Propriété vitivinicole depuis 1935, le Château du Cléray s’est transmis de génération en génération dans la famille Sauvion. Avec ses vieilles caves voutées, celui-ci compte parmi les plus anciennes propriétés du Pays Nantais. Aujourd’hui, c’est au tour de Pierre-Jean Sauvion, 4e génération, de s’atteler à la tâche et de façonner les vins de la maison. Honneur au muscadet Depuis sa création, le domaine a mis tout en œuvre pour donner au cépage Melon de Bourgogne ses lettres de noblesse. « C’est tout simplement l’un des plus grands cépages blancs au monde et il pousse uniquement dans notre région », explique Pierre-Jean Sauvion, œnologue et directeur technique. Ceci expliquant cela, le Melon de Bourgogne occupe aujourd’hui les deux tiers de l’encépagement de ce vignoble de 100 ha. Le reste se compose de chardonnay, de sauvignon et de folle-blanche (le cépage du gros plant). Les vignes du domaine sont plantées sur un sol silico-argileux, traversé par une veine de schiste qui apporte aux vins une complexité aromatique avec une belle minéralité accompagnée d’une touche saline. « De cette typicité naissent des vins avec une expression plus tardive. » Respect de la vigne et de la Nature Le domaine adopte des pratiques culturales qui respectent la Nature et s'est donc tout naturellement engagé dans une certification HVE (Haute Valeur Environnementale.) « Mon outil de travail, c’est la vigne. Donc je fais tout pour la préserver afin de la léguer un jour aux générations futures », plaide notre interlocuteur. Cependant, pour Pierre-Jean Sauvion, la démarche importe peu, qu’elle soit biologique, raisonnée ou organique. Pour lui, l’objectif reste le même : faire en sorte d’obtenir une qualité optimale. Et cette recherche de la qualité commence dans les vignes. « Nous sommes à l’écoute de la Nature. Et en fonction de cela, nous faisons ce qui est le mieux pour nos vignes. » Côté vinification, le domaine suit un schéma classique. Cependant, toutes les opérations sont effectuées sous gaz inerte pour éviter l’oxydation. Des façonneurs de plaisir Apporter du plaisir et le partager aux autres. C’est en quelque sorte la philosophie qui a animé la famille Sauvion depuis maintenant 4 générations. Ainsi, elle se définit volontiers comme « des façonneurs de plaisir », qui, chaque année, se plait à présenter de nouvelles saveurs aux œnophiles. Parmi les références de la maison, la gamme haute culture mérite une attention particulière. Issues des meilleurs terroirs et des vieilles vignes de la propriété, ces cuvées représentent le summum du savoir-faire du Château du Cléray. À commencer par le « Muscadet Sèvre et Maine sur Lie 2017 Château de Cléray » ! Un 100 % muscadet qui exhale des arômes de citron, de tilleul, de menthe et de pomme verte. En bouche, on retrouve une grande fraîcheur et une belle finesse. Ce vin accompagnera parfaitement un plateau de fruits de mer ou une mousseline de Saint-Jacques. ...
Constituée de bénévoles œuvrant pour la promotion du vignoble champenois de la côte des Bar, l’association CAP’C invite le grand public à découvrir le secteur viticole de la vallée de la Sarce dans le cadre de cette nouvelle édition de La route de la champagne en fête. Cinq communes participeront à l’événement à savoir Channes, Bragelogne-Beauvoir, Bagneux-La-Fosse, Avirey-Lingey et Balnot-sur-Laignes. Touristes, amateurs ou professionnels du vin auront ainsi l’occasion de rencontrer les vignerons locaux et déguster leurs cuvées. La vallée de la Sarce : à la découverte d’un nouveau secteur viticole Considéré comme le plus important événement de la côte des Bar et du département de l’Aube, La route du champagne reçoit plus de 30 000 visiteurs chaque année, passionnés et professionnels. Durant ce week-end exceptionnel, de nombreux vignerons ouvriront leurs portes pour permettre aux invités de déguster différentes cuvées, découvrir le métier de vigneron, visiter les caves et en apprendre davantage sur les secrets du Champagne. Les municipalités et les associations locales organiseront aussi différentes animations : soirées dansantes, concerts, formation musicale, exposition d’artisanat local, restauration… Les habitants des différents villages se mobilisent pour décorer les rues. De la jachère fleurie sillonnera le bord de la route de la vallée de la Sarce afin de mettre en valeur ce terroir Champenois classé au patrimoine mondiale de l'UNESCO et de sensibiliser les visiteurs à la préservation de la biodiversité. Chaque visiteur doit par ailleurs, se munir de la flûte-passeport pour accéder au festival. Pour 25€, vous disposerez de la flûte, du porte-flûte, du carnet de dégustation et d'un éthylotest. Les tickets-pass sont déjà en prévente sur le site de CAP'C (Lien). Une journée dédiée aux professionnels Pour promouvoir cet événement, CAP’C prévoit une journée exceptionnelle réservée aux professionnels dans le cadre du Printemps des Champagnes à Reims. Elle se déroulera le 26 avril au Cercle Colbert et accueillera sommelier, cavistes importateurs et journalistes. Au programme : dégustation et présentation des différentes activités viticoles. ...
Un vignoble, trois terroirs Ce vignoble de 35 ha est réparti sur les communes de Cairanne, de Rasteau et de Violes. Sur ces trois terroirs différents sont plantés les cépages grenache, mourvèdre, syrah pour les rouges, suivis par la roussanne et la clairette pour les blancs. Depuis plusieurs années, le domaine opte pour des pratiques culturales respectueuses de la Nature. Ici, aucun insecticide ni herbicides ne sont tolérés. Pour l’année 2019, Laure Couturier n’exclut pas une conversion en bio. Des vins de qualité Le Domaine Rabasse Charavin confectionne 13 cuvées différentes partagées entre rouges, blancs et rosé, allant du vin de soif, Ribouldingue, aux cuvées de garde comme les cuvées d'Estevenas et Abel Charavin élaborées avec les plus vieilles vignes. ...
L’essor de l’intelligence artificielle (IA) L’intelligence artificielle est de plus en plus présente dans la réalité quotidienne. Face aux enjeux que cela représente au niveau de l’économie et de la société, la France s’est positionnée en leader en lançant un plan de 1,5 milliard d’euros destiné à retenir et attirer les meilleurs chercheurs autour de cette technologie. Les usages potentiels et les domaines d’application de l’intelligence artificielle sont infinis. Les entreprises ont compris qu’elles ont là une opportunité unique de pouvoir mieux répondre aux besoins des consommateurs. C’est pour cela qu’EPTICA a choisi d’investir très tôt dans l’intelligence artificielle. Spécialisé dans les solutions conversationnelles pour l’expérience client digitale, EPTICA a développé « une intelligence artificielle hybride qui mélange le Traitement Automatique du Langage Naturel, le Machine Learning et le Text Analytics », explique Anne-Claire Bellec, directrice marketing et communication. Grâce à son moteur, EPTICA parvient ainsi à automatiser un maximum de conversations via les dispositifs de self-service et de chatbots, permettant aux entreprises de désengorger leur service client. De plus, « sur tous les canaux nécessitant une intervention humaine (réseaux sociaux, email, chat, etc), nos machines automatisent également un maximum de tâches. Elles fournissent des suggestions de réponses automatiques ainsi que les éléments de contexte clients qui aident les agents à se concentrer sur la relation et à personnaliser les conversations », ajoute Anne-Claire Bellec. Mais ce spécialiste de l’IA pour la relation client ne se contente pas d’automatiser les conversations digitales. Le groupe a lancé récemment vecko, une nouvelle solution capable d’analyser en continu les flux de conversations sur l’intégralité des canaux et d’en extraire des informations directement actionnables. vecko ouvre la voie de l’intelligence client. vecko, une solution pour améliorer l’expérience client La simple connaissance client n’est plus suffisante pour développer et pérenniser un business. Or, la plupart des entreprises se contentent de se fier à des enquêtes de satisfaction réalisées la plupart du temps par des instituts de sondage. Le problème est que les résultats obtenus ne donnent qu’une vague idée des causes pouvant être à l’origine des irritants ou des sources de satisfaction des clients. Afin de comprendre véritablement la psychologie et les ressentis des clients, il est nécessaire d’aller au-delà de cette connaissance client. Et pour cela, EPTICA a mis au point une technologie qui extrait en temps réel la valeur des conversations, et met à jour les véritables motifs de satisfaction ou d'insatisfaction. S’appuyant sur l’IA hybride d’EPTICA, vecko analyse toute la “voix du client” permettant de comprendre à la fois le client et son parcours. La solution présente une particularité : sa capacité à analyser finement les conversations avec une granularité qui identifie de manière fiable tous les irritants, tous les motifs d’insatisfaction ainsi que les émotions des clients. Sur ce point, il faut savoir que seuls 10 % des entreprises sont en mesure d’analyser les émotions. vecko est l’unique solution du marché français qui fournit l’ensemble de ces services aux marques. À partir des données obtenues, il génère des tableaux de bord personnalisables par métier. « Notre ambition c’est que tout le monde dans l’entreprise, utilise vecko et que chaque département (marketing, commercial, e-commerce, fidélisation, service clients, etc.) bénéficie à son niveau de l’intelligence client », précise Anne-Claire Bellec. Un plan d’action peut ensuite être mis en place pour actionner des changements sur l’ensemble du parcours client. L’amélioration de l’expérience client constitue un enjeu de taille pour les entreprises dans la mesure où cela impacte directement leurs résultats financiers. En adoptant la solution vecko, les entreprises parviennent rapidement à générer un ROI calculable très simplement. En effet, une expérience positive va inévit...
Grâce à son expertise, MonsieurGourmand.com est en mesure d’intervenir sur des événements synchrones ou asynchrones (sur des tournées) tout en proposant le même niveau de prestation partout en France. Les débuts de MonsieurGourmand.com Le concept est venu d’un projet de fin d’études en école de commerce réalisé par Nathan Hallouin en 2013. La thématique abordée s’articulait alors autour de la livraison de produits traiteur partout en France. Très vite, Nathan est parvenu à dénicher un partenaire dans la distribution de ces produits. Cette première collaboration lui a permis, au début, de s’adresser à différents types de marchés, comme les particuliers, mais aussi les associations, qui préféraient commander des repas de groupe. 2015 marque un tournant dans la vie de l’entreprise. Nathan reçoit une demande particulière de la part d’un client professionnel qui sollicite une livraison asynchrone dans 55 villes de France. Initialement dédié aux particuliers, MonsieurGourmand.com va se tourner uniquement vers les grands comptes, qui se trouvent confrontés à des problématiques traiteur, celles-ci pouvant être multisites ou itinérantes. Le fonctionnement de l’entreprise Agissant comme un véritable logisticien traiteur, MonsieurGourmand.com sélectionne des fournisseurs auprès desquels il va s’approvisionner en produits prêts à l’emploi. C’est sur la base de ces produits que l’entreprise élabore des offres sur mesure en fonction des commandes et des besoins spécifiques de ses clients. « Si vous êtes une enseigne de cosmétique et que vous faites le lancement d’un nouveau parfum, nous pouvons réaliser une prestation traiteur qui va rappeler ce parfum », nous fait savoir Nathan Hallouin, le fondateur. Côté livraison, MonsieurGourmand.com a recours aux services de Chronopost Food, pour une livraison express partout en France en température contrôlée. Cela vaut tant pour les grandes villes que pour les communes les moins connues. Des prestations et des offres uniques Quel que soit le type d’événement organisé par un client professionnel (vente privée, lancement d’un nouveau produit, soirée VIP…), MonsieurGourmand.com est capable de livrer sur plusieurs sites et en même temps. Concernant les événements asynchrones (tournée ou roadshow dans l’Hexagone), l’entreprise peut accompagner le client en assurant un service traiteur itinérant selon les dates et les arrêts prévus. Sur ce point, Sothys, Kinedo, Cache Cache ou encore Vinci figurent entre autres parmi les clients prestigieux qui ont fait confiance à MonsieurGourmand.com pour leur gestion traiteur. Pour ce qui est du produit, MonsieurGourmand.com s’engage à sélectionner ce qu’il y a de meilleur dans le but de satisfaire les besoins de ses clients. Les offres de l’entreprise comprennent un petit-déjeuner établi autour d’une sélection de mignardises (madeleines, muffins, cakes…), des brochettes de fruits de saison et des laitages gourmands. Pour les cocktails, MonsieurGourmand.com suggère des canapés classiques et originaux. En ce qui concerne le buffet, charcuterie, mini casse-croûte, salades, fromages et desserts constituent la base des plateaux servis. Enfin, côté boisson, les clients auront l’embarras du choix, entre les champagnes, vins et jus de fruits, mais également des breuvages plus spécifiques (jus de légumes, aloé véra, smoothies...). Vous ne trouvez pas votre bonheur dans les prestations proposées ? Le métier de MonsieurGourmand.com consiste à vous dénicher les meilleurs produits selon vos besoins, alors parlez leur de votre projet ! ...
Depuis 1870, la même passion pour le goût du vrai anime cette enseigne jalouse des traditions. Implantée dans le même village du Pilat, en Rhône-Alpes, elle a construit sa renommée autour de la fabrication de saucissons secs. Le secret de sa longévité ? La fidélité à une recette authentique, rendue par une qualité contrôlée du porc, mais surtout un affinage à l’air pur du terroir. Un savoir-faire traditionnel optimisé par des outils modernes Maison Duculty, la marque des Salaisons du Mont Pilat, appartient à la famille éponyme depuis cinq générations. Cette entreprise de taille humaine composée d'une quinzaine d'employés est un vivier de talents qui ont su se transmettre le savoir-faire inauguré par leurs aïeux en respectant l’essence des traditions, tout en intégrant les normes modernes. L’affinage des produits est maintenu à l’ancienne, s’opérant dans des séchoirs sur des barres en bois. Résultat : l’inégalable goût des saucissons de la marque, provenant de la fleur naturelle qui se dépose sur le boyau. L’air naturel et l’ensoleillement du site où cet art se perpétue participent à affirmer cette saveur dans des produits également reconnaissables à un contour tirant sur le verdâtre. Outre les six saucissons secs qui signent le label, la marque est désormais associée à des gammes de pièces de porc séchées, de saucisses et de jésus, entre autres. Des références accessibles dans les rayons du magasin physique, des deux boutiques en ligne portant les couleurs de la maison ainsi qu'auprès de son réseau de revendeurs professionnels des métiers de bouche (cavistes, épiceries fines, bars à vins, restaurants, etc.). ...
C’est en remontant à ses origines que Jean-Sébastien Robicquet, fondateur de la maison, découvre l’histoire oubliée de ses ascendants, notamment Jehan Robicquet, artisan passionné, attaché à sa terre d’accueil, à savoir la région charentaise qui lui ouvre ses portes vers la fin du XVe siècle. Pelletiers ou orfèvres, ses ancêtres ont développé le goût pour la perfection jusqu’à s’accorder les faveurs d’une royauté friande de produits d’exception. C’est ainsi en s’inspirant de cette forte identité retrouvée qu’il fonde son entreprise, « une société engagée dans sa ville et dans sa région et dont les racines remontent au temps de François Ier », nous raconte Jean-Sébastien Robicquet, Président-Fondateur. Une épopée moderne peu conventionnelle animée par le respect et une vraie quête de l’excellence. Des spiritueux uniques à l’authenticité retrouvée Œnologue de formation, Jean-Sébastien Robicquet a souhaité créer une gamme de spiritueux premium au goût historique du terroir. C’est alors qu’il décide de fonder une société axée sur cet objectif en proposant des produits singuliers, inspirés de leurs terres et uniquement à base de raisin. En effet, « dans mon optique d’offrir des spiritueux haut de gamme, j’ai souhaité utiliser exclusivement le plus noble de tous les produits, à savoir le raisin » explique Jean-Sébastien Robicquet. Cognac, Gin, Vodka ou liqueurs sont ainsi élaborés à partir de cette matière noble illustrant parfaitement l’art de vivre à la française. Raisins ou fleurs de vignes sont ici travaillés avec soin afin d’obtenir des spiritueux au goût unique, aux saveurs authentiques et figurant parmi les meilleurs de leur catégorie et, ce, à l’échelle mondiale. Les produits ambassadeurs de la maison Parmi les fleurons de la gamme se trouve la vodka Cîroc - réputée pour sa fraîcheur - créée pour et avec Diageo, le leader mondial des spiritueux. Toujours dans cette gamme premium, G’Vine s’illustre élégamment dans le Top 3 mondial des meilleurs gins super-premium. Grâce à un mariage harmonieux entre le raisin et la fleur de vigne, G’Vine innove par sa rondeur exquise et sa fougueuse délicatesse, faisant de ce spiritueux le précurseur prestigieux du gin super-premium. Enfin, parmi les ambassadeurs de la maison, La Quintinye Vermouth Royal est élaborée afin de « rendre hommage au jardinier botaniste de Louis XIV, Jean-Baptiste de la Quintinye, chargé de réaliser le jardin botanique du fastueux Château de Versailles », continue-t-il. C’est dans cet esprit d’agronome que ce vermouth, composé d’infusions de plantes et de Pineau des Charentes, fut récompensé en 2016 par The Ultimate Spirits Challenge de Paul Pacult du prix du meilleur vermouth français du monde. Maison Villevert propose une liqueur, June, élaborée à base de fleurs de vigne. En Juin, lorsque le soleil réchauffe la terre, ces éphémères fleurs sont récoltées à la main dans les vignobles de France, puis distillées pour en extraire leurs arômes exaltants et captivants. La fleur de Merlot apportera des arômes de fraise des bois, celle de Cabernet Sauvignon la framboise, la fraise et la violette et celle du cépage Ugni Blanc, des notes de poire, de fruits exotiques et de fleurs blanches. Maison Villevert propose aussi une Tequilla, Excellia vieillie en fûts ayant contenus du Sauterne Grand Cru ou du Cognac. Enfin, également viticulteur et bouilleur de cru, Maison Villevert propose une collection - La Guilde du Cognac – destinée à (re)découvrir ce produit en dégustant des cognacs de villages et de bouilleurs de cru. La Guilde offre ainsi un véritable voyage olfactif, gustatif et émotionnel, à travers quatre petits trésors jusque-là cachés provenant de quatre crus du terroir du Cognac. ...
Depuis 5 générations, le domaine Espérou travaille avec passion son terroir où s’épanouissent des cépages de Carignan, de Syrah ou de Grenache. Cécile Bonnafous est aujourd’hui seule à sa tête, accompagnée par son époux, Eddy Bonnafous, pour la partie commerciale et quelques saisonniers occasionnels. L’attachement au sol familial, aux paysages alentours est à l’origine de cette vocation. Une production responsable pour un fruit sublimé Le vignoble, déjà engagé dans la culture raisonnée, tend aujourd’hui vers le bio. Un travail manuel est préservé, notamment par respect des vieux pieds de Carignan du terroir, âgés de 80 ans pour certains. Ce respect envers la nature, les deux belles cuvées du domaine le rendent bien. Corbière rouge ou Corbière Boutenac, l’un aux notes de fruits murs, l’autre aux notes de fruits cuits, allient finesse, profondeur et fraîcheur. Les précieuses bouteilles sont en vente directe au domaine mais se trouvent aussi dans des restaurants, chez des cavistes de plusieurs régions et dans les commerces de proximité. Savoir-faire, patience et passion figurent parmi les saveurs au rendez-vous. ...
Julien Favre, porteur du projet, est parti du constat que trouver une formule d’assurance pour sa maison, sa voiture ou son voyage relève d’une démarche complexe et fastidieuse. Il a su exploiter efficacement l’émergence des leviers numériques pour centraliser et trier toutes les solutions d’assurance et les mettre à disposition des internautes. Optimiser la recherche d’un service d’assurance en la réduisant à quelques clics est ainsi au cœur de l’innovation d’Assur.com. Un concept à dimension technologique « Notre technologie permet d’accompagner les internautes dans leur recherche d’assurance qui convient le mieux à leurs besoins » introduit Mona Saidi, marketing manager du projet. Cette technologie prend forme via un moteur de recherche interne, une interface intuitive et un système de QCM simple. Derrière, un algorithme performant identifie, sélectionne et centralise toutes les réponses qui correspondent au mot-clé parmi les produits référencés sur la plateforme. Ceux-ci sont regroupés par catégorie : santé, habitation, voyage, véhicule, prévoyance, assurance professionnelle et divers pour les demandes plus spécifiques. Contrairement aux autres portails, Assur.com oriente sa démarche vers une approche centrée client en proposant un service beaucoup plus instantané, simplifié et impartial. En effet, la recherche ne requiert ni remplissage de formulaires ni données personnelles et les résultats affichés redirigent directement vers le site de l’assureur sans qu’il y ait transaction directe sur la plateforme. « Le service est résolument à caractère informatif que commercial, nous ne souhaitons pas influencer la décision d’achat des utilisateurs » précise l’équipe. Améliorer l’expérience client Le site est conçu de façon à donner un confort de navigation optimale : user-friendly, fluide et sans intrusion. Sur ce même principe, les assureurs sont encouragés à proposer un site web attractif et ergonomique qui offre la possibilité d’une souscription online en quelques secondes. Dans son axe de développement, Assur.com cherche à affiner son algorithme, de sorte qu’il devienne une technologie autonome, capable de prendre en charge automatiquement les mises à jour. Pour cela, Julien Favre et son équipe envisagent d’intégrer d’autres framework d’intelligence artificielle comme Scrapping ou Semantic Analysis. En parallèle, ils travaillent également sur de nouveaux partenariats afin de couvrir tous les segments d’assurance sur le marché français. À plus long terme, le projet aspire à percer le marché européen et américain. ...
Depuis le XVIe siècle, ce regroupement de professionnels passionnés par le vin, la plus vieille confrérie vinicole de France, s’attelle à valoriser le patrimoine vinicole de la région alsacienne dans son intégralité. L’authenticité trouve ici son essence au travers de manifestations organisées dans un château emblématique, siège de la confrérie et symbole de l’éternelle renommée des vins d’Alsace. Dédiés aux professionnels, mais accessibles au grand public, ces événements, appelés « chapitres », sont un hommage au savoir-faire ancestral et au talent des viticulteurs qui travaillent d’arrache-pied pour mettre le meilleur du terroir en bouteille. Mis à part ces manifestations séculaires, la confrérie Saint-Étienne organise des événements d’entreprise toujours axés sur la richesse vinicole régionale dont elle est la fière ambassadrice. L’excellence au service du vin Depuis des siècles, la confrérie s’est donné pour mission de promouvoir le vin d’Alsace en misant sur leur aspect qualitatif. C’est pourquoi un concours, le Sigille des vins d’Alsace, est organisé deux fois par an au cœur de la région, dans le château de la confrérie de Saint-Étienne. « À l’issue de ce concours très exigeant, les vins dégustés à l’aveugle, répondant aux critères de qualité intrinsèque et de typicité, reçoivent une distinction : le Sigille. Tirant ses origines du latin signifiant "sceau", le Sigille est un gage de qualité et d’authenticité pour les vins qui en sont récompensés », nous explique Éric Fargeas, membre de la confrérie. Une fois l’estampille de cette dernière apposée sur la bouteille, le vin vient figurer dans le palmarès de la confrérie et rejoint une œnothèque riche de plus de 60 000 références. Idéale pour immerger ses collaborateurs ou ses clients dans le monde du vin, cette œnothèque, se trouvant dans une cave aménagée dans le château, figure parmi les vestiges intemporels de l’art du vin alsacien, avec des millésimes datant, pour certains, du milieu du XIXe siècle. Mis à part ce concours, les fameux « chapitres » sont l’occasion de découvrir le riche panel de choix que la région a à offrir en matière de vins. Chaque chapitre est une opportunité de découvrir les traditions vinicoles du terroir, mais également celles de la confrérie de Saint-Étienne. Intronisations, animations vinicoles ou dîners de gala y célèbrent les vins du pays. Pour des événements d’entreprise couronnés de succès C’est dans un château datant du XVIe siècle, haut lieu de la viticulture, que votre événement aura lieu, sous les auspices de l’authenticité et du charme alsacien. Les salles et les aménagements de cette bâtisse rustique pourront accueillir des manifestations d’entreprise de toute taille : boutiques éphémères, incentive, séminaires, minisalons, team-building ou réunions d’affaires. « À la pointe de la technologie, avec des salles équipées de wifi et un parc technique innovant, le château vous ouvre ses portes avec un brin de modernité tout en gardant le cachet d’un bâtiment qui date de 1560 », continue Éric Fargeas. Les ateliers ou séminaires autour du vin qui y seront organisés seront suivis d’activités ludiques, à l’instar de séances de tir à l’arc, de ballon captif et bien d’autres encore. Découvrez également les divers ateliers proposés chaque année par la confrérie, pour ne citer que les ateliers d’initiation au vin, ceux dédiés aux accords mets-vin ou ceux intitulés « vins d’Alsace et saveurs de l’Inde », à découvrir… ...
Dans un décor lumineux à l’ambiance intimiste et chaleureuse, L’Envergure est très certainement « le restaurant qui possède la plus belle vue de Chamonix », précise Louise Lahiani, la directrice. Il offre surtout une belle découverte culinaire à travers une cuisine préparée selon les inspirations d’un chef créatif. L’Envergure privilégie « les produits de saison 100 % frais, sans aucun produit surgelé », souligne Louise Lahiani. Dans un voyage gustatif aux saveurs inattendues dont il a le secret, le chef aime surprendre avec ses plats mariant saveurs du Sud et produits savoyards. Une cuisine pleine de fraicheur Le restaurant du Best Western Plus Excelsior Chamonix Hôtel & Spa s’adresse à tous ceux qui souhaitent se laisser surprendre par une cuisine généreuse et raffinée. « De belles déclinaisons de couleurs, de formes et de volumes les attendent », nous souffle la directrice. L’établissement travaille dans la mesure du possible avec « des producteurs locaux tout autour de la Haute-Savoie », renchérit-elle. Une assurance pour les clients de gouter à des produits 100 % frais. Une cave à vins aux accents régionaux Le restaurant L’Envergure est particulièrement apprécié pour la diversité de sa carte des vins, qui « va de tarifs accessibles à des vins plus renommés », à travers diverses régions de France. Un soin tout particulier est porté sur le conseil pour offrir aux clients les meilleurs accords mets et vins. Des formules adaptées aux besoins des clients Le restaurant L’Envergure sait également s’adapter aux besoins de ses convives en proposant « une formule midi à 21 € avec entrée/plat ou plat/dessert et, le soir, une formule à 29 € avec la suggestion du jour », explique Louise Lahiani. Il offre également des plats-signatures comme la canette fumée, un plat qui fait la renommée de la maison et qui est réclamé le plus souvent par les habitués. ...
Deux réalités ont poussé Guy Grenier à créer la société Normandy Vitamine C : la dégradation de la qualité de notre alimentation quotidienne et l’absence d’efficience informationnelle en matière de compléments alimentaires. La vision du fondateur est ainsi orientée sur ces deux points : offrir des produits naturels et efficaces à un prix accessible à tous et déployer des moyens pour communiquer autour de ces produits. Forger une expertise autour d’un réseau La société se trouve dans une position intermédiaire entre les laboratoires et les consommateurs. « Notre cœur du métier consiste à faire fabriquer des compléments alimentaires et effectuer une sélection de produits en amont pour garantir qualité et sécurité à nos clients. », explique le fondateur. Fort de ces treize années d’expérience, il a pu développer un réseau fiable autour de lui, constitué de fournisseurs d’ingrédients, d’industriels, de façonniers et de fabricants. Un réseau qui repose sur le professionnalisme et le sérieux, mais aussi sur des valeurs humaines qui prônent le sens de l’éthique, la transparence et l’esprit d’ouverture. « Il est primordial autant pour nous que pour les clients de savoir exactement quels sont les composants de tel ou tel produit, d’où ils viennent et comment ils sont fabriqués ». Ainsi, avant de lancer officiellement un produit, l’équipe engage une démarche de base qui consiste à tester la formule et à l’ajuster au fur et à mesure en fonction des témoignages des clients-utilisateurs. En même temps, Normandy Vitamine C assure son rôle de vecteur d’informations auprès de ses cibles, aussi bien à travers les étiquettes, les tracts que l’édition d’ouvrage. À terme, ces actions de communication s’intéressent au domaine de la santé, du bien-être et de la thérapie en général. Les produits phares L’offre développée par Normandy Vitamine C et ses partenaires privilégiés révèle les bienfaits de la vitamine C pour notre organisme. Ce complément alimentaire aux rôles multiples semble être une solution pertinente pour rétablir l’équilibre du système digestif et renforcer le système immunitaire. À la fois antioxydante et anti-âge, la vitamine C aide à éliminer les toxines et à régénérer les cellules mortes afin de revitaliser l’organisme. La gamme Normandy Vitamine C se décline en trois types de produits, classés selon leurs caractéristiques spécifiques : la vitamine C naturelle à base d’acérola, la vitamine C bio certifiée AB, et la vitamine C mixte combinant composant naturel et de synthèse obtenue par processus naturel. Sous forme de comprimés, en poudre, en gélules ou en format liquide adapté à ceux qui souffrent de reflux gastro-œsophagien, elles présentent toutes la même efficacité avec un temps de réponse légèrement varié. « Nous accompagnons nos clients dans leur choix en fonction de leur pathologie et de leurs besoins personnels », reprend Guy Grenier pour attester de sa volonté de satisfaire convenablement chaque consommateur. En outre, d’autres produits destinés à une utilisation en cure viennent compléter les produits commercialisés par la société. Ce sont principalement le Regulat pour rétablir l’équilibre enzymatique, le Quinton, le Colo Hygiena recommandé particulièrement pour régénérer et rééquilibrer le système digestif et l’Aklamath. ...
Un accord national interprofessionnel à la fin de l’année 2013, une loi le 5 mars 2014… voici maintenant venu le temps d’appliquer les nouveaux dispositifs de la formation professionnelle. Ces nouvelles mesures, portées et soutenus par la CFDT ont un double objectif : sécuriser le parcours professionnel des salariés et des demandeurs d’emploi avec une meilleure formation et qualification ; renforcer le développement et la compétitivité des entreprises. Des nouveautés avec trois dispositifs Parmi les nouveautés, trois dispositifs sont notamment intéressants pour le grand public. Le Compte Personnel de Formation : jusqu’à 150 heures de formation Le Compte Personnel de Formation : remplace le Droit individuel à la formation (DIF), lancé en 2009, mais qui a été un échec. Alors que le DIF se limitait à 120 heures de formation, le CPF peut monter jusqu’à 150 (à raison de 24h de crédit d’activité professionnelle par an). Et surtout, ces heures peuvent être intégrées et compléter une formation plus longue. Le Compte Personnel de Formation, dont chacun bénéficie depuis le 1er janvier 2015, réalise de bons débuts dans la région Occitanie. 41 000 personnes en ont déjà profité, dont 35 000 demandeurs d’emploi et 6 000 salariés. La grande majorité des bénéficiaires (25 000 personnes) sont aujourd’hui les 26-49 ans. La durée moyenne de formation est de 186 heures pour les salariés et 520 heures pour les demandeurs d’emploi. Le conseil en évolution professionnelle : vous vous interrogez sur votre avenir au sein de votre entreprise ? Sur votre réorientation de carrière ? Un nouveau dispositif émerge avec cette loi : le conseil en évolution professionnelle. Chaque salarié et demandeur d’emploi a un accès gratuit à du conseil, effectué par un opérateur désigné (APEC, Pôle Emploi, Missions locales, Cap Emploi et Fongecif). Ce conseil est réalisé en trois étapes : la première est plus généraliste, la seconde affine le projet tandis que la troisième cible une formation. Se former tout au long de la vie professionnelle L’entretien professionnel tous les deux ans : jusqu’en 2014, l’entreprise était présumée avoir rempli ses responsabilités en justifiant annuellement avoir dépensé au moins 0,9% de sa masse salariale annuelle brute pour des actions de formation. Cela évolue. Les employeurs sont tenus de s’entretenir tous les deux ans avec leurs salariés. Désormais, l’entreprise devra faire un état des lieux individuel tous les six ans : a-t-elle proposé une action ou formation qualifiante au salarié ? Le salarié a-t-il progressé en terme de salaire ou de poste ? A-t-il obtenu une certification ? Si deux des trois items ne sont pas respectés, l’entreprise sera pénalisée. La gouvernance évolue aussi La formation professionnelle a également connu des modifications dans sa gouvernance. Le COPAREF (Comité paritaire interprofessionnel régional pour l’emploi et la formation) a remplacé la COPIRE (Commission paritaire interprofessionnelle régionale pour l’emploi). Cette instance regroupe les partenaires sociaux (organisations salariales et patronales). Elle a une grande responsabilité, notamment celle d’inscrire les formations éligibles au Compte Personnel de Formation. « Il y a eu quelques bras de fer, sourit Stéphane Bonnetain, secrétaire régional CFDT Emploi-Sécurisation des parcours professionnels, et co-président du COPAREF. Les Régions voulaient que l’intégralité des Plans Régionaux de Formation soient repris dans les listes éligibles au CPF, nous voulions remplir notre mission en toute objectivité. Mais nous en avons repris un grand nombre. » Autre structure nouvelle : le CREFOP (Comité régional de l'emploi, de la formation et de l'orientation professionnelles) remplace le CRE et le Ccrefp. Cette organisation quadripartite est invitée à donner son avis sur les politiques d’orientation, la formation professionnelle, la cohérence des différents programmes et plans de formation dans la région. Après quelques tensions dues à la fusion des régions et aux logiques de territoire, « on ...
Jouissant d’un emplacement privilégié donnant sur le Vieux-Port et sur Notre-Dame de la Garde, le restaurant Le Relais 50 est une escale chic et gourmande située au cœur de Marseille. Dans une ambiance et un style des années 50, l’établissement est une invitation permanente à la découverte et le plaisir de revenir est sans cesse renouvelé. La magie des couleurs et des saveurs dans vos assiettes À travers une cuisine gastronomique du monde où l’inspiration créative du chef se démarque comme une signature, le restaurant Le Relais 50 est un haut lieu de gastronomie et de partage qui a tout pour plaire, même aux plus exigeants. Par ailleurs, la farandole des menus ne cesse d’entretenir la magie dans un beau mariage de couleurs et de saveurs. À la fois simples et raffinés, les plats préparés apportent du soleil dans vos assiettes, auquel viennent s’ajouter quelques notes d’exotisme et une bonne dose d’authenticité. Une cuisine gastronomique aux saveurs d’ailleurs Noël Baudrand aujourd’hui aux commandes derrière les fourneaux du restaurant, se plaît à composer de belles assiettes à travers une cuisine gastronomique du monde revisitée. Laissez-vous tenter par son maquereau de méditerranée fait de tartare minute, de coulis de roquette et de glace wasabi, avant d’enchaîner avec son plat signature qui est et restera la poitrine de cochon confite et caramel de tomate au poivre de Sichuan. Comme dessert, terminez avec son duo de banane et d'avocat en tube croustillant de noix de coco, une pure merveille du Japon accompagnée d’un zeste de gingembre… de quoi délecter les palais les plus exigeants. ...
« Grands Sites de Midi-Pyrénées », « Pays d’art et d’Histoire », « Plus Beaux Villages de France »... Décidément, Najac rafle toutes les récompenses et on comprend aisément pourquoi. Son paysage authentique et sa nature préservée insufflent un vent de sérénité que l’on ne ressentira nulle part ailleurs. Tendrement blotti dans cet environnement d’exception, le restaurant L’Oustal del Barry accueille les visiteurs amateurs de bonne chère. Au programme : une cuisine personnelle et contemporaine signée Rémy Simon. Un chef amoureux d’un terroir authentique Dès son arrivée en Aveyron, il y a un peu moins de 20 ans, Rémy Simon exprime déjà un amour fort pour les produits régionaux. Le savoir-faire et le métier des producteurs locaux suscitent en lui une véritable passion, si bien que sa cuisine tout en finesse et en élégance met en scène les trésors du terroir. L’objectif est de les travailler simplement, sans jamais les dénaturer pour exhaler les odeurs, les saveurs et les couleurs de chaque produit. Toute cette subtilité transparait au travers du menu mettant en avant certains plats emblématiques, à l’instar de l’Astet Najacois accompagné d’un aligot de fromage de Laguiole. Outre son menu terroir, l’établissement propose une carte gourmande privilégiant les produits de la mer et de la terre et évoluant au fil des saisons. En entrée, vous allez succomber au foie gras de canard mi-cuit servi avec son chutney figues-abricot, son pain d’épices et son sorbet mangue. Place ensuite à des bonbons de langoustine en brick de basilic ou à un pavé de veau servi rosé avec des échalotes compotées au vin rouge. Au dessert, vous prendrez bien évidemment le sublime du Barry et son pailleté de chocolat noir, dont l’intitulé donne déjà un aperçu de ce qui vous attend. Entre élégance et perfection La dégustation de toutes ces succulentes suggestions s’effectue à l’extérieur ou à l’intérieur, selon votre convenance. En salle, les grandes fenêtres permettent de profiter de la magnifique vue qui donne directement sur le château ou sur le potager de l’établissement. L’ambiance y est raffinée : salle lumineuse, profonds fauteuils tapissés, rideaux fleuris, pavage à l’ancienne et cheminée d’époque. Tout est fait pour garantir le confort. Une équipe jeune, dynamique et agréable est aux petits soins de ses clients. Mais si l’idée de pénétrer un autre univers vous intéresse, l’établissement organise de temps à autre des stages de cuisine. Le chef et sa brigade vous initient à l’art de la bonne cuisine dans une ambiance conviviale, où, progressivement, vous découvrirez les rouages de ce métier d’exception. Trésors historiques Aventuriers dans l’âme ? Najac regorge de trésors qui méritent amplement le déplacement. Classée monument historique, la forteresse royale datant du XIIe siècle fait partie des incontournables. En déambulant dans la rue médiévale, vous vous laisserez surprendre par la beauté d’un paysage jonché d’innombrables sites historiques : l’église Saint-Jean-l’Évangéliste, la fontaine des Consuls, la chapelle Saint-Barthélemy aujourd’hui devenue une habitation… ...
C’est en misant sur des offres de formations personnalisées ainsi que sur un partenariat efficace avec des entités industrielles de renom que « cette juridiction indépendante propose des formations adaptées au besoin de chacun et axées sur la professionnalisation des salariés actifs des entreprises », nous explique Isidore Torres, directeur du centre. La formation sur mesure : l’assurance d’une employabilité effective Créé en 1970 par des entreprises, sous l’impulsion de la loi sur la formation professionnelle, l’AFPI CENTRE Val de Loire a pour objectif d’apporter les compétences métiers parfaitement adaptées aux besoins des entreprises et de proposer des formations qui s’adaptent au public à former. Un processus personnalisé prenant en compte les besoins de chaque personne, jumelés à ceux de l’entreprise, constitue à cet effet sa marque de fabrique. L’AFPI se veut également être « un "assemblier" en mettant en place un panel d’interventions riche assuré par des formateurs professionnels dans le but de satisfaire les besoins des bénéficiaires », reprend Isidore Torres. En bon « assemblier », ce centre propose un large éventail de formations qualifiantes pour des corps de métier touchant des domaines de pointe, à l’instar de l’aéronautique, de la métallurgie, de la pétrochimie ou de l’énergie, ainsi que des métiers de l’organisation, pour ne citer que les ressources humaines. « Afin de garantir l’employabilité des formés, l’AFPI mise sur une approche inductive en priorisant les formations axées métier dont, 80 % des activités sont menées en entreprise », nous indique-t-on. Ainsi, grâce à cette maîtrise des besoins des entreprises, le centre affiche un excellent taux d’employabilité de plus de 75 % pour l’ensemble des formations. De cela, rigueur, excellence et adaptabilité trouvent ici un terrain d’expression, notamment grâce à la création d’une démarche de formation basée sur « une évaluation préformative pour chaque formé, un contenu et un plan de formation totalement individualisé ainsi qu’une certification à la clé ». À tout cela, s’ajoute le développement de plates-formes numériques collaboratives permettant à tous les acteurs de chaque formation d’interagir en tout lieu et en tout temps. ...
En Corse, des oliviers depuis toujours… La Corse, terre méditerranéenne par excellence, héberge l’olivier depuis la nuit des temps. L’île offre des conditions climatiques optimales pour la culture de l'olivier; les arbres s'y développent parfois jusqu’à des hauteurs de 20 mètres. Ils ont bâti des troncs vénérables, certains depuis plus de 2000 ans… Des monuments végétaux vivants, véritable patrimoine culturel! Un patrimoine à entretenir et à préserver, du feu en particulier depuis toujours... et de la redoutable bactérie Xylella fastidiosa aujourd’hui. L’AOP, un gage de qualité Obtenue en 2004, l’Appellation d’Origine Contrôlée (devenue Appellation d’Origine Protégée en 2007) est ainsi venue récompenser le travail collectif d’une cinquantaine de récoltants passionnés et attachés à la sauvegarde du patrimoine oléicole insulaire, ainsi qu’à la valorisation de leur huile d’olive. Un signe officiel de qualité qui garantit, entre autres, l’origine - corse - des olives et leur lieu de trituration - la Corse - et récompense la tradition oléicole corse et le savoir-faire de ses hommes. Une belle couleur or brillant caractérise l’Huile d’Olive de Corse- Oliu di Corsica AOP. Elle est produite exclusivement à partir de variétés locales : Sabina, Ghjermana di Casinca, Zinzala, Capanace, Ghjermana d’Alta Rocca (ou di Tallano), Curtinese. Les olives sont cueillies noires, c’est-à-dire à maturité des fruits. Elles perdent ainsi en amertume et piquant et dégagent subtilement les parfums du maquis corse. Selon la variété et le terroir, des nuances aromatiques s’ajoutent à l’arôme du fruit mûr. Chaque lot d’Huile d’Olive de Corse - Oliu di Corsica AOP est dégusté avant la mise en marché par un jury d’experts afin de vérifier l’absence de défauts et le respect de la typicité. Il s’agit d’une disposition unique pour le contrôle d’un produit en AOP, garantie supplémentaire pour le consommateur. L’Huile d’Olive de Corse - Oliu di Corsica AOP est toujours produite en petite quantité, avec un savoir-faire ancestral associé aux méthodes de production les plus modernes. Sa rareté et sa qualité en font un produit d’exception. « Récolte sur l’arbre » et « Récolte à l’ancienne » pour des saveurs différentes Ce sont principalement les modes de récolte qui influent sur les arômes de l’huile : L’Huile d’Olive de Corse – Oliu di Corsica AOP se décline en une double gamme afin de permettre au consommateur de différencier les huiles les plus « douces » des plus « fraiches » : Les olives récoltées sur l’arbre, par action mécanique, avant qu’elles ne chutent, donnent en effet une huile « fraîche », relevée d’une pointe d’ardence et d’amertume, aux arômes d’amande, d’artichaut ou de pomme. Les olives récoltées à l’ancienne, par chute naturelle sur filets, à surmaturité, offrent quant à elles une huile aux arômes « confits » d’olive noire, de fruits secs ou de fleurs du maquis. C’est une huile à la saveur très douce, exempte d’amertume et de piquant. Si l’Huile d’Olive de Corse AOP « Récolte à l’ancienne » accommode particulièrement bien les plats chauds tels que viandes et poissons grillés ou purées de pommes de terre, l’Huile d’Olive de Corse AOP « Récolte sur l’arbre » dévoile tous ses arômes en accompagnement de salades ou de mets froids. Les bouteilles d’Huile d’Olive de Corse – Oliu di Corsica AOP portent un « macaron » pour les identifier dans l’une ou l’autre gamme. La mise en place d’une filière locale de plants d’oliviers certifiés Face à la menace représentée par la bactérie Xylella Fastidiosa sur le verger oléicole de Corse, le syndicat AOC Oliu di Corsica met en place une filière locale de plants d’oliviers certifiés.&nbs...
Le bâtiment qui abrite le Musée n’est autre que la maison natale de l’artiste lui-même avec un espace d’exposition s’étendant sur les deux niveaux que compte l’édifice. Un florilège d’œuvres à découvrir « La majorité des œuvres exposées au Musée Bartholdi sont celles de Bartholdi lui-même, composées de sculptures, de dessins, de peintures et de photographies » note Isabelle Bräutigam, conservateur du Musée. La société des Amis du Musée Bartholdi ou SAMBA, créée en 2003, ne cesse d’enrichir cette collection par de nouvelles œuvres de l’artiste ou de ses pairs. « En garde, l’art s’engage ! » Cette exposition temporaire qui a lieu actuellement au Musée « se fait en partenariat avec le FRAC Alsace, et présente des œuvres d’artistes contemporains mis au regard avec les œuvres d’Auguste Bartholdi » explique Isabelle. « Elle met en évidence le rôle politique que les artistes d’hier et d’aujourd’hui jouent dans notre société », car il ne faut pas oublier le fait que Bartholdi était un humaniste engagé. Et si l’exposition ne véhicule dans les faits pas de message, elle peut interpeller quelques-uns et peut-être bien leur changer leur vision du monde. ...
Trois salles d’exposition vous proposent de découvrir le cycle du ver à soie, l’apport social des canuts et de suivre l’évolution de cinq siècles de soierie lyonnaise. A 11h et à 15h30 vous pouvez suivre une visite commentée qui vous emmène dans l’atelier de tissage. Maison des Canuts : visite au Pays de la soierie lyonnaise et de l'invention de Jacquard... On vous explique l’invention de Jacquard illustrée par une démonstration de tissage sur métier à bras. Les articles de la boutique : foulards, écharpes, cravates sont 100% Made in Lyon. ...
Pressoirs de Provence a la passion du fruit. Entre ses créations classiques et ses mélanges exotiques, la société familiale fait le nécessaire pour garder l’authenticité du fruit dans la bouteille. D’ailleurs, pour Arnaud Redheuil, le dirigeant de l’entreprise, chaque jus doit donner l’impression aux consommateurs de croquer directement dans le fruit. L’occasion de voyager dans le cœur des vergers de Saint-Rémy-de-Provence, où tout a commencé. Pressoirs de Provence : une aventure familiale et humaine Nous sommes en 1982, date à laquelle la société Sojufel Provence Production commence à produire et à vendre des jus de fruits. Devant le succès de cette boisson naturelle et savoureuse, l’entreprise décide de créer la marque Pressoirs de Provence avec un seul objectif : proposer des produits authentiques tout en valorisant le travail des agriculteurs provençaux. À savoir : depuis le début, Sojufel – Pressoirs de Provence travaille avec un réseau de plus de 300 agriculteurs qui s’engagent, tout comme la société, à respecter aussi bien la qualité des fruits cueillis que l’environnement. En 2009, Arnaud Redheuil et son père reprennent l’activité afin de développer la marque tout en respectant sa philosophie. Quelques années plus tard, on peut dire que le pari est réussi puisque Pressoirs de Provence obtient de nombreuses médailles lors des dégustations à l’aveugle des différentes éditions du concours général agricole de Paris. Ainsi, la marque a su gagner, au fil du temps, la reconnaissance de ses pairs et des consommateurs. D’ailleurs, en 2015, Arnaud Redheuil sera intronisé par les disciples d’Escoffier (un réseau d’élite de professionnels de la gastronomie). Une technique de production maîtrisée prenant soin du fruit Chez Pressoirs de Provence, tout commence et finit par le fruit. Aucun ajout de conservateur, d’additif, de colorant et d’exhausteur de goût : une recette simple qui plaît aux consommateurs exigeants. Ainsi, après que la cueillette du producteur est livrée, les lots de fruits sont goûtés et analysés selon des critères précis et rigoureux (acidité, couleur, sucrosité, odeur, etc.). Puis, les fruits retenus sont lavés à l’eau claire, séchés et préparés pour le pressage. À cette étape, le jus viendra s’écouler naturellement grâce à une méthode traditionnelle et progressive. Le mélange sera même réalisé à la main. Nous en venons, ensuite, à l’étape de pasteurisation afin de débarrasser le nectar obtenu de bactéries, levures et moisissures et de bloquer, en même temps, l’oxydation. Cette phase est très importante puisque le jus ne peut être conservé à température ambiante que quelques heures seulement. Finalement, il est embouteillé sans attendre. Cela pour préserver la saveur et la fraîcheur des fruits pressés. Des jus et nectars primés livrés directement chez le consommateur À ses débuts, l’entreprise distribuait ses jus de fruits en circuit court. En effet, on ne pouvait les trouver qu’en épicerie fine, chez le primeur ou en hôtel-restaurant. Puis, la marque a voulu bousculer ses habitudes de vente en mettant en place des partenariats à long terme afin de consommer différemment le jus de fruits et le sortir de l’image classique du petit déjeuner. De plus, depuis quelques mois, il est possible de commander en ligne et de se faire expédier son jus ou nectar favori sur toute la France (à condition de commander trois bouteilles minimum). L’occasion pour les amateurs de jus de fruits frais de découvrir les spécialités de l’entreprise (telles que le jus de pomme, le nectar d’abricot ou le nectar de poire, tous les trois médaillés or). Mais aussi certains mélanges étonnants (jus pomme-cassis, pomme-orange-passion, multifruit ou encore exotique, tous médaillés or). Cela sans oublier les grands classiques qui font le bonheur des petits et des grands. Ainsi, au total, ce sont plus de 60 boissons médaillées qui attendent tous les fans de fruits sur le site. ...
Quatre-vingt ans ! C’est l’âge vénérable que la station de Valberg, au coeur des Alpes du Sud et aux portes du Parc National du Mercantour, fêtera à partir de l’été 2016. C’est en effet en 1936 que le premier « monte-pente » des Alpes-Maritimes a été installé ici. D’une longueur de trois cents mètres, il fonctionnait de 8h du matin jusqu’à la tombée de la nuit ! Huit décennies plus tard, Valberg n’a pas pris une ride. La station est une destination incontournable des Alpes-Maritimes. Station-village de charme, authentique et conviviale, elle dispose d’une situation idéale : seulement 1h15 la sépare du littoral méditerranéen. Sous le soleil azuréen - 300 jours d’ensoleillement par an ! -, l’ambiance est chaleureuse dans un décor bucolique, avec des maisons de village, des fermes typiques et des hébergements modernes. 90 kilomètres de pistes Valberg est prisée par les skieurs débutant et chevronnés. Elle dispose de 90 kilomètres de pistes, situées entre 1500 et 2066 mètres d’altitude. On trouve sur les cinquante-six pistes (douze vertes, dix bleues, vingt-huit rouges, six noires), vingt-trois remontées mécaniques, permettant un débit global de 26 400 personnes par heure. Valberg peut aussi compter sur ses zones ludiques : le Family Park avec différents parcours amusants pour tous, le Big Air Bag, un matelas gonflable géant qui permet de s’exercer au freestyle en toute sécurité, le Vidéo Maton qui filme vos exploits si vous le souhaitez… Et quand l’heure n’est plus au ski, Valberg propose bien d’autres activités : une baignade au cœur du manteau neigeux, dans la piscine couverte et chauffée avec vue sur les pistes ; des sentiers raquettes balisés pour le plaisir de tous, au cœur de la station ou sur les hauteurs afin de profiter d’une vue imprenable sur le village ; une patinoire, des balades à cheval, des motos neige, de nombreuses animations pour tous les âges. Et vous, où irez-vous cet hiver ? ...
Situé en plein cœur de Paris, dans le 20e arrondissement, le restaurant Abyssinia est une invitation à la découverte d’un pays envoûtant qu’est l’Éthiopie. Les gérants, chaleureux et toujours prêts à vous servir, vous invitent à partager des plats exotiques amoureusement mitonnés par Tesfaye Kidane. Pouvant accueillir quarante couverts, la salle est ornée de peintures et de masques africains. Dans des tons de marron et de blanc, elle offre un contraste parfait entre modernité et tradition. Masenqo, krar et kissar (des instruments de musique éthiopiens) peaufinent cette décoration atypique. Voyage hors frontière garanti ! Des plats hautement recommandés… Ici, tout le monde y trouve son compte. Les plats aux noms énigmatiques émerveilleront vos papilles. Les épices, une valeur sûre dans la cuisine éthiopienne, promettent saveur et authenticité. Vous pouvez avoir une confiance aveugle en l’équipe qui vous aiguillera dans vos choix. Parmi les suggestions avancées par la maison, figurent par exemple le samoussa ou l’azifa (purée de pois chiche) en entrée, le Key Wot (ragoût de bœuf) ou le dorowot (poulet mariné) en plat de résistance et le baklava éthiopien (une sorte de mille-feuille trempé dans du miel) en dessert. Veillez à bien vous nettoyer les mains avant, car « ici, on mange avec les doigts », précise Monsieur Kidane, le propriétaire. Le concept est simple et unique : chacun commande son plat puis le tout est rassemblé sur un grand plateau pour cinq personnes dans lequel tout le monde pioche ici et là pour goûter aux plats des autres. Des avis enthousiastes… La maison se préoccupe particulièrement de la satisfaction de ses clients. Ces derniers ressortent de l’établissement avec le sourire aux lèvres et des souvenirs plein la tête. Ceux qui sont déjà venus reviennent avec entrain et conseillent l’enseigne aux amateurs de gastronomie tropicale… « Dans notre restaurant, vous découvrirez un petit bout de l’Éthiopie », déclare notre interlocuteur. ...
Les origines d’une vision L’idée de la Fondation Clément trouve ses germes dans les années 80 suite au rachat par le groupe martiniquais GBH de l'entreprise les Héritiers H. Clément. Le groupe s’est investi dès le départ dans la restauration de la maison ancienne qui était sur le domaine, jetant là les bases d’une longue série de projets. Toute l’activité culturelle du site va débuter par la préservation du patrimoine bâti et l'ouverture au public. Des projets annexes sont développés, telles des restaurations de jardins. En 2005, GBH décide de développer des programmes culturels en créant in fine la Fondation Clément. Elle a pour but de valoriser l'art contemporain martiniquais, préserver le patrimoine bâti et conserver des fonds documentaires. Conserver pour diffuser auprès du public Trois axes de travail se dégagent rapidement pour mener à bien cette action. Premièrement, le patrimoine bâti avec la gestion et la préservation de trois sites de la Martinique : l’Habitation Clément, l’Habitation la Sucrerie et l’Habitation Pécoul. L'Habitation Clément est classée au titre des Monuments historiques de France depuis 1996. Elle est ouverte tous les jours de l'année de 9 h à 18 h 30. L'Habitation Pécoul et l'Habitation Sucrerie sont des lieux ouverts au public de façon ponctuelle pour les journées européennes du patrimoine en septembre chaque année. La deuxième action concerne le patrimoine documentaire. « Nous collectons et nous conservons des archives anciennes sur l’histoire de la Martinique et de la Caraïbe, plus généralement. Ce sont des archives privées que nous mettons à la disposition du public et des chercheurs. Les archives comprennent des textes anciens bien entendu, mais aussi toute une série de documents iconographiques comme des photographies, des cartes géographiques anciennes et même des cartes postales », nous explique Florent Plasse, en charge du patrimoine à la Fondation Clément. Cette bibliothèque est nourrie des acquisitions faites auprès de particuliers soucieux de garder l’esprit originel de leur collection, à l’intérêt pour le territoire hors du commun, mais aussi d’éviter le démantèlement hors de l’île de celles-ci. La bibliothèque compte aujourd’hui près de 10 000 ouvrages, 500 œuvres d’art et pas moins de 200 mètres linéaires. Le troisième volet, sûrement le plus visible, est l’action en direction de l’art contemporain. Une histoire qui se construit au fil du temps La Fondation Clément produit des expositions d’artistes en lien avec la Caraïbe depuis plus d’une dizaine d’années. Cette production trouve un écho particulier aujourd'hui grâce à l’accueil de ce programme d’exposition sur la commune du François, terre originelle des Rhums Clément, dans un bâtiment inauguré en janvier 2016 et signé de la main de l’architecte Bernard Reichen. « C’est une chance de pouvoir travailler sur un contexte aussi riche. On aurait pu fabriquer un musée complément autonome, sans lien avec l’histoire. Mais le défi a été de trouver la réponse juste par rapport à une situation déjà longue et à la place d’un site, installer des éléments contemporains dans une histoire qui s’est construite au fil du temps. », raconte l’architecte. Les conditions d’exposition répondant aux différentes normes internationales permettent d’accueillir chaque année un projet d’exposition en lien avec une grande institution nationale. Dernièrement, c’est le Centre Pompidou qui a vu son exposition « Le Geste et la matière », réalisée en partenariat avec la Fondation Clément et consacrée à la peinture parisienne allant des années 1945 à 1965, accueillie au sein des murs de la Fondation. À ce moment-là, nous ne sommes pas dans de l’art concernant la Caraïbe, mais dans l’idée de pouvoir permettre à un public martiniquais d’accéder aux mêmes expositions que celle de la métropole. On participe à la décentralisation de la culture, au désenc...
A Saint-Mars-la-Jaille, le restaurant le Chalet fait le bonheur des locaux et touristes de passage, désireux de découvrir une vraie cuisine du terroir. En salle ou en terrasse, la carte traditionnelle illustre le talent et l’inventité de ce chef passionné et décontracté. Un art maîtrisé à la perfection Jean-Marc, originaire du Sud-Ouest de la France, privilégie une cuisine traditionnelle préparée à base de produits bruts et frais issus du terroir local. Ce qui lui a valu une récompense le 15 Décembre 2015 : celle de Maître Restaurateur. Un label témoignant de la qualité et de la fraîcheur de la cuisine proposée. Ce titre de Maître Restaurateur nécessite entre autres l’adoption du circuit court. C’est pourquoi le chef s’approvisionne auprès des fournisseurs régionaux comme la boucherie La Désirade, le Druide du Boisiller, les producteurs bios du wagon pour ne citer que ces exemples. Effectivement, il concocte une cuisine simple et de qualité qui éveille la sensibilité gustative. Il déclare d’ailleurs «travailler les produits locaux différemment.» En résulte alors des plats gourmands comme ces Ravioles d’escargots de Monsieur Leroy aux pleurotes qui sont à tomber. Une cuisine du sud-ouest La formule du midi invite à prendre un menu express à 11€ ou un menu complet à 13€50, avec une entrée, un plat et un dessert, au choix. A la carte, le Saumon fumé accompagné d’une crème légère et d’un pain grillé avec une salade gourmande « la salade Landaise » qui est composée de gésiers, de magret fumé, de foie gras joints à un croustillant de canard est servi en entrée. En plat de résistance, le Civet de Gambas au chorizo comble les gourmands amoureux de bonnes saveurs. Pour finir le repas en beauté : « La Bretonne » une glace à la vanille, double caramel au beurre salé, avec des éclats de crêpes dentelles à la crème fouettée maison. En outre, Jean-Marc travaille énormément le boudin artisanal qu’il a lui-même conçu avec un artisan-boucher-charcutier du coin mais aussi le canard qui est une des spécialités du Sud-Ouest. Quant à la carte de vins, elle est assez éclectique avec une prédominance des vins de Loire et du Sud-Ouest. « L’été, on va privilégier les vins frais (…) Il y a toujours le petit côté découverte», selon le maître des lieux. Les plats de bistrot et service traiteur A la fois restaurant, traiteur et pizzeria, le Chalet satisfait toutes les envies. De nombreuses spécialités incontournables sont à découvrir à la pizzeria : « l’Espelette » préparée à base de fromage, du bœuf épicé, des poivrons, des oignons et des lardons ou encore la pizza « Saint Marsienne » concoctée avec du fromage, du boudin noir artisanal, des oignons et d’une pomme fruit. Pour les événements privés, le service-traiteur se tient prêt à proposer des services personnalisés et peut dresser un devis adapté à tous les budgets. « Nous proposons des plats différents qui nous distinguent des autres traiteurs. Notre clientèle apprécie cette singularité.», confie-t-il. Chaque tapas, tartine, pinchos et autres petits sandwichs espagnols sont réalisés avec des produits de saison. ...