Pour trouver le domaine Varnier-Fannière, il faut se rendre en région Champagne, à quelques kilomètres d’Épernay, au coeur de la prestigieuse côte des Blancs, à Avize. Partons à la découverte de cette maison familiale qui a su développer, au fil du temps, une gamme de produits exceptionnels. Histoire du domaine Pour revenir aux origines de la création de champagne Varnier-Fannière, il faut remonter presque 2 siècles en arrière. En 1860 précisément. À cette époque, les viticulteurs en charge du domaine produisaient du raisin qu’ils vendaient ensuite aux grandes maisons de champagne (Moët et Chandon et Roederer, entre autres). Puis, en 1947, Jean Fannière décida de produire sa propre boisson effervescente. À ses débuts, il ne vendit que quelques milliers de bouteilles. Pourtant, son champagne connut rapidement un grand succès. Ainsi, en 1959, sa fille Josette et son mari Guy Varnier prirent les rênes du domaine et lui donnèrent son nom actuel. Le domaine s’agrandit alors (pour atteindre 4 hectares) et passa à une production annuelle de 10 000 bouteilles. En 1989, c’est au tour de Denis, le fils de Josette et Guy, de prendre en charge la direction du domaine et la production de champagne. En effet, après l’obtention d’un BTS d’œnologie, celui-ci souhaite perpétuer la tradition familiale et continuer à produire le nectar divin qui a fait le succès de son grand-père et de ses parents. Pourtant, en 2017, un terrible drame frappe la propriété, car Denis disparait brutalement. Sa femme Valérie décide de reprendre l’exploitation. Pour la soutenir dans ce défi, elle est solidement épaulée par l’équipe en place ainsi que par l’oenologue qui l’accompagne dans l’élaboration de l’ensemble des vins du domaine. Comme elle le dit elle-même : « C’est un challenge de chaque instant, il y a des moments de doute, mais aussi de grands moments de joie et de satisfaction, de ceux qui redonnent goût à la vie et foi en la noblesse de ce métier. » Tout est dit. Méthode de production des champagnes Varnier-Fannière Pour mettre en valeur le fabuleux terroir de la région, la maison Varnier-Fannière a mis en place une viticulture raisonnée en utilisant le moins possible de pesticide et herbicide. Ainsi, depuis 2019, un quart de la propriété est passée en agriculture bio. L’objectif étant de passer l’ensemble de la propriété en bio, à terme. Comme il est indiqué sur le site, de son vivant, Denis Varnier considérait chaque ceps comme ses enfants. Son objectif était donc de les accompagner jusqu’à la maturité plutôt que d’interférer. Sa femme a souhaité continuer sur cette voie afin de permettre au terroir de s’exprimer pleinement. Puis, et c’est là la plus grande fierté du domaine, après la récolte, le raisin passe dans un ancien pressoir manuel qui a été légué par Jean, le grand-père de Denis. À ce titre, ce pressoir a une place importante dans le procédé de fabrication des champagnes Varnier-Fannière, car, en plus d’être un objet rare et avec une véritable valeur sentimentale, il permet aussi de contrôler entièrement la production du jus qui deviendra, quelques années plus tard, le champagne que nous connaissons. L’art de la vinification champenoise et aussi de nombreuses années en cave pour une belle maturation seront finalement nécessaires pour lui apporter autant son élégance que sa pétillance. Mieux connaitre les champagnes Varier-Fannière S’il ne fallait parler que d’une cuvée en particulier, ce serait le champagne Saint-Denis qui est la cuvée emblématique de la maison (notée 17,5/20 par Gault&Millau 2019 et 93/100 par Robert Parker Wine Advocate 2019). Issue de vignes vieilles de 65 ans, profitant d’un sol de craie et d’une vinification en cuve en inox, cette cuvée 100% Chardonnay étonne à chaque millésime. En effet, en plus de ses bulles fines et légères et de sa belle robe dorée, ce champagne développe au nez des arômes de fleurs blanches et de litchi. Une fois en bouche, on apprécie ses arômes de brioche et de noisettes grillées ainsi que sa finale à la note minérale. Parfait pour l&rsqu...
Au départ de l’aventure, le Vélo du Soir parcourt les rues de Paris avec son triporteur pour proposer aux salariés des entreprises des paniers à cuisiner pour l’apéritif ou le diner. Quelques années plus tard, fort de son succès, la start-up continue de proposer des produits de qualité, modernes et originaux, à des tarifs compétitifs mais s’est spécialisée dans l’organisation d’événements de petites ou de grandes entreprises. Vous pourrez faire appel à ses services pour des petits-déjeuners, des apéritifs, des cocktails ou des buffets. Le concept du Vélo du Soir Le Vélo du Soir a développé un nouveau concept de traiteur événementiel en privilégiant les circuits courts et la collaboration avec de petits producteurs ou des artisans soigneusement sélectionnés. Ainsi lors de vos buffets ou vos cocktails, vous pourrez déguster des créations simples et modernes, confectionnées à partir de produits du terroir, de produits frais, de produits de qualité. Aucun produit industriel ni aucun produit surgelé. Vous pourrez savourer des compositions culinaires savoureuses respectant les saveurs authentiques des produits bruts qui sont mis à l'honneur : rillettes de thon et de saumon de la conserverie familiale Furic, olives Kalamata de la maison Kalios, jambon de Bayonne de la Ferme Elizaldia, Médaille d'Or du Concours Général, mozzarella, pesto et porchetta issus de coopératives italiennes. Au niveau boisson, vous pourrez gouter à des jus de fruits frais, à des bières produites par des microbrasseries, des thés issus d’une start-up ou encore du champagne Marquis de Pomereuil du Domaine familial des Riceys, dont le Vélo du Soir est le seul distributeur dans Paris intra-muros. Vous pouvez donc composer votre buffet avec de nombreux produits choisis dans la palette variée de ceux proposés. Le Vélo du Soir vous fait bénéficier de tarifs performants, avec possibilité de location de vaisselle, de verrerie, de nappes, voire de compositions florales. Le service par des serveurs compétents et professionnels est également proposé par la start-up. Le vélo triporteur des débuts est toujours le symbole de l’entreprise, il participe à de nombreux événements en tant qu’animation. Avec le Vélo du Soir, vous êtes sûrs de savourer des produits dont la fraicheur et le gout seront au-rendez-vous, dans des ambiances conviviales. ...
Situé en région Midi-Pyrénées, Martel est une cité médiévale fondée au XIe siècle par les vicomtes de Turenne. Elle est aussi connue sous le nom de « la ville aux 7 tours » car, au XVe siècle, elle abritait pas moins d’une trentaine d’échauguettes, de tourelles et de tours. Un autre attrait de la commune est qu’elle se trouve sur la route de la noix du Périgord. Au XIIIe siècle, la noix était considérére comme un bien aussi précieux que l’or dans la région. Parmi ses dérivés les plus consommés figure l’huile de noix, un produit star à découvrir au sein de l’épicerie fine du Petit Moulin, qui abrite aussi un restaurant et un bar à vins. Un chef passionné par son métier Le Petit Moulin de Martel s’inscrit dans la lignée des restaurants bistronomiques. Il a été créé par Adrien Castagné, qui le dirige. Ce jeune manager, fils et petit-fils d’agriculteur et producteur d’huile de noix et d’agneaux, est diplômé en œnologie à Bordeaux. Il exprime une passion si forte pour l’univers de la cuisine qu’il a décidé de renforcer ses compétences dans ce milieu. Il débute sa carrière en tant que sommelier et barman dans un bar à vins nommé La Parcelle, situé aussi à Bordeaux. Aujourd’hui, grâce à la richesse de ses vies passées et de son expérience, il a ouvert sa propre entreprise dans sa ville natale, au sein de laquelle il est secondé par son amie, Emma Buquet. Celle-ci endosse le rôle de chargée de communication et assure également l’accueil des clients. Un restaurant très particulier Au sein du restaurant, les clients peuvent investir la salle qui se trouve dans le hall, un lieu très cosy et moderne. La pièce révèle un style scandinave, moderne et raffiné. Les meubles en bois sont un signe de douceur et de chaleur. À l’étage, une ancienne chambre à l’esprit vintage a été aménagée. Elle est notamment équipée d’un tourne-disque et de vinyles, qui plongent les convives dans une ambiance musicale. Pour profiter du grand air, la terrasse ombragée et blottie au coin d’une petite rue propose calme et détente. Le bar à vins, quant à lui, invite à passer des instants agréables entre amis ou en famille. C’est le jeune chef lui-même qui vient servir ses convives d’un bon vin en accord avec les mets proposés. À côté de ce bar, l’épicerie fine propose différents types de vins, de produits locaux comme le pâté de foie gras, les rillettes et le confit de canard… L’huile de noix constitue le produit phare de l’établissement. La gastronomie avec des produits du terroir Adrien Castagné propose des plats faits maison, élaborés avec des produits du terroir. Il aime concocter une cuisine traditionnelle revisitée avec gout, en utilisant des ingrédients typiques du Périgord. Les spécialités de la maison sont la raviole de canard et le filet mignon de porc. Côté menu, le chef propose une formule à 26,50 €, composée de deux entrées, de deux plats, de fromage et d’un dessert. Le restaurant dispose d’une carte courte, constituée de cinq entrées, de quatre plats et de quatre desserts au choix. En entrée, les fins gourmets seront séduits par l’assiette de foie gras de Marie-Claude. Le filet mignon de porc en croute de noix fait office de plat de résistance. Et, pour le dessert, la tarte diamant aux agrumes et crème café blanc procure une touche de douceur et de gourmandise. ...
Dans l'optique de mettre en valeur un produit en plein essor, qui est le vin conditionné en bag in box, la compétition baptisée Concours International Wine in Box a été lancée en 2015. Car aujourd’hui, les vins sous forme de BIB n’ont rien à envier à ceux en bouteille. « Nous sommes partis du constat que le marché des vins en BIB connaît une forte croissance. Des efforts considérables ont été entrepris par les producteurs de vins et les négociants pour rehausser la qualité des vins conditionnés en BIB entraînant une hausse de la demande sur le marché », nous explique Anne-Marie Estampe, directrice de la société Amelovin. Et d'expliquer que « grâce à ce concours, les consommateurs ont la possibilité de repérer les produits de qualité désormais estampillés de leurs médailles, comme les grands vins. » Un concours d’une envergure internationale En trois ans, CIWIB est devenu une référence. Le nombre d'inscrits ne cesse d’évoluer. Depuis la première édition en 2015, les vins qui sont en lice ont connu une hausse considérable. « En 2015, nous avons eu 250 bags in box avec une augmentation de 20 % en 2016 et en 2017. Cette année, on a eu l’Afrique du Sud, l’Argentine, l’Australie, la Bulgarie, la Grèce, l’Espagne, la France, le Luxembourg, les États-Unis… C’est vraiment un concours international, donc nous avons davantage de bags in box qui arrivent du monde entier », précise Anne-Marie. En tout, 384 compétiteurs notamment des producteurs, des coopératives, des négociants ou d'autres groupements de producteurs, ont concouru pour cette 3e édition du CIWIB. En France, les produits éligibles à la compétition sont surtout les « vins tranquilles français » ainsi que ceux certifiés selon l’article R.665-24 du code rural. Quant aux crus provenant des autres pays, ils doivent être conformes au code international des pratiques œnologiques de l’Organisation internationale de la vigne et du vin. Une compétition réglementée Au cours du concours, chaque participant doit présenter en tout quatre échantillons de vins dans un contenant Bag In Box de moins de 5 litres. Pour assurer leur confidentialité, les vins sont classés selon les appellations IGP, AOC/AOP, VDL et par catégorie : millésime, cépage, couleur. Ces produits seront évalués par des professionnels du secteur lors d’une dégustation. L’équipe du jury de cinq personnes est constituée par des œnologues, des sommeliers, des cavistes, des restaurateurs... Elle est systématiquement présidée par un œnologue. La dégustation est aussi ouverte aux amateurs. « Nous avons beaucoup de clubs d’œnologie qui rassemblent des passionnés originaires de France ou d’autres pays qui sont capables de déguster un grand nombre de vins en un laps de temps court, ce qui n’est pas donné à tout le monde », fait savoir Anne-Marie Estampe. À noter que l’or représente l’unique titre octroyé lors de ce concours international. Les résultats sont publiés le lendemain de la journée du concours. Les producteurs lauréats, quant à eux, reçoivent leurs diplômes au cours d'une cérémonie officielle de remise des diplômes qui se déroule lors d'un salon viti/vinicole. En 2015, ce fut à Bordeaux lors de VINEXPO, en 2016 ce fut à Bordeaux lors de VINITECH, en 2017 ce sera à Montpellier lors du prochain SITEVI. ...
Dans les hauteurs d’Aubrac, au beau milieu des massifs volcaniques, Arlette et Christian Bessière décident de transformer cette bâtisse abandonnée en un véritable sanctuaire culinaire : Le Buron du Ché. Installé au bout d’un chemin sinueux, ce paradis des gastronomes profite d’une excellente localisation d’où il est possible d’admirer les monts d’Aubrac. Un refuge culinaire en pleine montagne Le restaurant propose deux salles de styles différents. Ceux qui désirent profiter d’une ambiance plus intime et préserver la chaleur de leurs retrouvailles, le Petit Buron leur réserve charme et discrétion et peut accueillir jusqu’à 50 personnes. Puis, de l’autre côté, à travers ses grandes baies vitrées, le Grand Buron, d’une capacité de 80 places, fait profiter d’une vue panoramique donnant sur la vallée du Bes, les monts du Cantal et l' Aubrac. Au sein du restaurant, une ambiance chaleureuse et conviviale se fait ressentir. Les poutres apparentes en bois donnent du cachet à l’établissement et tranchent avec les tables et les chaises en métal. Une prédominance de couleur claire donne un aspect élégant et spacieux à la salle. L’aligot à l’honneur L’aligot est le plat phare de la maison. Minutieusement préparée par Christian Bessière, cette spécialité culinaire traditionnelle de la région d’Aubrac accompagne la plupart des plats servis au restaurant. Aujourd’hui, il est préparé à base de crème, de purée de pommes de terre, de beurre et de tome d’aligot. De nombreux menus gourmands à découvrir Le chef tente de satisfaire toutes les envies gourmandes, en proposant différents types de menus : Saveur, Goût du pays, Tradition, Dégustation, Terroir… Comme leur nom le sous-entend, ces suggestions culinaires font honneur aux produits du terroir fournis par les producteurs locaux. Les menus ont un point commun : ils sont constitués de viandes servies toutes sans exception avec l’incontournable aligot. À la carte, les papilles se délecteront en entrée d’une succulente crème brûlée au foie gras et pain d’épices. Le repas enchaine ensuite avec un risotto aux cèpes et gambas poêlés pour ceux qui affectionnent les produits de la mer. Sinon, il est possible de commander un mignon de porc en croûte ou une entrecôte pour les amateurs de grillades. Pour finir, les desserts maison au choix apporteront une note de gourmandise et de douceur à ce repas mélodieux. Les convives qui désirent manger plus léger ne sont pas en reste. Le restaurant leur réserve un vaste choix de salades, dont la salade du Buron, une spécialité de la maison composée, entre autres, de jambon du pays, de fromage, de croûtons et de salade verte. En outre, la salade d’écir enchantera les palais. L’écir, ce fromage typique d’Aubrac doté d’une pâte jaune pâle, est apprécié pour ses douces saveurs de gentiane et de miel. ...
À Dijon, le restaurant La Closerie propose une cuisine raffinée, toujours concoctée à partir de produits frais et de saison. Du 100 % fait maison qui ravira à coup sûr les fins palais. Deux salles, deux ambiances Le restaurant dispose de deux salles distinctes. Côté jardin, les invités ont droit à un cadre intimiste, qui révèle une atmosphère empreinte de douceur et d’authenticité. Avec ses poutres apparentes datant du XVIIe siècle et ses murs de pierres, le lieu ne manque certes pas d’originalité. Côté cour, l’ambiance est plutôt à la décontraction avec le bar à vins, qui offre un espace lounge propice aux échanges et à la convivialité. De l’authenticité et de la saveur En cuisine, le chef Arnaud Riandet affectionne les produits locaux et s’approvisionne donc en circuit court. « Pour moi, le plus important est de travailler des produits frais et de qualité », nous explique-t-il. Ce dernier concocte chaque jour une cuisine raffinée, qui marie à la perfection tradition et modernité. En entrée, le jambon persillé avec sa crème de moutarde et pesto de cresson fait toujours l’unanimité auprès des convives. En plat, le chef suggère la joue de bœuf confite au vin rouge ou bien la volaille « Gaston-Gérard » façon revisitée et son gratin dauphinois, une pure merveille. Enfin, le vacherin au cassis noir de Bourgogne clôturera en beauté cette découverte culinaire. Pour accompagner idéalement tous ces plats, l’établissement propose pas moins de 250 références de vins. Une carte qui fait honneur à la Bourgogne, puisque 90 % des vins servis sont issus de la région. ...
Auray est un bourg dynamique morbihannais dont le paysage change au gré des marées. La beauté et le calme du port de Saint-Goustan imprègnent les promeneurs venus sillonner les berges pour trouver un moment de sérénité. L'église de Saint-Gildas classée monument historique tout comme l'hôtel de ville datant du XVIIIème siècle, les maisons à colombage, le pont Saint-Goustan, le Vallon du Reclus, La Petite Forêt forment le riche patrimoine architectural, historique et naturel de la ville. Au-delà des sites et monuments, Auray a la chance d'abriter l'une des meilleures tables de la région. Au restaurant Terre Mer, on cultive l'excellence dans l'assiette mais aussi dans l'accueil. Anthony Jehanno, globe-trotter et artisan du goût Le goût pour la cuisine, Anthony Jehanno l’a acquis dès sa plus tendre enfance. Adolescent, il obtient son BEP à Sainte-Anne-d’Auray. Sa passion et ses talents le conduiront rapidement vers les plus hautes marches de ce métier d’exception où l’attend sa première place de chef à Montmartre, au sein de l’établissement Moulin de la Galette. Telle une locomotive, plus rien alors ne l’arrête. Il est sollicité par le groupe Ducasse pour l’ouverture d’un nouveau restaurant situé sur les Champs-Elysées. Après avoir sillonné Londres et les Etats-Unis où il a exercé comme consultant, ce globe-trotter choisit de déposer définitivement ses valises dans le Morbihan, sa terre d’origine. De là commence une merveilleuse et nouvelle aventure qu’il vivra aux côtés de son épouse, Anne-Sophie Jehanno. Ensemble, le duo complice façonnera leur nouvel établissement à leur image. Ici, rien de trop guindé. La charmante maison de granit livre une décoration chic et raffinée, juste ce qu’il faut. Premier détail qui focalise l’attention : les murs en pierre et les poutres apparentes qui confèrent tout son charme à la salle. Une cuisine actuelle Dans cette atmosphère élégante et cosy, Anthony Jehanno et sa brigade œuvrent pour flatter vos papilles. Les produits du terroir et de la mer de la région sont à l’honneur. Le jeune chef Morbihannais travaille en étroite collaboration avec plusieurs petits producteurs afin de sublimer à sa manière les trésors locaux et de saison. Le produit est en majesté. Cela débute par un foie gras poêlé qui se décline en de multiples accompagnements selon la saisonnalité. Mais cette fois-ci, vous le dégusterez bien avec du kiwi jaune et de l’ail noir. Enchaînez ensuite avec un dos de chevreuil amandes airelles ou un filet de Saint-Pierre salsifis champignons et « cazette ». Au dessert, laissez-vous tenter par les tartelettes du chef dont l’expérience en pâtisserie transparaît avec brio dans l’assiette. Les saveurs de cette cuisine actuelle, équilibrée et goûteuse sont sublimées par une puissante carte de vins. Bien que les propriétaires expriment une préférence pour les vins de Bourgogne, la cave se compose d’autres belles références issues de l’Alsace, de Bordeaux, de Gascogne, de la Loire, du Rhône. ...
Faisant aujourd’hui figure d’institution en matière de gastronomie française, l’établissement est un haut lieu de restauration, où s’apprécie une cuisine qui mêle élégance, tradition et intuition créative. Quand la magie des lieux opère Situé sur la prestigieuse avenue Montaigne au sommet du Théâtre des Champs-Élysées, cet établissement riche d’une réputation construite depuis plus de vingt-huit ans est aujourd’hui le fief de Bruno Franck et de son équipe qui y font jouer leur expérience et leur savoir-faire. Dans une ambiance intérieure raffinée et cosy, laissez-vous transporter dans un confortable voyage ou à l’ombre de son admirable terrasse qui fait face à la tour Eiffel pour une expérience gustative d’exception dans la farandole des saveurs d’une cuisine à la qualité irréprochable. À travers un vaste espace de 440 m2 offrant de multiples possibilités, la maison est constituée de deux niveaux : une salle qui longe une baie vitrée vertigineuse et verticale avec une vue dominante sur l’Ouest parisien et une mezzanine située en hauteur qui révèle son lot de surprises en s’ouvrant sur un paysage plus élargi sur la capitale et qui permet de découvrir un bar lumineux aux couleurs variables ou encore une incroyable terrasse, la terrasse Georges V telle une oasis illuminée de pleins feux par la Dame de fer, la tour Eiffel. Une cuisine d’exception, inventive et raffinée Constamment au rendez-vous, le mariage réussi des textures et des saveurs aux couleurs contrastées se suivent et se succèdent au restaurant Maison Blanche, fortement inspirées des nombreux voyages du chef Fabrice Giraud et des influences méditerranéennes de son enfance. C’est ainsi que, jour après jour, naissent de belles assiettes inventives préparées selon le marché du moment où la surprise et l’authenticité sont toujours à l’honneur. À cela s’ajoute le savoir-faire d’un excellent chef pâtissier Paul Donore, qui, depuis de nombreuses années, fait chanter les desserts à travers de grands classiques revisités à sa manière. Découvrez à travers une carte prometteuse, où sucré et salé forment un bon équilibre, un savoureux saint-pierre au citron confit et au fenouil, un plat emblématique revisité par le chef qui s’harmonise à merveille avec le Crozes de Combier 2012 Clos des Grives, au nez de framboise et de violette. Un lieu hors du commun pour accueillir vos événements Perché sur les hauteurs du Théâtre des Champs-Élysées, le restaurant Maison Blanche est également un haut-lieu de festivités parisiennes, où opère la magie des strass et des paillettes. L’établissement réunit dans diverses ambiances, tout un essaim de noctambules en quête de fêtes et de soirées bien orchestrées. Chaque samedi, cette institution se métamorphose en un night-club branché, où l’ambiance diffuse du Club Montaigne permet de se retrouver autour d’un verre sous la cadence d’une musique rythmée, et ce, jusqu’au bout de la nuit. Maison Blanche, c’est aussi un lieu d’accueil unique pour tous types d’événements. Anniversaires, séminaires, conférences de presse et aussi mariages, dîners de gala ou événements d’entreprise y sont les bienvenus. Pour toute demande de renseignements, une équipe commerciale particulièrement à l’écoute se tient à votre disposition pour la réalisation et la personnalisation de vos événements. N’hésitez pas à demander un devis. ...
Depuis sa création en 1967 par Michel Marcoult, cette famille vigneronne a toujours été récoltant-manipulant, produisant uniquement et elle-même le produit de ses récoltes. Un duo père-fils complémentaire Actuellement, le domaine est géré de concert par Francis et Julien, fils et petit-fils de Michel Marcoult. Passionné tout autant que son père, Julien a rejoint la maison familiale en 2004. Depuis, le père et le fils ont mis leur complémentarité à profit pour créer de nouvelles cuvées ; nouvelles, mais toutes travaillées selon la tradition et à l’ancienne, c’est-à-dire en fûts de chêne. Des terroirs atypiques Couvrant près de 9,5 hectares, le vignoble du champagne Michel Marcoult est réparti sur trois terroirs : la côte du Sézannais, la côte des Bars et celle de Vitryat. La maison Marcoult puise sa force dans la typicité de son terroir et dans sa diversité pour élaborer des champagnes riches et authentiques. « Il faut savoir que la côte de Sézanne, très crayeuse, est très qualitative pour le chardonnay », précise Florence Marcoult. Deux gammes de champagnes disparates Chaque année, Champagne Michel Marcoult produit environ 60 000 cols, répartis en deux gammes. Composée de six cuvées, la « gamme classique » permet à tout un chacun de trouver celle qui lui correspond le mieux. Constituée de trois cuvées, la « gamme authentique » est quant à elle plus distinguée. « Les Macrêts », « Les Bonnots » et « Les Carabins » sont des cuvées exceptionnelles issues de sélections parcellaires, travaillées à l’ancienne et élevées en fûts de chêne. Elles conviennent parfaitement pour les événements exceptionnels de la vie. ...
La Maison Mathieu-Princet a été créée par Michel Mathieu et son épouse Françoise Princet qui exploitent leur vignoble depuis les années 1960. Aujourd’hui, le couple est épaulé par leurs filles Sylvie et Véronique ainsi que par Patrick Lefebvre, Responsable de l’exploitation. Cette maison travaille sur un vignoble de 9 ha, réparti sur 5 communes de l’appellation Champagne, dont 2 en Premier Cru, à savoir Grauves et Bisseuil. Des cuvées reconnues pour leur qualité Récoltant-manipulant, Vigneron indépendant, la Maison Mathieu-Princet maitrise toute la chaine de production en mettant en avant le savoir-faire artisanal. Chaque étape fait l’objet d’une attention particulière. Les champagnes Mathieu-Princet se démarquent surtout par un long vieillissement sur lies, pouvant aller jusqu’à 5 ans, voire plus, pour les millésimes. À l’image de la cuvée « La Réserve des Alice » (la Grande Réserve Brut), qui a vieillit 5 ans en cave et est considérée comme étant la plus représentative de la maison. Issue d’un assemblage de 70 % chardonnay et 30 % de pinot noir, ce champagne Premier Cru dévoile des odeurs de sous-bois, des arômes de pain grillé, vanille et goût boisé. En bouche, on trouve une belle harmonie entre la finesse du chardonnay et la puissance du pinot noir. Élégance et compléxité caractérisent cette cuvée à déguster à l'apéritif ou au cours d'un repas. Mais une cuvée sort du lot. Outre sa fraîcheur, la délicatesse de ses arômes, le caractère rarisime de sa bouteille sérigraphiée fait de la cuvée Blanc de Chardonnay la cuvée coup de cœur de la maison. ...
Fidèles à la tradition de fabrication de la moutarde de Meaux® Pommery® débutant au XVIIe siècle, Les Assaisonnements Briards défendent l’authentique au sein d’une structure volontairement maintenue familiale. L’envergure du fabricant n’empêche pas ses moutardes et vinaigres de s’arracher les votes des épicuriens du monde entier. Loin de là… Une longue tradition dans le brassage des moutardes Historiquement, Les Vinaigreries du Lion appartenaient autrefois à la même famille qui fabrique aujourd’hui la tant convoitée moutarde. Ils fournissaient en vinaigre le fabricant de la fameuse moutarde de Meaux® Pommery® depuis 1865. De par la supériorité de la qualité du vinaigre, le meunier de la moutarde de Meaux® Pommery® transmit à cette même famille les secrets de fabrication de cette célèbre moutarde. Depuis, cette haute référence culinaire héritée des chanoines n'a pas été entamée et reste très prisée des épicuriens. Servie autrefois à la table des Rois, elle se retrouve aujourd’hui dans les plus grands palaces et tables de restaurants étoilés. Près de 4 siècles plus tard, les produits se déclinent dans des packagings plus modernes et de taille plus réduite s'adaptant ainsi au mode de consommation actuel. Garants d’un voyage sans heurt sous toutes les latitudes, ces derniers sont toujours conditionnés dans des écrins en grès permettant de les protéger contre les UV et les chocs de température. Les versions gustatives, elles, se font plus osées, étonnantes, à l’instar de la moutarde au miel Pommery®, best-seller de la maison. Le fabricant la recommande par exemple pour rehausser les viandes telles que l’agneau, le veau, boeuf et bien d’autres préparations culinaires… Infiniment vinaigre Les Assaisonnements Briards n’ont pas, pour autant, abandonné la filière vinaigre. La maison a développé toute une gamme de vinaigres d’alcool et de vin, aromatisés par macération naturelle de fruits et d’aromates depuis un siècle et demi. On y retrouve dans des contenants en grès ou en verre, des saveurs comme le vinaigre d’alcool aux framboises, citron vert, fruit de la passion ou encore le vinaigre de vin aux herbes de Provence, estragon, etc. ...
Sur la commune de Saint-Pierre-à-champ, située à l’extrême nord des Deux-Sèvres (79), et juste en limite du Maine-et-Loire, se trouve le domaine de la famille Lemoine. L’exploitation, aujourd’hui dirigée par les frères jumeaux, Alain et Gilles Lemoine, représente la troisième génération de vigneron sur ce domaine d’Anjou. Lutte raisonnée sur le Domaine de la Gachère Dans le plus grand respect de leur terroir, Alain et Gilles Lemoine ont opté pour la conduite de leur vignoble en lutte raisonnée. Objectif : Zéro désherbage. Soucieux de trouver des solutions alternatives au désherbage chimique, les rangs sont cultivés ou enherbés et depuis deux ans des essais de paillages sur cavaillons sont réalisés. « Cette terre, ne nous appartient pas, elle est l’héritage des générations à venir, nous devons la préserver » souligne Alain et Gilles. Qualité et authenticité reconnues Par une implication permanente, l’équipe du Domaine de la Gachère, se voit régulièrement reconnue par ses pères lors des concours. Le concours général agricole de Paris récompense régulièrement les cuvées du Domaine et notamment les rouges : cuvée « Alexia » et la cuvée « les jumeaux ». La crème des Crémants Cette année, les crémants de Loire du domaine sont mis à l’honneur. Le concours national des Crémants de Loire 2017 qui se déroulait à Chambéry a permis à Gilles et Alain de décrocher de bien belles récompenses. Une médaille d’Or pour leur Crémant de Loire blanc 2015 et une médaille d’ Argent pour leur Crémant de Loire Rosé 2015. Pour couronner le tout, La presse nationale et européenne présente à ce concours décerne « le Prix de la presse » au Crémant de Loire blanc 2015 de la Gachère. Suite à ce concours, le directeur de la fédération des producteurs et élaborateurs de Crémant, Mr Olivier Sohler, rappelle« le concours national des Crémants permet de distinguer la crème des Crémants et est un vecteur de haute qualité du produit ». Les blancs secs du domaine Chardonnay, Sauvignon (médaille d’Argent au concours des vignerons indépendants), sans oublier le cépage « GROLLEAU GRIS » idéal avec les huitres. ...
La jeune entreprise Cueillette Urbaine souhaite créer des bâtiments plus propres tout en favorisant la consommation de produits locaux par le biais de potagers productifs et écologiques. Une mission qui s’inscrit dans un contexte écologique et gastronomique recherché par les entreprises et les particuliers. Apprendre à mieux consommer grâce à Cueillette Urbaine L’entreprise Cueillette Urbaine a été créée avec un seul objectif : mettre en place des fermes urbaines écologiques sur les toits des villes. Pour cela, la jeune société met à disposition des espaces de cultures pour les entreprises et collectivités. Au sein de ceux-ci, les participants apprendront à cultiver différents fruits et légumes de saison tout en créant du lien social avec les autres jardiniers experts ou néophytes. Mais le concept ne s’arrête pas là. Car, les clients peuvent donner les fruits et légumes cueillis à un chef qui s’occupera de les cuisiner à sa façon. Ainsi, à l’inverse d’un restaurant traditionnel où il est nécessaire de choisir un plat défini à l’avance, ici, ce sont les participants qui sélectionnent eux-mêmes ce qu’ils veulent consommer. À savoir : les différentes variétés de fruits et légumes sont de saison. Ainsi, en printemps/été, vous trouverez plutôt des tomates, des aubergines et des piments tandis qu’en automne/hiver, vous aurez la possibilité de faire pousser des navets, des carottes et des épinards. De plus, il est aussi possible d’acheter des paniers à raison de 5 € le kilo. D’après Paul Rousselin, le CEO de Cueillette Urbaine, en faisant pousser ses propres produits, nous évitons la pollution liée au transport. Ainsi, en plus de manger sain et équilibré, vous faites un geste pour la planète. Des bâtiments propres et écologiques C’est un fait : l’urbanisation grandissante de ces dernières décennies laisse de moins en moins de place à la végétation. Ainsi, nous observons de plus en plus de pics de pollution dans les grandes villes. En partant de ce constat, la jeune start-up s’est lancée le défi de végétaliser les toits de nombreuses grandes villes. Cela afin de lutter contre la pollution, les inondations et garantir un maintien de la biodiversité grâce à des techniques culturales innovantes telles qu’une jardinière autosuffisante et des murs végétalisés d’aromatiques. D’après Paul Rousselin, l’installation de fermes urbaines sur les toits des immeubles permet une meilleure gestion des eaux de pluie, une amélioration de la qualité de l’air, une réduction des îlots de chaleur ainsi qu’un meilleur recyclage des déchets organiques grâce au compostage. Tout cela s’inscrit dans les objectifs de développement durable fixés par l’ONU en répondant à 9 d’entre eux (sur 17). C’est pourquoi de nombreuses entreprises et collectivités sont intéressées par ce concept novateur et écologique. Une entreprise avec une mission durable L’aventure Cueillette Urbaine commence en 2016. Créée par plusieurs amoureux du monde végétal (dont Paul Rousselin, le CEO, et Pierre-Frédéric Bouvet, le CTO), cette entreprise veut se lancer dans une quête avec un fort enjeu écologique. En s’appuyant sur des techniques innovantes et en aidant les sociétés et les collectivités à créer des espaces dédiés à la culture de fruits et légumes de saison, elle souhaite mettre en valeur le concept de circuit court autant que celui de permaculture. De plus, très vite, le concept de restauration germe dans l’esprit des créateurs qui pensent immédiatement à se rapprocher de chefs intéressés par ce projet. Ainsi, en contrôlant chaque étape de la vie d’un légume ou d’un fruit, le consommateur est sûr de manger sain tout en apprenant, s’il le souhaite, les bases du jardinage (par le biais d’ateliers). Nous sommes en plein mouvement locavore. Dans ce cas précis, une entreprise ou une collectivité fait un geste pour ses employés, pour les habitants et pour l’environnement. Lorsqu’une action individuelle profite à l’ensemble de la population, il est d...
Aymen Jabrane, Docteur en phytochimie de l’Université de Bourgogne, l’initiateur du projet s’est inspiré des potentiels offerts par les figues de Barbarie, des fruits originaires de la Tunisie et de la Méditerranée. Avec l’aide d’un ami d’enfance et d’un producteur tunisien de Nopal (figue de Barbarie), le fondateur lance sa start-up avec pour objectif de proposer des produits de haute qualité, commercialisables en Europe et USA. Pour cela, il mise sur la valorisation du Nopal dont le haut potentiel nutritionnel est avéré. Le process L’entreprise importe ses fruits issus de l’agriculture biologique depuis la Tunisie pour les transformer ici en France, dans la région bourguignonne, à Dijon. Selon des techniques d’extraction à la pointe de l’innovation, elle extrait la purée des fruits, des principes actifs de toutes les plantes afin de pouvoir profiter de toutes ses vertus. Sur toute la chaîne de production, une démarche tournée vers le développement durable entre la France et la Tunisie est appliquée, surtout du point de vue humain. Le respect, la transparence et l’honnêteté sont autant de valeurs animant la start-up qui veille à ne travailler qu’avec des producteurs locaux triés sur le volet pour la qualité de leur travail. Une gamme de produits et une chaine de valeur maitrisée De ces processus de production stricts naissent deux produits. L’un, alimentaire : le jus de fruits 100 % bio. L’autre, cosmétique : l’huile miraculeuse Bio. Le jus de fruits Nopai est un concentré de bienfaits. En plus d’être rafraîchissant, il développe un goût très exotique et a une texture onctueuse à souhait. Le Nopai est vendu dans les magasins spécialisées en France et à l’étranger. La société propose des développements sur mesure de recettes et des boissons pour des chaines de restaurants, des chaines de magasins BIO et visant le développement des marques blanches pour les GMS à long termes. L’huile extraite en France, quant à elle, possède des propriétés antivieillissement et antirides. Elle élimine les vergetures et assure une régénération de la peau. Avec une odeur discrète et agréable et une texture facilement absorbable par l’épiderme, elle peut être utilisée en parallèle avec un autre produit cosmétique et en combinaison avec les huiles essentielles. ...
Depuis 14 ans maintenant, et investi totalement dans son rôle de vigneron, toujours épaulé par son père Jean-Pierre, ils exploitent ensemble les 10 ha de vignes que compte le domaine. Eparpillés sur 4 km de côte viticole, l'exploitation est fière de compter parmi ses parcelles quelques-unes dans l'aire d'appellation du Klevener de Heiligenstein. Domaine Herr : la gamme de vins Attaché à l'authenticité des cépages alsacien, le domaine Herr propose plusieurs gammes de vins. Des traditionnels ou " tout néophytes ou amoureux de vins d'Alsace doit s'y retrouver " aux cuvées en sur-maturation en passant par les Crémant ... Jamais à court d'idées, Yann se plaît à élaborer des cuvées insolites " j'aime sortir des sentiers battus et trouver dans nos cépages quelque chose de différent, actuellement je propose La cachette un assemblage de Riesling et de Muscat vinifié en macération ". Mais c'est dans ses "petits terroirs" qu'il trouve tout le mérite de son travail " quand je retrouve millésimes après millésimes les caractéristiques, l'identité de chaque lieux ". Les arômes épicés du Gewurztraminer Weinberg, l'acidité vibrante du Riesling Hoell ou encore l'intensité fruité du Muscat Berg en font quelques une de ces particularités. Toujours partant pour faire découvrir ses vins, le domaine Herr vous accueille sur simple rendez-vous. ...
Bâti au XIXe siècle, le Château Volterra met aujourd’hui en avant son terroir viticole par des labels incontestablement reconnus du milieu. Ayant pour ambition de réaliser d’excellents crus, le domaine se lance dans une exploitation manuelle et une culture raisonnée, écartant définitivement de ses pratiques l’utilisation des pesticides. Ce qui ne fait qu’accentuer le gout et la valeur du vin qui en résulte… Le vignoble de la Méditerranée Connu autrefois sous le nom de Château Camarat, le Château Volterra est l’héritage d’une histoire d’amour déchu entre un certain aristocrate anglais et sa belle Tropézienne. Racheté en 1926 par l’imprésario parisien Léon Volterra, il sert de lieu de tournage et accueille de nombreuses activités. A la fin des années 80, le Château et son domaine furent laissés à l’abandon jusqu’à son rachat en 1999, où ils retrouvèrent leur prestige grâce à une restauration complète par les nouveaux propriétaires. Replanté avec des cépages locaux, le vignoble reprend vie grâce à la douceur du climat maritime dont le domaine bénéficie. Le vent marin qui souffle sur les feuilles de vignes constitue d’ailleurs un élément fondamental pour la qualité des cépages et donc du vin. Dans cette zone, l’équilibre climatique occasionne une saison tempérée idéale pour la pratique viticole. Le domaine produit 50% de rouge, 25% de rosé et 25% de blanc. Des techniques de pointe pour un vin savoureux Non loin du Château, enfouie entre des murs épais du début du XXe siècle, la cave du Château Volterra renferme de grands crus. Cueillis à la main sous le souffle de la brise nocturne, les fruits font l’objet d’un tri sélectif strict en vue de collecter les meilleurs cépages qui seront destinés à la réalisation d’un vin d’exception, de qualité supérieure. Le choix d’une agriculture raisonnée et sans pesticides favorise la saveur du vin. En outre, la fermentation est obtenue par une parfaite maitrise de la température. Avant la mise en bouteille au Château, le vin est soumis à une analyse rigoureuse en laboratoire qui se trouve sur place. La particularité du rouge est qu’il est mis en bouteille sans filtration, après que les cépages aient été fermentés séparément dans de grandes cuves de bois, puis élevés dans une barrique sur une période de un à deux ans. Cette technique permet au vin d’acquérir plus de tanin et de couleur. Quant aux vins blancs, la vivacité et la fraicheur du Vermentino (cépage blanc italien) sont dues à sa fermentation en cuve inox tandis que le Chardonnay doit sa complexité à la fermentation en barrique et à l’élevage sur lie. ...
Situé dans la ville d’Huningue, le restaurant Le Vauban est un lieu privilégié qui gagnerait à être connu. Se trouvant à 150 m de la passerelle piétonne des trois pays menant vers l’Allemagne et à 2 km à peine de la Suisse, ce petit coin de paradis bien connu de l’Alsace est loin d’avoir livré tous ses secrets, vous laissant ainsi la surprise de la découverte. Un lieu chargé d’histoire Édifiée à l’époque des fortifications de Vauban, la bâtisse qui abrite le restaurant est vieille de plus de trois cents ans. Depuis plus d’un siècle, l’établissement a baigné dans l’hôtellerie-restauration à travers différents décors en passant du stade d’hôtel à celui de restaurant et de bar avant de se transformer en cette charmante « brasserie sans prétention » décrite par l’actuelle propriétaire, Isabelle Godhbane, qui d’ailleurs, tient à garder ce côté familial. C’est un lieu chargé d’histoire qui a su garder un côté rustique et moderne à la fois. Le plaisir et la satisfaction s’y conjuguent au présent. La surprise de la découverte aidant, le lieu attire de nombreux visiteurs qui n’ont qu’une hâte : celle d’y retourner ! Une cuisine entre tradition et modernité La cuisine du restaurant se veut traditionnelle avec toutefois une légère pointe de modernité dont seul le Chef connaît le secret. Travaillés avec le maximum de produits frais, les plats sont goûteux et particulièrement généreux. Ce qui donne, selon Isabelle Godhbane, le sentiment d’être «|comme à la maison mais avec le petit plus qui va donner envie de sortir ». Alliant cuisine du terroir et cuisine plus moderne, l’établissement reste cependant dans le registre du traditionnel français et fait de ses spécialités alsaciennes ses meilleurs plats d’hiver. Les tartes flambées restent ses produits phares dont la plus appréciée est la forestière gratinée à laquelle viennent s’ajouter ses tartes flambées végétariennes qui font un vrai tabac. Travaillant sur les groupes et les réservations, l’établissement a depuis longtemps supprimé les menus de son ardoise. Les choix se font uniquement sur la carte avec aussi des plats sur commande, le tout à juste prix et à la portée de toutes les bourses. Le vin d’Alsace à l’honneur La carte des vins de l’établissement est riche de près de 25 références avec une forte proportion de vins alsaciens. Situé au cœur des trois frontières, à 200 m de la frontière allemande et à 350 m de celle de la Suisse, le carrefour international de Bâle astreint le restaurant à aligner le plus grand nombre de vins alsaciens reconnus d’ailleurs pour leur finesse et leur élégance, et ce, pour tous les cépages. En dépit de cette préférence, il convient de noter que l’ensemble des vins du restaurant reste bien français avec tous les trois mois des vins différents. Tous les vins sont par ailleurs proposés aussi bien au verre qu’en pichet, en quart et en demi. Parmi les best-sellers figure le puissant et très aromatique gewurztraminer, une très belle référence alsacienne. Le petit plus qui fait la différence Pour remercier ses clients de leur fidélité, le restaurant Le Vauban a une façon bien particulière de le montrer. Loin de l’idée de se faire juste de la publicité, il tient particulièrement à cœur d’organiser des petits concerts réguliers, notamment en été, pour apporter un plus à la clientèle. C’est aussi pour la maison, une manière de leur dire « merci d’être là toute l’année ». On y retourne pour le plaisir et aussi pour la qualité de la cuisine et du service. Et c’est ce qui fait toute la différence ! ...
Brasseur d’idées et de bières depuis plus d’un siècle, la Brasserie Duyck se met dans l’air du temps et dévoile ses bières modernes au look branché. Après la Gamme Dégustation lancée en 2017, la Brasserie Duyck innove avec une nouvelle gamme de bières. Avis aux amateurs : la gamme Jenlain de type IPA débarque ! Avec trois saveurs particulières au choix, chacun y trouvera, à coup sûr, son bonheur. Une histoire de famille Tout commence en 1900, l’année où Léon Duyck installe pour la première fois une salle de brassage dans les Flandres, à Zegerscappel. Vingt ans après, Félix Duyck décide de suivre les traces de son père, en installant sa propre ferme-brasserie à Jenlain, un petit village situé à 10 kilomètres au sud-est de Valenciennes. Félix Duyck est à l’origine de la célèbre « bière de garde », qui fera non seulement la notoriété de la maison Duyck mais aussi celle de tout un village. Et c’est également lui qui a eu la brillante idée de conditionner les bières Jenlain dans des bouteilles… peu communes. En 1950, face à la raréfaction des bouteilles disponibles au sortir de la guerre, Félix et son fils Robert trouvent une solution pour le moins originale : vendre leur produit en se servant des bouteilles champenoises. Soixante ans plus tard, la brasserie a gardé ces fameuses bouteilles non sans y avoir apporté quelques touches de modernité. Mais si la maison Duyck a su conserver toute son authenticité, elle la doit en grande partie à son indépendance. Restée aux mains de la même famille, elle est l’une des rares brasseries historiques de la région à avoir su honorer ses valeurs de persévérance et d’indépendance. Jenlain Ambrée, le fer de lance de la maison La première bière de la Brasserie Duyck dénommée « Jenlain Ambrée » a largement contribué à son succès. Véritable signature de la maison, on retrouve dans cette « bière de garde » un style et un savoir-faire unique au monde. Pour confectionner sa bière iconique, la Brasserie Duyck applique la même recette depuis ses débuts. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que cette bière de fermentation haute, non pasteurisée, possède un gout inimitable. S’habillant d’une robe cuivrée, elle dévoile des arômes de fleurs et de caramel, de fruits cuits et de malt légèrement grillés. Largement reconnue pour la dégustation, la « Jenlain Ambrée » peut être aussi un compagnon idéal en cuisine. Trois nouvelles saveurs En 2014, l’arrivée de Mathieu Duyck, cinquième génération, impulse une nouvelle dynamique et un vent de fraicheur au sein de la brasserie familiale. Sa philosophie ? Faire preuve d’innovation tout en gardant l’esprit et le style propre à la maison. Misant sur le côté design et moderne, Mathieu Duyck dote la marque d’une nouvelle identité visuelle. Résultat, des bouteilles à la forme épurée associées à un packaging tout en sobriété et en élégance. En parallèle, la maison lance une nouvelle gamme de bières de type IPA (type ale, brassé avec du malt pâle), incluant trois recettes originales qui offrent chacune des expériences gustatives différentes. À commencer par la « Summer » ! Celle-ci est élaborée à partir d’un assemblage de houblon « barbe rouge », qui lui apporte des arômes de fruits rouges ainsi que du houblon « centennial » procurant des notes fruitées agrumes. Avec un taux d’alcool de 3,8 %, la « Summer » séduit par sa légèreté, sa douce amertume et son côté fruité. Ce qui en fait une boisson d’été de premier choix. Quant à la « Session », deuxième bière de la gamme, la recette se compose de houblon « Citra » et « Chinook », apportant respectivement des saveurs d’agrumes citronnés intenses et des notes herbacées vertes et boisées. Cette bière blonde présente une am...
Au Château le Tros, la première bouteille fût produite en 1974. Lancé par la première génération des Jabouin, le grand-père fera l’acquisition des premiers 2ha après une carrière dans la mécanique. Il mettra aussi en place les premiers chais et les cuves inox. Véritable histoire familiale, le domaine continue sur cette lancée. Aujourd’hui, le petit-fils, Mathieu a repris les rênes et, en près de 40 ans, le domaine a grandi. Il s’étend désormais sur plus de 60 hectares répartis sur trois communes : Tizac-de-Curton, Génissac, Naujan et Postiac. Situé à 8km de Saint-Émilion au sud de la rivière Dordogne et à 25km à l’Est de Bordeaux. On y produit plus de 250 000 bouteilles chaque année dont une partie est exportée vers des pays d'Europe ou encore la Chine. Les vignobles du Château Le Tros Les vignes des 60 hectares du domaine sont cultivées sur un sol argilo-calcaire et un sous-sol de carrières, spécificité de l’appellation Bordeaux. La région, elle, jouit d’un climat océanique porté par l'Atlantique qui se trouve à proximité. Un avantage pour produire un vin de qualité mais un inconvénient puisqu’il faut parfois subir l’instabilité des saisons due principalement au réchauffement climatique. Soucieux de leur environement, la famille Jabouin a adapté depuis plusieurs années la culture dans le respect de la faune et de la flore. Ce qui leur permet aujourd'hui d'être labelisé Haute Valeur Environementale Niveau 3. On y retrouve les cépages les plus fameux de l’appellation dont notamment, le Sauvignon Blanc, le Sauvignon Gris et le Sémillon. Ces trois cépages occupent 8ha de parcelles sur le domaine. Le reste est composé pour les vins rouges de cépages en Merlot, Cabernet franc et en Cabernet Sauvignon. Les vignes sont vendangées mécaniquement. Exceptions faites de la Cuvée Dernier Carat et le Crémant de Bordeaux qui sont vendangées à la main. Ce dernier répondant aux normes du cahier des charges de l'appelation. Du vin de Bordeaux dans l’air du temps Producteur depuis 1978 avec le premier Château le Tros Rosé, le domaine embouteille aussi des vins rouges fruités et gourmands ainsi que des blancs frais et festifs. Des vins qui se veulent de qualité mais surtout accessibles à toutes les bourses. Parmi les vins qui se démarquent le plus, "Perles Noires" est un vin 100% Merlot issue de parcelles dont les sols sont composés de graves et de galets, un terroir très rare dans la région. A prendre en début ou fin de repas, ce vin présente un violacé profond. La cuvée "Perles Noires" est vinifiée en barriques de chêne français neuves et se boit au bout de 2 à 3 ans. Son niveau de qualité lui permet de tenir une garde de 10 ans minimum. Afin d’en apprécier toutes les subtilités, le vin atteint son apogée au bout de 4 à 5 ans. Quant au rouge "Tradition," véritable vin de qualité à petit budget, il affiche un goût en bouche plus léger . Véritable vin Plaisir, on y retrouve le goût de fruits rouges, la fraîcheur d’un vin issu de jeunes plants. Ce vin "passe-partout" se déguste aussi bien avec de la charcuterie que de la viande blanche. Les vins du domaine disposent d’une excellente réputation. La majorité des ventes se fait ainsi au bouche-à-oreille, la meilleure méthode marketing. La passion du producteur se ressent à travers chaque bouteille mais aussi le professionnalisme. Pour les assemblages, le domaine fait ainsi appel à Denis Galabert, un œnologue reconnu, qui fournit l’encadrement nécessaire pour la vinification et l’élevage. ...
C’est à l’issue de nombreux brassages fructueux, réalisés dans le petit village de Bazincourt-sur-Epte, qu’ils lancent leurs toutes premières recettes. « Nous avons commencé par trois recettes et, [avec le succès de ces dernières], nous avons agrandi notre production », dixit Antoine. Une nouvelle brasserie est alors créée à Gisors, en Haute-Normandie, un lieu entièrement dédié à la production de bières hautes en couleur. En découlent alors deux gammes de produits empreints d’humour et adulés des connaisseurs. La vraie bière de terroir Dans le but de produire une vraie bière de terroir, les deux entrepreneurs ont peaufiné leur savoir-faire et leur maîtrise du processus de brassage en s’inspirant des techniques de fabrication artisanales. Ainsi, la bière produite n’est pas pasteurisée et ne contient ni arômes ni épices. Tout le processus d’élaboration, allant de l’infusion des céréales à la fermentation en fûts et en bouteilles, se fait, par ailleurs, sur place et les matières premières sont collectées dans des coopératives agricoles françaises. « Avec l’orge et le houblon 100 % français, nous avons également notre propre souche de levure que l’on cultive à la brasserie. Cette levure donne le goût caractéristique, qui fait la signature de nos produits. » Des bières légèrement fruitées aux saveurs uniques découlent ainsi de cette passion pour l’authenticité. ...
Destination favorite des voyageurs épicuriens, Tain-l’Hermitage est la capitale du chocolat gastronomique et, plus encore, celle du vin. Il abrite quelques fleurons devenus des références internationales dans la production de ce précieux nectar, dont l'exploitation M.CHAPOUTIER. Dirigée par Michel CHAPOUTIER, l’entreprise a construit ses valeurs autour du partage et de l’échange avec la création notamment d’une importante offre oenotouristique. Un cadre exceptionnel pour l’œnotourisme Hermitage, Saint-Joseph, Condrieu, Châteauneuf-du-Pape, Côte-Rôtie... L’âme de la maison M.CHAPOUTIER se reflète à travers sa large sélection de vins d'exception issus de différents terroirs partout en France, en Espagne, au Portugal ou encore en Australie. Ces derniers se découvrent à l’occasion de sessions de dégustation au sein du Caveau situé 18, avenue du Docteur Paul Durand. Plusieurs formules avec des vins préalablement sélectionnés sont disponibles bien que les visiteurs puissent également composer eux-mêmes leurs propres formules. Des sommeliers sont présents sur place et apportent les meilleurs conseils. Pour pousser l’expérience à son paroxysme, les œnophiles avertis ou débutants sont conviés à participer aux nombreux ateliers organisés durant lesquels des repas bistronomiques à base de produits frais et de saison sont préparés par les chefs de la maison. Certains sont organisés de façon hebdomadaire. Bien entendu, place est donnée aux accords mets/vins qui affinent les connaissances autour de ce divin nectar. Différentes thématiques sont formulées à la carte avec possibilité d’organiser des ateliers sur mesure. Une immersion au cœur des vignobles Les amoureux de vins, pour qui une simple dégustation ne suffit pas, sont conviés à vivre une aventure plus enrichissante directement au cœur des vignes grâce à des balades à vélo. De nombreux parcours sillonnant le vignoble de Saint-Joseph ou bien la colline de l’Hermitage sont à découvrir via des vélos électriques. Une application sur smartphone sera mise à disposition afin de guider les cyclistes au cours de ce périple. Il est possible de faire durer davantage ces moments exquis dans l’univers viticole en passant carrément un séjour prolongé au sein des quatre gîtes de la maison plus un qui est actuellement en cours de rénovation. Ces havres de paix garantissent un maximum de confort en proposant tous les équipements nécessaires. Ils ont la chance de bénéficier d'une situation exceptionnelle qui donne sur un panorama de rêve. Le Gîte Tour du Pavillon installé au coeur du vignoble de l'Ermitage propose une vue sur les coteaux de Saint-Joseph, les vignes à perte de vue, et le château de Tournon-sur-Rhône. Les Granits donnent sur les magnifiques coteaux de Saint-Joseph et sur le Rhône. Si l'Ermite 1 vous offre un sublime aperçu du vignoble de Crozes-Hermitage plongeant vers le Rhône, l'Ermite quant à lui propose un panorama sur le Rhône et la Tour Carré dominant la colline de l’Hermitage. ...
Le Café de l’Homme a rouvert ses portes en décembre 2015 après cinq ans de travaux. Imaginée par les architectes d’intérieur Gilles & Boissier, la décoration dévoile un style Art déco dans le même esprit que le Palais de Chaillot. Tables en marbre, matières minérales et végétales, tout a été pensé pour vous offrir une ambiance magique. Les six mètres sous-plafond et les jeux de lumière créés par Alain Guilhot donnent une dimension exceptionnelle au lieu. Pour la terrasse de 300 m², avec sa vue exceptionnelle sur le Champ-de-Mars et la tour Eiffel, tables en granit et sièges en rotin ont été privilégiés pour vous faire profiter pleinement de l’espace extérieur et des rayons du soleil. Vous pourrez également découvrir la mezzanine, un espace plus intimiste pour seize personnes. L’offre culinaire Le chef étoilé du 39V, Frédéric Vardon, propose une carte où les produits de saison sont mis à l’honneur. Vous y trouverez des recettes classiques de la cuisine française délicieusement revisitées, mais aussi quelques plats inspirés par les autres continents. La carte est renouvelée au gré des saisons. Elle permet également de découvrir le travail d’artisans en mettant à l’honneur un de leurs plats. Si vous êtes amateur de vins, vous parcourrez avec envie la carte et ses 200 vins et flacons d’exception. Vous pourrez demander conseil à l’équipe en salle pour dénicher la pépite qui accompagnera au mieux votre repas. ...
Depuis 2012, une nouvelle gérance a investi les lieux. L’on parle ici d’Estelle Sidoni qui a reçu le titre d’Hôtesse de l’année 2018 par l’illustre guide Gault & Millau. Estelle Sidoni a offert un véritable bain de jouvence à ce lieu d’exception tout en veillant à conserver son esprit et son histoire. La salle est lumineuse, respire une ambiance décontractée chic, et à l’extérieur se trouve une belle terrasse, idéale pour profiter du climat agréable des beaux jours estivaux. Une carte, une signature Avec le très talentueux David Formica aux manettes, La Maison Lefèvre peut librement se permettre d’innover, d’apporter une petite fantaisie, et d’imposer sa marque de fabrique dans les assiettes. La carte propose entrées, plats et desserts avec une déclinaison en menu végétarien. En entrée, l'araignée de mer décortiquée accompagnée de sa sauce mayonnaise à la clémentine et oignon cébette, coulis de mâche, révèle toute la délicatesse d’un mélange improbable de saveurs en bouche. Les clients enchaînent ensuite sur une autre découverte gourmande, à l’instar du bar snacké, compression parmentière aux algues, arrosé d’un bon jus de coquillage, « c’est un plat à contraste, on a un beau relief dans l’assiette et on y retrouve beaucoup de peps », renchérit Estelle Sidoni. L’on se laisse aussi séduire par le bœuf black angus en filet, fumé minute au romarin et au thym, trio de canelon parmentier, jus au confit d’ail noir, un vrai délice. Pour terminer sur cette partition de saveurs, La Maison Lefèvre propose des desserts succulents, au nom évocateur et qui sont élaborés par deux pâtissiers bourrés de créativité. Le dessert « Ceci n’est pas un magnum » est ainsi un parfait glacé au chocolat noir 70 % avec une petite tuile au grué de cacao, agrémenté par une sauce chocolat chaud au piment d’Espelette. « On essaye d’aller plus loin dans la proposition des desserts, en apportant notre petit grain de sable qui va faire la différence », continue-t-elle. Et que dire de son fameux délice aux agrumes, accompagné de son parfait glacé au Yuzu et biscuit orange sanguine, croustillant noisette et chantilly au poivre de Sichuan. Quant aux menus, ils se déclinent en trois, dont un menu lunch servi à midi et qui change chaque semaine, au gré des produits du marché et de l’inspiration du Chef. Le menu Lefèvre et le menu Saveurs, servis respectivement en quatre et cinq services, offrent un beau panel de plats pour découvrir la cuisine du Chef, ponctuée par une once de tendance méditerranéenne. Une démarche locavore « On travaille de façon saisonnière, notre carte change quatre fois par an, comme les saisons » pour reprendre les mots de notre interlocutrice. Pour se procurer les produits frais et de saison, notamment en fruits et légumes, La Maison Lefèvre travaille ainsi avec un jardin solidaire nommé Kalendula situé à Esch-sur-Alzette. « On est sûr d’avoir des produits bio et on raccourcit aussi le trajet, le côté local c’est important », explique celle qui s’engage le plus possible dans une démarche écoresponsable. Côté vins, l’on retrouve cette même volonté de travailler avec des producteurs engagés bio. La carte compte une centaine de références et privilégie les vins naturels et les vins bio, locaux mais aussi des vins français. Ici, les grandes appellations ne figurent pas dans la sélection, laissant la place aux vins signés de petits producteurs du pays « dans un rapport qualité-prix qui est honnête ». Parmi eux, les vins biologiques certifiés Ecocert du Domaine Agarrus intriguent, avec sa gamme de cuvées au nom un peu décalé. L’on cite en rouge « L’insoumis » 100 % carignan pour accompagner viande rouge et charcuterie, ou « La vigne du facteur », un assemblage fruité de carignan, grenache et syrah. ...
Parti d’une lutte raisonnée, puis biologique et mettant en place maintenant les préceptes de la biodynamie, le Château de Chaintres s’attache à vinifier le plus naturellement possible dans le respect de la tradition : il produit des appellations Saumur Champigny, Saumur Rosé, Saumur Blanc et Crémant de Loire, certifiés bio par Ecocert France depuis les millésimes 2013. Une particularité du domaine est sa diversité de terroirs dont le tuffeau, la roche calcaire dominante de la région, qui fournit aux vignes un drainage naturel et contrôlé. Les cépages nobles de la région, et les seuls utilisés à Chaintres, sont le cabernet franc et le chenin. Une qualité reconnue à sa juste valeur Par son savoir-faire unique, le domaine élabore des vins de terroir élégants, amples et généreux pour accompagner les viandes rouges et les poissons charnus. Une qualité reconnue à sa juste valeur à travers des récompenses prestigieuses au fil des années. Les plus récentes, deux médailles au concours « Decanter 2018 », argent pour le Saumur Champigny Les Sables 2017 et Or pour le Saumur Champigny Vieilles Vignes 2017, qui est élevé au minimum 10 mois sur lies fines avant la mise en bouteille. ...