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© Gianni Villa
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Interview avec Fumiko et Anthony Maubert
Chef du restaurant Assa



Restaurant
1 étoile au Guide Michelin
situé à Blois
Région Centre - Val de Loire

Dans votre restaurant, comment définissez-vous votre cuisine ? Quels sont vos plats «Signature»? Avec quels produits aimez-vous travailler ?

Fumiko et Anthony Maubert Au restaurant Assa, nous proposons une cuisine gastronomique française inspirée par la nature avec des influences japonaises qui reprend différentes techniques de cuisson et d’assaisonnements. Nous voulons faire une cuisine gourmande sans ajout de matière grasse.

Quelles émotions avez-vous ressenties lors de la remise des étoiles du Guide Michelin ?

FM L’obtention de l’étoile Michelin a été une grosse surprise ! Bien entendu, nous sommes ravis d’avoir obtenu une telle récompense qui valorise notre cuisine. Assez paradoxalement, l’obtention de l’étoile nous a permis de nous décomplexer, d’oser davantage dans nos propositions culinaires. Aujourd’hui, nous proposons une cuisine encore plus personnelle !

La cuisine est faite chaque jour de partage et d'émotions. Toutefois, certains moments de la vie sont à privilégier plus que d'autres... Pouvez-vous nous confier vos plats rêvés pour :
- Un repas de Noël ?

FM Nos plats rêvés sont les prochains. Nous accordons une grande importance à passer ces instants gourmands avec nos hôtes que ce soit la famille ou les amis.
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© Gianni Villa

- Un repas de la nouvelle année ?

FM Le nouvel an est un événement festif, nous aimons proposer des plats qui feront ressortir ce côté festif.

- Un repas de Saint-Valentin ?

FM Nous recommandons un repas floral et intimiste pour la Saint-Valentin.
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Sans trop réfléchir, pouvez-vous nous confier votre plus beau souvenir gustatif et certaines des émotions procurées ?

FM Notre plus beau souvenir gustatif a été tout simplement une tomate confite entière. Cela nous a fait voyager et nous a fait rappeler les moments passés dans le potager de ma grand-mère.

D'après la célèbre devise de Prosper Montagné "On ne fait du bon qu'avec du très bon", pouvez-vous nous révéler deux ou trois de vos adresses gourmandes. Vos producteurs et produits préférés sur votre région ou ailleurs (vins, produits frais, ou autres...)

FM Nous accordons de l’importance à acheter local, frais et de saison. Pour les viandes, nous nous fournissons à La Ferme des Petits Tresseaux à Averdons. Notre primeur privilégié est le Petit Jardin à Blois. Nous aimons acheter le fromage de chèvre à la Ferme du Petit Pont à Azé.

On parle aujourd’hui beaucoup de cuisine fusion, de plats végétariens, d'aliments biologiques, de « Trashcooking » (ingrédients destinés normalement au rebus), de « Freakshakes » pour marier un dessert à une boisson... Selon vous quelles seront les grandes tendances de la cuisine de demain ?

FM Pour moi la grande tendance de la cuisine de demain reste toujours et tout simplement le plaisir de partager notre passion du bon produit et de la bonne cuisine avec nos hôtes…
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Adresse | Contacts utiles
image-prop-contact-assa Assa 189 Quai Ulysse Besnard
41000 Blois

Tél. : 02 54 78 09 01
Site Internet

Récompenses
1 étoile au Michelin

Assa : les avis

LES ARTICLES LES PLUS LUS

Psychonomie : un nouveau paradigme de la santé

La psychonomie est une discipline scientifique étudiant les phénomènes de conscience du vivant sous l’angle physique, émotionnel, social et cognitif. À travers cette approche holistique, elle contribue à réduire les blocages mécaniques et énergétiques avec douceur. « La psychonomie est une ostéopathie à dimension quantique. On parle d’une ostéopathie de nouvelle génération qui permet de restaurer les échanges d’information pour un fonctionnement harmonieux du vivant », explique Claude Yves PELSY, créateur de cette pratique de santé innovante et fondateur du CESP (Centre Européen de Pratique de Santé en Psychonomie) avec le Professeur Cornillot, doyen de la Faculté de Médecine de Paris-Nord. Une thérapie de restauration fonctionnelle Le corps est un organisme vivant qui n’est pas exclusivement composé que de matière. Pour fonctionner, chaque organe est lié à un savoir-faire, une intelligence de vie grâce à l’énergie. Lorsque cette information-programme ou cette intelligence est sollicitée au-delà de ses capacités, le savoir-faire est bloqué et sidéré, engendrant un dysfonctionnement concret avec des conséquences organiques. Les défaillances de l’organisme sont le résultat de traumatismes physiques et psychiques dus à des lésions mécaniques, toxiques ou émotionnelles. « Le rôle de la psychonomie est d’apporter une restauration fonctionnelle en remettant en cohérence de phase l’onde information de nature quantique avec l’onde énergie concrète qui procède au fonctionnement et à la structure de l’organe pour lui permettre de se rétablir », fait savoir notre interlocuteur. Cette pratique de santé intervient en complément aux thérapies classiques. Elle agit avec efficacité sur le système pulmonaire, la sphère ORL, sur les maladies psychosomatiques et neurologiques, les pathologies ostéo-articulaires, ligamentaires et tendineuses, digestives ou endocriniennes. Elle soigne les troubles généraux tels que l’angoisse, l’insomnie, la fatigue ou la migraine. Tout le monde peut y avoir recours allant des nourrissons aux personnes âgées. Une méthode de soin douce et naturelle Le soin s’articule autour de deux grandes étapes : la détection des lésions par empathie holographique et la restauration des dysfonctionnements par la symbionie. La première séance consiste à réaliser un bilan fonctionnel global. Affranchi des émotions et de la rationalité cognitive, le praticien recherche les défaillances éventuelles chez le sujet par une approche empathique pure. La perception s’effectue selon un protocole strict reposant sur les dernières avancées en embryologie. Une fois que les lésions informationnelles ont été ciblées, le praticien pose sa conscience sur l’échange d’information entre le programme source et l’organe et instantanément, le patient ressent un soupir tissulaire. Il est soulagé car son système redémarre. Cette méthode intitulée « symbionie » reconnecte le tissu lésé avec son information d’origine et favorise le processus naturel de guérison. Plus d’information : psychonomie.org ...

spécialiste français du Yoga et de la Méditation

En 2014, après 7 années de pratique du yoga et de la méditation, Claire Gautier lance GET YOGi, une plateforme dédiée à cette discipline dédiée au bien-être du corps et du mental. La mission de GET YOGi : rendre le yoga et la méditation accessibles au plus grand nombre dans une optique de prévention de santé. La conviction de la fondatrice réside dans le fait que le yoga est la solution de prévention de santé la plus simple et la plus accessible. Tout le monde peut pratiquer, il suffit d’adapter la pédagogie. Rappelons que la méditation et la bienveillance font partie intégrante de la philosophie du yoga, mais aussi, que la définition de la santé, selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), parle « d’un état complet de bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ». Depuis sa création, GET YOGi a initié plus de 5 000 personnes à la pratique du yoga et de la méditation. Yoga et méditation pour tous : en ligne, en entreprise, des événements  Pour promouvoir la pratique, GET YOGi intervient sur plusieurs champs d’activités. GET YOGi Digital est au départ une plateforme de séances vidéo de yoga, de méditation et de respiration. Accessible 24h/24 depuis un smartphone, une tablette ou un ordinateur, le site propose plusieurs styles de yoga avec la possibilité de suivre un parcours débutant. Au total, 50 séances sont dispensées par 7 professeurs dont un kinésithérapeute GET YOGi Corporate intervient au sein des entreprises pour le bien-être global des salariés. La pédagogie s’adapte au monde de l’entreprise. Yoga, méditation, yoga sur chaise, pilates, etc, les mouvements et les activités sont choisis pour détendre le corps et le mental des salariés qui peuvent vivre des périodes de travail plus ou moins denses ou être obligés d’occuper la même position et souffrir de tensions. GET YOGi Event organise des séances bien-être dans des lieux atypiques comme au Carrousel du Louvre, sur le parvis de la Défense, en thalasso, etc. Il s’agit de séances collectives, parfois en plein air, et qui sont parfois démultipliées en ligne grâce la vidéo et à la plateforme web de l’entreprise. Les bienfaits reconnus du yoga et de la méditation en entreprise Le yoga et la méditation aident à prévenir la cause de 80 % des arrêts maladies, les troubles musculo-squelettiques (TMS) en entreprise. Une maladie ressentie lorsque l’on fait toujours le même geste, que l’on est constamment dans la même position ou que le corps ne dispose pas d’assez de temps pour récupérer. Le yoga et la méditation servent à appréhender les risques psycho-sociaux (RPS) dont le plus fréquent est le stress. Grace à des mouvements simples, on agit directement sur le système nerveux tout en renforçant son système immunitaire. Les exercices de respiration trouvent aussi leur utilité,  et permettent de baisser en tension automatiquement. D’ailleurs, la publication d’études médicales se multiplie à ce sujet. D’autres ont démontré que le yoga thérapeutique a amélioré significativement certains symptômes du cancer (meilleure qualité du sommeil, diminution des symptômes anxieux ou dépressifs, etc.). Certains témoignages corroborent ce fait scientifique. Parmi ces derniers, on retrouve par exemple celui de Mathieu Carlot, méditant depuis  plus de 10 ans et ayant vu la pratique quotidienne de la méditation l’aider face au cancer. ...

FEREI France : expert dans l’éclairage pour les loisirs et sports nocturnes

L’entreprise FEREI France est le distributeur exclusif de la marque FEREI en France métropolitaine et DOM/TOM. Elle a bâti sa notoriété autour de la qualité supérieure des modèles qu’elle propose, en développant en parallèle un portefeuille de clientèle sportive. Usage pour sport nocturne, activités et loisirs outdoor, trek, raid, vélo, running, trail ou plongée sous-marine, chacun trouvera certainement un produit adapté à ses besoins et respectant son budget. Une gamme de produits performants La gamme d’éclairage FEREI se distingue par sa robustesse, son autonomie et sa facilité d’utilisation. Les lampes frontales sont les produits phares de la marque, qui se déclinent en modèles plus légers et d’autres plus professionnels. Dotées des dernières technologies LED, ces lampes produisent entre 220 à 1 800 lumens, et jusqu’à 50 h d’autonomie, selon le mode de réglage. Parmi la sélection, la série lampe frontale FEREI HL20 est spécialement adaptée pour le running, grâce à sa masse légère de 150 grammes et son bandeau positionnable. En pleine puissance, c’est-à-dire à 600 lumens, elle offre 4 h d’autonomie et même beaucoup plus longtemps, pouvant atteindre les 20 h, en mode éco. On s’intéresse aussi aux éclairages vélos, dont le phare BL800C à double optique LED XP-G. Avec sa portée jusqu’à 280 mètres et son faisceau de 680 lumens, ce produit accompagne aussi bien les sorties cyclo-randonnées que le trajet vélo en ville et vélotaf. En outre, des lampes torches à LED, des lampes de plongée et divers accessoires portatifs sont également commercialisés par l’entreprise. Une gamme de choix pour chaque activité FEREI France s’adresse particulièrement à trois cibles : d’abord aux professionnels dans le bâtiment, le transport, la gendarmerie, la sécurité, l’intervention, etc., mais aussi aux clubs, collectivités et associations sportives, et enfin au grand public. En tant que spécialiste dans l’équipement en éclairage sportif, l’entreprise propose des produits exclusifs à prix concurrentiel, pour répondre aux besoins précis des sportifs de haut niveau et des ententes sportives. Par ailleurs, les clients peuvent se rendre directement dans les magasins spécialisés et multisports, et chez les revendeurs indépendants en France, Belgique, Luxembourg et Suisse, pour découvrir la gamme conçue pour un usage quotidien. Il est également possible de commander en ligne via le site officiel de FEREI France et d’autres sites spécialisés, à savoir I RUN. ...

Bourbon-Lancy : l’art et la culture célébrés sous toutes les coutures

Bourbon-Lancy est une petite ville blottie au sud-ouest de la Bourgogne, à la frontière de l’Allier et de la Nièvre. Station thermale depuis l’époque gallo-romaine, elle est également connue comme étant une destination bien-être et touristique incontournable dans le département de Saône-et-Loire, grâce à son joyau patrimonial, ses architectures millénaires, ses sites clunisiens classés Monument historique et son paysage culturel. Aujourd’hui, Bourbon-Lancy veut renforcer son identité urbaine en orientant la gouvernance vers la création d’une ville durable et en dynamisant sa vie culturelle. Un panorama artistique exceptionnel La programmation de la saison culturelle de la ville a lieu toute l'année. À Bourbon-Lancy, la période estivale est animée par plusieurs évènements et spectacles qui font la part belle à toutes les disciplines artistiques : expositions photographiques, théâtres et arts scéniques, festivals et rencontres musicales, ateliers créatifs, spectacles insolites, concerts classiques, etc. En plus de servir de tremplin aux jeunes talents, ces projets artistiques et culturels se veulent être le point de rencontre des habitants et des visiteurs, qui viennent par milliers chaque année. Parmi les rendez-vous phares de la seconde campagne 2018, la mairie annonce la 10e édition de l’évènement Bourbon cuivré, la Nuit européenne des musées, les journées du patrimoine ou encore le Festival de musique qui verra la participation de plusieurs artistes et musiciens de renom. « Un salon du livre ancien est également prévu pour le mois d’aout 2018 et d’autres spectacles sur la guerre 14-18 vers la fin de l’année » fait savoir l’équipe du pôle culture et communication. Les jardins éphémères et L’Été des portraits Les Jardins éphémères est un évènement initié par la ville, donc l’objectif principal est de propulser l’attractivité touristique de Bourbon-Lancy, déjà labélisé Station verte. Le concept ? Créer un jardin collaboratif temporaire au cœur du Parc de Saint-Prix, où les paysagistes, les horticulteurs, les artisans, les designers, les pépiniéristes, les écoliers, les organismes et  associations locales peuvent exprimer leur passion et leur savoir-faire. « Il ne s’agit pas d’un concours mais d’une activité vraiment ouverte au public et à tout ceux qui veulent participer ». Les participants sont encouragés à travailler leur imagination pour créer leur espace vert. Ce projet créatif revêt également un esprit écologique, dans le sens où chacun peut s’acculturer du respect de la biodiversité et de la nature. Depuis son lancement en 2004, L’Été des portraits quant à lui ne cesse de gagner en notoriété pour devenir aujourd’hui l’un des plus grands concours photographiques de portrait en Europe. À chaque édition, la ville de Bourbon-Lancy se transforme en un espace d’exposition géant : les rues, les murs, les parcs, les bâtiments et même les jardins accueillent des centaines de photographies. Près de 300 artistes photographes participent au rendez-vous, dont des professionnels, amateurs et apprentis en formation. Sont attribuées aux œuvres les plus marquantes les récompenses et les mentions spéciales du jury, composé des plus grands noms de la discipline. Exclusivement pour cette 8ebiennale européenne, inaugurée le 22 juillet 2018, la ville reçoit l’illustre photographe français Pierre Anthony Allard comme invité d’honneur. Par ailleurs, des expositions collectives, ateliers et diverses animations culturelles vont intensifier l’évènement. ...

François Righi propose un nouveau livre original

Ce plasticien conçoit et crée des livres à exemplaire unique ou à tirage très limité. Ainsi son œuvre la plus récente, Heures dispersées, est-elle conçue dans la continuité de son travail de création qui tente d’inscrire l’un dans l’autre l’espace d’un lieu et celui d’un livre. La « matière travaillée du corps de ce livre » se trouve à Bourges, à l’hôtel Lallemant, une demeure de la Renaissance qui donne les références iconographiques du livre. Un texte en diptyque de Marie Grégoire encadre l’ouvrage. Quelle aventure impossible que celle de la conjonction du texte et de l’image ! William Blake, l’inspirateur Depuis son jeune âge, François Righi, qui a aussi parcouru le Mexique sur les traces d’Antonin Artaud, est fasciné par le livre, cette « machine à produire à la fois du sens et du mystère », et par ceux qui le fabriquent, typographes, imprimeurs en taille douce, sérigraphes, lithographes. Il aime, comme James Lee Byars, « les meubles pour livres, les coussins pour livres, les tables pour livres ».  Formé auprès de grands graveurs parisiens, François Righi imprime ses livres sur ses propres presses depuis plus de 40 ans. On trouve, parmi ses inspirateurs, la vie et l’œuvre du poète anglais William Blake, mais il cite également Clemens-Tobias Lange, Jean-Claude Mattrat, Veronika Schäpers… La disparition des grandes imprimeries qui assuraient l’édition des livres d’artistes et l’apparition des nouvelles techniques ont remis à l’honneur ces derniers. Ainsi, l’artiste-imprimeur est-il revalorisé dans sa fonction et son rôle. François Righi assure lui-même la commercialisation de ses œuvres auprès de collectionneurs particuliers, lors de salons et de rencontres avec des bibliothécaires.  Selon lui, un livre d’artiste ne révèle ses richesses que quand il est consulté, feuilleté, manipulé. Une relation avec son lecteur beaucoup plus profonde qu’une simple exposition dans la vitrine d’un musée. ...

Herboristerie Cailleau : des plantes médicinales et aromatiques de haute qualité

Installée dans des bâtiments neufs à la sortie de l’autoroute à Chemillé-en-Anjou dans le département du Maine-et-Loire, l’herboristerie Cailleau bénéficie de 4.500 m² pour recevoir, transformer, conditionner et expédier en respectant les dernières normes de production. Elle regroupe 2 secteurs d’activité : la vente aux détaillants comme les herboristeries, les coiffeurs, les magasins diététiques ou les pharmaciens et la vente aux industriels comme les brasseurs de bières, les industries agroalimentaires et cosmétiques La société ayant reçu son agrément pharmaceutique depuis un an maintenant, elle peut désormais vendre les plantes du domaine pharmacopée aux pharmacies. Aujourd’hui, l’Herboristerie Cailleau emploie 30 salariés à temps plein. Un catalogue de plus de 800 références Son catalogue contient plus de 800 plantes déclinées sous différentes formes : feuilles, fleurs, sommités fleuries, racines, coupées, entières, poudre… L’Herboristerie mise sur l’excellence botanique de ses produits et sur le savoir-faire de ses fournisseurs, pour procurer des plantes de haute qualité à ses clients. Elle en garantit l’identité botanique. Avec son pharmacien, la société analyse et contrôle chaque réception pour garantir in fine la sécurité des consommateurs. Elle se fournit au plus proche, favorisant les circuits courts et les producteurs locaux. Mais certaines plantes ne sont pas cultivées dans la région. Ainsi par exemple la lavande arrive du sud, le génépi des Alpes. D’autres doivent être importées, particulièrement de Pologne, Hongrie, Lituanie, Espagne, Portugal, Maroc, Tunisie ou encore Brésil. Elle s’est également engagée dans une démarche bio pour répondre à une demande de plus en plus importante. Actuellement les plantes bio représentent 25% du catalogue. Les plantes sont préparées sous toute forme (coupée, pulvérisée), transformées (gélule, macérât aqueux, huile essentielle, infusette) et conditionnées (de 250 g à 2,5 T) dans les locaux de la société, suivant les besoins et les demandes des clients. Plus de 2000 clients lui font déjà confiance. La qualité de ses produits est également reconnue à l’étranger puisque l’Herboristerie Cailleau réalise 15% de son chiffre d’affaires à l’export. Depuis 1 an l’herboristerie a aussi ouvert un site de ventes en ligne dédié aux particuliers, répondant ainsi à l’ensemble des demandes de ses clients. ...

Dolphin Coaching : libérez-vous des croyances qui vous empêchent d’avancer et osez révéler votre potentiel

Le coaching s’adresse à tout le monde Contrairement à une idée répandue selon laquelle il ne concernerait que les personnes ayant un problème à résoudre, le coaching s’adresse à tout le monde. « Si l’on fait appel aux services d’un coach professionnel, cela peut être parce que l’on peine à surmonter une difficulté mais pas seulement. Bon nombre de mes clients sollicitent mon aide parce qu’ils désirent accélérer leur développement, relever un défi, aborder sereinement un changement ou encore déployer tout leur potentiel ». Car le coaching a véritablement vocation à s’adresser à toutes les personnes qui veulent être actrices de leur propre évolution. En effet, qui n’a jamais eu la sensation de perdre le contrôle de ses journées, passées à traiter les urgences au fil de l’eau sans parvenir à prendre le moindre recul ? Qui n’a jamais dû encadrer une équipe sans qu’on lui ait appris comment procéder ? Qui ne s’est jamais senti dépassé lors d’une prise de poste ? Qui n’a jamais douté de sa légitimité professionnelle en endossant de nouvelles responsabilités ? Qui n’est jamais resté dans un poste qui ne faisait plus sens, continuant d’aller au travail avec une boule au ventre, parce qu’il ne parvenait pas à gérer sa peur du changement ? Qui ne céderait pas à la panique, s’il ne dispose, à douze mois de la fin de ses droits au chômage, d’aucune piste professionnelle ? Qui ne s’est jamais laissé submerger par ses émotions ou son stress ? Qui ne s’est jamais posé la question de savoir comment concilier sa vie professionnelle et sa vie personnelle ? Quel étudiant, quelle mère de famille souhaitant retravailler ou encore quel retraité à l’aube du « premier jour de sa nouvelle vie », n’a jamais eu besoin qu’on l’aide à orienter ses choix ? La liste est loin d’être exhaustive… Vous faire coacher vous permettra de développer non seulement vos performances mais aussi votre adaptation sociale et relationnelle ainsi que votre satisfaction. Parce que se faire aider, ce n’est pas faire preuve de faiblesse, bien au contraire. En vous faisant accompagner, vous arriverez mieux - et plus rapidement - à trouver vos propres solutions et à progresser. Identifier nos freins… pour mieux les débloquer ! Qu’il intervienne auprès d’un cadre pour l’aider à mieux performer et à faire évoluer sa pratique professionnelle, d’un particulier désireux de progresser dans son développement personnel ou encore d’un jeune pour l’accompagner dans le choix d’une orientation qui valorisera ses talents, François Baleynaud prend soin « d’identifier les croyances qui empêchent le coaché d’avancer, pour les déstabiliser et leur substituer un moteur de motivation ». Authentique et d’une grande humanité, ce coach utilise ainsi les outils dont sa formation (DESU 2010 « Pratiques du Coaching » Paris 8) et son parcours - tant personnel que professionnel - l’ont dotés pour « déboulonner » ce qui empêche ses clients de trouver les solutions qu’ils recherchent. Mais pas question de leur souffler ces fameuses réponses ! « Un coach n’est pas un consultant » précise François Baleynaud. « Il doit accompagner son client sans se substituer à lui». Plutôt que de lui proposer des réponses « toutes prêtes », un coach compétent (« qui continue de se former et fait l’objet d’une supervision ») fera, au contraire, en sorte que son client trouve lui-même les réponses aux questions qu’il se pose. « Un peu à la manière de Socrate qui répondait aux questions que lui posaient ses élèves par autant de questions afin de les aider à accoucher de leurs propres réponses ». Rien d’étonnant, donc, à ce qu’un « bon coach ne parle que 20 % du temps que dure une séance » précise François Baleynaud. « Parler moins pour écouter plus » comme aurait pu le formuler un ancien Président de la République… « En tant que coach, il est essentiel de parvenir à se départir de cette envie de ‘’faire &ag...

La Table du Chef : une belle cuisine de marché

En raison de sa petite taille, on pourrait presque passer à côté de cette charmante échoppe grenat. Ce qui serait vraiment dommage car de vraies pépites s’y cachent et ne se dévoilent qu’aux explorateurs les plus curieux ! Une fois entré, vous ne pouvez que succomber au charme des lieux où la spontanéité a trouvé ses lettres de noblesse.  Il était une fois à Cannes En 2008, Bruno Gendarme ouvre pour la première fois les portes de La Table du Chef. Il s’y consacre pendant quelques années à proposer une cuisine simple mais savoureuse avec les produits du marché. Neuf ans plus tard, il décide de rendre les tabliers et de céder la place à une nouvelle génération pétrie de talents. L’avenir de l’établissement repose maintenant sur les épaules d’un chef très prometteur en la personne d’Omar Nimaga. Ayant fréquenté ensemble l’Atelier Maître Albert de Guy Savoy, Bruno et Omar partagent les mêmes préceptes en cuisine. La passation de pouvoir s’inscrit donc dans la continuité. Ce qui est une très bonne nouvelle pour le restaurant et surtout pour ses habitués ! Un restaurant pas comme les autres La Table du Chef se plaît à surprendre ses convives. Ici, pas de carte, le menu change tous les jours au gré de l’humeur du chef et en fonction des saisons. Les produits utilisés sont frais à souhait et proviennent en grande partie de producteurs locaux. On y sert une cuisine française authentique aux saveurs méditerranéennes. À midi, le chef  propose deux entrées au choix : poisson ou viande, c’est selon l’humeur. Le soir, un menu surprise est suggéré. La dégustation se décline en quatre plats : une entrée, un plat de poisson, un plat de viande et un dessert qui changent tous les jours en fonction de la saison et des produits du marché.  Si vous appréciez les produits marins, la dorade royale est à essayer absolument. Pour les amateurs de viande, ce sera du canard ou du bœuf. Pour accompagner le tout, une carte de vins des plus éclectiques : bourgogne, bordeaux ou languedoc sont cités parmi les références ! ...

Domaine du Loou : savourez un des meilleurs vins bio de Provence

Le Domaine du Loou renaît de ses cendres en 1956 sous l'impulsion de Dominique Di Placido qui rachète les terres ayant autrefois appartenu à l’Abbaye de Saint-Victor et aux familles de l’évêque de Metz et Alexis. Aujourd'hui, l'exploitation familiale est gérée par les deuxième et troisième générations qui s’efforcent d’élaborer chaque année du vin bio d’excellente qualité. Des conditions idéales Le Domaine du Loou, établi sur le terroir en appellation Coteaux-Varois en Provence, s’étend sur une surface de 60 ha d’un seul tenant. À 300 m d’altitude, avec une exposition sud et sud-est, les vignes profitent d’un ensoleillement optimal et s’épanouissent sur un sol argilo-calcaire. Elles sont également protégées du vent et des aléas climatiques grâce à la colline d’Agni et le massif de la Loube. Au niveau de l’encépagement, celui-ci se compose principalement de syrah, de cabernet sauvignon et de mourvèdre pour les rouges. Le reste est constitué de rolle et de sémillon pour les blancs et de grenache et cinsault pour les rosés. Respect de l’environnement Depuis 2009, le domaine est certifié Ecocert et privilégie les méthodes de l’agriculture biologique. « Nous sommes fiers de cette démarche Bio qui demande, certes, beaucoup de travail mais qui correspond à notre vision du travail de la vigne », souligne Audrey Dutray, petit-fille et fille des propriétaires. Quand les raisins arrivent à leur pleine maturité, le domaine procède à une vendange nocturne. « Nous vendangeons la nuit en raison de la température qui est encore fraiche. De cette manière, nous évitons la fermentation prématurée des raisins », nous explique-t-on. Côté vinification, le maintien des températures de fermentation ainsi que la réfrigération des macérations des vins blancs et rosés sont assurés par des drapeaux flottants. L’élaboration des vins se réalise dans des cuves en inox et en béton. Les cuvées emblématiques La maison est particulièrement fière de ses deux rosés : « Terres du Loou » et « Rosée de Printemps ». Obtenu à partir de l’assemblage de cinsault, de grenache et de syrah, le premier est un vin très aromatique qui surprend par sa fraicheur intense. « C’est un vin plutôt thiolé qui séduit largement notamment pour l’apéritif », dévoile Audrey. La cuvée « Rosée de Printemps » est, quant à elle, un assemblage de grenache et de syrah. « Le choix du syrah lui procure une note amylique apportant beaucoup de douceur et plus de rondeur. Il s’agit d’un rosé original, gourmand et assez gastronomique. » ...

Bourgoin Cognac : une nouvelle vision d’un cognac de vigneron authentique et sincère

Pour Frédéric Bourgoin, le temps est venu de dépoussiérer l’image désuète associée au cognac. Un phénomène qui – d’ailleurs - mérite amplement une réflexion. Dans son propre pays natal, ce spiritueux a été relégué au rang de digestif de vieux pépères. Une situation inadmissible pour ce jeune vigneron qui aspire à tellement mieux pour un si beau produit. Histoire de faire bouger les lignes du cognac, il s’est alors imposé une nouvelle vision directrice. L’idée ? « Proposer une approche viti-vinicole naturelle, de la transparence à outrance, et un soupçon d’innovation ». De la vigne au verre À côté des grandes marques de cognac, les faiseurs de petits volumes tentent de se tailler une place au soleil en adoptant une toute approche dans la production de leurs spiritueux. C’est le cas de Bourgoin Cognac.   Cette maison implantée sur la commune de Saint-Saturnin, dans le village de Tarsac fait appel à l’expérience familiale, l’amour du terroir et l’innovation pour tirer son épingle du jeu. Constitué en 1930, le domaine a vu succéder quatre générations de vignerons et s'étend aujourd'hui sur les crus premiers bois (hautement revendiqué), petite champagne et fins bois. Frédéric est particulièrement admirateur du terroir des premiers bois. « C’est un minuscule cru oublié de la carte AOC cognac du 1er Mai 1909, doté de sous-sols calcaires du Crétacé (cénomanien moyen) », communique-t-il. Ce fort attachement à la terre s’illustre par des méthodes de fabrication typiques. « Je m’obstine à faire des cognacs « nature » qui expriment au mieux le terroir qui les a vus naître. Donc chez moi pas d’assemblages, pas de filtrations, pas de colorants, et pas de sucres ajoutés ». En clair, le produit et rien d’autre. Pour aller encore plus loin dans sa démarche, le vigneron-terroriste fait aussi tout lui-même, aidé de quelques membres de la famille. De la récolte des raisins, au pressurage, en passant par la distillation jusqu’au vieillissement, le domaine maîtrise l’ensemble de la chaîne de production. Quelques ambassadeurs de la maison L’innovation constitue l’une des marques de fabrique de Bourgoin Cognac. Une philosophie qui se découvre à travers le Micro-barrique 1998. Ce cognac XO est élevé dans des micro-barriques de 10 litres, ce qui lui donne plus de rondeur et de suavité. Ce n’est pas tout. « Ces contenants sont surchauffés à l’intérieur à l’aide de charbon actif qui va capter les éléments trop agressifs du cognac et le rendre plus doux en bouche. C’est ce qu’on appelle la méthode du bousinage crocodile », nous informe notre interlocuteur. L’objectif étant de redonner l’envie à certaines personnes qui boudaient le cognac de se remettre à en déguster. Pari gagné. Les produits Bourgoin Cognac commencent à imposer leur signature auprès du cercle très fermé des jeunes branchés parisiens. « Nous avons pour ambition de plaire notamment aux trentenaires qui ont envie de se différencier de la consommation de leur papa plus axé sur le whisky et qui redécouvrent cet alcool français oublié. Cette jeunesse qui aime déjeuner dans les restaurants gastronomiques, en quête de naturalité, de produits vrais et authentiques, de structures familiales et de produits en direct du producteur. Bref, ceux qui ont en marre d’acheter des marques déconnectées du terrain. » Message clair et limpide Monsieur Bourgoin ! ...

Le secteur sanitaire au CFA SMS Centre-Val de Loire

Le CFA SMS Centre-Val de Loire a été créé en 2012. Il forme par l'apprentissage aux métiers du secteur social et médico-social. En 2017, un nouvel arrivant : le diplôme d'État d'infirmier, dispensé par les Unités de Formation d'Apprentis de l'Institut Régional de Formation Sanitaire et Sociale (IRFSS) de la Croix-Rouge à Chambray-lès-Tours (37) et de l'Institut de Formation aux Soins Infirmiers (IFSI) de Dreux (28). La formation au diplôme d'État d'infirmier par l'apprentissage était jusque-là, pour des raisons historiques, rattachée au CFA du Campus des Métiers de Joué-lès-Tours. En transférant ce diplôme au CFA SMS Centre-Val de Loire, l'intégration du sanitaire et du social prend tout son sens, conformément aux souhaits de la Branche Associative, Sanitaire, Sociale et Médico-sociale à but non lucratif (BASS), qui labellise un CFA sanitaire et social par région. Une offre de formation ajustée pour les cinq ans à venir Dans le cadre du renouvellement conventionnel, chaque CFA va s'engager avec la Région Centre - Val de Loire pour la période 2017-2022. C'est l'occasion de faire le point sur l'offre de formation, en la redéfinissant, en l'adaptant en fonction des besoins sur les territoires. Une meilleure articulation avec le médico-social ne peut être que bienvenue, car la frontière est souvent ténue entre les besoins sur le plan strictement sanitaire et la prise en compte des problématiques concernant les personnes âgées dépendantes, l'aide à domicile ou le handicap. Devenir infirmier par l'apprentissage C'est possible depuis 2010, mais cette voie d'accès au diplôme d'État n'est pas assez connue. Compte tenu de la durée des études (3 ans) et des 1800 heures de cours magistraux et travaux dirigés, la formation en apprentissage est actuellement centrée sur la troisième année du cursus. ...

Castelnaudary : immersion au cœur du Pays cathare

C’est à une heure de la mer Méditerranée que se dresse cette petite ville fière de ses villages et cités fortifiées, héritage d’un passé à forte résonance cathare. Randonnées, visites guidées, circuits sur la célèbre route du cassoulet  ou promenades en bateau sur le canal du midi sont autant d’occasions de découvrir la richesse de ce patrimoine atypique. Ce trésor, fierté de tous les habitants, se célèbre à l’occasion de fêtes et d’événements organisés chaque année dans le but de partager, de faire revivre et de faire découvrir les traditions ancestrales qui ont forgé la réputation, relativement gourmande, du Pays cathare. Un riche patrimoine témoin d’un passé glorieux Castelnaudary se situe d’emblée au cœur d’une région marquée par une forte identité cathare. Ce catharisme, se reflétant dans le visage fortifié des cités et des bâtisses emblématiques de la ville, fait l’objet d’une préservation entamée dans le but de garantir l’authenticité d’un paysage haut en couleur, embelli par les champs de tournesol, de blé ou par les vignobles. Sur les traces de cette civilisation, consacrez quelques heures à la visite de l’abbaye de Saint-Papoul, une ancienne cathédrale abritant, dans le réfectoire des moines, les œuvres d’art du maître de Cabestany datant du XIIe siècle. Sillonnez également les ruelles du centre historique de Castelnaudary où se dressent de nombreux monuments, à l’instar de la Halle de Verdun, le musée du Lauragais, la chapelle de Notre-Dame-de-Pitié ainsi que la collégiale Saint-Michel. Découvrez, entre autres, l'activité meunière de la région, son histoire et ses traditions, lors d’une visite du fameux moulin de Cugarel, datant du XVIIe siècle, depuis lequel vous pourrez admirer la plaine céréalière du Lauragais ainsi que la montagne Noire. C’est d’ailleurs depuis cette montagne que coulent les eaux stockées dans le site de Saint-Ferréol et partagées ensuite au niveau du Seuil de Naurouze pour donner naissance au canal du Midi. Point de départ de ce canal séculaire, Castelnaudary a conservé les aspects emblématiques de cet ingénieux système hydraulique, inauguré en 1681, à l’instar des quatre écluses Saint-Roch, du grand bassin et du port doté de hangars de stockage céréalier que vous pourrez admirer lors de balades en bateau.   Castelnaudary : capitale mondiale du cassoulet Le cassoulet, une spécialité gastronomique qui caractérise Castelnaudary et qui fait sa réputation internationale. Ce plat emblématique trouve, en effet, ses origines historiques dans ce petit coin du sud-ouest de la France. L’art de vivre y est ainsi tourné autour du cassoulet, ce qui explique la tenue de nombreuses festivités organisées pour le célébrer, pour ne citer que la célèbre fête du cassoulet, un événement résolument familial ponctué d’animations, de visites de villages et de concerts gratuits. À l’image des fameuses routes du vin, cette recette possède également sa propre parcelle de route : la route du cassoulet. S’étendant sur 180 km entre Castelnaudary et Carcassonne, cette dernière regroupe tous les acteurs qui rentrent dans la composition de ce plat exquis et gourmand, allant des cultivateurs de haricots aux éleveurs de canard, en passant par les potiers dont certains font partie intégrante de la tradition du cassoulet, comme la famille Not et ses poteries artisanales classées Patrimoine vivant. Ce parcours, créé en 2007, est, par ailleurs, l’occasion de s’imprégner de la gastronomie locale, lors d’ateliers de cuisine organisés sur réservation par l’office de tourisme, durant lesquels tous les secrets du cassoulet vous seront révélés, ou lors de dégustations de vins audois au cœur des domaines viticoles qui longent cette route agrotouristique. ...

La Vague d'Or, escapade bucolique en Méditerranée

Tel un chef d’orchestre, Arnaud Donckele dirige une équipe de choc composée de 21 passionnés tous aussi doués les uns que les autres. Thierry Di Tullio, le directeur du restaurant La Vague d’Or ; il a été récemment élu « Meilleur directeur de salle de l’année 2016 » par le guide Gault & Millau. Avec lui, le chef sommelier Franck Perroud élabore les meilleurs accords pour sublimer les créations culinaires du chef. En cuisine, aux côtés d’Arnaud Donckele, le chef pâtissier Guillaume Godin s’occupe de ravir les palais avec ses desserts gourmands et raffinés.   Arnaud Donckele, artisan du goût Si la cuisine était une musique, alors Arnaud Donckele, chef du restaurant La Vague d’Or, serait tout simplement Mozart. Petit-fils d’agriculteurs, ce prodige de la cuisine a fait ses armes auprès des plus grands noms de la cuisine française, comme Michel Guérard, Alain Ducasse et Jean- Louis Nomicos, au Lasserre. En 2005, il décide de voler de ses propres ailes et débarque à La Vague d’Or, où carte blanche lui est donnée au regard de son parcours déjà impressionnant. D’une créativité sans limites et d’une grande rigueur au travail, il met en avant son amour pour la cuisine provençale et méditerranéenne. La consécration est indiscutable et ne tarde pas à venir. En 2013, il est couronné de trois étoiles au Guide Michelin, ce qui fait de lui le plus jeune chef étoilé en France à 35 ans. En 2016, c’est au tour du guide Gault & Millau de lui décerner 5 toques. Cuisinier hors pair, Arnaud Donckele s’essaye aussi à la littérature. À l’instar de son ancien mentor Alain Ducasse, il a édité un Best of (Éd. Alain Ducasse, 2015) de ses 11 meilleures recettes ainsi que l’ouvrage Ma Provence (Flammarion, 2015), dans lequel 60 recettes typiquesde la Provence sont dévoilées.   Une cuisine entre terre et mer À La Vague d’Or, une cuisine gastronomique issue du terroir provençal et méditerranéen est mise en avant. Les produits frais de saison, en provenance des petits producteurs du littoral varois, y sont privilégiés. Arnaud Donckele met à contribution avec raffinement les herbes de Provence pour illuminer ses plats, à l’image de sa « pâte Zitone », délicatement fourrée de truffe noire et de foie gras avec l’artichaut violet en trois textures, rehaussé de basilic. Le chef affectionne particulièrement les alliances, parfois insolites et audacieuses, cuisinées avec subtilité, tel le homard combiné avec la truffe noire de Carpentras. La cuisine de La Vague d’Or, c’est aussi une valse entre terre et mer, à l’exemple du râble de lapin roulé au lard paysan « façon Claudette » et homard bleu. Pour aller à la découverte du pays des délices d’Arnaud Donckele, trois menus sont proposés. En quatre actes, « L’escapade gourmande » retrace l’identité des plats tirés de la bouillabaisse, fondement de la cuisine provençale. « Au fil du temps », décliné en cinq actes, est la composition des plats traditionnels et des plats modernes mise en harmonie. La formule en huit actes de la « Balade épicurienne » propose de faire découvrir la philosophie culinaire de la maison. Quant à la carte de La Vague d’Or, elle est une invitation au voyage entre terre et mer... ou les deux. Ainsi, on se plaira à déguster les « langoustines vivifiées au pamplemousse en deux séquences », suivies d’un « mignon de veau à la mode carqueirannaise », pour terminer en beauté avec le « feuille à feuille aux dix agrumes ». ...

Yoran embanner, l’éditeur breton engagé

Pas de doute : Yoran Delacour, le gérant des Éditions Yoran Embanner, est un homme engagé ! Le petit éditeur breton qui voit loin « dans le temps et dans l’espace géographique » défend en effet le projet de bâtir une démocratie bretonne ayant son propre gouvernement. « Et je m’intéresse à tous les peuples en situation similaire qui n’ont pas eu de chance dans l’Histoire. Les nations sans État comme les Alsaciens, les Flamands, les Corses, les Catalans, les Kurdes... En fait, tous ces peuples qui veulent se réapproprier leur Histoire, leur culture, leur langue et leur destin. »  Éditions Yoran Embanner : bâtir une démocratie bretonne Cet engagement transparait dans son catalogue. Une part est consacrée aux essais politiques et aux histoires des régions « qui ne sont jamais neutres. On donne le point de vue des gens du cru ». Yoran Embanner s’est aussi spécialisé dans la publication de dictionnaires de langues peu parlées ou peu connues. Français/roumain, français/lituanien, français/basque, français/gaëlique écossais, français/corse, français/kurde : « Environ 4 dictionnaires sont publiés chaque année en plus de 22 nouveaux livres. »  L’éditeur breton n’oublie pas non plus de rendre hommage à sa région avec plusieurs livres sur le patrimoine, la nature et l’architecture ou même des polars régionaux. À retrouver dans toutes les bonnes librairies ou sur son site Internet. ...

Restaurant La Treille Muscate : à chaque saison sa carte

A mi-chemin entre Valence et Montélimar, La Treille Muscate est un charmant restaurant-hôtel trois étoiles au cœur du village de Cliousclat. Elle est implantée dans une magnifique bâtisse de pierre typique de la région, recouverte de vigne vierge, calme et paisible et qui jouit d'une vue imprenable sur les villages haut perchés de la vallée de la Drôme provençale. Une cuisine de saison A la Treille Muscate, les assiettes du chef Eric Richard sont de véritables œuvres d'art, à la fois délicieuses et élégamment présentées. La toque au Gault et Millau, la fourchette et le Bib gourmand au guide Michelin sont la preuve d'une cuisine d’excellence et raffinée. Le restaurant est également référencé dans de nombreux guides tels que le Guide du Routard, les Tables et Auberges de France, le Petit Futé ou encore le Gault et Millau. De même, il est présent dans le mythique guide du voyageur anglais : Alastair Sawday’s. Variant suivant les saisons, la carte propose en entrée un Foie gras de canard mi-cuit au torchon. Dans la gamme des plats de résistance, l’Agneau des comtes de Provence grillé au thym frais satisfera toutes les gourmandises. Pour clore en beauté le repas, rien de tel que les glaces et les sorbets faits maison présents à la carte toute l’année. Côté cave, la carte de la Treille Muscate est particulièrement bien fournie, avec une belle sélection de vins AOC Côtes-du-Rhône proposés par des vignerons locaux. Un endroit de charme Le restaurant la Treille Muscate offre une chaleureuse table dans un environnement calme et reposant propice au repas en famille, entre amis ou en couple. Pour profiter de la belle saison et d'une vue superbe donnant sur le lac, le jardin avec ses 55 couverts et la terrasse de 25 couverts invitent à la détente. Blottis dans ce cadre verdoyant, les convives profitent d’une ambiance conviviale et chaleureuse pour des moments gourmands inoubliables. A l’intérieur, la salle voutée capable d’accueillir 60 couverts, garantit quant à elle une atmosphère plus intimiste. La décoration joue sur les couleurs pour conférer plus de dynamique au restaurant. Les clients s’y sentent comme chez eux grâce à l’ingénieux choix des meubles embellissant les lieux et leur agencement. ...

Maison Moillard : la quintessence du
pinot noir au cœur de Nuits-Saint-Georges

L’exploitation est implantée dans le village de Nuits-Saint-Georges et s’étend sur la Côte de Nuits et la Côte de Beaune. Des appellations qui sont connues pour l’élaboration de vins rouges de qualité. Aujourd’hui, l’ensemble du domaine Moillard est conduit en viticulture raisonnée, sous l’œil avisé de Jacques Briday, chef de culture. De la vigne au vin, tout se fait dans le respect de la tradition bourguignonne. Une famille, un domaine La famille Moillard et le vin ne font qu’un. Bien avant la Révolution française, cette famille menait déjà une importante activité viticole à Nuits-Saint-Georges. Mais ce n’est qu’en 1850, sous l’impulsion de Symphorien Moillard, que la maison a connu un réel essor. « Il s’agit de l’une des plus anciennes maisons de Bourgogne, dont les valeurs sont l’authenticité, la qualité, l’héritage, la générosité et le savoir-faire », souligne Cathy Stoffel, cheffe de produit. Un adepte de la viticulture raisonnée Sur ce vignoble d’une dizaine d’hectares planté en pinot noir et en chardonnay, Jacques Briday et son équipe appliquent une viticulture raisonnée, tout en adoptant des pratiques culturales respectueuses de la Nature. Ici, chaque parcelle est travaillée selon ses propres besoins. Résultat, des raisins de qualité qui atteignent une maturité optimale et qui seront vendangés manuellement. De longues cuvaisons La maison Moillard se démarque par des techniques de vinification qui nécessitent très peu d’intervention humaine. « Une des particularités du domaine réside dans le fait que la réception en vendange et la vinification se font par système de gravité », explique Baptiste Corrot, œnologue au domaine. Pour élaborer ses vins rouges, la maison procède d’abord à un tri rigoureux des baies avant de les acheminer vers les cuves grâce à des petits bacs. Les jus font l’objet d’une macération post-fermentaire durant plusieurs jours. Au niveau des blancs, les raisins sont délicatement pressés puis débourbés. Suivent une fermentation en cuve thermorégulée ou en fût de chêne (selon les appellations) et un bâtonnage régulier en vue d’apporter plus de complexité aromatique. Des cuvées d’exception Le domaine Moillard produit pas moins de 4 appellations, dont Bourgogne Hautes Côtes de Nuits, Côte de Nuits Villages, Savigny-lès-Beaune et Nuits-Saint-Georges Les Argillats. Parmi les nombreuses cuvées de la maison, la cuvée « Nuits-Saint-Georges Les Argillats » est la plus représentative. Au nez, ce vin dévoile des arômes de fruits rouges mâtinés d'épices. En bouche, celui-ci se révèle riche, dense, rond et suave, porté par des tanins fins et soyeux. ...

Restaurant La Morille : un effet de surprise assuré

Lyon est connu pour ses Théâtres et Odéons Antiques et Gallo-Romaine ou ses musées miniatures et cinéma ou Gadagne. Mais à côté de ce décor touristique, le Vieux Lyon cache dans ses petites rues pavées des restaurants qui proposent la découverte de la ville et de la région avec des saveurs insoupçonnées. Parmi eux, La Morille accueille ses convives dans un cadre simple et cosy de la Rue Mourguet. Une adresse surprenante pour les gourmands et gourmets animés par la faim et la curiosité.   Une décoration simple et chic La Morille est un restaurant situé entre la cathédrale Saint Jean Baptiste et l’église Saint George, à la sortie de métro du Vieux Lyon. La proximité est privilégiée dans cette petite salle sympathique, sobre et sans prétention. La grande façade entièrement vitrée se présente comme une invitation à table. Depuis la rue, on peut y voir la salle au complet et la cuisine ouverte où le Chef s’active pour émerveiller les papilles. Elle laisse également la lumière du jour illuminée la salle à manger. Les matériaux naturels comme les murs de pierres apparentes donnent toute son authenticité à l’établissement. Il en est de même pour le bois de poutres apparentes du plafond de la mezzanine, celui de l’escalier qui mène vers cette dernière et celui des tables qui sont laissées à découvert. Si l’ambiance est conviviale dans la salle à manger, elle est plutôt intime au niveau de la mezzanine.   Une cuisine conviviale et innovante La Morille se veut être un restaurant français classique, mais le Chef Jean Noël Crouzet s’autorise parallèlement des escapades dans des contrées culinaires non explorées comme avec son « Raviole (Maison comme tout ici) aux Escargots et Chanterelles sauce au Vin Jaune». Etant un Chef reconnu de la gastronomie lyonnaise depuis près d’une vingtaine d’années et maintenant reconnu comme Maître Restaurateur, il peut se le permettre. La carte est sélective et varie suivant les produits de saison, c’est le gage d’une cuisine de qualité et intégralement fait-maison. D’ailleurs, le Chef travaille les produits devant les yeux attentifs des convives, une pratique qui donne déjà l’eau à la bouche. Au niveau du service, le responsable reste disponible pour conseiller les clients à propos du menu et de la carte des vins. Et à la fin du repas, le Chef ne rate pas une occasion d’échanger quelques mots avec les convives avec qui il partage même ses recettes. Au niveau des assiettes, on a rarement vu des présentations aussi raffinées. Elles sont dignes des plus grands restaurants gastronomiques. L’assaisonnement et la cuisson ne sont pas en reste. Le menu comporte une douzaine de suggestions dont quatre entrées, quatre plats et quatre desserts. Dès que la « Crème brûlée de foie gras morilles » est déposée sur la table, on imagine les ingrédients qui fondent sous le palais. Le « Pâté en croute de volaille et légumes du marché » est disposé dans l’assiette de façon à ce que les ingrédients soient équilibrés à chaque bouchée. Il fallait y penser ! Les gourmets ne laisseront pas une miette de la  « Royale à l’ail des ours, grenouilles fraiches désossées, morilles et petits légumes », tout simplement savoureuse avec les Morilles qui baignent dans une fondue d’échalotes et les petits légumes croquants. Vient ensuite le plat de « Ris de veau aux Morilles » d’où on peut y reconnaitre la signature de la maison. L’autre option est le « Magret de canard au Chutney de Griottes» qui est tout aussi succulent que les autres recettes. Pour couronner le tout, laisser de côté le régime le temps d’un dessert ne fera de mal à personne. De toute façon, il est difficile de résister au charme du « tout chocolat » ou de la « structure chocolat et glace verveine ».   ...

Château Gaby : le terroir Fronsac dans toute sa splendeur

Situé au sein de Canon-Fronsac, petite appellation de Bordeaux d’environ 300 hectares de vignes et qui réunit 46 producteurs, le Château Gaby, créé en 1660, est un vignoble emblématique de par sa situation et sa belle architecture. Celui-ci a été repris par David Curl en 2006, avec sous sa direction Damien Landouar. Le domaine s’est donné dès lors pour objectif de promouvoir la qualité du vin de Fronsac, en prouvant que le haut du panier n’a rien à envier aux grands crus de Saint-Émilion. C’est donc un travail des plus méticuleux qui est exécuté par Damien Landouar et son équipe, qui ont vu décerner à leurs belles bouteilles de magnifiques récompenses. Le travail minutieux de sols diversifiés L’ensemble des vignes du domaine s’étend sur 16 hectares de sols à dominance calcaire, dont 80 % en jolie exposition sud, très favorable à la culture du merlot. Dans ce fameux paysage vallonné surplombant la Dordogne et faisant le charme de Fronsac, le plateau est argilo-calcaire, et la plaine argilo-sablonneuse. C’est un microclimat frais, et plus précisément maritime bordelais, qui couvre toute la propriété. C’est une agriculture bio de grande exigence que met en avant le domaine, pour obtenir le meilleur des vignes. Ainsi, l’utilisation de produits certifiés bio, à l’instar de la bouillie bordelaise traditionnelle, est de rigueur, principalement pour traiter les vignes contre les maladies. L’élaboration des sols est faite à l’ancienne, et donc à cheval sur les meilleures parcelles. Le domaine sème ses propres engrais bio, et enlève tout ce qui est chimique, afin de prolonger la vie des sols. Les pesticides sont également prohibés et la présence des engrais biologique dans cette agriculture bio permet aux racines de s’enfoncer dans la terre et de chercher plus de richesses dans le sous-sol. Entre autres, le domaine travaille selon 4 principes : Vendanger un raison mur, vinifications naturelles avec peu de souffre et levures indigènes, élevages en barriques en cherchant des tannins élégants, pas de filtrage ou de collage avant la mise en bouteille. Des vins de caractère L’expression de Fronsac regroupe 12 Châteaux des appellations Fronsac et Canon-Fronsac, des vins de garde de qualité et de précision. Pour le Château Gaby en particulier, c’est 3 vins différents et 3 sélections parcellaires différentes. Les pourcentages de cépages utilisés par le domaine sont à 80 % de merlot, 10 % de cabernet franc et 10 % de cabernet sauvignon. Parmi les vins, la Cuvée Gaby, petite production confidentielle avec environ 1 800 bouteilles produites par an. Vinifié avec zéro soufre ajouté et des macérations froides pleines de particularités, c’est un vin complexe nécessitant beaucoup de carafage. Cette bouteille issue de la parcelle à dominance calcaire est reconnue à l’échelle mondiale pour son caractère atypique. La Cuvée Gaby s’est hissée en tête de classement des vins à l’aveugle, surpassant 600 bouteilles toutes appellations confondues, devant un grand jury en 2008. Le Château Gaby est non seulement un grand vin de garde, mais également le grand vin de la propriété. Il est issu des parcelles argilo-calcaires et, pour ce vin, environ 40 000 bouteilles sont produites par an. Élégant et équilibré, il est reconnu pour sa richesse et sa finesse de bouche ronde. Ce délice est est régulièrement un coup de cœur du Guide Hachette. Les Roches Gaby, c’est le vin issu de la plaine argilo-sablonneuse du domaine. Ce paramètre donne à cette belle bouteille un caractère souple, fruité et plein de richesse. Il est consommé plus jeune que le Château Gaby. Ces vins sont servis dans de grands restaurants de Londres comme chez Marcus Wareing au Berkeley Hotel, ou encore au Goring Hotel. De plus, les vins sont en vente directe à la propriété ainsi qu’exportés dans un vingtaine de pays du monde. ...

un authentique restaurant indien venu d'ailleurs

Après plusieurs expériences réussies dans la restauration notamment dans de nombreux restaurants indiens, Julia et Sanjeev Kumar ont choisi de s’installer à Vannes. Ce sympathique couple de restaurateurs accueille ses convives du mardi au dimanche soir, dans son nouveau restaurant indien Les Saveurs de l’Inde, situé rue Thiers. L’établissement séduit par l’authenticité des goûts et les senteurs de ses plats, en plus d’offrir un cadre chaleureux et une fourchette de prix plus que raisonnable avec « un ticket moyen abordable de 16 à 20 € par personne », nous souffle-t-on. Familles, couples et groupes d’amis aiment s’y retrouver pour partager un repas en toute convivialité.   Une authentique cuisine indienne Aux Saveurs de l’Inde, « c’est surtout les plats du Nord et la cuisine traditionnelle indienne avec des plats végétariens et d’autres avec de la viande », décrit Julia Kumar. Pour conserver la nature des aliments et en relever le goût, les produits et épices utilisés en cuisine (riz basmati, principales épices…) sont pour la plupart « directement importés de l’Inde », tient-elle à préciser, avec toutefois quelques infimes produits du marché, mais toujours préparés selon les principes de la tradition indienne. Les plats de viande sont majoritairement composés de poulet et d’agneau, mais on y sert aussi des fruits de mer. Avec ses 7 plats végétariens et ses formules pour végétaliens, Les Saveurs de l’Inde accordent toutefois une attention particulière à tous ceux qui ne sont pas friands de viande.   Une carte des desserts variée La carte des desserts du restaurant est aussi riche que rafraichissante, avec un large choix de mangomastani, de coupes maharani à la mangue fraiche (la spécialité de la maison), de glaces maison aux pistaches (kulfi) et de gajarhalua (gâteau de carotte au cœur d’amande)… Un vrai délice pour les palais. Le restaurant propose également une longue liste de délicieuses boissons atypiques de l’Inde pour accompagner idéalement les repas, allant d’une ribambelle de thés variés aux liqueurs de mangue, en passant par des bières et vins d’origine indienne, particulièrement appréciés des clients.   L’art de la culture indienne en tableaux Le restaurant Les Saveurs de l’Inde aime aussi faire découvrir à ses clients et visiteurs de passage la beauté de la culture indienne et ses particularités. Pendant deux mois ont été exposés des tableaux de peinture inspirés de la culture indienne (mandalas) et autres œuvres photographiques de la talentueuse Yona Colette Pruvot, une artiste locale et professionnelle de la danse traditionnelle indienne. Un évènement qui a particulièrement marqué les esprits par son originalité et son authenticité. ...

Le Château du Bois Guy, le raffinement et la saveur

Situé à Parigné, entre Rennes et Fougères, le restaurant fait partie intégrante de ce magnifique château datant du XVIème siècle, entièrement rénové alliant modernité et charme historique. L'établissement est un hôtel 4 étoiles de 19 chambres classé  « Relais du Silence et Symbole de France ». De nouvelles chambres sont en cours de construction ainsi qu’un spa avec un espace dédié bien-être. La propriété, qui s'étend sur près de 78 hectares, englobe le château, une chapelle, un practice de golf (la construction du parcours de 9 trous débutera en 2017 et par la suite un 18 trous) et un parc avec un étang où chevaux et autres animaux cohabitent paisiblement. A noter que le célèbre Mont Saint-Michel se trouve à 30 minutes de voiture du Château du Bois Guy.   Le château à travers l'histoire Le Château de Bois Guy, de style Renaissance, a été édifié au XVème siècle du temps des seigneurs bretons. Parmi ses plus illustres propriétaires figure Aimé Picquet du Bois-Guy, un chef de partisans royalistes du temps de la Révolution, qui a d'ailleurs laissé son nom à la propriété. En 2009, Michael Linhoff et Mathias Haefeli en font l'acquisition. Aujourd’hui, c'est grâce à ces deux hommes passionnés et les travaux de rénovation qu'ils ont menés que le Château est devenu un Domaine résolument chaleureux et élégant.   Un domaine magnifique, une cuisine exceptionnelle L’équipe de restauration, sous la houlette de Line Schmidt, attache une importance toute particulière à l’utilisation de produits frais et de saison, issus de producteurs locaux pour servir une cuisine de grande qualité. C’est ainsi que le restaurant a été récompensé en 2015 par l’obtention du label "Restaurant de Qualité" reconnu par le Collège Culinaire de France. L’équipe, toujours en quête de perfection, a également en ligne de mire une étoile au Guide Michelin. La carte et les menus sont régulièrement renouvelés selon les inspirations, sans cesse teintées d’originalité de la chef. Pour se donner une idée de la frugalité des plats, voici quelques suggestions proposées dans le menu à 40 €. En entrée au choix : Velouté de Topinambour à l’huile de Truffe & Coquilles Saint-Jacques ou la Panna Cotta de Légumes de saison & salade avec sauce aux Herbes Sauvages.  Pour le plat, choisissez entre le Filet de Saint Pierre, accompagné de petits Navets et mini Poireaux ou Magret de Canard, Pomme Anna & Champignons, servi avec sa Sauce au Vin Rouge. En dessert, rien de tel qu’un Gâteau Mazarin accompagné de Fruits de Saison & de Caramel au Beurre Salé. ...

Champagne H. DAVID HEUCQ  :
amour du terroir et savoir-faire

La famille DAVID-HEUCQ a choisi les méthodes d’exploitation durables pour ses neuf hectares de vignes, afin de préserver les bijoux rares que sont l’environnement et le généreux terroir. Le mariage entre cet amour du terroir, cette rigueur et le savoir-faire garantit raffinement, saveur et caractère aux champagnes H. DAVID HEUCQ. À chaque moment son champagne Environ 85 000 bouteilles de champagne sont produites au domaine H. DAVID HEUCQ chaque année, pour faire le bonheur des œnophiles. La nature s’exprime à travers la large palette proposée par la maison : Réserve Brut, Extra Brut, Rosé Brut, Brut Chardonnay,  Délicate Demi-sec, cuvée millésime 2012, Brut millésime 2011, Brut Étincelle et Brut Étincelle Rosé. Ces références uniques dans leur genre sauront trouver leur place dans tous les événements et pour toutes les circonstances : déjeuner, apéritif, réception, etc. Mais parmi tous ces trésors, l’Extra Brut sort du lot. Cette cuvée est obtenue par l’assemblage de 85 % de pinot meunier, de 5 % de pinot noir et de 10 % de chardonnay, puis conservée pendant trois ans. Cette maturité s’exprime par un nez ouvert. Révélant des notes de fruits à chair jaune et une petite touche de caramel, l’Extra Brut est une véritable merveille gourmande. Les nombreuses récompenses reçues (Decanter, Guide Hachette, Gilbert & Gaillard, Concours Général Agricole, Concours ELLE A TABLE de Paris, Concours International de Lyon...) témoignent largement de ses mérites. À la découverte du champagne Amoureux accomplis de leur vignoble et du champagne, les membres de la famille DAVID-HEUCQ sont enchantés de recevoir clients et touristes dans leur domaine. Un caveau d’accueil y est installé, destiné à accueillir jusqu’à 50 personnes. Les déjeuners dans cet écrin de convivialité permettent de profiter de moments gourmands accompagnés de délicieux champagnes au milieu de la nature. Les convives sont également invités à découvrir la cave, la cuverie et les différentes machines (dégorgement, habillage...) ou à déguster des champagnes durant les visites classiques ou les journées portes ouvertes organisées par la maison. ...

Atelier de Sèvres : laboratoire des artistes de demain

Depuis sa création, l’objectif de l’établissement reste le même : assurer la réussite aux concours et l'épanouissement artistique de ses étudiants. Aujourd’hui, l’école a relevé brillamment le défi puisqu’elle affiche chaque année des résultats plus que satisfaisants aux concours des grandes écoles d’art et d'animation. À titre d’exemple, en 2018, sur les 81 candidats admis à la prestigieuse École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris (ENSBA), 21% sont issus de l’Atelier de Sèvres. Développer une personnalité artistique Les ateliers préparatoires permettent aux étudiants de se familiariser avec les outils techniques tout en assimilant les connaissances qu’ils devront mobiliser lors des concours. L’école propose un enseignement polyvalent en adéquation avec les réalités artistiques du moment, tout en laissant libre cours à l’expérimentation. Chaque étudiant doit développer « sa patte », trouver un regard unique en tant qu'artiste. Une préparation sur-mesure Les étudiants des classes Intermédia, qui font preuve d'une plus grande expérience artistique, sont suivis individuellement tout au long de l'année par un enseignant, la plupart du temps issu de l'école visée par l'étudiant. Il les guide dans leurs recherches et dans l'élaboration de leur dossier artistique, en apportant sa connaissance des attentes du concours et son expérience d'artiste. Car les enseignants de l'Atelier de Sèvres ont tous une pratique artistique. Afin de mesurer le progrès effectué, des concours blancs et simulations d'oral sont réalisés au cours desquels les étudiants sont tenus de présenter leur dossier artistique devant un jury. Ce travail de préparation soutenu et rigoureux constitue une des clés de réussite de l'Atelier de Sèvres. L'atelier supérieur d'animation Atelier de Sèvres a ouvert une formation supérieure de 3 ans en animation, à la suite du constat des professionnels sur le manque de scénaristes. La formation se concentre tout particulièrement sur le travail d'auteur, d'écriture de l'animation d'art et réunit aussi bien les compétences créatives que techniques afin que les diplômés maîtrisent toute la chaîne de production. Les étudiants créent un film chaque année au cours de l'atelier de réalisateur et sont en contact permanent avec les professionnels du secteur, que ce soit en cours, en workshop ou lors de conférences thématiques. C'est cette recette qui fait le succès de cette formation ouverte sur la création contemporaine. Les étudiants participent d'ailleurs au Festival d'Annecy, à la NEF Animation de l'Abbaye de Fontevraud, au Festival du film d'animation de Paris, au Festival international du film d'animation de Rennes, au festival Anima de Bruxelles, etc... ...

Stardust Masterclass : le site de formation de référence dans l’univers du cinéma

Après le succès de la plateforme de formations en ligne Formalis, Harriet Marin décide de créer une autre plateforme de formation dédiée au cinéma, à l’audiovisuel et à l’écriture, des domaines qu’elle connait bien.  L'objectif de Stadust Masterclass : devenir la référence en E-learning Pour devenir une plateforme de référence, cette scénariste et réalisatrice, qui a fait un Master de Cinéma à New York University et suivi en France une trentaine de formations, a contacté de nombreux professionnels de renom du secteur qui ont accepté de partager leur expérience, offrant ainsi aux apprenants les clés pour gagner du temps et faciliter l’accès à ces métiers réputés pour être fermés. De plus, grâce à un partenariat avec l’INA, il est possible de profiter de cours en présentiel. ...