. En plat de résistance, lieu jaune, petit pois menthe et œuf de caille feront plaisir aux fins palais. Mêlant fraîcheur et douceur, pomme, aneth et citron seront parfaits à titre de dessert. Les trois autres menus proposés respectivement à 45 €, 55 € et 75 € sont servis midi et soir. Ils permettent de goûter à des saveurs inédites, telles que la Royale d’épinards, tuile de pain et noisettes torréfiées, lard Contadino ou le bœuf en gravlax condiment fenouil anis et jus de bœuf corsé, sans oublier le merlu de ligne, terrine de chou vert brûlé jus de citron de Menton. Parmi les signatures du chef, le foie gras tartare de tomates fraises et coriandre, ainsi que le pigeon de Pornic rôti sur coffre fumé au foin et cranberries sont incontournables. L’exquise tarte Tatin circulaire aux pommes avec sa crème glacée à la vanille de Madagascar et aux cacahuètes titille également les papilles à chaque bouchée. Garante de plaisirs culinaires intenses, la succession des saveurs proposées sonne comme une véritable mélodie qui égaye les sens. Il est possible de faire découvrir cette cuisine haute en couleur aux convives de vos événements. « On fait des dîners pour les particuliers chez eux et pour des entreprises, donc des séminaires, des cocktails dînatoires », nous souffle-t-on. ...
Badine est le nom de la laiterie de l’arrière-arrière-grand-père de Florian Poyet. C’est donc dans ses souvenirs d’enfance qu’il puise ses ressources pour faire tourner l’établissement. Devant les fourneaux de ce restaurant, le jeune chef est dans son élément. Effectivement, il a été le second de l’ancien chef Nicolas Bottero pendant 5 ans. De ce fait, en septembre 2015, c’est plus un passage de flambeau ou de toque. Depuis le changement d’identité du restaurant en janvier 2016, le chef ambitionne d’apposer sa propre signature sur les assiettes, en y apportant de la modernité. Dorénavant, Badine rime avec fraicheur et couleur. La gastronomie Poyet Florian Poyet a la gastronomie dans la peau et dans son cœur. Désormais, il ne fait plus qu’un avec le restaurant du 168 cours Berriat, à Grenoble. Soucieux des détails, le jeune chef porte une attention particulière à la présentation. Le dressage façon Poyet, c’est toute une mise en scène des produits. Les dégradés, les nuances et les contrastes de couleurs et de textures contribuent à la création des plats. Chaque élément de l’assiette joue un rôle particulier pour donner au final un visuel qui met l’eau à la bouche. Les produits de saison utilisés dans cette cuisine entièrement faite maison sont sélectionnés au marché ou directement chez le producteur. La maison s’assure de réduire au minimum les intermédiaires pour pouvoir construire des relations durables avec les producteurs et les fournisseurs locaux qui affectionnent leur métier et leurs produits. Grâce à son respect pour les produits frais de saison, le chef est devenu depuis peu le plus jeune « maitre restaurateur » de l’Isère. Le restaurant Badine est aussi reconnu par le label « Restaurant de qualité », qui l’engage à promouvoir le fait-maison et le métier d’artisan-restaurateur, à informer la clientèle de l’origine des produits, à assurer la qualité de l’accueil et la cohérence du rapport qualité-prix. Le restaurant Badine présente trois menus. Le menu « Au fil des saisons » est renouvelé toutes les 2 semaines. Par exemple, le bal s’ouvre avec des cannellonis servis froids à la ricotta fraiche, accompagnés de fenouils rôtis et de jeunes pousses d’épinard. Cette entrée est suivie d’une volaille fermière à la moutarde, avec de l’Arborio croustillant et des échalotes grises au jus. Le tout, couronné par un craquant aux deux citrons, crémeux acidulé et petites meringues. Les deux autres menus sont le « Moment de partage », qui change tous les 2 mois, et « Les envies du chef », qui évoluent en fonction du marché et des envies du chef. La carte des vins La cave est composée de plusieurs références : Savoie, Vallée du Rhône, Bourgogne, Val de Loire, Bordeaux. Pour le terroir isérois, ce sont les Coteaux du Grésivaudan, produits par le Château Bayard, et les Collines Rhodaniennes du Vignoble de Seyssuel qui figurent, entre autres, à la carte. Enfin, le cru classé Côtes-de-Provence du Domaine de la Croix s’affiche en grand ambassadeur de la région. Le cadre Le restaurant Badine reçoit les gourmets dans un cadre chic et moderne à l’image du mobilier blanc et transparent. Cette sobriété laisse place aux accords entre les tons plus sombres des pierres apparentes et le bleu pétrole et l’orange sanguin des tableaux réalisés par un artiste local. La grande terrasse, ombragée de sa glycine centenaire, vaut le détour ! ...
Élégant, prestigieux, somptueux… On serait vite tenté d’enchaîner les superlatifs pour décrire l’hôtel Westminster et ses deux restaurants ainsi que son bar, à savoir le Céladon, le Petit Céladon et le Duke’s Bar. En vérité, cet établissement est le meilleur endroit pour vivre une expérience gastronomique inoubliable. Le Céladon, un restaurant étoilé Le Céladon accueille ses convives dans un cadre unique bénéficiant d’un décor typiquement bourgeois. Ce restaurant étoilé au Michelin d’une capacité de 28 couverts promet ainsi une ambiance conviviale et raffinée. Le chef Christophe et sa brigade proposent un large choix de formules à l'instar du Menu express concocté en seulement trois quarts d’heure pour les plus pressés à midi. À noter que le Céladon change son menu très gastronomique toutes les semaines de façon à varier le plaisir des habitués. Le Petit Céladon, le relais week-end Durant le week-end, le Céladon ferme ses portes pour laisser place au Petit Céladon. Les convives sont bercés par une ambiance et un service nettement plus décontracté, sans se défaire du contexte d’un restaurant étoilé. La métamorphose concerne également la carte et l’art de la table. Cerise sur le gâteau : la légèreté est au rendez-vous en ce qui concerne les tarifs. Pour autant, les gourmets ont toujours droit à un menu-carte raffiné proposant une sélection minutieuse de produits frais et de qualité, qui est une ligne de conduite au Céladon. Le Duke’s Bar, le garant d'instants magiques Le Duke’s Bar mise quant à lui sur cette ambiance atypique des clubs anglais pour séduire, puis fidéliser les convives. Dans ce cocon feutré, rien de tel pour se retrouver entre amis et s’accorder des instants de pure détente. Les grands guides sont particulièrement conquis par ce lieu, qu’ils ont intégré dans le cercle très fermé des plus éminents bars de la capitale française. Au programme : snacking, apéritifs et spiritueux très appréciés de la clientèle. Ce coin bistronomique parisien est surtout reconnu pour son fameux club sandwich, mais aussi pour son cocktail de crevettes roses ou pour son inimitable burger de Kobe. ...
La Franche-Comté est réputée pour sa cuisine traditionnelle et ses produits issus des zones géographiques du Jura occidental, des Vosges du Sud, de la plaine de Saône et de la Bresse. Les fromages, les charcuteries, les morilles, la truite du Jura et les vins sont essentiels dans la cuisine franc-comtoise. Les spécialités culinaires sont composées, entre autres, de la potée comtoise préparée à base de viande de salaison et de croute aux morilles cuisinée avec des morilles et des croutons de pain grillé. On y trouve aussi le vignoble du Jura, avec son célèbre cépage Savagnin. Ce vignoble produit des vins blancs d’appellation Côtes-du-Jura, des vins jaunes et paillés d’AOC Arbois et des mousseux d’AOC Crémant du Jura. Un cadre enchanteur Véritable havre de paix, La Mainaz est aménagée avec délicatesse pour permettre aux personnes à mobilité réduite d’y accéder facilement. Niché au col de la Faucille, l’établissement jouit d’un panorama unique sur la chaîne des Alpes, le Mont-Blanc et le lac Léman. Dotée de 21 chambres et suites confortables dûment décorées, d’un restaurant gastronomique « la Table de la Mainaz », d’un bistrot « le Panorama », d’un bar « le 1720 » et d’une salle de séminaire entièrement équipée, la Mainaz peut répondre à toutes vos attentes. Dans un cadre naturel préservé, la Mainaz est le point de départ idéal pour découvrir cette magnifique région située entre l’Ain, le Jura et la Suisse. Vous découvrirez de magnifiques sentiers de randonnée dans des paysages exceptionnels, ainsi qu’un large éventail d’activités touristiques et sportives, dont le ski nordique et le ski alpin. Ses principaux fournisseurs sont des producteurs locaux, notamment ceux du Genevois et du Jura. La qualité des produits et l’aspect humain sont les véritables critères de sélection. La Mainaz souhaite construire des relations sur le long terme avec ses fournisseurs qu’elle considère comme des collaborateurs allant dans le même sens pour valoriser et promouvoir le Haut-Jura et ses environs. Une cuisine créative et une hospitalité garantie Le personnel est fortement qualifié. Mathieu Sagardoytho, le Chef cuisinier, a été Sous-Chef cuisinier du Bristol avant de passer au poste de Chef à L’Agapée, où il a maintenu l’étoile Michelin. On trouve aussi dans l’établissement diverses compétences dans plusieurs domaines, notamment dans l’international. L’anglais, le mandarin et le japonais sont couramment parlés. À La Mainaz, il importe de mettre en place un environnement propice au travail afin d’élaborer une cuisine créative prônant un équilibre entre tradition et modernité. « Notre but est de faire de ce restaurant une véritable institution locale, tout en restant dans un esprit familial. Le salarié arrive le matin avec le sourire et le client se sent comme chez lui. On veut concilier la tradition locale à la modernité », fait-on valoir. ...
C’est dans le 9e arrondissement de Lyon, dans une bâtisse classée aux Monuments historiques français, que nous donnent rendez-vous le chef Jean-Christophe Ansanay-Alex et son équipe. Son auberge à la cuisine savoureuse est reconnue aussi bien dans le pays qu’ailleurs. Un cadre unique L’Île Barbe est un écrin de verdure protégé de la civilisation par la Saône. L’Auberge se présente comme l’endroit idéal pour passer un moment gourmand et paisible hors du temps. Les salles présentent une ambiance feutrée. L’installation d’un mobilier contemporain dans cette bâtisse du 17e siècle révèle un contraste intéressant entre tradition et modernité. C’est également un endroit intimiste, vu le nombre réduit de couverts par espace. Une cuisine gastronomique Avec un chef qui est resté 25 ans derrière ses fourneaux, l’Auberge de L’Île Barbe a encore de beaux jours devant elle. Avec ses mains de maître, Jean-Christophe Ansanay-Alex habille ses assiettes d’une précision chirurgicale. Des plats à la fois sobres et élégants, en complète harmonie avec le lieu. Le chef s’inspire de ses nombreux voyages pour relever sa cuisine gastronomique traditionnelle avec des saveurs originales. Et le résultat est souvent surprenant, notamment le velouté de cèpes comme un cappuccino vapeur de foie gras, l'un des plats signatures de la maison. Le feuille à feuille de Saint-Jacques aux truffes et épinards comme une compression de l’artiste César, au beurre de jus de truffe n’est pas en reste. Et en dessert, la crème glacée à la réglisse est très appréciée. Pour accompagner le repas, la maison propose une carte de vins éclectique, tout en privilégiant la Bourgogne et la Vallée du Rhône. ...
Le Clos du Marbrier s’étend sur une superficie de 5,5 ha. Il est implanté sur le site de l’ancien atelier du marbrier, lequel est devenu actuellement le chai de vinification, où s’élaborent les vins AOC Minervois de la maison. Un terroir aux mille facettes Le vignoble est réparti entre différents types de terroirs. Les principaux composants des sols sont le grès, le calcaire et les schistes. Grâce à cette variété, Irène Prioton se fait le plaisir de cultiver plusieurs cépages, dont certains sont rares et anciens comme l’aramon, un cépage du Languedoc presque oublié. Dans une volonté de préserver la biodiversité de sa terre, elle mène une viticulture biologique. Un effort indispensable si l'on veut laisser s'exprimer le terroir à travers des vins fins et authentiques. Avoir un bon tour de main, le secret du bon vin Notre vigneronne a une façon bien particulière de travailler ses crus. « Je fais beaucoup de choses à la main. » C’est ainsi qu’elle explique son idée de décliner ses cuvées sur le thème de la « main ». Parmi les plus connues figure la cuvée « À Pleine Main », qui trouve son originalité dans la générosité de ses arômes. D’autres cuvées comme la « Haute Main » sont reconnues pour leur complexité et ont même été dignement récompensées dans les concours. ...
C’est à partir de leurs fruits que sont élaborés quatre types de vin effervescents aussi riches qu’équilibrés. L’emblème de la maison est symbolisé par le «Millésime 2013», une année particulièrement favorable pour réaliser le mariage parfait entre les 3 cépages. La maison a toujours forgé la notoriété de ses produits sur le système du bouche à oreille. Une façon humble et pourtant efficace de promouvoir des cuvées de grande qualité qui ne sont disponibles qu’en « direct » auprès du producteur. Les champagnes J. MARGOUILLAT sont actuellement dirigés par François MARGOUILLAT, un passionné qui perpétue soigneusement la tradition familiale. ...
L’histoire de ce domaine familial démarre en 1936. À l’époque, Achille Noël opérant alors comme négociant en vins à Lille décide de faire acquisition d’une propriété dont les origines remontent au XVIIème siècle. Au fil du temps, le Château Barrabaque passe de génération en génération. Nicole Noël transmet le flambeau à sa fille en 2004. Désormais à la tête de l’exploitation, Caroline Noël-Barroux aspire à perpétuer ce précieux héritage en associant le savoir-faire familial séculaire à des techniques de production plus modernes selon une démarche tenant compte de la protection des écosystèmes. Un terroir exceptionnel, gage de vins fins et fruités Situé sur un terroir de beauté et d’authenticité, à cheval entre l’appellation Fronsac et Canon Fronsac, le Château Barrabaque possède un vignoble de 10 hectares exposé plein sud et majoritairement argilo-calcaire. « Sur ce terroir précoce, nous produisons des vins assez puissants », témoigne Caroline Noël-Barroux. Puissants certes, mais surtout, fruités. Car depuis la création du domaine, la famille a à cœur à produire des cuvées que « l’on a envie de boire et pas seulement de goûter ». D’une rigueur implacable sur la qualité de ses produits, la maison adopte une approche plus respectueuse de l’environnement dans son mode de travail. « Nous avons pris le virage de l’agriculture raisonnée depuis maintenant 30 ans », déclare la vigneronne. L’idée n’est pas d’opter pour une conduite écologique exclusivement sur le vignoble mais dans la filière dans sa globalité. Ainsi, à part la réduction des produits de traitement phytosanitaires, le domaine tient compte par exemple des émissions de gaz carbonique générées par le passage des tracteurs. Ces efforts ont été récompensés en 2019 par l’obtention de la certification Haute Valeur Environnementale (HVE). À travers ce concept plus vertueux pour l’écosystème, le merlot, le cabernet franc, le cabernet sauvignon et le malbec peuvent ainsi se révéler dans leur plus belle expression. Une ode aux terres de Fronsac La « cuvée Prestige » et la « cuvée Tradition » s’inscrivent comme les best-sellers de la maison. Élaboré à base de 80% de merlot, 18% de cabernet et 2% de malbec, le rouge Prestige est issu de parcelles situées en haut de coteau ayant l’avantage d’être naturellement concentrées. Ce vin ample et équilibré s’illustre pour sa belle complexité aromatique. Le rouge Tradition est élaboré sur des parcelles sises en bas de côtes. Composé de 70% de merlot, de 20% de cabernet franc et de 10% de cabernet sauvignon, il distille une belle fraîcheur aromatique avec une jolie finesse et une agréable longueur. Inhabituel dans le paysage viticole bordelais, le Château Barrabaque produit du vin blanc appelé « Caprice de Caroline » en l’honneur de la vigneronne qui est à l’initiative de sa création en 2008. Il propose également du vin rosé sobrement intitulé « Barrabaque rosé », conçu à l’origine pour la consommation familiale avant d’être commercialisé à destination du grand public. ...
Lors de son acquisition en 1997, Gontran Dondain, passionné de vin, a imaginé pour ce domaine un projet visionnaire et ambitieux, axé sur l’univers du vin et qui offrirait au terroir du Languedoc la place qui lui revient dans le monde viticole français et mondial. Actuellement, ce projet est d’ores et déjà une réussite. Toutefois, avec sa soif de perfection, Gontran Dondain ne cesse d’apporter des améliorations continuelles au Château Cabezac. Quatre terroirs gages de vins exceptionnels En plein cœur d’une terre gorgée de soleil, Château Cabezac exploite 40 hectares de vignes se déclinant en quatre terroirs complémentaires. Le mont des Capitelles est caractérisé par un sol pauvre disposé en pente mais profitant d’une bonne alimentation hydrique. Son exposition face à la méditterannée le rend propice au développement des cépages blancs, qui apporte aux vins finesse, arômes et complexité. Les Garrigots sont un terroir alluvionnaire recouvert de galets, très bien drainé, qui convient parfaitement à l’élaboration de vins rouges. Le plateau de Belvèze et son sol composé d’argiles schisteuses et de cailloux métamorphiques en provenance de la Montagne noire permet d’obtenir des vins de garde sublimes. Enfin, situé à 200 m d’altitude, le plateau de Cazelles dispose d’un sol riche en matière organique et recouvert de pierres blanches, qui possède une certaine typicité apportée par ses calcaires de gélifraction. Viticulture raisonnée en adéquation avec son terroir Afin de pérenniser son terroir et de respecter la nature et les hommes, Château Cabezac a fait le choix murement réfléchi d’appliquer une agriculture raisonnée tout au long de ses procédés d’élaboration du vin. En aval, les rendements sont limités en de çà de la normale, en fonction des parcelles et la vendange s’effectue essentiellement à la main à la maturité optimale des raisins. Une équipe menée par les œnologues Cathie Fournié et Mathieu Dubernet, assistée par l’agronome Jean-Dominique Fourment, supervise rigoureusement la vinification en amont. Celle-ci est pratiquée à la sélection parcellaire et par gravité pour préserver au maximum l’intégrité du fruit au sein de l’ancienne cave du Château, datant de 1900, entièrement restaurée et modernisée. Des vins dignes de son terroir Gilles Goujon, Guy Savoy et Pierre Gagnaire, Four Seasons et le Park Hyatt, notamment, figurent parmi les cuisiniers et les hôtels prestigieux et étoilés qui ont récompensé le travail d’orfèvre mené au Château Cabezac depuis 19 ans. Parmi toutes les cuvées exceptionnelles mises en avant par ces restaurants, « la Cuvée Les Capitelles » Minervois est incontournable. Médaillée à de multiples reprises et citée par plusieurs guides spécialisés, cette cuvée d’assemblage présente une robe pâle aux reflets argentés. Son nez citronné, aux notes anisées, est suivi d’une belle rondeur et d’une souplesse en bouche marquée par une agréable fraicheur. Il n’en est pas moins du Carinù Minervois Rouge, issu de vieilles vignes de carignan et élevé en fûts de chêne français durant 18 mois. Cette cuvée à la robe rouge grenat livre des arômes de fruits rouges bien mûrs, avec des notes d’olives noires au nez, et une bouche charnue et ample, avec des notes de cerise noire et d’épices. Dernier et non des moindres : la Grande Cuvée Belvèze Minervois Rouge, qui est issue de macération traditionnelle et a été élevée en fûts de chêne français 18 mois avant d’être mise en bouteilles. D’une grande complexité, ce vin s’ouvre sur des notes de torréfaction minérales, suivi d’une bouche puissante avec une finale long. La grande cuvée Belvèze doit être mise en carafe quelques heures avant de pouvoir dévoiler sa finesse et son élégance. ...
Quête de l’excellence, esprit de conquête des marchés et transmission des savoir-faire sont l’ensemble des valeurs qui portent le succès et la longévité de la Maison Hennessy. Depuis les berges de la Charente, la Maison Hennessy vous invite à découvrir ses coulisses à travers un parcours multi-sensoriel innovant : une expérience de visite unique entre histoire et modernité. Entrez dans les coulisses d’une Maison d’excellence Hennessy donne le rythme dès le début de votre visite en vous proposant une traversée entre deux rives. Ce ne sera plus en naviguant sur l’embarcation traditionnelle de l’époque, la gabare, mais sur un bateau à énergie solaire que vous commencerez la découverte de la Maison Hennessy. Embarquez donc sur les flots de la Charente pour revivre l’esprit de conquête, découvrir la saga de la Maison qui vous sont révélés au cœur du Chai des pavillons : entre authenticité et technicité, Hennessy réalise ici une prouesse technologique qui transforme l’expérience de visite d’une manière complétement novatrice. Pénétrez ensuite dans un chai traditionnel de vieillissement toujours en activité, où vous pourrez découvrir, dans la pénombre, des siècles de savoir-faire qu’impose ce lieu. C’est ici que se révèlent la valeur et la maîtrise du temps qu’exercent les hommes de la Maison, pour offrir au cognac ses plus belles expressions. Un parcours qui prend toute son ampleur lors de la dégustation où l’on peut se glisser dans la peau d’un membre du Comité de Dégustation. Chacun des membres de ce comité est désigné au sein de la Maison Hennessy et est responsable d’une étape spécifique de l’élaboration du cognac. Le Maître-Assembleur est celui qui donne le ton lorsque ce comité se rassemble quotidiennement : il sélectionne les meilleurs échantillons d’eaux-de-vie en les évaluant quotidiennement avec rigueur et parti-pris. Ce poste est aujourd’hui occupé par Renaud Fillioux de Gironde qui incarne la 8e génération de Maître Assembleur après avoir succédé à son oncle Yann Fillioux en juillet 2017. Une étape de dégustation où vous apprenez à apprécier avec subtilité la maîtrise des assemblages Hennessy. Cette expérience de visite se termine avec la seule et unique boutique Hennessy au monde, rassemblant les cognacs de la collection Hennessy allant des éditions limitées aux pièces les plus exceptionnelles. L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération. ...
Depuis le XIVème siècle, le Château de Tracy compose en harmonie avec son environnement. Cet accord, Juliette d’Assay, aujourd’hui co-propriétaire du domaine viticole du Château, le sublime, portant haut la passion héritée. 36 hectares plantés essentiellement en Sauvignon profitent ainsi de soins authentiques prodigués par une équipe investie, à l’écoute d’une vie organique riche et intense. Rien n’est négligé, ni les petites huîtres fossilisées des parcelles au sol calcaire, ni les silex de celles au sol d’argile. La forêt alentours participe à ce précieux écosystème, comme la hauteur du feuillage des vignes, qu’on laisse ici danser à plus d’1m 40 du sol, les engrais verts qui participent au bien-être du sol ou la plantation en haute densité, à 17 000 pieds ha, permettant aux vignes de mieux côtoyer la roche. Une forme de culture permanente qui rend autonomie à ses terres, résistante, subtile et généreuse dans le temps, en retour. Des vins gastronomiques, délicats et expressifs Au Chai, peu de manipulation et beaucoup de patience, donnent aux vins toute leur maturité et leur finesse. Aucune trace de produit chimique possible. Les quatre cuvées d’Appellation Pouilly-Fumé du Château de Tracy sont certifiés Haute Valeur Environnementale niveau 3 (le maximum). S’en décline un caractère pur et minéral, soyeux et frais en bouche, aux arômes murs, fruités ou salins selon les opus. La production est volontairement limitée. Vendues dans toute l’Europe et à l’international, les cuvées du Château de Tracy se trouvent chez les cavistes, les grands restaurateurs, au domaine ou sur sa boutique en ligne. Un cadeau de la terre et de ses artisans, à savourer, complices et gourmets. ...
Comme tous les magasins Biocoop, le magasin BIOCOOP SOLFERINO de Lille s’est engagé dans une démarche équitable et responsable. Il adhère totalement aux valeurs mises en place par ce réseau coopératif, comme des produits exclusivement issus de l’agriculture biologique, une rémunération juste des producteurs ou encore une diminution au maximum de l’empreinte carbone en bannissant le transport aérien. De plus, tous les produits sont sélectionnés selon un cahier des charges strict. Des produits bio de qualité … Sur les 170 m² d’espace de vente du magasin BIOCOOP SOLFERINO, vous pourrez faire l’ensemble de vos courses puisque vous y trouverez des fruits et légumes de saison, de l’épicerie salée et sucrée, des surgelés, des boissons y compris des vins, des produits ultra frais, mais aussi des compléments alimentaires, des produits d’entretien, des cosmétiques et des produits bébé, tous 100 % bio. Dans la partie épicerie, 120 références de produits vendus en vrac, avec entre autres céréales, pâtes, légumes et fruits secs, sont à emporter dans des sacs en coton ou des bocaux en verre, réutilisables. Avec ces articles, vous bénéficierez de tarifs compétitifs et vous pourrez tendre vers une consommation alimentaire zéro déchet. Et aussi une offre locale Biocoop privilégie également les produits locaux dès que cela est possible. Ainsi BIOCOOP SOLFERINO vous propose des fruits et des légumes provenant de producteurs locaux et toute l’offre de boucherie/charcuterie, ainsi que les plats traiteur tels que des lasagnes, des tartes et sandwich, sont préparés directement par les équipes Boucherie/charcuterie/traiteur du magasin Saveurs et Saisons à Villeneuve d’Ascq. ...
Pionniers d’une ère nouvelle, ces producteurs engagés créent la Fromagerie de la Meix en 1985 pour transformer leur lait, puis Est Distribution Biogam pour vendre et distribuer leurs produits et d’autres produits 100% issus d’agriculture biologique sous la marque Biogam. Biogam, c’est une communauté, une famille mais aussi un acteur historique et incontournable de la filière laitière biologique en France. Dans les années 60, alors que l’agriculture biologique n’en est qu’à ses balbutiements, les agriculteurs fondateurs décident, en effet, d’installer la fromagerie au sein du GAEC de la Meix avec la volonté de faire connaître leur activité et leurs produits. Un pari réussi pour ces pionniers des produits laitiers bios de A à Z. Grâce à leur persévérance, leur enseigne fait désormais figure de référence dans les réseaux spécialisés bios historiques. Allant du fromage à la crème fraîche, en passant par le yaourt, chaque produit est le reflet d’une passion commune pour la consommation saine et le respect d’une fabrication artisanale. Collecte, transformation et valorisation Voilà près de 50 ans que la Fromagerie de la Meix est l’ambassadrice du bio dans la Lorraine. En effet, allant des critères de sélection des matières premières au processus de transformation, chaque maillon de cette chaine de valeur, véritable filière de proximité, est rigoureusement contrôlé afin d’assurer la traçabilité et l’authenticité des produits. « Nous nous fournissons en lait exclusivement auprès d’une quarantaine de producteurs que nous suivons depuis des années. Nous ne prenons jamais de lait auprès d’autres producteurs afin de pérenniser ce circuit de qualité », assure le gérant, Monsieur Laurent Berthomieu. Outre cette collecte basée sur la durabilité et la fiabilité, la transformation du lait répond à un savoir-faire artisanal et fidèle aux traditions, loin des méthodes utilisées dans le secteur industriel. « Ici, le lait est stérilisé en autoclave et le yaourt est fermenté très lentement en cuve. En découlent alors du lait et du yaourt ivoire à la texture douce et onctueuse », reprend Monsieur Berthomieu. D’ailleurs, l’unité d’embouteillage de Biogam à Reillon est, aujourd’hui, la seule de sa catégorie à être exclusivement biologique sur tout le territoire français. De plus, le fromage tient une place importante dans cette gamme bio grâce notamment à l’Emmental, fromage à pâte pressée cuite au lait thermisé ou au lait cru, des fromages à pâte pressée non cuite, à l’image de la Mimolette jeune, « une Mimolette vieille seulement de trois mois et dotée d’un goût de noisette et d’une texture plus souple » nous indique-t-on, et des fromages à pâte molle à croûte fleurie, tel que le Brie pasteurisé. Le respect des saisonnalités, des prairies et de l’alimentation des vaches laitières contribue à la noble qualité de ces produits laitiers traditionnels, sains, goûteux et représentant la richesse du terroir lorrain. Des délices, qui sont valorisés dans les réseaux de distribution dédiés uniquement aux produits bios. ...
En plus de profiter d’un emplacement privilégié, le Château Lafon a su magnifier un terroir prodigieux pour nous proposer deux vins blancs liquoreux d’exception. Le Château Lafon : une enclave au milieu des vignes du Château d’Yquem Le Château Lafon est une propriété familiale qui a été achetée dans les années 1920 et qui a été, ensuite, transmise de génération en génération. Localisé en plein milieu du Château d’Yquem, dans le Sauternes, le domaine (qui a obtenu la certification HVE) dispose de 12 hectares de vignes 100% Sémillon. Pour en arriver à ce vin blanc liquoreux aux notes de noisette, de miel et d’acacia, chaque cuvée est élevée avec passion et amour du terroir. Ainsi, après une vendange manuelle par tri successif, le vin passera par des cuves en inox et sera finalement vieilli en barriques de chêne pendant 12 mois. Ce qui permet de créer le Château Lafon et le Château Nauton, tous deux multi-récompensés et accompagnant aussi bien un foie gras qu’un dessert chocolaté ou fruité. ...
Féru de travail et minutieux dans la conservation du savoir-faire ancestral, Bernard Boutinet reste toutefois un homme sympathique, généreux et surtout courageux. Et pourtant, il intervient dans une activité difficile qu’est la production de cognac. «C’est un produit très sensible aux crises économiques qui touchent les pays du monde », nous confie-t-il. Pour pallier ce phénomène, il a heureusement un secret : « rendre un travail bien fait et laisser faire le temps ». Une rigoureuse fabrication La maison Boutinet ne cesse de répondre aux besoins des amateurs de cognacs en leur proposant des eaux-de-vie d’exception élaborées dans des conditions les plus naturelles et traditionnelles possibles. Pour elle, le secret de fabrication réside dans la récolte des fruits, la fabrication du vin, le passage de l’alambic et enfin le vieillissement dans des barriques de chênes qui peut aller jusqu’à vingt-cinq ans. Toutes les étapes sont respectées, donnant finalement une eau-de-vie noble et riche en bouche. La partie du travail la plus dure commence dans le vignoble de 27 hectares doté d’un sol argileux et sableux sur lequel est cultivé le cépage «ugni blanc ». Après distillation, l’eau-de-vie fruitée et dotée d’un caractère floral typique des Fins bois est vieillie en fûts de chêne en toute intimité pour arborer ses belles tonalités ambrées. Dans ce processus d’élaboration très strict, Bernard Boutinet confie que « la qualité du cognac dépend principalement de son assemblage, mais aussi de la qualité du vin. » En expert, il nous explique que «l’acidité du vin est un facteur favorable pour le Cognac». Les produits ambassadeurs Parmi les produits phares de la maison figure le Cognac&Cigars. Médaillé d’or en 2016 et 2017 à Moscou, il s’agit d’un assemblage de deux très vieux cognacs. Les autres incontournables selon le maître des lieux restent le VSOP, le Napoléon et le XO. Des produits délicats et d’une rare complexité qui se découvrent à l’occasion de visites et de séances de dégustations au domaine. En complément du Cognac, les visiteurs peuvent visiter la Galerie de peintures de Marie Claire PAJEILE, artiste qui expose dans plusieurs pays du monde. Afin de prolonger l’expérience dans l’univers du cognac, les convives peuvent réserver une chambre au Logis de l’Astrée à Saint Bris des Bois (17 ), une maison d’hôte appartenant à la fille de Bernard, Sophie Boutinet-Mangeard, qui produit également son propre vin. Ce Logis vient de Paul Boutinet, grand père de Bernard, alors que son domicile actuel était l’héritage de Céleste Vincent, sa grand-mère. ...
La maison Mira, c’est d’abord et avant tout une brasserie aux savoir-faire et au style bien affirmés. Mais c’est aussi un pub atypique, où la musique et l’art ont toute leur place. Mira, un concept à deux têtes Mira est la concrétisation d’un projet partagé par deux passionnés de houblon : Jacques Bellec et Aurélien Rey. En 2015, les deux associés ont eu le déclic au cours d’une visite effectuée dans une brasserie implantée au Canada. Un an plus tard, la première bière Mira voit le jour : la Mira Blonde n° 1 « floquée » d’une chimère, un animal fabuleux à deux têtes ! C’est le début d’une belle épopée, qui verra la création successive de nouvelles gammes de bières authentiques. Des produits diversifiés La Brasserie Mira confectionne ses produits de A à Z. En tout, la maison propose deux gammes de bières « Mira » et « BM », une gamme « Soda » et des spiritueux. Mais la brasserie n’a nullement l’intention d’en rester là. « Nous lancerons très bientôt une bière bio et sans gluten », annonce Lucile Crestey, chargée de marketing et communication. S’agissant de la production des bières justement, la maison se démarque par l’utilisation d’une eau de source presque « mira-culeuse » ! « La bière est composée de 82 % d’eau et celle que nous utilisons est très spéciale », nous confie-t-on. En effet, c’est à 300 m de profondeur, directement sous la brasserie, que la maison puise une eau de source de 22 500 ans d’une qualité exceptionnelle. Parfaitement minéralisée, cette eau d’une grande pureté a traversé pas moins de 67 couches. Avec cet ingrédient rarissime, la maison produit des bières au goût inimitable. À l’exemple de la Mira Blonde, mélange subtil de malt d’orge et de houblon, qui séduit par ses accents floraux et son arôme incomparable. Et que dire de la Mira Ambrée et de son surprenant gout caramélisé ? « Nous proposons aussi des bières en édition spéciale comme l’édition Noël », rapporte notre interlocutrice. La gamme « Soda », quant à elle, se compose de 3 boissons gazeuses : la limo, le cola et le tonic. 100 % rafraichissantes, celles-ci révèlent de subtils arômes, qui seront un pur délice pour toutes les papilles. Concernant les spiritueux, la maison présente un « London Gin » de haut de gamme, élaboré à partir d’alcool de blé et d’une macération botanique. Ce gin est le complice idéal du « Mira Tonic » avec lequel il peut exprimer toutes ses caractéristiques. Ensemble, ils forment un cocktail réussi, qui plaira aussi bien aux amateurs qu’aux passionnés. Si ces boissons offrent des expériences différentes en termes de saveurs, elles partagent toutes le même secret : une eau pure, exempte de pesticides, de chlore et de nitrates. Un pub atypique Accolé à la brasserie, le pub Mira est l’endroit indiqué pour faire plus ample connaissance avec les spécialités de la maison, grâce à une carte d’alcools et d’apéritifs bien fournie. Par ailleurs, les gourmets de passage ont l’occasion de déguster des plats savoureux, cuisinés exclusivement avec des produits frais. Le soir, tapas en tout genre et pièces du boucher sont à l’honneur. Côté animations, l’établissement organise un concert par jour. « Nous avons de nombreux évènements liés à la musique et nous accueillons des artistes qui viennent se produire tout au long de l’année », nous dévoile Lucile Crestey. Chaque mois, le pub Mira soutient les nouveaux talents locaux, en leur donnant l’opportunité de se produire devant un public. S’ils le souhaitent, ces artistes en herbe peuvent se perfectionner auprès d’une école de musique sous la supervision de professeurs expérimentés. Véritable lieu de culture et de partage, l’établissement accueille également de nombreuses manifestations artistiques (street art, expositions&...
latabledeseleveurs.fr est le résultat d’un partenariat entre deux entrepreneurs ayant su combiner leur savoir-faire dans leurs domaines respectifs. En 2016, Thierry Potier, expert en e-commerce, est initié par Manuel Pringault, à la tête du traiteur Teba spécialisé en viande de boucherie dans la Manche, pour créer ensemble une boucherie en ligne privilégiant le circuit court en Normandie. Travaillant uniquement avec des éleveurs du coin, latabledeseleveurs.fr concentre toute leur activité dans le département de l’Orne. En plus de mieux valoriser le travail des éleveurs locaux qui n’ont plus à passer par divers intermédiaires pour vendre leurs produits, latabledeseleveurs.fr fait le bonheur des locavores en quête de viandes de qualité dans leurs assiettes. La saveur d’une viande de qualité Les viandes en provenance des éleveurs partenaires de latabledeseleveurs.fr sont découpées et préparées. Ne s’intéressant uniquement qu’à l’élevage traditionnel, l’enseigne garantit une viande savoureuse à ses clients. Les bovins, par exemple, sont élevés au pâturage, se nourrissent d’herbe en été et de fourrage en hiver. Pour la viande de porc, l’élevage sur litière végétale est privilégié, soit sur des copeaux de bois, soit sur de la paille. Le soin apporté aux animaux ainsi que leur alimentation est donc le gage d’une viande plus nutritive et riche en goût. Et bien que vendus directement aux consommateurs, les produits frais que l’on trouve chez latabledeseleveurs.fr ne sont pas plus chers que dans la filière traditionnelle. Une livraison express inégalée Selon Thierry Potier, « on peut difficilement faire mieux dans la logistique de la viande en termes de service de livraison ». Sur des produits rapidement périssables comme la viande de boucherie, la logistique est savamment organisée. Grâce à la livraison spécialisée Chronofresh dédiée aux produits frais, l’enseigne assure une expédition dans un délai de deux jours. Et cela s’effectue dans le total respect de la chaîne du froid, car les colis sont acheminés par transport frigorifié. Pour faire profiter de ses bons produits non seulement aux Normands mais aussi aux amateurs des produits frais de la Normandie aux quatre coins de la France, l’enseigne propose une livraison dans tout le pays dans les mêmes délais. ...
Le Château des Annereaux, c’est l’histoire d’une famille installée dans la région depuis 1390. Fortement impliqués dans la production vinicole, les Annereaux ont participé entre autres à la lutte contre le phylloxera au XIXème siècle. Aujourd’hui, cette ferveur visant à améliorer la qualité des vignes et des vins perdure grâce au travail de Benjamin Hessel, représentant la dernière génération. Le bio pour protéger les hommes et préserver la terre À partir de 2007, l’ensemble du vignoble qui s’étend sur 25 hectares, dont 22,7 ha consacrés à l’appellation Lalande de Pomerol et 2,3 ha à l’appellation Bordeaux, est conduit en viticulture biologique. « Mon père, Dominique Hessel, a décidé de faire cette reconversion entre autres pour éviter que les employés travaillent dans des conditions dangereuses », confie Benjamin Hessel. Cette viticulture respectueuse de la terre combinée à un terroir favorisant la bonne maturité des raisins donne des vins harmonieux, fruités, à la belle expression aromatique. ...