Manque d’idées de sortie pour le weekend ? Pas de panique ! Avec Flâner Bouger, les internautes sont certains de trouver leur bonheur à travers un large éventail d’évènements au niveau aussi bien local que national. Une petite structure qui mise sur le local Créé en 2014, le site est né d’une envie de partager des informations concernant les marchés où Laurent Brunet, le fondateur, se rendait lors de ses vacances. Flâner Bouger donne certes les grands rendez-vous nationaux. Mais il se démarque aujourd’hui par sa volonté de promouvoir et de faire connaitre la spécificité des terroirs et coutumes des territoires de France. Un avenir prometteur Afin d’apporter davantage de satisfaction aux annonceurs et aux visiteurs, Laurent Brunet envisage de s’entourer d’une équipe tout en apportant de nouvelles fonctionnalités à son site. ...
Lorsqu’ils ouvrent leur premier magasin à Montreuil-sous-Bois, Les Nouveaux Robinson sont les pionniers dans la distribution de produits bio. Ils s’installent ensuite à Neuilly et Boulogne. Aujourd’hui ils comptent 20 magasins sur toute l’Île-de-France. Leurs produits Tous les produits vendus dans les magasins Les Nouveaux Robinson sont des produits biologiques de qualité. Ils privilégient notamment des labels tels que Nature & Progrès, Demeter et Bio Cohérence qui développent des cahiers des charges plus exigeants que la certification européenne. L’approvisionnement se fait en priorité auprès de petits producteurs locaux avec lesquels ils nouent des partenariats. Pour limiter les déchets, beaucoup de produits sont vendus en vrac et donc au poids : riz, pâtes, fruits secs, diverses céréales et graines, gâteaux secs … Leurs engagements Les Nouveaux Robinson ont fait le choix, entre autres, de garantir une rémunération juste des producteurs, ainsi qu’une redistribution des richesses vers leurs salariés et sociétaires. Ils s’engagent également au niveau écologique en alimentant l’ensemble de leurs magasins en électricité verte grâce à Enercoop. Ils développent aussi une politique de recyclage et de lutte contre le gaspillage alimentaire. Ils ont ainsi mis en place, en partenariat avec l’association Cap ou Pas Cap, un garde-manger et frigo solidaire devant leur magasin installé au 212 avenue de Daumesnil (Paris 12ème). Chacun peut venir y déposer et/ou prendre librement et sans obligation de réciprocité, des denrées alimentaires. Ainsi, il tend à sensibiliser les habitants à la lutte contre le gaspillage alimentaire et à favoriser le lien social et la solidarité locale. Quant au magasin d’Ivry, il donne chaque jour ses invendus à Emmaüs pour leur distribution alimentaire. L’enseigne donne également ses invendus à des associations d’étudiants qui œuvrent en faveur de l’environnement. Les Alchimistes récupèrent quant à eux les invendus du magasin de Saint-Michel pour en faire du compost local et urbain. Depuis sa création, la coopérative soutient aussi annuellement des associations à vocation écologique et sociale, comme Emmaüs, Les Amis de la Terre, Demeter, Bio Cohérence, Terre de liens, Association Coup de Main, ou encore Nature et Progrès. Les Nouveaux Robinson ont également reçu l’agrément « Entreprise solidaire d’utilité sociale », renouvelé en 2014 pour 5 ans. Cet agrément délivré par la DIRECCTE atteste d’un engagement en faveur de l’équité avec une échelle des salaires réduite et une finalité de service à la collectivité ou aux membres plutôt qu’une finalité du profit. Le Panier Robinson Les Nouveaux Robinson s’engagent aussi pour permettre au plus grand nombre d’accéder à des produits biologiques. C’est pourquoi ils ont mis en place la sélection Panier Robinson composée d’une centaine de produits de consommation courante sur lesquels ils réduisent leurs marges. Depuis janvier 2018, ils ont fait le choix d’y intégrer également deux fruits et légumes de saison et d’origine française. Tous ces produits sont facilement identifiables dans les rayonnages grâce aux étiquettes spécifiques "Panier Robinson". ...
« Une expérience aromatique mémorable avec des notes miellées, épicées, douces et boisées », c’est en ces mots que Caroline Borga, chef de produit de la Distillerie des Alpes, décrit la dégustation du Vermouth Routin Original Rouge. Produit emblématique de la distillerie, avec sa recette créée en 1883, ce Vermouth est le fruit d’un habile assemblage entre 24 plantes, fleurs et épices et doit son goût si particulier à un vieillissement en fûts de chêne. Fort d’un grand succès qui lui a valu de nombreuses récompenses depuis le début du 20ème siècle, notamment la médaille d’or lors de l’Exposition universelle de Londres en 1902, le Vermouth se décline également en blanc. « Relancé en 2016, il est également issu d’une ancienne recette retrouvée », nous précise Caroline. Le Vermouth Routin Blanc résulte d’un assemblage entre fleurs, plantes et épices macérées dans du vin 100% français et s’apprécie pour son bouquet raffiné qui se caractérise par des notes aromatiques type thym, vanille ainsi que de légères notes épicées. La gamme comprend également le Vermouth Routin Dry issu de la macération de 17 plantes, fleurs et épices. Moins sucré, il possède des notes fraîches, florales, épicées et légèrement herbacées. Il s’utilise dans les cocktails ou pour déglacer viandes et poissons, en cuisine. D’autres produits originaux des Alpes… Parmi les fleurons de la gamme, le Génépi l’Ancienne s’illustre par son long processus de distillation et de macération offrant une explosion de saveurs en bouche. La recette créée par Philibert Routin en 1893, démontre véritablement un savoir-faire centenaire. Dernier et non des moindres : le Pastis complète cette gamme inspirée des recettes originales des Alpes. Fait à base d’anis, de cannelle et de réglisse, il s’impose comme l’apéritif emblématique des vacances et plaît pour son côté aromatique, ses notes subtiles de génépi et sa touche boisée de vulnéraire. ...
Ce qui plait avec le champagne Pol Couronne : cette image moderne et décalée qui respecte les traditions liées à la fabrication des grands vins effervescents de la région. De la vigne familiale aux cuisines de l’Élysée L’histoire du champagne Pol Couronne débute en 2013. À cette date, Sixtine et Jean-Baptiste Prévost décident de reprendre la vigne familiale. L’objectif est clair : il faut moderniser l’image du champagne. Ainsi, un showroom est créé à proximité de la cathédrale de Reims pour accueillir les clients et mettre en place divers événements originaux et décalés. Puis, au fil du temps, de nombreux partenariats avec des restaurants gastronomiques et des artistes permettent de mettre en valeur les créations du couple de vignerons. Jusqu’à conquérir l’Élysée puisque 2 cuvées y sont retenues. ...
Le Chant des Oliviers accueille ses convives dans un cadre décoré par le fameux Yannick Cinnelli. L’établissement de 52 couverts s’affiche ainsi dans un style baroque contemporain ; une véritable invitation à table. L’ambiance est à son apogée tous les premiers samedis du mois, quand le guitariste Willy éblouit les convives en interprétant le meilleur du répertoire musical français. Le fait maison à l’honneur « Cuisine du sud ou cuisine du soleil », un concept que le maître des lieux, Albert Eddassouki, se plaît à associer à la cuisine concoctée dans son restaurant. Les plats sont élaborés avec des produits frais, fournis et sélectionnés par des personnes de confiance, proches du propriétaire lui-même. « Aucun plat de l’industrie agroalimentaire ne sera servi dans votre assiette. Nous préparons tout nous-mêmes », lit-on sur la carte. Dans la gamme des entrées, notre attention se porte sur la salade de poulpe avec des oignons, un mets préparé avec des olives noires, de la coriandre ou encore des pommes Grammy Smith. Dans le registre des plats, le restaurant a bâti sa notoriété avec la noix de Saint-Jacques à l’orange purée. Un plat agrémenté d'un lot d’ingrédients de choix comme les épinards, les échalotes ou l’orange flambée au Grand Marnier avec de la purée de pommes Vitelotte à l’huile d’olive à la truffe. Pour le dessert, le Tiramisu Rose, une spécialité importée directement de Marrakech qui doit sa saveur aux biscuits de Reims roses, est une vraie invitation à la gourmandise. Une large sélection de vins Vins blancs, vins rosés, vins rouges… le restaurant Le Chant des Oliviers dispose d’un large choix cadrant parfaitement avec les saveurs de la cuisine du soleil. On note surtout certaines références, comme le bordeaux du Château Victoria, ainsi que le Saint-Joseph de la Vallée du Rhône. ...
Les sols anciens sont en galets roulés : des pierres déposées par la Durance, à l’époque où la rivière traversait les coteaux. Sur une couche supérieure, les sols sont composés de galets rouges décalcifiés. La combinaison des sols, et un climat aux influences maritimes et méditerranéennes, offrent des vins francs et généreux. A Saint-Christol, la culture de la vigne est une coutume qui remonte au XIIème siècle, initiée par l’Ordre des Hospitaliers de Malte. Depuis sa création en 1941, la cave coopérative de Saint-Christol cultive les vignes, en suivant une ligne de conduite où innovation et respect des traditions sont maître-mots. Un peu d’histoire L’héritage des vins de Saint-Christol est très ancien. Il y a plus de mille ans, les Hospitaliers de Malte sont les premiers à planter et faire fructifier des vignes du terroir. Le vin est exporté dans toute l’Europe grâce à leur vaste réseau international. Les cépages de Saint-Christol sont réputés pour conserver leurs qualités, même à travers de longs voyages. Ainsi les vins sont exportés jusqu’en Russie, et sont appréciés par la cour du Tsar Nicolas II. La maîtrise de l’art du vin a été transmise au fil des générations, et aujourd’hui encore les vignerons de Saint-Christol travaillent les vignes avec le savoir-faire traditionnel. Ils proposent une gamme étendue de vins. Les noms donnés aux crus évoquent avec élégance le patrimoine historique saint-cristolien : Péché de Bacchus, Ambrussum, Saint-Christophe, Feu Du Diable, Christovinum, L’Esprit de 9 Vignerons, Noce de Cana. La coopérative : une alliance réussie de solidarité et savoir-faire La cave de Saint-Christol est l’une des plus petites coopératives viticoles de France. Elle regroupe la production d’une vingtaine de producteurs, sur 450 hectares de l’appellation. Tous sont des passionnés de la vigne. Ils entendent privilégier la qualité plutôt que la quantité, dans la perspective de continuer la culture ancestrale des vignes. Les producteurs mettent en application une agriculture raisonnée pour préserver les richesses des sols. Les traitements des vignes sont évités au maximum afin de faire ressortir toutes les particularités du terroir dans le vin. Le résultat : un vin fin et racé en bouche. Gamme des vins : Saint-Christophe, Ambrussum, Péché de Bacchus Parmi la gamme de Saint-Christophe, le rouge est un assemblage de Syrah (50%), Grenache (30%) et Carignan (20%). Issu des terrasses villefranchiennes et coteaux sud, c’est un vin structuré avec des arômes d’épices et de fruits noirs. La robe est rouge vermillon, au nez, se ressentent les arômes intenses et complexes de fruits rouges. En bouche, le vin est concentré. D’excellente garde, le Saint-Christophe rouge se consomme en été, pour accompagner un barbecue. L’Ambrussum tire son nom d’un site archéologique de la région. L’exposition ensoleillée des cépages sur les coteaux sud et le sol en galets roulés donnent un vin au charme discret. Elevé en barrique pendant un an, les connaisseurs reconnaîtront ses qualités. L’assemblage est à 50% de Syrah, 40% de Carignan et 10% de Grenache. A l’œil, une robe rouge éclatante. Au nez, les saveurs sont très expressives : une vivacité étayée d’une certaine douceur. En bouche des premières notes de fruits rouges, puis des notes d’arômes des bois vanillés. L’Ambrussum s’aère deux heures avant d’être servi. Le vin est idéal pour accompagner des viandes grillées. Un autre vin reflète le caractère propre au terroir de Saint-Christol : le Péché de de Bacchus. A l’oeil, sa robe rouge vif tend vers le vermeil. En bouche, le vin exprime un fruit qui éclate, puis des arômes épicés vers la fin. Il se garde de 3 à 5 ans. Le Péché de Bacchus est idéal pour accompagner des viandes grillées et des salades. Quelques restaurants gastronomiques de la région le servent à leurs tables : Davino, L’Authentique et Valaise. Les amateurs de vins sont invités à découvrir les richesses de l’appel...
Une prime de Noël pour quoi faire ? À l’instigation du Gouvernement en 1998, il a été instauré une prime de Noël pour les plus démunis. Bénéficier de la prime de Noël 2017 permet ainsi d’améliorer le pouvoir d’achat afin de profiter également dans de bonnes conditions des fêtes de fin d’année, et ce quel que soit le nombre d’enfants. Les conditions pour bénéficier de la prime de Noël 2017 Pour bénéficier de la prime de Noël 2017, il faut tout d’abord vérifier si vous êtes éligible au dispositif. Les bénéficiaires Pour cette année, sont concernées les personnes qui touchent les aides ou revenus suivants : Le RSA (Revenu de Solidarité Active) L’ASS (Allocation de Solidarité Spécifique) L’AER (Allocation Équivalent Retraite) La PTS (Prime Transitoire de Solidarité) La prime forfaitaire mensuelle de reprise d’activité NB : Attention seuls les bénéficiaires du RSA socle et les personnes cumulant le RSA socle avec la prime activité (elle remplace depuis le 1er janvier 2016 le RSA activité) pourront bénéficier de la prime de Noël 2017. Les cas non couverts par la prime Les bénéficiaires de la prime d’activité, de l’AAH (Allocation aux Adultes Handicapés), d’une pension invalidité ou de l’Aspa (minimum vieillesse) ne sont pas concernés par la prime de Noël. Les personnes qui bénéficient des allocations chômage (ARE – Allocation de Retour à l’Emploi) ne sont PAS concernées par le dispositif. Montant de la prime La prime versée par la CAF au motif du RSA Le montant de la prime de Noël versée par la CAF dépend de la composition familiale. Pour chaque enfant supplémentaire, le montant est majoré de 60,98 €. La prime versée par Pôle Emploi au motif des autres aides La prime versée par Pôle Emploi est unique et n’est pas indexée sur le nombre de personnes du foyer. Son montant est donc de 152,45 €. Modalités Dans un souci d’améliorer les démarches administratives, il n’y aucune formalité à accomplir pour bénéficier de la prime de Noël 2017, quel que soit votre organisme. Les bénéficiaires concernés la recevront automatiquement dans la semaine du 18 décembre. Ce sont les organismes auxquels les personnes sont affiliées qui verseront la prime : CAF, la MSA ou Pôle Emploi selon la situation. Faux courriels Conformément aux modalités ci-dessus, les bénéficiaires de la prime de Noël n’ont aucune démarche à effectuer. Ainsi, en cette période festive, tout courriel vous demandant de fournir vos coordonnées bancaires est frauduleux. Il s’agit d’une tentative de phishing par laquelle l'émetteur usurpe l'identité de la CAF ou de Pôle emploi. Ce procédé vise à recueillir certaines de vos données confidentielles. Effectivement, si vous bénéficiez des aides allouées par ces organismes, cela signifie que ceux-ci possèdent déjà vos coordonnées bancaires ; ils n’auront donc pas besoin de vous les redemander. Il est donc très facile de bénéficier de la prime de Noël 2017, du moment que vous êtes dans l’une des situations décrites dans cet article. ...
L’interface intuitive et ergonomique à souhait s’annonce résolument comme une invitation au voyage. Voyage à travers les terrains connus, mais aussi sur les pistes plus rarement fréquentées par les aventureux épris de vins. Au bout du périple, la même perspective : entrer dans l’intimité des vignerons de France, expérimenter des moments de partage authentiques, selon les envies du moment. Familles, couples, groupes d’amis ou partenaires d’affaires, tous sont les bienvenus pour une découverte vitivinicole et œnologique riche en sensations. Un concept né d’une passion familiale Que Marie Dupuis, fondatrice d’Oenotourisme.com ait eu l’idée de ce site découle, quelque part, d’une évidence. Très jeune, elle partage avec sa mère les moments forts d’une animation pédagogique et ludique autour des arômes des vins. Si son cursus académique ne la prédestinait pas réellement à exercer dans le secteur, elle a fini par y trouver sa vocation. Après avoir commercialisé – par location ou vente – le parcours olfactif des vins à différents acteurs, elle envisageait un lieu de rencontre en ligne des offres et des demandes œnologiques et vitivinicoles. Son site a vu le jour en mai 2017, faisant le bonheur des vignerons qui ont tant de choses à faire découvrir mais parfois si peu de temps – ou de ressources – pour en faire la promotion. Entrer dans l’intimité du vin et des vignobles de France Du Jura à la Corse, en passant par la Savoie Bugey, ou encore la vallée du Rhône, les parcours à suivre sont infinis. Les compositions d’activités le sont d’autant que qu'oenotourisme.com encourage fortement les virées hors des sentiers battus, en plus des chemins incontournables. Tout le monde, connaisseur ou nouveau venu, peut ainsi se présenter avec ses envies du moment et ses désirs de découvertes. Le site l’aiguillonne vers des idées d’expériences aux sensations diverses, au travers de vignobles plus ou moins connus. Les « pépites œnotouristiques » pour reprendre le lexique de la maison. Des présentations synthétiques, mais très complètes des vignobles et des domaines à y découvrir sont à disposition sur la plate-forme, depuis les types de vins que l’on y produit jusqu’à la nature des activités accessibles sur place. L’organisation de la visite se retrouve simplifiée grâce à la possibilité de la réserver en ligne et de payer, le cas échéant. L’essentiel est, pour Oenotourisme.com que les familles, couples ou groupes aient une découverte forte en émotions du domaine qu’ils choisissent. La plate-forme entend bien être l’instigateur d’une « expérience humaine et sensorielle inoubliable ». Les épicuriens se dirigeront vers des parcours Mets et vins qui célèbrent les arômes des vins et les saveurs du terroir. Les amateurs d’aventures insolites peuvent assortir leur parcours œnologique d’expéditions en montgolfière, par exemple. Des séances de yoga au milieu des vignobles ? Qu’à cela ne tienne, les domaines possèdent de plus en plus de formules hors-norme, responsables ou bien-être. En tout cas, tout le monde y trouve son compte, les familles avec enfants, comme les personnes à mobilité réduite. Communautaire dans l’âme, le site ambitionne en grandissant d’être un lieu de partages d’expériences. « La plateforme est participative : les particuliers commentent et notent eux-mêmes de manière à ce que la qualité des prestations de nos adhérents soit récompensée », ajoute la fondatrice à ce propos. ...
Natif du Médoc, Pierre Jean Larraqué a grandi avec des valeurs terriennes transmises par son père et son grand-père. Petit, il s’initiait déjà à l’univers viticole aux côtés de ces deux hommes qui lui ont inculqué l’amour des vignes et de la terre. Cette notion de transmission est désormais profondément ancrée dans sa démarche. En faisant acquisition de ses trois châteaux, il opte pour un mode de production qui tient compte de l’héritage à laisser aux prochaines générations. Tous ces vignobles certifiés HVE 3 (Haute Valeur Environnementale) sont façonnés dans le respect de l’homme et de l’environnement. Au-delà de leur terroir d’exception, ils ont été choisis pour leur riche passé qui s’exprime à travers un patrimoine historique réhabilité par Pierre Jean Larraqué. Château Vernous Le Château Vernous marque le début d’une grande aventure pour Pierre Jean Larraqué et sa famille. Cette propriété de 50 hectares située dans le Médoc entre l’estuaire de la Gironde et l’océan atlantique date du XVIIIème siècle. Transformé en lieu de rendez-vous de chasseurs puis en zone d’occupation allemande au cours de la Grande Guerre, il finit par devenir un domaine viticole. Le Château Vernous renait de ses cendres lorsque Pierre Jean Larraqué succombe à son charme. D’importants travaux de rénovation notamment au niveau des extérieurs et des chais ont été entrepris. Le plus gros chantier quant à lui s’est déroulé dans les vignes avec la replantation de cépages minoritaires comme le malbec et le petit verdot et surtout l’adoption de nouveaux procédés agraires exempts de CMR. Le domaine détenteur du label HVE 3 produit aujourd’hui un Médoc-Cru Bourgeois éponyme issu d’un assemblage de 60 % de Cabernet Sauvignon et de 40 % de Merlot qui séduit pour ses notes de fruits et d’épices avec une bouche charnue, concentrée et toute en rondeur. Plus de 46 médailles ont été remportées par ce vin depuis une vingtaine d’années, preuve de son excellence. Château Le Virou Fermement décidé à prouver que le vignoble de Bordeaux est en mesure de se réinventer, Pierre Jean Larraqué poursuit son projet en rachetant le Château le Virou qui abrite, avec ses 100 hectares, le plus grand clos viticole ceint de murs d'Europe. Cet ancien monastère des Carmes Déchaussés datant du XVIIème siècle était un point de ralliement pour de nombreux moines du pays. Les carmélites y ont notamment construit plusieurs souterrains conduisant vers des zones stratégiques de la région. Aujourd’hui, un souterrain et une chapelle transformés en chais d’élevage et de vinification constituent les vestiges qui témoignent de ce passé. Pierre Jean Larraqué continue la réhabilitation de ce prestigieux patrimoine pour que l’histoire ne s’arrête pas là. Il compte notamment sur ses vignes pour faire connaître le Château le Virou. Établi sur l’appellation Blaye-Côtes de Bordeaux, le domaine labellisé HVE 3 est à l’origine du « Sublimus », un vin rouge de haute volée ainsi que de la cuvée « Vieilles Vignes » disponible en rouge et en blanc. Ces vins issus d’un terroir argilo-calcaire d’exception sont une ode à la beauté du merlot, des cabernets et du sauvignon blanc. Château Barre Gentillot Troisième propriété des Vignobles Pierre Jean Larraqué, le Château Barre Gentillot date de 1750 et a la chance d’être implanté sur le terroir de Graves de Vayres, dans le Libournais et à quelques encablures de Saint-Émilion. Le domaine se dote d’un impressionnant chai de vinification d’une capacité de 12 000 hectolitres. Dans une volonté d’instaurer une biodiversité sur le site et de promouvoir son engagement dans le développement durable, Pierre Jean Larraqué y a fait installer plusieurs ruches d’abeilles. Les vignes de 42 hectares quant à elles s’épanouissent sur un sol limoneux argilo-calcaire donnant des vins gourmands et sur le fruit. Le Château Barre Gentillot produits plusieurs cuvées dont « Châ...
Une vie sauvée grâce au champagne. C’est l’histoire de Michel Gonet, qui, à cause d’une dysphasie, ne peut rien avaler. Il ingurgite alors quelques gorgées de ce précieux nectar, qui, par miracle, aident à soigner ses troubles. « Le champagne m’a sauvé… », s’exclame-t-il. De là commence une passion pour ce vin pétillant, qu’il partage avec toute sa lignée. Sophie et ses frères Frédéric et Charles-Henri Gonet forment les dignes héritiers de ce riche patrimoine. Une réflexion permanente sur la qualité Michel Gonet installe des outils de production plus modernes dans son domaine à partir de 1973. Depuis, la maison continue de viser l’excellence en perfectionnant constamment la qualité du travail en cave et dans les vignes. Elle mise sur la diversité de son terroir pour produire des champagnes purs, racés, au caractère unique. Originaire de la côte des Blancs, fief des grands crus, Champagne Michel Gonet a la chance d’être installé sur un terroir plein est, qui procure de la longueur, de la finesse et de l’élégance aux vins. Les vignes situées à Oger, à Mesnil-sur-Oger, à Vindey, à Mongueux et à Fravaux sont composées de 80 % de chardonnay et de 20 % de pinot noir. Si, pour la plupart des vignerons, les problèmes climatiques engendrent d’innombrables contraintes, Sophie Gonet reste optimiste : « Avec le phénomène de réchauffement climatique, les raisins atteignent plus facilement la maturité, sans le besoin de rajouter beaucoup de dosages. L’acidité due au manque de maturité est ainsi évitée. Nous obtenons des champagnes plus naturels. » Des champagnes monocépages au caractère affirmé Fleuron de la maison, le Blanc de blancs Grand Cru 2009 reflète parfaitement le terroir, puisqu’il s’agit d’un monocépage de chardonnay. Issu des grands crus de la côte des Blancs, il exprime un caractère racé avec des arômes minéraux et floraux, tout en délicatesse et en élégance. À 100 % de chardonnay également, la cuvée Authentique 2004, provenant de vieilles vignes du Mesnil sur Oger, fait la fierté de la famille Gonet. Distillant de puissants arômes de vanille avec une belle association de fruits exotiques et d’épices, cette cuvée sublime les mets sucrés et salés, et tous les plats exotiques. D’ailleurs, dans une optique d’initier les amateurs à la dégustation de ses divins nectars, la maison organise des repas associant mets et champagnes. Des visites de cave et des initiations à la dégustation sont également proposées tout au long de l’année, sur rendez-vous de préférence. ...
Isolée au beau milieu de la forêt domaniale de Mormal, le plus grand massif forestier du Nord, l’Auberge du Croisil offre une cuisine traditionnelle, avec des spécialités régionales. Dans ce sens, l’établissement met en avant les gibiers dès que la saison le lui permet. Le Croisil détient deux titres prestigieux : Qualité tourisme et Artisan en’or. Ce sont les gages d’un service de qualité en matière d’accueil, de savoir-faire, d’hygiène et de confort, et d’une cuisine fait-maison, avec des produits provenant du Nord-Pas de Calais. Une véritable destination touristique Le temps semble s’être arrêté dans ce petit manoir traditionnel de la forêt de Mormal. On y ressent l’âme d’une auberge d’antan, avec une décoration simple et sans superflu. Le ton naturel du bois prédomine la salle, des chaises au bar et même au niveau des murs. Tout cela fournit chaleur et confort au restaurant. Toutefois, certains seront plus à l’aise sur la terrasse ombragée, si le temps n’est pas trop capricieux. Le plaisir de la pureté de l’air et des chants d’oiseaux leur fera oublier les agitations et chahuts de la ville. Bref, c’est un lieu convivial pour se retrouver en famille et savourer la cuisine régionale. Ce lieu se complète efficacement avec les sites touristiques aux alentours. Le plus près est le parc naturel régional de l’Avesnois avec ses arbres têtards, cours d’eau, ruisseaux, vergers en fleurs et rivières sinueuses. Tout un patrimoine qui lui vaut sa place parmi les 48 parcs naturels régionaux de France. L’ancien Jardin de Roseraie, appelé aujourd’hui Zoo de Maubeuge expose plus d’une cinquantaine d’espèces différentes qui attireront petits et grands. Pour les plus curieux, il existe un site archéologique de 2,5 hectares à Bavay dédié à la découverte de la cité antique de Bagacum. Le village de Maroilles qui fournit le fromage du même nom, fièrement présenté à la carte de l’Auberge du Croisil, est également un site touristique et historique à part entière. Une cuisine traditionnelle régionale L’équipe de l’Auberge du Croisil, dirigée par Edgar et Nathalie, accueille les convives avec une gentillesse caractéristique à la campagne. La carte du restaurant propose un peu de tout, mais elle met en valeur les produits du terroir. Le fromage Maroilles y est le meilleur ambassadeur de l’Avesnois, avec la flamiche au Maroilles et le filet de truite saumonée sauce crème Maroilles en entrée chaude. En outre, les gens y viennent pour le cassoulet ou encore la terrine du chef. La maison est reconnue depuis près d’un an en tant qu’ « Artisan en’or » pour sa cuisine fait maison. C’est également la marque du savoir-faire culinaire dans le Nord-Pas de Calais, la maison étant spécialisée dans les gibiers. Effectivement, du mois d’octobre jusqu’en mars, le Croisil suggère à leur carte des terrines de gibier fait-maison, de la fricassée d’abats de gibier à l’Affligem ou encore un mijoté de biche à la forestière. Des saveurs à remonter avec du vin, issu des 82 références inscrites à la carte. Une salle de réception pour différents évènements La salle de l’Auberge du Croisil est apte à recevoir jusqu’à 80 personnes en formule assise pour divers évènements familiaux, ceux qui veulent un mariage champêtre ne seront pas déçus. Cela n’exclut pas les repas d’entreprises et autres évènements professionnels et privés. La terrasse reste également à disposition selon les besoins. Il est toutefois à noter que ce service est indissociable avec les spécialités régionales en cuisine. Une proposition qui n’est pas du tout déplaisante lorsqu’on voit les 4 choix de menu en semaine et 4 en weekend. ...
Ancien expatrié spécialisé dans l’export, Fabien Bonabaud s’engage dans une reconversion professionnelle à partir de 2017 en rachetant le Château Gauthier. Ce changement de carrière a finalement été tout naturel pour ce néo-vigneron qui a grandi dans une famille amatrice de vins. « J’ai monté ce projet avec mon père, mais il est malheureusement décédé. Poursuivre ce rêve familial est une manière de lui rendre hommage », explique-t-il. Au cœur d’un domaine vallonné, les vignes s’épanouissent dans un environnement naturel et préservé entre forêts, ruisseaux et paturages pour les chevaux. Sur ce terroir à dominante de sables et de petites graves, le merlot, le cabernet sauvignon ainsi que le cabernet franc se révèlent dans leur plus belle expression. Le vigneron envisage également de replanter certains cépages rares bordelais à l’instar du malbec, du carmenere et du petit verdot, qui sont très présents au Chili et qui font écho à sa jeunesse passée dans le pays. Des vins fruités, aromatiques et accessibles À travers son projet, Fabien Bonabaud a tenu à adopter une démarche éco-responsable en bannissant les fongicides, pesticides et autres herbicides et en réduisant l’impact environnemental dans toute sa chaîne de valeur de la vigne au verre. Certifié HVE 3 en 2019, le domaine s’engage dans une conversion bio en 2021. Cette démarche écologiquement durable aboutit à des vins réputés pour leur élégance et leur buvabilité en appellation Blaye-côtes-de-bordeaux. Le Château Gauthier est l’une des fiertés de la maison. La cuvée historique issue d’un minutieux assemblage de merlot, de cabernet franc et de cabernet sauvignon s’illustre pour son caractère très aromatique, ses saveurs de petits fruits noirs et ses tanins présents, mais fondus. À déguster idéalement avec des plats en sauce, des pâtes, de la viande blanche, du pavé de thon ou du risotto. La cuvée Nézereau se veut quant à elle plus fraîche et expressive. Ample et fruité en bouche, ce vin rehausse à merveille les saveurs des viandes rôties, braisées ou barbecues, les poissons gras ainsi que les plats végétariens. ...
Jérôme Boujon est l’inventeur éclairé de La Terre Diamant. Cet expert en géométrie sacrée, enseignant et conférencier international est aussi maître de méditation et guérisseur. En 2004, suite à une expérience mystique intense, il accède à une vision éclairée de la grille énergétique, appelée aussi grille de 5ème dimension, qui entoure la Terre et relie ses habitants. La Terre de Diamant en est la reproduction complexe et parfaite. Jérôme Boujon donne gratuitement et en live une méditation de guérison pour la pleine lune chaque mois. Recevez ces RDV méditatifs en cliquant ici. Une prouesse technologique et spirituelle La première couche de la sphère est une étoile tétraédrique, correspondant au cristal central de la planète et à l’équilibre des polarités masculin/féminin. La seconde est une carte du monde, permettant de le visualiser dans son ensemble. La troisième est cette précieuse grille de conscience collective, habituellement indétectable. C’est la forme la plus développée de la géométrie fondamentale. Cette grille contient 915 fois le Nombre d’or – la perfection de la mathématique - du jamais vu (à titre d’exemple, la Pyramide de Kheops en compte seulement 15). La Terre Diamant est la 5ème invention de Jérôme Boujon et résulte de quinze années de recherches. Récompensée quatre fois à l’exposition Internationale des Inventions de Genève en 2019, notamment par la Médaille d’argent du jury, elle est reconnue comme un activateur de paix pour l’évolution de la conscience humaine. Sa société de diffusion, DIAMOND LIGHT, est membre de l’association 1% for the Planet. Des corps et des esprits apaisés Les effets de la Terre Diamant sont radicaux selon Jérôme Boujon et les centaines de témoignages laissés sur le site https://www.diamondlight.eu/ par ceux qui ont adopté ses vertus. Réduction des douleurs psychiques, bien-être, sommeil régénérateur, sentiment de joie, la sphère favorise aussi la communication, la méditation, l’éveil de conscience et rayonne sur plusieurs dizaines de mètres, voire centaines de mètres. Ainsi, quelqu’un détenant une Terre Diamant envoie des ondes positives à tout son quartier. C’est une noble cause. « C’est une sorte de phare spirituel », explique l’inventeur, qui a décliné sa création en trois modèles, pour s’adapter aux besoins des détenteurs : de poche, grande ou moyenne. La baby Terre Diamant vous accompagne partout : dans la poche, le sac à main, la voiture, le cartable de votre enfant, la tête d’oreiller pour le sommeil, la carafe d’eau pour la dynamiser. Posée sur le chakra du cœur, elle favorise la connexion et permet au corps "d’assimiler" les hautes vibrations d’unité. Doux silence, sensation d’amour s’y diluent sans effort. La moyenne et la grande sont davantage destinées aux maisons, aux centres de soins, aux entreprises, aux salles de réunions pour y créer une atmosphère harmonieuse. En plus de régler, de purifier le métabolisme et son environnement, sa base lumineuse avec ses 13 programmes de couleurs fait aussi figure d’exception. Un cercle chromatique diffuse les fréquences spirituelles du cyan, du magenta, et du jaune – la prospérité dans l’équilibre. La couleur choisi qualifie l’émanation de la Terre Diamant ; de la paix à l’éveil spirituel par les fréquences de l’intuition, de la guérison et de la communication. La sphère en rotation peut, au choix, s’illuminer ou non. La Terre Diamant a du travail, en ces jours chahutés par de nombreux maux existentiels. Son succès international participe déjà à leur apaisement. C’est en tout cas sa mission, portée haut par son inventeur inspiré. A petit pas cristallins, elle éclaire un chemin de paix, à emprunter "en toute conscience". ...
Depuis le XVIe siècle, ce regroupement de professionnels passionnés par le vin, la plus vieille confrérie vinicole de France, s’attelle à valoriser le patrimoine vinicole de la région alsacienne dans son intégralité. L’authenticité trouve ici son essence au travers de manifestations organisées dans un château emblématique, siège de la confrérie et symbole de l’éternelle renommée des vins d’Alsace. Dédiés aux professionnels, mais accessibles au grand public, ces événements, appelés « chapitres », sont un hommage au savoir-faire ancestral et au talent des viticulteurs qui travaillent d’arrache-pied pour mettre le meilleur du terroir en bouteille. Mis à part ces manifestations séculaires, la confrérie Saint-Étienne organise des événements d’entreprise toujours axés sur la richesse vinicole régionale dont elle est la fière ambassadrice. L’excellence au service du vin Depuis des siècles, la confrérie s’est donné pour mission de promouvoir le vin d’Alsace en misant sur leur aspect qualitatif. C’est pourquoi un concours, le Sigille des vins d’Alsace, est organisé deux fois par an au cœur de la région, dans le château de la confrérie de Saint-Étienne. « À l’issue de ce concours très exigeant, les vins dégustés à l’aveugle, répondant aux critères de qualité intrinsèque et de typicité, reçoivent une distinction : le Sigille. Tirant ses origines du latin signifiant "sceau", le Sigille est un gage de qualité et d’authenticité pour les vins qui en sont récompensés », nous explique Éric Fargeas, membre de la confrérie. Une fois l’estampille de cette dernière apposée sur la bouteille, le vin vient figurer dans le palmarès de la confrérie et rejoint une œnothèque riche de plus de 60 000 références. Idéale pour immerger ses collaborateurs ou ses clients dans le monde du vin, cette œnothèque, se trouvant dans une cave aménagée dans le château, figure parmi les vestiges intemporels de l’art du vin alsacien, avec des millésimes datant, pour certains, du milieu du XIXe siècle. Mis à part ce concours, les fameux « chapitres » sont l’occasion de découvrir le riche panel de choix que la région a à offrir en matière de vins. Chaque chapitre est une opportunité de découvrir les traditions vinicoles du terroir, mais également celles de la confrérie de Saint-Étienne. Intronisations, animations vinicoles ou dîners de gala y célèbrent les vins du pays. Pour des événements d’entreprise couronnés de succès C’est dans un château datant du XVIe siècle, haut lieu de la viticulture, que votre événement aura lieu, sous les auspices de l’authenticité et du charme alsacien. Les salles et les aménagements de cette bâtisse rustique pourront accueillir des manifestations d’entreprise de toute taille : boutiques éphémères, incentive, séminaires, minisalons, team-building ou réunions d’affaires. « À la pointe de la technologie, avec des salles équipées de wifi et un parc technique innovant, le château vous ouvre ses portes avec un brin de modernité tout en gardant le cachet d’un bâtiment qui date de 1560 », continue Éric Fargeas. Les ateliers ou séminaires autour du vin qui y seront organisés seront suivis d’activités ludiques, à l’instar de séances de tir à l’arc, de ballon captif et bien d’autres encore. Découvrez également les divers ateliers proposés chaque année par la confrérie, pour ne citer que les ateliers d’initiation au vin, ceux dédiés aux accords mets-vin ou ceux intitulés « vins d’Alsace et saveurs de l’Inde », à découvrir… ...
Située sur le quai de la Marine, le lieu fleure bon les vacances. Face au Deauville Yacht Club, une ambiance bistrot-chic règne au Comptoir et la Table où les tables en bois rustiques rappellent les brasseries parisiennes confortables et sans chichis. La décoration donne le ton de la mer. Nappes blanches et banquettes confortables, cette ambiance classique rappelle le charme de la station balnéaire normande très prisée des Parisiens. Décoré par Beineiche, ce repère culinaire du Calvados est minimaliste avec beaucoup d’espace. Fidèle au style des vieux restaurants deauvillais des années 50, le clinquant n’est pas de rigueur. Seule exigence : des produits frais et de qualité pour une clientèle avertie. Nuances de truffes De véritables produits frais, tout droit débarqués des ports de pêches font la réputation de ce haut établissement du « 21e arrondissement de Paris ». A l’honneur bien sûr, la truffe, véritable crédo culinaire du Comptoir. En entrée, elle ouvre le bal avec son fameux œuf poché à la truffe, préparé simplement mais authentiquement pour sublimer ses arômes délicats. Avec sa crème de truffes et ses quelques croutons, les papilles sont enchantées par ce gout puissant et atypique si prisé des fins gourmets. Son odeur, envoutante, donne du cachet à l’assiette, et évoque la terre, l’humidité et les effluves forestières. Pour ne pas dénaturer ce gout rare, le dressage est simple et élégant. Ici, le champignon unique est frais en toute saison. En hiver, c’est celle du Périgord qui trône dans l’assiette . En été, c’est celle d’Italie qui vient accompagner les plats signatures de ce restaurant prisé pour ses interprétations de la truffe. En entrée, le carpaccio de Saint-Jacques étonne avec ses fines lamelles et son rapé de truffes. Le gout subtil de noisette et la chair très fine de ce fruit de mer en font un mets estival de choix. Le calamar en poêlée et caramélisé est très prisé par les habitués du lieu. Ce fruit de mer est également dressé sans chichis, avec une salade toute simple pour apprécier le gout tendre et sucré de cette recette fraiche et marine. Le homard se veut frais dans ce restaurant, accompagné d’une poêlée de légumes du marché croquants et d’herbes. En plat principal, on se délecte d’une sole rôtie accompagnée de linguines à la truffe. Ce champignon gastronomique sublime un risotto chaud et onctueux accompagné de son rapé. Le Comptoir et la Table varie aussi les accompagnements du diamant noir avec des produits de la mer cuisinés avec la même philosophie : sobriété et gout. En poissons, le choix est là. Turbot, cabillaud, sole, Saint-Pierre et bar viennent enchanter les assiettes des amateurs des produits de la mer frais et de qualité. Vins aux arômes délicats Avec une carte de vins variée et prestigieuse, plusieurs crus accompagneront vos plats avec leurs arômes délicats. Pour le carpaccio de Saint-Jacques, un Meursault. Un Sancerre blanc viendra libérer les arômes des poissons frais du menu avec ses effluves d’agrumes et de fleurs. La côte de veau aux girolles sera sublimée avec un Pauillac rouge et sa complexité intense idéale pour une viande rouge. Ceux qui veulent couronner leur repas avec un instant de douceur gourmande, c’est une carte de desserts classiques qu’on découvre dans cet établissement. Tarte aux pommes, tulipe de fruits frais, crêpe suzette ou encore crème brûlée à la vanille paracheveront votre repas avec sobriété et délice. ...
Depuis le XVIe siècle, ce regroupement de professionnels passionnés par le vin, la plus vieille confrérie vinicole de France, s’attelle à valoriser le patrimoine vinicole de la région alsacienne dans son intégralité. L’authenticité trouve ici son essence au travers de manifestations organisées dans un château emblématique, siège de la confrérie et symbole de l’éternelle renommée des vins d’Alsace. Dédiés aux professionnels, mais accessibles au grand public, ces événements, appelés « chapitres », sont un hommage au savoir-faire ancestral et au talent des viticulteurs qui travaillent d’arrache-pied pour mettre le meilleur du terroir en bouteille. Mis à part ces manifestations séculaires, la confrérie Saint-Étienne organise des événements d’entreprise toujours axés sur la richesse vinicole régionale dont elle est la fière ambassadrice. L’excellence au service du vin Depuis des siècles, la confrérie s’est donné pour mission de promouvoir le vin d’Alsace en misant sur leur aspect qualitatif. C’est pourquoi un concours, le Sigille des vins d’Alsace, est organisé deux fois par an au cœur de la région, dans le château de la confrérie de Saint-Étienne. « À l’issue de ce concours très exigeant, les vins dégustés à l’aveugle, répondant aux critères de qualité intrinsèque et de typicité, reçoivent une distinction : le Sigille. Tirant ses origines du latin signifiant "sceau", le Sigille est un gage de qualité et d’authenticité pour les vins qui en sont récompensés », nous explique Éric Fargeas, membre de la confrérie. Une fois l’estampille de cette dernière apposée sur la bouteille, le vin vient figurer dans le palmarès de la confrérie et rejoint une œnothèque riche de plus de 60 000 références. Idéale pour immerger ses collaborateurs ou ses clients dans le monde du vin, cette œnothèque, se trouvant dans une cave aménagée dans le château, figure parmi les vestiges intemporels de l’art du vin alsacien, avec des millésimes datant, pour certains, du milieu du XIXe siècle. Mis à part ce concours, les fameux « chapitres » sont l’occasion de découvrir le riche panel de choix que la région a à offrir en matière de vins. Chaque chapitre est une opportunité de découvrir les traditions vinicoles du terroir, mais également celles de la confrérie de Saint-Étienne. Intronisations, animations vinicoles ou dîners de gala y célèbrent les vins du pays. Pour des événements d’entreprise couronnés de succès C’est dans un château datant du XVIe siècle, haut lieu de la viticulture, que votre événement aura lieu, sous les auspices de l’authenticité et du charme alsacien. Les salles et les aménagements de cette bâtisse rustique pourront accueillir des manifestations d’entreprise de toute taille : boutiques éphémères, incentive, séminaires, minisalons, team-building ou réunions d’affaires. « À la pointe de la technologie, avec des salles équipées de wifi et un parc technique innovant, le château vous ouvre ses portes avec un brin de modernité tout en gardant le cachet d’un bâtiment qui date de 1560 », continue Éric Fargeas. Les ateliers ou séminaires autour du vin qui y seront organisés seront suivis d’activités ludiques, à l’instar de séances de tir à l’arc, de ballon captif et bien d’autres encore. Découvrez également les divers ateliers proposés chaque année par la confrérie, pour ne citer que les ateliers d’initiation au vin, ceux dédiés aux accords mets-vin ou ceux intitulés « vins d’Alsace et saveurs de l’Inde », à découvrir… ...
Depuis mai 2017, Enzo et Rida vous accueillent dans une ambiance cosy au sein du restaurant Vava. Tables basses et tables hautes en bois, faites sur mesure par une ébéniste, côtoient cuir, aluminium, laiton, carreaux bleu mat et mur en pierre, pour vous plonger dans une décoration inspirée des années 70. Aux beaux jours, la vitrine s’ouvre sur la rue pour vous faire profiter d’une mini terrasse. Pour un repas bistronomique Dans ce cadre intimiste, vous pourrez parcourir la carte originale imaginée par le chef consultant Benjamin Mathieu. Passé par les cuisines de restaurants étoilés comme le Louis XV et le Bristol, il propose une cuisine bistro inspirée de ses origines méditerranéennes. Il aime particulièrement mettre à l’honneur les produits de la mer, comme les couteaux ou les palourdes par exemple. Tout au long de votre repas, vous pourrez apercevoir le chef Maxime Villevaud dans la cuisine ouverte. Après des débuts à 17 ans chez Jacques Chibois, il vous fera découvrir sa cuisine instinctive et nomade, se déclinant au fil des saisons. Avant de commencer, pensez à goûter aux passe-temps, ces délicieux tapas revisités à la mode Vava. Puis, vous pourrez savourer un des plats signatures de ce restaurant. Comme le ris de veau croustillant laqué, originalement sublimé par des câpres, du chorizo et du citron et accompagnée d’une délicieuse purée. Ou le calisson déstructuré avec madeleine et fleur d’oranger, un dessert moelleux et ultra-léger. Tous les plats sont déjà un plaisir pour les yeux avant de l’être pour vos papilles. Saveurs originales et associations délicates sont toujours au rendez-vous. La carte est courte et variée. Elle est renouvelée tous les mois pour des plats préparés à partir de produits frais et de saison. Avec une belle carte des vins La carte des vins a été soigneusement élaborée par Sébastien Depis. Avec principalement des vins français, mais aussi des vins bio et des vins italiens. Vous pourrez par exemple déguster un vin blanc du domaine des Coudereaux. Vous trouverez toujours un vin en accord parfait avec votre plat. N’hésitez pas à demander conseil. ...
Rendez-vous dans le Pays de Fénelon en Périgord Noir pour l’exposition Doisneau et profitez-en pour découvrir la richesse de la région. La seule exposition permanente de Robert Doisneau au monde Les amateurs de belles photographies connaissent tous Robert Doisneau pour son travail. Savez-vous que l’Office de Tourisme du Pays de Fénelon en Périgord Noir a souhaité lui dédier une exposition permanente ? Tout commence en 1936, lorsque le gouvernement de Léon Blum crée les congés payés. Lors de ses premières vacances, Robert Doisneau en profite donc pour venir en Dordogne par le train, devenant par ce biais l’un des premiers touristes de la région. Puis, grand fan de canoë, il reviendra souvent dans la Dordogne afin d’immortaliser les sites les plus pittoresques (de Beaulieu-sur-Dordogne à Beynac). Ce sont ces photos que l’Office de Tourisme vous invite à découvrir. Entièrement gratuite, l’exposition a été mise en place en collaboration avec les filles du photographe français qui ont conservé plus de 450 000 clichés. Une bonne occasion de découvrir le Périgord vu par Doisneau à travers une sélection de 50 photos présentant, d’un côté, les plus beaux paysages de la Dordogne et, de l’autre, la vie rurale locale de l’époque. À savoir : en plus de cette exposition permanente, l’établissement veut aussi proposer plusieurs expositions temporaires de jeunes photographes contemporains afin de présenter ce qui se fait actuellement en termes de photographies. Une bonne raison de vous y arrêter pour vous renseigner sur les richesses du territoire du Pays de Fénelon tout en écrivant une carte postale et déguster une glace ou boire un café. Entre salon de thé, galerie d’art photographique et salle de réunion pour professionnels, vous découvrez un Office de Tourisme polyvalent. Les activités du Pays de Fénelon en Périgord Noir Si vous souhaitez visiter ce beau pays, le rendez-vous est donné dans cet Office de Tourisme pas comme les autres, situé dans une ancienne gare entièrement réaménagée et ouvert depuis le 30 avril. Véritable porte d’entrée de la Dordogne et du Périgord Noir, il est le point de départ de nombreux chemins qui vous mènent vers des lieux aussi charmants que typiques. En effet, tout d’abord, sachez que la voie ferrée a été transformée en piste cyclable. Puisque le train n’y passe plus depuis 1980, c’est une excellente façon de faire revivre ce trajet historique. Ainsi, 19 km de voie verte ont été créés par la Communauté de Communes et un projet d’itinérance douce est en pleine construction. Ce dernier permettra de relier Sarlat à Cazoulès par la voie de chemin de fer. De belles promenades en perspective puisqu’il se rajoute à 500 km de chemins de randonnée et 400 km de parcours de VTT. Mais ce n’est pas tout, car vous trouvez de magnifiques bourgades à proximité dont 3 plus beaux villages de France (Domme, Castelnaud-La-Chapelle, Beynac-et-Cazenac). L’occasion d’observer l’aspect architectural spécifique, à base de lauze, de la région. N’oublions pas non plus les châteaux de Salignac et de Fénelon qui valent le détour ainsi que les magnifiques jardins du manoir d’Eyrignac, les jardins d’eau de Carsac (spécialisés dans les lotus) et les jardins de Cadiot. De plus, 3 événements importants ponctuent la saison : la Ronde des Moulins (durant le week-end de Pâques), la Ronde des Villages (mi-octobre) ainsi que la semaine de la nuit (début août). Ne repartez pas sans avoir participé à un marché gourmand Tous les visiteurs le disent : il faut avoir pris le temps de vivre l’ambiance si particulière des marchés gourmands de la Dordogne (seulement durant la haute saison, en juillet/août). En effet, vous y trouvez évidemment les spécialités de la région (truffes, cèpes, magrets de canard, salade périgourdine, produits à base de noix, etc.). Pourtant, ce qui frappe le plus, c’est le fait que des tables et des bancs ont été installés par les communes pour déguster les plats gourmands directement sur place. Les rendez-vous à ne pas manquer : - Le marché sur le thème du poi...
Créé en 1986, l’Institut supérieur des arts appliqués (LISAA) est une école d’enseignement supérieur privé, reconnue par le ministère de la Culture et de la Communication. LISAA forme notamment des créateurs dans le domaine du design graphique, de l’architecture d’intérieur et du design, de la mode, de l’animation et des jeux vidéos. Elle propose des formations préparatoires en arts appliqués mais également des formations au niveau Bachelor et Mastère. Afin d’assurer un encadrement de qualité, toutes ces formations sont prodiguées par des professionnels en activité : artistes, architectes d’intérieur, designers… Une pédagogie adaptée aux besoins du marché de l'emploi LISAA privilégie un enseignement par projet, en partenariat avec des organisations publiques et privées. Ce travail en équipe permet aux étudiants de développer leurs compétences professionnelles et d'être opérationnels rapidement une fois sur le marché de l'emploi. Les écoles travaillent avec Carrefour, L'Oréal, Adagio, Orange, Made.com, Canal+, Sosh, Uniqlo, Givaudan, le festival d'animation de l'AFCA, WWF, Science & vie, le Théâtre du Rond-Point, le théâtre National de Strasbourg, le Petit Palais, le festival We Love Green... Pour compléter cette approche professionnelle, certaines formations sont proposées en alternance. Un réseau de plus de 5000 diplômés À travers l'excellence de ses formations et de ses résultats, l'école, qui accueille 3500 étudiants, fait aujourd'hui partie des écoles qui comptent sur la scène de l'enseignement des arts appliqués en France. Un classement dévoilé par le journal Le Monde (1er décembre 2017) la place parmi les 7 écoles d'arts appliqués privées les plus prestigieuses. LISAA est aussi la seule école à figurer dans le top 10 de tous les classements arts appliqués de l'Étudiant en 2018. Rien de surprenant lorsqu'on sait que de nombreux diplômés affichent de très beaux parcours professionnels comme René Richard, directeur artistique de Guy Laroche ou Xiang Fang Ye, co-fondateur de la marque Wasted mais bien d'autres encore : chef de produit maille chez Balenciaga, Architecture Project Manager chez Chaumet, webdesigner chez Publicis, Matte Painter chez Rodeo FX, 3D Generalist chez BUF company... ou encore des créateurs d'entreprise. Des implantations en France et à l'international LISAA est présente dans 6 grandes villes françaises : Paris, Rennes, Strasbourg, Nantes, Bordeaux et Toulouse, qui a rejoint le réseau en septembre 2018. L'école est aussi implantée à l'international puisqu'elle dispose, depuis 2010 d'un campus en Inde (Bangalore) depuis 2016, un campus en Chine, dans la ville de Suzhou. ...
Le petit village de Cajarc cache de grands talents dont un se dévoile aujourd’hui au restaurant L’Allée des Vignes. Grâce à Evgenia et Claude-Emmanuel Robin, cet ancien presbytère a pris un sacré coup de jeune. Dans ce cadre élégant, la cuisine bistronomique est à l’honneur le midi pour le tourisme de passage et la clientèle d’affaire, tandis que le soir et le déjeuner dominical sont destinés à l’épicurisme via une cuisine gastronomique, fine et de création. Créer l’évènement dans l’assiette « Mon objectif est de créer l’évènement dans l’assiette ». C’est ainsi que le chef Robin conçoit sa vision du métier, une idée longuement mijotée. A cet effet, avec son équipe, il s’efforce de suivre la saisonnalité de façon pointilleuse. Le mardi de chaque semaine est alors consacré à la rencontre avec ses partenaires locaux pour comprendre et choisir le bon produit. Si Claude-Emmanuel s’exprime aujourd’hui avec tant d’assurance, c’est parce que son établissement a naturellement privilégié le circuit court et la gastronomie locale pour des créations culinaires entièrement élaborées sur place. D’ailleurs, la ligne de conduite du restaurant l’évoque : faire les choses dans les règles pour faire plaisir en se faisant plaisir. C’est avec mesure que le chef déclare « voilà maintenant cinq ans que le restaurant a ouvert ses portes, et nous sommes heureux de pouvoir constater que les clients font des kilomètres depuis Cahors, Rodez, ou même Toulouse pour découvrir notre cuisine et le concept particulier de l’Allée ». La flexibilité de L’Allée des Vignes Car ce qui fait le succès de l’Allée des Vignes, c’est son concept initial, son Côté Gastronomique et la souplesse de ses cartes hebdomadaires qui se déclinent en trois formats. De la dégustation au plat, en passant par le demi-plat, chaque convive choisit le volume de son assiette. Trois formats, trois tailles pour chaque plat qui permettent de manger selon l’appétit et l’envie. Ce concept est étayé par une cuisine patiente qui révèle la quintessence des produits sans les dénaturer. Pour ce chef locavore, rien ne se perd, tout se transforme : un peu de fantaisie et le jaune d’œuf parfait acquiert sa texture onctueuse dans un gras de canard aux parfums d’asperges vertes de Cajarc. Inspiré par ses origines latino-américaines, Claude-Emmanuel transforme la peau de Saumon en Chicharrón croustillant, qui devient ainsi l’une des composantes essentielles d’un plat. En choisissant le « Menu Dégustation », toutes les suggestions à la carte sont disponibles en format « Dégust ». La Mer, la Terre et le Végétal occupent le haut de l’assiette. L’agneau fermier, le foie gras et le safran du Quercy sont souvent à l’honneur, mais le chef sait aussi s’égarer dans des escapades exotiques en utilisant par exemple le « Voatsiperifery », un poivre sauvage de Madagascar associé à l’ananas rôti au beurre d’épices au moment du dessert. Un délice pour les papilles. Que serait un dîner gastronomique sans un bon vin pour l’accompagner ? L’Allée des Vignes a pensé à tout pour faire plaisir aux fins palais. A l’entrée du restaurant, une Vinothèque vous révèle une sélection réfléchie de 120 références de vins. Le livre de cave en mains, le client constate un équilibre entre beaux crus classiques et nouvelles productions prônant le bio, intéressant ainsi autant les néophytes que les amateurs les plus avertis. ...
Affectueusement surnommée « Lady Rose », Dorothy Carrington fut une écrivaine anglaise tombée amoureuse de la Corse dès son arrivée sur l’île en 1948. C’est en hommage à sa passion pour ce bout de terre que les deux comparses, fortes de nombreuses années d’expérience dans le domaine du tourisme, décident de baptiser leur agence de son nom. Aujourd’hui, Sabrina et Christelle élaborent avec soin des séjours sur mesure de découverte ou de bien-être conçus pour les groupes d’amis, les couples ou les familles souhaitant découvrir le meilleur de ces deux contrées insulaires. Allant de l’hébergement aux itinéraires, tous les détails sont méticuleusement préparés selon votre budget, afin de faire de chaque voyage une expérience unique placée sous le signe du succès et de l’émerveillement. À la découverte d’îles aux trésors La Corse, une destination de rêve prestigieuse où se côtoient plages paradisiaques et paysages du maquis. Baignée dans une mer de bleu d’azur, propice aux sports et activités nautiques, l’île de Beauté abrite un riche patrimoine culturel préservé par une population hospitalière et attachante. Les vestiges du passage des Grecs, des Phéniciens ou des Byzantins embellissent encore les ruelles des villages pittoresques, ponctuées ici et là d’auberges et de restaurants proposant des plats fleurant bon les produits du terroir. Les saveurs de la châtaigne, de l’olive, du fromage corse ou des agrumes de l’île se retrouvent, en effet, dans chaque recette emplie de traditions, véritables fleurons de la gastronomie corse. Enchanteresse et envoûtante, l’île séduit, transporte et force le respect. Dans la même ambiance magique, la Sardaigne vous emmène dans un voyage dans le temps et dans l’espace au cœur de grandes civilisations antiques allant du néolithique à l’ère nuragique. Ces siècles de grandeur ont laissé pour héritage des constructions mégalithiques, telles que des maisons, des tombes de géants ou les dolmens classés au patrimoine mondial de l’Unesco. À ces vestiges du passé viennent s’ajouter les trésors du présent, pour ne citer que les paysages à couper le souffle, un artisanat réputé au-delà des mers ainsi qu’une gastronomie unique marquée par une cuisine à forte résonance méditerranéenne. Viande grillée, pâtes locales, fromages ou poissons font partie intégrante de cet art gourmand faisant la fierté de l’île. Les mythes, légendes et savoir-faire ancestraux formant la culture de la Sardaigne sont également célébrés à l’occasion de festivals ou d’événements organisés annuellement. Chaque voyage organisé par l’agence Miss Carrington sera ainsi l’occasion de s’imprégner de la richesse de ces deux îles à l’âme singulière où le passé côtoie le présent et où les traditions tutoient la modernité. ...
Dès son BPERA viti-eono en poche, Thierry Bousquet décide de s’investir pleinement dans la viticulture. À Cuqueron (Pyrénées-Atlantiques), il gère le domaine familial avec une foi en la Nature, traduite par une conversion au biologique. Ici, on trouve la promesse de goûter des vins sains en appellation Jurançon, qui expriment pleinement le terroir. Un terroir précieux et exclusif Thierry Bousquet n’a pas manqué de prendre à son avantage ce terroir précieux et exclusif. Un emplacement à mi-coteaux et en terrasse fait circuler les moûts en évitant les pompages. La minéralité apportée par les galets calcaires régule le sucre et l’acidité superflus et apporte l’équilibre et la finesse tant convoités. « C’est ce qui fait, entre autres, l’originalité de nos vins », fait valoir le vigneron. Les cépages utilisés sont fidèles à l’appellation. Ainsi, sur les 5 ha du Clos Benguères, le gros manseng et le petit manseng occupent respectivement 2,30 ha. Et les 20 ha restants sont dédiés au camaralet (cépage de raisins blancs plutôt rare). Des trésors à découvrir Côté cuvées, le domaine invite à découvrir quelques trésors qui accompagneront, entre autres, fruits de mer et foie gras. La cuvée « le Chêne Couché », un liquoreux aux arômes purs et vivants, a longtemps illustré le style même du Clos Benguères. « Plaisirs d’automne », un moelleux léger et éclatant, et « Les Galets », un vin sec minéral et puissant, n’en sont pas moins représentatifs. ...
Aujourd’hui, modernité oblige le vignoble est certifié Haute valeur environnementale (HVE). Un label plus global de la culture raisonnée selon Fabien puisqu’elle englobe l’ensemble de la pratique vinicole et viticole. A travers cette certification sont mises en place des techniques novatrices ou bien encore diverses techniques de bio-contrôle comme la confusion sexuelle du ver de la grappe ou les écorces d’orange. Le domaine propose également une cuvée bio, depuis 2020. La vinification en amphore Parmi la vingtaine de cuvées produites, l’une se distingue plus particulièrement : le CG dont la première cuvée date de 2020. Déclinée en version blanc et rouge, il s’agit des premiers vins vinifiés en amphore. Un travail de plusieurs années débuté en 2013 avec le Séculaire qui lui est élevé en amphores et qui permet de profiter des capacités naturelles de l’argile dans lequel sont conçues des amphores modernes de 125 à 400 litres. L’argile permet ainsi d’oxygéner le fruit de manière très douce et régulière pendant les fermentations tout en préservant le vin de l’oxydation. Résultat, un vin qui peut se boire jeune, avec une intensité aromatique plus prononcée. Du gin sur le domaine du château Grézan La Famille Cros-Pujol n’est pas seulement vigneronne, elle produit aussi du gin. Une innovation pour le vignoble qui face à la crise du Covid s’est adapté. Fabien Pujol a sorti un vieux projet de ses cartons : celui de produire du gin. Pour cela, un alambic à vapeur et à double paroi est utilisé pour permettre une extraction plus douce et plus homogène, dans le respect du fruit. Composé majoritairement de genièvre, la liqueur est conditionnée en bouteille de 70cl. Avec une teneur en alcool de 42°, on y découvre un arôme méditerranéen entre la garrigue et les agrumes. ...
Prestations modulables «Nous nous adressons à différents domaines des sciences du vivant, que ce soit la cancérologie, la physiologie, la physiopathologie, les neurosciences, le métabolisme ou l’inflammation », fait savoir Nicolas Chignard, cofondateur d’Inovarion. La société se déploie sur trois axes : la recherche collaborative, l’aide à la création d’entreprises innovantes et la prestation de services de recherche et développement. Inovarion propose des offres sur mesure dans le cadre de missions d’expertise-conseil sur des projets de recherche ou de mutualisation de services techniques. Analyse de transcrits, production de vecteurs en biologie moléculaire, développement d’outils technologiques, analyse bio-informatique, veille scientifique, location d’équipements à la carte figurent parmi le catalogue de prestations offertes. « Les laboratoires peuvent avoir accès à une palette de compétences et à notre expérience pour accélérer leurs projets de recherche et développement », résume notre interlocuteur. Des compétences et des talents Cyril Torre et Nicolas Chignard, les deux fondateurs, ont obtenu leur doctorat respectivement en cancérologie et en physiopathologie cellulaire et moléculaire. Le savoir-faire de ce duo d’entrepreneurs est l’exemple parfait de la coopération fructueuse de la recherche fondamentale et de l’entrepreneuriat. Le développement de l’équipe suit un rythme exponentiel avec 25 recrutements en 2017, et une croissance identique prévue pour 2018. ...