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Interview avec Frédéric Robert
Chef du restaurant La Grande Cascade



Restaurant
1 étoile au Guide Michelin
situé à Paris
Région Île-de-france

Dans votre restaurant, comment définissez-vous votre cuisine ? Quels sont vos plats «Signature»? Avec quels produits aimez-vous travailler ?

Frédéric Robert Ma cuisine est classique, dans la lignée de ma formation dans les grandes maisons parisiennes. J'aime réinterpréter des grandes recettes et les affiner avec des techniques actuelles tout en tenant compte de l'évolution des attentes de la clientèle. En tant que cuisinier à Paris, je me permets plus de choses ! Je n'ai pas l'obligation de travailler avec des produits locaux. Ma préférence va sans nul doute aux produits sauvages : champignons, poissons, crustacés, coquillages et gibiers.
Mes Recettes signatures :
Le Cèpe cru et cuit (variation de 3 températures et 3 textures)
Le Ris de veau aux herbes à tortue (mélange d'épices et d'herbes fraîches savamment dosées)
Turbot de l'Atlantique, morilles, fins coquillages, ravigote au cresson de fontaine

Quelles émotions avez-vous ressenties lors de la remise des étoiles du Guide Michelin ?

FR Vous allez trouver ça drôle, mais en 35 ans de carrière, je n'ai jamais été récompensé personnellement. J'ai su conserver les étoiles déjà attribuées dans les différentes cuisines que j'ai fréquentées (3, 2 et 1 étoile). Mais comme j'aime dire : les gagner c'est bien, les conserver c'est mieux.

La cuisine est faite chaque jour de partage et d'émotions. Toutefois, certains moments de la vie sont à privilégier plus que d'autres... Pouvez-vous nous confier vos plats rêvés pour :
- Un repas de Noël ?

FR Un apéritif au coin de la cheminée avec des petites pièces de foie gras, jambon ibérique, huîtres Gillardeau, croque-monsieur à la truffe, puis un plat à partager servi à table. Je pense par exemple à une volaille de la Cour d'Armoise au vin jaune ou un turbot cuit entier au four au champagne, un brie à la truffe avec du pain de campagne juste toasté et une bûche aux marrons comme faisait ma grand-mère !
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© Pauline Legoff

- Un repas de la nouvelle année ?

FR Je finis toujours l'année avec la même bande de copains. En entrée/apéritif, on mange un toast de pain de campagne, légèrement beurré de demi sel de chez Belvère et agrémenté de truffe noire en lamelle épaisse. A suivre, un grand plateau de fruits de mer, des fromages de la maison Quatrehomme, et on termine avec un St Honoré de Philippe Conticini et des chocolats de chez Patrick Roger. Tout cela accompagné d'un champagne Bolinger.
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- Un repas de la fête des mères ou des pères ?

FR Une grande table dans le jardin avec enfants et petits-enfants, des asperges vertes et blanches sauce ravigote à ma façon (c'était le plat préféré de ma mère), une côte de boeuf de Salers maturée 36 jours à la braise, des pommes de terre à la cendre avec de la crème épaisse de chez Belvère et de la ciboule.

Au fait, pour votre mariage, qui a fait la cuisine ? Pouvez-vous nous indiquer les plats cuisinés ?

FR Céline et moi, nous nous sommes mariés en Normandie dans la demeure de mes beaux-parents. Déjà à l'époque, je ne pouvais pas concevoir de confier mon repas de mariage à un traiteur. C'est donc l'équipe du Grand Véfour qui est venue sur place pendant 2 jours, un moment exceptionnel, nous avons même fait la pièce montée ! En menu, on a mangé un homard breton rafraîchi au melon verveine, des morilles jumbo aux herbes poivrées, sauce soja, une côte de veau de Corrèze au grill avec des girolles et du vin jaune.
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© Pauline Legoff

Sans trop réfléchir, pouvez-vous nous confier votre plus beau souvenir gustatif et certaines des émotions procurées ?

FR C'était il y a une vingtaine d'années, un dîner dans le Piémont en compagnie d'Alain Senderens, dans un petit restaurant au milieu de nulle part avec une grand-mère en cuisine. Des pâtes fraîches à la truffe d'Alba... Cette auberge dans la montagne, cette région magnifique en automne, le soyeux des pâtes et le parfum de la truffe blanche : la pureté même dans la simplicité.

D'après la célèbre devise de Prosper Montagné "On ne fait du bon qu'avec du très bon", pouvez-vous nous révéler deux ou trois de vos adresses gourmandes. Vos producteurs et produits préférés sur votre région ou ailleurs (vins, produits frais, ou autres...)

FR L'Ambroisie place des Vosges : la gastronomie française dans toute sa splendeur
Chez Georges, boulevard Péreire : le vrai bistrot parisien comme j'aime
Bon, rue de la Pompe : la cuisine thaï dans toute sa subtilité, le décor Starck
Mes producteurs préférés :
Poisson : les produits noirmoutrins, la mer à l'état pur
Viande : Boucherie de la Sablière, son boeuf de Salers, son veau de Dordogne, son agneau du Pays d'Oc
Champignons : Guillaume à la Compagnie du Bocage
Foie gras du Sud-Ouest : maison Laffite
Truffe noire : Jérôme Gallis

On parle aujourd’hui beaucoup de cuisine fusion, de plats végétariens, d'aliments biologiques, de « Trashcooking » (ingrédients destinés normalement au rebus), de « Freakshakes » pour marier un dessert à une boisson... Selon vous quelles seront les grandes tendances de la cuisine de demain ?

FR La tendance de demain a toujours été ma tendance, le produit à l'état pur et la main de l'homme pour le transcender. Si les cuisiniers n'avaient pas donné l'opportunité aux petits producteurs, cultivateurs, éleveurs de nous fournir et de pouvoir vivre décemment, le savoir faire de ces producteurs ce serait perdu. L'effervescence que nous connaissons aujourd'hui autour du bio et du retour au vrai n'existerait plus !
Le mariage d'un plat avec un vin, un jus de légumes ou fruits ou même un thé est tellement évident pour moi. 80% des fromages se marient avec un vin blanc et pourtant tout le monde a l'habitude de boire du vin rouge avec le fromage.

Culture - Cinéma Quelle est votre scène préférée de cinéma au restaurant ? Un souvenir de film avec une séquence particulière...

FR L'aile ou la cuisse ! Le message du film est tout à fait d'actualité, la critique à travers les guides et internet n'a jamais été aussi puissante. Lorsque Coluche se fait passer pour le critique d'un célèbre guide et reçoit toutes les attentions du restaurateur et c'est Louis de Funès qui est au fond de la salle complètement délaissé en train d'écrire son rapport. C'est tellement vrai !
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© Alban Couturier
© Pauline Legoff

Si vous aviez un hommage à adresser à Paul Bocuse, quel serait-il ?

FR Paul Bocuse a sorti le cuisinier de sa cuisine et l'a apporté à la lumière. Si la gastronomie française est si rayonnante aujourd'hui, c'est grâce à lui !
Adresse | Contacts utiles
image-prop-contact-la-grande-cascade La Grande Cascade Carrefour de Longchamp, Bois de Boulogne
75016 Paris

Tél. : 01 45 27 33 51
Site Internet

Récompenses
1 étoile au Michelin

La Grande Cascade : les avis

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CulturMoov : le patrimoine dans la poche

Conçue comme un médiateur culturel de poche, l’application CulturMoov (re)connecte les esprits curieux aux richesses cachées du patrimoine. En quelques clics, elle est installée gratuitement sur le mobile. CulturMoov ouvre à chacun les portes de sites touristiques et culturels via un contenu scénographié où cheminer librement. Place à la découverte des collections du patrimoine parfois insolites et à ses histoires par milliers ! Des micro-promenades interactives et pédagogiques Chaque visite est une expérience intuitive en format cross-média. Au cours de micro-promenades interactives et pédagogiques, CulturMoov donne à découvrir autrement un lieu, une ville, une activité, une œuvre. Via, notamment, un rapprochement en 3D et une manipulation souvent impossibles dans les musées. En sus, des anecdotes captivantes, des parcours originaux et des quizz, dont les points cumulés réservent quelques surprises. Autant de petites accroches bien pensées qui incitent le public à partager les arts, les lieux et leurs mémoires, à y revenir au futur, à se les approprier au présent.  À la tête de CulturMoov : son fondateur Romain Prevalet, docteur en archéologie, guide-conférencier, chercheur associé au CNRS et passionné par les métiers d’art anciens. Son projet représente le fruit de plusieurs années de recherches dans la transmission et la préservation du patrimoine. Romain Prevalet souhaite, via ce nouvel outil, sensibiliser les publics et développer une communication ludique, nourrie par des objectifs éducatifs et le souci permanent de l’accessibilité. Au service des institutions culturelles et touristiques Opérationnel depuis fin 2017, le support compte déjà de nombreux partenaires : Agence photo de la Réunion des Musées nationaux, musée du Temps de Besançon, Bibliothèque nationale de France, Institut du monde arabe, musée de Minéralogie Mines ParisTech, mais aussi offices de tourisme, musées de quartier... Autant d’institutions culturelles et touristiques que le projet tient particulièrement à valoriser et à voir entrer dans la dimension numérique. « Cette application s’adresse à elles. CulturMoov est un relais de promotion et éclaire un patrimoine exceptionnel, souvent méconnu », avance Romain Prevalet. Fait notable : 60 % des œuvres présentes dans l’application ne sont pas exposées, souvent pour des soucis de conservation ou de place. Culture hors les murs En plein développement, CulturMoov prévoit une programmation mensuelle en octobre 2018. Elle multipliera des parcours géolocalisés ou organisés par thèmes tels que « Paris romantique » ou « Promenades ». Elle favorisera aussi l’accès aux petites expositions comme aux grandes, à Paris, à Rennes ou à Marseille. Déjà présente sur les écrans tactiles des abribus de Paris, la culture hors les murs ne demande qu’à étendre dans le quotidien sa passerelle précieuse entre voir et savoir. Désormais, il suffit de quelques clics pour l’y inviter, en téléchargeant l'application ou bien en y accédant sur le web, sans téléchargement. ...

Le Château de Fesles,
une histoire millénaire avec le Bonnezeaux

Depuis sa construction en 1070 jusqu’à nos jours, le Château de Fesles a toujours été intimement lié au vin. Après presque un millénaire aux mains d’aristocrates et de vignerons passionnés du vin, la famille Helfrich, propriétaire depuis 2008, continue à œuvrer pour tirer le meilleur parti de ce terroir. Un terroir particulier La superficie du vignoble du Château de Fesles fait en totalité 37 hectares. Une partie des vignes occupe les hauts coteaux du village, à 85 m d’altitude, et domine la rivière Layon. Elles sont installées sur un terroir siliceux, recouvert de cailloux, de schistes décomposés et d’argiles bleutées et rouges, très propices au chenin blanc. Il est l’unique cépage qui entre dans la fabrication du Bonnezeaux et de l’Anjou Blanc. Le domaine possède également des parcelles de cabernet franc et cabernet sauvignon, réparties sur le plateau pour ses autres cuvées. Le domaine est conduit en agriculture raisonnée en limitant au minimum les intrants. Le « Bonnezeaux » Le Château de Fesles produit 6 types de vins : l’« Anjou Blanc », l’« Anjou Rouge », l’« Anjou Villages Rouge », le « Rosé d’Anjou », le « Cabernet d’Anjou » et le « Bonnezeaux ». Ce dernier fait la renommée et surtout la fierté du Château. Il est issu à 100 % du cépage Chenin, qui lui confère un caractère unique qui allie concentration, finesse et élégance. La qualité du Bonnezeaux résulte d’une vendange manuelle bien spécifique dont le secret relève d’une alchimie entre terroir, conditions climatiques particulières, surmaturation des raisins atteints de « pourritures nobles », rigueur extrême dans le tri et travail de l’homme. Après une fermentation longue et lente, le mout naturellement concentré en sucre grâce à cette « pourriture noble » se transformera en un vin couleur d’or et patientera en futs pour être mis en bouteille au printemps de l’année suivante. Agréable dès sa mise en bouche par sa fraicheur, il dégagera un parfum d’une extrême finesse et s’épanouira dans la bouche comme un bouquet de fleurs. On dit qu’il fait « la queue de paon ». Pour en tirer le meilleur parti, il est recommandé de le savourer avec des desserts au chocolat noir ou des fromages à pâte persillée. Ce vin de garde peut patienter et se bonifier en cave jusqu’à une vingtaine d’années. ...

Côte-d’Or : les joies des séjours en campagne

Saulieu : parenthèse de fraîcheur dans le Morvan Vous voulez un séjour empreint de fraîcheur ? Rendez-vous à Saulieu. A l’entrée du parc naturel du Morvan, c’est « le site » des breaks vitaminés et gourmands. Commencez déjà par mettre de la distance entre vous et vos préoccupations purement citadines en posant vos bagages à l’une des adresses, toutes charmantes, qui foisonnent dans le coin. Cédez à l’appel de l’expérience Relais&Château en vous installant au Relais Bernard Loiseau ou préférez l’insolite d’un tipi, d’une yourte ou d’une maison de hobbit au Domaine de la Pierre Ronde. Préparez le bataillon à faire le plein d’oxygène lors de virées en quad ou à cheval. Sports nautiques et tree climbing seront également au programme. Un détour par le Bistro Charolais requinquera l’équipe qui se retrouvera autour des grillades et autres spécialités bourguignonnes de la maison. Et pour « épater la galerie » au retour, prévoir un crochet par le Café parisien – l’un des plus anciens bistros de France ! – et le musée François Pompon. Pays châtillonnais : la Côte-d’Or viticole Comme touriste, vous êtes plutôt porté sur les bons crus ? Tournez-vous vers le Pays châtillonnais, une destination Vignobles&Découvertes pleine de ressources. Le Crémant de Bourgogne se dévoile en toute intimité au long de la route qui lui est consacrée. Sur le trajet, au niveau de Massingy l’oenocentre Ampélopsis accueille petits et grands pour un parcours pédagogique et ludique unique autour du vin. Moments d’émotion quand on rencontre les Sylvain Bouhélier et les Van-Hecke Roland dans leur domaine. Prolongez ces expériences sensorielles en goûtant aux spécialités gourmandes de la Bourgogne comme les escargots. A moins que le menu gastronomique du Restaurant du Château de Courban vous parle plus. Points de chute recommandés : Les Chambres de Rochefort aménagées dans une authentique demeure du 19ème, ou celles du Clos d’Orret avec leur panorama à couper le souffle et leur salle de musique exceptionnelle avec orgue à tuyau ! Les plus beaux villages de France, c’est par ici Au-delà de ces incontournables, la Côte-d’Or et sa belle campagne, c’est avant tout une destination authentique, l’Auxois, ou surgissent des villages labellisés « Plus Beaux Villages de France » comme Chateauneuf-en-Auxois ou Flavigny-sur-Ozerain. Longues promenades romantiques en vue à travers les ruelles pavées au cœur des remparts. Pour se restaurer, on fonce à la Grange, une auberge tenue par les femmes d’agriculteurs du village, un bon petit plat très local et c’est reparti pour un autre tour de visite dans la bonne humeur. ...

Vintage & Cie : une expérience intime des vins rares à Paris

Se procurer des vins anciens ou des vins de grands producteurs, en tant que consommateur lambda, tient du défi. Donner accès au plus grand nombre à cette catégorie de « vins vendus sous allocation » figure dans les priorités de Vintage & Cie. Tenant boutique au 199, rue du Faubourg-Saint-Honoré, l’enseigne se targue d’être le stock le plus important de vins anciens d’accès grand public à Paris. Une adresse pour se procurer un cru, naturellement, mais aussi rejoindre un cercle de connaisseurs pour une expérience profonde de ce centre d’intérêt. Une aventure de passion et de raison C’est d’abord son émotion lors d'une dégustation de grands crus qui amène Louis Duquesne à imaginer le concept de son affaire. Le constat que l’achat de certains vins est l’apanage d’une clientèle privilégiée – en l’occurrence celle qui a une relation préalable avec un domaine donné – combiné à une demande croissante pour une offre limitée finit de le décider à le concrétiser. Il installe donc, fin 2014, un QG, rue du Faubourg-Saint-Honoré, et ouvre le stock qu’il a personnellement constitué. Dans cette collection, des vins difficiles à trouver soit parce qu’ils sont issus de petites productions, soit parce qu’ils sont signés de grands noms ou frappés de millésimes anciens. « En chiffre approximatif, on a à peu près 1000 références », nous confie cet entrepreneur averti, tout en soulignant que son dépôt est assurément « le stock de vins anciens le plus important [ouvert au public] à Paris ». Le répertoire pourrait paraître discret mais c’est par choix qu’il s’en tient à ce plafond, l’important étant, pour lui, d’être sélectif plutôt qu’exhaustif. Triés sur le volet Un œnologue dédié travaille pour le compte de l’enseigne, sa mission étant notamment de baliser le processus de sélection des crus intégrés dans le stock. Différentes régions sont représentées dans les références mises en vente : Bourgogne, Bordeaux, Rhône et Loire. La maison procède par progression à la couverture des vignobles des différents terroirs caractérisés par leur « diversité exceptionnelle ». Dans cette gamme large, l’enseigne met un point d’honneur à choisir ce qui se fait de mieux dans le vin en France, tout en intégrant des variétés pour que les plus petites, comme les plus grosses bourses y accèdent. Les crus du domaine Rayas, du châteauneuf, sont particulièrement recommandés par le propriétaire qui leur trouve une belle unicité malgré une production issue de différentes parcelles. Autrement, la maison possède par exemple les très rares Jaboulet Hermitage, La Chapelle 1961 et Château Margaux 1900.   Moments de partage autour des vins rares Pour prolonger l’expérience de ces vins rares, le sous-sol de la boutique parisienne abrite un salon et un bar où les habitués peuvent se retrouver. « L’idée est de reproduire l’ambiance d’un salon à la maison et de pouvoir échanger avec nos œnologues ou de faire des dégustations », précise le patron de la maison. Des clients privés ou des entreprises peuvent bénéficier de ces sessions, rigoureusement planifiées en amont en tenant compte du budget de chacun. « Notre vision est que le vin peut être un produit de luxe et d’exception qui crée une expérience gustative absolument unique. […] Notre ambition, c’est qu’il n’y ait pas de spéculations sur le vin, c’est de mettre en relation le producteur avec le buveur, avec le minimum d’intermédiaires, dans la plus grande convivialité possible », réitère Louis Duquesne. Les thèmes et l’approche d’accompagnement varient, par ailleurs, selon que les demandeurs soient plus calés ou plus néophytes en la matière. Sur une base plus régulière, les dégustations du jeudi soir en libre accès rassemblent les amateurs autour d’une bouteille donnée ou d'un vigneron désirant communiquer autour de l’un de ses crus....

Partez pour un séjour touristique et itinérant en Nouvelle Aquitaine avec Evazio

Créée en 2003, Evazio a créé des circuits touristiques : dans la région bordelaise avec sa grande richesse culturelle et patrimoniale, au Pays Basque, en Périgord, en Charente-Maritime au départ de La Rochelle et en Charente aux environs de Cognac et Angoulême. Ces circuits sont conçus pour offrir aux touristes liberté, découverte et plaisir. Ils sont organisés autour de randonnée de 4 à 8 jours, à pied ou à vélo, pour admirer les aspects variés du Sud-Ouest de la France. Ainsi villages de caractère, paysages, châteaux viticoles et vignobles sont au rendez-vous. Les hébergements sont prévus dans des hôtels 3 ou 4 étoiles ou dans des chambres d’hôtes. Le déroulé d’un circuit Arrivés au 1er lieu d’hébergement, vous prenez possession de vos vélos, du dossier de voyage avec le road book, la carte détaillée du parcours et les éléments touristiques. Le transfert des bagages étant pris en charge, vous n’avez plus qu’à vous laisser guider et décider des visites que vous désirez réaliser. Un séjour actif, en toute liberté, sans contrainte ! ...

Le vieux logis :
cuisine au feu de bois

Située entre les estuaires de la Vilaine et de la Loire, l’océan Atlantique et le marais de Brière, cette Ville d’art et d’histoire est reconnue pour la richesse de son patrimoine. La Collégiale de Saint-Aubin, la chapelle Notre-Dame la Blanche, le couvent des Ursulines, le Moulin du Diable sont autant de sites classés monuments historiques qui méritent le détour. Aux côtés de ses trésors historiques, la ville a la chance d’abriter quelques tables d’exception. Au restaurant le Vieux Logis, vous vous laissez éblouir par les saveurs d’une cuisine traditionnelle préparée avec passion par le chef Michel Stéphan. Une ambiance conviviale et traditionnelle L’été, le cadre extérieur gai et verdoyant est une invitation à la détente. D’ailleurs, cette terrasse accueillante fait le succès de l’établissement même si l’intérieur est tout aussi coquet. Le charme des lieux vous plonge dans un autre univers empreint de calme et de sérénité. Comme si le temps s’était arrêté, vous vous retrouvez dans un décor rustique datant du XVIème siècle ponctué par la présence de la grande cheminée, des vieilles poutres et des murs en pierres apparentes. C’est dans cette atmosphère agréable et conviviale qu’évolue le chef Michel Stéphan, également propriétaire des lieux. Ce personnage dynamique nourrit une passion pour la cuisine dès sa plus tendre enfance. Il effectue sa formation au sein de l’Ecole Hôtelière Saint-Anne à Saint-Nazaire puis intègre l’Hôtel du Berry place de la Gare à Saint-Nazaire comme cuisinier. Après avoir exercé dans quelques brasseries de Saint-Nazaire, Michel est poussé par l’envie de voler de ses propres ailes. Il rachète alors cette vieille bâtisse datant de 1620 pour la transformer en restaurant, là où règne une ambiance auberge. Grillades à volonté Les délicieuses grillades font la réputation de la maison. Les viandes et poissons sont directement cuits au feu de bois sur la cheminée, offrant un joli spectacle. Faux-filet, côte de Bœuf, onglet, entrecôte… tout est méticuleusement préparé devant vous. Tous les jours, des formules express du midi sont écrites à l’ardoise. Elles sont constituées d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert au prix de 16,90 € ou d’une formule entrée, plat et dessert tarifée à 19,90 €. Le restaurant a créé aussi des menus gourmands qui flatteront vos papilles. Le menu qui a été intitulé « Maître Restaurateur » avec son foie gras maison ou son magret de canard au miel est un délice culinaire. Le dessert devra être choisi à la carte.  L’autre suggestion intitulée Terre et Mer vous convie à un doux voyage où se combinent les saveurs marines et les produits régionaux. La terrine de courgette au saumon fumé, suivi de l’onglet de bœuf grillé suffiront à faire votre bonheur. Pour sa part, le menu « Frivole » constitué d’un foie gras maison en entrée, d’un bar entier, beurre blanc aux algues en plats et du Champagne gourmand en dessert vous convaincra. Tous ces mets sont sublimés par une carte de vins qui fait honneur à de nombreuses régions. Pour que le plaisir soit à son comble, les services d’une équipe courtoise et avenante sont proposés. Elle fera de votre passage au Vieux Logis, un instant agréable et mémorable. Vous n’aurez désormais plus qu’une seule envie : y revenir.   ...

Cap Marquet : 
le talent d'une équipe dans un cadre unique

Blotti au cœur d’un environnant exceptionnel avec le grand bleu en toile de fond, Cap Marquet est un cocktail de charme, de raffinement et d’art de vivre qui offre à ses clients une cuisine de haute tenue, particulièrement savoureuse et créative. Né d’un coup de cœur de Lou et David Altit pour la beauté naturelle des plages de Cap d'Ail et les alentours, le couple, amoureux et complice, décide en 2004 d’investir pour faire de ce lieu un petit paradis turquoise alliant chic, saveurs et détente. Une cuisine extra-fraîche dans le respect des produits, une atmosphère accueillante et chaleureuse, un service soigné, une équipe soudée, l’amour de la vie, des gens et des voyages … sont le socle de la philosophie de l’établissement. L’histoire d’une cuisine inspirée Pour mener à bien leur projet, le couple fait appel au savoir-faire et au talent du chef Jean-Luc Calista. Ce trio d’enfer partagera joie de vivre et amour de la bonne cuisine pour composer ensemble une carte à tomber. Passionné depuis l'enfance par la cuisine que lui faisait sa « mama » italienne, elle-même chef de métier, le chef n'aime rien autant que de cuisiner les produits en en respectant l'essence, en fonction des arrivages du marché (loup de ligne, daurade, turbot sauvage, Saint-Pierre, sole, homard ...). Son goût pour les associations les plus réussies de produits frais comble les gourmets par ses compositions savoureuses, inédites, aux cuissons parfaitement maitrisées. Parmi les plats cultes du CAP MARQUET figurent notamment le risotto Carnaroli aux 5 légumes, le spaghetti aux fruits de mer ou celle aux homards & asperges, la plancha de calamars, le tempura de gambas, les exceptionnelles poêlées de légumes et bien sùr, les très belles pièces de poissons grillés et leurs accompagnements originaux. Les suggestions du chef proposées chaque jour à l’ardoise sont également des grands moments de cuisine. Un cadre magnifique pour un moment de rêve Avec son lit de sable blanc, le restaurant-lounge Cap Marquet dresse ses murs dans un charme envoutant et un décor unique, à deux pas du magnifique sentier des douaniers du front de mer de Cap D’ail. Avec une capacité d’accueil intérieur et extérieur pouvant recevoir jusqu’à 450 personnes, il se déploie sur de beaux espaces dédiés, flexibles et ouverts, permettant d’accueillir tout type d’événements, privés ou professionnels (mariages, tablées familiales, petite virée en groupe d’amis, anniversaires, soirées d’entreprise, dîners d’affaires, expositions culturelles, manifestations sportives). ...

BeautyWaps : réinventer la protection féminine

Le sang, la vie. Les règles constituent pourtant un véritable calvaire pour de nombreuses femmes. En plus de subir cet écoulement sanguin mensuel, elles doivent mobiliser un budget important pour se procurer des protections périodiques. On parle de plus en plus de « précarité menstruelle ». C'est le fait de ne pas toujours avoir les moyens d'acheter des protections périodiques. On savait que c'était un problèmes dans les pays en développement, mais de plus en plus de femmes en Europe se trouvent dans cette situation. Elles sont alors obligées d’arrêter momentanément leurs activités le temps que cessent leurs règles. Un phénomène préjudiciable au développement économique puisque des études font état de jeunes filles qui manqueraient jusqu'à 20% de leur scolarité à cause de leurs règles, et la plupart du temps, ne pouvant pas se permettre de se procurer des protections trop coûteuses. Mais ce n’est pas tout. Les serviettes hygiéniques jetables sont sources de pollution car elles ne sont ni recyclables ni biodégradables. En lançant BeautyWaps, la société A Global Vision entend apporter des solutions à toutes ces problématiques. Une solution de protection pratique et écolo Les serviettes hygiéniques BeautyWaps sont nées d’une vraie réflexion sur la manière de faciliter la vie des femmes durant leurs règles, sans que cela ait des impacts sur leur santé, sur leur portefeuille et sur l’écologie. Leur histoire est étroitement liée à celle d’une femme entrepreneure, également écologiste dans l’âme. Pour Marie Aichagui, fondatrice et CEO de l’entreprise A Global Vision, les déchets qu’elle-même générait chaque mois au moment de ses règles la peinaient. Elle a donc eu l’idée de créer ces protections féminines lavables et réutilisables jusqu’à 200 fois. « Leur utilisation permet de réduire les déchets jusqu’à 99 % ! Un gain énorme en termes de protection de l’environnement », déclare-t-elle d’emblée. Disponibles en plusieurs tailles adaptées à chaque type de flux (small, medium, large, super), ces serviettes sont nées d’un concept suédois performant, tout en relevant d’un esprit couture parisien. Elles sont élaborées selon une conception unique de textiles certifiés OekoTex (label international garantissant les qualités dermatologiques et écologiques des tissus). Côté peau, du coton absorbant et de la laine polaire, des tissus respectueux du corps, à la fois étanches et respirants, sont assemblés en strates pour une protection optimale. « Après l’accouchement de mes jumelles, mes BeautyWaps m’ont permis d'avoir des protections sûres et douces pour mes suites de couche », témoigne notre interlocutrice pour illustrer la performance de son produit. Côté lingerie, des tissus tendances antidérapants, disponibles en des motifs modernes et originaux, sont ajoutés. Par ailleurs, le système de bouton pression et les coutures structurantes permettent de rassurer les femmes actives. Après usage, il suffit de refermer la serviette et de la ranger jusqu'à la prochaine lessive, et cela sans qu'elle émette des odeurs. Empêchant l’apparition d’affection dermatologique, les BeautyWaps sont exempts de parfum, de chlore et autres produits chimiques. Un argument de taille quand on connait les derniers scandales sanitaires autour des protections périodiques, dont certaines ont révélé la présence de pesticides. « BeautyWaps est en effet une alternative saine et sûre pour les femmes qui cherchent plus de bien-être pendant leurs règles », conclut la fondatrice Marie Aichagui. Un fort engagement social Outre l’aspect sanitaire, les règles peuvent avoir un impact social néfaste, notamment dans les pays en voie de développement. Marie Aichagui s’en est rendu compte au moment d’un voyage au Kenya. Les jeunes filles rataient systématiquement l’école durant leurs menstruations, faute de disposer de protections adaptées. Leurs prix étant élevés, jusqu’à 60 % des Kenyanes ne peuvent se permettre l’achat de serviettes. Bouleversée...

Champagne Dérouillat : variété et originalité

Œuvrant dans la filière depuis 1929, quatre générations de la famille Dérouillat se sont succédées, pour se transmettre et pérenniser un savoir-faire unique. Sous la houlette de leur père, Fanny et Cécile Dérouillat dirigent actuellement cette exploitation familiale. Un terroir qui permet tous les assemblages Réparti sur 5,7 hectares, le domaine a la chance d’avoir des vignes à la fois sur la côte des Blancs, sur les coteaux Sud d’Épernay ainsi que dans la vallée de la Marne. Comme le précise Fanny Dérouillat, cette répartition contribue à la variété des vins produits : « Cela nous permet d’avoir les trois cépages de la Champagne et de faire des assemblages différents, et ainsi de retrouver tous les caractères de la Champagne. » En outre, le vignoble et l’exploitation en général sont travaillés selon les méthodes de la viticulture saine et durable, où les engrais chimiques n’ont plus cours. « Nous utilisons des bouteilles légères. L’habillage et les cartons sont issus de matières recyclées et recyclables », assure également Fanny. Des cuvées liées au terroir 40 000 bouteilles départagées en huit cuvées différentes sont produites chaque année par la maison. Leur point commun : elles expriment parfaitement la qualité et les typicités du terroir. Le Georges William - Secret de famille reflète le plus la personnalité du domaine. Concoctée à partir d’un assemblage tenu secret, comme son nom l’indique, cette cuvée est un hommage aux pères fondateurs de la maison. Il s’agit d’un champagne racé, souple et gourmand, accompagnant tous les plats, de l’apéritif au dessert. ...

Restaurant Le Chatillon : un endroit authentique pour déguster les produits de la mer 

Très loin des quartiers touristiques, il faut sortir un peu du centre-ville pour découvrir cet établissement, perdu au milieu des entrepôts de pêcheurs et des ateliers de marée. En 1992, Patrice Baude, lui-même poissonnier depuis près de 40 ans, a repris Le Chatillon, tout en conservant l’histoire et l’esprit de la maison. Un autre univers « En 1950, l’établissement était conçu et réservé aux marins, dockers, mareyeurs ou fileteurs de Boulogne qui travaillaient jour et nuit dans le poisson », nous décrit le propriétaire en parlant des débuts du Chatillon. Depuis, il semble que rien n’a beaucoup changé. Le restaurant continue d’être une adresse incontournable autant pour les professionnels intervenant dans les métiers du poisson que pour les particuliers, à la recherche de délicieux plats à base des produits frais de la mer. L’établissement a aussi préservé son ambiance très dynamique et chaleureuse. De l’extérieur, la façade du restaurant se fond parfaitement dans le paysage et une fois à l’intérieur, l’on se retrouve plongé dans une atmosphère unique, au style marin. Les voiles, le gouvernail, le hublot, et les décorations murales transportent les clients vers une escapade en mer. Du choix et de la fraîcheur Le Chatillon bénéficie d’une clientèle variée composée d’habitués et de simples gourmands de passage. Les clients se laissent séduire par le menu unique à 23 €, qui se compose d’une entrée du jour et d’un plat qui varie selon les produits de la pêche, et enfin d’un dessert fait maison. La carte affiche également un large choix de plats de poissons frais cuisinés sur place. En entrée, les petits maquereaux marinés façon dieppoise, ou encore l’assiette boulonnaise avec son assortiment de saumon fumé, filet de hareng, lisette et maquereaux fumés sont un régal pour les papilles. En plat de résistance, l’aile de raie au beurre roux ou à la crème de Normandie reste un grand classique et connaît un franc succès du restaurant. « On fait notamment huit à neuf plats de poissons tous les jours », continue notre interlocuteur. En outre, les clients peuvent tenter le généreux plateau de fruits de mer, qu’il faut commander 24 heures à l'avance. Côté vins, Le Chatillon en propose quelques-uns venant des petits producteurs. ...

Château Barrabaque : une petite propriété familiale unique en son genre

Situé sur les appellations de Fronsac et Canon-Fronsac, le château Barrabaque propose à tous les amateurs de vins, experts comme simples curieux, de grands vins de Bordeaux à dominante merlot. Château Barrabaque : une histoire de famille. Le Château Barrabaque est une propriété qui datent du 18ième siècle. Après être tombé amoureux de la région et de ses vignobles, Achille Noël fait l’acquisition du Château. Nous sommes en 1936 et ce brasseur, mais aussi négociant en vin de la région lilloise, va se lancer dans la production de vins. Lorsqu’Achille prend la retraite, son fils Bernard et sa belle-fille Nicole lui succèdent. Au décès de sa maman en 2004, Caroline Noël-Barroux n’hésite pas à quitter son emploi de maître de chai en grands crus classés pour prendre les rênes de cette propriété exceptionnelle afin d’y élaborer des vins de grandes qualités. En effet, avec en poche un diplôme d’ingénieur en agronomie option viticulture, viniculture et œnologie, elle possède toutes les compétences pour moderniser la propriété. Château Barrabaque : la pratique d’une culture raisonnée écoresponsable. Le Château Barrabaque s’étend sur 10 hectares de vignes. Ce Château profite d’un fabuleux terroir en côteaux exposés plein sud majoritairement argilo-calcaire. Toutes les conditions sont réunies pour élaborer des vins savoureux et originaux. Mais l’élaboration d’un vin commence par le travail de la vigne et Caroline le sait bien. Elle continue ce que ses parents avaient débuté, il y a plus de 20 ans, avec encore plus de rigueur : la pratique d’une agriculture raisonnée et écoresponsable. Elle a ainsi obtenu la certification HVE (Haute Valeur Environnementale) en 2019. À la découverte des cuvées nouvelles et traditionnelles En prenant les rênes de la propriété, Caroline Noël-Barroux a souhaité marier savoir-faire traditionnel et créations plus originales. Actuellement, le Château Barrabaque vous propose 6 vins différents : - Le caprice de Caroline est un vin blanc sec 2/3 Sauvignon Blanc et 1/3 Sémillon. Sa fermentation et son élevage en Barriques donnent naissance à un vin original de grande qualité. Amateurs de vins blancs, n’hésitez pas. Ce vin frais et fruité accompagne parfaitement l’apéritif, le poisson ou les fruits de mer. - Le Barrabaque Rosé est un vin très fruité issu d’un assemblage de 50% Merlots, 50% Cabernets. Nous vous conseillons d’aller déguster cette création originale et surprenante. Très bien pour vos apéritifs, déjeuners et dîners autour d’un barbecue (poissons, viandes rouges ou blanches). Médaillé d’Argent en 2019 au concours des Vignerons Indépendants. - Le Château Barrabaque Tradition appellation Fronsac (70% Merlot, 20% Cabernet Franc et 10% de Cabernet Sauvignon). Elevage en barriques pendant 15 mois. Ce vin fruité et charnu accompagnera aussi bien grillades, daubes, ragouts et gibiers. Médaille d’Or du concours des Vins des Vignerons Indépendants 2012, Guide Hachette, James Sückling. - Château Barrabaque Prestige appellation Canon-Fronsac (80% Merlot, 18 % Cabernet Franc et 2% de Malbec). Elevage en barriques neuves et de 1 vin pendant 18 mois. Ce vin complexe, élégant et charnu accompagnera parfaitement les viandes rouges et gibiers dans leur jeunesse, les viandes blanches après quelques années de vieillissement. Récompensé de multiples fois coups de cœur au Guide Hachette, James Sückling, Yves Beck. - Château Barrabaque Cuvée Hugo appellation Canon-Fronsac (50% Merlot, 20% Cabernet Franc et 10% de Cabernet Sauvignon). Fruité et croquant, il est idéal pour accompagner viandes rouges ou blanches. Récompensé lui aussi par le guide Hachette. - Château Barrabaque Divin appellation Canon-Fronsac (50% Merlot, 50% Malbec). Une création très originale aux notes épicées et fruits noirs. Amateurs de Malbec, n’hésitez pas à venir le découvrir : il accompagnera les gibiers, les desserts chocolatés ou à l’apéritif. Noté par James Sückling ...

Lise Baccara : entre passion et savoir-faire

Rester à l’écoute des tendances de consommation, choisir des ingrédients de qualité et tester de nouveaux produits tout en conservant le savoir-faire hérité de ses aïeux, telle est la démarche adoptée par Gérard Paignon, à l’origine du succès incontestable de sa marque aujourd’hui. Les spécialités Ici, place au travail artisanal. Parmi les spécialités de la maison figurent les apéritifs, des assemblages de cognac et de fruits ou de plantes naturels rigoureusement sélectionnés. Un savoir-faire qui a valu de nombreux prix à la « Troussepinète », dont la médaille d’or récoltée au Ultimate Spirits, à New York, en 2012. Autre gage de qualité, la médaille d'or fraichement récoltée par le cognac VSOP Lise Baccara au dernier Concours Général Agricole à Paris vient s'ajouter au palmarès de la maison, déjà bien étoffé. Une véritable consécration puisque dans cette catégorie, seulement 2 lauréats s'en sortent avec brio. ...

Communauté de communes de la Brie Nangissienne : une nouvelle ZAC répondant aux besoins des entreprises locales.

Avec la ZAC Nangisactipôle, la Brie Nangissienne (une communauté de 20 communes de Seine et Marne) souhaite mettre en place et développer des services de qualité pour les entreprises artisanales, industrielles et de services aux entreprises.   Une nouvelle ZAC dans la continuité de la ZI de Nangis Le succès de la zone industrielle de Nangis, la pérennité des entreprises présentes et les besoins croissants de développement rendent impératif la ZAC de Nangisactipôle. Profitant d’une surface globale de 25 hectares, les principaux avantages de cette dernière sont autant son accessibilité que sa praticité pour les entreprises. En effet, en plus de se trouver à 60 km de Paris, entre Melun et Provins, elle dispose d’une localisation optimale (proche de la RD 619, de l’A5, de la RN4, de la Gare SNCF de Nangis...). Ce qui permet à chaque entreprise qui s’y installe d’être proche de la capitale (sans subir les bouchons de ses principaux flux routiers) tout en étant tourné vers l’Est et la Bourgogne.  Une ZAC qui répond aux besoins de ses entreprises Les objectifs de cette nouvelle ZAC sont clairs : -Offrir un foncier moderne respectueux des espaces bâtis et naturels ; -Favoriser l’accès à de nombreuses entreprises artisanales, industrielles et de services aux entreprises ; -Proposer des surfaces constructibles modulables (à partir de 1000 m² à la vente) ; -Fournir une connectivité liée à la fibre de qualité parfaite sur la zone. De plus, grâce à de nombreux partenariats tissés avec les institutions locales, chaque entrepreneur peut se faire accompagner et profiter d’aides et de soutiens à la création et au développement de son activité. Par exemple : aide au montage d’un dossier et à la recherche de financement pour la mise en place de panneaux solaires. ...

Excursion dans la vallée du Lot et du Vignoble

La cité médiévale de Puy-L’Evêque se tient perchée sur un éperon rocheux avec son donjon du XIIIe siècle et ses demeures seigneuriales en pierres dorées. Les jardins suspendus confèrent une vue imprenable sur le Lot. Les amateurs de patrimoine prolongent leur balade jusqu’à Duravel, cité gallo-romaine anciennement ceinte de remparts. Pour les amoureux de belles pierres et d’histoire, direction les bastides de Castelfranc et Montcabrier, petits bijoux d’architecture. Au cœur du méandre le plus resserré de la rivière Lot, la cité médiévale de Luzech, à l'ombre protectrice de sa tour, a un charme indéniable. Tourisme, vigne et oenologie en Vallée du Lot Le territoire est réputé également pour l’excellence de ses vins. Savoureux et riches en tanins, ils ne manquent ni de fraicheur ni de vivacité et donnent des vins de longue garde. Une gabarre emmène les visiteurs sillonner les vignes au fil de l’eau et déguster un grand cru au creux des méandres. Version rando, cyclo ou tout simplement en flânant au gré du Lot, en famille, en duo ou en solo savourez un moment de détente et de découverte, entre convivialité et authenticité. ...

KAOKA : un chocolat bio équitable d’excellence

En vrai visionnaire, André Deberdt était à l’origine de la création du label Bio équitable et était à la fois un acteur majeur au sein du réseau Biocoop. Il fonde KAOKA en 1993, et  choisit de se concentrer sur le cacao et le chocolat afin de maîtriser toute la chaîne de valeur, depuis la plantation jusqu’à la commercialisation des produits finis. Un cacao éthique et de qualité Présente sur quatre filières, à savoir l’Équateur, Sao Tomé, le Pérou et la République Dominicaine, la société entre en relation directe avec les producteurs locaux et s’investit dans une stratégie de codéveloppement concertée pour pérenniser l’activité. L’une des valeurs éthiques véhiculées par KAOKA est le respect des hommes, qui se concrétise par la mise en place d’un cadre de travail optimal ainsi qu’une rémunération juste et honnête. Cet enrichissement mutuel se poursuit notamment dans la mise en place de coopératives regroupant les petits planteurs de cacao, qui bénéficient d'équipements performants utilisés dans les étapes de fermentation et du séchage. Ces investissements garantissent une meilleure qualité des récoltes tout en simplifiant les activités des producteurs. Dans sa vision d’un partenariat à long terme et pour faire face aux menaces de la pénurie de cacao, la société a également développé une technique agronomique basée sur la méthode du greffage comme solution viable pour les deux parties. Au-delà de l'augmentation de la production de cacao pour les producteurs, cette technique permet surtout d'encourager et favoriser la culture des variétés locales de cacao aux arômes originels et exceptionnels. Cette démarche reconnue a valu à KAOKA l'obtention de la certification FFL pour l'ensemble de ses produits, selon le référentiel pointu et exigeant BioPartenaire. Une palette bien gourmande Selon l’origine des fèves, les produits KAOKA révèlent une typologie aromatique bien spécifique et riche en saveurs. La gamme Noir Dégustation qui est l’ambassadrice de la maison se décline en plusieurs tablettes et s’adapte au goût de chacun : allant d’un mélange de saveurs plus délicates jusqu’au noir intense à 90 % pure pâte de cacao. Récemment, la marque a lancé deux nouveaux produits : l'un agrémenté de citron-gingembre et l'autre de noix de coco, pour apporter une note exotique plus soutenue. En outre, la gamme pâtissière (chocolat de couverture, pépites et poudres de cacao) est souvent appréciée par les fabricants chocolatiers et les artisans pâtissiers, de par sa qualité et conformité à leur exigence. ...

Clos La Roque : quand l’agroécologie se mêle à la viticulture

Situé à Saint-Ambroix, en Occitanie, le Clos La Roque est un domaine familial datant du XVIIe siècle. Un savoir-faire unique La philosophie de la maison : « Faire ressortir le goût du terroir. » Grâce à une belle diversité géologique et des pratiques culturales consciencieuses, les Simon produisent des vins exquis, appréciés des plus fins connaisseurs. ...

La Table de Léo : repas semi-gastronomique dans une ambiance périgourdine

L’histoire de la Table de Léo est celle d’un coup de cœur. A la recherche d’un établissement typiquement périgourdin à reprendre, Florent Reversat et Servane Daudet sont immédiatement séduits par cette bâtisse en pierre qui a su préserver les marques du temps passé lui conférant tout son charme rustique. Ils la transforment en une adresse cosy et conviviale où la cuisine semi-gastronomique est à l’honneur.     Les produits du terroir au menu Une fois que vous aurez mis les pieds à la Table de Léo, vous y retournerez, forcément. Comment résister à un accueil aussi chaleureux, à un service aussi efficace, à une cuisine aussi savoureuse ? Promis ! Ce restaurant périgourdin vous fera passer des moments exceptionnels. En cuisine, Florent s’active déjà pour vous proposer un succulent menu à midi. Ce chef passionné commence sa formation au sein du Lycée Professionnel Jean-Capelle à Naillac pour y passer son BEP et son BACC PRO. Il a ensuite exercé au sein de plusieurs grandes maisons à l’instar de l’établissement étoilé Le Vieux Logis sis au cœur du Périgord Noir. Plus tard, son chemin recroisera celui de Servane qu’il déjà a connu au Lycée Jean-Capelle. Ensemble, ils lancent le projet d’une vie : l’ouverture de leur restaurant qu’ils baptiseront « La Table de Léo » comme leur petit garçon. Coïncidence : la place située en face du restaurant se nomme aussi Léo. Plus aucun doute donc pour le couple. Ils retravaillent entièrement la décoration. Les murs en pierres apparentes ainsi que les meubles en bois brut réveillent le côté traditionnel. Le côté chic est souligné par un art de la table soigné avec des chemins de table blanc en tissu. Telle une véritable galerie d’art, la maison expose gratuitement beaucoup de tableaux réalisés par des peintres de la région. En somme, l’idée est de recréer une ambiance typiquement périgourdine. « Les clients aiment bien ça ! » se réjouit Servane Daudet. Quand le temps est clément, la terrasse ombragée invite à la détente. Elle est située au pied de la célèbre abbaye de Saint-Avit-Sénieur qui se trouve sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. L’édifice religieux datant du XIIème siècle et classé au patrimoine mondial de l’UNESCO est l’une des attractions phares de la commune. Une délectable cuisine de saison Florent se fait l’ambassadeur d’une cuisine du terroir qu’il personnalise selon ses humeurs et ses envies. Les produits frais sont privilégiés et directement sélectionnés auprès d’éleveurs et de producteurs du coin. Les menus sont élaborés en fonction de la saisonnalité et changent tous les deux mois. Pour combler vos papilles, vous vous laisserez séduire par le menu Plaisir proposé midi et soir pour un prix modique de 32 €. Invitant à un voyage aux quatre coins du globe, le chef vous concocte un Longe de thon fumé cuit minute dans son bouillon de crustacés aux épices thaï. Puis, direction l’Italie avec le dos de cabillaud, risotto crémeux chorizo et encornets. Terminez avec le Finger exotique, sablé coco et sorbet fromage blanc citron qui vous transporte jusque dans les îles. Une jolie carte des vins éclectique avec quelques clins d’œil sur la région est proposée. La maîtresse des lieux vous conseille en fonction de vos envies afin que vous puissiez vous délecter des meilleurs accords. ...

Champagne Ellner : Un Esprit, Un style depuis 1905

Créée en 1905 par Charles Émile Ellner, cette maison familiale réunit aujourd’hui 3 générations qui travaillent main dans la main. En effet, les champagnes Ellner, c’est d’abord une affaire de famille. Aux commandes : Jean-Pierre Ellner, le petit-fils du fondateur est déjà bien entouré et peut compter sur la génération montante. Ses filles, Emmanuelle et Alexandra s’occupent de l’image de la marque et de la partie administrative tandis que leurs neveux Frédéric et Arnaud prennent en charge les vignes et la vinification. Depuis sa création, la maison s’est fixé une ligne de conduite : produire des champagnes de grande qualité, accompagnant tous les moments de vie. La richesse des terroirs La maison Ellner dispose de 50 ha de vignobles répartis sur l’ensemble de la Champagne : la côte des Blancs, la Montagne de Reims, la vallée de la Marne, les côtes de Sézanne et l’Aube. Les 3 cépages (pinot noir, pinot meunier et chardonnay) sont plantés sur une grande variété de terroirs. « Mais le chardonnay représente près de 50% de l’encépagement de notre vignoble », tient à préciser Gauthier Bongras, directeur commercial de la marque. Ce cépage est majoritairement présent sur les terres situées à Chouilly et Tauxières, deux villages classés Grand Cru sur la côte des Blancs. Il est aussi présent sur les côtes d’Épernay et les côtes de Sézanne. « Les sols argilo-calcaires de nos vignobles permettent d’élaborer des vins complexes tout en conservant fraicheur et tension », renchérit le responsable. Les cépages noirs (pinot noir et le pinot meunier) se concentrent quant à eux sur la Montagne de Reims et la vallée de la Marne. Enfin, la maison possède également au sud de la Champagne un vignoble de 7ha planté essentiellement en pinot noir. Ce vignoble datant du jurassique supérieur est à l’origine de vins particulièrement riches en arômes. Le style Ellner La maison pratique depuis 2001 une viticulture raisonnée et s’efforce de limiter au maximum l’utilisation de produits chimiques. Côté vinification, les vins sont élevés dans des foudres de chêne qui font 20 à 25 fois la taille d’un tonneau classique. Comparée à un élevage en cuve inox, cette technique permet aux vins de mieux conserver leurs arômes d’origine. Les champagnes ne font pas non plus l’objet de fermentation malolactique. « Chez Ellner, nous donnons du temps au vin, nous ne voulons pas le vieillir artificiellement, c’est un élément vivant et moins on le secoue, plus il donne de belles choses », nous rapporte-t-on. Ici, on laisse donc volontiers ces trésors oenologiques vieillir plus longtemps, ce qui permet aux arômes de dégager toutes leurs subtilités.  A titre d’exemple, l’entrée de gamme non millésimée vieillit pendant au moins 4 ans, tandis que les millésimes sont élevés sur lies en bouteille entre 10 et 12 ans. Le vieillissement se fait dans des caves traditionnelles datant du XIXe siècle et s’étendant sur 2 km de galerie. Chaque année, plus de 400 000 bouteilles y sont élevées avant d’être distribuées un peu partout en France et dans le monde, notamment aux États-Unis. Les cuvées ambassadrices Dans la liste des cuvées phares, la Grande réserve est celle qui représente le mieux la maison Ellner. Elle est obtenue par l’assemblage de 60% de chardonnay et de 40% de pinot noir. En bouche, cette cuvée surprend par sa fraicheur florale qui se double d’une nuance fruitée. À déguster, selon les envies, en apéritif ou en début de repas. Vient ensuite la cuvée Premier cru, élaborée à partir de 75% de chardonnay et 25% de pinot noir. S’habillant d’une robe or pâle, elle présente un arôme légèrement brioché. À déguster en apéritif et de préférence associée à un poisson. ...

Le camping l'Enclave à Estavar, un paradis au milieu de la nature

En toute saison, le camping l’Enclave est un endroit convivial pour se ressourcer. Ouvert au public tout au long de l’année, le camping reçoit des vacanciers venus des quatre coins du monde. Aux alentours, on y retrouve tous les avantages de la haute montagne avec ses stations de ski, ses sources d’eau chaude et le plaisir des balades en forêt. Un camping au pied des montagnes Au cœur de la Cerdagne, un vaste plateau formé par une faille comblée par deux montagnes des Pyrénées, se trouve le camping l’Enclave. Situé à 1200 mètres d’altitude dans le village d’Estavar, le camping est traversé par l’Angust, une rivière affluent du Sègre. A proximité, on retrouve à 500 m la frontière Espagnole de Llivia et a  9 kilomètres de la station de ski de Font Romeu. A l’origine, le Camping L’Enclave était une ferme familiale. Et ensuite venue l’idée de construire un camping afin que tout le monde puisse profiter de ce cadre chaud et verdoyant. On retrouve aux alentours d’Estavar un ensemble de patrimoine historique. Des églises romanes du 12ème siècle font partie des attractions touristiques de la région. Parmi les plus emblématiques, on retrouve l’église paroissiale Saint-Julien ou encore Saint-Barthélemy de Bajanda. Dans les environs de la Commune d’Estavar, la vallée d’Eyne ravira les amateurs de botanique où l’on peut retrouver une flore riche d’espèces rares. Les amateurs de sortie pédestres, apprécieront de partir à la découverte de sentiers archéologiques avec ses dolmens et ses menhirs dans la vallée d’Eyne et même prendre le légendaire ‘petit train jaune’ jusqu'à la ville fortifiée de Villefranche de conflent. Des activités en communion avec la nature Les vacanciers aiment se divertir lors de leurs vacances et le camping l’Enclave a justement pensé à proposer des loisirs pour tous les goûts. L’été, le camping l’Enclave se découvre à travers ses activités estivales comme la piscine et la pataugeoire pour les enfants. L’aquagym avec en plus un maître-nageur pouvant donner des cours, est à la disposition des clients. Le tourisme vert y est à l’honneur. Randonnées pédestres sur le site classé du lac des Bouillouses jusqu’au sommet des étangs du Carlit, balades en vélo, randonnées en train jaune, bivouac montagne, visites archéologiques de l’Eyne. Le camping organise également des moments de rencontre avec ses soirées animées ou à thème. Outre les activités du camping, les environs du camping sont aussi à découvrir. A 25km du camping, la pêche est autorisée avec la possession d’une carte de pêche, le pédalo, ainsi que la planche à voile. Un centre équestre est aussi disponible pour les balades à cheval. Une fois par semaine, une visite des églises est organisée pour ceux qui souhaitent connaître le patrimoine de la région.  Les activités ne manquent pas à Estavar. On peut faire du canyoning, du sport à sensations fortes, et des bains romains pour des moments plus tranquilles. Toutes ces activités permettent de profiter des sources d’eau chaudes de Dorrès et Llo situées à proximité. A Targasonne, commune du sud-ouest du département on y trouve en effet un paysage de plus de 1100 blocs de granits exposés plein sud pour faire de l’escalade (bouldering). Il existe d’autres lieux possibles pour faire de l’escalade de différents niveaux comme à Saint Pierre dels Forcats, et l’escalade libre et via ferrata dans le village de Llo. Ainsi, il y a le parcours aérien du Tyrovol qui se situe dans la vallée de Porté-Puymorens avec plusieurs tyroliennes  allant de 80 à 150 mètres de longueur et d'un survol compris entre 5 et 50 mètres de hauteur. Le camping l’Enclave dispose d’une aire de jeux pour enfants, un terrain de jeu avec un cours de tennis, 4 tables de ping-pong et un terrain de foot. Côté détente, une espace relaxation est ouvert à tous avec son spa et sauna. Capacité du camping l’Enclave Le camping l’Enclave, s’étale sur une superficie de 3,5 Ha. Le lieu dispose d’un large choix d’hébergements avec 175 emplacements dont 30 d&...

Saveurs en’Or :
la gastronomie made in Nord-Pas de Calais

Il y en a pour tous les goûts : fruits et légumes, produits de la pêche, viande et volaille mais aussi boissons, charcuterie, plats cuisinés, boulangerie-pâtisserie, sucreries ou produits laitiers. Saveurs en’Or représente aujourd’hui la marque des produits de qualité fabriqués en Nord-Pas de Calais, que ce soit une tarte au sucre, une gaufre à la cassonade ou des bêtises de Cambrai tout comme l’andouillette, le bœuf à la bière de l’Avesnois ou l’endive. Force est de constater que le désormais célèbre blason est devenu une référence. L’objectif initial, c’était bien de « prendre la main de l’agriculteur et la main du consommateur puis les réunir », rappelle Jean-Marie Raoult fondateur et président de Saveurs en’Or. Cette initiative originale de la Chambre d’agriculture et du Conseil régional Nord-Pas de Calais a commencé avec une trentaine de produits. Plus de dix ans après, les résultats sont au rendez-vous : non seulement, Saveurs en’Or valorise plus de 1000 références, mais elle est également largement présente dans les rayons de la grande distribution.  Surtout, elle représente aujourd’hui un gage de qualité. Car ne devient pas Saveurs en’Or qui veut. Il faut d’abord que les matières premières soient cultivées en priorité en Nord-Pas de Calais ou que les produits soient transformés dans la région, avec un minimum de 50% de denrées issues de la région. Il faut ensuite répondre à un cahier des charges strict, avec des exigences en matière de traçabilité et d’hygiène notamment. Chaque année, un organisme certificateur indépendant se charge de vérifier que le cahier des charges est bien respecté par les entreprises.  Enfin, un panel de consommateurs goûte régulièrement les produits pour attester de leur saveur incomparable.  Un partenariat gagnant-gagnant Derrière la marque collective Saveurs en’Or, il y a aussi et surtout un partenariat gagnant-gagnant. Gagnant pour les consommateurs de plus en plus désireux de consommer des produits locaux et de qualité. Gagnant aussi pour les producteurs et les distributeurs, en offrant de nouveaux débouchés notamment dans les grandes surfaces et en valorisant ainsi les entreprises génératrices d’emplois sur le territoire.  Tous les producteurs sont d’accord. « En adhérant à la démarche Saveurs en’Or, nous défendons notre souhait de voir la véritable Lucullus de Valenciennes préservée au rang de produit du patrimoine gastronomique du Nord », note Augustin Motte, dirigeant de la société produisant cette fameuse spécialité de langue de bœuf fumée avec du foie gras. « Etre marqué Saveurs en’Or nous apporte non seulement un gage de qualité mais aussi un développement économique incontestable via le réseau de distributeurs partenaires et les nombreuses actions de promotions », ajoute Patrick Defroidmont, spécialiste de la fabrication artisanale de Maroilles. « Nous pouvons afficher notre fierté de travailler des produits, avec des viandes élevées, abattues, transformées et consommées au sein de notre région », conclut Laurent et Jean Pruvost, de l’entreprise familiale Pruvost Leroy. La marque collective représente aujourd’hui plus de 10 000 emplois dans la région. En offrant de nouveaux débouchés, elle a réussi le pari de valoriser le savoir-faire culinaire de toute une région, de l’éleveur au transformateur. Les consommateurs le savent : non seulement, ils misent sur de la qualité mais ils soutiennent aussi les filières de production durables. www.saveursenor.com ...

Discovery Trains : une invitation au voyage sur les rails du monde

On dit souvent que ce qui compte n’est pas la destination, mais le voyage. En choisissant le train comme moyen de locomotion privilégié, Discovery Trains ouvre tout un nouveau champ des possibles. Le voyageur, confortablement installé dans son wagon, accepte d’être conduit et dirigé à travers les espaces et mené de découverte en découverte. Il pourra donc profiter du trajet pour regarder défiler l’horizon, avoir des discussions animées avec ses compagnons de voyage, ou simplement laisser vagabonder ses pensées au rythme des paysages. Voyager autrement Discovery Trains propose des circuits touristiques sur tous les continents : des plaines glacées de la Russie jusqu’aux paysages luxuriants de la Thaïlande. À chaque nouvelle étape, une nouvelle destination, un nouveau terrain de jeu. Les trains font escale de ville en ville et laissent les voyageurs découvrir leur destination sans qu’ils n’aient à se préoccuper de quoi que ce soit. L’agence de voyages s’est déjà occupée de réserver les hôtels sur place. Avec les voyages en train, il n’y a qu’un maître mot, explorer l’esprit léger. Bien évidemment, il arrive parfois que les voyageurs doivent aussi descendre du train pour emprunter un autre moyen de transport comme le bateau, le bus, ou même l’avion. Le but est simple : enrichir encore plus le circuit touristique et découvrir des destinations inaccessibles en train. De cette façon, les participants n’ont jamais à louer de voiture, ni même à conduire. Un excellent moyen de garder l’esprit libre pendant toutes les vacances, tout en vivant une expérience aussi riche que possible. Au-delà des frontières et des continents  Parmi ces voyages d’exception, il y a notamment les grands espaces du Canada et leurs habitants chaleureux et accueillants quelles que soient les températures. La Louisiane, et La Nouvelle-Orléans et leurs paysages aussi mystérieux qu’intemporels. Mais également la Patagonie au départ de Santiago du Chili jusqu’à la Terre de Feu et la ville d’Ushuaia. De l’autre côté de la terre, d’autres expéditions sont également proposées en Australie, par exemple, pour découvrir cette île continent au rythme des chemins de fer. L’une des plus belles odyssées proposées par Discovery Trains est celle de la Laponie suédoise. En hiver, au départ de Stockholm, elle conduit les voyageurs au-delà du cercle polaire. Au programme, l’immensité des paysages enneigés de Laponie, un hôtel de glace, et un marché hivernal qui a lieu tous les ans depuis plus de 400 ans. Une expérience unique d’où les visiteurs reviennent souvent subjugués.  Les voyages organisés par Discovery Trains peuvent aussi s’adapter à leurs participants. Depuis peu, le tour-opérateur propose aussi des circuits sur mesure. Il conçoit donc des itinéraires en fonction des villes que les nomades souhaitent visiter. Que ce soit en Russie, en Afrique du Sud, ou en Malaisie. Dans tous les cas, le voyage s’accorde parfaitement à leurs envies, qu’ils soient deux, dix, quarante ou même quatre-vingts et au-delà. Voyager en train, c’est aussi partager une aventure avec les autres passagers. Dans cet espace en mouvement qui n’est pas vraiment ici ni tout à fait ailleurs, les rencontres sont plus riches : plus riches d’autres voyages, d’autres histoires, et d’autres cultures. Que ce soit à bord du train, à quai, ou même lors d’une nouvelle escale.  Découvrez tous les chemins de traverse de Discovery Trains sur leur site Internet ...

Crêperie Ty Gwechall : au royaume des crêpes faites maison

Pierre Petit et son épouse Béatrice (Pierrot et Béa), ont repris, il y a sept ans, cette bâtisse historique datant de 1650. De l’extérieur, l’on est attiré par le charme à l’ancienne du bâti, fait de pierres. Une fois à l’intérieur, accueilli par le très chaleureux Pierre Petit lui-même, l’on ressent un air de convivialité qui se répand dans toute la maison. Le soir d’hiver, le feu de la grande cheminée vient réchauffer l’ambiance intimiste du lieu. Les propositions de la maison Purement crêperie depuis 1938, Ty Gwechall  suggère des crêpes salées et sucrées préparées à la commande, des plus classiques aux plus originales. Sur la carte figurent les traditionnelles crêpes jambon-fromage, crêpes au beurre-sucre, crêpes au chocolat, ou crêpes à la confiture. « Les spécialités de l’établissement sont composées de garnitures plus élaborées », explique Pierre Petit. La crêpe Kastel, par exemple, est à base de pommes de terre, accompagnées de fromage raclette, de lardons, d’une crème et d’une petite salade verte. L’équilibre des saveurs et la justesse des assaisonnements font de cette spécialité un vrai régal pour les clients. Au dessert, le propriétaire recommande la crêpe sucrée avec des pommes caramélisées au beurre salé agrémentée d’une boule de glace à la vanille et de crème chantilly, le tout fait maison. Côté boisson, la maison propose du cidre brut et du cidre fermier pour rehausser les saveurs de ses crêpes. Le cidre brut à la pression est particulièrement sympathique par son côté légèrement fruité. La crêperie possède également sa propre bière maison qui porte le nom de l’établissement, et est fabriquée par Les Fous, microbrasserie située à Carnoët. « Ce produit a déjà remporté la médaille d’argent au concours régional des bières de Bretagne en 2015 », nous souffle notre interlocuteur. Des produits frais et locaux « On est en 100 % local, on ne travaille qu’avec des producteurs locaux, souvent des petits producteurs, pour nous fournir en produits frais », reprend Pierre Petit. Il coopère notamment avec Les 4 Saisons à Huelgoat pour les confitures, la charcuterie d’Arzur d'Ahes primée pour ses saucisses, ou encore Les Saveurs d’HerOuet à Plouhinec pour les légumes. Certains sont bio, d’autres non, mais le propriétaire prend le soin de sélectionner les meilleurs ingrédients pour sa cuisine. ...

Podcast interview Bicentenaire Nicolas avec Christopher Hermelin

Bonjour Christopher Hermelin. Christopher Hermelin | Bonjour. 1822 donc il y a 200 ans maintenant, c’est l’année où tout commence. Alors pouvez-vous nous parler de Monsieur Louis Nicolas fondateur de la célèbre enseigne Nicolas. C H | Louis Nicolas fait partie de cette génération des entrepreneurs du XIXe siècle, à l’heure de l’âge d’or de l’économie française. Je rappelle que le XIXe siècle c’est Haussmann, c’est les grands travaux, c’est la révolution industrielle. C’est un véritable génie du commerce, qui va reprendre plein d’idées à droite et à gauche, et qui va ouvrir et développer une chaîne de magasins qui va littéralement exploser à Paris en quelques années. Il va créer la chaîne telle qu’on la connaît aujourd’hui, parce qu’en 200 ans, il y a beaucoup de choses qu’il a institué et qui ont assez peu évolué. Il a surtout institué le fait que l’on puisse acheter une bouteille de vin dans un magasin. Comment ça se consommait le vin à l’époque ? C H | La consommation du vin à l’époque était assez simple. Soit il se consommait à la taverne, soit les gens aisés achetaient des tonneaux, ils les mettaient dans leur cave, ils avaient des carafes et allaient tirer le vin. La pratique industrielle de la bouteille n’était pas là. Louis Nicolas a l’idée de lui-même d’embouteiller, pour faciliter l’accès au vin. C’est ce qui va faire son succès. Offrant ainsi l’opportunité au particulier d’avoir plus facilement accès à ce vin-là, en termes d’achat et en termes de stockage et de consommation. Et comme une idée de génie n’arrive jamais seule, Louis Nicolas a l’idée de lancer la livraison de vin à domicile. C H | Alors grande révolution, on pense toujours que la livraison à domicile c’est Amazone, et bien non, c’est une entreprise française.  Le vin est un produit lourd, même mis en bouteille, il le reste. Ils vont donc mettre en place un ensemble de moyens, qui s’adressent principalement à une population aisée, il faut le reconnaître au début.  Ce sera des livraisons faites par des porteurs, des cavistes. Et un ensemble de moyens tout au long des siècles va être utilisé. On va avoir le porteur, on va avoir les charrettes à chevaux, et puis par la suite avec la motorisation, vont naitre les triporteurs à moteur, qu’on trouvera dans les années 50/ 60, les camions et tout un ensemble de livraison.  Ce qui est toujours le cas au XXIe siècle. Aujourd’hui on a service de livraison de proximité. Si vous demandez à votre caviste de vous livrer il pourra le faire. Et plus les années passent, plus Nicolas se développe. Comment la famille Nicolas a compris qu’il fallait ouvrir autant de magasins dans une seule ville ? C H | Très vite, la famille Nicolas va comprendre l ‘enjeu de la proximité.  Au XXIe siècle on parle de proximité, rurale, urbaine, on parle de tout ça.  Mais très vite ils vont comprendre que les gens se déplacent assez peu. L’investissement va être fait, à l’époque à Paris, pour mailler le territoire. Avec un modèle économique assez intéressant, puisque les cavistes qui sont logés en général, par couple, au-dessus des caves.  Et c’est modèle qui va perdurer pendant des décennies des décennies. On a aujourd’hui encore des cavistes, qui travaillent en couple, et qui résident à proximité ou au dessus de leur cave.  Et ça va contribuer, à la fois avec les produits, le maillage, et ce modèle social, à développer l’enseigne et à multiplier les points de ventes dans Paris pour répondre à la demande des clients parisiens.  Et l’histoire ne s’arrête pas là, puisqu’en 1895 c’est Etienne Nicolas, fils de Louis Nicolas qui reprend l’affaire familiale. C H | Louis Nicolas génie du commerce, de l’industrialisation etc., Etienne Nicolas, ça va aussi être un génie mais de la publicité. Il a une passion pour les arts, il a une passion pour le vin. Il va chercher à faire connaître cette entreprise et à développer principalement ...

Abbaye de Pontigny : symbole de l’esprit d’innovation cistercien

Considérée comme la plus grande église cistercienne d'Europe, cet exceptionnel patrimoine des XIIe et XIIIe siècles, témoigne de la transition entre art roman et art gothique (première utilisation de la voûte d'ogive en Bourgogne). Un prestigieux patrimoine Après la Révolution, seuls l'église et le dortoir des Convers ont été préservés. L'ensemble du domaine, acquis en 1910 par Paul Desjardins -professeur à l'Ecole Normale Supérieure- a accueilli jusqu'en 1939 un grand nombre d'intellectuels internationaux, dans le cadre des "Décades de Pontigny". A découvrir, entre autres témoins de l'innovation cistercienne, le prestigieux vignoble de Chablis, dont la réputation doit beaucoup aux moines et convers de Pontigny. ...