Le Château Grand Callamand est, depuis 2004, la propriété de la famille Souzan-Delagrave. Actuellement, l’exploitation est dirigée par Nathalie Souzan. Sous sa supervision, le domaine familial poursuit sa double vocation : la production de vins et les séjours œnotouristiques. Pour ces derniers, il faut dire que le cadre s’y prête à merveille ! Respect de l’environnement Ce vignoble de 22 ha est mené en lutte raisonnée avec un souci permanent pour l’environnement. L’utilisation de produits est donc limitée au strict minimum et la maison se sert exclusivement d’engrais organiques bio. En outre, la vie sauvage est ici préservée grâce à la présence d’une forêt entourant le domaine. Un cadre enchanteur Implanté au cœur du parc national du Luberon, le Château Grand Callamand profite pleinement du calme et de la quiétude de la campagne. Dans ce cadre privilégié, une belle bâtisse du XVIe siècle, construite par François Malherbes, accueille les visiteurs souhaitant séjourner dans le domaine. Des chambres d’hôtes confortables et spacieuses sont mises à leur disposition. Pour ceux qui désirent organiser des évènements privés ou professionnels, différents espaces du domaine sont privatisables. La cuvée phare Tandis que la beauté des lieux laisse rêveur, les vins qui y sont élaborés risquent de réserver quelques surprises. À commencer par la cuvée « Le Vin noir », qui est présentée comme une curiosité à même d’offrir une expérience sensorielle originale. Issue d’une vendange tardive, cette cuvée spéciale 100 % alicante a été élevée 6 ans en barrique de chêne français. Ce vin séduit par ses arômes de griotte, de menthe, de chocolat et d’épices. Il développe un palais ample et structuré, avec de la rondeur et de la sucrosité. Idéal pour accompagner un gibier ou un dessert au chocolat noir. ...
S’alimenter autrement L’ANCF regroupe près de 250 adhérents chaque année, tous paysans producteurs fermiers et qui produisent dans leurs fermes à taille humaine une variété presque infinie de saveurs. De la viande de bison de Matthieu Peron, aux saucissons de canard d’Eric Degert, en passant par le caviar de colza de Marie-Thé Laluque, les moules de Bouzigues de Jean-Christophe Renault ou la spiruline de Dominique Guérin, impossible de ne pas trouver lors de ces salons et marchés Pari Fermier organisés chaque année en région parisienne son choix de produits frais et savoureux. Sur le terrain, une équipe composée de trois personnes, avec, toujours en tête et pour unique objectif : organiser ses événements qui assurent la valorisation d’un monde paysan où les circuits courts et la vente directe sont rois. Et qui de mieux placée qu’une association composée d’agriculteurs pour assurer la promotion de ces manifestations ? Ils savent de quoi ils parlent ! Des savoir-faire inégalables Pour participer à un Pari Fermier, chaque paysan producteur fermier doit, en fonction de son activité et dans la mesure du possible, produire sa matière première, élever ses animaux, transformer ses produits et les proposer en vente directe. Il leur faut donc respecter cette « charte », qui vient garantir une qualité exceptionnelle à tous les produits proposés sur les manifestations. Authenticité, savoir-faire et traçabilité, telles sont les valeurs véhiculées par les agriculteurs de l’association, aux antipodes de la fabrication de masse et de la grande distribution. Ici les hommes et femmes travaillent dans une perspective d’agriculture durable et respectueuse de l’environnement, toujours dans l’amour de leur métier, afin de satisfaire la confiance du consommateur. Les manifestations Pari Fermier : des idées de sorties gourmandes et originales Les Pari fermier attirent toujours davantage grâce à un réseau de confiance profondément ancré dans le terroir français, aussi vaste que diversifié : les 13 régions françaises sont représentées, de la Corse aux DOM-TOM en passant par la Normandie. Chacun de ces évènements est inscrit comme un rendez-vous familial et convivial dans les agendas de ceux qui ont à cœur d’avoir une alimentation riche, saine et harmonieuse. Pour se rapprocher toujours plus du consommateur, de nombreux producteurs proposent sur chaque événement des idées de recettes à déguster, des vins à apprécier et des plats à consommer sur place. Et ils ne manquent pas, quand ils en ont l’occasion, de délivrer de petites interviews authentiques retransmises sur les réseaux sociaux. Venir à Pari Fermier c'est la recette idéale pour découvrir ou redécouvrir en famille les saveurs de nos campagnes françaises et les paysans qui les cultivent. ...
Sur les 25 hectares du Domaine Terra di Catoni, 10 sont réservés à la vigne. Vermentino, Sauvignon et Sciaccarellu y prospèrent à flanc de montagne et profitent d’un ensoleillement maximal. Grâce aux brises maritimes de cette région, les vignes sont préservées des maladies habituelles et les raisins bénéficient d’une qualité phytosanitaire exceptionnelle. Des vins blancs et rosés originaux Le Domaine Terra di Catoni est la seule exploitation viticole en Corse à proposer un pur Sauvignon, un vin blanc sec et plein de fraicheur, très légèrement iodé, un vin pour accompagner vos repas de fruits de mer ou de crustacés. Il produit un autre vin blanc issu de l’assemblage de sauvignon et de vermentino pour un vin très aromatique aux notes subtilement florales, un vin très sec qui se marie parfaitement avec les poissons ou les viandes blanches. Pour son vin rosé, le Domaine a choisi de le créer à partir de Sciaccarrellu, ce cépage typiquement corse qui développe des arômes de fruits rouges, légèrement épicés, un vin qui sera parfait pour vos repas estivaux. Le domaine produit chaque année entre 12.000 et 15.000 bouteilles. La découverte du Domaine N’hésitez pas à venir découvrir le Domaine Terra di Catoni et ses terres surplombant le mer Tyrrhénienne. Vous découvrirez le soin apporté aux vignes tout au long de l’année et l’élaboration technique des vins. Vous pourrez y déguster ces vins créés avec passion et délicatesse mais aussi découvrir les huiles d’olives produites sur ce même domaine. Vous pourrez retrouver ces vins dans de nombreux restaurants de l’ile, des vins qui s’accordent à merveille avec les spécialités corses. ...
Les douze heures de vol au départ de la France sont très vite récompensées par un magnifique panorama sur les chaînes montagneuses, les vallées et les plaines sauvages qui composent le pays à 90%. Le Kirghizistan, situé en Asie centrale, est une destination authentique encore méconnue du tourisme de masse. D’une beauté infinie, son paysage mystérieux envoute autant que la générosité de son peuple multiethnique. Un bout de paradis « Le Kirghizistan est la destination d’excellence pour les trekkeurs et les amoureux de la Nature », raconte Emelyne, responsable des ventes à Kyrgyz’What? et véritable globe-trotteuse dans l’âme. Près de la moitié du territoire s’élève à une altitude de plus de 2 700 m, où le pic Pobedy (7 439 m) et le pic Lénine (7 134 m) trônent majestueusementsur les montagnes du Tian Shan et du Pamir-Alay. Au cœur de ce somptueux décor se révèlent des lacs et des rivières aux eaux vertes turquoise, dont le plus célèbre est sans nul doute le lac Issyk-Kul, le deuxième plus grand lac alpin du monde. « Ici, les voyageurs peuvent s’abandonner aux baignades, explorer les gorges en canot ou se promener à cheval pour saisir la magie de cet endroit. » Entre randonnées en montagne (pédestre et équestre) en période estivale et ski hors piste, motoneige et traineau à cheval l’hiver, les activités sur place invitent à contempler toutes les merveilles de la destination. Vivre une expérience culturelle et humaine Terre d’aventures mais aussi terre de découvertes, le Kirghizistan est un pays qui vit passionnément de sa culture, partagée entre empreinte d’un passé soviétique et style de vie nomade hérité des ancêtres. « Nos voyageurs cherchent constamment cette immersion dans la vie quotidienne des Kirghizes, qui sont restés très fidèles à leur identité culturelle », poursuit Emelyne. Et l’agence Kyrgyz’What? sait relever ce défi, en proposant une rencontre inédite avec les bergers, une ou deux nuits chez les villageois, un hébergement en yourte dans les montagnes où les hôtes peuvent même s’initier à la traite des bêtes. C’est dans cet esprit que l’équipe conçoit des voyages taillés sur mesure, en fonction des envies et des exigences de la clientèle. « Nous avons des trekkeurs, des groupes d’amis, des familles ou des couples qui viennent au Kirghizistan, et tous trouvent leur part de bonheur ici. » Parcourant plusieurs thématiques (insolite, incontournable, séjour équestre et randonnée, aventure, nomade, culture, etc.), les séjours packagés durent entre trois jours et trois semaines en prévoyant un tarif avantageux pour les réservations de groupe. Basée à Bichkek, Kyrgyz’What? est à même de proposer un véritable accompagnement pour offrir la meilleure expérience de voyage possible. « En outre, nous avons également une présence active sur le Web et les réseaux sociaux pour être toujours proches de nos clients », précise l’équipe. ...
AVEKAPETI, c’est la promesse de déguster sur son lieu de travail un bon petit plat fait maison préparé avec amour et générosité par un cordon-bleu du quartier. Un concept simple mais original À l’heure du déjeuner, faute de temps, certains salariés n’ont d’autre choix que d’« avaler » au plus vite sandwichs, hamburgers et autres artifices issus de la restauration rapide. Cela n’est pas sans conséquence sur leur santé. Manger sainement avec le goût et la saveur en prime, c’est ce que leur propose AVEKAPETI. D’un côté, un voisin pétri de talent culinaire et, de l’autre, des salariés affamés qui souhaitent prendre du plaisir à manger comme à la maison. Grâce à son concept, AVEKAPETI réunit tout ce beau monde autour d’une seule et unique cause : l’amour pour la bonne cuisine. Le principe est simple : le gourmet commande en ligne un plat sur lequel il a flashé et choisit l’heure et l’adresse de livraison, ensuite il n’a plus qu’à attendre d’être livré. La livraison est assurée par le chef en personne qui habite dans les environs. Une belle occasion de faire connaissance entre voisins ! AVEKAPETI : des avantages pour tous ! AVEKAPETI donne l’occasion à des particuliers de pouvoir valoriser et exprimer leur talent en cuisine tout en leur permettant d’arrondir leur fin de mois. C’est d’autant plus intéressant pour les parents au foyer, retraités, personnes en recherche d'emploi, en reconversion professionnelle... Pour les entreprises, AVEKAPETI reste la première cantine digitale et collaborative qui peut faire en sorte que leurs salariés puissent profiter au quotidien de succulents repas faits maison à petits prix. Idéal pour des entreprises excentrées qui n'ont pas beaucoup d'offre de restauration autour par exemple. ...
La Turballe est située sur le littoral de la Loire-Atlantique, sur la presqu’ile guérandaise. Avant de devenir un port connu de l’ouest de la France, elle était d’abord un modeste hameau. Grâce à l’essor des conserveries de pêche, la commune s’est bâti une solide réputation dans le paysage aquacole. En outre, elle est reconnue pour ses nombreuses plages (Pen Bron, la Grande Falaise, la Croix de l’Anse et la plage des Bretons) et ses sites et monuments touristiques (église Sainte-Anne, église de Trescalan, château de Lauvergnac, moulin de Kerbroué…). Ce cadre balnéaire et historique a tellement séduit Sophie et Fabien qu’ils ont décidé de racheter un restaurant existant depuis 27 ans qu’ils ont rebaptisé Le Bistrot des Sarments, où une cuisine simple, un peu canaille, fait le bonheur des fins gourmets. Une excellente adresse Les propriétaires travaillent avec le chef Éric Gouyette depuis qu’ils se sont approprié les lieux. Ce chef passionné, adepte de cuisine traditionnelle, a suivi une formation classique en restauration. Il a gagné 15 ans d’expérience, en travaillant dans de nombreux établissements prestigieux comme à l’Hôtel Barrière Le Royal La Baule ou à l’Auberge du Calvaire, à Pontchateau. Aujourd’hui, à la tête des fourneaux du Bistrot des Sarments, il propose une cuisine d’inspiration qui fait la part belle au terroir. Le restaurant est implanté dans un bâtiment traditionnel en pierre sis en bord de mer. Il dispose d’une véranda aux baies vitrées ainsi que d’une terrasse extérieure offrant une vue imprenable sur le grand bleu. À l’intérieur, la salle est marquée par une prépondérance de rouge, une tonalité qui dégage à la fois dynamisme et glamour. La cheminée, les grandes banquettes très confortables et le grand bar en bois confèrent à la salle tout son charme. Le plaisir au déjeuner Le Bistrot des Sarments propose une cuisine traditionnelle valorisant les produits locaux. Les spécialités de la maison sont les grillades à la cheminée : vous aurez le choix entre un bœuf grillé ou un porc grillé accompagné de pomme de terre en robe des champs de type Samba au petit gout de noisette, que la seule touche de beurre demi-sel viendra aiguiser, ou encore un homard « bleu » breton grillé, à déguster sans chichis. Le fait maison est aussi à l’honneur. Les charcuteries, les poissons fumés salés, les foies gras : tout est préparé sur place. Côté menus, la maison sert une formule composée de deux plats à 15,90 € ainsi qu’une deuxième formule cette fois-ci composée de trois plats à 19,90€. Mais ce n’est pas tout. Désireux de satisfaire toutes les envies gourmandes, le bistrot propose un menu plus copieux de quatre plats avec une entrée, un plat, un fromage, un dessert à choisir dans la proposition de six entrées, six plats et tous les desserts. Quant à la carte, elle est saisonnière. Les fins gastronomes seront séduits par les spécialités de la maison, à l’instar de l’œuf cocotte façon Dédé servi en entrée. En plat de résistance, les papilles se délectent de la choucroute de la mer au beurre blanc maison, constituée notamment de Saint-Jacques, de filet de bar, de poisson du marché et de saumon. Pour finir, une note de douceur avec la tarte tatin tiède maison. ...
Un lien bimillénaire unit les vignerons à ce terroir. Volcanique, maritime, champêtre, la vie géologique confère forces et vulnérabilités à des vins emblématiques, fruits d’une sincère communion entre femmes, hommes et nature. Avec des savoir-faire affinés au fil du temps, la priorité aujourd’hui est, pour de nombreux domaines, la préservation de l’environnement. Des vins de convictions aux arômes du terroir Il y a trente ans, le Château de Montpezat et le Domaine du Petit Roubié furent parmi les premiers à produire des vins biologiques, c’est-à-dire sans aucun traitement chimique, avec des rendements maîtrisés du vignoble, un respect des cycles de la nature. Aujourd’hui, chacun cultive son histoire, ses traditions, ses sols et ses initiatives. Pour exemple, dans les domaines Le temps fait tout et La Garance, des chevaux labourent le sol, nourris au foins cultivés sur place. Pour la seule commune de Montagnac, les Domaines Paul Mas, le Domaine de Campaucels et le Domaine de la Conseillère, font appel à des bergers locaux et proposent leurs vignes comme terrain de pâturage, un bon moyen écologique d’entretenir les terres. Les caves coopératives comme celles de l’Ormarine et les Caves Molière jouent également le jeu en proposant des vins en agriculture biologique. D’autres choisissent de produire des vins natures, sans sulfites, exigeant un savoir-faire précis et beaucoup de patience comme les Domaines Fontedicto et Stella Nova. Les domaines La Croix Gratiot ou la Font des Ormes ont choisi la culture biodynamique pour préserver et encourager l’écosystème. Les énergies, les cycles terrestres et lunaires, les matières végétales, animales ou minérales utilisées sont ici considérées comme intrinsèquement liées. Démarrer ces méthodes demande par ailleurs un investissement humain et financier conséquent pour les domaines et certains hésitent encore à se lancer dans l’aventure. Leur nombre augmente pourtant et témoigne d’une dynamique locale pleinement engagée pour son avenir. A découvrir le temps d’un parcours œnologique ludique et réjouissant. ...
Produit de santé employé à des fins thérapeutiques ou diagnostiques pour compenser par exemple un handicap, le dispositif médical (DM) forme un écosystème innovant en pleine expansion. Cette discipline appartenant au domaine médical joue le rôle d’interface technique ou technologique entre la santé des patients et l'univers médical. En 2017, le secteur a représenté un marché de 28 milliards d’euros et a généré pas moins de 85 000 emplois directs en France. Pour être à la hauteur des nouveaux défis imposés par la filière, l’Institut supérieur d'ingénieurs de Franche-Comté (ISIFC) renforce son engagement de préparer des ingénieurs qualifiés et polyvalents, qui vont élargir le champ des possibles dans le génie biomédical. Appuyé par un réseau d’experts « Notre école est agréée CTI depuis sa création en 2001 et nous basons notre expertise sur le DM, depuis la conception jusqu’à la mise en marché, en passant par la fabrication et la validation », introduit Vincent Armbruster, directeur de l’institut. Le génie biomédical, défini comme « un art d’appliquer les sciences et les techniques les plus avancées à la conception et à la validation d’appareils pour prévenir, diagnostiquer, traiter et assister les patients », intègre une dimension transversale qui sous-tend une approche pluridisciplinaire. De ce fait, cet institut d’excellence s’entoure d’une solide équipe pédagogique regroupant des enseignants-chercheurs de l'université de Franche-Comté au sein des laboratoires de recherche, mais aussi des formateurs issus des entreprises et des centres de soins locaux. L’ISIFC jouit également de la synergie développée avec le CHRU, l’EFS et l’incubateur de Besançon, le SNITEM, le pôle de compétitivité des microtechniques de Franche-Comté et la CDEFI. Développer des compétences et des talents Le génie biomédical offre l’opportunité aux étudiants d’œuvrer dans le secteur de santé sans forcément passer par médecine. La formation proposée par l’ISIFC s’intéresse à trois cultures spécifiques : la technique qui traite les sciences de l’ingénieur, le médical ou la biologie santé et le volet réglementaire. « Le champ d’application de notre filière est très vaste mais exige un niveau de connaissance très précis et très pointu », explique notre interlocuteur. « Durant la première année du cursus, on va venir établir un socle commun de connaissances sur lequel fonder les futures spécialisations de nos étudiants. » Ce travail met l’accent sur l’aspect mécanique, électronique, mathématique, informatique et biologie santé pour permettre à tous de partir sur une base homogène et d’évoluer vers des compétences plus affirmées et plus ciblées. Pendant la seconde année d’études, cette approche se complète par un approfondissement de la réglementation et de l’éthique, un sujet particulièrement sensible quand on parle de DM. « L’idée étant de former des ingénieurs spécialistes dans le volet réglementaire qui vont développer des produits tout de suite certifiés par les normes européennes, et ainsi accélérer les procédures de mise en marché », reprend-il. La troisième et dernière année du programme prévoit la possibilité de conclure un contrat pro (formation en alternance) et offre trois options de spécialisation : la bio-ingénierie, l’e-santé, et la biomécanique et microsystème. En outre, différents stages (stage découverte, stage hospitalier, stage R&D, stage industriel) et projets tutorés sont obligatoires et représentent près de la moitié du temps de la formation, avec un encouragement à partir à l'international. Pour les professionnels et les entreprises, plusieurs formations thématiques à la carte et sur mesure sont à découvrir, allant des formati...
Perdre un proche est une épreuve difficile pour chacun d’entre nous. Il est donc souvent rassurant de préparer ses propres obsèques afin de soulager ses proches émotionnellement et financièrement lors de ce moment particulier de la vie. Fortes de cette réflexion, 3 mutuelles (Harmonie Mutuelle, Mutac et MGEN) se sont associées pour créer leur propre réseau funéraire, la Maison des Obsèques, et pour offrir à chacun un service de proximité, d’humanité, d’accompagnement et de respect. Fondé en 2015, ce 1er réseau fondé par des mutuelles a pour vocation de vous guider en toute transparence et en toute sérénité pour la préparation d’obsèques ou la signature d’un contrat de prévoyance obsèques. Aujourd’hui, 72 agences La Maison des Obsèques et 35 agences partenaires publics vous accueillent sur l’ensemble du territoire mais l’ambition de la Maison des Obsèques est de construire un réseau de 400 agences à l’horizon 2025. Pourquoi choisir la Maison des Obsèques ? Dans les différentes agences de la Maison des Obsèques, vous êtes sûrs de trouver des professionnels de confiance, à votre écoute, vous prodiguant des conseils clairs et une bienveillance sincère. Ici, vous pourrez vous entretenir dans une alcôve conçue comme un doux cocon. Tout le protocole d’accueil est tourné vers les familles pour adoucir au maximum ces instants douloureux. Ces agences se chargeront, entre autres, des démarches administratives, de l’organisation de la cérémonie civile ou religieuse, de la prise en charge du défunt, des faireparts, de la mise à disposition d’un registre de condoléances. Selon vos besoins, elles vous proposeront également une large gamme de services, comme le rapatriement du corps, la prise en charge de nuits d’hôtel, des trajets en taxi, une aide psychologique, une aide post-obsèques pour le dernier vivant (ex : repas à domicile….). Pensez à souscrire un contrat de prévoyance obsèques Si, comme beaucoup de personnes, vous jugez que l’organisation de funérailles dans l’urgence est inappropriée à ce moment de la vie, vous choisirez sûrement de vous faire accompagner par des professionnels pour préserver vos proches et organiser des obsèques qui vous ressemblent. La meilleure solution est de souscrire un contrat prévoyance obsèques. La Maison des Obsèques vous propose une nouvelle gamme de 5 contrats, 2 contrats prévoyance conçus pour les moins de 70 ans et 3 pour les plus de 70 ans. Ces contrats de prévoyance sont entièrement dédiés au paiement et au choix des prestations obsèques du souscripteur. Ils sont uniquement distribués par les professionnels du funéraire. Ils sont considérés comme des contrats d’assurance-vie et à ce titre sont soumis au même régime fiscal. Avec ce type de contrat, vos proches bénéficieront de l’aide financière pour l’organisation de vos obsèques mais aussi d’un accompagnement professionnel et d’une aide psychologique grâce à l’expression précise de vos dernières volontés. Les contrats prévoyance en capital permettent d’assurer un montant pour financer vos obsèques, voire pour constituer un capital pour vos bénéficiaires. Les contrats prévoyance en prestations permettent de prévoir également le déroulement et l’organisation de vos obsèques comme vous le souhaitez. Ils sont assortis d’un devis détaillé des prestations souhaitées, devis qui devra être suivi à la lettre par votre famille qui n’aura rien à débourser. Par contre, vous pouvez modifier les prestations à tout moment. Avec ce type de contrat, vous pourrez décider à l’avance si vous souhaitez une crémation ou une inhumation, choisir le type de cercueil ou d’urne funéraire, les compositions florales, personnaliser votre cérémonie religieuse ou civile, etc. Pour souscrire un contrat qui vous correspond, un conseiller funéraire de la Maison des Obsèques sera présent pour vous accompagner dans vos choix et vos décisions. Ensuite, il effectuera toutes les démarches pour le compte de vos proches. ...
Dans le cadre de sa mission de transférer ses savoirs et savoir-faire vers le monde socio-économique, ce service s’adresse aussi bien aux start-up, PME, grands groupes qu’aux collectivités et services de l’Etat nécessitant une expertise dans un domaine spécifique. Face à des besoins de plus en plus variés et fréquents, une équipe avisée assure le dialogue, la confidentialité et est une véritable passerelle entre le monde de l’entreprise et celui des laboratoires du CNRS. Des expertises de pointe dans tous domaines Le CNRS est une des plus importantes institutions de recherche du monde. Ses travaux pointus touchent tous les domaines possibles que ce soit la matière, l'espace, les sciences humaines ou biologiques. Sa Direction des Relations avec les Entreprises (DRE), a pour mission de développer les liens entre les entreprises et ses laboratoires de recherche. Pour faciliter l’accès des professionnels désireux de travailler avec le CNRS, elle innove avec le service "Trouver un expert", dont tous les projets soumis se succèdent mais ne se ressemblent pas ! Les thématiques sont larges et le réseau, solide. Edith Wilmart, responsable du service, le reconnait en chœur avec son équipe, les solutions élucidées sont parfois étonnantes. Toujours passionnantes. Chaque demande est étudiée afin de bien définir la compétence à solliciter parmi les 1100 laboratoires du CNRS et de ses partenaires, partout en France. Ces échanges peuvent conclure à une prestation de service, à une consultance ou à une collaboration dont la durée se mesure aux objectifs convoités. Des connexions fructueuses au présent et pour l’avenir Interventions ponctuelles ou durables, les situations croisent les thématiques, voire induisent des collaborations pluridisciplinaires. D’une entreprise de literie de luxe à un brevet récent sur des polymères biosourcés, d’une entreprise agro-alimentaire à une spécialiste de l’explosion pour une production moins chère et moins polluante : les exemples attisent inspirations et respect. A des travaux classiques de prestations de services, d’analyses, de conseils, de formations, précèdent parfois des alliances a priori improbables. La preuve. Une industrie de cosmétique va ainsi collaborer avec une écologue anthropologue pour in fine concevoir une huile relaxante naturelle pour homme. Une autre a bénéficié de l'aide d'un expert en efficacité énergétique (éclairage, chauffage) pour transformer des conteneurs en espaces habitables. Gains de temps, de compétences, les plus-values proposées par le service Trouver un expert sont nombreuses et riches de sens. D’une part, parce que la recherche ouvre toujours plus largement ses portes au monde socio-économique, en participant à le qualifier durablement. D’autre part parce que le chemin est aisé pour y parvenir. Grâce à un simple formulaire à remplir sur trouverunexpert.cnrs.fr, les sciences les plus avancées se mettent à la portée de tous, pour un lendemain viable, éclairé et acteur de son environnement. ...
Spectaculaires itinéraires : le GR®34, itinéraire mythique de Bretagne Suivez le sentier des douaniers pour découvrir le Grand site Cap d’Erquy - Cap Fréhel aux falaises de grès rose dominant de grandes plages de sable blanc. Plus à l’ouest, les plus hautes falaises de Bretagne, de Plouézec et Plouha, offrent une vue imprenable sur la Baie de Saint-Brieuc et l’archipel de Bréhat, spectacle permanent propice à la randonnée... Ici et là, de nombreux itinéraires balisés vous emmènent à pied, à cheval ou à vélo, au détour d’un moulin, d’une vallée, d’une fontaine, d’une Petite Cité de Caractère. Gardez le bon cap : les Espaces Mer® Tester le longe-côte à Plérin, une sortie en mer sur La Pauline, voilier traditionnel de Pléneuf-Val-André, visiter le phare de la Croix à Paimpol en kayak de mer, louer un catamaran à Binic, se faire aiguiller sur les meilleurs spots de kitesurf, ce sont plus plus de 360 manières de voyager sur l’eau. Douces ou salées, les professionnels du nautisme vous accompagnent dans des activités vivifiantes. En mode découverte, elles sont accessibles à tous les niveaux, juste pour le plaisir, en famille ou entre amis. Version coaching, on profite d’un accompagnement individuel et de conseils personnalisés. Plus sport, certaines activités s’adressent aux mordus en quête de perfectionnement et de dépassement de soi. Des expériences conviviales pour déconnecter L’appel de la criée à Erquy En fonction des saisons, les pêcheurs débarquent de nombreuses espèces de poissons et coquillages, et aussi les fameuses Coquilles Saint-Jacques de la Baie. A travers une visite guidée de la Criée, on peut découvrir le parcours de tous ces produits, de la mer vers l’assiette. Session danses bretonnes à Guingamp Entrez dans la danse des vacances estivales ! Lors du Festival de la Saint-Loup à la mi-août. Visites guidées du Haras national de Lamballe Toute l’année, Le haras et ses écuries met à l’honneur le cheval et ses célèbres étalons de trait et postier breton. A voir : la carrière d’honneur, la sellerie la remise hippomobile. Journée détente « spa essentiel » à Pléneuf-Val-André Bienvenue dans les différents espaces du Spa Marin du Val-André. Ici on se prélasse et on profite de soins personnalisés. En plein cœur de la station balnéaire, on se balade sur son immense plage, sa digue promenade et on découvre un riche patrimoine balnéaire. Les secrets des falaises de Plouha vues de la mer Au rythme des pagaies, on s’offre un peu de frissons et une sortie kayak de mer vertigineuse au pied des plus hautes falaises de Bretagne. Derrière le lien tonique, beaucoup d’amitiés à conquérir ! Evasion à bord du Maestro Croisière au large de la Baie de Saint-Brieuc Au départ des ports de Binic ou de Saint-Quay-Portrieux, un catamaran tout confort fait goûter au plaisir d’une navigation. Entre criques et falaises, sur les eaux de la Baie, on partage cela en famille ou entre amis avec un skipper d’expérience... et aux petits soins ! Le port de Paimpol Depuis les quais de la “Cité des islandais”… On peut miser sur le mardi matin, jour de marché, pour découvrir le Vieux Paimpol et explorer la ville pittoresque. Comment ne pas se laisser embarquer par l’histoire de tous ces marins qui ont fait le mythe du pays ? A noter : la visite guidée des mardis après-midi en saison. Les balades accompagnées "cyclobutineurs" au départ de Plurien Les mercredis d’été, on prend le rythme… de la lenteur. Pédaler et s’essayer au vélo à assistance électrique en famille, c’est le pied non ? Matériel adapté pour les enfants : remorque, vélo suiveur, siège enfant. Dîner aux chandelles au Château de Quintin ! Chaque samedi soir d’été, C’est la vie de château. Dans la salle à manger ou dans les anciennes cuisines, on se fait plaisir avec un vrai dîner aux chandelles. Pour la balade digestive, on ne manque surtout pas l’exposition en nocturne. Escale gourmande sur le marché de Saint-Brieuc Les mercredis et samedis matin, on entre sur le marché briochin comme en méditation d...
La Société française de sophrologie voit le jour en 1966. Elle s’est ainsi constituée comme le premier organisme à diffuser et à expérimenter cette discipline sur le territoire. Dans cette optique, elle veille à ce que les futurs praticiens accèdent à une préparation de qualité, en aval de leur exercice. Au-delà, la société constitue un tremplin pour la recherche, grâce aux congrès qu’elle organise chaque année. Une discipline à large spectre d’actions Qu’on l’aborde comme philosophie de vie ou démarche thérapeutique, la sophrologie est une méthode qui connaît de nombreux champs d’action. On y recourt tant pour travailler la résolution de comportement pathologique que pour gérer plus efficacement son quotidien. Les techniques mises au point et enseignées par le professeur Caycedo opèrent également en faveur des individus qui ont à faire face à des événements importants dans leur existence. Enfin, les malades soumis à des traitements médicaux lourds ou contraignants, comme les sujets supportant des douleurs physiques permanentes, y trouvent un appui non négligeable. Dans ces contextes, le quotidien du sophrologue recouvre des demandes très diverses. L’univers de ce professionnel enregistre, en même temps, des évolutions incessantes. Situation qui justifie une uniformisation des états de connaissances, besoin auquel la S.F.S. répond par l’organisation annuelle de congrès. Les congrès annuels de la S.F.S. : échanger sur la sophrologie et ses disciplines voisines « Nos recherches se concrétisent par des congrès annuels, autour des thèmes de réflexion auxquels on fait participer aussi bien des sophrologues en exercice que d’autres partenaires en sciences humaines, comme les neurosciences, la psychologie, la psychanalyse. » Cette présentation par Claude Chatillon, présidente de la Société française de la sophrologie, traduit combien la discipline évolue dans un univers dynamique. Le premier congrès faisant suite à la célébration, en 2016, du cinquantenaire de la S.F.S. aborde les théories novatrices qui ont nourri l’exercice de la profession durant ce demi-siècle d’existence. Ayant eu lieu en décembre 2017, les deux journées d’échanges ont questionné « Les avancées cliniques et théoriques de la sophrologie ». Entre autres thèmes qui ont été abordés figurent les troubles de l’attachement, ou encore l’apport des neurosciences dans la compréhension des traumatismes. Les congrès organisés par la S.F.S. sont toujours l’occasion, pour les professionnels concernés, de partager leurs expériences et habitudes de pratiques. Diffuser une information fiable et actualisée La diffusion des connaissances en matière de sophrologie fait partie inhérente de la mission de recherche de la S.F.S. C’est l'une des raisons pour lesquelles les congrès sont organisés, une fois sur trois, en région. C’est également dans cette logique que la Société prend en charge l’édition des Actes des congrès. Ces publications donnent, en même temps, une vision plus précise de toutes les problématiques pour lesquelles les compétences et l’intérêt des sophrologues sont mobilisés au quotidien. Les violences, par exemple, étaient au centre de l’attention des congressistes en 2003. "Comment l’apport de la sophrologie peut constituer un élément de résolution dans la prise en charge des addictions" figurait au menu des échanges, lors de l’édition 2006. Émotions, résilience face aux traumatismes et créativité constituent autant d’autres thèmes abordés, tout au long des éditions successives. ...
Le mercato des grands chefs de la Gironde a accueilli il n’y a pas si longtemps une étoile de la gastronomie française. Vivien Durand, un chef dynamique et passionné se lie d’amour pour ce somptueux domaine, où il décide de s’installer. Au Prince Noir, les nombreux défis qui s’esquissent devant lui ne le font pas trembler. Parmi eux : proposer une cuisine qui fasse honneur à ce lieu chargé d’histoire, classé monument historique depuis 1991. Un château, un homme… L’histoire du Château du Prince Noir est liée à celle d’un homme : Edouard de Woodstock dit « Le Prince Noir », personnage mythique lors de la Guerre de Cent Ans, régnant à la principauté d’Aquitaine. On dit même que les négociations signant la fin de ce conflit opposant la dynastie des Plantagenêts à celle des Valois ce seraient déroulées dans le prestigieux château. Détruit puis reconstruit, celui-ci ne connaîtra décidément pas un destin ordinaire. Depuis, une accalmie s’y est installée, sauf peut-être en cuisine où l’on entend Vivien Durand motivé sa brigade. Ce personnage pyrénéen d’origine a eu la chance d’évoluer au sein de l’écurie Ducasse à Monaco. Après avoir forgé ses armes auprès du chef Nicolas Masse au Grand Hôtel de Saint-Jean de Luz, il travaille sur un grand projet : l’ouverture de ses restaurants La Taverne Basque et Chez Claire et Vivien à Saint-Jean de Luz. En 2013, sa passion, son expérience et ses sacrifices seront récompensées par la distinction suprême décernée par le Guide Michelin. Son étoile en poche, il veut voguer vers de nouveaux cieux. La quête d’une nouvelle expérience le conduira en Aquitaine, au Château du Prince Noir dont il tiendra les rênes à partir de mars 2014. Une déco alliant tradition et modernité Bruno Grangé-Cossou s’est occupé de la décoration, de l’agencement et de l’identité visuelle du restaurant. On y découvre une belle dualité entre l’ancien et le moderne qui correspond tout à la fait à la personnalité du chef. Lui qui aime proposer une cuisine inventive basée sur du traditionnel. Le détail le plus frappant : cette véranda vitrée qui vous donne l’impression d’être à la fois à l’intérieur et à l’extérieur. Entièrement métallisée, elle révèle une ambiance contemporaine aux couleurs sobres qui tranche avec le style d’époque de l’aile du château qui lui est attenante. La décoration sort des sentiers battus et dévoile une belle authenticité. Chaque meuble ou objet ornant les lieux est chargé d’histoire, à l’image de ces tasses à thé dépareillées, chinées probablement. Au Prince Noir, on cultive aussi un état d’esprit basé sur la convivialité. L’équipe chaleureuse et accueillante s’occupera de vous, non comme un client mais plutôt comme un convive. ...
L’histoire des champagnes Météyer commence en 1860, année durant laquelle Pierre Clément hérite des vignes de son beau-père. Le domaine passe de père en fils. Depuis 1989, c’est la cinquième génération, en la personne de Franck Météyer, qui s’occupe de l’exploitation avec son épouse, Anna. Vigneron indépendant, Franck prend soin de ses vignes en utilisant des méthodes de travail respectueuses de l’environnement et de la tradition champenoise. Plusieurs champagnes récompensés Parmi les champagnes proposés : La Carte Argent est un assemblage de Pinot Noir, Pinot Meunier et Chardonnay, offrant une robe dorée aux reflets argent, avec des bulles fines et persistantes. Ce Champagne, médaillé au prestigieux concours international Decanter en 2016, fut à plusieurs reprises sélectionné au Guide Hachette des Vins (2016 inclus). La Cuvée Marine, rareté présentée dans une bouteille bleue au look moderne et élégant, est composée de 50 % de Chardonnay, de 25 % de Pinot Noir et de 25 % de Pinot Meunier. En bouche, elle se démarque par une belle minéralité. Cette Cuvée, sélectionnée plusieurs fois au Guide Hachette des Vins et finaliste au Jeunes Talents du Champagne, fut médaillée au Challenge International du vin en 2016. L'Exclusif, l'un des trois monocépages de la gamme Météyer, est un champagne gastronomique. Ses dix ans de maturité lui confèrent des arômes puissants, tout en longueur et sans amertume. Cette cuvée zéro dosage atteint son apogée lorsqu'elle est carafée. Champagne plébiscité par “Le Monde”, sélectionné au Guide Hachette 2015 et médaillé Decanter 2016! Art et champagne Marquez un arrêt Champagne en visitant la cave de l’exploitation, où sont conservées de précieuses bouteilles. Poursuivez votre visite au musée de la vigne et du vin, pour découvrir, à travers d'anciens outils, l'histoire de la Champagne et du champagne. Parmi les curiosités : une machine à démasquer, un bossin, une guérite à dégorgement, une boucheuse à maillet du XIXe siècle ou un calice du XVIIIe siècle... Mais aussi d’anciens flacons et des costumes d’époque. Une salle de dégustation sublime et insolite vous révélera les trésors de la famille Météyer, et mettra en scène des expositions temporaires d'artistes du monde entier. ...
À Marne-la-Vallée, au cœur du mythique hôtel Vienna House Magic Circus, une table proposant des spécialités gastronomiques françaises, mais aussi européennes, s’érige pour le plaisir des épicuriens. L’hôtel appartenant à un grand groupe hôtelier autrichien se veut être l’ambassadeur de l’art culinaire de l’Hexagone et celui des terres du vieux continent, allant des plats typiques aux vins régionaux. Bar et terrasse, sous un soleil généreux, sont également mis à disposition des hôtes afin d’égayer encore plus leur pause gourmande. Mettant en avant les produits locaux et de saison, la cuisine est ici teintée de saveurs locales mariées à un subtil goût d’ailleurs… Des délices du palais à la simplicité retrouvée… Même si les spécialités européennes font partie du menu, les plats typiques de la France et de la région hôte sont mis en avant afin de révéler le meilleur de cette gastronomie unique au monde. Le temps d’un petit déjeuner ou d’un dîner, laissez ainsi vos papilles frétiller avec les saveurs régionales proposées sous forme de buffet ou servies à table. Avec un menu adulte riche en découvertes et un menu enfant appelant au régal, chaque instant passé dans ce restaurant sera la promesse d’un voyage culinaire au pays du bon et du beau. Un vin français régional ou autrichien viendra y clore un déjeuner copieux placé sous le signe de la simplicité élégante et délicieuse. La salle de ce restaurant peut, entre autres, accueillir au total 450 personnes, de quoi favoriser les rencontres et la convivialité. Les friands de repas en plein air et en communion avec la nature pourront, par ailleurs, profiter d’un déjeuner à l’ombre d’une terrasse à l’exposition idéale. Cette magnifique terrasse de quelque 80 places est, de plus, dotée d’une vue imprenable sur un lac et sur les magnifiques jardins à la française qui entourent l’établissement dans son ensemble. Pour les amateurs de cocktails, d’apéritifs ou de moments de détente intimistes, le bar des artistes les accueille dans une ambiance raffinée, toujours à l’image des lieux. Avec une carte des vins riche et éclectique, ce bar est une invitation à la détente et aux plaisirs gourmands. …au cœur d’un havre de paix Le restaurant L’Étoile est lové au cœur d’un établissement hôtelier de près de 396 chambres et suites, perdu dans un écrin de verdure spécialement imaginé pour s’intégrer dans le paysage campagnard. Ce paysage authentique et pittoresque vient ajouter la touche de sérénité attendue d’une bâtisse dont certains traits rappellent, non seulement la magie du cirque, mais aussi l’âme et le charme intemporels des vieux manoirs français. Non loin du restaurant, vous pourrez vous adonner à la visite de nombreux monuments emblématiques tout en découvrant le patrimoine inégalé d’une région qui a tout à offrir. Avec les parcs de Disneyland® Paris situés à proximité immédiate de l’établissement, des cités médiévales, la Vallée Village et plusieurs châteaux d’époque, allant de Versailles à Fontainebleau, viendront s’ajouter à votre escapade gourmande. À pieds, en voiture ou en VTT, imprégnez-vous ainsi de la beauté du fameux vignoble champenois, du caractère singulier et enchanteur des paysages environnants et goûtez aux plaisirs du vin au sein des nombreuses caves champenoises ou chez les vignerons qui croiseront votre route. Un programme d’exception aux découvertes chargées d’émotions, d’histoires et de passions… ...
Maladie dangereuse car pouvant entrainer la mort dans sa forme la plus grave, la leptospirose n’est pourtant pas facile à identifier. Le temps d’établir le bon diagnostic, la personne infectée peut se trouver dans un état critique. Pleins feux sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse due à une bactérie dénommée « leptospire ». Cette bactérie se localise dans les urines des mammifères contaminés et plus particulièrement chez les rongeurs. La transmission à l’homme se fait soit par un contact direct avec les urines d’animaux, soit par un contact avec de l’eau contaminée. « La bactérie peut résister durant 6 longs mois dans la boue et dans l’eau. Et les gens ne savent pas forcément qu’ils ont été en contact », explique Anne Julliat, Directrice Marketing, Ventes et Communication d’IMAXIO. Pour pénétrer dans le corps, les leptospires profitent des plaies, écorchures et des orifices naturels du corps (nez, bouche, yeux, pores dilatés de la peau…). Une maladie insidieuse Après une période d’incubation de 2 semaines en moyenne, les premiers symptômes apparaissent : forte fièvre, courbatures, nausées, vomissements. « Les symptômes s’apparentent à ceux d’un syndrome grippal. Et c’est là tout le problème, car le médecin va davantage penser à la grippe qu’à la leptospirose », indique la responsable. Ce mauvais diagnostic permet à la maladie de s’aggraver alors qu’un traitement à base d’antibiotiques initié de manière précoce aurait pu suffire à la traiter. D’importantes séquelles Dans ses formes les plus graves, la leptospirose peut atteindre des organes sensibles comme le cerveau, le cœur, les poumons, le foie ou encore les reins. « C’est une maladie qui nécessite un diagnostic spécifique donc il se peut qu’on l’identifie tardivement. À ce moment, il faut agir vite puisqu’il y a de fortes chances qu’elle endommage des organes importants. Il arrive qu’un patient se retrouve, par exemple, en dialyse pendant quelques mois », prévient Anne Julliat. Par ailleurs, même si le patient est guéri, la maladie risque d’entrainer de lourdes séquelles comme des troubles oculaires. Les activités à risques Les personnes exerçant des professions ou activités jugées « à risques » sont les plus touchées par la leptospirose. Au niveau professionnel, la liste des activités à risques est inscrite dans les tableaux des maladies professionnelles n° 19A du régime général de la Sécurité Sociale et n° 5 du régime agricole. Anne Julliat précise : « Les plus exposées sont les personnes travaillant dans les mines, les caves, les égouts… Puis celles qui sont en contact avec l’eau : en particulier, les personnes assurant l’entretien des voies navigables ou bien les marais, les étangs, les lacs, mais aussi l’entretien des installations portuaires en milieu fluvial ; les pisciculteurs et les moniteurs d’activités aquatiques. Nous pouvons citer également les professions liées à l’assainissement des eaux usées, ensuite les secouristes tels que les pompiers plongeurs. Enfin, les gens qui sont en contact permanent avec les mammifères, en l’occurrence les éleveurs et les vétérinaires. » Dans le domaine des loisirs, la maladie peut être contractée dans le cadre d’activités aquatiques (rafting, canyoning...), la pêche ou la chasse. Les mesures de prévention Les moyens de prévention contre la leptospirose sont de deux ordres : la prévention collective et la protection individuelle. Le premier volet consiste d’abord à diminuer la prolifération des rongeurs aussi bien en milieu urbain qu’en milieu rural. Cette mesure doit s’accompagner d’une meilleure gestion des déchets. Pour le second, les professionnels travaillant dans un lieu à risques ont l’obligation de porter des équipements de protection (gants, combinaisons, masques, lunettes de protection…). « Il est important de toujours observer les règles d’hygiène avant d’aller sur terrain. Si la personne a une plaie, il doit, par exemple,...
Pouvez-vous nous présenter l’association « Sans Diagnostic Et Unique » en quelques mots ? Il s’agit d’une association que j’ai fondée en mars 2016 avec Audrey Letellier. Sa création est étroitement liée à mon histoire personnelle. En effet, je suis maman d’une petite fille qui a été en errance diagnostique pendant cinq ans. Et comme c’est le cas pour beaucoup d’autres parents, ces cinq années ont été un véritable parcours du combattant. Notamment pour pouvoir obtenir un diagnostic via un séquençage à haut débit. Mais j’ai pu rencontrer des gens formidables. Dont le professeur Laurence Faivre, généticienne à Dijon. Nous avons beaucoup échangé et un jour, elle m’a dit que si je créais une association, je pouvais compter sur son soutien sans faille. Et voilà, l’association « Sans Diagnostic Et Unique » venait de voir le jour. Très vite, nous avons également eu la chance de pouvoir nous appuyer sur des partenaires solides : la filière AnDDI-Rares et Maladies Rares Info Service.Quel rôle l’association « Sans Diagnostic Et Unique » joue-t-elle ? Avant tout, nous nous efforçons de rompre l’isolement des familles qui sont en errance diagnostique. Par le biais de notre site et de notre page Facebook, les proches d’enfants atteints d’une maladie rare peuvent, par exemple, échanger et même se rencontrer s’ils le souhaitent. Créer du lien, c’est essentiel. Nous facilitons également l’accès à l’information, notamment grâce à Maladies Rares Info Service et nous efforçons d’orienter - voire de réorienter - les familles vers les professionnels de santé adaptés. Le partenariat que nous avons mis en place avec la filière AnDDI-Rares nous permet ainsi d’orienter des patients et leurs familles vers les centres référents des anomalies du développement. Enfin, nous aidons les familles à effectuer certaines démarches administratives ou encore à exercer des recours contre des refus qui seraient injustifiés. Un mot sur le séquençage à haut débit et les espoirs qu’il fait naître ? C’est non seulement une vraie avancée technologique mais aussi une chance d’obtenir enfin un diagnostic. Il faut savoir que les familles qui sont en errance diagnostique se font bien souvent « balader » de service en service, de spécialiste en spécialiste… Rapide et efficace, le séquençage à haut débit coûte également moins cher que de devoir procéder à plusieurs analyses génétiques. En effet, effectuer une recherche syndrome par syndrome prend du temps. Beaucoup de temps. Alors que le séquençage à haut débit permet de séquencer beaucoup plus de gènes. Et donc de multiplier les chances de diagnostiquer les maladies rares. Le hic, c’est que le séquençage à haut débit, aussi efficace soit-il, ne rentre pas encore dans le parcours de soins… Certains médecins ont probablement peur du surcoût que peut représenter cet examen. Pour toutes ces raisons, le séquençage constitue un outil formidable mais il est sous-exploité. Au contraire, nous souhaitons qu’il soit proposé, de façon plus systématique, aux familles en errance diagnostique.Comment les personnes qui vous contactent vivent-elles leur triple peine (la maladie en elle-même mais aussi l’errance médicale et l’isolement) ? Il arrive très souvent que les mamans qui se présentent à l’association éprouvent un sentiment de culpabilité. Malgré de multiples examens, la cause du retard de développement de leur enfant reste une énigme. Et aucun mot n’est mis sur ses maux. C’est une véritable souffrance car ce besoin de diagnostic est viscéral. Identifier la cause de la maladie dont est atteint son enfant aidera sa maman à se libérer de son sentiment de culpabilité, certes infondé mais pourtant bien réel… Poser un diagnostic permet également de savoir contre quoi l’on se bat. Enfin, diagnostiquer la maladie permet de se projeter sur l’avenir de son enfant. Et s’il s’agit d’un accident génétique, une nouvelle grossesse de la maman pourra aussi être envisagée plus sereinement. Le traitement de la maladie mais aussi son mode de transmission font partie des questions que se posent les parents. Or, seul un diagnostic permet d’y répondre. Pourrait-on parler d’un véritable « droit au diagnostic » ? Tout à fait. Dans le cas de ma fille, avant d’obtenir un diagnostic, j’avais parfois l’impression qu’elle n’avait pas d’identité. D’autant qu’à l’époque, rien n’existait pour les « sans diag’ ». On avait vraiment le sentiment d’avoir été laissés sur le bord de la route, sans aucune reconnaissance… Quelle aide votre association peut-elle apporter aux professionnels de santé ? Nous essayons d’informer les professionnels de santé. Pour cela, nous avons d’ailleurs mis en place un tour de France des centres de référence des anomalies de développement. Cette démarche vise à sensibiliser les professionnels de santé ainsi que les acteurs médico-sociaux aux conséquences de l’errance diagnostique, à les mobiliser et à porter haut la voix des familles. Autant d’actions dont le but ultime reste de faire en sorte de réduire l’errance diagno...
À seulement 3 heures de Paris, au centre de la France, l’Indre en Berry bénéficie d’une situation géographique stratégique qui contribue à son succès en tant que haut lieu du tourisme vert. Pour répondre à une demande touristique grandissante dans le département, les Gîtes de France de l’Indre en Berry propose plus de 400 hébergements déclinés sous forme de gîtes, de chambres d’hôtes, de locations de vacances ou de gîtes de groupe. « Notre rôle est de faire la promotion et la commercialisation de ces hébergements par le biais de notre service de réservation », explique Ludovic Duris, responsable des Gîtes de France dans l’Indre. Effectivement, la clientèle n’est plus obligée de passer par le site Internet pour faire ses réservations. « Une personne est disponible du lundi au dimanche pour traiter toutes les demandes par téléphone », fait valoir Ludovic Duris. « Cette relation plus humanisée profite énormément aux clients, dont les requêtes seront traitées plus vite », souligne-t-il. Des critères stricts de qualité Toute la force des Gîtes de France de l’Indre en Berry repose, d’une part, sur la réactivité de son service de réservation par téléphone et, d’autre part, sur la qualité des hébergements proposés. Pour répondre aux critères exigés par le cahier de charges du label, les gîtes et chambres d’hôtes inscrits dans le réseau font l’objet d’une nouvelle classification au moins tous les 5 ans. « Ils sont visités régulièrement. On peut même faire des radiations dans notre réseau si les hébergements ont des réclamations successives », affirme Ludovic Duris. Pour les clients, une garantie pour un séjour parfait sous le signe de la Nature. ...
Situé au cœur historique de la ville, en bordure de l’ancien lit de la Basse Deûle et du port, l’Hospice Comtesse reste l’un des derniers témoignages lillois de l’action des comtes de Flandres. Fondé en 1237 par la comtesse Jeanne de Flandres dans l’enceinte de son propre palais, l’Hôtel de la Salle, l’hôpital est placé sous la protection de la Vierge. Cette fondation lilloise s’inscrit naturellement dans ce large mouvement de création d’asiles hospitaliers qui se multiplient au cours des XIIe et XIIIe siècles, dans les comtés de Flandre et du Hainaut, à l’image des hôpitaux Saint-Jean de Bruges (1180), Notre-Dame de la Bijloke de Gand ou Notre-Dame à la Rose de Lessines (1260). Patrimone emblématique de l'Histoire de la ville Conformément aux vœux de la fondatrice, l’hôpital accueille des malades, des pauvres et des pèlerins. Régulièrement agrandi pour répondre aux besoins d’hébergement croissants des populations en errance, cette institution hospitalière a été richement dotée au fil des siècles. Ce qui lui permet de disposer de ressources suffisantes afin de faire face aux dépenses de fonctionnement et d’assumer pleinement son rôle charitable. En 1796, suite à la Révolution et aux évolutions de la médecine, l’autorité municipale remodèle l’assistance publique : toutes les fondations hospitalières lilloises sont réorganisées. L’Hospice Comtesse devient un hospice pour les vieillards - les «Vieux-Hommes» - et les orphelins dits «les Bleuets», tandis que les malades sont regroupés à l’hôpital Saint-Sauveur. Un lieu d'une grande richesse artistique Après avoir découvert l'ancienne salle des malades, la chapelle et le jardin médicinal, le visiteur entre dans la maison de la communauté des sœurs augustines qui avaient en charge l’accueil et le soin des malades. Plusieurs salles d’ambiance telles que la cuisine, le réfectoire ou la lingerie s’y succèdent et rappellent tout autant la vocation hospitalière que l’intimité d’une maison flamande des siècles passés. Si le réfectoire, avec son mobilier au décor opulent, restitue l’ambiance solennelle de l’ancien hôpital, la cuisine avec ses innombrables carreaux de faïence bleue – près de 4000 ! – fait revivre le quotidien des lieux. À l’étage, vous partez à la rencontre de l’histoire de Lille et de la vie lilloise. Les collections exposées dans l’ancien dortoir des religieuses tissent le portrait de Lille du XVIe siècle à la Révolution française. Sculptures sur bois, peintures et documents graphiques décrivent le paysage urbain lillois sur plusieurs centaines d’années ; les galeries de portraits des comtes de Flandre et des ducs de Bourgogne ou encore les clefs de la ville soulignent le contexte historique et politique de Lille au travers des siècles. Les importantes corporations de métiers, qui rappellent le passé marchand de la cité, sont racontées, par exemple, par des objets traditionnels comme les bannières ou encore par le tableau La Procession de Lille peinte par François Watteau. Les œuvres de cet artiste mais aussi de son père, Louis Watteau, sont de précieux témoignages de la ville et de la vie lilloise sous l’Ancien Régime. À la fin du parcours, les deux superbes globes, céleste et terrestre, du cartographe vénitien Vincenzo Coronelli, évoquent l’engouement pour les voyages et les découvertes scientifiques des XVIIe et XVIIIe siècles. Ancré dans le paysage et l’histoire de Lille, le musée de l’Hospice Comtesse invite, chaque année, les visiteurs à découvrir, le temps d’une exposition, des artistes contemporains ayant un lien avec la ville mais aussi des grandes présentations thématiques dans lesquelles les collections du musée sont mises à l’honneur. Un musée en constante évolution Le rez-de-chaussée et le premier étage des collections permanentes du musée ont fait l’objet d’une remise en beauté durant l’année 2022, à l’occasion du 60e anniversaire du musée. Un parcours renouvelé, plus valorisant pour les œuvres dont certaines ont ét&eacu...
À consommer sur place ou à emporter, les produits mis en avant dans ce restaurant du Puy-en-Velay reflètent les valeurs authentiques du terroir. Ces produits sélectionnés avec soin proviennent d’une collaboration solidaire entre l’enseigne et une vingtaine d’artisans régionaux riches de leur histoire et de leur savoir-faire ancestral. « Découvrir, déguster et partager » Ici, en dégustant les bons petits plats proposés, le consommateur est sûr de contribuer au développement et à la valorisation des entreprises agroalimentaires régionales et artisanales. Mélissa Bouchut, directrice et cheffe de l’établissement, s’assure, en effet, que « les produits soient proposés en appliquant le prix juste, c’est-à-dire presque au même prix que chez le producteur ». Cette valorisation du terroir se retrouve également dans la composition de chaque recette faite à base de « produits frais récupérés le matin auprès de maraîchers ou dans un magasin bio pour les légumes et auprès d’artisans travaillant le fromage, la charcuterie ou la pâtisserie », continue Mélissa. De plus, pour assurer son caractère authentique, la maison travaille avec un producteur par produit et propose une dégustation en self-service de nombreux produits, à l’instar d’une viande cuite sur place, ou de délices sucrés disponibles à partir de 16 h au bar à pâtisseries (avec une formule à volonté de cinq euros par personne). Dans un menu composé d’une purée de pommes de terre accompagnée d’une salade verte et d’une planche de charcuterie ou de fromage, les hôtes retrouveront ainsi l’âme d’un agriculteur local, l’héritage ancestral d’un fromager et la passion d’un maître artisan charcutier. L’objectif de la maison, toujours selon Mélissa, est de « faire des choses simples pour mettre le produit en avant ». De la formule « Gourmet » à celle dénommée « Authentique » en passant par l’ « Essentiel », les hôtes deviendront alors des « acteurs de la promotion des richesses du terroir », ajoute Mélissa. ...
Originalité et volupté se retrouvent dans une cuisine gastronomique fidèle aux succulences traditionnelles. Dans un cadre mêlant harmonieusement l’ancien et le contemporain, les assiettes révèlent le goût authentique de produits façonnés avec art et passion. Chaque recette, synonyme de virtuosité et d’extase gustative, est la promesse d’un voyage culinaire au pays de l’excellence. Les délices du palais dans un havre de paix La terrasse ombragée, les chambres douillettes, le charmant bar intérieur, les salles décorées de meubles contemporains signés Philippe Starck et les salons intimistes de cette magnifique bâtisse d’époque sont autant d’invitation au régal. A mi-chemin entre l’élégance ancienne et l’originalité moderne, chaque recoin du restaurant est savamment pensé afin de prodiguer une sensation gourmande de plénitude aux hôtes. Allant d’une entrée d’escargots revisités, à un plat de ris de veau en passant par un souffle chaud en guise de dessert, chaque bouchée est le reflet d’un savoir-faire culinaire d’exception. Des cuvées prestigieuses issues de la cave à vins, riche et intense, du restaurant viendront sublimer les menus dégustés au cœur d’un magnifique parc propice à la détente. Une passion à partager L’esprit généreux et allègre de la maison trouve son essence dans le désir de partager la passion de l’art culinaire et de savourer ensemble l’amour du bon vin. Des cours de cuisine et des séances initiatiques à l’œnologie sont ainsi organisés dans cette demeure facile d’accès et puisant une part de son charme bourguignon dans sa proximité avec les vignobles du Pouilly-Fuissé. ...
Ayant son siège social à Pont de Buis dans le Finistère, le groupe Salaün est à la fois tour opérateur, réseau d’agences de voyage et autocariste. Fort de plus d’un demi-siècle d’expérience dans l’organisation de voyages, le groupe propose une expérience inédite placée sous le signe de la rencontre. Il était une fois en Bretagne... L’aventure Salaün Holidays est intimement liée à l’histoire d’un homme : Michel Salaün, le fondateur. En 1927, Michel part rejoindre les Etats-Unis pour tenter sa chance et y travaille pendant 5 ans. A son retour en France en 1932, l’idée lui est venue de faire l’acquisition d’une ferme. Après de nombreuses visites, aucune ne correspondait à ses attentes. Sur le conseil de ses amis, il décide alors d’acheter un car. « A l’époque, il y avait une réelle demande car les gens avaient besoin d’un moyen de transport pour se rendre au bal le dimanche soir, aller aux foires, aux marchés ou encore faire des excursions » témoigne Michel, le petit-fils du fondateur et Président actuel du groupe. Après le décès de son père en 1964, Yves Salaün a repris les rênes de la société familiale. Lorsqu’il était à la tête de l’entreprise, Yves a assuré la croissance interne en développant non seulement le nombre de cars mais également en allant à la conquête d’une nouvelle clientèle. En 1982, c’est au tour de Michel de faire ses preuves. « J’ai intégré l’entreprise après avoir décroché un BAC D et un DUT en transport logistique et j’ai débuté ma carrière au volant d’un car » partage-t-il. Passionné par le monde de l’autocar, Michel est tombé dedans étant petit. En effet, pendant ses vacances scolaires, il ne rate aucune occasion pour accompagner son père. Reprendre l’entreprise familiale était donc pour lui une évidence. Voyager autrement avec Salaün Holidays Faire confiance à Salaün Holidays, c’est la garantie de bénéficier d’un certain nombre d’avantages qui font toute la différence. En ce qui concerne ses équipes, le groupe privilégie une démarche basée sur la proximité et l’engagement envers tous ses clients. A chaque étape du voyage, des professionnels sont disponibles pour répondre à n’importe quelle demande. Au niveau du service, la qualité est au rendez-vous avec un savoir-faire maintes fois éprouvé tout au long de ces 85 ans d’existence. Satisfaire les voyageurs reste la priorité du tour opérateur. C’est pourquoi des milliers de « globe-trotters » l’ont choisi et n’hésitent pas à renouveler leur confiance pour vivre des voyages toujours plus enrichissants. Chaque séjour est unique que ce soit aux portes de l'Europe comme le Portugal et la Croatie ou des destinations lointaines telles que les Etats-Unis, la Thaïlande, l'Inde, le Vietnam ou l'Afrique Australe. Chez Salaün Holidays, confiance rime avec sérénité. En effet, les destinations sont rigoureusement élaborées tandis que les prestations font l’objet d’une étude très poussée. Pour ceux qui ont besoin d’être rassurés, pas de panique ! Ils ont la possibilité de souscrire une assurance voyage auprès des services de l'entreprise. Celle-ci peut inclure une assurance assistance rapatriement, une assurance annulations et bagages ou encore la garantie « fermeture d’aéroport ». Côté tarifs, les voyageurs ont droit à des conditions de prix très attractives. Qu’il s’agisse de voyages en autocar ou circuits en avion, Salaün Holidays est particulièrement reconnu pour la compétitivité de sa politique tarifaire. Un accompagnement privilégié Afin d’offrir une expérience unique aux voyageurs, la société a choisi de travailler avec les meilleurs guide-accompagnateurs francophones à travers le monde. Il s’agit de professionnels aguerris qui disposent tous d’une grande expérience du terrain et de la destination. Véritables passerelles entre une culture d’origine et un pays d’accueil, les guide-accompagnateurs constituent ...
Dans les Hautes-Alpes et les Alpes de Haute Provence ainsi que dans toute la région PACA, professionnels et particuliers peuvent faire appel au savoir-faire artisanal de l’équipe M.G.O. Les prestations de MGO De la charpente à l’ossature, en passant par la rénovation énergétique jusqu’à l’isolation, tout ce qui touche l’univers du bois et du bâtiment est du ressort de l’entreprise M.G.O. Elle offre également ses services dans le domaine de la zinguerie et la couverture. Petite structure à taille humaine, M.G.O est à même de garantir la qualité à tous les projets qui lui sont confiés. « Nous fournissons des prestations à la carte et accompagnons nos clients sur la hauteur d’intervention qu’ils désirent. Nous pouvons proposer du préfabriqué pour les autos constructeurs, jusqu’à la maison clé en main » précise Grégory Obara. Une équipe de professionnels et de passionnés Dès le lancement de son entreprise, Grégory Obara a appris à s’entourer de personnes qualifiées et impliquées dans leur travail. « Mon équipe est composée de passionnés par et pour le travail du bois », raconte-t-il. Le sur mesure est également un point sur lequel il met un accent particulier : « Nous fabriquons tout, tant que c’est possible. Nous évitons la sous-traitance et l’achat d’éléments préfabriqués. De l’ossature à la charpente, tout est réalisé en interne » poursuit-il. ...
Entre Villefranche-sur-Saône et Mâcon, à 40 km au nord de Lyon, dans la commune d’Odenas, le Château de La Chaize se dresse majestueusement sur les flancs des monts du Beaujolais. A part le fait qu’il soit devenu le plus grand producteur en appellation Brouilly, ce domaine fait partie intégrante du patrimoine historique de la région. Un château chargé d’histoire La longue histoire du Château de La Chaize débute en 1670, lorsque François de La Chaize d’Aix s’approprie la terre de La Douze à Odenas. La construction du château commence en 1674 selon les plans établis par de grands architectes de l’époque, à savoir Jules-Hardouin Mansart et Thomas Blanchet. En 1735, par le biais du mariage de Françoise de La Chaize d’Aix et d’Antoine Marquis de Montaigu, le domaine alors passe entre les mains de la famille Montaigu. En 1967, la Marquise de Roussy de Sales hérite du domaine. « Ma mère a fait énormément de travaux de restauration et de restructuration, notamment en passant de l’agriculture traditionnelle à l’agriculture raisonnée » confie Caroline de Roussy de Sales. Ces efforts ont été récompensés. L’ensemble du château, du cuvage et des jardins a effectivement été inscrit au titre des Monuments Historiques en 1972. La notoriété de cette propriété est telle qu’en 1996 la marquise a reçu Bernadette Chirac et Hillary Clinton dans le cadre d’un sommet du G7. Un vignoble d’exception Le domaine de 99 hectares profite d’excellentes conditions favorisant le développement optimal des vignes. Le sol, assez homogène et composé de sable granitique ocre spécifique à l’appellation Brouilly, favorise un drainage naturel des eaux de pluie. De plus, l’exposition à mi-pente des vignes par sa situation au sein d’un cirque naturel permet une maturité optimale des raisins. L’encépagement est intégralement composé de Gamay noir à jus blanc. La moitié du vignoble est formée de vieilles vignes de 40 ans et plus avec des parcelles qui sont même âgées de 80 ans. Un mode d’agriculture respectueux de l’environnement Depuis des générations, la famille Roussy de Sales exploite ce domaine en association avec sept familles de métayers. Depuis que Caroline de Roussy de Sales tient les rênes, de nouveaux changements ont été apportés au sein du vignoble, notamment concernant les méthodes d’agriculture. « Nous avons transformé beaucoup de choses au niveau des traitements. Il y a dix ans, nous avons entammé une nouvelle forme de plantation moins dense avec de l’enherbement et des palissages qui permettent de structurer les vignes pour faciliter le passage des tracteurs. En 2008, le domaine a reçu le certificat Bureau Veritas pour l’agriculture raisonnée », confie-t-elle. Terre du Brouilly Depuis le XVIIe siècle, le Château de La Chaize a pour vocation de produire des Brouilly qui ont toujours été mondialement reconnus. Son catalogue de vins est composé de quatre cuvées, toutes issues d’assemblage. Le « Château de La Chaize Brouilly » est la cuvée ambassadrice du domaine. Il s’agit d’un vin de garde expressif et puissant. La « Cuvée Vieilles Vignes » est, comme son nom l’indique, issue des parcelles de vieilles vignes du domaine. C’est un vin gastronomique élevé dans d’authentiques pièces bourguignonnes. La « Réserve de la Marquise », est une cuvée d’exception destinée à la garde. Elle est issue d’une macération longue et est élevée 12 mois en futs de chêne français neufs. Quant au « Rosé du Château de La Chaize », nouvel arrivant au catalogue depuis 2008, il exprime l’élégance et le côté fruité du Gamay. ...