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Salon, marché paysans, bio : découvrez tous les événements gourmands

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Gastronomie
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"Best Wine In Box": A la découverte du plus grand concours des vins en « boîte » !

Réunissant tous les producteurs de vins conditionnés en bag in box (BIB), le concours « Best Wine in Box » a été créé en 2015 par Anne-Marie Estampe. Le concours a su s’imposer comme référence en la matière et l’apposition du certificat d’excellence sur les fontaines à vin est gage de qualité. Il réunit ainsi chaque année, vignerons indépendants et caves coopératives, négociant...

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Gastronomie
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Artisans Partisans : le partage, au cœur de la démarche

Artisans Partisans est né d’une volonté simple : instaurer l’harmonie entre l’homme et la nature. À la tête de ce collectif, Pierre Bories, un artisan-vigneron guidé par l’envie de faire connaître les richesses des Corbières et du Languedoc occidental mais pas seulement. Pour atteindre ses objectifs, ce visionnaire s’investit dans de nombreux projets dont la passion, l’échange ...

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Gastronomie
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Papilles & Mamies : délicieusement authentique

Papilles & Mamies propose une cuisine 100% faite maison, saine et équilibrée, mais surtout savoureuse. Pourquoi ne pas se simplifier le quotidien ? De l’entrée au dessert, partout en France, vous êtes livré chez vous. L’ouverture des commandes est prévue avant l’été, une bonne nouvelle pour les papilles en quête de saveurs !

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Jubiles : l’entreprise qui va vous faire aimer la Kombucha.

Vous avez enfin trouvé une alternative à l’eau et aux sodas : la kombucha.

Gastronomie
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Grandes Distilleries Peureux : l’art de l’excellence

Voilà maintenant 155 ans que les Grandes Distilleries Peureux ne cessent de surprendre au travers de leurs créations aux saveurs inégalables ! Excellence, élégance et raffinement constituent la signature des produits élaborés par cette entreprise historique.

Actualité gourmande : salons, dégustations et marchés de terroir

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Ramonville-Saint-Agne
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Artisans Partisans - Château Ollieux Romanis
Artisans Partisans : le partage, au cœur de la démarche
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Le Cordon Bleu Paris lance un Diplôme Pâtisserie Innovation et Santé, en accord avec son temps
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Le Cordon Bleu Paris : un nouveau Diplôme de Gastronomie, Nutrition et Tendances Alimentaires
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Le Cordon Bleu Paris : une pédagogie sans relâche malgré la crise
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Le marché hôtelier face à la crise du Covid-19 :
Entretien avec Jean-François Gagne
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Nouveau MBA : Le Cordon Bleu Paris et l’Université Paris Dauphine – PSL forment les futurs leaders de l’hôtellerie
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Algosud : le producteur de spiruline 100% française depuis plus de 18 ans.
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Destination Saône & Loire : promouvoir l’attractivité touristique de la Saône-et-Loire
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WeCook WeCare : e-coaching culinaire
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OniMegiri : les onigiris et d’autres saveurs surprenantes !
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Saint-Yrieix-la-Perche
Office de tourisme intercommunal du Pays de Saint-Yrieix
Pays de Saint-Yrieix : Terre de plaisirs partagés !

LES ARTICLES LES PLUS LUS

Restaurant L'Escapade marseillaise : une cuisine aux saveurs du Sud

À travers une cuisine aux saveurs du Sud préparée à la minute, cette belle adresse située au cœur du plus vieux quartier de Marseille n’a pas fini de créer la surprise. Embarquant avec la plus grande facilité les gourmands comme les gourmets, l’enseigne propose les meilleurs des plats marseillais avec, comme signature, le coup de patte d’un jeune chef à l’inspiration créative. Entre tradition et modernité  Décoré avec goût, notamment avec de beaux clichés de Marseille d’hier et d’aujourd’hui, ce restaurant à la cuisine inspirée porte bien son nom. Rivalisant avec les grands, cette adresse bien connue de la cité a reçu la nouvelle distinction « l’Assiette » du guide Michelin 2016. Dans une ambiance simple et conviviale, il propose un véritable cocon où tradition et modernité se marient dans une juste proportion. Se voulant plus chaleureuse, elle s’offre une seconde jeunesse pour un cadre plus moderne aux touches méditerranéennes. Un bel accord mets-vins Grâce à une carte originale qui change toutes les semaines, l’établissement est en mesure de proposer une cuisine d’instinct et de marché aux formules gourmandes qui laisse place à une véritable découverte culinaire. Laissez-vous tenter par sa tartine de sardine, son croquant de légume pour ouvrir l’appétit avant de continuer avec son thon mi-cuit minestrone à la provençale et pour terminer sur une note sucrée, son délicieux dessert choco-passion. À travers un bel accord mets-vins, l’adresse permet également de découvrir les meilleurs des vins du monde et de région tels que les vins de Provence, du Rhône, de Bourgogne et les bordeaux. ...

Le Quincangrogne : une auberge en bord de Marne au glorieux passé

Rachetée en 1964 par le chef étoilé au Guide Michelin Arthur Keller, cette guinguette du bord de Marne au nom très évocateur est aujourd’hui un lieu de charme et d’exception, absolument à découvrir. Baignant dans une atmosphère moderne et épurée avec des tables non nappées en bois massif, l’Hôtel Restaurant Le Quincangrogne, récemment affilié aux Logis de France, offre une agréable vue sur la Marne. Dans un concept particulièrement convivial, sa cuisine ouverte sur une verrière de 4 m de long permet par ailleurs une vue générale sur ce qui se passe derrière les fourneaux, sans parler de son immense plateau de fromages et de son imposante cheminée. À travers une cuisine gastronomique empreinte d’une touche méditerranéenne et de subtilités asiatiques et qui privilégie les produits régionaux, Le Quincangrogne séduit par la diversité de ses plats qui sont, par ailleurs, de véritables découvertes culinaires.  Des plats inventifs Démarrez les hostilités avec sa délicieuse entrée d’escargots de la ferme de Pamfou flambés à l’anis, accompagnés d’une émulsion lactée de noisettes de la Ferme de Férolles (Seine-et-Marne). Continuez avec son cochon de la ferme d’Aubetin, à Dagny (Seine-et-Marne), frotté à la fleur de sel et confit pendant 14 heures, accompagné d’un beurre mousseux demi-sel, avant de terminer avec sa clémentine confite dans son jus, meringuée, accompagnée de son sorbet relevé à la bergamote. Pour accompagner chacun de vos repas, la carte des vins du Quincangrogne est riche en surprises. Elle vous permet un excellent choix parmi de nombreuses références de vins typiquement français, dont les plus appréciés sont le Beaune 1er cru du Domaine Berthelemot ou le Clos des Mouches et le Condrieu de chez Robert Niero. ...

Château Mons Delaunay : des millésimes ouverts de passion et de rigueur à Bordeaux

L’histoire du Château Mons Delaunay remonte à loin, pour ainsi dire à l’époque gallo-romaine. Au cours de cette période, le commerce du vin est florissant grâce à la proximité avec l’estuaire de la Gironde qui favorise les échanges. Du XVème au XVIIème siècle, le Château de Mons a été agrandi et embelli et l’ajout d’un chai sur le site viticole a contribué à sa renommée. Tombé en désuétude au XIXème siècle puis renaissant de ses cendres à partir des années 60, il est à nouveau abandonné par ses propriétaires en 2006. Les lieux ne connaîtront décidément pas un destin ordinaire. L’arrivée de Philippe Delaunay à la tête du domaine en 2007 lui a redonné un nouveau souffle. Rebaptisée Château Mons Delaunay pour l’occasion, l’exploitation s’inscrit désormais comme l’une des perles du vignoble bordelais. À terroir exceptionnel, vin exceptionnel Situé à Blaye dans l’axe de la Gironde, le remarquable terroir fait la fierté de Philippe Delaunay. « Nous sommes établis sur des calcosols argilo-limoneux sur plateau calcaire à Astérie. Les vignes s’enracinent sur la roche qui se trouve à un mètre de profondeur. Cette barrière superficielle ne les empêche pas de se développer correctement grâce au sol calcaire qui garde l’eau et s’en sert pour les alimenter », nous fait part le vigneron. Le terroir présente des similitudes avec Fronsac et Saint-Émilion, ce qui explique son caractère exceptionnel. D’ailleurs, les terres de Mons sont considérées comme l’un des meilleurs vignobles de la rive droite. Sur ce terroir d’une belle singularité se développent principalement trois types de cépages à savoir le merlot, le cabernet sauvignon et le malbec. Les vignes établies sur 12 parcelles de 3,5 hectares sont âgées de 20 à 50 ans. Une pratique culturale respectueuse de la terre La maison s’est attribuée comme ligne de conduite de produire des vins naturels, intemporels, d’excellence et de passion. « Notre philosophie est de faire le maximum de travail dans la vigne pour tirer la substantifique moelle du terroir », déclare notre interlocuteur. Tout commence donc au vignoble dont le comportement est suivi avec la plus grande rigueur. Carences, vigueur, stress hydrique… rien n’échappe à Philippe Delaunay et son équipe. L’enherbement naturel ainsi que le travail mécanique des sols renforcent la résistance des vignes. Dans sa démarche, le domaine pratique une "agriculture raisonnée". Le domaine est dans une démarche de conversion bio. Les vendanges quant à elles s’organisent à maturité pour « essayer d’apporter le fruit le plus parfait possible au chai ». Au cours de la vinification, pas de filtration ni de collage et du So2 au strict minimum. Pour ce qui est de l’élevage qui dure entre 24 et 36 mois selon les millésimes, le Mons signe l’excellence de son vin en utilisant des barriques "Blend" de chez Radoux, joyau de la tonnellerie mondiale et d’autres de chez Remond. Des vins de garde et de prestige Le Château Mons Delaunay s’anime de cette volonté de faire découvrir des millésimes anciens et ouverts à un plus large public à travers ses grands vins de Bordeaux. La réserve normalement conservée pour la grande restauration est désormais accessible au plus grand nombre. Les millésimes âgés de plus de dix ans s’intitulent Château Mons Delaunay et Diane de Mons. Vin de « niche » à la fois élégant, pur et naturel, la cuvée Château Mons Delaunay fait le bonheur des connaisseurs en quête de l’introuvable. Ce vin de grande garde peut être conservé pendant encore 15 à 20 ans. La cuvée Diane de Mons est un second vin produit de façon exceptionnelle lorsque le millésime ne permet pas d’intégrer toutes les parcelles dans le Château Mons Delaunay. Exprimant la quintessence de son terroir, Diane de Mons subit le même processus de vinification avec toutefois un élevage plus court.   ...

Les Vignobles Jander : première propriété certifiée en agriculture biologique sur les appellations Listrac-Médoc et Moulis.

Quand on apprécie les vins de la région bordelaise, il y a certains grands noms immanquables tels que les appellations Listrac et Moulis. Que vous soyez déjà amateur de ces types de vin ou que vous souhaitiez les découvrir, nous vous conseillons de visiter le domaine Les Vignobles Jander, première propriété certifiée en agriculture biologique sur ces deux appellations. Histoire du domaine Bien que l’on ait peu de données sur la véritable origine du domaine, les premières traces semblent indiquer la date de 1775. À cette époque, une carte de « Guienne » le mentionne et évoque le château de Semeillan. Puis, le domaine n’a cessé de changer de propriétaires, siècle après siècle. Parmi ceux-ci, il est difficile d’oublier la Vicomtesse du Pavillon. En effet, en tant que propriétaire du château de Semeillan avant 1925, celle qui fut la descendante de la famille du Cheyron du Pavillon est citée dans de nombreux textes. En 1925, le château et le domaine sont vendus à la famille Hostein qui partagea la propriété en trois (une part pour chacune des trois filles de la famille). C’est à cette date et grâce à l’union de Mademoiselle Hostein et M. Mazeau, créateur de l’appellation Listrac, que sera créé le château Semeillan-Mazeau. Faisons un bond dans le temps et intéressons-nous précisément à 1998. C’est, en effet, l’année où M. Jander et sa femme décident d’acheter, tout d’abord, le château au Crédit Lyonnais qui en avait fait l’acquisition au préalable. Puis, parce que le château et le vignoble avaient été revendus précédemment par les descendants Hostein, ils s’intéressèrent aussi aux vignes. Les propriétaires décident alors de restaurer le château construit en 1810 et la propriété viticole avec toujours cette volonté de marier modernité et charme d’antan. Un domaine qui se concentre sur l’agriculture biologique Il est intéressant de noter que le domaine Les Vignobles Jander a toujours souhaité rester fidèle aux us et coutumes de la vinification. L’objectif du vigneron : proposer de délicieuses boissons tout en respectant le raisin. Ainsi, depuis 2012, le domaine est devenu beaucoup plus strict au niveau du traitement des vignes afin de respecter le cahier des charges définissant l’agriculture biologique. D’ailleurs, Maxime Julliot, le directeur du domaine, nous explique avec fierté que, depuis 2015, le domaine Les Vignobles Jander est la première propriété à être certifiée en agriculture biologique sur les appellations Listrac-Médoc et Moulis. En visitant les vignes, on peut d’ailleurs se rendre compte que le chai du domaine est un savant mélange de matériel moderne (les cuves thermorégulées en sont la preuve flagrante) et de méthodes de travail plus traditionnelles. D’ailleurs, on nous explique que l’on attend patiemment pendant plusieurs dizaines de mois que le processus de vinification se fasse. Puis, chaque vin est travaillé et assemblé pendant quelques mois de plus avant d’être mis en bouteille. Cela permet de les stabiliser et de les équilibrer tout en respectant la matière première. C’est ce qui donne ce côté unique aux créations de la propriété. À savoir : l’exploitation de 17 hectares se partage entre cabernet sauvignon et merlot (avec respectivement 47% du premier et 53% du second). De plus, le domaine profite de sols propices à d’excellentes cultures (argilo-graveleux pour le Château Jander et sablo-graveleux pour le Château Sémeillan-Mazeau). Des vins sérieux, puissants et élégants Évidemment, pour mieux connaitre les créations de la propriété, il faut les goûter. Dans ce cas, nous vous conseillons de vous rendre sur place si vous êtes de passage dans la région. En plus d’être constamment ouvert au public, de nombreux événements sont proposés. Surtout en été où il est possible de se balader dans le vignoble tout en profitant d’un bon repas. Idéal pour en apprendre plus sur le domaine et sur la façon de travailler le fruit en appréciant à sa juste valeur chaque création unique. Et, pourquoi pas, apprendre à marier vins et...

Domaine Caujolle-Gazet : des vins qui rendent hommage aux sols du Larzac

Une culture fusionnelle avec le sol Le Domaine Caujolle-Gazet conçoit ses vins à partir de cépages bénéficiant de soins particuliers. Chardonnay, Carignan Blanc, Pinot noir, Grenache blanc et d'autres sont intimement entretenus sur une dizaine d’hectares. Traitements doux, apport de compost, tout est pensé dans le respect de la bio et de la vie du sol. Elevés dans une cave en paille auto-construite par les vignerons Benoît Huet et Alain Caujolle-Gazet, les vins certifiés bio – quatre rouges, un blanc et un rosé – se démarquent par leur minéralité, leurs notes fruitées et leur longueur en bouche. Les noms attribués aux crus révèlent toute la tendresse apportée à chacun d'eux. On citera "Orfran", un blanc emblématique du domaine, nommé avec les première syllabes des noms des trois enfants du vigeron. Des vins qui respirent la nature, d'une belle complexité, à savourer délicatement et avec gourmandise. ...

Pietra : des bières à l’identité corse

Depuis, ils y fabriquent des bières artisanales dans le plus pur respect de la tradition brassicole, en pratiquant une sélection rigoureuse des matières premières. La brasserie Pietra se situe à Furiani, près de Bastia, en Haute-Corse.  Les bières de la brasserie Pietra La bière Pietra, le produit fondateur de la brasserie Pietra, est brassée à partir de malt et de farine de châtaigne corse. Mélangée au malt lors de l’empâtage, la farine de châtaigne est utilisée comme une matière première et non comme un arôme. Cette recette unique au monde confère à la Pietra une saveur tout en contraste. Puissante et délicate, charpentée et moelleuse, la Pietra titre 6 % d’alcool. Elle affiche une belle robe ambrée et une mousse intense à fleur châtaigne. Depuis, sont nées d’autres recettes exclusives : - Pietra Bionda, présentant un parfait équilibre entre malt pâle, farine de châtaigne et houblon aromatique ; - Pietra Rossa, une bière aux fruits rouges présentant des notes de griotte, et une pointe de framboise et de mûre ; - Colomba, une bière blanche à base de malt d’orge et de froment, infusée aux herbes du maquis, avec des notes fraîches d’agrumes et un arôme épicé ; - et, depuis peu, Colomba Rosée, une bière blanche aux arômes naturels d’orange et de framboise, brassée à partir de malt d’orge et de malt de blé, fraîche, légère et fruitée.  Également disponible en saison : la Pietra de Noël. Visite La brasserie se visite tout l’été, du lundi au vendredi. Le reste de l’année, elle est accessible sur rendez-vous. ...

Restaurant L'Arnsbourg :
une cuisine de haute voltige dédiée aux épicuriens

Situé en Lorraine, le restaurant L’Arnsbourg est une invitation au partage, au plaisir et à la joie. Que ce soit pour déguster des plats originaux ou assister à des soirées organisées par des maisons de champagne, L’Arnsbourg est le point de rendez-vous de tous les amateurs de bonne cuisine du Grand-Est. Suggérer une cuisine à la fois savoureuse, raffinée et gourmande, tel est le souhait de Laure et Fabien Mengus, les heureux propriétaires de l’établissement. L’Arnsbourg : un coin repas au cœur de la nature La maison Mengus commence à gagner du terrain dans le monde gastronomique, aussi bien dans l’Hexagone que dans les pays limitrophes. Instauré en plein cœur de la forêt de Baerenthal depuis un an, L’Arnsbourg séduit plus d’un, non seulement par sa situation géographique singulière, mais surtout par la diversité et l’originalité des mets qu’il propose. Bénéficiant déjà d’une étoile, l’établissement est un lieu d’expression puissant et convivial qui reflète l’image de ses propriétaires. Le couple trentenaire a radicalement transformé L’Arnsbourg en un véritable coin luxueux proposant une table gastronomique remarquable. Un jardin spacieux permet d'admirer la nature et le paysage environnant. Le plaisir des épicuriens En étroite collaboration avec les producteurs locaux, Fabien, le chef, travaille avec des produits frais et de saison qui raviront tous les palais, même les plus exigeants. Légumes, poissons, fruits de mer, viande… il y en a pour tous les goûts ! À L’Arnsbourg, trois types de menus sont proposés. À savoir le « Menu Plaisir », servi uniquement au déjeuner, du mercredi au vendredi, le « Menu Partition » entre trois ou cinq plats et le « Menu Intuition » qui est une succession de sept plats. En entrée, la délicieuse langoustine en quatre déclinaisons nous est suggérée. Le Paleron de bœuf black Angus servi sur charbon de bois sera proposé en guise de plat. Le dessert Mangue-Passion, quant à lui, achève en douceur ce périple culinaire. Ces plats à base de produits nobles et dont les accompagnements changent régulièrement sont sublimés par une carte de vins riche de mille références. ...

S'Zwilling Stuebel :
une cuisine française ouverte au monde, à Strasbourg

Le restaurant S’Zwilling Stuebel, établi depuis 1998 dans la rue Kuhn, dans le quartier de la Gare, à Strasbourg, est tenu par Joan et Maxime Bitzner. Un couple complice et polyglotte, qui se fait un plaisir à recevoir les convives venus de la région mais aussi de lointaines contrées. Ici, esprit de partage et valeurs culinaires traditionnelles sont à l’honneur. Le riche parcours du chef S’inspirant de ses voyages en Asie, notamment la Chine qu’il affectionne particulièrement, puisque son épouse en est originaire, Maxime Bitzner invite à la découverte d’une cuisine française revisitée qui se réserve quelques petites touches exotiques. C’est avec fierté qu’il nous confie : « Ma cuisine est influencée par les endroits que j’ai parcourus. » Il aime ainsi explorer les saveurs et les produits exotiques pour perfectionner ses créations culinaires. Sortant de l’école hôtelière de Strasbourg, ce chef passionné a effectué sa formation dans le Gers et a acquis ses premières expériences dans le Var, à Bordeaux, à Nancy et dans le nord de la France. Après avoir exercé un temps au Château de Pourtalès, il décide de poser ses valises à Strasbourg pour y ouvrir son propre restaurant. Fort de ses nombreuses années d’expérience, il propose une cuisine française, s’ouvrant au monde et préparée avec des produits frais. « Mon objectif est de ne jamais dénaturer le produit, de lui laisser sa plus belle expression », raconte-t-il. Une cuisine aux mille et une saveurs Pour les travailleurs pressés du midi, S’Zwilling Stuebel propose une formule à 10 € composée d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert. Pour ceux qui souhaitent déguster les spécialités régionales, un menu à 26 € met à l’honneur les saveurs du terroir. Pour le printemps, la maison réserve à ses convives une carte gourmande et savoureuse. En entrée, la déclinaison de pommes de terre à l’huile de noisette égaye déjà les papilles des plus gourmands. Le repas se poursuit avec une gibelotte de lotte rôtie au basilic accompagnée de petits légumes. Au dessert : rien de tel qu’une mousse au chocolat et coulis de fruits rouges ou un tiramisu à l’italienne maison pour apporter de la douceur à ce repas mélodieux. Côté vins, la carte privilégie les grands millésimes d’Alsace comme le riesling grand cru et du pinot gris. Et pour accompagner les gibiers agrémentés de sauces légèrement corsées, rien de tel que les côtes-du-rhône et les bordeaux, qui prennent une place importante dans la gamme des vins. ...

Champagne Météyer père et fils :
un champagne hautement récompensé

L’histoire des champagnes Météyer commence en 1860, année durant laquelle Pierre Clément hérite des vignes de son beau-père. Le domaine passe de père en fils. Depuis 1989, c’est la cinquième génération, en la personne de Franck Météyer, qui s’occupe de l’exploitation avec son épouse, Anna. Vigneron indépendant, Franck prend soin de ses vignes en utilisant des méthodes de travail respectueuses de l’environnement et de la tradition champenoise. Plusieurs champagnes récompensés Parmi les champagnes proposés : La Carte Argent est un assemblage de Pinot Noir, Pinot Meunier et Chardonnay, offrant une robe dorée aux reflets argent, avec des bulles fines et persistantes. Ce Champagne, médaillé au prestigieux concours international Decanter en 2016, fut à plusieurs reprises sélectionné au Guide Hachette des Vins (2016 inclus).  La Cuvée Marine, rareté présentée dans une bouteille bleue au look moderne et élégant, est composée de 50 % de Chardonnay, de 25 % de Pinot Noir et de 25 % de Pinot Meunier. En bouche, elle se démarque par une belle minéralité. Cette Cuvée, sélectionnée plusieurs fois au Guide Hachette des Vins et finaliste au Jeunes Talents du Champagne, fut médaillée au Challenge International du vin en 2016.  L'Exclusif, l'un des trois monocépages de la gamme Météyer, est un champagne gastronomique. Ses dix ans de maturité lui confèrent des arômes puissants, tout en longueur et sans amertume. Cette cuvée zéro dosage atteint son apogée lorsqu'elle est carafée. Champagne plébiscité par “Le Monde”, sélectionné au Guide Hachette 2015 et médaillé Decanter 2016! Art et champagne Marquez un arrêt Champagne en visitant la cave de l’exploitation, où sont conservées de précieuses bouteilles. Poursuivez votre visite au musée de la vigne et du vin, pour découvrir, à travers d'anciens outils, l'histoire de la Champagne et du champagne. Parmi les curiosités : une machine à démasquer, un bossin, une guérite à dégorgement, une boucheuse à maillet du XIXe siècle ou un calice du XVIIIe siècle... Mais aussi d’anciens flacons et des costumes d’époque. Une salle de dégustation sublime et insolite vous révélera les trésors de la famille Météyer, et mettra en scène des expositions temporaires d'artistes du monde entier. ...

Le domaine des Rosier : le Viognier à l’honneur

Cette propriété existait déjà depuis 1800 mais elle n’a été exploitée par la famille Rosier que depuis 1956 par le biais du grand-père Paul. Après des études d’œnologie à Orange et Belleville-sur-Saône, Bruno Rosier débute au domaine en 1990 auprès de son père. Il commence par planter de nouveaux cépages et introduit du Viognier sur le domaine. A cette époque, la production était encore amenée à la coopérative La Suzienne. Le domaine sous l’ère Bruno Rosier Dès qu’il reprend en main l’exploitation en 2002, Bruno décide de vinifier lui-même sa production. Il travaille ses 30 hectares de vignes et 20 hectares de lavandin en agriculture raisonnée. Cette technique consiste à mettre des rangées de paille de lavandin distillé sous les vignes. Cette seule action permet à la fois d’étouffer les herbes, de lutter contre l’érosion et la sécheresse et de nourrir le sol. Il s’initie aussi à la production de vins blancs, une grande première pour le domaine. Il commence par 55 tonneaux de Bourguignon de 228 litres dans la vieille cave du domaine. Comme le résultat s’est révélé encourageant, il décide de passer à la vitesse supérieure en investissant dans une cave moderne avec des cuves en inox et des 94 futs de chêne européen. Les vins du domaine Comme Bruno Rosier aime à le répéter, il faut du bon raisin pour faire du bon vin. Il s’efforce toujours de travailler des vins ronds et souples en structure. Il propose à la vente du rouge, du blanc et du rosé, et sa touche personnelle consiste à introduire du Viognier, son cépage fétiche, dans toutes ses cuvées. La cuvée «  A l’Envol des Hirondelles » est un Vin de Pays de Méditerranée. Issu de coteaux sablo-argileux mêlés d’éboulis calcaires, ce moelleux 100% Viognier présente une robe jaune paille. Son nez est riche avec des notes de fruits mûrs et de fleurs blanches. En bouche, il est gras et doux avec une finale très longue aux arômes de fruits confits et de fruits exotiques. Il se déguste avec des toasts de tapenade, une tarte Tatin, une belle poire au chocolat ou au pain d’épices. La production de cette cuvée est limitée à seulement 3000 bouteilles. Le « Rosé Plaisir » AOC Grignan les Adhémar, est un vin à la robe rose pâle aux reflets orangés. Son nez est très riche, avec des notes de fruits rouges, pêches et agrumes. La bouche propose des touches d’amandes grillées avec des fleurs blanches. Le millésime 2012 a été récompensé d’une étoile au Guide Hachette 2014. Il se caractérise par une belle rondeur et une fraîcheur qui est parfait pour accompagner la cuisine méditerranéenne, salade, grillade et tajines, et la cuisine asiatique très épicée. ...

Restaurant Le Marjolin :
une ambiance conviviale, une cuisine de tradition

Dans ce petit nid douillet, le couple Polizzi, leur équipe et leur sourire réservent un accueil jovial à ceux qui franchissent les portes du Marjolin. Le chef, lui, se plait à émoustiller les papilles avec des mets faits maison, élaborés à partir de produits frais et de saison. Des mets copieux et authentiques Au restaurant Le Marjolin, les merveilles culinaires préparées par le chef Polizzi sont mises en scène sur une carte composée de trois entrées, de trois plats et de trois desserts. « Elle est renouvelée chaque semaine pour promettre qualité et fraicheur à tous nos clients », se félicite Mme Polizzi, la propriétaire. Épices variées, fruits et légumes un peu exotiques y sont aussi à l’honneur et procurent une note inédite aux plats classiques français. Le repas peut débuter avec le Saint-Marcellin rôti et jambon cru ou le Raviole de langoustines et bisque maison. Vient ensuite le moment d’apprécier le Filet de daurade rôti à l'huile de sésame ou le Quasi de veau poêlé aux girolles. Le répertoire des desserts, quant à lui, chante quelques grands classiques comme le Cheesecake au citron vert ou la Tartelette chocolat-noisette. Une carte des vins surprenante Le restaurant Le Marjolin détient une belle collection de vins qui rehaussent les saveurs des repas. Sa cave à vins est essentiellement composée de « petites perles issues des domaines assez peu connus », selon les précisions de la propriétaire. Parmi la trentaine de références, on peut citer le chardonnay du Domaine Gaget, le Blaye Côtes de Bordeaux ou encore le champagne Dosnon Récolte noire. ...

Domaine Rouge des Prés : pour la défense d’une qualité de viande centenaire

L’idée de départ était d’améliorer les troupeaux français en les croisant avec des têtes issues du cheptel anglais. Le système d’exploitation appliqué en Anjou, à cette époque, a favorisé le succès de l’expérience. Aujourd’hui, ce croisement de taureaux Durham à la Mancelle génère des viandes de haute qualité bouchère, réclamées par les connaisseurs. La plus anglaise des races françaises Reconnaissable à son allure longiligne, son fort gabarit et la pie rouge foncé de sa robe, la Rouge des prés était d’abord baptisée de la désignation Maine-Anjou. Elle portera ce nom jusqu’en 2004. « Longtemps, cette race qui est née au XIXe siècle a été exploitée de façon mixte, avec une production laitière relativement importante », précise M. Albéric VALAIS, le DG du Domaine rouge des prés. Aujourd’hui, elle s’aligne exclusivement dans les troupeaux allaitants, étant plus volontiers recherchée pour les riches caractères gustatifs de ses viandes. Un savoir-faire pointu pour l’élevage Question de terroir, les Pays de la Loire sont demeurés le site d’élevage de prédilection de cette race. C’est en tout cas la zone de couverture de l’appellation d’origine protégée. Ensuite, quelques troupeaux sont retrouvés au nord des Deux-Sèvres et en bordure de l’Ille-et-Vilaine. Des contextes particuliers définissent naturellement cette répartition des zones d’élevage. La race s’adapte à des facteurs pédoclimatiques doux. « Cette douceur angevine, elle cadence un petit peu notre année. C’est-à-dire que l'on a la chance chez nous d’avoir un printemps plus précoce. Ça permet de sortir les animaux à l’herbe très tôt. Au mois de mars, une bonne partie des troupeaux sont déjà arrivés en pâture », se réjouit Albéric Valais. Dans ces conditions, les bêtes jouissent alors d’une période d’alimentation à l’herbe très faste. Celle-ci se poursuit jusqu’en juin, voire au-delà. La douceur de l’automne permet de rattraper la « disette estivale » et de reprendre de l’état en perspective de l’hiver. Cette spécificité climatique offre aux éleveurs la possibilité de valoriser leurs prairies de façon optimale, alternant le recours aux prairies de fond de vallée ou de bord de ruisseau à l’exploitation des prairies sèches, à bon escient. La viande d’appellation Maine-Anjou Attribuée en 2004, l’AOC Maine-Anjou marque la consécration de la viande issue des Rouges des prés. Celle-ci se reconnaît d’emblée par sa couleur rouge intense, se distinguant tout de suite lorsque confrontée à des morceaux coupés dans d’autres races. Côté goût, ce sont les notes persillées du gras qui signent son originalité. La jutosité et la saveur de la chair sont typiques et très recherchées par les gourmets. Les néophytes en la matière peuvent toujours essayer la technique de la « mastication prolongée ». Loin du rendu granuleux qui se produit avec d’autres viandes, celle-ci a « une attaque en bouche onctueuse qui va rester même si vous mâchez longtemps ».  Principalement découpés dans les quartiers arrière, les morceaux se déclinent en bourguignon, côtes, faux-filets, entrecôtes et rosbifs. D’excellentes pièces destinées au pot-au-feu ou aux recettes de fondues sont également proposées. Pour en arriver à ces produits de qualité éminemment courus, il a fallu respecter un cahier des charges rigoureux. L’homogénéisation des systèmes de production – « une vache et sa suite pour 1 hectare d’herbe » – et les conditions de finition des animaux sont parmi les priorités des éleveurs de cette appellation. Pour les dernières, le mot d’ordre est « matières premières mélangées et non OGM ».  ...

Château Lucas :
le fruit du travail d’un beau « tandem »

L’histoire du vignoble remonte au temps de l’Empire romain, lorsque Lucius y cultiva les premières vignes et laissa son nom à la commune. Des moines bénédictins s’en occupèrent et firent sa renommée auprès de la cour d’Angleterre. À la fin du XVIe siècle, le père prieur de l’abbaye de Faize le légua à un des ancêtres de la famille Vauthier en récompense des services rendus. Ainsi, depuis 20 ans, Frédéric Vauthier perpétue au Château Lucas un savoir-faire transmis depuis 18 générations pour produire des vins de Lussac-saint-émilion authentiques.   Une agriculture respectueuse de l’environnement Le vignoble du Château Lucas occupe 20 hectares sur le plateau de Lussac-Saint-Émilion. Il est installé sur une terre spécifique aux grands crus de Saint-Émilion, faite de sol argilo-limoneux sur roche mère calcaire. « Ce type de sol permet une belle maturité des raisins », explique Frédéric Vauthier. En outre, la présence de l’argile bleue appelée montmorillonite favorise une irrigation du sol et une redistribution d'eau règulière durant toute la vie de la vigne. Soucieux de s’adapter au fonctionnement des mécanismes de régulation biologique et de l’écosystème local, Frédéric et Anne Vauthier ont fait le choix d’une agriculture raisonnée au sein de leur vignoble. Le sol est labouré à plusieurs reprises dans l’année pour éviter l’usage des herbicides, et les traitements chimiques sont réduits au strict minimum. Par ces procédés, la plante réagit par elle-même et accroit sa résistance naturelle.   Spécialiste des vins de bordeaux Au Château Lucas, la production de vins de bordeaux est un savoir-faire transmis de génération en génération. Frédéric Vauthier n’a pas dérogé à cette tradition dans l’élaboration de trois cuvées exceptionnelles : le « Château Lucas », le « Grand de Lucas » et l’« Esprit de Lucas ». Ces cuvées ont la particularité de garder leurs caractères aromatiques, amples, ronds, équilibrés, généreux et consistants à travers les millésimes. Vins fruités, floraux et tanniques, ils accompagnent les viandes rouges et blanches ou des fromages à pâte molle et les fromages de chèvre. Le « Château de Lucas » est un vin d’assemblage en parts égales de merlot et de cabernet franc, des cépages vendangés à la main en partie et à la machine. Une portion de 20 % de ce vin est vieilli en barriques afin d’apporter plus de richesse au reste de la cuvée. Sa production s’élève à 70 000 bouteilles environ par an. L'Esprit de Lucas n'est vignifié que sur les grands millésimes.   La marque Tant d’Aime « Couple dans la vie de tous les jours, nous formons aussi un couple dans le travail », déclarent les maitres des lieux. De cette union est née la marque Tant d’Aime, une gamme de vins originale. « Au départ, chacun produit sa propre cuvée, qu’on assemble pour obtenir au final un couple de vins complémentaires en vin d’homme et en vin de femme, à déguster ensemble. On veut transmettre l’image du couple, le travail du couple à travers cette marque », décrypte Anne Vauthier. « Ce sont des cuvées intimes, avec de petits volumes, mais qui sont très appliquées », complète Frédéric Vauthier. Cette marque, lancée en 2014, varie de couleur selon les millésimes. Pour cette année, le tandem a choisi d’élaborer un rosé et un blanc. Le « Blanc de Anne et Fred » 2015 en AOP Bordeaux est une cuvée d’exception, dont la production est limitée à 6 000 bouteilles. Celle-ci est le fruit de l’assemblage de la cuvée d’Anne, fraiche, élégante et fine, et celui de Frédéric, plus aromatique et minérale, fermentée en barriques neuves. Elle a été couronnée d’une médaille d’or lors du dernier Concours mondial du sauvignon. Le Tant d’Aime « Rosé de Anne et Fred » 2015 AOP Bord...

Le Veneto : Au cœur des délices et saveurs d'Italie

Situé non loin du Monument aux Girondins, et juste à quelques pas de l’intersection de la Rue de Sèze et de l’Allée de Tourny, Le Veneto est l’adresse appropriée pour savourer des spécialités italiennes. Entre maîtrise admirable des cuissons, présentation esthétique des formes et couleurs, mais aussi harmonie parfaite des saveurs, les plats copieux de ce restaurant font profiter à la clientèle de douceurs dont le chef Mouhamadou M’Baye, spécialiste en risotto, détient le secret . Une cuisine typiquement italienne Avec des préparations axées sur la cuisine italienne de Trattoria, la carte propose une grande variété de plats en plus des nombreuses suggestions du chef. Ainsi, elle fait la part belle à des plats signatures très réputés auprès de la clientèle. Des ravissements tels que le burrata, qui est une entrée typiquement italienne et faite à base de mozzarella, tomate et huile d’olive. Un autre plat, le risotto à la milanaise avec des morceaux de cèpes et du safran rehaussés par la force du gorgonzola… un pur délice accompagné par des sauces créées par le chef. Afin de pousser la dégustation à son summum, spaghetti alla chittara avec des gambas, ou encore tartare à l’italienne revisitée et mise à jour, une assiette à l’image du quartier Veneto à Rome. Le restaurant propose également un dessert signature, le tiramisu fait maison, une pâtisserie italienne légère et savoureuse.Un dessert classique à base de café et de chocolat en poudre, très apprécié par les clients. Le Veneto utilise pour sa cuisine des pâtes fraîches livrées par un fournisseur italien, et de la viande charolaise. S’ajoutent ainsi à la carte des spécialités à la truffe telles que l’escalope de noix de veau, composée avec des pâtes fraîches, noix de veau de qualité supérieure et crème de truffes. Tout ceci, sans oublier les incontournables lasagnes et bolognaises faites maison. A la carte des vins, trois types de crus sont disponibles pour marier les plats de la maison. Parmi eux, le plus sollicité, le Nero d’Avola, vin fruité et cépage tout droit venu du Sud de la Sicile. Le directeur des lieux Steve Duvignau, s’appuie sur les principes de cuisine simple, qualitative et abordable pour offrir un rapport qualité-prix convenable. Des prix à hauteur de 16.80 € pour la formule midi comportant une entrée, un plat et un dessert à 24 €. Un bel endroit pour se régaler Avec un cadre sympa et chic, une terrasse animée et une ambiance familiale en intérieur pouvant accueillir jusqu’à 50 convives, Le Veneto est un restaurant chaleureux et convivial. A disposition de la clientèle, un service de qualité de jour comme de nuit. Canapés en cuir, portraits de l’Italie et de New York, douce musique italienne, l’établissement privilégie une ambiance plus ou moins festive. Son décor soigné de type « Little Italy » est à mi-chemin de l’image du quartier New-Yorkais portant le même nom, et celui du quartier bourgeois nommé le « Veneto » à Rome. A l’entrée du restaurant, se dresse une vitrine réfrigérée où sont exposés les produits frais destinés à la cuisine. Ceux-ci peuvent être contemplés en extérieur, comme en intérieur. Le lieu dispose entre autres d’un patio. Cadre adapté pour les sorties en famille, entre amis, ou encore en couple, le restaurant Le Veneto est ouvert du mardi au samedi, en matinée de 10h30 à 15h, et le soir de 19h  à minuit. L’établissement n’ouvre pas ses portes le dimanche, et le lundi qu’en soir. ...

Repaire de Bacchus : le sacre du Printemps

Depuis le 10 janvier, Le Repaire de Bacchus a pris ses quartiers sur les toits de Paris, au sein d’un univers dédié au meilleur de la gastronomie et de l’artisanat. Un défi passionnant pour l’enseigne qui intègre là une formidable vitrine internationale sans rien perdre des valeurs qui la caractérisent depuis sa création.Sur 200 mètres carrés, soit un espace quatre fois plus vaste que celui de ses boutiques habituelles, cette 40ème adresse propose la plus alléchante et prolifique route des vins hexagonale qui soit. 1500 références de vins, 350 références de spiritueux et 100 bières exclusivement françaises Dans un décor accueillant, sobre et chic, aux couleurs de l’enseigne, elles y sont savamment mises en scène. Dès l’entrée, un magnifique bar d’époque Napoléon III, ancien bar de l’Académie du Vin fondée par Steven Spurrier et Michel Dovaz, dédié aux champagnes donne le ton. On peut y savourer des références renouvelées régulièrement à partir de 10 € la coupe. Puis l’on parcourt toutes les régions de France : si l’on retrouve des références historiques de l’enseigne, cette nouvelle adresse a aussi adapté son offre à une demande qui ne sera pas celle d’une clientèle de quartier. -Plus de Bordeaux : c’est notamment le cas des grands crus classés, dont les 1er Grands Crus Classés que l’on peut dénicher dans 7/8 millésimes incontournables. -Une superbe sélection de Bourgogne : les climats les plus prestigieux de la côte de Beaune et de la Côte de Nuit ou du Chablisien sont présents à travers des vignerons ou des maisons emblématiques. Les Comtes Lafon, Domaine Leroy, Raveneau, Roumier, Dugat-Py, Dauvissat, Chevalier, la Romanée-Conti font rêver bien sûr, mais l’amoureux de bourgognes trouvera aussi largement son bonheur avec des pépites moins célèbres donc plus accessibles et judicieusement choisies. -Les autres régions telles que la Loire, la Vallée du Rhône, l’Alsace, la Champagne ou la Provence équilibrent leur offre entre quelques références emblématiques, découvertes et vignerons historiques de l’enseigne. Ainsi des cuvées Silex de Dagueneau, Château Rayas et Château Beaucastel dans plusieurs millésimes, la maison Trimbach côtoie une sélection de vins accessibles conçus pour un pur plaisir hédoniste bien dans l’ADN de l’enseigne. -Une gamme de prix très large pour tous les budgets : l’on déniche les bouteilles les plus accessibles à 5 euros et une grande partie de l’offre se situe entre 8 et 20 euros. Même si cette 40ème boutique intègre l’univers du luxe, elle n’en a pas perdu pour autant ce qui constitue l’âme de la chaîne : celui d’un caviste artisanal de rue proche de ses clients. -Une offre en magnum conséquente : chaque région s’assortit en moyenne d’une vingtaine de références proposées en magnum, un format très attractif et prestigieux. Et sans oublier les demi-bouteilles. De la rue des Acacias au Printemps du Goût Le Repaire de Bacchus, c’est 35 ans d’aventure humaine saupoudrée d’un grain de folie. Lorsque Dominique Fenouil créé son premier Repaire de Bacchus, en 1983, c’est un peu grâce à la coupe du monde de football 1982 ! Directeur de la promotion chez Radiola, il imagine de récompenser les meilleurs clients avec des caves à vin et part sillonner le vignoble, une passion chez lui. Budget : l’équivalent de 2 millions d’euros. Il prend goût à cette activité et créé donc l’année suivante une boutique, en réalité, plutôt un club d’amis épicuriens à la recherche de bons vins, pas forcément les moins chers du marché, puis s’installe rue des Acacias, dans le 17ème arrondissement de Paris. Rappelons qu’à cette époque, on prédisait la mort du caviste, laminé par l’émergence de la grande distribution. « Je me disais qu’il y avait un marché pour les amateurs. De fait, ça ne désemplissait pas : notre premier bénéfice, l’équivalent de 80 K€, représentait l’équivalent de 2 Porsche &agra...

Restaurant Assyl au Selman Hôtel Marrakech à Marrakech

Situé à 10 minutes du centre de Marrakech, l’hôtel invite à une escapade hors du temps. En totale harmonie avec la nature et les paysages de rêve, les convives profitent de succulents mets et de plats aux saveurs ancestrales : une invitation gourmande selon les envies.   Le restaurant marocain de prestige, Assyl​ Le restaurant Assyl paraît tiré des Mille et une Merveilles du Royaume du Maroc. Il a remporté en 2016 le prix du meilleur restaurant de luxe au Maroc (Luxury Restaurant Of Morocco), délivré par Luxury Lifestyle Awards 2016. Dans un décor de charme, le menu est exceptionnellement gourmand et met à l’honneur toute la richesse de la cuisine marocaine. Le chef Bahija sublime les saveurs en y apportant sa touche créative personnelle. Les produits frais et les textures se mixent avec délicatesse et subtilité pour ravir les papilles des convives. Assortiment de salades marocaines façon Dada, tagine de lotte à l’Argan, ou la spécialité Selman Tride au poulet fermier, safran de Talouine lentilles et fèves, et autres spécialités marocaines s’invitent à cette table qui vaut le détour ! Une cuisine marocaine résolument authentique… Le dîner est animé par un duo live andalou et un spectacle de danse orientale. ...

Champagne Delabarre : le culte de la qualité

Issue d’une longue lignée de vignerons, la famille Delabarre élabore ses vins dans le plus pur respect de la tradition champenoise, sans pour autant tourner le dos aux techniques modernes, afin de « rester dans l’air du temps », dixit Christiane Delabarre, actuelle propriétaire. La vigneronne gère avec passion et rigueur son domaine, aidée depuis quelque temps de sa fille. De cette exploitation familiale à taille humaine naissent des champagnes de terroir au goût subtil. Une gamme aux cuvées largement récompensées Tout le savoir-faire de la famille Delabarre se reflète à travers la large gamme de cuvées très convoitées : Demi-sec, Brut - Rosé, Brut - Prestige, Brut - Millésimé, Brut - Tradition, cuvée Réservée. Ces vins d’exception sauront se mêler aux événements en tout genre, allant des grandes réceptions aux simples apéritifs. Celui qui doit absolument accompagner vos grands moments de vie est certainement le Brut-Prestige, qui constitue d’ailleurs la cuvée ambassadrice de la maison. Elle est obtenue par l’assemblage de 50 % de pinot noir, 20 % de pinot meunier et 30 % de chardonnay, un mélange dosé et harmonieux, qui a bénéficié d’un long vieillissement. Preuve de son succès : les multiples médailles qu’elle a obtenues, dont la médaille d’or au concours des vins des vignerons indépendants de 2015 et la médaille d’argent au concours des vins Féminalise de 2014. La ferveur de l’excellence et du respect de la nature Avec plus de 30 000 bouteilles commercialisées chaque année pour le plaisir des œnophiles, la maison s’efforce de maintenir la qualité de la production tout en appliquant une démarche écoresponsable. Le vignoble de 7,5 hectares, composé des trois cépages que sont le pinot noir, le pinot meunier et le chardonnay, est cultivé depuis 15 années selon le principe de la viticulture raisonnée. Interrogée sur le sujet, Christiane Delabarre déclare que « cette décision est un moyen de garantir l’avenir des générations futures et d’offrir aux consommateurs un produit de qualité, offrant le meilleur du terroir. » ...

Restaurant Le Sarment : les produits gersois sublimés dans l'assiette

C’est dans à Condom, une petite commune située au sud-ouest de la France que Jean-Luc Mazur concrétise un projet de vie : l’ouverture de son restaurant. Dans un cadre pittoresque et authentique, Le Sarment exprime l’amour du chef pour les produits du terroir frais qu’il sublime avec créativité dans les assiettes. Mot d’ordre : convivialité ! Dès votre arrivée, vous ressentirez cette ambiance très détendue et conviviale qui fait la réputation de l’établissement. La générosité, une qualité attribuée aux propriétaires, transparaît aussi dans les assiettes soigneusement dressées et tellement gourmandes. « Ma cuisine est toujours ouverte, et donc je peux voir les clients pendant que je cuisine », explique Jean-Luc. Un concept qui souligne encore une fois cette convivialité qui est chère à la maison. « Chez nous, la carte est renouvelée tous les trois mois environ et fait honneur au terroir du Gers », poursuit-il. En collaboration avec les producteurs locaux, le chef propose des plats à base de produits sains et bio. Parmi ceux qu’il recommande fortement figurent les cuisses de grenouille en entrée, suivi d’un duo de rognon et ris de veau, en plat de résistance. Le repas s’achève sur une note plus douce et résolument gourmande avec le coulant au chocolat "fait maison". ...

Les Granges : une cuisine de brasserie élaborée avec des produits de qualité

Perdu au milieu des champs de vignes et idéalement installé au cœur d’une réserve naturelle, le restaurant Les Granges puise son inspiration dans ce cadre exceptionnel. Ici, le soleil et les chants d’oiseaux sont complices du charme du moment. Le soin apporté à la décoration procure encore plus d’apaisement : la lumière naturelle, les meubles en bois, les lignes épurées et le style moderne et minimaliste. Un jeu de saveurs dans les assiettes Aux fourneaux, le duo de chefs formé par le chef Erwan Le Cadet et Alexis Lejeune propose une cuisine de brasserie à mi-chemin entre tradition et gastronomie, où les produits locaux de première qualité sont à l’honneur. « Le restaurant est axé autour d’une démarche de proximité, et la charte signée avec Pro Natura nous engage à utiliser au maximum des produits du terroir et des produits bio », nous dévoile Gaëlle Le Cadet, la gérante. C’est avec le respect de cette philosophie « engagée » que l’établissement confectionne sa carte, son menu de la semaine et ses formules en privilégiant les produits de saison. Les incontourables de la carte sont les assortiments de burger maison, la viande à la broche tous les samedis de Mai à Septembre, les plats de la semaine et le brunch tous les dimanches.. Erwan Le Cadet concocte des plats plus sophistiqués et audacieux à l’instar de la daurade sauce vierge et riz parfumé ou la joue de porc cuite à basse température cuisson 13 heures. Côté dessert, c’est le jeune chef pâtissier Alexis Lejeune qui s’y attelle en déployant toute sa créativité. Ses signatures : le moelleux chocolat crème anglaise ou son café gourmand. « Les Granges est une aventure qui nous lie tous, chacun apporte sa personnalité et son énergie », nous rappelle l’équipe. Animée par la volonté d’offrir l’excellence à ses clients, ce pool de passionnés travaille exclusivement avec les producteurs locaux, dont la Culture locale à Dardagny, la boucherie d’Onex et la Genevoise du Terroir. Enfin, pour enrichir la cave à vins, la maîtresse des lieux sélectionne les meilleures cuvées genevoises comme celles issues du domaine Dugerdil, du domaine Chafalet et du domaine Clos des Pins, tous situés à Dardagny. Des formules gourmandes De mai à septembre, les samedis c'est viande à la broche, avec possibilité de broche en dehors des samedis pour les groupes ( mariages, anniversaires, ...) à partir de 30 personnes... « Les morceaux sont découpés et préparés devant les clients, servis avec un buffet de salade, de frites et ratatouille ». Un brunch à discrétion est en revanche proposé tous les dimanches pour environ 54 francs, avec possibilité de brunch en dehors du dimanche à partir de 30 personnes également. Le brunch consiste en un gigantes-que buffet chaud/froid, avec boissons sans alcool (café, thé, jus de légumes) à déguster ou à emporter. Petits et grands vont se régaler avec les mini-viennoiseries, jus de fruits de saison, amuses-bouche salés, boissons chaudes, et desserts maison au choix. Et, en été, on sort pour profiter du beau temps et du paysage. Ces formules alléchantes sont ponctuées d’une ambiance champêtre qui s’adapte à tout événement familial. ...

Filou :
une bière à la hauteur d’une lignée brassicole belge de renom

Quand Luc Van Honsebrouck a repris la direction de la brasserie Kasteel dans les années 60, il a décidé de ne plus se consacrer uniquement aux pils, mais de produire désormais des bières spéciales. « Mon père était visionnaire », dit Xavier Van Honsebrouck, la septième génération de la brasserie familiale belge. « Dans les années 60, notre brasserie était avant-gardiste, et nous en récoltons encore les fruits aujourd’hui. » Bière spéciale blonde Filou : la dernière création belge de la brasserie Kasteel... Plus de 20 bières spéciales sont produites à la brasserie aujourd’hui. La dernière née est la « Filou », une bière blonde forte titrant à 8,5 %. C’est une bière qui oscille entre une triple et une Strong Golden Ale, brassée avec 100 % de malt de pils et du houblon de type Golding, Saphir et Saaz. « En tant que propriétaire de brasserie familiale, on se doit de créer une nouvelle bière fantastique », dit Xavier. « Je crois que la "Filou" est ma deuxième grande réalisation, après le lancement réussi de la Kasteel Rouge. » Sa recette a nécessité plus de huit mois pour être parfaitement aux goûts de Xavier Van Honsebrouck et du maître brasseur Hans Mehuys. La Filou se boit avec une facilité déconcertante, tout en étant suffisamment complexe pour tomber dans les bonnes grâces des amateurs de bières spéciales. Cette robuste blonde est un cas à part, dont le nom et le style rencontrent les faveurs d’un large public, en Belgique comme à l’étranger. Son nom est un clin d’œil, aussi bien à la bière elle-même qu’à celui qui la déguste. « Pratiquement personne ne peut en rester à un seul verre », affirme le brasseur en riant sous cape. « Mais qui est le plus grand filou dans cette histoire ? », demande Xavier Van Honsebrouck. « Le breuvage qui séduit le buveur, ou le buveur qui ne peut résister à en redemander un deuxième verre ? » Il y a de quoi s’interroger.  ...

La Vague d'Or, escapade bucolique en Méditerranée

Tel un chef d’orchestre, Arnaud Donckele dirige une équipe de choc composée de 21 passionnés tous aussi doués les uns que les autres. Thierry Di Tullio, le directeur du restaurant La Vague d’Or ; il a été récemment élu « Meilleur directeur de salle de l’année 2016 » par le guide Gault & Millau. Avec lui, le chef sommelier Franck Perroud élabore les meilleurs accords pour sublimer les créations culinaires du chef. En cuisine, aux côtés d’Arnaud Donckele, le chef pâtissier Guillaume Godin s’occupe de ravir les palais avec ses desserts gourmands et raffinés.   Arnaud Donckele, artisan du goût Si la cuisine était une musique, alors Arnaud Donckele, chef du restaurant La Vague d’Or, serait tout simplement Mozart. Petit-fils d’agriculteurs, ce prodige de la cuisine a fait ses armes auprès des plus grands noms de la cuisine française, comme Michel Guérard, Alain Ducasse et Jean- Louis Nomicos, au Lasserre. En 2005, il décide de voler de ses propres ailes et débarque à La Vague d’Or, où carte blanche lui est donnée au regard de son parcours déjà impressionnant. D’une créativité sans limites et d’une grande rigueur au travail, il met en avant son amour pour la cuisine provençale et méditerranéenne. La consécration est indiscutable et ne tarde pas à venir. En 2013, il est couronné de trois étoiles au Guide Michelin, ce qui fait de lui le plus jeune chef étoilé en France à 35 ans. En 2016, c’est au tour du guide Gault & Millau de lui décerner 5 toques. Cuisinier hors pair, Arnaud Donckele s’essaye aussi à la littérature. À l’instar de son ancien mentor Alain Ducasse, il a édité un Best of (Éd. Alain Ducasse, 2015) de ses 11 meilleures recettes ainsi que l’ouvrage Ma Provence (Flammarion, 2015), dans lequel 60 recettes typiquesde la Provence sont dévoilées.   Une cuisine entre terre et mer À La Vague d’Or, une cuisine gastronomique issue du terroir provençal et méditerranéen est mise en avant. Les produits frais de saison, en provenance des petits producteurs du littoral varois, y sont privilégiés. Arnaud Donckele met à contribution avec raffinement les herbes de Provence pour illuminer ses plats, à l’image de sa « pâte Zitone », délicatement fourrée de truffe noire et de foie gras avec l’artichaut violet en trois textures, rehaussé de basilic. Le chef affectionne particulièrement les alliances, parfois insolites et audacieuses, cuisinées avec subtilité, tel le homard combiné avec la truffe noire de Carpentras. La cuisine de La Vague d’Or, c’est aussi une valse entre terre et mer, à l’exemple du râble de lapin roulé au lard paysan « façon Claudette » et homard bleu. Pour aller à la découverte du pays des délices d’Arnaud Donckele, trois menus sont proposés. En quatre actes, « L’escapade gourmande » retrace l’identité des plats tirés de la bouillabaisse, fondement de la cuisine provençale. « Au fil du temps », décliné en cinq actes, est la composition des plats traditionnels et des plats modernes mise en harmonie. La formule en huit actes de la « Balade épicurienne » propose de faire découvrir la philosophie culinaire de la maison. Quant à la carte de La Vague d’Or, elle est une invitation au voyage entre terre et mer... ou les deux. Ainsi, on se plaira à déguster les « langoustines vivifiées au pamplemousse en deux séquences », suivies d’un « mignon de veau à la mode carqueirannaise », pour terminer en beauté avec le « feuille à feuille aux dix agrumes ». ...

A la découverte d’une cuisine « bionomique » aux tables d’Euphrosyne.

« Les tables d’Euphrosyne » s’impose majestueusement en hauteur de ce village mythique de Gordes, classé plus beau village de France. Dans ce restaurant, tout est fait pour impressionner : le panorama qui donne sur la vallée du Luberon, la décoration inspirée de la renaissance italienne, et la cuisine qui incarne mélodieusement les saveurs provençales. Un festival de goûts Le restaurant travaille une cuisine « bionomique », raffinée, audacieuse qui respecte le thème de la « naturalité ». « L’idée est de proposer des plats légers et savoureux, élaborés avec les propres produits des potagers et vergers de l’établissement » explique Sarah Lauferon, la gérante du restaurant. Le chef prône une philosophie bio, et décline ses plats en des menus sans gluten, végétariens et végétaliens. Ponctuée par une influence méditerranéenne, la pétillante cuisine des tables d’Euphrosyne conjugue gaieté et fraicheur. Des légumes de saison, des herbes fines aromatiques, des poissons frais, de l’huile d’olive de la Vallée du Luberon forment un mariage de saveurs surprenant. Et que dire des truffes : travaillées en amuses-bouche, en plats ou en desserts, elles constituent la signature du restaurant. Un dressage millimétré et artistique rehausse chaque assiette. Au rythme des saisons, le menu Buffet du Soleil à 30€ par personne propose un assortiment de salades, de planchas de légumes et viande ou poisson, des fromages et des desserts de grand-mère et constitue un très bon rapport qualité prix. Le Déjeuner Fleuri par contre se concocte au gré de l’inspiration du chef et se compose de trois formules au choix, allant de 29€ à 65€ en fonction du nombre de plats. En outre, la carte du soir suggère un menu complet à 65€ et éventuellement un accord met/vin à la carte. D’ailleurs, la cave à vins abrite des cuvées d’exception issues du domaine Juliette Avril situé en Chateauneuf du Pape, des vins bios de la Cave des Lumières à Goult. L’amour de la terre Le jardin de « la fleur de l’abondance », entretenu  par Laurie Gornes, approvisionne le restaurant en fruits et légumes bio ainsi qu’en fleurs aromatiques. Il s’épanouit dans une agriculture « bionomique », qui exige un travail du sol très soigné, un respect à la lettre du calendrier lunaire et de la rotation des cultures. Ses récoltes sont généreuses, expressives et authentiques, rappelant la philosophie du restaurant. En outre, les clients peuvent visiter ce jardin-verger bio pour ressentir tous les bienfaits émanant de cette terre. ...

Breiz’île : sublimer les saveurs des Antilles

Le rhum aux arômes riches de son terroir d’origine fait la renommée de la maison Breiz’île qui intègre le monde très sélect du rhum en 2002. L’authenticité et la primauté données à l’art de ce breuvage restent les maîtres-mots de cette marque qui privilégie la tradition antillaise dans la conception des spiritueux exquis de sa gamme. Sélectionner le meilleur du terroir La marque Breiz’île, aux racines ancrées dans les terres antillaises, s’est forgé une réputation grâce à la priorité donnée à la qualité. Avec un éventail de rhums arrangés obtenus en « travaillant les meilleurs fruits disponibles toute l’année », selon les propos d’Alain Jegaden, la maison se veut être l’ambassadrice de l’excellence du rhum. Son rhum agricole typiquement guadeloupéen tire, quant à lui, « le meilleur de la canne à sucre » afin de rendre hommage au terroir mais également « [afin de partager] l’appréciation des bonnes choses », continue Alain. Un rhum vieux vieilli en fût de chêne, élaboré selon la pure tradition antillaise et aromatisé au miel fait, entre autres, la fierté de la maison Breiz’île, à déguster avec modération lors de vos instants gourmands. Outre le rhum, la marque, dans un élan de créativité novateur, se spécialise dans la production d’une « bière gourmande au goût prononcé et aromatisée au rhum », toujours selon Alain. Cet esprit innovateur, mêlé à la préservation de la fabrication artisanale du rhum, contribue à faire toute l’authenticité de la maison. ...

Domaine de Coyeux : des vins au sommet

Les premières vignes du Domaine de Coyeux ont été plantées dans les années 1950. En 2013, Hugues de Feraudy, séduit par la beauté et la potentialité des lieux, décide de faire l’acquisition de l’exploitation. Cet industriel à la retraite est épaulé dans ses tâches par son frère Jean. Actuellement, la maison travaille sur un vignoble s’étendant en totalité sur 112 ha d’un seul tenant, chose assez rare dans le domaine viticole. Un terroir très particulier Nichées à 300m d’altitude, les vignes profitent des échanges d’air et des écarts de températures qui sont propices à leur santé. « Après les pluies, le mistral contribue à assécher les vignes empêchant de cette manière le développement de maladies », explique Nathalie Fuselier, la responsable œnotourisme. Ici, les cépages muscat petits grains, grenache, syrah et mourvèdre s’épanouissent sur des sols de type Trias. Ce dernier a la particularité de retenir l’eau durant les périodes de pluie pour la restituer ensuite aux vignes lors des grandes chaleurs. En outre, les terres du Trias procurent les minéraux indispensables au développement aromatique des raisins. « Cette typicité apporte à nos vins une fraicheur aromatique incomparable », nous indique-t-on. Respect de la Nature Afin de maintenir le vignoble en parfaite santé, l’exploitation privilégie des méthodes culturales respectueuses de l’environnement. Ainsi, la viticulture y est menée en lutte raisonnée, avec une utilisation minimale de produits de synthèse. À cela s’ajoutent un enherbement naturel et des soins particuliers apportés au niveau du sol. « Nous avons recours à des amendements organiques, afin de favoriser  la vie microbienne et d’​avoir à cet effet des sols sains et vivants », rapporte notre interlocutrice. Dans ses efforts pour préserver la Nature, le domaine envisage pour les années à venir de s’engager sur la voie de l’agriculture biologique. La qualité comme seul mot d’ordre Comme tout le monde le sait, un bon vin se fait à la vigne ! Le Domaine de Coyeux chouchoute donc particulièrement ses vignes à tous les stades de leur développement. Dans le but de mieux maitriser le rendement, la maison pratique l’ébourgeonnage. Grâce à cette technique, le nombre  de grappes par souche   est volontairement réduit,  de façon à concentrer plus encore  les  sucres et arômes contenus dans les baies. Au printemps, le domaine procède également à l’épamprage. Une opération visant à aérer les souches et à favoriser la maturation des branches fruitières porteuses de raisin. Dans les semaines qui précèdent les vendanges, chaque parcelle fait l’objet d’un suivi rigoureux en vue d’une sélection parcellaire. Les vendanges ne commencent finalement que lorsque les raisins atteignent leur maturité optimale. « Nous réalisons des vendanges manuelles et nous sélectionnons les meilleures grappes », souligne la responsable. Pour éviter tout écrasement des baies, celles-ci sont placées dans des petites caisses qui seront ensuite vidées une à une. Les grappes passent ensuite sur deux tables de tri successives pour ne conserver que les meilleures. Une vinification maitrisée de bout en bout En matière de vinification, le Domaine de Coyeux dispose d’équipements et de matériels de pointe lui permettant de réaliser des techniques spécifiques. En effet, grâce à ses cuves en acier inoxydable thermorégulées, la maison opère une macération pré fermentaire à froid, qui lui permet d’extraire le maximum d’arômes. Tout au long de la fermentation, les jus sont soumis à un suivi quotidien assuré conjointement par le maitre de chais, et l’œnologue du domaine. « L’objectif est d’évaluer l’évolution du vin et son degré d’aboutissement », nous confie-t-on. Pendant la fermentation, la maison veille à ce que les  mouts  ne puissent pas entrer en contact avec l’oxygène. En agissant ainsi, elle limite consid&eacut...