La Font des Pères produit des vins AOC Bandol, IGP Mont-Caume et Côtes-de-Provence. Des élixirs qui ont la particularité d’être à la fois fins et complexes, dotés d’une belle ampleur et d’une grande fraicheur. Un terroir unique Dans ce vignoble se trouvant à quelques kilomètres des côtes méditerranéennes, les vignes sont implantées sur une colline taillée en restanque. Jouissant d’une exposition nord, celles-ci s’épanouissent sur un sol caillouteux, tout en bénéficiant de l’influence de la mer. Ici, le mourvèdre, cépage rouge typique des bords de la Méditerranée, règne en maitre absolu. « C’est un cépage qui murit assez tard. En combinant richesse et puissance, il procure au vin un relief aromatique unique », souligne Philipe Chauvin, le propriétaire actuel. Le reste de l’encépagement se compose de grenache, de cinsault, de carignan, de clairette, de bourboulenc, de rolle et d’ugni blanc. L’excellence comme leitmotiv Le domaine privilégie les vendanges manuelles dans la mesure où elles permettent de trier les raisins au niveau de chaque parcelle. « Afin d’assurer une qualité optimale, il nous arrive de vendanger une seconde fois avec quelques jours d’intervalle », nous confie-t-on. Côté vinification, les rouges, issus des plus vieilles vignes du domaine, subissent une longue macération avant d’être élevés 18 mois en foudre, en demi-muid ou en barrique d’au moins deux vins. Au niveau des blancs, ceux-ci font l’objet d’une macération pelliculaire à froid, afin d’extraire le maximum d’arômes. Un élevage sur lies est ensuite réalisé pour apporter davantage de structure et de rondeur. Quant aux rosés, les raisins ayant servi à leur élaboration ont été refroidis dans une chambre froide juste après la récolte. L’objectif de cette opération est de préserver les arômes. Les spécialités de la maison La Font des Pères propose au total 7 cuvées différentes. Parmi ses spécialités, les vins de Bandol font particulièrement la fierté du domaine. De l’aveu même du propriétaire : « Bien qu’il s’agisse d’une petite appellation, sa renommée est incontestable. » Issu de l’assemblage de mourvèdre, de grenache et de cinsault, le rosé La Font des Pères 2017 dévoile des notes de buis, de fleurs, d’agrumes, tout en présentant une jolie trame minérale. Pour le blanc La Font des Pères 2017, celui-ci est obtenu à partir de 55,4 % de clairette, 39 % de bourboulenc et 5,6 % de vermentino. Le nez s’ouvre progressivement, avec finesse, sur une trame florale associée à des notes d’aubépine et de fruits blancs. Enfin, le rouge est issu à 90 % de mourvèdre et à 10 % de grenache. En bouche, ce vin est suave, équilibré, mêlant la fraicheur exprimée par les notes de rose et de mentholé à une finale structurée, avec des tanins enrobés, à la tonalité café, chocolat et pain grillé. ...
Propriété de la famille Aubry, le Domaine du Mont Verrier a été légué en 1892 aux Hospices de Villefranche. Jusqu’en 1990, il a ainsi servi de lieu de villégiature aux sœurs hospitalières de la congrégation Sainte-Marthe de Beaune. Menacé de démantèlement, le domaine a été racheté en 2007 par Gérard Legrand, passionné de vin et d’Histoire. Celui-ci réalise de gros travaux de rénovation permettant l'ouverture en 2009 d’une maison d’hôtes. Pendant 10 ans, Gérard Legrand s’est également attelé à restructurer et à diversifier le vignoble. Un travail de longue haleine qui porte aujourd’hui ses fruits. Un conservatoire expérimental à ciel ouvert Le terroir du lieu-dit de Mont-Verrier possède une étonnante singularité. « Nous disposons d’un terroir qui a la particularité de changer en l’espace de quelques mètres, ce qui nous permet d’avoir une belle diversité de cépages », souligne Céline Charrier, responsable promotion et export. Ici, on passe aisément d’un sol argilo-calcaire à des sols de roches volcaniques et granitiques. C’est pour mettre en lumière cette diversité que Gérard Legrand a eu l’idée de planter en collaboration avec la SICAREX Beaujolais et le Conservatoire du Vignoble Charentais une importante collection ampélographique. Présentant plus de 200 cépages différents, il s’agit tout simplement de l’une des plus grandes collections ampélographiques privées de France : « C’est en quelque sorte un conservatoire expérimental à ciel ouvert pour voir comment ces différents cépages s’adaptent à ce terroir extrêmement diversifié ». De vieilles vignes Après restructuration, le vignoble s’étend aujourd’hui sur 40 hectares. Sur l’ensemble de l’exploitation, Gérard Legrand a pris soin de garder 50 % de vieilles vignes. L’encépagement se compose à majorité de gamay, cépage roi du Beaujolais. « Nous avons de très vieux gamay plantés sur une parcelle centenaire », confie Céline Charrier. Le chardonnay, dont certains pieds datent de 1950, et le pinot noir viennent compléter l’encépagement. La biodiversité à l’honneur Avec le label HVE en ligne de mire (au printemps 2019), le domaine a depuis longtemps concentré ses efforts sur la préservation et la valorisation de la biodiversité. Ainsi, un verger comptant plus de 60 variétés d’arbres fruitiers (pommiers, pruniers, pêchers...), un potager ainsi qu’un jardin de plantes vivaces côtoient harmonieusement les vignes. En outre, le vignoble est mené intégralement en culture raisonnée sous l’œil avisé de Jean Louchet, chef de culture. « Il a l’expérience et la connaissance des pratiques en matière de lutte raisonnée en même temps que la maitrise des amendements naturels », rapporte notre interlocutrice. Sous l’impulsion de ce chef, une attention particulière est portée au niveau de l’enherbement. « Au printemps, les interrangs se remplissent de fleurs, qui seront ensuite fauchées et qui, par décomposition, donneront un engrais naturel. » En cas de besoin, le domaine réalise également son propre engrais organique préparé à base de fumure. Pour illustrer cet intérêt, le Domaine lance en 2019 (millésime 2018) sa première cuvée sans sulfites en Beaujolais Pierres Dorées vinifié selon la pure tradition beaujolaise, avec une macération semi-carbonique à partir des seules levures indigènes présentes sur la pruine des baies et surtout sans sulfites ajoutés. La qualité avant tout Toujours soucieux d’offrir le meilleur aux œnophiles, le Domaine du Mont Verrier ne néglige aucun détail dans le processus d’élaboration de ses vins. Et cela commence d’abord par la maitrise des rendements afin de préserver la complexité et la concentration des raisins; « Nous pratiquons l’ébourgeonnement. Par conséquent, nous gardons uniquement les rameaux qui vont apporter les meilleurs fruits avec tous les arômes et la sucrosité nécessaire &ra...
Champagne GREMILLET compte parmi les plus belles réussites de son secteur. La maison ne revendique pas une longue histoire (1979) mais au contraire se veut contemporaine et innovante. Elle s’est construite vite et continue avec passion et optimisme son ascension au travers des 500 000 bouteilles annuelles exportées dans le monde. Une viticulture respectueuse de l'environnement et une volonté constante de créer et favoriser la biodiversité. Une terre bénie Le domaine est planté à 85 % en pinot noir, cépage roi de la région et bénéficie d’approvisionnements en chardonnay issu des plus beaux terroirs de Champagne dont Crament en grand cru. Les assemblages qui en découlent donnent naissance à une gamme de 8 champagnes tous empreint de fraîcheur et d’élégance. Des champagnes pétillants pour tous les goûts Anne GREMILLET de la maison éponyme ( qui donne son nom à) fait l'éloge du « Blanc de noirs » de la collection « Les Purs » qui est composé à 100 % de pinot noir. La viticultrice le désigne comme « le fer de lance de la maison » et le plus représentatif du terroir aubois. La fille du fondateur souligne également « la cuvée Évidence » de la collection « Les Uniques ». Depuis quelques semaines, cette cuvée se présente dans un luxueux flacon aux formes arrondies qui exprime la volonté de présenter des produits haut de gamme qui s’inscrivent parmi les plus grandes cuvées de Champagne. Une cuvée composée à 100 % de chardonnay dont un tiers est vinifié en fût de chêne. Un élevage minutieux qui optimise les qualités organoleptiques de ce nectar des dieux dont l'arôme grillé et bien toasté fait le bonheur des œnophiles et gastronomes. Circuit aménagé pour l’œnologie La maison propose un circuit-visite bien pensé pour les amateurs d’œnologie. Tout commence par la visite du Clos Rocher, l’un des rares en Champagne. Il s'agit d'une parcelle de 1,40 hectare plantée de pinot noir et close de murets et grille en fer forgé. La cuvée qui en est issue repose tranquillement en cave et sera commercialisée pour la 1ère fois en 2019. Elle devrait être le fleuron de la maison et en asseoir sa réputation. S'ensuit la visite de l'Arboretum, jardin original où Jean-Michel Gremillet à planté 82 arbres de diverses origines en hommage aux pays qui consomment les champagnes de la maison. Le circuit continue au cellier et permet la découverte au plus près du pressoir, des cuves, des ateliers de dégorgement et du musée de la vigne et du vin. La visite s'achève au showroom avec un splendide panorama sur le vignoble et la dégustation commentée de 3 cuvées maison. « Tous vos succès méritent un Gremillet » Un champagne pour tous ceux qui osent rêver et entreprendre… ...
Tout au long de l’année, la Promenade des Anglais attire autant les locaux que les touristes en quête de moment de détente. Réputée pour son fameux Carnaval de Nice, la promenade est aussi connue pour abriter les hôtels à l’architecture Belle Epoque des plus remarquables de la Côte d’Azur. Parmi eux, le Westminster Hotel & Spa. Rénové entre 2015 et 2016, l’hôtel en a profité pour dévoiler son tout nouveau restaurant : Le Duc. L’élégance à la française Tout comme l’hôtel Westminster Hotel & Spa, le Duc séduit autant par son élégance que par son atmosphère apaisante. Jouant sur la tonalité mauve, la décoration est à la fois contemporaine et chaleureuse. Sur les murs, les photographies signées Valéry Trillaud sont parfaitement exposées et mises en scène par un éclairage subtilement nuancé. En un instant, on se croirait presque dans une galerie d’art. Mais le vrai spectacle est celui offert par le chef et son équipe. En effet, le restaurant propose une cuisine ouverte, laissant ainsi aux convives le privilège d’admirer la brigade en action. Et pour couronner le tout, la magnifique terrasse vitrée et surélevée offre une vue imprenable sur la Méditerranée et la baie des Anges. Selon le souhait des clients, la vitre peut être ouverte pour s’imprégner totalement de l’ambiance de la Promenade des Anglais. Une cuisine traditionnelle mais créative Côté cuisine, la qualité des plats est à la hauteur de la beauté des lieux. Raffinés et authentiques, ils sont avant tout savoureux, frais et soigneusement concoctés. Digne fils de la ville de Nice, Le Duc met à l’honneur la cuisine méditerranéenne et traditionnelle à base de légumes, de saveurs et de senteurs provençales. La carte fait ainsi la part belle aux grands classiques niçois subtilement revisités par le chef Dominique Sgro. Au déjeuner, les convives pourront choisir entre deux formules. La première propose une entrée et un plat ou un plat et un dessert pour 19 €. La seconde offre un menu du jour à 25 € composé d’une entrée, d’un plat et d’un dessert qui changent selon l’ardoise du jour. Pour les deux menus, les amuse-bouches ainsi que le café sont offerts. Au diner, le Menu Niçois met à l’honneur les spécialités niçoises à 37 €. Pour accompagner le repas, l’établissement propose une sélection de vins où le terroir de la région est mis à l’honneur. La carte recèle quelques pépites comme le Bellet Château de Bellet Baron G millésime 2013 ou encore le vin rouge bordelais : l’AOP Saint-Emilion Château Berliquet Grand Cru classé millésime 2010. Le tout, servi par un personnel aussi avenant que motivé. A chaque jour sa spécialité niçoise Par ailleurs, Le Duc sort du lot avec son concept à chaque jour, sa spécialité niçoise. Selon la disponibilité du marché et des produits de saison, le chef met à l’honneur un plat typique de la région. Une occasion pour les convives de découvrir ce patrimoine culinaire niçois qui fascine et enivre en même temps. Le lundi, place au véritable Aïoli « Le Duc ». Le mardi, il travaille le cabillaud tandis qu’il surprend avec le succulent fricassé de lapin, le mercredi. Le jeudi, le délicieux Capon Niçois est servi. Le vendredi, le Rouget Grondin en portefeuille, sauce vierge émoustille les fins palais. Le samedi, une note de douceur apportée par l'Epaule d’Agneau Frottée à L’Ail et aux Herbes, Bayald attend les convives. Et pour achever en beauté la semaine, le chef sublime le Filet de Daurade à la plancha accompagné de conchiglioni farcis. ...
En famille ou entre amis, ce restaurant hammam permet d’allier détente et plaisir gustatif à la découverte des plats typiquement marocains. L’établissement propose une cuisine traditionnelle délicieusement concoctée par une vraie spécialiste de la cuisine orientale. Une ambiance à la marocaine A l’intérieur comme à l’extérieur, le restaurant s’habille aux couleurs du Maroc. Riches en textures et en couleurs, fauteuils et autres canapés sont une invitation à la détente, un peu à l’image de ces oasis qui contribuent au charme du désert. Côté luminaire, des lustres au style oriental diffusent une lumière tamisée plongeant les convives dans une atmosphère douce et chaleureuse. Des plats typiques et faits maison En salle, difficile de résister aux odeurs des épices et autres condiments qui caractérisent si bien la cuisine marocaine. Dans cet établissement, les produits frais sont à l’honneur ! « J’achète moi-même les poissons au marché et les légumes sont épluchés à la main » nous apprend la responsable du restaurant, la maîtresse des lieux. En cuisine, « le chef » Fabila sublime les produits en faisant parler son expérience et son savoir-faire. Ici, tout est fait maison ! D’ailleurs, les invités peuvent s’en rendre compte d’eux-mêmes grâce à une cuisine ouverte sur la salle. Pour la première étape de cette virée culinaire au pays des berbères, Fabila prévoit une excellente salade Mechouia composée de poivron grillé, ail, tomates et épices. Les convives peuvent enchaîner ensuite soit par un délicieux couscous Royal soit par un tajine poulet citron, une spécialité maison très demandée. Pour clore en beauté cette échappée marocaine, le chef propose les fameuses cornes de gazelle, une douceur orientale en forme de croissant, accompagnées par un cocktail de fruits du pays. Côté vin, les Boulaouane et Sidi Brahim sont incontestablement les maîtres des lieux. « Ceux qui viennent chez nous ne demandent que des vins marocains » précise la gérante. En rouge, gris ou rosée, ils sont toujours très appréciés. Enfin, l’établissement propose également du vin blanc ou de la bière selon les envies. ...
Le restaurant Terroir & Co, d’une capacité de 70 couverts, vous attend à Strasbourg où vous apprécierez sa cuisine bistronomique dans un espace hautement contemporain. Grâce aux talents de l’architecte Julie Feuillet, l’établissement a misé sur une ambiance chic et chaleureuse où se côtoient élégance et authenticité. Bois de chêne foncé, tons chauds, velours et cuivre brillant contribuent au charme de ce restaurant. Pour compléter ce décor, une ligne de vaisselle faite main et sur mesure par la céramiste locale Mélina Céramique vous accompagnera pour la découverte gustative de ces plats inspirés du terroir. Une cuisine aux couleurs locales La mise en valeur des produits du terroir est la ligne directrice du restaurant Terroir & Co. Pour ce faire, le restaurant privilégie les circuits courts en impliquant les producteurs locaux. Tous les plats proposés sont réalisés maison à partir de produits frais, de saison et respectueux de l’environnement. C’est pourquoi la carte évolue tous les trimestres pour mettre en avant les trésors du moment. Des accords mets-vins à découvrir Vos repas seront sublimés par une belle carte de vins présentant les 51 grands crus et les 7 cépages alsaciens. Vous pourrez savourer par exemple une truite saumonée en sashimi servie avec une salade de pommes de terre ratte et caviar avruga, accompagnée d’un Riesling Grand Cru Moenschberg du Domaine Jérôme Meyer. Vous pourrez également choisir des noix de Saint-Jacques justes saisies avec des salsifis à la badiane et une crème vanille réglisse, qui seront un véritable régal avec un Klevener de Heiligenstein, un vin issu d’un unique cépage « Le Savagnin Rose ». Pour les adeptes de viande, rien de telle qu’une entrecôte de veau avec ses patates douces en gratin, gingembre et sauce curry, servi avec un Pinot Noir tel que le Chat Noir du Domaine Hering. Une épicerie fine Avant de repartir, n’oubliez pas de faire un tour dans la nouvelle épicerie du terroir alsacien, où un bon nombre de produits gourmands sont mis à l’honneur, comme les bières Perle, les graines à planter Alsagarden, les eaux de vie de la distillerie Metté, les foies gras du Ried ou les pains d’épice de Mireille Oster. ...
Le restaurant La Perle du Lac s’affirme dans un style traditionnel qui plonge sa clientèle dans une ambiance chaleureuse et douillette. Dans la salle principale et les salons privés aux larges baies vitrées, les tables se parent d’un ensemble de nappes, napperons et serviettes pour accentuer le charme séculaire des lieux. Sur la terrasse décrite comme « la plus belle terrasse de la ville » par M. La Marche, directeur du restaurant, les clients contemplent à volonté la vue sur le Mont-Blanc et la Rade. La cuisine d’autrefois revisitée aux goûts actuels M. La Marche qualifie la cuisine proposée de « bourgeoise et traditionnelle française ». Désireux de partager l’histoire des lieux avec ses clients, le restaurant propose, en plus du menu du jour, le menu Byron, en l’honneur du poète anglais ayant vécu sur les bords du lac Léman et qui aurait séjourné au chalet, et le menu Orangerie, pour rappeler qu’autrefois, ce chalet abritait les agrumes d’hiver de son ancien propriétaire Bartholomé. Une carte qui sent bon le raffiné À travers sa carte, élaborée selon le profil d’une clientèle internationale, La Perle du Lac propose des plats emblématiques, à l’instar du gratin d’écrevisses, servi principalement en septembre, l’omble chevalier meunière, la féra du lac à la sauce genevoise et le suprême de volaille du Nant d’avril relevé par une crème d’estragon. Pour l’entrée, les préparations au foie gras, en terrine ou poêlée avec du vinaigre de framboise, constituent la signature de la maison. Au dessert, le chariot savamment composé de huit assortiments de pâtisseries accommodés aux fruits de saison, d’une salade de fruits et d’une spécialité locale, fruits rouges accompagnés de meringue et de double-crème de gruyère, termine en beauté le repas. Pour accompagner avec délice les préparations traditionnelles concoctées par le chef et son équipe, le restaurant propose une carte de vin très éclectique réunissant des références genevoises, françaises, libanaises, argentines, espagnoles, etc. ...
Les Vignobles Jander s’épanouissent sur une exploitation de 17 ha, où le merlot (53 %) et le cabernet sauvignon (47 %) règnent en exclusivité. Le terroir est départagé entre deux types de sols : un terrain sablo-graveleux pour le Château Sémeillan-Mazeau et argilo-graveleux pour le Château Jander. Vinifier dans les règles du bio Depuis 2012, la maison conduit son exploitation selon les principes de l’agriculture biologique. Cette méthode assure que les vins gagnent en équilibre et expriment pleinement le terroir. Une réelle fierté, comme l’affirme Maxime Julliot, directeur du domaine : « Depuis 2015, nous sommes la seule propriété certifiée en agriculture biologique sur les appellations Moulis et Listrac-Médoc. » Dès lors, le traitement des vignes respecte un cahier des charges bien défini, qui allie judicieusement tradition et modernité. La vinification s’opère dans un chai « très pratique à travailler », selon les termes de notre interlocuteur. L’endroit est en effet équipé de matériels de pointe comme des cuves thermorégulées, donnant la possibilité de diversifier les modes de fermentation, et des cuves extrêmement larges, qui permettent l’extraction des tanins pendant la fermentation. La maison met de côté le foulage pour permettre des vinifications plus respectueuses de la matière première. Par ailleurs, le processus de vinification est réalisé avec patience et délicatesse. À titre illustratif, la période d'élaboration de la cuvée « Sémeillan-Mazeau » s’étend sur presque 30 mois. Dans un premier temps, les récoltes des vendanges parcellaires sont vinifiées et élevées séparément pendant un an. Au bout de cette période, chaque lot de vin est encore retravaillé pendant 12 mois afin de bien accentuer toutes les caractéristiques des raisins (structure, arômes…). Ce temps écoulé, l’équipe du domaine procède enfin à l’assemblage dans les cuves. « La séance d’assemblage n’est pas qu’une somme des caractéristiques. L’objectif est de créer un juste équilibre entre ces différents composants », révèle Maxime Julliot. Et pour un résultat impeccable, six mois de plus sont nécessaires pour stabiliser les vins et les préparer à la mise en bouteille. Un vin pour une appellation À chacune des deux appellations correspond une cuvée qui arbore idéalement tous les traits particuliers de son terroir. « Notre stratégie de produits consiste à rassembler tous les vins d’une appellation dans une bouteille. » Ainsi, l’appellation Moulis est représentée par la cuvée « Château Jander », qui est un millésime aussi élégant que complexe. « Le Château Jander est fait pour les gens qui aiment les ‘’vins sérieux’’», a voulu préciser avant tout notre interlocuteur. En effet, ce vin fait partie du haut de gamme, à en juger par la qualité de ses cépages issus de vieilles vignes (25 ans en moyenne), élevées sur terroir argilo-graveleux, et la façon dont ceux-là sont travaillés. Ainsi, contrairement au Château Sémeillan-Mazeau, l’assemblage des cuvées s’effectue dès que la vinification est terminée. Au bout de longs mois d’élevage en barrique naît un vin puissant avec des tanins aussi souples qu’élégants. Quant à l’appellation Listrac, elle se révèle à travers les bouteilles de « Château Sémeillan-Mazeau ». Ces cuvées sont caractérisées par leurs notes de fruits rouges et de bois très harmonieuses. Tandis que la fraicheur de leurs arômes crée un véritable moment d’émotion pour les papilles, la souplesse de leurs tanins ne fait qu’accentuer le plaisir à la dégustation. Ainsi, le Château Sémeillan-Mazeau est aussi idéal en apéritif qu’en accompagnement du repas, sans compter qu’il se marie quasi avec tous les types de plats. On distingue parmi les meilleures références de cette cuvée le mill...
« Les tables d’Euphrosyne » s’impose majestueusement en hauteur de ce village mythique de Gordes, classé plus beau village de France. Dans ce restaurant, tout est fait pour impressionner : le panorama qui donne sur la vallée du Luberon, la décoration inspirée de la renaissance italienne, et la cuisine qui incarne mélodieusement les saveurs provençales. Un festival de goûts Le restaurant travaille une cuisine « bionomique », raffinée, audacieuse qui respecte le thème de la « naturalité ». « L’idée est de proposer des plats légers et savoureux, élaborés avec les propres produits des potagers et vergers de l’établissement » explique Sarah Lauferon, la gérante du restaurant. Le chef prône une philosophie bio, et décline ses plats en des menus sans gluten, végétariens et végétaliens. Ponctuée par une influence méditerranéenne, la pétillante cuisine des tables d’Euphrosyne conjugue gaieté et fraicheur. Des légumes de saison, des herbes fines aromatiques, des poissons frais, de l’huile d’olive de la Vallée du Luberon forment un mariage de saveurs surprenant. Et que dire des truffes : travaillées en amuses-bouche, en plats ou en desserts, elles constituent la signature du restaurant. Un dressage millimétré et artistique rehausse chaque assiette. Au rythme des saisons, le menu Buffet du Soleil à 30€ par personne propose un assortiment de salades, de planchas de légumes et viande ou poisson, des fromages et des desserts de grand-mère et constitue un très bon rapport qualité prix. Le Déjeuner Fleuri par contre se concocte au gré de l’inspiration du chef et se compose de trois formules au choix, allant de 29€ à 65€ en fonction du nombre de plats. En outre, la carte du soir suggère un menu complet à 65€ et éventuellement un accord met/vin à la carte. D’ailleurs, la cave à vins abrite des cuvées d’exception issues du domaine Juliette Avril situé en Chateauneuf du Pape, des vins bios de la Cave des Lumières à Goult. L’amour de la terre Le jardin de « la fleur de l’abondance », entretenu par Laurie Gornes, approvisionne le restaurant en fruits et légumes bio ainsi qu’en fleurs aromatiques. Il s’épanouit dans une agriculture « bionomique », qui exige un travail du sol très soigné, un respect à la lettre du calendrier lunaire et de la rotation des cultures. Ses récoltes sont généreuses, expressives et authentiques, rappelant la philosophie du restaurant. En outre, les clients peuvent visiter ce jardin-verger bio pour ressentir tous les bienfaits émanant de cette terre. ...
À Saint-Ciers-sur-Gironde, dans le département de la Gironde, près du port des Callonges se trouve un petit endroit calme et paisible propice à la dégustation de la bonne cuisine et d'une carte de cocktails élaborée par notre chef barman. Un cadre hors du temps La bâtisse en bois et les poutres apparentes renforcent vraiment l’idée de cabane. La salle lumineuse et épurée offre une vue imprenable sur l’estuaire. Cette guinguette du bout du monde est une cabane ostréicole aménagée offrant une invitation à une escapade romantique et conviviale. « C’est un endroit familial où on dîne au calme », nous confie l'équipe composée de Hugues, Cédric, Dorothée et Vincent. Sans plus attendre, venez prendre un apéritif au coucher du soleil, bercé par un rythme jazzy et ponctué par les clapotis de l’eau… un moment de détente inoubliable. Une cuisine au gré des marées… « Ici, on sert une cuisine bistronomique, simple et délicieuse, où des produits du terroir sont mis en valeur » nous disent-ils. L’estuaire de la Gironde est le plus grand d’Europe et regorge d’une grande variété de poissons migrateurs, au goût authentique et estival. Au restaurant, vous pourrez déguster notamment le bar, le carrelet ou plie, la crevette grise, la sole ou encore le mulet. La carte est alimentée par les produits frais du jour. Parmi les spécialités du chef, figure la salade césar en entrée, suivie du filet de poisson du jour et des œufs au lait en guise de dessert. Un bordeaux blanc « Prestige » du Domaine Cassard accompagnera à merveille ce repas aussi délicieux que copieux. ...
Tel un chef d’orchestre, Arnaud Donckele dirige une équipe de choc composée de 21 passionnés tous aussi doués les uns que les autres. Thierry Di Tullio, le directeur du restaurant La Vague d’Or ; il a été récemment élu « Meilleur directeur de salle de l’année 2016 » par le guide Gault & Millau. Avec lui, le chef sommelier Franck Perroud élabore les meilleurs accords pour sublimer les créations culinaires du chef. En cuisine, aux côtés d’Arnaud Donckele, le chef pâtissier Guillaume Godin s’occupe de ravir les palais avec ses desserts gourmands et raffinés. Arnaud Donckele, artisan du goût Si la cuisine était une musique, alors Arnaud Donckele, chef du restaurant La Vague d’Or, serait tout simplement Mozart. Petit-fils d’agriculteurs, ce prodige de la cuisine a fait ses armes auprès des plus grands noms de la cuisine française, comme Michel Guérard, Alain Ducasse et Jean- Louis Nomicos, au Lasserre. En 2005, il décide de voler de ses propres ailes et débarque à La Vague d’Or, où carte blanche lui est donnée au regard de son parcours déjà impressionnant. D’une créativité sans limites et d’une grande rigueur au travail, il met en avant son amour pour la cuisine provençale et méditerranéenne. La consécration est indiscutable et ne tarde pas à venir. En 2013, il est couronné de trois étoiles au Guide Michelin, ce qui fait de lui le plus jeune chef étoilé en France à 35 ans. En 2016, c’est au tour du guide Gault & Millau de lui décerner 5 toques. Cuisinier hors pair, Arnaud Donckele s’essaye aussi à la littérature. À l’instar de son ancien mentor Alain Ducasse, il a édité un Best of (Éd. Alain Ducasse, 2015) de ses 11 meilleures recettes ainsi que l’ouvrage Ma Provence (Flammarion, 2015), dans lequel 60 recettes typiquesde la Provence sont dévoilées. Une cuisine entre terre et mer À La Vague d’Or, une cuisine gastronomique issue du terroir provençal et méditerranéen est mise en avant. Les produits frais de saison, en provenance des petits producteurs du littoral varois, y sont privilégiés. Arnaud Donckele met à contribution avec raffinement les herbes de Provence pour illuminer ses plats, à l’image de sa « pâte Zitone », délicatement fourrée de truffe noire et de foie gras avec l’artichaut violet en trois textures, rehaussé de basilic. Le chef affectionne particulièrement les alliances, parfois insolites et audacieuses, cuisinées avec subtilité, tel le homard combiné avec la truffe noire de Carpentras. La cuisine de La Vague d’Or, c’est aussi une valse entre terre et mer, à l’exemple du râble de lapin roulé au lard paysan « façon Claudette » et homard bleu. Pour aller à la découverte du pays des délices d’Arnaud Donckele, trois menus sont proposés. En quatre actes, « L’escapade gourmande » retrace l’identité des plats tirés de la bouillabaisse, fondement de la cuisine provençale. « Au fil du temps », décliné en cinq actes, est la composition des plats traditionnels et des plats modernes mise en harmonie. La formule en huit actes de la « Balade épicurienne » propose de faire découvrir la philosophie culinaire de la maison. Quant à la carte de La Vague d’Or, elle est une invitation au voyage entre terre et mer... ou les deux. Ainsi, on se plaira à déguster les « langoustines vivifiées au pamplemousse en deux séquences », suivies d’un « mignon de veau à la mode carqueirannaise », pour terminer en beauté avec le « feuille à feuille aux dix agrumes ». ...
Chaque année, l’industrie du vin produit plusieurs millions de bouteilles. Dans ces conditions, il n’est pas toujours facile pour les non-initiés de faire le bon choix. En mettant en valeur des vins primés, Box Office Wines permet au grand public de découvrir et d’apprécier des produits d’exception. A propos de Box Office Wines Box Office Wines est un site-hub indépendant créé à l’initiative de Régine Le Coz, œnologue et fondatrice d’Inter concours du monde (entité qui gère plusieurs concours internationaux dans l’agro-alimentaire) en partenariat avec les étudiants ingénieurs en informatique de Yncréa Méditerranée de l’ISEN de Toulon, sous la houlette de Stéphane Véra, directeur recherche et développement. L’objectif est de mettre en relation producteurs, consommateurs et acheteurs du monde entier à travers une sélection de spiritueux et vins primés lors de concours axés sur des thématiques fortes telles que les femmes, le vin rosé, la gastronomie et le terroir.« Box office Wines propose également la mise en relation de l’information autour de l’oenotourisme, la gastronomie, le packaging, l’art et la culture » explique la fondatrice. Open Tasting Wines & Spirits, un évènement grand public Afin de promouvoir et faire découvrir au grand public ces vins et spiritueux médaillés (Diamant, Or ou Argent), Inter concours du monde lance la troisième édition de l’Open Tasting Wines & Spirits. Un événement dégustation-découverte à destination du grand public. « A cette occasion, nous invitons les gens à venir déguster le palmarès de nos six concours et ensuite si cela les intéresse ils pourront se mettre en relation avec les producteurs concernés via le Box Office Wines » nous indique-t-on. Cet évènement exceptionnel se tiendra le samedi 23 juin 2018 de 10 h à 21 h à Monaco au Méridien Beach Plaza, un établissement de grand standing. Au menu de cette troisième édition figure entre autres la remise du Grand Prix Béatrice Cointreau en présence de Madame Claudine Neisson, lauréate lors du concours international « Femmes et Spiritueux du Monde » ainsi que de Madame Béatrice Cointreau. Les places sont limitées et les inscriptions peuvent se faire en ligne sur le site. ...
Situées sur un plateau de garrigues argilo-calcaires dans le Vaucluse, les vignes du domaine de la Brunely plongent leurs racines loin dans la terre pour puiser l’eau. « Cette particularité du sol nous donne des vins qui sont assez puissants et assez riches », souligne Edouard Carichon, responsable commercial et fils de Charles Carichon, propriétaire. Le domaine s’étend sur 80 hectares, dont 35 en appellation Vacqueyras. Concernant les cépages, les plus typiques de la vallée du Rhône sont privilégiés comme le grenache, la syrah, le mourvèdre ou encore le carignan. La vinification, une philosophie « On fait tout nous-mêmes. On s’attache à suivre tous les processus. C’est notre philosophie depuis le début pour offrir le meilleur du terroir et respecter la vigne et son environnement », explique Mr Carichon. Car, à défaut d’adopter une viticulture raisonnée, le domaine de la Brunely applique la méthode dite raisonnable. Pour preuve, il n’utilise aucun désherbant et va jusqu’à embaucher des saisonniers pour piocher les mauvaises herbes dans les cas extrêmes. La vinification, quant à elle, se fait main dans la main avec un œnologue-conseil, selon les techniques traditionnelles : vendange à maturité optimale, utilisation de levure naturelle, etc. Modernité oblige, les vins sont élevés dans des cuves en inox et en béton. Une cuvée, une appellation Le domaine de la Brunely propose une gamme très variée des grands crus de la vallée du Rhône : Vacqueyras, Gigondas, Châteauneuf-du-Pape, Côtes-du-Rhône et Ventoux. Cependant, ici, on ne produit qu’une seule cuvée par appellation. Régulièrement récompensée lors de divers concours, comme le Gigondas « Les Rocassières 2009 » coup de cœur du Guide Hachette 2012, la cuvée Châteauneuf-du-Pape est de celle qui fait la fierté du domaine : « C’est le seul vin qu’on élève en barriques. Il est très structuré, avec des tannins assez fins mais puissants. » ...
Valérie Forgues, vigneronne passionnée, a acquis ce domaine en 1997. Dans un souci de perfection, elle adhère aux principes de la charte des Vignerons Indépendants : respect du terroir, de la vigne et des traditions. En 2015, elle rejoint le réseau Bienvenue à la ferme de Loir-et-Cher. L’agriculture biologique, une conviction Les 7 cépages traditionnels de la Touraine sont tous présents au vignoble de la Méchinière : sauvignon, chenin, orbois, pineau d’Aunis, gamay, cabernet franc et côt. Certaines de ses parcelles sont composées de vieilles vignes comme ses côts centenaires, cultivés en provignage, et ses chenins et orbois, plantés en pineaux mêlés. Les vins du domaine sont dotés d’une exceptionnelle finesse aromatique, exprimant son terroir silico-argileux. En 2013, Valérie Forgues entame une conversion à l’agriculture biologique « par conviction, car c'est une nécessité pour notre environnement », raconte-t-elle. Avec l’aide précieuse de Didier Barouillet du domaine du Clos Blanche, elle s’applique à réapprendre le savoir-faire d’antan qui se perd. La vigneronne utilise uniquement les produits dits naturels. Le sol est travaillé au labour, en enherbement naturel. Des vins aux reflets de leur paysage Chaque cuvée reflète les caractéristiques du terroir et de son cépage en vins tranquilles et fines bulles. Régulièrement, les vins sont cités dans les guides et revues spécialisées. Valérie Forgues explique que « la meilleure des récompenses, c’est lorsqu’on est appelé par des amateurs de vins ou des organisateurs de salons ». Le Rouge Côt 2012, issu de ses plus vieilles vignes, est un de ses millésimes qui rencontrent le plus de succès. C’est une cuvée élevée 16 mois en cuve, à la robe sombre, aux reflets violines, qui offre des arômes de griottes et de petits fruits noirs au nez. La bouche est ronde et charnue, aux parfums croquants, qui dévoilent une belle finesse et harmonie. Ce vin a été mentionné par le Guide Hachette 2015. Parmi les cuvées phares du domaine figure aussi le Sauvignon 2014, à la robe jaune pâle. Cette cuvée livre au nez des notes fruitées et florales, avec une pointe d’arômes de confiserie. Sa structure agréable offre du volume et de la matière en bouche. Le Rosé Pineau d’Aunis 2014, quant à lui, est un petit bijou atypique devenu rare. Il présente une robe cuivrée œil-de-perdrix, avec une grande typicité aromatique, au nez frais et fruité avec des notes épicées au poivre vert. Sa structure soutenue lui permet d’accompagner les repas d’été et exotiques. Ce vin est présent dans le Guide Dussert-Gerber des vins 2015. ...
Établissement familial hérité de plusieurs générations successives, La Ferme Basque perpétue sa passion pour la cuisine du terroir depuis près de 2 siècles. Bénéficiant d’un emplacement plus qu’avantageux, ponctué d’une admirable vue panoramique, l’établissement est particulièrement apprécié pour son attachement aux valeurs traditionnelles et aux produits locaux. Un lieu chargé d’histoire Implantée dans un paysage à couper le souffle, La Ferme Basque est un bel héritage familial appartenant aux Poulot-Cazajous depuis 1911. Autrefois connu comme étant une halte occasionnelle pour les randonneurs de passage dans la vallée de Cauterets qui investissaient les lieux pour s’offrir un léger casse-croûte et une crêpe, l’établissement est devenu depuis 1928, un lieu de restauration incontournable où on aime délibérément se rendre pour retrouver des saveurs longtemps oubliées. En plus d’un emplacement privilégié, La Ferme Basque conserve à aujourd’hui, l’ultime avantage de constamment réveiller les papilles à travers une cuisine traditionnelle préparée à base de produits frais et bio, dans de belles associations de couleurs et d’authentiques saveurs du terroir. « Se rendre à La Ferme Basque est une belle expérience historique et culinaire qui mérite d’être vécue et où la cuisine vaut réellement le déplacement » raconte Sophie Mazerand, responsable de la partie communication. Un souffle nouveau C’est aujourd’hui à Aurélien, le fils de la maison, que revient la charge de diriger l’établissement et qui prend très au sérieux, la responsabilité de préparer des plats mijotés faits maison à la manière des Pyrénées. Depuis, La Ferme Basque bénéficie d’un nouveau souffle où la jeunesse prend son envol sans sacrifier aux traditions familiales. L’idée de proposer aux clients une gamme de salaisons et des produits atypiques des Pyrénées est un engagement sans précédent. D’après les explications de Sophie Mazerand, « tous nos plats sont proposés en conserve du terroir avec la possibilité de reproduire les recettes grâce à des produits achetés en boutique ». Une cuisine 100% terroir Fidèle à ses traditions familiales, l’équipe de La Ferme Basque est particulièrement attentive dans la façon de préparer ses plats. Elle prend soin de conserver ce cachet particulier dont elle peut s’enorgueillir en ne proposant aux clients qu’une cuisine 100% artisanale où les produits frais sont à l’honneur. Cette identité confère au lieu, la garantie d’une cuisine authentique et traditionnelle qui rappelle des souvenirs d’enfance et de bonnes recettes de grand-mère. La Ferme Basque s’appuie également sur son site internet pour vendre et faire connaître les produits de la ferme dans de belles associations. ...
Grâce à sa proximité avec Rungis, Au Panier des Halles peut s’approvisionner en produits frais tout au long de l’année et confectionner ainsi des plats riches en saveurs. Pour tous les plats d'inspiration italienne, il se fait également livrer des produits en provenance directe du pays transalpin, tels que la charcuterie, la mozzarella ou les fromages. Aidés par une équipe d’une vingtaine de personnes, le chef cuisinier et la cheffe pâtissière préparent tout sur place, pour une cuisine artisanale et raffinée respectant les saisons. Chaque année, une carte automne/hiver et une carte printemps/été sont élaborées, pour faire vibrer vos papilles et partager des moments intensément goûteux. Une carte diversifiée Que vous souhaitiez organiser un cocktail ou un buffet pour un événement particulier dans votre entreprise, ou que vous souhaitiez offrir à vos collaborateurs ou à vos clients des plateaux-repas lors de réunions ou de séminaires, vous êtes sûr de trouver la bonne formule chez Au Panier des Halles. Pour les petits-déjeuners, tout a été prévu pour des débuts de journée gourmands et revitalisants avec viennoiseries, petits fours sucrés ou fruits secs, et, bien entendu, café, thé et jus de fruits. Pour les plateaux-repas, vous avez le choix entre 18 déclinaisons de 21 à 35 euros, avec une entrée, un plat et un dessert. Chaque plateau-repas a été conçu pour offrir des menus équilibrés. Par exemple, le plateau italien nommé « Saltimbocca de veau », avec lequel vous pourrez vous régaler de gambas sautées, puis d’une saltimbocca de veau à la romaine accompagnée de pâtes à la Norma, et finir par un entremets au cœur crème de noisettes et amaretto. Mais si vous désirez un menu plus gourmand, vous pourrez opter pour le plateau « Roulé de homard » ou « Filet de bœuf façon salade landaise ». Sans oublier les spéciaux sans lactose, sans gluten ou végétariens. Pour les cocktails, un large choix de petits pains italiens, de wraps, de brochettes, de canapés, de clubs sandwichs ou de petits fours sucrés s’offre à vous. Quant au buffet, vous pourrez choisir parmi de nombreuses entrées, plats ou desserts, toujours faits maison. Au Panier des Halles vous propose également un large choix de boissons pour accompagner vos repas, du vin au champagne en passant par l’eau ou les boissons chaudes. Un service performant, à votre écoute Par Internet, par téléphone ou par e-mail, les commandes de plateaux-repas doivent en théorie être passées la veille. Mais vous pourrez profiter de la commande express le jour même pour vos plateaux-repas. Dans ce cas, vous choisirez uniquement le plat principal, le chef vous confectionnant une entrée et un dessert suivant les disponibilités. Le service commercial est à votre écoute pour répondre à toutes vos questions et vous conseiller, ou pour vous aider à organiser au mieux votre projet. En outre, Au Panier des Halles dispose de son propre service logistique pour livrer votre commande dans les meilleures conditions. Pas de soucis non plus pour les paiements, puisque le nouveau site Internet est totalement sécurisé. Il n’y a plus qu’à passer commande et à vous régaler ! ...
Sensible au « bien manger », à la dégustation de mets élaborés avec des produits frais, de saisons et à un tarif abordable, la destination Baie de Saint‐Brieuc – Paimpol ‐ Les Caps propose un menu qui donne l’eau à la bouche : une riche palette de produits terre/mer, des professionnels engagés dans la qualité, désireux de faire partager leur savoir‐faire, et des événements tout au long de l’année. La destination Baie de Saint‐Brieuc ‐ Paimpol ‐ Les Caps se situe en Côtes d’Armor dans la cinquième plus grande baie au monde par l’amplitude de ses marées et s’étend de Paimpol à Fréhel. La renommée des chefs, le nombre de restaurants, la qualité des produits gastronomiques locaux et la riche programmation des animations culinaires font de ce territoire une véritable destination gourmande. En Baie de Saint‐Brieuc, les chefs sont inspirés par les senteurs et saveurs des produits locaux. Ils mêlent avec talent les produits de la terre aux produits de la mer dont la fameuse coquille Saint‐Jacques, reine de la baie, pêchée d’octobre à avril, mais aussi d’autres produits d’exception comme le homard bleu de Loguivy‐de‐la‐mer, l’huître de la Baie de Paimpol ou le fameux «coco de Paimpol» (AOC). La programmation gourmande de la Baie de Saint‐Brieuc donne rendez‐vous aux amateurs de bonne chère. Pour le weekend de la pentecôte, les chefs quittent leur cuisine pour Rock’n Toques durant le festival Art Rock. Tout au long de l’année les occasions ne manquent pas pour découvrir le territoire tout en ravissant les papilles : balades gourmandes, dégustations, ateliers, visites des criées, marchés nocturnes bio, fête de l’huître, fête de la coquille Saint‐Jacques, fête de la Gastronomie... De la crêperie au restaurant étoilé, les escales gourmandes parsèment la Baie de Saint‐Brieuc. Ports, fermes, cidreries, conserveries... Nombreux sont les professionnels qui ouvrent leurs portes au grand public pour partager leur passion. Des produits savoureux de qualité Entre terre et mer, la Baie de Saint‐Brieuc apparaît comme un condensé de Bretagne, par ses paysages, ses traditions, son patrimoine. La Baie de Saint‐Brieuc avec ses panoramas bleus et verts et ses plages escarpées, abrite de nombreux produits de bouche de qualité. Parmi les différents trésors, la coquille Saint‐Jacques est certainement le plus réputé. Plus de 5 700 tonnes de coquilles sont pêchées depuis les ports d’Erquy, Loguivy‐de‐la‐Mer et Saint‐Quay‐Portrieux en Baie de Saint‐Brieuc. La Baie est également un territoire de mytiliculture, d’ostréiculture, de maraîchage, d’élevage de porcs et de poissons. On y déguste le homard bleu de Loguivy‐de‐la‐mer, l’huître de la Baie de Paimpol, l’huître de Fréhel avec son goût très iodé, les moules, le coco de Paimpol, les algues, les pâtisseries telles que les palets de Fréhel à la nougatine et au chocolat, les crêpes bretonnes... le pommeau du Goëlo, le cidre, le boujaron (eau de vie de cidre) : les breuvages ne manquent pas non plus en Baie de Saint‐Brieuc. Une destination authentique innovante Si la Baie de Saint‐Brieuc est authentique par ses paysages et ses produits, elle est innovante par les hommes qui la font vivre. Dans cet espace où terre et mer ne cessent de se superposer, l’originalité et la créativité des « hommes gourmets » semblent illimitées. Elles sont le fruit d’une émulation partagée, d’une inspiration toujours sollicitée avec des produits locaux de qualité. La destination compte trois chefs étoilés au guide Michelin : Mathieu Aumont (Saint-Brieuc), Jean‐Marie Baudic (Saint‐Brieuc) et Nicolas Adam (Plérin). C’est aussi à Saint‐Brieuc qu’est né le collectif Rock’n Toques. Une brigade de cent cinquante professionnels de la restauration, dont trois chefs étoilés, qui proposent pendant les trois jours du Festival Art Rock, une gastronomie de rue qualitative, à base de produits locaux et de saison. C’est donc dans un esprit convivial, de partage et de fête que la destination Baie de Saint‐Brieuc ‐ Paimpol ‐ les Caps développe une démarche collective pour permettre, aux prix les plus abordables possibles, de valoriser une alimentation saine, locale...
Le restaurant Le coup de feu promet une expérience unique en termes de plaisir de la table. Le chef affiche sa volonté de séduire le plus grand nombre en proposant une cuisine traditionnelle teintée d’inventivité. Un cadre cosy pour manger autrement Le restaurant Le coup de feu réserve à ses convives un accueil chaleureux dans un cadre offrant le juste milieu entre une décoration moderne et une salle de style rétro. Poutres apparentes, grande cheminée au milieu de la salle, mobiliers vintage, mais aussi sol carrelé… autant d’éléments évoquant charme et convivialité. Le restaurant propose une cuisine basée sur la gastronomie parisienne. Concoctés exclusivement avec des produits frais, les plats de l’ardoise changent toutes les semaines afin de varier le plaisir des habitués et de faire découvrir de nouvelles saveurs aux nouveaux venus. Certains mets illustrent à merveille le savoir-faire de Sylvain Le Grand, chef et non moins propriétaire du restaurant. Dans le registre des entrées, la poitrine de cochon confite, laquée au miel et servie avec un duo d'artichauts cru et cuit, émoustille les papilles. Le filet de bar est quant à lui très recommandé en guise de plat. Au Coup de feu, cette suggestion est accompagnée de jus aux fruits de la passion. Enfin, pour le dessert, le chef se fera un grand plaisir de servir l’ananas victoria rôti en tranches au sucre muscovado, agrémenté de sorbet au basilic thaï. Une cave à vins complète Pour mieux savourer les mets proposés par le restaurant Le coup de feu, le chef reste disponible pour quelques conseils sur les meilleurs accords de vins et de plats. Dans sa cave marquée par une présence remarquée de vins de Bourgogne, il présente une trentaine de références. Le chef Sylvain sélectionne d’ailleurs les vins en collaboration avec des producteurs régionaux lui permettant de mettre en valeur des produits peu connus mais à découvrir absolument. ...
L’amour du terroir et des valeurs transmises. Le goût des autres, aussi, et celui de l’authenticité. Christine et Hugues de la Guéronnière portent avec passion un héritage familial ancré dans l’histoire depuis 1928. Si le vignoble rencontre ses lettres de noblesses dans les années 50, il n’a pas cessé de les honorer depuis. Terroir et artisans oeuvrent ici conjointement à créer le meilleur. Un terroir et un savoir-faire complices derrière des vins d’exception Les vignes du Château Chatain, d’une moyenne d’âge de 50 ans, content les vallées, la Barbane, les sources d’eau qui les traversent et un sol graveleux -argilo-limoneux, dans lequel elles puisent minéralité et caractère. La hauteur des feuilles, l’ébourgeonnage, le labourage au tracteur : Christine de la Guéronnière perpétue un savoir-faire acquis de son père, Hugues tout en organisant le domaine dans un esprit d’agriculture raisonnée. Merlot, Cabernet Franc, Cabernet Sauvignon, Malbec sont cueillis à maturité par les mains attentives des vendangeurs. Puis vient l’assemblage, ces précieux instants où l’alchimie s’invente, à l’écoute des cépages et de leurs aromes. Les vins sont élevés en fûts de chêne, où ils révèleront leur quintessence au bout de douze mois ou plus. Le domaine utilise même un pressoir hydrolique de 1900, assurant un pressurage lent mais qualitatif. Ici, la productivité n’est pas le maître mot et ne se fait jamais au détriment du « très bon ». Dans leur robe rouge rubis, les vins Lalande de Pomerol du Château Chatain profitent aussi de label européen AOP. Médaillés, salués par les critiques, les opus libèrent leur tanin puissant et subtil. Rondeur et longueur en bouche révèlent une complexité à la profondeur tranquille et veloutée. Le fruit s’exprime dans toute sa primeur. Un domaine dynamique et inspiré La famille de la Guéronnière compte artisans, artistes et voyageurs depuis plusieurs générations : vigneron, ébéniste, pianiste polyglotte. Une ouverture d’esprit qui amène Christine de la Guéronnière à étudier dans le commerce international et à voyager elle-même, avant de rejoindre le domaine pour y semer son énergie solaire. Équipe, amis, famille, voisins prêtent main forte, fédérant une dynamique locale impliquée et unie. Marie de la Guéronnière, la sœur cadette de Christine, a rejoint cette année le vignoble, après une carrière en tant que comédienne, metteuse en scène et Directrice de théâtre en Irlande. Une heureuse présence promettant quelques rendez-vous artistique in situ. La solidarité avec les châteaux voisins est palpable, tout comme la convivialité que le domaine entretient avec les cavistes, les restaurateurs locaux, avec un goût prononcé pour les plus inventifs. Au Château Chatain, on aime le bon vin mais aussi les bonnes idées. Quand oenotourisme rime avec imagination Et côté idées, le Château n’est pas en reste. Des visites œnologiques donnent à découvrir terroir, savoir-faire et histoire. Des jeux d’assemblage permettent aux visiteurs de recevoir quelques secrets de cette « cuisine des dieux ». L’été, on y organise des barbecues champêtres où savourer produits du terroir mais aussi des apéritifs fluviaux à Libourne. Avec d’autres partenaires locaux, le domaine proposent des visites en calèche, en tuk-tuk, en vélo ou en side-car. Des moments joyeux qui pensent à toute la famille, toujours clos par une dégustation savoureuse. Le bonheur s’invente chaque jour au Château Chatain, qui le partage volontiers, de grands vins en bons moments. ...
Situés sur la commune de Néac, à 6 km de Saint-Émilion, les Vignobles Chatonnet font honneur aux appellations Lalande de Pomerol, Saint-Émilion et Montagne Saint-Émilion en produisant des vins régulièrement médaillés qui font l’unanimité auprès des meilleurs critiques internationaux. Chaque année, Pascal Chatonnet et son équipe s’évertuent à élaborer des cuvées qui glorifient leur terroir. 2020 n’a pas fait exception à la règle. Millésime 2020, « L’Impressionnant » À côté des problèmes dus à la pandémie qui ont compliqué les travaux dans la vigne, le millésime 2020 a été marqué par un printemps climatiquement difficile puis un été très atypique qui a commencé par une sécheresse exceptionnelle heureusement contrôlée par les pluies ayant ralentit la fin de la véraison. À l’arrivée, les vins obtenus révèlent un profil surprenant, très équilibré, élégant, à la fois opulent, souple et frais. Impressionnant ! Des cuvées harmonieuses et expressives Symbole du savoir-faire de la famille Chatonnet, la cuvée Château Haut-Chaigneau 2020 allie une incroyable fraîcheur, une harmonie exceptionnelle et une belle accessibilité. De son côté, la cuvée La Croix Chaigneau 2020 s’illustre pour son caractère voluptueux et équilibré. Le cru La Sergue 2020 qui est né d’une association des trois terroirs La Pignière, La Margaux et Haut-Chaigneau à Lalande de Pomerol tire profit du Merlot, du Cabernet Franc et du Malbec pour se dévoiler dans sa plus belle expression. Quant au cru de l’Archange, il est à l’image de toute la puissance et la pureté du Merlot. ...
Rester à l’écoute des tendances de consommation, choisir des ingrédients de qualité et tester de nouveaux produits tout en conservant le savoir-faire hérité de ses aïeux, telle est la démarche adoptée par Gérard Paignon, à l’origine du succès incontestable de sa marque aujourd’hui. Les spécialités Ici, place au travail artisanal. Parmi les spécialités de la maison figurent les apéritifs, des assemblages de cognac et de fruits ou de plantes naturels rigoureusement sélectionnés. Un savoir-faire qui a valu de nombreux prix à la « Troussepinète », dont la médaille d’or récoltée au Ultimate Spirits, à New York, en 2012. Autre gage de qualité, la médaille d'or fraichement récoltée par le cognac VSOP Lise Baccara au dernier Concours Général Agricole à Paris vient s'ajouter au palmarès de la maison, déjà bien étoffé. Une véritable consécration puisque dans cette catégorie, seulement 2 lauréats s'en sortent avec brio. ...
Implanté depuis peu à Lyon, à la Croix-Rousse, le restaurant Chez Lucien est géré d’une main de maître par Benjamin et toute une équipe dynamique et passionnée. La formule simple mais raffinée du resto-bistrot ravira les papilles des fins gourmets à la recherche de plats créatifs et authentiques. Lucien, gentil bouledogue anglais et mascotte de la maison, quant à lui, est là pour veiller au grain. Le terroir comme source d’inspiration Mettant en avant la richesse du terroir, Benjamin privilégie un ravitaillement en circuit court auprès de « producteurs bio et de qualité [afin de cuisiner] avec 100 % de produits frais », affirme-t-il. Les saveurs locales sont ainsi mises à l’honneur dans des plats tels que le ragoût de pieds de cochon aux piquillos et gratiné à la moelle, une entrée exquise qui fait la renommée du chef, et qui sera suivie d’un plat de ventrèche de cochons issus de fermes du Pays basque. Pour les desserts, l’établissement mise entre autres sur les talents de Laëtitia Maggiar. Passionnée, la cheffe pâtissière d’origine italienne ne manque pas d’imagination pour transformer les grands classiques en de véritables perles comme le vacherin au marron, le tiramisu au café ou la tarte du jour qui varie selon les fruits disponibles sur le marché. Une véritable ambiance bistrot « Dans un décor de pierres apparentes, de poutres et de marbre, notre restaurant accueille les hôtes avec un fond musical léger rappelant les maisons de campagne », nous confie Benjamin. Cette table d’exception privilégie ainsi la convivialité en organisant notamment des « événements autour d’une recette avec une ambiance guinguette tous les premiers dimanches du mois ». Cet aspect authentique accomplit ainsi le défi que s’est donné Benjamin, celui « de proposer de la bistronomie conviviale et facile d’accès ». ...
Au cœur de Saint Emilion, place du Marché au Bois, une jolie bâtisse abrite Le Logis de la Cadène. Pour les familles du village et des environs, c’est une véritable institution qui a trouvé un nouveau souffle depuis que Stéphanie de Boüard-Rivoal a décidé d’en faire l’acquisition en 2013 au nom d’Angélus, la propriété familiale qu’elle dirige. Logis de la Cadène : une adresse historique Le choix de ce lieu, fondé en 1848, ne doit rien au hasard. Lorsque Stéphanie de Boüard-Rivoal l’évoque c’est en convoquant ses souvenirs d’enfance. Ici, elle venait en famille déguster la viande cuite aux sarments, dans la plus pure tradition locale. De cette histoire, Le Logis de la Cadène a conservé la convivialité et l’ancrage dans le terroir mais, depuis 2013, l’établissement a aussi considérablement évolué pour devenir une adresse prisée des gourmets et des gourmands, le prolongement idéal d’une visite dans les vignobles voisins. Le Logis de la Cadène a été entièrement rénové pour qu’on s’y sente comme dans une maison de famille. Le décor épuré à l'esprit « rustique-chic », dans les deux salles à manger, le petit salon de lecture et les cinq chambres toutes uniques et très cosy où dominent les matières nobles et brutes, crée une atmosphère à la fois chaleureuse et élégante propice à l’éveil de tous les sens. Une cuisine inventive et raffinée En coulisses, le jeune chef Alexandre Baumard,disciple de Paul Bocuse qui poursuivit ses « classes » auprès d’autres grands noms de la gastronomie tels Christophe Bacquié à l’Hôtel du Castellet (***) ou encore Laurent Saudeau au Manoir de la Boulaie (**), allie une grande maîtrise technique à un style personnel déjà bien affirmé. Son credo : la créativité au service des produits du terroir et de la tradition culinaire française qu’il prend plaisir à revisiter et à réinterpréter, selon les codes actuels mais toujours avec un infini respect pour les fondamentaux. Une approche et un engagement passionné très vite salués par une première étoile au Michelin et une clientèle d’habitués et de voyageurs du monde entier, propulsent ce jeune talent parmi les grands. Récemment, Alexandre Baumard a décidé d’innover en ne proposant plus de carte mais seulement quatre menus. Une manière sans doute de pousser encore plus loin son goût pour la précision et une forme d'ajouter de la simplicité dans la sophistication. Le Menu du Marché, le Menu Découverte de Terroirs et le Menu Inspirations proposent, crescendo, un voyage dans les propositions du Chef et la dégustation de vins issus de la cave du restaurant, riche de plus de mille références. Dans le Menu Signatures, l’un des plats emblématiques de l’Auberge du Pont de Collonges -le célèbre Rouget Barbet en écailles de pommes de terre croustillantes du mentor et maître Paul Bocuse- côtoie deux créations d’Alexandre Baumard : Les truffes « Melanosporum » de Guillaume Ge en risotto lié au parmesan et Le tourteau de nos côtes, en deux services, quinoa à l’huile d’agrumes, légères touches de combawa, sorbet carottes gingembre, caviar d’aquitaine « Perlita » de la Maison l’Esturgeonnière dans un dialogue original où la tradition et la modernité se conjuguent au présent. Avec ce choix de menus, Alexandre Baumard, chef enthousiaste et exigeant, entend partager encore davantage son amour des beaux produits dénichés auprès de producteurs locaux et son plaisir à les travailler en déclinant textures et cuissons. C’est toujours ultra précis, parfaitement maîtrisé et immanquablement délicieux ! La description ne serait pas complète sans évoquer le jeune et talentueux chef-pâtissier Damien Amilien, qui fait fondre de plaisir tous les amateurs de douceurs. Le duo harmonieux que forment les deux jeunes Chefs trouve dans Le Logis de la Cadène l’écrin idéal pour exprimer sa créativité et déployer son talent. Entre ces murs, l&rsquo...
Les grands-parents de Sébastien Daviaux habitaient Cramant et Chouilly. Il a donc hérité d’un domaine viticole qui est situé entre ces deux communes. Tout en améliorant l’élaboration des champagnes avec des techniques modernes, il essaie de garder les pratiques traditionnelles qui sont avantageuses. Afin d'en savoir plus, il suffit de prendre un rendez-vous pour une visite du vignoble et de la cave, qui sera clôturée par une dégustation. Le meilleur de la Côte des Blancs Sébastien Daviaux possède un vignoble de trois hectares situé dans la Côte des Blancs, entre Chouilly et Cramant. Il cultive principalement du chardonnay sur ce sol très crayeux. La maison est actuellement dans une démarche de viticulture durable. Cela implique notamment la mise en place du désherbage mécanique, ainsi que l’utilisation d’engrais biologiques et d’autres produits certifiés. Trois cuvées initiales Fraîchement créée en 2014, la marque Sébastien Daviaux regroupe déjà trois champagnes. Le premier né de la gamme est le brut Blanc de Blancs. Au niveau visuel, il se caractérise par sa robe or avec des reflets verts réservés et par ses bulles raffinées. Au nez, c’est le chardonnay qui émerge avec élégance, dévoilant des senteurs d’agrumes, de pomme, de poire, d’abricot et de raisin. Ce vin révèle aussi une rondeur soyeuse en bouche, avec une finition intense et chaude. À part cette cuvée Blanc de Blancs, qui est l’ambassadrice de la maison, deux autres champagnes, à savoir l’extra-brut et le rosé, sont également proposés. Les trois résultent d’un assemblage de la vendange de 2011 (près de 60 %) avec des vins de réserve, notamment ceux de 2009 et 2010. La fermentation malolactique est faite de manière traditionnelle. Comme le dit Monsieur Daviaux, « les techniques modernes ont amélioré le vin, mais certaines techniques traditionnelles reviennent beaucoup, car cela apporte un certain charme, une typicité ». Ces trois champagnes ne sont que le prélude de nombreux millésimes qui sont stockés dans la cave du domaine. ...