Le lien entre les idées et la réalité est la visualisation. Fondé par de talentueux designers graphistes et illustrateurs partageant cette conviction, UP! Studio Paris fait partie des premiers cabinets de conseils en communication qui se spécialisent dans la pédagogie collaborative ou design thinking (pour les plus experts), appliquée à la communication. Après douze ans d’existence, l’entreprise continue d’exceller dans la formation en facilitation visuelle pour les entreprises et la conception de solutions sur mesure en communication visuelle. Le dessin au cœur du métier La facilitation visuelle ou graphique se définit comme étant une pratique utilisée lors d’un meeting, workshop, coaching, convention, séminaire ou réunion stratégique pour représenter l’intelligence collective et émotionnelle. L’objectif de cette méthode est de permettre aux participants de voir concrètement et de comprendre en temps réel comment les idées et les raisonnements évoluent vers une vision ou vers un objectif commun. « Elle favorise surtout la création d’un processus d’écoute active, de fusion d’idées et de partage émotionnel entre le manager et son équipe afin de générer un contenu collaboratif à la fin de l’événement », souligne ENRICO BALDETTI, directeur associé et directeur artistique de l’agence. À travers cette infographie illustrée, UP! Studio Paris accompagne les entreprises dans la visualisation stratégique pour raconter le cheminement d’un concept, connecter les raisonnements (mindmaping et brainstorming), ou pour schématiser une problématique. « Nous pouvons dire qu’il existe effectivement de la co-création à partir du moment où il n’existe plus de séparation entre notre équipe et les clients : ils travaillent et avancent ensemble. » La pédagogie collaborative développée par le cabinet est donc conçue pour cultiver une participation active des collaborateurs et rendre la communication plus dynamique, réelle et humaine. Apprentissage de la communication collaborative aux entreprises La seconde mission d’UP! Studio Paris est de transmettre son savoir-faire aux entreprises, et ainsi « d’améliorer la performance des réunions et la méthodologie des processus décisionnels en équipe ». En effet, à l’ère où l’on parle de plus en plus de knowledge management, de développement personnel et de Chief Happiness Officier (CHO) dans l’entreprise, la démarche managériale se doit de construire et de partager une vision commune. Ainsi, l’objectif des formations proposées par UP! Studio Paris est de « permettre aux entreprises d’avoir une certaine autonomie dans la pratique de la facilitation visuelle, pour qu’ils puissent améliorer la qualité des moments de partage en équipe et gagner en performance et convergence », fait savoir notre interlocuteur. Pour ce faire, UP! Studio Paris propose des modules de formation s’étalant sur un à trois jours, selon les besoins de l’entreprise. Au programme : une demi-journée découverte suivie d’un exercice pratique, notion de base en dessins, apport théorique sur la facilitation visuelle. Pour ceux qui souhaitent approfondir, la formation peut s’enchaîner sur une application orientée projet traitant une thématique propre à l’entreprise ou une problématique réelle dans son environnement, sous forme d’exercice individuel et collectif. Enfin, un autre module s’intéresse également à la conduite et l’animation d’une réunion participative, ainsi qu'à l’apprentissage de la communication digitale. Par ailleurs, un Up Tools Box contenant tous les outils nécessaires à la création de contenus créatifs est fourni individuellement au début de la formation. Un cours de formation en ligne pour pratiquer le dessin (Learn by drawing) est aussi disponible sur le site internet de l'agence. Une opportunité de partager ses croquis avec les autres facilitateurs visuels et s'améliorer par la co-création. ...
Discrètement blotti dans un parc arboré et bordé d’oliviers, ce restaurant fait la part belle à l’élégance, aussi bien dans l’assiette qu’au niveau du décor. Pour atteindre la salle, il faut déjà traverser cet espace verdoyant qui apporte tout son charme à l’établissement. Quand le temps n’est pas capricieux, vous pouvez vous installer sur la terrasse ombragée, qui focalise irrémédiablement l’attention avec ses couleurs vives et gaies et d’où vous pouvez admirer le paysage. N’hésitez pas à investir la salle si vous cherchez plus d’intimité. L’intérieur plait pour son décor raffiné, sans tomber dans le pompeux. Patricia et Sébastien Lucet, propriétaires des lieux, ont voulu recréer une ambiance chic, conviviale et apaisante, sur fond de modernité. Les couleurs claires qui habillent la salle apportent un vent de sérénité. Jeunesse et dynamisme L’histoire de l’Auberge des enclos est étroitement liée à celle des débuts de Sébastien Lucet. Durant ses études, il travaille déjà pour l’établissement durant les weekends, afin de perfectionner ses acquis dans le milieu de la gastronomie. Son diplôme en poche, il décide de changer d’horizon et met le cap sur la Grande-Bretagne, où il exerce au sein d’un restaurant traditionnel anglais. Il va ensuite rejoindre le groupe Bocuse pendant un an, à Orlando, en Floride. Pour ce globe-trotter, le moment est venu de rentrer au bercail. Avec son épouse, il rachète en 2013 ce restaurant dans lequel il a fait ses débuts il y a plusieurs années. Un rêve d’enfant se réalise. Le chef est désormais libre de proposer sa propre cuisine, qu’il veut raffinée, actuelle et savoureuse. Il vivra cette passion aux côtés de Patricia Lucet. Diplômée de l’institut culinaire de Mexico, elle se rend plus tard en Floride pour travailler au sein d’un groupe américain. C’est là-bas que les deux amoureux se rencontrent. Pour faire tourner leur nouvelle affaire, ils s’entourent d’une équipe de jeunes professionnels dynamiques, qui les suivent depuis maintenant deux ans et demi. Le chef déclare avec fierté que « c'est grâce à eux qu'on a fait tout ce chemin ». Un mix entre tradition et modernité Les gastronomes avertis seront heureux de savoir que la carte raffinée de l’établissement ne se réduit pas uniquement aux spécialités régionales. La maison propose une cuisine moderne mais n’en n’oublie pas moins les produits du terroir acquis auprès de certains producteurs locaux. Trois types de menus sont proposés : menu escapade à 28 €, menu détente à 39 € et menu gastronomique à 55 €. Ce dernier vous entraine vers un pur moment de plaisir. En entrée, vous vous laisserez tenter par l’escalope de foie gras poêlée aux pommes. En plat principal, le tournedos de bœuf « sélection plus » grosse frite de polenta et petits légumes n’attend plus qu’à être dégusté. Pour achever ce mélodieux repas, choisissez le banofee pie, qui est une mousse légère de lait, servie sur son émincé de banane et spéculoos. Un environnement riche et préservé L’Auberge des enclos a la chance de bénéficier d’une excellente localisation. Nichée en plein cœur d’un décor de vignoble et de garrigue, elle se trouve au sud de la zone frontalière, entre l’Ardèche et le Gard. La petite commune constituée de nombreux hameaux est connue pour son passé lié à l’extraction du charbon, la culture de la châtaigne et celle des vers à soie. La région possède de nombreuses richesses naturelles qui méritent le détour, à l’instar de la célèbre grotte de la Cocalière, qui fait partie des trois plus belles grottes de France et qui se trouve à moins d’un kilomètre de la commune de Saint-Paul-le-Jeune. ...
Créé au lendemain de la Seconde Guerre mondiale par une ordonnance du 9 octobre 1945 en même temps que l’Ecole Nationale d’Administration et l’Institut d’études politiques (IEP) de Paris, Sciences Po Strasbourg fait partie des dix IEP de France et représente le plus ancien IEP de région. Il est né d’une volonté de moderniser et rénover l’Etat via un projet de formation des élites administratives, politiques et privées. Cette filière d’excellence a bâti sa notoriété sur la base d’un ancrage régional fort se manifestant par ses relations étroites avec l’Université de Strasbourg. « Nous sommes l’un des rares Sciences Po à être intégré dans une université », fait savoir d’emblée, Gabriel ECKERT, directeur de l’institut. Un statut particulier qui est stratégique pour les étudiants ayant la possibilité notamment de réaliser des doubles-cursus de licence en économie et sciences sociales ou de suivre une formation au Centre universitaire d'enseignement du journalisme (CUEJ) qui est une autre composante de l’Université de Strasbourg. Des cursus pluridisciplinaires Les cursus de Sciences Po Strasbourg reposent sur un schéma identique à celui adopté par les autres instituts d’études politiques. Depuis la réforme LMD (Licence-Master-Doctorat), l’institut propose une formation de cinq ans répartie en deux cycles. Durant les deux premières années du premier cycle, les étudiants acquièrent un socle de connaissances renforçant leur esprit d’analyse et de compréhension des grands enjeux européens. « Le programme est pluridisciplinaire et généraliste car nous voulons que nos étudiants perçoivent tous les problèmes du monde. Ces derniers doivent être abordés aujourd’hui pas seulement sous l’angle d’un technicien spécialisé mais de manière globale et générale», déclare le directeur de l’institut. Les cours sont orientés autour de cinq champs disciplinaires à savoir le droit, l’économie et la gestion, l’histoire contemporaine et les relations internationales, les sciences sociales et la science politique et enfin, les langues. La troisième année est celle de la mobilité à l’étranger. « Grâce à nos 140 conventions d’échange avec des universités étrangères, nos étudiants passent cette année obligatoire à l’international dans une de nos universités partenaires ». Cette année à l’étranger peut également prendre la forme de stages ou d’activités professionnelles. Le second cycle pour sa part s’organise autour d’une progressive spécialisation. « Si le socle commun de compétences, la transversalité de notre formation et sa pluridisciplinarité sont absolument essentielles dans la carrière et la vie professionnelle de nos étudiants, pour entrer dans une activité professionnelle, il faut une spécialisation. », explique notre interlocuteur. En quatrième année, les étudiants choisissent alors entre l’une des quatre filières : droit et administration publique, économie/entreprise, études européennes, politique et société. Une ouverture sur l’Europe et le monde entier Sciences Po Strasbourg se nourrit d’une forte vocation européenne et internationale. Une orientation qui s’est faite naturellement grâce son emplacement stratégique au cœur de l’Europe, dans une ville frontière abritant les plus importants organismes européens (le Parlement Européen, le Conseil de l’Europe, la Cour Européenne des Droits de l'Homme, le Centre Européen de la Jeunesse etc.). Cette proximité ayant contribué à créer des partenariats avec les plus grandes institutions européennes donne l'opportunité aux étudiants internationaux inscrits au Certificate of European Studies de comprendre l’Europe au cœur de sa capitale. Ce programme enseigné en anglais s’organise chaque semestre et se concentre sur l’Europe dans une perspective globale. L’engagement à l’international se manifeste également par l’adhésion aux éch...
Une maison, mille univers. La Maison d’Alfred est un lieu de vie où se côtoient talent, innovation, co-création et synergie. En plus d’offrir un espace de travail, de séminaire et de coworking, elle permet surtout à ses habitants et à ses clients de découvrir une nouvelle manière de collaborer, de se perfectionner et de faire grandir leur projet. Pour la petite histoire Ne serait-ce que pour sa belle façade, cette bâtisse historique mérite qu’on s’y attarde. Édifiée en 1870 par M.Alfred Motte, la propriété se trouve au pied de la zone de passage du tramway du grand boulevard, un projet fou né sous l’impulsion d’Alfred Mongy dans le but de relier Lille-Roubaix-Tourcoing. Dans une volonté d’insuffler une nouvelle dynamique à cette maison bourgeoise roubaisienne, David Duprez décide de la reprendre et d’en faire un univers dédié à la créativité et au travail collaboratif, et cela « avant même l’apparition du concept du coworking en France » indique-t-il. C’est en 2016 que la propriété est officiellement baptisée « La Maison d’Alfred », faisant sans doute référence à l’ingénieur Arts & Métier, Alfred Mongy. Et l’on ne peut s’empêcher de faire le parallèle entre cet homme et l’identité de la maison. Le lieu revendique le même esprit d’innovation et l’ambition de relier les hommes entre eux. Mieux que ça, la Maison d’Alfred se veut être un lieu bienveillant et ouvert, pour que chacun puisse trouver un espace professionnel qui lui ressemble en se sentant comme à la maison. « Une maison qui a une âme », comme aime à le préciser son fondateur. Les habitants de la Maison d’Alfred À la Maison d’Alfred, les habitants donnent vie aux valeurs d’ouverture et de collaboration qui définissent le concept du lieu. Entreprises, start-up, entrepreneurs, freelancers, designers, bloggers, consultants, développeurs et coworkers nomades forment cette communauté. Certains disposent d’un bureau privé en zone franche pour travailler et d’autres partagent l’open space installé au 3e étage, entièrement dédié au cosy coworking. Rénové dans un décor lifestyle très contemporain, cet espace de 200m² se dote d’une installation moderne (bureaux équipés, accès wifi, cadre confortable, etc.) offrant une atmosphère de travail la plus stimulante possible. « D’ailleurs, j’ai carrément fait enlever les toits pour installer les verrières afin d’avoir les lumières du jour », fait savoir le fondateur. La flexibilité de l’offre constitue un autre atout majeur dont profitent les habitants. Ils ont la possibilité d'adapter leur emploi du temps grâce aux différentes formules proposées : découverte, mixte, nomade ou résident. En outre, la maison a créé le Déj d’Alfred pour dynamiser l’innovation et la collaboration entre habitants. L’objectif ? Faire émerger l’enrichissement mutuel à travers la rencontre des talents, le partage de réussite et la confrontation des idées. Incontournable, ce rendez-vous des plus vibrants est l’occasion idéale de saisir de nouvelles opportunités. En parallèle, plusieurs autres animations et ateliers sont organisés au profit des habitants, toujours dans cette optique d’échange et de collaboration sur fond de convivialité. Parmi eux figurent les Conf' d'Alfred, des réunions de discussion ouvertes à un public extérieur désireux de s'informer et d'échanger sur plusieurs thèmes. Un espace réservé pour les évènements d’entreprise Le temps d’une réunion de travail, d’une session plénière, d’une formation ou d’un séminaire, les entreprises extérieures peuvent également profiter de l’esprit cocooning de la Maison d’Alfred. Imaginées pour accueillir jusqu’à une centaine de collaborateurs, les dix salles mises à disposition des entreprises et grands groupes s’adaptent parfaitement à leurs exigences. « Auchan, Décathlon ou encore Leroy Merlin sont déjà venus découvrir notre concept et sont repartis ave...
Depuis 2005, Martine Cazin expose ses œuvres parmi celles d’autres artistes dans la Maison de Brian. Cette dernière lui a été léguée par Brian Featherstone, son compagnon. Outre ses métiers de traducteur aux Nations Unies, écrivain et berger, cet anglais amoureux de la France était connu au village de Simiane-la-Rotonde : il participait activement à la défense et au renouveau du village. Une galerie d’art atypique La Maison de Brian est une maison du 16ème siècle, très connue dans le village de Simiane-la-Rotonde grâce à la place que tenait Brian Featherstone dans la communauté. Les matériaux bruts tels que les poutres en bois et les murs de pierres reflètent l’authenticité de cette demeure, typique des villages de Haute-Provence. Une galerie d’art contemporain occupe la moitié de la maison. Elle reçoit de fin avril à fin août quatre expositions temporaires, soit une par mois. L’esprit de la Maison de Brian s’écarte un peu des idées reçues sur les galeries d’art. Aucune description ne saurait être plus explicite que celle de la propriétaire : « le concept de départ consiste à montrer des œuvres dans une vraie maison habitée, dans les mêmes conditions que chez les gens qui vont les acheter. » Le fait d’être aménagée dans une maison habitée rend la galerie plus vivante et plus naturelle. L’art y fait partie du quotidien, les œuvres bénéficient simplement d’un éclairage adapté. L’exigence d’une artiste Au départ La Maison de Brian, qui est une association loi de 1901, privilégiait les artistes de la région. Mais avec douze années d’existence, elle s’est ouverte à d’autres régions et à Paris. Martine Cazin et ses amis restent toutefois à l’affut des nouveaux talents qui pourraient exposer dans sa galerie. Elle-même, plasticienne et ancienne céramiste aime faire découvrir de nouveaux artistes. Sa curiosité l’emmène souvent dans les expositions de groupe et salons. Sa galerie étant bien connue, beaucoup d’artistes lui adressent des dossiers de candidature. Tout en garantissant le professionnalisme des artistes qu’elle choisit, Martine Cazin agit généralement sur un coup de cœur : « mon choix reste extrêmement subjectif, je me fie à mon propre goût » déclare-t-elle. Trois facteurs peuvent influer son choix. D’abord, elle part du principe que l’art doit être accessible, ce qui met déjà au second plan les œuvres hors de prix. Elle se base ensuite sur sa sensibilité personnelle. Enfin, Martine Cazin pense qu’un art a plus de sens en coexistant avec d’autres. Elle s’aventure donc à chaque fois à marier les œuvres de deux ou trois artistes qui pratiquent des disciplines différentes, par exemple un peintre et un sculpteur. Cela donne un sens à l’ensemble et provoque un sentiment supplémentaire chez le public. Programme 2016 La Maison de Brian a quatre expositions en perspective cette année. Martine Cazin met particulièrement en focus celle du 2 au 31 juillet associant Edmée Delsol et Alexandre Hollan. La première est une Parisienne qui a étudié la peinture et la sculpture aux Beaux-Arts de Paris, elle est connue pour l’association de la pâte de verre au raku. Le second, d'origine Hongroise, qui a développé une carrière de peintre en France : les arbres et les « vies silencieuses » sont ses thèmes de travail. ...
Pour le couple Doris et Renaud Gruyer, être fromager est avant tout un art. Un art qui exige savoir-faire, talent et passion. Ils se sont lancés dans l’aventure de la ferme de Gennetay, il y a sept ans de cela en reprenant une fromagerie existante depuis treize ans, avec l’ambition d’honorer une riche tradition fromagère du terroir angevin. Aujourd’hui, cette petite entreprise familiale développe une identité porteuse de valeur et d’engagement. Protéger une méthode artisanale Depuis sa création, la ferme de Gennetay fabrique une gamme de fromages frais élaborés exclusivement avec du lait de vache cru soigneusement sélectionné. Plus tard, elle s’est tournée vers des produits plus traditionnels tels que les fromages affinés pour faire un clin d’œil à la typicité du terroir. Le fournisseur exclusif de la fromagerie, le GAEC écoferme du Gennetay, n’est autre que sa ferme voisine implantée sur le même site. Une proximité qui garantit une meilleure traçabilité et un meilleur contrôle sur la qualité des matières premières. « Notre lait est issu d’une ferme qui applique l’agriculture raisonnée et évolue dans une démarche de conservation de sol, qui consiste notamment à éliminer le labour de la terre et à minimiser le traitement phytosanitaire », explique-t-il. Dans cette continuité, il décide aussi de cultiver lui-même ses levains et d’opter pour un emprésurage naturel afin de conserver la palette aromatique de chaque produit. Les étapes qui s’enchaînent par la suite sont toutes réalisées à la main, respectant la méthode de fabrication d’antan : le moulage, l’étalage, l’aromatisation séchage, le retournement et le conditionnement. « Si nous avons choisi de tout faire à la main, c’est uniquement pour obtenir le meilleur produit fromager qui soit, en apportant tout le soin du travail fait main. Ce n’est pas pour folklore », nous confie Renaud Gruyer. La promesse d’une belle expérience gustative Les tomes « La Grise d’Anjou » déclinées en quatre produits, figurent parmi la grande spécialité de la ferme de Gennetay. Ce fromage à la texture à la fois fondante et moelleuse sera déposé sur des planches d'épicéa et placé pour l'affinage en troglodyte, pendant une durée comprise entre quatre et six semaines. « La phase d’affinage lui confère sa particularité, car les troglodytes nous permettent d’obtenir un équilibre parfait et constant entre la température et l’hygrométrie. » A noter que toutes les tomes sont fabriquées en chaudron cuivre. La gamme s’étoffe par une sélection de délicieux fromages frais de fabrication artisanale : fromage sans sel, nature ou agrémenté d’ail et fines herbes, oignon, échalote et ciboulette, aux trois poivres, cendré, et fromage pempa (poivron, échalote, graine de moutarde, poivre et ail). Une mention spéciale pour Le Crêmet d’Anjou, la star du concours international des fromages et produits laitiers 2013. Petite douceur authentiquement angevine, ce dessert est fabriqué à base de crème, de blanc d'oeuf et de sucre. Mais la Ferme fabrique aussi Le Crêmet d'Angers, qui lui, est à base de fromage blanc, crème, blanc d'oeuf et sucre. D’autres créations maison sont également à découvrir, à l’instar des bûches, pâtes à tartiner, fromages blancs et faisselles. Possibilité d’achat direct à la fromagerie et livraison dans le département du Maine-et-Loire et à 100 km autour de la fromagerie ( Maine et Loire, Indre et Loire et Sarthe) et par prestataire en dehors de ces départements. ...
Catherine Callède, qu’est-ce qu’un chasseur immobilier ? Nous sommes avant tout des professionnels de l’immobilier qui connaissons parfaitement le marché, la législation et les mécanismes de la transaction immobilière. En tant que chasseurs immobiliers, nous mettons notre énergie, notre expérience et nos compétences au service de nos clients. Dans ce métier, il faut savoir être à l’écoute permanente de la clientèle, avoir su construire un réseau puissant et fiable dans le secteur de l’immobilier et posséder de très fortes qualités relationnelles. Qu’est-ce qui vous différencie d’un agent immobilier ? D’abord il faut rappeler un point important : que ce soit un agent ou un chasseur, nous sommes tous les deux des professionnels de l’immobilier. L’agent agit pour le compte et dans l’intérêt de son mandant, c’est-à-dire du vendeur. Il ne peut donc proposer que des appartements ou des maisons dont il détient un mandat de vente. Le chasseur lui, est au service de son client avec qui il a signé un mandat de recherche exclusif. Cela lui permet de prospecter tout le marché immobilier quel que soit le vendeur final ; il offre ainsi à son client une très large palette de produits tout en l’aidant de façon objective à faire son choix. Le chasseur a un rôle très important de conseil et d’accompagnement tout au long du process de vente jusqu’à la remise des clefs et plus encore. D’ailleurs très fréquemment nos clients nous demandent de les conseiller dans le choix d’un notaire, d’un courtier, d’un architecte d’intérieur, d’un artisan ou d’une société de gestion locative. Nous mettons bien sûr nos précieux contacts à leur disposition et les accompagnons le plus souvent jusqu’à leur aménagement.Qui sont vos clients ? Nous avons une clientèle très variée : des acquéreurs connus souhaitant une discrétion totale, d’autres nous contactent parce qu’ils n’ont pas le temps de chercher ou l’expertise pour se lancer dans de longues et fastidieuses recherches. Nous avons aussi de nombreux expatriés qui font appel à nos services pour leur trouver un pied à terre. Egalement des clients qui n’ont tout simplement pas l’envie de se lancer seuls dans les méandres d’une recherche immobilière. Et beaucoup de primo-accédants ou investisseurs qui nous confient leurs recherches pour des investissements locatifs. Vous privilégiez l’exclusivité de votre mission au service des acheteurs, pourquoi ? Nous travaillons toujours de façon exclusive, réussir une chasse demande un investissement quotidien, parfois de plusieurs semaines pour chercher et trouver le bien qui correspond au mieux à notre client, et je rappelle que nous ne sommes rémunérés qu’au résultat au moment de l’acte définitif de vente. Et comme chaque projet est unique, nous offrons un service 100% personnalisé.Et qu’en est-il de la confidentialité ? La confidentialité est effectivement un point primordial ; un projet immobilier fait partie d’un projet de vie, d’une organisation de vie, donc nous entrons forcément dans l’intimité de nos clients, certains nous confient même des choses très personnelles. Cela demande à la fois beaucoup d’empathie, de discrétion, et de patience, surtout au moment crucial du choix du bien. J’ai eu la chance de rencontrer des personnes formidables avec lesquelles je reste en contact même plusieurs années après la mission. C’est avant tout un métier de services et l’humain reste au cœur de chaque projet immobilier. ...
C’est dans le 9e arrondissement de Lyon, dans une bâtisse classée aux Monuments historiques français, que nous donnent rendez-vous le chef Jean-Christophe Ansanay-Alex et son équipe. Son auberge à la cuisine savoureuse est reconnue aussi bien dans le pays qu’ailleurs. Un cadre unique L’Île Barbe est un écrin de verdure protégé de la civilisation par la Saône. L’Auberge se présente comme l’endroit idéal pour passer un moment gourmand et paisible hors du temps. Les salles présentent une ambiance feutrée. L’installation d’un mobilier contemporain dans cette bâtisse du 17e siècle révèle un contraste intéressant entre tradition et modernité. C’est également un endroit intimiste, vu le nombre réduit de couverts par espace. Une cuisine gastronomique Avec un chef qui est resté 25 ans derrière ses fourneaux, l’Auberge de L’Île Barbe a encore de beaux jours devant elle. Avec ses mains de maître, Jean-Christophe Ansanay-Alex habille ses assiettes d’une précision chirurgicale. Des plats à la fois sobres et élégants, en complète harmonie avec le lieu. Le chef s’inspire de ses nombreux voyages pour relever sa cuisine gastronomique traditionnelle avec des saveurs originales. Et le résultat est souvent surprenant, notamment le velouté de cèpes comme un cappuccino vapeur de foie gras, l'un des plats signatures de la maison. Le feuille à feuille de Saint-Jacques aux truffes et épinards comme une compression de l’artiste César, au beurre de jus de truffe n’est pas en reste. Et en dessert, la crème glacée à la réglisse est très appréciée. Pour accompagner le repas, la maison propose une carte de vins éclectique, tout en privilégiant la Bourgogne et la Vallée du Rhône. ...
À mi-chemin entre le port de Noirmoutier et la plage du bois de la Chaise, cet Hôtel-Restaurant 3*** blotti dans un magnifique parc paysager arboré de palmiers et d’oliviers, invite à la félicité et au bien-être. Ses deux salles de restaurant ont été décorées avec goût et raffinement : grande baie vitrée, poutres en bois de pins, murs en bois clair, toiles au thème marin. À l’extérieur, une agréable terrasse ombragée disputant la vue sur le château Noirmoutier et les champs de vignes accueille les hôtes. Quelle que soit la saison, ce petit bout de paradis est l’endroit parfait pour partager une table gastronomique en famille, entre amis ou entre collaborateurs. Le concept du restaurant Le gérant propriétaire du lieu, Pierrick Wattecamps, définit si bien le style d’Éric Pichou, son chef de cuisine depuis 25 ans : « C’est une cuisine fine, créative, pleine de subtilité, et avec une pointe gourmande sans pour autant être très riche. »C’est précis et totalement maîtrisé. Noirmoutier-l’Île oblige, le chef s’inspire des parfums de la cuisine méditerranéenne et des couleurs de la cuisine de l’Atlantique dans l’élaboration de ses plats. « La saveur océane est vraiment notre spécialité. On travaille le poisson tout en finesse et on le prépare ensuite avec des produits du terroir procurés dans la région. » Ainsi, le restaurant a imaginé trois menus pour découvrir les incontournables de la maison : Saveurs de printemps, Éveil des sens et Au fil des saisons. Une farandole de saveurs et de textures En entrée, le chef fait plaisir aux épicuriens avec son saumon confit à 53°, fromage blanc au yuzu et gingembre, crème végétale et pickles d’oignons rouges. En guise de plat, le cœur balance entre le dos de lieu jaune rôti en croûte de piquillos, fenouil et safran, jus de crevettes à la verveine et l’entrecôte de cochon ibérique, pommes de terre façon Macaire. Ces assiettes sont accompagnées d’une cassolette de pommes de terre primeur rissolées au beurre salé, une petite merveille qui fait la signature de la maison. Une autre spécialité à ne surtout pas manquer : les intemporelles moules gratinées à la crème d’ail qui déclenche à chaque fois des émotions. D’autres plats plus recherchés et plus audacieux sont également concoctés, à l’instar des langoustines saisies au beurre demi-sel, pulpe de panais, réduction de clémentines, anis et vodka, ou encore le filet de canette laqué au sésame noir, aigre doux à la bière brune, navets confits et betteraves rouges. « Nous travaillons énormément sur les accompagnements, les sauces, les jus, les parfums, qui vont changer au gré des saisons », explique le gérant. Sur une note finale, des petites douceurs maison viennent embellir l’expérience culinaire : demi-sphère noire avec sa compotée de fruits exotiques, nuage de mascarpone et crème glacée au petit-suisse ou fraise Gariguette au naturel, éclat de meringue et thé vert matcha, sorbet fraise et crémeux à la menthe poivrée. Ce sont les créations d’un jeune talent, dont Pierrick Wattecamps est particulièrement fier : « Il est sans doute le meilleur pâtissier que nous avons eu depuis 25 ans. » Expérience à vivre en famille Pour les déjeuners ou événements en famille, la maison a réservé deux menus spéciaux aux jeunes gourmets. Ils peuvent déguster la terrine de foie gras de canard, la poitrine de veau fermier confite, jus parfumé au thym et seront gâtés par le carpaccio d’ananas, sorbet noix de coco. Les plus petits vont apprécier la salade de crudités de saison et l’éventail de charcuterie accompagné de pommes de terre de Noirmoutier. Au dessert, ce sera deux boules de glace au choix ou un yaourt aux fruits de chez Beillevaire. En outre, parents et enfants peuvent prolonger leur expérience dans l’hôtel 3*** et se laisser tenter par les activités offertes sur place : piscine chauffée, salle de jeux, aire de jeu extérieur (tennis de table, badminton, terrain de pé...
Architecte et amateur d'art, Alain Bourbonnais se distingue par ses multiples activités, parmi lesquelles sa propre production artistique qui ne saurait être négligée. Dans une correspondance adressée à Jean Dubuffet, il exprime son désir de ne pas être considéré comme un artiste, mais plutôt comme un "fabricant fabuleux". Pour certains, l'œuvre de Bourbonnais ne relève pas tant du fantastique que du monstrueux. Selon son épouse Caroline, elle est caractérisée par un érotisme loufoque. Le monde de Bourbonnais est peuplé de personnages farfelus comme les "Turbulents" et les "Gratte-culs". A l’image de certains de ses personnages, une famille un peu décalée qui vit au rythme d'un carnaval quotidien et qui l’assiste même dans certaines de ses créations qui couvrent une multitude de domaines : dessin, peinture, gravure, assemblage, sculpture motorisée, costume, et même courts-métrages. En 1976, Alain Bourbonnais obtient une carte professionnelle de technicien de l'industrie cinématographique, délivrée par le Centre National du Cinéma avec le titre de "réalisateur". Il réalise alors son premier film expérimental, "Turbulent's Band", ainsi qu'un documentaire sur l'art hors-les-normes, intitulé "Les Articles de bois d'Émile Ratier". Considéré comme un "instantané de vie", ce film permet à Bourbonnais de présenter les artistes dans leur quotidien créatif. Par la suite, il produit d'autres courts-métrages sur des créateurs tels que Joseph Vignes, surnommé "Pépé Vignes", ou encore Simone Lecarré-Galimard. En parallèle, il lance une série de publications intitulée "La Fabuloserie. Petit cahier à grand spectacle", qui donne la parole aux créateurs pour qu'ils s'expriment "à travers leurs mots, leurs écrits, leurs œuvres, leur vie". François Monchâtre, Jano Pesset, Pascal Verbena et Michèle Burles participent à cette initiative au début des années 1980. Pendant ce temps, Bourbonnais œuvre activement à la création de son musée privé, "La Fabuloserie", situé dans l'Yonne. Contrairement à un simple collectionneur, Bourbonnais souhaite partager l'art hors-les-normes et le faire voyager en dehors de son musée, inauguré en 1983. Il écrit dans ses journaux de réflexion : "Ce MAGNIFIQUE MUSÉUM, bien que privé, sera un vivier permettant la circulation des œuvres pour des expositions en province ou à l'étranger." Ce vœu s’est réalisé à travers de nombreuses expositions et continue aujourd'hui à être honoré, reflétant ainsi ses trois vies parallèles. Une vie d’architecte visionnaire, de créateur délirant subversif mais aussi d’animateur de l'Atelier Jacob puis de La Fabuloserie qui regroupe plus d’une centaine de talents de l’art hors-les-normes dont il est le précurseur. Un parcours fait d’expérimentations Depuis l'âge de 12 ans, Alain Bourbonnais s'adonne à l'art du dessin. Ses premières esquisses de voyages, réalisées au crayon, à l'encre de Chine et avec des encres colorées, remontent à l'année 1945. À partir des années 1960, il se tourne vers la peinture. Après une première série de tableaux plutôt classiques, Alain Bourbonnais se lance dans des techniques mixtes de 1963 à 1975. Il associe d'abord des huiles aux pigments pour jouer sur les effets de dilution et obtenir un résultat aléatoire. Sa pratique picturale évolue progressivement pour envahir tous les supports. Les toiles sont remplacées par des portes, qu’il déniche lors d’excursions dans des décharges qu’il organise en famille, les pigments par des matériaux divers. Ces productions, qu'il qualifie de peintures-assemblages, annoncent les futures créations en volume des Turbulents. Mais il ne s'arrête pas là. Gravures, estampes, lithographies ? Non. Alain Bourbonnais préfère parler de "Décalcomanies Turbulées" qu'il tire sur sa presse. Il multiplie les expérimentations et crée une production singulière de multiples. Aucune de ses gravures ...
Épices pures ou en mélange, aromates et herbes. Les rayons d’Épices du monde déploient des produits provenant des quatre coins de la planète. Les férus de saveurs exotiques et méconnues trouveront ici leur bonheur. À ces condiments d’exception – délices d’ailleurs choisis suivant des critères de qualité rigoureux – viennent s’ajouter des épices locales défendant le goût de leur terroir. Mettre le monde dans son assiette Des épices de Madagascar à celles de la cuisine mexicaine, en passant par le célèbre piment d’Espelette, tous les goûts, les senteurs et les saveurs du monde se retrouvent dans l’éventail de produits proposés dans cette boutique en ligne. Les condiments qui y sont présentés, des plus connus à ceux qui le sont moins, sont alors une véritable invitation à un voyage culinaire fleurant bon la découverte. Grâce à ces produits de qualité, le monde s’invite dans vos assiettes. Cette enseigne de renom suggère de nombreuses recettes pour varier les plaisirs de l'apéritif jusqu'au dessert. Une gamme de 350 références triées selon la fiabilité et la renommée des fournisseurs, garantissant la traçabilité quant à l’origine de chaque produit. Cet engagement relevant de la rigueur est ainsi le gage de la qualité de chacune de ces références, aussi gourmandes les unes que les autres. Le client peut donc apprécier en toute confiance tout ce qui est cumin, curry, poivre de Kampot ou de Malabar... ...
Installé dans les locaux d’un ancien cinéma des années trente, appelé « Le Familia », le Théâtre du Pont Tournant représente aujourd’hui un haut lieu de la culture bordelaise. Dans ce quartier populaire de Bacalan, cette structure est devenue l’un des lieux les plus réputés en Aquitaine dans la création et la diffusion de spectacle vivant. Le théâtre en quelques mots Dans les années soixante, l’arrivée des multiplex sonne le glas pour « Le Familia » qui se voit obligé de mettre les clés sous la porte. Quelque temps après, c’est au tour des papeteries La Couronne d’investir la salle de projection. C’est en recherchant un local pour la compagnie Pygmalions que Stéphane Alvarez et son épouse, Carole Pierret, découvrent par hasard ce bel endroit qui leur servira d’abri. Ils succombent instantanément aux charmes de la bâtisse. Nous sommes en 1998. Le couple et toute l’équipe ont depuis œuvré pour faire renaître l’âme culturelle des lieux. Si le quartier était autrefois déserté par les Bordelais, ce n’est plus le cas aujourd’hui. Le théâtre est devenu un rendez-vous privilégié des férus de culture dans lequel ils retrouvent une certaine mixité générationnelle et sociale. Une programmation riche et variée Misant sur la pluridisciplinarité, le Théâtre du Pont Tournant tient à cœur de proposer aux spectateurs une programmation de qualité. Le catalogue de la compagnie présente une programmation variée allant des pièces du répertoire classique comme Molière aux auteurs les plus contemporains à l’instar de Pierre Notte. Ce dernier va d’ailleurs débarquer dans les mois qui viennent sur les planches du Théâtre du Pont Tournant avec sa toute nouvelle pièce, La nostalgie des blattes. La compagnie a également réalisé quelques pièces reconnues comme Paroles de poilus qui a été tournée non seulement en France mais aussi à l’étranger. En outre, de nombreuses pièces de théâtre à succès ont été déjà présentées dont celles de Romain Bouteille, Pierret Étaix, Rufus, Daniel Mesguich, Dreyfus, Philippe Caubère, Jango Édouard... ...
Fleuron de la coopération viticole de sa région, la Cave de Tain, idéalement située entre Valence et Lyon, jouit aujourd’hui d’une notoriété largement acquise dans le monde des vins. Située en plein cœur du vignoble historique des Côtes-du-Rhône septentrionales, elle contribue à valoriser un héritage gourmand, véritable fierté de vignerons passionnés et au savoir-faire unique depuis 1933. Le vignoble, étalé sur des zones d’appellations de renom de la vallée du Rhône septentrionale, se veut être une terre d’expression pour des cuvées aux multiples facettes portant chacune la signature de terroirs d’exception. Regroupant 300 vignerons, la Cave de Tain produit des cuvées issues de cinq appellations ancrées de part et d’autre du Rhône, à savoir Saint-Péray, Hermitage, Saint-Joseph, Cornas et Crozes-Hermitage. Terres de Syrah, le pôle œnotourisme de la Cave de Tain l’Hermitage Fondé en 2016, ce pôle œnotourisme accueille les amoureux du vin, au travers de nombreux événements, toute l’année. Le programme est riche et ceux qui souhaitent en savoir plus sur la Cave, son vignoble et ses vins sont comblés : cours de dégustation, balades, circuits de visites, animations… • Visites de la Cave et des chais haut de gamme de vinification et d’élevage suivies d’une dégustation, en six formules, joliment nommées de Terres de découverte à Terres mythiques d’Hermitage… À partir de dix personnes. • Plusieurs balades en Hermitage ou Saint-Joseph à la découverte des vignobles : à pied, en gyropode, en vélo électrique ou en buggy avec une dégustation de vins et produits du terroir. • Des cours d’initiation à la dégustation ou des dégustations thématiques au fief de Gambert, lieu de séminaire et de dégustation au pied de la colline de l’Hermitage, sont programmés régulièrement durant l’année, tels Vins d'hiver, Syrah Haute Couture, Bulles de fêtes, Saint-Valentin, vin et chocolat, soirée Wine & BBQ l’été, etc. • Des journées packagées pour les groupes en partenariat avec d’autres sites touristiques locaux (tels que la cité du chocolat Valrhona, le Petit Train des vignes ou le musée de la Céramique à Saint-Uze) ; ou sur des thématiques bien-être pour les individuels. • Des animations œnologiques lors d’événements privés ou professionnels. • La location du fief de Gambert, l’ancienne maison de maître du fondateur de la Cave, pour les séminaires d’entreprise. ...
C’est pour en finir une bonne fois pour toutes sur les fausses informations dont fait l’objet la médecine douce que Julien Morel et son père Christian Morel ont décidé de fonder l’Institut de formation en médecines douces (IFMD). Au moment de sa création, l’Institut ne proposait que deux cursus. Depuis, il a largement étoffé son programme de formations, qui intègre aujourd’hui la grande majorité des techniques de médecines douces. Des formations complètes L’IFMD dispose d’un programme de formations incluant l’ensemble des disciplines inhérentes à la médecine douce. Sophrologie, réflexologie, massage, hypnose, phytothérapie, aromathérapie ou encore naturopathie font, entre autres, partie des cursus proposés. La formation en naturopathie (ensemble de méthodes de soins visant à renforcer les défenses de l'organisme par des moyens naturels et biologiques) propose une approche très complète de cette discipline. « Notre formation est l’une des seules qui traite tous les domaines de la naturopathie », souligne Julien Morel. Pour la pratique, un stage de 3 jours en milieu hospitalier est également suggéré. L’objectif est en effet de permettre à chaque apprenant de devenir un professionnel compétent. « À la différence d’autres écoles, nous faisons énormément de pratique », fait valoir notre interlocuteur. Cette approche pédagogique s’applique également dans la formation en aromathérapie, où les participants sont invités à essayer les mélanges d’huiles essentielles sur leur propre corps. Le tout, bien sûr, sous l’œil avisé des formateurs. Outre les formations, l’IFMD propose des ateliers thématiques et des conférences visant à faire découvrir au public les techniques de la médecine douce, tout en l’informant des disciplines dispensées par l’Institut. Des formateurs qualifiés Les formateurs de l’IFMD ont été sélectionnés selon des critères rigoureux. « Ce sont tous des professionnels exerçant dans leur propre cabinet depuis de nombreuses années », nous indique-t-on. Le corps enseignant est composé de 16 intervenants qui excellent dans leur domaine respectif. « Ils font bénéficier leur retour d’expérience aux participants : c’est très important ! » Parallèlement à leur activité d’enseignement, les formateurs apportent également leur aide dans la préparation de mémoire de fin de formation. En effet, pour espérer décrocher leur certificat professionnel de praticien, les apprenants doivent présenter une soutenance de mémoire devant un jury et obtenir une note supérieure à 12/20. ...
Parce qu’elle a su garder dans ses pierres les empreintes de toutes les époques, la métropole Le Mans se distingue par la diversité de son patrimoine. Ville incontournable, son programme de rénovation urbaine prévoyait la démolition de 407 logements, la construction de 440 logements et la réhabilitation de 4.867 logements. Avec un investissement de près de 160 M d’€, l’action de la politique de l'habitat, s’articule autour de trois grands axes : l'enregistrement et le suivi des demandes de logement social, le soutien à la construction et à la réhabilitation des logements locatifs sociaux. Des équipes de professionnels mobilisées au service des habitants 268 collaborateurs s’investissent chaque jour pour développer et améliorer le patrimoine et la qualité du service rendu aux locataires. Autant dire une organisation orientée vers la proximité vu que 70% d’entre eux travaillent sur le terrain. ...
Loin de se cantonner au respect strict et obligatoire des cahiers des charges afférents à l’Agriculture Biologique, Bio Chanvre Félinois va plus loin en pratiquant le « sans labour » et l’éco-pâturage. Dans cette démarche engagée, « nous sommes à la fois producteur et transformateur de chanvre », tient à préciser notre interlocutrice. Se faire une « bio-té » avec des produits 100 % naturels Le choix des matières premières concorde entièrement avec les valeurs défendues par la maison. Par exemple, l’huile de coco et le beurre de karité utilisés dans les cosmétiques proviennent d’associations de femmes en Afrique qui bannissent tout intrant chimique dans leurs cultures. Ainsi, l’entreprise valorise à la fois l’aspect humain et l’aspect environnemental. Par ailleurs, les bienfaits incontestables du chanvre sur la peau sont nombreux. L’huile de chanvre est incluse à hauteur de 30 % dans les produits pour accentuer leurs propriétés hydratantes, antirides, anti-inflammatoires… ...
Conçu pour fonctionner sans abonnement ni carte SIM, ce petit bijou de technologie géolocalisable facilite le maintien à domicile des personnes diminuées. Rencontre avec ses créateurs, Didier et Joseph. Tout d’abord, qu’est-ce que M@TIS ? M@tis est un bracelet connecté géolocalisable qui permet le maintien à domicile de nos proches malades ou vieillissants en leur assurant une autonomie optimale et sécurisée tout en en simplifiant la vie de leurs proches. A quoi sert M@tis ? M@tis est un allié discret et facile d’utilisation. Une fois au poignet, il transmet à l’aidant la géolocalisation de la personne qui le porte dans trois cas de figure : soit par un appel volontaire de cette personne sur les boutons SOS, soit suite à une chute de celle-ci ou bien lors de sa sortie de la « zone de vie ». Fiable et léger, le bracelet M@tis possède, c’est nouveau sur le marché des bracelets connectés, une autonomie de 30 jours sans recharge. Il est aussi hypoallergénique, waterproof, et ne peut s’enlever d’une seule main. Comment ça marche ? M@tis met gratuitement à disposition des aidants une interface fonctionnant comme une application. Utilisable sur tablette, smartphone ou ordinateur, elle les prévient en cas de chute, d’éloignement de la « zone de vie » ou d’appui sur les boutons SOS. L’aidant a immédiatement connaissance de la nature de l’alerte et sait où la personne se trouve. C’est l’aidant qui configure cette interface, qui définit les alertes actives, les numéros de téléphones à appeler ainsi que la « zone de vie » en cas de nécessité. Vous avez dit innovation ? Le bracelet M@TIS est le premier système d’alerte connecté fonctionnant sans carte SIM ni abonnement. Il utilise le meilleur de la technologie, notamment en matière de géolocalisation, avec un degré de précision de 0 à 50 mètres. Si, comme la plupart des bracelets du marché, M@TIS est waterproof et hypoallergénique, il offre en plus un fermoir impossible à ouvrir d’une seule main. Ce qui permet à l’aidant d’avoir la certitude que M@TIS est toujours au bras de son proche. Alors que les bracelets connectés du marché doivent être rechargés fréquemment, M@tis garantit une autonomie de 30 jours sans recharge. Autre nouveauté à noter : si, comme certains bracelets du marché, M@TIS fonctionne aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur, il est le seul à n'avoir besoin ni de carte SIM, ni de téléphone associé. Donc pas d’abonnement à un opérateur et pas d’exposition permanente aux ondes GSM. Enfin, M@TIS avertit gratuitement et directement l’aidant ou les aidants (jusqu’à quatre numéros appelés simultanément) sur leur téléphone portable. De l’idée au développement : genèse d’un projet L’idée de ce petit bijou de technologie nous vient de deux entrepreneurs qui se sont associés pour un objectif commun et utile : concevoir un appareil simple qui permet de rester en contact avec ses proches. Joseph Torrente, expert en transmission de données sécurisées depuis 25 années et Didier Lecocq, spécialiste des installations de systèmes de sécurité électronique depuis plus de 30 années. Ils sont reconnus pour leurs compétences et expertises par des clients de renom tels que Gérard Darel, Euromaster, UTC, Bosch, Siemens et des milliers de particuliers. Lancée en début 2018, gageons que cette innovation (surnommée « le bijou magique » par ses créateurs) viendra révolutionner l’autonomie des personnes malades ou vieillissantes dans les prochaines années. Comment se procurer ce bracelet révolutionnaire ? M@TIS a été conçu pour être accessible à un large public. Le bracelet sera commercialisé autour de 300€ mais vous pouvez bénéficier dès à présent du prix de lancement durant la campagne de financement participatif qui démarre le 20 mars 2018 sur ulule.com Pour en savoir plus rendez-vous dès maintenant sur notre site matis-maintien-a-domicile.com ...
Quand le Collège Culinaire de France (créé en 2011 et co-présidé par Alain Ducasse et Joël Robuchon) décide d’attribuer le titre de « Restaurant de Qualité » à l’établissement, ou quand le guide Best Restaurants Paris continue de présenter La Casa dell’Estelle deux années de suite dans sa sélection, cela aiguise notre curiosité. La Casa dell’Estelle ne se contente pas de proposer une délicieuse cuisine transalpine, mais réinvente sa cuisine pour offrir une expérience gustative exclusive à ses clients. Un pari réussi pour les propriétaires Jacques Younes et sa fille Anne-Laure, qui sont tombés « par hasard » dans ce métier… Des combinaisons de saveurs Ici règne une atmosphère zen et décontractée, dans un cadre à la fois cosy et raffiné. L’accueil est sympathique, bercé par un fond de musique jazzy. Cette ambiance agréable invite à un voyage culinaire à travers l’Italie, ponctué par une inspiration française. La carte offre un bel éventail de choix : salades, spécialités italiennes, plats végétariens, pizzas, desserts. En entrée, elle suggère du foie gras de canard servi avec une compotée de figues et pain d’épices, et de la salade Romana au saumon fumé d’Écosse ou à la Bresaola. En plat, les linguine aux cèpes et au foie gras ou encore le sauté de gambas et de noix de Saint-Jacques accompagné de linguine déclenchent à chaque fois des émotions. En outre, « à la Casa, les escalopes sont dans la noix de veau origine France, et les poissons et fruits de mer sont frais de la marée », explique le gérant. Aux desserts faits maison, les clients succombent facilement au tiramisù sans alcool, au fraisier, à la merveille et au café gourmand avec sa glace artisanale au basilic. Mais que serait La Casa dell’Estelle sans leurs incontournables pizzas revisitées qui font mouche auprès de la clientèle. Les pizzas à base de mascarpone se déclinent en plusieurs variétés : pizza salmone au saumon fumé d’Écosse au sel sec, pizza au jambon de Parme, pizza à la bresaola assaisonnée à l’huile de truffe et pizza au foie gras. « Notre cuisine est évolutive, nous recherchons en permanence de nouveaux thèmes et de nouvelles propositions à présenter à nos clients », raconte le gérant. La carte est donc renouvelée, non seulement au gré des saisons, mais également en fonction de nouveautés. Apprécier un bon moment ensemble À La Casa dell’Estelle, les clients viennent en amoureux, en famille, entre amis ou entre collaborateurs pour passer un moment convivial. La formule entrée-plat/plat-dessert à 28 € ou le menu complet à 34 € fonctionnent parfaitement pour les groupes. « Pour une meilleure gestion du temps, nous proposons, en entrée, l’assiette conviviale à partager qui se présente comme un assortiment de salades, d’entrées variées et de l’authentique foccacia, et ce concept est une idée originale pour mettre l’accent sur la convivialité, le partage et la communication entre les convives. » La salle est entièrement modulable pour être privatisée en toute occasion : une réunion de travail en petit groupe, une fête intimiste en famille ou une réception debout autour d’un buffet. La maison élabore avec les clients un menu spécial pour satisfaire au mieux leurs exigences. ...
La Maison Huguenot-Tassin a été créée en 1984 par Benoît et Marie-Claire Huguenot. Établie sur la commune de Celles-sur-Ource, elle travaille un vignoble d’une superficie totale de six hectares. Avec un sol à dominance argilo-calcaire, son terroir bénéficie d’un climat favorable « rappelant celui de la région champenoise et de la Bourgogne », nous fait savoir Édouard Huguenot le gérant du domaine. S’épanouir dans la viticulture raisonnée Trouver le juste équilibre entre la qualité de ses récoltes et le respect de l’environnement, telle est la devise de la Maison. Au moment du traitement du sol et à chacune des étapes de la production, elle cherche à intégrer au maximum ce concept. Depuis sa création, Huguenot-Tassin tient à perpétuer des méthodes de travail qui prennent en compte les impératifs écologiques. « On raisonne la nutrition de la vigne, on soigne le choix des produits utilisés pour la protection des végétales », explique Édouard Huguenot. Ce concept va encore plus loin car la maison applique la méthode prophylactique dans l’exploitation de ses vignes. Cette approche préventive vise à empêcher les apparitions des bioagresseurs ou à en minimiser l’effet. Et les résultats sont là : « On obtient une meilleure qualité des raisins, avec une belle maturité précoce », reprend Édouard Huguenot. Se soucier de la nature lui permet d’avoir une récolte plus saine pour des vins plus expressifs et équilibrés. Les spécialités de la Maison La cuvée Noire Spéciale, les Fioles, et la cuvée Tradition sont les incontournables de la Maison Huguenot-Tassin. La cuvée Noire Spéciale est composée spécialement des meilleurs pinots noirs. C’est l’excellence en termes de qualité des raisins, de goût et de finesse. Elle est élevée en cave jusqu’à dix ans afin d’obtenir une belle maturité. Les Fioles, en revanche, sont élaborées à partir de chardonnay et de pinot blanc. « L’idée est d’avoir un produit qui photographie l’histoire du terroir sur une année », justifie Édouard Huguenot. Elle se décline en Fioles rosées brut, recommandées pour l’apéritif et au moment de repas. La cuvée Tradition pour sa part se définit comme un champagne de fraîcheur et de gaieté. Le mélange de pinot noir et pinot blanc donne au produit un arôme exaltant et à la fois léger. ...
Entrepreneurs, salariés et particuliers peuvent faire appel à Sylvie Frémy pour les accompagner dans leurs projets professionnels, personnels ou améliorer leur santé. L’Ayurvéda : système complet de médecine traditionnelle reconnu par l’OMS Aujourd’hui, de plus en plus de personnes, en quête d’un véritable équilibre personnel, envisagent de se tourner vers les médecines non conventionnelles comme l’Ayurvéda, considérée comme la plus ancienne médecine holistique du monde. De par sa formation, le praticien en Ayurveda est à même de rééquilibrer la Nature de la personne. Sylvie Frémy, spécialisée dans ce domaine depuis 2008, propose 3 champs d’action. Le 1er volet se déroule en face à face au cabinet ou à domicile. Il réside en l’observation, la connaissance de la Nature doshique du client et de l’influence de son environnement à l’origine du déséquilibre. Elle transmet ainsi des messages précis ouvrant le chemin au rééquilibre et à l’éducation (dans le sens positif du terme) à une meilleure compréhension et écoute du corps. Elle aime aussi enseigner lors d’ateliers, conférences (à domicile, en CE) ou salons. Le 2e volet concerne l’harmonisation de la Nature psychique et/ou émotionnelle de la personne, en face à face ou à distance (tél. ou Skype). À ce titre, Sylvie Frémy explique qu’elle est une facilitatrice de la résolution des états émotionnels de son client, qui, dans l’amour de Soi, s’en libère et gagne en harmonie et liberté. Le client repart avec son flacon d’Elixirs Floraux. Enfin, le 3e volet concerne la méthode QHIA® en Physique Quantique. Elle permet à S. Frémy de restaurer peu à peu l’intégrité vibratoire de la personne (ou l’entreprise) qui retrouve son estime de Soi et son libre arbitre, altéré par des événements présents et des mémoires. Une fois installée, l’intégrité sera maintenue par la personne prenant soin de ses propres besoins. La finalité des 3 démarches est d’amener la personne à être de plus en plus Soi, à se recentrer dans son Être, à mieux décoder les influences de son environnement sur sa Nature et à surfer sur la vague pour accueillir les événements de sa Vie. Sylvie Frémy : Pharmacien biologiste Ph.D. et conseillère en Ayurvéda et Fleurs de Bach Sylvie Frémy, de formation Pharmacien biologiste, Ph.D., est devenue responsable qualité en entreprise de diagnostic in vitro où elle s’exerce au quotidien auprès de son entourage professionnel. En parallèle, elle est devenue Conseillère en Ayurvéda et en Fleurs de Bach. Poursuivant le chemin de retour sur Soi qu’elle propose à ses clients, elle détient les clés pour répondre parfaitement à leurs attentes. Aujourd’hui, elle met son savoir au service des particuliers ou entreprises pour leur permettre de mieux se connaitre, de gagner en intégrité afin d’accueillir sereinement tous les défis professionnels et personnels. ...
L’histoire des Servages débute en 1788 avec la construction de deux fermes d’alpage utilisées durant les périodes de pâturage d’altitude. Tombée sous le charme de ce paysage authentique, Armelle Linglin décide alors de transformer les lieux en un établissement hôtelier, où luxe, modernité et confort forment une belle harmonie. Un écrin situé aux pieds des pistes du Grand Massif, qui propose une table gastronomique délicate et gouteuse, fruit du savoir-faire de Pascal Flécheau, le maestro en cuisine. Saveurs d’ici et d’ailleurs C’est ici et nulle part ailleurs que cet ancien membre de l’équipe de France de ski veut couler des jours heureux. Armelle Linglin, avec l’aide de son époux, monte alors un projet de vie : celui de la réhabilitation de ces deux anciennes fermettes qu’ils métamorphoseront en un bel hôtel mettant en scène le luxe simple et montagnard. L’établissement 4 étoiles, qui se trouve près de Genève et de Chamonix Mont-Blanc dans la station des Carroz d’Araches, propose 10 chambres à la décoration chaleureuse et élégante. Ce lieu d’exception abrite l’un des meilleurs restaurants gastronomiques de la Haute-Savoie. Aux fourneaux : le chef Pascal Flécheau. Originaire des Rosiers-sur-Loire, il fait ses armes auprès des Meilleurs Ouvriers de France à l’instar d’Éric Pras et de Jean-Claude Garzia. Il y a 10 ans, il rejoint Les Servages d’Armelle, où il partage une cuisine soignée, actuelle et généreuse mettant en avant des produits de saison et de qualité. La carte concoctée par ce chef passionné évolue au fil du temps en fonction de la disponibilité des produits fournis par des agriculteurs locaux majoritairement biologiques. Côté poissons, vos palais s’émoustilleront avec un saint-pierre et des encornets grillés ou avec un homard, caviar « osciètre » bulgare, feuille végétale d’huitre. Côté viandes, vous vous laisserez bien évidemment tenter par un ris de veau poêlé avec son risotto de crozets faits par le chef au parmesan Reggiano et quelques morilles. Outre ces plats « haute couture », des spécialités savoyardes, des fondues, des raclettes et bien d’autres mets gourmands apportent un côté convivial à la carte, de quoi bien se requinquer après une journée à dévaler les pistes. Élégance à l’honneur L’intérieur du restaurant propose un cadre raffiné réalisé à partir du reste de bois de l’ancienne ferme. Authenticité et élégance, tels sont les qualificatifs qui nous viennent en tête devant cette subtile décoration. Les murs en pierres apparentes renforcent l’esprit campagnard, sans oublier la grande cheminée centrale autour de laquelle sont réparties les salles intimistes. Les grandes fenêtres donnent une vue imprenable sur les montagnes, ce qui permet de ne pas limiter l’expérience aux plaisirs des papilles mais aussi à ceux des pupilles. Les amoureux du grand air prendront place à l’extérieur, sur la terrasse exposée plein sud et située en bordure des pistes, d’où l’on admire le ballet des skieurs ou l’on contemple le massif préalpin des Aravis. En prolongement de cette terrasse, une véranda, donnant sur un magnifique paysage et où trône la rôtissoire, invite à la détente. Si l’envie vous en dit, des activités dédiées à la découverte des plaisirs de la montagne (ski, conduite sur glace, raquettes, motoneige, spa piscine fitness, chiens de traineau…) sont organisées. Décidément, aux Servages d’Armelle, tous vos sens sont sollicités. ...
Créé en 1986, l’Institut supérieur des arts appliqués (LISAA) est une école d’enseignement supérieur privé, reconnue par le ministère de la Culture et de la Communication. LISAA forme notamment des créateurs dans le domaine du design graphique, de l’architecture d’intérieur et du design, de la mode, de l’animation et des jeux vidéos. Elle propose des formations préparatoires en arts appliqués mais également des formations au niveau Bachelor et Mastère. Afin d’assurer un encadrement de qualité, toutes ces formations sont prodiguées par des professionnels en activité : artistes, architectes d’intérieur, designers… Une pédagogie adaptée aux besoins du marché de l'emploi LISAA privilégie un enseignement par projet, en partenariat avec des organisations publiques et privées. Ce travail en équipe permet aux étudiants de développer leurs compétences professionnelles et d'être opérationnels rapidement une fois sur le marché de l'emploi. Les écoles travaillent avec Carrefour, L'Oréal, Adagio, Orange, Made.com, Canal+, Sosh, Uniqlo, Givaudan, le festival d'animation de l'AFCA, WWF, Science & vie, le Théâtre du Rond-Point, le théâtre National de Strasbourg, le Petit Palais, le festival We Love Green... Pour compléter cette approche professionnelle, certaines formations sont proposées en alternance. Un réseau de plus de 5000 diplômés À travers l'excellence de ses formations et de ses résultats, l'école, qui accueille 3500 étudiants, fait aujourd'hui partie des écoles qui comptent sur la scène de l'enseignement des arts appliqués en France. Un classement dévoilé par le journal Le Monde (1er décembre 2017) la place parmi les 7 écoles d'arts appliqués privées les plus prestigieuses. LISAA est aussi la seule école à figurer dans le top 10 de tous les classements arts appliqués de l'Étudiant en 2018. Rien de surprenant lorsqu'on sait que de nombreux diplômés affichent de très beaux parcours professionnels comme René Richard, directeur artistique de Guy Laroche ou Xiang Fang Ye, co-fondateur de la marque Wasted mais bien d'autres encore : chef de produit maille chez Balenciaga, Architecture Project Manager chez Chaumet, webdesigner chez Publicis, Matte Painter chez Rodeo FX, 3D Generalist chez BUF company... ou encore des créateurs d'entreprise. Des implantations en France et à l'international LISAA est présente dans 6 grandes villes françaises : Paris, Rennes, Strasbourg, Nantes, Bordeaux et Toulouse, qui a rejoint le réseau en septembre 2018. L'école est aussi implantée à l'international puisqu'elle dispose, depuis 2010 d'un campus en Inde (Bangalore) depuis 2016, un campus en Chine, dans la ville de Suzhou. ...
Il paraît difficile de passer à côté de cette enseigne tant son architecture interpelle le regard. Aménagé dans une ancienne cour et « greffé » entre deux immeubles, l’établissement est formé par une structure de verre et d’acier avec une devanture entièrement vitrée. À l’intérieur, les convives apprécient une belle hauteur sous plafond qui donne l’impression d’un lieu d’exception. La configuration se prête idéalement au jeu des suspensions luminaires apportant au passage un design très épuré. Les invités baignent dans une ambiance conviviale et décontractée. Pour finir sur une touche insolite, une cuisine partiellement vitrée offrant aux invités le ballet des cuisiniers virevoltant aux fourneaux. Une cuisine italienne de qualité Avec l’arrivée d’une nouvelle direction, il souffle un vent de renouveau à la Brasserie da Matteo ! Et cela se sent surtout en cuisine. « Depuis la reprise de l’établissement, il y a de cela un an, la direction a voulu proposer une cuisine italienne de qualité axée sur la fraîcheur des produits », explique l’équipe. Ainsi, la carte change tous les trois mois en fonction des produits du marché. Pour commencer, les invités auront à choisir entre une entrée chaude ou froide. Chez Matteo, les antipasti sont toujours très appréciés. La tomate et mozzarella di Bufala, le jambon cru de Parme ou encore la salade composée font le bonheur des fins gourmets. En plat principal, le chef suggère un délicieux filet de turbot avec sa sauce au salsifis et fregola sarda, un incontournable de la maison. Pour les plus gourmands, la côte de veau milanaise promet des moments de pur délice. Pour terminer comme il se doit cette escapade culinaire italienne, les douceurs de Matteo régalent petits et grands. Entre le moelleux chocolat avec sa crème de mascarpone vanillée, le cheese-cake au caramel beurre salé ou le tiramisu classique, le choix est vite fait ! Côté vin, l’établissement possède une carte très riche qui met à l’honneur les vins italiens et français. En tout, une centaine de références qui ravira les plus fins connaisseurs. ...
Le fromage de chèvre Charolais a déjà un long passé puisqu’il est produit depuis le XVIe siècle comme l’attestent certains écrits. À cette époque, il était fabriqué par une population d’ouvriers agricoles et il prenait une large place dans l’alimentation des paysans. Après avoir bénéficié de l’appellation d’origine contrôlée, en 2010, il a obtenu le label AOP depuis 2014. Aujourd’hui, avec toujours le même savoir-faire, les producteurs doivent suivre à la lettre un cahier des charges précis et exigeant. Les règles mises en place sont respectueuses de l’animal et de l’environnement. Les chèvres doivent soit pâturer, soit fourrager au vert au minimum 160 jours. L’alimentation peut être complétée par du foin ou des céréales, produits sur place. Sont interdits tous les produits OGM, tout ensilage et tout fourrage fermenté. Les caractéristiques Le fromage de chèvre AOP Charolais est confectionné à partir de lait cru frais, sur la base d’un caillé de type lactique. Il est moulé à la louche dans un moule cylindrique puis égoutté. Légèrement salé, il est démoulé puis posé sur des grilles. Il est ensuite retourné manuellement deux fois par jour. Son délai minimal d’affinage doit être de seize jours. Il se couvre progressivement de penicillium. C’est cette couverture bleutée qui caractérise, entre autres, le fromage Charolais. Il se présente comme un cylindre d’une hauteur de 7,5 cm. Il pèse entre 250 et 320 grammes. Il faut environ 2 litres de lait pour fabriquer un seul fromage. Le fromage de chèvre Charolais a un goût doux et subtil avec des notes végétales (noix, noisettes ou herbes coupées). Il est souvent consommé frais et moelleux mais il peut être conservé jusqu’à six mois pour offrir une texture plus sèche et un goût plus affirmé. Il peut également être utilisé dans de nombreuses recettes de cuisine. Il est très apprécié aux quatre coins de l’Hexagone, mais sa notoriété a depuis longtemps dépassé les frontières puisqu’il s’exporte jusqu’au Canada ou au Japon. ...