Le domaine Charles Gouthière et Fils possède un vignoble d’exception installé sur la côte des Bar, dans l’Aube, et réparti sur six communes. « Nous avons un sol argilo-calcaire et pierreux, qui nous permet d’obtenir des vins agréablement fruités », explique Fredy Gouthière, gérant du domaine. Ce vignoble accueille les trois cépages traditionnels champenois, en honorant particulièrement le pinot noir, le cépage de prédilection utilisé dans la confection du champagne emblématique Brut Grande Réserve. Forte d’une expérience qui s’est transmise depuis des générations, la maison maitrise l’art de la vinification traditionnelle champenoise dans l’élaboration de sa gamme. Celle-ci gravite autour de 40 000 bouteilles chaque année. Démarche biodynamique En s’engageant dans une démarche de viticulture durable, la maison concrétise ainsi sa sensibilité écologique et sa volonté de protéger l’environnement. Cette initiative exige d’être constamment à l’écoute des vignes dans le but de raisonner l’utilisation des produits phytosanitaires. Et le domaine va encore plus loin : « Une de nos parcelles situées à Chêneau est travaillée selon une démarche biodynamique. Elle procure des cuvées saines, expressives et d’une grande fraicheur. » La cuvée D’antan, un assemblage surprenant des trois cépages, reflète toute l’authenticité de cette parcelle. ...
Niché sur le village médiéval du Haut-de-Cagnes, sur la Côte d’Azur, le Château Le Cagnard abrite un restaurant d’exception, qui met l’accent sur la cuisine gastronomique et méditerranéenne avec une parfaite maîtrise des produits locaux et de saison, de l’entrée au dessert. Château Le Cagnard : un vestige séculaire exceptionnel Vieille bâtisse datant du XIIIe siècle, le Château Le Cagnard a su conserver son charme médiéval et provençal qui envoûte les passionnés d’art et d’histoire. Sa cheminée voûtée installée dans l’ancienne salle des gardes en témoigne encore. Perché sur les remparts et les collines du légendaire château médiéval Grimaldi, le domaine se trouve en plein cœur d’un véritable site historique et dépaysant qui donne une vue panoramique sur la mer. En 1960, la famille Barel achète la bâtisse pour en faire un hôtel familial depuis plus de cinquante ans. Séduit par la splendeur de l’édifice et son architecture médiévale particulière, la famille suédoise Ivarsson décide de racheter la propriété en 2011. Sans attendre, elle commence à rénover complètement l'hôtel et le restaurant afin de lui apporter un renouveau tout en conservant les pièces historiques. Honneur à la cuisine gastronomique régionale Pouvant accueillir jusqu’à 50 couverts, le restaurant du château est un lieu historique et magique qui met merveilleusement en avant des meubles et des œuvres d’art d’antan, notamment celles d’Émile Wéry dans la salle des gardes. Les 200 fresques toutes peintes à la main, « couvrent le toit amovible de la salle qui s’ouvre sur le ciel d’azur pour procurer une ambiance romantique dans la salle », témoigne Gregory Cousaert, Directeur de l'établissement. À l’extérieur, juchée sur les remparts du village, la terrasse offre une vue imprenable sur la Côte d’Azur avec vingt couverts disponibles. Côté menu, le chef Stéphane Laurin concocte une cuisine divine, raffinée et régionale à base de produits du terroir et de saison dans laquelle on trouve le « menu de saison » avec trois plats et le « menu dégustation » avec quatre plats. Ici, « la carte est en constante évolution et les produits sont issus directement des producteurs locaux et quelques fois bio, pour les œufs par exemple ». Parmi ses spécialités, le chef suggère en entrée, des Crevettes Sauvages, courgette et vinaigrette de fraise, en plat de résistance, un Pigeon à l'ananas, fenouil et ricotta safranée et en dessert, un Soufflé parfum d'orange et son granité yuzu basilic. « On ne peut avoir de culture gastronomique sans vin ». Voilà un dicton de Julia Child qui ne laisse pas indifférent le sommelier du château. Pour accompagner et mettre en avant la cuisine régionale du chef, il propose « des vins locaux niçois ou de Côte de Provence de la plaine du Var, tels que le Clos Saint-joseph, le vin modelé du Domaine de Toasc et les Coteaux du Verdon », nous rapporte le directeur en continuant que « le restaurant dispose aussi de grands crus, de premiers crus et de crus classés de Bourgogne et de Bordeaux » pour le plaisir des amateurs de bons vins. ...
Il paraît difficile de passer à côté de cette enseigne tant son architecture interpelle le regard. Aménagé dans une ancienne cour et « greffé » entre deux immeubles, l’établissement est formé par une structure de verre et d’acier avec une devanture entièrement vitrée. À l’intérieur, les convives apprécient une belle hauteur sous plafond qui donne l’impression d’un lieu d’exception. La configuration se prête idéalement au jeu des suspensions luminaires apportant au passage un design très épuré. Les invités baignent dans une ambiance conviviale et décontractée. Pour finir sur une touche insolite, une cuisine partiellement vitrée offrant aux invités le ballet des cuisiniers virevoltant aux fourneaux. Une cuisine italienne de qualité Avec l’arrivée d’une nouvelle direction, il souffle un vent de renouveau à la Brasserie da Matteo ! Et cela se sent surtout en cuisine. « Depuis la reprise de l’établissement, il y a de cela un an, la direction a voulu proposer une cuisine italienne de qualité axée sur la fraîcheur des produits », explique l’équipe. Ainsi, la carte change tous les trois mois en fonction des produits du marché. Pour commencer, les invités auront à choisir entre une entrée chaude ou froide. Chez Matteo, les antipasti sont toujours très appréciés. La tomate et mozzarella di Bufala, le jambon cru de Parme ou encore la salade composée font le bonheur des fins gourmets. En plat principal, le chef suggère un délicieux filet de turbot avec sa sauce au salsifis et fregola sarda, un incontournable de la maison. Pour les plus gourmands, la côte de veau milanaise promet des moments de pur délice. Pour terminer comme il se doit cette escapade culinaire italienne, les douceurs de Matteo régalent petits et grands. Entre le moelleux chocolat avec sa crème de mascarpone vanillée, le cheese-cake au caramel beurre salé ou le tiramisu classique, le choix est vite fait ! Côté vin, l’établissement possède une carte très riche qui met à l’honneur les vins italiens et français. En tout, une centaine de références qui ravira les plus fins connaisseurs. ...
À travers une cuisine à base de produits frais à l’ardoise et les remarquables talents du chef Sonia Martinez, l’Athanor est un lieu de restauration qui a tout pour plaire, même aux plus exigeants. Dans une belle découverte tournant autour d’une démarche de circuit court, les plats faits maison et de marché sont mis en avant et constituent les particularités de la maison. L’Athanor offre un cadre convivial à l’ambiance cosy qui est une véritable invitation aux plaisirs gustatifs. Une cuisine simple et gourmande aux saveurs de la Méditerranée À travers des plats traditionnels simples à base de produits du terroir et aux notes fraîches, Sonia Martinez se démarque par sa cuisine gourmande à l’authentique saveur de la Méditerranée, une cuisine chaleureuse aux couleurs de soleil qui fait le bonheur de tous ceux qui ont eu le privilège d’y goûter. Dynamique et talentueuse, Sonia Martinez use de petites touches personnelles dont elle seule a le secret, pour émerveiller nos papilles. La carte qu’elle partage avec un plaisir chaque fois renouvelé, privilégie aussi bien le poisson que la viande. Saint-Jacques poêlées au Cognac, filet de merlu, gigot d’agneau et andouillette grillée prennent une saveur particulière dans sa cuisine, sans parler de sa tartiflette et de son pot-au-feu, qui sont également de belles découvertes préparées avec le cœur. Un restaurant à l’ambiance familiale et au cadre entièrement revisité Pour la petite anecdote, l’Athanor est baptisé du nom du célèbre four bien connu des alchimistes ayant pour vocation de transformer le plomb en or. L’établissement rappelle notamment le décor feutré d’une maison familiale avec du mobilier en bois et des murs aux coloris jaune tendre. Dans une ambiance chaleureuse et bien affirmée au fort sens esthétique, le restaurant propose des plats au dressage raffiné et aux belles présentations, inscrits à la bonne franquette sur un grand tableau. Des produits faits maison Passée maître dans l’art de travailler la majorité des produits, Sonia Martinez accorde une attention particulière dans le choix de ses producteurs et fournisseurs locaux. « Certains sont des connaissances de longue date et d’autres, repérés sur le marché, mais je n’exclus pas le fait de travailler également des produits issus de l’extérieur selon le cas » explique-t-elle. À partir de produits coup de cœur et de saison, elle compose une cuisine faite maison à base d’ingrédients résolument frais. Une carte réduite avec des plats-signatures ou en suggestion L’Athanor est un restaurant qui se démarque par une carte particulièrement réduite sans menus fixes où « chacun prend ce qui l’envie » nous souffle la chef. L’établissement fait également partie des rares restaurants sans formules qui acceptent le fait que le client ne commande qu’une entrée ou qu’un dessert. Même si l’établissement n’a pas de carte fixe, certains plats reviennent assez souvent de par leur succès auprès des clients, notamment le foie gras au torchon maison qui en aucun cas ne peut être rayé de son tableau, ni d’ailleurs le pistou de saison ou encore la marinière de coquillages. ...
Le domaine de Chelivette est un lieu chargé d’Histoire. En témoignent son château médiéval datant du XIIIe siècle, sa chapelle construite en 1620 ou encore son télégraphe Chappe de 1793. Dès les années 1600, les jésuites y ont travaillé la vigne, faisant ainsi de ce domaine un des plus anciens de la Gironde. Séduits à la fois par l’aspect patrimonial et par la beauté et les potentialités viticoles des lieux, Florence et Jacques Borel n’ont pas hésité à en faire l’acquisition en 2014. Depuis, ces derniers ont procédé à la restructuration du vignoble, tout en s’engageant sur la voie de la démarche biologique. Préserver la biodiversité La propriété couvre une superficie de 30 ha, dont 12 dédiés à la viticulture. Implantées à flanc de coteaux, les vignes profitent d’une bonne exposition. Ici, l’encépagement est dominé par le merlot, suivi du cabernet sauvignon, du cabernet franc, du malbec, du sémillon, etc.... Dans le but de préserver le patrimoine naturel, une approche biologique est adoptée. « Nous pulvérisons des tisanes et des décoctions de plantes pour traiter les vignes. Aucun produit de synthèse n’est toléré », nous indique-t-on. Au-delà de cette démarche, les propriétaires s’efforcent de mettre en place un véritable écosystème complet, où chaque élément a son rôle à jouer. « Nous reposons notre réflexion sur la notion de biodiversité, puisque c’est la Nature elle-même qui protège le mieux la vigne », explique Florence Borel. Création de couloirs forestiers, production de céréales bio utilisées comme engrais, mise en place de nichoirs à oiseaux et introduction d’animaux dans la propriété… Tout est fait pour constituer un ensemble harmonieux et autosuffisant ! Sur cette lancée, le domaine de Chelivette a amorcé sa conversion vers l’agriculture biodynamique. Les labellisations Bio et Demeter sont ainsi attendues pour 2019. Les trésors de la maison Le Château de Chelivette produit 4 cuvées exceptionnelles : Château de Chelivette (bordeaux supérieur), Château de Chelivette (bordeaux rosé), le Clairet de Chelivette et le Domaine du Télégraphe (bordeaux supérieur). Obtenue à partir d’un assemblage de merlot et de cabernet sauvignon, la première cuvée s’habille d’une robe pourpre profond. Au nez, ce vin dévoile des notes de cerises noires bien mûres. Idéal pour accompagner fromages, viandes et poissons grillés. Pour le rosé, issu de l’assemblage de merlot et de cabernet franc, il séduit par sa rondeur et sa souplesse. En bouche se révèlent des arômes de fruits des bois. La cuvée « Clairet de Chelivette », quant à elle, allie fraicheur et intensité. Très fruité, ce vin est à déguster avec des grillades, des crustacés et de la charcuterie. Enfin, la cuvée « Domaine du Télégraphe » présente un bel équilibre entre légèreté et intensité. Elle se démarque par ses parfums de fruits exotiques et mettra en valeur viandes blanches, poissons ou fromages. ...
À déguster sous forme de cocktail ou sec accompagné de glaçons, le cognac offre un jeu subtil d’alliances de saveurs pour plaire aux amateurs. La production de cette eau-de-vie constitue le cœur de métier de la Maison Chollet. À travers une expérience de près d’un demi-siècle, le fabricant réalise ses assemblages avec harmonie, tel un véritable musicien ou un peintre, révélant toute la quintessence d'un produit d'exception. Une passion familiale depuis 1952… C’est entre 1952 et 1960 que Jacques et Jeanine Chollet investissent dans l’achat de leur terrain, puis aidés par leurs enfants, ils construisent une distillerie pour produire de l’eau-de-vie. Leur fils Chollet Bertrand reprend le flambeau en 1995 pour s’occuper et gérer le vignoble puis en 2008 c’est au tour de Christophe Chollet et sa compagne Marie Berry de prendre en main la partie élaboration et commercialisation de l’entreprise familiale. Après quarante ans d’existence, la Maison Chollet n’a pas changé son mode de production. Négociée puis sélectionnée méticuleusement, l’eau-de-vie est vieillie en fût de chêne pendant plusieurs années. De ce procédé naissent le VS de deux ans, le VSOP de quatre ans, le XO de dix ans ainsi que l’Altesse âgée de quarante ans, un élixir noble et très recherché. Parmi les produits phares de la maison figurent Les Millésimes « qui sont rares et plutôt difficiles à produire, car nécessitant une traçabilité draconienne », nous confie Marie Berry, propriétaire. Le 3945 : un coup de cœur… À la question « Quel est votre produit ambassadeur ? », Marie nous cite sans hésiter son cognac 3945. Distillé dans de vieux alambics et vieilli en fût de chêne, ce nectar rare et précieux est issu de l’assemblage d’eaux-de-vie de Fins Bois des années 1938 à 1946. De belles caractéristiques qui lui confèrent puissance et caractère. Avec un goût boisé et une bonne tenue en bouche, le 3945 est le must-have pour les amoureux de bon cognac. Et comme la maison possède moins de 400 bouteilles, « seuls les plus chanceux pourront le déguster », déclare notre interlocutrice. ...
Créée en 1974, la coopérative des Vignerons de Tutiac est aujourd’hui le premier producteur de vin d’Appellation d’Origine Contrôlée en France et le leader des Côtes de Bordeaux. « Développer notre expertise à tous les niveaux de la filière, de la vigne au verre, afin de pérenniser nos exploitations est au coeur de nos priorités. Nous mettons tout en oeuvre pour garantir à nos vignerons un avenir durable, en développant une viticulture plus respectueuse de l’environnement et économiquement viable. Notre entreprise est aujourd’hui reconnue comme l’une des plus dynamiques de Bordeaux. » Stéphane Héraud, président des Vignerons de Tutiac. Terroirs Situé en Nord Gironde, le vignoble des Vignerons de Tutiac s’étale sur 4 000 hectares sur les coteaux qui bordent la rive droite de la Dordogne et de l’estuaire de la Gironde. Sa situation en coteau lui permet de bénéficier d’un ensoleillement optimal pour la bonne maturation du raisin. Au fil des générations, Les Vignerons de Tutiac sont devenus de véritables experts de leurs terroirs, qui s’étendent sur les appellations Bordeaux, Blaye Côtes de Bordeaux et Côtes de Bourg. Chaque parcelle de vigne a été étudiée, ce qui permet de travailler chaque cuvée avec une grande précision. Pour les vins rouges, le cépage majoritaire est le merlot, que l’on assemble souvent avec du cabernet sauvignon, du cabernet franc, du malbec et du petit verdot. Les vins en appellation Blaye Côtes de Bordeaux sont souples, élégants et accessibles dès leur jeunesse. Les vins en appellation Côtes de Bourg sont reconnus pour leur caractère épicé en raison d’une plus grande proportion de malbec dans les assemblages. Les vins blancs, à base de sauvignon, sont très aromatiques avec une belle vivacité. Un vignoble expérimental Suite à un appel à projet du ministère de l’Agriculture, Les Vignerons de Tutiac ont planté un vignoble expérimental sur une surface de 1 hectare, afin d’expérimenter diverses méthodes pour développer une viticulture respectueuse de l’environnement et économiquement viable. Ils réalisent actuellement des tests sur les cépages résistants et sur des cépages originaires d’autres régions afin de voir comment ils s’adaptent aux terroirs bordelais. Le vignoble ayant été planté en 2014, les premiers essais de vinification auront lieu aux prochaines vendanges. ...
Menthe poivrée, bergamote, violette, les rayons de la boutique que Mauricette Clech a fait tourner pendant plus de 60 ans n’ont pas fini de dévoiler les secrets bienfaisants de ces plantes. Et de tant d’autres que le numéro 35 de la place du Marché déploie sous diverses déclinaisons dans son intrigant « tisane & tea bar ». Quid d’une nouvelle tendance pour tirer des plantes leurs vertus millénaires. Une enseigne modernisée, un mode de consommation remastérisé Entre les plantes et Millymenthe, l’histoire était partie pour durer. Ouverte en 1934 et tenue par le dernier herboriste de France, l’adresse a traversé les décennies sans cesser, un seul jour, de vanter leurs bienfaits. Victoria Renaud-Foughali nous raconte avec enthousiasme l'historique des lieux : « C'est en novembre 2010 que Mauricette Clech, icône de notre herboristerie pendant 63 ans, cède sa place à ma famille. Pendant cinq ans, ma tante Sabine Foughali, diplômée d'un DU en phytothérapie et passionnée par les plantes médicinales, tiendra la boutique avant de m'en laisser les rênes début 2016. C'est elle qui m'a transmis ce savoir ancestral autour des plantes et de leurs bienfaits, ayant elle-même reçu de nombreux secrets botaniques de la part de notre prédécesseur. C'est un héritage immense qui perdure de famille en famille sur plusieurs générations et qui fait la renommée de l'herboristerie Millymenthe depuis tant d'années. » Reliftée par la nouvelle propriétaire, l'adresse est désormais connue de ses adeptes pour son bar à tisane et bar à thé. Un concept bonus pour goûter, façon XXIe siècle, à toutes les vertus de ces boissons. Les spécialités aromatiques sous forme de sirops, de préparations à infuser et de bonbons qui ont fait la renommée de la maison sont toujours commercialisées. Avec en tête d’affiche, l’illustre menthe poivrée – « la plus médicinale des menthes », selon la dirigeante – et ses déclinaisons. Huiles essentielles, gélules et autres préparations phytothérapiques enrichissent les offres auxquelles les habitués et les néophytes accèdent en poussant la porte de cet antre du « bien-être, des plantes et du naturel ». ...
Dans les Vosges, le Haut Jardin accueille ses hôtes dans un cadre intimiste, avec des chalets équipés de spas privés et le service très haut de gamme d’un Logis d’exception. À très courte distance de Gérardmer, l’adresse convie à une expérience singulière de la détente et du bien-être. Son restaurant accueille les gourmets pour leur révéler une gastronomie du terroir déclinée dans la vision combinée de deux générations de chef. Une cuisine inspirée par les pépites des montagnes Des produits sélectionnés dans les fermes du voisinage et le jardin du domaine, assortis des plantes et des fleurs comestibles des montagnes des Vosges. C’est dans ce répertoire rendant hommage au terroir que la cuisine servie à la table du Haut Jardin puise son inspiration. À la tête des fourneaux, deux chefs maîtres restaurateurs (les Masson, père et fils) qui partagent leur passion de la bonne chère en toute convivialité. C’est ainsi qu’en entrée, les bourgeons de sapin des Vosges viennent embaumer la truite crue salée. Le carré d’agneau est également exquis, savoureusement rehaussé par la croûte d’ail des ours qui l’enveloppe. Les inconditionnels de douceur résisteront peu au « Chaud-froid de mirabelles flambé à la mirabelle ». Pour arroser le tout, la carte des vins de la maison déploie quelque 350 références, notamment issues de la Lorraine. En apéritifs, ne pas hésiter à essayer les petits crus vosgiens distillés à partir de plantes comme le pissenlit, le sureau ou la rhubarbe. ...
Entre bœuf et homard Propriétaire du restaurant Le Patio, emblématique de la gastronomie genevoise depuis les années 70, la famille Prato semble avoir trouvé en Philippe Chevrier le successeur culinaire idéal. Reconnu pour sa cuisine traditionnelle et créative, l’étoilé avait fait ses armes tout jeune au Patio, c’était donc une opportunité évidente que de reprendre l’établissement en 2013. Au-delà des classiques de bistrot, il y développe un concept original : le « Bœuf & Homard ». Aux tables du Patio, ces deux produits d’exception sont rois. Avec une texture fondante et un goût si singulier, sublimés avec talent, ils se réinventent sous les couteaux des chefs avec une déclinaison infinie de plats. Côté mer, on s’emballe pour des carapaces travaillées en bisques ou consommés aromatiques, parfumées au porto, au lemon grass, assaisonnées à la fleur de sel ou en gelée de fenouil. Côté terre, on salive pour le bœuf et sa traditionnelle entrecôte, ou en tartare, en carpaccio, farci, braisé, mitonné ou encore en ragoût. En entrée, les ravioles de queue de bœuf braisées et liées au foie gras et au porto font concurrence à la bouchée à la reine « comme faisait maman Denise ». Avec des classiques comme le tibia de bœuf à la fleur de sel et le homard grillé au beurre de corail, les plats sont authentiques et efficaces. Entre terre et mer, un trésor culinaire séduira à coup sûr les papilles des plus gourmets. Il s’agit du « Surf & Turf », alliant un cœur de filet de bœuf et un demi-homard grillé décortiqué. Souhaitant perpétuer la tradition, le restaurant revisite également les classiques d’une gastronomie d’antan, c’est-à-dire les plats phares de la famille Prato. Tartares, cuisses de grenouille, filets de perche, turbot sauvage ou encore carré d’agneau sont quelques-unes des spécialités présentes à chaque saison pour compléter le concept « Bœuf & Homard ». Pour concocter et servir cette cuisine gastronomique et audacieuse, l’équipe talentueuse du Patio réunit Gilles Granziero le directeur, deux chefs de cuisine, Romain Loiseau et Rodolphe Estiot-Braud, et Alexia Chenevard, maître d’hôtel. Une gourmandise authentique au cœur de Genève Tant du côté des saveurs que du décor, Le Patio est marqué par le sceau d’une élégance intemporelle. Entre lac et vieille ville, l’antre culinaire peuplé d’habitués accueille le visiteur à Genève dans une ambiance plutôt intimiste. Mêlant subtilement charme du bistrot de quartier et chaleur du restaurant douillet, difficile de résister à cet endroit. Les jolis murs de pierres apparentes sont tapissés des œuvres colorées du peintre cubain Carlos Boix, un habitué et ami du chef qui en a fait son repaire. Réputé pour son authenticité, le bistrot célèbre également le terroir à travers des soirées dédiées aux vignerons, aux cigares, à la truffe, et au gibier. « Sans vignerons et sans agriculteurs, le restaurateur n’est rien », a dit Philippe Chevrier, pour qui la cuisine est avant tout un art de la générosité et du partage. Et ce n’est pas l’incroyable sélection de vins du Patio qui nous fera dire le contraire. Des crus suisses mais aussi français et italiens sont à l’honneur d’une carte des vins étoffée et raffinée. Les chefs ont également élaboré une gamme de desserts aussi gourmands les uns que les autres. Parmi eux, on retient le traditionnel baba au rhum, la tarte fine aux pommes, ou encore le moelleux au chocolat. Le Patio reste à la fois un bistrot de quartier d’une belle tradition culinaire, qu’une institution genevoise incontournable de la rive gauche de Genève. Recommandé à tous ceux qui souhaitent partir à la chasse aux saveurs dans l’élégance de la simplicité et la chaleur de la vieille ville. ...
Qui a dit qu’il fallait absolument posséder des hectares de vignes pour produire les meilleurs vins ? Christophe Kaczmarek prouve que l’expérience et un carnet d’adresses bien étoffé suffisent à l’élaboration de cuvées d’excellence. Car ce négociant tisse d’étroites collaborations avec des producteurs certifiés en agriculture biologique et biodynamique pour concevoir sa gamme pleine d’authenticité et de générosité. Retour sur le parcours de ce personnage au caractère bien trempé et sur sa marque French Beaches, productrice de vins, de bières et de spiritueux. Le Master Blending comme source d’inspiration Christophe Kaczmarek se découvre une passion pour les vins lors de ses études à l’EDC Paris Business School. Intégré à la junior entreprise de son école, il travaille avec ses camarades sur le projet « Compositeur de grands vins » pour le compte du célébrissime Bernard Magret. Une fois son cursus achevé, il décide de se plonger dans les méandres de l’univers vinicole en démarrant comme vacataire chez le caviste parisien Le Repaire de Bacchus. De fil en aiguille, il consolide son background en se formant auprès des plus éminents sommeliers tels que Paolo Bouca Nova ou Jean-Michel Deluc. « A partir de 2011, j’ai intégré le domaine Paul Màs et ensuite, j’ai travaillé au sein du groupe Castel », raconte-t-il pour témoigner de son riche parcours. Le déclic survient en 2015. Christophe quitte son poste chez Castel et se lance dans l’aventure de l’entrepreneuriat. « J’ai deux structures dont l’une se nomme Coq au vin et l’autre French Beaches. Avec Coq au vin, j’opère comme agent à l’export pour une douzaine de vignerons et quant à French Beaches, j’y produis mes propres cuvées ». Il puise son inspiration dans le procédé de Master Blending utilisé dans la conception de whiskies. « Le Blended whisky est le résultat d’un mélange de différents whiskies d’âges et d’origines différentes. […] La technique a été créée au Japon et elle est relativement récente puisqu’elle date d’à peine 10 ans », fait savoir notre interlocuteur. Pour élaborer ses vins, cet artisan procède alors à des assemblages de différentes parcelles choisies auprès de ses partenaires vignerons. À la manière d’un parfumeur, il goûte de nombreuses cuves et décident de celles qui peuvent s’associer en se concentrant sur les qualités organoleptiques de chaque jus. Des cuvées festives et généreuses pour le plaisir de tous En quête de repères inédits, contemporains, élégants et identifiables, les consommateurs sont très à cheval sur le packaging des produits. Conscient de ce phénomène, French Beaches choisit par exemple des bouteilles Paris pour mettre en valeur ses cuvées. « Le vin est un produit noble, j’ai voulu lui donner un bel écrin », explique Christophe. Et comme cet artisan ne fait rien dans le conformisme, même ses étiquettes sont conçues de façon sur mesure par des artistes. « Au détour d’une librairie, je suis tombé sur un roman graphique d’Anne-Margot Ramstein qui m’a interpellé. Nous avons conclu une collaboration et elle réalise certaines de nos étiquettes ». Pour partager son goût pour l’audace et le beau, French Beaches dispose de huit cuvées déclinées en deux gammes : « Classique » et « Équinoxe ». Le Vin de pays « Zesty White » s’inscrit comme l’un des fleurons de la maison. Il est produit avec l’aide des Vignerons Catalans installés dans le Roussillon, riche d’une mosaïque de terroirs exceptionnels. Élaboré avec 80 % de sauvignon blanc et 20 % de grenache blanc, Zesty White est un vin gourmand et rayonnant dont les arômes nous plongent dans une salade d’agrumes frais. Ses notes croquantes, fraîches et minérales jouent sur un bel équilibre pour émoustiller les palais. La gamme Classique se compose d’une autre pépite à découvrir abs...
Comment est née l'aventure E. Jamart ? Karine : Dans les années 30, Émilien Jamart, boulanger, a acquis un bâtiment. C’était une ancienne exploitation viticole, qui avait gardé toute sa configuration, notamment son pressoir. De grandes récoltes se sont succédé. Les vignerons du village ne pouvaient plus monnayer les prestations de pressureur. Ils ont laissé le vin à Émilien Jamart, mon arrière-grand-père, qui s’est retrouvé en possession du stock. Nourri de sa passion du vin, transmise par son beau-père, caviste chez Moët & Chandon, il a vinifié, puis est devenu marchand de vin. Au fur et à mesure, il a acquis des vignes. Et il a créé la société en 1936. Comment se déroule la vinification ? Karine : La vinification se fait en cuve béton carrelé. S’ensuit la fermentation alcoolique et malolactique naturelle, sans passage au froid, pour conserver tous les arômes. À la propriété, nous réalisons toutes les étapes, de l’embouteillage à la conservation dans nos caves. Concernant les cuvées, trois gammes sont disponibles. D’abord, les Intemporelles ! Ces assemblages font la signature de la maison. Ils la caractérisent depuis son origine. Ils vieillissent sur lies au minimum deux ans. Ensuite, nous avons une gamme de vins de prestige, appelés les Exceptionnelles, des millésimes qui sont conservés au minimum cinq ans sur lies. Ils ont le temps de développer tous leurs arômes et toute leur complexité. Trois types de vins dans cette gamme : le blanc de blancs, le blanc de noirs, et également une cuvée, qui est notre cuvée premium, appelée la trilogie, avec un assemblage des trois cépages champenois. Des événements prévus pour cette année 2017 ? Karine : Cette année, nous participons à des salons partout en France. Nous organisons aussi au domaine un week-end portes ouvertes, avec une bourse aux capsules. ...
Légèrement situé en retrait, l’établissement est implanté à Morzine (Haute-Savoie), entre la mairie et l’église. Baignant dans une atmosphère familiale particulièrement agréable, l’enseigne est une belle adresse gourmande à découvrir et qui réserve son lot de surprises, à commencer par l’ambiance. Lumière tamisée, décor intimiste, ambiance cosy… Les Vents d’Anges affichent un décor hors des sentiers battus, couplé à un service plutôt décontracté. Ici, le temps semble suspendu… On prend le temps de se poser, de s’imprégner du lieu et de savourer la bonne cuisine inventive, inspirée de belles associations. Des plats savoureux À la carte, de nombreuses suggestions gourmandes qui changent au gré des saisons. Parmi les plats phares qui ont séduit la clientèle s’inscrivent le Risotto à la crème de truffe, jambon blanc et pecorino truffé, les Noix de saint Jacques panées aux sarrasin torréfié ,andouille de guémené et émulsion de vert de poireaux ou le Crémeux au chocolat Li Chu et curcuma pour la note de douceur. Les produits classiques et originaux se mêlent et s’entremêlent pour former un bouquet de saveurs et d’arômes pas comme les autres. La carte des vins Aux Vents d'Ange, le tandem Elise-Laurent fonctionne à merveille. Monsieur s'occupe des fourneaux tandis que Madame s'affaire à acceuillir les clients mais pas seulement. Grande spécialiste de vins, Elise Camilleri se confie : « nous avons une belle carte de vins qu'on essaie d'enrichir grâce au travail des petits producteurs ». La particularité du restaurant est qu'il propose un vaste choix de vins au verre, au quart ou au demi-litre, selon les envies des clients. Quelques grandes appelations sont disponibles « complétées avec des petites trouvailles que je sélectionne moi-même" continue-t-elle. ...
Lieu propice à la détente et à la découverte, L’Auberge des roses ne manque pas de charme avec ses pierres et poutres apparentes, sa cheminée au feu crépitant et sa terrasse ombragée à la vaste pergola, qui n’attend que vous pour les beaux jours. Une salle divisée en 3 niveaux avec une petite estrade en hauteur, appelée « petit salon », et une grande véranda font par ailleurs la particularité de cet établissement de caractère, dont la réputation n’est plus à faire. À travers une cuisine traditionnelle et gastronomique, composée en grande partie de poissons de la criée de Saint-Jean-de-Luz, le chef et gérant Hervé Barrière régalera vos papilles dans un voyage culinaire authentique et gourmand, où le temps semble s’être arrêté. Le rendez-vous des gourmets L’établissement vous invite à découvrir son appétissante et rafraichissante cuisine avec un menu à 30 € au choix, ainsi qu’une carte avec des suggestions qui changent tous les jours. Difficile de ne pas succomber à son Croustillant de gambas sur coulis de mangue marinés et roulés dans une feuille de brique, sa savoureuse Parillada de poissons, un assortiment de 4 poissons sur un lit de moules, de chipirons et de gambas, sans oublier son Pain perdu brioché pommes caramel au beurre salé qui est un véritable délice ! Pour accompagner chacun de vos repas, la maison dispose d’une très belle carte des vins, représentative de toutes les régions, avec près de 45 références, dont les fief la grange, ainsi que le vin local du Jurançon en sec et en doux. Un très beau bouquet au choix pour un accord parfait met-vin. N’hésitez pas à demander conseil ! ...
Située au contrefort du plateau du Larzac, dans le sud de l'Aveyron, cette entreprise, transmise de père en fils depuis maintenant quatre générations, s’évertue à créer des produits gourmets. Tout commence par une sélection rigoureuse des ingrédients et des méthodes de fabrication qui, malgré l’arrivée des matériels divers très performants, restent artisanales. Notons par ailleurs que toutes les productions passent par un contrôle interne sous l’égide de la démarche HACCP mise au point en 1996. Cette discipline vise en l’occurrence à optimiser la qualité des produits et à offrir le nec plus ultra à la clientèle de la région, de toute l’Europe et du monde entier. Les textures onctueuses et les parfums quant à eux qui mettent l’eau à la bouche en séduisent plus d’un. Une grande renommée bien méritée Cette société connaît une ascension fulgurante dès ses débuts avec ses pâtés de grives. Elle sait surprendre agréablement sa clientèle de choix en misant sur le pâté de canard qui fait rage dès les premiers instants. La marque frappe encore plus fort en créant le pâté de Roquefort, avec le célébrissime produit régional fromage de Roquefort. Se caractérisant par un grand sens de l’innovation, cette enseigne se met à proposer des produits répondant aux demandes actuelles, avec neuf gammes de pâtés et quelques 70 références. À (re)découvrir : la gamme bio, fabriquée en collaboration avec des fournisseurs certifiés AB, qui sublime le goût du Sud dans des produits sains, et la gamme de produits sans viande tartinables. A savoir que l’entreprise s’approvisionne auprès d’abattoirs agréés CEE, gage de la qualité de ses produits. Une nouvelle gamme Premium est en train de voir le jour avec un premier produit « Le Petit Effiloché de Cochonnet du Larzac ». Celui-ci offre l’avantage d’être fabriqué à partir d’un cochon BIO élevé en toute liberté, offrant une viande maigre, goûteuse, riche en protéines et d’une saveur particulière. Alliant savoir-faire, tradition et minutie, les produits de Roger Vidal sont dignes de la haute gastronomie et sont, de plus, dédiés aux cavistes, aux grands chefs, aux épiceries fines de gamme, aux grossistes spécialisés en bio et à la restauration collective. ...
Dominant la vallée du Gers du haut de son éperon rocheux, Lectoure fait partie des plus anciennes villes du département. L’ancienne cité médiévale a été le fief des Comtes d’Armagnac tout en étant l’une des étapes les plus incontournables sur le chemin de Saint-Jacques-de Compostelle. Elle peut aujourd’hui s’enorgueillir de posséder un riche patrimoine architectural comme le témoigne la présence des innombrables bâtiments et monuments pour ne citer que le fameux Château des Comtes d’Armagnac, l’ancien Palais Episcopal, la Cathédrale Saint-Gervais et Saint-Protais ou encore les nombreux hôtels particuliers construits au XVIIe et XVIIIe siècle. Dans cet environnement préservé, s’il ne fallait retenir qu’une adresse pour savourer une cuisine du terroir, ce serait sans hésiter celle de Sandrine de Samie et de Bastien Boulard. L’Auberge des Bouviers propose une délicate cuisine d’inspiration gasconne qui fait la part belle aux produits frais et locaux. Une adresse incontournable du Gers Dans le mercato des chefs renommés du Gers, Bastien Boulard peut se targuer de faire partie du haut du panier. Il faut dire qu’il est allé à bonne école puisqu’il a eu la chance d’exercer au sein de nombreuses grandes maisons. Se sentant prêt à développer sa propre cuisine au gré de ses envies et de ses inspirations, le chef saute le grand pas en 2010 et ouvre son restaurant. Il vivra cette aventure auprès de sa compagne Sandrine de Samie.Sa cuisine est une ode au raffinement et à la créativité. Il se plaît à concocter des plats gascons dans lesquels transparaissent son talent et la richesse de son expérience. Dès le premier plat, tous nos sens sont en alerte. La présentation des assiettes, digne d’une véritable œuvre d’art, mérite une mention spéciale. Et à la première bouchée, les saveurs authentiques entre douceur et amertume comblent les fins gastronomes. Les produits frais et locaux, il n’y a que ça qui compte Toutes les semaines, c’est le même rituel. Le chef part s’approvisionner en légumes auprès de la maraîchère du coin Martine Mazères qui s’attache fermement à respecter la saisonnalité des produits. Pour l’acquisition du canard, Bastien fait confiance à Patrick et Jocelyne Davasse qui possèdent une exploitation à Miradoux situé à 15 km de Lectoure. L’élevage, le maïs pour nourrir le canard, la transformation… tout est fait dans le Gers.Ces produits du terroir triés sur le volet inspirent le chef dans la création de ses plats. En entrée, place au sucré-salé avec une Terrine de Melon au piment d’Espelette, Ecume de safran de Lectoure et jambon de porc noir gascon en chiffonnade. En plat de résistance, le Rôti de pieds de cochon noir aux trompettes de la mort fera le bonheur des gourmets. Pour finir, l’Omelette agenaise flambée à l’Armagnac est l’une des spécialités de la maison à ne manquer sous aucun prétexte. Ambiance « chic », saveurs « choc » Tout comme la cuisine qui y est proposée, la salle présente aussi une dualité entre l’ancien et le moderne. Dans cette demeure datant du XVIIe siècle, les murs en pierres et les poutres apparentes procurent une ambiance chaleureuse et conviviale. Les chaises confortables, les grandes fenêtres, les luminaires inspirent la douceur et la détente et apportent un vent de charme et de romantisme aux lieux. A l’accueil et au service, une équipe professionnelle et avenante se tient à la disposition des convives pour garantir leur bien-être et faire de leur passage à l’Auberge des Bouviers, un moment inoubliable de pur plaisir. ...
Ce qui donne ce goût de craie à l’appellation Saumure-Champigny ? Ce sont ses tuffeaux, des formations géologiques de couleur blanche ou jaunâtre contenant quelques paillettes de mica blanc. Sur cette partie de la vallée de la Loire, se blottit Turquant où caves et grottes sont si nombreuses qu’on y compterait le plus grand nombre en France. C’est aussi ici que depuis trois générations, Denis Retiveau cultive son raisin pour produire six cuvées différentes ainsi que sa passion immodérée pour la navigation. Entre Turquant et Montsoreau, 10 km à l’Est de Saumur sur les bords de la Loire, il possède le domaine des Champs-fleuris. Un terroir viticole qui au milieu d’un climat océanique produit près de 200 000 bouteilles par an. Passionné depuis l’enfance par la viticulture, il reprend le domaine familial en 1995 après un brevet technique agricole en viticulture et œnologie. Des vignes qui s’étalent sur 29 hectares et où le vin rouge a pour spécificité sa densité, son côté charnu et élégant. Des vignes de 40 ans d’âge pour un saumur d’exception Avec 6 cuvées différentes, le domaine des Champs-Fleuris produit différents vins en mélangeant moderne et tradition. Les cépages alternent entre Cabernet franc (96%) et Cabernet-Sauvignon (4%) pour les rouges et on y retrouve les appellations Coteaux de Saumur, Crémant de Loire, Saumur Blanc et Saumur Champigny ainsi que du Saumur Rosé. Les vendanges y sont faites mécaniquement avec le tri embarqué et tapis élévateur dans le respect du raisin. Le vin fraîchement pressé est conservé dans de l’inox régulé et des fûts de chêne. Dans ces fûts, les vins sont conservés au moins un an. Une sensibilité particulière pour ce fruit produit sur des plants dont certains ont plus de 70 ans d’âge. Le terroir lui est certifié haute valeur environnementale. Le vignoble s’applique ainsi à utiliser des traitements conventionnels pour une culture raisonnée. Ainsi en 2021, sur 10 traitements, 8 ont été effectués en « bio ». Les grains profitent ainsi du climat océanique et produisent des vins légers et fruités. On y retrouve aussi des grands vins de garde, quand les raisins sont plus riches en sucre et que la macération est plus longue. ...
Après avoir fait ses armes chez Alain Ducasse, comme chef du Spoon notamment, avoir voyagé en Australie et à Madère, le chef Rui Martins a pris son envol au Cam40, ce nouveau restaurant ouvert boulevard Arago, dans le 13e arrondissement de Paris, fin mai 2016. Avec son équipe, Rui aime s’appuyer sur sa maitrise technique pour concocter une cuisine contemporaine, inventive et pleine de saveurs. Il porte une grande attention à la perfection des cuissons et à la justesse des assaisonnements. Dans un cadre épuré avec ses azulejos en trompe-l’œil et son mobilier en bois de style scandinave, Le Cam40 vous accueille dans une ambiance zen où l’on se sent comme chez soi. Camille, la serveuse, ou l’un des cuisiniers seront aux petits soins pour vous raconter l’assemblage de vos assiettes. De plus, vous avez toutes les chances de rencontrer le chef en fin de repas pour un échange chaleureux. Un petit nombre de plats au menu, régulièrement renouvelés Vous pouvez choisir dans le menu une entrée et un plat ou un plat et un dessert pour 28 €, une entrée, un plat et un dessert pour 35 €. Avec un supplément modique, vous avez également accès aux suggestions du moment, qui font appel à des produits recherchés comme les cèpes ou les Saint-Jacques. Les 3 entrées, 3 plats et 3 desserts composant le menu sont renouvelés régulièrement pour de nouvelles découvertes. Pour attendre sereinement votre première assiette, un amuse-bouche vous est offert. Puis, en entrée, vous pourrez vous régaler, par exemple, d’un œuf presque parfait. Celui-ci est cuit avec sa coquille à 64 °C en vapeur pendant 48 minutes, pour garder le jaune onctueux en bouche. En ce moment, il est accompagné de millet, légumes d’antan, éclats de marrons et châtaignes. Le compressé de poireaux, copeaux de boutargue et sauce inspirée d’une ravigote est aussi très apprécié. Les poireaux sont cuits à l’anglaise, puis compressés sous vide pour un visuel surprenant. En plat, vous dégusterez notamment un thon mi-cuit sauce saté pêché en Méditerranée, accompagné d’un succulent wok de légumes ou un excellent onglet de bœuf provenant du Coq Saint-Honoré. Toujours servis avec des légumes préparés dans un jus maison à base de bouillon de poule. En dessert, vous vous ferez plaisir avec un cheesecake à l’orange ou une tarte fine aux pommes, sublimée par un caramel au beurre salé chaud et froid. Et une mignardise maison clôturera avec délice votre repas. Dans la carte des vins, composée par Yannick Richard, petits domaines et vins bio sont particulièrement à l’honneur. Tous les mois, deux vins étrangers sont à découvrir, comme le Coppola, un excellent Chardonnay californien. ...
Doté d'un espace bien être (Piscine, Sauna, Hammam et Fitness ainsi qu'un Spa By Clarins), l’établissement n’est qu’à 35 minutes de Moûtiers en voiture. Cet hôtel « skis aux pieds », à l’atmosphère familiale, ne manque résolument pas de caractère, ponctué par des détails qui accrochent le regard. Perché à 1 700 m d’altitude, le restaurant offre une magnifique vue sur les montagnes des 3 vallées. À travers une cuisine gastronomique servie depuis la terrasse panoramique, l’enseigne est un lieu d’exception où il fait bon se retrouver. Une cuisine raffinée Le midi et le soir, le restaurant de l’hôtel laisse le choix de deux types de cuisines différentes. Si le midi met à l’honneur une ambiance semi-gastronomique, le soir, on est plutôt dans un cadre résolument gastronomique. Travaillant des produits essentiellement sélectionnés auprès de fournisseurs locaux, l’enseigne propose, le midi, un menu tout à la carte avec des plats à partager ainsi qu'une belle sélection d’entrées froides ou chaudes, une carte de poissons, de viandes ou de pâtes, ainsi que des risottos. Foie gras poêlé, pancake nectar de pomme et miel, cochon filet mignon laqué au miel, finger de tartiflette et soufflé Grand marnier, compotée d’agrumes et sorbet forment un beau festival de saveurs et de raffinement. Que ce soit en famille, entre amis ou en amoureux, apéritifs, goûters et plaisirs du farniente sont autant d’occasions de profiter de l’ambiance feutrée du restaurant, de sa grande salle avec cheminée ou de sa terrasse panoramique. Le restaurant Allodis met à votre disposition une riche carte de vins de plusieurs centaines de références, représentatives de toutes les régions. Vous n’aurez que l’embarras du choix, avec toutefois la possibilité de demander conseil au sommelier pour les meilleurs accords mets-vins. De façon tout à fait aléatoire, le son mélodieux d’une musique d’ambiance vous bercera certains soirs, de l’apéritif jusqu’à la fin des repas, en fonction des occasions. ...
Rendez-vous incontournable des amoureux de mélanges culinaires, Le Petit Manoir allie savamment gastronomie périgourdine et asiatique. Les délices du terroir agrémentés d’une touche vietnamienne y sont appréciés dans un cadre exceptionnel et enchanteur alliant ère médiévale et subtile modernité. La cuisine Périgord-Asie dans toute sa splendeur Au Petit Manoir, les produits faisant la renommée du Périgord sont mis en avant avec un subtil zeste vietnamien. Les recettes locales et la tradition culinaire sont remises aux goûts de l’Asie avec, à la clé, un harmonieux mélange de succulences gastronomiques d’ici et d’ailleurs. Truffes, canards et épicerie fine trouvent ici une alliance de prédilection dans des assiettes sublimes en bouche et appelant au régal. Découvrez cette singularité en dégustant une brioche de curé, suivie d’un magret cinq parfums et d’une gourmandise au chocolat et aux marrons, dans l’une des deux salles rustiques ou à l’ombre de la terrasse, tous propices à la détente. La fusion culinaire pour tous Enfants, végétariens, fins gourmets : tous trouveront leur bonheur gustatif dans cette table riche de ses diversités. Dans ce lieu dont l’art est reconnu par le Collège culinaire de France, la fusion est l’affaire délicieuse de tous les hôtes qui souhaitent découvrir une tradition revisitée à la manière originale d’un chef vietnamien. Chaque instant de plaisir qui en découlera sera accompagné d’un vin de Bordeaux ou d’un vin local issu d’une cave riche d’une centaine de références. ...
A Moustiers Sainte Marie, le restaurant Le Jadis se présente comme un endroit de repos gustatif idéal après une journée touristique dans le parc naturel régional du Verdon. La maison privilégie les produits français comme la viande de bœuf, mais surtout locaux comme la chèvre bio de Moustiers et son fromage, l’agneau du pays élevé à proximité. Une cuisine traditionnelle Le restaurant Le Jadis propose une cuisine traditionnelle majoritairement fait-maison qui favorise les produits frais du terroir. Le Chef Romain Colin collabore avec les fournisseurs locaux pour s’approvisionner en chèvre bio, en agneau mais également la truffe lorsque c’est la saison. Très important, toutes les viandes sont exclusivement françaises (porc, bœuf, agneau). Tous ces produits régionaux sont préparés dans le respect des recettes traditionnelles. La carte et les menus proposent de succulentes suggestions. La salade du Verdon, un mélange de fromage bio de Moustiers, jambon cru, miel du producteur et des figues est l’une des signatures du restaurant. Les pieds et paquets, une spécialité marseillaise à base de panses et pieds d’agneau sont aussi proposés. Ces abats sont mijotés dans une sauce à la tomate, au vin blanc et aux herbes de Provence. La cuisson de cette recette doit être longue et à feu doux. Difficile de ne pas mentionner la fameuse côte de bœuf qui est la plus représentative de l’excellent rapport qualité-prix prôné par l’établissement. Les convives peuvent avoir 500 g de viande par personne pour 25 euros. Autre plat phare : la soupe au pistou qui est une soupe de Provence très parfumée et très nourrissante à base de basilic. La majorité des ingrédients sont composés de légumes à savoir les pommes de terre, carottes, haricots, haricots verts, courgettes et poireau. De la tomate est ajoutée avant une cuisson d’une heure. Pendant que le plat mijote, le basilic est préparé avec des gousses d’ailles, de l’huile d’olive, du parmesan et des pâtes. Cette soupe est meilleure lorsqu’elle est servie chaude avec du fromage rappé. Comme la maison veut combler tous ses convives, elle offre aussi des plats végétariens et bio comme les raviolis au tofu basilic, les pâtes bolognaises ou encore les gnocchis au broutin (spécialité fromagère bio à la sarriette et herbes de PROVENCE). Il ne faut pas oublier que Le Jadis est aussi une pizzeria. Les pizzas aux proportions généreuses ont une pâte fine et croustillante. Les ingrédients sont très variés, de quoi largement satisfaire toutes les envies. Un cadre authentique Le restaurant-pizzeria Le Jadis propose un cadre provençal, jovial et cosy. Des murs aux tables, en passant par les portes, tout est coloré. Dans la salle, le set de table a été créé par le faïencier Bruno Louis et la fresque murale qui représente le village donne une touche artistique. Au niveau du bar lounge, les vieux murs de pierres apparentes donnent un ton traditionnel quand les meubles apportent de la modernité. Dans ce village où le soleil est au rendez-vous toute l’année, la terrasse du Jadis est l’endroit idéal pour apprécier la tranquillité de cet environnement de charme. Un environnement préservé Les Gorges du Verdon, le plus beau canyon d’Europe, constituent un des plus beaux sites d’escalade de France grâce à ses falaises. Ils font partie des principales attractions touristiques de la Provence. Ce site grandiose appartenant au parc naturel régional du Verdon offre des panoramas immenses. Aux portes du canyon du Verdon, Moustiers Sainte Marie a gardé le charme des authentiques villages provençaux. Il est classé parmi les plus beaux villages de France et bénéficie du label « Villages et cités de caractère » grâce à son patrimoine architectural et paysager exceptionnel. Ce village est reconnu pour la création de faïence et ses décorations uniques, une dizaine d’atelier lui sont encore dédiés aujourd’hui. ...
Le domaine possède 400 ans d’histoire au coeur de la Provence. En 1594, le roi Henri IV ordonne au Duc de Sully de planter les 15 majestueux platanes qui ombragent, encore de nos jours, le parc de la propriété. C’est en 1932 qu’Henri et Charlotte Fabre se prennent de passion pour le Château de l’Aumérade. Ils restructurent la propriété et obtiennent en 1955 le titre de Cru Classé. Henri Fabre développe une activité prospère qui lui permet de devenir l’un des premiers embouteilleurs de la région et l'un des fondateurs des côtes de Provence. Ils créent l’événement en 1956, avec le lancement de la célèbre « Marie-Christine », cuvée ambassadrice de charme des vins de l’Aumérade dans le monde. A partir de 1932, chaque génération de la famille Fabre a su transmettre sa passion de la vigne et son savoir-faire au service de l’excellence. Si la famille produit les 3 couleurs, la production de rosé représente plus de 90%. Les vins issus des cépages typiques de la Provence, (le grenache, cinsault, carignan, syrah et rolle pour le blanc) expriment avec élégance le caractère unique de ce terroir d’exception. La cuvée Marie-Christine Rosé mérite un intérêt particulier puisqu’elle est la cuvée emblématique de la propriété. Très aromatique, elle développe en bouche une intensité minérale ponctuée par des notes de fruits mûrs à chair blanche : une gourmandise ! Ce très beau rosé provençal vous est proposé dans un élégant flacon, imaginé par Charlotte Fabre, l’épouse du fondateur. Pour les blancs, c’est la cuvée Sully Blanc de Blancs qui retiendra notre attention. Ce vin est un grand blanc de Provence, élégant et complexe. Le Rolle, d’une grande qualité gustative s’exprime ici sur des arômes d’agrumes et de poire, traduisant une belle finesse de corps avec une remarquable persistance en bouche. Les rouges quant à eux, sont souples et fruités jeunes, ils évoluent en barriques sur des notes complexes épicées et vanillées développant de l’ampleur et de la puissance à travers des tanins soyeux et élégants. ...
Rutabago vous réconcilie avec les fourneaux en vous facilitant totalement la vie. Le concept : passez commande sur le site Internet de vos paniers prêts-à-cuisiner et ils vous seront livrés chaque semaine afin que vous puissiez mitonner de bons petits plats. En plus d’être pratique, Rutabago est une invitation à manger équilibré et surtout bio. Que demander de plus ? Paniers prêts-à-cuisiner : des produits sélectionnés avec soin Votre rythme de vie, aussi effréné qu’il est, ne sera plus une excuse pour éviter de cuisiner chez vous grâce à Rutabago. Avec ses recettes classiques ou végétariennes, la marque vous propose ses paniers prêts-à-cuisiner bio dans lesquels tout est inclus : viandes, poissons, légumes et fruits frais jusqu’aux épices et herbes aromatiques. Les producteurs fournissant les ingrédients sont triés sur le volet afin de garantir qualité et fraîcheur. « La traçabilité est importante pour nous et sera gage de fiabilité pour nos clients », fait savoir Pierre Pointard, cofondateur de la start-up. Outre les ingrédients, le panier contient un livret de dégustation qui comprend les fiches de recettes et retrace la provenance de chaque produit. Les recettes ! Parlons-en justement. Se prêtant à une véritable aventure gastronomique, elles ont été concoctées par des chefs, puis validées par une diététicienne. La cuisine française et la cuisine du monde sont également à l'honneur. Les suggestions changent chaque semaine et vous êtes ainsi certains de ne pas toujours manger la même chose. Côté timing, pas de panique, puisque la moitié des recettes ont été formulées pour que vous ne passiez pas un long moment en cuisine. « Une moyenne de vingt minutes, préparation et cuisson incluses », nous indique-t-on. Et dans l'optique de ne livrer qu'en juste quantité, les ingrédients sont pré-dosés et conditionnés de façon optimale. Il est en effet très important de spécifier que selon l'ADEME, chaque français gaspille en moyenne 20 kg de nourriture chaque année. « Consommer les paniers-recettes Rutabago permet de diviser ce taux par deux » explique Mathieu, cofondateur et responsable de la logistique. ...
Implanté à Vandières, sur les coteaux sud de la Marne, à 20 kilomètres d’Épernay et 40 kilomètres de Reims, le domaine Ardinat-Faust est constitué de 8,05 hectares de vignes implantées sur un sol argilocalcaire. Héritier des familles Simon, Dumont et Faust depuis 1972, José Ardinat a développé une grande passion pour cette activité, même s’il nous fait l’aveu « qu’au départ, ce n’était pas mon métier de prédilection ». Les parcelles qu’il entretient aujourd’hui sont cultivées des trois cépages à hauteur de 1,10 hectare de Chardonnay, 1,10 hectare de pinot noir et le reste en pinot meunier. Une grande collaboration avec mère Nature Depuis l’époque de Serge Faust, en 1968, qui fût l’un des premiers précurseurs d’une viticulture au « naturel », la maison est restée dans des traitements raisonnés malgré le boom des produits chimiques dans les années 60. Ferme dans cette démarche sans pesticide et bio depuis 1971, elle ne fait usage d’aucun produit chimique ou de synthèse dans son vignoble, pour préserver l’écosystème et renforcer le système immunitaire des vignes. Contrôlé par Ecocert depuis 1995, le domaine est également membre de la fédération de consommateurs et de producteurs Nature et progrès, prônant des approches biologiques et durables dans la biodiversité. Des bulles tout en finesse Le domaine assure une production annuelle d’environ 65 000 bouteilles, commercialisées essentiellement auprès des particuliers. Une grande partie est également exportée aux USA, au Japon, en Italie ou en Australie. Bien qu’elle soit associée au prestige, la marque de champagne Ardinat-Faust « veut rester parfaitement accessible, avec des prix moyens, comme le souhaitait mon grand-père », raconte Christophe Ardinat. « Le champagne bio n’est pas l’apanage de l’élite ; il est dédié à tous. » La cuvée Carte d’or élaborée de pinot meunier est l’ambassadrice de la maison, et émerveille les œnophiles par sa jolie robe patinée et ses arômes à diverses expressions. La cave recèle d’autres bijoux, comme la cuvée Spéciale à base de chardonnay et de pinot noir, qui plaît pour son effervescente élégance. ...