Concevoir des Balanced Scorecard (tableaux de bords prospectifs), étudier les signes de qualité du vin auprès des consommateurs, analyser l’impact du Big Data sur les comportements des acteurs économiques... S’il existe un laboratoire particulièrement impliqué dans la vie des entreprises, c’est bien Montpellier Recherche en Management (MRM). Né en 2011 de la fusion des quatre équipes qui structuraient la recherche en gestion à Montpellier, le laboratoire Montpellier Recherche en Management regroupe aujourd’hui les chercheurs des universités de Montpellier et de Perpignan ainsi que du groupe Montpellier Business School. Fort de ses 140 enseignants-chercheurs permanents et de ses 90 doctorants, il représente l’un des plus grands laboratoires français de recherche en management. Innovation et management responsable « MRM est organisé en 8 groupes de recherche qui correspondent aux différents champs qui structurent les sciences de gestion (comptabilité, contrôle et audit, entrepreneuriat, finance, gestion des ressources humaines, systèmes d’information, stratégie, altermanagement). Nos recherches sont orientées vers deux axes thématiques transversaux », indique Gérald Naro, directeur. « L’innovation (technologique, organisationnelle, managériale ou sociale), d’une part ; le management responsable, d’autre part (développement durable, responsabilité sociale des organisations). » Deux champs d’application sectoriels, fruits d’une longue tradition de coopération entre les chercheurs de MRM avec d’autres laboratoires de recherche montpelliérains, et deux secteurs d’activité historiques majeurs en Languedoc-Roussillon complètent cette structuration transversale : l’agroalimentaire et la santé. Mais comment MRM intervient-il concrètement dans une entreprise ? Le plus simplement du monde… en s’y intégrant le plus souvent. Dans le cadre de la recherche-action, les chercheurs travaillent au sein des organisations pour développer des innovations managériales ou bien réalisent des études et apportent une expertise à la demande des décideurs économiques et politiques. De la théorie à la pratique, il n’y a donc qu’un pas. Les chercheurs interviennent ainsi au Commissariat à l’Énergie Atomique et aux Énergies Alternatives de Marcoule, au Centre Hospitalier Universitaire de Montpellier, auprès de l’Ordre des experts comptables, de grands cabinets d’audit ou de conseil et collaborent étroitement avec un riche tissu de PME et de start-ups. Expertise scientifique et prospective Quel est l’avantage pour une entreprise de faire appel à MRM ? Le premier est de bénéficier d’une expertise scientifique à la fois distanciée et rigoureuse : « Nos chercheurs mobilisent des méthodes éprouvées qui s’appuient autant sur des fondamentaux et des savoirs académiques que sur des résultats accumulés par des années de recherche et d’observations sur le terrain. Ils apportent surtout un regard extérieur sur l’entreprise, avec une approche scientifique et pragmatique qui leur permet d’être force de propositions et d’imaginer des futurs alternatifs. Nous avons également un rôle de think tank, lorsque nous faisons de la prospective ou réfléchissons avec les acteurs économiques sur de grands enjeux économiques et sociétaux. En même temps, de grandes idées et innovations naissent souvent au cœur même de l’entreprise, à nous d’être présents et d’apporter notre pierre à l’édifice. » Ces entreprises peuvent en outre bénéficier d’un coup de pouce : via le contrat CIFRE, elles peuvent financer la thèse d’un doctorant et, en ne finançant qu’un demi-salaire, bénéficier ainsi de l’apport d’un chercheur durant 3 ans qui saura l’accompagner dans ses processus d’innovation. ...
L’AFSEP est une association qui prend à cœur de rassembler les patients et leurs familles, les informer, les aider et même de les représenter auprès des pouvoirs publics. L’association en quelques lignes Créée il y a de cela plus de 50 ans, l’AFSEP est la plus vieille association de patients en France, toutes pathologies confondues. Elle est reconnue d’utilité publique depuis 1967. Sa spécificité par rapport à d’autres associations, c’est qu’elle est constituée uniquement de patients. « L’association est pour les patients et elle est faite par les patients » souligne un membre de l’équipe AFSEP. Cette particularité place véritablement l’association au cœur du terrain constituant ainsi un relais privilégié pour tous les acteurs concernés (pouvoirs publics, laboratoires…) dans la lutte contre la sclérose en plaques. Les actions et missions de l’association La sclérose en plaque (SEP) est une maladie neurodégénérative qui touche en majorité des femmes. La moyenne d’âge des personnes atteintes se situe à 40 ans. Incurable, la SEP entraîne des conséquences dévastatrices chez l’individu telles que l’apparition d’une déficience motrice (incapacité à marcher) ou la perte de la mémoire. « Cette maladie est épouvantable, on ne peut plus rien faire après, vous êtes complètement désocialisé » explique un responsable. Face à cette situation, l’une des missions de l’association est d’accompagner les personnes atteintes et leurs proches au quotidien. Afin de les aider dans leur démarche, l’AFSEP propose aux malades un service juridique et un service social. Pour faire en sorte que les patients puissent mieux vivre avec la maladie, l’association travaille également avec des ateliers de groupe de parole ou des ateliers d’équithérapie (soin psychique basé sur la présence d'un cheval comme médiateur thérapeutique). Outre l’accompagnement des malades, l’association s’est aussi engagée sur la sensibilisation et la formation sur la SEP. Cette dernière est assurée par le pôle formation de l’AFSEP et s’adresse aux acteurs intervenants auprès des malades. Enfin, l’association mène des actions concrètes pour soutenir la recherche sur la maladie. Label « Grande cause nationale » 2018 comme objectif ! Face à la forte progression de la sclérose en plaques dans l’hexagone (100 000 malades et 4000 nouveaux cas diagnostiqués chaque année), l’association s’étonne aujourd’hui de l’absence cruelle de communication sur la SEP. Les responsables soulignent en effet : « puisqu’on n’en parle pas dans le débat public, les gens porteurs de la maladie seront incapables de diagnostiquer le problème ». L’enjeu est de taille et il s’avère vital d’informer et sensibiliser le maximum de personnes afin d’éviter une prise en charge tardive de la maladie. D’autant plus que la SEP est très difficile à diagnostiquer car elle se manifeste à travers une multitude de symptômes. Pour faire entendre sa voix, l’association a adressé une lettre à l’attention du chef du gouvernement dans laquelle elle propose que la SEP fasse l’objet du label « Grande cause nationale » 2018. Ceci dans le but d’attribuer une plus grande visibilité et générer une forte mobilisation. « Avec l’aide du gouvernement, on réduira le temps de diagnostic de la maladie »indique l’équipe avec un brin d’optimisme. ...
Fraîcheur et authenticité ne sont pas de vains mots, quand on parle de la cuisine servie à La Cueillette®. Le chef, audacieux et créatif, concocte des menus colorés et goûteux – pour le plaisir – et d’une rare délicatesse, pour la santé. Car bien manger est ici un art cultivé par le maître des lieux, Jean Garnier, médecin et nutritionniste de son état. Un cadre fastueux pour le plaisir des yeux Le château de Cîteaux qui abrite La Cueillette® imprime à cette dernière les fastes de son époque d’origine. Les décors muraux, rehaussés de dorures exceptionnelles, tout comme le grand lustre, ont été reconstitués à l’identique de la salle à manger qui recevait les convives dans le château d’apparat datant de 1860. Chaque dîner dans les murs de ce restaurant de caractère est alors comme une incursion dans une époque, où le raffinement était une vertu essentielle. Dans une ambiance claire, la transparence des couverts dressés semble prédire la légèreté élégante qui enveloppe les plats à venir. Une cuisine simplement créative, pour saisir le meilleur de la nature Les cartes de La Cueillette® sont imaginées par le chef Sébastien Dorier rompu aux arts de la création culinaire sur la base de produits locaux. Le pléthorique n’est pas de mise. On privilégie l’essentiel, le bon goût de chez soi, en sélectionnant ses ingrédients chez les producteurs aux alentours au rythme des saisons. Les plats seront également créés selon les arrivages du marché. Finalement, les convives se retrouvent avec des plats simples et sains – tel ce filet de volaille fermière de Bourgogne – à apprécier les saveurs authentiques d’antan. Un bon cru sélectionné des domaines alentour finit de célébrer ce que le terroir a de plus vrai. ...
Ici, point de vitrine ni d’objet figé. Une fois les portes franchies, manèges historiques, cabinet de curiosités, gondoles vénitiennes ou montgolfière surréaliste prennent vie le temps d’une visite hors du temps. Redonner vie au patrimoine Baptisé Les Pavillons de Bercy depuis son installation dans les anciens chais Lheureux en 1996, on le connait aussi sous le nom de Musée des Arts Forains. Il est l’unique lieu en France qui présente des objets issus du patrimoine du spectacle et des arts forains de la Belle Époque. Construit sur un modèle économique indépendant, il est labellisé « Entreprise du patrimoine vivant » en 2009. Sa collection est celle de son maitre de cérémonie, l’ancien comédien et antiquaire, Jean-Paul Favand. Depuis 1972, l’homme réunit ces objets chargés d'Histoire et les restaure. Ce musée, entièrement scénographié, conserve un patrimoine tout en lui redonnant vie. Le site dispose d’ailleurs d’un atelier de restauration pour mener à bien sa mission. Le manège de vélocipèdes a ainsi demandé plus de 20 000 heures de travail et 18 corps de métiers différents pour revoir le jour. « Le rire et la fête n’avaient pas de musée, alors qu’il y a de nombreux musées qui montrent la guerre. J’ai créé un monde de rêve qui ne serait rien sans le public qui le fait vivre », avance Jean-Paul Favand. L’histoire d’un art désormais reconnu se lie à celle d’un homme qui a transformé ses recherches en musée vivant. Un monde réanimé par des visites participatives Au XIXe siècle, la fête foraine était un fait social. On y découvrait des nouveautés techniques telle que l’électricité, toutes les formes de spectacle vivant ou encore l’actualité. C’était un véritable média. Un monde artistique et artisanal dans lequel le musée plonge aujourd’hui ses visiteurs pour réveiller leurs âmes d’enfant. Chacun est invité à « jouer le jeu ». Comme dans un théâtre, le musée et ses acteurs s’animent. Impossible de laisser le visiteur déambuler seul. Ce sont les guides comédiens qui activent certains manèges centenaires et invitent le public à découvrir les différents espaces. Les Pavillons de Bercy se visitent sur réservation tout au long de l’année, plus particulièrement les mercredis, les weekends et durant les vacances scolaires. Pour que la magie opère auprès de tous les publics, il est aussi possible de s’y aventurer librement pendant les Journées du patrimoine ou lors du Festival du merveilleux, organisé chaque année pour les fêtes de fin d’année. Des espaces pensés pour l'évènementiel Cet univers onirique est aussi le théâtre d’évènements de prestige. Tous les espaces de ce musée spectacle peuvent se privatiser: les Salon Vénitiens, le Théâtre du Merveilleux, le Magic Mirror, le Musée des Arts Forains et sa rue privée en plein Paris nommée Théâtre de Verdure. Ces espaces de réception, tous de plain-pied et modulables, facilitent l’organisation de tout type d’évènements, du séminaire au dîner de gala. Les organisateurs professionnels et les particuliers en quête d'authenticité ont ainsi la possibilité de donner une dimension féérique, hors du temps, à leurs évènements. Un lieu rare, insolite et joyeux à découvrir comme on entre dans un conte. ...
Trouvera-t-on quelques futures pépites dans le PEPITE de l’Université d’Orléans ? C’est tout ce que l’on peut souhaiter à cet acteur de l’enseignement supérieur en Région Centre, qui est l’une des pierres angulaires du PEPITE Centre. PEPITE ? Ces pôles étudiants pour l’innovation, le transfert et l’entrepreneuriat, lancés en 2014 par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, doivent permettre aux étudiants de mener à bien leur projet de création d’entreprise en parallèle de leurs études. « Nous voulons ouvrir le champ des possibles aux jeunes issus de l’enseignement supérieur, les faire contribuer à l’innovation et à l’émergence des activités de demain nécessaires au redressement du pays », déclarait Geneviève Fioraso, alors ministre en octobre 2013 lors de la présentation du dispositif. « Ce que nous voulons, c’est susciter l’enthousiasme d’une nouvelle génération de créateurs. » Depuis ce lancement, 29 pôles ont été créés, dont l’un en Région Centre-Val de Loire.Des relations avec les entreprises renforcéesPour le premier exercice effectif, le dispositif recense 24 étudiants à l’Université d’Orléans, qui a créé pour l’occasion un poste de chargé de mission à l’entrepreneuriat. « Une activité totalement nouvelle », confie Isabelle Gillaizeau, chargée de mission « pour les relations étudiants-entreprises » avec Gaëlle Worgeld, qui occupe ce poste nouvellement créé. Ce dispositif renforce les relations de l’université avec les entreprises : formations professionnalisantes, modules de gestion d’entreprises intégrés dans les maquettes et actions de sensibilisation telles que le concours régional pédagogique de création d’entreprise « Créa Campus ».Le statut d’étudiant-entrepreneur permet à l’étudiant de remplacer ses stages obligatoires par son projet de création. En plus de l’accompagnement des projets et de la mise à disposition d’espaces de travail collaboratifs, PEPITE offre un partenariat avec des couveuses et la possibilité de mettre en place des Contrats d’Appui au Projet d’Entreprise (CAPE). Notons le soutien de la couveuse du Loiret PES45 et de Bourges Solen Angels avec 8 CAPE signés en moins d’un an. « Le diplôme d’étudiant-entrepreneur ouvre, de plus, l’accès à des formations spécifiques dédiées au projet avec un accompagnement sur mesure de professionnels mais également d’enseignants et de chercheurs du campus. » L’obtention du statut d’étudiant-entrepreneur est soumise à la validation du comité d’engagement du Pôle Entrepreneuriat Régional Centre, constitué de professionnels et devant lequel l’étudiant doit défendre son projet de création.Un potentiel entrepreneurialL’Université d’Orléans se félicite d’ores et déjà de la variété des profils représentés : « informaticiens, géologues, étudiants en lettres, DUT GEA, doctorants, etc. ». L’université, nouveau lieu pour créer des entreprises, elle qui a longtemps été critiquée pour son prétendu immobilisme vis-à-vis du monde socio-économique ? Aujourd’hui, elle s’engage en tant qu’acteur du développement territorial et joue pleinement son rôle pour l’aide au développement d’une dynamique d’innovation, en offrant l’accès aux connaissances ainsi qu’à la culture entrepreneuriale.« Le dispositif ne remet pas en cause la formation initiale mais vient, au contraire, la compléter en favorisant l’émergence du potentiel entrepreneurial », reprennent Isabelle Gillaizeau et Gaëlle Worgeld. Grâce au programme PEPITE, les étudiants-entrepreneurs peuvent s’investir dans leur entreprise, profiter du réseau d’acteurs privés ou publics et tester leurs idées sans attendre la fin de leurs études par l’obtention d’un diplôme.La Fondation de l’Université ...
Fondée en 1996, l’association des Coteaux Sud d’Épernay a pour vocation de faire connaître et promouvoir son territoire géographique réunissant 11 communes et 13 villages. Elle est l’organisatrice des plus grands événements touristiques et œnotouristiques dans la région, ciblant quelque 6 500 habitants et mobilisant plus d’une centaine de bénévoles autochtones. Cette année encore, toute l’équipe renouvelle ses deux rendez-vous emblématiques en promettant encore plus de découvertes, de gourmandises et de plaisirs ! L’escapade pétillante et gourmande en Champagne Cette manifestation labélisée Vignobles et Découverte par Atout France en est déjà à sa 14e édition. Son succès est tel que, depuis quelques années, elle s’est vue ramenée à l’échelle européenne, en comptant des visiteurs venus de Belgique, d’Angleterre, de Suisse ou encore d’Allemagne. Le concept : accueillir et faire manger les milliers de participants au cœur des vignes, c’est une aventure qui peut paraître un peu folle. Tout au long d’un itinéraire fléché de sept kilomètres environ, les promeneurs, équipés d’un kit, vont traverser un parcours pédestre ponctué de six escales gastronomiques. Un menu spécial est servi en six plats et chaque halte offre une dégustation des vins de Champagne les plus raffinés, le tout rythmé par une animation musicale. Cette balade est d’autant plus séduisante car elle fait découvrir un panorama exceptionnel des paysages en coteaux et des champagnes aux assemblages différents. Les visiteurs peuvent alors rencontrer et échanger directement avec les vignerons, et découvrir leur passion de la vigne et du vin. À la fin du parcours, ils trouveront un orchestre qui animera et fera danser les plus courageux et pourquoi ne pas opter pour une dernière expérience gourmande auprès des food trucks. Véhiculer l’art de vivre à la française, les valeurs de l’hospitalité, du bénévolat et de la convivialité fait partie intégrante de cet événement. Rendez-vous donc le 24 juin 2018 dans le village de SAINT-MARTIN D’ABLOIS. Participation sur réservation uniquement. La Champagne en fête : destination Moussy La seconde édition de La Champagne en fête sera organisée dans neuf villages différents : Chavot-Courcourt, Chouilly, Cramant, Cumières, Épernay, Le Mesnil-sur-Oger, Moussy, Mutigny et Oger. L’événement d’ouverture aura lieu le 29 juin 2018 dans l’avenue de Champagne à Épernay, avant de se déployer sur toutes les communes participantes pour les deux prochains jours. Le village de Moussy, plus particulièrement, a conçu tout un programme « découverte » à partager en famille ou entre amis. Le champagne bien évidemment, mais aussi la gastronomie et la musique seront mises en avant à travers les ateliers de dégustation, les divers spectacles gratuits, les balades thématiques et les expositions culturelles. En parallèle, concerts, expériences gustatives et animations pour enfants vont enrichir les festivités pour satisfaire petits et grands. Week-end de détente assuré. ...
Situé dans l’appellation « Bas-Armagnac », ce domaine est la plus anciennepropriété familiale produisant cette noble eau-de-vie. Il traverse les siècles depuis 1711 sans jamais prendre une ride, et cela, grâce à la passion et au travail acharné d’hommes et de femmes. Gilles de Boisséson, 11ème génération, est particulièrement fier de son terroir qu’il qualifie « d’exceptionnel ». Au sein du domaine s’étendant sur 400 ha d’un seul tenant, les vignes (surface de 24 hectares) et un parc verdoyant agrémenté de chênes se côtoient en harmonie. Une production atypique Sur ces terres, le baco, la folle blanche et le colombard se révèlent dans leur plus belle expression. Les eaux-de-vie obtenues à partir de ces cépages et des seuls vins du domaine, sont très fines, peu agressives, longues en bouche et très parfumées. Vieillies uniquement en fûts de chêne de 400 litres, elles sont absolument pures et ne font l’objet d’aucune manipulation ni adjonction de produits extérieurs (colorants, sucres etc.). « Nous avons la particularitéd’adopter une politique de vendange, de vinification, de distillation, et de vieillissement par cépage. De quoi nous assurer une très bonne connaissance de l’évolution du cépage sur 20, 30 ans… », révèle notre interlocuteur. Une dégustation du « 12 ans d’âge » ou du « 1999 » est une opportunité de s’offrir ce voyage dans le temps. ...
Allergènes, produits chimiques, conservateurs, mauvaises graisses… Scruter l’étiquette des produits alimentaires devient monnaie courante chez bon nombre de consommateurs. Grâce à son panel de produits sains et bio triés sur le volet, la boutique en ligne Kazidomi se donne pour mission de faciliter leur quotidien mais aussi celui des personnes suivant un régime alimentaire strict. Mais avec elle, produits de qualité riment désormais avec petits prix. Une start-up belge qui monte Alors étudiante en gestion à la Solvay Brussels School, Emna Everard nourrissait déjà l’ambition de se lancer dans la conception de magasins « 100 % healthy ». Auparavant sujette à des intolérances alimentaires, cette fille de médecin spécialisé en nutrition mesure l’importance d’avoir une alimentation saine. Avec Alain, passionné d’entrepreneuriat et ayant achevé ses études à l’université MIT de Boston, Emna crée Kazidomi en avril 2016. Très vite, le projet des deux jeunes Belges séduit et trouve de nombreux contributeurs, comme le réseau Entreprendre et Solvay Entrepreneurs. En usant du crowdfunding, la start-up améliore ses infrastructures et étend son offre. Tirer profit des avantages d’acheter en ligne Kazidomi fait figure de pionnier sur Internet à travers son offre de plus de 1 000 références en produits sains et bio. Mieux qu’une simple sélection, ses articles passent par la validation de médecins et d’experts en nutrition avant d’être proposés aux internautes. Avec son système de filtrage des résultats, le consommateur souhaitant privilégier ou éliminer tel ou tel ingrédient trouvera en une seconde les produits qu’il cherche réellement. Le site met également en avant les points spécifiques de chaque référence (sans gluten, sans lactose, sans huile de palme, etc.), ce qui est utile et pratique au niveau des restrictions alimentaires. Outre l'alimentation, des catégories « Cosmétiques », « Bébé », « Maison », « Livre » ou encore « Régime spécifique » sont à découvrir sur le site. Économiser sur de bons produits Que ce soit par choix ou par nécessité, opter pour une nutrition de qualité implique généralement un coût élevé. Kadizomi met un frein à cette idée commune en permettant aux consommateurs d’avoir accès aux produits sains et bio sans qu’ils aient à payer le prix fort. En souscrivant à l’abonnement annuel de 100 €, la facture est considérablement revue à la baisse, car le consommateur réalise une économie allant de 20 à 50 % sur le montant initial de ses achats en ligne. Cette offre a d’ailleurs permis à la start-up de faire décoller son chiffre d’affaires. ...
Situé au centre du Pays de Cocagne, le restaurant Cuq en Terrasses vous propose un séjour gastronomique inédit dans un cadre rustique et chic. Le restaurant vous séduira par sa vue panoramique ainsi que son cadre bucolique. Optant pour le vintage, le décor apporte une touche sensible et esthétique à toute la salle. A l’extérieur, la grande véranda donne sur la plaine du Lauragais. « Menu unique, endroit unique » Adeptes du Slow Food, Philippe Gallice et Andonis Vassalos optent pour la formule du menu unique. Chaque soir (sauf le mercredi), ils proposent à leurs convives un menu composé d’amuses bouches, d’une entrée, d’un plat, d’un assortiment de fromages et de dessert. En s’inspirant de ses grands voyages et des plats classiques, le chef Andonis doit se surpasser tous les jours pour trouver le menu parfait. Créatif, il n’hésite pas à explorer les différentes saveurs et textures pour transporter ses convives entre les frontières du goût. Pour le chef, la réussite de ses recettes repose surtout sur la qualité des produits qu’il utilise. Ainsi, il n’use que de produits frais issus de son potager ou du marché local. De même pour les vins que l’établissement collectionne depuis ses dix-sept années d’existence et qui sont exclusivement issus des meilleurs vignobles de la région. Des produits soigneusement sélectionnés donc, pour offrir des plats d’une grande qualité. Autant de rigueur et d’exigence récemment récompensées par Le Guide Michelin qui a attribué à l’établissement le titre de « l’assiette Michelin ». Outre sa cuisine, le restaurant sort du lot par sa qualité d’accueil. En effet, Philippe se charge lui-même de recevoir ses clients. Il ne se contente pas de présenter le menu mais prend le temps d’expliquer la composition de chaque plat. Il parvient ainsi à transformer cette étape qui parait futile en un vrai moment d’échange. Entre un bon plat et une ambiance conviviale, tout est ici réuni pour que le diner devienne une expérience inoubliable. Un cadre idyllique en Midi-Pyrénées Cuq en Terrasses est une ancienne maison de maitre du 18ème siècle entièrement rénovée. Actuellement, elle propose cinq chambres d’hôtes dont le caractère vous charmera. Chaque chambre reflète le souci du détail des propriétaires : décoration raffinée et personnalisée dans le ton de l’établissement, une vue imprenable sur la campagne et un service aux petits soins. Pour ceux qui veulent plus d’intimité et d’autonomie, l’établissement propose deux appartements équipés. Elégants et raffinés, tout est fait pour que ces appartements répondent parfaitement aux attentes des voyageurs les plus exigeants. Et pour les passionnés de la nature, sachez que la demeure possède un magnifique jardin de 12.000m2 qui expose près de 300 espèces de plantes rares et d’arbustes. D’ailleurs, plusieurs fruits n’attendent qu’à être cueillis par les gourmands explorateurs. Cuq en Terrasses jouit aussi de la richesse et de la grande diversité du patrimoine de la région Midi-Pyrénées. Les voyageurs sont conviés à découvrir les paysages variés de la région qui regorgent de plusieurs trésors naturels et architecturaux avec les nombreux sites préhistoriques ainsi que les joyaux culturels et gastronomiques. Etant placé en plein centre de la région, Cuq en Terrasses donne l’accès à plusieurs sites touristiques dans un rayon de 100km dont le château de Loubens (9km), le château de Magrin (12km), le lac de Saint Ferreol (19km), le parcours de golf de 18 trous FIAC à 22 km, la petite ville artisanale de Durfort à 24km, le cité médiévale de Carcassonne à 63 km pour ne citer que ces exemples. ...
L’ADEME estime que la France jette plus de 10 millions de tonnes de déchets alimentaires chaque année. Dans le but de réduire ce chiffre, les initiatives ne manquent pas : sensibilisation intensive, adoption d'une loi obligeant la grande distribution à distribuer les invendus, création de 5000 nouvelles associations, etc... « Dans ce combat, nous avons fait le choix de positionner la lutte contre le gaspillage alimentaire sous l’angle de la valorisation, telle une reconnaissance des engagements des commerçants », fait savoir Franck Nganiet, CEO et cofondateur Care Eat. Il explique comment l’innovation de cette startup va contribuer à la nouvelle ère du zéro déchet et de l’économie solidaire. Un label, un engagement, une reconnaissance « Le label n’est que l’aboutissement des initiatives déjà prises par les commerçants. Nous avons matérialisé dans un cadre méthodologique les leviers d’actions pertinents adaptés à la typologie des commerces de bouche », explique notre interlocuteur. Élaboré avec une centaine de commerces indépendants, ce cahier des charges définit 14 catégories d’évaluation et 112 points de contrôle. L’idée est de proposer aux établissements partenaires les outils leur permettant de s’auto-évaluer, d’exécuter, mais aussi, de mesurer l’impact de leur pratique anti-gaspillage, le tout en temps réel. Le deuxième volet de l’action Care eat consiste à valoriser ces initiatives. « Il s’agit de permettre aux consommateurs d’identifier les commerces engagés dans son territoire », déclare l’équipe Care Eat. Étiquette apposée sur la devanture, espace Web et mobile, référencement dans le premier annuaire des professionnels engagés dans la lutte contre le gaspillage alimentaire ou encore supports de communication font partie des outils à disposition des adhérents. Enfin, la startup offre gratuitement sa plateforme numérique (tableau de bord, fiches d’actions, cadre méthodologique numérisé, etc.) permettant aux commerces de se rapprocher du zéro déchet. Impact économique, environnemental et social Le fait que la solution apporte une rentabilité économique durable peut déjà suffire comme argument. En effet, en agissant sur la chaine production-achat-vente, la gestion des stocks, le recyclage, la démarche qualité et plus encore, l’accompagnement Care Eat propose un modèle d’organisation de pratique éco-responsable sur la question du gaspillage alimentaire. « Au-delà de cette dimension financière, le label garantit l’engagement zéro déchet de nos clients. C’est une visibilité certaine auprès des consommateurs, et surtout des "consom’acteurs" (20% des consommateurs), dans sa zone géographique », souligne Franck Nganiet. Autrement dit, le concept fédère toute une communauté autour des valeurs écoresponsables pour réduire l’empreinte du gaspillage alimentaire en France et, ainsi, dans le monde. Comme axe de développement, Care Eat envisage de lancer bientôt une application mobile qui va permettre la collecte de produits de qualités, à un prix symbolique, aux personnes à revenu modeste. Cette démarche s’inscrit pleinement dans l’engagement social de la startup qui vise à agir au-delà de ses ambitions économiques et environnementaux. Source : https://www.novethic.fr/lexique/detail/consom-action.html ...
La cave coopérative Fonjoya est issue d’une fusion entre la cave Les vins de Saint-Saturnin qui existe depuis 1950 et celle de Saint-Félix-Saint-Jean. Elle compte à ce jour près de 130 coopérateurs qui partagent des valeurs communes et s’établit au total sur un vignoble de 800 hectares produisant chaque année 5 millions de bouteilles. En hommage à l’occitan Le nom de la coopérative témoigne d’ores et déjà de ce profond attachement voué à l’occitan. Fonjoya qui signifie littéralement source de joie marque son empreinte en prônant une identité intimement liée à la culture locale. Elle a notamment créé sa gamme de vins en s’inspirant des œuvres de Max Rouquette, un écrivain et poète considéré comme une figure de proue de l’occitanisme. Parmi les cuvées qui font honneur au travail de cet ancien natif du village de Saint-Saturnin-de-Lucian figurent « Les Bergers des étoiles » en AOP Languedoc Saint-Saturnin. Médaillé d’or au Concours des Vins de la Vallée de l’Hérault, ce vin rouge est issu d’un assemblage de grenache, de syrah et de mourvèdre avant de passer par un élevage en fûts de chêne dans leur chai souterrain. Il séduit pour ses arômes de petits fruits noirs, d’épices, de moka et de cuir ainsi que pour sa rondeur et sa longueur en bouche. Des cuvées de plaisir, gardiennes de leur terroir Installée entre les causses du Larzac et la plaine de l’Hérault, Fonjoya a la chance de profiter d’une mosaïque de terroirs; ruffes, schistes, sables, grès, argilo-calcaires et galets roulés qui lui permet de travailler une grande diversité d’appellations à savoir AOP Terrasses du Larzac, AOP Languedoc Saint-Saturnin, AOP Languedoc et IGP Pays D’Hérault Mont Baudile et IGP Saint-Guilhem-le-Désert. De ces terres bénies des dieux découlent des vins expressifs à tous les niveaux qui immortalisent la qualité des raisins. En AOP Languedoc Saint-Saturnin, les cuvées «Vins d'une Nuit» et «Les Oiseaux de l’Aube » font notamment la fierté de la cave. Un vin qui se décline en rouge, en rosé et en blanc. Fonjoya possède aussi quelques pépites en AOP Terrasses du Larzac à l’instar des cuvées « Tèrra Autentica », « Tèrra Libra » et « Tèrra Rebella ». ...
Anthony et Clemence Toullec, Récoltants Manipulants, vous invitent à déguster leur champagne de terroir cousu-main. Reprise des vignes familiales et création de la marque Toullec La Maison Toullec, c’est avant tout une histoire de vignerons qui se transmet de génération en génération. Aujourd’hui en charge d’un domaine de 5 hectares (en cours de certification « Exploitation de Haute Valeur Environnementale ») et cultivant 3 cépages champenois (Pinot Noir, Meunier et Chardonnay), Anthony et Clémence Toullec produisent 7000 bouteilles par an. Leur objectif : proposer un champagne de gastronomie capable de faire ressortir le terroir tout en préservant l’environnement. C’est pour cette raison que le travail est réalisé essentiellement à la main. ...
Dans un cadre verdoyant au milieu des vergers de Nouvoitou, le Manoir du petit corcé met à disposition cinq salles privatisables pour les repas de groupes, mariages, anniversaires, baptêmes ou pour différentes réceptions professionnelles. Un cadre d’exception, une cuisine créative et raffinée, un service dévoué, tous les ingrédients sont là pour faire de ces évènements des moments uniques. Le plus beau jour de votre vie Pourquoi se contenter d’un bon mariage lorsqu’on peut exiger l’excellence ? Le Manoir du petit Corcé organise une cérémonie à la hauteur de vos rêves dans ce cadre aux allures d’Éden. La formule clé en main offre un libre choix sur toutes les prestations: l’aménagement et la décoration de la salle, la logistique, le menu et le buffet ou encore l’animation. Toute l’équipe s’active pour accompagner les tourtereaux depuis les préparations jusqu’au grand jour, et même après. Le Chef concocte pour les nouveaux mariés une Porchetta à leur retour de mariage, c’est un cochon entier désossé cuit au four à pain. En parlant de cuisine, le menu mariage est élaboré annuellement. Le Chef Nicolas Gicquel et son équipe proposent des plats traditionnels teintés d’une touche de modernité. Les amoureux auront l’embarras du choix entre le « Foie gras mi-cuit, gelée de rhubarbe & pain d’épices maison accompagné de sa verrine mousse de foie gras et tartare de pommes granny Smith », le « Tartare de Saint Jacques, daurade et mangues basilic » et six autres entrées. Pour les plats, le choix s’effectue entre le « Magret de canard, sauce au poivre Gratin de pommes de terre-patates douces et mélimélo de légumes » et cinq autres suggestions. Pour couronner le tout, le « Fraisier à la pistache et éclats de framboises », le « Cheese cake au citron & son coulis de fruits rouges » ou la Charlotte aux trois chocolats » sauront émerveiller les papilles. Des assiettes de fromages comme le « Munster pané, chapelure de noisettes & cumin » et la « Mousse de fromage frais, sablé parmesan & compotée de figues ou coings » sont également disponibles, sans oublier les vins d’accompagnement. Entre professionnels, on se comprend Conscient des enjeux des réunions et réceptions professionnelles, le personnel de l’établissement se dévoue corps et âme à la réussite des évènements d’entreprise. Les cinq salles indépendantes peuvent accueillir des séminaires et conférences, des repas d’entreprises ou des showrooms. L’endroit est privilégié par sa position un peu isolée dans les vergers qui favorise la tranquillité. Rien de tel pour rapprocher les collaborateurs. Le Manoir du petit Corcé travaille en réseau avec des prestataires pour fournir une prestation complète aux entreprises. La maison présente trois formules de séminaires qui incluent la location de la salle, une petite bouteille d’eau pour chaque participant, un petit déjeuner et un déjeuner. Un écran et un paper board sont mis à la disposition des entreprises dans chaque salle. En cas de besoin, il est également possible d’obtenir un vidéoprojecteur, une table de mixage et des enceintes. Dans la formule « carte blanche du chef », les participants doivent choisir entre viande et poisson puis le Chef s’occupe du reste. Pour la « formule n°1 », plusieurs propositions au choix sont offertes. Enfin, le Cocktail du Manoir complète la « formule n°2 ». Un cadre irréprochable L’environnement extérieur du Manoir du petit Corcé est régulièrement entretenu par un paysagiste pour que les invités soient accueillis dans les meilleures conditions possibles, à n’importe quel moment. Pour une cérémonie féerique, différentes salles de réception sont disponibles avec des espaces privés adaptés. Le décor est moderne mais reste assez neutre pour donner plus de possibilités aux mariés sur la décoration qu’ils veulent. La salle Armorique peut accueillir jusqu’à 250 personnes, elle s’accompagne ...
Depuis plus de vingt ans, La Croisette fait la fierté de La Baule. Située en plein centre-ville, la brasserie accueille ses convives dans un cadre raffiné mais décontracté. Dès l’entrée, la grande terrasse, exposée plein sud, reflète le décor moderne triomphant de l’établissement. A l’intérieur, la salle est sublimée par les couleurs chaudes à l’image du dynamisme de son équipe. Dans un décor inspiré des années 50, les fauteuils et la bibliothèque style marin ont été remplacés par de somptueux meubles et objets de décoration signés Charles Eames, Eero Saarinen et Baccarat. De plus, les murs sont devenus une véritable galerie d’art exposant les œuvres de quelques artistes renommés dont Philippe Pasqua et Gérard Rancinan. Au menu : goût et fraicheur ! Depuis 1995, La Croisette est surtout connue pour ses succulents carpaccios. Au fil des années, Brigitte et Georges Kersulec, les propriétaires, ont su rénover et redynamiser cette spécialité italienne pour en faire leur signature. Aujourd’hui, c’est avec fierté qu’ils proposent dix-sept carpaccios dont les différentes saveurs sauront forcément séduire les gourmands et gourmets. A côté, la créativité culinaire du chef Marc Dufosse ne cesse de s’exprimer. En effet, celui-ci arrive à transporter ses convives dans un voyage infini vers les plus belles destinations du monde. Comme entrée en matière, rendez-vous en Outre-Manche avec son fish and chips sauce tartare puis en Italie à travers les linguines au gorgonzola fondu et jambon de parme ou dans les fast-food américains avec la croisette’s burger au camembert rôti. Bien entendu, il n’en oublie pas moins les grands classiques qu’il revisite à la perfection pour en faire des plats inoubliables. Tout ceci dans le respect des cuissons et utilisant exclusivement des produits locaux. Pour les adeptes des saveurs marines, aucune déception n’est à craindre. La Croisette propose différents types de plats à base de fruits de mer et de poissons (bigorneaux, crevettes, tourteau, langoustine, huîtres, palourdes…) à déguster soit comme entrée, soit comme plat principal ou tout simplement comme apéritif. Soucieux de la qualité de ses plats, la brasserie n’offre que des produits frais, livrés quotidiennement par les pêcheurs locaux. Par ailleurs, vous serez étonnés de la diversité, de la qualité et du prix abordable de la large gamme de vins que propose l’établissement. Un lieu incontournable de La Baule Il est important de souligner qu’autour de l’établissement, la ville brille de mille feux. Etant classée « station de tourisme », elle ne laisse aucune place à l’ennui. Pour les sportifs, la baie offre la possibilité de réaliser plusieurs activités nautiques : catamarans, planches à voile, kayaks et le paddle board. Pour ceux qui cherchent plutôt à se détendre et à profiter du soleil, la plage est à 50 mn de la brasserie. Enfin, pour les shoppers addicts qui veulent rapporter des souvenirs, la station balnéaire regorge de boutiques et d’un marché permanent. ...
Situé en Occitanie, au nord-ouest de la Lozère, Le Pré de l’Hiver accueille les touristes et les vacanciers venus de tous horizons pour se ressourcer. Installé au cœur de la nature, il offre aux visiteurs de précieux moments de détente et de découverte, un environnement serein, bien loin des tumultes des villes. Outre l’hébergement, le Pré de l’Hiver est aussi le point de départ de plusieurs randonnées et excursions à Margeride, au Malzieu-Ville et leurs alentours. Le Pré de l’Hiver : un gîte pour les amoureux de la nature Si vous êtes à la recherche de l’endroit idéal pour vous reposer en Lozère, le Pré de l’Hiver vous ouvre ses portes. Ce gîte de caractère est soigneusement aménagé pour accueillir les familles et les couples désirant retrouver la sérénité de la campagne. Le Pré de l’Hiver se trouve à environ 1h30 de voiture à partir de Clermont-Ferrand. Le gîte met à la disposition des visiteurs 4 chambres d’hôtes spacieuses dont la décoration reflète bien les thèmes qu’elles portent. Si vous séjournez dans la chambre « Romantique », vous serez tout de suite enveloppé dans la douce ambiance créée naturellement par les matériaux choisis pour la décorer. Parquet en chêne, draps en lin couleur lavande qui sentent le parfum des fleurs et d’autres petits détails s’ajoutent à une jolie vue sur les cascades et aux chants des oiseaux. Les 3 autres chambres appelées respectivement Campagne, Voyage, Faune et Flore sont toutes aussi expressives et invitent à la détente. Le gîte est ouvert toute l’année et peut accueillir jusqu’à 11 personnes. Mises à part ses chambres, le Pré de l’Hiver dispose aussi d’un grand salon où tous les convives peuvent se réunir autour du poêle. On y trouve également une pièce de vie avec un salon ainsi que d’un coin pour préparer les randonnées. Pour profiter du soleil et du paysage naturel de la région, le gîte possède également deux grandes terrasses. De quoi se relaxer tout en jouissant de la vue sur une nature verdoyante tout autour. Attraits touristiques et activités dans la région Le Pré de l’Hiver se trouve parmi les meilleurs hébergements du Malzieu-Ville. Au cœur de la vallée de la Truyère, Malzieu-Ville détient le label des plus beaux villages de France. Cette cité médiévale date du XIIIè siècle. Rénovée, elle a su garder son authenticité et invite les touristes à découvrir les anciens remparts, les tours et les portes fortifiées du temps où elle était la place forte du Gévaudan. On notera la Tour de l’Horloge qui était un ancien donjon avant de devenir une prison pendant la guerre de religion. Elle offre un panorama de 360° sur Le Malzieu et ses alentours. La Tour de Bodon qui sépare les remparts Est et sud de la ville offre aussi une vue panoramique sur toute la ville. Elle abrite aujourd’hui l’Office de Tourisme de la région et une salle d’exposition du chemin de ronde. Le site médiéval d’Apcher et le viaduc du Garabit méritent également une visite. Outre les lieux historiques, le massif de la Margeride accueille les sentiers de la Bête et de la Résistance pour les passionnés d’aventures. Les grands espaces sauvages de la région abritent par ailleurs les loups du Gévaudan et la Réserve des bisons d’Europe. Les cours d’eau et les lacs, quant à eux, invitent les familles à pratiquer de nombreuses activités divertissantes. Le plus difficile sera de faire le choix entre le farniente, la pêche, le canoë, le paddle ou encore le catamaran. Ne manquez pas de visiter le Mont-Mouchet et la Cascade du Déroc, le Pré de l’Hiver peut organiser pour vous ces randonnées et ces balades en voiture ou en VTT à partir du gîte. ...
Le coaching par l’intervention d’une tierce personne neutre permet à une association de rester sereine et d’assurer sa pérennité. Mais comment et pourquoi ? Commençons par la phase préalable. Avant de s’associer, il est important de prendre le soin de détecter les compatibilités de personnalité entre son ou ses associés et soi. Je rencontre régulièrement des personnes qui me disent avoir choisi un associé « au feeling », « à l’intuition », « à l’instinct ». Cela fait généralement référence à la dimension émotionnelle qu’il est important de prendre en compte. Cependant, il existe des outils de personnalité utilisés par des coachs qualifiés qui permettent de confirmer ou d’infirmer un ressenti positif et ainsi de sécuriser un choix. En outre, ces outils peuvent être utilisés pour clarifier et partager les atouts et les zones de vigilance de chacun, les complémentarités et ainsi répartir avec pertinence, les rôles et les responsabilités. Interrogez des dirigeants associés sereins et vous noterez qu’ils savent souvent reconnaître et apprécier aisément les qualités de leurs associés. Une fois l’euphorie des débuts passés, avec le développement de l’entreprise et le stress qui peut s’ensuivre, il est fréquent d’observer un manque de temps des associés pour faire le point. Il n’est pas question de point opérationnel ici, mais de bilan du chemin parcouru, des réussites et des difficultés rencontrées. L’animation par un coach de ces temps de « pause » (de type séminaire) permet à tous les associés de se placer sur un même plan (quelque soit son titre, sa part dans le capital…) et de mener une réflexion approfondie, avec méthode. Ce temps de pause peut aussi être pris à l’occasion d’une problématique importante à résoudre, d’une innovation à trouver ou d’un changement à conduire. Effets collatéraux positifs : on se remobilise ensemble, on resserre les liens et on dénoue les tensions. Revenons sur la richesse de pouvoir s’associer à des personnes différentes de soi et donc complémentaires. Cela ouvre tellement de champs des possibles…. Et en même temps, quelle difficulté parfois à se comprendre, à travailler ensemble !!! Or, une Direction d’associés qui fonctionne bien est une Direction dans laquelle les associés communiquent. Le coaching est un moyen efficace de développer son intelligence relationnelle. Entendez par intelligence relationnelle : l’écoute, la conscience de soi et de l’autre, l’empathie, la communication adaptée à son associé (à fortiori s’il est différent de soi). Enfin, en cas de conflit, le coach formé à la médiation donnera la parole à chaque associé, dans un espace cadré et sécurisant. Chacun pourra ainsi reprendre son objectivité et le recul nécessaire pour sortir grandi d’une situation de blocage. Quelques précautions indispensables avant d’entamer une démarche de coaching d’associés : s’assurer qu’on est tous prêts à mettre cartes sur table, à faire fi de son orgueil et à oser admettre ses faiblesses. Il arrive que la maturité, la sensibilité aux aspects humains, l’intelligence émotionnelle puisse être très différente entre associés. Dans tous les cas, la démarche doit être volontaire et le besoin partagé par tous. En guise de conclusion, notons qu’investir dans sa relation d’associés, c’est aussi préserver sa relation avec ses collaborateurs… ...
La Guadeloupe ne cesse d’émerveiller. Cette île papillon séduit les amoureux de voyage, d’escapade, de l’océan, de montagne, de la nature sauvage, de la culture et de la cuisine antillaise. Véritable écrin de trésors, la Guadeloupe est une destination idyllique qui se savoure intensément et sans limites pour vivre la magie qu’elle a à offrir. C’est pourquoi Jean Nussbaumer a fondé Le Hamac, une centrale de réservation vouée à la satisfaction et au bien-être des voyageurs, pour leur offrir la meilleure expérience qui soit. Offrir du rêve et de l’évasion Forte de ses longues années d’expérience dans le secteur du tourisme, l’équipe a pu développer une connaissance pointue et une maîtrise parfaite de la destination Guadeloupe. « Nous sommes une petite structure à taille humaine, on connaît très bien nos offres et l'on est en mesure de satisfaire personnellement notre clientèle », soutient le fondateur. Le Hamac est un prestataire de location saisonnière de villas privées et bungalows, mais aussi une centrale de réservation de gîtes, d’appartements et d’hôtels. L’agence met à disposition de sa clientèle, particuliers ou professionnels, plus d’une centaine de propriétés privées, soigneusement choisies pour leur emplacement, leur cadre et leur confort. La Kaz Maracudja*** située à Rifflet – Deshaies et installée à 200 m de la plage de la Perle, figure parmi la sélection. Elle est perchée dans les arbres, blottie au cœur d’un jardin tropical aux parfums exotiques enivrants, et se dote d’une grande piscine, d’un spa, d’une terrasse ouverte sur une grande clairière. Seuls le bruit des vagues et les cris d’oiseaux peuvent rompre le silence qui règne dans ce bout de paradis. Non loin de là, la Villa Mangotine **** et la Villa Ti-Pêcheur ***** offrent une autre expérience unique au sein d’un hébergement de luxe. Les hôtes apprécieront l’exclusivité de la vue sur la mer des Caraïbes et l'île de Montserrat tout en profitant du confort moderne de maisons de standing : cuisine entièrement équipée, chambres climatisées, espace séjour avec salle à manger et bar, wi-fi. Les villas, ouvertes sur l’extérieur, donne un accès direct à la piscine et au transat, pour se prélasser après une longue journée de balade ou d’excursion. Notre interlocuteur fait savoir que « ces propriétés sont dans les plus haut de gamme proposées dans la région ». Les Villas Amazonia et Palmire, outre leur charme et prestations luxueuses, sont idéales pour accueillir les familles plus nombreuses. À préciser que les propriétés s’étendent sur les plus belles plages immaculées de Guadeloupe : Deshaies, Sainte-Rose, Pointe-Noire, Gosier, Sainte-Anne jusqu’à Le Moule. S’entourer des meilleurs collaborateurs Le Hamac étoffe sa gamme de prestations par la location de voitures, en travaillant étroitement avec ses partenaires de choix. Ce sont notamment LASCAR, EUROPCAR et RENT@CAR, qui partagent tous la même volonté d’assurer un service impeccable à la clientèle. « Ils font preuve de sérieux et proposent un accompagnement vraiment personnalisé. Cela apporte une valeur ajoutée à l’ensemble de nos offres. » Les voyageurs seraient plus sereins de savoir que cette centrale de réservation s’associe également avec un partenaire d’assurance APRIL VOYAGES, l’allié des professionnels du tourisme. D’autres prestataires locaux rejoignent aussi la liste, tels Les Balades de Keila, Bleu Blanc Vert, ou encore des partenaires sélectionnés qui offrent des massages bien-être à domicile, tous sont à même d’enrichir encore plus votre séjour. En outre, Le Hamac est actuellement membre à l’Association professionnelle de solidarité du tourisme (APST). ...
Après une carrière bancaire de plus de 20 ans dans le développement de la relation client auprès des grandes entreprises, Marie-Emmanuelle Thomas-Lepetit intervient dans des secteurs variés, avec une expertise plus particulière auprès des collectivités territoriales. Identité, puissance et développement pérenne sont au cœur de son accompagnement auprès des managers, leurs équipes et les organisations. Préparer un terreau favorable à l’épanouissement du capital humain de l’entreprise Bien qu’il ait longtemps été sous-estimé, le facteur humain doit être au cœur de la stratégie de l’entreprise. « Les résultats financiers d’une entreprise sont directement liés au bien-être de ses salariés » explique Marie-Emmanuelle Thomas-Lepetit, fondatrice de Melt Consultant. « Et dans le même temps, le développement d’une organisation mais aussi les limites auxquelles elle peut se heurter sont en lien avec le comportement de son dirigeant ». Ses nombreux clients ont d’ailleurs bien compris le bénéfice qu’ils pouvaient retirer de son coaching. « C’est un levier essentiel pour la réussite d’une entreprise. J’aide mes clients à développer durablement leur leadership mais ils me sollicitent également pour que je les accompagne dans des passages de caps, des prises de décisions importantes, la conduite du changement. Partagés entre l’opérationnel et le stratégique, beaucoup de managers éprouvent des difficultés à prendre de la hauteur ». En fonction de la demande de son client individuel ou équipe, Marie-Emmanuelle l’accompagne en l’aidant à mobiliser ses ressources càd en lui donnant la canne à pêche, soit en lui proposant des pistes, des solutions càd du poisson. « Mon rôle consiste à préparer un terreau qui soit favorable à l’épanouissement du capital humain au sein de l’entreprise » précise Marie-Emmanuelle. « Je mets en place les conditions pour que la ‘’plante pousse’’. Au final, c’est le dirigeant ou le manager qui décidera mais au préalable. Selon moi, c’est la clé d’un développement qui soit à la fois durable car éthique pour le manger et son équipe ». Aider ses clients à se focaliser davantage sur leurs points forts Parce que ses clients traversent bien souvent des périodes difficiles (contexte de crise, de restructuration, d’incertitude lié au changement au sein de l’organisation), Marie-Emmanuelle axe son approche sur la confiance. « Dans un contexte de transformation, nous avons généralement tendance à rétrécir notre vision, à nous focaliser sur nos faiblesses et à oublier nos points forts. Or, les neurosciences l’ont démontré, il est plus efficace de développer ce que l’on sait bien faire, nos talents, nos atouts, que de se concentrer sur ce que l’on maîtrise moins ». En tant que praticienne certifiée MBTI (Myers&Briggs Type Indicator) et DISC (ou « couleurs » pour Dominant Influent Stable Conforme) , Marie-Emmanuelle s’appuie sur la photo que donne l’analyse des résultats des ces questionnaires pour permettre au manager d’identifier clairement son comportement de celui de son équipe. L’objectif pour le manager et l’équipe est de dépasser ses différences pour fonctionner ensemble en complémentarité. Marie-Emmanuelle accompagne aussi régulièrement des parcours axés sur le leadership auprès des managers-clés et des dirigeants au sein d’entreprises du CAC40. La fondatrice de Melt Consultant développe actuellement des offres auprès des particuliers. Que ceux-ci aient à gérer une transition, à s’adapter à un changement (réorientation professionnelle, reconversion, départ en retraite) ou à surmonter une rupture de vie (divorce, décès, déménagement). « J’ai remarqué que bon nombre de jeunes démissionnaient quelques mois seulement après avoir démarré leur premier emploi » explique Marie-Emmanuelle. « La raison invoquée est qu’ils se sont rendu compte que ce n’était pas leur voie. Le coaching peut a...
Néanmoins, ces traitements n’agissent que pour retarder la progression de la maladie et la survenue d’un handicap permanent. Le challenge des recherches médicales scientifiques menées aujourd’hui reste donc l’identification de traitements ciblés sur les mécanismes cérébraux impliqués et personnalisés. Symptômes, handicap, mécanismes physiologiques, traitements sont autant de notions qui seront abordées lors du prochain Open Brain Bar de l’Institut du Cerveau et de la Moelle épinière (ICM) qui se tiendra le 22 mai 2018. La sclérose en plaques (SEP) est une maladie inflammatoire du système nerveux central (cerveau, moelle épinière et nerfs optiques) qui touche aujourd’hui près de 100.000 personnes en France. Environ 90% des patients présentent leur premier symptôme entre 25 et 35 ans, avec une proportion de femmes élevée soit 3 femmes pour un homme. La SEP se caractérise par des lésions « les plaques » dans lesquelles la gaine protectrice des neurones « la myéline » est détruite entrainant une dégénérescence neuronale avec une perte de la communication entre le cerveau et les organes périphériques. Les symptômes de la maladie sont très hétérogènes d’un patient à l’autre. De même la progression et le délai d’apparition du handicap irréversible varient en fonction de la capacité de chaque personne atteinte à « réparer » ses lésions cérébrales. La transversalité des recherches, la clé de l’espoir Dans ce contexte, les équipes de recherche de l’Institut du cerveau et de la moelle épinière (ICM) orientent leurs recherches selon 3 axes principaux, la prédiction précoce d’une évolution sévère de la maladie, la stimulation de la réparation de la myéline et la protection des neurones. Chercheurs en biologie, en physiologie, médecins, ingénieurs, mathématiciens statisticiens unissent leur expertise et leur volonté pour trouver des thérapies innovantes, ciblées et personnalisées pour un jour guérir cette maladie. Violetta ZUJOVIC (Equipe Dr NAIT-OUMESMAR) et Céline LOUAPRE (Equipe du Pr LUBETSKI) mènent conjointement un projet visant à modéliser l’évolution de la maladie grâce à une analyse statistique innovante de mesures cliniques, biologiques et d’imagerie. Dans ce même but, la start-up Ad Scientiam (Saad ZINAÏ,Directeur médical) a lancé un dispositif digital permettant au patient de réaliser lui-même ses tests médicaux sur smartphone, à domicile de façon régulière, tests qui sont aujourd’hui réalisés par un neurologue à intervalles de temps très espacés. Une étude pilote est actuellement menée par le Dr Elisabeth MAILLARD (Equipe Pr LUBETZKI) au sein du centre d’investigation clinique (CIC) de l’ICM. Comment favoriser la réparation de la myéline chez les patients présentant une faible capacité de régénération intrinsèque ? Benedetta BODINI et Bruno STANKOFF (Equipe du Pr LUBETSKI) ont pu montrer par IRM que les patients chez lesquels les lésions cérébrales étaient spontanément réparées présentaient un handicap irréversible moindre au cours de la maladie que les autres. Cette notion de bons et mauvais « remyélinisateurs » a également était identifiée par une étude biologique menée par Violetta ZUJOVIC (Equipe Dr NAIT-OUMESMAR) et isabelle REBEIX (Equipe Bertrand FONTAINE) portant sur les cellules immunitaires, les lymphocytes T de patients. Enfin des travaux menés par l’équipe du Pr LUBETSKIet du Pr STANKOFF, pionniers dans le développement de la TEP (tomographie par émission de positons) appliquée à la sclérose en plaques permettent aujourd’hui de visualiser la dégénérescence neuronale au cours de l’évolution de la maladie, mécanisme qui échappe à la résolution de l’IRM. ...
Sublimer les produits locaux dans une cuisine de saison. Développer des spécialités autour de la truffe et la décliner dans tous ses états. La table de l’hôtel-restaurant À l’Agneau a plus d’une corde à son arc pour rendre hommage à la gastronomie alsacienne. Un concentré de saveurs à découvrir sous la houlette d’un chef de brigade membre du club des « Étoiles d’Alsace ». Que l’on fasse un crochet rapide dans la ville ou que l’on ait réservé dans l’une des chambres de l’enseigne, l’expérience vaut le détour. Une cuisine de caractère dans un établissement typé L’hôtel-restaurant À l’Agneau connaît une longue tradition dans l’art de l’accueil, puisque l’auberge d’origine opérait déjà en 1769. C’est donc dans un établissement hautement typé que les convives sont accueillis. Beaucoup seront surpris par la décoration où se rencontre la tradition avec une tendance résolument zen feng shui. Les tons ivoire et chocolat de la salle invitent à une parenthèse de décontraction absolue, le temps de savourer ses petits plats. Préparer ses papilles à frayer avec une cuisine de saison où les produits locaux sont déclinés pour rappeler les bonnes saveurs traditionnelles, avec une bonne dose de créativité. À propos, ne surtout pas passer à côté du savoureux plat signature de l’enseigne, l’« Éclaté d’agneau en 3 cuissons ». Trois pièces différentes vont rendre ces trois préparations : une selle farcie à la florentine et cuite à basse température, des flanchets confits à la sarriette et des carrés grillés. À la sortie, un plat unique où opulence et légèreté trouvent un compromis pour découvrir l’agneau dans tous ses états. La carte des vins où l’Alsace tient une place de choix déploie un éventail vaste avec ses 350 références puisées dans le répertoire français. Côté douceurs, la maison aime s’allier la complicité des saisons pour varier les plaisirs. La « Confusion de fruits rouges » titille les papilles avec les notes de verveine où ils ont macéré. Une coque meringuée apporte la touche d’élégance à ce dessert enrichi d’un sorbet ultra-frais. Une spécialité « truffée » de créativité L’« Œuf sans coque avec tartelette aux truffes » est une spécialité de la maison que l’équipe des fourneaux concocte avec beaucoup d’amour. Anne Ernwein, propriétaire et chef du restaurant, nous accorde une expérience intime de sa préparation. Tout commence par la confection de la pâte, d’une finesse délicate. Cuite avec une fondue de truffe, cette tartelette reçoit ensuite une mesure de fontine que l’on fait également fondre. Un carpaccio de viande de grison (de bœuf ou d’agneau) rejoint la préparation, en même temps que les râpés de truffes. Le jaune d’œuf coulant à l’intérieur d’une coque injectée d’huile de truffe finit de donner à ce plat son cachet singulier. À savourer, selon les saisons, avec des verdures type mâche ou asperges assaisonnées de balsamique de Barolo. Au quotidien, la maison propose divers menus pour assortir les découvertes autour des produits que le chef aime travailler. Pendant les beaux jours, c’est au Jardin que l’équipe convie les gourmets à composer des repas fraîcheur ou se détendre autour de spécialités grillées. Gambas, filet de canette, T-Bone de veau sont apprêtés au feu de bois et relevés de saveurs toniques comme la sauce Teryaki, la béarnaise piquante ou des épices douces. ...
La chaleur n’a pas quitté cette ancienne forge de Mesquer, bâtie en 1711 dans la presqu’île guérandaise. Dans ce bâtiment authentique aux murs de pierres et poutres apparentes, les vacarmes du marteau et de l’enclume ont laissé place à la mélodie des couteaux et des fourchettes. La Vieille Forge fait partie du « Collège culinaire de France ». Elle s’engage alors à offrir une cuisine régionale et faite maison et à faire connaître le métier de restaurateurs. Les produits de la mer, les pigeons et les vins issus de nos régions n’attendent que les gourmets dans cet établissement mesquerais. Le goût de la simplicité A La Vieille Forge, le Chef Ludovic Favrel revendique une cuisine simple et sans artifices. En d’autres termes, il préfère mettre dans ses assiettes quelques goûts que les clients identifieront, plutôt que d’y rassembler mille et une saveurs dans lesquelles ils risquent de se perdre. La carte et les menus évoluent au fil des saisons. Toutefois, certains produits sont servis toute l’année de façon à valoriser les ingrédients fournis par les producteurs locaux et promouvoir la richesse du terroir. La maison informe d’ailleurs ses clients sur la traçabilité des produits. Un terroir riche Les conditions environnementales de Mesquer sont propices à l’ostréiculture, d’où la présence de nombreux parcs à huîtres. Grâce à sa proximité avec la mer et les marais salants, le restaurant La Vieille Forge s’approvisionne facilement en huîtres de kercabellec frais. Le Chef Ludovic sert ces mollusques peu salés en nature, coulis ou sabayon. Les pigeons issus de l’élevage local sont très appréciés dans les meilleurs restaurants français. A La Vieille Forge, ils sont préparés de deux façons. Les filets sont poêlés et les cuisses confites pendant longtemps. Ils sont accompagnés avec des légumes de saison tels que les petits pois ou les navets et du jus à la réglisse. Les menus Quotidiennement, quatre menus sont proposés par le restaurant. Le menu dégustation peut s’ouvrir sur des Saint-Jacques ou un Croustillant de ris de veau avant de glisser vers du Poisson noble du marché et terminer avec de la Crousti noisette et son crémeux chocolat. Le menu saveurs régionales suggère les produits du terroir comme le Filet de dorade sauvage en cannelloni ou le Tournedos de lapin du bois de boule. Quant au menu du jour, il dépend du marché. Enfin, le menu surprise est servi à l’ensemble de la table. Avec cette formule, les clients font confiance au savoir-faire et au talent du chef qui leur fera la surprise. Le Cadre Le restaurant La Vieille Forge présente deux ambiances différentes dans ses deux salles. La première est plus ancrée dans la tradition avec les poutres apparentes en bois, les murs de pierres visibles et une lumière tamisée. Le soufflet du forgeron est resté pour orner la pièce. Dans le deuxième espace, le décor est un peu plus moderne avec la grande baie vitrée qui donne sur le jardin et son bassin à poisson. Le plaisir du partage Ludovic et Isabelle organisent des cours de cuisine environ six fois par an pour partager leur passion. Six personnes par séance profitent des conseils et astuces de Ludovic sur les thèmes « Poisson », « sucrée » ou encore « Les légumes ». Il est même possible d’assister au cours en binôme c’est-à-dire un adulte et un enfant. ...
Héritage familial depuis quatre générations, la Bonne Etape est un célèbre restaurant gastronomique étoilé Michelin depuis 1964. La maison reste fidèle au goût authentique de la Provence, à l’accueil amical du personnel et la convivialité des lieux. A l’intérieur comme à l’extérieur, le cadre envoûte les visiteurs. Ils prennent alors le temps de s’asseoir pour savourer une cuisine d’auteur raffinée qu’inspire le jardin biologique de la maison. L’émotion est au rendezvous, le goût du bonheur faisant toujours effet dans les plats amoureusement préparés par le chef Jany Gleize. Le parcours prédestiné d’un passionné Le propriétaire des lieux n’est autre que le chef étoilé Jany Gleize, Maître cuisinier de France. Né un jour du SaintValentin 1957 à Château Arnoux, il grandit au sein d’une famille de restaurateurs. Très jeune, il observe déjà son père orchestrer le restaurant et partage la passion de sa grandmère Gabrielle pour la cuisine. Son choix est fait. Dès qu’il a décroché son baccalauréat, Jany part débuter sa carrière chez « La Bonne Auberge » de Jo Rostang, à Antibes, loin du cocon familial. Il travaille ensuite pour Pierre et Jean Troisgros à Roanne, en 1976. De 1977 et 1978 il est apprenti chez Alain Chapel à Mionnay puis en 1979 chez Michel Guérard. Après son apprentissage bien peaufiné à travers la France, il devient serveur de restaurant pendant six mois au « Connaught Hotel », à Londres, en 1980. Il finit par revenir dans sa chère Provence, en 1981 et prenden main le restaurant familial. Les talents du chef se font vite remarquer si bien que sa renommée parvient même jusqu’au Palais de l’Elysée. Il est alors choisi par le Président François Mitterrand pour préparer le repas du soir du bicentenaire de la Révolution Française, le 14 juillet 1989, en l’honneur de tous les Chefs d’Etat invités. Le Maître, cependant, ne réserve pas la noblesse de son art qu’aux grands de ce monde: il lepartage avec tous ceux qui aiment la cuisine française. Il vient ainsi de publier son premier ouvrage intitulé « La Bonne Etape », sorti le 07 mars dernier. Ce beau livre, aux éditions Brigitte Eveno, contient 50 recettes où le chef dévoile ses secrets. Des plats aux saveurs authentiques de la Provence A la Bonne Etape, la cuisine est rythmée au fil des saisons. Elle est riche de saveurs mais légère au corps : un équilibre harmonieux savamment recherché. La maison propose trois menus, à savoir le menu Mer ou Garrigue, le menu Jarlandin dans lequel le dessert est une surprise du chef, ou encore le menu Jeunes Convives pour les moins de douze ans. Il est également possible de commander à la carte et essayer à l’entrée le fameux Foie gras de canard en trio en lobe ivre de vin rouge épicé, à 32€. Ce plat figureen saison au menu Jarlandin, tout comme l’Agneau de Sisteron rôti à feu d’enfer, servi avec du risotto. Le dessert à la carte va sûrement satisfaire les gourmets avec sixvariétés de délices sucrées, proposées avant le fromage sur une autre carte séparée. Le chef et son équipe sont heureux de conseiller leurs hôtes sur leurs choix et les vins qui s’y accordent. La cave de la maison, reconnue comme l’une des plus belles de France, laisse l’embarras du choix avec ses 600 références. Le secret est dans le potager La Bonne étape dispose d’un jardin potager baptisé « Jean Rey », en l’honneur du grand père qui était agriculteur. Le chef Jany Gleize a donné une nouvelle esthétique au jardin avec la collaboration de François Tessari, un jardinier ethnobotaniste de renom. Ils ont ainsi créé un jardin à l’anglaise où l’harmonie des couleurs est une véritable peinture vivante. La culture biologique y est privilégiée. Le désherbage se fait à la main, la terre est travaillée à l’aide d’une grelinette. Pour gérer les insectes nuisibles, le chef favorise les systèmes de « friches » où les larves des insectes ravageurs sont exposées aux prédateurs. C’est dans ce champ de légumes, d&rs...
En partenariat avec des centres de recherche sur le cancer, à l’instar du Centre Oscar Lambret de Lille ou celui de Sainte-Catherine d’Avignon, ChromaLys a développé un dispositif efficace dans le traitement par radiothérapie des tumeurs mobiles. L’équipe de chimistes de la start-up en effet a créé un produit de contraste injectable afin d’identifier et de rendre facilement détectable les mouvements des cellules cancéreuses lors des séances de radiothérapie. Les tumeurs mobiles efficacement ciblées Les tumeurs mobiles sont des cellules tumorales mouvantes de par la respiration du patient. « Ces tumeurs sont la plupart du temps thoraciques et abdominales et se situent notamment dans le foie, les poumons ou le pancréas », explique Marc Verelst, directeur de ChromaLys Le traitement par radiothérapie de ces cellules mobiles pourrait causer des effets secondaires notables, car « le faisceau de rayons gamma curatifs pourrait endommager les tissus sains si la tumeur mobile n’est pas clairement ciblée ». C’est ainsi afin « d’éviter de détruire du tissu sain qu’il est nécessaire de marquer la tumeur et permettre au robot de viser la tumeur au millimètre près ». Cette technique de détection tumorale dynamique par un liquide injectable, en cours d’essais préliminaires, est alors baptisée Tumor-Track. Le Tumor-Track : un dispositif aux multiples avantages Outre le fait que les tumeurs soient ciblées grâce à la technologie Tumor-Track, facilitant ainsi le traitement curatif, cette révolution dans la lutte contre le cancer comporterait d’autres avantages. En effet, trente séances en moyenne sont nécessaires pour soigner une tumeur par radiothérapie. « Si on améliore le ciblage des cellules tumorales mobiles grâce à la technologie Tumor-Track, une méthode efficace mais peu coûteuse, nous pouvons réduire les séances de radiothérapie de trente à cinq », souligne le scientifique. « Cela représenterait un avantage conséquent en matière de coût et d’efficacité, notamment pour les hôpitaux qui pourront ainsi traiter à l’année six fois plus de patients, mais également pour les personnes âgées ou à mobilité réduite suivant ce type de traitement » conclut-il. ...
Né d’un financement participatif, Un Coin Sur Terre est un domaine où la dimension humaine a toute son importance. Des vins authentiques Dans ce vignoble labellisé Ecocert, situé dans le Gard, le cépage mourvèdre est roi. Aux vignes comme au chai, aucun produit chimique n’est toléré et la vinification se fait de façon naturelle. Résultat, des vins de qualité, sans sulfites, à l’image de la cuvée « Intuition ». Issue de 80 % de mourvèdre et de 20 % de syrah, celle-ci séduit par sa fraicheur et son côté fruité. ...