logo-flash-matin
© Marc Lacour
portrait-chef-fabian-feldmann

Interview avec Fabian Feldmann
Chef du restaurant L'Impertinent



Restaurant
1 étoile au Guide Michelin
situé à Biarritz
Région Nouvelle Aquitaine

Dans votre restaurant, comment définissez-vous votre cuisine ? Quels sont vos plats «Signature»? Avec quels produits aimez-vous travailler ?

Fabian Feldmann Ma cuisine se veut respectueuse de l'équilibre du corps et de la nature : dans l'assiette, tous les éléments se coordonnent et se rééquilibrent.
Deux plats en sont la signature : d'une part, le "Clin d’œil à Albert", une assiette de fruits de mer qui me renvoie à "Chez Albert", où j'ai travaillé lorsque je me suis installé au Pays Basque. La plupart des éléments rappellent les saveurs iodées, qu'on retrouve en mer comme sur la terre. D'autre part, le "Curry vert" est un dessert essentiellement composé d'une crème de coriandre, d'une écume à la noix de coco et de gingembre. En réalité, il n'y a pas vraiment un produit que j'aime plus travailler qu'un autre. Tous les éléments qui m'entourent sont un infini de possibilités, de déclinaisons, d'associations : tout se travaille, tout se transforme et tout se déguste.

Quelles émotions avez-vous ressenties lors de la remise des étoiles du Guide Michelin ?

FF C'est une véritable récompense : l'émotion en vient aux frissons, on a la larme à l’œil.

La cuisine est faite chaque jour de partage et d'émotions. Toutefois, certains moments de la vie sont à privilégier plus que d'autres... Pouvez-vous nous confier vos plats rêvés pour :
- Un repas de Noël ?

FF Un Hot-Pot vietnamien : une sorte de fondue, où chacun cuit ses ingrédients (essentiellement viande et légumes) dans un bouillon. C'est convivial et moins lourd que nos fondues savoyardes !

- Un repas de la nouvelle année ?

FF Des fruits de mer, bien évidemment !

- Un repas de Saint-Valentin ?

FF Encore une fois, j'exploiterai les produits aphrodisiaques : le gingembre, mais aussi des truffes, des huîtres...
plat-restaurant-l-impertinent-biarritz
© Marc Lacour

- Un repas de la fête des mères ou des pères ?

FF Du cyanure ! Non, je plaisante... un bon financier au super skunk suffira, il faut juste les détendre (rires).

Au fait, pour votre mariage, qui a fait la cuisine ? Pouvez-vous nous indiquer les plats cuisinés ?

FF Ma femme et moi sommes tout simplement partis au restaurant où j'avais fait mon apprentissage en Allemagne. C'était pour moi une valeur sûre, et nous ne voulions pas d'un gros événement.

Sans trop réfléchir, pouvez-vous nous confier votre plus beau souvenir gustatif et certaines des émotions procurées ?

FF Le plus beau remonte à mes 6 ans : en vacances en Bretagne, j'avais goûté du tourteau. L'impression magique de manger l'océan m'a beaucoup marqué.

D'après la célèbre devise de Prosper Montagné "On ne fait du bon qu'avec du très bon", pouvez-vous nous révéler deux ou trois de vos adresses gourmandes. Vos producteurs et produits préférés sur votre région ou ailleurs (vins, produits frais, ou autres...)

FF C'est pour la fraîcheur de ses produits que je chéris cette région ! Mais je mettrai en avant les oeufs d'Olivier Latchere, à la ferme Goyhenetxia ; les légumes de Jean-Michel Urruty, à Irrissary ; le bœuf de François Gaillicou, à Sainte Gladie. Pour ce qui est des vins, évidemment des vins locaux avec le domaine Arretxea, ou encore Borda Xuria. Mais aussi Chantal Lescure, en Bourgogne et Zehnthof Luckert, en Allemagne.
plat-restaurant-l-impertinent-biarritz
© Marc Lacour

On parle aujourd’hui beaucoup de cuisine fusion, de plats végétariens, d'aliments biologiques, de « Trashcooking » (ingrédients destinés normalement au rebus), de « Freakshakes » pour marier un dessert à une boisson... Selon vous quelles seront les grandes tendances de la cuisine de demain ?

FF Je ne suis pas un expert des tendances, mais je suis assez pessimiste : j'aurai envie d'une consommation responsable et respectant l'éthique. En réalité, je vois plutôt la clientèle aller vers ces bars à vins où on accompagne son verre d'une planche, pas mauvaise, mais pas vraiment bonne non plus. Je vois une tendance à l'hédonisme, on prend du temps pour soi, mais on ne s'y consacre pas vraiment.

Culture - Cinéma Quelle est votre scène préférée de cinéma au restaurant ? Un souvenir de film avec une séquence particulière...

FF Dans "Au petit Marguery" de Laurent Bénégui, un chef perd le goût ; décidé à faire perdurer sa cuisine, un client finit par se plaindre de la qualité des mets. Le chef, hors de lui, sort de sa cuisine et pose la côte de bœuf sur la table. Je n'en dirai pas plus, mais c'est un moment poignant.
restaurant-l-impertinent-biarritz restaurant-l-impertinent-biarritz restaurant-l-impertinent-biarritz

Si vous aviez un hommage à adresser à Paul Bocuse, quel serait-il ?

FF A son image, me marier avec deux femmes ! En réalité, je pense qu'on lui rend hommage tous les jours, lorsque nous sortons de notre cuisine : les cuisiniers sont aussi mis en avant grâce à lui, ils sont dans les émissions télé et dans la salle de leur restaurant.
Adresse | Contacts utiles
image-prop-contact-l-impertinent L'Impertinent 5, rue de l'Alsace
64200 Biarritz

Tél. : 05 59 51 03 67
Site Internet

Récompenses
1 étoile au Michelin

L'Impertinent : les avis

LES ARTICLES LES PLUS LUS

l’Onirium : une échappatoire faite de rêves

L'Onirium, un lieu où chaque joueur se retrouve emprisonné psychiquement dans son propre rêve à cause d’une anomalie de la cellule secrète du même nom. Le but est ici de s’échapper de ce monde imaginaire avec la logique, l’esprit d’équipe et le sens de l’observation comme uniques armes. Les joueurs évolueront dans un milieu fantasmagorique, un produit de l’esprit où tout n’est que fiction, songe et…cauchemar. Un lieu de rêves inspiré de votre univers « Dès leur arrivée, les joueurs sont plongés dans un tout autre univers. Ils viennent pour rêver et passer un temps en dehors du monde », nous confie Nicolas Grouls, directeur de l'Onirium. Ce monde fait de rêves emporte les joueurs, des consultants en coordination de rêves d’un jour, dans trois salles aux scénarios où le seul objectif est de s’échapper en résolvant des énigmes ensemble. Dans l’Insurrection, chaque équipe, allant de 3 à 5 joueurs, se retrouve à Nantes au temps de la révolution française. « A cette époque, Jean Baptise Carrier, un homme sanguinaire auteur de nombreuses exécutions, règne en maître. Les joueurs sont alors des insurgés qui doivent sortir en une heure, de peur d’être exécutés », continue Monsieur Grouls. Au sein de la Station Or-Bit 34B, les  joueurs seront plongés dans une station orbitale qui a subi des dommages suite à un impact d’astéroïde et devront sortir de cette situation de crise. Composée de deux salles, cette station peut accueillir deux équipes qui rivaliseront en simultané et qui ont la possibilité de se voir et de communiquer pendant la majeure partie du rêve. ...

Esens'All : des découvertes gustatives au quotidien

Laurent Pichaureaux œuvre seul en cuisine. Chaque jour, suivant ses inspirations, ses intuitions et, surtout, les produits bio de saison, il invente de nouvelles compositions, où herbes, fleurs et épices douces subliment les plats. Il privilégie les poissons, les crustacés et les végétaux. Il aime utiliser les fruits secs, le sésame, l’anis vert. Les alliances sucrées-salées sont souvent mises à l’honneur, comme une sauce de soja avec décoction de miel ou de la marjolaine avec un beurre mousseux agrémenté d’un jus salé. Une ambiance végétale Ouvert fin 2012, le restaurant Esens’All se situe dans une rue peu passante, parallèle à la rue de Rome, dans le 17e arrondissement de Paris. Ici, tout est fait pour que le client se sente à l’aise, au calme, loin de l’agitation parisienne. Un mur végétalisé, du chêne, des galets, de l’espace entre les tables, de petits rideaux aux fenêtres, une lumière douce, un fond musical : tout pour une ambiance résolument cosy et intimiste. Chaque assiette comme un tableau Ici, vous vous laissez guider pour un voyage gustatif en 6 ou 8 assiettes. Le chef prend en compte vos contraintes alimentaires (végétarien, sans gluten, allergies…). De plus, il ne propose ni abats ni huitres. Si vous optez pour 6 assiettes, vous pourrez découvrir une entrée froide, une entrée chaude, un poisson, une viande, puis le choix entre 2 desserts ou fromage et dessert. Pour 8 assiettes, vous pourrez déguster 2 entrées supplémentaires. Chaque assiette est conçue comme un tableau, qui se dévore des yeux, avant de révéler tous ses pouvoirs au niveau des papilles. Vous pourrez, par exemple, vous régaler en entrée d’un saumon fumé au bois de châtaignier, wakamé, yaourt grec et marinade à base de câpres. Ou d’une mozzarella au jus de truffes servie avec du céleri croquant. En poisson, d’une lotte au cresson sauvage et cerfeuil tubéreux. Et en viande, d’un filet de canette de Challans maturé, jus aux airelles, accompagné d’une purée de panais et de poires confites au miel de châtaignier. Enfin, ​le chocolat termine toujours le repas sous la forme de ganache, de biscuit, de moelleux ou de fondant. Des vins essentiellement bio Le restaurant privilégie les vins bio, mais vous pourrez également accompagner votre repas d’un bordeaux ou d’un bourgogne. Tous les soirs, 3 verres de vin à découvrir sont suggérés pour le menu à 6 assiettes. ...

Domaine G&G Bouvet, des vins aussi variés que les cépages

Cette exploitation est gérée par Frédéric Garanjoud avec Delphine Garanjoud. Ancien antiquaire pour le premier et directrice financière pour la seconde, ils ont la passion commune du vin, et l’envie de changement de vie les ont conduits à reprendre ce domaine en 2002. De 12 hectares à ses débuts, les associés ont fait passer la superficie totale du vignoble à 35 hectares, qui couvrent quasi tous les grands crus de la région savoyarde, plus particulièrement ceux des contreforts des Vosges. Une grande variété de cépages… Éparpillé sur une soixantaine de parcelles en coteaux, le vignoble du domaine G&G Bouvet présente une grande diversité de cépages. En effet, mis à part les cépages traditionnels comme les chardonnay, gamay, cabernet sauvignon ou encore le pinot noir, tous les cépages exclusifs de l’appellation AOC Vins de Savoie y sont présents tels que le jacquère, la mondeuse, l’altesse ou même le persan, un cépage rare à partir duquel le domaine fabrique sa fameuse bouteille d’« Amariva ». Installées sur un terroir plus que propice à la viticulture, composé d’éboulis calcaire, les vignes du domaine sont cultivées selon une politique culturale assez singulière : « Le domaine est en agriculture raisonnée ++ », note Frédéric Garanjoud. Il fait partie du programme « Ecophyto », qui pousse à réduire les doses d’intrants dans les sols et à bannir tous les pesticides. « D’ici à deux à trois ans, nous envisageons une conversion à l’agriculture biologique pour l’ensemble du domaine », poursuit-il. … pour une grande gamme de vins Au-delà d’être un simple gagne-pain et une passion, l’élaboration de grands vins relève du devoir pour les associés, comme l’explique Frédéric : « On croit en notre appellation (AOC Vins de Savoie), on a des sols et des cépages fabuleux, on se doit de faire des grands vins avec notre terroir. » Ainsi, le domaine propose un large éventail de près de 27 vins différents, classés en trois cuvées différentes. Leur présence sur les tables de plus de 800 restaurants gastronomiques en dit long sur leur qualité. Les « Cuvées Tradition » sont des cuvées monocépages, issues de crus situés sur les villages des alentours de Chambéry. Ce sont des cuvées à consommer jeunes, et marquées par leurs parfums de fruit comme le Blanc « Roussette L’Altesse » ou le Rouge « Mondeuse La Persanne ». Les « Cuvées Prestige » proviennent de sélection parcellaire et d’élevage un peu plus long en futs de chêne ou d’acacia. Ces vins profonds expriment parfaitement l’intensité de leur terroir rude et pourtant si généreux. Avec les trois « Grand Savoie », la plupart de ses vins sont nommés de tous les saints : « Sainte Dominique », « Saint Odilon » et « Saint Antoine » en blanc ; « Sainte Barbe » et « Saint Claude » en rouge. Extrait du meilleur des parcelles dont dispose le domaine, les « Cuvées Exceptionnelles » sont des vins de haute voltige, issus pour la plupart de vieilles vignes. À titre d’exemple, le « Chardonnay Cuvée Frédéric Emmanuel » provient de vignes de 60 à 70 ans. Il est élevé sur lies fines, en barriques neuves, sur 20 à 24 mois. Cette cuvée taillée pour la garde est fruitée et légère, donnant sur des notes de miel, de fruits secs et d’agrumes. Elle est parfaite en accompagnement de Saint-Jacques poêlées ou de fromages à pâte croutée. La « Roussette de Savoie Cru Monterminod » est, quant à elle, très équilibrée, donnant sur de doux parfums floraux et citronnés. À table, elle se déguste avec un cantal jeune ou une belle carpe. ...

La collection « Mémoire en Images » des Éditions Sutton : un vrai voyage dans l’Histoire de nos régions

« Les Bretons autrefois », « Sainte-Hélène et Le Porge » dans le Médoc ou encore « Lyon en 14-18 » : voilà quelques titres tirés de la passionnante série « Mémoire en Images » des Éditions Sutton. Ce n’est pourtant qu’un infime échantillon puisque la collection compte aujourd’hui près de 2000 ouvrages ! Quelle que soit la ville recherchée, les passionnés d’Histoire comme les habitants curieux trouveront chaussure à leur pied : chaque recoin de la France possède un titre dédié. Les Éditions Sutton proposent également une collection sur des thématiques nationales comme la Grande Guerre ou encore Napoléon. Edition Sutton : voyagez au coeur de nos régions Depuis près de 20 ans, la maison d’édition Sutton sédimente la mémoire collective pour faire paraître des livres racontant la vie des régions d’autrefois. Pour chaque édition, des auteurs documentent et mettent à jour des centaines de documents pour mettre en perspective l’évolution économique et culturelle d’une ville ou d’une région qu’il connaît bien. À travers les cartes postales d’autrefois et les photographies anciennes mais aussi des gravures ou des plaques de verre, le quotidien de la fin du XIXe siècle jusqu’au milieu du XXe siècle reprend vie. ...

ChromaLys :
un projet innovateur dans le traitement des tumeurs mobiles

En partenariat avec des centres de recherche sur le cancer, à l’instar du Centre Oscar Lambret de Lille ou celui de Sainte-Catherine d’Avignon, ChromaLys a développé un dispositif efficace dans le traitement par radiothérapie des tumeurs mobiles. L’équipe de chimistes de la start-up en effet a créé un produit de contraste injectable afin d’identifier et de rendre facilement détectable les mouvements des cellules cancéreuses lors des séances de radiothérapie. Les tumeurs mobiles efficacement ciblées Les tumeurs mobiles sont des cellules tumorales mouvantes de par la respiration du patient. « Ces tumeurs sont la plupart du temps thoraciques et abdominales et se situent notamment dans le foie, les poumons ou le pancréas », explique Marc Verelst, directeur de ChromaLys Le traitement par radiothérapie de ces cellules mobiles pourrait causer des effets secondaires notables, car « le faisceau de rayons gamma curatifs pourrait endommager les tissus sains si la tumeur mobile n’est pas clairement ciblée ». C’est ainsi afin « d’éviter de détruire du tissu sain qu’il est nécessaire de marquer la tumeur et permettre au robot de viser la tumeur au millimètre près ». Cette technique de détection tumorale dynamique par un liquide injectable, en cours d’essais préliminaires, est alors baptisée Tumor-Track. Le Tumor-Track : un dispositif aux multiples avantages Outre le fait que les tumeurs soient ciblées grâce à la technologie Tumor-Track, facilitant ainsi le traitement curatif, cette révolution dans la lutte contre le cancer comporterait d’autres avantages. En effet, trente séances en moyenne sont nécessaires pour soigner une tumeur par radiothérapie. « Si on améliore le ciblage des cellules tumorales mobiles grâce à la technologie Tumor-Track, une méthode efficace mais peu coûteuse, nous pouvons réduire les séances de radiothérapie de trente à cinq », souligne le scientifique. « Cela représenterait un avantage conséquent en matière de coût et d’efficacité, notamment pour les hôpitaux qui pourront ainsi traiter à l’année six fois plus de patients, mais également pour les personnes âgées ou à mobilité réduite suivant ce type de traitement » conclut-il. ...

Le Moulin de Valaurie :
découvrir les merveilles de la gastronomie provençale

Faisant partie des 180 hôtels relais du silence, le Moulin de Valaurie est un havre de paix blotti dans un cadre sain et écologique, au sein du département de la Drôme dans la région Rhône-Alpes. Cet ancien moulin en pierres apparentes se trouve effectivement dans un parc arboré de 4 hectares proposant une véritable immersion au sein d’une nature enchanteresse.  Paysage marquant et spacieux Détente, gourmandise, confort : ces trois mots suffisent amplement à décrire le Moulin de Valaurie. Situé à quelques kilomètres de Grignan, à la sortie de Valaurie, l’établissement prône le plaisir des pupilles et celui des papilles. Dès leur arrivée, les convives se laisseront surprendre par l’ambiance provençale qui plane dans cet ancien moulin rénové aux volets bleus/lavande. Dans le restaurant, la salle éclairée par les baies vitrées inspire calme et douceur. Installée confortablement sur leur chaise, les clients prendront plaisir à admirer l’environnement bucolique et enchanteur proposé à l’extérieur. Pour ceux qui aiment plutôt le grand air, la terrasse ombragée sous les platanes offre un espace épuré propice à la dégustation des merveilles du chef. Dans un très grand jardin verdoyant et fleuri, le parfum de lavande procure bien-être et sérénité. Un gage de qualité et de créativité Reconnu pour sa cuisine provençale, le chef Eric Berthillot revisite à la perfection les recettes traditionnelles françaises en privilégiant les produits frais et de saison, qui sont essentiellement issus du terroir. Le potager bio de la propriété s’étendant sur une superficie de 3000m2 lui fournit les légumes et fruits et la totalité des herbes de Provence telles que le thym, le romarin, et la sauge. Les autres produits contribuant à l'élégance de son art culinaire sont soigneusement sélectionnés par le chef auprès des producteurs locaux. Original et créatif, il prépare uniquement des plats gourmands fait-maison. Renouvelée tous les deux mois, la carte du Moulin de mai 2016 est une ode à la gourmandise avec ses innombrables suggestions. En entrée, le Foie gras de Canard de la Vallée de Limagne, cuit en terrine fait voltiger les papilles. Laissez-vous ensuite séduire par les saveurs de l’Epaule d’agneau confite et fondante. Au dessert, l’incontournable Gâteau à l’orange servi avec un sorbet orange sanguine et des tuiles au romarin fait partie des mets phares à ne pas manquer dans le restaurant. A midi, la maison sert une formule spéciale composée d’une entrée élaborée avec les produits du potager, d’un mitonné du jour ou de poisson ou viande du moment et d’un dessert ou de fromage. La formule composée de trois plats est à 29 euros. ...

Début juin 2018, ne ratez pas la Fête de la Morue à Bègles.

Le temps d’un week-end, découvrez en famille ou entre amis la Fête de la Morue à Bègles. Une 23ème édition qui s’annonce sous les meilleurs auspices. Fête de la Morue : historique C’est en 1996 que la 1ere édition de la Fête de la Morue a vu le jour grâce à Noël Mamère. Ce rendez-vous des amateurs de gastronomie a ensuite évolué au fil des années pour devenir un événement festif incontournable de la région Aquitaine. En effet, cette ville qui s’est fait connaitre comme le principal centre morutier de France dès le 19e siècle a voulu créer cet événement afin de permettre aux locaux et aux visiteurs de déguster différentes recettes de morue dans des stands et restaurants béglais. Puis, alors que la fête se développe de plus en plus, année après année (jusqu’à atteindre 60 000 visiteurs dans les années 2000), elle s’est diversifiée en proposant de nombreuses animations ainsi que des spectacles pour les petits et les grands. Ainsi, elle est passée d’un rendez-vous essentiellement gastronomique à une grande fête conviviale associant manifestations culturelles et plaisir de savourer de la bonne morue fraiche.  Fête de la Morue : ce que vous y trouvez La Fête de la Morue offre, cette année encore, une programmation riche et variée. Peu importe vos envies, vous trouvez des ateliers, des expositions, des spectacles, des conférences et des concours au sein du Village de la Morue, en plein cœur de Bègles (de la place du 14 juillet au Stade A. Moga). Demandez dès à présent la programmation complète afin d’être sûr de ne rien rater. Sans oublier la volonté de vous permettre de revenir à La Belle Époque le temps de quelques jours. Mettez de côté les smartphones et les vêtements modernes et place aux longues robes et grands chapeaux. Chacun peut ainsi se déguiser et profiter de l’ambiance typique des années 1900 qui règne sur ce festival. Déconnexion garantie ! À noter : depuis sa création, la Fête de la Morue fait le nécessaire pour être une fête responsable. En d’autres termes, cela signifie qu’elle réalise des actions concrètes pour prendre soin de l’environnement. Cela passe par du recyclage, un tri des déchets et un partenariat avec l’association AREMACS afin de mettre en place des solutions éco-responsables tout en sensibilisant le public. De plus, les habitants de Bègles ont joué le jeu en ouvrant leur maison aux artistes. Un geste citoyen et généreux que nous nous devions de relayer. La Fête de la Morue en quelques chiffres Depuis sa création, la Fête de la Morue est devenue de plus en plus populaire, en attirant un public d’habitués auquel s’ajoutent toujours plus de curieux. Ainsi, durant les manifestations précédentes, plus de 60 000 personnes sont venues y déguster de la morue tout en s’émerveillant devant les spectacles proposés. À ce titre, sachez que 250 artistes seront présents. Une vingtaine de restaurateurs Beglais vous ouvrent les portes de leurs établissements et, sur le Village de la Morue, retrouvez les associations Bèglaises (40). Sans oublier que cette Fête est entièrement gratuite. Ce qui vous incite à venir vous rendre compte par vous-même de l’ambiance si particulière de cette manifestation gastronomique et culturelle. ...

Formation continue en santé de l’Université Paris-Dauphine : l’excellence académique au service du management médico-social et sanitaire

Les programmes de formation continue en santé (masters et MBA) de l’Université Paris-Dauphine, tous compatibles avec une activité professionnelle, ont été développés dans le but d’adresser le secteur pointu du Management à la santé. Cet établissement de renom, première université en management, mise sur des formations continues en santé « qui ont été pensées afin de couvrir les besoins de toute la ligne hiérarchique d’encadrement du secteur », souligne Béatrice Fermon, directrice associée de l’Executive MBA Santé et responsable du Master « Économie et gestion de la santé ». L’Executive MBA Santé : le management pour des cadres dirigeants appliqué à la santé Ayant pour objectif de développer les compétences des acteurs du changement dans le domaine de la santé, cette formation de haut niveau s’adresse principalement aux médecins, managers du secteur ou professionnels aspirant à le devenir. Ce programme, alliant des modules théoriques et pratiques, répond à un besoin « de mettre la théorie au service de la décision et de l’action des managers »d’articuler les enseignements académiques avec le monde professionnel », reprend Béatrice Fermon. Ces modules aux dimensions internationales traitent toutes les facettes du management et de la gestion du secteur, en mettant particulièrement l’accent sur la conduite de projets complexes. Le travail sur des situations professionnelles concrètes et les séances individuelles d’accompagnement professionnel favorisent permettent une montée effective en compétences de management. Master Economie et Gestion des Etablissements de Santé : pour une meilleure gestion des structures de santé Dédié aux professionnels des secteurs santé et médico-social ou à ceux en reconversion professionnelle, ce master allie approches sociologiques et économiques et acquisition ou renforcement des compétences managériales. L’objectif est de former des cadres aptes à piloter et à gérer des services grâce à diverses capacités, notamment la compréhension la réalité du monde de la santé pour allier le déploiement stratégique des ressources à la performance. Des compétences de diagnostic de situation, de pilotage de projets, d’innovations managériales et d’arbitrages tenant compte de l’éthique des décisions sont développées dans le cadre de parcours personnalisés.  La mise en pratique des connaissances acquises est assurée par l’expertise reconnue des intervenants universitaires et des professionnels du secteur. Master Management Stratégique des Services et Etablissements pour Personnes Agées : un parcours humain Cette formation spécialisée dans le pilotage managérial de services et d’établissements pour personnes âgées est proposée afin de cerner les différentes méthodes de gestion des activités en rapport avec la gérontologie, la science du vieillissement. Elle s’adresse aux personnes en reconversion ainsi qu’aux futurs dirigeants d’établissements pour personnes âgées. Axé sur la mise en place de stratégies managériales efficaces et une maîtrise de l’environnement de cette science, ce cursus, comme le souligne Béatrice Fermon, « allie savamment éléments cliniques et gestionnaires afin de proposer une formation dédiée à la gestion des structures et des services destinés aux personnes âgées ». Les qualifications du corps enseignant ainsi que la pédagogie basée sur une approche participative font de cette formation un tremplin d’employabilité. Avec des postes dans l’encadrement supérieur à la clé, les cadres diplômés pourront apporter leur expérience et leur expertise dans un secteur en plein essor. ...

Château au Grand Paris : une pépite du vignoble bordelais à découvrir

Bordeaux s’inscrit comme l’une des principales voies du pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle. Le Château au Grand Paris faisait partie des relais accueillant autrefois les pèlerins. Édifié au XVIIème siècle, il était géré par des moines qui y cultivaient un petit vignoble. L’ancien bâtiment garde encore les traces de ce riche passé à travers la présence de quelques éléments décoratifs et architecturaux. « La maison est constituée de grandes ouvertures et d’un très haut plafond. Sur la cheminée, la fameuse coquille Saint-Jacques est encore visible », nous confie Isabelle Castenet, aujourd’hui à la tête du domaine avec son frère Christophe Langel. Un mode de production traditionnelle Le domaine Château au Grand Paris est situé à une cinquantaine de kilomètres à l’est-sud-est de Bordeaux. Il est établi sur un terroir relativement abrupt composé de coteaux avec des sols argilo-calcaires ainsi que des terres plus limoneuses à certains endroits qui jouent sur la diversification de la production. « Sur la même exploitation, nous avons plusieurs variétés de raisins qui nous permettent d’avoir des vins plus complexes », plaide notre interlocutrice. Bordeaux étant une région d’assemblage par excellence, la maison fait honneur à la tradition en réalisant également plusieurs associations. « Nos assemblages s’effectuent selon la typicité de chaque cuve et sont souvent différents pour que nous puissions toujours avoir un même produit au fil des années ». Un vin blanc aromatique et fruité pour des instants de gourmandise En travaillant de nombreuses appellations telles que l’AOC Bordeaux, l’AOC Bordeaux Supérieur et l’AOC Entre-deux-mers, le Château au Grand Paris parvient à proposer une riche gamme de cuvées aromatiques et fruitées. Et bien que le vignoble bordelais soit réputé pour ses illustres vins rouges, la maison désormais certifiée HVE a bâti sa notoriété sur son vin blanc à l’instar de la cuvée Entre-Deux-Mers. Ce vin blanc sec composé de sauvignon, de muscadelle et de sémillon plaît pour ses arômes de fleurs blanches et ses saveurs fruitées sur fond de notes de pêche et de pamplemousse. A vocation apéritive, il accompagne à merveille les fruits de mer, les coquillages, les poissons, les huîtres et les crustacés. Preuve de son excellence : ce produit est régulièrement primé par de grands guides tels que Gilbert & Gaillard. ...

Restaurant Le Central :
une table gastronomique au cœur du Marais poitevin

Tel un refuge à la table gourmande et bien dressée, Le Central est une bonne adresse nichée dans un ravissant jardin, propice au partage de purs instants de bonheur… Une belle occasion de découvrir le Marais poitevin, où la présence des bateliers est une promesse pour de superbes balades à travers des paysages enchanteurs ! Une cuisine délicate avec des produits frais C’est avec un plaisir sans cesse renouvelé que le couple Hervine et Jean-Paul Guenanten vous accueille dans l’univers lumineux de leur restaurant à Coulon, dans le but de vous faire découvrir une cuisine régionale aux gouts du terroir, qui, à travers de belles associations, vous fera voyager dans toute la France et pourquoi pas ailleurs…    Considéré comme l’une des meilleures tables de la Venise verte, Le Central jouit d’un cadre aussi harmonieux que raffiné, sans parler de son patio fleuri ou de sa terrasse, à profiter aux beaux jours. À travers des menus très abordables à base de produits frais, l’établissement propose une formule de midi uniquement en semaine à 17,80 €, incluant un plat-un dessert ou une entrée-un plat. Pour 3 € de plus, accédez à un plat supplémentaire. D’autres formules à 30 et à 45 € sont à ne pas rater. Entre son Foie gras anguilles fumées à la gelée de pomme, son Gratin d’anguilles à la coulonnaise, où les anguilles sont cuites au four avec de l’ail, de l’oignon et de l’échalote, du persil, du vin blanc et du beurre, et son Coing moelleux aux pommes servi avec un sorbet d’angélique… vous n’aurez que l’embarras du choix ! À cela s’ajoute une belle sélection de vins du Bordelais, du Val de Loire, quelques vins de régions entre Loir-et-Cher et Bourgogne. Le restaurant est en mesure de proposer 130 références de vins français et quelques vins étrangers triés sur le volet, provenant d’Afrique du Sud, d’Espagne et d’Argentine. ...

Domaine La Tourraque : une affaire de famille 

Situé dans le Golfe de Saint-Tropez, le Domaine La Tourraque arpente la colline jusqu’à la Méditerranée. La viticulture est une affaire de famille chez les Brun-Craveris. La répartition des tâches pour la bonne marche du domaine se fait donc en ce sens : l’oncle s’occupe des vignes, le père et le frère sont affectés à la vinification, la mère assure l’administration et Sébastien Craveris prend en main le côté commercial et le tourisme. Ce dernier affirme que le site protégé des Trois Caps, au-dessus duquel ils se trouvent, « sera bientôt intégré au Parc national de Port-Cros ». En accord avec ce contexte, le domaine se convertit au bio en 2013.   Le domaine Au domaine La Tourraque, la famille Brun-Craveris s’occupe de 30 ha de vignes. Les qualités argilo-siclicieuse du terroir et ainsi que la fraicheur du climat, emmenée par les vents de la Méditerranée, protègent la qualité des raisins. Les cépages Grenache, Cinsault et Tibouren sont utilisés pour le Rosé qui occupe 70% de la production. Pour le Rouge, la famille utilise le Grenache, la Syrah et le Mourvèdre et pour le Blanc, ce sont le Rolle, l’Ugni­-blanc et le sémillon. Ce qui donne 3 cuvées principales : Joseph brun, Classic et Harmonie. Les 2 hectares restants sont dédiés aux oliviers, puisque le domaine produit aussi de l’huile d’olive. La vinification La collaboration familiale constitue un atout pour les Brun-Craveris. Tout en respectant les traditions et en maîtrisant les caractéristiques de leur terroir, ils utilisent des techniques modernes de vinification. (…) Le moût est fermenté avec des levures indigènes, puis est vinifié dans des cuves en inox thermorégulées avant la mise en bouteilles. Toutefois, le domaine utilise quelques barriques de chêne pour l’élevage. Seules 10% d’entre elles sont renouvelées chaque année pour préserver le côté fruité du vin. L’agriculture biologique Situé sur le Site Classé des Trois Caps qui est un espace protégé, La Tourraque se devait bien de s’accommoder à cet environnement naturel. Ainsi, le domaine a passé trois longues années de conversion avant de voir le label « AB » apposé sur les bouteilles du millésime 2013. Depuis, le rendement a diminué jusqu’à près de 50% au profit d’une meilleure qualité. L’agriculture biologique préserve la diversité. Tous les types de vins de toutes les textures peuvent en être issus. Ces produits sont d’une qualité qui rafle les récompenses des concours régionaux, nationaux, internationaux et mondiaux. Enfin, les vins bio révèlent une authenticité particulière. Le meilleur Sommelier au monde en 1989, Serge Dubs, le résume assez bien en disant que « le bio permet au terroir de s’exprimer pleinement ».   ...

Une clinique de soins pluridisciplinaires
en Île-de-France

Un accompagnement personnalisé Au sein de l’établissement, qui comporte un pôle hospitalisation de 44 lits et un pôle consultations spécialisés, l’équipe médicale compte 7 psychiatres titulaires temps plein; 3 psychiatres attachés spécialisés dans les troubles du sommeil et les troubles du comportement alimentaire ; 2 neurologues ; 1 cardiologue ; ​1 médecin généraliste Interviennent également au sein de la clinique. Ce travail collégial offre au patient des parcours de soins spécifiques pour les troubles bipolaires, la dépression, les addictions, les troubles de la mémoire et de l’attention, les troubles du comportement alimentaire, les troubles du sommeil, les troubles psychotiques, le burn out. « C’est vraiment le personnel soignant et les médecins qui s’adaptent aux besoins des patients » tient à préciser Marie-Laure ROBIN, Directrice de l’établissement elle précise par ailleurs que « Les parcours pour chaque pathologie, sont adaptés pour chaque patient dans une approche personnalisée ». Activités thérapeutiques et programmes de soins Le projet thérapeutique est élaboré dès l’admission. Il vise à proposer des activités thérapeutiques (Mindfull yoga, Affirmation de soi, Atelier du sommeil, Psychoéducation, remise en forme et coaching sportif, EMDR…). Un des atouts de la Clinique du Château est la proposition d’impliquer les proches et la famille dans le processus de soins. « Cette démarche vise à faciliter le rétablissement et la préparation à la sortie» indique la Directrice. Un cadre idéal pour le rétablissement Située dans les Hauts de Seine, dans un lieu propice aux soins et au calme, la Clinique du Château Nightingale Hospitals Paris, jouit d’un parc paysager. Cet environnement de qualité contribue au rétablissement et se double d’une équipe médicale constituée de spécialistes issus des meilleurs services hospitalo-universitaires. Ouverture vers l’extérieur Le projet de la clinique inclus la communication auprès du grand public sur les différents troubles psychiques en associant l’approche soignante et l’expérience des patients et des aidants. A ce titre des manifestations sont organisées régulièrement dans l’établissement sous différentes formes. (l’agenda est disponible sur le site de la clinique). Le Dr Masson, Coordinateur médical de la Clinique du Château est aussi très impliqué dans  une démarche de formation auprès des médecins généralistes (organisation de plusieurs sessions par an) ainsi que dans la communication auprès du grand public. ...

Restaurant Le Marjolin :
une ambiance conviviale, une cuisine de tradition

Dans ce petit nid douillet, le couple Polizzi, leur équipe et leur sourire réservent un accueil jovial à ceux qui franchissent les portes du Marjolin. Le chef, lui, se plait à émoustiller les papilles avec des mets faits maison, élaborés à partir de produits frais et de saison. Des mets copieux et authentiques Au restaurant Le Marjolin, les merveilles culinaires préparées par le chef Polizzi sont mises en scène sur une carte composée de trois entrées, de trois plats et de trois desserts. « Elle est renouvelée chaque semaine pour promettre qualité et fraicheur à tous nos clients », se félicite Mme Polizzi, la propriétaire. Épices variées, fruits et légumes un peu exotiques y sont aussi à l’honneur et procurent une note inédite aux plats classiques français. Le repas peut débuter avec le Saint-Marcellin rôti et jambon cru ou le Raviole de langoustines et bisque maison. Vient ensuite le moment d’apprécier le Filet de daurade rôti à l'huile de sésame ou le Quasi de veau poêlé aux girolles. Le répertoire des desserts, quant à lui, chante quelques grands classiques comme le Cheesecake au citron vert ou la Tartelette chocolat-noisette. Une carte des vins surprenante Le restaurant Le Marjolin détient une belle collection de vins qui rehaussent les saveurs des repas. Sa cave à vins est essentiellement composée de « petites perles issues des domaines assez peu connus », selon les précisions de la propriétaire. Parmi la trentaine de références, on peut citer le chardonnay du Domaine Gaget, le Blaye Côtes de Bordeaux ou encore le champagne Dosnon Récolte noire. ...

Petit Déjeuner étoilé : commencer sa journée avec la touche du chef

L’idée de Petit Déjeuner étoilé apparaît en esquisse dans l’esprit de la fondatrice après une longue collaboration en 2014 avec le chef du plaza athénée. Son créneau était alors les cadeaux sur mesure. En rencontrant l’illustre Christophe Michalak, le concept prend forme. Proposer à la fois le goût exquis d'un chef, associé au chic d'un coffret de luxe, des produits frais et de grande Qualité le tout pour créer un moment conviviale et de bien être au bureau ou à la maison. Un cadeau pour démarrer sa journée... Des formules au choix pour démarrer du bon pied Aujourd’hui, Petit Déjeuner étoilé propose trois formules, une sous coffret individuel de luxe, l'autre en partage sur un plateau et enfin la formule sans packaging avec ou sans abonnement. « La première (formule) que nous avons créée, se présentait et se présente toujours sous forme de coffrets individuels à composer selon ses goûts, avec des pièces signés par nos chefs, dont quatre créations sucrés et une salée », précise le co-fondateur de la marque, Gary. Thé, café et jus d’orange complètent bien sûr ce petit déjeuner que le client va pouvoir composer à sa guise. Ensuite, pour répondre à des besoins de plus en plus spécifiques et variés, l’enseigne a développé une formule à la carte (sans packaging). Ici, les viennoiseries arrivent chez le client sous forme de plateau ou en vrac. Au choix, les créations sucrées – viennoiseries et autres gourmandises – des deux chefs actuels (christophe michalak et Philippe Conticini) qui collaborent avec la marque. Dans cette catégorie, tout est possible. L'on peut choisir entre différents pains – seigle, céréales, de campagne –, du cake ou de la madeleine. Panna cotta,  salades de fruits de saison en verrines et fruits frais en damiers figurent également dans la carte qui se veut adaptée aux personnes recherchant des idées de petit déjeuner healthy. Plutôt salé ? Le client peut commencer sa journée avec les sélections de mini-sandwichs.  Une partition pour deux chefs Si vous êtes plus nombreux, Petit déjeuner étoilé propose également de se retrouver pour un démarrage en toute convivialité grâce à la formule buffet. Un service proposé sur devis et déployé avec les dispositifs adéquats – argenterie, porcelaines, personnel est mis à votre disposition. Dans tous les cas, les offres de la marque ont été amoureusement concoctées par deux chefs de renom : Christophe Michalak et Philippe Conticini. Le premier signe, par exemple, la « Cassolette de pain perdu revisité ». Une "brioche perdue" que le pâtissier agrémente d’une crème à la vanille Bourbon. La préparation est ensuite caramélisée et grillée. Âme d’enfant retrouvée également avec le « Sablé gianduja noisettes » où le nappage gourmand donne un caractère à part au croustillant d’une pâte sablée parfaite. ...

Merci Bernard : une cuisine urbaine et gouteuse

2014 est une année riche en émotions pour ChampikaWijesekera et Fanny Jospeh. Le couple ouvre son premier restaurant, qu’il décide de nommer Merci Bernard, en référence à unprivatejoke entre la propriétaire et sa meilleure amie. Une déco conviviale et sans chichis Dès l’extérieur, l’établissement appelle à la convivialité. On ne s’imagine pas que derrière ce bâtiment à la façade noir et blanc, au logo visuellement graphique et contemporain, se cache un excellent restaurant. Une fois que vous pénétrez dans la salle, vous êtes touché par toute la simplicité et l’esprit cosy qui s’en dégagent. Les tables sont entourées de chaises rouges apportant de la dynamique à la décoration. Merci Bernardprône une cuisine dite urbaine.Les produits du terroir garnissent les assiettes copieuses concoctées par le chef ChampikaWijesekera. Justement, parlons-en de ce passionné des fourneaux originaire du Sri Lanka. Après avoir forgé ses armes pendant près de 17 ans dans de nombreux restaurants parisiens,ChampikaWijesekerafinit par voler de ses propres ailes, en ouvrant son restaurant à Carquefou, petite commune tranquille située au nord-est de Nantes. Son épouse Fanny Jospeh l’épaulera dans cette belle expérience. Le rendez-vous des gourmands La maison propose une carte riche et gourmande aux saveurs du monde. En entrée, l’honneur est bien évidemment donné au Sri Lanka avec les rolls présentés sous forme de rouleaux de pommes de terre et garnis de poireaux et de thon. Envie plutôt d’une escapade en Espagne ? La quesadilla n’attend plus que d’être dégustée. Elle est délicieusement constituée de tortilla de blé, de guacamole, de cheddar fondu et de salade. Pas de panique. Merci Bernard n’a pas oublié ceux qui désirent manger « léger ». Le chef a prévu une sélection de salades intitulées Popeye, Chèvre, Caesar ou Bernard. En plat de résistance, place à des mets plus consistants à l’instar des incontournables burgers qui sont des ambassadeurs de cette cuisine urbaine que veut promouvoir le restaurant. Plusieurs déclinaisons sont proposées : Montagne, Anglais, Veggie, Seguin, Classique… En outre, la maison sert des fajitas ou encore des travers de porc à la sauce barbecue. Et pour terminer en beauté ce voyage culinaire, les classiques cheese cake et brownie feront le bonheur de tous. Tous les jours, la maison sert aussi des plats et des desserts classiques mais qui varient quotidiennement : de quoi permettre aux clients de découvrir à chaque fois de nouvelles saveurs. Outre cette carte, quatre menussont disponibles : à 8 € (enfant), à 11,50 € (formule midi), à 14,90€ (formule Bernard) et à 17 € (formule Grand Bernard). Le menu Bernard est notamment constitué d’un burger ou d’un plat ou d’une salade, avec un dessert ou une entrée. Les producteurs locaux à l’honneur Bien qu’il soit assez jeune, puisqu’il a été lancé en 2014, le restaurant Merci Bernard a déjà réussi à se construire une solide réputation grâce à la fraicheur et à la qualité de ses plats. Il faut dire que l’établissement travaille énormément avec des producteurs locaux.Boucher, boulanger, fromager, maraicher… tous les fournisseurs sont basés à Carquefou ou dans ses environs. Même pour le choix des vins, Fanny Jospehet ChampikaWijesekerafont confiance à un caviste sis à Nort-sur-Erdre. Celui-ci se charge de sélectionner les meilleures appellations en accord avec les plats servis au sein du restaurant. Les vignerons de Carquefou sont privilégiés. ...

Palais Bénédictine : l’extraordinaire histoire de Bénédictine

À Fécamp, à 2h15 de Paris et à 1h de Deauville se dresse un majestueux palais du XIXe siècle. Derrière sa façade à l’allure irrésistible, œuvre de l’architecte Camille Albert, se cachent des espaces consacrés à l’art, à l’Abbaye de Fécamp et à Bénédictine ainsi que la distillerie et les caves dans lesquelles repose la célèbre liqueur. Composée de 27 plantes et épices, sa recette fut redécouverte par Alexandre Le Grand. Ce grand visionnaire donnera à Bénédictine une renommée mondiale. Tout commence par un vieux grimoire… Entre le XVIe et le XVIIIe siècles, des moines ont créé d’innombrables élixirs en usant de techniques spécifiques de distillation et en faisant appel à leurs connaissances autour des épices et des plantes. Les moines bénédictins de l’Abbaye de Fécamp n’ont pas dérogé à cette tradition. Au sein de ce monastère, un des moines répondant au nom de Dom Bernardo Vincelli s’illustre par son haut savoir. Adepte de l’alchimie et de l’herboristerie, le personnage s’intéresse de très près aux méthodes de distillation et aux plantes, ce qui l’amène à créer un élixir de santé naturel en 1510. Ce précieux breuvage fut produit jusqu’en 1789. La Révolution française a tout ravagé sur son passage et a entraîné dans son sillage la perte d’un savoir-faire. Quant au manuscrit contenant la recette originale, il a été, par chance, préservé par un des derniers moines de l’Abbaye qui l’a confié au grand-père d’Alexandre Le Grand. En 1863, au détour de sa bibliothèque, ce négociant en vins de Fécamp retrouve ce vieux grimoire, qui retient toute son attention. Il y découvre l’intrigante recette qu’il veut à tout prix reconstituer, et y parvient après plus d’une année de travail. De là renaît l’élixir, devenu liqueur, et baptisé Bénédictine. On sait que celle-ci est composée de 27 plantes et épices dont la myrrhe, l’hysope, l’angélique, le safran, la noix de muscade ou encore le clou de girofle, mais la recette complète est tenue secrète. Pour contenir Bénédictine, pas question pour Alexandre Le Grand de choisir une quelconque bouteille. Il crée ainsi un flacon résolument élégant aux proportions et à l’allure si parfaite qu’il inspire de nombreux artistes pour ne citer que Paul Gauguin, Douanier Rousseau, Wesley Webber… Haut lieu de l’art et de l’industrie Mais créer une bouteille unique ne suffit pas. Alexandre Le Grand voit plus grand encore pour sa précieuse liqueur et décide de construire en son honneur un palais-usine. Il mène ce projet aux côtés de l’architecte Camille Albert, spécialiste du néo-gothique, et de nombreux artisants d’art, dont Marrou, génie des ferronneries et des faîtages. D’inspiration gothique et Renaissance, ce chef-d’œuvre architectural devient le lieu de production de Bénédictine ainsi qu’un musée. Il abrite effectivement une impressionante collection d'art formée par Alexandre Le Grand et composée d’un riche ensemble de peintures, ferronneries, ivoires, émaux sans oublier la bibliothèque de plus d’un millier d’ouvrages dont la plupart rédigés par des moines bénédictins. Bien entendu, une grande partie de ce sanctuaire sera consacrée à Bénédictine et à ses 500 ans d’histoire. Une salle retraçant son historique est à découvrir, exposant, entre autres, une partie des 1000 contrefaçons de Bénédictine retrouvées dans le monde. Car, oui, la liqueur attise toutes les convoitises par sa renommée mondiale et ses saveurs subtiles. Une salle des épices exposant les ingrédients composant Bénédictine est également ouverte au public. La visite continue dans la distillerie où sont entreposés les alambics en cuivre martelé dont certains datent de la fin du XIXe siècle et qui servent encore aujourd’hui à élaborer la liqueur. À savoir que le Palais en est le seul et unique lieu de production au monde. Apr&egr...

ANDAR : favoriser l’empowerment du patient face à la polyarthrite rhumatoïde

La polyarthrite rhumatoïde (PR) est une maladie chronique qui provoque l’inflammation des articulations à l’origine de gonflements articulaires et de douleurs. Elle est dite « auto-immune » car elle résulte d’un dérèglement du système immunitaire qui se retourne contre les articulations provoquant leur destruction sans prise en charge adaptée. Bien qu’elle puisse se manifester dès l’enfance, à l’adolescence ou chez les sujets âgés, la maladie se déclenche davantage autour de 50 ans et concerne plus souvent les femmes. « Jusqu’ici, un flou entoure les origines précises du déclenchement de la PR », nous explique Sonia Tropé, directrice de l’ANDAR. Toutefois, on sait que le tabac reste le facteur environnemental le plus connu. S’il est associé à un terrain génétique favorable, le risque de déclencher une polyarthrite rhumatoïde devient alors plus élevé. Selon notre interlocutrice, « cette maladie est mal connue du grand public ». L’ANDAR est donc née dans une volonté de mieux sensibiliser autour de la PR, mais pas que… Un accompagnement et une information de qualité dans la gestion de la maladie « Un des principaux objectifs de l’ANDAR est de servir de trait d’union entre patients et professionnels de la santé pour améliorer la relation de soins, contribuer à la mise en place de la décision médicale partagée et favoriser l’implication du patient », fait savoir la directrice. L’association régie par la loi 1901 a été créée sous l’impulsion de personnes atteintes de polyarthrite appuyées par un réseau de professionnels de la santé qui jusqu’à aujourd’hui, continuent de collaborer de manière constructive avec elle. En plus de participer au développement de la recherche en accordant une bourse annuelle financée en partie grâce à la course Polyar’trottons®, elle a pour vocation de mettre à disposition des patients, des proches et des soignants une information validée sur la PR. « Nous veillons systématiquement à ce que l’information fournie soit justifiée par des publications ou des avis d’experts », tient à souligner Sonia Tropé. Une association aux nombreuses actions innovantes Proposer les formations gratuites en ligne fait partie des moyens mis en œuvre par l’ANDAR pour diffuser l’information sur la PR. Ce MOOC (Massive Open Online Course) est accessible à tous y compris ceux qui ne sont pas adhérents de l’association. Il en est de même pour les webconférences qui invitent chaque mois un expert à venir développer un sujet en lien avec la maladie. Ces conférences interactives sont disponibles en live ainsi qu’en replay. Dans ce même élan, l’ANDAR a développé une plateforme d’information autour de la problématique du travail et de la maladie chronique qui s’adresse aux personnes œuvrant dans le secteur privé ou public, sorties du monde du travail ou à la recherche d’un emploi. Pour rester informés sur la polyarthrite rhumatoïde et sur l’ANDAR, inscrivez-vous à la newsletter mensuelle ! http://bit.ly/ANDARNL ...

PALM HOTEL & SPA : le luxe dans un environnement authentique

PALM HOTEL & SPA est implanté dans la partie Sud de l’île de La Réunion, région la plus authentique et encore sauvage. C’est l’endroit idéal pour passer un séjour des plus relaxants et vivre de vrais moments de sérénité et d’évasion. Le Sud sauvage et ses merveilles Le sud représente la partie encore vierge de l’île. Les visiteurs y découvrent le charme d’une nature tropicale intacte où la luxuriance de la végétation ne fait qu’accentuer la sensation d’immensité et d’espace. En empruntant une petite route qui longe quelques champs de cannes à sucre, les visiteurs débouchent sur une jolie baie entourée de sable corallien, bordée de palmiers et de cocotiers. La beauté de l’endroit est tout simplement époustouflante.  Niché sur les hauteurs d’une falaise, PALM HOTEL & SPA offre aux visiteurs une vue panoramique sur la baie de Grand’ Anse et ses alentours. Un endroit paradisiaque Point de départ privilégié pour l’exploration de nombreux sites inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO, PALM HOTEL & SPA s’établit dans un lieu à couper le souffle mêlant luxuriance, charme et nature tropicale. Jouissant d’une vue panoramique exceptionnelle, les visiteurs s’imprègnent de l’ambiance à travers toute une palette de couleurs qui s’offrent à leurs yeux ébahis. D’un côté la mer et son bleu intense et de l’autre des nuances de verts avec la montagne, les fleurs et les champs de canne à sucre. Un décor empreint d’authenticité Dans un somptueux jardin aux allures de cartes postales, les hôtes évoluent à travers une multitude de palmiers endémiques. Dès leur entrée dans le hall de la réception, ces derniers remarquent une charpente qui rappelle celle des anciennes demeures créoles. Un mur bâti en pierre de lave, une cloison de bois ajourée, des paillottes en vétiver ou encore des bardeaux sur les toits, ici la décoration s’embellit avec de petites touches réunionnaises. De luxueuses chambres dans une ambiance cocooning En tout, 4 catégories de chambres sont proposées par l’établissement : les chambres de luxe, les chambres supérieures, les suites familles et les suites classiques. Leur point commun ? Outre leur exotisme et leur raffinement, elles offrent une vue imprenable sur la baie de Grande Anse et sa belle plage de sable blanc. A l’intérieur des chambres, le décor revêt un style contemporain original mêlant exotisme et raffinement. Les portes et le plancher accueille des matières nobles comme le palissandre, le tatajuba ou encore l’Ipé. Les salles de bains sont dotées de doubles vasques en marbre. Bref, tous les ingrédients sont réunis pour faire de ces lieux, de véritables havres de paix. Un établissement engagé Conscient de l’importance de l’environnement sauvage dans lequel il est implanté, PALM HOTEL & SPA a entrepris une démarche visant à le préserver de manière durable.  En effet, l’établissement s’est engagé en faveur d’un tourisme responsable et est certifié «Ecolabel Européen, services d’hébergement touristique». L’utilisation d’énergies renouvelables, le tri et la réduction des déchets, la gestion de la consommation de l’eau ainsi que la promotion du circuit court, tels sont les engagements écologiques pris par l’établissement afin de contribuer au développement durable de la région. ...

Abbaye de Pontigny : symbole de l’esprit d’innovation cistercien

Considérée comme la plus grande église cistercienne d'Europe, cet exceptionnel patrimoine des XIIe et XIIIe siècles, témoigne de la transition entre art roman et art gothique (première utilisation de la voûte d'ogive en Bourgogne). Un prestigieux patrimoine Après la Révolution, seuls l'église et le dortoir des Convers ont été préservés. L'ensemble du domaine, acquis en 1910 par Paul Desjardins -professeur à l'Ecole Normale Supérieure- a accueilli jusqu'en 1939 un grand nombre d'intellectuels internationaux, dans le cadre des "Décades de Pontigny". A découvrir, entre autres témoins de l'innovation cistercienne, le prestigieux vignoble de Chablis, dont la réputation doit beaucoup aux moines et convers de Pontigny. ...

Posdcast IFSI Institut Hospitalier Franco-Britannique

Bonjour Madame Benali.   Danielle Benali : Bonjour Emmanuelle ! Pour commencer, vous pourriez nous expliquer ce qu’est l’IFSI ? Danielle Benali : L’Institut de Formation Soin Infirmier est un institut qui a plusieurs formations dans ses cordes. Il y a les formations soin en infirmier, aide-soignant et auxiliaire de puériculture. Pour être précis, votre école s’appelle l’IFSI Britannique Œuvre du Perpétuel Secours. Un nom, qui j’imagine chargé d’histoire, non ? Danielle Benali : Historiquement, l’IFSI ou l’Institut de Formation en Soin Infirmier était et est toujours d’ailleurs sous l’égide de l’Œuvre du Perpétuel Secours. Nous étions rattachés à l’hôpital franco-britannique à Levallois-Perret. En 2019, l’hôpital a été repris par la Fondation Cognacq Jay. Cependant, la fondation n’a pas repris l’Institut de Formation Soin Infirmier. Nous sommes donc devenus un centre de formation indépendant, mais toujours sous l’égide de l’Œuvre du Perpétuel Secours. Nous avons gardé historiquement notre nom d’Institut de Formation Soin Infirmier de l’Institut Hospitalier Franco-Britannique, parce que nous étions rattachés depuis nombreuses années à ce centre hospitalier. Aussi, nous avons gardé des rapports très privilégiés avec l’hôpital franco-britannique à Levallois puisqu’il nous accorde une majorité de place concernant les stages pour nos élèves et nos étudiants. Depuis cette année 2022, nous avons intégré le pôle santé du groupe SOS, plus précisément depuis Juin 2022. Combien d’année d’étude il faut pour être diplômé de ces trois métiers ? Danielle Benali : Pour les infirmiers, c’est toujours 3 ans. Pour les auxiliaires de puériculture, c’est quasiment sur une année avec une rentrée en septembre également et une sortie en juillet de l’année d’après. Pour les aides-soignants, nous avons une rentrée en janvier, pour une sortie en décembre de la même année. Donc, on va voir la prochaine rentrée en Janvier 2023 pour une sortie en Décembre 2023. Ce qui est intéressant dans votre école Madame Benali est que nous nous formons à ces métiers en alternance. Comment cela se passe exactement ? Danielle Benali : Les aides-soignants et les auxiliaires de puériculture ont à peu près un parcours identique. C’est le contenu de formation qui n’est pas pareil. Les lieux de stage sont aussi différents. Ils ont 3 périodes de 5 semaines de stage et un quatrième stage qui est de 7 semaines. Ce dernier correspond à un stage qu’on pourrait parler de pré-professionnel pour qu’ils soient déjà immergés soit dans une structure où ils vont être embauchés, soit pour découvrir une typologie de service et de soin qu’ils n’ont pas pu découvrir jusqu’ici. Pour les infirmiers, ils ont des stages sur les 3 années. Il y a 15 semaines de stage sur la première année, 20 semaines de stage sur la deuxième année et 25 semaines de stage sur la troisième année. Puis, il y a ce qu’on appelle le service sanitaire durant la deuxième année, qui leur permet de faire des actions de prévention. Cela est organisé par l’IFSI. Les étudiants sont répartis au niveau de structure comme la médecine du travail, la médecine scolaire, mais aussi dans les établissements d’hébergement pour les personnes âgées dépendantes, les entreprises et tous ces lieux où on peut faire de la prévention. Et donc pour vos étudiants et élèves un peu plus voyageur, vous avez des partenariats un petit peu partout en Europe avec d’autres écoles. Ils peuvent partir à l’étranger pour continuer leurs études ? Danielle Benali : L’Institut de Formation de l’IHFB (Franco-Britannique) a eu la charte Erasmus depuis de nombreuses années. Cela va faire quasiment une dizaine d’année et nous avons un partenariat avec environ 13 partenaires européens, avec l’Espagne, le Portugal, l’Italie, la Suède, la Belgique. Nous avons également des partenariats internationaux puisque nous avons aussi un partenariat...

Château Grillon : un vin capricieux d’origine Barsac

Champignon Capricieux et ruisseau nonchalant Si l'homme cultive la vigne aux quatre coins du Globe, il est un phénomène unique au Monde qu'il ne peut domestiquer : le développement sur les raisins du champignon Botrytis Cinerea responsable de la Pourriture Noble des vins liquoreux de Sauternes. Pour que ce champignon capricieux se développe harmonieusement sur des raisins mûrs, il lui faut une alternance de matinées automnales humides et d'après-midi ensoleillés. Sans la présence de la première, le champignon ne se déploie pas et il se transforme en vulgaire pourriture grise sans l'assistance du second.  A Sauternes, les conditions de développement du Botrytis Cinerea sont assurées par le Ciron, un affluent nonchalant de la Garonne qui enveloppe, à l'approche des vendanges, le vignoble de brumes matinales. Le champignon s'accroit alors et crée de nombreuses microfissures dans la paroi de la baie : cette dernière devient le siège de processus enzymatiques qui vont baisser l'acidité du moût et élaborer des arômes propres à la Pourriture Noble. En fin de matinée le brouillard cède sa place au soleil qui sèche les raisins et interrompt le développement du champignon.  Les microfissures laissent s'évaporer l'eau contenue dans le raisin dont le volume diminue et la concentration en sucre et en arômes augmentent naturellement. Le lendemain le soleil succèdera à nouveau aux brumes matinales... La Pourriture Noble au Château Grillon Pour que l'alchimie soit parfaite, il convient non seulement que les raisins soient parfaitement mûrs avant que ne se développe le Botrytis mais aussi que les brouillards matinaux soient le plus intenses possible à l'approche des vendanges. Or, le château Grillon est idéalement situé au faîte du plateau Calcaire de Barsac en son extrémité Nord : cette élévation et la texture du sol assurent un drainage naturel idéal pour la maturation des raisins. De Plus, c'est au Nord du plateau que circule le Ciron, à moins de 200 m des premières parcelles du château. A Grillon, la Pourriture Noble a trouvé sa terre promise ! ...

Maison Ravoire : la légende des Vins...

Installée dans la région depuis des siècles, issue d’une lignée de chevaliers, la Maison Ravoire produit et distribue des vins sous les AOP Côtes de Provence et pour la Vallée du Rhône en appellations Côte-Rôtie, Crozes-Hermitage. Saint-Joseph, Châteauneuf-du-Pape, Gigondas, Vacqueyras, Cairanne, Sablet et Côtes du Rhône. Vins Ravoire, un savoire-faire séculaire... Son passé prestigieux, présent depuis 1593, a permis à la famille de produire son vin autour de valeurs fortes comme la passion, l’humain ainsi que le respect de la nature. Ces qualités se démarquant particulièrement à travers des marques phares comme Manon ou Maison Ravoire. Depuis quelques années, la famille s’est également engagée dans une démarche environnementale exigeante. Cette démarche leur a notamment permis d’obtenir un bilan carbone (GES) classé Scope 3. ...

QUANTUM ROOMS : une expérience unique d’escape game

L’escape game est devenue rapidement une attraction phare aux quatre coins du monde. Devant une concurrence de plus en plus vive, chaque enseigne rivalise d’ingéniosité afin de tirer son épingle du jeu. De l’originalité, c’est ce que propose QUANTUM ROOMS à travers la création de son propre scénario qui le caractérise des autres grandes enseignes franchisées. Le concept QUANTUM ROOMS : un scénario bien ficelé Dompter le temps et pouvoir le remonter à sa guise, les concepteurs de chez QUANTUM ROOMS seraient-ils des visionnaires ou de grands rêveurs ? Toujours est-il que le scénario développé s’articule autour du voyage temporel. Pour faciliter l’immersion et mettre les joueurs au parfum, le maître du jeu  les convie à un briefing durant quinze minutes. Une fois briefé, le groupe incluant trois à six joueurs se voit investir d’une mission de sauvetage d’un genre particulier. Très vite plongés dans l’ambiance grâce à un décor qui s’adapte merveilleusement bien à la thématique proposée, ils doivent retrouver rapidement un scientifique qui a réussi tout bonnement à se perdre dans l’espace-temps. À la recherche d’éventuels indices, ils vont devoir fouiller l’appartement du professeur Cortex et tenter de résoudre des énigmes. C’est seulement après les avoir résolues que les participants pourront trouver le moyen de voyager dans le temps. Ainsi, QUANTUM ROOMS suggère un scénario captivant qui ne manquera pas de tenir les participants en haleine. Après la mission, une séance de débriefing avec le maître du jeu permettra de revenir sur les temps forts et d’aborder les lacunes constatées au cours du jeu. QUANTUM ROOMS : pour le plaisir des petits et des grands Pour satisfaire un grand nombre de participants, l’enseigne a fait en sorte d’adapter ses créations afin de toucher un large public. À partir de dix ans, les jeunes peuvent s’embarquer pour une expérience de voyage temporel inédit. Bientôt un anniversaire à fêter ? Les parents pourront compter sur QUANTUM ROOMS pour marquer l’événement comme il se doit. Pour les plus grands, ce sera l’occasion idéale de s’amuser entre amis tout en renforçant les liens autour d’une activité intéressante. Idem pour ceux qui se côtoient uniquement au bureau. Il faut savoir que les entreprises représentent 50 % du public des salles parisiennes. QUANTUM ROOMS propose aussi ses offres aux entreprises pour des séances de team building réussies. Rien de tel qu’un escape game pour consolider l’esprit d’équipe. En effet, dans le but d’atteindre l’objectif de la mission qu’on a assignée aux participants, le travail en équipe est plus que nécessaire. De leur faculté à bien communiquer et à coordonner les efforts dépendra la réussite ou l’échec de la mission. Pour l’instant, QUANTUM ROOMS ne dispose que d’une salle pouvant accueillir au maximum douze personnes en deux groupes qui devront alterner l’un après l’autre. Pas de panique ! À partir du mois de décembre, la capacité d’accueil sera revue à la hausse avec la création d’une seconde salle. Grâce à ces deux salles, il sera possible d'accueillir soit douze personnes en deux groupes avec un dans chaque salle, soit vingt-quatre personnes en quatre groupes, deux groupes passant d’abord pendant que les deux autres patientent, puis en inversant. Avec la seconde salle, selon la durée de l’événement, les groupes peuvent aussi alterner encore une fois pour que chaque groupe puisse faire aussi la seconde salle de jeu qu’il n’avait pas fait. ...

Le Clos d'Augusta : la charmante maison bordelaise

A deux pas du Centre Mériadeck, une maison au charme indéniable attire et séduit : Le Clos d’Augusta. Installé dans l’ancienne Bûcherie, le restaurant fait la fierté de ses propriétaires Samuel et Cristina Zuccolotto depuis maintenant treize ans. Avec dynamisme et passion, ils se surpassent au quotidien dans le but de satisfaire au mieux les attentes de leurs convives. En cuisine, Samuel enfile sa toque et surprend avec ses plats aussi originaux que savoureux. En salle, Cristina s’occupe de l’accueil et apporte une attention particulière à chaque convive tout au long de leur repas. Un havre de paix en pleine ville Dès l’entrée, la salle dégage une douce chaleur qui confère une ambiance feutrée et cosy. Travaillée et soignée, la décoration allie à la perfection le parfait mariage entre l’ancien et le contemporain. D’un côté, la salle arbore le style colonial et opte pour une couleur beaucoup plus sobre afin de ressortir son côté raffiné. De l’autre, le mélange blanc et vert révèle un brin de dynamisme et apporte de la modernité à l’ensemble. Mais au Clos d’Augusta, rien n’a été fait au hasard. A commencer par cette couleur verte qui a une importance particulière pour Samuel. En effet, elle reflète sa passion pour le golf. Ainsi, la moquette, les poutres apparentes et les vaisselles portent cette teinte vivifiante. D’ailleurs, il confie que le nom du restaurant a été inspiré par Augusta, le célèbre tournoi des maitres dédié aux golfeurs professionnels. Par ailleurs, la disposition des tables vise à apporter plus d’intimité, un critère particulièrement important pour une clientèle exigeante. Pour couronner le tout, les lumières subtilement disposées à travers la salle apportent un coup d’éclat à l’ensemble. Et, à l’extérieur, le jardin du restaurant prépare à une toute autre surprise. Véritable havre de paix, c’est l’endroit parfait pour un diner ou un déjeuner en toute sérénité. L’occasion pour les convives de passer une expérience culinaire inédite tout en admirant la beauté de la nature. Une cuisine créative Mais la surprise ne s’arrête pas à la décoration, elle est aussi et surtout présente dans l’assiette. En effet, les plats surprennent autant par leur présentation que par leur goût. Derrière ce grand art se cache un chef créatif et  méticuleux : le chef Samuel Zuccolotto. Sans chichi, il revisite à la perfection les grands classiques et apporte une touche personnelle qui révèle sa parfaite maitrise des textures et des saveurs. Sans les dénaturer, il transforme les produits soigneusement sélectionnés sur le marché en des vrais chefs-d’œuvre culinaires. Parmi ces spécialités : le ravioli de langoustines, maïs à la vanille et voile de pistache qui révèle toute la fraîcheur des saveurs marines, le succulent dos de lieu jaune de ligne aux coquillages et céleri fondant qui promet une aventure gustative riche en émotions ou encore le dessert tout chocolat à la confiture de mangue qui apporte une sensation de douceur. Il est à noter que pour chaque plat, le chef arbore fièrement le « fait maison » y compris pour le pain. A midi, avec le menu affaire à 25 €, le chef Samuel propose une entrée, un plat de résistance et un dessert. Le soir, les convives peuvent composer eux-mêmes leur menu en optant pour l’Augusta à 47 € ou se laisser surprendre par un menu, choisi pour l’ensemble de la table avec la formule découverte à 67 €. En outre, il propose une carte qui évolue au rythme des saisons et qui se compose de plats particulièrement raffinés. Pour accompagner le repas, Cristina expose la magnifique collection de vins de l’établissement et dévoile ainsi son talent de sommelière pour conseiller les convives dans leur choix. ...