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Interview avec Frédéric Robert
Chef du restaurant La Grande Cascade



Restaurant
1 étoile au Guide Michelin
situé à Paris
Région Île-de-france

Dans votre restaurant, comment définissez-vous votre cuisine ? Quels sont vos plats «Signature»? Avec quels produits aimez-vous travailler ?

Frédéric Robert Ma cuisine est classique, dans la lignée de ma formation dans les grandes maisons parisiennes. J'aime réinterpréter des grandes recettes et les affiner avec des techniques actuelles tout en tenant compte de l'évolution des attentes de la clientèle. En tant que cuisinier à Paris, je me permets plus de choses ! Je n'ai pas l'obligation de travailler avec des produits locaux. Ma préférence va sans nul doute aux produits sauvages : champignons, poissons, crustacés, coquillages et gibiers.
Mes Recettes signatures :
Le Cèpe cru et cuit (variation de 3 températures et 3 textures)
Le Ris de veau aux herbes à tortue (mélange d'épices et d'herbes fraîches savamment dosées)
Turbot de l'Atlantique, morilles, fins coquillages, ravigote au cresson de fontaine

Quelles émotions avez-vous ressenties lors de la remise des étoiles du Guide Michelin ?

FR Vous allez trouver ça drôle, mais en 35 ans de carrière, je n'ai jamais été récompensé personnellement. J'ai su conserver les étoiles déjà attribuées dans les différentes cuisines que j'ai fréquentées (3, 2 et 1 étoile). Mais comme j'aime dire : les gagner c'est bien, les conserver c'est mieux.

La cuisine est faite chaque jour de partage et d'émotions. Toutefois, certains moments de la vie sont à privilégier plus que d'autres... Pouvez-vous nous confier vos plats rêvés pour :
- Un repas de Noël ?

FR Un apéritif au coin de la cheminée avec des petites pièces de foie gras, jambon ibérique, huîtres Gillardeau, croque-monsieur à la truffe, puis un plat à partager servi à table. Je pense par exemple à une volaille de la Cour d'Armoise au vin jaune ou un turbot cuit entier au four au champagne, un brie à la truffe avec du pain de campagne juste toasté et une bûche aux marrons comme faisait ma grand-mère !
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© Pauline Legoff

- Un repas de la nouvelle année ?

FR Je finis toujours l'année avec la même bande de copains. En entrée/apéritif, on mange un toast de pain de campagne, légèrement beurré de demi sel de chez Belvère et agrémenté de truffe noire en lamelle épaisse. A suivre, un grand plateau de fruits de mer, des fromages de la maison Quatrehomme, et on termine avec un St Honoré de Philippe Conticini et des chocolats de chez Patrick Roger. Tout cela accompagné d'un champagne Bolinger.
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- Un repas de la fête des mères ou des pères ?

FR Une grande table dans le jardin avec enfants et petits-enfants, des asperges vertes et blanches sauce ravigote à ma façon (c'était le plat préféré de ma mère), une côte de boeuf de Salers maturée 36 jours à la braise, des pommes de terre à la cendre avec de la crème épaisse de chez Belvère et de la ciboule.

Au fait, pour votre mariage, qui a fait la cuisine ? Pouvez-vous nous indiquer les plats cuisinés ?

FR Céline et moi, nous nous sommes mariés en Normandie dans la demeure de mes beaux-parents. Déjà à l'époque, je ne pouvais pas concevoir de confier mon repas de mariage à un traiteur. C'est donc l'équipe du Grand Véfour qui est venue sur place pendant 2 jours, un moment exceptionnel, nous avons même fait la pièce montée ! En menu, on a mangé un homard breton rafraîchi au melon verveine, des morilles jumbo aux herbes poivrées, sauce soja, une côte de veau de Corrèze au grill avec des girolles et du vin jaune.
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© Pauline Legoff

Sans trop réfléchir, pouvez-vous nous confier votre plus beau souvenir gustatif et certaines des émotions procurées ?

FR C'était il y a une vingtaine d'années, un dîner dans le Piémont en compagnie d'Alain Senderens, dans un petit restaurant au milieu de nulle part avec une grand-mère en cuisine. Des pâtes fraîches à la truffe d'Alba... Cette auberge dans la montagne, cette région magnifique en automne, le soyeux des pâtes et le parfum de la truffe blanche : la pureté même dans la simplicité.

D'après la célèbre devise de Prosper Montagné "On ne fait du bon qu'avec du très bon", pouvez-vous nous révéler deux ou trois de vos adresses gourmandes. Vos producteurs et produits préférés sur votre région ou ailleurs (vins, produits frais, ou autres...)

FR L'Ambroisie place des Vosges : la gastronomie française dans toute sa splendeur
Chez Georges, boulevard Péreire : le vrai bistrot parisien comme j'aime
Bon, rue de la Pompe : la cuisine thaï dans toute sa subtilité, le décor Starck
Mes producteurs préférés :
Poisson : les produits noirmoutrins, la mer à l'état pur
Viande : Boucherie de la Sablière, son boeuf de Salers, son veau de Dordogne, son agneau du Pays d'Oc
Champignons : Guillaume à la Compagnie du Bocage
Foie gras du Sud-Ouest : maison Laffite
Truffe noire : Jérôme Gallis

On parle aujourd’hui beaucoup de cuisine fusion, de plats végétariens, d'aliments biologiques, de « Trashcooking » (ingrédients destinés normalement au rebus), de « Freakshakes » pour marier un dessert à une boisson... Selon vous quelles seront les grandes tendances de la cuisine de demain ?

FR La tendance de demain a toujours été ma tendance, le produit à l'état pur et la main de l'homme pour le transcender. Si les cuisiniers n'avaient pas donné l'opportunité aux petits producteurs, cultivateurs, éleveurs de nous fournir et de pouvoir vivre décemment, le savoir faire de ces producteurs ce serait perdu. L'effervescence que nous connaissons aujourd'hui autour du bio et du retour au vrai n'existerait plus !
Le mariage d'un plat avec un vin, un jus de légumes ou fruits ou même un thé est tellement évident pour moi. 80% des fromages se marient avec un vin blanc et pourtant tout le monde a l'habitude de boire du vin rouge avec le fromage.

Culture - Cinéma Quelle est votre scène préférée de cinéma au restaurant ? Un souvenir de film avec une séquence particulière...

FR L'aile ou la cuisse ! Le message du film est tout à fait d'actualité, la critique à travers les guides et internet n'a jamais été aussi puissante. Lorsque Coluche se fait passer pour le critique d'un célèbre guide et reçoit toutes les attentions du restaurateur et c'est Louis de Funès qui est au fond de la salle complètement délaissé en train d'écrire son rapport. C'est tellement vrai !
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© Alban Couturier
© Pauline Legoff

Si vous aviez un hommage à adresser à Paul Bocuse, quel serait-il ?

FR Paul Bocuse a sorti le cuisinier de sa cuisine et l'a apporté à la lumière. Si la gastronomie française est si rayonnante aujourd'hui, c'est grâce à lui !
Adresse | Contacts utiles
image-prop-contact-la-grande-cascade La Grande Cascade Carrefour de Longchamp, Bois de Boulogne
75016 Paris

Tél. : 01 45 27 33 51
Site Internet

Récompenses
1 étoile au Michelin

La Grande Cascade : les avis

LES ARTICLES LES PLUS LUS

Podcast interview avec Monsieur Jean-Michel Dubois de l'Association Neurofibromatoses et Recklinghausen

FlashMatin | Bonjour ! Jean-Michel Dubois | Bonjour. Monsieur Dubois, vous êtes président d’une association qui s’occupe de très près de la neurofibromatose. Je vous laisse vous présenter et présenter votre association s’il vous plait. JM D | Jean-Michel Dubois, je suis le président de l’association neurofibromatose recklinghausen depuis 2010. L’association est né en 1986.  Elle a été créée par des parents qui étaient concernés par la neurofibromatose. A l’heure actuelle, il y a à peu près un millier d’adhérents et une cinquantaine d’actifs, tous bénévoles. Et donc Monsieur Dubois pouvez-vous nous expliquer ce qu’est la neurofibromatose ? JM D | On parle des neurofibromatoses, qui sont des maladies génétiques, neurologiques, caractérisées par l’apparition de tumeurs sur les gaines des nerfs, avec une caractéristique commune qui est que c’est assez imprévisible dans les évolutions de ces maladies ; à la fois dans la forme et dans le temps. Donc, on a affaire à trois maladies bien distinctes. La NF1, la  maladie de Von Recklinghausen, qui est elle-même un ensemble de maladies tant il y a une variété dans l’ expression. Un enfant ou en adulte qui a une NF1 ne va pas forcément ressembler à un autre. Ensuite la neurofibromatose 2 qui atteint souvent l’appareil auditif, et enfin la schwannomatose qui s’apparente beaucoup à la neurofibromatose 2, mais qui est différente, et là aussi on est toujours dans le domaine de tumeurs sur les nerfs. Il y a donc plusieurs formes de neurofibromatoses. Mais alors comment se rendre compte que notre enfant ou qu’un adulte est atteint de cette maladie ? JM D | La neurofibromatose 2 et la Schwannomatose apparaissent plus tardivement que la neurofibromatose 1 où l’un des critères principaux diagnostiqués est l’apparition de tâches café-au-lait, qui peuvent aussi être présentes dès la naissance. Au départ c’est assez compliqué, même si pour beaucoup d’enfants, il n’y a pas une manifestation de la maladie qui les handicape. Dans la NF1, il y a aussi une proportion plus grande par rapport à la population générale de difficultés des apprentissages. Il y a des manifestations qui arrivent plus rapidement.  Un gliome des voix optiques, ça apparaît très rapidement chez certains enfants.  On peut avoir une pseudarthrose c’est-à-dire une malformation des os.  Et ça nécessite des greffes osseuses, des hospitalisations, de la rééducation. Un gamin qui subit ça, c’est compliqué. Alors justement, on imagine qu’être porteur d’une maladie rare en France c’est assez compliqué, quel est donc le rôle de votre association ? JM D | D’abord on est à l’écoute. Souvent le cas de figure c’est : « Je rentre de chez le médecin ou de chez le pédiatre, mon enfant a des taches café-au-lait, on me parle de neurofibromatose 1, qu’est-ce que c’est, qu’est-ce que je dois faire ? ». La première chose c’est d’être ouvert et d’être à l’écoute. Ensuite, c’est de les orienter vers des centres, de références s’ils sont en Île-de-France, ou de compétences s’ils sont en région. Notre rôle c’est de les diriger vers des équipes médicales qui connaissent et qui peuvent organiser le suivi médical.  Il faut être vigilant, il faut être attentif, il faut s’informer, c’est le rôle de l’association. On publie une revue pour nos adhérents, sur notre site on met des choses qui ont été vérifiées et pas des… Des informations qui ne seraient pas fondées. Mais vous apportez aussi un soutien financier avec votre association ? JM D | On a déjà apporté 3 millions d’euros pour des équipes de recherche. On est là aussi pour leur apporter un soutien à la fois financier mais aussi un soutien moral, une sorte de caution, parce que c’est important que ces équipes de chercheurs puissent faire état de notre soutien. Ça leur donne une sorte de crédibilité, même si c’est d’abord leurs compétences qui sont importantes. Comme je le dis parfois, il manque peut-être un z&eac...

Le Jadis : un restaurant aux couleurs provençales   

A Moustiers Sainte Marie, le restaurant Le Jadis se présente comme un endroit de repos gustatif idéal après une journée touristique dans le parc naturel régional du Verdon. La maison privilégie les produits français comme la viande de bœuf, mais surtout locaux comme la chèvre bio de Moustiers et son fromage, l’agneau du pays élevé à proximité.   Une cuisine traditionnelle Le restaurant Le Jadis propose une cuisine traditionnelle majoritairement fait-maison qui favorise les produits frais du terroir. Le Chef Romain Colin collabore avec les fournisseurs locaux pour s’approvisionner en chèvre bio, en agneau mais également la truffe lorsque c’est la saison. Très important, toutes les viandes sont exclusivement françaises (porc, bœuf, agneau). Tous ces produits régionaux sont préparés dans le respect des recettes traditionnelles. La carte et les menus proposent de succulentes suggestions. La salade du Verdon, un mélange de fromage bio de Moustiers, jambon cru, miel du producteur et des figues est l’une des signatures du restaurant. Les pieds et paquets, une spécialité marseillaise à base de panses et pieds d’agneau sont aussi proposés. Ces abats sont mijotés dans une sauce à la tomate, au vin blanc et aux herbes de Provence. La cuisson de cette recette doit être longue et à feu doux.    Difficile de ne pas mentionner la fameuse côte de bœuf qui est la plus représentative de l’excellent rapport qualité-prix prôné par l’établissement. Les convives peuvent avoir 500 g de viande par personne pour 25 euros. Autre plat phare : la soupe au pistou qui est une soupe de Provence très parfumée et très nourrissante à base de basilic. La majorité des ingrédients sont composés de légumes à savoir les pommes de terre, carottes, haricots, haricots verts, courgettes et poireau. De la tomate est ajoutée avant une cuisson d’une heure. Pendant que le plat mijote, le basilic est préparé avec des gousses d’ailles, de l’huile d’olive, du parmesan et des pâtes. Cette soupe est meilleure lorsqu’elle est servie chaude avec du fromage rappé.   Comme la maison veut combler tous ses convives, elle offre aussi des plats végétariens et bio comme les raviolis au tofu basilic, les pâtes bolognaises ou encore les gnocchis au broutin (spécialité fromagère bio à la sarriette et  herbes de PROVENCE).   Il ne faut pas oublier que Le Jadis est aussi une pizzeria. Les pizzas aux proportions généreuses  ont une pâte fine et croustillante. Les ingrédients sont très variés, de quoi largement satisfaire toutes  les envies.              Un cadre authentique Le restaurant-pizzeria Le Jadis propose un cadre provençal, jovial et cosy. Des murs aux tables, en passant par les portes, tout est coloré. Dans la salle, le set de table a été créé par le faïencier Bruno Louis et la fresque murale qui représente le village donne une touche artistique. Au niveau du bar lounge, les vieux murs de pierres apparentes donnent un ton traditionnel quand les meubles apportent de la modernité. Dans ce village où le soleil est au rendez-vous toute l’année, la terrasse du Jadis est l’endroit idéal pour apprécier la tranquillité de cet environnement de charme.          Un environnement préservé Les Gorges du Verdon, le plus beau canyon d’Europe, constituent un des plus beaux sites d’escalade de France grâce à ses falaises. Ils font partie des principales attractions touristiques de la Provence. Ce site grandiose appartenant au parc naturel régional du Verdon offre des panoramas immenses. Aux portes du canyon du Verdon, Moustiers Sainte Marie a gardé le charme des authentiques villages provençaux. Il est classé parmi les plus beaux villages de France et bénéficie du label « Villages et cités de caractère » grâce à son patrimoine architectural et paysager exceptionnel. Ce village est reconnu pour la création de faïence et ses décorations uniques, une dizaine d’atelier lui sont encore dédiés aujourd’hui. ...

Fromage de Chaource : un important patrimoine gastronomique

C’est en 1968 qu’un groupe de fromagers, ainsi que le conseiller général du canton, décide de créer le Syndicat de défense du fromage de Chaource afin que ce fromage soit reconnu en tant qu’Appellation d’origine contrôlée (AOC), label qu’ils obtiennent le 9 août 1970. Didier Lincet se trouve actuellement à la tête de ce syndicat qui continue de promouvoir le Chaource, mais également son terroir. Une fabrication artisanale L’obtention d’un fromage nécessite beaucoup de patience, mais également beaucoup de travail. Chaque étape de fabrication diffère selon les types de fromage, et selon les régions. Pour ce qui est du Chaource, tout commence par la collecte de lait dans les élevages, s’ensuit le stockage du lait en fromagerie. Puis, vient la maturation, l’ajout du ferment lactique et la coagulation, qui peut durer au minimum douze heures. C’est à l’issue de ces étapes que l’obtention d’un lait caillé solide permet de passer au moulage (manuellement ou mécaniquement), pour être démoulé après quarante-huit heures, salé, ensuite mis à ressuyer en hâloir durant vingt-quatre heures minimum, pour refroidir et perdre leur humidité . La dernière étape dans la fabrication est l’affinage, en cave, durant au minimum quatorze jours. La production annuelle avoisine, quant à elle, les 2 450 tonnes, dont 10 % partent à l’exportation vers l’Allemagne, la Grande-Bretagne, les États-Unis et le Japon. Le goût du vrai Ce fromage, à pâte molle et à croûte fleurie, est fabriqué au lait de vache entier sans ajout de matière grasse. En bouche, il est légèrement acidulé et salé à la saveur douce. Son arôme rappelle celui de la crème, mais aussi du champignon frais et de la noisette. Très apprécié des restaurateurs, le Chaource inspire les créations culinaires. De nombreuses recettes existent pour mieux sublimer les saveurs, toute en délicatesse, du fromage comme la glace au Chaource, le gaspacho de courgettes au Chaource, ou la terrine de légumes au Chaource. À l’heure de l’apéritif, il se déguste volontiers accompagné d’un champagne brut ou rosé, ou d'un porto. ...

Découvrez de véritables peintures préhistoriques à la grotte du Pech Merle

Située sur la commune de Cabrerets dans le Lot, la grotte du Pech Merle a été découverte par trois enfants en 1922. L’abbé Amédée Lemozi, curé préhistorien du village, s’attelle rapidement à l’étude des peintures et gravures. Dès 1926, elle est ouverte au public. En 1952, elle est classée monument historique. La grotte du Pech Merle La grotte du Pech Merle recèle de remarquables œuvres préhistoriques, extrêmement bien conservées, dans un site naturel de toute beauté. Lors de la visite de cette grotte, vous parcourrez à partir d’une entrée artificielle une grande partie de la galerie inférieure. Vous serez alors plongés dans la même atmosphère et la même acoustique que nos ancêtres il y a 30.000 ans, à une température quasi constante de 12°C. Vous serez éblouis par les « Chevaux ponctués », cette magnifique représentation de deux silhouettes de chevaux, peinte il y a 29.000 ans. Mais aussi par la « Frise noire » et les nombreux dessins de bisons et de mammouths. Vous pourrez également observer des mains au pochoir, des empreintes de pas ou encore découvrir des ossements d’ours des cavernes et de hyènes. Au niveau géologique, vous pourrez admirer de belles et grandes salles dans un décor naturel de stalagmites et stalactites ainsi que des disques de calcite ou une toupie, des formations assez rares. Pour la préservation des peintures, le nombre de visiteurs est limité. Il est donc important de réserver ses places avant de se déplacer. Le musée de Préhistoire Le musée Amédée Lemozi est installé sur le site depuis 1981. Ici, vous aurez accès à deux salles d’exposition permanente : une consacrée à l’art pariétal du Quercy, l’autre à la préhistoire dans la région. Vous pourrez également visionner dans la salle de cinéma un film documentaire sur les peintures de la grotte, salle accessible aux personnes à mobilité réduite. ...

École supérieure des Arts Saint-Luc :
l’excellence depuis 1960

La première école Saint-Luc voit le jour en 1878, à Tournai, en Belgique, près de la frontière française. À l’époque, la gestion est assurée par quatre frères prônant l’idéal des frères des écoles chrétiennes. Depuis sa création, l'établissement ne cesse de se développer au fil des années. C'est en 1960, lors du déménagement de l'école dans ses locaux actuels, que fut créé l'enseignement supérieur des Arts.  Former les étudiants aux métiers de l’art L’école Saint-Luc propose à tous les étudiants, qu’ils soient du secondaire ou du supérieur, de suivre leur formation dans le même esprit humaniste initié par les frères fondateurs. Au sein de l’école supérieure des Arts, les formations dispensées s’étalent sur 3 ans et débouchent sur un diplôme de bachelor. Entre le domaine des Arts Plastiques, des Arts des visuels et Arts de l'espace, les étudiants ont  le choix entre 6 formations : Graphisme, Photographie, Publicité, Création d’intérieurs, Stylisme de Mode et Stylisme de l’Objet. Chaque discipline étant enseignée par des professionnels en activité. Mieux préparer les étudiants au monde professionnel Le but étant de préparer les étudiants à l'insertion professionnelle, l'école mise sur 2 piliers indispensables pour appuyer les formations. Les cours théoriques consistent à les aider à acquérir des bases fondamentales, tandis que la pratique développe leur langage plastique. ESA Saint-Luc Tournai s'emploie ainsi à prodiguer une formation approfondie aux élèves afin de développer leur sens critique tout en respectant la démarche et la singularité de chacun. La formation est ponctuée de conférences, visites culturelles, voyages d’études, workshops, de participation à des concours internationaux et des stages allant de 15 jours à 2 mois. Elle révèle des artistes capables de développer une démarche de création authentique et autonome.  « Ces stages sont réalisés avec des enseignants qui sont tous des professionnels dans le domaine », souligne Pierre-Henri Leman, enseignant. Par ailleurs, l’école est le théâtre d’une effervescence artistique emprunte d’innovations pédagogiques. Une attention toute particulière est apportée à la mobilité internationale et à la recherche artistique. Durant les voyages pédagogiques, les étudiants visitent pendant une semaine une grande ville culturelle. « En ce moment, les étudiants en option publicité sont à New York pour rencontrer les agences publicitaires sur place », précise notre interlocuteur. Autre particularité d'ESA Saint-Luc Tournai est son ouverture aux étudiants de toutes origines. C'est dans ce sens que le Pensionnat Passy-Troyennes accueille plus de 300 élèves issus d’horizons divers et désireux de suivre un parcours artistique. A cette structure s’ajoutent 50 chambres réservées aux étudiants du Supérieur. En pleine mutation, elle ambitionne de créer de nouveaux partenariats pédagogiques et culturelles qui fassent sens pour consolider des liens, créer des ponts utiles et amplifier les synergies artistiques. ...

Bistrot Chaud-Vin :
la cuisine de grand-mère en plein cœur de Nice

Désireux chacun d’ouvrir leur propre restaurant, Frank et Gary concrétisent leur rêve en lançant le Bistrot Chaud-Vin, un jeu de mot bien trouvé faisant référence à la rue dans laquelle il se trouve. Ici, convivialité rime avec saveurs gourmandes. Une déco qui marie l’esprit bistrot et la modernité Le Bistrot Chaud-Vin se démarque par son identité visuelle. Une parfaite dualité entre traditionnel et modernité s’en dégage. La peinture aux couleurs vives additionnée aux luminaires donne un ton réellement chaleureux à l’établissement. La décoration authentique avec meubles en bois offre à l’ensemble un esprit sobre et chic. Parfait pour un diner en couple, entre amis ou en famille. Le restaurant reflète bien l’idée véhiculée par les deux associés Gary Mesguich et Frank Moser : offrir aux clients un vrai instant gourmand. L’esprit bistrot y est fortement présent. Des vins du terroir ainsi que d’autres régions de France ont été disposés dans des coins clés de la salle. Ils trônent majestueusement aux côtés des cagettes de légumes de saison qui rappellent l’ambiance des cuisines de nos grands-mères. Le tout baigne dans une ambiance calme bercée par une musique de fond. Entre la qualité de service et le décor finement pensé, les convives se sentent d’un coup comme chez eux. Une cuisine riche et généreuse pour faire plaisir aux fins palais Le Bistrot Chaud-Vin propose une cuisine de tradition. Longuement mijotés et concoctés avec soin par le chef, les produits du terroir sont mis à l’honneur dans les divers menus. Pour satisfaire les papilles, le maestro en cuisine travaille avec des produits de bonne qualité et frais provenant directement des producteurs locaux. Doté d’expériences acquises dans l’un des plus connus des établissements niçois, à savoir à la Petite Maison, Gary Mesguich se démarque en proposant des plats généreux, riches en saveur du terroir qu’il concocte avec passion. Écrites à l’ardoise, les suggestions culinaires changent en fonction des saisons. En entrée, vous vous laisserez tenter immédiatement par la salade d’artichauts violets, pan bagnat de tomates. En plat de résistance, rien de tel qu’un magret de canard de la ferme Puntoun aux fruits rouges et beignets de maïs bio. Les plus gourmands ne résisteront pas à l’idée de commander cette imposante côte de bœuf d’Aubrac à partager à deux. Pour finir, l’ile flottante à la lavande séduit les palais avec ses saveurs exotiques. L’établissement propose aussi le « Fumoir du Bistrot Chaud-Vin » avec quelques suggestions à ne pas manquer comme le saumon fumé, gaufrette citronnée et crème fouettée ou le magret fumé servi avec une salade de lentilles blondes Saint-Flour aux fruits et légumes. ...

La Bonne Etape : la cuisine de l'émotion

Héritage familial depuis quatre générations, la Bonne Etape est un célèbre restaurant gastronomique étoilé Michelin depuis 1964. La maison reste fidèle au goût authentique de la Provence, à l’accueil amical du personnel et la convivialité des lieux. A l’intérieur comme à l’extérieur, le cadre envoûte les visiteurs. Ils prennent alors le temps de s’asseoir pour savourer une cuisine d’auteur raffinée qu’inspire le jardin biologique de la maison. L’émotion est au rendez­vous, le goût du bonheur faisant toujours effet dans les plats amoureusement préparés par le chef Jany Gleize. Le parcours prédestiné d’un passionné Le propriétaire des lieux n’est autre que le chef étoilé Jany Gleize, Maître cuisinier de France. Né un jour du Saint­Valentin 1957 à Château Arnoux, il grandit au sein d’une famille de restaurateurs. Très jeune, il observe déjà son père orchestrer le restaurant et partage la passion de sa grand­mère Gabrielle pour la cuisine. Son choix est fait. Dès qu’il a décroché son baccalauréat, Jany part débuter sa carrière chez « La Bonne Auberge » de Jo Rostang, à Antibes, loin du cocon familial. Il travaille ensuite pour Pierre et Jean Troisgros à Roanne, en 1976. De 1977 et 1978 il est apprenti chez Alain Chapel à Mionnay puis en 1979 chez Michel Guérard. Après son apprentissage bien peaufiné à travers la France, il devient serveur de restaurant pendant six mois au « Connaught Hotel », à Londres, en 1980. Il finit par revenir dans sa chère Provence, en 1981 et prenden main le restaurant familial. Les talents du chef se font vite remarquer si bien que sa renommée parvient même jusqu’au Palais de l’Elysée. Il est alors choisi par le Président François Mitterrand pour préparer le repas du soir du bicentenaire de la Révolution Française, le 14 juillet 1989, en l’honneur de tous les Chefs d’Etat invités. Le Maître, cependant, ne réserve pas la noblesse de son art qu’aux grands de ce monde: il lepartage avec tous ceux qui aiment la cuisine française. Il vient ainsi de publier son premier ouvrage intitulé « La Bonne Etape », sorti le 07 mars dernier. Ce beau livre, aux éditions Brigitte Eveno, contient 50 recettes où le chef dévoile ses secrets. Des plats aux saveurs authentiques de la Provence A la Bonne Etape, la cuisine est rythmée au fil des saisons. Elle est riche de saveurs mais légère au corps : un équilibre harmonieux savamment recherché. La maison propose trois menus, à savoir le menu Mer ou Garrigue, le menu Jarlandin dans lequel le dessert est une surprise du chef, ou encore le menu Jeunes Convives pour les moins de douze ans. Il est également possible de commander à la carte et essayer à l’entrée le fameux Foie gras de canard en trio en lobe ivre de vin rouge épicé, à 32€. Ce plat figureen saison au menu Jarlandin, tout comme l’Agneau de Sisteron rôti à feu d’enfer, servi avec du risotto. Le dessert à la carte va sûrement satisfaire les gourmets avec sixvariétés de délices sucrées, proposées avant le fromage sur une autre carte séparée. Le chef et son équipe sont heureux de conseiller leurs hôtes sur leurs choix et les vins qui s’y accordent. La cave de la maison, reconnue comme l’une des plus belles de France, laisse l’embarras du choix avec ses 600 références. Le secret est dans le potager La Bonne étape dispose d’un jardin potager baptisé « Jean Rey », en l’honneur du grand père qui était agriculteur. Le chef Jany Gleize a donné une nouvelle esthétique au jardin avec la collaboration de François Tessari, un jardinier ethnobotaniste de renom. Ils ont ainsi créé un jardin à l’anglaise où l’harmonie des couleurs est une véritable peinture vivante. La culture biologique y est privilégiée. Le désherbage se fait à la main, la terre est travaillée à l’aide d’une grelinette. Pour gérer les insectes nuisibles, le chef favorise les systèmes de « friches » où les larves des insectes ravageurs sont exposées aux prédateurs. C’est dans ce champ de légumes, d&rs...

Notre base de données a vocation à être la plus complète et la plus fiable possible

Pouvez-vous nous présenter Orphanet dont vous assurez la direction ?  Orphanet a été créé en 1997 par l’INSERM (Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale) et confiée au Dr Ségolène Aymé qui l’a mis en place à l’époque. Il s’agit d’un site qui compile l’ensemble des connaissances actuelles sur les maladies rares ainsi que sur les médicaments orphelins pour les mettre à la disposition des internautes. La base de données Orphanet est largement consultée, aussi bien par les malades que par les professionnels de santé, les étudiants et les chercheurs. Comment expliquez-vous un tel succès ? Avant la création d’Orphanet, on manquait cruellement d’informations sur les maladies rares. Le grand public mais aussi les professionnels ont alors pu accéder à des données d’une grande utilité : inventaires des pathologies rares et des médicaments orphelins, répertoires des associations de patients, des centres experts, des laboratoires médicaux, des professionnels de santé, des recherches en cours… Aujourd’hui, en revanche, l’information est partout. C’est pourquoi, tout en continuant de diffuser de l’information, Orphanet effectue également un tri. Nous vérifions systématiquement chaque information et sélectionnons celles qui sont les plus pertinentes. De cette façon, notre base de données a vocation à être à la fois la plus complète et la plus fiable possible. Selon vous, l’amélioration de la prise en charge des patients atteints de maladies rares passe-telle par l’accès à l’information ? Oui, l’accès à l’information est effectivement capital à la condition toutefois que la source de cette information ait été vérifiée. Mais si la réduction de l’errance diagnostique et l’amélioration de la prise en charge des patients passent en partie par l’information, elles passent également par la formation. Les professionnels de santé devraient développer le réflexe, en cas de doute ou de difficultés à poser un diagnostic, d’envisager une maladie rare et de consulter Orphanet pour y trouver l’information dont ils ont besoin. La « culture du doute » devrait donc être encouragée ? C’est évident. Du fait de leur grande diversité, il est impossible pour un médecin de connaître toutes les maladies rares. Mais comme je le disais, chez les médecins, le recours à Orphanet devrait devenir une sorte de réflexe. De même, des modules consacrés à l’étude des maladies rares gagneraient à être intégrés dans les cursus des professionnels de santé, sous la forme d’une formation continue, par exemple. Orphanet a largement contribué à diffuser de l’information sur les maladies rares. Depuis sa création, en 1997, quels sont les problèmes que ce site a pu rencontrer ? Les progrès récents qui ont été accomplis en termes de génétique ont entraîné une explosion de la littérature scientifique à laquelle nous avons dû nous adapter. De même, nous veillons à réactualiser régulièrement nos répertoires : centres experts, associations, professionnels de santé, laboratoires médicaux proposant des tests génétiques, essais cliniques en cours, etc. Mais cette actualisation reste largement dépendante des professionnels eux-mêmes.L’une des particularités d’Orphanet tient au fait que l’information proposée est la même pour les professionnels et le grand public (seules les voies d’accès sont susceptibles de changer). Ce souci de transparence est-il votre marque de fabrique ? Oui, absolument. Cette transparence, nous y sommes très attachés. Bien sûr, certains textes sont vulgarisés afin d’être plus facilement compréhensibles par le grand public. Mais il s’agit de la même information qui sera partagée par tous. Et rien n’empêche les malades qui sont devenus des experts de leur pathologie de consulter les articles et les recommandations destinés aux professionnels de santé.L’information que vous mettez à la disposition des malades et des professionnels de santé est complétée et actualisée régulièrement. Comment vous y prenez-vous ?  Notre base de données s’enrichit constamment. Pour cela, nous avons mis en place une veille de la littérature scientifique. Certains textes ont été rédigés par les équipes d’Orphanet avant d’être relus par des experts de la maladie rare qui y est abordée. D’autres textes sont écrits par des experts puis revus par un comité éditorial avant d’être publiés. Enfin, nos équipes de l’INSERM vérifient et réactualisent en permanence les informations qui nous parviennent des 41 pays dont se compose le consortium d’Orphanet.Orphanet est une référence mondiale. En combien de langues ce site est-il traduit ? Et combien totalisez-vous de connexions mensuelles ? Nous sommes intégralement traduits dans huit langues. D’autres pays traduisent certaines parties du contenu d’Orphanet. Et nous totalisons plus de 50 000 visiteurs uniques par jour depuis 235 pays. ...

PELLA ROCA, Cabane & Spa : des cabanes d’exception en Quercy

Véritables havres de paix perchés à hauteur des arbres, les cabanes de Pella Roca proposent à leurs hôtes un moment hors du temps grâce à des équipements spécialement aménagés pour assurer à la fois bien-être et détente.  Un domaine aux charmes intemporels Situé au cœur du Quercy blanc, aux portes du parc naturel des Causses du Quercy, le Domaine de Pella Roca profite d’un cadre verdoyant à l’ombre de grands chênes. Établi sur une ancienne bâtisse médiévale, le domaine témoigne des vestiges du passé. « Nous avons des pierres datant de Louis XV et un beau pigeonnier du XVIIIe », souligne Isabel Sanchez, la propriétaire. Implanté sur un terrain vallonné et boisé, c’est l’endroit rêvé pour les apéros au soleil et la contemplation des étoiles en soirée. Neuf hectares de truffière, bois et lande complètent le paysage de ce lieu exceptionnel. Un projet écologique Blotties sous les feuillages des chênes, les cabanes perchées ne font qu’un avec la nature environnante. À travers leur touche d’authenticité, la magie s’opère naturellement. « La particularité de ces cabanes, c’est que nous les avons construits nous-mêmes avec l’accompagnement d’un artisan et de designers professionnels », explique la responsable. S’inscrivant dans une démarche durable, chaque construction a été réalisée en suivant des procédés écologiques, et ce, dans le but de respecter la nature. Trois cabanes pour deux ambiances différentes Avec la Tropicabana, l’ambiance est aux couleurs tropicales. En amoureux ou en famille, les invités profitent d’un dépaysement total dans un cadre unique. Grâce à son sauna privatif et son jacuzzi écologique, offrez à votre moitié de vrais moments de détente avec, en prime, une vue imprenable sur les vallons des Causses. Cette cabane est l’idéal à l’occasion d’une escapade en famille, car elle a la particularité d’être modulable et peut accueillir jusqu’à quatre personnes. Les enfants disposent de leur propre cabanon qui communique avec celui des parents à travers une porte secrète ! Les Cabanes Spa 1 et 2 sont également équipées de sauna et de jacuzzi chauffant au feu de bois. Disponible sur la terrasse, le sauna privatif promet une singulière expérience.  À l’intérieur, tout est fait pour mettre les visiteurs à leur aise. « Nous avons mis des touches un peu plus design, des lignes droites tout en restant dans le rustique », développe Isabel. La décoration reste sobre avec des matériaux nature qui rappellent le style scandinave. ...

Au Bassin : un restaurant de terroir 

Au grand plaisir des clients en quête de bonne cuisine, l’ouverture du restaurant Au Bassin à Périgueux est une belle aventure culinaire qui ne fait que commencer. À partir d’une ancienne ambiance de café, l’établissement connait aujourd’hui une affluence différente avec la fréquentation d’une clientèle beaucoup plus exigeante qui y effectue le déplacement dans le but de partager un bon repas en famille ou entre amis. Un nouveau départ Judicieusement placé à la sortie de la voie des stades, le restaurant Au Bassin est, pour la plus grande part, fréquenté par les habitants de Coulounieix-Chamiers et des quartiers environnants, mais aussi par de nombreux groupes sportifs et clubs de loisirs différents. À travers des plats simples cuisinés sur place, la maison attire sympathie grâce à un accueil chaleureux  et particulièrement convivial ainsi qu’une admirable volonté à aller de l’avant. Une cuisine traditionnelle Beaucoup plus qu’un simple restaurant, Au Bassin est surtout une très bonne adresse à la table sympathique très appréciée de tous ceux qui recherchent des recettes d’antan dans leurs assiettes. Les chefs aiment surprendre leurs clients à travers une cuisine entièrement maison et très goûteuse, préparée à base de produits frais, pour leur donner le plaisir de renouer avec la bonne cuisine traditionnelle à qui l'établissement reste fidèle. De la disponibilité à revendre Ouvert six jours sur sept et toute la journée, le restaurant Au Bassin l’est également les jeudis, vendredis et samedis soirs, l’avantage étant de pouvoir s’y rendre sans réserver et d’y trouver facilement une table pour 8 ou 10 personnes. Pour les autres jours, il est plutôt recommandé d’effectuer une réservation. Cette grande disponibilité apporte au lieu, un très grand avantage qui progressivement suit son petit bonhomme de chemin dans un effet très réussi, ce qui vaut à l’établissement, une fréquentation élevée. Un personnel accueillant Constamment à l’écoute des attentes de la clientèle, le restaurant Au Bassin se distingue surtout par le professionnalisme de son personnel. À travers une qualité d’accueil remarquable et un fort sens du service, il déploie tout un art pour répondre au plus près à leurs besoins. C’est un restaurant où on se sent particulièrement bien accueilli et où on a régulièrement envie d’y revenir. ...

Grill M : un bistrot grill aux valeurs familiales...

Dirigé  par  la  famille  Petit,  cet  établissement  entièrement  rénové  en  2012, axe sa cuisine sur son savoir-faire et sa passion pour le produit donnant naissance à un bistrot grill spécialisé dans les viandes et poissons grillés. Longé par la Mourachonne, petite rivière affluent de la Siagne ayant donné son nom au restaurant, il offre une atmosphère chaleureuse et exotique. Un restaurant riche en histoire Niché au cœur de Pégomas, ce restaurant fût jadis la boulangerie du village. Sa localisation centrale sur la place du Logis a toujours fait de cet emplacement un lieu de passage pour rallier le littoral. Au fil du temps, cette bâtisse faite de pierres de taille entièrement rénové à inspirer la famille Petit pour y créer ce lieu de ralliement dédiés aux passionnés de viandes et de produits du terroir. Dans cet endroit élégant et chaleureux où règne une ambiance authentique, les valeurs culinaires artisanales et l’esprit convivial de partage sont à l’honneur. La  décoration  et les matériaux choisis offrent un savant  mélange  entre  chic  et  modernité.  La salle principale baigne  dans  une  luminosité  grâce à une véranda entourée de  baies vitrées donnant  directement sur le jardin exotique en bambou. Le Grill M, c’est ainsi un cadre raffiné dans une atmosphère conviviale et familiale, à travers une équipe avenante vous faisant découvrir avec enthousiasme leur vision de la gastronomie. Rencontre avec les chefs Le restaurant  vibre  autour  des  deux maestros  en  cuisine. D’un  côté,  Lionel  Loterie  qui  assure  la  direction de la cuisine et partage son amour pour la gastronomie française. D’origine parisienne et  fort de ses nombreuses années d’expérience dans la capitale puis à l'embouchure marseillaise, ce chef propose des  suggestions où souci du détail s’allie à l’art de la présentation des assiettes. Sa signature se reconnaît  à travers la  cuisson des poissons travaillés avec soin et au juste dosage des épices du monde qu’il  peut associer à ses  compositions. Il s’est également bâti une solide réputation dans l’univers de la  pâtisserie. Quant à Michel Pietrus, il est l’autre atout du Grill M. Ce chef cuisinier, originaire des Antilles offre  une  cuisine riche  et  généreuse aux saveurs provençales, pleines de soleil.  Il propose un  incroyable  voyage  culinaire  issu de son pays natal et de son expertise où viandes, marinades, et saveurs exotiques font partie de ses spécialités et de son identité. Une cuisine spécifique Le Grill de la Mourachonne doit sa notoriété à son bistrot grill qui met à l’honneur les viandes et les  poissons  grillés.  Pour  ce  faire,  les  chefs  travaillent  en  étroite  collaboration  avec  les  éleveurs,  producteurs  locaux  et  régionaux.  Soucieux  d’offrir  des  produits  de  qualité  et  dignes  de  ce  nom,  l’établissement  s’approvisionne  par  exemple  chez  des  éleveurs  bien  connus  comme  l'éleveur boucher Polmard ou encore le château Pesquié pour ses accords mets-vins. Une rigueur qui se reflète au travers de la carte et des suggestions quotidiennes recherchées et créatives.  Pour réaliser cette cuisine faite maison, l’établissement s’attache à la recherche des beaux produits  issus  du terroir.  Avec  les  producteurs  locaux,  il  cultive  des  valeurs  qu’ils  défendent  en  commun  :  manger frais au fil des saisons avec une traçabilité optimale. ...

Une bonne coordination du parcours de soins des personnes atteintes de maladies rares est essentielle

Quelle est votre mission au sein de la DGOS (Direction Générale de l’Offre de Soins) ? Mon rôle consiste à coordonner la mise en œuvre de ce que prévoit le Plan National Maladies Rares. Je viens notamment en aide aux personnes désignées pour élaborer des propositions pour le Plan n°3. Ma mission est donc une mission de suivi et de coordination interministérielle. Qu’est-ce qu’un centre de maladies rares ? Tous ces centres sont organisés en réseaux. Il en existe plusieurs catégories. Les centres de compétences (CC) assurent la prise en charge des patients atteints de maladies rares et la coordination de leur parcours de soin. Les centres de référence maladies rares (CRMR) prennent également en charge les malades mais ils ont des missions complémentaires d’animation et de coordination au sein du réseau, d’expertise, de recours, d’enseignement-formation et de recherche. On dénombre 23 filières de santé maladies rares (FSMR). Quand ont-elles été créées et dans quel but ? Leur création remonte au 2ème plan national maladies rares 2011-2014, lequel a été prolongé jusqu’en 2016. Ces filières ont pour but de favoriser la lisibilité de l’organisation entre les 109 réseaux dont nous disposons actuellement. Ce découpage en 23 filières facilite considérablement l’orientation des malades vers un centre qui soit adapté à leur pathologie. Ces filières ont également pour objectif de coordonner les différentes actions qui sont menées : expertise, recherche, enseignement, formation… On pourrait donc dire des filières qu’elles constituent l’interface entre les différents acteurs du domaine. Les réseaux maladies rares, bien sûr, mais aussi les laboratoires de diagnostic, les unités de recherche, les universités et les structures médico-sociales sans oublier les associations qui sont toutes très impliquées. Pour résumer, les filières de santé maladies rares répondent à un double objectif : faciliter la compréhension de l’organisation (centres de référence, centres de compétences) mais aussi « décloisonner » le système pour favoriser la communication entre ses acteurs.Où en est-on en France du parcours de soins dans le cas des maladies rares ? Une bonne coordination de la prise en charge des patients est essentielle. En France, nous avons la chance de pouvoir nous appuyer sur une offre non seulement de haut niveau mais aussi très structurée. Cette structuration (centres de référence maladies rares, centres de compétences, filières de santé maladies rares) que les autres pays européens nous envient, forme un maillage très dense. Grâce à elle, nous pouvons orienter efficacement les malades et leur proposer une prise en charge adaptée.. C’est ce maillage très dense qui nous permet actuellement d’orienter efficacement les malades et de leur proposer une prise en charge adaptée. Bien que nous ayons beaucoup progressé, l’errance diagnostique reste bien évidemment une préoccupation majeure. Le diagnostic est parfois difficile à établir. Mais à partir du moment, et ce indépendamment de la pose précise du diagnostic, où une personne atteinte de maladie rare sera orientée vers le centre approprié, sa prise en charge sera la plus complète possible. Nos centres sont pluri-professionnels. C’est à dire qu’aux équipes médicales viennent s’ajouter des psychologues, des assistantes sociales, des kinésithérapeutes, des nutritionnistes, etc. Chacun de nos centres réunit donc des professionnels dont la spécialité est adaptée aux pathologies devant être traitées. De plus, ces centres collaborent étroitement avec le médecin traitant, les associations de malades et tous les acteurs d’accompagnement. Et au niveau européen ? Une organisation est en train de se mettre en place an niveau européen. En 2016, la commission européenne a lancé 24 réseaux européens de référence (ERN). Certains de ces réseaux européens sont d’ailleurs coordonnés par des équipes françaises. La France est le premier pays en Europe à avoir élaboré puis mis en œuvre un plan national. Et elle contribue à cette construction européenne.Un mot sur les Assises de Génétique Humaine et Médicale et la Journée Internationale des Maladies rares ? Il est essentiel de parvenir à faire connaître, et même reconnaître davantage les maladies rares. Et des événements comme les Assisses de la Génétique ou encore la Journée Mondiale des Maladies Rares y contribuent. Comme je le disais, le diagnostic de certaines maladies rares est compliqué. Pour un médecin, cela nécessite d’avoir une véritable « culture du doute » face à des symptômes qu’il ne parviendrait pas à expliquer. On estime à 3 000 000 en France le nombre de personnes qui pourraient être atteintes de maladies rares. Or une prise en charge adaptée permet sinon d’assurer la survie, au moins d’améliorer la qualité de vie du malade. Je suis convaincue que plus on communiquera sur les maladies rares, plus on contribuera à réduire l’errance diagnostique. L’errance diagnostique est donc une priorité de santé publique ? Exactement. L’objectif, ...

La Forge de Laguiole :
30 ans au service du couteau bicentenaire

Créée en 1987, la manufacture Forge de Laguiole résulte d’un projet de passionnés qui a depuis relancé la production de son célèbre couteau, connu et reconnu depuis 1829. Toutes les étapes de fabrication sont à nouveau réalisées sur son lieu d’origine : Laguiole (se prononce « laïole »), village aveyronnais de 1200 habitants.  Le design de l’établissement est confié à Philippe Starck qui traduit parfaitement la philosophie de l’entreprise : l’alliance de la création et de la tradition. Une architecture de verre et d’aluminium d’où s’élance une lame de 18 mètres de haut, symbole de l’activité et du dynamisme de l’entreprise. Une production entièrement maitrisée Chaque couteau laguiole demande plusieurs heures, voire plusieurs jours de fabrication. La qualité de sa finition, la résistance de sa lame et de son ressort, l'épaisseur de ses mitres et platines, ainsi que la précision de son ajustage sont les éléments qui contribuent à sa durée de vie.  La manufacture intègre toutes ces étapes de fabrication. Elle forge et trempe les lames sur le site de Laguiole. Le dessin de chaque couteau doit respecter le profil général déterminé par les couteliers du XIXème siècle ; la ligne des couteaux de la Forge de Laguiole inspire aujourd’hui de nombreux designers. Plusieurs types d’aciers forgés sont proposés pour satisfaire les amateurs de modèles traditionnels comme ceux de couteaux modernes. L’acier au carbone est le plus ancien. Apprécié des collectionneurs, il possède un fil irréprochable et « vit » en s’usant et changeant de couleur. Le nouvel acier T12 est, pour sa part, inaltérable, il conserve son éclat et son tranchant au fil des ans. Un savoir-faire unique Une centaine de salariés hautement qualifiés opère, chacun selon sa spécialité. C'est un véritable voyage dans le temps que propose Forge de Laguiole, pas de course inutile à la technologie, ni de cadences infernales. Ici, on travaille à l'ancienne, selon des techniques éprouvées. C'est le lieu du toucher, de l'odeur des matières, de l'œil qui guide le travail millimétré des mains, des bruissements des frottes en lin ou du choc des rivets.  Fabriquer un couteau pliant ou un couteau de table laguiole comprend de nombreuses étapes essentielles telles que l'estampage, la découpe, l'ébavurage, le blanchissage, le guillochage, le perçage, le façonnage, le détourage, le polissage et le lustrage… Assembler un couteau réclame entre 40 à 180 opérations.  Toutes sont réalisées sur place. A commencer par les lames dont les aciers différents sont forgés trempés et finissent par se parer de toutes les variantes du rouge. Ici, on aime à dire que le Laguiole épouse le rouge-cerise, sa robe favorite. Celle-ci suivra ensuite le même circuit, le même rite. Elle croisera dans les couloirs ou dans les bacs les manches sculptés dans d'innombrables matières. Elle sera frappée du précieux logo, elle se dévoilera, sertie du ressort guilloché et la célèbre abeille lui sera apposée...  Les mains du coutelier et les matériaux utilisés font de chaque couteau une pièce unique. Qu’il s’agisse de pliants aux manches façonnés en corne, en bois, en aluminium, en os ou en carbone, avec une lame de 7 à 21 cm, un tire-bouchon et un poinçon ou des couteaux de table : Tout se passe à l'œil, au jugé, au ressenti, au touché. Fabriquer un vrai couteau Laguiole est un processus complexe qui témoigne d'un authentique savoir-faire, c’est celui-ci qui fait la renommée de La Forge de Laguiole à travers le monde.  ...

Vins Klipfel : fierté de l’Alsace

Artisan de la terre et amoureux du vin, la famille Klipfel se démarque pour son savoir-faire séculaire. Elle possède en tout quatre terroirs répartis chacun dans différentes communes : le grand cru Kirchberg-de-Barr et le Clos Zisser se trouvant dans la commune du Barr ; le grand cru Wiebelsberg et le grand cru Kastelberg situés dans la commune d’Andlau. Une autre particularité de la Maison est qu’elle fait partie des pionnières dans l’élevage de pinot noir en barriques bourguignonnes, dit « rouge barrique », en 1984. Le meilleur de l’Alsace L’Alsace est incontournable dans l’histoire de la France. Berceau de La Marseillaise, c’est sur cette terre bénie que sont nés les grands noms de la Révolution française tels que Kléber, Kellermann et Dreyfus. Son patrimoine culturel fait d’elle l'une des régions les plus touristiques d’Europe, avec plus de 250 musées à son actif. Ses vignobles s’étendent sur plus de 15 000 hectares et produisent principalement du vin blanc, mais aussi des effervescents, du rouge et du rosé. Tous sont réputés pour leur aromatique puissante et leur équilibre remarquable entre maturité et acidité. Le domaine familial Klipfel contribue à préserver la notoriété des vins alsaciens en optant pour une fabrication traditionnelle dont il est le seul à en avoir le secret. Le produit emblématique de la Maison est le pinot gris grand cru Kirchberg-de-Barr, sélection grains nobles 2007, issu de cépage pinot gris. Ce vin aux arômes fruités est puissant en bouche. Autre incontournable : la cuvée Louis Klipfel-Vieilles vignes 2015, issu de cépage pinot blanc, tendre et léger qui s’accorde bien avec les spécialités alsaciennes ou les fruits de mer. ...

O de Mer :
une cuisine qui met l'O à la bouche

Situé non loin de la magnifique église d’Ars-en-Ré, le restaurant O de Mer offre une cuisine gourmande et raffinée, qui fait plaisir aux fins palais. Faire plaisir, justement, est l’une des valeurs qui animent cet établissement, au sein duquel vous vous sentirez comme à la maison. Un maitre restaurateur aux fourneaux Ayant débuté sa carrière en Europe dans le domaine de la restauration, Thierry Hainaut a forgé son expérience, longue de 25 ans, en Australie. Poussés par leur volonté et leur passion, Thierry et sa femme ont trouvé un coin de paradis à Ars où ils ont décidé de poser définitivement leurs valises. « Il y a 7 ans, nous avons rouvert ce petit restaurant avec Corinne pour retravailler à deux les produits qui nous font plaisir. Mais aussi pour retrouver la compagnie de nos clients, qui sont d’ailleurs devenus des amis très proches », explique Thierry Hainaut. Depuis 2014, le chef a été gratifié du titre de « maitre restaurateur », un statut délivré par l’État pour les restaurants traditionnels français. Ce label engage les restaurateurs à propose runiquement des plats faits maison, notamment avec des produits bruts et frais issus du circuit court.En 2016, Thierry Hainaut devient membre fondateur du Collège Culinaire de France, ce qui a permis à son bistrot de figurer parmi les « Tables gourmandes Poitou-Charentes ». Un cadre intimiste et agréable Le restaurant O de Mer est doté d’une belle salle, où le plancher en bois ancien confère tout son charme au lieu et les tables, couvertes de nappes blanches et entourées de chaises en cuir, renforcent l’aspect élégant du restaurant. Durant la période hivernale, un petit coin feu apporte chaleur et réconfort, tandis que, en été, la terrasse offre une vue imprenable sur le clocher d’Ars. Implanté dans la rue piétonne, ce restaurant intime de 22 couverts est idéal pour les rendez-vous romantiques. Une adresse gourmande au pied du célèbre clocher d’Ars-en-Ré Le chef élabore avec soin et créativité une cuisine gastronomique revisitée selon ses humeurs et la saisonnalité. Sa spécialité est la truffe fraiche. D’ailleurs, la maison a développé une carte, où les mets peuvent être accompagnés de truffe fraiche râpée selon les choix et les envies. En entrée, les convives se laisseront séduire par les saveurs du foie gras des Landes mi-cuit aux algues de Roscoff, salade de mer en tartare et brioche moelleuse. En plat de résistance, ils se laisseront tenter par la bouillabaisse de bar, Saint-Jacques et homard façon « Ô de mer », parfums d’orange et anisette, pommes grenailles et mousseline de rouille. Au dessert, les gourmands seront satisfaits par un petit bonbon chaud de chabichou du Poitou, cœur de miel et truffe, sirop pom’poires. Quant au menu, la maison propose en entrée une Ile flottante au délicat parfum de Tuber Albidum sur un velouté de cèpes de Dordogne. Vient ensuite, en plat de résistance, le bœuf Wagyu australien confit 8 heures et pâtes fraiches réduction de vieux pomerol aux perles du Japon et truffe. Le mélodieux repas s’achève avec le minestrone glacé de fruits de saison d’ici et d’ailleurs, glace à la truffe. ...

SOFIE : solution dédiée des investisseurs en Flandre Pays de Saint-Omer

L’ambition de cet organisme, aujourd’hui présidé par le chef d'entreprise François Motte, est clairement traduite dans son appellation. Il entend être l’interface pour les entreprises qui projettent de s’implanter sur le territoire. Accueillir les investissements dans un espace d’opportunités La première mission de SOFIE est de faciliter l’installation des nouvelles entreprises qui cherchent à investir dans l’espace économique Flandre Pays de Saint-Omer. Il faut dire que celui-ci présente d’innombrables atouts qui y ont déjà attiré, à ce jour, quelque 11 800 entreprises. L’agence SOFIE opère tant pour les implantations nouvelles que pour le développement des entités existantes. Les porteurs de projets accèdent aux mêmes gammes de services. En outre, il faut savoir que SOFIE est financée par les collectivités qui font du développement économique leur priorité.   Une agence comme SOFIE bénéficie aux chefs d’entreprise à bien des égards. Ils peuvent, ainsi, réinvestir le temps gagné dans les contacts à établir avec les différents acteurs, dans leur cœur de métier. Cette interface d’entreprises devient effectivement le référent unique de leurs démarches. En particulier, l’équipe de SOFIE favorise l’accès de ces investisseurs aux opportunités immobilières et foncières présentes sur le territoire. En sachant que celui-ci rassemble une vingtaine de parcs d’activités regroupant diverses filières (agroalimentaire, industrielle, logistique, services, etc.). Les atouts d’une zone d’activité Sur ses 2000 km² d’espace, la Flandre Pays de Saint-Omer donne accès à 300 ha de domaines fonciers. Les nouvelles entreprises ont toute latitude pour trouver un espace adéquat, quel que soit leur type d’activité. Tous les types de bâtiments sont effectivement disponibles parmi les 300 biens en concurrence. La desserte du site est optimale, non seulement par sa situation privilégiée sur les connexions autoroutières A16, A26 et A25, mais aussi par la présence du port fluvial d’Arques. Une dizaine d’enseignes profitent déjà des performances de ce dispositif technique. La Flandre Pays de Saint-Omer, c’est surtout l’opportunité de se positionner dans un bassin rassemblant des filières d’excellence. Outre l’agroalimentaire, filière pour laquelle le territoire détient une solide réputation, avec ses 5 000 emplois,  le site présente des performances convaincantes dans le secteur industriel. Celui-ci fournit 30% des emplois salariés avec des enseignes comme ARC, en tête de file. Cette dernière fait figure de fleuron économique du territoire avec son titre de première industrie et de première entreprise exportatrice. Le savoir-faire d’entreprises, de spécialités différentes, comme la brasserie Goudale et la brasserie de Saint-Omer, a fait du territoire le premier pôle brassicole indépendant, à l’échelle nationale. Enfin, les différents cœurs de métiers peuvent trouver les ressources dont ils ont besoin en matière de compétences sur cet espace dynamique qui compte 71% d’actifs. SOFIE s’attache également à apporter son soutien dans le recrutement de la main-d’œuvre parmi les ressources locales qui bénéficient d’une palette de formations diversifiées dans les établissements du territoire. À l’origine de SOFIE, l’histoire d’une capitalisation de compétences Saint-Omer Flandre Interface d’entreprises a commencé à assurer ses différentes missions en 2016. Les compétences de cet acteur majeur de la promotion économique du territoire découlent de la mise en commun des savoir-faire de deux agences. L’agence de développement économique de Flandre Intérieure et celle du Pays de Saint-Omer. SOFIE disposent de deux bureaux pour accueillir les organisations requérant ses services. À Hazebrouck, les prestations sont assurées au Centre tertiaire Flandre Lys. A Saint-Omer, l’équipe est joignable à la Maison du Développement Economique. Ces lieux regroupent les partenaires du territoire en lien avec l’économique. ...

Domaine Courège-Longue :
des terroirs exceptionnels

Le nom du domaine « Courège-Longue » n'est autre que le nom d'anciennes vignes héritées de son grand-père et qui existaient bien avant mais qu'il a reprises seulement en 2012. Depuis, David conduit son vignoble en lutte biologique et s'emploie à perpetuer le savoir-faire vigneron de la famille.  À chaque cuvée, son terroir Les vins de la maison sont issus de 4 terroirs différents. On trouve un sol argilo-sableux au nord, un sol de style terrefort au sud, des graves rubéfiés et un sol argilo-ferreux. Cette diversité géologique donne naissance à des vins de caractère. ...

Domaine Les Maillols :
des vins aux accents du Sud

Installé sur les contreforts de la montagne noire, le vignoble du domaine Les Maillols profite des largesses du climat méditerranéen, qui, combinées au sol limoneux calcaire, confèrent aux vins leur caractère souple et fruité. Une viticulture plus que raisonnée Sur les 13 ha du domaine Les Maillols, le vignoble est réparti en 10 ha AOP Minervois et le reste en IGP Coteaux-de-Peyriac.  Philip Birolleau, propriétaire-gérant et œnologue, y pratique une viticulture raisonnée, s’apparentant plus au biologique selon ses dires. « Nous travaillons les sols et n’utilisons pas d’herbicide. Nous ne réalisons pas plus de 6 traitements annuellement, ce qui est très faible dans le monde viticole. » Des minervois très élaborés En dénomination IGP Coteaux-de-Peyriac, le domaine propose 3 cuvées intitulées « L’Instinct plaisir » en blanc, en rouge et en rosé. Il s'agit d'une gamme monocépage pour exprimer le profil aromatique de chaque cépage du domaine. Faisant la fierté de Philip Birolleau, les cuvées rouges AOP Minervois font l’objet d’une attention particulière de sa part. « La cuvée M et l’Âme des Maillols sont élevées en barriques durant 12 et 18 mois respectivement », nous précise-t-il.  ...

Le Quai St-Malo : Donnez du souffle à vos événements !

Ce centre d’exposition été créé en 1994 à l’initiative de la Chambre de Commerce et d’Industrie. Décliné dans un style brut et industriel, le bâtiment possède une superficie globale de 2400 m2 permettant d’accueillir jusqu’à 2500 personnes. A l’extérieur, un espace de 1000 m2 est disponible pour des expositions ou des animations. En termes de commodité, visiteurs comme organisateurs pourront profiter par exemple d’un parking privé attenant, ou encore un accès gratuit au wi-fi. Jouissant de sa situation exceptionnelle au bord de la mer, le Quai St-Malo accueille des salons publics ou professionnels mais aussi des événements d’entreprise et culturels. Une ville attractive Devenue aujourd’hui une destination très prisée, Saint-Malo est marquée par une forte identité, issue de son histoire et de sa culture entre terre et mer. Avec son riche patrimoine maritime, la ville offre une palette d’activités centrée autour de la mer. En outre, les entreprises ont l’embarras du choix quant aux différentes activités incentives proposées : sorties en hélicoptère, rallyes éco-responsables, balades en gyropode dans la vieille ville, découverte des îles autour de Saint-Malo,…. ...

Maison Chollet : 40 ans d’expérience dans la production de cognac

À déguster sous forme de cocktail ou sec accompagné de glaçons, le cognac offre un jeu subtil d’alliances de saveurs pour plaire aux amateurs. La production de cette eau-de-vie constitue le cœur de métier de la Maison Chollet. À travers une expérience de près d’un demi-siècle, le fabricant réalise ses assemblages avec harmonie, tel un véritable musicien ou un peintre, révélant toute la quintessence d'un produit d'exception. Une passion familiale depuis 1952… C’est entre 1952 et 1960 que Jacques et Jeanine Chollet investissent dans l’achat de leur terrain, puis aidés par leurs enfants, ils construisent une distillerie pour produire de l’eau-de-vie. Leur fils Chollet Bertrand reprend le flambeau en 1995 pour s’occuper et gérer le vignoble puis en 2008 c’est au tour de Christophe Chollet et sa compagne Marie Berry de prendre en main la partie élaboration et commercialisation de l’entreprise familiale. Après quarante ans d’existence, la Maison Chollet n’a pas changé son mode de production. Négociée puis sélectionnée méticuleusement, l’eau-de-vie est vieillie en fût de chêne pendant plusieurs années. De ce procédé naissent le VS de deux ans, le VSOP de quatre ans, le XO de dix ans ainsi que l’Altesse âgée de quarante ans, un élixir noble et très recherché. Parmi les produits phares de la maison figurent Les Millésimes « qui sont rares et plutôt difficiles à produire, car nécessitant une traçabilité draconienne », nous confie Marie Berry, propriétaire.  Le 3945 : un coup de cœur… À la question « Quel est votre produit ambassadeur ? », Marie nous cite sans hésiter son cognac 3945. Distillé dans de vieux alambics et vieilli en fût de chêne, ce nectar rare et précieux est issu de l’assemblage d’eaux-de-vie de Fins Bois des années 1938 à 1946. De belles caractéristiques qui lui confèrent puissance et caractère. Avec un goût boisé et une bonne tenue en bouche, le 3945 est le must-have pour les amoureux de bon cognac. Et comme la maison possède moins de 400 bouteilles, « seuls les plus chanceux pourront le déguster », déclare notre interlocutrice. ...

Les formations 2021 du CNRS toujours plus adaptées aux besoins du tissu socio-économique

Des formes de collaborations multiples entre le monde socio-économique et le CNRS Les modalités de collaborations entre un industriel et le CNRS sont nombreuses et s’adaptent à tous les besoins des entreprises des grands groupes aux PME et start-up au travers d’accords-cadres autour de programmes de recherche, de laboratoires communs, de contrats de recherche ou d’expertise, d’accompagnement de start-up, d’encadrement commun de thèses CIFRE ou encore de formations courtes de haute technicité. En effet, qui, mieux que les personnels des laboratoires du CNRS et de ses partenaires, peut informer sur les dernières avancées scientifiques mais aussi sur les technologies expérimentales de pointe, sur l’intelligence artificielle ou encore sur les phénomènes sociétaux qui impacteront nos usages économiques et plus largement comportementaux ? Où, mieux que sur des plateformes de recherche, peut-on apprendre et mieux comprendre ? Dans ce cadre, la formation continue joue un rôle clef et répond à une demande croissante des industriels : CNRS Formation Entreprise forme plus de 1600 stagiaires chaque année dont la moitié issus d’entreprises et environ 20 % du secteur public non académique. Des formations adaptées aux besoins des filières industrielles  CNRS Formation Entreprises adapte chaque année son offre aux besoins du monde socio-économique. Cette année, son catalogue de formations répond aux priorités nationales et aux enjeux des filières industrielles énergie, automobile, eau, cosmétique, électronique et santé. Pour 2022, CNRS Formation Entreprises propose aux ingénieurs, chercheurs, techniciens des secteurs privés et publics plus de 230 formations de haute technicité. Ces formations sont dispensées partout en France, par les personnels de la recherche des 1100 laboratoires du CNRS et de ses partenaires ; la pédagogique s’appuie sur l’apprentissage par la manipulation d’équipements ou de données et sur les échanges interactifs entre personnels de la recherche et professionnels apprenants (en petits groupes). La qualité des apprentissages est privilégiée, en exploitant les nouvelles modalités pédagogiques offertes par les technologies numériques. Pour plus de flexibilité, des formations sur mesure Les formations intra-entreprise peuvent être une solution pour faire monter en compétences une équipe ou répondre aux besoins de collaborateurs travaillant dans différents services d’une même entreprise. Ces formations peuvent être adaptées à partir d'une formation existant au catalogue ou bâtie sur un programme sur-mesure défini par l’entreprise avec l’équipe pédagogique du CNRS qui identifiera l’expert ou les experts les plus à même de répondre au besoin de la société cliente. Depuis la crise sanitaire, les demandes concernant ce format intra-entreprise sont croissantes. Ces formations dispensées dans les locaux de la société cliente présentent de nombreux avantages : pas de déplacement des collaborateurs qui sont absents sur une durée moins longue ; flexibilité sur les dates de la formation. A la demande de la société cliente, ces formations intra-entreprises peuvent également avoir lieu dans un laboratoire du CNRS. Dans tous les cas, les collaborateurs sont regroupés autour d'un thème commun, plus ciblé et personnalisé créant une dynamique de groupe voire une cohésion d'équipe ! ...

Earl Vignobles Lopez : un passé riche pour un domaine exceptionnel

Earl Vignobles Lopez : une AOC Bordeaux Supérieur L’AOC Bordeaux Supérieur s’étend sur 9 000 hectares de vignoble pour une production de 519 000 hectolitres. Elle affiche une vaste diversité de reliefs, d'expositions et de sols à la fois propices à la culture de la vigne blanche et rouge. Les vins sont élaborés à partir des Cabernet-Sauvignon, du Merlot et du Cabernet franc. Le petit Verdot et le Malbec sont des cépages d’appoint. Ici, chaque production a sa particularité puisque les vignerons respectent la nature et préservent la biodiversité.  Avec les Vignobles Lopez, une histoire passionnante commence toujours !   Les Vignobles Lopez sont un domaine viticole exploité et mis en valeur depuis plus de 50 ans par la famille Lopez. C’est en 1963 que cette aventure a débuté avec Lopez Camàra Jean et son épouse qui ont été rejoints par leurs fils en 1980. Ils ont ensuite passé le flambeau à leur petite fille Géraldine qui a apporté une touche de fraîcheur et a renouvelé le vignoble. C’est aujourd’hui un beau domaine d’AOC Bordeaux Supérieur.  Les vins issus des vignobles Lopez sont un assemblage de Merlot et de Cabernet-Sauvignon et petit Verdot. Les cépages bénéficient d’un climat doux avec des sols sablo-graveleux, sablo-argileux et argilo-calcaires. Grâce à ces conditions favorables, « on travaille le maximum de raisins avec une date de récolte optimale » nous explique Géraldine Lopez. Le château de l’Hermitage, un vin travaillé dans le plus grand respect de l’environnement Selon Géraldine Lopez : « le vin est victime de certaines dérives technico-mercantiles. Les produits chimiques créent des dégâts considérables. Il faut réfléchir à un moment donné pour continuer à vivre en équilibre avec la nature ». C’est donc face à cette situation qu’elle et sa famille ont opté pour une agriculture 100 % bio, une valeur qualitative encore mal comprise par certains vignerons.  Elle met un point d’honneur à travailler ses terres dans le plus grand respect de l’environnement. La récolte est vinifiée après égrappage complet et mise en cuve ciment et d’inox. Les vins sont élevés pendant neuf mois minimum avant leur commercialisation. Bien évidemment, le jus est gooté régulièrement pour connaître le moment précis où on doit le sortir des barriques. L’alliance des méthodes traditionnelles et des techniques modernes a notamment permis d’obtenir un succulent millésime certifié « AB » en 2013. Grâce à cette originalité, les Vignobles Lopez ont été médaillés à Paris, Bordeaux et ont reçu des médailles d’or au Concours International Gilbert & Gaillard. Château de l’Hermitage, un véritable délice pour les gourmets La diversité des cépages présents sur le domaine permet des cuvées très personnelles. Les gourmets peuvent déguster du bordeaux rosé, du bordeaux blanc sec ou à l’arôme floral et au gout très aérien. Le Château de l’Hermitage est un vin composé de 50 % de Cabernet et 50 % de Merlot, avec une bonne persistance. Il est élevé pendant 2 ans pour avoir une qualité optimale de dégustation. À l’œil, il a une robe rubis avec une belle limpidité. Il amène la finesse et la sucrosité en bouche. Le Château Lagrugère, deuxième vin de l’exploitation, est issu de vieilles vignes situées sur le haut des coteaux d’Albret, sur des terres argilo-calcaires. C’est un vin aux arômes fruités et agréable en bouche. Il est utilisé pour l’export (Allemagne, Chine, Danemark, Japon, île de la Réunion). « Il est intéressant d’ouvrir les bouteilles une heure avant dégustation pour qu’elles soient plus expressives », précise la gérante du domaine. ...

Markar : aux portes des saveurs d’Orient

Véritable portail de la gastronomie orientale, Markar invite les plus curieux à un voyage inédit au cœur des saveurs arméniennes, libanaises, turques ou encore grecques. Une épicerie fine orientale Créée en 1990 par Kirkor Markarian, la maison Markar suggère une variété de produits qui réserveront des surprises à tous les palais. Pour un apéritif original, l’épicerie regorge de fruits secs, biscuits salés, mezze et charcuterie. Pour ceux qui n’ont pas encore eu l’occasion d’y goûter, la charcuterie arménienne est absolument à découvrir. Markar invite à déguster ses deux spécialités faites maison. Le Pasterma qui est une viande séchée de bœuf enrobée d’une pâte d’épice, et le Soudjouk, un saucisson de bœuf préparé à partir de viande hachée et de boyau naturel. « Pour la viande, on a un rayon boucherie et on utilise de la charolaise, c’est une des meilleures viandes racées françaises », explique Massis Markarian, le fils de Kirkor, qui co-gère la boutique familiale. En guise d'accompagnement de ce plateau de charcuterie, l’épicerie propose des vins d’Arménie aux qualités surprenantes. A découvrir : des vins rouges médaillés d’argent aux concours Mundus Vini en Allemagne comme le Karas ou le Takar ou encore un vin récompensé de la grande médaille d’or à Bruxelles, le Kataro. En parallèle, Markar dispose également de produits exceptionnels tels que le brandy. En effet, l’épicerie suggère à ses clients les brandys les plus raffinés comme le brandy ARARAT VASPURAKAN (15 ans d’âge) ou le brandy ARARAT NAÏRI (20 ans). « Ils sont quasiment introuvables en France, on est le seul à en avoir », souligne Massis Markarian. Au rayon des condiments, les épices indispensables à la cuisine orientale : cumin, piment, thym... mais aussi des huiles d’olive venant de Grèce sont à ne pas manquer. Côté douceurs, fruits secs, confiseries (loukoums, halva, kourabiedes) et pâtisseries orientales sont aussi disponibles. Markar suggère également des produits traiteur. Tout est fait maison ! Du houmous (à base de purée de pois chiches et tahini) en passant par le tzatziki (mezze grec et turc),  le tarama (mezze à base d’œufs de poisson, lait, jus de citron et mie de pain) ou le ktipiti (amuse-bouche à base de feta, yaourt et poivron rouge). Enfin, l'une des spécialités de la maison : les feuilles de vigne farcies au riz, les Dolma. À ne surtout pas rater ! « On a des clients qui viennent de loin spécialement pour ces produits », raconte le gérant. ...

QUANTUM ROOMS : une expérience unique d’escape game

L’escape game est devenue rapidement une attraction phare aux quatre coins du monde. Devant une concurrence de plus en plus vive, chaque enseigne rivalise d’ingéniosité afin de tirer son épingle du jeu. De l’originalité, c’est ce que propose QUANTUM ROOMS à travers la création de son propre scénario qui le caractérise des autres grandes enseignes franchisées. Le concept QUANTUM ROOMS : un scénario bien ficelé Dompter le temps et pouvoir le remonter à sa guise, les concepteurs de chez QUANTUM ROOMS seraient-ils des visionnaires ou de grands rêveurs ? Toujours est-il que le scénario développé s’articule autour du voyage temporel. Pour faciliter l’immersion et mettre les joueurs au parfum, le maître du jeu  les convie à un briefing durant quinze minutes. Une fois briefé, le groupe incluant trois à six joueurs se voit investir d’une mission de sauvetage d’un genre particulier. Très vite plongés dans l’ambiance grâce à un décor qui s’adapte merveilleusement bien à la thématique proposée, ils doivent retrouver rapidement un scientifique qui a réussi tout bonnement à se perdre dans l’espace-temps. À la recherche d’éventuels indices, ils vont devoir fouiller l’appartement du professeur Cortex et tenter de résoudre des énigmes. C’est seulement après les avoir résolues que les participants pourront trouver le moyen de voyager dans le temps. Ainsi, QUANTUM ROOMS suggère un scénario captivant qui ne manquera pas de tenir les participants en haleine. Après la mission, une séance de débriefing avec le maître du jeu permettra de revenir sur les temps forts et d’aborder les lacunes constatées au cours du jeu. QUANTUM ROOMS : pour le plaisir des petits et des grands Pour satisfaire un grand nombre de participants, l’enseigne a fait en sorte d’adapter ses créations afin de toucher un large public. À partir de dix ans, les jeunes peuvent s’embarquer pour une expérience de voyage temporel inédit. Bientôt un anniversaire à fêter ? Les parents pourront compter sur QUANTUM ROOMS pour marquer l’événement comme il se doit. Pour les plus grands, ce sera l’occasion idéale de s’amuser entre amis tout en renforçant les liens autour d’une activité intéressante. Idem pour ceux qui se côtoient uniquement au bureau. Il faut savoir que les entreprises représentent 50 % du public des salles parisiennes. QUANTUM ROOMS propose aussi ses offres aux entreprises pour des séances de team building réussies. Rien de tel qu’un escape game pour consolider l’esprit d’équipe. En effet, dans le but d’atteindre l’objectif de la mission qu’on a assignée aux participants, le travail en équipe est plus que nécessaire. De leur faculté à bien communiquer et à coordonner les efforts dépendra la réussite ou l’échec de la mission. Pour l’instant, QUANTUM ROOMS ne dispose que d’une salle pouvant accueillir au maximum douze personnes en deux groupes qui devront alterner l’un après l’autre. Pas de panique ! À partir du mois de décembre, la capacité d’accueil sera revue à la hausse avec la création d’une seconde salle. Grâce à ces deux salles, il sera possible d'accueillir soit douze personnes en deux groupes avec un dans chaque salle, soit vingt-quatre personnes en quatre groupes, deux groupes passant d’abord pendant que les deux autres patientent, puis en inversant. Avec la seconde salle, selon la durée de l’événement, les groupes peuvent aussi alterner encore une fois pour que chaque groupe puisse faire aussi la seconde salle de jeu qu’il n’avait pas fait. ...