logo-flash-matin
portrait-chef-frederic-robert

Interview avec Frédéric Robert
Chef du restaurant La Grande Cascade



Restaurant
1 étoile au Guide Michelin
situé à Paris
Région Île-de-france

Dans votre restaurant, comment définissez-vous votre cuisine ? Quels sont vos plats «Signature»? Avec quels produits aimez-vous travailler ?

Frédéric Robert Ma cuisine est classique, dans la lignée de ma formation dans les grandes maisons parisiennes. J'aime réinterpréter des grandes recettes et les affiner avec des techniques actuelles tout en tenant compte de l'évolution des attentes de la clientèle. En tant que cuisinier à Paris, je me permets plus de choses ! Je n'ai pas l'obligation de travailler avec des produits locaux. Ma préférence va sans nul doute aux produits sauvages : champignons, poissons, crustacés, coquillages et gibiers.
Mes Recettes signatures :
Le Cèpe cru et cuit (variation de 3 températures et 3 textures)
Le Ris de veau aux herbes à tortue (mélange d'épices et d'herbes fraîches savamment dosées)
Turbot de l'Atlantique, morilles, fins coquillages, ravigote au cresson de fontaine

Quelles émotions avez-vous ressenties lors de la remise des étoiles du Guide Michelin ?

FR Vous allez trouver ça drôle, mais en 35 ans de carrière, je n'ai jamais été récompensé personnellement. J'ai su conserver les étoiles déjà attribuées dans les différentes cuisines que j'ai fréquentées (3, 2 et 1 étoile). Mais comme j'aime dire : les gagner c'est bien, les conserver c'est mieux.

La cuisine est faite chaque jour de partage et d'émotions. Toutefois, certains moments de la vie sont à privilégier plus que d'autres... Pouvez-vous nous confier vos plats rêvés pour :
- Un repas de Noël ?

FR Un apéritif au coin de la cheminée avec des petites pièces de foie gras, jambon ibérique, huîtres Gillardeau, croque-monsieur à la truffe, puis un plat à partager servi à table. Je pense par exemple à une volaille de la Cour d'Armoise au vin jaune ou un turbot cuit entier au four au champagne, un brie à la truffe avec du pain de campagne juste toasté et une bûche aux marrons comme faisait ma grand-mère !
plat-restaurant-la-grande-cascade-paris
© Pauline Legoff

- Un repas de la nouvelle année ?

FR Je finis toujours l'année avec la même bande de copains. En entrée/apéritif, on mange un toast de pain de campagne, légèrement beurré de demi sel de chez Belvère et agrémenté de truffe noire en lamelle épaisse. A suivre, un grand plateau de fruits de mer, des fromages de la maison Quatrehomme, et on termine avec un St Honoré de Philippe Conticini et des chocolats de chez Patrick Roger. Tout cela accompagné d'un champagne Bolinger.
plat-restaurant-la-grande-cascade-paris

- Un repas de la fête des mères ou des pères ?

FR Une grande table dans le jardin avec enfants et petits-enfants, des asperges vertes et blanches sauce ravigote à ma façon (c'était le plat préféré de ma mère), une côte de boeuf de Salers maturée 36 jours à la braise, des pommes de terre à la cendre avec de la crème épaisse de chez Belvère et de la ciboule.

Au fait, pour votre mariage, qui a fait la cuisine ? Pouvez-vous nous indiquer les plats cuisinés ?

FR Céline et moi, nous nous sommes mariés en Normandie dans la demeure de mes beaux-parents. Déjà à l'époque, je ne pouvais pas concevoir de confier mon repas de mariage à un traiteur. C'est donc l'équipe du Grand Véfour qui est venue sur place pendant 2 jours, un moment exceptionnel, nous avons même fait la pièce montée ! En menu, on a mangé un homard breton rafraîchi au melon verveine, des morilles jumbo aux herbes poivrées, sauce soja, une côte de veau de Corrèze au grill avec des girolles et du vin jaune.
plat-restaurant-la-grande-cascade-paris
© Pauline Legoff

Sans trop réfléchir, pouvez-vous nous confier votre plus beau souvenir gustatif et certaines des émotions procurées ?

FR C'était il y a une vingtaine d'années, un dîner dans le Piémont en compagnie d'Alain Senderens, dans un petit restaurant au milieu de nulle part avec une grand-mère en cuisine. Des pâtes fraîches à la truffe d'Alba... Cette auberge dans la montagne, cette région magnifique en automne, le soyeux des pâtes et le parfum de la truffe blanche : la pureté même dans la simplicité.

D'après la célèbre devise de Prosper Montagné "On ne fait du bon qu'avec du très bon", pouvez-vous nous révéler deux ou trois de vos adresses gourmandes. Vos producteurs et produits préférés sur votre région ou ailleurs (vins, produits frais, ou autres...)

FR L'Ambroisie place des Vosges : la gastronomie française dans toute sa splendeur
Chez Georges, boulevard Péreire : le vrai bistrot parisien comme j'aime
Bon, rue de la Pompe : la cuisine thaï dans toute sa subtilité, le décor Starck
Mes producteurs préférés :
Poisson : les produits noirmoutrins, la mer à l'état pur
Viande : Boucherie de la Sablière, son boeuf de Salers, son veau de Dordogne, son agneau du Pays d'Oc
Champignons : Guillaume à la Compagnie du Bocage
Foie gras du Sud-Ouest : maison Laffite
Truffe noire : Jérôme Gallis

On parle aujourd’hui beaucoup de cuisine fusion, de plats végétariens, d'aliments biologiques, de « Trashcooking » (ingrédients destinés normalement au rebus), de « Freakshakes » pour marier un dessert à une boisson... Selon vous quelles seront les grandes tendances de la cuisine de demain ?

FR La tendance de demain a toujours été ma tendance, le produit à l'état pur et la main de l'homme pour le transcender. Si les cuisiniers n'avaient pas donné l'opportunité aux petits producteurs, cultivateurs, éleveurs de nous fournir et de pouvoir vivre décemment, le savoir faire de ces producteurs ce serait perdu. L'effervescence que nous connaissons aujourd'hui autour du bio et du retour au vrai n'existerait plus !
Le mariage d'un plat avec un vin, un jus de légumes ou fruits ou même un thé est tellement évident pour moi. 80% des fromages se marient avec un vin blanc et pourtant tout le monde a l'habitude de boire du vin rouge avec le fromage.

Culture - Cinéma Quelle est votre scène préférée de cinéma au restaurant ? Un souvenir de film avec une séquence particulière...

FR L'aile ou la cuisse ! Le message du film est tout à fait d'actualité, la critique à travers les guides et internet n'a jamais été aussi puissante. Lorsque Coluche se fait passer pour le critique d'un célèbre guide et reçoit toutes les attentions du restaurateur et c'est Louis de Funès qui est au fond de la salle complètement délaissé en train d'écrire son rapport. C'est tellement vrai !
restaurant-la-grande-cascade-paris restaurant-la-grande-cascade-paris restaurant-la-grande-cascade-paris
© Alban Couturier
© Pauline Legoff

Si vous aviez un hommage à adresser à Paul Bocuse, quel serait-il ?

FR Paul Bocuse a sorti le cuisinier de sa cuisine et l'a apporté à la lumière. Si la gastronomie française est si rayonnante aujourd'hui, c'est grâce à lui !
Adresse | Contacts utiles
image-prop-contact-la-grande-cascade La Grande Cascade Carrefour de Longchamp, Bois de Boulogne
75016 Paris

Tél. : 01 45 27 33 51
Site Internet

Récompenses
1 étoile au Michelin

La Grande Cascade : les avis

LES ARTICLES LES PLUS LUS

Viva Wyndham Resorts : une évasion idyllique au cœur des Caraïbes

Des plages et un environnement exotique, des hébergements de qualité offrant un confort optimal, une large gamme de services complets, des animations et des activités variées… Le groupe hôtelier Viva Wyndham Resorts se distingue par trois décennies de savoir-faire et d’innovations au profit d’une clientèle toujours plus nombreuse et diversifiée.  Viva Wyndham Tangerine Le groupe compte 5 hôtels en République dominicaine. Situé à Cabarete, un des meilleurs spots de kite surf au monde, l’hôtel Viva Wyndham Tangerine est le meilleur choix pour un séjour en famille et destiné aux sports nautiques. Entièrement rénové en 2016, cet établissement s’est doté d’une nouvelle catégorie de chambres pouvant accueillir jusqu’à 5 personnes. En tout, il dispose de 314 chambres confortables, de 4 restaurants et de 3 bars. Côté activités, les amoureux des sports nautiques seront comblés, en particulier avec le kitesurf, paddle et planche à voile. Côté relaxation, ce complexe touristique met à disposition son spa Kelive. Viva Wyndham Dominicus Beach L’établissement Viva Wyndham Dominicus Beach se trouve, quant à lui, sur la côte sud-est du pays, plus précisément à Bayahibe. Les 670 chambres de l’hôtel sont à la fois spacieuses et accueillantes. Les fins gourmets profitent de 6 restaurants, dont 4 avec dîners à thème ainsi qu’une pizzeria. Outre les nombreuses activités sportives proposées, la visite du parc national de Cotubanamá, appelé parc national de l’Este jusqu’en 2014 et les navigations aux Iles Saona et Catalina restent incontournables. Des excursions plongée sous-marine au sein du club Reef oasis sont aussi proposées sur site. Viva Wyndham Dominicus Palace A  proximité du Viva Wyndham Dominicus Beach et partageant la même plage, le Viva Wyndham Dominicus Palace propose 403 chambres et 9 restaurants, dont le Palito de Coco qui propose un menu 100 % dominicain. C’est l’ adresse idéale des visiteurs en quête de détente et de tranquillité et désireux d'explorer la côte de Bayahibe. Grâce à sa grande salle de conférences et à ses nombreuses offres incentives, l’hôtel attire également les professionnels à la recherche d’un cadre propice à leurs évènements. Après une séance de travail bien remplie, le spa Metamorphosis est là pour offrir des moments d’évasion et de relaxation. La V Collection, une marque dédiée aux adultes Depuis plus de 3 ans, le groupe groupe Viva Wynhdam Resorts a lancé une nouvelle collection dénommée « V Collection ». Celle-ci se compose de deux resorts classés 5 étoiles, implantés en République dominicaine : le Viva Wyndham V Heavens (à côté du golf de Playa Dorada) et le Viva Wyndham V Samaná (à Las Terrenas). Réservés exclusivement aux adultes, ces établissements sont parfaits pour des séjours alliant calme, sérénité et confort. Le premier est doté de 190 chambres, de 5 restaurants, d’un bar, d’une piscine de plage, d’un théâtre et d’une discothèque. Les amateurs de golf seront comblés puisque, à proximité de l’hôtel, se trouve un parcours 18 trous signé par l'architecte Robert Trent Jones. Quant au Wyndham V Samaná, ce dernier jouit de sa situation privilégiée en face de la belle plage de Playa Coson. En tout, ce complexe possède 178 chambres spacieuses incluant les 34 nouveaux bungalows de haut de gamme situés au cœur d’une végétation luxuriante. Le spa Coconut Whispers Spa est une véritable ode à la Nature, offrant des soins naturels et organiques selon les senteurs cocos des Caraibes Viva Wyndham Maya Le groupe est aussi présent au Mexique via deux établissements que sont le Viva Wyndham Maya et le Viva Wyndham Azteca. Se trouvant sur la fameuse Riviera Maya, à environ 3 km de Playa del Carmen, le Viva Wyndham Maya met à disposition ses 604 chambres, 5 restaurants, 3 bars et son spa Renova. Après avoir visité les anciens sites mayas implantés dans la région et autres parcs naturels, les explorateurs en herbe pourront s’y ressource...

La Vague d'Or, escapade bucolique en Méditerranée

Tel un chef d’orchestre, Arnaud Donckele dirige une équipe de choc composée de 21 passionnés tous aussi doués les uns que les autres. Thierry Di Tullio, le directeur du restaurant La Vague d’Or ; il a été récemment élu « Meilleur directeur de salle de l’année 2016 » par le guide Gault & Millau. Avec lui, le chef sommelier Franck Perroud élabore les meilleurs accords pour sublimer les créations culinaires du chef. En cuisine, aux côtés d’Arnaud Donckele, le chef pâtissier Guillaume Godin s’occupe de ravir les palais avec ses desserts gourmands et raffinés.   Arnaud Donckele, artisan du goût Si la cuisine était une musique, alors Arnaud Donckele, chef du restaurant La Vague d’Or, serait tout simplement Mozart. Petit-fils d’agriculteurs, ce prodige de la cuisine a fait ses armes auprès des plus grands noms de la cuisine française, comme Michel Guérard, Alain Ducasse et Jean- Louis Nomicos, au Lasserre. En 2005, il décide de voler de ses propres ailes et débarque à La Vague d’Or, où carte blanche lui est donnée au regard de son parcours déjà impressionnant. D’une créativité sans limites et d’une grande rigueur au travail, il met en avant son amour pour la cuisine provençale et méditerranéenne. La consécration est indiscutable et ne tarde pas à venir. En 2013, il est couronné de trois étoiles au Guide Michelin, ce qui fait de lui le plus jeune chef étoilé en France à 35 ans. En 2016, c’est au tour du guide Gault & Millau de lui décerner 5 toques. Cuisinier hors pair, Arnaud Donckele s’essaye aussi à la littérature. À l’instar de son ancien mentor Alain Ducasse, il a édité un Best of (Éd. Alain Ducasse, 2015) de ses 11 meilleures recettes ainsi que l’ouvrage Ma Provence (Flammarion, 2015), dans lequel 60 recettes typiquesde la Provence sont dévoilées.   Une cuisine entre terre et mer À La Vague d’Or, une cuisine gastronomique issue du terroir provençal et méditerranéen est mise en avant. Les produits frais de saison, en provenance des petits producteurs du littoral varois, y sont privilégiés. Arnaud Donckele met à contribution avec raffinement les herbes de Provence pour illuminer ses plats, à l’image de sa « pâte Zitone », délicatement fourrée de truffe noire et de foie gras avec l’artichaut violet en trois textures, rehaussé de basilic. Le chef affectionne particulièrement les alliances, parfois insolites et audacieuses, cuisinées avec subtilité, tel le homard combiné avec la truffe noire de Carpentras. La cuisine de La Vague d’Or, c’est aussi une valse entre terre et mer, à l’exemple du râble de lapin roulé au lard paysan « façon Claudette » et homard bleu. Pour aller à la découverte du pays des délices d’Arnaud Donckele, trois menus sont proposés. En quatre actes, « L’escapade gourmande » retrace l’identité des plats tirés de la bouillabaisse, fondement de la cuisine provençale. « Au fil du temps », décliné en cinq actes, est la composition des plats traditionnels et des plats modernes mise en harmonie. La formule en huit actes de la « Balade épicurienne » propose de faire découvrir la philosophie culinaire de la maison. Quant à la carte de La Vague d’Or, elle est une invitation au voyage entre terre et mer... ou les deux. Ainsi, on se plaira à déguster les « langoustines vivifiées au pamplemousse en deux séquences », suivies d’un « mignon de veau à la mode carqueirannaise », pour terminer en beauté avec le « feuille à feuille aux dix agrumes ». ...

Le restaurant Entre Nous :
l'originalité sur les produits de terroir

A quelques encablures du Lac Léman et non loin du Palais des Congrès, le restaurant Entre Nous est l’étape gastronomique incontournable à Evian-les-Bains. Dans cet établissement chaleureux, les clients ne manquent pas de témoigner d'une bistronomie originale pour cette belle table qui allie service décomplexé et agréable cuisine.Terroir, élégance et créativité sont trois termes qui décrivent parfaitement le talent de la maison. Une cuisine du terroir Passionnés par l'art culinaire, les Bernis ont développé un lieu de rencontre authentique autour de bons plats. Le restaurant utilise des produits locaux de saison, frais et sains. La cuisine ici valorise le terroir savoyard avec des poissons du lac Léman et les condiments de la Haute-Savoie. De l'entrée au dessert, tout est fait maison. Pour cette adresse qui ne dispose que de 50 couverts, la carte est bien évidemment courte. Un fait apprécié par la clientèle, avec des plats qui changent en fonction des saisons. En guise d’entrée, le restaurant propose de grands classiques à l'instar du tartare de féra. La féra est un poisson très prisé du lac Léman. Après avoir badigeonné d'huile d'olive la chair de la féra découpée en petits dés, il y ajoute de fines herbes, du jus de citron et de la vinaigrette. Une entrée simple et légère, relevée par un parfum d’aneth et de cerfeuil. Comme plat principal, le cœur de rumsteak. Plat traditionnel, il est orchestré à base de fromage d’abondance fondu dans du vin blanc, avec un accompagnement d’un écrasé de pommes de terre et d’herbes. Autre plat signature, la côte de bœuf au four. Pour élaborer ce plat, la viande est grillée de chaque côté dans une poêle, de façon à lui donner une coloration joyeuse à l’œil en plus de son gout de fumé. La côte de bœuf est par la suite enfournée à très haute température, pour être servie accompagnée d’une sauce au foie gras et aux morilles. Le généreux assaisonnement au sel et au poivre rehausse les senteurs épicées de ce plat. En dessert, crème brûlée à base de jaune d'œuf, sucre en poudre, d’une décoction de thé vert et feuilles de menthe fraîche. Le tout est battu au fouet afin d'obtenir un mélange homogène. Une fois la crème blanchâtre refroidie, elle est caramélisée à chaud. Le procédé confère une sensation de fraîcheur aux papilles. En somme, Sophie et Marc cuisinent des plats à la manière « Entre Nous », à travers une cuisine minutieuse qui marie admirablement recettes classiques et originalité. L’harmonie mets-vins La carte des vins est aussi courte que celle des plats, avec quelques bouteilles servies au verre. Celles-ci mettent remarquablement en valeur le terroir savoyard. Sophie Bernis a vite fait de comprendre que l'expression « Le client est roi », signifie non seulement repas succulents, mais aussi accord parfait mets-vins. En accompagnement des magnifiques dressages en assiette de la maison, des vins comme l’AOC Roussette Cru Marestel Tradition du Domaine Barlet. Ce vin blanc à la robe jaune or se marie parfaitement avec le tartare de féra. Il est doté d’un nez fruité exotique, mais aussi d’une bouche riche et moelleuse. Comme accompagnement pour le cœur de rumsteak, l’AOC Mondeuse d’Arbin Graine de Terroir du Domaine Perrier. Un rouge à la robe pourpre intense et équilibrée sur des tanins fruités, poivrés et vanillés. Sa bouche complexe révèle des notes réglisses du court passage en fut de chêne ...

IziResort : l’application qui accompagne les vacanciers pendant leur séjour 

Le défi était de créer une application qui va à la fois faciliter la diffusion des informations dans les clubs de vacances et les campings, et offrir une meilleure expérience de séjour aux visiteurs. Arnaud Vanhelle et son équipe ont réussi l’exploit. Un concept simple et accessible IziResort  est une application, à destination des campings et des structures d’hôtellerie de plein air et indépendantes, regroupant toutes les activités et les informations pratiques qu’ils souhaitent communiquer à leurs clients. Elle est disponible uniquement lorsque le client se trouve sur place, car l’objectif est « de lui faire connaître les activités proposées pendant son séjour », souligne Arnaud Vanhelle, le concepteur. À travers son interface simple et étudiée, l’application donne accès à différentes rubriques comme celles dédiées aux activités, aux services ou à l’agenda. Des fonctionnalités qui permettent aux visiteurs de dénicher les informations qui les intéressent au club/camping où ils séjournent. Non seulement les clients auront une plus grande liberté de choix sur les animations et de loisirs qui s’offrent à eux, mais ils mettront moins de temps à trouver ces informations. Notre interlocuteur estime « qu’il faut trois jours normalement pour s’approprier l’ensemble des activités », mais IziResort permet de faire le tour des informations en quelques clics. Les modifications et les imprévus de la dernière minute peuvent être également communiqués : changement d’horaire d’une activité ou annulation de celle-ci à cause du mauvais temps, par exemple. Personnalisable à souhait, l’application revêt l’identité visuelle de chaque structure et enrichit les interactions  grâce à la rubrique galerie photo et vidéo. Une application aux multiples atouts Indéniablement, le premier avantage est celui de la rapidité d’accès aux informations : elles sont disponibles instantanément via les terminaux IOs ou Android. D’ailleurs, le gestionnaire ou le responsable de la structure jouit également de ce côté pratique d’utilisation : « Tout est gérable à partir du téléphone du manager : la mise à jour des contenus jusqu’à la réception des alertes », reprend notre interlocuteur. En effet, d’autres fonctionnalités permettent aux utilisateurs de signaler en temps réel la gérance, et même les secours, en cas de problème sur le lieu. En outre, la mise en place d’IziResort peut se faire en 4 heures seulement, sans qu’il y ait interruption de l’activité. Arnaud Vanhelle le confirme : « Nous allons sur leur site pour reprendre les informations, et les intégrer dans l’application, celle-ci est fonctionnelle en une demi-journée. » Une fois la mise en place terminée, l’application est disponible pour un abonnement mensuel de 50 €, « le même prix que pour une application mobile ».  ...

Hôtel et restaurant de l'Abbaye royale de Fontevraud :
profitez d'un lieu magique

Trois monastères subsistent de l’ancienne Abbaye royale de Fontevraud. L’hôtel et le restaurant ont investi l’un d’eux, le Prieuré Saint-Lazare, qui fut successivement une léproserie, un hospice pour religieuses et l’hôpital de la prison. Le restaurant : une explosion de textures et de saveurs Le restaurant a pris plus particulièrement possession du cloitre et de la salle capitulaire. Le chef Thibaut Ruggeri, Bocuse d’or Monde 2013, confectionne une cuisine française raffinée et créative. Il privilégie le terroir et les saisons, en partant de produits locaux majoritairement bio ou cultivés dans le potager du domaine. Vous pouvez choisir entre 3 menus, avec la possibilité de l’accompagner d’un verre de vin en accord avec chaque plat. Vos enfants ne seront pas en reste grâce au menu Robin des bois. Votre repas débutera inexorablement par une soupe, chaude ou froide suivant la saison, principalement à base de végétaux. Elle rend hommage à toutes les religieuses ou tous les prisonniers ayant un jour séjourné à l’Abbaye. Ensuite, vous pourrez vous régaler d’une Révolution du potager, une entrée à base de légumes et de plantes aromatiques. À l’automne, elle se compose, par exemple, de châtaignes, de chou-fleur et de légumes racines du jardin. Découvrez également le très apprécié Champignon de Paris à Fontevraud, un plat qui marie champignons blancs et blonds, crus et cuits, associés à du foie gras, pour une explosion de textures et de saveurs en bouche. En plat, poisson, volaille ou gibier sont régulièrement à l’honneur. En dessert, savourez le surprenant et délicieux Citron jaune-Olives noires, une crème brulée revisitée au gout subtil. La carte des vins privilégie les vins de Loire, de Saint-Nazaire à Sancerre, avec une grande place accordée aux vins d’Anjou et aux vins de Saumur, notamment Les Fines Bulles de Saumur, un crémant exceptionnel. Le restaurant souhaite surprendre les convives par la qualité de ces vins. L’hôtel : un moment inoubliable L’hôtel 4 étoiles met à disposition 54 chambres, dont 6 chambres familiales. Les designers Patrick Jouin et Sanjit Manku ont travaillé sur les matières et les couleurs pour offrir une décoration épurée, dans le respect de ce lieu historique. Tout invite au recueillement pour un moment inoubliable. Les chambres sont toutes du même niveau de confort, bien insonorisées, avec le même mobilier, composé notamment d’une literie spécialement conçue par Biosense en latex, coton et lin bio. Seule leur surface est différente, puisqu’elle s’adapte à la configuration du lieu (de 17 à 24 m²). Deux salons sont accessibles avec bibliothèque et machine à café. Les hôtes pourront déguster leur petit déjeuner dans la salle capitulaire. Ils pourront également s’approprier l’ensemble du domaine pendant leur séjour. Quel ravissement de déambuler la nuit dans les bâtiments, dans les jardins, loin de la foule de la journée ! Une façon de s’imprégner véritablement de l’ambiance sereine et reposante, de l’environnement pour des souvenirs à jamais gravés. Évènementiel à l'Abbaye royale Pensez à l'Abbaye royale de Fontevraud pour organiser vos évènements. La configuration du site permet d’accueillir des réunions de 6 à 2 500 personnes, des séminaires. Les repas peuvent soit être pris au restaurant de l’Abbaye, soit être confectionnés par un traiteur extérieur. Sont également proposées des offres d’activités à réaliser au sein de l’Abbaye. Bien sûr, le lieu peut aussi être loué pour des mariages. ...

Restaurant Ze Bistro : ode aux saveurs du Sud

Ville culturelle au riche patrimoine viticole, Aix-en-Provence est devenue, au fil du temps, une terre de la haute gastronomie française. Chaleur et convivialité se ressentent dans le moindre recoin de la ville, qui laisse penser qu’elle est bénie des dieux. C’est dans cet environnement véhiculant l’art de vivre à la provençale et immortalisé à jamais dans les œuvres du célèbre peintre Cézanne qu’Olivier Scola a entamé son projet de vie : l’ouverture de son restaurant Ze Bistro. Manger simple mais bien… Ze Bistro fait dans la cuisine de marché, travaillant qu’avec des produits frais mais aussi du terroir. Chaque jour, le chef bénéficiant du titre de maître restaurateur propose une nouvelle carte, suivant les saisons et les envies de la clientèle. Rien n’est laissé au hasard chez Olivier Scola, tout est préparé pour que chaque personne s’y sente bien et reparte avec le sourire après un bon repas. Un menu parfait ? Un Foie gras de la mer, asperge verte et orange, suivi d’un pavé d’agneau au citron confit et au jus de géranium qui finit sur un sablé breton aux fraises des bois, un blanc-manger au basilic. La carte des vins, elle, ne demande qu’à être découverte, créée par Olivier Scola en personne, avec l’aide de restaurateurs et de vignerons. Le vin, une passion Outre la cuisine, le chef est aussi un grand amateur de vins. Une passion qu’il partage avec sa compagne, originaire d’Alsace qui d’ailleurs fait partie de ses régions viticoles préférées. Enfant du terroir, il a un respect profond pour les artisans producteurs avec qui il collabore et n’hésite pas à leur rendre un vibrant hommage sur son site. Homme au grand cœur, professionnel, charmant, Olivier Scola est avant tout un artiste dans l’âme, reconnu pour ses talents de cuisinier avec dix huit années passées derrière les fourneaux. ...

L’Hôtel Belle Vue : un établissement de caractère en Bretagne du Sud qui donne envie de s’y arrêter.

Si vous vous apprêtez à visiter la Bretagne du Sud, vous ne pouvez passer à côté de l’hôtel Belle Vue (ouvert du 1er mars au 31 octobre). Tenue depuis 3 générations par la même famille, cette maison centenaire (en 2019) sait faire le bonheur des voyageurs fatigués ou des touristes français et étrangers. L’hôtel Belle Vue : un établissement familial et presque centenaire L’histoire de l’hôtel Belle Vue commence en 1919. À cette époque, Mademoiselle Marie-Jeanne Le Meur achète une maison au Cap-Coz afin de la transformer en un espace de détente comprenant une épicerie, une buvette et un restaurant. Puis, avec le temps et quelques agrandissements, l’hôtel était né. Quelques années plus tard, en 1968, elle passe le flambeau à sa nièce, Yvonne Kernévez. Celle-ci réalise de nombreux aménagements afin d’améliorer le confort de cet hôtel de séjour. Finalement, en 1996, ce sont les enfants Kernévez (Anne et Yves) qui en deviennent les cogérants. De nombreux travaux de rénovation sont entrepris dès 2010/2011 afin de moderniser cet établissement. Cela lui permettra de devenir accessible aux personnes handicapées et de passer en catégorie 3 étoiles. L’hôtel Belle Vue : une étape obligatoire pour tous les amoureux de la Bretagne Tous les clients qui s’arrêtent dans cet hôtel sont unanimes : l’accueil y est chaleureux et les chambres agréables. En effet, d’après la cogérante, Anne Kernévez, l’équipe fait très attention à satisfaire les attentes de chaque visiteur qui vient pousser les portes d’entrée de l’établissement. La meilleure récompense pour elle : entendre ses clients dire qu’ils se sentent comme chez eux. D’ailleurs, cet hôtel à taille humaine fait son possible pour fournir des prestations et des services appréciés de tous les types de clientèle (familles, séniors, couples, homme d’affaires, etc.). En plus du parking et du joli jardin, le voyageur qui s’y arrête profite d’une terrasse aménagée avec chaises longues, d’un jacuzzi ainsi que d’un terrain de boule, de badminton et de mölkky. À cela, vous rajoutez une vue imprenable sur une plage de sable fin et l’Océan Atlantique. Ce n’est pas pour rien qu’il est référencé au Guide Michelin. À savoir : en plus de posséder un excellent rapport qualité/prix (d’après de nombreux avis clients), la maison offre l’hébergement pour les moins de 8 ans. Les familles avec jeunes enfants y sont donc bienvenues pour une étape ou un séjour plus long (avec possibilité de profiter du restaurant à la carte ou en forfait séjour). Hôtel Belle Vue : le lieu parfait pour découvrir la beauté de la Bretagne du Sud Localisé à Fouesnant, en plein cœur de la Riviera bretonne, le rayonnement de l’hôtel profite à tous les amoureux de ce petit coin de paradis. En effet, vous vous trouvez à une vingtaine de kilomètres de Quimper et de la ville close de Concarneau (classée au titre des monuments historiques). Vous n’êtes pas loin non plus de Locronan (qui possède les titres de « petite cité de caractère » et de « plus beau village de France »). Le voyageur averti l’aura compris : l’hôtel Belle Vue dispose d’une excellente position centrale pour visiter la Cornouaille de Bretagne. Pêle-mêle, voici quelques lieux à découvrir dans la région : l’impressionnant port La Forêt (port d’attache des navigateurs Jean Le Cam et Michel Desjoyeaux disposant d’un centre d’entrainement réputé), le magnifique port de pêche du Guilvinec (3e port français et 1er port de pêche artisanale), l’emblématique pointe du Raz (30 minutes de voiture environ) ou encore la commune de Pont Aven (appelée « la cité des peintres »). Sans oublier le GR34 qui passe au pied de l’hôtel. Ainsi, les randonneurs épuisés par leur longue journée de marche à pied aiment s’y arrêter pour se détendre (pour une nuit ou plus longtemps). À savoir : l’hôtel propose aussi une billetterie afin de vous...

Rendez-vous aux Remparts pour une expérience culinaire mémorable

À Bazas, tout est réuni pour passer de bons moments : sa magnifique cathédrale (classée au patrimoine mondial de l’UNESCO), sa viande de bœuf, ses fêtes, ses marchés animés… Et au milieu de tout cela, le long de la place et près de l’hôtel de ville, le restaurant Les Remparts accueille les touristes de passage ou les locaux. Un établissement aussi charmant que chaleureux, qui a su imposer son nom dans le milieu gastronomique au fil des années. Aujourd’hui, sa réputation n’est plus à faire et le chef Yannick Fauriès a plus d’un tour dans son sac pour préserver cette image et cette qualité d’accueil.   Une cuisine gourmande Dès l’entrée, la salle dégage une certaine douceur qui met les convives à l’aise. Le mobilier et la décoration mêlent avec goût le contemporain et l’ancien. La table a été soigneusement dressée et démontre ce côté chic de l’établissement. Mais le restaurant n’a pas fini de surprendre… De l’autre côté, la magnifique terrasse séduit et attire instinctivement toute l’attention. Durant les beaux jours, c’est l’endroit idéal pour déguster les plats succulents de Yannick Fauriès, tout en contemplant la beauté de Bazas. En effet, la terrasse offre une vue imprenable sur la vallée, le jardin du Sultan et la fameuse cathédrale Saint-Jean-Baptiste. Un spectacle pour le plaisir des yeux, qui finit par faire croire que ces paysages ont été conçus spécifiquement pour les convives du restaurant.  Une découverte culinaire pour continuer Côté cuisine, le restaurant Les Remparts est tout à fait à la hauteur de sa réputation. Au sommet de sa maturité, le chef Yannick Fauriès propose une cuisine proche du terroir mêlée à une touche contemporaine. Ainsi, avec ses plats à base de produits frais et d’herbes sauvages, il transporte ses convives vers la découverte de nouveaux horizons culinaires. Chaque plat témoigne de sa parfaite maitrise des saveurs, tout en mettant à l’honneur les produits (bio autant que possible).  Pour Yannick Fauriès, « un bon plat doit procurer des plaisirs gustatifs, ludiques et esthétiques ». Un principe qu’il suit à la lettre et qu’on peut vérifier avec ses réalisations telles que le velouté d’herbes au maki de Saint-Jacques truffé, la brandade de morue douce aux escargots et beurre vert sauvage, le quasi veau rôti au foin et légumes au jus, la truffe palombe rôtie…  La carte est renouvelée au gré des saisons. Certes, elle est courte mais propose des plats variés : deux entrées, deux plats et deux desserts. Le menu, quant à lui, change plus régulièrement et affiche toujours les produits phares du chef comme le bœuf de Bazas, les fraises ou encore les asperges.  Et des douceurs pour terminer Qui dit bonne table dit bon vin ! Et des vins, le restaurant en possède de très bonne qualité dans sa collection. En effet, sa carte représente les meilleurs vignobles de France avec pas moins de 70 références. Parmi les plus prisés, on retrouve le margaux (vin rouge du Château Giscours), le sauternes (vin blanc liquoreux du Château Guiraud) ou encore le pessac-léognan (vin blanc sec du Clos Marsalette). La carte est régulièrement mise à jour en fonction des découvertes et des coups de cœur du propriétaire. ...

Musée de Millau et des Grandes Causses :
pérenniser la mémoire des hommes des Grandes Causses

Connu depuis le XIXe siècle, le site archéologique de Graufesenque situé au confluent des rivières Le Tarn et La Dourbie suscite l’intérêt de nombreux archéologues. Parmi eux figure l’abbé Hermet, qui entreprend des fouilles plus scientifiques au début du XXIe siècle, suivi de Louis Balsan et Alain Vernhet dans les années 60-70. Un sanctuaire gaulois s’y trouvait jusqu’au début du Ier siècle après J.-C., puis des Romains s’y sont installés. Ces derniers produisaient de la céramique Sigillée rouge, brillante et étanche qui était utilisée dans tout l’Empire romain. Ils l’ont même exportée tout autour du bassin méditerranéen, jusqu’en Afghanistan, en Inde et en Mauritanie. L’importance de cette céramique est au centre de certains événements importants organisés sur le site de la Graufesenque, comme les journées de l’Antique. Un musée de territoire Le musée regroupe des richesses patrimoniales qui ont été découvertes sur le territoire de Millau et des Grandes Causses. Il abrite des collections paléontologiques, dont "le plus emblématique est le plésiosaure de 200 millions d’années" selon le conservateur. Ensuite, les collections de la préhistoire : une série d’habitats et d’éléments de vie d’hommes préhistoriques qui ont élu domicile dans des grottes autour de Millau. Les collections de céramiques gallo-romaines fouillées sur le site de Graufesenque qui constituent le fond des collections d’archéologie classique y sont aussi conservées. L’autre moitié du musée est consacrée à une présentation de la ganterie du XVIII au XXe siècle : 5 000 paires de gants, des modèles, des catalogues et des instruments de fabrication. En effet, la ville de Millau a été la capitale de la ganterie pendant près de 150 ans. ...

Georges Bruck : plus qu’une simple enseigne… un héritage, une tradition

Fondée en 1852, la Maison Georges Bruck est une unité de fabrication de foie gras de Strasbourg au sein de laquelle, toutes les opérations sont minutieusement orchestrées. Riche d’un savoir-faire artisanal particulier transmis de père en fils depuis plusieurs générations, elle conserve jalousement son titre de manufacture à caractère artisanal très éloigné du cadre industriel.   Pour la petite histoire Rachetée autour de 1870 par l’aïeul de l’actuel président du groupe, la Maison Georges Bruck représente bien plus qu’une simple enseigne. N’ayant jamais quitté le giron familial depuis son acquisition, l’entreprise constitue un riche héritage qui a vu se succéder plusieurs générations à la suite, sans interruption. Aujourd’hui dirigée par Vincent Heusch de la 5e génération, elle continue de produire exclusivement du foie gras strasbourgeois « dans le respect des valeurs familiales, à travers une marque réputée qui a gagné ses lettres de noblesse : le foie gras Bruck », comme l’a si bien souligné l’actuel propriétaire-dirigeant. Le dernier des Mohicans… La Maison Georges Bruck est la dernière et l’unique entreprise familiale de foie gras qui existe encore à Strasbourg et en Alsace. Elle est pour ainsi dire, la seule Maison du genre à avoir su rester indépendante, eu égard à tous les liens financiers agro-alimentaires ou autre groupe financier. En plus d’être la seule rescapée d’une soixantaine de maisons de foie gras ayant existé dans la ville de Strasbourg pendant la période d’entre-deux-guerres, elle est la seule à avoir survécu aux affres de l’occupation allemande et la seule aussi à avoir réussi à mener une activité pérenne depuis sa création à ce jour.   La fabrication artisanale à l’honneur L’entreprise s’apparente davantage à une grande cuisine où la majorité des opérations se fait manuellement par des cuisiniers de formation qui ont tous au minimum un CAP de pâtissier. Il faut effectivement savoir qu’à une époque, le foie gras de Strasbourg a été principalement élaboré par des professionnels de produits salés et en croûte, appelés pâtissiers… Fidèle à cette optique, la Maison est très centrée sur son cœur d’activité qui est la transformation du foie gras, et ce, en comparaison avec d’éventuels confrères qui se trouveraient également en Alsace ou dans le Sud-Ouest. Cette spécificité confère à l’enseigne, un savoir-faire manuel particulier allié à la chanson des gestes, à l’image de l’artisan qui maîtrise la surpiqûre dans le travail du cuir. ...

Restaurant La Casserole : une belle alliance du beau et du savoureux

Après une rénovation salutaire, le restaurant La Casserole s’est taillé une place en or dans le cœur des gourmets d’Alsace. En parfait maitre d’hôtel, Cédric Kuster est aux petits soins avec ses convives pendant que Jean Roc, son chef, officie aux fourneaux. L’authentique qui ravit les yeux À La Casserole, le ton beige se marie harmonieusement avec les articles décoratifs qui ornent l’endroit pour former un écrin authentique, raffiné, contemporain et lumineux. Sublimée par des objets uniques signés par de talentueux artistes, la salle du restaurant est une véritable œuvre d’art à elle toute seule. Les murs sont estampillés par des créations de la Londonienne Helen Amy Murray. On aperçoit aussi de beaux services en cristal Baccarat, de l’argenterie Saint Louis, des tissus de la manufacture italienne Rubelli… Bref, un décor de haute voltige qui forme une heureuse harmonie avec une cuisine aussi raffinée que savoureuse.    Une cuisine classique empreinte d’inspiration À vrai dire, Cédric Kuster ne se contente pas de recevoir dans un lieu à couper le souffle. De succulents mets qui en disent long sur les talents du chef Jean Roc sont également au rendez-vous dans son restaurant (avec le service qui va avec, bien sûr !). « On essaie de former une belle unité entre la cuisine que l’on propose et le décor », raconte Cédric. Les ingrédients, rythmés par les saisons et fournis en majeure partie par les producteurs locaux, sont retravaillés et combinés afin d’en faire des plats classiques teintés d’originalité. Plusieurs formules sont donc proposées : menus Déjeuner, Découverte, Bruits de casserole et Saveurs iodées (un menu qui prône uniquement les produits de la mer). En entrée, savourez le foie gras de canard de la ferme Schmidt avec son confit de chou rouge, panais mariné aux noisettes. Ensuite, le homard décliné en deux services témoigne de toute l’inventivité du chef. Le homard sera préparé de deux manières bien distinctes et servi en deux temps. Le croustillant au chocolat de Madagascar accompagné d’une glace au sésame noir garantira une fin gourmande à ce repas. Une cave à vins riche et variée En matière de vins, La Casserole dispose d’une carte digne des plus grands restaurants. Riche de 1 200 références, sa cave saura garantir un bel accord mets et vins. Grandes appellations et producteurs issus de toutes les régions de France sont à l’honneur : le Muscat Les 3 Demoiselles de Mélanie Pfister représente l’Alsace, le Chassagne-Montrachet « Grandes Ruchottes » de Bernard Moreau transporte en Bourgogne, les Châteaux L’Angelus 1983 pour la région bordelaise… ...

Grimaud : une destination idéale pour se ressourcer

La région de Grimaud est un petit écrin particulièrement agréable à découvrir hors saison, à l’écart de l’afflux estival. Bénéficiant d’un climat doux et ensoleillé, elle offre une douceur de vivre propice au ressourcement et à la tranquillité. De plus, elle propose de nombreuses activités pour le plaisir de chacun. Entre Massif des Maures et Méditerranée, cette région met en émoi tous vos sens, avec ses nombreuses nuances de couleurs, avec ses paysages plein de charme, avec ses parfums naturels, avec ses chants d’oiseaux, avec sa gastronomie toute provençale. Des découvertes patrimoniales et culturelles Par exemple le village médiéval de Grimaud enchantera les flâneurs et les curieux avec son château classé monument historique, son église, ses ruelles étroites, ses fontaines et son moulin à vent. Quant à la cité lacustre de Port-Grimaud devenue « Patrimoine du XXe siècle » depuis 2001, elle est un bel exemple d’un village méditerranéen entre terre et mer. Ces 2 sites peuvent être découverts en empruntant le petit train touristique. La région de Grimaud offre également d’agréables moments de partage avec ses concerts classiques, ses festivals et ses expositions de peintures ou de photographies. Si vous souhaitez découvrir Saint-Tropez, vous pourrez emprunter un bateau à partir de Port-Grimaud, Sainte-Maxime, Cogolin ou Saint-Raphaël pour rejoindre rapidement cette célèbre cité et sa citadelle. Un environnement naturel exceptionnel Cette région est idéale pour retrouver le goût de marcher en pleine nature. De nombreux sentiers de balades à faire à pied, à vélo ou à cheval vous emmèneront le long du littoral ou dans le Massif des Maures. Si vous préférez pratiquer un sport nautique, son littoral vous offre de nombreuses possibilités : yachting, dériveur, windsurf, kayak, jet ski, paddle, planche à voile, barefoot, optimiste, surf, catamaran, etc. Sans oublier les somptueuses plages qui invitent au farniente, comme la plage de Port-Grimaud, la plage du Gros-Pin, la plage de Guerrevieille ou la plage des Cigales. Vous pourrez également flâner dans l’un des 3 jardins insolites du Golfe : le jardin des Méditerranées (Le Rayol-Canadel) avec une belle évocation des flores du monde, le jardin botanique L’Hardy-Denonain (Gassin) avec des espèces spécifiques au climat méditerranéen ou le Parc botanique des Myrtes (Sainte-Maxime) avec une belle collection de palmiers. Aussi une terre de saveurs Vins, huiles d’olive, fruits, légumes, herbes de la garrigue, poissons de la Méditerranée, fromages de chèvre vous attendent sur les différents marchés de la région. Goûtez aux spécialités locales comme la bouillabaisse, la tapenade, l’anchoïade, la maximoise ou encore la tarte tropézienne. ...

Palais Bénédictine : l’extraordinaire histoire de Bénédictine

À Fécamp, à 2h15 de Paris et à 1h de Deauville se dresse un majestueux palais du XIXe siècle. Derrière sa façade à l’allure irrésistible, œuvre de l’architecte Camille Albert, se cachent des espaces consacrés à l’art, à l’Abbaye de Fécamp et à Bénédictine ainsi que la distillerie et les caves dans lesquelles repose la célèbre liqueur. Composée de 27 plantes et épices, sa recette fut redécouverte par Alexandre Le Grand. Ce grand visionnaire donnera à Bénédictine une renommée mondiale. Tout commence par un vieux grimoire… Entre le XVIe et le XVIIIe siècles, des moines ont créé d’innombrables élixirs en usant de techniques spécifiques de distillation et en faisant appel à leurs connaissances autour des épices et des plantes. Les moines bénédictins de l’Abbaye de Fécamp n’ont pas dérogé à cette tradition. Au sein de ce monastère, un des moines répondant au nom de Dom Bernardo Vincelli s’illustre par son haut savoir. Adepte de l’alchimie et de l’herboristerie, le personnage s’intéresse de très près aux méthodes de distillation et aux plantes, ce qui l’amène à créer un élixir de santé naturel en 1510. Ce précieux breuvage fut produit jusqu’en 1789. La Révolution française a tout ravagé sur son passage et a entraîné dans son sillage la perte d’un savoir-faire. Quant au manuscrit contenant la recette originale, il a été, par chance, préservé par un des derniers moines de l’Abbaye qui l’a confié au grand-père d’Alexandre Le Grand. En 1863, au détour de sa bibliothèque, ce négociant en vins de Fécamp retrouve ce vieux grimoire, qui retient toute son attention. Il y découvre l’intrigante recette qu’il veut à tout prix reconstituer, et y parvient après plus d’une année de travail. De là renaît l’élixir, devenu liqueur, et baptisé Bénédictine. On sait que celle-ci est composée de 27 plantes et épices dont la myrrhe, l’hysope, l’angélique, le safran, la noix de muscade ou encore le clou de girofle, mais la recette complète est tenue secrète. Pour contenir Bénédictine, pas question pour Alexandre Le Grand de choisir une quelconque bouteille. Il crée ainsi un flacon résolument élégant aux proportions et à l’allure si parfaite qu’il inspire de nombreux artistes pour ne citer que Paul Gauguin, Douanier Rousseau, Wesley Webber… Haut lieu de l’art et de l’industrie Mais créer une bouteille unique ne suffit pas. Alexandre Le Grand voit plus grand encore pour sa précieuse liqueur et décide de construire en son honneur un palais-usine. Il mène ce projet aux côtés de l’architecte Camille Albert, spécialiste du néo-gothique, et de nombreux artisants d’art, dont Marrou, génie des ferronneries et des faîtages. D’inspiration gothique et Renaissance, ce chef-d’œuvre architectural devient le lieu de production de Bénédictine ainsi qu’un musée. Il abrite effectivement une impressionante collection d'art formée par Alexandre Le Grand et composée d’un riche ensemble de peintures, ferronneries, ivoires, émaux sans oublier la bibliothèque de plus d’un millier d’ouvrages dont la plupart rédigés par des moines bénédictins. Bien entendu, une grande partie de ce sanctuaire sera consacrée à Bénédictine et à ses 500 ans d’histoire. Une salle retraçant son historique est à découvrir, exposant, entre autres, une partie des 1000 contrefaçons de Bénédictine retrouvées dans le monde. Car, oui, la liqueur attise toutes les convoitises par sa renommée mondiale et ses saveurs subtiles. Une salle des épices exposant les ingrédients composant Bénédictine est également ouverte au public. La visite continue dans la distillerie où sont entreposés les alambics en cuivre martelé dont certains datent de la fin du XIXe siècle et qui servent encore aujourd’hui à élaborer la liqueur. À savoir que le Palais en est le seul et unique lieu de production au monde. Apr&egr...

Château Bourdieu Fonbille, au plus proche de la nature

C’est un décor inédit qu’offre le domaine Château Bourdieu Fonbille, situé en plein cœur du terroir Monprimblanc, et proposant depuis près de 36 ans de belles cuvées qui lui font honneur. Juste à 41 kilomètres au sud-est de Bordeaux, ce domaine bénéficie d’une magnifique situation géographique, avec de merveilleuses vallées et collines jonchées de vignes. Château Bourdieu Fonbille, c’est l’histoire d’un couple passionné par la terre et le savoir-faire, l’histoire de Fabienne et Jean-Marie Galineau. Vignoble d’exception La propriété s’étend sur 25 hectares de cépages traditionnels dont Merlot, Cabernet Sauvignon et Cabernet franc pour les rouges, Sémillon et Sauvignon pour les blancs. L’élégante finesse résultant de l’harmonie de ces cépages avec le sol de type argilo-calcaire et boulbène de ce terroir, donne lieu à des appellations diverses, et à une diversité selon les appellations. Bordeaux, Côtes-de-Bordeaux, Loupiac et Crémant-de-Bordeaux sont quelques appellations phares du Château Bourdieu Fonbille. Ainsi, les vins du domaine apportent satisfaction de par leurs arômes diversifiés, suaves, riches, mais également surprenants. Ici, l’exposition des vignes est multiple, les vendanges s’effectuant de manière mécanique et manuelle, la culture traditionnelle et raisonnée tendant évidement vers le bio, étant donné que Jean-Marie Galineau, puriste et passionné, s’attèle à proposer des vins authentiques. L’âge des vignes varie entre 1 et 70 ans, des vignes qui s’épanouissent dans de très bonnes conditions, et se bercent sur un terrain vallonné en décrivant une magnifique fresque aux ondoyantes couleurs. Aux brumes matinales elles sont vaporeuses ou or clair lorsque la lumière du soleil miroite sur les versants ocres, et rouge orangé au coucher de soleil. Des vins à la structure franche Au Château Bourdieu Fonbille, les méthodes de travail conduisent à élaborer des vins rouges, blancs et rosés qui accompagnent parfaitement les repas et moments conviviaux. Le Côtes-de-Bordeaux rouge 2010,"cuvée tradition" à l' encépagement 50% de Merlot, 30% de Cabernet, et 20% de Cabernet Sauvignon séduit l'oeil par sa robe pourpre argentée et brillante, il dévoile des arômes d’épices dégageant de douces senteurs qui mènent le dégustateur vers des sous-bois, avec des ressenti des fraise et tabac . Frais et charnu en bouche, il saura sublimer les viandes, gratins et fromages. Ce délice plein de charme est récolté puis passé en macération pelliculaire à froid avec des remontages réguliers pendant toute la fermentation alcoolique . Tout ceci en vue de mieux faire ressortir l’expression des cépages. Loupiac Cuvée tradition, millésime 2003 comme le dernier qui va être mis en bouteille, le 2015, AOC liquoreux avec 90% de Sémillon et 10% de Muscadelle après récolte à la main par tris successifs évolue au chai avec uniquement la levure naturelle et l’élevage en barriques de chêne américain avec un brulage spécialement choisi pour les liquoreux du domaine. Avec une harmonie parfaite des saveurs exotiques, melon, et orange, cette cuvée enchante par ses arômes subtils qui changent suivant des années. Bordeaux blanc moelleux, millésime 2013, encépagement au Sémillon. Ce vin est élaboré par vinification classique après les vendanges en fermentation thermo régulée également . Cette bouteille dévoile un nez intense de miel et fruits blancs, sur une bouche grasse et suave, avec un merveilleux équilibre entre acidité et douceur. ...

Le Duc : délices gourmands à Nice

Tout au long de l’année, la Promenade des Anglais attire autant les locaux que les touristes en quête de moment de détente. Réputée pour son fameux Carnaval de Nice, la promenade est aussi connue pour abriter les hôtels à l’architecture Belle Epoque des plus remarquables de la Côte d’Azur. Parmi eux, le Westminster Hotel & Spa. Rénové entre 2015 et 2016, l’hôtel en a profité pour dévoiler son tout nouveau restaurant : Le Duc. L’élégance à la française Tout comme l’hôtel Westminster Hotel & Spa, le Duc séduit autant par son élégance que par son atmosphère apaisante. Jouant sur la tonalité mauve, la décoration est à la fois contemporaine et chaleureuse. Sur les murs, les photographies signées Valéry Trillaud sont parfaitement exposées et mises en scène par un éclairage subtilement nuancé. En un instant, on se croirait presque dans une galerie d’art. Mais le vrai spectacle est celui offert par le chef et son équipe. En effet, le restaurant propose une cuisine ouverte, laissant ainsi aux convives le privilège d’admirer la brigade en action. Et pour couronner le tout, la magnifique terrasse vitrée et surélevée offre une vue imprenable sur la Méditerranée et la baie des Anges. Selon le souhait des clients, la vitre peut être ouverte pour s’imprégner totalement de l’ambiance de la Promenade des Anglais. Une cuisine traditionnelle mais créative Côté cuisine, la qualité des plats est à la hauteur de la beauté des lieux. Raffinés et authentiques, ils sont avant tout savoureux, frais et soigneusement concoctés. Digne fils de la ville de Nice, Le Duc met à l’honneur la cuisine méditerranéenne et traditionnelle à base de légumes, de saveurs et de senteurs provençales. La carte fait ainsi la part belle aux grands classiques niçois subtilement revisités par le chef Dominique Sgro.  Au déjeuner, les convives pourront choisir entre deux formules. La première propose une entrée et un plat ou un plat et un dessert pour 19 €. La seconde offre un menu du jour à 25 € composé d’une entrée, d’un plat et d’un dessert qui changent selon l’ardoise du jour. Pour les deux menus, les amuse-bouches ainsi que le café sont offerts. Au diner, le Menu Niçois met à l’honneur les spécialités niçoises à 37 €. Pour accompagner le repas, l’établissement propose une sélection de vins où le terroir de la région est mis à l’honneur. La carte recèle quelques pépites comme le Bellet Château de Bellet Baron G millésime 2013 ou encore le vin rouge bordelais : l’AOP Saint-Emilion Château Berliquet Grand Cru classé millésime 2010. Le tout, servi par un personnel aussi avenant que motivé. A chaque jour sa spécialité niçoise Par ailleurs, Le Duc sort du lot avec son concept à chaque jour, sa spécialité niçoise. Selon la disponibilité du marché et des produits de saison, le chef met à l’honneur un plat typique de la région. Une occasion pour les convives de découvrir ce patrimoine culinaire niçois qui fascine et enivre en même temps. Le lundi, place au véritable Aïoli « Le Duc ». Le mardi, il travaille le cabillaud tandis qu’il surprend avec le succulent fricassé de lapin, le mercredi. Le jeudi, le délicieux Capon Niçois est servi. Le vendredi, le Rouget Grondin en portefeuille, sauce vierge émoustille les fins palais. Le samedi, une note de douceur apportée par l'Epaule d’Agneau Frottée à L’Ail et aux Herbes, Bayald attend les convives. Et pour achever en beauté la semaine, le chef sublime le Filet de Daurade à la plancha accompagné de conchiglioni farcis.  ...

Phenix Care : des masques de qualité médicale aux normes CE Type 2 certifiés ISO 9001 & 13485 pour professionnels et particuliers

Alors que la COVID-19 a déferlé sur le monde, certaines entreprises, telles que Phenix Care, se sont lancées dans l’importation de masques de protection de haute qualité. Des masques de qualité premium Pendant le récent confinement, le stock de masques était une véritable problématique sanitaire. Aujourd’hui, si les choses ont changé, c’est en partie grâce à de nombreuses entreprises qui ont décidé de prendre ce problème à bras le corps. Parmi celles-ci, nous trouvons Phenix Care. Créée par Leonard Taine pour répondre à la demande de tous les Français (professionnels comme particuliers), l’entreprise a commencé par importer des masques chinois. Mais en voyant que les usines n’étaient pas aux normes hygiéniques, que la majorité des masques dit de « qualité standard » étaient pour la plupart de qualité médiocre voire même douteuse (des élastiques qui se cassent facilement, des odeurs qui se dégagent parfois à l’ouverture des boîtes, des masques posés à même la boîte sans film protecteur, une filtration bactérienne incertaine...), elle est allée voir d’autres fabricants. Aujourd’hui, Phenix-Care se fournit auprès de sociétés taiwanaises et coréennes conformes aux dernières spécifications européennes CE EN 14683:2019 certifiées ISO. L’objectif : fournir à ses clients des masques de qualité irréprochable en termes d’hygiène avec une filtration et un confort optimal. Des masques médicaux avec une filtration égale ou supérieure à 99% Pour se différencier sur ce secteur en pleine évolution, Phenix Care a choisi de proposer des masques grand public et professionnels aussi performants qu’originaux, à la pointe des nouvelles technologies. Ses choix se sont portés sur des masques FFP2 bactéricides nano fibres offrant un confort, une respirabilité et une protection exceptionnelle de 24h sans altération de son efficacité, et sur la possibilité d’obtenir des masques de différentes couleurs. En complément du bleu original, on trouve, en prime, du rose et du violet pour adultes et enfants, voire des masques blancs, noirs, jaunes… A partir de novembre, et tout au long de l'année, des éditions limitées vont aussi être lancées pour donner la possibilité, à ceux qui le souhaitent, à travers de multiples textures et couleurs, tels que le vert, l'orange nemo, le bleu turquoise et bien d’autres, d’allier la protection à l’élégance et l’utile à l’agréable. Phenix Care propose également d’autres produits sanitaires sélectionnées avec la même exigence de qualité, tels que thermomètre frontal, gants, oxymètre, étui bactéricide pouvant stériliser un masque... À noter : l’entreprise profite de réassorts constants (tous les 15 jours) et offre à ses clients une livraison rapide par DHL Express en 24h ou 48h. ...

Doctocare

Avec Doctocare, l’opérateur de santé du groupe Doctegestio, la philosophie est simple : proposer un accompagnement des patients tout au long de leur vie. Doctocare : historique Créé en 2000 par Bernard Bensaid, le groupe Doctegestio a souhaité se spécialiser dans trois activités : la santé, le médico-social (Amapa) et l’hôtellerie (Popinns). Ici, en l’occurrence, nous nous intéressons tout particulièrement à la santé avec Doctocare. L’un des objectifs de Doctocare : coordonner le médico-social et le sanitaire afin de faciliter la vie des patients et assurer une véritable qualité de prise en charge. Ainsi l’opérateur santé s’engage pour la qualité et la sécurité des soins, sur le décloisonnement hôpital / médecine de ville ainsi que sur les déserts médicaux et l’inégalité d’accès aux soins. Aujourd’hui, Doctocare possède plus de 64 établissements à travers la France (principalement en Ile-de-France, en Normandie, et en région PACA). De plus, Doctocare s’engage à travailler avec les instances politiques et sociales pour proposer des services innovants, ainsi qu’une bonne gestion des ressources des collectivités favorisant la sauvegarde des emplois et une plus grande maîtrise des comptes de l’assurance maladie. La bienveillance est une autre de ses valeurs aussi bien pour les collaborateurs que pour les patients. Les activités de Doctocare Les activités de Doctocare sont multiples et complémentaires avec celles des autres activités du Groupe. Voici ce que propose Doctocare : - 9 cliniques dont 5 hébergeant un centre d’imagerie médicale ; - 5 centres de santé ; - 1 centre d’hospitalisation à domicile ; - 4 centres auditifs avec audioprothésistes ; - 19 centres dentaires ; - 14 centres optiques et 4 centres optiques et audios ; - 1 centre thermal ; - 2 centres support. Concernant l’offre hospitalière des établissements Doctocare, les équipes en charge font leur maximum pour répondre aux attentes des patients dans le cas d’hospitalisations courtes ou plus longues. Cela afin d’optimiser le parcours patient et de proposer une prise en charge adaptée, aussi bien pour les maladies chroniques qu’aigües. Doctocare n’est pas encore présent dans toutes les régions françaises. Pour autant, l’opérateur de santé prévoit de se développer sur l’ensemble du territoire. De plus, le Groupe joue sur la complémentarité de ses offres et de ses autres acteurs pour proposer un excellent maillage territorial. Un exemple pour illustrer cela : l’implantation d’un cabinet dentaire au sein d’un Ehpad, permettant aux résidents de l’établissement médico-social d’améliorer leur hygiène buccale. ...

Restaurant Le Lumière : un rendez-vous avec l'audace et la créativité

Sous une valse de notes créatives et gastronomiques, le restaurant Le Lumière jouit d’un cadre romantique et hautement contemporain mettant à l’honneur le top des produits dans un décor d’une surprenante modernité. D’emblée, l’établissement accroche les regards avec sa superbe verrière ouverte sur la cour grandement ensoleillée de l’Hôtel Scribe qui, en soirée, baigne dans une belle lumière colorée. L’intérieur révèle un style inspiré des appartements haussmanniens avec de belles boiseries aux murs, des canapés de velours rouge et des images noir et blanc des premiers films des frères Lumière. Une cuisine dans l’air du temps La formule « Lumière du Jour » met en avant un menu déjeuner à 45 €, composé d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert, suivis d’un café. Faites vos choix entre une Terrine de canard à la chartreuse, Espuma de navet boule d’or, châtaignes grillées et compotée de figues ou une entrée du jour selon les produits du marché. Allez plus loin dans la découverte avec du Dos de cabillaud cuit sur la peau, daïkon au raifort, betterave laquée, riz d’Akita et jus de coriandre ou le plat du jour selon les produits du marché. Terminez ensuite sur la note joyeuse du dessert à la parisienne à choisir sur le chariot du Chef Pâtissier.     110 références de vins Le Lumière est également gratifié d’une carte de vins de collection comme le Coteaux du Layon du Domaine Cousin Leduc 1961. Les convives se laisseront guider par les suggestions du Chef Sébastien Crison garantissant les meilleurs accords. Parmi les évènements récurrents du restaurant, on pourra noter les Sofitel Wine Days, qui ont lieu de fin septembre à fin octobre, et qui célèbrent le vin et l’art de vivre à la française… Des occasions de découvertes et d’échanges enrichissants autour des vins de nos régions. ...

Château de Lagarde : le meilleur des vins
en AOC Côtes-de-Provence

Bio et écologique. Le vignoble du Château de Lagarde est le seul en France à dégager un bilan énergétique positif. Le domaine dévoile en effet un splendide paysage forestier de 600 ha. En son cœur siège un parc photovoltaïque de 20 ha, qui alimente 5 000 foyers. L’excellence comme mot d’ordre Le terroir, quant à lui, se prête idéalement à la culture de 5 cépages : syrah, cabernet, grenache, rolle et pinot noir. Cet encépagement varié permet de produire différents types de vins. Côté vinification, la maison opte pour le pressurage direct pour les blancs et les rosés, et la réception gravitaire pour les rouges. Ainsi naissent d’excellentes cuvées, parmi lesquelles figurent les vins de haut de gamme « Prestige », produits phares de la maison. Depuis 2005, le Château de Lagarde a accumulé les récompenses lors de nombreux concours. ...

Concours international de Lyon : rendez-vous incontournable des sens et du goût

C’est tout naturellement à Lyon, la ville gastronomique par excellence, que ce concours est organisé annuellement. « Situé au cœur de plusieurs régions viticoles, Lyon devient ainsi le cœur d’un événement fédérant tous les producteurs de vins et de spiritueux, étrangers ou français », nous explique Victor Gomez, directeur de l’entreprise organisatrice du concours, Armonia. Découvertes gourmandes et voyage gustatif sont donc au rendez-vous à l’occasion de cet événement célébrant la richesse et la diversité du vin, de la bière et des spiritueux des quatre coins du monde. « Placer la ville de Lyon au cœur du vin » C’est avec ses propos que Victor Gomez justifie la création de ce concours étant cette année à sa huitième édition. La réputation de cette célèbre compétition internationale est le fruit d’une riche collaboration avec des partenaires de renom à l’instar de Vitisphere, de Global Wine and Spirits, de l’Association des Sommeliers lyonnais, des Toques blanches lyonnaises et de la prestigieuse École du vin. Ce dernier, partenaire exclusif de l’édition 2017, apporte ainsi toute son expertise au service des dégustations, des conférences-débats et de la sélection des vins médaillés. Ces partenaires qualitatifs viennent ainsi forger la notoriété de ce « concours très engagé dans la gastronomie », selon les explications de Victor. En effet, cet événement se veut être l’ambassadeur d’une ville où le goût et les sens sont au cœur de la dynamique urbaine. Les membres du jury, qui, à l’issu des dégustations, récompensent les meilleurs des spiritueux, de la bière et du vin, sont composés de professionnels du vin (sommeliers, œnologues...), de chefs, d’acheteurs, et d’amateurs expérimentés. Élire le meilleur vin du monde « Le Concours international de Lyon est un des rares concours en France acceptant les vins internationaux », rappelle Victor, assurant que tous les vins du monde y sont représentés. La qualité reste toutefois le maître-mot de la sélection de ce concours qui, cette année, a été présidé par Gaëtan Bouvier, Meilleur sommelier de France. En effet, après la réception, chaque produit subit un contrôle rigoureux ponctué de vérifications documentaires poussées et parfois de tests en laboratoires avant de pouvoir intégrer les tables de dégustation. Exclusivement dédié au vin depuis ses débuts, cet événement intègre, en 2015, la bière et une multitude de spiritueux dans la compétition. À l’occasion de la huitième édition du 25 mars 2017, les bières auront été jugées dans 54 catégories différentes, et les spiritueux dans plus de 65 familles incluant les vodkas, les rhums, les liqueurs et bien d’autres encore. Plus de 800 dégustateurs, composés de professionnels et d’amateurs éclairés du monde entier ont ainsi goûté à près de 6 300 vins, spiritueux et bières afin d’élire les fleurons de chaque catégorie, récompensés ultérieurement d’une médaille. Les producteurs et les consommateurs trouveront ainsi une valeur sûre dans le caractère riche et éclectique de ce concours à l’issu duquel, « un jury cette fois-ci composé des meilleurs ouvriers de France, des meilleurs sommeliers de France et autres iront redéguster les meilleurs vins de la compétition pour désigner le meilleur vin du monde », conclut Victor. ...

La gastronomie au Meurice,
un hommage sublime à l'art de vivre français 

L’hôtel a fait appel à Philippe Starck pour revisiter ses espaces imprégnés de surréalisme, ainsi qu’à Alain Ducasse, dont la cuisine nourrit l’âme des lieux depuis 2013. Restaurant le Meurice – Alain Ducasse : à la découverte de la « cuisine de l’essentiel » Le Restaurant le Meurice Alain Ducasse vous invite à découvrir la « cuisine de l’essentiel », orchestrée avec talent par le chef exécutif Jocelyn Herland. Une cuisine contemporaine, qui reste fidèle à la vérité du produit, et dont l’excellence, l’élégance et l’expérience sont les maîtres mots. Une fois passé la porte du restaurant, vous êtes immédiatement plongé dans un univers inspiré du Salon de la Paix du Château de Versailles. Récemment revisitée par Philippe Starck, la décoration sublime le classicisme des lustres en cristal, des fresques et des miroirs anciens par la modernité des fauteuils Knoll – réédition du célèbre modèle Tulip d’Eero Saarinen – revêtus de cuir blanc, de la sculpture originale en verre de Murano d’Aristide Najean, des chariots de service et des paravents en bronze et inox. Les grandes fenêtres laissent les regards se perdre rue de Rivoli et vers le jardin des Tuileries. Cet hiver, le chef Jocelyn Herland vous propose une superbe Courge butternut, châtaignes et truffes noires, aux couleurs chatoyantes, un Homard breton, salsifis braisés, hibiscus. Vous pourrez succomber à l’un des merveilleux desserts du chef pâtissier Cédric Grolet, comme le Vacherin contemporain aux agrumes, qui a remporté le prix du meilleur dessert aux Lebey de la gastronomie 2016. Le Dalí, la brasserie chic du Meurice Au restaurant Le Dalí, dans un décor chic et décontracté, avec des clins d’œil à l’univers surréaliste de l’illustre peintre, Alain Ducasse et Jocelyn Herland font dialoguer la grande tradition des brasseries parisiennes et les cuisines de la Méditerranée. Un voyage qui débute par la Catalogne, avec des spécialités comme les Patatas bravas ou le Riz nerone, calamar et potiron, et qui se poursuit en Italie avec le Culatello de porc noir de Massimo Spigaroli, tout droit venu d’Émilie-Romagne, ou encore la Caponata de légumes. Les « Intemporels », comme la Sole à la grenobloise, épinards sautés ; la Salade Dalí, composée de cœur d’artichaut, d’œuf de caille et de piquillos ; le burger Pop Art ; ou, pour les déjeuners sur le pouce, le délicieux Club sandwich au homard, ne sont pas oubliés. Le Tea-Time Au Dalí, tous les après-midi, passez à l’heure anglaise autour d’un délicieux Tea-Time composé des traditionnels scones et finger sandwiches, et des pâtisseries signature du talentueux chef Cédric Grolet, comme les incontournables Fruits sculptés ou le Paris-Brest Noisette, surprenant de légèreté, de douceur et d’intensité. Le bar 228 Le chef barman William Oliveri vous attend au 228 pour vous préparer d’excellents cocktails, comme le Bellini. Un lieu de rendez-vous incontournable, cosy et intimiste, dont l’atmosphère évoque celle des clubs anglais. ...

Le Château de Valmer et la Pinède Plage, deux ambiances, une adresse, à La Croix-Valmer, au cœur du golfe de Saint-Tropez

Depuis trois générations, la famille Montloin-Rocchietta a patiemment bâti deux havres de paix, dans un environnement unique et préservé. À l’origine, en 1949, on trouvait le Château de Valmer. Au cœur d’un vignoble entre terre et mer, cette demeure bourgeoise s’est peu à peu transformée en pension de famille, puis en hôtel. Aujourd’hui classé 5 étoiles, le Château de Valmer attire une clientèle aisée et discrète.  À deux pas de là, au bout d’une majestueuse allée de palmiers, la Pinède Plage se construit peu à peu... Au début, ce n’était que deux simples bungalows de plage qui, au fil du temps, sont devenus, eux aussi, un hôtel 4 étoiles. Le raffinement de la Provence Ainsi, aujourd’hui, le Château de Valmer propose 41 chambres dans une situation unique au cœur d’une nature généreuse. Ici, tout évoque le raffinement de la Provence. Les chambres sont agrémentées de meubles authentiques, avec tout le confort d’un hôtel de luxe moderne. La Pinède Plage, située en bord de mer et face aux iles d’Or, dispose de 32 chambres fraîchement rénovées, confortables, à l’esprit méditerranéen et ouvertes sur la mer. Ses hôtes ont un accès immédiat à la plage privée de sable et à la piscine extérieure, au court de tennis… Des équipements dont peuvent bien sûr profiter les résidents du Château de Valmer. Farniente et gourmandise Chacun des établissements est une invitation au farniente… et à la gourmandise, avec deux restaurants. Ouverte de mai à octobre, La Palmeraie, sous la direction de son chef Jimmy Coutel, vient de recevoir une récompense très convoitée du Gault & Millau : le titre de grand de demain, avec une note de 15/20 et trois toques pour la qualité de la cuisine, inscrite dans la tradition méditerranéenne et provençale. Le service s’effectue dans le jardin andalou ou sur la terrasse ouverte sur le parc.  Côté Pinède, le restaurant donne sur la plage, face aux iles d’Or. Le chef, Vincent Colbeau-Justin, y travaille des poissons et des produits frais locaux pour les repas, tandis que, l’après-midi, chacun peut y trouver des snacks, les pieds dans l’eau.  Les deux restaurants privilégient les produits du terroir et bio, notamment ceux qui sont cultivés dans le potager bio du domaine ainsi que le vin rosé bio du Château de Valmer. Pas de doute, luxe et élégance, mais aussi authenticité caractérisent bien le Château de Valmer et la Pinède Plage ! ...

Une fabrique d’images en live, une grande expo sur la BD et des logos !

Du 19 avril au 27 mai 2017, La Fabrique, résidence de créateur, permettra  à l’illustratrice Sophie Dang Vu de s’installer dans la collection permanente du Musée et d’y faire vivre une technique issue de l’imprimerie. N’hésitez pas à la rencontrer pour assister à la fascinante naissance d’une image ! L’exposition temporaire Histoire(s) de Logo(s) (novembre à janvier 2018) s’intéressera quant à elle à la toute récente identité visuelle du Musée, prétexte pour dévoiler aux visiteurs les secrets de la création d’un logo, qui renvoie autant au patrimoine des symboles qu’à la signalétique contemporaine. Le neuvième art à l'honneur Du 14 avril au 20 septembre 2017, le Musée passera en mode BD.  Il y a encore tant à dire et à expliquer du neuvième art ! L’exposition Bande dessinée, l’art invisible, conçue en partenariat avec Lyon BD Festival,  en est le point d’orgue. Les visiteurs entreront dans les coulisses de la BD, de sa fabrication, de ses spécificités, de ses langages, de ses métiers. Le domaine de la BD recèle une foule de surprises, et d’abord l’antériorité de cet art qui entre désormais dans les musées. Car il y a de la BD dans les images du Mirouer de la rédemption, premier livre illustré imprimé (1478), de même que dans les gravures de William Hogarth sur l'hypocrisie de la société londonienne ou dans les images d’Epinal. Et bien sûr, le Musée possède la fameuse Histoire de Monsieur Crépin de Rodolphe Töpffer (1837), considérée comme l’ancêtre de la BD. Mais bien d’autres grands artistes se sont approchés tout près de la bande dessinée (dont Gustave Doré), et on les découvrira au fil de l’exposition. ...

WinWinks : l’excellence et l’expertise hôtelière accessible à tous

WinWinks valorise l’excellence hôtelière en commercialisant les services haut de gamme comme de véritables expériences auprès d’une cible locale : dégustation de vins, cours de cuisine, dîner gastronomique étoilé, brunch, mixologie, fitness et spa, locations de salles de réunion… Chacun peut y trouver son bonheur et réserver une expérience unique dans l’un des plus grands hôtels. La plateforme mise sur une démarche de proximité à travers un catalogue exhaustif d’activités et d’offres exclusives packagées en transformant les écrins luxueux en véritable lieux de vie. Les utilisateurs peuvent choisir une expérience en fonction du lieu, de l’ambiance ou encore selon leur centre d’intérêts, grâce à une navigation fluide et intuitive. Des activités pour tous les goûts « On a aujourd’hui une vingtaine de prestigieux hôtels partenaires référencés sur notre site », fait savoir le fondateur de WinWinks. Parmi la sélection figurent le Lancaster Paris sur les Champs-Élysées, le Terrass Hôtel à Montmarte, le Novotel Paris Bercy, le Paris Marriott Ambassador, le COQ Hôtel et le fameux Buddha Bar dans le VIIIeme. Chacun des établissements met à disposition leurs services annexes dans le but d’attirer la clientèle extérieure en devenant une référence pour des sorties tendances et exclusives. Mais l’enseigne va encore plus loin et devance ses concurrents grâce à la création d’événements sur-mesure et des offres packagées au sein des hôtels pour répondre aux attentes des utilisateurs. « Nous élaborons nous-mêmes des offres pour notre plate-forme en considérant le lieu géographique de l’établissement, son identité et sa capacité d’accueil, et nous assurons l’organisation et la logistique de A à Z », nous détaille Gilles BIKO RO BIEKO. Et le concept séduit, comme en témoigne le succès du Yogafterwork au Novotel Paris Centre Bercy ou encore la Raclette Party entre amis pour le COQ Hôtel, des événements phares signés WinWinks. Du gagnant-gagnant La plate-forme est une aubaine pour les établissements hôteliers qui veulent gagner en visibilité, conquérir de nouveaux clients potentiels et dynamiser leurs chiffres d’affaires. « Elle apporte de la plus-value aux activités déjà proposées par les hôtels mais qui ont été peu exploitées et ouvre aussi un univers de nouvelles possibilités », explique notre interlocuteur. D’un autre côté, les particuliers en quête d’un moment de bonheur à eux n’ont plus besoin de chercher bien loin pour satisfaire leurs envies de luxe et d’évasion.   ...