Sous le charme authentique au décor intimiste et raffiné d’un établissement 5 étoiles, le lieu séduit par son ambiance méditerranéenne, enveloppée d’un léger romantisme. L’établissement saisit l’occasion du printemps pour ouvrir son patio florentin et laisser apparaitre une charmante fontaine surplombée d’une façade en trompe-l’œil, afin de permettre aux clients de vivre une exceptionnelle Dolce Vita. Une cuisine de haute tenue Créatif et talentueux, le chef Ugo Gastaldi se plait à composer de belles assiettes où le meilleur des saveurs italiennes se dévoile au grand plaisir des gourmets et des gourmands. Des atouts incomparables qui lui valent de proposer une carte aux charmes méditerranéens au sein du restaurant l’Assaggio et de faire du Castille une référence parisienne. Découvrez une carte variée qui change au gré des saisons avec un très large choix de vins d’Italie qui permettent de belles associations. ...
Le Clos du Marbrier s’étend sur une superficie de 5,5 ha. Il est implanté sur le site de l’ancien atelier du marbrier, lequel est devenu actuellement le chai de vinification, où s’élaborent les vins AOC Minervois de la maison. Un terroir aux mille facettes Le vignoble est réparti entre différents types de terroirs. Les principaux composants des sols sont le grès, le calcaire et les schistes. Grâce à cette variété, Irène Prioton se fait le plaisir de cultiver plusieurs cépages, dont certains sont rares et anciens comme l’aramon, un cépage du Languedoc presque oublié. Dans une volonté de préserver la biodiversité de sa terre, elle mène une viticulture biologique. Un effort indispensable si l'on veut laisser s'exprimer le terroir à travers des vins fins et authentiques. Avoir un bon tour de main, le secret du bon vin Notre vigneronne a une façon bien particulière de travailler ses crus. « Je fais beaucoup de choses à la main. » C’est ainsi qu’elle explique son idée de décliner ses cuvées sur le thème de la « main ». Parmi les plus connues figure la cuvée « À Pleine Main », qui trouve son originalité dans la générosité de ses arômes. D’autres cuvées comme la « Haute Main » sont reconnues pour leur complexité et ont même été dignement récompensées dans les concours. ...
Si vous passez par le 7e arrondissement de Paris, cette adresse est une halte obligatoire. Avec sa petite terrasse extérieure, le restaurant T’U offre une vue sur le Grand Palais de l’autre côté de la Seine. Idéal pour savourer la salade King Crab, spécialité de la maison, ou siroter tranquillement un royal thaï tea avec des amis. À l’intérieur, on baigne dans un décor luxueux signé Pierre-Yves Rochon. Les lumières tamisées mettent joliment en valeur les matières nobles, conférant au lieu un cachet intimiste et sophistiqué. Des produits de premier choix et du fait-maison Le chef Khoï Vu propose une gastronomie d’inspiration franco-thaïlandaise. Il concocte une cuisine authentique, entièrement faite maison, élaborée avec les produits du marché et qui varie selon les saisons. Ici, le bonheur a un nom : brochettes de poulet sauce satay, tataki de thon « Albacore », tigre qui pleure ou cabillaud au galanga et feuille de lime. Et la carte n’a pas fini de surprendre. L’on cite les incontournables dimsum, raviolis et nems maison. Mais aussi le wok de bœuf au basilic ou encore le poulet fermier au curry vert, bambou et basilic thaï pour une explosion de saveurs en bouche. Sans oublier les douceurs sucrées comme la crème glacée au gingembre confit ou la tarte fine aux figues rôties. La consommation de thé étant un art de vivre en Thailande, le restaurant emmène également à la découverte des thés du pays. Thé bleu turquoise aux arômes floraux de lys et d’orchidée, thé vert de Chine aux fleurs de jasmin ou thé noir Yunnan impérial sont proposés par la maison. Une nouvelle carte À chaque saison, la carte se renouvelle. En guise d’entrée, les clients choisiront entre la soupe de crevettes à la citronnelle, un assortiment de dim sum et de raviolis (6 pièces) et un tartare de saumon aux herbes thaï. Côté plats, le chef invite à déguster les fameux calamars sautés, le Phad Thai Gai et le Black Cod accompagné de sa salade de wakamé. Si le choix est encore difficile, pourquoi ne pas se laisser séduire par une assiette dégustation à 26 € ? Bon à savoir : le chef choisit uniquement des viandes d’origine française ou issue de l’Union européenne, et des poissons sauvages ou labellisés « AB ». Pour finir en apothéose, les mini-nems de choco ou les glaces aux fruits de saison feront leur petit effet chez les gourmets. ...
Ils ont une spécialité : la cuisson à la broche de pièces choisies de viande charolaise. Le couple se déplace au domicile de ses clients ou sur n’importe quel site dans les départements de la Loire (42) et de la Côte-d'Or (21), notamment pour offrir la saveur unique des morceaux ainsi cuisinés, mais également une variété de créations colorées. Fêtes familiales, événements d’entreprises ou d’associations deviennent alors des instants conviviaux autour de saveurs singulières et fraîches. Une cuisine festive, aux couleurs des envies Si le couple sert surtout des spécialités françaises, Françoise Ostler souligne que les offres de son entreprise se veulent être à l’image des événements pour lesquels on les sollicite. Variés et éclectiques, les arrangements de saveurs déployés pour chaque occasion couvrent donc diverses gammes. L’on peut très bien se faire servir de la tartiflette ou du jambalaya selon les envies de l’instant. « On est dans une cuisine gourmande […] une cuisine de saveurs », résume notre interlocutrice. Au milieu de ces riches options savoureuses, la prestation de ce couple dont les services couvrent également l’Ain (01) et le Rhône (69) se singularise avec l’option cuisson à la broche. Agneau, porc, cuisseau de veau, cuisse de bœuf et de nombreux autres morceaux choisis du Charolais expriment ainsi leur note persillée distinctive en cuisant doucement au feu de bois. Dans cette gamme de prestation, l’enseigne peut servir jusqu’à 800 convives. Chiffre limité à 300 pour des repas plus classiques, par souci de qualité. Artisans pour particuliers et professionnels Les services offerts par Or Traiteur se diversifient au gré des demandes qui lui sont faites. Repas de mariage, apéritifs ou cocktails déjeunatoires, buffets sont organisés à la hauteur du budget du client. Sinon l’équipe de la maison s’adapte aux attentes de celui-ci, faisant appel, s’il le faut, à une main-d’œuvre extra. Simples ou plus élaborés, les repas commandés bénéficient de la même garantie de qualité, et ce, pour des interventions couvrant des rayons jusqu’à 100 km. ...
À Bazas, tout est réuni pour passer de bons moments : sa magnifique cathédrale (classée au patrimoine mondial de l’UNESCO), sa viande de bœuf, ses fêtes, ses marchés animés… Et au milieu de tout cela, le long de la place et près de l’hôtel de ville, le restaurant Les Remparts accueille les touristes de passage ou les locaux. Un établissement aussi charmant que chaleureux, qui a su imposer son nom dans le milieu gastronomique au fil des années. Aujourd’hui, sa réputation n’est plus à faire et le chef Yannick Fauriès a plus d’un tour dans son sac pour préserver cette image et cette qualité d’accueil. Une cuisine gourmande Dès l’entrée, la salle dégage une certaine douceur qui met les convives à l’aise. Le mobilier et la décoration mêlent avec goût le contemporain et l’ancien. La table a été soigneusement dressée et démontre ce côté chic de l’établissement. Mais le restaurant n’a pas fini de surprendre… De l’autre côté, la magnifique terrasse séduit et attire instinctivement toute l’attention. Durant les beaux jours, c’est l’endroit idéal pour déguster les plats succulents de Yannick Fauriès, tout en contemplant la beauté de Bazas. En effet, la terrasse offre une vue imprenable sur la vallée, le jardin du Sultan et la fameuse cathédrale Saint-Jean-Baptiste. Un spectacle pour le plaisir des yeux, qui finit par faire croire que ces paysages ont été conçus spécifiquement pour les convives du restaurant. Une découverte culinaire pour continuer Côté cuisine, le restaurant Les Remparts est tout à fait à la hauteur de sa réputation. Au sommet de sa maturité, le chef Yannick Fauriès propose une cuisine proche du terroir mêlée à une touche contemporaine. Ainsi, avec ses plats à base de produits frais et d’herbes sauvages, il transporte ses convives vers la découverte de nouveaux horizons culinaires. Chaque plat témoigne de sa parfaite maitrise des saveurs, tout en mettant à l’honneur les produits (bio autant que possible). Pour Yannick Fauriès, « un bon plat doit procurer des plaisirs gustatifs, ludiques et esthétiques ». Un principe qu’il suit à la lettre et qu’on peut vérifier avec ses réalisations telles que le velouté d’herbes au maki de Saint-Jacques truffé, la brandade de morue douce aux escargots et beurre vert sauvage, le quasi veau rôti au foin et légumes au jus, la truffe palombe rôtie… La carte est renouvelée au gré des saisons. Certes, elle est courte mais propose des plats variés : deux entrées, deux plats et deux desserts. Le menu, quant à lui, change plus régulièrement et affiche toujours les produits phares du chef comme le bœuf de Bazas, les fraises ou encore les asperges. Et des douceurs pour terminer Qui dit bonne table dit bon vin ! Et des vins, le restaurant en possède de très bonne qualité dans sa collection. En effet, sa carte représente les meilleurs vignobles de France avec pas moins de 70 références. Parmi les plus prisés, on retrouve le margaux (vin rouge du Château Giscours), le sauternes (vin blanc liquoreux du Château Guiraud) ou encore le pessac-léognan (vin blanc sec du Clos Marsalette). La carte est régulièrement mise à jour en fonction des découvertes et des coups de cœur du propriétaire. ...
Animés par le désir de proposer une viande de premier choix pour satisfaire la demande croissante du marché français en viande ovine, les 1 000 membres de l’association d’éleveurs GIE Ovins du Limousin se sont rassemblés pour défendre un bien commun par une démarche qualité. L’obtention de l’IGP leur a permis d’assurer l’excellence de l’agneau Baronet, déjà très avantagé par le terroir sur lequel il évolue. Sa végétation, ses prairies, ses herbes, son climat, sa pluviométrie, sa géologie et son altitude font effectivement du Limousin un endroit idéal pour élever les moutons. « Il est voué à nourrir les animaux », affirme Didier Briantais, directeur du GIE Ovins du Limousin. Au-delà, les éleveurs doivent respecter les critères du cahier des charges pour fournir une viande conforme : lait maternel pendant au moins 60 jours, traçabilité, alimentation au foin et à l’herbe en période hivernale, avec éventuellement un complément de céréales et de fourrage… Un produit d’exception pour des repas gourmands « Grâce aux propriétés spécifiques du terroir et à la rigueur des méthodes d’élevage employées, les viandes offrent une chair tendre, délicatement parfumée, avec un taux de gras idéal », souligne Didier Briantais. Elles sont aussi facile à cuisiner : des chefs de renom tels qu’Alain Longeval ou Emmanuel Ardillon prônent d’ailleurs la marque en créant des recettes. Un véritable ravissement pour les papilles qu’offrent, par exemple, la « Selle d’agneau du Limousin et pommes dauphine » ou la « Roulade de poitrine d’agneau du Limousin farcie ». ...
La passion des vins a donné naissance au restaurant gastronomique le Burgundy Lounge, un écrin exclusivement consacré aux terroirs de Bourgogne (et à quelques appellations de champagne). Alliant cadre cosy, service dévoué et cuisine gastronomique, il mérite amplement le détour. Honneur aux vins de Bourgogne D’un premier coup d’œil, on remarque les quelque 280 bouteilles maintenues en apesanteur, exhibées comme des médailles derrière une grande paroi vitrée. C’est la pièce maitresse de la maison Burgundy Lounge. Les matériaux décoratifs bruts comme le bois rappellent l’univers du vin. On note le style à la française des plafonds avec ses poutres apparentes et les murs aux pierres nues qui rappellent l’univers de la cave. Cette cave justement, le Burgundy Lounge la promeut avec fierté. Elle est joliment fournie grâce au lien que l’établissement s’est construit avec les domaines qu’il suggère à la carte. Plus de 9 000 bouteilles en 800 références et 80 domaines font la renommée du restaurant. Les flacons proposés sont issus des vignobles du Chablis, de la Côte de Beaune et de la Côte de Nuits (et à quelques appellations de champagne). La première étape du voyage auquel vous êtes convié est la sélection du vin. Que vous soyez amateur averti ou simplement curieux, les conseils du chef sommelier Jean-Sébastien Jurin et de son équipe vous seront d’une grande utilité dans la découverte des meilleurs accords. Une harmonie entre mets et vins Quatre espaces aux ambiances distinctes attendent les convives : autour de la table de dégustation, proche de la cuisine, sur des chauffeuses basses dans la mezzanine, ou dans la bibliothèque face à la cave. La sérénité et l’intimité y règnent, avec une lumière tamisée et une disposition de tables confortables offrant des espaces personnels de taille très raisonnable. Dans l’enchantement de ce décor chaleureux, vous gouterez à une cuisine gastronomique, finement sculptée des mains de maitre. Le chef Axel Ruga détient le titre de maitre restaurateur et promet de satisfaire vos papilles en proposant des plats de haute tenue et pleins de saveurs. L’évolution de la carte du Burgundy Lounge suit la saisonnalité des produits et les inspirations de son chef. En parlant d’inspiration, on peut dire que ce dernier en a. Sa technicité et sa personnalité héritées d’une famille de trois générations de restaurateurs se lisent dans ses plats. Sa cuisine est entièrement faite maison, en accord harmonieux avec les vins de Bourgogne. Le chef est alors très exigeant sur la qualité des matières premières et il a noué des relations de confiance avec ses fournisseurs pour ne proposer que des produits de grande fraicheur. Du jambon blanc à la truffe aux Saint-Jacques bretonnes snackées, écrasé de pommes de terre au beurre d’algues, œuf de tobico au wasabi : vos papilles se délecteront ! ...
Ce qui donne ce goût de craie à l’appellation Saumure-Champigny ? Ce sont ses tuffeaux, des formations géologiques de couleur blanche ou jaunâtre contenant quelques paillettes de mica blanc. Sur cette partie de la vallée de la Loire, se blottit Turquant où caves et grottes sont si nombreuses qu’on y compterait le plus grand nombre en France. C’est aussi ici que depuis trois générations, Denis Retiveau cultive son raisin pour produire six cuvées différentes ainsi que sa passion immodérée pour la navigation. Entre Turquant et Montsoreau, 10 km à l’Est de Saumur sur les bords de la Loire, il possède le domaine des Champs-fleuris. Un terroir viticole qui au milieu d’un climat océanique produit près de 200 000 bouteilles par an. Passionné depuis l’enfance par la viticulture, il reprend le domaine familial en 1995 après un brevet technique agricole en viticulture et œnologie. Des vignes qui s’étalent sur 29 hectares et où le vin rouge a pour spécificité sa densité, son côté charnu et élégant. Des vignes de 40 ans d’âge pour un saumur d’exception Avec 6 cuvées différentes, le domaine des Champs-Fleuris produit différents vins en mélangeant moderne et tradition. Les cépages alternent entre Cabernet franc (96%) et Cabernet-Sauvignon (4%) pour les rouges et on y retrouve les appellations Coteaux de Saumur, Crémant de Loire, Saumur Blanc et Saumur Champigny ainsi que du Saumur Rosé. Les vendanges y sont faites mécaniquement avec le tri embarqué et tapis élévateur dans le respect du raisin. Le vin fraîchement pressé est conservé dans de l’inox régulé et des fûts de chêne. Dans ces fûts, les vins sont conservés au moins un an. Une sensibilité particulière pour ce fruit produit sur des plants dont certains ont plus de 70 ans d’âge. Le terroir lui est certifié haute valeur environnementale. Le vignoble s’applique ainsi à utiliser des traitements conventionnels pour une culture raisonnée. Ainsi en 2021, sur 10 traitements, 8 ont été effectués en « bio ». Les grains profitent ainsi du climat océanique et produisent des vins légers et fruités. On y retrouve aussi des grands vins de garde, quand les raisins sont plus riches en sucre et que la macération est plus longue. ...
Difficile de ne pas succomber au charme de ce restaurant de Roquebrune-sur-Argens, dans le Var. Que ce soit à l’intérieur de la salle à l’ambiance conviviale ou dans la cour ombragée sous les orangers, une cuisine traditionnelle aux saveurs de la région est servie avec le sourire. Emilie Giez assure l’accueil et le service pendant que son compagnon Vincent Truffet s’active derrière les fourneaux. Un duo complice qui célèbre leur amour pour les saveurs du Sud au travers d’innombrables suggestions culinaires généreuses et gourmandes. Une cuisine aux produits du terroir « Les Jardins de l’Orangeraie » proposent une cuisine traditionnelle, à laquelle le Chef Vincent Truffet apporte une petite touche de modernité. Les suggestions à la carte exaltent la fraîcheur des produits de saison livrés tous les jours par un maraicher. Cette carte courte se compose de quatre entrées, cinq plats dont deux viandes et trois poissons et quatre desserts. La maison suggère également un « Menu Découverte » à 30 euros à côté des formules du midi. Le potager aromatique qui parfume la cour intérieure du restaurant fournit thym, basilic, romarin, menthe et autres herbes qui viendront rehausser le goût et les arômes de chaque plat. Côté cuisson, Vincent Truffet affectionne particulièrement celle à basse température, une technique qu’il utilise notamment pour la préparation de la souris d’agneau qui confit pendant près de 12 heures. Fort de son succès, ce plat redemandé très régulièrement par la clientèle est souvent présente à la carte. Autre spécialité : l’aïoli, une recette provençale que le chef revisite tous les vendredis à sa manière. Un rendez-vous gourmand à ne pas manquer sous aucun prétexte. La carte des vins « Les Jardins de l’Orangeraie » présentent une carte de vins très sélective. Cela inclut les producteurs de la commune de Roquebrune-sur-Argens. Les propriétaires de l’établissement aiment aller à la rencontre des viticulteurs pour connaître leur méthode de travail, ils ont alors une préférence pour les vins bio. Selon Emilie Giez : « Les démarches de productions et l’origine des vins doivent coïncider avec l’esprit du restaurant. » Un cadre calme et romantique La pièce maitresse des Jardins de l’Orangeraie est incontestablement sa cour intérieure. A l’abri des regards et des agitations des bords de mer, elle se présente comme un véritable havre de paix. Les tables en fer forgé accueillent les diners romantiques dans une ambiance raffinée, calme et sereine. En soirée, les luminaires extérieurs ingénieusement agencés accentuent ce côté romantique. Pour plus d’intimité ou de chaleur, la salle reste l’idéal. A côté de ses voutes et ses pierres apparentes s’affiche une décoration simple et épurée qui coïncide avec le thème de la gastronomie. La salle est agrémentée par des tons chauds tels que le marron chocolat et l’orange dénotant douceur et élégance. ...
La crêpe bretonne ne cesse de faire des émules dans l’Hexagone. Faite à base de froment ou de sarrasin, appelé aussi « blé noir », elle doit son succès à son côté gourmand et convivial. Aujourd’hui, les crêperies ne manquent pas d’imagination pour varier les accompagnements de leurs crêpes, qu’elles soient salées ou sucrées. À Chalon-sur-Saône, la crêperie la plus appétissante est certainement Au Bonheur Breton. Crêpes et galettes bretonnes La différence entre crêpe et galette suscite parfois des ambiguïtés chez la plupart des gourmands mais cela n’enlève en rien leurs saveurs exquises. Si certains évoquent une simple différence de sources étymologiques, d’autres parlent d’une différence d’ingrédients. Au Bonheur Breton, on adhère à cette deuxième hypothèse. La crêpe contient de la farine de froment, des œufs, du lait et du sucre. Il est d’usage de la manger en dessert, mais elle est parfois accompagnée de garnitures salées. La galette est en revanche faite de farine de sarrasin (sans gluten), d’eau et de sel. Elle accompagne généralement des plats salés, mais peut quelquefois se déguster sucrée. Comme il est de coutume dans les crêperies traditionnelles, la galette complète doit figurer tous les jours à la carte du Bonheur Breton. À la demande des clients, la galette chèvre frais avec sa fondue de poireaux et un concassé de noix ainsi que sa confiture de figue ou sa gelée de cidre y figure aussi régulièrement. Le chef se réserve donc la galette du moment pour mettre à l’épreuve sa créativité. Il le fait à la noix de Saint-Jacques, au pastis et au poivre de cassis. Toutes les galettes sont accompagnées de salades et il est possible d’obtenir des suppléments d’ingrédients. Pour se désaltérer, la maison suggère des apéritifs et vins, mais c’est le cidre fermier du domaine La Charloise qui fera l’unanimité autour des tables. Il est disponible en bouteille ou en bolée comme le veut la tradition bretonne. Un état d’esprit, une éthique La crêperie Au Bonheur Breton s’est donné pour mission de servir des produits bio. Une initiative qui favorise une agriculture saine et une façon de manger tout ce qu’il y a de vrai à Chalon-sur-Saône. La maison privilégie le circuit court en travaillant avec des artisans locaux. Ces derniers l’approvisionnent alors en cidre, farine, œufs, charcuterie, confiture et autres produits. Les relations du chef Jean-Jacques Rocheteau avec ses fournisseurs se sont construites au fil des rencontres ou par l’intermédiaire de connaissances ou même des clients. Un restaurant ouvert aux artistes Au moment de l’acquisition de la crêperie par Jean-Jacques Rocheteau, la décoration était toute neuve. Il a donc décidé de ne rien changer et de garder cette ambiance chic et cosy. La salle offre un cadre agréable et la cuisine ouverte permet de suivre le chef dans ses préparations de galettes et de crêpes. Pour donner du piment à cette atmosphère et surtout faire découvrir les délicieuses crêpes du Bonheur Breton, des expositions et vernissages sont fréquemment organisés. La maison favorise principalement les artistes locaux (peintres, photographes, céramistes ou sculpteurs). Le temps d’une soirée, Jean-Jacques Rocheteau réunit au mois d’octobre tous les artistes qui ont exposé dans sa crêperie durant l’année. ...
Isolée au beau milieu de la forêt domaniale de Mormal, le plus grand massif forestier du Nord, l’Auberge du Croisil offre une cuisine traditionnelle, avec des spécialités régionales. Dans ce sens, l’établissement met en avant les gibiers dès que la saison le lui permet. Le Croisil détient deux titres prestigieux : Qualité tourisme et Artisan en’or. Ce sont les gages d’un service de qualité en matière d’accueil, de savoir-faire, d’hygiène et de confort, et d’une cuisine fait-maison, avec des produits provenant du Nord-Pas de Calais. Une véritable destination touristique Le temps semble s’être arrêté dans ce petit manoir traditionnel de la forêt de Mormal. On y ressent l’âme d’une auberge d’antan, avec une décoration simple et sans superflu. Le ton naturel du bois prédomine la salle, des chaises au bar et même au niveau des murs. Tout cela fournit chaleur et confort au restaurant. Toutefois, certains seront plus à l’aise sur la terrasse ombragée, si le temps n’est pas trop capricieux. Le plaisir de la pureté de l’air et des chants d’oiseaux leur fera oublier les agitations et chahuts de la ville. Bref, c’est un lieu convivial pour se retrouver en famille et savourer la cuisine régionale. Ce lieu se complète efficacement avec les sites touristiques aux alentours. Le plus près est le parc naturel régional de l’Avesnois avec ses arbres têtards, cours d’eau, ruisseaux, vergers en fleurs et rivières sinueuses. Tout un patrimoine qui lui vaut sa place parmi les 48 parcs naturels régionaux de France. L’ancien Jardin de Roseraie, appelé aujourd’hui Zoo de Maubeuge expose plus d’une cinquantaine d’espèces différentes qui attireront petits et grands. Pour les plus curieux, il existe un site archéologique de 2,5 hectares à Bavay dédié à la découverte de la cité antique de Bagacum. Le village de Maroilles qui fournit le fromage du même nom, fièrement présenté à la carte de l’Auberge du Croisil, est également un site touristique et historique à part entière. Une cuisine traditionnelle régionale L’équipe de l’Auberge du Croisil, dirigée par Edgar et Nathalie, accueille les convives avec une gentillesse caractéristique à la campagne. La carte du restaurant propose un peu de tout, mais elle met en valeur les produits du terroir. Le fromage Maroilles y est le meilleur ambassadeur de l’Avesnois, avec la flamiche au Maroilles et le filet de truite saumonée sauce crème Maroilles en entrée chaude. En outre, les gens y viennent pour le cassoulet ou encore la terrine du chef. La maison est reconnue depuis près d’un an en tant qu’ « Artisan en’or » pour sa cuisine fait maison. C’est également la marque du savoir-faire culinaire dans le Nord-Pas de Calais, la maison étant spécialisée dans les gibiers. Effectivement, du mois d’octobre jusqu’en mars, le Croisil suggère à leur carte des terrines de gibier fait-maison, de la fricassée d’abats de gibier à l’Affligem ou encore un mijoté de biche à la forestière. Des saveurs à remonter avec du vin, issu des 82 références inscrites à la carte. Une salle de réception pour différents évènements La salle de l’Auberge du Croisil est apte à recevoir jusqu’à 80 personnes en formule assise pour divers évènements familiaux, ceux qui veulent un mariage champêtre ne seront pas déçus. Cela n’exclut pas les repas d’entreprises et autres évènements professionnels et privés. La terrasse reste également à disposition selon les besoins. Il est toutefois à noter que ce service est indissociable avec les spécialités régionales en cuisine. Une proposition qui n’est pas du tout déplaisante lorsqu’on voit les 4 choix de menu en semaine et 4 en weekend. ...
C’est en 1977 que l’aventure viticole de la famille Fayard commence par l’acquisition du domaine par Jean Pierre et Brigitte. La reconnaissance dans le monde du vin arrive dès le début des années 80. Le domaine commence sa conversion au bio en 2003 et obtient la certification « écocert » pour la totalité de ses vins en 2009. Depuis le millésime 2015, l’ensemble de notre production est inscrite à la Vegan society, car l’absence d’intrants d’origine animale convient à la communauté végétalienne et végétarienne. Le vignoble Situé sur le littoral Varois, le domaine du Château Sainte-Marguerite jouit d’un terroir typique de l’appellation Côtes-de-Provence avec un sol argilo-schisteux qui s’étend à l’île de Porquerolles, la ville de La Crau, la ville de Bormes-les-Mimosas et La Londe Les Maures. Les cépages utilisés sur les parcelles sont le Cinsault, la Grenache et la Syrah pour le Rosé. Les deux derniers cépages sont également utilisés pour le Rouge avec le Cabernet-Sauvignon et le Mourvèdre. Pour le blanc, le principal cépage st le rolle. Près de 550 000 flacons sont en moyenne issus de ces vignes dont 65% de Rosé, 20% de Rouge et 15% de Blanc. La désignation géographique complémentaire « Côtes-de-Provence La Londe » a été reconnue depuis 2008. La cave Grâce à la transmission de la passion et des secrets familiaux depuis des générations, la famille Fayard combine connaissance des traditions et techniques modernes. L’attention portée au terroir et à la vigne reste importante toute l’année avec un travail régulier du sol et une adaptation aux facteurs naturels. Le domaine investit donc dans les moyens techniques tels que les machines à vendanger avec tri embarqué et se dote d’une équipe de 40 vendangeurs. Ce sont les garanties d’une vendange à « top maturité ». Le pressurage direct avec le pressoir pneumatique permet d’éviter le déchirement de la peau ou « rebèche ». Les tiges qui tiennent les grappes sont retirées pour ne pas donner un côté herbacé au jus. Le vin rouge et blanc sont élevés en fut entre 12 et 24 mois suivant les besoins. Le Château Sainte-Marguerite est reconnu Cru Classé Côte-de-Provence depuis 1955. La cuvée Symphonie en est le navire amiral. Une symphonie de saveurs qui, en Blanc, s’habille d’une robe limpide et brillante à reflets or. Ce vin possède un nez fin et complexe, des senteurs d’agrumes, vanille et miel avec des notes grillées. Enfin, une bouche aromatique, riche et persistante glisse vers une finale délicatement miellée. Le palmarès Les deux Châteaux de la famille Fayard, Sainte-Marguerite et Saint-Martin, produit des cuvées de qualité. La Symphonie Rouge du Château Sainte-Marguerite a été médaillée d’argent au Concours Général Agricole de Paris. Pour l’Hermitage Saint-Martin, la cuvée Ikon a été récompensée par le Wine enthusiast avec une note de 93/100 pour le Rouge et 90 pour le Blanc et le Rosé. La Grande Cuvée Enzo en Rosé a aussi brillé lors de la foire de Brignoles. Le grand prix d’ensemble nous a aussi été décerné pour avoir été primé sur 5 vins dans les 3 couleurs au Concours des vins de la Méditerranée. Accessibilité La famille Fayard participe fréquemment à différents salons régionaux, nationaux et internationaux tels que la présentation des millésimes des Côtes-de-Provence à Mandelieu, le salon des clubs des professionnels du vin à l’hôtel Negresco de Nice ou encore Vinisud et Vinexpo. Par ailleurs, elle reçoit quotidiennement au domaine pour une dégustation des vins. Vous pourrez également retrouver ses vins chez de nombreux restaurateurs ainsi qu’un réseau de cavistes répartis sur toute la France. A l'international, la marque est présente dans une trentaine de pays dans le monde. ...
Tout l’espace intérieur du Trianon Palace Versailles a été imaginé en 2008 par l’architecte d’intérieur Fiona Thompson. Elle a apporté à ce cadre majestueux un style contemporain élégant et délicatement coloré, pour vous baigner dans une atmosphère immaculée et intime. Côté cuisine, Frédéric Larquemin a rejoint en novembre 2016 le Trianon Palace Versailles, après s’être formé à l’Ecole Ferrandi et avoir travaillé auprès d’Alain Ducasse et de Gordon Ramsay. Le restaurant étoilé au Guide Michelin « Gordon Ramsay au Trianon » Une verrière pour de la lumière naturelle, des nappes blanches, du cuir capitonné, en un mot un lieu confortable et agréable pour se restaurer. Ici, le chef confectionne une cuisine contemporaine inventive, tout en revisitant les grands classiques de la gastronomie française et en s’inspirant de ses expériences internationales. Il aime travailler les produits de saison achetés au marché ou aux producteurs locaux. A la carte, vous pourrez par exemple découvrir le pressé de foie gras et canard fumé, pommes vertes, cresson et gelée au madère ou le turbot de ligne français braisé, radis, câpres, coques et sauce au Champagne. En dessert, vous pourrez vous régaler, entre autres, avec la Pomme rôtie au caramel demi-sel et fruits de la passion, une réinterprétation de la célèbre tarte Tatin imaginée par le Chef Pâtissier Eddie Benghanem. Pour profiter pleinement de ce lieu, pourquoi ne pas réserver la table du chef, un espace pour 6 personnes qui surplombe la cuisine et d’où vous pourrez admirer le travail de toute la brigade. La Véranda by Gordon Ramsay, la brasserie de luxe du Trianon A la Véranda by Gordon Ramsay, le chef propose une cuisine continentale contemporaine tous les jours le midi comme le soir. Vous pouvez aussi profiter de ce lieu pour un petit-déjeuner buffet. Le Bar Galerie Le Bar Galerie est l’endroit idéal pour profiter d’un savoureux tea-time, servi tous les après-midi. Découvrez tous les week-ends le très apprécié chariot de pâtisseries pour accompagner avec délice votre boisson chaude préférée. ...
À quelque mètres du pont Neuf de Montauban, L’Estanquet reçoit ses convives dans un climat simple et convivial. Cet établissement est connu pour son décor assez vintage et sa cuisine bistronomique. Avec des gestes millimétrés, le personnel du restaurant L’Estanquet veille au grain pour l’entière satisfaction des clients. Le travail d’équipe se fait ressentir jusque dans les assiettes. Un décor très recherché On croirait faire un voyage dans le temps ; pourtant, L’Estanquet n’est pas un antiquaire, mais est bel et bien un restaurant. Une ambiance chaleureuse de bistro se dégage de ce décor peu commun. Les meubles trouvent toute leur splendeur dans la diversité et les boites et objets anciens sur les étagères ne font qu’accentuer cette allure de vieux bistro. Sur les murs sont exhibées des publicités d’un autre âge, qui font plonger les clients dans une nostalgie du bon vieux temps. Le maitre des lieux, c’est la grande cheminée qui domine la salle. Celle-ci offre non seulement de la chaleur aux clients, mais également la garantie d’une cuisine de haute qualité qui respecte les produits. Effectivement, la maison y fait griller les pièces de viande pour les imprégner du gout particulier de la cuisson au feu de bois. Un esprit bistro dans les assiettes Le restaurant L’Estanquet propose une cuisine traditionnelle, typiquement française, pimentée par une touche d’originalité. Les ingrédients sont de qualité supérieure, les plus belles pièces sont sélectionnées dès l’achat. Les patrons et son équipe travaillent les produits frais du terroir sur place, chaque jour. En outre, tout est fait maison. Ce qui a valu au chef le titre de « Maitre restaurateur ». La carte du restaurant s’oriente par rapport aux saisons et aux inspirations en cuisine. Les plats qui font la notoriété de L’Estanquet sont nombreux. Quoi de plus simple qu’un os à moelle accompagné de pain grillé ? La maison propose du pied de cochon, de l’andouillette, du ris de veau, du cassoulet et d’autres plats tout aussi représentatifs de la cuisine française les uns que les autres. La gaufre caramel beurre salé servie en dessert est un pur délice, sans parler des profiteroles. Les gourmands et gourmets en redemanderont. Montauban : une ville d’Histoire et de culture Grâce à son histoire, la ville est riche en patrimoine, notamment en matière d’architecture. Elle est appelée « la plus rose des villes roses », car la brique y est omniprésente. L’époque médiévale a laissé quelques héritages, comme le pont Vieux ou l’église Saint-Jacques avec son beau clocher octogonal. Ce patrimoine architectural est aujourd’hui valorisé grâce aux restaurants qui investissent les bâtiments anciens dans les rues de Montauban. Trois musées sont ouverts au public dans la ville : le musée Ingres, installé dans l’ancien hôtel de ville ; le musée d’Histoire naturelle ; et le musée de la Résistance et du Combattant, qui abrite l’histoire du Tarn-et-Garonne pendant la Seconde Guerre mondiale. Et ce n’est pas tout ! Les férus d’activités culturelles seront intéressés par le théâtre Olympe de Gouges, l’école municipale de dessin, où l’on découvre et approfondit le dessin et la peinture, ou encore l’espace Bourdelle sculpture, qui propose des ateliers et des conférences autour de cet art. ...
Établi sur un sol argilo-calcaire, le vignoble s’étend sur un peu plus de huit hectares. Ce sol a la particularité de souligner l’acidité naturelle des champagnes et leur permet d’exprimer une belle fraîcheur. « Nous, notre spécialité, c’est le naturel », décrit modestement Jean-Marc Lignier, le gérant du domaine. Le vignoble accueille les trois cépages traditionnels champenois : pinot noir à 70 %, chardonnay à 25 % et 5 % de meunier. Un engagement envers l’environnement Jean-Marc Lignier s’investit corps et âme dans son métier, comme en témoigne sa maîtrise totale des étapes de l’élaboration depuis la préparation du sol. Et ici, la qualité qui s’exprime si bien dans les champagnes est le résultat d’une démarche strictement régie par un cahier des charges, combiné avec un savoir-faire traditionnel. Certifié « haute valeur environnementale niveau 3 », le domaine travaille dans un respect quasi sacré de l’environnement. Un organisme certificateur réalise le relevé des indicateurs de résultats pour les comparer au degré exigé par le cahier des charges. « Notre manière à nous de préserver la biodiversité, c’est de respecter le sol dans la façon de le travailler et dans la manière de raisonner l’utilisation des produits phytosanitaires, tout en observant un calendrier bien précis », explique-t-il fièrement. Une initiative qui n’altère pas la méthode champenoise classique de l’élaboration de champagne, à savoir la vendange manuelle, le pressoir traditionnel, suivi d’une vinification en chais et deux fermentations, comme le veut la tradition. Du champagne brut zéro au champagne doux La gamme de champagnes Lignier-Moreau compte actuellement une dizaine de produits haut de gamme, dont du brut, du demi-sec, du blanc et du rosé. Une belle sélection pour parfaire les accords mets-champagnes en toutes occasions festives. Le champagne blanc de blancs est un produit élaboré uniquement avec du chardonnay. Sa robe d’un jaune or translucide suggère un nez très marqué par une senteur de fruits blancs agrémentée d’une touche florale. Il se distingue par une attaque bien soutenue, suivie d’une complexité aromatique en bouche, relevée par des notes d’agrumes, de zeste de pamplemousse et de citron. Idéal pour être servi en apéritif et en accompagnement avec des fruits de mer. L’on s’intéresse aussi au champagne ½ brut rosé, un assemblage prestigieux de pinot noir et de chardonnay. Des bulles fines pétillantes se joignent à l’élégante robe rose cuivré. Au nez, il dégage un arôme bien intense de fruits rouges mûrs en faisant un petit rappel à celui des oranges et mandarines. Un tourbillon de fraîcheur et de saveurs de fruits à noyau s’enchaîne après une attaque ronde en bouche, pour finir sur une belle persistance. Ces deux produits sont notés respectivement à 90 et 85 sur 100 par le select magazine Flavours From France. ...
La célébration des 2 600 ans de Marseille aura été pour lui une très belle occasion de faire la promotion de cette marque de chocolat d’exception qui bouscule tous les codes en se payant le culot de porter avec audace un symbole de reconnaissance universel : le rameau d’olivier. Francesco Martorana associe l’Espérantine de Marseille au singulier concept de « gourmandise raisonnée », un petit laisser-aller gourmand qui ne peut que faire du bien. Loin de la qualification classique de « péché mignon », qui laisse supposer que manger du chocolat est culpabilisant, surtout pour les femmes, l’Espérantine de Marseille est intimement liée au bon usage de la gourmandise, c’est-à-dire, un juste équilibre entre les textures et les saveurs, avec l’envie de partager. Des ingrédients de première qualité pour une gamme de chocolats de haut vol Grâce à une sélection des meilleurs cacaos grands crus issus des maisons comme Valrhona, qui dégagent des effluves gourmands mêlés à d’authentiques saveurs, d’incroyables assemblages se découvrent et se dévoilent pour faire grandir naturellement le plaisir d’en consommer. À partir de ces nobles matières premières, L’Espérantine de Marseille produit deux gammes de chocolat : Les Espérantines et Pulsion cacao. La première est issue du très fameux et exclusif chocolat à l’huile d’olive de Francesco Martorana. Les Espérantines se sont imposées avec brio dans le cercle très restreint des chocolats de prestige et ont obtenu le prix de Cordon Bleu de la meilleure Confiserie à Paris. Une distinction bien méritée au vu de l’implication dans la recherche et la créativité de son créateur, Francesco Martorana. La seconde a été regroupée sous la bannière Pulsion Cacao, une sélection de produits de première qualité qui nous apprend à apprécier le chocolat autrement. Bien plus qu’un simple réflexe gourmand, la pulsion n’obéit à aucune règle. Avec ses différentes variétés de chocolats, Francesco Martorana a su faire naître ces pulsions dans le bon sens, des pulsions d’autant plus légitimées par d’incroyables productions « fait maison », qui, en plus de titiller les papilles, nourrissent la créativité. À travers une incroyable palette d’ingrédients, où se retrouvent des fruits secs grillés caramélisés, des chocolats noir, lait ou blanc pur beurre de cacao, ce sont des saveurs précises et tranchées qui vous poussent à retrouver le vrai goût des traditions chocolatières. Les spécificités d’un chocolat artisanal Subtil mélange de chocolat et d’huile d’olive, l’Espérantine de Marseille est un emblème de libération pour les férus de chocolat, qui peuvent décomplexer leur envie de gourmandise. Avec le rameau d’olivier, qui apporte une dimension symbolique à la marque, l’Espérantine de Marseille est un chocolat exclusif de fabrication 100 % artisanale. Un réel savoir-faire et un méticuleux travail d’assemblage et de choix contribuent d’ailleurs à son succès, ponctué par le rameau d’olivier, un symbole qui rassure et qui démontre une autre façon d’être gourmand. ...
Pour trouver la maison de champagne Jean-Jacques Pessenet, il faut se rendre à Reuil, au sein de la vallée de la Marne et à proximité de la capitale du Champagne. Nous vous proposons d’en apprendre plus sur ce domaine pas comme les autres. Une exploitation familiale avec un seul objectif : créer d’excellents vins Pinot Meunier, Pinot Noir et Chardonnay : voici les 3 cépages champenois cultivés dans le domaine. Répartie en 55 parcelles sur 7 hectares, la culture se fait de façon raisonnée afin de préserver au maximum le fruit. Puis, les vendanges sont réalisées manuellement en respectant la typicité de chaque terroir. C’est cet amour de leur métier qui donne aux cuvées Jean-Jacques Pessenet leur formidable caractère. À ce titre, nous vous conseillons la cuvée Tradition ou la toute nouvelle Cuvée Nature. Idéal pour l’apéritif ou le dessert. ...
Nichée au cœur d’un petit village viticole situé dans la Vallée de la Marne, la Maison Taillet a fait bien du chemin depuis la commercialisation de ses premières bouteilles en 1961. Aujourd’hui géré par la quatrième génération, ce domaine familial s’affirme plus que jamais dans sa philosophie : celle de travailler les vignes dans le respect et en harmonie avec l’environnement. En marche vers l’agriculture biodynamique Le vignoble, essentiellement meunier, s’étend sur 5,75 hectares déployés sur six communes autour de Baslieux-sous-Châtillon. Ici, tout tourne autour de ce précieux cépage et le domaine en fait sa plus grande spécialité. Éric Taillet nous partage sa conviction : « Le meunier est un raisin exceptionnel : le plus expressif, le plus fruité, le plus sain, le plus savoureux et il vieillit merveilleusement bien. »Rien que pour cela, les vignes dont l’âge moyen est de 40 ans méritent des soins plus délicats, ciblés et naturels pour leur permettre de s’exprimer pleinement. Ainsi, le domaine a choisi d’adopter la viticulture raisonnée qui se concrétise notamment par un enherbement central des parcelles et l’utilisation d’un traitement phytosanitaire certifié bio. Mais pour ses vignes, le gérant est prêt à aller au-delà des normes et du protocole imposé, quitte à créer lui-même une méthode qui s’adapte le plus aux besoins de son vignoble. « Je suis un homme de terrain, je suis d’abord à l’écoute de mes vignes, je me dois de les comprendre et de les aimer avant d’obéir à un système.» Passionnément meunier Le champagne Bois de Binson Extra Brut, exclusivement 100 % meunier, est la plus sincère expression de ce cépage de prédilection, élaborée avec les plus vieilles vignes de la parcelle Bois de Binson. Au même titre que cette cuvée emblématique, on distingue la cuvée Sur le Grand Marais, issu d’un assemblage de 90 % meunier et 10 % chardonnay sur une parcelle en complantation. Elle surprend par son équilibre parfait entre finesse et intensité, relevé par un arôme subtil d’agrumes confits et de truffé. « Ce sont les deux signatures de la maison Taillet depuis 1900. » Toujours en monocépage meunier, Le Bansionensi, vieillissant minimum 36 mois, est une cuvée haut de gamme qui fait honneur au village Baslieux-sous-Châtillon. Son nez aux notes florales suggère une bouche fraîche, fine et gourmande. Enfin, la cuvée Exclusiv’t Brut en 100 % blanc de meunier, multivintage de plus de 5 ans, dévoile une symbiose parfaite de palette aromatique marquée par un arôme très fruité. Un choix par excellence pour accompagner les plus heureux moments de vie. Pour les années à venir, Éric Taillet promet toujours et encore plus de meunier en imaginant des nouvelles cuvées parcellaires. Elles seront l’achèvement d’un travail engagé dans le sens de la nature, mettant en exergue la complicité entre la vigne et les champagnes. ...
Situé à 15 min de Chinon, entre Tours et Poitiers, le Château du Rivau présente l’énorme avantage d’abriter une ferme où sont plantés et cueillis ses propres légumes, ce qui lui permet une totale maitrise de leur provenance et une parfaite garantie de fraicheur. Une cuisine simple et gourmande Dans sa démarche constante de développement durable ancrée sur l’environnement, l’économie, le volet éthique et social, le Château du Rivau propose une cuisine simple préparée à base de produits frais du jardin. Derrière ses fourneaux, en cuisine, la chef Béatrice Allart déploie un impressionnant savoir-faire à travers une cuisine inventive et particulièrement saine, avec une option pour les végétariens, les végétaliens et aussi pour les intolérants au gluten. D’excellentes soupes artisanales Le Château est un établissement particulièrement réputé pour ses soupes artisanales, préparées à base des produits de la ferme du Rivau, notamment le velouté à la sucrine du Berry, une de ses soupes phares dont les habitués ne s’en lassent pas. Il s’agit d’une savoureuse soupe traditionnelle et artisanale préparée à base des produits de la ferme du Rivau, avec comme principal ingrédient la sucrine du Berry, une courge de variété autochtone, menacée de disparition et qui fait l’objet d’un plan de sauvegarde au sein du Conservatoire de la région Centre. Un salon de thé au cœur du château Tel un voyage dans le temps à l’époque de la royauté, le Château du Rivau dévoile une magnifique bâtisse à l’ambiance onirique et aux décors très contemporains, aménagée avec gout dans une belle association entre Histoire et modernité. Au milieu de ce décor, particulièrement en période de vacances scolaires, l’établissement ouvre les portes de son salon de thé, où il est possible de savourer de nombreuses variétés de thés et autres tisanes aromatisées, accompagnées de délicieux gâteaux faits maison, sans oublier des jus de fruits frais très désaltérants et du soda. Dégustation de vins Grâce à la généreuse contribution de quelques vignerons experts, une visite au Château du Rivau est l’occasion toute trouvée de déguster gratuitement d’excellents vins produits dans la région. La maison propose aussi des dégustations pour les individuels qui se déroulent d’avril à octobre et qui offrent deux formules possibles, à savoir les cépages de la Loire ou les 3 terroirs de Chinon (de type argilo-silicieux, graves ou argilo-calcaire) qui durent 30 minutes. En outre, des dégustations pour les groupes invitant à découvrir un vin de Loire ou un fromage de chèvre de Sainte-Maure-de-Touraine sont organisées dans le décor verdoyant des jardins du Rivau. Promenade ludique dans un cadre médiéval Le Château du Rivau laisse subtilement flotter une ambiance féérique. La magnifique forteresse médiévale est entourée de 14 jardins savamment agencés et minutieusement entretenus, où, selon les propos de Patricia Laigneau, créatrice des jardins, « chaque jardin évoque un conte de fée différent ». Baignant dans un cadre au charme authentique, il est classé au patrimoine mondial de l’UNESCO… Un carnet de voyage incontournable à découvrir en famille. ...
La Bourgogne-Franche-Comté, une région de bonne cuisine La Bourgogne-Franche-Comté produit des escargots, le bœuf charolais et le poulet de Bresse qui servent à la préparation de plats délicieux comme le filet de bœuf charolais aux champignons et le poulet de Bresse à la crème aux truffes. Le comté, fromage produit en Franche-Comté, est un des plus utilisés dans la cuisine française. La région se veut être une des régions françaises les plus connues en matière de bonne cuisine. Les spécialités régionales sont, entre autres, le bœuf bourguignon et le coq au vin. Elle est aussi connue pour son vignoble qui compte plus de 80 AOC de Bourgogne et celui du Jura qui produit des vins blancs d’appellation Côtes-du-Jura ainsi que des vins jaunes et paillés d’AOC Arbois. Le Rabutin, de père en fils Le Rabutin est un restaurant pizzeria traiteur ouvert en 2000 par M. Funès. Armé d’une quarantaine d’années d’expérience culinaire, il y travaille depuis 2002 avec son fils Mickael. Le restaurant charme par sa proximité avec le château de Bussy-Rabutin et le Muséoparc d’Alésia, dans la ville d’Alise-Sainte-Reine. À l’extérieur de l’établissement, on trouve une terrasse fleurie et ombragée. L’intérieur est magnifiquement décoré selon le gout du propriétaire. En effet Mickael Funès est passionné de Harley Davidson. « À partir du moment où le client entre dans le restaurant, il entre chez moi. Je l’ai décoré sur un thème un peu rétro, un peu Harley », nous explique-t-il. Le restaurant compte aussi un bar et dipose d’une salle des fêtes à proximité, qui accueille des concerts sur invitation et bien d’autres évènements. Une cuisine familiale et traditionnelle bourguignonne Le Rabutin propose des pizzas à l’andouillette et à l’époisses avec des huiles d’olive méticuleusement sélectionnées et des farines importées d’Italie. Mais le restaurant fait de la cuisine traditionnelle bourguignonne son véritable point d’honneur. Mickael Funès utilise 98 % de produits frais comme le bœuf charolais de Bourgogne, le poulet de Bresse, les betteraves, les concombres, les tomates, les œufs. Il s’assure bien évidemment que ce sont des produits locaux de qualité. « Nous proposons des assiettes très généreuses avec des produits de qualité. Nous servons du label Charolais de Bourgogne », souligne-t-il. Il travaille aussi avec des producteurs locaux bien connus comme Ma très bonne glace. Le Rabutin, c’est aussi un service traiteur avec des buffets campagnards, dont des plateaux de charcuterie issues du Jura, du Doubs et du Morvan. Pour l’entrée, le choix est vaste. Les œufs cocotte à la dijonnaise sont une cuisson d’œufs frais dans une petite cocotte, dans un four à pizza à très haute température. En fin de cuisson, on y rajoute une petite sauce crème à la moutarde à l’ancienne. Il sont servis avec des mouillettes et s’accordent parfaitement avec du vin blanc. La terrine de campagne maison est une terrine de campagne traditionnelle faite à base de gorge de porc et de foies de volaille. Cette entrée est dressée avec une tranche de terrine, un petit bouquet de salade verte à l’huile d’olive bio et au vinaigre balsamique, ainsi que des framboises. Elle s’accorde parfaitement avec le Boisset Bourgogne. Pour le plat principal, la tête de veau traditionnelle est cuisinée avec du veau Charolais de Bourgogne et servie chaude avec sa sauce Gribiche et des pommes vapeur. Les œufs en meurette sont des œufs pochés dans du vin rouge, égouttés, servis sur un crouton de pain aillé et nappés d’une sauce au vin rouge. Ils sont parfaits avec des vins d’appellation Maranges comme les Clos Roussots. La mousse au chocolat, la crème caramel, la crème brulée au grand marnier, la tarte aux fruits de saison et la crème de cassis de Dijon sont les principaux desserts du Rabutin. ...
À travers une belle association de tradition et de saveurs, le Restaurant Chez Féraud (puisque c’est de lui qu’il s’agit), propose une cuisine gourmande et généreuse où la fraîcheur et l’authenticité de la Provence se conjuguent au présent jusque dans les assiettes. Un emplacement privilégié Reliant la rue Granet à la rue Loubon, la rue du Puits-Juif, où l’établissement est implanté, se trouve dans un quartier historique, ce qui fait tout son charme et sa particularité. Ce privilège constitue pour l’enseigne un atout majeur qui joue en faveur du lieu et qui fait qu’il soit particulièrement apprécié des clients. Dans une ambiance simple et bon enfant, le restaurant surprend autant qu’il séduit avec son décor intemporel, et avec juste ce qu’il faut comme dose d’audace et de curiosité. Grâce à une belle devanture joliment couverte de lierre, il est non seulement un véritable plaisir pour les yeux, mais aussi une excellente adresse, où la gourmandise et la découverte sont en parfaite harmonie. Une délicieuse cuisine aux accents de Provence Chez Féraud, c’est aussi l’histoire d’une famille de cuisiniers à l’ancienne dont le goût pour les recettes familiales s’est jalousement transmis de père en fils. C’est ainsi que derrière les fourneaux de cette belle adresse, mijotent en permanence de bons plats traditionnels aux accents du Sud pour ne citer que la soupe au pistou, la dorade royale à la provençale et les clémentines semi-confites avec, à côté, la daube et les pieds paquets marseillais ou encore les figues rôties au miel et au caramel. Un parfait accord mets-vins qui met à l’honneur des valeurs sûres comme les coteaux d'aix-en-provence et vient sublimer le tout, constituant une véritable surprise pour les papilles. ...
Situé rive droite, à deux pas du palais de l’Élysée et de l’avenue des Champs-Élysées, le restaurant Le Gabriel se trouve au cœur de la Ville Lumière. Sis dans ce bel immeuble de style haussmannien niché derrière des arbres imposants, il a l’avantage d’être préservé des palpitations parisiennes. À l’intérieur, l’ambiance chaleureuse émanant du décor contemporain est l’œuvre du designer Jacques Garcia Un restaurant doublement étoilé Au restaurant Le Gabriel, le chef Jérôme Banctel conjugue les ingrédients de qualité à son talent et à son savoir-faire pour faire honneur à une cuisine française contemporaine. En partant toujours de ses solides bases classiques, il essaye de sublimer et en aucun cas de dénaturer le produit. Mais ce respect pour la tradition et le produit ne l’empêche pas d’apporter une bonne dose d’inventivité à ses créations. C’est ainsi que notre chef tente de faire de chacun de ses plats une expérience gustative unique. Un pari dignement réussi vu les deux étoiles Michelin récemment attribuées à l’établissement. Du début à la fin, les grands classiques teintés de l’inspiration de Jérôme Banctel surprennent les sens. En entrée, le Saumon de Norvège, raviole d’aubergine fumée, crème de ziste ou le Cœur d’artichaut « Macau » en impression de sakura et coriandre fraiche ne sont que l’avant-gout de ce qui va suivre. Les Noix de Saint-Jacques rôties, carottes aux sucs d’orange et baies roses ou le Cochon de lait de Burgos croustillant, sauce curry, avocat et mangue révèleront ensuite tout le talent du chef. Et, pour finir, rien de mieux que le Crémeux mékonga, chantilly caramel épicé, confit de mangue et glace au caramel. Des vins et cocktails pour toutes les envies Côté vins, Le Gabriel possède une carte à faire rêver tout œnophile. Que ce soit un vin en bouteille ou en verre, son impressionnante collection satisfait toutes les envies. Les références issues du Château Cos d’Estournel et du prestigieux Domaine Tokaj Hétszõlõ comme le Goulée by Cos d’Estournel, Médoc 2012 ou le Tokaji Furmint « Selection » 2010 sont, ici, particulièrement privilégiées. Les adeptes de cocktail ne sont pas laissés-pour-compte car la carte chante également le répertoire des grands classiques en la matière : Mojito, Midnight Express ainsi qu’une multitude d’autres boissons alcoolisées ou non. ...
Au sud-ouest d’Épernay, les Coteaux du Sézannais et du Petit-Morin sont les portes d’entrée de la Champagne. A 1 heure de Paris, vous aurez accès à la richesse d’un magnifique terroir alliant plaisir des yeux et des papilles. Au cœur de la Champagne Les coteaux du Sézannais et du Petit-Morin produisent d'excellents vins de champagne grâce aux 300 vignerons exploitant les 2300 hectares plantés de vignes. Chardonnay, Pinot meunier et Pinot noir s’y côtoient sur les terres crayeuses, donnant d'agréables champagnes sur la minéralité et aux notes d'agrumes. Chaque viticulteur sera heureux de vous accueillir sur son exploitation pour vous faire déguster ce précieux nectar, célèbre dans le monde entier. Vous pourrez également savourer ces champagnes à l’occasion d’un repas au « Relais Champenois » à Sézanne, où les spécialités champenoises et les produits locaux sont mis à l'honneur, comme les escargots, les lentillons de champagne ou encore le fameux biscuit rose champenois. Côté Histoire... Les amateurs d’histoire seront ravis de parcourir cette région où le destin de notre pays s’y est joué à deux reprises. Ils pourront découvrir la colonne commémorative de Champaubert, célébrant la victoire napoléonienne de 1814 lors de la campagne de France, ou se rendre à Montdement-Montgivroux pour se souvenir de la bataille de la Marne de 1914 et découvrir son magnifique Monument de la Victoire. Mais la région offre aussi un merveilleux patrimoine architectural. Ainsi lors de votre venue, vous pourrez, entre bien d'autres choses, séjourner au château d’Étoges, cet ancien relais du Roi de France parfaitement restauré, au cœur d’un parc de 20 hectares ; vous balader dans les ruelles pavées de Sézanne, cette jolie cité médiévale fortifiée, classée petite cité de caractère ; visiter Notre-Dame du Reclus à Talus-Saint-Prix, cette abbaye cistercienne posée dans un cadre de verdure ; contempler les vitraux contemporains de l'église Saint-Pierre et Saint-Paul à Villenauxe-la-Grande ou encore le splendide château de Montmirail. …. et Côté nature Si vous aimez les espaces naturels, vous pourrez admirer les nombreux animaux sauvages (faisans, canards sauvages, perdrix, chevreuils et sangliers) qui vivent dans les marais de Saint-Gond, véritable musée à ciel ouvert. Vous pourrez aussi vous ressourcer au cœur de la forêt de la Traconne, ancien domaine de chasse royal, massif forestier de plusieurs milliers d’hectares où des panneaux explicatifs vous permettront de différencier les différentes espèces d’arbres. En un mot, les coteaux du Sézannais et du Petit-Morin offrent tous les ingrédients pour un week-end plein de charme et de plaisir. A consommer sans modération ! ...
Dans un style bistrot à l’esprit atelier, où la cuisine ouverte permet à toute la salle de voir le chef travailler derrière une verrière, L’Atelier Ramey fait sensation auprès des foodies parisiens en quête d’une nouvelle cantine. Le décor industriel enrichi d’objets chinés pour la plupart transporte dans un joli voyage bistrotier, où une vraie aventure culinaire vous attend. Ce petit repaire de gastronomes propose, le soir, un menu dégustation complet soupe-entrée-plat-dessert au choix à 34 €, une formule midi entrée-plat ou plat-dessert à 21 € et un menu à la carte. Sa Terrine de boudin noir poêlé céleri remoulade au raifort, sa Joue de bœuf braisée mousseline de topinambour et son Filet de bar rôti à l’olive risotto d’agrumes constituent de véritables délices pour les papilles, sans parler de son fameux Baba au rhum ananas raisins confits et son savoureux Riz au lait caramel au beurre salé tuiles dentelles à l’orange. Une riche carte de vins L’Atelier Ramey travaille directement avec le vigneron qu’il connait personnellement. Ayant l’énorme avantage de posséder un bar à vins, le restaurant se repose sur l’expérience de son sommelier Cyril Laroche pour la sélection rigoureuse de tous les vins de la maison, dont les petites pépites du Sud-Ouest et de la vallée du Rhône et de la Loire, avec une large gamme de vins nature. Pour « les petites bulles de la maison », comme les appelle si bien le propriétaire Dani Maïni, l’enseigne a choisi de travailler avec le Domaine de la Taille au Loup Montlouis-sur-Loire Triple Zéro du vigneron Jacky Blot. Pour les vins du Sud-Ouest, le choix de l’établissement s’est porté sur le Domaine d’Elian Da Ros. ...