Coopérateur jusqu’en 2013, André Fille soutenu par son épouse Rachel et ses filles Marine et Vanessa tente le pari d’ouvrir sa cave particulière .Il confie sa gestion à sa fille ainée Vanessa. Le nom du domaine résulte d’une erreur de transcription de l’Etat Civil. En effet, l’ancienne orthographe de la famille était alors Filhe, mais le « h » a été changé par un « l » par l’administration. Une nouvelle aventure pour la famille Fille L’histoire de la famille Fille est celle d’une invraisemblable reconversion : « on a totalement changé de travail, puisqu’on est passé de la vente de plants pour l’horticulture à la fabrication de vins » raconte Vanessa Fille. Cette dernière s’occupe du vignoble sous les conseils avisés de l’œnologue Patrick Galliano. Actuellement, le domaine applique une agriculture raisonnée dans les vignes avec un encépagement essentiellement composé de Grenache, Cinsault et Syrah, qui confèrent aux vins ses arômes, et de cépages assez atypiques de la région comme le Cabernet ou le Merlot. Dans les années à venir, Vanessa n’écarte pas l’idée de reconvertir tout le domaine en agriculture biologique. Cette vigneronne passionnée et soucieuse de l’environnement estime qu’un terroir préservé permet la production de vins de meilleure qualité. Un grand succès pour une première Le Domaine Filhéa a commencé la vinification de ses premières cuvées en septembre 2015 « On a douze hectares de vignoble, qui ont donné aux environs de 550 hectolitres. Nous avons produit une première gamme de vins composée de cinq rosés, trois rouges ainsi qu’un blanc » explique Vanessa Fille. Et pour une première, elle peut être qualifiée de grande réussite puisque quatre rosés du domaine ont été récompensés lors du concours Général Agricole de Paris. La palme revient surtout à la cuvée « Un Autre Monde » puisque cette dernière a remporté une médaille d’or en AOC Provence. Il s’agit d’un vin aux arômes très fins en bouche, qualifié de « sexy » par le jury. La cuvée « Marine » et « Vanessa » ont gagné chacune une médaille d’argent en AOC Côtes de Provence tandis que la cuvée « 16 Aout » a été couronnée d’une médaille de bronze en IGP des Maures. Autre récompense qui n’a pas de prix : les vins du domaine sont déjà présents sur des tables renommées de la région telles que le restaurant « La Colombe » de Nadège et Pascal Bonamy, « Planches et Gamelles » et la « Farigoulette » d’Anthony Lopez et le « Lou Portaou » à Bormes-les-Mimosas. Mis à part les restaurants, le domaine écoule sa production par la vente aux particuliers au sein du domaine et s’appuie sur le bouche-à-oreille pour renforcer sa réputation. ...
À ses débuts, le couple Forgeron travaille sur seulement deux hectares de vignes. Actuellement, le vignoble compte 24 hectares cultivés par leurs enfants Pierre et Christophe Forgeron. Méticuleux dans le travail et la conservation des traditions, les frères Forgeron n’ont pour seule ambition que de faire vivre et revivre l’histoire du cognac depuis leur village natal, connu pour être le premier cru du cognac… Un travail où l’art est présent C’est sur un sol de calcaire tendre que reposent les 24 hectares (ugni-blanc, folle blanche) de Michel Forgeron, où l’attention et le soin apportés tout au long de l’année vont conduire, début octobre, à la plus belle récolte possible. Vient ensuite l’étape de la distillation qui se fait au gaz durant les trois mois d’hiver, avec des alambics de type charentais, dont le plus ancien tourne depuis 1965. Le vieillissement, étape la plus importante dans la production de cognac, se fait dans des fûts de chêne, pour donner couleur, parfum et goût à l’eau-de-vie au fil des années. De la distillation à la mise en bouteille, rien n’est laissé au hasard chez la famille Forgeron. Bouteilles ou carafes, à chaque cognac son écrin. Du cognac authentique Le cognac est un produit exigeant se déclinant à l’infini au gré des assemblages concoctés par le « maître de chai ». Parfums, saveurs, persistance ou légèreté, à consommer seul ou en cocktail, les cognacs Forgeron représentent toute la palette des savoir-faire de Grande Champagne : VS, VSOP ou XO, mais également Réserve, Napoléon ou Hors d’âge, ce sont plus de cinquante ans de passions à découvrir et à déguster. Pour cette année 2017, la distillerie propose la Barrique 68, un cognac brut de fût vieillit près de cinquante ans. La Barrique 68 existe seulement en six exemplaires disponibles à la vente jusqu’à la fin de l’année. ...
Créée en 1971, l’ECI propose des séjours linguistiques en se spécialisant dans les séjours destinés aux jeunes de 12 et 18 ans. Allant d’Irlande aux États-Unis, en passant par l’Angleterre ou l’Australie, la pratique de la langue étrangère ciblée, notamment l’anglais, est assurée par des programmes en immersion totale dans le cadre d’hébergements en famille ou d’intégrations dans des écoles de langue de renommée internationale. L’immersion linguistique totale Séjours au pair, stages en entreprise à l’étranger ou encore intégration en écoles de langue sont autant de formules de séjours linguistiques et éducatifs proposées par l’ECI. « À l’écoute des parents, dans le but de les conseiller sur le meilleur choix pour leurs enfants, l’association élabore ses formules en assurant aux participants un accompagnement permanent par un professeur ou un membre de l’ECI », explique Valérie Deltour, la directrice de l'association. Parmi la dizaine de formules au choix, l’immersion totale reste néanmoins le fleuron de ces séjours riches en apprentissage et en découverte. En effet, toujours selon la responsable, « cette expérience vécue au sein d’une famille américaine, destinée aux lycéens et étalée sur deux mois, se veut le cœur de métier de l’association », une offre garantissant ainsi un apprentissage rapide et efficace de la langue choisie. À cette formule viennent s’ajouter les séjours linguistiques en Angleterre ou en Irlande. Pour ce qui est de l’Irlande, il s’agira de découvrir la culture du pays tout en bénéficiant d’une « immersion dans un milieu international [multilinguistique et multiculturel], au sein d’établissements spécialisés dans la langue anglaise [accueillant de jeunes élèves venus des quatre coins du monde]», continue-t-elle. La pratique, l’approfondissement et la maîtrise de la langue choisie sont ainsi assurés par ces programmes enrichissants à l’étranger, organisés, pour la plupart, durant la période estivale. De nombreuses autres destinations sont, par ailleurs, proposées par l’association afin de satisfaire toutes les demandes en matière de séjours linguistiques. ...
Le digital learning est devenu une composante incontournable dans la mise en place d’un plan de formation. Cependant, le succès d’une telle démarche requiert une implication effective des formateurs. Grâce à une solution innovante, Mine de Savoirs place chaque formateur au cœur du dispositif tout en lui donnant la possibilité de créer et d’animer la formation. Optimiser la formation Implantée à Paris, Mine de Savoirs a été fondée par Alain Commissione en 2015. « J’étais directeur de projet au sein d’une entreprise de formation et de plus en plus de clients exigeaient des solutions innovantes », nous rapporte-t-il. Alain Commissione comprend rapidement que seul le digital peut répondre à ces nouveaux besoins. Il décide alors de lancer sa propre activité en créant Mine de Savoirs, une startup qui propose d’optimiser la formation par le digital. Conseils et accompagnement aux entreprises Mine de Savoirs se spécialise dans l’accompagnement des entreprises dans le cadre de la digitalisation de leurs formations en intervenant essentiellement sur trois axes. Dans un premier temps, il s’agit d’aider l’entreprise à définir une stratégie globale de digitalisation qui tient compte à la fois de ses contraintes et de ses besoins. Afin de mieux cerner ces paramètres, l’entreprise organise des ateliers de design thinking. La deuxième intervention porte sur la formation des formateurs, étape essentielle pour se familiariser avec les nouveaux modes de travail requis par la digitalisation. Enfin, la startup s’illustre dans la conception et la production de contenus pédagogiques interactifs sur mesure. MROD, l’appli Web qui révolutionne les formations Mine de Savoirs ne se contente pas d’accompagner les entreprises puisqu’elle fournit aussi des outils innovants à destination des formateurs. À l’image de la plateforme LXP (Learning eXperience Plateform ) dénommée « MROD ». Cette application accessible via un navigateur permet de créer et de diffuser facilement des supports digitaux de formation. Adapté aux supports mobiles, cet outil fonctionne à peu près à la manière d’un réseau social. Le formateur commence par créer des contenus pédagogiques pour ensuite les partager et animer des groupes d’apprenants via un mur collaboratif. « En quelques clics, il a la possibilité d’interagir sur la plateforme et peut venir déposer toutes sortes de médias comme des vidéos, des images, des quiz, etc. », explique Alain Commissione. Du côté des apprenants, les avantages sont multiples. Cette application leur évite de perdre du temps dans des formations classiques qui peuvent parfois prendre une journée entière. L’apprenant peut, à tout moment et via son mobile, avoir accès à l’information dont il a besoin. De plus, la gamification des contenus pédagogiques permet de susciter plus d’intérêt et plus d’engagement de leur part. Dernier point important, MROD change l’expérience de l’apprentissage en rendant caduque la notion de synchrone et d’asynchrone. « Alors qu’auparavant il fallait utiliser un outil pour la formation présentielle et un autre pour la formation à distance, avec MROD on peut faire les deux, et cela de manière fluide », indique le fondateur. ...
Le restaurant Terroir & Co du prestigieux hôtel Sofitel Hotels & Resorts de Strasbourg a choisi la date du 24 octobre 2016 pour ouvrir ses portes au public et le faire découvrir aux gourmands, gourmets et profanes. S’enveloppant d’un voile de renouveau, cet établissement arbore une ambiance chic et chaleureuse d’une incroyable élégance. Le terroir à l’honneur Terroir & Co est un restaurant au nom évocateur. À nouveau nom, nouveau concept, dit-on. « Terroir » pour la mise en valeur du terroir alsacien et ses produits et « Co » pour le lien tissé avec les producteurs locaux qui sont d’autant plus des fidèles partenaires. Ce restaurant, d’une capacité de 70 couverts, vous embarque dans un univers d’authenticité et de luminosité, où tout n’est que plaisir et beauté des sens. Dans une belle volonté de mettre en avant la qualité exemplaire des produits utilisés et de rendre hommage au mérite dû aux producteurs locaux, l’établissement est une véritable découverte qui mérite son pesant d’or. Le prestige dont jouit le Sofitel et qui n’est pas que légendaire n’est certes pas étranger à la renommée du restaurant. Toutefois, investi de sa propre identité, Terroir & Co est un lieu à part, qui, à lui tout seul, vaut le déplacement ! Une cuisine inspirée des saveurs locales À travers de belles présentations, sous des décors sublimés par une toute nouvelle ligne de vaisselle élaborée par la céramiste locale Mélina Céramique, le chef Sébastien Schmitt sait bien démontrer son talent et son savoir-faire dans l’art de composer des assiettes hautes en couleurs et en saveurs. L’expérience en vaut la peine, si vous êtes à votre première visite. Très vite, l’endroit deviendra votre établissement préféré pour une découverte culinaire alsacienne à la française, un lieu de retrouvailles en famille, entre amis ou en amoureux pour partager des moments gourmands, ponctués par un décor joliment modernisé et mis en valeur par la talentueuse architecte Julie Fuillet. Dans une ambiance plutôt bistronomique, les découvertes culinaires surprendront vos papilles ! Entre une farandole d’entrées fraiches et savoureuses, des plats copieux et savoureux et des délices de desserts variés, vous n’aurez que l’embarras du choix. Une sélection de grands crus alsaciens Les repas seront sublimés par la belle carte de vins représentant les 51 grands crus alsaciens. Une bibliothèque de Grands crus exposée au restaurant via une tablette numérique fera voyager les clients sur les terroirs alsaciens. Pour changer, découvrez une façon moderne, originale et pourquoi pas ludique de faire le bon choix, trouvez la bonne alliance pour accompagner vos repas et amusez-vous à les composer au gré de vos fantaisies, sans oublier d’écouter les suggestions de la responsable du restaurant Véronique Meyer qui a personnellement sélectionné cette carte en allant à la découverte des viticulteurs indépendants. Une épicerie fine Surtout, ne repartez pas les mains vides et ne vous privez pas du plaisir de faire le plein de provisions auprès de la nouvelle épicerie du terroir alsacien, où un bon nombre de produits vous attendent, telle une salle aux trésors qui n’attend qu’à être explorée, avec, dans vos assiettes, d’authentiques spécimens de produits maraichers de producteurs locaux. ...
La Résidence Somania, implantée sur le site du centre hospitalier de Somain, remplit toutes les conditions pour offrir un séjour le plus agréable possible aux personnes âgées en perte d’autonomie : des infrastructures et des prestations de qualité. Une équipe soignante pluridisciplinaire sous la responsabilité du médecin coordonnateur et du cadre de santé dispense les soins et assure l’accompagnement quotidien des résidents. Un environnement sain et confortable Ses espaces extérieurs aménagés suscitent l’éveil des sens des résidents. L’architecture laisse entrer la lumière et favorise l’ouverture sur l’extérieur. La résidence a une capacité d’accueil de 84 lits : • 1 unité pour maladie d’Alzheimer et maladies apparentées (M.A.M.A) de 14 lits, permettant la prise en charge spécifique des résidents atteints de maladie de type Alzheimer ; • 1 unité d’hébergement renforcée (UHR), de 14 lits, permettant la prise en charge spécifique des résidents atteints de maladie de type Alzheimer compliquées de symptômes psycho-comportementaux, altérant la sécurité et la qualité de vie de la personne et des autres résidents ; • 1 unité d’activités et de soins adaptés (P.A.S.A) de 14 places ; • 56 lits permettant l’accueil et la prise en charge de personnes âgées ne présentant pas de troubles du comportement, incompatibles avec la vie en institution ; • 1 accueil de jour de 6 places. D’une superficie d’environ 20 m2, chaque chambre est agencée de manière à ce que la personne âgée se sente comme chez elle. L’établissement propose donc une chambre meublée comprenant un lit médicalisé, un fauteuil, une table adaptable, un placard intégré, un téléviseur, un système d’appels et une salle de bains avec douche. Les résidents sont accompagnés dans les actes de la vie quotidienne et peuvent bénéficier du cadre de vie de la Résidence SOMANIA : salons, salles à manger, salles d’activités L’Unité d’Hébergement Renforcé quant à elle propose une prise en charge à la fois d’hébergement, de soins, d’activités à visées thérapeutiques, de socialisation dans un cadre adapté alliant sécurité, liberté de circulation, confort.… Un large choix d’activités L’animation rend la vie à la résidence plus agréable en proposant des activités. Elle permet de créer, maintenir le lien social et développer la notion de plaisir. Elle facilite l’intégration des résidents au sein de l’institution, le résident étant au centre de ce projet d’animation pour répondre à ses besoins et le rendre acteur dans les activités. Parmi les activités proposées figurent, par exemple, la gymnastique douce, la musique, les jeux de société, les sorties à l’extérieur de l’établissement, les activités manuelles et autres activités de détente et de relaxation. Étant donné les impacts positifs engendrés par les échanges intergénérationnels sur les seniors, l’établissement invite également des enfants issus d’établissements scolaires pour interagir avec ses résidents. Une prise en charge individualisée Bien avant son admission au sein de l’établissement, le résident soumet un projet personnalisé (PAP) qui doit être validé par l’équipe au sein de l’EHPAD. Ce projet, co-construit entre la personne âgée et l’équipe, intègre les habitudes, les croyances, les gouts, les centres d’intérêt, l’histoire de vie, l’environnement affectif et familial du futur résident. L’objectif étant de pouvoir offrir à ce dernier une prise en charge personnalisée et adaptée. La Résidence Somania est avant tout un lieu de vie. Le rôle particulier de l’animation est, dans le cadre du projet de vie individuel, de mettre en œuvre, développer ou maintenir le projet social des résidents, de favoriser les échanges, de faciliter l’intégration au sein l’institution, de main...
Un mode de production unique Le veau fermier du Limousin élevé sous la mère a la particularité d’être nourri au pis, selon une méthode traditionnelle de production, de la naissance jusqu’à l’âge d’être consommé. L’alimentation de chaque veau est constituée au minimum de 85% de lait maternel. Elle peut être complétée de façon limitée et dans des conditions strictement définies par un aliment d’allaitement reconstitué. L’accès à l’auge lui est interdit. Un savoir-faire authentique La production de la viande de veau fermier exige un certain savoir-faire. Le veau doit suffisamment téter sa mère matin et soir pour obtenir la qualité recherchée. 1500 éleveurs élèvent leurs veaux dans le respect de cette méthode traditionnelle de production, transmise de génération en génération. A l’œil, la viande au grain très fin présente une couleur blanche à rosée avec un gras blanc. Tendre et fondante, elle révèle une chair satinée un peu persillée révélant onctuosité et saveur en bouche. Une reconnaissance par deux signes de qualité Contrôlée de la naissance jusqu’à l’abattage, par un organisme certificateur indépendant, le veau fermier du Limousin porte deux signes de qualité : - le Label Rouge « Veau élevé sous la mère » pour une garantie de qualité gustative supérieure. - l’Indication Géographique Protégée « Veau du Limousin » pour garantir son origine Limousine. ...
Installé en face de la gare Rive Gauche à Versailles, l’agence Guidatours a pour objectif de vous accompagner lors de votre visite du château de Versailles et de vous faire découvrir toute la richesse du domaine. Le château de Versailles est l’un des monuments français les plus visités puisqu’environ 6 millions de personnes s’y rendent chaque année. En raison de cette affluence, choisir Guidatours c’est profiter d’une visite agréable en évitant les files d’attente. Les formules proposées Guidatours propose plusieurs formules de visite aux individuels ou aux groupes. Vous trouverez forcément celle qui vous convient. Vous avez par exemple la possibilité de profiter d’une visite avec un guide expérimenté. Il vous fera visiter le château, en particulier les grands appartements royaux et la célèbre Galerie des glaces. Cette visite pourra être faite en français, anglais, allemand, espagnol ou italien pour un groupe d’environ 25 personnes. Puis vous pourrez à loisir vous balader dans les jardins. Vous pourrez également consacrer toute une journée sur ce fabuleux domaine pour y découvrir, entre autres, les Trianons et le Domaine de Marie-Antoinette. Si vous préférez visiter à votre rythme en toute liberté, vous choisirez le billet coupe-file avec audioguide. A part le français, 9 langues sont disponibles (anglais, allemand, espagnol, italien, chinois, japonais, coréen, russe et portugais). La demi-journée vous permettra de visiter château et jardin. La totalité du domaine vous sera accessible en optant pour la journée complète. Pour faciliter votre venue, Guidatours a également mis en place un système de bus depuis le centre de Paris, ou un trajet plus écologique en RER accompagné d’une hôtesse. Si vous désirez gouter aux charmes inépuisables de ce lieu, vous pourrez séjourner un week-end dans un hôtel de prestige et assister aux grandes eaux nocturnes ou au spectacle équestre chorégraphié par Bartabas. Pour les CE ou les associations, Guidatours se tient à votre disposition pour préparer des visites sur mesure à Paris ou à Versailles, comme par exemple les lieux cachés de Versailles ou les passages couverts de Paris, avec déjeuner inclus. Quelques chiffres En 2017 Guidatours a permis a plus de 75.000 personnes de visiter le château de Versailles dans de bonnes conditions et sans file d'attente. ...
Environnement béni des Dieux ! C’est avec ce « poids sur la conscience », c’est à dire la preservation d’un cadre naturel exceptionnel, que s’est construit le projet de ce complexe hôtelier de luxe. Bâti en granit, la roche insulaire, L’Hôtel & Spa des Pêcheurs est le principal centre d’activité de l’ïle avec de nombreuses propositions compatibles avec cet esprit (tennis, golf, plongée, yoga, plage, excursion en bateau, location de voiturette électrique) et est très apprécié aussi pour son centre de soin thermal. Pour y séjourner, l’endroit saura séduire par l’élégance des suites et chambres avec vue panoramique sur la mer, à la decoration subtile, sobre et raffinée et bercées par le ronronnement délicat du flux et du reflux. On ne pourra qu’étre séduit aussi par son jardin aux milles et une fleurs. À chaque instant, les odeurs de myrte , de jasmin , de genièvre, de chèvrefeuilles, et de tant d’autres espéces, viennent se méler aux senteurs marines. Ces effluves remontent jusqu’au bar, situé sur l’une des plages de l’Hôtel. où la qualité de l’accueil et une pétillante carte sont la garantie d’apéros, de pauses roboratives ou de soirées conviales, festives et réussies. French touch et classe italienne au menu Attention les papilles ! Le restaurant de l’Hôtel, si romantique par son cadre, donne rendez-vous à un instant culinaire prêt à être gravé dans les mémoires. De mains de maître, le chef réussit merveilleusement le pari d’ une cuisine où la rigueur et la technicité des savoir-faire français s’associent à la nature d’une gastronomie italienne, plus simpliste dans son exécution, mais mettant davantage en avant la pureté du produit. La carte est variée et adaptée à garantir le respect et la fraicheur dus à la qualité des matières premières utilisées. Ici, le garde manger est bien évidemment frais et de saison, poissons et crustacés issus de la pêche locale ; les fournisseurs du continent (agriculteurs, éleveurs, fromagers, vignerons…) ont été sélectionnés parce qu’ils sont les dignes représentant de leur metier et qu’ils proposent l’excellence dans leur domaine. Les plats et les mets s’enchainent avec légèreté. Un dressage minutieux permet d’associer plaisirs olfactifs et visuels. En entrée, on retrouve crèmes, tartes et feuilletages élaborés, des tartares et poélées de poissons et de crustacés. Les Pasta sont exécutés dans le respect total de la gastronomie italienne, toujours inventive, harmonie subtile de formes et de sauces. L’assaisonnement et la cuisson des viandes et poissons sont parfaitement maîtrisés et souvent associés à des parfums de truffe ou d’épices du maquis. Les desserts ne dénotent en rien avec le reste et achève le repas par un florilège de douceurs sucrées. À 15 minutes seulement en bateau du port de Piantarella, situé sur la commune de Bonifacio, voici un adresse incontournable pour le fin gourmet… ...
Implantée au cœur des Cévennes de Lozère, cette structure a pour objet la fabrication de toute une gamme de produits aux saveurs représentatives de la région, avec un goût proche du fait maison. À travers une passion remarquable nécessitant une patience à toute épreuve, elle s’investit dans la transformation de fruits issus de producteurs locaux et qui a donné naissance à une confiture artisanale, qui dépasse de loin celles de nos grands-mères. Des coulis renversants d’une qualité exceptionnelle Existant depuis 1987, cet atelier de transformation de fruits a toujours œuvré pour la production de confitures, de pâtes de fruits et de coulis à base de fruits purs riches en sucre et rigoureusement sélectionnés, où les colorants, les gélifiants et tout autre produit conservateur n’ont pas leur place. Grâce à un mode de cuisson spécifique qui nécessite des récipients en inox et des produits en petite quantité, le travail permet de préserver la saveur et la couleur des fruits. Depuis, toute une gamme de produits s’y est développée dont notamment un coulis d’abricot et ses pâtes de fruits, primés par ailleurs au Concours Lozère Gourmande. Une large palette de confitures et de pâtes de fruits gourmands Le Fruitier des Cévennes, c’est aussi 24 parfums de confitures présentés sous des conditionnements de 320, 100 et 40 grammes, 6 parfums de coulis de 300 grammes ainsi que 6 parfums de pâtes de fruits présentés en sachet de 200 et 320 grammes ou en pavés de 300 grammes et en boîtes de 380 grammes. C’est aussi l’occasion de découvrir cinq parfums de sirops allant des nectars de cerises aux jus de raisins. Réputé pour être un artisan chevronné, cet atelier produit tout aussi bien des croquants aux amandes que des madeleines et des guimauves fabriquées dans le respect de la tradition et du savoir-faire des Cévennes. Des recettes emblématiques très appréciées À travers une activité essentiellement axée sur la mise en avant des fruits locaux, cet atelier artisanal de grande renommée n’entend pas s’arrêter en si bon chemin. Tout un assortiment de confitures, de coulis artisanaux et de pâtes de fruits à base de fruits rouges entier et de châtaignes continue également à s’y développer, richement décliné sur une palette de vingt-cinq à trente produits, dont, notamment, la surprenante confiture de cynorhodon familièrement appelée « la confiture de gratte-cul », et une autre au cassis, primée au Concours de la Lozère gourmande. ...
La jeune entreprise Cueillette Urbaine souhaite créer des bâtiments plus propres tout en favorisant la consommation de produits locaux par le biais de potagers productifs et écologiques. Une mission qui s’inscrit dans un contexte écologique et gastronomique recherché par les entreprises et les particuliers. Apprendre à mieux consommer grâce à Cueillette Urbaine L’entreprise Cueillette Urbaine a été créée avec un seul objectif : mettre en place des fermes urbaines écologiques sur les toits des villes. Pour cela, la jeune société met à disposition des espaces de cultures pour les entreprises et collectivités. Au sein de ceux-ci, les participants apprendront à cultiver différents fruits et légumes de saison tout en créant du lien social avec les autres jardiniers experts ou néophytes. Mais le concept ne s’arrête pas là. Car, les clients peuvent donner les fruits et légumes cueillis à un chef qui s’occupera de les cuisiner à sa façon. Ainsi, à l’inverse d’un restaurant traditionnel où il est nécessaire de choisir un plat défini à l’avance, ici, ce sont les participants qui sélectionnent eux-mêmes ce qu’ils veulent consommer. À savoir : les différentes variétés de fruits et légumes sont de saison. Ainsi, en printemps/été, vous trouverez plutôt des tomates, des aubergines et des piments tandis qu’en automne/hiver, vous aurez la possibilité de faire pousser des navets, des carottes et des épinards. De plus, il est aussi possible d’acheter des paniers à raison de 5 € le kilo. D’après Paul Rousselin, le CEO de Cueillette Urbaine, en faisant pousser ses propres produits, nous évitons la pollution liée au transport. Ainsi, en plus de manger sain et équilibré, vous faites un geste pour la planète. Des bâtiments propres et écologiques C’est un fait : l’urbanisation grandissante de ces dernières décennies laisse de moins en moins de place à la végétation. Ainsi, nous observons de plus en plus de pics de pollution dans les grandes villes. En partant de ce constat, la jeune start-up s’est lancée le défi de végétaliser les toits de nombreuses grandes villes. Cela afin de lutter contre la pollution, les inondations et garantir un maintien de la biodiversité grâce à des techniques culturales innovantes telles qu’une jardinière autosuffisante et des murs végétalisés d’aromatiques. D’après Paul Rousselin, l’installation de fermes urbaines sur les toits des immeubles permet une meilleure gestion des eaux de pluie, une amélioration de la qualité de l’air, une réduction des îlots de chaleur ainsi qu’un meilleur recyclage des déchets organiques grâce au compostage. Tout cela s’inscrit dans les objectifs de développement durable fixés par l’ONU en répondant à 9 d’entre eux (sur 17). C’est pourquoi de nombreuses entreprises et collectivités sont intéressées par ce concept novateur et écologique. Une entreprise avec une mission durable L’aventure Cueillette Urbaine commence en 2016. Créée par plusieurs amoureux du monde végétal (dont Paul Rousselin, le CEO, et Pierre-Frédéric Bouvet, le CTO), cette entreprise veut se lancer dans une quête avec un fort enjeu écologique. En s’appuyant sur des techniques innovantes et en aidant les sociétés et les collectivités à créer des espaces dédiés à la culture de fruits et légumes de saison, elle souhaite mettre en valeur le concept de circuit court autant que celui de permaculture. De plus, très vite, le concept de restauration germe dans l’esprit des créateurs qui pensent immédiatement à se rapprocher de chefs intéressés par ce projet. Ainsi, en contrôlant chaque étape de la vie d’un légume ou d’un fruit, le consommateur est sûr de manger sain tout en apprenant, s’il le souhaite, les bases du jardinage (par le biais d’ateliers). Nous sommes en plein mouvement locavore. Dans ce cas précis, une entreprise ou une collectivité fait un geste pour ses employés, pour les habitants et pour l’environnement. Lorsqu’une action individuelle profite à l’ensemble de la population, il est d...
À Fécamp, à 2h15 de Paris et à 1h de Deauville se dresse un majestueux palais du XIXe siècle. Derrière sa façade à l’allure irrésistible, œuvre de l’architecte Camille Albert, se cachent des espaces consacrés à l’art, à l’Abbaye de Fécamp et à Bénédictine ainsi que la distillerie et les caves dans lesquelles repose la célèbre liqueur. Composée de 27 plantes et épices, sa recette fut redécouverte par Alexandre Le Grand. Ce grand visionnaire donnera à Bénédictine une renommée mondiale. Tout commence par un vieux grimoire… Entre le XVIe et le XVIIIe siècles, des moines ont créé d’innombrables élixirs en usant de techniques spécifiques de distillation et en faisant appel à leurs connaissances autour des épices et des plantes. Les moines bénédictins de l’Abbaye de Fécamp n’ont pas dérogé à cette tradition. Au sein de ce monastère, un des moines répondant au nom de Dom Bernardo Vincelli s’illustre par son haut savoir. Adepte de l’alchimie et de l’herboristerie, le personnage s’intéresse de très près aux méthodes de distillation et aux plantes, ce qui l’amène à créer un élixir de santé naturel en 1510. Ce précieux breuvage fut produit jusqu’en 1789. La Révolution française a tout ravagé sur son passage et a entraîné dans son sillage la perte d’un savoir-faire. Quant au manuscrit contenant la recette originale, il a été, par chance, préservé par un des derniers moines de l’Abbaye qui l’a confié au grand-père d’Alexandre Le Grand. En 1863, au détour de sa bibliothèque, ce négociant en vins de Fécamp retrouve ce vieux grimoire, qui retient toute son attention. Il y découvre l’intrigante recette qu’il veut à tout prix reconstituer, et y parvient après plus d’une année de travail. De là renaît l’élixir, devenu liqueur, et baptisé Bénédictine. On sait que celle-ci est composée de 27 plantes et épices dont la myrrhe, l’hysope, l’angélique, le safran, la noix de muscade ou encore le clou de girofle, mais la recette complète est tenue secrète. Pour contenir Bénédictine, pas question pour Alexandre Le Grand de choisir une quelconque bouteille. Il crée ainsi un flacon résolument élégant aux proportions et à l’allure si parfaite qu’il inspire de nombreux artistes pour ne citer que Paul Gauguin, Douanier Rousseau, Wesley Webber… Haut lieu de l’art et de l’industrie Mais créer une bouteille unique ne suffit pas. Alexandre Le Grand voit plus grand encore pour sa précieuse liqueur et décide de construire en son honneur un palais-usine. Il mène ce projet aux côtés de l’architecte Camille Albert, spécialiste du néo-gothique, et de nombreux artisants d’art, dont Marrou, génie des ferronneries et des faîtages. D’inspiration gothique et Renaissance, ce chef-d’œuvre architectural devient le lieu de production de Bénédictine ainsi qu’un musée. Il abrite effectivement une impressionante collection d'art formée par Alexandre Le Grand et composée d’un riche ensemble de peintures, ferronneries, ivoires, émaux sans oublier la bibliothèque de plus d’un millier d’ouvrages dont la plupart rédigés par des moines bénédictins. Bien entendu, une grande partie de ce sanctuaire sera consacrée à Bénédictine et à ses 500 ans d’histoire. Une salle retraçant son historique est à découvrir, exposant, entre autres, une partie des 1000 contrefaçons de Bénédictine retrouvées dans le monde. Car, oui, la liqueur attise toutes les convoitises par sa renommée mondiale et ses saveurs subtiles. Une salle des épices exposant les ingrédients composant Bénédictine est également ouverte au public. La visite continue dans la distillerie où sont entreposés les alambics en cuivre martelé dont certains datent de la fin du XIXe siècle et qui servent encore aujourd’hui à élaborer la liqueur. À savoir que le Palais en est le seul et unique lieu de production au monde. Apr&egr...
Inscrite au patrimoine viticole de la région languedocienne, la cave historique d’Agel au sein de laquelle sont faites les vinifications a été reprise en 2011 par Gontran Dondain, grand passionné de vin et du Languedoc. Après de nombreuses rénovations, cette cave, construite en 1936, a repris son activité lors des vendanges 2014 du vignoble Mas Roc de Bô, lui-même acquis en 2003. Un terroir unique Le vignoble de Mas Roc de Bô est un domaine de 35 hectares perché en altitude sur le plateau de Cazelles. Son terroir, aux aspects lunaires, est constitué de calcaire fissuré, entrecoupé de couches d’argile rouge et d’humus, favorable à la régulation hydrique de ses pieds de vigne. Les pierres blanches qui recouvrent le domaine accumulent la chaleur du jour pour la restituer à la vigne la nuit. Le climat méditerranéen sec et le souffle ininterrompu de la tramontane ont pour effet de retarder la maturité des raisins, à l’origine de la puissance aromatique et de la fraicheur des vins. En 2014, une démarche a été menée auprès de l’Institut national de l’origine et de la qualité (INAO) afin de faire reconnaitre le terroir unique de Cazelles en Cru du Languedoc avec celui de La Livinière. Un terroir pour deux collections Depuis sa reprise, Mas Roc de Bô produit des vins rouges, Blancs et Rosés à partir de 6 cépages, à savoir le carignan, le grenache, la syrah, le mourvèdre, le cabernet sauvignon et le vermentino. Le domaine décline sa production en deux collections issues de la vinification parcellaire : « Pépite » et « Émotions ». Les cuvées de la collection « Pépite » sont en appellation AOP Minervois Terroir de Cazelles sauf la « Pépite Originale », qui est en IGP Côtes du Brian. La collection « Émotions », quant à elle, met en avant des cuvées de caractère. Les vins millésimés en 2014 sont tous en appellation AOP Minervois Terroir de Cazelles. "Précieux" L’âge n’est pas toujours synonyme d’excellence, preuve pour la cuvée de prestige « Vinum Clarum 2015 », le Rosé Précieux de la collection « Pépite », qui nous livre une robe rose pâle, un nez minéral, frais et intense, avec des notes de fraises et de petits fruits rouges. Ce rosé de gastronomie est idéalement servi avec un nid de mesclun aux poivrons marinés, caviar d’aubergines, olives et thym et sa chips de betterave. ...
Au Château la Pierrière, le temps semble s’être figé. La propriété qui date du XIIIème révèle encore quelques vestiges qui témoignent de son riche passé notamment sa cour intérieure, ses tours pentagonales du XVème siècle et ses douves creusées. Située à 45 minutes de Bordeaux et 7 minutes de Saint-Émilion, elle est considérée comme l’une des plus anciennes exploitations du Castillonnais. Un patrimoine reçu en dot par François de Lageard en 1607 lors de ses épousailles avec Marguerite de Puyperron. Depuis, ses descendants ont tour à tour apporté des améliorations sur le domaine afin qu’il marque son empreinte dans le paysage viticole bordelais. Une maison viticole engagée Le Château la Pierrière a la chance d’être installé sur un terroir de grande qualité. Le vignoble constitué de 30 hectares de plateaux calcaires et de 10 hectares de coteaux argilo-calcaires revêt une personnalité sensiblement similaire à celle de Saint-Émilion. Il est principalement encépagé de merlot, de cabernet franc, de malbec ainsi que de sauvignon blanc. Le domaine signe sa différence par la richesse et la beauté de son environnement. « Nous essayons de maintenir de la végétation naturelle et nous avons même un projet de plantation de haies pour renforcer la biodiversité au niveau des parcelles », fait savoir Olivier de Marcillac. Le vigneron est soucieux de l’héritage à laisser aux futures générations c’est pourquoi il a décidé de conduire son vignoble selon des pratiques agro-environnementales ayant abouti à l’obtention du label HVE. « Nous privilégions aussi la taille douce physiologique de la vigne pour garantir de meilleurs raisins et réduire les maladies », déclare-t-il. Des vins sur le fruit et la souplesse Le Château la Pierrière propose six cuvées, dont deux nouveautés à savoir « La Rencontre » sans sulfites ajoutés et « Fidélis ». Parmi les vins qui constituent son catalogue, la cuvée « Fondateur 1607 » retient toute l’attention. Conçue en hommage à François de Lageard, elle est issue d’une sélection parcellaire et se compose de 80 % de merlot et de 20 % de cabernet franc. Ce vin aux arômes fins et intenses avec des saveurs vanillées, réglissées et toastées peut patienter en cave entre 5 à 10 ans. ...
L’histoire du Château de Lacarelle commence en 1750, au moment où la famille Lacarelle en fait acquisition lors d’une vente aux enchères à Paris. Depuis, neuf générations de la famille s’y sont succédé. Actuellement, trois générations de la famille, menées par le couple Elisabeth Durieu de Lacarelle et Xavier Marraud des Grottes, s’attellent avec passion à perpétuer cette tradition de produire des vins de garde bio et raffinés. Adoption d’une agriculture durable Le sol du domaine de Lacarelle est pauvre naturellement et aussi peu profond. Il s’est donc avéré nécessaire pour la famille de préserver et protéger ce milieu naturel afin de pérenniser le terroir. Pour ce faire, elle a développé une méthode de culture à la fois durable et raisonnée. Les parcelles du domaine sont issues de la décomposition lente du granit, qui est très sensible à l’érosion. Par conséquent, l’exploitation entame chaque année de lourds investissements pour lutter contre ce phénomène. L’utilisation de produits phytosanitaires est mûrement réfléchie, chaque année, afin de réduire les impacts sur l’environnement. Toujours dans cette démarche, le Château de Lacarelle travaille en étroite collaboration avec l’Agence de l’Eau du Rhône, Méditerranée, Corse et ne rejette dans le milieu naturel que de l’eau à la qualité irréprochable. Dans un futur proche, le domaine envisage de se reconvertir à l’agriculture biologique : « une vingtaine d’hectares sont en bio, et on compte agrandir petit à petit, avec une dizaine d’hectares en biodynamie. A terme, le but est de maintenir toute l’exploitation en bio » souligne Elisabeth Marraud des Grottes, gérante du domaine. Chaque année, deux hectares de vignes sont replantés pour assurer la persistance du potentiel du vignoble dans le temps. Une belle sélection de vins Le Château de Lacarelle exploite en tout 138 hectares de vignes sur des parcelles situées sur les coteaux de Saint-Etienne-des-Oullières, Saint-Etienne-de-la-Varenne et Arbuissonas, dans l'aire d'appellation Beaujolais- Villages. Il s’agit de la plus grande exploitation familiale du Beaujolais. Chaque année, elle produit environ un million de bouteilles destinées principalement à l’export vers la Chine ou les Etats-Unis. Depuis toujours, le domaine se voue à produire des vins jeunes mais de qualité. A l’image de son « Château de Lacarelle Rouge » AOC Beaujolais-Villages. Ce vin de garde est issu de Gamay à 100% de 31 ans. Frais, léger et fruité avec des tanins souples, il se déguste avec des charcuteries, des fromages ou du chocolat. La production annuelle de ce précieux nectar est particulièrement importante car elle s’élève à 800 000 bouteilles. Le vin propose aussi un blanc issu à 100% de Chardonnay, le « Château de Lacarelle Blanc » en AOC Beaujolais-Villages. Ce vin de garde sec, fruité aux notes de miel, vanille et fleurs accompagne les poissons ou viandes blanches, fromages ou desserts. Le « Rosé de Lacarelle » est composé de 100% de Gamay et élaboré de façon traditionnelle. Il présente une robe saumon clair avec des bulles fines. Ce vin de garde a été récompensé d’une médaille d’or au Concours International Gilbert et Gaillard en 2015. Le « Château de Lacarelle Crémant de Bourgogne » est quant à lui est un vin brut sec, à la robe or pâle avec des fines bulles. Il se boit dans l’année avec du foie gras, du caviar et tous les desserts sucrés. Souvent récompensé, il a été couronné d’une médaille d’or au Concours International Gilbert et Gaillard 2015. ...
À la découverte des grands classiques La cuisine thaïe est l’une des plus réputées en Asie, ses saveurs sont uniques et la variété de ses ingrédients infinie. Curry, citronnelle, menthe, coriandre, basilic, piment figurent parmi les incontournables des plats les plus emblématiques que l’on retrouve à la carte du Baan Boran – Laab neua, Tom Yam Khun, Pad Thaï, Som Tam, Ped tod rad bamboo sauce, Khaow niaow, (le fameux «Tigre qui pleure »). En version plus ou moins épicée selon les goûts des clients, accompagnés de riz parfumé ou de légumes sautés au wok. Chacun de ces plats préparé à la minute témoigne de la richesse de la gastronomie thaïlandaise et de sa très grande légèreté. Plats allégés et fruits colorés Pour satisfaire l’ensemble de ses clients, le Baan Boran réserve une partie de sa carte à des spécialités allégées et végétariennes à base de légumes et de tofu. Une gastronomie light qui s’accommode bien de riz et de salades, mais aussi de fruits exotiques dont la Thaïlande est l’un des premiers producteurs et consommateurs en Asie du Sud-Est. Des fruits dont certains entrent dans la composition de cocktails avec ou sans alcool que propose le Baan Boran, tandis que la carte des vins réserve de belles surprises aux amateurs de vins du Monde. ...
Les galettes et les crêpes bretonnes, surtout lorsqu’elles sont authentiques et préparées selon la tradition bretonne. Elles font partie de ces spécialités françaises dont on ne peut se passer ! La crêperie Pen-Ty en fait sa spécialité depuis plus de 40 ans ! Charmante et sympathique, avec juste ce qu’il faut comme espace, cette crêperie est une belle découverte pour ceux qui nous connaissent pas déjà car celle ci fait partie des plus connue à paris . La surprise (agréable bien entendu) est réellement au rendez-vous, et déjà l’envie d’y revenir ne se fait pas attendre ! Dans le respect de la tradition bretonne La Crêperie Pen-Ty est un lieu idéal pour un petit moment à deux ou en famille. Les portions sont généreuses et excellentes avec un bon rapport qualité-prix. Le crêpière s’applique à mettre les petits plats dans les grands afin de vous faire voyager au pays des galettes et des crêpes. Non contente d’être une authentique crêperie avec ces recettes traditionnelles, la crêperie Pen-Ty revisite aussi quelques régions avec des recettes aux différents fromages, au foie gras ou au boudin noir par exemple. Les desserts ne sont pas en reste avec une vingtaine de recettes et la possibilité de créer la sienne. Vous trouverez aussi une belle sélection de cidres, de jus de fruits bio et du vin de Bourgogne, mais pas que ! Découvrez ses boissons locales comme le chouchenn ou le pommeau de Bretagne, dans une ambiance particulièrement chaleureuse et conviviale. ...
Originalité et volupté se retrouvent dans une cuisine gastronomique fidèle aux succulences traditionnelles. Dans un cadre mêlant harmonieusement l’ancien et le contemporain, les assiettes révèlent le goût authentique de produits façonnés avec art et passion. Chaque recette, synonyme de virtuosité et d’extase gustative, est la promesse d’un voyage culinaire au pays de l’excellence. Les délices du palais dans un havre de paix La terrasse ombragée, les chambres douillettes, le charmant bar intérieur, les salles décorées de meubles contemporains signés Philippe Starck et les salons intimistes de cette magnifique bâtisse d’époque sont autant d’invitation au régal. A mi-chemin entre l’élégance ancienne et l’originalité moderne, chaque recoin du restaurant est savamment pensé afin de prodiguer une sensation gourmande de plénitude aux hôtes. Allant d’une entrée d’escargots revisités, à un plat de ris de veau en passant par un souffle chaud en guise de dessert, chaque bouchée est le reflet d’un savoir-faire culinaire d’exception. Des cuvées prestigieuses issues de la cave à vins, riche et intense, du restaurant viendront sublimer les menus dégustés au cœur d’un magnifique parc propice à la détente. Une passion à partager L’esprit généreux et allègre de la maison trouve son essence dans le désir de partager la passion de l’art culinaire et de savourer ensemble l’amour du bon vin. Des cours de cuisine et des séances initiatiques à l’œnologie sont ainsi organisés dans cette demeure facile d’accès et puisant une part de son charme bourguignon dans sa proximité avec les vignobles du Pouilly-Fuissé. ...
A proximité des villages de Gordes et de Roussillon, le Mas des Herbes Blanches est posé dans une nature exceptionnelle qui appelle à la détente et à la sérénité. Le restaurant du Mas prolonge ce cadre en vous plongeant dans une ambiance poétique et chaleureuse. Dalles hexagonales, amples voilages en lin, mariage délicat entre mobilier et matières vous séduiront et vous permettront de vivre un moment unique. Un nouveau Chef en 2018 En mars 2018, le Chef Cyril Mendès a pris les rênes de la cuisine du Mas des Herbes Blanches, après avoir travaillé dans de nombreux établissements étoilés. Après des débuts aux côtés de Michel Roth au Ritz, il a officié au Mas d’Artigny à Saint Paul de Vence, au Palace des Neiges ou à l’Alpe Hôtel du Pralong à Courchevel. Ici, ce jeune chef a décidé de miser sur une cuisine créative avec des produits de saisons et locaux, tout en s’inspirant de ses origines portugaises. Ainsi d'avril à octobre le restaurant gastronomique vous propose une carte déclinée autour d’un produit, carte renouvelée tous les mois. Ce menu se compose de 5 assiettes : une mise en bouche, une entrée, un poisson, une viande et un dessert, où mariage de couleurs, subtilité des saveurs et fraicheur des produits sont mis à l’honneur pour le plus grand plaisir de vos papilles. Vous pourrez déguster ces mets dans la salle du restaurant baignée de lumière tout au long de l’année. Pendant la période estivale, vous pourrez profiter de sa terrasse avec une vue panoramique sur cette superbe région, ou de son restaurant bistronomique à ciel ouvert. L’établissement met également à votre disposition une salle de réception pouvant accueillir jusqu’à une centaine de personnes, un espace idéal pour vos séminaires ou vos événements familiaux. ...
Établissement familial hérité de plusieurs générations successives, La Ferme Basque perpétue sa passion pour la cuisine du terroir depuis près de 2 siècles. Bénéficiant d’un emplacement plus qu’avantageux, ponctué d’une admirable vue panoramique, l’établissement est particulièrement apprécié pour son attachement aux valeurs traditionnelles et aux produits locaux. Un lieu chargé d’histoire Implantée dans un paysage à couper le souffle, La Ferme Basque est un bel héritage familial appartenant aux Poulot-Cazajous depuis 1911. Autrefois connu comme étant une halte occasionnelle pour les randonneurs de passage dans la vallée de Cauterets qui investissaient les lieux pour s’offrir un léger casse-croûte et une crêpe, l’établissement est devenu depuis 1928, un lieu de restauration incontournable où on aime délibérément se rendre pour retrouver des saveurs longtemps oubliées. En plus d’un emplacement privilégié, La Ferme Basque conserve à aujourd’hui, l’ultime avantage de constamment réveiller les papilles à travers une cuisine traditionnelle préparée à base de produits frais et bio, dans de belles associations de couleurs et d’authentiques saveurs du terroir. « Se rendre à La Ferme Basque est une belle expérience historique et culinaire qui mérite d’être vécue et où la cuisine vaut réellement le déplacement » raconte Sophie Mazerand, responsable de la partie communication. Un souffle nouveau C’est aujourd’hui à Aurélien, le fils de la maison, que revient la charge de diriger l’établissement et qui prend très au sérieux, la responsabilité de préparer des plats mijotés faits maison à la manière des Pyrénées. Depuis, La Ferme Basque bénéficie d’un nouveau souffle où la jeunesse prend son envol sans sacrifier aux traditions familiales. L’idée de proposer aux clients une gamme de salaisons et des produits atypiques des Pyrénées est un engagement sans précédent. D’après les explications de Sophie Mazerand, « tous nos plats sont proposés en conserve du terroir avec la possibilité de reproduire les recettes grâce à des produits achetés en boutique ». Une cuisine 100% terroir Fidèle à ses traditions familiales, l’équipe de La Ferme Basque est particulièrement attentive dans la façon de préparer ses plats. Elle prend soin de conserver ce cachet particulier dont elle peut s’enorgueillir en ne proposant aux clients qu’une cuisine 100% artisanale où les produits frais sont à l’honneur. Cette identité confère au lieu, la garantie d’une cuisine authentique et traditionnelle qui rappelle des souvenirs d’enfance et de bonnes recettes de grand-mère. La Ferme Basque s’appuie également sur son site internet pour vendre et faire connaître les produits de la ferme dans de belles associations. ...
Soucieux du futur de notre planète, Thomas Demerens et Vincent Boissard fondent, en septembre 2015, AURA (Agriculture Urbaine Responsable pour l’Avenir) dont le métier est d’installer des écosystèmes comestibles au sein des entreprises. Et d’amener la nature, le bien-être ainsi que le lien social dans les lieux de travail. L’aquaponie, une technique bimillénaire, retrouve son aura Pour réussir sa mission, AURA utilise l’aquaponie, une pratique développée par les Aztèques, il y a plus de 2000 ans. Comme son nom l’indique, cette technique allie l’aquaculture (élevage de poissons ou autres organismes aquatiques) et l’hydroponie (culture des plantes par de l'eau enrichie en matières minérales). Dans cet écosystème, les plantes absorbent les nutriments produits par les poissons et purifient l’eau. L’aquaponie présente plusieurs avantages, comme l’explique Thomas Demerens : « On économise beaucoup d’eau (environ 90% par rapport à un mode de culture classique en pleine terre) car elle circule en circuit fermé et est entièrement recyclée. En outre, elle permet la production de poissons comestibles et de végétaux bio durant toute l’année et s’adapte totalement aux limites et aux défauts de l’espace urbain, comme la pollution par exemple. Des produits parfaitement intégrés et un service complet et adapté Aura propose des produits alliant productivité, design et santé du vivant. En effet, ces écosystèmes comestibles prennent la forme de potagers aquatiques d’intérieur. Ils sont autonomes et silencieux. Leur design sobre et élégant leur permet de s’intégrer facilement à l’espace de travail. L’installation est simple, rapide, et entièrement prise en charge par l’équipe d’AURA. Cette dernière passe d’ailleurs deux fois par mois pour s’occuper des plantes et des poissons. Enfin, AURA créée également des temps d’échanges et de sensibilisation auprès des salariés des entreprises, comme la team building, ces ateliers servant à faire découvrir l’aquaponie et apprendre à en faire chez soi. ...
Direction Mulhouse pour vivre une formidable aventure familiale au cœur de la Cité du Train – Patrimoine SNCF. Histoire de la Cité du Train – Patrimoine SNCF Bien que l’idée de création d’un musée du chemin de fer remonte au début du 20e siècle, il a fallu attendre 1971 pour voir inaugurer le tout premier musée à Mulhouse Nord. C’était en attendant de construire le véritable musée à Mulhouse Dornach, 5 ans plus tard. Depuis son ouverture, en 1976, l’établissement s’est agrandi et a vu arriver de nouvelles collections. En effet, une seconde partie a été ouverte au public en 1983. Puis, d’importants travaux de modernisation ont été réalisés en 2005, 2011 et 2013 (lui permettant de devenir la Cité du Train – Patrimoine SNCF que nous connaissons aujourd’hui). Actuellement, à travers ses 3 espaces d’exposition (Le Parcours Spectacle, Les Quais de l’Histoire et Le Panorama Ferroviaire), la Cité du Train – Patrimoine SNCF propose une superficie totale de 60 000 m² et la collection la plus complète présentée dans un musée, de 1844 à nos jours. C’est d’ailleurs le plus grand musée ferroviaire d’Europe. Un musée vivant proposant des animations pour petits et grands Tout au long de l’année, les visiteurs ont la joie de découvrir diverses animations ponctuelles ou régulières. Ainsi, tous les jours de la semaine, vous profitez d’un petit train sur pneus. D’avril à octobre, il est aussi possible de monter à bord du mini express d’Alsace (circuit extérieur de 500m sur rails) et de découvrir la plaque tournante orientant les trains dans la bonne direction. Sans oublier les baptêmes du rail durant les week-ends et jours fériés de la haute saison. À ceci s’ajoutent des séries d’événements propres au musée. Nous pensons à la « Murder Party », un Cluedo géant animé par de véritables acteurs, ou l’accueil de festivals et concerts. À savoir : vous pouvez préparer et personnaliser votre visite en téléchargeant l’application mobile ludique SAM ! De plus, cette saison voit arriver une nouvelle création originale prenant la forme d’une visite théâtralisée. Baptisée « En voiture Simone ! », vous y suivez des acteurs qui vous embarquent dans des histoires rocambolesques à bord de 5 trains légendaires (dont la célèbre voiture-restaurant de l’Orient-Express de 1928). Sans oublier la possibilité de privatiser plusieurs espaces de la Cité du Train – Patrimoine SNCF pour des mariages, des diners d’entreprise ou des soirées de gala. ...
Établi sur un sol argilo-calcaire, le vignoble s’étend sur un peu plus de huit hectares. Ce sol a la particularité de souligner l’acidité naturelle des champagnes et leur permet d’exprimer une belle fraîcheur. « Nous, notre spécialité, c’est le naturel », décrit modestement Jean-Marc Lignier, le gérant du domaine. Le vignoble accueille les trois cépages traditionnels champenois : pinot noir à 70 %, chardonnay à 25 % et 5 % de meunier. Un engagement envers l’environnement Jean-Marc Lignier s’investit corps et âme dans son métier, comme en témoigne sa maîtrise totale des étapes de l’élaboration depuis la préparation du sol. Et ici, la qualité qui s’exprime si bien dans les champagnes est le résultat d’une démarche strictement régie par un cahier des charges, combiné avec un savoir-faire traditionnel. Certifié « haute valeur environnementale niveau 3 », le domaine travaille dans un respect quasi sacré de l’environnement. Un organisme certificateur réalise le relevé des indicateurs de résultats pour les comparer au degré exigé par le cahier des charges. « Notre manière à nous de préserver la biodiversité, c’est de respecter le sol dans la façon de le travailler et dans la manière de raisonner l’utilisation des produits phytosanitaires, tout en observant un calendrier bien précis », explique-t-il fièrement. Une initiative qui n’altère pas la méthode champenoise classique de l’élaboration de champagne, à savoir la vendange manuelle, le pressoir traditionnel, suivi d’une vinification en chais et deux fermentations, comme le veut la tradition. Du champagne brut zéro au champagne doux La gamme de champagnes Lignier-Moreau compte actuellement une dizaine de produits haut de gamme, dont du brut, du demi-sec, du blanc et du rosé. Une belle sélection pour parfaire les accords mets-champagnes en toutes occasions festives. Le champagne blanc de blancs est un produit élaboré uniquement avec du chardonnay. Sa robe d’un jaune or translucide suggère un nez très marqué par une senteur de fruits blancs agrémentée d’une touche florale. Il se distingue par une attaque bien soutenue, suivie d’une complexité aromatique en bouche, relevée par des notes d’agrumes, de zeste de pamplemousse et de citron. Idéal pour être servi en apéritif et en accompagnement avec des fruits de mer. L’on s’intéresse aussi au champagne ½ brut rosé, un assemblage prestigieux de pinot noir et de chardonnay. Des bulles fines pétillantes se joignent à l’élégante robe rose cuivré. Au nez, il dégage un arôme bien intense de fruits rouges mûrs en faisant un petit rappel à celui des oranges et mandarines. Un tourbillon de fraîcheur et de saveurs de fruits à noyau s’enchaîne après une attaque ronde en bouche, pour finir sur une belle persistance. Ces deux produits sont notés respectivement à 90 et 85 sur 100 par le select magazine Flavours From France. ...
Implanté dans une ferme à Beaumarchés au lieu-dit Barbat, à l’abri des bruits des grandes villes, Le Relais du Bastidou dresse des tables élégantes et conviviales pour tous ceux qui choisissent le calme et la fraicheur. Le couple Thierry met un point d’honneur à choisir les produits bios pour préparer des plats typiques de la région gasconne. Une liste de vins de renom et de qualité incontestable vient parfaire un moment de dégustation agréablement mémorable. Les spécialités du chef : les produits du terroir et les fruits de mer Après avoir passé une bonne quinzaine d’années dans une grande entreprise d’agro-alimentaire, René Thierry change complètement d’orientation pour intégrer le monde de l’hôtellerie et de la restauration. Son objectif pour le restaurant, utiliser les produits locaux et il décide de s’approvisionner auprès des meilleurs producteurs du Gers et des plus proches localités de Beaumarchés. Dans une ambiance authentiquement fermière, le chef fait découvrir les spécialités de l’établissement. Ici, le canard est le roi de la cuisine : foie gras, magret ou manchons sont des plats qui ne manquent pas d’apparaitre dans le menu. Les cuisses de canard confites sont une spécialité recommandée par la maison, spécialement pour ceux qui viendront la découvrir pour la première fois. Mais les fruits de mer y gardent aussi une place d’honneur. La langoustine ou encore les noix de Saint-Jacques y sont cuisinées avec un talent indéniable. Sans oublier les Côtes de porc de Bigorre, sauce aux girolles et la Croustade aux pommes et à l'Armagnac qui sont la signature de l’établissement. Le Relais du Bastidou se situe dans un cadre paisible et agréable. Rien que le chemin qui y mène fait le bonheur des fanatiques de la nature. Le paradoxe d’un paysage aussi brut et d’une cuisine aussi raffinée devient presque une poésie que chacun découvrira certainement avec émerveillement. Plats et vins en fusion la synergie parfaite de la bonne cuisine gasconne La Gascogne est célèbre pour sa bonne cuisine et c’est une réputation que Le Relais du Bastidou tient fermement à protéger. En accompagnement du menu ou des plats proposés à la carte, la liste des vins offre un choix plutôt riche des plus belles références régionales. Parmi les plus choisis, le Saint Mont, Madiran ou encore Pacherenc forme un mariage parfait avec les spécialités du chef. Le secteur viticole fait partie intégrante de la vie du restaurant. René Thierry lui-même pense que le vin n’est pas une simple boisson, c’est un élément indissociable de la table, surtout lorsque l’on s’apprête à déguster des plats préparés avec des ingrédients aussi nobles. Les visiteurs de la maison auront le choix entre plusieurs labels reconnus pour leur ampleur et leur élégance. Une sélection de vins riches en saveur et en authenticité met une touche exceptionnelle à l’ensemble de la table. Le restaurant est labellisé « vignobles et découvertes » ...