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Interview avec Frédéric Robert
Chef du restaurant La Grande Cascade



Restaurant
1 étoile au Guide Michelin
situé à Paris
Région Île-de-france

Dans votre restaurant, comment définissez-vous votre cuisine ? Quels sont vos plats «Signature»? Avec quels produits aimez-vous travailler ?

Frédéric Robert Ma cuisine est classique, dans la lignée de ma formation dans les grandes maisons parisiennes. J'aime réinterpréter des grandes recettes et les affiner avec des techniques actuelles tout en tenant compte de l'évolution des attentes de la clientèle. En tant que cuisinier à Paris, je me permets plus de choses ! Je n'ai pas l'obligation de travailler avec des produits locaux. Ma préférence va sans nul doute aux produits sauvages : champignons, poissons, crustacés, coquillages et gibiers.
Mes Recettes signatures :
Le Cèpe cru et cuit (variation de 3 températures et 3 textures)
Le Ris de veau aux herbes à tortue (mélange d'épices et d'herbes fraîches savamment dosées)
Turbot de l'Atlantique, morilles, fins coquillages, ravigote au cresson de fontaine

Quelles émotions avez-vous ressenties lors de la remise des étoiles du Guide Michelin ?

FR Vous allez trouver ça drôle, mais en 35 ans de carrière, je n'ai jamais été récompensé personnellement. J'ai su conserver les étoiles déjà attribuées dans les différentes cuisines que j'ai fréquentées (3, 2 et 1 étoile). Mais comme j'aime dire : les gagner c'est bien, les conserver c'est mieux.

La cuisine est faite chaque jour de partage et d'émotions. Toutefois, certains moments de la vie sont à privilégier plus que d'autres... Pouvez-vous nous confier vos plats rêvés pour :
- Un repas de Noël ?

FR Un apéritif au coin de la cheminée avec des petites pièces de foie gras, jambon ibérique, huîtres Gillardeau, croque-monsieur à la truffe, puis un plat à partager servi à table. Je pense par exemple à une volaille de la Cour d'Armoise au vin jaune ou un turbot cuit entier au four au champagne, un brie à la truffe avec du pain de campagne juste toasté et une bûche aux marrons comme faisait ma grand-mère !
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© Pauline Legoff

- Un repas de la nouvelle année ?

FR Je finis toujours l'année avec la même bande de copains. En entrée/apéritif, on mange un toast de pain de campagne, légèrement beurré de demi sel de chez Belvère et agrémenté de truffe noire en lamelle épaisse. A suivre, un grand plateau de fruits de mer, des fromages de la maison Quatrehomme, et on termine avec un St Honoré de Philippe Conticini et des chocolats de chez Patrick Roger. Tout cela accompagné d'un champagne Bolinger.
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- Un repas de la fête des mères ou des pères ?

FR Une grande table dans le jardin avec enfants et petits-enfants, des asperges vertes et blanches sauce ravigote à ma façon (c'était le plat préféré de ma mère), une côte de boeuf de Salers maturée 36 jours à la braise, des pommes de terre à la cendre avec de la crème épaisse de chez Belvère et de la ciboule.

Au fait, pour votre mariage, qui a fait la cuisine ? Pouvez-vous nous indiquer les plats cuisinés ?

FR Céline et moi, nous nous sommes mariés en Normandie dans la demeure de mes beaux-parents. Déjà à l'époque, je ne pouvais pas concevoir de confier mon repas de mariage à un traiteur. C'est donc l'équipe du Grand Véfour qui est venue sur place pendant 2 jours, un moment exceptionnel, nous avons même fait la pièce montée ! En menu, on a mangé un homard breton rafraîchi au melon verveine, des morilles jumbo aux herbes poivrées, sauce soja, une côte de veau de Corrèze au grill avec des girolles et du vin jaune.
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© Pauline Legoff

Sans trop réfléchir, pouvez-vous nous confier votre plus beau souvenir gustatif et certaines des émotions procurées ?

FR C'était il y a une vingtaine d'années, un dîner dans le Piémont en compagnie d'Alain Senderens, dans un petit restaurant au milieu de nulle part avec une grand-mère en cuisine. Des pâtes fraîches à la truffe d'Alba... Cette auberge dans la montagne, cette région magnifique en automne, le soyeux des pâtes et le parfum de la truffe blanche : la pureté même dans la simplicité.

D'après la célèbre devise de Prosper Montagné "On ne fait du bon qu'avec du très bon", pouvez-vous nous révéler deux ou trois de vos adresses gourmandes. Vos producteurs et produits préférés sur votre région ou ailleurs (vins, produits frais, ou autres...)

FR L'Ambroisie place des Vosges : la gastronomie française dans toute sa splendeur
Chez Georges, boulevard Péreire : le vrai bistrot parisien comme j'aime
Bon, rue de la Pompe : la cuisine thaï dans toute sa subtilité, le décor Starck
Mes producteurs préférés :
Poisson : les produits noirmoutrins, la mer à l'état pur
Viande : Boucherie de la Sablière, son boeuf de Salers, son veau de Dordogne, son agneau du Pays d'Oc
Champignons : Guillaume à la Compagnie du Bocage
Foie gras du Sud-Ouest : maison Laffite
Truffe noire : Jérôme Gallis

On parle aujourd’hui beaucoup de cuisine fusion, de plats végétariens, d'aliments biologiques, de « Trashcooking » (ingrédients destinés normalement au rebus), de « Freakshakes » pour marier un dessert à une boisson... Selon vous quelles seront les grandes tendances de la cuisine de demain ?

FR La tendance de demain a toujours été ma tendance, le produit à l'état pur et la main de l'homme pour le transcender. Si les cuisiniers n'avaient pas donné l'opportunité aux petits producteurs, cultivateurs, éleveurs de nous fournir et de pouvoir vivre décemment, le savoir faire de ces producteurs ce serait perdu. L'effervescence que nous connaissons aujourd'hui autour du bio et du retour au vrai n'existerait plus !
Le mariage d'un plat avec un vin, un jus de légumes ou fruits ou même un thé est tellement évident pour moi. 80% des fromages se marient avec un vin blanc et pourtant tout le monde a l'habitude de boire du vin rouge avec le fromage.

Culture - Cinéma Quelle est votre scène préférée de cinéma au restaurant ? Un souvenir de film avec une séquence particulière...

FR L'aile ou la cuisse ! Le message du film est tout à fait d'actualité, la critique à travers les guides et internet n'a jamais été aussi puissante. Lorsque Coluche se fait passer pour le critique d'un célèbre guide et reçoit toutes les attentions du restaurateur et c'est Louis de Funès qui est au fond de la salle complètement délaissé en train d'écrire son rapport. C'est tellement vrai !
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© Alban Couturier
© Pauline Legoff

Si vous aviez un hommage à adresser à Paul Bocuse, quel serait-il ?

FR Paul Bocuse a sorti le cuisinier de sa cuisine et l'a apporté à la lumière. Si la gastronomie française est si rayonnante aujourd'hui, c'est grâce à lui !
Adresse | Contacts utiles
image-prop-contact-la-grande-cascade La Grande Cascade Carrefour de Longchamp, Bois de Boulogne
75016 Paris

Tél. : 01 45 27 33 51
Site Internet

Récompenses
1 étoile au Michelin

La Grande Cascade : les avis

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Le restaurant Ô Puits :
un régal au cœur de la Bourgogne

Situé à Nevers, le restaurant Ô Puits fait partie intégrante du paysage de la gastronomie bourguignonne depuis plus de 30 ans. Il se démarque par son puits visible à l’entrée qui date du XIVème siècle. Selon la légende, les filles, y jetant une obole et faisant le vœu de trouver un mari dans l’année, se voient exhausser leur souhait. Dans ce lieu rempli d’histoire, le chef, qui a toujours voulu être cuisinier et avoir son propre restaurant au sein de sa ville natale, reprend l’établissement en 2009 dans l’unique objectif de partager une cuisine riche en saveurs. Cadre intimiste entouré d’un environnement généreux Ô Puits est disposé sur deux niveaux. A l’étage, la salle propose une vue imprenable  sur l’Eglise Saint-Pierre. Dans un cadre intimiste, elle affiche un décor bourgeois et moderne aux couleurs claires et offre une capacité d’accueil de 40 places. A l’extérieur, la terrasse est entourée d’un grand jardin calme et se tient prête à accueillir une quarantaine de personnes lors de l’arrivée des beaux jours. Cuisine copieuse et inspirée Le chef Noël Lantier, sortant de l’école Hôtellerie de Château Chinon, a fait ses gammes dans des établissements étoilés. Ressentant l’envie de pouvoir créer librement ses plats, il décide d’ouvrir Ô Puits où il propose une cuisine de terroir mettant en avant son inventivité et son expérience. Effectivement, il revisite les plats traditionnels français préparés avec des produits frais et locaux. Sa cuisine est copieuse et conviviale. Jusqu’aux glaces et tuiles, tout est fait maison. Des plats nobles à volonté Il suggère une formule du jour avec au choix trois entrées, deux plats (poisson ou viande) et trois desserts. Dans sa carte, le Saumon mariné maison au chablis et la crème fouettée au citron est proposé en entrée. En plat de résistance, les noix de Saint-Jacques poêlées ou le ris de veau poêlé accompagné d’une sauce aux morilles reflètent noblesse et saveurs enivrantes. Le tout peut être suivi d’un plateau de fromages affinés et d’une salade ou d’un dessert tel que le moelleux au chocolat et glace Chococaramel et tuile au grué de Cacao. Les formules de 25 € et 32,50 € quant à elles mettent à l’honneur un filet de bœuf charollais, un filet de sandre et des brochettes de veau au romarin. N’oublions pas le menu « Ô Puits » qui fait voltiger les papilles des fins gourmets avec l’incontournable escalope de foie gras de canard poêlé ainsi que le pigeon en croute et au foie gras. Carte de vins qui donne l’embarras du choix La sélection des vins s’effectue directement chez les vignerons. De prime abord, la carte privilégie les vins de Loire et de Bourgogne mais elle dispose notamment des crus de la Nouvelle Zélande. Parmi les vins blancs de la Loire, le Menetou Salon 2014 du Domaine Clément amuse les papilles. Un autre vin blanc à ne pas écarter : le Bourgogne Mercurey 1er cru 2008 du domaine Maréchal qui peut accompagner les plats à la carte. Au rang des vins rouges, les convives peuvent trinquer avec un bon verre de Coteaux Giennois 2013 du domaine Langlois, médaillé d’or dans le concours agricole 2014 ou le Beaujolais Brouilly 2014 du Domaine A.Merle,  récompensé par le guide Hachette. ...

Domaine Alary : des vins tout en finesse
et en élégance

Propriété familiale depuis 1692, le domaine Alary s’est transmis de père en fils. Jean Étienne Alary, onzième génération, assure aujourd’hui la gestion de l’exploitation. Chaque année, ce dernier n’hésite pas à faire preuve d’audace, en expérimentant de nouvelles techniques, pour le plus grand plaisir des œnophiles. Des terroirs d’exception Ce vignoble de 29 ha mené en agriculture bio repose sur différents terroirs. Il bénéficie ainsi d’une grande diversité de sols : un plateau présentant un sous-sol d’argile blanche et rouge, des sols de garrigues et des demi-coteaux constitués d’argile blanche et rouge. « La combinaison de ces terroirs nous permet de produire des vins empreints à la fois d’élégance, de fraicheur et de finesse », souligne Jean Étienne Alary. Sur ces sols propices à la vigne s’épanouissent une belle variété de cépages. En rouge, on trouve en cépages principaux le grenache, la syrah et le mourvèdre. Ceux-ci peuvent être complétés par du carignan, du cinsault ou du picpoul. En blanc, la clairette, la roussanne et le grenache blanc sont majoritaires, suivis des cépages accessoires tels que le viognier et le bourboulenc. « Grâce à cette diversité, nous pouvons élaborer des vins très différents », nous indique-t-on. À côté des classiques, le domaine Alary s’attache à faire revivre des cépages oubliés comme la counoise, le picpoul noir et le picpoul blanc. « Ils sont plus fins, moins riches en alcool et procurent une meilleure acidité », rapporte notre interlocuteur. Innover encore et toujours Afin d’améliorer la qualité de ses vins, le domaine Alary ne cesse d’expérimenter de nouvelles techniques. Pour 2019, la maison prévoit une vinification en chapeau immergé. « Le principe est de faire passer le jus par-dessus le chapeau de marc », explique Jean Étienne Alary. Ici, l’objectif est de procéder à une extraction plus fine dans le but d’éviter d’avoir des tanins grossiers. Enfin, pour préserver l’authenticité de ses vins, le domaine délaisse volontiers les cuves en bois au profit des cuves en inox et en béton.  Des vins reconnus Parmi les spécialités de la maison, deux cuvées se démarquent nettement des autres : la cuvée Jean de Verde et l’Estevennas, toutes deux issues de sélection parcellaire. Obtenue à partir de l’assemblage de grenache et de carignan, la cuvée Jean de Verde se démarque par une explosion de fruits noirs, de chocolat et d’épices douces. Ce nectar n’a rien à envier aux grands vins de la vallée du Rhône en termes de puissance, de finesse et d’élégance. Notée 96/100 par le Wine Advocate, il remporte la meilleure note jamais attribuée sur un cairanne. Quant à l’Estevennas, il s’agit d’un vin complexe avec une sucrosité en bouche très intéressante. Il est doté d’une grande qualité de tanins qui lui confère toute sa puissance. Noté 95/100. ...

Restaurant Mamie Tevennec :
quand saveurs corses et bretonnes font bon ménage

Confortablement installé dans le 11e arrondissement de Paris, l’établissement offre un cadre convivial et chaleureux qui rappelle familièrement une ambiance de maison de campagne. Dans un décor aux meubles patinés, l’établissement nous plonge dans une douce rêverie où se fondent des milliers de saveurs et de senteurs, un parfait équilibre entre cuisine corse et cuisine bretonne avec, notamment, beaucoup de salé et de sucré. Cuisine gourmande, ambiance familiale Repris à un couple de propriétaires corses, le restaurant garde aujourd’hui encore certains produits qui ont, dans le passé, bâti sa renommée, dont, notamment, le fromage corse, la charcuterie corse, auxquels est venue s’ajouter la vente d’eau minérale corse telle que l’Orezza. Chez Mamie Tevennec flotte en permanence cette atmosphère particulière qui nous fait sentir bien et détendu qu’on se croirait presque comme chez mamie, une métaphore qui explique bien son ambiance familiale. Le chef se plait à composer de belles assiettes avec, tous les jours, un menu du jour proposé à la carte et, le weekend, une formule brunch à volonté à 24 € avec sa flopée de viennoiseries, de saumon cru, de tartes, de charcuteries mais aussi des quiches.  Les galettes font partie des spécialités emblématiques de l’établissement, notamment la croustillante avec sa crème de citron nappée de crème brulée, sans oublier le caramel au beurre salé. « Nous faisons tout nous-mêmes », nous indique-t-on et « la pâte des crêpes et des galettes est bio, préparée un peu à la provençale et cuisinée sur place ». Pour accompagner les plats, l’établissement propose plusieurs variétés de vins, des cidres bio ainsi que des cidres bretons de toutes sortes qui se déclinent en plusieurs versions : du doux, du brut, au pichet et en bouteille. Parmi ses meilleures références, on peut citer le Juilly d’Ys ou encore le Père Jules qui sont des cidres de très bonne qualité au même titre que le cidre bio rose. ...

Domaine du Mont Verrier :
des vins de haute couture

Propriété de la famille Aubry, le Domaine du Mont Verrier a été légué en 1892 aux Hospices de Villefranche. Jusqu’en 1990, il a ainsi servi de lieu de villégiature aux sœurs hospitalières de la congrégation Sainte-Marthe de Beaune. Menacé de démantèlement, le domaine a été racheté en 2007 par Gérard Legrand, passionné de vin et d’Histoire. Celui-ci réalise de gros travaux de rénovation permettant l'ouverture en 2009 d’une maison d’hôtes. Pendant 10 ans, Gérard Legrand s’est également attelé à restructurer et à diversifier le vignoble. Un travail de longue haleine qui porte aujourd’hui ses fruits. Un conservatoire expérimental à ciel ouvert Le terroir du lieu-dit de Mont-Verrier possède une étonnante singularité. « Nous disposons d’un terroir qui a la particularité de changer en l’espace de quelques mètres, ce qui nous permet d’avoir une belle diversité de cépages », souligne Céline Charrier, responsable promotion et export. Ici, on passe aisément d’un sol argilo-calcaire à des sols de roches volcaniques et granitiques. C’est pour mettre en lumière cette diversité que Gérard Legrand a eu l’idée de planter en collaboration avec la SICAREX Beaujolais et le Conservatoire du Vignoble Charentais une importante collection ampélographique. Présentant plus de 200 cépages différents, il s’agit tout simplement de l’une des plus grandes collections ampélographiques privées de France : « C’est en quelque sorte un conservatoire expérimental à ciel ouvert pour voir comment ces différents cépages s’adaptent à ce terroir extrêmement diversifié ». De vieilles vignes Après restructuration, le vignoble s’étend aujourd’hui sur 40 hectares. Sur l’ensemble de l’exploitation, Gérard Legrand a pris soin de garder 50 % de vieilles vignes. L’encépagement se compose à majorité de gamay, cépage roi du Beaujolais. « Nous avons de très vieux gamay plantés sur une parcelle centenaire », confie Céline Charrier. Le chardonnay, dont certains pieds datent de 1950, et le pinot noir viennent compléter l’encépagement. La biodiversité à l’honneur Avec le label HVE en ligne de mire (au printemps 2019), le domaine a depuis longtemps concentré ses efforts sur la préservation et la valorisation de la biodiversité. Ainsi, un verger comptant plus de 60 variétés d’arbres fruitiers (pommiers, pruniers, pêchers...), un potager ainsi qu’un jardin de plantes vivaces côtoient harmonieusement les vignes. En outre, le vignoble est mené intégralement en culture raisonnée sous l’œil avisé de Jean Louchet, chef de culture. « Il a l’expérience et la connaissance des pratiques en matière de lutte raisonnée en même temps que la maitrise des amendements naturels », rapporte notre interlocutrice. Sous l’impulsion de ce chef, une attention particulière est portée au niveau de l’enherbement. « Au printemps, les interrangs se remplissent de fleurs, qui seront ensuite fauchées et qui, par décomposition, donneront un engrais naturel. » En cas de besoin, le domaine réalise également son propre engrais organique préparé à base de fumure. Pour illustrer cet intérêt, le Domaine lance en 2019 (millésime 2018) sa première cuvée sans sulfites en Beaujolais Pierres Dorées vinifié selon la pure tradition beaujolaise, avec une macération semi-carbonique à partir des seules levures indigènes présentes sur la pruine des baies et surtout sans sulfites ajoutés. La qualité avant tout Toujours soucieux d’offrir le meilleur aux œnophiles, le Domaine du Mont Verrier ne néglige aucun détail dans le processus d’élaboration de ses vins. Et cela commence d’abord par la maitrise des rendements afin de préserver la complexité et la concentration des raisins; « Nous pratiquons l’ébourgeonnement. Par conséquent, nous gardons uniquement les rameaux qui vont apporter les meilleurs fruits avec tous les arômes et la sucrosité nécessaire &ra...

Château Grézan : un terroir mis en valeur depuis cinq générations

Aujourd’hui, modernité oblige le vignoble est certifié Haute valeur environnementale (HVE). Un label plus global de la culture raisonnée selon Fabien puisqu’elle englobe l’ensemble de la pratique vinicole et viticole. A travers cette certification sont mises en place des techniques novatrices ou bien encore diverses techniques de bio-contrôle comme la confusion sexuelle du ver de la grappe ou les écorces d’orange. Le domaine propose également une cuvée bio, depuis 2020. La vinification en amphore Parmi la vingtaine de cuvées produites, l’une se distingue plus particulièrement : le CG dont la première cuvée date de 2020. Déclinée en version blanc et rouge, il s’agit des premiers vins vinifiés en amphore. Un travail de plusieurs années débuté en 2013 avec le Séculaire qui lui est élevé en amphores et qui permet de profiter des capacités naturelles de l’argile dans lequel sont conçues des amphores modernes de 125 à 400 litres. L’argile permet ainsi d’oxygéner le fruit de manière très douce et régulière pendant les fermentations tout en préservant le vin de l’oxydation. Résultat, un vin qui peut se boire jeune, avec une intensité aromatique plus prononcée. Du gin sur le domaine du château Grézan La Famille Cros-Pujol n’est pas seulement vigneronne, elle produit aussi du gin. Une innovation pour le vignoble qui face à la crise du Covid s’est adapté. Fabien Pujol a sorti un vieux projet de ses cartons : celui de produire du gin. Pour cela, un alambic à vapeur et à double paroi est utilisé pour permettre une extraction plus douce et plus homogène, dans le respect du fruit. Composé majoritairement de genièvre, la liqueur est conditionnée en bouteille de 70cl. Avec une teneur en alcool de 42°, on y découvre un arôme méditerranéen entre la garrigue et les agrumes. ...

Domaine Un Coin Sur Terre : la quintessence des vins naturels

Né d’un financement participatif, Un Coin Sur Terre est un domaine où la dimension humaine a toute son importance. Des vins authentiques               Dans ce vignoble labellisé Ecocert, situé dans le Gard, le cépage mourvèdre est roi. Aux vignes comme au chai, aucun produit chimique n’est toléré et la vinification se fait de façon naturelle. Résultat, des vins de qualité, sans sulfites, à l’image de la cuvée « Intuition ». Issue de 80 % de mourvèdre et de 20 % de syrah, celle-ci séduit par sa fraicheur et son côté fruité. ...

Télécom SudParis : un institut de choix pour maîtriser les technologies du numérique

Télécom SudParis propose en effet des formations diplômantes ou certifiantes, des formations en ligne (MOOC) et des formations sur mesure. L’école offre également un service de validation des acquis de l’expérience (VAE). Elle accompagne les créateurs d’entreprise dans le lancement de leur start-up et les entreprises dans la réalisation de leurs projets d’innovation. Comment est née Télécom SudParis ? Fondée en 1979 pour accompagner la montée en compétences des personnels des télécommunications, Télécom Sud Paris fut d’abord connue sous le nom d’Institut National des Télécommunications. Depuis plus de 40 ans, la grande école publique forme des ingénieurs généralistes et spécialisés dans différents domaines : les systèmes d’information, les réseaux, l’électronique, les sciences des données, l’intelligence artificielle, le traitement des images et la cybersécurité. Télécom SudParis fait partie du premier groupe d’écoles d’ingénieurs en France : l’Institut Mines-Télécom. Télécom SudParis est implantée sur deux campus dont le premier se trouve à Évry-Courcouronnes et le second à Palaiseau. Elle est également membre de l’Institut Polytechnique de Paris avec l’ENSTA, l’ENSAE, l’École polytechnique et Télécom Paris. Bien connue pour la qualité de son enseignement, Télécom SudParis ambitionne d’offrir à ses étudiants des formations d’excellence et de mener des recherches de pointe. L’école est ouverte aux étudiants et professionnels de tous horizons. Télécom SudParis favorise aussi le développement personnel de ses étudiants en appuyant les différentes associations et activités menées par les étudiants au sein même du campus. L’école travaille également en partenariat avec de nombreuses industries et entreprises afin de répondre aux nouveaux besoins et de pouvoir ajuster ses cursus de formation en fonction des attentes fixées par un marché du travail toujours en pleine évolution. Pour atteindre ses objectifs, Télécom SudParis propose différentes filières aux étudiants et aux professionnels. Les formations offertes par Télécom SudParis Créée pour permettre aux professionnels de performer face aux défis de la transformation digitale, Télécom SudParis offre divers cursus de formation. · Ingénieur généraliste Via un cursus en 2 cycles, les étudiants deviennent des ingénieurs diplômés immédiatement opérationnels grâce à une pédagogie par projet et par immersion en entreprise. Il est également possible d’obtenir un double-diplôme (ingénieur data-scientist, ingénieur-manager…) grâce aux partenariats de Télécom SudParis avec des écoles prestigieuses comme l’Institut Mines-Télécom Business School, l’ISUP ou encore l’ENSAE Paris. · La formation Ingénieur Réseaux par Apprentissage Télécom SudParis offre la possibilité de suivre un cursus d’ingénieur en alternance : les étudiants passent 3 jours en formation à l’école et 2 jours en entreprise. La formation dure 3 ans et est sanctionnée par le titre d’Ingénieur Diplômé Spécialité Réseaux. Le travail en entreprise est rémunéré et la scolarité gratuite pour l’étudiant. · Les formations Mastère Spécialisé® Il s’agit de formations post-masters conduisant à un diplôme de niveau bac+6 d’expert dans une spécialité du numérique. Elles s’adressent aux professionnels qui souhaitent devenir expert dans un domaine donné et aux étudiants désirant se spécialiser après leur formation d’ingénieur ou de Master. Elles durent 2 ou 3 semestres. Télécom SudParis propose 2 types de Mastère Spécialisé : Le Mastère Spécialisé Réseaux et Services : une formation complète à temps partiel pour maîtriser l’évolution des architectures des réseaux,...

À Orléans, les étudiants sont aussi des entrepreneurs !

Trouvera-t-on quelques futures pépites dans le PEPITE de l’Université d’Orléans ? C’est tout ce que l’on peut souhaiter à cet acteur de l’enseignement supérieur en Région Centre, qui est l’une des pierres angulaires du PEPITE Centre. PEPITE ? Ces pôles étudiants pour l’innovation, le transfert et l’entrepreneuriat, lancés en 2014 par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, doivent permettre aux étudiants de mener à bien leur projet de création d’entreprise en parallèle de leurs études. « Nous voulons ouvrir le champ des possibles aux jeunes issus de l’enseignement supérieur, les faire contribuer à l’innovation et à l’émergence des activités de demain nécessaires au redressement du pays », déclarait Geneviève Fioraso, alors ministre en octobre 2013 lors de la présentation du dispositif. « Ce que nous voulons, c’est susciter l’enthousiasme d’une nouvelle génération de créateurs. » Depuis ce lancement, 29 pôles ont été créés, dont l’un en Région Centre-Val de Loire.Des relations avec les entreprises renforcéesPour le premier exercice effectif, le dispositif recense 24 étudiants à l’Université d’Orléans, qui a créé pour l’occasion un poste de chargé de mission à l’entrepreneuriat. « Une activité totalement nouvelle », confie Isabelle Gillaizeau, chargée de mission « pour les relations étudiants-entreprises » avec Gaëlle Worgeld, qui occupe ce poste nouvellement créé. Ce dispositif renforce les relations de l’université avec les entreprises : formations professionnalisantes, modules de gestion d’entreprises intégrés dans les maquettes et actions de sensibilisation telles que le concours régional pédagogique de création d’entreprise « Créa Campus ».Le statut d’étudiant-entrepreneur permet à l’étudiant de remplacer ses stages obligatoires par son projet de création. En plus de l’accompagnement des projets et de la mise à disposition d’espaces de travail collaboratifs, PEPITE offre un partenariat avec des couveuses et la possibilité de mettre en place des Contrats d’Appui au Projet d’Entreprise (CAPE). Notons le soutien de la couveuse du Loiret PES45 et de Bourges Solen Angels avec 8 CAPE signés en moins d’un an. « Le diplôme d’étudiant-entrepreneur ouvre, de plus, l’accès à des formations spécifiques dédiées au projet avec un accompagnement sur mesure de professionnels mais également d’enseignants et de chercheurs du campus. » L’obtention du statut d’étudiant-entrepreneur est soumise à la validation du comité d’engagement du Pôle Entrepreneuriat Régional Centre, constitué de professionnels et devant lequel l’étudiant doit défendre son projet de création.Un potentiel entrepreneurialL’Université d’Orléans se félicite d’ores et déjà de la variété des profils représentés : « informaticiens, géologues, étudiants en lettres, DUT GEA, doctorants, etc. ». L’université, nouveau lieu pour créer des entreprises, elle qui a longtemps été critiquée pour son prétendu immobilisme vis-à-vis du monde socio-économique ? Aujourd’hui, elle s’engage en tant qu’acteur du développement territorial et joue pleinement son rôle pour l’aide au développement d’une dynamique d’innovation, en offrant l’accès aux connaissances ainsi qu’à la culture entrepreneuriale.« Le dispositif ne remet pas en cause la formation initiale mais vient, au contraire, la compléter en favorisant l’émergence du potentiel entrepreneurial », reprennent Isabelle Gillaizeau et Gaëlle Worgeld. Grâce au programme PEPITE, les étudiants-entrepreneurs peuvent s’investir dans leur entreprise, profiter du réseau d’acteurs privés ou publics et tester leurs idées sans attendre la fin de leurs études par l’obtention d’un diplôme.La Fondation de l’Université ...

La gastronomie française dans le respect des traditions

Le Pont de l’Ouysse est un héritage familial qui se distingue par une cuisine jalousement conservée dans la tradition et perpétrée de génération en génération. La passion du métier aidant, accentuée par le désir d’aller plus loin dans les études hôtelières, Stéphane et Mathieu, issus de la 5è génération, ont aujourd’hui repris les rênes de ce bel héritage gastronomique familial pour continuer l’aventure. Une cuisine gastronomique de région est privilégiée à laquelle vient s’ajouter des plats d’ailleurs revisités. Une invitation aux plaisirs gustatifs et au dépaysement Dans un style « campagne chic » à l’ambiance cosy, le restaurant Le Pont de l’Ouysse est une  irrésistible invitation à la découverte et aux plaisirs gustatifs. Il offre un cadre aux notes nostalgiques où se marie merveilleusement une profusion de couleurs et de senteurs. Le restaurant est particulièrement pensé pour offrir au lieu, une pointe de romantisme très recherché, tout en laissant opérer la magie. Les clients aiment parcourir ses berges aménagées en jardins et en promenades, afin de gouter avec sérénité, au calme et au dépaysement, dans un décor idéalement fleuri… Un véritable plaisir pour les yeux et pour les sens ! « Nous pouvons y accueillir 60 personnes en salle et 70 personnes en terrasse » précise Mathieu Chambon, maître d’hôtel. Une cuisine locale Le restaurant privilégie les circuits courts en travaillant avec des producteurs locaux. « Nous mettons en valeur les produits régionaux (melon, truffe, agneau, pigeon, fraise, asperge, noix, fromage, foie gras, safran etc…) et nous constituons la carte en fonction des produits de saison » tient à préciser Stéphane Chambon, Chef étoilé. La maison s’attelle également à la préparation de différents plats créatifs et authentiques à partir d’un bouquet de fruits de mer tels que Saint-Jacques ou homard, ceci pour répondre aux besoins de certains clients. Les plats-signatures à l’honneur avec des menus et formules à la carte Parmi les plats-signatures figurent notamment le pied de porc truffé, la crème de pommes de terre, le foie gras Bonne Maman, les queues de langoustines rôties ou encore la pomme de terre à la truffe. Afin de satisfaire toutes les gourmandises, la maison a développé plusieurs formules dont le Menu Belcastel à 92 euros, le Menu des moulins à 60 euros et le Menu du Vieux Pont à 40 euros (servi uniquement le midi excepté le dimanche et les jours fériés). Sur la carte des vins, « nous privilégions plutôt le vin régional (vignobles de Cahors et Bergerac), mais nous proposons également des vins provenant de toutes régions de France » spécifie Mathieu. ...

Le savoir-faire des scientifiques du CNRS
au service des entreprises

En proposant des formations de courtes durées, CNRS Formation Entreprises cherche à s’adapter au maximum aux rythmes et aux besoins des entreprises,  de plus en plus pointus. « Nous savons que les ingénieurs et techniciens supérieurs ont peu de temps pour se former et qu’ils veulent être opérationnels très rapidement : c’est pour cela que nous proposons exclusivement des stages courts sur des sujets précis, avec les meilleurs experts du domaine », explique Edith Wilmart. L’offre de stages, en renouvellement constant, permet aux entreprises de bénéficier de l’apport de technologies de pointe utilisées en laboratoires. Le CNRS propose par exemple depuis deux ans une formation sur le traitement d’images utilisant un logiciel libre de droit (IMAGEJ), devenu une référence internationale dans le domaine. « Nous avons formé des professionnels venant de l’industrie pharmaceutique, automobile, du CEA, de l’INRA », explique Cédric Matthews ingénieur de recherche à l’Institut de biologie du développement de Marseille-Luminy et Christian Rouvière, ingénieur de recherche à l’Observatoire de Villefranche-sur-Mer. Méthodologie éprouvée En mettant à profit l’expérience de formations dispensées auprès de plus de 600 entreprises, dont la moitié de PME, PMI voire ETI, le CNRS dispose désormais d’une méthodologie éprouvée. « Personne n’est à la traîne grâce au travail en binôme, qui permet un suivi individualisé des stagiaires, renforcé par les travaux réalisés», poursuit Cédric Matthews. Le cours est dynamique. Les changements de rythmes permettent à chaque stagiaire de trouver sa place et de participer. Selon une étude récente, 85% des stagiaires du CNRS trouvent qu’il y a un bon équilibre entre la théorie et la pratique. Pour chaque formation, une large part est laissée à l’expérimentation, afin de résoudre les problèmes technologiques rencontrés par chercheurs, ingénieurs et techniciens supérieurs qui suivent les stages.« Ce sont souvent des difficultés que les experts du CNRS ont déjà rencontrées et résolues pour leurs besoins de recherche. L’objectif est que les stagiaires repartent en sachant faire ou du moins, en ayant de bonnes pistes pour trouver une solution », détaille Edith Wilmart. Nouveautés appréciées Dans leurs  évaluations, les stagiaires disent apprécier les nouveautés apportées par les programmes de formation et la qualité des supports pédagogiques. Avec souvent la conviction que leurs stages leur sera utile voire très utile. Résultat : 90% des stagiaires recommanderaient le stage à leurs collègues. Mais une formation au sein du CNRS, c’est aussi et peut-être le début de nouveaux partenariats, toujours au service des clients. « Certains de nos stagiaires reviennent d’ailleurs vers les laboratoires où ils sont venus se former pour demander des conseils, des prestations de service ou monter des collaborations de recherche », constate la directrice. Le CNRS compte aujourd’hui un total de 220 offres de formation en lien avec les attentes du marché. La répartition géographique des laboratoires, présents sur l’ensemble du territoire permet une vraie proximité avec les entreprises. En 2015, plus de mille stagiaires ont été formés dont 40% d’industriels, 40% d’académiques, 20% de salariés d’EPIC, de services de l’état, de collectivités territoriales. Afin de proposer des formations qui « collent » au plus près du terrain, l’offre du CNRS évolue en permanence : rien que pour l’année 2017, ce sont près de 60 nouvelles formations qui seront proposées, sur de nouvelles thématiques comme le NoSQL (big data), CRISPR-Cas9, les LED et OLED, les batteries Li-ion, le SEC-MALS appliqué aux protéines, le criblage cellulaire et moléculaire, l’intelligence économique ou encore la synthèse de molécules chirales. Et CNRS Formation Entreprises prépare d’autres nouveautés pour son catalogue 2017. ...

La Table du Donjon : un rendez-vous gourmand au cœur du Beaujolais

Niché au coeur du pays des vignerons, la Table du Donjon vous accueille dans un cadre chaleureux contemporain. Les deux chefs de l'établissement, Jean Marc NABET et Mathieu MOUCHET rivalisent d'ingéniosité pour vous servir des plats d'exception. Du vrai « fait maison » La Table du Donjon, c'est la promesse d'une escapade gastronomique au beau milieu des vignes et du patrimoine architectural unique du village. Appréciez les plats privilégiant les produits locaux sur la terrasse, donnant sur les envoûtants Monts du Beaujolais des Pierres Dorées, ou dans l'une des deux salles joliment décorées, à la présentation soignée. Au menu ou à la carte, goûtez au nombreux délices alliant créativité et saveur du terroir, à l'instar des profiteroles de caille farcie au foie gras de canard fait maison, que vous accompagnerez d'un succulent dessert et d'un Brouilly de la Maison viticole Jérôme Mathon. Apiculteurs, vignerons et maraîchers locaux sont mis à l'honneur dans des plats raffinés représentant les authentiques succulences de la région. De la bonne cuisine au pays du bon vin Faites-vous plaisir à l'occasion d'un détour gourmand à la Table du Donjon. Au menu : délices du palais, convivialité et instants intimes ou en famille. Le restaurant propose notamment un éventail de choix en matière de vins, établis sur deux cartes. Présentant des cuvées issues de tout le pays,l'enseigne priorise, entre autres les vins locaux. Riche et fier de ce patrimoine, l'établissement affiche dans sa cave plus de 360 références. ...

Domaine Corps de Loup :
le meilleur de l’expression du terroir

Les quatre hectares de vignes du domaine se trouvent sur un terrain aux conditions physiques extrêmes. Les vignes y sont installées en terrasse sur des pentes escarpées difficiles d’accès et constamment soumises au mistral. Et pourtant,  la région était déjà convoitée depuis l’époque romaine pour la viticulture. En effet, les plants de Syrah, cépage central de l’appellation Côte Rôtie, se plaisent particulièrement  sur ces sols schisteux et granitiques. De plus, la situation en coteaux des vignes favorisent un excellent ensoleillement tout au long de l'année, permettant une maturation optimale des raisins. La  gamme des vins Chaque année, le Domaine du Corps de Loup produit douze-mille bouteilles réparties en quatre cuvées. « Notre classique est notre Côte Blonde sur le lieu-dit Corps de Loup. C’est un vin 100% Syrah sur du granit » explique Martin Daubrée. Cette cuvée, qui s’appelle évidemment « Corps de Loup » en AOP Côte-Rôtie, est un vin à dominante fruitée. Issue du même terroir, la cuvée « Marions-les » AOP Côte-Rôtie, est issue d’une sélection parcellaire, assemblage  du Viognier et de la Syrah. « Le principe de cette cuvée est de vinifier ensemble les deux cépages, ce qui va donner une Côte-Rôtie plus aromatique, plus douce, avec une belle rondeur en bouche » précise Martin. La cuvée « Paradis » AOP Côte-Rôtie est quant à elle tirée du lieu-dit Janet, sur les hauteurs d’Ampuis, sur la Côte Brune. C’est un vin complexe et profond, doté d’une riche palette aromatique. Le domaine produit également une élégante de cuvée d'AOP Condrieu, élevée neuf mois en fûts. Des formules adaptées pour la visite Tout le long de l’année, le vignoble et le caveau du Domaine du Corps de Loup sont ouverts aux amateurs et passionnés de vins. « C’est quelque chose que nous avons beaucoup développé ces dernières années. Nous avons plusieurs formules qui s’adaptent à tous les goûts. On a la chance d’habiter un site avec les vignes et la cave qui se trouvent au même endroit » explique Martin Daubrée. Côté tarif, les prestations peuvent varier du gratuit à 25 euros selon la formule choisie. L’initiation,  accessible sans rendez-vous au préalable, propose une dégustation commentée et gratuite de tous les vins du domaine. La formule visite, déclinée en mini-visite et visite complète, inclut une visite du domaine et de la cave, ainsi que la dégustation de la gamme complète du domaine. La formule complète s’accompagne de produits du terroir pour la dégustation. Pour cet été, le domaine a créé la formule spéciale « Prestige », proposant une visite complète du domaine, la dégustation de la gamme Côte-Rôtie sur fut et la dégustation de la gamme complète du domaine, le tout accompagné de produits du terroir. Il faut savoir également que le domaine fait partie du label « Vignobles et Découvertes » et travaille en relation étroite collaboration avec les offices du tourisme de la région. ...

Restaurant Maison Blanche : une table raffinée en plein cœur de Paris

Faisant aujourd’hui figure d’institution en matière de gastronomie française, l’établissement est un haut lieu de restauration, où s’apprécie une cuisine qui mêle élégance, tradition et intuition créative. Quand la magie des lieux opère Situé sur la prestigieuse avenue Montaigne au sommet du Théâtre des Champs-Élysées, cet établissement riche d’une réputation construite depuis plus de vingt-huit ans est aujourd’hui le fief de Bruno Franck et de son équipe qui y font jouer leur expérience et leur savoir-faire. Dans une ambiance intérieure raffinée et cosy, laissez-vous transporter dans un confortable voyage ou à l’ombre de son admirable terrasse qui fait face à la tour Eiffel pour une expérience gustative d’exception dans la farandole des saveurs d’une cuisine à la qualité irréprochable. À travers un vaste espace de 440 m2 offrant de multiples possibilités, la maison est constituée de deux niveaux : une salle qui longe une baie vitrée vertigineuse et verticale avec une vue dominante sur l’Ouest parisien et une mezzanine située en hauteur qui révèle son lot de surprises en s’ouvrant sur un paysage plus élargi sur la capitale et qui permet de découvrir un bar lumineux aux couleurs variables ou encore une incroyable terrasse, la terrasse Georges V telle une oasis illuminée de pleins feux par la Dame de fer, la tour Eiffel. Une cuisine d’exception, inventive et raffinée Constamment au rendez-vous, le mariage réussi des textures et des saveurs aux couleurs contrastées se suivent et se succèdent au restaurant Maison Blanche, fortement inspirées des nombreux voyages du chef Fabrice Giraud et des influences méditerranéennes de son enfance. C’est ainsi que, jour après jour, naissent de belles assiettes inventives préparées selon le marché du moment où la surprise et l’authenticité sont toujours à l’honneur. À cela s’ajoute le savoir-faire d’un excellent chef pâtissier Paul Donore, qui, depuis de nombreuses années, fait chanter les desserts à travers de grands classiques revisités à sa manière. Découvrez à travers une carte prometteuse, où sucré et salé forment un bon équilibre, un savoureux saint-pierre au citron confit et au fenouil, un plat emblématique revisité par le chef qui s’harmonise à merveille avec le Crozes de Combier 2012 Clos des Grives, au nez de framboise et de violette.    Un lieu hors du commun pour accueillir vos événements Perché sur les hauteurs du Théâtre des Champs-Élysées, le restaurant Maison Blanche est également un haut-lieu de festivités parisiennes, où opère la magie des strass et des paillettes. L’établissement réunit dans diverses ambiances, tout un essaim de noctambules en quête de fêtes et de soirées bien orchestrées. Chaque samedi, cette institution se métamorphose en un night-club branché, où l’ambiance diffuse du Club Montaigne permet de se retrouver autour d’un verre sous la cadence d’une musique rythmée, et ce, jusqu’au bout de la nuit. Maison Blanche, c’est aussi un lieu d’accueil unique pour tous types d’événements. Anniversaires, séminaires, conférences de presse et aussi mariages, dîners de gala ou événements d’entreprise y sont les bienvenus. Pour toute demande de renseignements, une équipe commerciale particulièrement à l’écoute se tient à votre disposition pour la réalisation et la personnalisation de vos événements. N’hésitez pas à demander un devis. ...

O de Mer :
une cuisine qui met l'O à la bouche

Situé non loin de la magnifique église d’Ars-en-Ré, le restaurant O de Mer offre une cuisine gourmande et raffinée, qui fait plaisir aux fins palais. Faire plaisir, justement, est l’une des valeurs qui animent cet établissement, au sein duquel vous vous sentirez comme à la maison. Un maitre restaurateur aux fourneaux Ayant débuté sa carrière en Europe dans le domaine de la restauration, Thierry Hainaut a forgé son expérience, longue de 25 ans, en Australie. Poussés par leur volonté et leur passion, Thierry et sa femme ont trouvé un coin de paradis à Ars où ils ont décidé de poser définitivement leurs valises. « Il y a 7 ans, nous avons rouvert ce petit restaurant avec Corinne pour retravailler à deux les produits qui nous font plaisir. Mais aussi pour retrouver la compagnie de nos clients, qui sont d’ailleurs devenus des amis très proches », explique Thierry Hainaut. Depuis 2014, le chef a été gratifié du titre de « maitre restaurateur », un statut délivré par l’État pour les restaurants traditionnels français. Ce label engage les restaurateurs à propose runiquement des plats faits maison, notamment avec des produits bruts et frais issus du circuit court.En 2016, Thierry Hainaut devient membre fondateur du Collège Culinaire de France, ce qui a permis à son bistrot de figurer parmi les « Tables gourmandes Poitou-Charentes ». Un cadre intimiste et agréable Le restaurant O de Mer est doté d’une belle salle, où le plancher en bois ancien confère tout son charme au lieu et les tables, couvertes de nappes blanches et entourées de chaises en cuir, renforcent l’aspect élégant du restaurant. Durant la période hivernale, un petit coin feu apporte chaleur et réconfort, tandis que, en été, la terrasse offre une vue imprenable sur le clocher d’Ars. Implanté dans la rue piétonne, ce restaurant intime de 22 couverts est idéal pour les rendez-vous romantiques. Une adresse gourmande au pied du célèbre clocher d’Ars-en-Ré Le chef élabore avec soin et créativité une cuisine gastronomique revisitée selon ses humeurs et la saisonnalité. Sa spécialité est la truffe fraiche. D’ailleurs, la maison a développé une carte, où les mets peuvent être accompagnés de truffe fraiche râpée selon les choix et les envies. En entrée, les convives se laisseront séduire par les saveurs du foie gras des Landes mi-cuit aux algues de Roscoff, salade de mer en tartare et brioche moelleuse. En plat de résistance, ils se laisseront tenter par la bouillabaisse de bar, Saint-Jacques et homard façon « Ô de mer », parfums d’orange et anisette, pommes grenailles et mousseline de rouille. Au dessert, les gourmands seront satisfaits par un petit bonbon chaud de chabichou du Poitou, cœur de miel et truffe, sirop pom’poires. Quant au menu, la maison propose en entrée une Ile flottante au délicat parfum de Tuber Albidum sur un velouté de cèpes de Dordogne. Vient ensuite, en plat de résistance, le bœuf Wagyu australien confit 8 heures et pâtes fraiches réduction de vieux pomerol aux perles du Japon et truffe. Le mélodieux repas s’achève avec le minestrone glacé de fruits de saison d’ici et d’ailleurs, glace à la truffe. ...

Domaine du Màs Revaou : un vignoble écoresponsable

Plus que centenaire, le domaine du Revaou a été transmis de père en fils dans la famille Scarone, depuis Joseph Scarone, en 1898, jusqu’à Bernard Scarone, qui a pris la relève en 1994. L’exploitation tire son nom de la rivière qui passe à travers ses terres.   Une agriculture biologique Situé entre Hyères et la Londe-des-Maures, le domaine du Revaou, de seulement 30 hectares, est installé sur des terres rouges, riches en bauxite et en fer typiques de la région. À seulement 6 km de la mer, les vignes du domaine du Revaou profitent d’un ensoleillement et d’une chaleur idéale tout au long de l’année. En 1999, dans une volonté de préserver l’environnement et la nature, Bernard Scarone a opté pour l’agriculture biologique. Il applique à la lettre les normes drastiques imposées par cette forme d’agriculture naturelle, saine et sans artifice. L’ensemble de la production est désormais certifié par le label AB Agriculture biologique. Il a signé en 1999 l’Engagement au Respect du mode de production bio avec Qualité France. Dans les vignes, aucun pesticide ni désherbant sont utilisés. La vinification, quant à elle, est effectuée de façon naturelle, sans ajouts d’aucune sorte. Le domaine du Revaou produit des vins sur l’appellation sous-régionale Côtes-de-Provence La Londe sur les trois couleurs. Les cépages grenache, cinsault, syrah, mourvèdre et carignan participent à l’élaboration des vins rouges et rosés ; et l’ugni blanc, le rolle et la clairette à celui des blancs. Depuis un certain temps, une politique de renouvellement de cépages est menée au domaine, où, chaque année, de nouvelles parcelles entrent dans la production de ses millésimes.   Des vins d’exception Annuellement, le domaine produit près de 30 000 bouteilles. Trois cuvées exceptionnelles sortent du lot et méritent d’être mises à l’honneur. La « Cuvée Domaine du Revaou Blanc 2012 » se distingue par sa robe verte et argentée, avec des arômes de zeste de citron, de buis, de menthol et de vanille fraiche. Légère en bouche, elle révèle des notes d’agrumes frais et épicées, avec une finale iodée. Ce vin s’accorde harmonieusement avec les poissons de la Méditerranée en grillade et les fromages de chèvre frais. La « Cuvée Domaine du Revaou Rosé 2014 » est appréciée pour sa fraicheur, au nez citronné qui évolue sur des notes de pamplemousse, de rose sèche et de pêche mure qui s’affirment en rétro-olfaction. En bouche, sa maturité s’affiche avec un volume généreux, une finale acidulée et framboisée. Sur la table, cette cuvée peut être servie en apéritif avec des tomates séchées ou du jambon cru et accompagne bien les salades, la soupe au pistou ou la bourride. La plus prestigieuse de toutes les bouteilles est sans nul doute la « Londe Rosé 2015 », avec sa robe pâle aux reflets dorés. En nez, on remarque des arômes fumés qui évoluent en feuillage humide et agrume. En bouche, l’attaque est souple et on distingue des notes acidulées de groseilles, de carambole, de physalis et de pamplemousse rose. En finale, une senteur de zestes d’agrumes s’affirme. Ce magnifique rosé sera servi à 12°C avec des noix de Saint-Jacques et mousse de poivrons rouges, un dos lieu jaune à la plancha et sauce de seiche ou une cassolette de palourdes et de moules avec tombée d’anchois. ...

Le Finistère : terre promise du tourisme d’affaires

Voilà maintenant plus de six ans que le club Finistère-affaires accompagne gratuitement les entreprises dans la conception de leurs évènements. Séminaires, congrès, incentive, team-building, lancement de produits, tout est pensé, conçu et élaboré de A à Z. Implanté dans une région riche de son patrimoine et de ses valeurs, possédant tous les atouts nécessaires à un séjour professionnel, le Club se veut être l’ambassadeur du meilleur de la Bretagne. Les missions fédératrices du club Finistère-affaires Cette association créée en 2011 s’est donnée pour principale mission de « promouvoir les activités de ses membres, de soutenir la filière événements d’entreprises dans le département et de placer le Finistère dans le top des destinations du tourisme d’affaires », explique Vincent Bellec, président de l’association. Plus de 40 professionnels du tourisme, de l’hôtellerie ou de la réception se regroupent ainsi pour orchestrer d’une main de maître chaque événement qui leur est confié. Agences réceptives, prestataires divers ou structures d’accueil viennent s’ajouter à ces professionnels qui ont fait de l’excellence leur engagement et tous animés de valeurs d’authenticité et de performance. La réussite de votre séjour professionnel sera assurée par leur expertise, leur réactivité et leur attachement à la qualité. Rigueur, flexibilité et proximité caractérisent, entre autres, leurs actions entreprisent dans le but de vous accompagner efficacement dans la réalisation de votre projet.  Le Finistère : pour des événements d’entreprises d’exception Très belle destination pour des actions d’entreprises, allant des conventions aux séminaires, le Finistère se veut être une véritable terre de contraste, entre les îles, les côtes, le Nord et le Sud. Ce bout de la France occidentale, entouré par la mer des trois côtés et accueillant chaque année de nombreux festivals, offre un dépaysement total à tous ceux qui ont la chance de s’y rendre. Vous souhaitez souder, remercier ou fédérer vos collaborateurs ? Faites-le dans un département aux paysages riches de leur diversité et doté de 1 200 km de côtes, proposant un large éventail d’activités sportives, nautiques et ludiques. « Découvertes inédites et rencontres insolites seront au programme de chaque activité qui vous permettra de souffler et vous revigorer », reprend Vincent Bellec. Découvrez la beauté d’îles et d’archipels emplis de charme ou les richesses d’une gastronomie unique, oscillant entre saveurs de la mer et succulences du terroir. Des infrastructures à la pointe de la technologie Desservi par trois aéroports, celui de Brest, de Morlaix et de Quimper, par des voies express et prochainement par une LGV, le Finistère se veut être accessible. Vous pourrez rejoindre cette terre promise, depuis Paris, en trois heures. Outre cette proximité, le club Finistère-affaires propose des événements professionnels inédits en partenariat avec des structures d’accueil diverses comme des hôtels haut de gamme ou restaurants étoilés. « Des infrastructures d’hébergement de qualité sont mises à disposition des entreprises, des offres haut de gamme s’inscrivant dans les mesures prises pour satisfaire les besoins des clients en matière de tourisme d’affaires », continue notre interlocuteur. Ce département est, entre autres, fort de ses nombreuses salles de congrès, dont le Quartz Congrès, un des plus grands centres de congrès de toute la Bretagne, l’espace Glenmor pouvant accueillir plus de 3 000 personnes ou encore des hôtels privatisables pour des séminaires résidentiels de direction. À la pointe des nouvelles technologies et bénéficiant d’une situation idéale, ces structures, ayant déjà accueilli des congrès et des conventions internationales, recevront vos événements dans un cadre propice au travail et à la détente. ...

Trois bonnes raisons de faire confiance à Pierre &Terre

Des certifications qui donnent confiance Pierre&Terre est triplement certifiée : NF Habitat, NF Habitat HQE et Pro Permea (pour la perméabilité et l’étanchéité des maisons). « Avec ces triples normes, on se doit de mener des chantiers parfaits », explique Sébastien Dourthe, PDG. « Mes chantiers sont vérifiés et contrôlés aléatoirement. Et, bien sûr, je ne choisis pas où l’organisme passe… »  L’un de ces organismes de certification est la CEQUAMI. Pour vérifier le label NF-HQE, il évalue la qualité environnementale de la maison selon trois thématiques : l’économie (limitation des consommation d’électricité et d’eau), la santé (air ambiant, protection contre les champs électromagnétiques, etc.) et le confort (espaces dédiés au tri sélectif, lumière naturelle). Sur les 1 500 constructeurs de maisons individuelles en France, une centaine d'entre eux sont certifiés NF, 70 sont labellisés NF Habitat et seulement une quinzaine cumule les trois certifications. Du sur-mesure pour tous Avec Pierre&Terre, vous avez le choix de ne pas faire comme tout le monde. « Nous nous efforçons de réaliser un projet sur mesure. » Le « constructeur de vos projets » propose cinq familles de modèles (Starter, Caractère, Patrimoine, Autonomie, Expression), qui englobent un grand nombre de possibilités : du plain-pied idéal pour les personnes âgées au premier achat, en passant par la maison à l’architecture cubique ou l’achat patrimoine pour le locatif, tout le monde peut y trouver son compte. Financièrement, toutes les gammes de tarifs sont représentées : « Notre prix moyen est de 150 000 € », constate Sébastien Dourthe, « mais nous avons des maisons qui vont de 100 000 € jusqu’à 300 000 ou 400 000 €, voire plus, selon les clients. » Pierre&Terre se distingue par un esprit de cocréation. La maison est réalisée en lien étroit avec ses futurs habitants. « Nous sommes finalement dans le service, en aidant à trouver le terrain, en suivant la qualité des travaux, etc. » Autre avantage non négligeable : avec Pierre&Terre, vous signez un contrat de construction qui vous protège des variations de prix et des délais non respectés. « Il ne peut pas y avoir de mauvaises surprises. » Une maison connectée d’office Chez Pierre&Terre, votre maison est smart connect ! C’est-à-dire qu’elle est connectée. Exemple : vous êtes au travail, votre livreur vous appelle, vous ouvrez le portail à distance, vous pouvez même contrôler l’angle d’ouverture. Autre cas pratique : votre enfant rentre seul, vous ne voulez pas lui confier les clés, vous pouvez lui ouvrir à distance la porte du garage, qui lui permettra de rentrer dans la maison, rien qu’avec votre smartphone. Avec Pierre&Terre, cette maison connectée l’est d’office, car l’offre de base propose les volets roulants et le garage motorisé. « L’avantage de cette solution est qu’elle est entièrement évolutive. On peut rajouter une machine à laver connectée, un sèche-linge, le portail : tout est prévu pour se simplifier la vie sans devoir tout changer », indique Sébastien Dourthe. ...

Restaurant Le Château Bourgogne : le temps d’une halte gourmande

Grâce aux saveurs uniques de la cuisine traditionnelle française concoctée à base de produits frais et sélectionnés avec minutie par le Chef Gonzalo Pineiro, Le Château Bourgogne réserve de belles surprises aux épicuriens, avec à chaque fois la promesse d’un plaisir culinaire renouvelé ! Un cadre élégant  Ayant récemment fait « peau neuve », le restaurant arbore fièrement ses nouveaux attraits. Dans un décor très cosy, l’élégance transparaît à travers chaque détail. Ici, on retrouve une décoration contemporaine, très moderne où le luxe s’affiche sans complexe. Tout renvoie à l’équilibre et à l’harmonie : les couleurs, les matières sont prétextes à une combinaison d’élégance et de convivialité. Un endroit intimiste qui n’est pas dénué de charme. Les lieux conviennent parfaitement aux retrouvailles en famille, entre amis ou aux déjeuners d’affaires. Pour des repas plus intimes, le restaurant dispose de beaux espaces privatifs comme le Salon Président et le Salon Bourgogne, pouvant accueillir respectivement 10 à 30 personnes. En été, vous avez la possibilité de profiter d’une jolie terrasse, ouverte sur le jardin, à proximité de la piscine chauffée. Le raffinement dans vos plats Au gré des saisons et des saveurs, le chef Gonzalo Pineiro se propose de livrer une belle partition mettant à l’honneur les subtilités de la cuisine traditionnelle française, à travers des produits frais et de qualité. « En approvisionnement, nous privilégions au maximum les producteurs locaux », souligne Alexander Krips, directeur de l’établissement. La qualité et la fraicheur des produits utilisés se ressentent naturellement dans les assiettes. Pour s’en convaincre, il suffit de déguster les succulents escargots de Bourgogne au Chablis ou bien les Oeufs Bio en Meurette au Pinot Noir en entrée. Pour prolonger le plaisir, le Chef et sa brigade suggèrent le Filet de bœuf Charolais accompagné de son incontournable purée d’Amandine du Château à l’huile de Truffes, une spécialité de la maison ! Au Château Bourgogne, les poissons sont également à l’honneur : entre la Saint-Jacques, la Lotte ou le Turbot Sauvage, les invités ont droit à un choix alléchant. De quoi partager un bon moment autour de plats incomparables ! Le restaurant jouit d’une bonne réputation dans la région, notamment grâce à son célèbre plateau de fromages avec plus de 15 variétés. Pour les palais sucrés, les 3 pâtissiers régaleront les convives avec des douceurs entièrement faites maison. Côté vins, l’établissement présente une carte éclectique comprenant près de 300 références de Bourgogne et d’ailleurs. Demandez conseil au sommelier, qui sublimera vos plats et vous fera découvrir les cépages et appellations régionaux. Tous les dimanches, Le Château Bourgogne a l’habitude de convier les initiés à son propre brunch « Le Spécial Sunday Buffet ».  Chaque semaine, un nouveau thème est à l’honneur, avec une composition de menu différente. L’équipe en cuisine fait alors marcher son imagination et sa créativité pour sortir un repas complet et à volonté, salé, sucré, chaud et froid, pour un voyage gustatif garanti ! Le thème est dévoilé quelques jours à l’avance sur leur page Facebook. ...

Société Française de Chirurgie Rachidienne : un pilier incontournable de la santé du rachis

Représentative de la communauté chirurgicale rachidienne dans l’Hexagone, la Société Française de Chirurgie Rachidienne (SFCR) est  aujourd’hui composée de 356 neurochirurgiens, orthopédistes, médecins rééducateurs, ingénieurs biomécaniciens et radiologues. Tous des scientifiques, qui s’acharnent à développer diverses approches thérapeutiques innovantes pour combattre les maladies du rachis. L’enseignement, un levier du progrès Motivée par l’objectif de faire de la chirurgie rachidienne une discipline médicale reconnue à part entière, la SFCR promeut d’une manière ambitieuse divers domaines. Son intervention dans l’enseignement en est le plus concret des exemples. Dans ce cadre, des formations de qualité sont organisées par la SFCR et dispensées par  des chirurgiens seniors ou des scientifiques éminents, parmi lesquels figurent le Pr Richard Assaker ou le Pr Patrick Tropiano. Les infirmiers étant au cœur des soins, des formations cadrées dans 3 spécialités leur sont proposées : la prise en charge des patients opérés au niveau de la colonne vertébrale, les soins dans les services et, enfin, la formation pour infirmiers du bloc opératoire. Des ateliers sont également conçus pour les jeunes chirurgiens, les internes ou encore les chefs de clinique. Centré sur une technique donnée, chacun de ces ateliers permet à ces artisans du bien-être d’affiner leurs méthodes en matière de chirurgie rachidienne. La parité et le dynamisme à l’honneur L’énergie et la volonté qui animent la SFCR ne se reflètent pas uniquement dans son engagement dans le domaine de l’enseignement et la formation des relèves. Elles sont aussi parfaitement illustrées par la promotion de la parité entre neurochirurgiens et chirurgiens orthopédiques au sein de la société ainsi que par le dynamisme de cette dernière. Ce dynamisme se concrétise par des activités organisées à l’intention des scientifiques membres ou du grand public. La plus importante est le congrès annuel qui réunit l’ensemble des  membres de la société. Interrogé sur le sujet, le secrétaire général de la SFCR Jean-Luc Barat explique que « c’est un congrès scientifique de formation et d’information des confrères avec un objectif de  recherche. On y aborde tous les ans 2 thématiques importantes sur lesquelles des équipes travaillent 3 ans auparavant en menant des études sur une série de patients. Le congrès est le moment où ces équipes présentent le rapport desdites études ». Au cours de ces évènements, la SFCR offre aussi aux chirurgiens la possibilité de présenter leur travail ou leurs recherches sur une pathologie donnée. Cette communication libre permet à l’assemblée d’avoir une bonne vision d’ensemble sur le sujet et de « promouvoir ainsi l’homogénéité des informations des chirurgiens ainsi que l’homogénéité des prises en charge des patients ». En outre, la SFCR tisse des liens internationaux favorisant l’échange d’expériences. Elle est membre de la Société européenne de la chirurgie du rachis et est en permanente collaboration avec des sociétés étrangères (argentine, grecque…). Pour couronner le tout, des campagnes de vulgarisation de la chirurgie du rachis et des pathologies rachidiennes sont organisées par la SFCR. Une conférence à thème est donc mise en place spécialement pour le grand public. Les intéressés pourront retrouver les vidéos des congrès passés via le site Internet de la société. ...

La force d’un groupe, alliée à la souplesse et à l’agilité de coachs indépendants

La force d’un réseau, l’agilité de coachs indépendants Ensemble, on est plus fort ! C’est probablement ce que se sont dit 6 coachs professionnels exerçant tous dans la région Occitanie. Depuis 2017, ils se sont regroupés pour former OcciCoachs. Les membres fondateurs sont, en effet, partis d’un constat simple : plutôt que de travailler seul, il est bien plus enrichissant d’unir leurs expertises, de mutualiser leurs compétences et de s’adosser à la force d’un collectif. Comme ils l’expliquent : « l’idée, c’est vraiment de se regrouper entre coachs partageant des valeurs et la même ambition pour l’humain, et de proposer à nos clients la richesse d’un réseau solide, professionnel, tout en conservant nos personnalités, nos singularités ». Des valeurs et une approche du coaching communes  « Nous partageons la même approche du coaching et la même sensibilité. Autour de valeurs communes comme l’expertise, la bienveillance, et la performance, nous plaçons l’humain au cœur de l’organisation. Cela nous permet de pouvoir répondre rapidement aux besoins ou aux projets des entreprises, des collectivités ou des associations, que ce soit collectivement ou individuellement ». Les membres d’OcciCoachs sont certifiés RNCP1 (bac +5) et adhèrent au code de déontologie de l’EMCC (European Mentoring and Coaching Council). Le coaching : des bénéfices concrets Pour l’entreprise, le coaching s’adresse aux dirigeants, aux cadres, aux managers intermédiaires, et aux équipes. S’agissant de coaching individuel, les coachs interviennent régulièrement pour accompagner : - l’optimisation et le développement du leadership ; - l’évolution professionnelle (changement de poste, changement d’orientation, prise de responsabilités, etc.) ; - le management, la motivation et la gestion des équipes (créer du lien, donner du sens, gérer les fortes personnalités, développer la motivation, optimiser son organisation, accompagner le changement, etc.) ; - la gestion positive du stress, pour davantage de plaisir au travail. S’agissant de coaching d’équipe, les coachs apportent leurs compétences pour : - faire vivre la vision du dirigeant ; - créer de la cohésion et réguler les équipes ; - favoriser l’engagement collectif au profit de l’entreprise ; - co-construire le changement, les stratégies ou les nouvelles organisations Un coaching individuel ou d’équipe est toujours orienté « résultats ». Il se traduit par un plan d’actions opérationnel pour atteindre rapidement l’objectif déterminé communément et au préalable avec le client. Un coaching s’organise sur une durée limitée, généralement 2 à 6 mois. ...

Esens'All : des découvertes gustatives au quotidien

Laurent Pichaureaux œuvre seul en cuisine. Chaque jour, suivant ses inspirations, ses intuitions et, surtout, les produits bio de saison, il invente de nouvelles compositions, où herbes, fleurs et épices douces subliment les plats. Il privilégie les poissons, les crustacés et les végétaux. Il aime utiliser les fruits secs, le sésame, l’anis vert. Les alliances sucrées-salées sont souvent mises à l’honneur, comme une sauce de soja avec décoction de miel ou de la marjolaine avec un beurre mousseux agrémenté d’un jus salé. Une ambiance végétale Ouvert fin 2012, le restaurant Esens’All se situe dans une rue peu passante, parallèle à la rue de Rome, dans le 17e arrondissement de Paris. Ici, tout est fait pour que le client se sente à l’aise, au calme, loin de l’agitation parisienne. Un mur végétalisé, du chêne, des galets, de l’espace entre les tables, de petits rideaux aux fenêtres, une lumière douce, un fond musical : tout pour une ambiance résolument cosy et intimiste. Chaque assiette comme un tableau Ici, vous vous laissez guider pour un voyage gustatif en 6 ou 8 assiettes. Le chef prend en compte vos contraintes alimentaires (végétarien, sans gluten, allergies…). De plus, il ne propose ni abats ni huitres. Si vous optez pour 6 assiettes, vous pourrez découvrir une entrée froide, une entrée chaude, un poisson, une viande, puis le choix entre 2 desserts ou fromage et dessert. Pour 8 assiettes, vous pourrez déguster 2 entrées supplémentaires. Chaque assiette est conçue comme un tableau, qui se dévore des yeux, avant de révéler tous ses pouvoirs au niveau des papilles. Vous pourrez, par exemple, vous régaler en entrée d’un saumon fumé au bois de châtaignier, wakamé, yaourt grec et marinade à base de câpres. Ou d’une mozzarella au jus de truffes servie avec du céleri croquant. En poisson, d’une lotte au cresson sauvage et cerfeuil tubéreux. Et en viande, d’un filet de canette de Challans maturé, jus aux airelles, accompagné d’une purée de panais et de poires confites au miel de châtaignier. Enfin, ​le chocolat termine toujours le repas sous la forme de ganache, de biscuit, de moelleux ou de fondant. Des vins essentiellement bio Le restaurant privilégie les vins bio, mais vous pourrez également accompagner votre repas d’un bordeaux ou d’un bourgogne. Tous les soirs, 3 verres de vin à découvrir sont suggérés pour le menu à 6 assiettes. ...

Les fourmis blanches : un collectif de l’événementiel pro à Lyon

L’ambiance du showroom où Laurianne Ripé reçoit ses clients annonce les couleurs. Ici, l’on vient acquérir le savoir-faire d’une organisatrice et l’on pressent que la collaboration débouchera sur un évènement d'exception. Ecoute et présence sont les valeurs fondatrices de ce prestataire né de la rencontre de plusieurs professionnels rompus chacun à leur art. L’événementiel dans le sang Laurianne Ripé est loin d’être une néophyte dans le domaine de l’événementiel. Son parcours à la tête des Fourmis blanches était précédé d’une expérience parisienne dans l’organisation de mariage. C’est en se relogeant à Lyon que cette wedding planner d’origine lance le concept de la nouvelle enseigne, en s’associant avec Astuce des chefs, traiteur lyonnais de longue date. Sous cette appellation, ces ouvriers de l’événementiel dispensent leur conseil aux entreprises et les accompagnent de A à Z dans la mise en œuvre de leur projet. La marque de fabrique de la maison ? Son équipe ne se laisse pas démonter par les contraintes géographiques. S’il faut aller à Majorque ou au Brésil pour assurer le chantier, le collectif répond présent. Entreprises ciblées au cœur de leur image Les Fourmis blanches déploie son savoir-faire  pour toutes sortes d’événements rattachés à l’entreprise et son image. Des inaugurations de nouveaux bâtiments aux conceptions d’événements de team building, la maison possède de multiples cordes à son arc. L’organisation de lancements de produits et de cocktails d’entreprise constitue une autre demande pour laquelle elle est régulièrement sollicitée. Recherche de l’endroit pour organiser l’événement, décoration, fleurs, repas, tout est pris en charge grâce au vaste réseau de partenaires entretenu par l’enseigne au fil de son expérience. ...

Domaine de l’Enchantoir : quand des vins bio content histoire et terroir

Un vignoble inspiré et des vins enchanteurs Elevés sous l’appellation AOC et certifiés "Agriculture Biologique", les vins du domaine mûrissent dans l’intimité de caves troglodytes, caractéristiques de la région. Avant cette étape, les exploitants cultivent avec soin leurs cépages de Cabernet Franc, de Chardonnay et de Chenin. Travail manuel, traditionnel et technologies s’accordent naturellement sur une terre respectée, du sol aux fruits. Les caves du domaine abritent des cuvées de rouges ronds et affirmés (élevées en AOP Saumur-Puy-Notre-Dame), de blancs fruités et peuvent aussi tirer fierté de leurs "Pétillants naturels", dont les bulles fines se libèrent dans une expansion de fraîcheur et de notes fruitées. Les portes de l’Enchantoir se poussent sur rendez-vous, le temps d'une visite et d'une dégustation savoureuse. ...

Malte, perle de la Méditerranée, mise en lumière par La Valette, Capitale européenne de la culture en 2018

Malte, archipel de trois îles au cœur de la Méditerranée, à 90 kms au sud de la Sicile et à seulement 2h30 de vol de Paris, promet un total dépaysement. Entre sa culture méditerranéenne et son héritage britannique (Malte fut un territoire anglais en 1814 avant de devenir une république indépendante en 1964), le contraste est étonnant mais ne manque pas de charme. Villes historiques, paysages à couper le souffle, eaux cristallines, Malte est la destination idéale pour un week-end ou un long séjour. 2018 : La Valette capte la lumière européenne ! Après plusieurs années de préparation, la capitale de Malte, La Valette, devient celle de l’Europe dans le domaine de la culture en 2018 avec plus de 400 événements prévus sur l’année. De nombreux lieux ont été restaurés à commencer par l’entrée de la ville et la construction du nouveau parlement dont l’architecte n’est autre que l’italien Renzo Piano à l’origine de nombreux projets audacieux tel que le Centre Pompidou à Paris. La bâtisse en pierre traditionnelle maltaise s’intègre parfaitement à la ville tout en symbolisant un pays tourné vers le futur.  Autrefois plutôt calme, La Valette est vibrante de jour comme de nuit avec ses commerces, ses cafés, ses bars et ses restaurants. Strait Street, une des rues les plus étroites de la ville, est bordée de bars où sont régulièrement donnés des concerts live. Des palais rénovés abritent des boutique-hôtels, le marché couvert accueille de nouveau restaurants et échoppes ; et le nouveau musée des Arts de Malte, le MUŻA ouvrira ses portes en milieu d’année, dans l’Auberge d’Italie, l’un des plus beaux palais de la capitale. Le programme culturel est très riche. Les fêtes traditionnelles maltaises prendront une autre dimension : le Carnaval en février, les célébrations de Pâques en mars, la Regatta en juin, les festas traditionnelles pendant l’été, et le Victory Day en Septembre ou les fêtes de Noël en décembre. Tous les arts seront représentés pendant l’année : expositions, concerts, festivals de musique, du design, de la mode ou de la littérature accueilleront des artistes maltais et internationaux. Au-delà de La Valette, d’immenses beautés à découvrir La capitale maltaise n’est pas la seule à attirer l’attention. De l’autre côté du Grand Port se trouvent les Trois Cités, dont les fortifications rappellent que ce sont elles qui ont résisté lors du Grand Siège à l’assaut des Ottomans. Aujourd’hui, on se promène le long de la marina de Birgu et on découvre le Fort Saint Ange, on visite le musée des sciences Esplora à Copiscua et on flâne au Gardjola Garden de Senglea. Au Nord de La Valette, c’est plutôt vers l’agitation de Sliema et St Julian’s que l’on se dirige. Boutiques, bars et restaurants bordent les rues. St Julian’s est très connue pour ses baies entourées des terrasses des restaurants et son quartier de Paceville, idéal pour danser dans les bars jusqu’au petit matin. Dans le centre de l’île de Malte, on aperçoit perchée en haut d’une colline Mdina, l’ancienne capitale de Malte connue sous le nom de Cité silencieuse. Restée immuable dans le temps, la ville n’abrite que des palais de la noblesse maltaise. Depuis les remparts de Mdina, on aperçoit le port de pêcheur Marsaxlokk tout au sud, où trempent les luzzus, ces bateaux colorés typiques ornés de l’œil d’Osiris. Le marché a lieu le dimanche matin, c’est le meilleur endroit pour déguster le poisson frais. Vers le nord, c’est la campagne : on longe les falaises puis on se retrouve vers les plages de sable. Un patrimoine historique d’une grande richesse L’un des premiers trésors de Malte est un ensemble de temples autoportés de l’époque mégalithique qui a conservé tous ses mystères. On ne sait toujours pas comment les habitants de cette époque (4000 - 3000 av. J.-C.) ont pu hisser ces pierres monumentales pour ériger des temples pour la déesse de fertilité. Ces temples, plus anciens que les pyramides d’Egypte, sont pour partie classés au Patrimoin...