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Interview avec Frédéric Robert
Chef du restaurant La Grande Cascade



Restaurant
1 étoile au Guide Michelin
situé à Paris
Région Île-de-france

Dans votre restaurant, comment définissez-vous votre cuisine ? Quels sont vos plats «Signature»? Avec quels produits aimez-vous travailler ?

Frédéric Robert Ma cuisine est classique, dans la lignée de ma formation dans les grandes maisons parisiennes. J'aime réinterpréter des grandes recettes et les affiner avec des techniques actuelles tout en tenant compte de l'évolution des attentes de la clientèle. En tant que cuisinier à Paris, je me permets plus de choses ! Je n'ai pas l'obligation de travailler avec des produits locaux. Ma préférence va sans nul doute aux produits sauvages : champignons, poissons, crustacés, coquillages et gibiers.
Mes Recettes signatures :
Le Cèpe cru et cuit (variation de 3 températures et 3 textures)
Le Ris de veau aux herbes à tortue (mélange d'épices et d'herbes fraîches savamment dosées)
Turbot de l'Atlantique, morilles, fins coquillages, ravigote au cresson de fontaine

Quelles émotions avez-vous ressenties lors de la remise des étoiles du Guide Michelin ?

FR Vous allez trouver ça drôle, mais en 35 ans de carrière, je n'ai jamais été récompensé personnellement. J'ai su conserver les étoiles déjà attribuées dans les différentes cuisines que j'ai fréquentées (3, 2 et 1 étoile). Mais comme j'aime dire : les gagner c'est bien, les conserver c'est mieux.

La cuisine est faite chaque jour de partage et d'émotions. Toutefois, certains moments de la vie sont à privilégier plus que d'autres... Pouvez-vous nous confier vos plats rêvés pour :
- Un repas de Noël ?

FR Un apéritif au coin de la cheminée avec des petites pièces de foie gras, jambon ibérique, huîtres Gillardeau, croque-monsieur à la truffe, puis un plat à partager servi à table. Je pense par exemple à une volaille de la Cour d'Armoise au vin jaune ou un turbot cuit entier au four au champagne, un brie à la truffe avec du pain de campagne juste toasté et une bûche aux marrons comme faisait ma grand-mère !
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© Pauline Legoff

- Un repas de la nouvelle année ?

FR Je finis toujours l'année avec la même bande de copains. En entrée/apéritif, on mange un toast de pain de campagne, légèrement beurré de demi sel de chez Belvère et agrémenté de truffe noire en lamelle épaisse. A suivre, un grand plateau de fruits de mer, des fromages de la maison Quatrehomme, et on termine avec un St Honoré de Philippe Conticini et des chocolats de chez Patrick Roger. Tout cela accompagné d'un champagne Bolinger.
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- Un repas de la fête des mères ou des pères ?

FR Une grande table dans le jardin avec enfants et petits-enfants, des asperges vertes et blanches sauce ravigote à ma façon (c'était le plat préféré de ma mère), une côte de boeuf de Salers maturée 36 jours à la braise, des pommes de terre à la cendre avec de la crème épaisse de chez Belvère et de la ciboule.

Au fait, pour votre mariage, qui a fait la cuisine ? Pouvez-vous nous indiquer les plats cuisinés ?

FR Céline et moi, nous nous sommes mariés en Normandie dans la demeure de mes beaux-parents. Déjà à l'époque, je ne pouvais pas concevoir de confier mon repas de mariage à un traiteur. C'est donc l'équipe du Grand Véfour qui est venue sur place pendant 2 jours, un moment exceptionnel, nous avons même fait la pièce montée ! En menu, on a mangé un homard breton rafraîchi au melon verveine, des morilles jumbo aux herbes poivrées, sauce soja, une côte de veau de Corrèze au grill avec des girolles et du vin jaune.
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© Pauline Legoff

Sans trop réfléchir, pouvez-vous nous confier votre plus beau souvenir gustatif et certaines des émotions procurées ?

FR C'était il y a une vingtaine d'années, un dîner dans le Piémont en compagnie d'Alain Senderens, dans un petit restaurant au milieu de nulle part avec une grand-mère en cuisine. Des pâtes fraîches à la truffe d'Alba... Cette auberge dans la montagne, cette région magnifique en automne, le soyeux des pâtes et le parfum de la truffe blanche : la pureté même dans la simplicité.

D'après la célèbre devise de Prosper Montagné "On ne fait du bon qu'avec du très bon", pouvez-vous nous révéler deux ou trois de vos adresses gourmandes. Vos producteurs et produits préférés sur votre région ou ailleurs (vins, produits frais, ou autres...)

FR L'Ambroisie place des Vosges : la gastronomie française dans toute sa splendeur
Chez Georges, boulevard Péreire : le vrai bistrot parisien comme j'aime
Bon, rue de la Pompe : la cuisine thaï dans toute sa subtilité, le décor Starck
Mes producteurs préférés :
Poisson : les produits noirmoutrins, la mer à l'état pur
Viande : Boucherie de la Sablière, son boeuf de Salers, son veau de Dordogne, son agneau du Pays d'Oc
Champignons : Guillaume à la Compagnie du Bocage
Foie gras du Sud-Ouest : maison Laffite
Truffe noire : Jérôme Gallis

On parle aujourd’hui beaucoup de cuisine fusion, de plats végétariens, d'aliments biologiques, de « Trashcooking » (ingrédients destinés normalement au rebus), de « Freakshakes » pour marier un dessert à une boisson... Selon vous quelles seront les grandes tendances de la cuisine de demain ?

FR La tendance de demain a toujours été ma tendance, le produit à l'état pur et la main de l'homme pour le transcender. Si les cuisiniers n'avaient pas donné l'opportunité aux petits producteurs, cultivateurs, éleveurs de nous fournir et de pouvoir vivre décemment, le savoir faire de ces producteurs ce serait perdu. L'effervescence que nous connaissons aujourd'hui autour du bio et du retour au vrai n'existerait plus !
Le mariage d'un plat avec un vin, un jus de légumes ou fruits ou même un thé est tellement évident pour moi. 80% des fromages se marient avec un vin blanc et pourtant tout le monde a l'habitude de boire du vin rouge avec le fromage.

Culture - Cinéma Quelle est votre scène préférée de cinéma au restaurant ? Un souvenir de film avec une séquence particulière...

FR L'aile ou la cuisse ! Le message du film est tout à fait d'actualité, la critique à travers les guides et internet n'a jamais été aussi puissante. Lorsque Coluche se fait passer pour le critique d'un célèbre guide et reçoit toutes les attentions du restaurateur et c'est Louis de Funès qui est au fond de la salle complètement délaissé en train d'écrire son rapport. C'est tellement vrai !
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© Alban Couturier
© Pauline Legoff

Si vous aviez un hommage à adresser à Paul Bocuse, quel serait-il ?

FR Paul Bocuse a sorti le cuisinier de sa cuisine et l'a apporté à la lumière. Si la gastronomie française est si rayonnante aujourd'hui, c'est grâce à lui !
Adresse | Contacts utiles
image-prop-contact-la-grande-cascade La Grande Cascade Carrefour de Longchamp, Bois de Boulogne
75016 Paris

Tél. : 01 45 27 33 51
Site Internet

Récompenses
1 étoile au Michelin

La Grande Cascade : les avis

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Restaurant Saisons - Institut Paul Bocuse à Ecully : une gastronomie de haute volée

Inspirée par ses deux co-fondateurs visionnaires Paul Bocuse, référence mondiale des arts culinaires et Chef du siècle avec 3 étoiles Michelin depuis plus de 50 ans, et Gérard Pélisson, co-fondateur du groupe Accor, exemple de réussite managériale et entrepreneuriale - l’Institut bénéficie d’une aura unique de prestige en France et à l’international. Une visite au restaurant Saisons Situé dans le cadre prestigieux du château du Vivier, le restaurant Saisons propose un cadre de charme tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Il est agréable de déjeuner, aux beaux jours, sur la terrasse du château. Cet espace de repas extérieur offre une belle vue sur le parc verdoyant légèrement en vallon. Sous la responsabilité du Chef Davy Tissot - Meilleur Ouvrier de France 2004 - le restaurant Saisons est une histoire de rencontre entre tradition et modernité. Le désir de créer un souvenir, une émotion gustative et visuelle. Une cuisine contemporaine et créative Le Chef Tissot, dans sa quête quotidienne du dépassement, inspire son équipe avec rigueur et exigence, mettant un point d’honneur à proposer une cuisine aux saveurs harmonieuses selon les saisons. Par son expérience, il transmet à cette nouvelle génération ses valeurs de savoir-faire et de perfectionnement du service client afin d’atteindre l’excellence. Donner du plaisir à travers la cuisine et construire l’avenir. Les étudiants cuisinent comme dans une brigade, tels de vrais professionnels. La maison propose trois menus, variant au gré des saisons : le Partage des styles (déjeuner uniquement), la Noblesse du temps et l’Alchimie des sens. Le menu Noblesse du temps, dédié aux amoureux de la cuisine classique, revisite la tradition. L’Alchimie des sens  met en avant une cuisine moderne enrichie d’audace et d’originalité. Testé durant l’été, l’entrée est marquée par un carpaccio de saint-pierre à la crème de langoustine et d’une vinaigrette de grenadille. Ce plat divinement présenté est accompagné d’une fine tuile de pain à l’encre de seiche. La suite enchaine une série de plats, où le sel et le sucre s’accordent avec grâce. Le délice de Saint-Jacques, en l’occurrence, est servi avec du berlingot, de la citronnelle et du topinambour. En pré-dessert, ils osent une version sucrée de la raviole d’agrumes, exquisément baignée dans un bouillon de cannelle. Pour le dessert, place à des notes estivales avec la pêche de vigne agrémentée de feuilles de verveine. Tout au long de ce périple culinaire, le sommelier conseille les invités sur le vin. Il guide leur choix sur le verre approprié à chaque plat. Quelle que soit leur option, ce connaisseur attentif est toujours présent pour leur suggérer le meilleur accord. ...

Château d’Auvers-sur-Oise : un cadre nouveau pour de nouveaux challenges

D’immenses écrans de projection qui magnifient les œuvres pour en saisir plus de détails. Un agencement scénographique puisant à loisir dans l’intimité des artistes, via des témoignages ou des correspondances de leurs proches. Ces deux ingrédients distillés dans le nouveau parcours du Château d’Auvers promettent de rapprocher les visiteurs de l’impressionnisme, comme jamais encore auparavant. En même temps, ce nouveau concept sublime le cadre, pour des événements plus marquants. Un cadre encore plus valorisant pour les événements d’entreprises Tout en profitant d’une certaine proximité avec Paris, le lieu présente l’avantage d’être bien isolé. Niché dans son cadre de verdure, il sied tout à fait pour les séances de travail que l’on désire programmer en retrait des environnements de tous les jours. La maison renouvelle d’ailleurs ses offres, mettant à disposition des espaces plus fonctionnels encore. Une salle événementielle résolument high-tech À l’instar du Cube, il existe une salle événementielle résolument high-tech avec ses écrans agencés de façon intelligente. Quelle que soit la place du participant, il aura une vue dégagée sur les contenus diffusés. D’autres emplacements modulables, telle la salle Van Gogh, sont mis à disposition afin que les organisateurs prévoient un aménagement plus ou moins convivial, selon leurs besoins. ...

École de Cuisine Alain Ducasse : un concentré d’expériences et de savoir-faire

« Le savoir n’est rien s’il ne se partage pas » La cuisine est souvent une histoire d’émotion et de passion, mais ce sont aussi les gestes techniques et le savoir-faire qui transforment un repas classique en un moment unique de partage. Parmi les valeurs exprimées par Alain Ducasse tout au long de sa carrière, la transmission du savoir-faire culinaire a toujours occupé une place importante. Cette idée particulière du partage a été rendue accessible à tous en mai 2009, quand le célèbre chef étoilé a finalement lancé son projet d’école pour les particuliers. C’est dans un espace contemporain de 500 m2 niché au cœur du prestigieux XVIe arrondissement de Paris que tous les cours sont regroupés pour offrir une expérience unique aux participants. Les cuisines sont spacieuses et aménagées avec les derniers équipements professionnels. Dans un décor réalisé par le designer Pierre-Yves Rochon (à qui l’on doit l’aménagement de célèbres établissements hôteliers à travers le monde, comme les Fours Seasons à New York ou le Ritz-Carlton à Bahreïn), les clients profitent d’un espace chaleureux et agréable où venir apprendre les meilleures techniques culinaires auprès des chefs de l'école. Une équipe de chefs formateurs Il faut saluer ici l’excellent travail effectué par Julian Mercier, chef exécutif de l’école. Il a ramené de ses expériences aux quatre coins du monde, toujours aux commandes des fourneaux les plus réputés, un goût exquis du partage et des rencontres qu’il met maintenant au service des particuliers. Accompagné d’une équipe composée de la fine fleur de la restauration gastronomique, il transmet son savoir et sa passion dans l’art du « geste juste, celui qui fait la différence ». Quand on lui demande quels sont les points forts de l’école, il répond modestement que : « Nous apportons la caution des chefs "Alain Ducasse" et tout leur savoir-faire. Les chefs sont accessibles et s’adaptent à tous les niveaux, débutants ou confirmés. Il est important que chacun puisse trouver son bonheur et les réponses à ses questions en venant ici. » Les cours sont regroupés sous forme de sessions d’une demi-journée au minimum qui permettent d’aborder différents aspects de la cuisine contemporaine. « Cuisine du quotidien », « Cuisine 3 étoiles » ou classes spécialement conçues pour les « Kids », les diverses formations proposées par l’École de Cuisine Alain Ducasse sont autant de portes d’entrée dans l’univers fascinant de la gastronomie. Les cours durent au moins quatre heures afin d’avoir le temps de détailler tous les points importants des recettes, étape par étape. Aussi, pour être certaine de répondre aux attentes particulières de tous les participants, chaque formation ne compte pas plus de dix élèves par session. Il n’est pas rare de croiser quelques jeunes étoiles montantes de la cuisine internationale qui viennent se glisser au programme de l’école. Fumiko Kono ou Beena Paradin, ces chefs invités viennent partager leurs talents et leurs techniques originales pour le plus grand bonheur des participants. Amenant avec eux leurs aspirations aux couleurs subtiles, ils ouvrent lors de ces worshops les horizons culinaires et sensoriels des élèves. En plus de ces initiations à la cuisine, l’École de Cuisine Alain Ducasse propose aux élèves de prendre part à des cours de pâtisserie et de dégustations oenologiques. Vous trouverez différrents thèmes pour appréhender ces deux autres activités qui font partie intégrante de la gastronomie. ...

Domaine de Chateauvieux-Hôtel
Luxe, calme et volupté au pied des vignes

Un séjour authentique, une vue imprenable Loin de l’agitation du centre urbain, à seulement 10 kilomètres de Genève, le Domaine de Chateauvieux s’inscrit dans une oasis de calme et de verdure, au cœur de la commune viticole de Satigny. Facilement accessible depuis l'aéroport ou la gare, cette ancienne ferme de tradition vigneronne datant du XVIième se distingue par sa position imprenable. Tous les matins, le soleil se lève sur un spectacle dont on ne saurait se lasser tant la région est une merveille. Jouissant d’une vision a 360°, dominant le cours du Rhône, le visiteur est propulsé au centre des Monts du Jura. Dans ce paysage environné de vignes, plus qu'un lieu d'accueil, le château est  aussi l’écrin d’une tradition culinaire de prestige. Réputé pour sa table gastronomique, il est orchestré depuis 1989 par le chef suisse doublement étoilé Philippe Chevrier, reconnu pour ses plats inventifs aux accents du terroir. Châteauvieux est cette invitation à l' élégance classique et cocooning qui semble défier le temps qui passe, loin des standards de l’hôtellerie traditionnelle.  Le charme des espaces personnalisés Avec ses intérieurs romantiques aux couleurs chaudes et douces, sa pierre et son bois chaleureux façon hameau, le domaine vous propose onze chambres confort, une chambre deluxe et une suite duplex. Elles accueillent le visiteur, pour une halte ou un long séjour, dans un mélange d’intemporel et de contemporain où le raffinement vient se nicher dans le moindre détail. Télévision par satellite, wifi, minibar, coffre fort, téléphone direct, parking privé gratuit, climatisation individuelle, room service, buffet pour le petit déjeuner : tout est prévu pour assurer votre confort. En hiver,  le domaine est le spot idéal pour se lover dans les chambres cocoon ou pour goûter la beauté du soir qui tombe, au coin du feu, dans le joli salon en bois. A la belle saison, les grands espaces comme le jardin et le potager, fournisseurs d’aromates, de fruits et légumes appellent à la plénitude. Quant à la grande terrasse avec vue sur le potager, elle invite les gourmands à un bon repas gastronomique ou à l’apéritif sur ses transats détente. Quelque soit la saison, l’endroit à le charme et les ingrédients propices à la détente grâce à ses espaces personnalisés. Adeptes des cigares, vous vous laisserez volontiers séduire par la salle fumoir qui propose une large sélection de havane, dans un bar chic et douillet, façon club, où l’on peut se délasser dans de beaux fauteuils. Autre lieu incontournable dans cette haute région viticole, le cellier du domaine. Suisse, France, Espagne, Argentine, Canada, Allemagne, Autriche, Portugal : beaucoup de pays sont représentés. La cave  compte près de 20000 bouteilles et la carte de vins propose près de 800 crus. Côté table, la cuisine de caractère et d’exigence de Philippe Chevrier sait jouer du produit de saison. De la truffe noire en hiver qui se dévoile sous toutes ses coutures, aux poissons, crustacés et coquillages venues des côtes bretonnes et de Vendée en passant par de belles pièces de viande comme le bœuf suisse des Alpages, l’établissement concocte une cuisine simple mais raffinée. Le domaine plante un cadre propice à la concentration. Il met à votre disposition une salle de séminaire, comprenant une table centrale pouvant accueillir un maximum de 10 personnes pour vos réunions durant une demi journée ou une journée entière. ...

Restaurant Le Paname :
cuisine de tradition dans un décor de charme

Bénéficiant du label Maitre restaurateur, Le Paname fait sensation par son brunch dominical à concept unique. Mais sa bonne cuisine de marché, faite maison, concoctée au quotidien à partir d’ingrédients frais est pareillement un pur bonheur pour les papilles. Plaisir des sens au Paname Dans un cadre calme, Le Paname reste l’endroit idéal des foodies adeptes de cuisine gourmande. La grande terrasse protégée par des parasols beiges et entourée de verdure invite à profiter du soleil durant l’arrivée des beaux jours. Plutôt en quête de tranquillité et d’intimité ? Investissez la salle intérieure offrant une atmosphère chaleureuse dans un décor agréable. Au quotidien, 2 formules déjeuners sont proposées à un prix des plus abordables si vous ne préférez pas piocher d’autres délices dans la carte. Rien de tel que les croustillants de gambas et leur mousse de poivron rouge ou l’une des salades (Paname, Caesar, Norvégienne, Landaise, etc.) pour entamer le repas. Laissez-vous ensuite tenter par un pavé de saumon mi-cuit accompagné d’un risotto crémeux ou par le Paname Burger, plat signature du restaurant. Une salade de fruits frais, une crème brûlée à la vanille ou des crêpes Suzette flambées au Grand Marnier vous attendent en guise de desserts. Côté boissons, Le Paname fait les choses en grand avec une large palette qui comble toutes les envies : vins, champagnes, cocktails, bières, apéritifs, digestifs, smoothies, milkshakes ou jus de fruits. Et cerise sur le gâteau : le happy hours commence dès 17 h, jusqu’au soir à 23 h. ...

Château Léoube :
à la découverte des meilleurs crus de Côtes de Provence

Construit vers le XIVe siècle sur la commune de Bormes-les-Mimosas, dans le Var, l’imposant Château Léoube a été racheté en 1997 puis complètement restauré par l’industriel anglais Lord Anthony Bamford. Le domaine est situé sur l’un des plus beaux sites protégés d’Europe, au cap Bénat, près de Saint-Tropez, et s’étend sur quatre kilomètres de littoral sauvage. À lui seul, il couvre 560 hectares, dont 68 hectares dédiés à la culture de vignes et 23 hectares à l’olivier. Un domaine viticole exceptionnel Bénéficiant d’une situation géographique exceptionnelle, avec un ensoleillement optimal et une terre ocre-argileuse très généreuse, « le vignoble génère une production annuelle de 450 000 bouteilles de vins blancs, rouges et principalement des rosés, tous certifiés biologiques par le label Ecocert depuis 2011 », rapporte Jean Dubille - Directeur général du Château Léoube. Outre son terroir d'exception, le Château Léoube véhicule des valeurs humaines qui contribuent à son succès. Une équipe de 80 personnes assure le bon fonctionnement des activités de l'exploitation. Parmi elles, figure l’œnologue Romain Ott qui affirme son savoir-faire et sa passion du vin à travers ses cuvées aussi fruitées qu’équilibrées. Des vins rosés dignes des tables gastronomiques Romain Ott et son équipe élaborent une variété des meilleurs crus de Côtes de Provence grâce à un processus de fabrication rigoureux et respectueux de l’environnement. Le Château Léoube se distingue particulièrement par ses vins rosés qui se déclinent sous quatre gammes, à savoir le Rosé de Léoube, le Sparkling de Léoube (rosé pétillant), le Léoube La Londe et le Secret de Léoube, la cuvée emblématique du domaine. Ces deux derniers produits sont des « vins rosés de gastronomie », note Romain Ott. Par ailleurs, même si le vignoble est implanté sur la terre de prédilection de vins rosés qu’est la Provence, il produit merveilleusement des vins rouges structurés et puissants et aussi des vins blancs élégants à déguster avec délectation. Une offre œnotouristique séduisante en bord de mer Le château propose dans sa boutique des dégustations de vins toute l’année et des visites de caves. Cerise sur le gâteau : la plage naturelle du Pellegrin qui se trouve à quelques mètres du domaine est accessible à tous les visiteurs par un parking payant. Là, les parasols du Café de Léoube n’attendent que les vacanciers, avec au menu des produits biologiques locaux, sans oublier les vins de la maison servis sur place. ...

Le domaine Espérou : l’amour d’un terroir, en héritage

Depuis 5 générations, le domaine Espérou travaille avec passion son terroir où s’épanouissent des cépages de Carignan, de Syrah ou de Grenache. Cécile Bonnafous est aujourd’hui seule à sa tête, accompagnée par son époux, Eddy Bonnafous, pour la partie commerciale et quelques saisonniers occasionnels. L’attachement au sol familial, aux paysages alentours est à l’origine de cette vocation. Une production responsable pour un fruit sublimé Le vignoble, déjà engagé dans la culture raisonnée, tend aujourd’hui vers le bio. Un travail manuel est préservé, notamment par respect des vieux pieds de Carignan du terroir, âgés de 80 ans pour certains. Ce respect envers la nature, les deux belles cuvées du domaine le rendent bien. Corbière rouge ou Corbière Boutenac, l’un aux notes de fruits murs, l’autre aux notes de fruits cuits, allient finesse, profondeur et fraîcheur. Les précieuses bouteilles sont en vente directe au domaine mais se trouvent aussi dans des restaurants, chez des cavistes de plusieurs régions et dans les commerces de proximité. Savoir-faire, patience et passion figurent parmi les saveurs au rendez-vous. ...

KayFlô : vivre dans le plus grand confort à bord d’une maison-bateau

Si ce modèle de maison-bateau séduit de plus en plus les particuliers, le porteur du projet aspire surtout à investir l’industrie hôtelière : « La Maison KayFlô permet de créer un hôtel à flot dans des espaces naturels ou à quai au cœur des plus belles villes avec une offre de standing en location saisonnière ou à la nuitée» précise-t-il. Voilà maintenant une dizaine d’années que Jean-Marc Salpetrier, ingénieur en génie civil et urbanisme, cogite sur la concrétisation de ce projet initié avec le coup de crayon originel de Gildas Plessis. La Maison KayFlô a été révélée pour la première fois au Nautic de Paris en décembre 2016. Le lancement de la 1ere série est programmé fin 2018 avec la réalisation du premier hôtel à flot en mer dans la baie du Marin à la Martinique. Avec cette maison flottante, une innovation s’opère : L’urbain s’étend en mer et le touriste « terrien » investit l’espace littoral. Nul besoin d’un permis de navigation ou d’un permis de construire, pour bénéficier de son « chez-soi » sur la mer, oui c’est possible ! Une maison-bateau « éconologique » : économique et écologique Cette maison-bateau, signée KayFlô, peut se déplacer pour une exploitation à flot ou à quai. À bord, sa structure monocoque-catamaran brevetée lui permet de gagner considérablement en espace, en volume et aussi de mieux s’intégrer dans l’environnement littoral. « L’espace de vie de la maison-bateau KayFlô est de 100 m² environ, répartis sur 3 niveaux : un niveau chambres et toilettes, un espace de vie avec vue à 360 degrés avec un salon surélevé, une cuisine fonctionnelle, une grande véranda et enfin un niveau haut avec une terrasse panoramique ».Il est possible d’y aménager un jacuzzi, un spa, un coin grillade, une piscine de mer et bénéficier de tout le confort d’une maison moderne. Et grâce à sa conception à deux coques latérales similaires à un catamaran, la maison-bateau KayFlô jouit en plus d’une grande stabilité. Mieux encore, elle peut être totalement autonome grâce à l’installation de 20 m² de panneaux solaires, de deux éoliennes, son système de récupération d’eau pluviale et son traitement des eaux usées. Enfin, investir dans une maison-bateau KayFlô est financièrement avantageux, car elle est proposée à partir de 3 000 euros le mètre carré, soit trois fois moins que le prix moyen du mètre carré à Paris ! « Le fait que le projet soit conçu avec une dimension industrielle nous permet d’offrir la solution au meilleur coût pour s’adresser à l’industrie touristique internationale et aussi aux particuliers. ». Par ailleurs, en France, nul besoin de payer des taxes foncières et d’habitation, une taxe de francisation liée à l’immatriculation du navire suffit. Une expertise 100 % française   Afin de satisfaire ce marché à forte exigence de qualité, le concepteur s’est entouré de professionnels de la mer avec notamment un spécialiste dans l’architecture et la construction navale et un designer de renommée internationale. Il s’agit entre autres de Yacht Concept et du Chantier de l’Arsenal dirigés par Laurent Da Rold tous deux sis à La Rochelle, et du designer Franck Darnet à Nantes. Par ailleurs, le projet KayFlô a également bénéficié d’un soutien inébranlable du CMT Comité Martiniquais du Tourisme, de la Technopole Cacem, de l’Office de l’Eau, de l'ADEME Agence De l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie et la BPI Banque Publique d’Investissement. Pour en savoir plus et contacter KAYFLO, rendez-vous sur le site internet www.kayflo.com ...

Bière Saint Graal, les hommes préfèrent les blondes

Saint-Graal est une création originale d’Alexis Briol, élu meilleur brasseur de l’année 2012 en Belgique. Elle est brassée par la brasserie Saint Feuillien, une référence et une icône en la matière en Belgique, réputée pour la qualité exceptionnelle de ses produits. Une bière blonde authentique La Saint-Graal est une bière blonde dite de triple fermentation conçue pour la dégustation. Sa robe est blond pâle, légèrement voilée. Ses bulles sont fines et sa mousse à flocons moyens tient bien, tout en offrant une légère texture crémeuse au centre. Au nez, elle propose des arômes donnant sur des fruits exotiques (pamplemousse et agrume) et floraux conférés par le houblon SAAZ. En bouche, elle est ronde, souple et maltée, avec des arômes orientés sur les épices. A la dégustation, elle offre une amertume fine et délicate qui se marie harmonieusement avec son goût très prononcé sur les fruits. Cette sublime complexité lui a valu une médaille de bronze France lors du dernier World Beer Awards. Un packaging pour sortir de l’ordinaire La bière Saint-Graal est conditionnée dans une bouteille classique de 33 centilitres, mais ce qui en fait sa particularité, à part ses saveurs spécifiques bien entendu, est son conditionnement très original. En effet, elle est présentée sous forme de coffret prestige « édition limitée » comprenant quatre bouteilles accompagnées d’un verre en bois du type calice, spécialement conçu pour sa dégustation. Elle est également disponible en cagette de bois composée de huit bouteilles. La bière Saint-Graal est disponible à la vente dans 120 points en France ainsi qu’en ligne sur le site minutevin.fr. ...

Le Broc, un village pittoresque, une commune dynamique

C’est au cœur du Moyen Pays Niçois, que cette commune dominant les vallées du Var et de l’Esteron, ne cesse de nous étonner par sa richesse culturelle. Tout le charme du Broc réside dans ses charmantes petites rues, bordées de maisons anciennes en pierres qui sont regroupées autour d’une pittoresque place à arcades. D’un point de vue économique, le pôle Carros – Le Broc, est la première zone industrielle du département, ouvrant au Broc de grandes perspectives et permettant de générer quelques 7500 emplois. La salle de spectacles Les Arts d’Azur « L’exception culturelle » Inaugurée en 2012, la salle Les Arts d’Azur a accueilli, depuis son ouverture, une programmation très diversifiée avec de nombreux concerts. Des artistes de renom sont déjà passés par cette salle tels qu’Oxmo Puccino, La Rue Ketanou, Tryo, La Grande Sophie et Delphine de Vigan, Jeanne CHERHAL , Jean François Zygel, Renan LUCE, Enzo Enzo, Cali, Nicole Ferroni, Sanseverino, Aldebert … Tous enchantés par le cadre convivial et l’accueil chaleureux. Le projet du Pôle Culturel sur la commune du Broc a été conçu autour de 2 objectifs ambitieusement environnementaux, diminuer les consommations d’énergie de 50 % par rapport aux consommations réglementaires et réaliser un bâtiment confortable, écologique et durable. La saison passée, la salle Les Arts d’Azur a enregistré la venue de près de 4000 spectateurs, dans une commune qui aime tant « vivre culture ». Pour cette sixième année, l’enceinte propose une saison 2017 - 2018 toujours aussi riche et variée et offre une programmation diversifiée. Des structures culturelles proposant activités diverses Les Arts d’Azur, ce sont aussi un ensemble de structures culturelles rayonnant dans le département. L’Ecole de Musique, créée en 1997 par la municipalité du Broc, avec 4 classes (piano, harpe, guitare, flûte traversière), compte aujourd’hui plus de 220 élèves et 15 professeurs, tous musiciens solistes ou en orchestre. La médiathèque Emile Tornatore propose un fond riche de documents (livres jeunesse et adultes, revues, Cd, DVD, livres audio, partitions) mais aussi un fond spécifique de jeux donnant accès à un espace ludothèque. De nombreux évènements sont proposés à l’année. L’Atelier André Quiron, dans lequel se déroule des cours de peinture, d’aquarelle, de dessin ou de sculpture sur terre. Le fruit du travail des élèves de tous âges est régulièrement montré au public lors d’expositions temporaires. L’Atelier Théâtre, proposée depuis septembre 2014, regroupe deux catégories d’âges. Les élèves peuvent découvrir ou se perfectionner à l’art vivant. Les représentations de fin d’année qui ont lieu à la salle et ont déjà remporté un franc succès ! ...

La Banque Nationale de Données Maladies Rares

Pourquoi cette banque est d’utilité publique ? Le faible nombre de malades, la faible couverture en termes de population et les biais des autres outils de mesure nationaux à disposition ne permettent pas d’assurer des études populationnelles de qualité dans le cadre des maladies rares. Le ministère de la santé a donc souhaité promouvoir la mise en œuvre d’un recueil de données spécifique aux maladies rares : la BNDMR. Cette base de données nationale vise à doter la France d’une collection homogène de données sur la base d’un set de données minimum (SDM) pour documenter la prise en charge et l’état de santé des patients atteints de maladies rares dans les centres experts français, et de mieux évaluer l’effet des plans nationaux. Que permettra cette banque ? Ce sera un outil  essentiel pour le  pilotage et la conduite des  politiques  publiques de santé. Notamment, ce recueil permettra de connaître le nombre global de patients atteints de maladies rares, ce qui devrait alors permettre d’adapter le réseau de soin pour la prise en charge des malades. C’est à dire : permettre l’adéquation de l’offre de soin avec les besoins de terrain pour assurer  une couverture nationale équitable au niveau de la prise en charge ; permettre l’analyse des  parcours de soins  et de l’organisation  des  services ; mesurer l’impact d’un nouveau traitement ou d’une nouvelle politique de  santé; mesurer l’efficience du système de soins maladies rares mis en place ( ex : mesurer l’errance diagnostique, estimer le nombre de  patients qui ne sont pas passés par le réseau, ...) à destination des ministères, ARS etc. Qu’est-ce qu’on y met ? Les données contenues aujourd’hui dans les dossiers des patients atteints de maladies rares ne sont pas toujours adaptées à un recueil épidémiologique ou à la mise en place de cohortes ou d’essais thérapeutiques ad hoc. Il est cependant primordial d’avoir accès à la totalité des informations disponibles afin de pouvoir les colliger dans cette future BNDMR. Dans cette logique, un « set minimal de données maladies rares national » a été défini par l’équipe projet de la BNDMR à la suite d’un long processus qui s’est appuyé sur l’expertise des professionnels de santé des 131 centres de référence maladies rares et d’un groupe de travail ministériel (en 2013). Ce « set de données minimal national maladies rares » a pour vocation d’être recueilli auprès de chaque patient atteint d’une maladie rare reçu dans un centre de référence ou de compétences maladies rares labellisé. Il vise à minimiser le nombre de données collectées par centre afin de garantir la qualité de l’information recueillie et son exploitation. Il favorise la communication avec les systèmes informatiques de soins hospitaliers. Il constitue ainsi le socle d’information commun à toutes les maladies rares et à tous les acteurs de la prise en charge du soin. Le set de données minimal national maladies rares se décompose par chapitre de la manière suivante : • Consentement (réglementaire) • Identification patient • Informations administratives • Informations familiales (le cas échéant) • Statut vital • Parcours de soins • Activité de soins • Histoire de la maladie • Diagnostic • Confirmation du diagnostic • Traitement • Anté et néonatal (le cas échant) • Recherche (le cas échant) Il est constitué d’une soixantaine d’items. La limitation du nombre d’items nous permet de minimiser la double-saisie des données par les professionnels. Qui ? Comment ? Tous les centres spécialisés maladies rares ont obligation d’entrer leurs patients dans cette base de données. Elle ne sera donc pas exhaustive car certains patients ne se rendent  jamais en consultation dans un centre de référence maladies rares. Mais elle constituera un recueil unique au monde (aucun pays n’a fait ça avant la France) et  unique en son genre (un seul recueil centralisé national pour tout le monde). A l’heure actuelle il y a 2 manière...

Château de Trémouriès :
qualité et originalité des vins avant tout

Le Château de Trémouriès tire son nom de l'élevage des vers à soie pratiqué dans le passé, car les vers à soie se nourrissaient des feuilles de mûrier d'ou le nom château des trois mûriers ou Castéu di Trémouriès en Provençal. Un site d’exception chargé d’histoire Situé à l'entrée du village de Cogolin, le Château de Trémouriès datant de l'époque médiévale, détruit et reconstruit plusieurs fois, au cours des siècles est un des plus ancien château du village, ayant appartenu entres autres à l'Ordre du Temple. Un emblème Templier représentant une croix a d'ailleurs été retrouvé par les actuels propriétaires et figure désormais, tel un logo, sur les étiquettes de bouteilles et autres supports publicitaires du domaine. Actuellement les bâtiments se composent d'une magnanerie du XVII éme siècle et d'un château construit en 1836 dans le style d'une bastide provençale. Un vignoble spécifique Avec ses six hectares tout en coteaux, le vignoble du château  dispose d’un terroir assez spécifique : « sur cette terre un petit peu aride, nous cultivons principalement cinq cépages » explique le responsable. Cette spécificité vient du fait que les cinq cépages (Cinsault, Mourvèdre, Syrah, Grenache et Rolle) disposent chacun de leurs parcelles avec une exposition, une pente et une terre qui leur sont propres. A titre d’exemple, les clos de vieux grenaches et de syrah, pourtant installés côte à côte, se distinguent par la présence abondante de mica dans le premier et son quasi-absence dans le second. En outre, les vignes du château sont soumises à un microclimat distinct des terroirs avoisinants. La pluie et la grêle sont ainsi plus rares qu’à Grimaud pourtant installé à seulement cinq kilomètres, et par rapport à la Môle située à deux kilomètres à l’ouest, la température est en moyenne plus élevée. Le Château met à profit les spécificités de ce terroir pour produire des vins différents en comparaison à ceux de ses voisins. Par souci de raffinement et d’esthétique, mais aussi pour la prévention des maladies, s'inspirant en cela de la tradition des anciens, des rosiers rouges et blancs ont été plantés en alternance entre les rangées de vignes. Des cuvées basées sur la qualité et l’originalité Le catalogue de vins du Château Trémouriès est composé de trois cuvées déclinées sur les trois couleurs et élaborées selon deux principes simples : « nous faisons des produits qui sortent de l’ordinaire, basés sur la qualité et l’originalité » selon les précisions du responsable. D’une complexité rare pour son terroir, la Cuvée des Templiers Rouge AOP Côtes de Provence est un vin issu d’un long vieillissement en futs de chêne qui lui confère une singulière élégance. Particularité qui lui a valu une médaille au Salon Agricole de Paris pour son millésime 2013. D’ores et déjà, les amateurs de bons vins trépignent d’impatience en vue des millésimes 2014 et 2015, qui sont en train d’être affinés en cave.  Fer de lance de la Provence au sein du milieu viticole français, le vin rosé figure également dans la palette des vins du Château Trémouriès. « Notre production s’articule principalement autour du rosé » explique le responsable de la cave, le rosé Château de Trémouriès AOP Côtes de Provence. Issu d’une vinification des plus attentives, celui-ci apporte de la fraicheur aux mets qu’il accompagne. Tout récemment, le domaine a élargi son catalogue avec une nouvelle cuvée de blanc, très appréciée des connaisseurs.  ...

Wagy Burgers du Père Claude : cuisine urbaine sur la rive gauche

Ayant littéralement baigné dans la cuisine française depuis sa tendre enfance, le maitre des lieux Ludovic Perraudin y puise toute son inspiration. Cependant, c’est son imagination culinaire surprenante qui fait toute la différence dans chacune de ses créations. Burgermania à Paris C’est dans un cadre entièrement renouvelé que le fils Ludovic opère toute sa magie. Installé derrière son comptoir, ce chef gastronomique élabore des burgers comme vous n’en dégusterez pas ailleurs. Au choix : plus d’une dizaine de variétés. Parmi les burgers qui ont reçu le plein d’éloges de la part des clients figure le Black Spicy, composé de steak de viande bovine française, de pickels, tomate, oignon, cantal AOP, sauce pimentée, tabasco, fleur de sichuan (petit bouton de fleur du sud de la Chine), salade de type iceberg ; le tout enrobé de pain à l’encre de seiche, dont l’apparence noire apporte un contraste au plat. Dans le registre végétarien, le burger Veggie fait le bonheur des foodies avec sa crème truffée, champignons de Paris, tomate, cantal AOP, escorté d’une galette de pommes de terre qui ne cannibalise pas les saveurs des ingrédients mais, bien au contraire, en affirme le gout. Des viandes de qualité Pains issus du boulanger Au Bon Louis, sauce maison, fromage affiné, viandes d’origine française, recettes originales : telles sont les combinaisons gagnantes qui ont fait le succès de Wagy Burgers du Père Claude. La maison va même jusqu’à proposer des steaks de bœuf Wagyu, appréciés pour leur délicatesse, leur texture tendre et persillée. Une cuisson à point est recommandée aux clients afin de savourer au mieux ces viandes d’exception. ...

Le spa des Jardins de la Médina, un espace de bien-être dans la pure tradition orientale

Le spa des jardins de la Medina été aménagé sur l’une des principales terrasses de l’hôtel et domine le grand jardin luxuriant et sa piscine chauffée en hiver. Il permet aux hôtes de l’hôtel de découvrir ou redécouvrir la tradition ancestrale des soins du corps. Le hammam, élément incontournable de l’art de vivre marocain Invitation à la relaxation, le hammam est un excellent moyen de se détendre, de faire le vide et d'oublier ses soucis. On en ressort avec une véritable sensation de bien-être. Il est impensable de séjourner au Maroc sans expérimenter cette pratique incontournable de l’art de vivre marocain. Ce plus ancien rite de beauté relaxe les muscles, libère les toxines et purifie la peau, surtout lorsqu'il est associé à un gommage au savon noir parfumé à l'eucalyptus. L’art du massage Le massage est l’une des plus anciennes formes de thérapie populaire au monde. Il était pratiqué déjà près de 3000 ans avant J-C.  Les médecins de l’antiquité grecque et romaine les utilisaient pour soulager et guérir.  Et les orientaux, dont les turcs ont prolongé et adapté ces pratiques à leur propre usage. Les soins délivrés aux Jardins de la Médina sont inspirés des rituels orientaux. Ils s’adaptent à vos envies et/ou besoins du moment : Relaxation, décontraction, tonification. La thérapeute spécialement formée est à votre écoute pour faire de ces soins une parenthèse de bien-être personnalisée. Un barbier authentique et chic Le barbier est installé dans un petit salon authentique et chic. Il œuvre tous les jours sur rendez-vous et propose  à sa clientèle masculine différents soins raffinés au choix comme le rasage, les soins de la barbe et du visage et, bien entendu la coupe de cheveux. ...

Caroline Scherlen : trouver sa place
dans son écosystème

Que ce soit au niveau personnel ou professionnel, tout individu est inscrit et évolue dans des systèmes. « Je suis intimement convaincue que lorsqu’une personne n’est pas à sa place et qu’elle est mal à l’aise l’impact se ressent sur le système dans lequel elle évolue », explique Caroline Scherlen. Il est donc primordial que chaque individu puisse prendre sa vraie place, afin de s’épanouir et d’être productif. Une coach expérimentée Membre de l’EMCC France, Caroline Scherlen dispose de 20 d’expérience dans l’exploration production au sein d’une grande entreprise pétrolière. Au cours de sa carrière, elle a occupé de nombreux postes dans différents domaines comme la recherche et le développement, le management hiérarchique ou transverse dans un contexte multiculturel ou encore des postes opérationnels. Aujourd’hui, elle met à profit son riche parcours afin d’aider ses clients à prendre leur juste place, et ce même dans les environnements complexes (réorganisation, positionnements stratégiques, management transverse…). « Je me suis vraiment spécialisée dans ce type d’accompagnement », souligne-t-elle. Des outils innovants Caroline Scherlen propose un coaching professionnel et de vie à des entreprises ou à des particuliers, en individuel, en binôme, en équipe ou en organisation. Pour les accompagner efficacement, elle mobilise des méthodes originales et innovantes telles que les constellations familiales ou le DoLquest, un questionnaire de personnalité de 3e génération reposant sur une approche systémique. La première approche se pratique en groupe et consiste à créer une constellation familiale, en désignant, parmi les personnes présentes dans la salle, celles qui vont représenter et incarner les rôles des membres de sa famille. Le coaché va ensuite placer chacun des personnages dans l’espace en leur demandant d’adopter une posture spécifique et d’orienter leur regard dans telle ou telle direction. Dans leur position respective, les « acteurs » sont invités à exprimer leur ressenti. À travers ce jeu de rôles, l’objectif est de soulever les problèmes et de remettre chacun des membres de la famille à sa juste place. Cette approche peut également être transposée dans le monde professionnel afin, par exemple, de rétablir l’équilibre dans la structure d’une entreprise. ...

Atelier de Sèvres : laboratoire des artistes de demain

Depuis sa création, l’objectif de l’établissement reste le même : assurer la réussite aux concours et l'épanouissement artistique de ses étudiants. Aujourd’hui, l’école a relevé brillamment le défi puisqu’elle affiche chaque année des résultats plus que satisfaisants aux concours des grandes écoles d’art et d'animation. À titre d’exemple, en 2018, sur les 81 candidats admis à la prestigieuse École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris (ENSBA), 21% sont issus de l’Atelier de Sèvres. Développer une personnalité artistique Les ateliers préparatoires permettent aux étudiants de se familiariser avec les outils techniques tout en assimilant les connaissances qu’ils devront mobiliser lors des concours. L’école propose un enseignement polyvalent en adéquation avec les réalités artistiques du moment, tout en laissant libre cours à l’expérimentation. Chaque étudiant doit développer « sa patte », trouver un regard unique en tant qu'artiste. Une préparation sur-mesure Les étudiants des classes Intermédia, qui font preuve d'une plus grande expérience artistique, sont suivis individuellement tout au long de l'année par un enseignant, la plupart du temps issu de l'école visée par l'étudiant. Il les guide dans leurs recherches et dans l'élaboration de leur dossier artistique, en apportant sa connaissance des attentes du concours et son expérience d'artiste. Car les enseignants de l'Atelier de Sèvres ont tous une pratique artistique. Afin de mesurer le progrès effectué, des concours blancs et simulations d'oral sont réalisés au cours desquels les étudiants sont tenus de présenter leur dossier artistique devant un jury. Ce travail de préparation soutenu et rigoureux constitue une des clés de réussite de l'Atelier de Sèvres. L'atelier supérieur d'animation Atelier de Sèvres a ouvert une formation supérieure de 3 ans en animation, à la suite du constat des professionnels sur le manque de scénaristes. La formation se concentre tout particulièrement sur le travail d'auteur, d'écriture de l'animation d'art et réunit aussi bien les compétences créatives que techniques afin que les diplômés maîtrisent toute la chaîne de production. Les étudiants créent un film chaque année au cours de l'atelier de réalisateur et sont en contact permanent avec les professionnels du secteur, que ce soit en cours, en workshop ou lors de conférences thématiques. C'est cette recette qui fait le succès de cette formation ouverte sur la création contemporaine. Les étudiants participent d'ailleurs au Festival d'Annecy, à la NEF Animation de l'Abbaye de Fontevraud, au Festival du film d'animation de Paris, au Festival international du film d'animation de Rennes, au festival Anima de Bruxelles, etc... ...

Château Hourtin-Ducasse : comment donner le meilleur à son vin

Situé à Saint-Sauveur, une commune limitrophe de Pauillac, le Château Hourtin-Ducasse possède 25 hectares de vignes où sont présents 4 cépages : cabernet-sauvignon, cabernet franc, merlot et petit verdot. Une démarche résolument écologique Pour cultiver leurs vignes, Michel Marengo et son épouse privilégient depuis plus de 15 ans des méthodes respectueuses de l’environnement, en s’inspirant de l’agriculture biologique et de la biodynamie. Ils excluent d’utiliser du cuivre dans le traitement des sols ainsi que tout produit de synthèse. Ils se sont tournés vers l’utilisation d’huiles essentielles pour traiter les vignes, principalement celles d’auge, ortie, lavande, agrumes ou algue. Mais leur engagement écologique va plus loin puisqu’ils produisent de l’électricité via des panneaux photovoltaïques et qu’ils mettent à disposition deux bornes pour le rechargement des voitures électriques. De plus, ils accueillent sur leur domaine chauve-souris et mésanges bleues dans des maisonnettes. Ces 2 espèces se gavent d’insectes et de parasites et participent au « nettoyage » de leurs vignes. Leurs vins Le Château Hourtin-Ducasse ne produit qu’une cuvée de vin rouge chaque année pour ne conserver que le meilleur du millésime. Pour être sûrs de proposer le meilleur vin, accompagnés par un œnologue et par le responsable du chai, ils dégustent à l’aveugle plusieurs lots pour ne retenir que le meilleur assemblage, le plus représentatif de leur terroir et du millésime. Le vin est alors élevé dans des barriques en chêne afin de mettre le fruit en valeur et d’obtenir équilibre, finesse et élégance. Chaque année, le millésime raconte une histoire différente. Par exemple le millésime 2015 révélera un nez jeune, fermé, de fruits noirs compotés, légèrement mentholé. A la différence du millésime 2017 qui, lui, aura un nez fruité, charnu, soyeux, tendre, gourmand, typé cabernet-sauvignon avec une finale métallique typée. Le Château Hourtin-Ducasse produit également un excellent vin rosé. Travaillé comme un Côtes-de-Provence, il est le résultat d’un parfait équilibre entre cabernet franc et cabernet-sauvignon. L’objectif est de proposer un vin d’une agréable fraîcheur, pour partager des moments de plaisir. Toutes leurs étiquettes portent les principales informations également en braille. Ainsi la marque, l’appellation et le millésime sont lisibles par tous. Visite du Château Toue l’année, vous pouvez participer à des visites-dégustations du domaine. Après la présentation de la culture des vignes et une visite des chais, vous dégusterez plusieurs millésimes pour vous permettre de déceler les différentes expressions révélées par la magie de ce terroir. Autour d'une assiette de produits locaux (saucisson, fromage, cannelé, ...), vous serez peut-être séduits par la rondeur du 2007, la fraîcheur du 2008 ou la longueur du 2010, la minéralité du 2011, le fruit du 2013 ou la richesse du 2014. Pour la visite dite « Apéro », vous goûterez 3 millésimes. Pour celle « de 7 à 17 », vous survolerez 10 années de Château Hourtin-Ducasse, du 2007 au 2017, avec 4 millésimes dont le vin en primeur prélevé en barriques. Si vous choisissez « l’Ampélo », vous aurez l’occasion de découvrir en plus un échantillon du jus de chaque cépage utilisé, accompagné de sa baie. ...

Château Le Chabrier : par amour du vin

Novembre 1989. Une annonce publiée dans l’hebdomadaire Le Nouvel Observateur fut le déclencheur d’un nouveau projet de vie, un challenge que Pierre Carle et son épouse, Éléna, réussirent avec brio. Petit, Pierre Carle passait ses vacances chez ses arrières-grands-parents et sa grand'mère, des passionnés de la vigne et anciens négociants en Cognac et vins, qui habitaient Saint-Emilion. Bercé par ce souvenir d’enfance, il a continué à nourrir le rêve de devenir vigneron. Après avoir fait des brillantes études pour faire carrière dans l’industrie ferroviaire, il s’installe avec sa femme et ses enfants dans le XVIIe arrondissement. Mais son rêve de gamin continue de titiller son esprit. « Je me suis dit que si l'on n’essaye pas alors on risque de le regretter toute notre vie », se remémore Pierre Carle. Après un an et demi de recherche, il tombe littéralement sous le charme de cette propriété du Périgord. Un domaine de 34 hectares, un château typique du XVIIe siècle, un sol peu fertile et très minéral rivalisant avec celui de Saint-Émilion, autant d’atouts qui font mouche auprès du couple. Le vignoble S’étendant sur vingt hectares, le vignoble est établi sur des coteaux argilo-calcaires et jouit d’un climat océanique tempéré. « Du point de vue de la configuration, notre terroir est semblable à celui de Saint-Émilion », décrit Pierre Carle. Le domaine travaille en appellations Bergerac rouge, rosé et blanc sec, Côtes-de-Bergerac blanc moelleux et Saussignac blanc liquoreux. Les vins sont obtenus à partir des cépages phares de Bordeaux : le merlot, le cabernet sauvignon et le cabernet franc pour le rouge, en blanc : le sémillon, la muscadelle et le sauvignon. Les vins bergerac rouges affichent des petits rendements et sont conçus à partir de raisins vendangés plus ou moins tardivement selon les cépages. Par la suite, ils sont élevés pendant au moins vingt mois, le temps de bien affiner la structure des vins.  Les vins en appellation Bergerac sec subissent un long élevage sur lies, de douze à trente mois afin de dévoiler parfaitement toute la complexité et l’intensité de leurs arômes. Enfin, le Saussignac est un vin liquoreux, plus sucré, de longue garde qui développe un arôme très riche. Son élaboration est définie par l’un des plus rigoureux décrets d’AOC en France et exige du jus de raisin très concentré et l'absence de toute méthode artificielle d'enrichissement. Une agriculture biologique Le vignoble du château Chabrier a été certifié bio en 1999 bien que Pierre Carle, en tant que précurseur, ait pratiqué l’agriculture bio bien avant. Au départ, le domaine a évolué dans le sens d’une viticulture raisonnée : n’intervenir dans le traitement des vignes uniquement lorsque cela est indispensable. Cependant, cette pratique connaît ses limites et expose les employés à certains risques d’allergies et d’intolérances. Le propriétaire a donc décidé d’arrêter définitivement les produits issus de la chimie de synthèse, néfastes autant pour l’environnement que pour l’homme. « Le meilleur des insecticides reste les insectivores, ça marche tout seul et c’est gratuit… C’est comme ça que faisaient ma grand'mère et mon arrière-grand-père à l’époque », reprend Pierre Carle avec grande conviction. Il préfère laisser l’équilibre naturel de l’écosystème faire son travail dans les vignes. Les produits de traitement de sol et de la vigne autorisés sont ceux d’origine minérale et végétale uniquement. D’ailleurs, le propriétaire rappelle que les meilleurs millésimes du siècle dernier, en 28, 47, 49 ou 55 sont tous issus d’une agriculture biologique.  Avec cette démarche axée sur la préservation du sol et de l’environnement, le domaine se contente fièrement de ses rendements « plus faibles qu’ils ne le devraient » pour réaliser des vins de haute qualité. Les cuvées emblématiques Le Gros-Caillou, appellation...

Une équipe de professionnels pour accompagner les futurs coachs

Une école reconnue et une formation de haut niveau Reconnue par l’État, Espace Transitions dispense des formations inscrites au Registre national des certifications professionnelles. Gage de qualité s’il en est, cette inscription au RNCP atteste du fait que la formation est adaptée au marché de l’emploi. Et qu’elle débouche sur un métier. Celui de coach professionnel, en l’occurrence. « Parmi nos élèves, certains envisagent une reconversion professionnelle. D’autres sont des cadres ou des managers qui, s’ils n’ont pas l’intention de quitter leurs fonctions, souhaitent changer de posture et modifier leur manière d’encadrer leurs équipes. D’autres sont consultants, travaillent dans les RH ou viennent de cabinets de bilan de compétences et souhaitent se doter d’une démarche d’accompagnement car ils ont compris qu’acquérir une posture de coach constituait une complémentarité appréciable. Nous comptons aussi parmi nos élèves des personnes de tous âges qui veulent mettre l’expérience professionnelle qu’elles ont acquise au service des autres et monter leur propre activité. Certains souhaitent disposer de revenus complémentaires à la retraite ou en complément de leur emploi. » Accompagner les transitions L’une des spécificités d’Espace Transitions réside dans l’importance accordée à l’accompagnement des futurs coachs. « Nous permettons aux stagiaires de vivre leur propre mutation tout en apprenant le métier de coach et en découvrant leur singularité. Et c’est parce qu’ils ont vécu cette mutation que les coachs peuvent accompagner leurs clients. » C’est un métier en plein essor qui demande des professionnels possédant une véritable expertise d’accompagnement. En clair, si le coaching s’inscrit dans une « relation d’accompagnement qui permet à la personne accompagnée d’explorer son potentiel et de développer ses ressources, tant personnelles que professionnelles », on pourrait en dire tout autant de la formation au coaching. « Réaliser sa propre transformation nécessite de réaliser un gros travail sur soi. » D’où l’importance d’un accompagnement attentif, bienveillant et de qualité. « Nous aidons nos élèves à travailler sur leur propre transition, mais aussi à  élaborer un projet de vie professionnel adapté à leurs attentes. »  Un projet professionnel structuré « En quittant l’école, à l’issue de leur formation, nos coachs disposent d’une formation solide. Ils auront également mûri un projet professionnel structuré, sur mesure, affiné en fonction de leur expérience, de leurs envies et de leurs priorités », insiste Maud Poitevin. Ils mènent de nombreuses expérimentations telles que le « co-coaching » entre pairs, des missions de coaching supervisées, ils sont tutorés… Cela leur permet de définir leurs spécificités : les clients qu’ils cibleront en priorité, par exemple, du coaching individuel ou collectif, coaching de vie ou professionnel, coaching stratégique ou de dirigeants. Certains pourront alors choisir de travailler avec des personnes souffrant d’un handicap, de coacher à l’aide de chevaux. D’autres accompagnent en marchant ou utilisent le « nez de clown ». Et il y en a qui créent leur propre méthodologie.  Développer « l’écoute profonde » de l’autre Dans le cadre de leur formation, les futurs coachs apprennent à développer une vraie qualité de relation à l’autre. C’est une autre singularité de l’école. « Nous mettons l’accent sur “l’écoute profonde” de soi et de l’autre. Cette notion de “pleine présence” est essentielle à nos yeux. Nous la travaillons par le biais, notamment, d’exercices de respiration et de méditation. Car c’est en étant présent à soi-même que l’on pourra l’être pour son interlocuteur. Et pour cela, il est important que ce que l’on pense, ce que l’on sent et ce que l’on ressent soient parfaitement align&e...

Restaurant Le Nid : une belle adresse à la table provençale à Flayosc

Situé aux portes du Verdon à seulement trente minutes des côtes varoises, le Restaurant Le Nid a ouvert ses portes au public en 2015, à l’initiative du couple Émilie et Davy Jobard. Postée sur la route de grands domaines de vins dans le charmant village provençal de Flayosc, on peut dire que cette ancienne pizzeria a plutôt réussi son incroyable reconversion. Un établissement au nom évocateur Sous des dehors de pépinière gourmande, à la table un chouïa bourgeoise, cet établissement au nom évocateur baigne dans une ambiance intimiste, à l’image d’un parfait nid douillet, où le jeune couple de cuisiniers a bien pris ses marques. Dans un cadre cosy où émane une belle convivialité, ce restaurant au service agréable séduit par son ambiance feutrée dans laquelle on aime se retrouver en famille ou en amoureux, à la recherche de détente et de bien-être. Oui, il faut dire que la cuisine faite minute et bien tournée du chef, combinée avec l’accueil personnalisé de la maîtresse des lieux, y sont pour beaucoup. Une cuisine de marché au fil des saisons Très belle enseigne pour amoureux, le Restaurant Le Nid est un haut lieu de restauration où les compétences et l’expérience de deux talents se valent et se complètent en parfaite osmose. À travers une cuisine de marché au fil des saisons, concoctée à base de produits qui mettent à l’honneur le savoir-faire de petits producteurs locaux, le lieu nous embarque dans une farandole d’authentiques saveurs provençales comme on les aime.  ...

Cap d'Agde Méditerranée :  un patrimoine entre Terre et Mer...Villages médiévaux et stations balnéaires à découvrir 

Destination touristique riche en patrimoine historique et en activités de toutes sortes, le Cap d’Agde jouit de tous les attraits de la Méditerranée et des vestiges d’une histoire longue et passionnante. Grâce à son paysage façonné par d’anciennes éruptions volcaniques marines, Cap d’Agde Méditerranée offre aussi un spectacle de toute beauté aux passionnés de nature. Toute cette richesse se retrouve dans ses nombreux sites touristiques tous aussi intéressants les uns que les autres. Que visiter au Cap d’Agde ? Cap d’Agde Méditerranée est réputé pour ses villages médiévaux qui n’ont rien perdu de leur authenticité au fil des années. Pour vos vacances au bord de la Méditerranée, découvrez la région languedocienne en visitant les 20 villes et villages qui en font le charme. Agde : riche de 2600 ans d’histoire, cette cité antique est l’endroit idéal pour apprécier l’évolution de l’architecture depuis sa création jusqu’à aujourd’hui. Il est aussi possible d’y trouver un village traditionnel de pêcheur ainsi que La Tamarissière, un petit village paisible situé entre mer et forêt. Tourbes : Tourbes est un village millénaire connu pour ses vignobles, son patrimoine naturel et ses édifices religieux. C’est sur l’une des collines du village que se trouve la chapelle Saint-Roch qui demeure un lieu de pèlerinage jusqu’à aujourd’hui. Caux : Ce village médiéval est à découvrir au fil de ses ruelles. Il se démarque par une architecture de rare beauté, notamment par la majesté du clocher-porche de l’église de Saint-Gervais-Saint-Protais datant du XIVè siècle. C’est également un terroir viticole. Pézenas : C’est une ancienne ville royale où persiste encore un prestigieux patrimoine architectural. C’est aussi un haut-lieu de la vie culturelle et de l’artisanat réputé pour son théâtre et son carnaval annuel. Saint-Pons-de-Mauchiens : le village réunit monuments historiques, vignobles et panoramas exceptionnels qui invitent au repos et à la détente. Pomérols : Ce village permet de voir sur les façades des maisons les différents styles qui ont marqué plusieurs siècles. Découvrez-y aussi le retable baroque en bois doré créé par Jean Cannet et placé dans l’église Saint-Cyr-Sainte-Julitte. Cazouls d’Hérault : En arpentant la rue des Templiers, on redécouvre l’histoire et les digues qui entourent le village pour apprécier sa nature verdoyante. Il se trouve au confluent de la rivière Boyne et du fleuve Hérault. Pinet : Promenez-vous dans les pinèdes du village pour découvrir la Via Domitia puis dégustez le fameux Picpoul à Pinet, son village d’origine. Saint-Thibéry : Si vous êtes un passionné de géologie, allez à Saint-Thibéry pour découvrir les orgues basaltiques. Pour les amateurs d’histoire, cette cité gallo-romaine recèle aussi de nombreux édifices historiques ; son abbatiale étant l’élément le plus emblématique. Lézignan-la-Cèbe : Le village tire son nom de cet oignon doux originaire du Moyen-Orient qui fait désormais sa réputation : la cèbe. Il est aussi connu pour la présence du site archéologique Le Bois de Riquet. Aumes : Si vous aimez les balades au cœur de la nature, visitez Aumes. Découvrez des monuments historiques qui ponctuent les garrigues, les vignobles, les champs de lavande, de thym, de romarin et de fleurs d’amandiers. Bessan : Pour les adeptes du tourisme gastronomique, Bessan est la destination à ne pas manquer : goûtez le vin rosé de Bessan, la croustade, les olives à récolter à la Cueillette de Caillan. Castelnau-de-Guers : ce village permet aux visiteurs de connaître l’aspect des villages fortifiés du temps médiéval et d’avoir une vue panoramique sur la vallée de l’Hérault. Découvrez-y également une formation géologique vieille de 50 millions d’années : l’étendoir des fées. Montagnac : avec Pézenas cette ville fut une grande ville de foire au ...

Corsica Camper : location de camper-van pour parcourir la Corse

Europe Active, une agence de voyages réceptive et spécialiste du séjour actif implantée près de Bastia ouvre une infinie de possibilités pour explorer les meilleures destinations d’Europe en randonnées, à vélo, à moto, ou en véhicule. Aujourd’hui, elle se positionne comme une experte de la destination Corse et vient de lancer sa nouvelle prestation : la location de camper-van, présentée en séjours packagés tout compris. Proposer des itinéraires oniriques Deux modèles de minibus de la marque allemande Volkswagen sont à disposition des voyageurs nomades. Ces véhicules hybrides à mi-chemin entre camping-car et voiture de tourisme sont plus adaptés pour sillonner la Corse en toute liberté. « Ils sont plus modernes, plus performants sur route et sont dotés d’une installation très confortable, les clients peuvent même dormir dedans », explique Patrick Jean, le chef de produit. Totalement modulable, l’intérieur est aménagé autour du siège-lit ergonomique, d'un toit relevable camouflant un vrai lit double sur lattes en bois, et d’un espace cuisine équipée. Pour leurs voyages, les clients peuvent choisir entre deux itinéraires hors des sentiers battus : L’ouest et le nord sauvage de la Corse, ou la traversée des plages du nord au sud. La première formule promet une semaine d’aventure à la découverte des villages pittoresques de Balagne, des sites naturels, des lieux historiques, des forêts de Verghio et des eaux cristallines de Calacuccia, ainsi que de magnifiques plages de la côte ouest. Quant à la seconde formule, les clients partent de Bastia pour parcourir le Cap Corse, Nonza et Patrimonio avant d’arriver au désert des Agriates et savourer une parenthèse de douceur, les pieds dans l’eau. Ensuite, cap vers Calvi, Porto et Bonifacio qui offrent une évasion exclusive au milieu des villages et cités atypiques avant de revenir vers le nord. Des prestations haut de gamme Afin d’offrir la meilleure expérience séjour aux voyageurs, Corsica Camper a intégré en complément du GPS du véhicule un roadbook digital et parfaitement détaillé. Cette fonctionnalité permet aux clients de découvrir la Corse à leur rythme mais aussi « d’obtenir toutes les informations dont ils auront besoin pour enrichir le voyage : petite histoire et anecdotes, les bonnes adresses, des bons de réduction, etc... ». De son côté, l’équipe prend en charge la réservation d’emplacement dans des campings 4**** pour chaque nuitée et garantit une assistance 7 jours sur 7. En outre, l’agence propose également une option premium pour satisfaire les plus exigeants. Ils seront gâtés avec un pack de bienvenue à leur arrivée, comprenant notamment des produits locaux, une sélection de la meilleure charcuterie corse, et des bières artisanales. Mais bien sûr, pour ceux qui préfèrent organiser leur séjour à leur guise, l'enseigne propose aussi la location dite « sèche » ou basique de campervan, sans le package. ...

Les Fermiers basco-béarnais : la tradition fromagère à cœur 

Ne s’attribue pas une AOP qui veut. L’Ossau-Iraty, référence pyrénéenne du fromage au lait de brebis, le détient, et ses producteurs entendent bien défendre ce label précieux. L’Ossau-Iraty : le seul fromage au lait de brebis en AOP du Béarn et du Pays-Basque Les fermiers basco-béarnais assurent une fabrication à 95 % à la ferme et garantie à base de lait cru entièrement dans le cadre de la production de l'Ossau-Iraty, un produit inscrit dans la liste très sélective des fromages AOP. Issu d’un processus d’affinage long, entièrement fait à la main par les artisans de la coopérative, et doté d’une croûte naturelle, ce symbole régional répond naturellement à toutes les exigences requises dans la chaîne de production pour porter cette appellation exclusive. Le cheptel constitué des trois races locales – manech à tête noire, manech à tête rousse et la basco-béarnaise –, est nourri sans recours à aucune trace d’OGM. Les Fermiers basco-béarnais : dépositaires d’un savoir-faire pluriséculaire Détenteurs d’un héritage perpétué sur plusieurs siècles, en matière de fabrication de fromage, les Fermiers basco-béarnais regroupent une quarantaine producteurs. Ils sont de la troisième génération et produisent dix-huit variétés fromagères dont l'AOP Ossau-Iraty. Par la mutualisation de la production et de la commercialisation,  les producteurs fermiers ont pu accéder à un marché plus vaste. D’ailleurs, le produit est assez demandé au-delà de nos frontières, comme c’est le cas au Japon et aux États-Unis. ...

Le Parc d’activité des Estuaires, un trait d’union logistique entre Nantes et Rennes

À 45 km de Nantes et de Rennes, à 20 min du futur aéroport international de Notre-Dame-des-Landes, à 45 min du port autonome de Nantes-Saint-Nazaire, à 3 h de route du port du Havre ! Pas de doute, la position géographique de la communauté de communes du secteur de Derval est idéale pour y développer une activité économique.  C’est en partant de ce constat que les élus communautaires ont créé une zone d’activité, dite route des Estuaires, le long de la quatre-voies RN 137 qui relie Nantes à Rennes et de la transversale Vitré-Vannes. Trente ans plus tard, 50 hectares sont déjà occupés par deux types d’entreprises. Dans l’espace des Échos, on trouve des TPE-PME et des activités artisanales. Dans l’espace du Mortier, ce sont les activités industrielles et logistiques qui ont la cote, avec, par exemple, les Pâtisseries Gourmandes (groupe Roullier), Eiffage Génie Civil, Hervé TP ou encore STAC Ouest (groupe Saint-Gobain), qui en a fait une base logistique sur 33 000 m² et proposera à terme plus de 200 emplois !  Des emplois durables La logistique, un secteur d’avenir pour Jean Louër, président de la communauté de communes, pour développer le territoire : « Nous avons aujourd’hui quatre bases logistiques et entendons continuer à les développer. La logistique permet à notre population locale de trouver de l’emploi ou de relocaliser son emploi ici, ce qui aurait été moins possible avec de la chimie par exemple, où les entreprises seraient venues avec du personnel extérieur. » L’effet a d’ailleurs été probant sur la communauté de communes du secteur de Derval. Rien que pour la commune centre, on compte aujourd’hui 1 600 foyers fiscaux et 4 000 habitants contre 1 200 foyers fiscaux et 2 500 habitants il y a 15 ans ! « Nous nous sommes aussi adaptés avec des services structurants comme un réseau de médiathèques, un multi-accueil/relais assistantes maternelles, un pôle social et emploi et, d’ici à la fin de l’année, un espace aquatique et de loisirs. » Début 2016, il reste 100 hectares de foncier et la communauté de communes ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. « Aujourd’hui, le parc d’activité, qui va bénéficier d’un accès direct au très haut débit, occupe 400 personnes, le but est d’atteindre les 1 200 emplois. Nous sommes en discussion avec des entreprises intéressées par notre positionnement géographique. » La communauté de communes ne vise pas d’ailleurs que les grandes entreprises, préférant diversifier le tissu économique pour que l’emploi soit durable. Au cœur du Grand Ouest, le parc des Estuaires, nouvelle destination à la mode ? ...