Cette jeune compagnie se veut être le pionnier de l’authentique en proposant une grande variété de rhums élaborée dans les distilleries parmi les plus prestigieuses. Affectionnés par les consommateurs, les rhums au caractère affirmé de la Compagnie des Indes sont soit le fruit d’assemblages harmonieux entre différentes cuvées de qualité soit de fûts uniques provenant de terroirs de renom tels que la Jamaïque ou la Guyane. Des rhums complexes aux saveurs insoupçonnées « Un rhum au goût de rhum ». Ces propos de Florent Beuchet, gérant et fondateur de cette société, rappellent la noble quête d’honnêteté et d’authenticité dans laquelle il s’est lancé à ses débuts en 2013. C’est en sillonnant les mers, à la manière d’un pirate, qu’il part débusquer sous les tropiques les meilleurs rhums. Sélectionnés par fût, ces derniers sont ensuite assemblés et embouteillés en France ou bien directement embouteillés en France en single cask sans ajout, sans colorant, sans arômes et sans produits chimiques afin de « mettre des vrais rhums représentatifs de leur terroir d’origine en avant », affirme Florent. Riche de son parcours estudiantin en commerce international et de ses expériences dans le domaine des spiritueux, il souhaite partager sa passion en proposant des « rhums authentiques et très aromatiques », continue-t-il. Un plaisir gustatif sans égal En conservant les typicités de chaque terroir, Florent Beuchet mise sur une expérience gustative unique, composée, selon lui, « d’un éventail d’arômes très vaste et distinct selon la distillerie et le pays d’origine ». Les single cask présentés sont ainsi « surprenants », reprend-il. Autre ambassadeur de cette compagnie se trouve le Jamaïca Navy Strength, un rhum puissant, 100% 5 ans d’âge et embouteillé à 57° d’alcool en hommage à l’histoire de la marine britannique. Découvrez, également, le Tricorne, un fort et goûteux rhum blanc issu d’un assemblage unique au monde de rhums provenant des quatre coins du globe. ...
Élégant, prestigieux, somptueux… On serait vite tenté d’enchaîner les superlatifs pour décrire l’hôtel Westminster et ses deux restaurants ainsi que son bar, à savoir le Céladon, le Petit Céladon et le Duke’s Bar. En vérité, cet établissement est le meilleur endroit pour vivre une expérience gastronomique inoubliable. Le Céladon, un restaurant étoilé Le Céladon accueille ses convives dans un cadre unique bénéficiant d’un décor typiquement bourgeois. Ce restaurant étoilé au Michelin d’une capacité de 28 couverts promet ainsi une ambiance conviviale et raffinée. Le chef Christophe et sa brigade proposent un large choix de formules à l'instar du Menu express concocté en seulement trois quarts d’heure pour les plus pressés à midi. À noter que le Céladon change son menu très gastronomique toutes les semaines de façon à varier le plaisir des habitués. Le Petit Céladon, le relais week-end Durant le week-end, le Céladon ferme ses portes pour laisser place au Petit Céladon. Les convives sont bercés par une ambiance et un service nettement plus décontracté, sans se défaire du contexte d’un restaurant étoilé. La métamorphose concerne également la carte et l’art de la table. Cerise sur le gâteau : la légèreté est au rendez-vous en ce qui concerne les tarifs. Pour autant, les gourmets ont toujours droit à un menu-carte raffiné proposant une sélection minutieuse de produits frais et de qualité, qui est une ligne de conduite au Céladon. Le Duke’s Bar, le garant d'instants magiques Le Duke’s Bar mise quant à lui sur cette ambiance atypique des clubs anglais pour séduire, puis fidéliser les convives. Dans ce cocon feutré, rien de tel pour se retrouver entre amis et s’accorder des instants de pure détente. Les grands guides sont particulièrement conquis par ce lieu, qu’ils ont intégré dans le cercle très fermé des plus éminents bars de la capitale française. Au programme : snacking, apéritifs et spiritueux très appréciés de la clientèle. Ce coin bistronomique parisien est surtout reconnu pour son fameux club sandwich, mais aussi pour son cocktail de crevettes roses ou pour son inimitable burger de Kobe. ...
On le surnomme le château de la démesure. 426 pièces, 156 mètres de façade, 282 cheminées, 77 escaliers, plus de 800 chapiteaux sculptés : ce colosse de pierre reflète l’ambition insatiable d’un grand homme du XVIe siècle imprégné des idées de la Renaissance. Sa passion pour l’architecture, l’art, la culture et la chasse se découvre tout au long des visites, des spectacles et des évènements organisés au Château de Chambord. Singulière construction, emblème de la monarchie française Œuvre d’art d’exception, Chambord nait d’un désir de François Ier de construire un édifice beau, grand et somptueux. En 1519, il concrétise son rêve en choisissant ces terres marécageuses, au cœur d’une forêt giboyeuse et près de la rivière Cosson. Ce pavillon de chasse s’inspire des châteaux forts médiévaux, tout en livrant une silhouette empruntée à la Renaissance italienne. « Avec son donjon composé de quatre tours massives à l’esprit médiéval, la forteresse s’articule autour d’un axe central : le fameux escalier à double révolution inspiré des travaux de Léonard de Vinci », décrit Pauline Savoyini, chargée de communication. Ce vieux génie polymathe de De Vinci, très proche du roi François Ier, qu’il appelle d’ailleurs « Mon père », a largement contribué à l’identité architecturale de la demeure. Les deux impressionnants escaliers menant jusqu’aux terrasses en haut ressemblent à une double hélice d’ADN et tournent dans la même direction sans jamais se croiser. Éveil à la nature Du haut de ces terrasses à l’italienne rehaussées de petits dômes, de clochetons, de lucarnes et de balustrades sculptées apparait une vue admirable sur le parc, qui représente le cœur même du projet royal de François Ier. « Il s’agit du plus grand parc forestier d’Europe qui s’étend sur une superficie de 5 440 hectares et qui se découvre grâce à des balades à vélo, en voiturette électrique ou même en calèche, via les sentiers qui couvrent 900 hectares depuis l’été 2016 », explique Pauline Savoyini. Cette réserve naturelle abrite une faune et une flore emblématiques, notamment une importante population de cervidés, faisant aujourd’hui l’objet d’un programme scientifique. Une étude intitulée « Chasse et dynamique des populations d’ongulés sauvages » est menée en collaboration avec la fondation François Sommer et l’Office national de la chasse et de la faune sauvage. L’objectif est de modéliser la démographie des cerfs et des sangliers et de mettre en place des outils cynégétiques destinés à assurer la gestion durable des écosystèmes. Une programmation culturelle à la hauteur des lieux Grand amateur de chasse, François Ier manifeste également une passion effrénée pour les arts. C’est d’ailleurs sous son règne que débute la collection d’œuvres d’art des rois de France présentée au Louvre. À l’époque, plusieurs artistes participent aux divertissements et fêtes de cour organisés par le monarque. Dans une volonté de pérenniser cette tradition artistique, Chambord a mis en place une riche programmation culturelle s’articulant autour de la musique, des beaux-arts, du texte, de la danse et du théâtre. Parmi les événements phares figure le Festival de Chambord qui se tient au mois de juillet et dont la programmation marie harmonieusement style musicaux et époques. Autre incontournable : le concert de trompes orchestré par les Sonneurs de l’École de trompe de Chambord partageant la scène avec l’un des meilleurs groupes du moment. Régulièrement, le domaine reçoit des artistes en résidence ayant pour mission de réaliser des créations originales et d’initier le public à l’expression artistique. Du 16 octobre 2016 au 12 février 2017, il présente l’exposition de fin de résidence de Kôichi Kurita Terre Loire dans laquelle le public peut d&...
Mettre en place un partenariat créatif avec ses clients Formée à l’école Ericksonienne, Jane Hodgson a une approche du coaching à la fois globale, concrète, pragmatique et tournée vers les résultats. « Dans le cadre de l’accompagnement que je propose à mes clients, qu’il s’agisse d’individus ou d’équipes » explique-t-elle, « je mets l’accent sur les solutions. Je me concentre sur les objectifs à atteindre. Nous autres, les Anglo-saxons, allons droit à l’essentiel ». Dans le cadre de « l’alliance créative » qu’elle instaure entre elle et son client, Jane Hodgson va ainsi l’aider à initier un changement durable et à exploiter tout son potentiel. « Le coaché est au centre de tout » explique-t-elle. « Bien sûr, mon rôle consiste à le guider, à l’aider à trouver sa vision, à aligner ses valeurs et à l’orienter vers l’action, vers le changement. Mais c’est en lui-même qu’il va trouver les réponses aux questions qu’il se pose ainsi que la force d’opérer sa transformation. Au fil des séances, il va progressivement grandir, s’épanouir sous mes yeux. Et à l’issue du coaching il aura maximisé ses compétences, gagné en confiance et sera capable de mobiliser l’intégralité de ses ressources. Par exemple, j’ai accompagné l’une de mes clients dans la découverte de ses « core values » et j’ai ainsi pu l’aider à obtenir le poste dont elle rêvait, un poste qui soit aligné avec ses valeurs. J’ai également coaché une équipe de ressources humaines dans le but de créer des liens plus forts au sein de l’équipe, et d’augmenter l’implication ainsi que la motivation de chacun. Je les ai fait travailler en petits groupes pour faire sortir les ‘’non-dits’’ et parvenir à faire émerger une vision commune. Le plus étonnant, c’est qu’au final, chaque groupe a trouvé le même objectif, le même besoin : celui de développer l’intelligence culturelle, et de changer la culture générale de la société qui s’ouvrait rapidement vers l’internationale ». Pour que chacun trouve en lui-même une solution réaliste et adaptée à sa situation Les demandes que lui formulent ses clients - des leaders et des manager, pour la plupart - sont diverses et variées. « Les personnes qui s’adressent à moi veulent que je les aide à développer leur leadership, à gérer les conflits, à savoir dire non, à oser poser des limites, à retrouver une vision, un cap, à développer leurs compétences relationnelles (‘’people skills’’), à changer de posture, à reprendre confiance en eux ou encore à inspirer davantage confiance à leurs collaborateurs ». Si elle se garde bien de se substituer à son client afin de le laisser trouver lui-même les réponses les plus appropriées à l’atteinte de ses objectifs, Jane Hodgson peut compter sur son vécu pour comprendre rapidement le mode de fonctionnement de ses interlocuteurs. « Mes 15 années d’expérience en tant que fiscaliste au sein de prestigieuses multinationales (Ernst & Young, PwC) me permettent de cerner efficacement les problématiques que rencontrent mes clients et les défis qu’ils doivent relever quotidiennement. Et pour cause, je l’ai vécu moi aussi, de l’intérieur » explique-t-elle. « À cela s’ajoute le fait que je suis titulaire d’un Master en psychanalyse. Cette spécialisation m’aide à identifier rapidement les blocages de mes clients et donne incontestablement de la profondeur à mon coaching ». Mieux communiquer pour mutualiser les compétences de chacun La communication est un autre domaine dans lequel Jane Hodgson intervient. « Améliorer la communication au sein d’une entreprise, notamment dans un contexte multiculturel, permet aux équipes de collaborer plus harmonieusement, d’échanger leurs idées plus facilement et de s’adapter plus efficacement à des situations nouvelles ». En agissant sur la communication et en mutualisa...
Bien loti sur la rive droite bordelaise, ce restaurant propose une cuisine traditionnelle concoctée à base de produits frais et locaux. Avec ses charpentes en bois, sa grande cheminée et ses immenses fenêtres, l’intérieur se prête à une ambiance chaleureuse où la convivialité s’invite naturellement à table. L’extérieur, quant à lui, est propice à un dépaysement total. En plus du calme combiné au décor traditionnel, « on entend la fontaine quand on mange », souligne Yohann Giacometti, le gérant. Des plats riches en saveur À la fois généreuse et goûteuse, la cuisine du chef fera le bonheur des petits et grands. En entrée, entamez votre aventure culinaire à travers l’Assiette Apéro du chef qui est un assortiment de tapas, à partager (ou pas) ! En plat de résistance, dégustez le tartare de bœuf, l'une des spécialités de la maison, apprécié par les habitués. Pour le dessert, un tiramisu clôturera en beauté votre découverte gastronomique. Côté vin, le sommelier vous sélectionne le meilleur parmi une trentaine de références dont ceux issus du vignoble bordelais pour un accord mets et vins en toute harmonie. Un endroit idéal pour les repas de groupe Dans un cadre au charme intemporel, le restaurant Les Oliviers peut accueillir des séminaires, des réunions d’entreprise, des cocktails dînatoires avec une capacité d’accueil de 50 personnes. Les événements professionnels comme privés seront placés sous le signe du succès. Que ce soit en famille, entre collègues ou amis, le restaurant Les Oliviers est une promesse de moments inoubliables au cœur de Bordeaux. ...
Fondé en 1968, le parc naturel de Boutissaint, c’est 400 hectares de forêt dans laquelle vivent près de 400 animaux évoluant dans leur milieu naturel. Parmi les espèces à découvrir figurent les bisons d’Europe, les daims, les mouflons de Corse, les paons, les chevreuils, les biches et surtout les cerfs. Les visites se font à pied, à vélo, ou à la demande, à cheval. Une heure, deux heures ou toute la journée, les visiteurs peuvent prendre leur temps dans le parc et laisser la magie des lieux les imprégner. Avec des programmes de visites nocturnes, il est aussi possible de rester sur place la nuit, dans un camping-car, ou sous la tente à la belle étoile. Comme l’endroit reste ouvert à tout type de public, des particuliers comme des professionnels, il est l’idéal pour organiser des sorties en famille, des team building, ou des journées récréatives scolaires sous le signe de la convivialité. Plonger dans la forêt Le parc accueille deux types d’animaux, ceux qui viennent de la faune sauvage européenne et ceux issus de la forêt primitive de la région. Parmi eux, on compte des animaux en voie de disparition, comme les bisons d’Europe. « Le parc existe depuis 50 ans, et à l’époque personne ne parlait de la préservation de la faune et Boutissaint a été le premier à proposer ce conservatoire de la nature », explique fièrement Valérie Galabert, la gérante du parc. Les visiteurs sont considérés comme des invités qui ont le privilège de pénétrer dans l’élément naturel des animaux. Ils ne sont que des admirateurs qui observent la vie sauvage et vagabonde des animaux du parc. Encore plus de découverte Tout au long de l’année, entre le mois de mars et de novembre (fermeture hivernale), Valérie Galabert et son équipe proposent diverses activités pour rendre encore plus exceptionnelle la découverte du parc. Le premier événement de l’année se tient le 1er dimanche du mois de juillet. La Fête du faon s’effectue en petits groupes où chaque groupe va venir approcher les biches et leurs petits. Au mois de septembre jusqu’au début du mois octobre, le parc organise des soirées « Brame du cerf » pour célébrer la saison des amours. « Il s’agit d’ailleurs de l’une des attractions phares du parc naturel de Boutissaint », selon Valérie. Au programme, pour chaque soirée, une présentation pédagogique, des histoires et des anecdotes autour du cerf, suivies d’un dîner, et d’une promenade nocturne pour plonger au cœur du milieu naturel des cerfs. Le brame du cerf est un spectacle qui fascine les visiteurs et attire de plus en plus un public passionné par la photographie qui vient capturer ce moment rare. Dernier événement et non des moindres : la fête estivale qui a lieu tous les deux ans, le 15 du mois d’août. Un événement un peu particulier puisque les visiteurs participent au recensement des animaux. « On distribue une fiche de recensement, et les participants doivent noter par catégorie d’animaux (s’ils arrivent à faire la distinction) le nombre d’animaux qu’ils ont découverts », développe Valérie Galabert. À l’affiche également, une messe de Saint-Hubert, spectacle de fauconnerie, spectacle équestre, découverte du parc, baptême de poneys… ...
Le Centre-Val de Loire, une grande région gastronomique Des pommes aux poires en passant par les cerises, les asperges et la mâche, la région produit de nombreux fruits et légumes primeurs de qualité pour agrémenter les repas. Le Val de Loire se veut aussi être une importante région productrice de fromages, de miel, de safran, de poulet connu sous le nom de géline de Touraine et de poissons tels que le sandre, le brochet, la carpe et la brème. Les spécialités culinaires sont composées, entre autres, des coquilles Saint-Jacques à la nantaise, du bar en croûte de sel, du matelote des tonneliers et de la tarte tatin. On y trouve aussi les crémets d'Angers, qui consistent en une crème fraiche battue avec du fromage et du blanc d’œuf, ainsi que le matelote d'anguille, une étuvée de poisson au vin rouge d'Anjou. Cette région est aussi connue pour son vignoble, qu’on appelle le « vignoble du Val de Loire », qui produit de délicieux vins d’AOC Muscadet et d’AOC Anjou. Il est encépagé, entre autres, de chenin, de cabernet franc, de cabernet sauvignon, de gamay, de sauvignon et de pinot noir. Tradition française et créative L’Arôme se trouve en pleine ville, à proximité de l’église Saint-Julien, dans une zone qui contient de nombreux restaurants. L’intérieur du bâtiment est sobrement décoré de tableaux de bouteilles de vin. Avant la création de L’Arôme, Mickaël Teluk a été sous-chef cuisinier à l'Atelier Étoile de Joël Robuchon et travaillé au Choiseul avant devenir chef cuisinier au Bistrot de la Tranchée à 24 ans. Sûr de ses compétences, il ouvre L’Arôme en 2010 afin de travailler à son compte et pour mieux exprimer ses talents culinaires. Mickaël Teluk propose une cuisine traditionnelle française créative. « En cuisine, le gout est essentiel. Nous souhaitons faire découvrir à nos clients une autre version de la cuisine, celle d’une cuisine traditionnelle française au gout revisité », nous explique-t-il. Une cuisine légère et authentique Le ticket moyen du restaurant est de 15 € le midi et de 30 € le soir. Mickaël Teluk met un accent fort sur la qualité, c’est pourquoi sa carte change au gré des produits de saison et de son inspiration. En guise d’entrées, le chef propose le marbré de cèpes : une terrine accompagnée de pommes de terre, de cèpes et de lardons ; il est servi avec une sauce bordelaise et s’accorde parfaitement avec la Folie du domaine Château Yvonne. Autre découverte : le Cromesquis de chorizo avec tartare de green zebra, préparé à base de chorizo et de lard ; il est accompagné par de la tomate fraiche et de la feta douce ; il s’accorde parfaitement avec des vins d’AOC Anjou comme le Château du Fresne Anjou. Après cette mise en bouche, enchainons avec les plats principaux. Le tronçon de joue de bœuf fondante est un assortiment de joue de bœuf, de choux croquants et de gnocchis. Pour la présentation, la joue de bœuf est placée au milieu d’une assiette plate autour de laquelle sont disposés les gnocchis poêlés. On y ajoute ensuite le jus avec des pétales de tomates séchées. La brandade safranée aux endives rouges braisées et moules marinières est une recette de pommes de terre cuites avec du safran, des endives rouges braisées au vin rouge et des moules marinières réalisées selon la tradition. Elle s’accompagne d’une sauce coraline réalisée à partir de têtes de langoustine. Les saveurs sucrées parachèvent d'assurer la réputation de L’Arôme. La barre chocolatée est un biscuit de pâte sablée à la polenta sur lequel on coule une ganache avec de la framboise fraiche. Le glaçage est ensuite réalisé avec du chocolat. Elle est servie avec un coulis de fruits rouges et un sorbet de framboise. La poire pochée aux épices, ganache au gingembre et crème glacée à la vanille bourbon est un assortiment de poire pochée, d’épices, de gingembre, d’une ganache au chocolat et de crème. ...
Installé en face de la gare Rive Gauche à Versailles, l’agence Guidatours a pour objectif de vous accompagner lors de votre visite du château de Versailles et de vous faire découvrir toute la richesse du domaine. Le château de Versailles est l’un des monuments français les plus visités puisqu’environ 6 millions de personnes s’y rendent chaque année. En raison de cette affluence, choisir Guidatours c’est profiter d’une visite agréable en évitant les files d’attente. Les formules proposées Guidatours propose plusieurs formules de visite aux individuels ou aux groupes. Vous trouverez forcément celle qui vous convient. Vous avez par exemple la possibilité de profiter d’une visite avec un guide expérimenté. Il vous fera visiter le château, en particulier les grands appartements royaux et la célèbre Galerie des glaces. Cette visite pourra être faite en français, anglais, allemand, espagnol ou italien pour un groupe d’environ 25 personnes. Puis vous pourrez à loisir vous balader dans les jardins. Vous pourrez également consacrer toute une journée sur ce fabuleux domaine pour y découvrir, entre autres, les Trianons et le Domaine de Marie-Antoinette. Si vous préférez visiter à votre rythme en toute liberté, vous choisirez le billet coupe-file avec audioguide. A part le français, 9 langues sont disponibles (anglais, allemand, espagnol, italien, chinois, japonais, coréen, russe et portugais). La demi-journée vous permettra de visiter château et jardin. La totalité du domaine vous sera accessible en optant pour la journée complète. Pour faciliter votre venue, Guidatours a également mis en place un système de bus depuis le centre de Paris, ou un trajet plus écologique en RER accompagné d’une hôtesse. Si vous désirez gouter aux charmes inépuisables de ce lieu, vous pourrez séjourner un week-end dans un hôtel de prestige et assister aux grandes eaux nocturnes ou au spectacle équestre chorégraphié par Bartabas. Pour les CE ou les associations, Guidatours se tient à votre disposition pour préparer des visites sur mesure à Paris ou à Versailles, comme par exemple les lieux cachés de Versailles ou les passages couverts de Paris, avec déjeuner inclus. Quelques chiffres En 2017 Guidatours a permis a plus de 75.000 personnes de visiter le château de Versailles dans de bonnes conditions et sans file d'attente. ...
Face à une offre de séjours linguistiques très polychrome, l’on se retrouve vite noyé. Pour cet organisme basé à Lille, le temps des packages préconçus qui font fi des vrais besoins des stagiaires est dépassé. Accompagnement et transparence sont au centre des services dispensés par cette institution qui bénéficie d’une validation à l’international et qui a été créé par un véritable expert des séjours linguistiques. Avant de lancer Idéalangues, Yohan Duchatelle a en effet vécu plus de 8 ans à l'étranger dont 7 en pays anglophones et a visité près de 45 pays. Une expérience qui lui permis de connaître plus en détail chaque destination qu'il propose aujourd'hui dans son agence. Des séjours anglophones d’immersion personnalisés Les prestations offertes par Idéalangues ciblent les étudiants mais également les adultes. Les aspirations profondes de ces auditeurs sont explorées à travers un entretien approfondi. Niveau, perspective métier, souhait de compétences à acquérir, tout est pris en compte pour orienter le stagiaire vers une école ou un programme spécifique. Les préférences en matière de localisation et de conditions de vie sur place sont même intégrées. Cette analyse des besoins est effectuée gratuitement. Plus généralement, l’accompagnement de l’organisme est décliné sous trois autres formules payantes : Confort, Confort+ et Duo. Organisation du séjour, inscription, démarches de visa, entre autres, viennent alors enrichir les services de base. L’organisation du transport et/ou l’organisation de stage en entreprise peuvent encore étoffer les prestations, dans certaines formules. Un réseau de partenariat élargi À ce jour, Idéalangues collabore avec près de 250 écoles à travers le monde. Elles sont implantées, pour la plupart, dans des pays où le fondateur a lui-même déjà fait un séjour. Cette bonne connaissance du terrain est effectivement proposée comme un bonus quant à la garantie de qualité des offres recommandées par l’enseigne. Celle-ci a, en outre, la particularité d’afficher des preuves d’accréditations internationales telles que English UK. « Je suis le seul agent français accrédité par Business English UK, ce sont des écoles spécialisées en anglais des affaires », rajoute Yohann Duchatelle. Membre du réseau Quality English et accréditée IALC (Association internationale des centres de langue), l’enseigne a également obtenu de nombreuses distinctions pour son travail. Elle a notamment été récompensée au Canada par un Premier Agency Business Awards au titre de meilleure nouvelle agence, en 2013. ...
Midi et soir, la Brasserie Flow vous accueille tous les jours pour passer un moment agréable et chaleureux. Une carte de saison Après avoir posé vos valises dans votre chambre d’hôtel, ou même si vous êtes simplement de passage dans le secteur, prenez la direction de la Brasserie Flow. Vous y découvrez une cuisine faite maison et préparée à partir de produits de saison. Une cuisine généreuse, ouverte au Monde et reconnue par le label Maitre Restaurateur, telle est la politique des gérants de l’établissement. Les clients n’en sont que conquis ! À savoir : renouvelé tous les 4 ans, le titre Maitre Restaurateur s’obtient après un audit de contrôle réglementé par l’état. Il certifie que le restaurateur possède une certaine expérience, travaille uniquement à partir de produits bruts et frais tout en garantissant une grande qualité de service. En bref : c’est un gage d’excellence. Un établissement chaleureux Ce qui interpelle quand on se rend pour la première fois dans la Brasserie Flow, c’est sa clientèle d’habitués et le fait que le couple de gérants vient passer du temps avec chaque visiteur. En effet, afin de rendre leurs clients heureux, chaque accueil est personnalisé. Que ce soit pour un brunch, un menu en soirée étape, un moment en tête à tête, un mariage ou un repas professionnel, l’équipe fait son maximum pour que vous soyez des plus comblés. Un salon privatif est aussi à votre disposition pour accueillir vos évènements (soirée d’entreprise, anniversaire, etc.) d’environ 50 personnes. Belle adresse à tester ! ...
Situé dans la ville médiévale de Mirepoix, à mi-parcours entre Carcassonne et Foix, le restaurant Le Commerce est une vitrine ouverte sur un héritage de plusieurs générations qui est toujours resté dans le giron de la famille Puntis. Jouissant d’un emplacement privilégié au cœur de l’Ariège, l’établissement séduit par son cadre rustique, à l’ambiance campagnarde où les saveurs ariégeoises sont autant de plaisirs à retrouver qu’à découvrir. Une cuisine aux accents de terroir Confortablement installée dans une région riche en histoire dans le Pays cathare, le restaurant Le Commerce propose une cuisine élaborée à partir de produits frais et de région, avec chaque jour un arrivage de poissons frais. Sous l’impulsion du chef André Puntis, qui tient aujourd’hui les rênes de l’établissement, les plats sont concoctés avec passion, dans le respect des traditions, avec des recettes jalousement conservées et transmises de père en fils. À travers une cuisine généreuse qui privilégie les produits du terroir, le restaurant constitue une adresse incontournable où familles et amis aiment se rendre pour partager un bon repas et où il fait bon profiter d’une ambiance conviviale. Un cadre sympathique aux tons chauds Le restaurant Le Commerce est un établissement au charme d’antan qui jouit d’un cadre particulièrement agréable. Les lieux permettent notamment de gouter aux plaisirs de la table à l’ombre d’une magnifique terrasse ombragée où sont servis les repas en période estivale. Sa salle aux tons chauds rassure les plus exigeants et lui confère une ambiance familiale au cadre rustique. Dans ses propos, André Puntis décrit « un établissement d’une capacité d’accueil de 70 couverts en terrasse et une soixantaine en salle avec la possibilité d’abriter à la demande tout type d’événements selon la disponibilité ». Une belle alliance mets-vins Proposant de belles alliances en matière de vins, le restaurant Le Commerce dispose d’une cave à vins particulièrement fournie dans un bon rapport qualité/prix. Parmi les références les plus connues figurant sur la carte, on peut notamment citer les Côtes de Malepère, le Vacqueyras, le Gigondas ou encore la Clape AOC ainsi que « plusieurs produits régionaux » selon les précisions d’André Puntis. Les clients peuvent à la demande, solliciter les suggestions du chef pour connaître les meilleures alliances afin d’accompagner certains plats. À travers ses connaissances et ses expériences, il se fera un plaisir de les conseiller. ...
Au Baron était au départ un petit bistrot dans lequel se donnaient rendez-vous des anciens ouvriers des marbreries de la commune de Gussignies. En 1973, Alain Bailleux fait acquisition de cet estaminet et débute une carrière de petit restaurateur avec son épouse Danielle. Plus tard, les Bailleux décident d’étendre leur entreprise en se lançant le défi de créer une brasserie artisanale. Brasseur de père en fils, un début prometteur Le travail de brasseur est une tradition familiale depuis 1900 chez les Bailleux. Mais pour cette génération-là, la grande aventure n’a réellement commencé qu’en 1989. « Jusqu’à mon père, nous n’avions jamais eu de brasserie qui nous appartenait. Nous avions toujours travaillé dans des brasseries », raconte Xavier Bailleux, actuel propriétaire des lieux. La brasserie Au Baron est la concrétisation d’un rêve et le résultat de longues années d’expériences pour cette grande famille de brasseurs. Alain Bailleux, fondateur de l’entreprise, a profité de la fermeture de l’industrie dans laquelle travaillait son père en tant que maitre brasseur pour rassembler les outils nécessaires à la création de leur propre brasserie. Aujourd’hui, en plus du restaurant acquis il y a 46 ans, la brasserie Au Baron est équipée d’une taverne mettant à l’honneur les produits locaux via les menus proposés. « Nous travaillons énormément avec les producteurs locaux, dans le but de mettre en avant la région et son savoir-faire » affirme Xavier Bailleux. Bières de garde, gages d’une notoriété internationale D’après les explications de Xavier Bailleux, « la bière de garde est le style de bière français le plus connu ». Chez lui, ce produit trouve sa spécificité dans la manière dont elle est élaborée : « La fabrication se fait de manière complètement traditionnelle, sans ajout d’arômes ni de quoi que ce soit », poursuit notre interlocuteur. La fermentation s’effectue en bouteille et la boisson n’est ni filtrée ni pasteurisée. La période de garde est réalisée à froid, ce qui permet d’apporter une belle robe à la bière. Parmi les ingrédients utilisés, le brasseur cite les houblons de Flandres, l’orge des Hauts-de-France et une souche de levure de haute fermentation exclusivement propre à la maison. En tête de liste des produits phares de la maison se trouve la Cuvée des Jonquilles. Première bière blonde élaborée par la maison, elle est sortie des cuves en l’honneur du printemps 1990. Médaillée d’or au Brussels Beer Challenge 2012, cette boisson rencontre actuellement un véritable succès au niveau international. « Nous en exportons notamment aux États-Unis, en Corée, en Norvège, aux Pays-Bas et au Québec », révèle Xavier Bailleux. Très prochainement, la maison envisage une nouveauté : une bière vieillie en barrique de Nuits-Saint-Georges pendant un an et élaborée avec un brasseur californien. « Cette cuvée est destinée à faire découvrir de nouveaux horizons à nos fidèles clients. » ...
Le coaching par l’intervention d’une tierce personne neutre permet à une association de rester sereine et d’assurer sa pérennité. Mais comment et pourquoi ? Commençons par la phase préalable. Avant de s’associer, il est important de prendre le soin de détecter les compatibilités de personnalité entre son ou ses associés et soi. Je rencontre régulièrement des personnes qui me disent avoir choisi un associé « au feeling », « à l’intuition », « à l’instinct ». Cela fait généralement référence à la dimension émotionnelle qu’il est important de prendre en compte. Cependant, il existe des outils de personnalité utilisés par des coachs qualifiés qui permettent de confirmer ou d’infirmer un ressenti positif et ainsi de sécuriser un choix. En outre, ces outils peuvent être utilisés pour clarifier et partager les atouts et les zones de vigilance de chacun, les complémentarités et ainsi répartir avec pertinence, les rôles et les responsabilités. Interrogez des dirigeants associés sereins et vous noterez qu’ils savent souvent reconnaître et apprécier aisément les qualités de leurs associés. Une fois l’euphorie des débuts passés, avec le développement de l’entreprise et le stress qui peut s’ensuivre, il est fréquent d’observer un manque de temps des associés pour faire le point. Il n’est pas question de point opérationnel ici, mais de bilan du chemin parcouru, des réussites et des difficultés rencontrées. L’animation par un coach de ces temps de « pause » (de type séminaire) permet à tous les associés de se placer sur un même plan (quelque soit son titre, sa part dans le capital…) et de mener une réflexion approfondie, avec méthode. Ce temps de pause peut aussi être pris à l’occasion d’une problématique importante à résoudre, d’une innovation à trouver ou d’un changement à conduire. Effets collatéraux positifs : on se remobilise ensemble, on resserre les liens et on dénoue les tensions. Revenons sur la richesse de pouvoir s’associer à des personnes différentes de soi et donc complémentaires. Cela ouvre tellement de champs des possibles…. Et en même temps, quelle difficulté parfois à se comprendre, à travailler ensemble !!! Or, une Direction d’associés qui fonctionne bien est une Direction dans laquelle les associés communiquent. Le coaching est un moyen efficace de développer son intelligence relationnelle. Entendez par intelligence relationnelle : l’écoute, la conscience de soi et de l’autre, l’empathie, la communication adaptée à son associé (à fortiori s’il est différent de soi). Enfin, en cas de conflit, le coach formé à la médiation donnera la parole à chaque associé, dans un espace cadré et sécurisant. Chacun pourra ainsi reprendre son objectivité et le recul nécessaire pour sortir grandi d’une situation de blocage. Quelques précautions indispensables avant d’entamer une démarche de coaching d’associés : s’assurer qu’on est tous prêts à mettre cartes sur table, à faire fi de son orgueil et à oser admettre ses faiblesses. Il arrive que la maturité, la sensibilité aux aspects humains, l’intelligence émotionnelle puisse être très différente entre associés. Dans tous les cas, la démarche doit être volontaire et le besoin partagé par tous. En guise de conclusion, notons qu’investir dans sa relation d’associés, c’est aussi préserver sa relation avec ses collaborateurs… ...
Flashmatin : Pouvez-vous présenter l'Institut de la Vision ? Serge PICAUD : L’Institut de la Vision a pour missions principales de comprendre le fonctionnement de la vision et de prévenir les pathologies pouvant entraîner la perte de vue. Le jury international réuni par l’HCERES (Haut Conseil de l'Evaluation de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur) a conclu que ce centre de recherche fait partie des meilleurs centres de recherche mondiaux dédiés aux maladies de la vision. Les vingt équipes académiques se répartissent sur cinq axes majeurs : le développement du système visuel, la génétique des maladies visuelles, le traitement des informations visuelles, les thérapies et le développement de techniques d’imagerie ainsi que de nouveaux instruments diagnostiques. Quels sont les résultats innovants et les solutions thérapeutiques qui y ont déjà été développés ? En dix ans d’existence, l’Institut a enregistré des avancées significatives dans la compréhension des maladies de la vision et le développement de stratégies thérapeutiques, dont certaines arrivent aujourd’hui au stade de l’essai clinique. Pour vous donner quelques exemples, GenSightBiologics, une start-up de l’Institut de la Vision, est en train de mener des essais cliniques sur une pathologie héréditaire appelée « Neuropathie Optique Héréditaire de Leber » (NOHL). Pour cette première mondiale par thérapie génique, les résultats montrent une amélioration durable de la vision et de la qualité de vie des patients traités. D’autres essais cliniques portent actuellement sur des implants rétiniens développés pour restaurer la vision de patients aveugles par Pixium Vision, une autre start-up de l’Institut de la vision. Leur implant photovoltaïque est actuellement en essai clinique sur des patients souffrant de dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), qui peuvent à nouveau lire des mots ! Des essais cliniques très prometteurs viennent également d’être lancés avec une approche alternative, la thérapie optogénétique : nous utilisons le génome d’une algue pour transformer les neurones résiduels de la rétine en une sorte de photorécepteur. L’objectif est encore de restaurer la perception visuelle chez d’autres patients devenus aveugles. Enfin, nous avons participé à l’amélioration des traitements pour le glaucome en retirant un conservateur toxique des gouttes. Fin 2018, vous avez été labellisé IHU (Institut Hospitalo-Universitaire). Que va apporter cette nouvelle structuration ? Le premier ministre, Edouard Philippe, a en effet avalisé l’avis du jury international en attribuant au Pr Sahel la mission de construire l’hôpital de demain en ophtalmologie. Cette nouvelle structure va réunir l’Institut de la Vision et le Centre Hospitalier des Quinze-Vingts pour accélérer le transfert clinique des innovations thérapeutiques et diagnostiques. L’objectif est d’améliorer l’accès aux soins et la prise en charge des patients pour leur apporter une réponse thérapeutique, quelque soit le stade de leur pathologie. Cet objectif est extrêmement ambitieux puisque de nombreuses pathologies rétiniennes n’ont pas encore de traitement pour prévenir leur évolution vers la cécité. Nous devons également former les personnels soignants et techniques pour permettre le déploiement des innovations thérapeutiques sur l’ensemble du territoire. L'Institut de la Vision est soutenu par la Fondation Voir & Entendre et ses donateurs. Pouvez-vous nous expliquer l'importance des dons et legs pour vos recherches ? A l’Institut de la Vision, chercheurs et cliniciens travaillent pour prévenir l’évolution des maladies de la vision vers la cécité. Pour développer nos recherches et être soutenus par les agences de financement publiques, nous devons leur présenter les preuves de concept des futures stratégies thérapeutiques. Grâce à nos donateurs, nous pouvons amorcer ces projets et obtenir les preuves de concept initiales. Les dons sont donc essentiels ! Ils sont de véritables déclencheurs de la recherche et permettent aux chercheurs d’initier tous leurs t...
Agréé par la Fédération Internationale de Relaxologie et répondant aux critères qualitatifs de l’état (datadock), l’école du stress est un Institut de Recherche et de Pratique, organisme de formation, sur le Stress des Entreprises et des Particuliers. L’école du stress forme des professionnels porteurs de sens, dans le respect de valeurs humaines et éthiques, et ce, en lien avec les besoins de notre société. Afin de développer le bien-être social et humain, l’école du stress s’engage à fournir les techniques, les modèles et les outils nécessaires à une autonomie efficace, rapide, durable et structurée des personnes et des organisations accompagnées. L’institut propose des formations professionnelles pour les personnes souhaitant devenir relaxologue, ou compléter leurs pratiques ou fonctions actuelles (infirmières, sportifs, artistes, travailleurs sociaux ou consultants). Mais aussi des services complets aux entreprises, sur le stress et les risques psychosociaux, ainsi que des stages courts de découverte et de pratique, sur différents thèmes. Une solide intervention au sein des entreprises L’école du stress intervient dans les entreprises afin de prévenir le stress et les risques psychosociaux. Du collaborateur aux gouvernances, elle procède en 5 étapes. La première est la préparation de la démarche de la prévention et vise à positionner et à mobiliser les acteurs en les formant et en les sensibilisant. La deuxième évalue les risques en repérant notamment les situations problématiques et en estimant l’impact des situations à risques psycho-sociaux. La troisième sert à élaborer un programme d’actions afin de planifier pour agir tant dans la prévention que dans la résolution des problèmes. La quatrième suit avec la mise en œuvre des actions, grâce au pilotage des indicateurs. Enfin, la cinquième est purement et simplement l’évaluation de la démarche de prévention, afin de savoir s’il faut la prolonger ou non. Une formation complète et efficace pour les individus Par le biais de la Biosappia®, l’école du stress enseigne le mieux-être au quotidien, ce qui suscite une redynamisation des personnes et montre à chacun un chemin vers plus de conscience, de créativité et de joie. Pour se faire, l’institut utilise la relaxation et les visualisations mais aussi les méthodes sensorielles (Vittoz, pleine conscience), corporelles (yoga, qigong), et la respiration (orientale et occidentales). La formation proposée s’étale sur une année tout en étant d’une certaine densité et disposant d’une pédagogie spécifique. Avec la faible présence de cours magistraux, plus de 70 % de cet enseignement est vivant, pratique et basé sur échanges. Il est aussi ergonomique puisque les 30% restants se font à domicile, au rythme choisi par le stagiaire. Ce dernier fait l’objet d’un suivi individuel par un tuteur attitré, tout au long de sa formation. Pour des raisons évidentes de qualité et la prise en compte des spécificités de chacun des participants, les formations sont limitées à 12 personnes. Afin de permettre aux anciens et aux nouveaux élèves d’échanger et de collaborer, l’école du stress met à leur disposition des vidéos, un forum, un annuaire national, un agenda et des documents régulièrement mis à jour sur l’espace intranet de l’institut. Il faut savoir que les formations existent en formule semaine et week-end, et ce, dans plusieurs grandes villes françaises (Paris, Nantes, Agen, Lyon). Et la flexibilité de l’école du stress va plus loin puisque ses élèves peuvent revenir gratuitement sur les stages de leurs choix, une fois leur enseignement terminé. ...
Depuis 2012, une nouvelle gérance a investi les lieux. L’on parle ici d’Estelle Sidoni qui a reçu le titre d’Hôtesse de l’année 2018 par l’illustre guide Gault & Millau. Estelle Sidoni a offert un véritable bain de jouvence à ce lieu d’exception tout en veillant à conserver son esprit et son histoire. La salle est lumineuse, respire une ambiance décontractée chic, et à l’extérieur se trouve une belle terrasse, idéale pour profiter du climat agréable des beaux jours estivaux. Une carte, une signature Avec le très talentueux David Formica aux manettes, La Maison Lefèvre peut librement se permettre d’innover, d’apporter une petite fantaisie, et d’imposer sa marque de fabrique dans les assiettes. La carte propose entrées, plats et desserts avec une déclinaison en menu végétarien. En entrée, l'araignée de mer décortiquée accompagnée de sa sauce mayonnaise à la clémentine et oignon cébette, coulis de mâche, révèle toute la délicatesse d’un mélange improbable de saveurs en bouche. Les clients enchaînent ensuite sur une autre découverte gourmande, à l’instar du bar snacké, compression parmentière aux algues, arrosé d’un bon jus de coquillage, « c’est un plat à contraste, on a un beau relief dans l’assiette et on y retrouve beaucoup de peps », renchérit Estelle Sidoni. L’on se laisse aussi séduire par le bœuf black angus en filet, fumé minute au romarin et au thym, trio de canelon parmentier, jus au confit d’ail noir, un vrai délice. Pour terminer sur cette partition de saveurs, La Maison Lefèvre propose des desserts succulents, au nom évocateur et qui sont élaborés par deux pâtissiers bourrés de créativité. Le dessert « Ceci n’est pas un magnum » est ainsi un parfait glacé au chocolat noir 70 % avec une petite tuile au grué de cacao, agrémenté par une sauce chocolat chaud au piment d’Espelette. « On essaye d’aller plus loin dans la proposition des desserts, en apportant notre petit grain de sable qui va faire la différence », continue-t-elle. Et que dire de son fameux délice aux agrumes, accompagné de son parfait glacé au Yuzu et biscuit orange sanguine, croustillant noisette et chantilly au poivre de Sichuan. Quant aux menus, ils se déclinent en trois, dont un menu lunch servi à midi et qui change chaque semaine, au gré des produits du marché et de l’inspiration du Chef. Le menu Lefèvre et le menu Saveurs, servis respectivement en quatre et cinq services, offrent un beau panel de plats pour découvrir la cuisine du Chef, ponctuée par une once de tendance méditerranéenne. Une démarche locavore « On travaille de façon saisonnière, notre carte change quatre fois par an, comme les saisons » pour reprendre les mots de notre interlocutrice. Pour se procurer les produits frais et de saison, notamment en fruits et légumes, La Maison Lefèvre travaille ainsi avec un jardin solidaire nommé Kalendula situé à Esch-sur-Alzette. « On est sûr d’avoir des produits bio et on raccourcit aussi le trajet, le côté local c’est important », explique celle qui s’engage le plus possible dans une démarche écoresponsable. Côté vins, l’on retrouve cette même volonté de travailler avec des producteurs engagés bio. La carte compte une centaine de références et privilégie les vins naturels et les vins bio, locaux mais aussi des vins français. Ici, les grandes appellations ne figurent pas dans la sélection, laissant la place aux vins signés de petits producteurs du pays « dans un rapport qualité-prix qui est honnête ». Parmi eux, les vins biologiques certifiés Ecocert du Domaine Agarrus intriguent, avec sa gamme de cuvées au nom un peu décalé. L’on cite en rouge « L’insoumis » 100 % carignan pour accompagner viande rouge et charcuterie, ou « La vigne du facteur », un assemblage fruité de carignan, grenache et syrah. ...
Blotti au fond d’un parc arboré de grands arbres atypiques, l’hôtel-restaurant La Palette bénéficie d’une excellente localisation géographique. Il se trouve effectivement à Wettolsheim, la plus grande commune viticole du Haut-Rhin. Dans ce village dynamique entre forêts, champs et prés, l’établissement s’ouvre sur la crête des Vosges marquée par la présence des ruines célèbres dont les Trois Châteaux au sud ou le Hohlandsbourg au nord. Un cadre calme et reposant propice au bien-être et idéal pour faire voyager les sens, à la découverte de créations culinaires inattendues. Cuisine de plaisir Henri Gagneux a grandi au sein d’une famille qui défend l’élevage maison et qui possède une boucherie traditionnelle. Il fait ses armes au sein de l’école hôtelière de Thonon-Les-Bains avant d’intégrer plusieurs grandes maisons notamment à Bonneville (74) au sein du restaurant La Vivandière, à Courchevel (73) Chez Jean-Pierre Jacob, à Joigny (89) Chez Lorain ou encore à Genève au Richemont. Fort de ses dizaines d’années d’expérience, ce Savoyard d’origine a finalement décidé de voler de ses propres ailes en lançant sa propre affaire en 2005. Il reprend l’ancienne Auberge du Père Floranc qu’il renomme La Palette. Ce chef passionné s’y plaît à concocter une cuisine de plaisir et de saison, où l’association des saveurs et des couleurs est insolite et surprend à chaque fois le client. Seuls les produits frais et de saison ont leur place. Dans un dressage parfait, ils sont mis en scène avec technicité et élégance dans les assiettes. Une « palette » de formules gourmandes à déguster dans un cadre élégant En véritable épicurien, le chef veut faire plaisir à toute sa clientèle en proposant plusieurs choix de menus. Les amateurs de surprise seront intéressés par le « Menu insolite ». Aucun plat n’est énoncé. L’idée est de faire confiance au talent et à la créativité du chef. Les végétariens seront comblés par le « Menu végétal » créé avec les fruits et les légumes du moment. Autre formule à ne pas manquer : le « Menu dégustation » composé de plats extraits à la carte et sélectionnés par le chef. D’ailleurs, en entrée, la Tarte fine de rouget aves une salade de fenouil mariné aux herbes est un régal. Elle est suivie de l’Omble Chevalier cuit à la nage, sauce barigoule et artichaut calico. La maison travaille aussi énormément l’entrecôte de bœuf d’origine française qui est servie avec une sélection de légumes du marché et de l’espuma de pomme de terre. L’Exotique qui est un entremet aux fruits exotiques accompagné d’une mousse de coco jivara lacté et d’un sorbet coco est servi en guise de bouquet final. Un établissement animé Dans sa perpétuelle quête de plaisirs, Henri Gagneux n’est jamais à cours d’idée pour satisfaire ses habitués. Il organise régulièrement des évènements en tout genre comme des week-ends dédiés aux fins gastronomes mettant à l’honneur un produit spécifique. Compte-tenu de la situation géographique de l’établissement, en plein cœur des vignes, il lui serait inconcevable de ne pas organiser des soirées œnologiques. La maison propose même des dégustations de vin directement chez les vignerons, un moyen de faire découvrir le fruit du travail des producteurs locaux. ...
Comment est née l'aventure E. Jamart ? Karine : Dans les années 30, Émilien Jamart, boulanger, a acquis un bâtiment. C’était une ancienne exploitation viticole, qui avait gardé toute sa configuration, notamment son pressoir. De grandes récoltes se sont succédé. Les vignerons du village ne pouvaient plus monnayer les prestations de pressureur. Ils ont laissé le vin à Émilien Jamart, mon arrière-grand-père, qui s’est retrouvé en possession du stock. Nourri de sa passion du vin, transmise par son beau-père, caviste chez Moët & Chandon, il a vinifié, puis est devenu marchand de vin. Au fur et à mesure, il a acquis des vignes. Et il a créé la société en 1936. Comment se déroule la vinification ? Karine : La vinification se fait en cuve béton carrelé. S’ensuit la fermentation alcoolique et malolactique naturelle, sans passage au froid, pour conserver tous les arômes. À la propriété, nous réalisons toutes les étapes, de l’embouteillage à la conservation dans nos caves. Concernant les cuvées, trois gammes sont disponibles. D’abord, les Intemporelles ! Ces assemblages font la signature de la maison. Ils la caractérisent depuis son origine. Ils vieillissent sur lies au minimum deux ans. Ensuite, nous avons une gamme de vins de prestige, appelés les Exceptionnelles, des millésimes qui sont conservés au minimum cinq ans sur lies. Ils ont le temps de développer tous leurs arômes et toute leur complexité. Trois types de vins dans cette gamme : le blanc de blancs, le blanc de noirs, et également une cuvée, qui est notre cuvée premium, appelée la trilogie, avec un assemblage des trois cépages champenois. Des événements prévus pour cette année 2017 ? Karine : Cette année, nous participons à des salons partout en France. Nous organisons aussi au domaine un week-end portes ouvertes, avec une bourse aux capsules. ...
Située sur la côte normande, à faible distance de Deauville, cette société emblématique a gagné ses lettres de noblesse avec un seul et unique produit « le Saveur des Potages », plus connu sous l’appellation « Arôme Patrelle » qu’elle doit à Louis Salve Patrelle, le premier du nom. Il s'agit d'un colorant alimentaire à base de glucose destiné à permettre le fonçage de sauces, marinades, potages, gratins,… Il permet également la couverture des préparations de viandes, comme le jambon, ou de volailles grillées (poulet, escalopes). Enfin, il s'utilise pour colorer les gélatines nécessaires à la préparation des charcuteries ou dans la liaison des sauces. Bref, un incontournable en cuisine. Grâce au Saveur des Potages®, chaque plat livre ses meilleurs atouts. Le succès d’une marque au fil du temps Fort du succès de la marque qui a autant séduit que fidélisé les consommateurs pendant près d’un siècle, Patrelle prend son envol en 1961 avec la partie confiserie et produit ses premiers délices aux saveurs sucrées : la boule coco (une meringue fantaisie enrobée de noix de coco râpée) et le roudoudou (le célèbre coquillage avec une sucette à l’intérieur). L’incroyable odyssée d’un authentique patrimoine familial Sous la direction de Laurent Patrelle (de la cinquième génération) depuis 1987, la société Patrelle continue à se développer et à innover dans sa palette de goûts et de couleurs avec la création en 1993 des lignes de production des P’tits Top (goûter avec gressins et pâte à tartiner) et des bâtons à congeler, suivie dix ans plus tard par la ligne de production du Trio Top (goûter avec gressins, pâte à tartiner et boisson). En 2001, Patrelle marque sa présence à l’échelle internationale en matière de confiserie, notamment en Europe (Belgique, Allemagne, Portugal, Pologne et Roumanie), mais aussi aux Émirats arabes unis et en Nouvelle-Calédonie, puis récemment en Russie et au Sénégal. L’année 2013 voit, quant à elle, la commercialisation de trois nouveaux arômes Patrelle sur le marché, à savoir les arômes Patrelle balsamique, bœuf et barbecue. En 2016, la gamme snacking sucrée et salée entre, elle aussi, dans la danse avec de nouvelles saveurs telles que le spéculoos, le beurre de cacahuètes, et aussi les sauces ketchup, Barbecue et tex-mex. Et le petit dernier le « P’tite Pomme ». En effet, fort de son expérience dans le snacking pour enfants, la société Patrelle vient de lancer ce nouveau concept : des biscuits Petits-beurre et une spécialité de pomme pour offrir un goûter plus sain et équilibré. Vous pourrez découvrir tous ces produits dans leur magasin d’usine. ...
En France, l’introduction d’un nouveau cadre réglementaire qui joue en faveur de la mobilité alternative constitue un levier intéressant pour Green On. Cette start-up, fondée en 2009, offre une solution de mobilité durable, basée sur le modèle de vélo partage électrique, à destination des entreprises, des collectivités, du secteur immobilier et le secteur du tourisme. Mobiliser tous les moyens possibles « Aujourd’hui, nous nous positionnons comme un opérateur de mobilité à vélo et nous déployons un ensemble de services pour démocratiser l’usage du vélo », explique Yann Devaux, directeur général de l’entreprise. Ainsi, Green On développe une expertise affirmée dans l’exploitation des flottes de vélos, allant d’une installation complète d’un parc à vélos ergonomique jusqu’à la gestion opérationnelle de celui-ci et à la création d’une plate-forme web usagers. Elle fournit également des vélos électriques en libre-service aux collaborateurs en entreprises, aux résidents d’un immeuble, aux habitants d’une collectivité et aux clients d’un hôtel pour leurs déplacements en ville. Un ensemble de services sur mesure accompagne l’installation d’une telle vélostation, à savoir la maintenance, l‘assurance, le reporting, la communication ciblée, une interface numérique pour s’inscrire, réserver et payer. Enfin, la start-up met en place un système d’abonnement mensuel de 12 à 36 mois sur les modèles de vélos VAE. En outre, pour optimiser ses prestations, l'enseigne offre aux particuliers la possibilité de faire de la location longue durée ou de la vente groupée. Plan de mobilité vélo pour entreprise Le vélo comme alternative de mobilité a déjà fait ses preuves dans certaines métropoles en France à l’instar de Paris, Lyon ou Lille. Tous les aspects de la vie urbaine sont mobilisés pour faciliter son usage, à commencer par la sensibilisation des citoyens sur la pollution jusqu’à la conception d’un nouveau plan d’urbanisme et l’adoption de nouveaux textes. Mais l’enjeu de cette nouvelle solution de mobilité n’est pas uniquement d’ordre environnemental et économique, mais concerne aussi la performance et la productivité en entreprise. Yann Devaux soutient que trente minutes de trajet domicile-travail à vélo par jour réduisent considérablement le stress, les risques psychosociaux et le taux d’absentéisme au travail. Green On vise donc plus grand en incitant les entreprises à « investir dans une démarche qui va être une force fédératrice en matière de ressources humaines ». De plus, la réglementation actuelle simplifie énormément la conversion vers l’utilisation des vélos dans le cadre de la mobilité professionnelle. Par ailleurs, l’entreprise a rejoint le groupe Mobivia afin d’élargir son axe de développement à travers des collaborations innovantes entre start-up. ...
Spécialisé dans la transfusion sanguine, l’EFS effectue des recherches en relation avec ce domaine stratégique, tout en adaptant ses recherches aux progrès, aux nouvelles techniques et aux besoins des patients. « Il s‘agit concrètement d’un établissement régional dont les activités classiques sont reliées à l’autosuffisance en produits sanguins. Nos domaines d’intervention vont de la collecte à la préparation du sang à but thérapeutique. Nous avons également développé d’autres secteurs d’activité, pour ne citer que la mise en place d’un plateau de thérapie cellulaire, ainsi que d’une unité centralisée de plasma », nous explique le Dr Zoran Ivanovic, directeur scientifique de l’EFS Aquitaine-Limousin. Grâce également à un champ d’études élargi aux cellules-souches, cet établissement fait aujourd’hui figure de référence de par la publication de nombreux ouvrages et articles scientifiques axés sur ce domaine complexe, en collaboration avec des chercheurs de renom et avec la participation des doctorants et des étudiants en master. Véritable gage de qualité et d’efficacité, l’EFS Aquitaine-Limousin souhaite ainsi utiliser et transposer la recherche au service de la médecine de demain. Les cellules-souches, pour la médecine de demain Concrètement, les cellules-souches sont présentes dans chaque tissu composant le corps humain. « Chacune de ces cellules possède des capacités permettant de régénérer les tissus. Capables de s’autorenouveler et de se différencier en plusieurs types cellulaires, ces cellules sont responsables du renouvellement des cellules matures que nous perdons soit de façon physiologique à cause de leur durée de vie limitée, soit à cause d’une pathologie ou une blessure », fait comprendre le Dr Ivanovic. Utilisées dans plusieurs domaines à l’instar de la médecine régénérative, du monde de la greffe et de l’hématologie, ces cellules font aujourd’hui l’objet de recherches accrues, car elles peuvent apporter une solution efficace dans le traitement de maladies dégénératives ou malignes. Ainsi, dans le cadre du développement de cette branche scientifique appliquée à la médecine moderne, cet établissement régional travaille en étroite collaboration avec l’EFS national dans le but d’effectuer des recherches sur la conservation de cellules-souches. « Dans cette optique, un cadre théorique et conceptuel, présenté dans les ouvrages scientifiques de l’EFS Aquitaine-Limousin, a été développé afin de permettre un avancement net dans l’ingénierie cellulaire, et ce, dans deux directions : l’une dans le développement de solutions d’expansion ex vivo des cellules-souches et l’autre, dans la conception de nouveaux procédés de conservation de ces dernières », poursuit notre interlocuteur. D’ailleurs, toujours dans cette branche de conservation, cette équipe a récemment effectué une découverte concernant l’hibernation cellulaire, une avancée scientifique considérable dans le domaine de l’ingénierie cellulaire et la transfusion sanguine. Des résultats valorisés par la publication Afin de guider les recherches et établir un socle théorique solide pour ces dernières, des articles et des ouvrages ont été publiés par l’EFS Aquitaine-Limousin afin de partager les découvertes dans le monde des cellules-souches, mais aussi et surtout, dans le monde de l’hématologie. Les praticiens et les chercheurs de l’établissement contribuent à l’enrichissement de ces supports intellectuels qui serviront tant aux professionnels de la médecine qu’aux étudiants et chercheurs de cette discipline. Des publications dans des revues scientifiques sont régulièrement citées dont certaines plusieurs dizaines de fois par an, preuve de la notoriété de l’EFS dans son domaine. Parmi les publications phares de cet établissement engagé dans la diffusion des connaissances se trouve l’ouvrage conceptuel coécrit par le Dr Zoran Ivanovic et le Dr Marija Vlaski-Lafarge, sorti en 2015...
À l’origine de la première mousse de fruit sans arôme avec zéro pour cent de matière grasse, Woos bouscule tous les codes en créant une émulsion ultralégère au goût fruité particulièrement prononcé, qui se décline en quatre parfums gourmands. À l’origine de la marque Fondée en février 2013 par le tandem Anne-Sophie Marquet et Janagan Suntharalingam, Woos est née d’un simple constat qui a joué le rôle d’un véritable élément déclencheur. Après avoir cherché sans succès des mousses de fruits sans lait ni œufs dans de nombreux commerces, Anne-Sophie, la cofondatrice de la start-up a effectué de nombreux essais en cuisine pour inventer elle-même la texture et le goût de la mousse longtemps recherchés. De fil en aiguille, l’idée de créer une start-up qui va développer une gamme révolutionnaire de mousses juste aux fruits (très distincte de la crème fouettée qu’elle était d’ailleurs loin d’apprécier) lui est venue. Son projet reçoit l’adhésion de Janagan, un ami de SciencesPo qui va l’aider à démarrer cette belle aventure pas comme les autres. Une association de valeurs et de savoir-faire Voulant se démarquer de la chantilly classique, la gamme de mousse Woos intègre une association de valeurs innovantes et particulièrement chères aux deux cofondateurs. Dans leur projet, l’innovation, la santé, le bien-être et la gourmandise jouent leur va-tout pour dévoiler une sélection de quatre mousses. La framboise plaît pour son zeste d'acidité et son parfum boisé. La version citron intense et audacieuse dénote une douce acidité. Aux fruits de la passion, la Woos décoiffe par sa mosaïque d'arômes exotiques. La Woos à la mangue, la dernière-née de la gamme, propose, quant à elle, un goût vrai et équilibré. S'adressant aussi bien aux particuliers qu'aux salons de thé, aux barmen ou aux restaurateurs, les Woos viennent sublimer les petits-déjeuners, le goûter ou le cocktail du soir à déguster en famille ou entre amis. Elles accompagnent à merveille certains desserts cuisinés ou se dégustent avec du fromage blanc. Points de vente Vous pourrez trouver les Woos à la Grande Épicerie de Paris, chez Alice Délice ainsi que dans les meilleures épiceries fines en région et sur l'e-shop de Woos. ...
Face à un majestueux Séquoia bi-centenaire, devenu l’emblème du domaine, une jeune équipe travaille la terre avec passion. 38 hectares de vignes s’étendent sur les coteaux de Peyrouton, au pied du village au charme médiéval de Pujols. 10 hectares présentent un sol argilo calcaire, typique des grands vins de Bordeaux. 28 autres profitent, eux, d’un sol argilo sableux et révèlent la présence rare et importante de silex. Cette particularité inspire l’oenologue Florian Bouchon lorsqu’il se décide à investir les lieux, il y a 5 ans. Dans sa famille, les hommes sont vignerons de pères en fils. Florian Bouchon grandit donc dans les vignes et sa vocation est toute dessinée. Après avoir exercé son métier en France puis en Nouvelle Zélande, il décide de revenir aux sources. C’est sa famille qui l’incite à visiter le vignoble alors en vente. Celui-ci est ensoleillé, vert, à l'abri de la chaleur. Son terroir est unique. Florian Bouchon tombe sous son charme. Il y voit de suite le potentiel pour imaginer et produire les vins « de demain ». La puissance et la fraîcheur du fruit Si les grands vins de Bordeaux sont réputés dans le monde entier depuis des décennies, les façons de le consommer évoluent de plus en plus, particulièrement pour la nouvelle génération. Florian Bouchon l’a bien compris. A l’apéritif, au cours d’un repas d’été, les épicuriens modernes ont désormais envie de légèreté et de fruits. Le rouge est délaissé au profit des rosés et des blancs, moins profonds en tanin et plus souples en bouche. Grâce à la richesse de son terroir, il élabore dès lors et au feeling des cuvées aux saveurs rondes et légères, à la maturité et à l’acidité subtile. Elles sont composées de différents cépages : Merlot, Cabernet Franc, Cabernet Sauvignon, Malbec. Le Sauvignon blanc, le Semillon sont réservés aux productions de vins blancs 5 grands vins de Bordeaux voient le jour en 5 ans, dont un blanc, tous caractérisés par leurs arômes délicats. Le Petit Bouchon, une nouveauté en 2019, sera décliné dans les trois couleurs pour le millésime 2020. Un engagement écologique Pour cet homme de la terre, la biodiversité, le respect de l’environnement et la protection des espèces sauvages doivent aujourd’hui être tenus comme des évidences inéluctables. Il use méticuleusement de techniques biologiques et propose notamment une cuvée sans sulfites, grâce à la maîtrise des températures et à un chai particulièrement soigné. Cette cuvée est la dernière création gourmande du vignoble. Nommée Le Petit Bouchon, millésime 2019 du Château Ferreyre, elle ne cesse de séduire les consommateurs. Le silex lui apporte toute son originalité et sa fraîcheur. Le fruit y est sublimé. Il est le petit verre idéal avant le repas ou pour un afterwork décontracté. La vision, pour le Petit Bouchon, c’est de proposer un produit sans conservateur pour répondre à une clientèle soucieuse de consommer des vins naturels, sans additifs, et écologiquement responsable. Toutes les cuvées du vignoble sont issues de l’agriculture labellisée Haute Valeur Environnementales (Niveau 3). Elles seront labellisées BIO au terme de l’année 2021, trois ans après la conversion des parcelles). Le goût du partage cultivé par une équipe jeune Pour Florian Bouchon, le vin est une histoire de passion et de convivialité. Il glisse ces valeurs dans son savoir-faire, ses inspirations mais aussi dans son rôle de pédagogue. Si on lui a donné sa chance quand il était plus jeune, il souhaite aujourd’hui rendre la pareille. Appartenant lui-même à la nouvelle génération de vignerons, il tient à recruter puis à garder les apprentis qu’il forme. Toute l’équipe affiche moins de 35 ans, des métiers de la terre à la production, du marketing à la communication. Lors des récoltes, des saisonniers viennent en renfort à ce petit staff motivé, tous professionnels et passionnés d’œnologie. Et l’image apportée au vin s’en ressent aussi. Etiq...
À La Gazette, les mets se dégustent dans un endroit bourré de charme, délicieusement mis en scène par les architectes Delphine Sauvaget et Pauline d’Hoop de Synghem. Le mobilier de style vintage, le motif à feuilles de bananier de la moquette, la couleur des accessoires et les lumières tamisées ont été choisis avec gout pour baigner les convives dans une ambiance branchée et raffinée, d'inspiration exotique. Des délices au rythme des saisons Une fois que l’on est installé confortablement dans l’un des fauteuils des années 1950 de la maison, les choses sérieuses peuvent commencer. Les saveurs fraiches que proposent les marchés de Paris seront suggérées sur une carte qui change toutes les deux semaines selon les ingrédients existants. En entrée, le Tempura de gambas au sésame a depuis longtemps gagné ses lettres de noblesse auprès des clients de La Gazette. Y gouter est presque impératif dans ce restaurant. Vient ensuite le moment de se régaler avec les fameuses Pâtes langue d’oiseau au jambon truffé. Enfin, le Cheese cake à la mangue et passion ou le Moelleux au chocolat et glace vanille sont là pour achever ce mélodieux repas. «Tout cela à un prix qui montre qu’il ne faut pas forcément se ruiner pour profiter d’une cuisine digne de ce nom dans le 16e arrondissement », se félicite Hugo Hussein Salami, propriétaire et associé. Dénicher le vin qui accompagnera le repas à la perfection ne sera pas une affaire délicate au restaurant La Gazette, étant donné la richesse et l’éclectisme de sa carte des vins. Celle-ci est très « ouverte à plusieurs régions », dixit Hugo Hussein Salami. Une promesse d’aller à la rencontre des meilleurs accords. ...