C’est à une heure de la mer Méditerranée que se dresse cette petite ville fière de ses villages et cités fortifiées, héritage d’un passé à forte résonance cathare. Randonnées, visites guidées, circuits sur la célèbre route du cassoulet ou promenades en bateau sur le canal du midi sont autant d’occasions de découvrir la richesse de ce patrimoine atypique. Ce trésor, fierté de tous les habitants, se célèbre à l’occasion de fêtes et d’événements organisés chaque année dans le but de partager, de faire revivre et de faire découvrir les traditions ancestrales qui ont forgé la réputation, relativement gourmande, du Pays cathare. Un riche patrimoine témoin d’un passé glorieux Castelnaudary se situe d’emblée au cœur d’une région marquée par une forte identité cathare. Ce catharisme, se reflétant dans le visage fortifié des cités et des bâtisses emblématiques de la ville, fait l’objet d’une préservation entamée dans le but de garantir l’authenticité d’un paysage haut en couleur, embelli par les champs de tournesol, de blé ou par les vignobles. Sur les traces de cette civilisation, consacrez quelques heures à la visite de l’abbaye de Saint-Papoul, une ancienne cathédrale abritant, dans le réfectoire des moines, les œuvres d’art du maître de Cabestany datant du XIIe siècle. Sillonnez également les ruelles du centre historique de Castelnaudary où se dressent de nombreux monuments, à l’instar de la Halle de Verdun, le musée du Lauragais, la chapelle de Notre-Dame-de-Pitié ainsi que la collégiale Saint-Michel. Découvrez, entre autres, l'activité meunière de la région, son histoire et ses traditions, lors d’une visite du fameux moulin de Cugarel, datant du XVIIe siècle, depuis lequel vous pourrez admirer la plaine céréalière du Lauragais ainsi que la montagne Noire. C’est d’ailleurs depuis cette montagne que coulent les eaux stockées dans le site de Saint-Ferréol et partagées ensuite au niveau du Seuil de Naurouze pour donner naissance au canal du Midi. Point de départ de ce canal séculaire, Castelnaudary a conservé les aspects emblématiques de cet ingénieux système hydraulique, inauguré en 1681, à l’instar des quatre écluses Saint-Roch, du grand bassin et du port doté de hangars de stockage céréalier que vous pourrez admirer lors de balades en bateau. Castelnaudary : capitale mondiale du cassoulet Le cassoulet, une spécialité gastronomique qui caractérise Castelnaudary et qui fait sa réputation internationale. Ce plat emblématique trouve, en effet, ses origines historiques dans ce petit coin du sud-ouest de la France. L’art de vivre y est ainsi tourné autour du cassoulet, ce qui explique la tenue de nombreuses festivités organisées pour le célébrer, pour ne citer que la célèbre fête du cassoulet, un événement résolument familial ponctué d’animations, de visites de villages et de concerts gratuits. À l’image des fameuses routes du vin, cette recette possède également sa propre parcelle de route : la route du cassoulet. S’étendant sur 180 km entre Castelnaudary et Carcassonne, cette dernière regroupe tous les acteurs qui rentrent dans la composition de ce plat exquis et gourmand, allant des cultivateurs de haricots aux éleveurs de canard, en passant par les potiers dont certains font partie intégrante de la tradition du cassoulet, comme la famille Not et ses poteries artisanales classées Patrimoine vivant. Ce parcours, créé en 2007, est, par ailleurs, l’occasion de s’imprégner de la gastronomie locale, lors d’ateliers de cuisine organisés sur réservation par l’office de tourisme, durant lesquels tous les secrets du cassoulet vous seront révélés, ou lors de dégustations de vins audois au cœur des domaines viticoles qui longent cette route agrotouristique. ...
Quand Luc Van Honsebrouck a repris la direction de la brasserie Kasteel dans les années 60, il a décidé de ne plus se consacrer uniquement aux pils, mais de produire désormais des bières spéciales. « Mon père était visionnaire », dit Xavier Van Honsebrouck, la septième génération de la brasserie familiale belge. « Dans les années 60, notre brasserie était avant-gardiste, et nous en récoltons encore les fruits aujourd’hui. » Bière spéciale blonde Filou : la dernière création belge de la brasserie Kasteel... Plus de 20 bières spéciales sont produites à la brasserie aujourd’hui. La dernière née est la « Filou », une bière blonde forte titrant à 8,5 %. C’est une bière qui oscille entre une triple et une Strong Golden Ale, brassée avec 100 % de malt de pils et du houblon de type Golding, Saphir et Saaz. « En tant que propriétaire de brasserie familiale, on se doit de créer une nouvelle bière fantastique », dit Xavier. « Je crois que la "Filou" est ma deuxième grande réalisation, après le lancement réussi de la Kasteel Rouge. » Sa recette a nécessité plus de huit mois pour être parfaitement aux goûts de Xavier Van Honsebrouck et du maître brasseur Hans Mehuys. La Filou se boit avec une facilité déconcertante, tout en étant suffisamment complexe pour tomber dans les bonnes grâces des amateurs de bières spéciales. Cette robuste blonde est un cas à part, dont le nom et le style rencontrent les faveurs d’un large public, en Belgique comme à l’étranger. Son nom est un clin d’œil, aussi bien à la bière elle-même qu’à celui qui la déguste. « Pratiquement personne ne peut en rester à un seul verre », affirme le brasseur en riant sous cape. « Mais qui est le plus grand filou dans cette histoire ? », demande Xavier Van Honsebrouck. « Le breuvage qui séduit le buveur, ou le buveur qui ne peut résister à en redemander un deuxième verre ? » Il y a de quoi s’interroger. ...
7200 exposants de 109 pays, 160 000 visiteurs de 194 pays, 120 délégations, 21 secteurs d’exposition. Au Salon International de l’Alimentation, on ne voit les choses qu’en grand. Depuis 1964, cet évènement organisé par Comexposium rassemble les acteurs mondiaux de la filière agro-alimentaire en quête d’inspiration. Pour cette édition 2018, SIAL Paris place la barre encore plus haute en concoctant plusieurs nouveautés. A l’avant-garde de l’alimentation Tous les deux ans, SIAL Paris devient la vitrine de l’offre alimentaire mondiale en révélant les produits alimentaires issus des quatre coins du monde allant des boissons, à l’épicerie fine, en passant par les produits diététiques ou encore les produits traiteurs et plats cuisinés. De simples ingrédients ou des produits transformés qui aiguisent la créativité de chefs de renommée internationale invités à faire leur show dans l’espace « La Cuisine ». Ici, en plus des démonstrations culinaires, la nouveauté 2018 concerne l’organisation quotidienne de cours de cuisine à l’adresse des visiteurs. Les 100 meilleurs produits sont également récompensés à SIAL INNOVATION. Un jury hétéroclite a été rassemblé pour l’occasion, avec des professionnels de la restauration ainsi que des experts de l’alimentation et évidemment Yannick Alléno, parrain de cette édition 2018. En écho de SIAL INNOVATION, SIAL Paris 2018 présente en exclusivité un nouvel univers baptisé Future Lab. Projetant les idées et thèmes à l’horizon de l’innovation alimentaire, cette zone située à l’entrée du hall 6 se déclinera en trois univers. En premier lieu, le #foodlab 2030, un tunnel immersif et expérientiel où des scénarii futuristes développant les quatre thèmes abordés dans l’étude sur les grandes tendances du Food en 2030 réalisée par SIAL et AlimAvenir seront à découvrir. Puis, #Rising start-ups, un espace dans lequel 50 entreprises triées sur le volet auront l’opportunité de participer au salon. Enfin, #VR LAB ou « quand la planète food rencontre la réalité virtuelle ». Dans tout cet élan, l’évènement sera au coeur d’un phénomène majeur : l’Alternative Food. Les acteurs de ce secteur en plein boom échangeront et découvriront les innovations et opportunités de l’alimentation de demain, plus saine et respectueuse de la nature et de l’homme. A ne pas rater : l’Alter’Native Food Forum au cours duquel des visites guidées sur le thème de la santé et des ingrédients alternatifs seront organisées. ...
Depuis des années, cet endroit au décor intimiste est devenu le cocon de sérénité des amoureux avides de calme et de tous ceux qui sont en quête d’instants paisibles loin des agitations parisiennes. Des plats classiques à la saveur unique Au restaurant Le Temps au Temps, les plats classiques seront préparés passionnément avec des ingrédients de saison et retouchés avec créativité par Denis Sabarots. Le moment de relâche s’entame dès qu’on franchit les portes à baie vitrée du restaurant. Le long bar et les tables tout en bois satiné imprégneront les convives d’une ambiance calme, intime mais chaleureuse. Bien installé près de la grande horloge noire qui orne subtilement le mur, on pourra commencer à savourer la Tartine de merlan en escabèche en toute tranquillité. « C’est un filet de merlan cuit à la plancha, mis sur un pain de campagne et accompagné d’une garniture constituée de carottes, d’oignons, de vinaigre à l’alcool, de thym et d’huile d’olive », explique le chef. En guise de plat de résistance, le délicieux Cabillaud à la mousseline d'artichaut émoustillera vos papilles. Des morceaux d’artichaut cuits avec de l’eau, un peu de vin blanc, des oignons émincés et de l’ail écrasé puis mixés avec du beurre enrichiront le cabillaud. Un mélange de saveurs et d’arômes à découvrir absolument. Et pour achever ce périple avec douceur, rien de tel que le Sablé au chocolat et à la marmelade d’orange. Dans cette adresse hors pair, on se laisse également tenter par les nombreuses références de vins, qui seront à la hauteur de toutes les espérances pour assurer la touche qui ira parfaitement avec le décor et les mets copieux proposés par la maison. « Le Menetou Salon ou les vins Pierre Richard font partie de ceux qui marchent bien », selon Denis Sabarots....
Dans un monde de plus en plus connecté où le numérique occupe une place de choix dans des domaines variés, pourquoi la restauration devrait-elle faire exception ? Prenant conscience de l’atout majeur que pourrait constituer le digital dans la promotion des CHR, Geoffrey Cuberos, le fondateur de Tastycloud profite de l’aubaine pour en faire « la solution » qui révolutionne le domaine de la restauration. L’origine du concept C’est à l’issu de 2 ans d’étude du marché des CHR au sein d’une école supérieure de commerce, que Geoffrey Cuberos entame une brillante carrière en créant la société TastyCloud à Paris. Il part du concept qu’une bonne communication de base ne peut qu’être rentable pour un prestataire de service. Il a su tirer les leçons de ses multiples expériences personnelles à l’étranger et allier ses acquis sur le marketing sensoriel et expérientiel durant l’apprentissage. Cette démarche lui a valu une expertise infaillible en termes de création de stratégies pour l’acquisition et la fidélisation des clients. C’est ainsi que la start-up innovante a déjà bénéficié de la confiance de plusieurs clients restaurateurs et hôteliers pour la gestion de leur menu digital, à l’image des Turbulentes, Courtepaille, Ibis, Le Bal Courchevel ou encore les Dim Sum Cantine et Dim Sum Montmartre. Ses prestations s’adressent aux cafés-hôtels-restaurants en remplaçant la classique carte papier, par des menus sur tablettes tactiles à présenter au client pour qu'il fasse son choix. Le menu digital : de nombreux avantages au service de la croissance économique des CHR Les menus digitalisés sont clé en main étant donné que TastyCloud prend tout en charge, depuis la fourniture de la tablette l'offre entrée de gamme Archos 10,1″ à l'offre premium Samsung Galaxy 10,1″ full HD, jusqu'à l'application finale. Un photographe professionnel shoote tous les menus, cocktails et boissons de sorte à les mettre visuellement à leur avantage car, selon le fondateur Geoffrey Cuberos : « on mange d’abord avec les yeux… ». Des traducteurs professionnels spécialisés dans l’univers culinaire traduisent les menus parmi 25 langues pour aider les clients étrangers dans leur compréhension de la carte. Un véritable atout pour les restaurateurs situés en zone touristique. Le menu digital est une manière de rendre le consommateur plus actif dans sa consommation. Mais c’est aussi une bonne façon de le rassurer car toutes les infos qui lui sont utiles seront accessibles depuis le menu tactile, à l’instar des accords mets/vins et des allergènes. Il choisit les intolérances qui le concernent et celles-ci s’afficheront sur les plats concernés. Quant aux photos, elles font découvrir aux clients l’ensemble des menus et les aident à les comprendre en moins de 10 secondes, en plus de donner envie par des apparences alléchantes. Elles vont rassurer le client sur le côté visuel et lui donner une idée de la quantité des plats. Rassurés, les clients consomment davantage. L’augmentation du chiffre d’affaire de 10 à 30 % est assurée. « On considère que nous sommes une source de revenu au quotidien pour le restaurant », se plait à affirmer notre interlocuteur. Avec les menus classiques, il n'est pas rare de voir un restaurateur dépenser de 3000 à 5000€ par an pour renouveler sa carte papier. TastyCloud lui permet d’investir dans autre chose car toutes les modifications qu'il souhaite apporter se font en un clic, que ce soit pour une simple correction ou des rajouts de produits. Pareillement, si des produits ne sont plus en stock, la carte peut être mise à jour à tout moment. Une synchronisation automatique facilite toutes les modifications qui se font automatiquement sur le site, sur le menu ainsi que toutes les plateformes où il est exposé. La perte de temps n’existe plus. La solution qui se démarque du lot Etant un complément digital au service, le menu digitalisé n'a pas pour vocation de se substituer au serveur réel pour la simple raison que l'accueil des clients et le service sont primordiaux. Toutefois, le service reste personnal...
La société de tous les urologues L’AFU couvre « 95 % des urologues qui exercent sur le territoire national », comme le constate le professeur Thierry Lebret, Président de l’AFU. Représentative, reconnue par les autorités de tutelle, elle est également la seule association française d’urologie et est donc l’acteur de référence en la matière. Ainsi que l’indique l’article 1 de ses statuts, l’AFU vise à « promouvoir la science urologique et l’étude de toute question ayant trait aux affections de l’appareil urinaire des deux sexes et de l’appareil génital de l’homme en particulier. Elle participe aussi à la qualité des soins ». En effet, en tant que médecin et chirurgien, l’urologue prend en charge l’appareil urinaire et génital dans son ensemble incluant notamment l’incontinence d’urine, la statique pelvienne chez la femme, l’andrologie, la transplantation rénale ou encore la cancérologie. L’association intègre des urologues de différents statuts professionnels, ainsi que des médecins qui n’exercent pas l’urologie, tel que des radiologues, radiothérapeutes, oncologues ou rééducateurs… En agrandissant ainsi son cercle, l‘AFU élargit aussi ses zones d’action et agit plus efficacement. Un acteur de la recherche et de l’évaluation en urologie L’AFU est un acteur de la recherche en urologie. Elle porte ainsi une attention particulière à la recherche bien sûr, mais aussi à la pratique professionnelle, l’évaluation et la formation initiale et continue. Les comités scientifiques de l’AFU publient régulièrement des recommandations de bonnes pratiques pour une égalité d’accès aux soins. Ils s’efforcent d’approfondir les recherches et d’évaluer les projets. Les évaluations s’appliquent aussi aux nouvelles technologies conçues pour détecter ou soigner les pathologies. En effet, l’AFU se veut à la pointe de l’innovation. Par exemple, le comité d’évaluation examine le laser utilisé pour casser les calculs ou traiter l’hyperplasie bénigne de la prostate, ou encore les ultrasons qui permettent de détruire les cellules cancéreuses de la prostate. L’AFU promeut aussi les études dans le domaine de l’urologie, et appuie financièrement les jeunes chercheurs. Chaque année, elle leur accorde huit à dix bourses d’études allouées à une année de recherche, à la préparation d’un master 2 ou à un travail de thèse. Le domaine de l’urologie est très dynamique requérant donc constamment un renouvellement de connaissances. Afin de former progressivement ses membres, l’AFU organise régulièrement un séminaire d’urologie continu (SUC). Ce séminaire, regroupant 150 membres répartis en 5 groupes de 30, remet les connaissances à neuf et aborde toute une palette de thématiques. L’AFU élabore également des manifestations scientifiques, comme les congrès et les Journées d’onco-urologie médicale. L’AFU au service des patients À travers ses missions de recherche et d’évaluation et via son comité éditorial, l’AFU diffuse les actualités et bonnes pratiques aux urologues afin d’apporter les meilleurs soins aux patients. Elle a ainsi développé des outils de communication efficaces : son site internet urofrance.org s’adresse aux médecins, de même que la newsletter qu’elle envoie régulièrement. Elle a également développé un second site internet, dédié quant à lui aux patients (urologie-sante.fr). Ainsi, toutes les publications scientifiques, les recommandations ainsi que les « fiches d’information patient » sur les traitements et les maladies sont disponibles sur les sites internet de l‘AFU. Par ailleurs, l’AFU est active sur les réseaux sociaux Twitter et Facebook. Tous les ans, elle organise notamment un chat Facebook à l’occasion de la Semaine de la continence, et cette année, un chat pour la Journée Européenne de la Prostate. L’objectif; Utiliser Facebook pour libérer la parole et diffuser de réelles informations aux patients. La transversali...
La devanture annonce d’ores et déjà la couleur. Trois inscriptions attirent irrémédiablement l’attention : « cuisine authentique », « Plat bistrot à 9,90 € » et « Agriculture biologique ». En réalité, il s’agit là des trois piliers fondamentaux du restaurant : proposer une cuisine simple, savoureuse et accessible. Vous pourrez ainsi retrouver des plats bistrots mais aussi une sélection des recettes régionales. Les gourmands n’ont qu’à bien se tenir. Destination : les plus grandes régions de France Une fois que vous aurez poussé les portes de l’établissement, un sentiment de dépaysement vous envahira. Les choses n’ont pas été faites à moitié dans ce bistrot-bar. Ainsi, divers espaces ont été aménagés de façon à vous faire voyager à travers toute la France. Au sein de la salle dédiée au Sud-Ouest, vous vous installez dans une sorte de cave à vins constituée de casiers à bouteilles et d’un plafond vouté au charme naturel. Dans la partie Normandie, la présence de pots à lait donne le ton. Honneur également à la Provence, avec une décoration ensoleillée aux accents du Sud. Des recettes simples et savoureuses Ici, le bio et la saisonnalité sont privilégiés. Adepte du circuit court, Le Bistrot de nos terroirs travaille également en partenariat avec des producteurs locaux pour s’approvisionner en produits certifiés AB, Label Rouge, AOC… Pour le plaisir des sens, il propose une palette de suggestions gourmandes. Des recettes de grand-mère sont servies dans le restaurant ouvert 7 jours sur 7. Burger façon terroir, tartines, viandes françaises et, au fil des saisons, des plats régionaux tels que la blanquette de veau, le bœuf bourguignon, le pot-au-feu… Autant de plats qui nous font vivre la nostalgie de notre enfance, lorsque grand-maman concoctait des mets succulents pour nous réchauffer le cœur. Une des spécificités du restaurant porte sur ses tarifs particulièrement abordables, avec un plat Bistrot à 9,90 € et un menu entrée + plat ou plat + dessert à 13,90 €. Pour accompagner tous ces plats gourmands, rien de tel qu’une bonne bouteille. La cave est composée de plus de 20 références de vins AOC et bio. Le restaurant travaille avec un caviste qui se charge de trouver les meilleurs produits en fonction des terroirs. En résumé, Le Bistrot de nos terroirs est un véritable lieu de vie pour se restaurer, déguster une boisson chaude l’après-midi ou même encore profiter des beaux jours en terrasse pour découvrir un vin accompagné d’une planche à partager. ...
Issu d’une lignée de vignerons, Christian Belmon décide de perpétuer la tradition familiale en créant un domaine d’exception en 1993 : le Domaine Belmont. Afin de proposer des vins d’excellence, cet architecte de formation sait s’entourer des vrais professionnels pour l’aider à faire les bons choix. La quête de l’excellence Ce vignoble en conversion bio de 6 ha est réparti sur deux parcelles de 3 ha chacune. Tandis que le « Dolmen » reçoit un sol argileux, le « Montaigne » repose plutôt sur du calcaire. Grâce à des analyses du sol menées par Claude et Lydia Bourguignon, spécialistes reconnus, chaque cépage (chardonnay, syrah, cabernet franc) est planté exactement à l’endroit le mieux approprié à son épanouissement. Le vignoble est suivi et accompagné par Stéphane Derenoncourt et Simon Blanchard. Des vins de grande qualité Parmi les spécialités de la maison, deux cuvées sortent du lot : la cuvée « Belmont » et la cuvée grande syrah « S ». La première, issue d’un assemblage de cabernet franc et de syrah, dévoile un nez expressif de cassis, de mûres, de violette, avec des notes animales. Il s’agit d’un vin complexe qui se livrera au fil du temps. La deuxième est une cuvée 100 % syrah avec des raisins provenant des meilleures parcelles du domaine. Ce vin se démarque par ses arômes de fruits avec des notes de réglisse et de violette, qui se mêlent harmonieusement à une fraicheur, une finesse et une précision incomparable. ...
En 2014, après 7 années de pratique du yoga et de la méditation, Claire Gautier lance GET YOGi, une plateforme dédiée à cette discipline dédiée au bien-être du corps et du mental. La mission de GET YOGi : rendre le yoga et la méditation accessibles au plus grand nombre dans une optique de prévention de santé. La conviction de la fondatrice réside dans le fait que le yoga est la solution de prévention de santé la plus simple et la plus accessible. Tout le monde peut pratiquer, il suffit d’adapter la pédagogie. Rappelons que la méditation et la bienveillance font partie intégrante de la philosophie du yoga, mais aussi, que la définition de la santé, selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), parle « d’un état complet de bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ». Depuis sa création, GET YOGi a initié plus de 5 000 personnes à la pratique du yoga et de la méditation. Yoga et méditation pour tous : en ligne, en entreprise, des événements Pour promouvoir la pratique, GET YOGi intervient sur plusieurs champs d’activités. GET YOGi Digital est au départ une plateforme de séances vidéo de yoga, de méditation et de respiration. Accessible 24h/24 depuis un smartphone, une tablette ou un ordinateur, le site propose plusieurs styles de yoga avec la possibilité de suivre un parcours débutant. Au total, 50 séances sont dispensées par 7 professeurs dont un kinésithérapeute GET YOGi Corporate intervient au sein des entreprises pour le bien-être global des salariés. La pédagogie s’adapte au monde de l’entreprise. Yoga, méditation, yoga sur chaise, pilates, etc, les mouvements et les activités sont choisis pour détendre le corps et le mental des salariés qui peuvent vivre des périodes de travail plus ou moins denses ou être obligés d’occuper la même position et souffrir de tensions. GET YOGi Event organise des séances bien-être dans des lieux atypiques comme au Carrousel du Louvre, sur le parvis de la Défense, en thalasso, etc. Il s’agit de séances collectives, parfois en plein air, et qui sont parfois démultipliées en ligne grâce la vidéo et à la plateforme web de l’entreprise. Les bienfaits reconnus du yoga et de la méditation en entreprise Le yoga et la méditation aident à prévenir la cause de 80 % des arrêts maladies, les troubles musculo-squelettiques (TMS) en entreprise. Une maladie ressentie lorsque l’on fait toujours le même geste, que l’on est constamment dans la même position ou que le corps ne dispose pas d’assez de temps pour récupérer. Le yoga et la méditation servent à appréhender les risques psycho-sociaux (RPS) dont le plus fréquent est le stress. Grace à des mouvements simples, on agit directement sur le système nerveux tout en renforçant son système immunitaire. Les exercices de respiration trouvent aussi leur utilité, et permettent de baisser en tension automatiquement. D’ailleurs, la publication d’études médicales se multiplie à ce sujet. D’autres ont démontré que le yoga thérapeutique a amélioré significativement certains symptômes du cancer (meilleure qualité du sommeil, diminution des symptômes anxieux ou dépressifs, etc.). Certains témoignages corroborent ce fait scientifique. Parmi ces derniers, on retrouve par exemple celui de Mathieu Carlot, méditant depuis plus de 10 ans et ayant vu la pratique quotidienne de la méditation l’aider face au cancer. ...
L’histoire de Coding Days a commencé lorsque Alexandre Zana, un étudiant en école de commerce, a décidé un jour d’apprendre à coder. En effet, il avait beaucoup de mal à formuler ses besoins et à communiquer avec des développeurs, l’obligeant à mettre en place lui-même ses projets. C’est à travers cette expérience qu’il se passionne pour la programmation et qu'il apprend le code informatique de façon autodidacte. La suite ? Il souhaite aller plus loin et décide de se rendre chez Makers Academy, à Londres, pour une formation intensive au code pendant 12 semaines, avant de revenir en France et fonder la start-up, début 2017. Cette expérience chez Makers Academy était l’une des plus belles de sa vie, après Coding Days ;-). Faire ses premiers pas dans le code « Notre philosophie n’est pas de former des développeurs ou experts en code, mais de former des compreneurs, des gens qui sont capables d’assimiler le code et ses enjeux », explique, explique Émilie Rehmann, responsable marketing. En d’autres termes, le concept vise à démocratiser le développement web et à le rendre ainsi accessible au plus grand nombre. La start-up cible un public débutant très large : chef de projet marketing en entreprise, entrepreneurs et intrapreneurs qui veulent booster leurs business, simple étudiant à la recherche d’une compétence supplémentaire, ou designer qui souhaite créer son propre site internet. Coding Days forme notamment celles et ceux qui exercent des professions libérales et qui ont un réel besoin relatif à leur site internet, mais qui n’ont pas les compétences techniques appropriées. L’objectif ? Parler le langage web pour mieux comprendre l’univers de la programmation. « Armés d’un bagage technique, ils seront capables de trouver les bons mots pour mieux s’exprimer et faire évoluer leur projet personnel. » À l’issue de la formation, les apprenants peuvent déchiffrer les jargons utilisés dans ce domaine (client, serveur, hébergement, langage, notions HTML5 et CSS3, frameworks, bibliothèques, Front-End et Back-End, etc.) et repartent même avec leur propre site web à l’issue de la formation d’une semaine. Les formateurs de Coding Days interviennent également dans des écoles de commerce telles que l'EM Normandie, l’ISCOM, l’ESD ou encore Audencia Nantes. Ils forment aussi des étudiants d'écoles de communication, de journalisme et de design qui s’intéressent de plus en plus au monde digital et aux nouvelles technologies. Déjà établie à Paris et donnant également des cours à Londres, la startup poursuit sa conquête de l’Europe et donnera prochainement des formations à Madrid. Une pédagogie active En se lançant dans cette aventure, les fondateurs de Coding Days et l’équipe pédagogique ont développé une pédagogie innovante inspirée des méthodes Montessori, de la pédagogie inversée ou encore de l’intelligence collective qui requiert beaucoup de pratique. « Notre propre méthodologie est ce qui nous permet justement de nous adresser à des personnes vraiment novices dans la programmation web.» Il poursuit en insistant sur l’importance de la pédagogie au sein des formations de Coding Days : « Ce n’est pas la même chose d’apprendre à coder et d’apprendre à comprendre le code. La pédagogie n’a rien à voir. » déclare Alexandre Zana. En parallèle, l’équipe collabore avec une vingtaine de mentors (développeurs full-stack, CEO, growth hackers, data scientists, experts en cyber-sécurité, etc.) qui sont des experts, passionnés par la pédagogie issus des start-up françaises ou des groupes internationaux. Un mentor est dédié à chaque groupe de cinq personnes (1 pour 3 durant la semaine pour créer son site) et aura comme mission de cadrer l’échange et de favoriser l’interaction pendant les séances de challenge. De leur côté, les participants, autrement appelés les « Explorers » travaillent chacun sur leur site internet personnel à partir de la plate-forme E-learning conçue par Coding Days pour booster l’imagination tout en stimulant l’apprentissage. Plutô...
Située près des plages de la Côte fleurie, en Pays d’Auge, La Cavellerie est une propriété cidricole de 50 hectares, dont 40 % sont couverts de pommiers de différentes variétés. Son propriétaire Gontran Dondain est également propriétaire du Mas Roc de Bô, en Minervois, et du Château Cabezac. Les pommes du Père Gontran Le domaine de La Cavellerie est constitué d’un verger de 20 hectares sur lequel se développent 26 variétés différentes de pommiers dites de hautes tiges et adaptées à la fabrication de cidre et de calvados. Les pommes livrent des saveurs douces, amères, aigres et douces-amères. Parmi les plus connues et les plus représentatives du Pays d’Auge, il y a la Fréquin Rouge, la Rambault, la Moulin à Vent, la Cimetière de Blangy, la Marie Ménard ou la Douce Coët Ligné. Variant selon les caprices météorologiques, la récolte se fait au plus tôt à la mi-octobre et au plus tard vers fin novembre, avec un tonnage pouvant aller de 80 à 150 tonnes. Ce rendement est doublé lorsque les pommiers de La Cavellerie atteigneront leur pleine maturité d’ici à quelques années. De la pomme au cidre Après leur récolte, les pommes sont d’abord stockées plusieurs jours afin qu’elles puissent développer leur degré en sucre, nécessaire à la bonne teneur en alcool. Elles passent ensuite par la laveuse avant d’être réduites en morceaux par une broyeuse. La répartition des morceaux obtenus sur la machine à presse est la seule étape où le travail manuel est nécessaire. Enveloppée de toiles de jute, cette presse classique garantit la douceur et la constance du jus obtenu sans en altérer la qualité. Finalement, après 3 mois passés dans des cuves de fermentation, le jus de pommes est transformé en cidre. Il faut remarquer qu’à la Cavellerie cette étape de fermentation s’effectue selon les méthodes traditionnelles, avec fermentation et prise de mousse naturelle. Une partie du cidre obtenu est conditionnée et mise en bouteilles sous le doux nom de « Père Gontran Cidre Brut » en appellation AOC Pays d’Auge. Ce cidre possède un caractère fruité et généreux et accompagne à merveille les plats traditionnels comme le lapin au cidre ou le poulet vallée d’Auge. Quant au reste de la production, elle doit encore suivre quelques étapes de transformation avant de devenir un produit plus noble, typique du Pays d’Auge. Du cidre au calvados Le calvados s’obtient après une double distillation du cidre. Mais, avant, le cidre doit encore patienter 6 mois en cuve. Vers le mois de juin ou de juillet survient la première distillation dont est issu un produit dit « petite eau » ou « bouillis », qui deviendra le calvados. Celui-ci est alors élevé en futs de chêne, dans un chai de vieillissement, durant 3 ans au minimum avant d’être mis en bouteille. À 3 ans, un calvados sera dit « fin » ; à 4 ans, « réserve » ; à 5 ans, « vieille réserve » ; à 6 ans, « VSOP » ; et à partir de 7 ans, il est appelé « hors d’âge ». La collection de calvados de La Cavellerie se décline en 8 cuvées en appellation AOC Pays d’Auge, classées selon leur âge, dont les plus fameuses sont le « Père Gontran Fine » de 3 ans, se caractérisant par des arômes de pommes fraiches et de fruits rouges et élaboré avec une seule cuvée. Autre produit incontournable : le « Père Gontran hors d’âge 7 ans », élaboré avec une seule cuvée et livrant un nez vif et puissant aux notes boisées et fruitées. Le « Père Gontran hors d’âge 24 ans », assemblage des millésimes 1989 et 1991 aux notes végétales puis boisées et caramélisées, figure, quant à lui, au panthéon des meilleurs produits du domaine. ...
Jean-François Réaud se lance dans l’aventure de la vitiviniculture en 1985. Passionné et déterminé, il agrandit progressivement l’exploitation familiale qui était à la base un vignoble de 7 ha, hérité de son arrière-arrière-grand-père Gabriel Bruneteau. À la fin des années 1990, Jean-François Réaud développe un partenariat avec des domaines voisins, afin de faciliter la commercialisation et la valorisation des vins de la Rive droite. Cette « entraide viticole » se structure et devient Vignobles Gabriel & Co, un collectif qui compte désormais 34 vignerons. Cet effectif représente plus de 1 000 ha de vignes situées majoritairement sur l’appellation Côtes de Bordeaux. Une activité fondée sur trois modèles spécifiques Dans un premier temps, il s’agit de regrouper vignerons récoltants, vignerons indépendants, producteurs et commerçants afin de faciliter la commercialisation des vins. Ce mode de coopération crée également des avantages collectifs fondés sur des échanges de services ou l’acquisition de biens en commun. Le deuxième modèle ayant inspiré Vignobles Gabriel & Co est celui du système des coopératives. Il sert notamment à « défendre les valeurs des vignerons et promouvoir la qualité de leur travail », selon les termes de Jean-François Réaud. Quant au dernier modèle, il s’approprie les principes du négoce. « Vignobles Gabriel & Co a une position de négociant dans la mesure où le collectif achète des vins pour les revendre. C’est une façon de préserver un juste rapport qualité-prix, sachant que, jusqu’alors, à Bordeaux, le prix, qui doit être relié à la qualité du produit, dépendait plutôt du marché, de la spéculation ainsi que de l’offre et de la demande », souligne fermement notre interlocuteur. Une quête d’excellence Le vigneron défend ardemment les principes d’une démarche respectueuse de l’environnement. « J’essaie de convaincre les partenaires d’aller dans ce modèle qui fera la viticulture et les vins de demain. D’ici à quelques années, je souhaite que notre collectif soit à 50 % bio ou HVE, c’est-à-dire produisant et commercialisant des vins qui respectent à la fois l’environnement et la santé du consommateur. » Par ailleurs, le collectif Vignobles Gabriel & Co tient à encourager particulièrement les vignerons ayant tout le potentiel nécessaire à la production de cuvées premium. Cette stratégie a été pensée pour promouvoir l’identité de la structure et donner ainsi aux vins des appellations de la Rive droite le pouvoir de concurrencer équitablement sur le marché. Enfin, le groupement compte faire adhérer tous ses membres à la Charte des vignerons indépendants, de manière à ce que sa notoriété s’étende à plus grande échelle. ...
L’éventail des sujets abordés, la richesse des cartes et la foule de rencontres gourmandes à laquelle le lecteur est convié en font un livre qui se savoure plus qu’il ne se lit. À la découverte des trésors culinaires nos régions Oreiller de la Belle Aurore, Demoiselles de Cherbourg à la nage, mogettes de Vendée, rigotte de Condrieu, angélique de Niort… l’inventaire des mets et délices de la cuisine française est intarissable. Que mange-t-on de bon en Provence et Côte d’Azur ? Dans quelles régions de France peut-on déguster la vesse-de-loup ou la truffe noire ? Autant de questions auxquelles gourmets et gourmands trouveront une réponse dans l’Atlas gastronomique de la France. De la fourme d’Ambert à la vanille de Tahiti, du musée de la Confiserie à l’omelette de la mère Poulard, cet ouvrage aborde trois thématiques qui recouvrent toutes les facettes des repas traditionnels français et des spécialités culinaires françaises. La première, historique, retrace les origines de la gastronomie française, de la table des rois au marché de Rungis, et décrit la manière dont elle s’inscrit au cœur de l’identité de notre pays. La deuxième partie est consacrée aux produits du terroir : des poissons, crustacés et mollusques, aux fruits, en passant par les assaisonnements, ou encore le vin et le gibier… Le troisième volet de ce livre de référence propose un véritable tour de France à la découverte des spécialités régionales et des lieux emblématiques de la gastronomie. La gastronomie, patrimoine culturel de la France En 2010, l’Unesco a inscrit le repas gastronomique des Français sur la liste du Patrimoine immatériel de l’Humanité. Le livre de Jean-Robert Pitte permet de découvrir ou redécouvrir ce trésor. Et de mettre à l’honneur le savoir-faire des artisans des métiers de bouche, éleveurs, agriculteurs, pêcheurs et bistrotiers... Une idée cadeau pour découvrir l’un des plus beaux joyaux de notre patrimoine : sa gastronomie. ...
La propriété familiale existe depuis 5 générations. En 2015, Laurent reprend les rênes avec l’objectif de « réaliser les plus grands vins possibles », nous confie-t-il. Le vigneron profite de la localisation géographique privilégiée de son terroir pour signer des Grands Crus d’exception issus de l’appellation Gevrey-Chambertin et des cuvées de finesse et d’élégance de l’appellation Bourgogne. Le vignoble se trouve effectivement au cœur des Côtes de Nuits, sur les hauteurs du village de Gevrey-Chambertin et s’étend sur une superficie de 6,5 hectares. Ces hauts-lieux bourguignons sont classés au patrimoine mondial de l’UNESCO, ce qui constitue une preuve irréfutable de leur richesse et de leur singularité. Un vigneron responsable et passionné Dans son travail, Laurent s’évertue toujours à prendre en considération l’héritage à laisser aux générations futures. C’est pourquoi le domaine opère dans le strict respect de l’environnement. L’adoption d’une démarche raisonnée dans la gestion des vignes est antérieure à l’obtention de la certification Haute Valeur Environnementale niveau 3 (HVE 3). Depuis toujours, la maison exploite ses terres dans un souci d’instaurer l’harmonie entre l’homme et la nature. Elle a aussi fait le choix d’opter pour des rendements faibles dans une volonté d’obtenir des vins plus concentrés capables d’exprimer la quintessence de leur terroir. Les récoltes s’effectuent à maturité optimale. « Nous attendons notamment que les raisins atteignent un niveau de sucre adapté afin d’arriver à un meilleur équilibre possible », explique le vigneron. Des vins de parfums et de matières À l’issue des vendanges manuelles, le pinot noir, le chardonnay et l’aligoté subissent un processus de vinification en cuve inox d’une durée de 15 jours puis un élevage en fûts de chêne entre 12 et 18 mois en fonction des appellations travaillées. De ces méthodes prônant un savoir-faire séculaire naissent des cuvées authentiques et généreuses qui tiennent toutes leurs promesses. Parmi les best-sellers de la maison figurent les cuvées Les Carougeots et Vieilles Vignes, du 100 % pinot noir qui se veut charmeur et expressif. ...
L’Eveil des Sens établi dans un espace cosy, familial et traditionnel vous initie à la tradition culinaire française. La maison révèle un décor sobre et épuré et dispose d’une terrasse ombragée entourée par un environnement verdoyant et spacieux. Un palmarès irrévocable A Trelins, en Loire, l’Eveil des Sens a été, à la base, une auberge communale dont le fonds de commerce a été repris en 1999 par José et Sandrine Afonso. Dans l’optique de disposer d’un endroit à son image, il fait de nombreux réaménagements et créé en 2014, un Hôtel deux étoiles. Vu la rareté du service hôtelier dans les Communes du Forez, cet établissement tombe à pic. Il propose six chambres confortables et accueillantes dont certaines ont été adaptées pour accueillir les personnes à mobilité réduite. De nombreux plats pour mettre l’eau à la bouche Dans le restaurant, les menus sont diversifiés. Laissez-vous tenter par le menu gourmand à 20 euros, le menu gourmet à 22 euros ou le menu gastronome à 27 et 34 euros. Les petits garnements ne sont pas en reste chez l’équipe des Afonso qui leur a élaboré un menu enfant. La carte quant à elle est souvent renouvelée tout en mettant à l’honneur des produits frais et locaux pour une meilleure exploration des saveurs. Le chef concocte une cuisine traditionnelle savoureuse et raffinée. Sa terrine de canard accompagnée d’une confiture d’oignons ou bien son magret de canard sauce aigre douce fait chavirer les papilles. Les grenouilles poêlées ou encore l’assiette du pêcheur préparée selon les arrivages du jour attisent l’appétit. Et en dessert, il propose sa palette de gourmandise. La carte de vin raffinée qui se veut être en impeccable accord avec les mets se décline en plusieurs références : Côtes du Forez, des Côtes du Rhône, des vins de Bourgogne mais aussi des vins de Bordeaux. En salle ou sur la terrasse ombragée, l’Eveil des Sens est prêt à accueillir une cinquantaine de personnes. La salle du restaurant dotée d’un décor sobre, moderne et chic est mise en valeur par les nombreux luminaires muraux et les plafonniers. Ombragée par les grands arbres de la cour, la terrasse est dotée d’une aire de jeu pour enfants, la rendant idéale pour des sorties gourmandes en famille. Les sites qui méritent d’être visités Non loin du restaurant, sur le Bourg du village, l’église Saint Maurice de l’an 1515 trône majestueusement. L’édifice actuel est construit sur un lieu en hauteur par l’architecte Bonnard. Aux environs, la cave des vignerons foréziens doit sa notoriété aux ordres monastiques notamment les prieurés dépendants de Cluny mais aussi aux Comtes du Forez. A découvrir immanquablement si vous êtes de passage dans la région. En quête de sérénité ? Au contrebas du village, la rivière Lignon du Forez confère un paysage agréable et offre un environnement apaisant. Il s’agit du mythique cours d’eau qui se trouve dans le célèbre roman d’Urfé. Autre site à ne pas manquer : le château de Goutelas qui date de 1558 et qui se situe sur les coteaux de Forez. La bâtisse incarne à merveille un style Renaissance. Le plan architectural est en forme H pour marquer l’idéologie humaniste de son propriétaire de l’époque Jean Papon. ...
Ce qui donne ce goût de craie à l’appellation Saumure-Champigny ? Ce sont ses tuffeaux, des formations géologiques de couleur blanche ou jaunâtre contenant quelques paillettes de mica blanc. Sur cette partie de la vallée de la Loire, se blottit Turquant où caves et grottes sont si nombreuses qu’on y compterait le plus grand nombre en France. C’est aussi ici que depuis trois générations, Denis Retiveau cultive son raisin pour produire six cuvées différentes ainsi que sa passion immodérée pour la navigation. Entre Turquant et Montsoreau, 10 km à l’Est de Saumur sur les bords de la Loire, il possède le domaine des Champs-fleuris. Un terroir viticole qui au milieu d’un climat océanique produit près de 200 000 bouteilles par an. Passionné depuis l’enfance par la viticulture, il reprend le domaine familial en 1995 après un brevet technique agricole en viticulture et œnologie. Des vignes qui s’étalent sur 29 hectares et où le vin rouge a pour spécificité sa densité, son côté charnu et élégant. Des vignes de 40 ans d’âge pour un saumur d’exception Avec 6 cuvées différentes, le domaine des Champs-Fleuris produit différents vins en mélangeant moderne et tradition. Les cépages alternent entre Cabernet franc (96%) et Cabernet-Sauvignon (4%) pour les rouges et on y retrouve les appellations Coteaux de Saumur, Crémant de Loire, Saumur Blanc et Saumur Champigny ainsi que du Saumur Rosé. Les vendanges y sont faites mécaniquement avec le tri embarqué et tapis élévateur dans le respect du raisin. Le vin fraîchement pressé est conservé dans de l’inox régulé et des fûts de chêne. Dans ces fûts, les vins sont conservés au moins un an. Une sensibilité particulière pour ce fruit produit sur des plants dont certains ont plus de 70 ans d’âge. Le terroir lui est certifié haute valeur environnementale. Le vignoble s’applique ainsi à utiliser des traitements conventionnels pour une culture raisonnée. Ainsi en 2021, sur 10 traitements, 8 ont été effectués en « bio ». Les grains profitent ainsi du climat océanique et produisent des vins légers et fruités. On y retrouve aussi des grands vins de garde, quand les raisins sont plus riches en sucre et que la macération est plus longue. ...
AVEKAPETI, c’est la promesse de déguster sur son lieu de travail un bon petit plat fait maison préparé avec amour et générosité par un cordon-bleu du quartier. Un concept simple mais original À l’heure du déjeuner, faute de temps, certains salariés n’ont d’autre choix que d’« avaler » au plus vite sandwichs, hamburgers et autres artifices issus de la restauration rapide. Cela n’est pas sans conséquence sur leur santé. Manger sainement avec le goût et la saveur en prime, c’est ce que leur propose AVEKAPETI. D’un côté, un voisin pétri de talent culinaire et, de l’autre, des salariés affamés qui souhaitent prendre du plaisir à manger comme à la maison. Grâce à son concept, AVEKAPETI réunit tout ce beau monde autour d’une seule et unique cause : l’amour pour la bonne cuisine. Le principe est simple : le gourmet commande en ligne un plat sur lequel il a flashé et choisit l’heure et l’adresse de livraison, ensuite il n’a plus qu’à attendre d’être livré. La livraison est assurée par le chef en personne qui habite dans les environs. Une belle occasion de faire connaissance entre voisins ! AVEKAPETI : des avantages pour tous ! AVEKAPETI donne l’occasion à des particuliers de pouvoir valoriser et exprimer leur talent en cuisine tout en leur permettant d’arrondir leur fin de mois. C’est d’autant plus intéressant pour les parents au foyer, retraités, personnes en recherche d'emploi, en reconversion professionnelle... Pour les entreprises, AVEKAPETI reste la première cantine digitale et collaborative qui peut faire en sorte que leurs salariés puissent profiter au quotidien de succulents repas faits maison à petits prix. Idéal pour des entreprises excentrées qui n'ont pas beaucoup d'offre de restauration autour par exemple. ...
Pouvez-vous nous présenter la filière AnDDI-Rares en quelques mots ? À l’image des 22 autres filières de santé Maladies rares, AnDDi-Rares a pour mission de travailler sur le diagnostic, la formation, la recherche et la coordination entre les différents acteurs impliqués dans la prise en charge des pathologies rares au sein de la thématique qui est la sienne. La filière AnDDI-Rares est construite autour des anomalies du développement, avec ou sans déficience intellectuelle. Nous sommes sur un champ de pathologies qui est extrêmement large. Au sein de notre filière, nous couvrons environ 3 000 maladies différentes. Cela représente une proportion importante des pathologies rares. On estime que les déficiences intellectuelles touchent peu ou prou 1 % des enfants. Et ce taux monte à 3 % si l’on comptabilise les malformations. Pour toutes ces raisons, AnDDI-Rares est une filière au sein de laquelle interviennent fréquemment les généticiens. En effet, ces derniers sont amenés à examiner bon nombre de demandes d’évaluation diagnostique et de suivi de patients atteints d’une maladie avec anomalie du développement (AD), somatique ou cognitif. Qu’est-ce qu’une « offre diagnostique » au niveau génétique ? Beaucoup de patients nous consultent parce qu’ils n’ont pas de diagnostic. Dans un premier temps, nous allons procéder à une évaluation de façon à déterminer si un diagnostic clinique peut d’ores et déjà être posé. Si c’est le cas, dans un second temps, nous chercherons à confirmer ce diagnostic en procédant à des examens génétiques. Ceux-ci peuvent être courants ou innovants. En effet, un progrès énorme a eu lieu ces dernières années avec l’arrivée du séquençage à haut débit. Mais si un diagnostic clinique n’a pas pu être établi, les examens pangénomiques auxquels nous procéderons nous aideront alors à apporter une réponse aux interrogations du patient et de ses proches. Un examen génétique peut par conséquent venir se superposer à un diagnostic clinique pour le confirmer ou l’infirmer. Mais en cas d’absence de diagnostic, un examen génétique pourra s’y substituer et permettre de débloquer la situation, en quelque sorte. Certaines pathologies sont-elles difficiles à diagnostiquer ? Avant l’apparition du séquençage à haut débit, certaines présentations cliniques ne permettaient pas qu’un diagnostic clinique soit posé… Par exemple, certaines déficiences intellectuelles ne présentant pas de caractéristiques particulières, il était très compliqué de poser un diagnostic. Or, sans diagnostic initial, il n’était pas possible d’obtenir un conseil génétique. Les parents ne pouvaient alors pas savoir si leurs autres enfants - ou d’autres enfants de la famille - pourraient présenter un retard de développement… De plus, l’absence de diagnostic les privait non seulement de la possibilité de connaître l’évolution de la pathologie de leur enfant mais aussi d’une chance qu’on leur propose d’éventuelles pistes thérapeutiques, mêmes si celles-ci sont extrêmement rares dans nos pathologies…En quoi l’accès au séquençage pangénomique a-t-il changé la donne pour les patients atteints de maladies rares ? Auparavant, les examens génétiques étaient très dépendants d’un diagnostic initial. Et dans plus de 50 % des cas, celui-ci manquait… Même s’il était possible d’analyser l’ensemble des chromosomes, seul le séquençage pangénomique permet de scruter tous nos gènes. C’est réellement une très grande avancée. Et une source d’espoir pour les patients.Constate-t-on des disparités face au diagnostic ? Pour le moment, l’offre diagnostique est encore très inégale. En effet, certains laboratoires ne disposent pas d’un accès privilégié à des examens de séquençage à haut débit. Et d’autres laboratoires préféreront, quant à eux, analyser des panels de gènes. C’est-à-dire qu’ils examineront un nombre défini de gènes. Le problème, c’est que même si le nombre de gènes qui auront été étudiés peut se révéler très conséquent - parfois, jusqu’à plusieurs centaines de gènes seront scrutées - l’analyse ne portera que sur ces gènes, sans permettre la réévaluation des données au fur et à mesure des avancées scientifiques. Car il faut bien voir que les laboratoires qui proposent le séquençage pangénomique de nos gènes, c’est-à-dire de la totalité de nos gènes, sont encore rares. Quelles sont les problématiques de dépistage et de tests génétiques auxquelles vous vous heurtez, le plus souvent ? Parce qu’il s’agit d’examens nouveaux, certains laboratoires n’ont pas encore l’habitude de raisonner avec autant de données. Par sa complexité, l’analyse de ces données requiert l’intervention de biologistes, de bio-informaticiens et de généticiens cliniciens. C’est donc une réorganisation des soins qui doit être effectuée. Notamment au niveau de la formation des équipes. Outre les ressources humaines et les compétences qu’il nécessite, il faut également voir que le séquençage à haut débit pangénomique ne fait pas partie des actes innovants hors nomenclature (RIHN) dont le ré...
Sise à Dangeau, dans le Perche-Gouët, cette ancienne halte pour pèlerins est installée dans une seigneurie du XIIIe siècle, une découverte où vous attendent de belles associations de couleurs et de saveurs gourmandes. À travers une cuisine française traditionnelle qui plait, faite de savoureuses recettes inventives et personnalisées, le Relais de poste Saint-Jacques surprend et séduit en misant sur la générosité et le gout. C’est une bonne adresse gastronomique qu’on recommanderait à nos familles et à nos proches, particulièrement adaptée aux repas festifs. Comme le précise le chef et propriétaire François Morgillo, saucier incontestable, « rien ne part nature, tout est accompagné d’une petite sauce ». Et c’est d’ailleurs ce qui fait la particularité de cet établissement chargé d’Histoire et au cadre d’époque, où la noblesse de la cuisine traditionnelle est mise à l’honneur. Une farandole de saveurs Laissez-vous surprendre par un plat de ses inventions : le poulet à la Dangeautine, un poulet fermier mariné dans du cidre avec des raisins secs. La région du Perche n’a rien à voir avec une région comme le Périgord ou la région lyonnaise, « il n’y a pas de terroir alimentaire, mais il existe plutôt un terroir d’élevage, de culture maraichère et de petit élevage », reconnait François Morgillo, avec, bien sûr, « du poulet local et de la viande de bœuf locale en vente directe ». Le filet est cependant acheté à d’autres abattoirs et bouchers spécialisés. Détente percheronne est un menu à 34 € hors boissons, comportant 4 entrées au choix, 4 plats au poisson au choix, des légumes de saison frais et assortis, auxquels viennent s’ajouter un plateau de 4 ou 5 sortes de fromages locaux de chèvre et de vaches ainsi que 5 ou 6 desserts au choix. Quant au menu du Vidame, il est proposé à 49 € du fait du prix de revient beaucoup plus élevé des produits qui le composent (filet, au lieu de faux-filet entre autres). Son magret de canard en délice du Perche est, par exemple, une belle découverte à ne pas rater. Les plats changent suivant les aspirations du moment. ...
Cette scène de musiques actuelles, reconnue de « mission Service public », est à la fois une salle de concert d’une capacité de 380 places et également une plate-forme de soutien aux artistes locaux. En 22 ans, il en a vu naître des talents, comme Soprano, Abd Al Malik ou Kery James, des grands noms du rap français qui jouissent d’un succès aujourd’hui planétaire.Démocratiser la philosophie de la culture hip-hopLa programmation de concerts, showcase et spectacles variés pour promouvoir les groupes et jeunes artistes émergents est la principale activité de l’Affranchi. « Ici, ils peuvent faire leur première scène, et nous allons les accompagner dans le développement de leur carrière », explique Miloud Arab, directeur de la salle de concert. Si le rap et le hip-hop sont en tête de liste, la salle s’intéresse également à la musique électro, au rock et au reggae. Dans son approche, l’Affranchi met à disposition Les Résidences, un espace artistique qui concentre des ateliers de répétition, studio d’enregistrement et résidence scénique. « Ainsi est né le projet Rookie Session, qui réunit une dizaine d’artistes autour d’un projet d’album commun.» Il accueille également l’école de DJ Akademix Marseille qui propose un stage d’initiation et de perfectionnement en DJing.Pour 2018, l’Affranchi annonce un calendrier très dynamique, où concerts, showcase, festivals de musique, contest, danse urbaine et projet multiculturel seront au rendez-vous. La nouvelle finale de Buzz Booster est l’un des événements les plus attendus. Ce concours national de la discipline hip-hop a pour vocation de dénicher les futures relèves de la musique rap en France....
Des hébergements aménagés pour vous sentir comme chez vous Le village vacances Georges Moustaki *** propose deux formules d'hébergement pour répondre au mieux à vos besoins. La Formule Flexipass comprend 43 chambres rénovées, chacune équipée de sanitaires complets, d'une télévision, d'une bouilloire, d'un sèche-cheveux et d'un distributeur de produits de douche. Un ascenseur est à votre disposition pour un accès facile dans toutes les commodités de cette formule. Si vous préférez l'autonomie de la Formule Location, 24 appartements rénovés sont disponibles, disposant d’une kitchenette entièrement équipée, d’un lave-vaisselle, de sanitaires complets et d’une télévision. Ces options d'hébergement variées conviennent aussi bien aux couples qu'aux familles nombreuses. Un choix de logement varié (chambres et appartements) Le Village vacances Georges Moustaki *** offre également une gamme de chambres et d'appartements pour répondre à vos besoins et préférences : Formule Flexipass : Chambre 1 pers. (10 m2) : 1 lit simple. Chambre 2 pers. (15 m2) : 2 lits juxtaposés. Chambre 2 pers. PMR (20 m2) : 2 lits juxtaposés. Chambre 4 pers. : Chambre avec 2 lits juxtaposés et chambre avec 2 lits superposés. Chambre 5 pers. (32 m2 environ) : Chambre avec 2 lits BZ et chambre avec 3 lits simples. 2 pièces 5 pers. (35 m2) : Séjour avec 2 lits juxtaposables et 1 lit surélevé, chambre avec 2 lits juxtaposés. 2 salles de bains/toilettes. Formule Location : 2 pièces 4 pers. (35 m2) : Séjour avec 2 lits superposés, chambre avec 2 lits jumeaux. 2 pièces 5 pers. (35 m2) : Séjour avec 2 lits juxtaposables et 1 lit surélevé, chambre avec 2 lits juxtaposés. 2 salles de bains/toilettes. 3 pièces 7 pers. (53 m2) : Séjour avec 2 lits simples, chambre mansardée avec 2 lits juxtaposés, chambre avec 2 lits juxtaposés et 1 lit haut. 2 salles de bains/toilettes. Studio 3 pers. (19 m2) : Séjour avec canapé-lit et 1 lit surélevé. 2 pièces 3 pers. PMR (35 m2) : Séjour avec canapé-lit simple, chambre avec 2 lits simples. 2 salles de bains/toilettes adaptées. Terrasse extérieure. PMR signifie que certaines chambres sont adaptées aux personnes à mobilité réduite. Découvrez les saveurs jurassiennes Au village vacances Georges Moustaki *** préparez-vous à déguster les spécialités locales, y compris la célèbre salade du Jura, le suprême de volaille au bleu de Gex, la morbiflette ou la gexiflette, et bien sûr, les fameux fromages du Jura. Les produits locaux sont mis en avant, offrant une expérience culinaire authentique. Les repas sont variés, avec un petit déjeuner sous forme de buffet et des déjeuners et dîners servis en buffets ou à table. Vous pourrez également savourer un plateau de fromages du Jura à chaque dîner, accompagné de vins à discrétion. Pour les excursions de la journée, des paniers-repas sont disponibles, et pour les clients en formule location, il est possible de commander des plats à emporter. Des activités diverses pour des vacances bien remplies Ce village vacances propose une large variété d'activités et d'animations pour rendre votre séjour unique et inoubliable. En journée, des activités telles que l'éveil musculaire, l'aquagym, les balades en raquettes, les pique-niques en pleine nature et la découverte du patrimoine local sont au programme. En soirée, continuez de vous amuser à travers des jeux apéritifs, des soirées dansantes, des karaokés, des grands jeux, ou même des spectacles de cabaret. Des moments festifs, conçus pour plaire aux petits et aux grands. Des espaces de détente et de relaxation Le village vacances Georges Moustaki *** vous propose également des installations de détente pour que vous puissiez profiter pleinement d’un séjour bien mérité. Vous pourrez vous détendre dans la piscine couverte et chauffée. Une salle de fitness, un sauna, ou encore un coin avec cheminée, sont à votre disposition. Il y en a pour tous les goûts ! Un Club Enfant pour satisfaire les petits et les grands Si vous voyagez en famille, les équipes Vacances passion ont tout pr&e...
Auray est un bourg dynamique morbihannais dont le paysage change au gré des marées. La beauté et le calme du port de Saint-Goustan imprègnent les promeneurs venus sillonner les berges pour trouver un moment de sérénité. L'église de Saint-Gildas classée monument historique tout comme l'hôtel de ville datant du XVIIIème siècle, les maisons à colombage, le pont Saint-Goustan, le Vallon du Reclus, La Petite Forêt forment le riche patrimoine architectural, historique et naturel de la ville. Au-delà des sites et monuments, Auray a la chance d'abriter l'une des meilleures tables de la région. Au restaurant Terre Mer, on cultive l'excellence dans l'assiette mais aussi dans l'accueil. Anthony Jehanno, globe-trotter et artisan du goût Le goût pour la cuisine, Anthony Jehanno l’a acquis dès sa plus tendre enfance. Adolescent, il obtient son BEP à Sainte-Anne-d’Auray. Sa passion et ses talents le conduiront rapidement vers les plus hautes marches de ce métier d’exception où l’attend sa première place de chef à Montmartre, au sein de l’établissement Moulin de la Galette. Telle une locomotive, plus rien alors ne l’arrête. Il est sollicité par le groupe Ducasse pour l’ouverture d’un nouveau restaurant situé sur les Champs-Elysées. Après avoir sillonné Londres et les Etats-Unis où il a exercé comme consultant, ce globe-trotter choisit de déposer définitivement ses valises dans le Morbihan, sa terre d’origine. De là commence une merveilleuse et nouvelle aventure qu’il vivra aux côtés de son épouse, Anne-Sophie Jehanno. Ensemble, le duo complice façonnera leur nouvel établissement à leur image. Ici, rien de trop guindé. La charmante maison de granit livre une décoration chic et raffinée, juste ce qu’il faut. Premier détail qui focalise l’attention : les murs en pierre et les poutres apparentes qui confèrent tout son charme à la salle. Une cuisine actuelle Dans cette atmosphère élégante et cosy, Anthony Jehanno et sa brigade œuvrent pour flatter vos papilles. Les produits du terroir et de la mer de la région sont à l’honneur. Le jeune chef Morbihannais travaille en étroite collaboration avec plusieurs petits producteurs afin de sublimer à sa manière les trésors locaux et de saison. Le produit est en majesté. Cela débute par un foie gras poêlé qui se décline en de multiples accompagnements selon la saisonnalité. Mais cette fois-ci, vous le dégusterez bien avec du kiwi jaune et de l’ail noir. Enchaînez ensuite avec un dos de chevreuil amandes airelles ou un filet de Saint-Pierre salsifis champignons et « cazette ». Au dessert, laissez-vous tenter par les tartelettes du chef dont l’expérience en pâtisserie transparaît avec brio dans l’assiette. Les saveurs de cette cuisine actuelle, équilibrée et goûteuse sont sublimées par une puissante carte de vins. Bien que les propriétaires expriment une préférence pour les vins de Bourgogne, la cave se compose d’autres belles références issues de l’Alsace, de Bordeaux, de Gascogne, de la Loire, du Rhône. ...
Dans leurs champs bio de quelques hectares, ces jeunes paysans d’un genre nouveau rayonnent. « Cette vie, nous l’avons choisie, par conviction, par passion », déclarent-ils. Leur crédo : l’agriculture biologique, le travail à la main, l’attention au climat, au terroir. Adrien l’affirme : « les plantes ont du goût, la palette aromatique de la nature est immense, nous soignons les plantes pour restituer ces saveurs ». Tout est produit sur place et séché dans un séchoir suisse de technologie CFT. « C’est le garant d’un résultat optimal. Infusée, la plante est comme fraîche, simplement réhydratée, elle reprend vie. » L’infusion, un produit gastronomique Claire parle de ce projet un peu fou : « Nous voulions sortir l’infusion de son carcan médicinal. La tisane de mamie, c’est fini. Aujourd’hui, les plantes offrent leur saveur pour le plus grand plaisir des gourmets ». Et les chefs ne s’y trompent pas, à la carte du Plazza Athénée by Alain Ducasse, au Clover Shop de Jean-François Piège pour leur camomille romaine ou dans les restaurants du très nature Éric Guérin, on peut retrouver les plantes et les créations des jeunes Bretons. Les épiceries fines aussi s’arrachent leur production très limitée… gage de qualité ! Prolonger l’expérience à table… En 2017, l’Amante Verte a ouvert sa table. « Nous souhaitions proposer aux amateurs de prolonger l’expérience de la dégustation des infusions », fait savoir le couple. Ils rénovent la vieille étable pour créer un lieu atypique. Un café-librairie nature orné d’un très beau jardin en permaculture, où se déroulent des balades botaniques sensorielles et autres ateliers de cuisine sauvage. Un stage permet même de créer son infusion sur mesure ! ...
Tirer parti de ses données est une arme puissante pour les entreprises. Pourtant, peu savent réellement l'utiliser. Jedha propose ainsi des formations de qualité pour populariser ces outils, et une plateforme d'apprentissage unique en son genre. Jedha en quelques mots Depuis sa création, Jedha a souhaité fournir à ses élèves des formations en Data poussées, techniques et orientées pratiques, délivrées en présentiel ou distanciel avec le contexte sanitaire que nous connaissons. Le monde de la Data intéressant une large diversité de profils, il était nécessaire de mettre en place des programmes répondant aux besoins de chacun. De ce fait, 3 parcours ont été créés : -Programme Essentials (40h) pour acquérir les fondamentaux de la Data Science ; -Programme Fullstack (420h) pensé et conçu pour être professionnalisant, permettant de maîtriser l'entièreté du pipeline Data ; -Programme Lead (70h) pour se spécialiser sur des compétences actuellement très recherchées, en DevOps et automatisation. Chacune de ces formations s’appuie maintenant sur la plateforme d’apprentissage JULIE, une plateforme inédite dans la formation en Data. JULIE : la plateforme d'apprentissage qui suit les élèves durant toute leur carrière Pour travailler sur des projets Data, posséder une machine avec une bonne puissance de calcul et de stockage reste nécessaire, surtout lorsque l'on veut réaliser des modèles complexes. Pour contourner cette contrainte à laquelle se heurtent certains, Jedha offre à chacun de ses élèves un environnement de code dédié, l'accès à une plateforme baptisée JULIE. Chaque élève profitera d'environnements de code Cloud, permettant de créer des modèles robustes et poussés, sans avoir à installer quoique ce soit sur son propre ordinateur. Grâce à JULIE, les apprenants peuvent donc manipuler de gros volumes de données, s'initier au Deep Learning et Big Data en toute sérénité. Accessible à vie, JULIE accompagne les élèves de Jedha dans leur apprentissage tout d'abord, et dans leur carrière ensuite, les aidant à développer les modèles qu'ils auront à créer dans leur environnement professionnel. En exclusivité pour ses élèves, JULIE dispose aussi d'un portail de contenus sur lequel sont postés tous les supports de cours, des fiches d'apprentissages, des flashcards ainsi que des coding challenges proposés par les entreprises partenaires, le tout visant à s'entraîner en vue des entretiens et processus de recrutements. Bref, tous les aspects de la formation jusqu'au recrutement sont couverts ! ...