Dans cette charmante auberge au cadre simple et naturel, vous dégusterez le meilleur de ce que l’Ile de beauté à offrir. Entouré d’une brigade diligente et efficace, le patron, vous accueille dans la bonne humeur et vous réserve de belles surprises qui feront valser vos papilles. Un restaurant incontournable à Bonifacio A quelques pas de la mer et face au Bastion de l’Etendard, L’auberge Corse est idéalement installée au cœur de la vieille ville de Bonifacio. Entre les nombreuses découvertes historiques à faire dans les alentours, l’emplacement permet aux touristes de passage de profiter d’un moment de répit et de détente culinaire dans une ambiance bistro-montagnarde. Baignant dans des couleurs chaleureuses et de senteurs boisées, l’enseigne permet à ses clients de profiter d’un cadre rafraichissant, idéal pour déguster les spécialités du pays. La carte révèle des saveurs soigneusement choisies pour permettre de découvrir l’essence de la cuisine traditionnelle corse, ainsi que les spécialités gastronomiques de la ville. Le veau corse, le sanglier, les assortiments de charcuterie et de fromage, les aubergines à la bonifacienne vous feront découvrir les origines méditerranéennes de cette riche tradition culinaire. Une cuisine privilégiant la qualité et les traditions Soucieux de proposer le meilleur de la cuisine du pays, le restaurant privilégie les produits locaux, afin de garantir leur fraîcheur, leur qualité et leur goût si particulier. « Nous travaillons avec des producteurs locaux essentiellement », nous confie le responsable. Cela se reflète également dans la carte de vins de l’enseigne, proposant une quarantaine de références corses comme celui de du Domaine Sant Armettu. De plus, pour garantir la satisfaction de ses clients, ce patron méticuleux n’hésite pas à mettre sa toque de chef cuisinier pour réaliser lui-même des spécialités dont il a le secret. L’adresse est particulièrement idéale pour les gourmands qui veulent déguster le fameux burger corse, fait maison, cela va de si. « Je hache moi-même ma viande pour faire des steaks de 180 g et je fais faire mon pain spécial par mon boulanger ! », souligne le propriétaire. ...
Priorisant les pratiques anciennes afin de préserver les saveurs du terroir, Pompon Champy se démarque par sa démarche qualité visant à proposer du champagne unique. Elle a bâti sa réputation autour de la production de ses cuvées avec des méthodes de travail authentiques et dans le respect des traditions. « Marcher dans les pas de mon père » Ces propos de Marie-Paule Pompon, héritière de la maison Pompon Champy, illustrent son attachement aux valeurs traditionnelles et familiales dans le processus de viticulture. « Mon père est arrivé à l’âge de 14 ans pour travailler chez un viticulteur, c’est là qu’il a appris son métier et qu’il a rencontré ma mère qui faisait les vendanges. Ils ont tous les deux travaillé comme salarié puis ont acquis des vignes avant de créer leur propre exploitation… C'est par leur travail et leur courage qu’ils ont créé une exploitation prospère » nous raconte Marie-Pompon. Ainsi est née donc Pompon-Champy, une marque produisant des cuvées d’exception obtenues dans le respect des cépages, essentiellement du pinot meunier, qui poussent sur les quelque quatre hectares de terrain. Une terre « travaillée par une équipe de passionnés composée notamment d'Aurélie et de Freddy» tient à souligner notre interlocutrice. Pratiques anciennes et viticulture raisonnée Le riche héritage de Pompon Champy, ce sont des « pratiques anciennes que [Paul Pompom] a apprises de gens qui travaillaient le vin dans les années 50 », toujours selon Marie-Paule. Ces méthodes traditionnelles, alliant vendanges manuelles, travail soigné de la vigne et techniques anciennes de vinification, confèrent aux cuvées de la maison le goût typé caractéristique du terroir. Lors de vos instants gourmands, laissez-vous tenter par le Brut Tradition, un champagne 100 % pinot meunier, « fruité et fort en goût, et décliné en demi-sec », selon Marie-Paule. Accompagnez vos mets raffinés d’un Brut Réserve, une cuvée équilibrée obtenue par l’assemblage des trois cépages champenois. Notez que tous ces champagnes ont été élaborés selon une démarche de viticulture raisonnée. En réduisant le plus possible l’usage d’herbicides, la maison se veut être une marque prônant la durabilité dans les pratiques agricoles. ...
L’exploitation Emilien Fresne s’étend sur 4,6 hectares plantés à 80% en Pinot Meunier, 15% en Pinot noir et à 5% en Chardonnay. Situés principalement sur le commune de Cuisles dans le Parc Naturel de la Montagne de Reims, ces cépages bénéficient d’un climat mi-continental mi-océanique. L’exposition sud-est, les sols en craie et les sous-sols en argile verte confèrent une typicité unique aux raisins. Un champagne respectueux de l’environnement et des traditions Florent Fresne a adopté une viticulture raisonnée avec par exemple l’utilisation d’engrais exclusivement bio. La majorité des soins apportés aux vignes est réalisée à la main, comme la taille et le palissage. En tant que récoltant-manipulant, il réalise toutes les étapes de l’élaboration de ses champagnes sur son exploitation dans la pure tradition champenoise. Il accorde une grande attention à l’étape de pressurage en gardant séparé chaque cépage de chacune des parcelles en vue de l’assemblage. Ainsi il peut créer des champagnes avec de belles complexités aromatiques. Il produit environ 35.000 bouteilles par an qu’il vend principalement à des particuliers en France. Vous pourrez choisir le champagne Grande réserve décliné en brut, demi-sec ou sec, un champagne au reflet du terroir avec des arômes fruités ; le Brut rosé, un champagne à la jolie robe nacrée dévoilant un bouquet original ; le Brut sélection, un champagne élégant aux arômes subtils ; le Brut millésime 2011, une cuvée prestigieuse ; et le Ratafia, cet apéritif traditionnel typique de la Région champenoise. ...
Créé, il y a près de 12 ans, par Mathieu et Sophie Dommange, Soline est le pionnier lyonnais de la cuisine internationale responsable, sans chimie ni OGM, et végétarienne, tenant compte des allergies au gluten et au lactose. Ce restaurant à service rapide est labellisé «Lyon, ville équitable et durable», mention 3 feuilles, pour la deuxième fois et a obtenu la mention «Nature & Progrès» garantissant une cuisine maison, un approvisionnement local de préférence, de saison, avec des produits issus d'une agriculture respectueuse de l'environnement. De plus, Soline filtre son eau avec un système performant Eauriginelle, la purifiant et lui donnant un goût meilleur. Un concept original et une offre cohérente Soline propose une alimentation fraîche, de qualité et variée tous les jours, élaborée à partir de produits responsables suivant scrupuleusement le cahier des charges de Nature & progrès. L’établissement attache énormément d’importance à la saveur et à la fraicheur de ses produits, dont certains sont issus du commerce équitable. Les plats proposés se présentent sous forme d’assiettes complètes assorties de salade, crudités ou soupes à composer à son gré. A la carte, on retrouve également, des "solinettes" à découvrir, sans oublier la soupe du chef, et pour terminer, pour les plus gourmands, l'incontournable dessert chocolaté maison et d’autres desserts (très variés mais aussi sans gluten et sans caséine). Ces repas sont de véritables apports en protéines, vitamines et minéraux. Tout ce que la nature peut apporter en termes de variété et de richesse. Ce restaurant est un lieu convivial et coloré où chacun peut trouver un endroit de repos, de découverte et de partage, où l'on se ressource efficacement et quotidiennement. On y trouve également un salon de thé, où l'on peut déguster des thés de qualité, accompagnés de pâtisseries et de friandises maison, aux recettes originales et naturelles. Ainsi qu’un espace de détente permettant de méditer, de se revigorer et de lire. Soline offre aussi la possibilité d’organiser des soirées festives ou de travail en groupe, sur réservation. L’enseignement de la cuisine ayurvédique En plus de sa gastronomie, Soline anime des ateliers par l’intermédiaire de son chef cuisinier, co-fondateur et co-gérant, Matthieu Dommange. Il y enseigne notamment l’art de la cuisine ayurvédique, cette dernière parvenant à démontrer que cuisiner une nourriture saine et savoureuse peut être facile et ludique. L’atelier sur l’art de la cuisine ayurvédique permet de découvrir des bases faciles pour cuisiner des plats savoureux ou bien enrichir sa créativité en matière de recettes végétariennes équilibrées. Mais avant de participer à ce cycle de cours de cuisine, une introduction est proposée où les principes de base de l’ayurvéda (science de la vie, en sanscrit, issue de la tradition indienne) sont présentées. La cuisine ayurvédique est idéale lorsque l’on désire apprendre à cuisiner de délicieux plats végétariens et à améliorer son bien être. Et découvrir comment l'utilisation d'une grande variété d'herbes et d'épices améliore non seulement le goût et la couleur de ses plats mais permet aussi d'apporter une plus grande harmonie entre le corps et l'esprit. Cet atelier de cuisine se déroule sur 5 heures le samedi et 3 heures le mardi, durant lesquelles les principes de l’ayurvéda sont largement approfondis afin que les participants puissent facilement adapter et améliorer leurs habitudes culinaires en fonction de leur constitution personnelle. L'atelier a lieu le samedi de 10h à 15h dans la grande et belle cuisine de Soline, spécialement adaptée pour accueillir des groupes. En fin de session, un repas sera partagé dans le cadre convivial et coloré de l’établissement. Les prochaines séances se dérouleront les 17 mars, 26 mai et 30 juin prochains. ...
La canne à sucre. On peut dire qu’Elie Gomba est tombé dedans dès sa plus tendre enfance. Ce passionné a grandi dans une famille elle-même spécialisée dans la production de canne à sucre. Son grand-père qui possède une importante exploitation familiale aux Antilles lui a transmis cette envie d’anoblir ce précieux produit. C’est avec volonté et détermination qu’il décide alors de créer un concept à vocation de démocratiser le jus de canne à sucre et le faire connaître aux quatre coins du globe. Le concept CannElie offre l’opportunité aux consommateurs de déguster du pur jus de canne fraîchement pressé. Avec l’aide d’un fabricant spécialisé dans la conception d’extracteur de jeu, Elie Gomba créée la première machine homologuée CE qui permet de broyer la canne à sucre surgelée fournie par l’entreprise puis d’obtenir le fameux breuvage. Très simple d’utilisation, elle offre également une importante capacité de production allant jusqu’à 300 verres par jour. Son installation est aisée puisqu’il suffit d’une prise pour la faire fonctionner. Comme la machine est à la fois discrète, compacte et surtout très stylée, elle se fond naturellement dans tous les décors. Les bars, les restaurants, les cafés, les night-clubs, les traiteurs et même les professionnels de l’évènementiel souhaitant proposer un bar à jus de canne pourront facilement l’intégrer dans leur environnement. Au niveau des matières premières utilisées, la sélection se veut très rigoureuse. « Il existe plus de 4000 variétés de cannes à sucre dans le monde et la plupart ne sont pas faites pour être dégustées. Nous choisissons plusieurs variétés avec différents taux de sucre en fonction des besoins de chacun », explique l’entrepreneur. Une panacée aux mille et un bienfaits Encore peu connu en Europe, le jus de canne révèle pourtant une myriade de vertus. Il est très riche en vitamine B1, B5, B3 et en vitamine C et contient de l’oméga 3 ainsi que de l’oméga 6. Ce nectar a entre autres le pouvoir de booster le système immunitaire, d’augmenter la capacité de concentration, d’optimiser la digestion, de renforcer les ongles, de ralentir le vieillissement cutané ou lutter contre la chute de cheveux. Il est même préconisé chez les diabétiques à taux glycémique bas. « Il s’agit d’un sucre naturel qui est facilement assimilé par le corps, c’est pourquoi il peut être consommé par tout le monde, des jeunes au moins jeunes », plaide notre interlocuteur. Les sportifs notamment pourront se fier aux apports énergétiques du jus de canne lors des phases de récupération après l’effort. Le jus de canne pour émoustiller les palais Par ses multiples qualités nutritionnelles et ses saveurs tropicales insoupçonnées, CannElie a déjà réussi à séduire de nombreux hôtels, bars et restaurants en France, en Belgique, au Luxembourg ou encore en Suisse. Seul accompagné de quelques glaçons ou associé avec des jus de fruits exotiques et des alcools, le jus de canne se révèle dans sa plus belle expression et fait le bonheur des mixologistes de tout horizon. CannElie a aussi imaginé d’innombrables recettes de cocktails, de mocktails ou de smoothies qui invitent à découvrir ce breuvage sous un nouveau jour. De la Canarita, au Can’Soft, en passant par le Can’Ginger, le Canamango ou le Canabrico, il y en a pour tous les goûts et toutes les envies. ...
Lancé en septembre 2017, par Christelle Sol et Pascal Dubourgnoux, deux quadras épicuriens et désireux de créer leur propre entreprise, Miamz’y est une application mobile gratuite permettant de commander des plats à emporter dans des restaurants traditionnels. Une véritable alternative aux fast food permettant à tous ceux n’ayant pas le temps de cuisiner ou de s’asseoir au restaurant de déguster des plats de qualité. L’application est disponible sur iOS, Android et via le site internet. Miamz’y rentre désormais dans une phase de croissance, comptant dès cette année élargir son offre à tout le territoire Auvergne-Rhône-Alpes. D’ici trois ans, le service sera opérationnel sur tout l’hexagone. Un concept innovant et intelligent Plébiscité par plus de 51% des français (d'après l'Étude Next Content : « Click and collect, les principaux enseignements »), le « click and collect » est un service permettant aux consommateurs de commander en ligne pour ensuite retirer leur article dans un magasin de proximité. Miamz’y est la première start-up à utiliser cette solution dans le domaine de la restauration, ce qui en fait un concept inédit en France. En pratique, l’application permet à ses utilisateurs de commander et d’aller récupérer leur plat à l’heure voulue dans le restaurant sans aucune attente et sans payer de frais de livraison. De plus, les plats du jour de chaque restaurant sont mis en ligne quotidiennement sur l’application. Variés et peu onéreux, ils offrent la possibilité aux consommateurs de manger rapidement pendant la pause déjeuner. Une solution adaptée à la taille des villes et aux restaurateurs Les fonctionnalités de l’application Miamz’y ont été conçues afin de répondre aussi bien aux besoins des habitants de grandes métropoles que des villes de taille moyenne telles que Clermont-Ferrand. Elle concerne également tous les oubliés de la livraison habitant dans les petites villes aux alentours. Grâce à l’application, il est possible de découvrir rapidement les restaurants disponibles le long des trajets quotidiens par exemple, il suffit de renseigner son itinéraire « Travail – Maison » pour savoir où commander le soir en rentrant du travail. Les besoins des restaurateurs sont également pris en compte, puisqu’ils ont étroitement collaboré au développement de l’application Miamz’y. Le résultat de cette alliance permet de moderniser et de dynamiser toute une économie grâce à un nouvel outil numérique permettant d’attirer de nouveaux clients. ...
Entre Agde et Pézenas, vallées, mer et volcans se partagent la terre sur pratiquement 40 kilomètres, influant directement sur la vie géologique et l'expressivité des vignes. Plus de 90 domaines et caves coopératives unissent les 20 communes de l’agglomération et donnent à explorer un passionnant parcours œnologique, fort de 3 Appellations d’Origines Protégées (AOP) et de 5 Indications Géographiques Protégées (IGP). La nature s’exprime ici pleinement, révélant ses précieux jeux d’arômes. Des vins minéraux du bord de mer aux vins d’arrière-pays plus charpentés : le savoir-faire des domaines s’accorde avec leur environnement, riche de cépages emblématiques. Clairette du Languedoc et autres savoureux cépages à associer aux produits du terroir La clairette du Languedoc est l’une des plus anciennes AOC de France (1948) et poursuit une belle épopée commencée il y a 2000 ans. Son histoire s’est révélée suite à des recherches archéologiques sur des sites gallo-romains. Le piquepoul est le cépage blanc le plus répandu de la destination en terme de superficie cultivée. Traditionnellement utilisé en monocépage, en accord avec les fruits de mer, son emploi a été revisité depuis. Elevage en fût de chêne, effervescence ; assemblage avec des cépages tels que la roussane et le vermentino, les vignerons de cette appellation ne cessent de se réinventer. Entre cépages endémiques et originaux, les Indications Géographiques Protégées (IGP), plus souples que les AOC, dévoilent une véritable palette de Cézanne, tendue vers l’inventivité. Aujourd’hui, les domaines redoublent d’inspiration pour sublimer ces cépages : le gewurztraminer alsacien prolonge sa maturité grâce à l’ensoleillement méditerranéen, le terret blanc originaire du pourtour du bassin de Thau, un tant soit peu oublié, accompagne désormais les huîtres. Parmi les cépages rouges, il faut citer les immanquables : grenache, syrah, mourvèdre, carignan, grands classiques du Languedoc. D’origine espagnole, l’alicante et le tempranillo, sont audacieusement repris par des vignerons, livrant des notes tanniques. Le pinot d’origine bourguignonne et le petit verdot d’origine bordelaise s’inscrivent également dans ces nouveaux rouges légers et subtils. Cette palette d’arômes évoque autant le terroir que l’imagination. Les vignerons et producteurs ont matière à faire plaisir et à rendre à dame nature toute la noblesse de son œuvre. La créativité est ici devenue un art, ce délicat travail du maître de chai, à l’écoute des fruits de ses vignes épanouies, entre garrigue et bord de mer. ...
Dans un cadre sobre, enchanteur et élégant, Emmanuel Hernandez, chef et propriétaire du Musigny, propose des plats concoctés dans le respect de la tradition et des valeurs culinaires typiques de la région. Les saveurs typées et harmonieuses des mets et l’ambiance chaleureuse qui règne au sein même du restaurant sont la promesse d’un voyage gustatif au cœur de la gastronomie française. Le classique mêlé à la modernité Selon Emmanuel, c’est la cuisine « traditionnelle gastronomique française aux accents méditerranéens », proposée à la table du Musigny, qui fait toute sa singularité. La décoration avant-gardiste, à laquelle s’ajoute de la bonne cuisine à base de produits locaux, reste l’une des particularités de cette table étoilée dans le Guide Michelin. Avec une carte évolutive suivant les saisons, le Musigny chante le répertoire de la cuisine gastronomique avec élégance, tradition et modernité. Une carte riche en goûts Avec plusieurs menus proposés, dont un menu "affaire", un menu "dégustation" ou le menu "les écoliers", le restaurant le Musigny se démarque par la variété des saveurs proposées à table. Le homard bleu rôti au beurre d’agrumes, précédé d’une assiette autour de la Lucullus en guise d’entrée, figure parmi les plats phares de la carte de l’établissement. Cette dernière sera accompagnée d’une carte à vins éclectique et riche. En effet, la cave représentant tous les terroirs de la France est composée de 250 références. ...
Les Vignobles Jander s’épanouissent sur une exploitation de 17 ha, où le merlot (53 %) et le cabernet sauvignon (47 %) règnent en exclusivité. Le terroir est départagé entre deux types de sols : un terrain sablo-graveleux pour le Château Sémeillan-Mazeau et argilo-graveleux pour le Château Jander. Vinifier dans les règles du bio Depuis 2012, la maison conduit son exploitation selon les principes de l’agriculture biologique. Cette méthode assure que les vins gagnent en équilibre et expriment pleinement le terroir. Une réelle fierté, comme l’affirme Maxime Julliot, directeur du domaine : « Depuis 2015, nous sommes la seule propriété certifiée en agriculture biologique sur les appellations Moulis et Listrac-Médoc. » Dès lors, le traitement des vignes respecte un cahier des charges bien défini, qui allie judicieusement tradition et modernité. La vinification s’opère dans un chai « très pratique à travailler », selon les termes de notre interlocuteur. L’endroit est en effet équipé de matériels de pointe comme des cuves thermorégulées, donnant la possibilité de diversifier les modes de fermentation, et des cuves extrêmement larges, qui permettent l’extraction des tanins pendant la fermentation. La maison met de côté le foulage pour permettre des vinifications plus respectueuses de la matière première. Par ailleurs, le processus de vinification est réalisé avec patience et délicatesse. À titre illustratif, la période d'élaboration de la cuvée « Sémeillan-Mazeau » s’étend sur presque 30 mois. Dans un premier temps, les récoltes des vendanges parcellaires sont vinifiées et élevées séparément pendant un an. Au bout de cette période, chaque lot de vin est encore retravaillé pendant 12 mois afin de bien accentuer toutes les caractéristiques des raisins (structure, arômes…). Ce temps écoulé, l’équipe du domaine procède enfin à l’assemblage dans les cuves. « La séance d’assemblage n’est pas qu’une somme des caractéristiques. L’objectif est de créer un juste équilibre entre ces différents composants », révèle Maxime Julliot. Et pour un résultat impeccable, six mois de plus sont nécessaires pour stabiliser les vins et les préparer à la mise en bouteille. Un vin pour une appellation À chacune des deux appellations correspond une cuvée qui arbore idéalement tous les traits particuliers de son terroir. « Notre stratégie de produits consiste à rassembler tous les vins d’une appellation dans une bouteille. » Ainsi, l’appellation Moulis est représentée par la cuvée « Château Jander », qui est un millésime aussi élégant que complexe. « Le Château Jander est fait pour les gens qui aiment les ‘’vins sérieux’’», a voulu préciser avant tout notre interlocuteur. En effet, ce vin fait partie du haut de gamme, à en juger par la qualité de ses cépages issus de vieilles vignes (25 ans en moyenne), élevées sur terroir argilo-graveleux, et la façon dont ceux-là sont travaillés. Ainsi, contrairement au Château Sémeillan-Mazeau, l’assemblage des cuvées s’effectue dès que la vinification est terminée. Au bout de longs mois d’élevage en barrique naît un vin puissant avec des tanins aussi souples qu’élégants. Quant à l’appellation Listrac, elle se révèle à travers les bouteilles de « Château Sémeillan-Mazeau ». Ces cuvées sont caractérisées par leurs notes de fruits rouges et de bois très harmonieuses. Tandis que la fraicheur de leurs arômes crée un véritable moment d’émotion pour les papilles, la souplesse de leurs tanins ne fait qu’accentuer le plaisir à la dégustation. Ainsi, le Château Sémeillan-Mazeau est aussi idéal en apéritif qu’en accompagnement du repas, sans compter qu’il se marie quasi avec tous les types de plats. On distingue parmi les meilleures références de cette cuvée le mill...
Si l’histoire de la famille Chapuy est déjà intimement liée à celle du village d’Oger depuis des siècles, son histoire avec le champagne ne commence qu’en 1952. À cette époque, Serge Chapuy décide de créer la marque familiale. Arnold Chapuy prend ensuite son relais et, à son tour, lègue le domaine à ses filles, Élodie et Aurore. Un vignoble privilégié Couvrant une superficie totale de 8,5 hectares, le vignoble familial est réparti sur trois crus de la Marne, notamment à Oger, par ailleurs classé Grand Cru de la Champagne, et exclusivement planté en chardonnay sur un sol crayeux. « C’est ce terroir qui donne la finesse et le style de notre champagne, avec des bulles très aériennes et une minéralité très agréable », explique Élodie Chapuy. Côté viticulture, le respect de l’environnement et de la nature est, pour l’exploitation des Chapuy, une ligne de conduite. Insecticides et Herbicides sont en conséquence bannis au domaine, et « certaines parcelles sont travaillées au cheval », précise Élodie Chapuy. Cette année marque ainsi pour le domaine une nouvelle étape dans cette démarche environnementale, puisqu’il sera très prochainement certifié de la distinction « haute valeur environnementale de niveau III ». Des champagnes tels qu’on les aime En ce qui concerne les cuvées, l’exploitation en propose sept différentes, réparties en deux gammes. Celles des grands crus sont élaborées à partir du chardonnay comprenant le « Brut », l’« Extra Brut » et, enfin, le « Brut Millésimé ». La gamme Tradition est quant à elle une gamme d’assemblage, avec le Pinot Meunier, le Chardonnay et le Pinot Noir. « Brut Tradition », « Demi-Sec » et « Brut Rosé » plairont particulièrement aux non-initiés, du fait de leur souplesse et de leur rondeur. La dernière cuvée, et non des moindres, est celle de la « Livrée Noire ». Parée de sa bouteille spéciale, cette cuvée d’exception est à la hauteur des plus grands champagnes, d’un équilibre et d’une maturité hors normes. Issu d’un assemblage de deux cépages Grand Cru millésimés, ce champagne se déguste avec des mets raffinés tels que des homards en sauce ou encore des volailles au foie gras. ...
Depuis son ouverture en 2012, le restaurant étoilé Mia joue la carte de l’originalité et de la modernité. Situé au rez-de-chaussée du célèbre bâtiment RBC Design Center, il est en parfaite harmonie avec le dynamisme de la ville de Montpellier. La terrasse qui est située aux abords directs du parc Marianne est sublimée par le miroir d’eau coulant à ses pieds. A l’intérieur, la décoration contemporaine signée Sophie Petit suscite l’admiration. Le gris affirme le côté élégant et raffiné des lieux tandis que la couleur jaune apporte une touche de gaieté. Pour couronner le tout, l’éclat des luminaires subtilement installées au-dessus de chaque table contribue à rehausser l’élégance de l’art de la table dressé au millimètre près. Des cartes d’instinct et d’instant Adresse incontournable des fins gourmets montpelliérains, le restaurant Mia propose une cuisine créative qui s’ouvre au monde, sans pour autant négliger les traditions culinaires méditerranéennes. Ainsi, avec ses plats aussi succulents qu’authentiques, le chef Pascal Sanchez transporte ses convives dans un voyage culinaire exceptionnel où la simplicité de la cuisine classique se marie magnifiquement à une touche de modernité. Il surprend avec les accords parfaitement maitrisés de saveurs notamment l’alliance terre-mer. D’ailleurs, au-delà d’être un chef émérite, Pascal est avant tout un artisan du goût. Au gré de sa créativité, il transforme et façonne les produits sans pour autant les dénaturer. En effet, il veille à ce que ces derniers soient mis en avant pour chaque plat. Et des produits de bonne qualité, ce n’est pas ce qui manque à Montpellier qui dispose d’une localisation avantageuse entre mer, plaines et montagnes. A l’heure du déjeuner quand le temps manque, le chef prépare un menu spécial. En entrée, il propose un velouté d’épinard et jambon blanc, pizzetta et cuisse de lapin confits. En plat : une cocotte de céréales, du saumon écossais label rouge et un veau de lait. En dessert : une sélection de fromages, une tarte café et whisky et une religieuse aux fleurs. Le soir, place au raffinement. Pascal Sanchez sort le grand jeu avec en entrée une langoustine au sésame, des Huitres reine Julienne avec du caviar Sturia et du foie gras d’oie. Comme plat : une cocotte de cabillaud de ligne aux moules d’Espagne, du filet de cannette au sang et un carré de cerf de Nouvelle-Zélande. Et en guise de bouquet final : une sélection de fromages, clémentine de pays, fraicheur d’agrumes et baba au rhum. Ce repas ne serait pas mélodieux sans un vin adapté pour l’accompagner. Une occasion pour les convives de découvrir la grande sélection du MIA et surtout de déguster les meilleurs vins de la région qui occupent près de 60 à 70% de la cave (soit 160 références). Pour les plus indécis, un sommelier prodiguera les meilleurs conseils dans cette quête des accords harmonieux. Le Mia a son étoile Ses 20 ans d’expériences dans le monde culinaire ont permis au chef Pascal Sanchez de se construire une solide réputation dans le milieu. C’est dans ce restaurant portant le nom de sa fille Mia qu’il décide de révéler son art. Un an à peine après son ouverture (en 2012), la maison obtient son Bib Gourmand Michelin, puis une étoile au Michelin en 2015 et renouvelée en 2016. Dans sa cuisine taillée sur mesure, le chef aime affirmer sa propre signature culinaire. Il reste fidèle à ses valeurs et cherche avant tout à proposer « une cuisine gourmande, soyeuse et goûteuse qui parle immédiatement au cœur ». ...
Adresse incontournable à Paris, le restaurant L’Envue allie merveilleusement mode, bien-être et plaisir gustatif. Ce restaurant de haut de gamme propose une cuisine raffinée, qui fait la part belle aux produits frais et de saison. Un cadre chic À l’intérieur du restaurant, la décoration joue sur des lignes douces et modernes. « L’ancienne propriétaire a donné un style très féminin à l’établissement et nous avons voulu garder cet aspect-là mais en y apportant des éléments plus contemporains », explique Julien Vaissade, le propriétaire. Ici, le mobilier s’habille de couleur pourpre, tout en arborant un subtil motif pied-de-poule, un clin d’œil à peine voilé à la maison Chanel. À travers de nombreux dispositifs, le restaurant tient à cœur de titiller les sens de ses convives. Diffuseurs de parfum, éclairage par fibre optique, ambiances musicales variées, tout est fait pour que les invités passent des instants mémorables et en toute décontraction. Les produits locaux à l’honneur Les locavores sont particulièrement comblés. En effet, L’Envue privilégie la démarche de circuit court et choisit de s’approvisionner le plus possible en produits frais et bio. En ce qui concerne la viande, l’établissement utilise depuis 3 ans une viande issue de sa propre ferme. « Nous avons déposé un label qui s’appelle Excellence Aubrac », souligne le propriétaire. En plus de sa grande qualité gustative, cette viande est aussi enrichie en oméga-3, ces fameux acides gras réputés pour leurs effets bénéfiques sur la santé. Ces produits d’exception sont mis en valeur par le chef Éric Dartigueloube. Cet habitué des restaurants étoilés concocte de succulents plats entièrement faits maison et qui raviront à coup sûr les fins palais. En entrée, les invités ont le choix entre la buratina al pesto et tartare de tomates, des nems de gambas au cumbawa ou encore une assiette de serrano, câpres à queue. L’aventure culinaire continue sur quelques spécialités de la maison, à savoir les viandes et les poissons. Côté viandes, le sauté de bœuf Excellence Aubrac à la provençale est un pur régal. Et que dire alors de la sole « Petit Bateau » accompagnée de sa purée crémeuse, et qui reste un grand classique de l’établissement ? Dans la confidence, le maitre des lieux nous souffle que « c’est l’un des plats préférés des avocats exerçant dans le quartier ». Si L’Envue réussit à drainer les foules, ce n’est pas uniquement pour la qualité de ses produits et de sa cuisine. En quête perpétuelle d’innovation, l’équipe reste à l’affût des dernières tendances culinaires. En ce moment, les poke bowl sont à l’honneur. « Le restaurant en sert les meilleurs de Paris », nous indique Julien. Au saumon mariné, au bœuf tataki ou tout simplement végétariens, ces poke bowl sont à déguster sans modération. Côté vins, la maison travaille directement avec les producteurs locaux qui élaborent des vins biodynamiques ou biologiques. Une carte assez éclectique incluant quatre champagnes et une vingtaine de vins attend les amoureux de nectars des dieux. Des salons privés Le restaurant L’Envue dispose de trois élégants salons spécialement aménagés pour la réception d’évènements privés ou professionnels. À commencer par le salon VIP, qui peut accueillir 10 personnes. Décliné dans un style feutré, il offre un cadre privilégié pour des signatures de contrat, des déjeuners politiques ou en petit comité. Ensuite, le salon bibliothèque, avec sa grande table ovale, peut recevoir jusqu’à 18 personnes. Enfin, le salon des glaces bénéficie d’un espace important pour accueillir entre 17 à 50 personnes. Les salons de L’Envue reçoivent régulièrement du beau monde. « Nous avons une clientèle importante de la haute couture telle que la maison Hermès mais aussi des institutions financières comme Richemont et le milieu politique », précise Juli...
En plus de profiter d’un emplacement privilégié, le Château Lafon a su magnifier un terroir prodigieux pour nous proposer deux vins blancs liquoreux d’exception. Le Château Lafon : une enclave au milieu des vignes du Château d’Yquem Le Château Lafon est une propriété familiale qui a été achetée dans les années 1920 et qui a été, ensuite, transmise de génération en génération. Localisé en plein milieu du Château d’Yquem, dans le Sauternes, le domaine (qui a obtenu la certification HVE) dispose de 12 hectares de vignes 100% Sémillon. Pour en arriver à ce vin blanc liquoreux aux notes de noisette, de miel et d’acacia, chaque cuvée est élevée avec passion et amour du terroir. Ainsi, après une vendange manuelle par tri successif, le vin passera par des cuves en inox et sera finalement vieilli en barriques de chêne pendant 12 mois. Ce qui permet de créer le Château Lafon et le Château Nauton, tous deux multi-récompensés et accompagnant aussi bien un foie gras qu’un dessert chocolaté ou fruité. ...
La noblesse d’un lieu Pour faire un produit de qualité incomparable, il faut un lieu magistral. La riche et mouvementée histoire du domaine remonte très loin dans les racines du Moyen Âge et retrace à elle seule un petit pan de l’histoire de la région et de celle du reste de la France. Le bâtiment qui trône fièrement aujourd’hui date de 1772 et est le cinquième château élevé au même endroit. Pensée par Victor Louis, à qui l’on doit entre autres les chefs-d’œuvre architecturaux du Palais-Royal de Paris et du Grand Théâtre de Bordeaux, la bâtisse est un pur joyau du XVIIIe siècle. Ancienne propriété du fameux duc d’Épernon, la maison fut passée au marquis de Montazet pour plus tard être achetée par les Dampierre, actuels propriétaires. De prestigieuses personnalités qui ont marqué leur époque se sont succédé dans les chambres du château au fil des siècles, mais depuis plus de 200 ans, ce sont toujours les mêmes recettes qui, jalousement gardées par la famille Dampierre, servent à confectionner un des cognacs les plus appréciés par les amateurs d’eau-de-vie. Un produit rare et apprécié Dans la propriété, on trouve comme cépages réservés aux cognacs de l’ugni blanc, de la folle-blanche et du colombard, un vieux cépage de la région généreux en fruit. Ils expriment chacun dans leur subtilité le meilleur du terroir calcaire de ce coin de campagne française et de son climat océanique particulier. La plus belle « signature » de la maison, le cognac XO, est la fierté de la famille Dampierre et fait preuve de toute l’attention nécessaire à la création de ce produit d’exception. Les professionnels du secteur ont reconnu en 2015 le savoir-faire du château concentré dans cette eau-de-vie en lui attribuant cinq médailles d’or dans différents concours internationaux dont la très convoitée première place du concours général agricole de Paris. Sa robe est ambrée, soutenue et avance une belle brillance limpide. Au nez, on trouve d’élégantes traces de vanille et de caramel alors qu’au palais c’est une attaque franche et chaleureuse qui nous interpelle avant de laisser place à une bouche tonique. La dégustation du nectar s’accompagne parfaitement avec un tartare de thon ou plus simplement avec une cuillère de caviar. La carafe est elle-même une petite œuvre d’art. Élégante et fine, elle est dans une livrée splendide et ne démérite pas aux côtés de son contenu. Découvrir le berceau d’un savoir-faire Cet endroit subtil et riche d’histoire est ouvert aux visites du public. Le château est un bâtiment classé au patrimoine historique depuis trois cents ans et plusieurs excursions accompagnées permettent de se rendre au plus proche de l’âme du site ; son chai datant du XVIIe siècle et sa cave en pierres taillées si particulière où est encore distillé, dans l’alambic traditionnel, le précieux nectar. Le produit va ensuite délicatement vieillir pendant quinze ou vingt ans dans des fûts de chêne frappés aux armes de la famille avant d’être mis en carafe en éditions très limitées. Les visites, payantes, incluent une balade au cœur des installations viticoles et une dégustation en fin de parcours. ...
Des petits plats français sentant bon le terroir. Une ambiance bistrot insufflée du pur esprit loft. Des recettes magnifiant le frais, relevées de sauces étonnantes. Ces trois ingrédients font le succès du Moustache, le plus new-yorkais des bistrots parisiens, classé dans le top 100 de la capitale. Escapade savoureuse dans une déco surprenante Un jeu de miroirs et de skateboards tapisse le mur de cet espace juste suffisant pour accueillir 45 convives. Dans ce décor pop art, on se retrouve pour des moments intimes autour de petits plats légers et frais mais pleins de surprises. Le secret de la maison : des produits de saison sélectionnés chez les producteurs locaux. Le chef les inscrit dans une partition de saveurs célébrant les fastes de la bistronomie française, dispersant ici et là des notes asiatiques. Viandes marinées et Bo bun titillent alors le palais qui se laisse surprendre, au détour, par une sauce au tamarin, juste à tomber. ...
Les origines de la distillerie Massenez remontent à 1870. À cette époque, Jean-Baptiste Massenez assure la profession de bouilleur de cru. Bien décidé à suivre les traces de son père, son fils Eugène Massenez deviendra plus tard un Maitre distillateur réputé. En 1913, celui-ci marque l’histoire de l’entreprise en distillant pour la première fois de la framboise sauvage. Une présence à l’international En 1950, Gabriel Massenez, 3e génération, sera celui qui va propulser la maison Massenez sur le marché mondial. Faisant preuve d’audace, il mise sur l’export et réussit à conquérir le marché américain, suisse, allemand et autrichien. Dans la foulée, Gabriel Massenez réalise un coup de maitre, en allant s’imposer en Asie (Hong Kong, Singapour, Tokyo, Tahiti), où la framboise était jusque-là méconnue. Mieux, il a réussi à faire de la distillerie, une marque incontournable dans la haute gastronomie. « Grâce à la framboise, Gaby Massenez a su s’imposer sur les plus belles tables étoilées aussi bien en France qu’à l’étranger et a notamment côtoyé les plus grands chefs comme Paul Bocuse, Pierre Troisgros ou Roger Vergé », souligne Élodie Naslin, directrice marketing et communication du groupe Peureux. Aujourd’hui, Manou Massenez, fille de Gabriel Massenez, poursuit le travail à l’export, en assurant la présence de la marque dans plus de 110 pays. Les nouveautés Rachetée en 2011 par les Grandes Distilleries Peureux, la maison Massenez continue d’innover sur le segment du luxe. « Massenez dispose d’une identité très forte. La marque est reconnue dans le monde pour la qualité et la finesse de ses produits de haut de gamme », indique notre interlocutrice. Misant sur la nouveauté, la maison vient récemment de lancer « Golden Eight ». À travers ce nouveau produit, la distillerie revisite un de ses grands classiques : la liqueur de Poire Williams. Cette dernière, dont la recette a été revue, se dote désormais d’une bouteille très design avec un flacon épousant la forme d’une poire. Golden Eight se compose d’un assemblage d’eaux-de-vie de poires Williams de plus de 8 ans d’âge, complété par une note de vanille et de caramel. Cette liqueur gourmande à la remarquable fraicheur représente la quintessence des savoir-faire de la distillerie Massenez. « En 3 ans, Golden Eight est devenu le best-seller de la maison. Il est distribué sur les vols d’Air France et dans d’autres compagnies aériennes ». Un concept très féminin Consciente de l’engouement de la nouvelle génération pour les cocktails, la maison a également créé tout un concept de cocktails autour de Miss Massenez. Il s’agit d’une nouvelle égérie intemporelle qui s’est inspirée de l’identité très féminine de la distillerie. « Miss Massenez nous a permis de confectionner de nombreux cocktails à base d’eaux-de-vie de fruits, de crème et de liqueur de fruits », explique Élodie Naslin. Empreinte d’élégance et de raffinement, Miss Massenez se décline en plusieurs saveurs. Parmi la gamme de produits figurent les concentrés de cocktails tels que la pina colada ou le mojito. ...
L’Italie, son pays d’origine, ne quitte jamais le chef Paolo Sari, il l’affiche fièrement dans ses recettes. Tous les restaurants du Monte-Carlo Beach sont dirigés par ce passionné. Parmi ceux-ci figurent l’Elsa, le Deck et la Vigie. Un restaurant 100 % bio Elsa est un restaurant gastronomique étoilé dont la réputation n’est plus à faire à Monte-Carlo. Sa toute première étoile est un gage de qualité et de l’engagement qui lui a valu sa distinction de « premier restaurant 100 % bio certifié Ecocert ». Figurant parmi les plus grandes tables de la région, Elsa présente une cuisine contemporaine de haute qualité qui s’inspire de l’histoire culinaire de la Riviera. Les produits bio, majoritairement locaux, sont mis en valeur à chaque saison. Ils sont sélectionnés selon leur qualité, leur origine et les soins que les producteurs leur ont apportés. Elsa propose le Menu du Marché au déjeuner et les Menus Dégustation et Inspiration au dîner. Ce dernier est servi à l’ensemble des convives à la table. Le « Bio Sama » est le plat signature de l’établissement. Cette assiette de légumes et herbes du jardin à l’huile d’olive extra-vierge et sel de Camargue reste présente à la carte toute l’année mais change d’aspect selon la saisonnalité. Les saveurs méditerranéennes se découvrent aussi au travers des pâtes et riz proposés à l’Elsa ainsi que des poissons tels que les rougets rôtis suivant la tradition de la Riviera, accompagnés de purée de févettes et petits légumes du jardin. Les viandes sont également représentées par le cochon de lait, la côte au lard fait maison ou encore le gigot braisé. Les vins que le restaurant Elsa suggère à la carte pour accompagner les repas sont exclusivement bio. Il en est de même pour les fruits, chocolat et café rehaussant les saveurs des desserts. Un repas au bord d’une piscine olympique Avec son esprit brasserie, le Deck se veut être le lieu de rendez-vous de la Principauté de Monaco. L’ambiance est décontractée dans ce restaurant qui longe la légendaire piscine olympique du Monte-Carlo Beach. La cuisine y est également contemporaine et basée sur des produits frais de saison. Les tomates et mozzarella di bufala au basilic de la Riviera et carpaccio de bœuf biologique se placent au-dessus de tous les hors-d’œuvres disponibles dans la carte du Deck. Les spaghettis sont également omniprésents, mais cela n’exclut pas la présence de viandes telles que l’escalope de veau à la milanaise et poissons comme les calamars géants frits sauce tartare. Le Marché des Saveurs, un brunch programmé chaque dimanche, est une occasion de découvrir la cuisine du chef Paolo Sari. Lors de cet évènement, les convives se servent dans plusieurs stands en bois d’inspiration provençale avant de déguster leur plat sur la terrasse. Un dîner méditerranéen Perché sur un promontoire rocheux qui domine la mer le soir, le restaurant la Vigie est un « lieu privilégié ». Les poissons issus de la pêche locale permettent à Paolo Sari de réaliser cette fameuse cuisine axée sur la Méditerranée. Les spécialités qui ornent la carte de la Vigie sont les langoustes et les poissons grillés. Chaque ingrédient rigoureusement sélectionné bénéficie d’une présentation fraîche et appétissante, de quoi combler les épicuriens. Petite nouveauté pour cette année : le Monte-Carlo Beach Club organise une animation de saison intitulée « Beach Parties ». Le temps de deux soirées en juillet et deux en août, les invités en maillot de bain profiteront de la piscine chauffée et du buffet dressé autour. Les animations musicales quant à elles procurent une ambiance festive à l’événement. ...
Les spiritueux gastronomiques n’ont plus de secret pour la maison Jean Boyer. Depuis une vingtaine d’années, l’entreprise est devenue le partenaire privilégié des cavistes et des restaurateurs en quête de produits « premium » et exclusifs. « Nous ne commercialisons qu’à destination des professionnels sur le territoire français, mais aussi un peu à l’export notamment vers le Japon et l’Australie », fait savoir le propriétaire, Dominique Ribéreau-Gayon. Au total, 150 000 bouteilles sont produites annuellement, toutes gammes confondues. Un mode de travail fidèle à la tradition Société à taille humaine située dans les Landes à Saint-Geours-de-Maremne, Jean Boyer s’attache à préserver un savoir-faire artisanal et traditionnel dans l’univers de la production de spiritueux. Parmi ses produits de prédilection, s’inscrit le pastis, ou les pastis puisqu’il y a une dizaine de recettes différentes. Le pastis « est totalement élaboré sur place à partir de plantes que nous faisons macérer pour en tirer le meilleur des arômes », explique le propriétaire. Les assemblages sont ensuite réalisés sur place. Enfin, les pastis restent plusieurs mois en cuve pour permettre une décantation naturelle, « une filtration retiendrait tous les arômes » s’exclame Dominique Ribéreau-Gayon. Mais le produit phare de la maison reste le whisky. A l’origine, le Scotch puisque Jean Boyer avait d’étroites relations avec certaines distilleries écossaises. Ils pouvaient ainsi accéder aux meilleures sélections de fûts. La société est alors devenue un véritable embouteilleur indépendant de whisky qui choisit ses fûts et les embouteille individuellement. Ainsi chaque fût ne produira que 500 bouteilles environ qui sont uniques et rares. Le rhum, second produit moteur de Jean Boyer, provient de différentes régions de productions. Les fûts sont acheminés dans les Landes sur le site de l’entreprise afin d’y être préparés et conditionnés. Un concept assez novateur « Notre maison se distingue par sa forte réputation auprès des cavistes », déclare Dominique Ribéreau-Gayon. Et pour cause, l’entreprise a développé un concept qui plaît énormément chez les professionnels : le puits Jean Boyer. L’idée est de permettre au consommateur de venir remplir sa bouteille chez le caviste, directement au puits. « Nous fournissons à nos clients tous les éléments nécessaires pour respecter la réglementation. Ils n’ont pas à se préoccuper des aspects administratifs. Ce concept, que nous sommes les seuls à proposer, est totalement dans l’air du temps et connaît un franc succès », se félicite le propriétaire. ...
Innovation gourmande, 100% bio et vegan La germination inspire au premier plan l’élan de Rachel et Jean-Luc lors de la création de GAIA en 1992. GAIA élabore alors une gamme de pains très originaux à cette époque, car aucun ingrédient du pain classique ne les compose : ni farine, ni levure, ni sel, ni sucres, mais uniquement du blé, du seigle ou de l’épeautre germé ! Moelleux et doux à souhait, agrémenté d’oléagineux ou de fruits secs, vous pouvez le trouver en 5 variétés de 500 g, 3 variétés en 250 g et 2 variétés en 2x100 g. La même famille se décline en une gamme de galettes aux fruits secs -se situant entre pain et gâteau- et se poursuit avec ses variantes salées : les galettes « repas » à base de lentilles, de pois chiches ou de haricots germés. La gamme des galettes est idéale au petit déjeuner, au goûter, aux repas, lors de randonnées ou lors d’activités sportives. Le plaisir sans gluten Avec les galettes et les macarons à base de sarrasin germé (en sucré et en salé), les pains d’épices, la pâtisserie au tofu et 100% végétale : « Tof’délice » disponible en 5 saveurs, les brownies aux noisettes et les gâteaux au gingembre, GAIA vous offre un plaisir sans contraintes. La gamme sans cuisson, également sans gluten Impulsée par les bienfaits de l’alimentation vivante, GAIA concocte des produits élaborés pour vous faciliter la vie en accompagnant vos plats CRUsinés. Le partage Depuis 2005, GAIA s’est engagée dans une démarche solidaire et équitable avec l’ONG l’Orange Bleue Afrique et des organisations paysannes du Burkina Faso. Le but principal est de promouvoir le fonio, cette céréale ancestrale sans gluten et aux protéines complètes, afin d’améliorer les conditions de vie des familles des petits producteurs. Avec le fonio demi-complet, vous pouvez confectionner des gratins, des purées et des desserts. Le fonio complet, cuit à l’eau en 8 minutes, se prête entre autres à préparer un couscous ou un taboulé. Quant à la farine de fonio, elle est parfaite pour élaborer de délicieux gâteaux. ...
Le rhum aux arômes riches de son terroir d’origine fait la renommée de la maison Breiz’île qui intègre le monde très sélect du rhum en 2002. L’authenticité et la primauté données à l’art de ce breuvage restent les maîtres-mots de cette marque qui privilégie la tradition antillaise dans la conception des spiritueux exquis de sa gamme. Sélectionner le meilleur du terroir La marque Breiz’île, aux racines ancrées dans les terres antillaises, s’est forgé une réputation grâce à la priorité donnée à la qualité. Avec un éventail de rhums arrangés obtenus en « travaillant les meilleurs fruits disponibles toute l’année », selon les propos d’Alain Jegaden, la maison se veut être l’ambassadrice de l’excellence du rhum. Son rhum agricole typiquement guadeloupéen tire, quant à lui, « le meilleur de la canne à sucre » afin de rendre hommage au terroir mais également « [afin de partager] l’appréciation des bonnes choses », continue Alain. Un rhum vieux vieilli en fût de chêne, élaboré selon la pure tradition antillaise et aromatisé au miel fait, entre autres, la fierté de la maison Breiz’île, à déguster avec modération lors de vos instants gourmands. Outre le rhum, la marque, dans un élan de créativité novateur, se spécialise dans la production d’une « bière gourmande au goût prononcé et aromatisée au rhum », toujours selon Alain. Cet esprit innovateur, mêlé à la préservation de la fabrication artisanale du rhum, contribue à faire toute l’authenticité de la maison. ...
Tous les amateurs de champagnes connaissent la qualité des références de la famille Chapuy. Champagne Chapuy : une histoire familiale avant tout C’est en 1952 que la marque Chapuy fut créée par Serge Chapuy. Puis, son fils Arnold reprit la propriété en 1981 et, aujourd’hui, ce sont ses filles qui sont en charge de l’exploitation. À savoir : c’est sous l’impulsion de ces deux sœurs que le grand chantier de certification HVE 3 (obtenu en 2019) fut entrepris. Cela prouve que la notion de terroir reste un point important pour la famille. D’ailleurs, le travail est réalisé avec une jument sur certaines parcelles. ...
Les sols anciens sont en galets roulés : des pierres déposées par la Durance, à l’époque où la rivière traversait les coteaux. Sur une couche supérieure, les sols sont composés de galets rouges décalcifiés. La combinaison des sols, et un climat aux influences maritimes et méditerranéennes, offrent des vins francs et généreux. A Saint-Christol, la culture de la vigne est une coutume qui remonte au XIIème siècle, initiée par l’Ordre des Hospitaliers de Malte. Depuis sa création en 1941, la cave coopérative de Saint-Christol cultive les vignes, en suivant une ligne de conduite où innovation et respect des traditions sont maître-mots. Un peu d’histoire L’héritage des vins de Saint-Christol est très ancien. Il y a plus de mille ans, les Hospitaliers de Malte sont les premiers à planter et faire fructifier des vignes du terroir. Le vin est exporté dans toute l’Europe grâce à leur vaste réseau international. Les cépages de Saint-Christol sont réputés pour conserver leurs qualités, même à travers de longs voyages. Ainsi les vins sont exportés jusqu’en Russie, et sont appréciés par la cour du Tsar Nicolas II. La maîtrise de l’art du vin a été transmise au fil des générations, et aujourd’hui encore les vignerons de Saint-Christol travaillent les vignes avec le savoir-faire traditionnel. Ils proposent une gamme étendue de vins. Les noms donnés aux crus évoquent avec élégance le patrimoine historique saint-cristolien : Péché de Bacchus, Ambrussum, Saint-Christophe, Feu Du Diable, Christovinum, L’Esprit de 9 Vignerons, Noce de Cana. La coopérative : une alliance réussie de solidarité et savoir-faire La cave de Saint-Christol est l’une des plus petites coopératives viticoles de France. Elle regroupe la production d’une vingtaine de producteurs, sur 450 hectares de l’appellation. Tous sont des passionnés de la vigne. Ils entendent privilégier la qualité plutôt que la quantité, dans la perspective de continuer la culture ancestrale des vignes. Les producteurs mettent en application une agriculture raisonnée pour préserver les richesses des sols. Les traitements des vignes sont évités au maximum afin de faire ressortir toutes les particularités du terroir dans le vin. Le résultat : un vin fin et racé en bouche. Gamme des vins : Saint-Christophe, Ambrussum, Péché de Bacchus Parmi la gamme de Saint-Christophe, le rouge est un assemblage de Syrah (50%), Grenache (30%) et Carignan (20%). Issu des terrasses villefranchiennes et coteaux sud, c’est un vin structuré avec des arômes d’épices et de fruits noirs. La robe est rouge vermillon, au nez, se ressentent les arômes intenses et complexes de fruits rouges. En bouche, le vin est concentré. D’excellente garde, le Saint-Christophe rouge se consomme en été, pour accompagner un barbecue. L’Ambrussum tire son nom d’un site archéologique de la région. L’exposition ensoleillée des cépages sur les coteaux sud et le sol en galets roulés donnent un vin au charme discret. Elevé en barrique pendant un an, les connaisseurs reconnaîtront ses qualités. L’assemblage est à 50% de Syrah, 40% de Carignan et 10% de Grenache. A l’œil, une robe rouge éclatante. Au nez, les saveurs sont très expressives : une vivacité étayée d’une certaine douceur. En bouche des premières notes de fruits rouges, puis des notes d’arômes des bois vanillés. L’Ambrussum s’aère deux heures avant d’être servi. Le vin est idéal pour accompagner des viandes grillées. Un autre vin reflète le caractère propre au terroir de Saint-Christol : le Péché de de Bacchus. A l’oeil, sa robe rouge vif tend vers le vermeil. En bouche, le vin exprime un fruit qui éclate, puis des arômes épicés vers la fin. Il se garde de 3 à 5 ans. Le Péché de Bacchus est idéal pour accompagner des viandes grillées et des salades. Quelques restaurants gastronomiques de la région le servent à leurs tables : Davino, L’Authentique et Valaise. Les amateurs de vins sont invités à découvrir les richesses de l’appel...
La richesse de la gastronomie italienne ne se résume pas qu’aux pizzas et aux spaghettis. Prenez une grande inspiration : le restaurant Conti vous propose une totale immersion dans la cuisine italienne et vous la dévoile dans toute son authenticité. Ensoleillée, généreuse, conviviale, elle a tout pour vous séduire. Halte gourmande dans une ambiance de charme Prônant un décor cosy et chaleureux, le restaurant Conti vous invite à évoluer dans un espace raffiné. Banquettes de velours, grand miroir sculpté, murs tapissés de rouge, détails dorés : le cadre s’inspire des codes du théâtre vénitien. Au milieu de la salle trône des lustres en verre Murano, un pur chef d’œuvre issu de la tradition vénitienne. Avec son cadre spacieux et son climat feutré, le restaurant Conti se veut être un vrai lieu de détente aux salles intimistes. « On peut se parler sans gêner les autres » nous souffle-t-on. La meilleure de la cuisine italienne Afin de garder toute l’authenticité de ses plats, ce restaurant s’approvisionne à la source. Les produits à l’instar des fromages par exemple arrivent directement d’Italie. Les autres matières premières quant à elles sont issues des producteurs locaux. Comme les professionnels de la gastronomie aiment à défendre que « c’est le produit qui fait le plat », le restaurant Conti ne déroge pas à cette règle d’or. Un souci et une recherche permanente de la qualité qui se ressentent naturellement dans les assiettes. Une simple bouchée des Langoustines Huile de truffe noire, du Carpaccio de coquilles Saint-Jacques ou du Risotto aux truffes suffit pour vous en rendre compte ! Au Conti, les pâtes sont également à l’honneur ! La maison vous propose des pâtes fraîches, là aussi entièrement faites maison. Pour achever ce périple culinaire, rien de mieux qu’un délicieux Tiramisu fait maison. La carte des vins quant à elle rend un bel hommage à La Botte. Pour accompagner vos plats, quelques perles issues des plus grandes régions viticoles du pays vous attendent. Les vins de la Toscane et de la Sicile sont particulièrement appréciés bien que d’autres références méritent également toutes les attentions. ...
Acheté en 2012 par le propriétaire actuel, le Château Moncets a profité d’une transformation radicale. En 2015, sera intégré à l’exploitation le Château Chambrun et son vignoble. Des vins de Bordeaux bio respectant le terroir Divisé en parcelles, le domaine qui se trouve à la croisée des appellations de Pomerol et St Emilion est travaillé pour mettre l’accent sur les caractéristiques naturelles du terroir. Enherbement choisi, travaux en verts maitrisés et vendanges manuelles sur mesure contribuent à la qualité du vin. Ensuite, les jus sont vinifiés dans un chai gravitationnel et parcellaire thermo-régulé. Pour les parcelles les plus qualitatives, une vinification intégrale en barrique (fût de chêne français) sera réalisée afin d’extraire tout le potentiel du millésime. Cela permet de créer des vins, tels que le savoureux Château Moncets, qui seront ensuite vendus via le caveau de dégustation ou la boutique en ligne. ...