Malte, archipel de trois îles au cœur de la Méditerranée, à 90 kms au sud de la Sicile et à seulement 2h30 de vol de Paris, promet un total dépaysement. Entre sa culture méditerranéenne et son héritage britannique (Malte fut un territoire anglais en 1814 avant de devenir une république indépendante en 1964), le contraste est étonnant mais ne manque pas de charme. Villes historiques, paysages à couper le souffle, eaux cristallines, Malte est la destination idéale pour un week-end ou un long séjour. 2018 : La Valette capte la lumière européenne ! Après plusieurs années de préparation, la capitale de Malte, La Valette, devient celle de l’Europe dans le domaine de la culture en 2018 avec plus de 400 événements prévus sur l’année. De nombreux lieux ont été restaurés à commencer par l’entrée de la ville et la construction du nouveau parlement dont l’architecte n’est autre que l’italien Renzo Piano à l’origine de nombreux projets audacieux tel que le Centre Pompidou à Paris. La bâtisse en pierre traditionnelle maltaise s’intègre parfaitement à la ville tout en symbolisant un pays tourné vers le futur. Autrefois plutôt calme, La Valette est vibrante de jour comme de nuit avec ses commerces, ses cafés, ses bars et ses restaurants. Strait Street, une des rues les plus étroites de la ville, est bordée de bars où sont régulièrement donnés des concerts live. Des palais rénovés abritent des boutique-hôtels, le marché couvert accueille de nouveau restaurants et échoppes ; et le nouveau musée des Arts de Malte, le MUŻA ouvrira ses portes en milieu d’année, dans l’Auberge d’Italie, l’un des plus beaux palais de la capitale. Le programme culturel est très riche. Les fêtes traditionnelles maltaises prendront une autre dimension : le Carnaval en février, les célébrations de Pâques en mars, la Regatta en juin, les festas traditionnelles pendant l’été, et le Victory Day en Septembre ou les fêtes de Noël en décembre. Tous les arts seront représentés pendant l’année : expositions, concerts, festivals de musique, du design, de la mode ou de la littérature accueilleront des artistes maltais et internationaux. Au-delà de La Valette, d’immenses beautés à découvrir La capitale maltaise n’est pas la seule à attirer l’attention. De l’autre côté du Grand Port se trouvent les Trois Cités, dont les fortifications rappellent que ce sont elles qui ont résisté lors du Grand Siège à l’assaut des Ottomans. Aujourd’hui, on se promène le long de la marina de Birgu et on découvre le Fort Saint Ange, on visite le musée des sciences Esplora à Copiscua et on flâne au Gardjola Garden de Senglea. Au Nord de La Valette, c’est plutôt vers l’agitation de Sliema et St Julian’s que l’on se dirige. Boutiques, bars et restaurants bordent les rues. St Julian’s est très connue pour ses baies entourées des terrasses des restaurants et son quartier de Paceville, idéal pour danser dans les bars jusqu’au petit matin. Dans le centre de l’île de Malte, on aperçoit perchée en haut d’une colline Mdina, l’ancienne capitale de Malte connue sous le nom de Cité silencieuse. Restée immuable dans le temps, la ville n’abrite que des palais de la noblesse maltaise. Depuis les remparts de Mdina, on aperçoit le port de pêcheur Marsaxlokk tout au sud, où trempent les luzzus, ces bateaux colorés typiques ornés de l’œil d’Osiris. Le marché a lieu le dimanche matin, c’est le meilleur endroit pour déguster le poisson frais. Vers le nord, c’est la campagne : on longe les falaises puis on se retrouve vers les plages de sable. Un patrimoine historique d’une grande richesse L’un des premiers trésors de Malte est un ensemble de temples autoportés de l’époque mégalithique qui a conservé tous ses mystères. On ne sait toujours pas comment les habitants de cette époque (4000 - 3000 av. J.-C.) ont pu hisser ces pierres monumentales pour ériger des temples pour la déesse de fertilité. Ces temples, plus anciens que les pyramides d’Egypte, sont pour partie classés au Patrimoin...
Lancée par la coopérative vinicole de Colombé-le-Sec et ses environs, la marque Charles Clément travaille sur un vignoble s’étendant sur 120 ha selon un encépagement à majorité de pinot noir. Les champagnes sont issus d’un sol argilo-calcaire, très fertile et qui a la particularité de bénéficier d’un ensoleillement généreux. Un savoir-faire unique Afin de produire des champagnes de grande qualité, la marque Charles Clément mise avant tout sur le respect du savoir-faire traditionnel et la maîtrise de tout le processus d’élaboration du champagne. Pour cela, elle n’hésite pas à utiliser des équipements à la fois modernes et performants tels que des pressoirs pneumatiques, des celliers de stockage climatisé, des cuveries en inox…Chaque étape est réalisée avec minutie. Par ailleurs, les cuvées atteignent leur plein équilibre au terme d’une très lente maturation en cave. Ceci vaut en particulier pour les millésimes. Les spécialités de la maison La cuvée tradition, la cuvée blanc de noir, la cuvée spéciale et la cuvée nature figurent parmi les incontournables de la maison Charles Clément. Élaborée avec 50 % de pinot noir, 30 % de chardonnay et 20 % de pinot Meunier, la cuvée tradition est typique du terroir. Elle présente des arômes de fleurs blanches accompagnés d’une palette d’arômes lactés. Cette cuvée revêt une robe brillante avec des reflets dorés. L’attaque en bouche est franche et donne une sensation croustillante. À déguster à l’apéritif mais également pour accompagner des viandes blanches ou des plats légers. Ensuite la cuvée blanc de noir, élaborée exclusivement à partir de pinot noir, est sans doute la plus représentative. « Nous avons 80% du vignoble qui est en pinot noir, donc c’est un produit incontournable chez nous », explique M. Loïc LEFEVRE, le responsable commercial. Puis, la cuvée spéciale qui fait partie des cuvées haut de gamme est élaborée avec 70 % de chardonnay dont 25 % de vin de réserve et 30 % de pinot noir. D’une grande finesse et légèreté, ce champagne s’habille d’une robe dorée et éclatante. Cette cuvée enveloppe des arômes de melon et de fruits blancs (poire) agrémentés d’une touche épicée. En bouche, celle-ci est structurée et charnue. Enfin, dernière-née de la marque Charles Clément, la cuvée Millésime 2007« Natura » est issue d’un assemblage de 42 % de chardonnay, de 36 % de pinot noir et de 22 % de pinot meunier. « Il s’agit d’un brut nature, sans aucun dosage ni rajout à la fin », précise Loïc LEFEVRE. Un site, un label La maison Charles Clément ouvre toute l’année et organise régulièrement des visites et des dégustations gratuites. « Nous avons une cave labélisée Vignoble et découverte qui est un véritable atout au niveau œnotouristique », souligne fièrement notre interlocuteur. Concernant les événements, deux randonnées figurent au programme de cette année et auront lieu respectivement le 27 juillet et le 10 août 2018. Enfin, la maison lance « le vendangeur d’un jour », un concept nouveau où les touristes sont invités à rejoindre les vignes pour faire de la vendange. Une visite et une dégustation viendront clôturer en beauté cette singulière expérience. ...
Un lien bimillénaire unit les vignerons à ce terroir. Volcanique, maritime, champêtre, la vie géologique confère forces et vulnérabilités à des vins emblématiques, fruits d’une sincère communion entre femmes, hommes et nature. Avec des savoir-faire affinés au fil du temps, la priorité aujourd’hui est, pour de nombreux domaines, la préservation de l’environnement. Des vins de convictions aux arômes du terroir Il y a trente ans, le Château de Montpezat et le Domaine du Petit Roubié furent parmi les premiers à produire des vins biologiques, c’est-à-dire sans aucun traitement chimique, avec des rendements maîtrisés du vignoble, un respect des cycles de la nature. Aujourd’hui, chacun cultive son histoire, ses traditions, ses sols et ses initiatives. Pour exemple, dans les domaines Le temps fait tout et La Garance, des chevaux labourent le sol, nourris au foins cultivés sur place. Pour la seule commune de Montagnac, les Domaines Paul Mas, le Domaine de Campaucels et le Domaine de la Conseillère, font appel à des bergers locaux et proposent leurs vignes comme terrain de pâturage, un bon moyen écologique d’entretenir les terres. Les caves coopératives comme celles de l’Ormarine et les Caves Molière jouent également le jeu en proposant des vins en agriculture biologique. D’autres choisissent de produire des vins natures, sans sulfites, exigeant un savoir-faire précis et beaucoup de patience comme les Domaines Fontedicto et Stella Nova. Les domaines La Croix Gratiot ou la Font des Ormes ont choisi la culture biodynamique pour préserver et encourager l’écosystème. Les énergies, les cycles terrestres et lunaires, les matières végétales, animales ou minérales utilisées sont ici considérées comme intrinsèquement liées. Démarrer ces méthodes demande par ailleurs un investissement humain et financier conséquent pour les domaines et certains hésitent encore à se lancer dans l’aventure. Leur nombre augmente pourtant et témoigne d’une dynamique locale pleinement engagée pour son avenir. A découvrir le temps d’un parcours œnologique ludique et réjouissant. ...
Quelles sont les actions et missions de la fondation ? L’objectif de la Fondation Terre Solidaire est d’engager, en France et à travers le monde, une transition vers une société qui conçoit le progrès et le développement économique et social d’une façon respectueuse de la nature, des Hommes et des limites de la Terre. Pour cela, la Fondation Terre Solidaire s’est assignée trois missions étroitement imbriquées : — Soutenir des processus de réflexion et des travaux de recherche qui mettent en lumière de nouveaux concepts et modèles de développement. Par exemple, nous soutenons un collectif international de chercheurs et de penseurs regroupant économistes, sociologues et philosophes issus de différents pays. De la confrontation de leur analyse vont découler des solutions qui peuvent être proposées aux acteurs de terrain. — Appuyer des projets d’expérimentation qui mettent en œuvre ces alternatives de façon concrète. Par exemple, nous soutenons un grand programme impliquant 12 organisations locales dans la promotion de l'agroécologie paysanne en Afrique. Ils démontrent que l’agroécologie est un vecteur de transformation écologique, mais aussi sociale de ces territoires ruraux. — Mobiliser celles et ceux qui souhaitent s’engager à nos côtés sur ces enjeux. Pour cela, la fondation a fait le choix, dès sa création, d’abriter des fondations sous son égide. Grâce à l’animation d’une communauté d’engagement, nous mettons en place un espace ouvert qui permet les échanges de bonnes pratiques et d’analyses. Quels sont les principaux axes stratégiques sur lesquels œuvre la fondation ? Notre soutien se déploie autour de quatre axes stratégiques qui guident nos actions. — Le premier axe porte sur la transition vers des systèmes alimentaires durables. L’agroécologie apparaît comme une réponse innovante pour favoriser le passage à une agriculture durable, nourricière et porteuse de sens. La Fondation Terre Solidaire soutient des expérimentations dans des territoires géographiquement et culturellement variés. Ainsi, elle croise ces expériences au regard des caractéristiques de chaque territoire pour en tirer des enseignements en capacité de faire système à plus grande échelle. — Le second axe concerne l’économie et sa ré-articulation avec nos sociétés. La Fondation Terre Solidaire soutient par exemple le Mouvement SOL qui réunit la plupart des monnaies citoyennes, locales et complémentaires comme le Sol Violette à Toulouse ou l’Eusko au Pays basque. L’enjeu est à la fois d’encourager la recherche et le pluralisme en économie, mais aussi de renforcer les liens entre sciences économiques et enjeux de citoyenneté et de démocratie. — Le troisième axe stratégique important sur lequel nous œuvrons concerne le changement de paradigme énergétique. À l’heure de la décarbonisation, repenser la production, la distribution et la consommation d’énergie à l’échelle des territoires est essentiel. Partageant la même vision, Énergie Partagée (structure proche d’ENERCOOP) a pu ainsi bénéficier du soutien de la fondation. — Le quatrième axe s’attelle à l’émergence et à la promotion de ces alternatives pour les rendre accessibles au plus grand nombre. La crise écologique nous oblige aujourd’hui à inventer de nouvelles manières de faire société afin d’engager le changement. C’est ce que fait le programme R-Urban que nous soutenons, qui permet aux habitants de Bagneux ou Gennevilliers de participer à une expérience unique et collaborative autour de gestes éco-citoyens du quotidien. Pouvez-vous nous en dire plus sur ces fondations abritées ? La Fondation Terre Solidaire propose à celles et à ceux qui souhaitent s’engager durablement sur les enjeux de transition écologique, économique et sociale de créer une fondation abritée. C’est un moyen simple et innovant pour donner corps à ses idées et à sa générosité tout en bénéficiant de l’expertise et de l’accompagnement de la Fondation Terre Solidaire....
C’est à Verzenay, un village de Champagne à flanc de coteau situé sur la montagne de Reims, que la famille de Carlini a implanté son exploitation. Son vignoble, d’une superficie totale de six hectares, est réparti sur les grands crus de Verzy, Verzenay et Beaumont-sur-Vesle, et sur les premiers crus de Ludes, Rilly-la-Montagne et Villers-Marmery. De cette terre essentiellement encépagée de pinot noir naissent des champagnes équilibrés invitant à une expérience sensorielle mémorable. Des cuvées d’une grande régularité Au domaine de Carlini, toute la beauté des gestes ancestraux est au service d’un art, celui de la fabrication du champagne. Le travail commence dans les vignes selon des méthodes d’élaboration traditionnelles. « Adhérant aux Vignerons indépendants, nous faisons tout nous-mêmes, ce qui garantit la régularité de nos vins », explique Aude Krantz de Carlini, actuelle propriétaire. « D’une année sur l’autre, les clients retrouvent le fil conducteur de nos cuvées grâce à nos assemblages des années précédentes. » Une constance qui fait ainsi le succès des champagnes de la maison, mais pas seulement. Les cuvées sont aussi élaborées dans le plus grand respect de l’environnement selon des procédés raisonnés, contribuant ainsi à révéler toutes les caractéristiques du terroir. À la découverte des perles de la cave de Carlini Le secret d’un bon champagne repose sur son vieillissement, se déroulant après la prise de mousse. Les années qui passent contribuent à optimiser la plénitude et l’équilibre de ses qualités organoleptiques. Pour Aude Krantz de Carlini, « ce temps de garde, qui dure chez nous 24 mois pour les BSA et 10 ans minimum pour les millésimes, est source d’épanouissement de nos vins ». La maison invite ainsi les connaisseurs à se délecter de l’un de ses bijoux, à savoir le Blanc de noirs grand cru, composé à 100 % de pinot noir, un cépage qui apporte rondeur et puissance. Appartenant également au cercle fermé des grands crus, la cuvée Réserve, à 50 % de pinot noir et 50 % de chardonnay, séduit par ses arômes toastés et beurrés, ajoutés à des notes de fruits jaunes. Légèreté et finesse font la particularité de ce champagne, qui accompagne à merveille les poissons chauds. ...
« Que du frais et des produits de qualité ». Le restaurant Seb’on s’appuie sur ce concept pour séduire sa clientèle. Et ça marche ! « Nos clients viennent pour notre travail artisanal identitaire mettant à l’honneur le fait maison avec tendance gastronomique », raconte Sébastien Héloin, maître des lieux. Ainsi, pour préparer une glace au praliné, il préfère concocter sa propre praline lui-même, en caramélisant et en torréfiant les noisettes. Le plaisir de chaque convive étant la priorité de l’établissement, il s’efforce de changer ses menus toutes les semaines, en fonction des saisons et de la disponibilité des produits. « Néanmoins, grâce à un partenariat avec les fournisseurs de Rungis, il arrive que des changements s’opèrent en cours de semaine », annonce le propriétaire. Les spécialités de la maison Malgré la diversité de sa carte, l’établissement propose toujours son plat-signature depuis son ouverture, le 28 juillet 2014, à savoir le foie gras au vin rouge. Préparé avec des épices de vin chaud, de la cannelle ou des clous de girofle, ce mets est à faire précéder d’une entrée à base de poisson ou de viande. Il est très apprécié des « franchouillards », mais aussi des touristes venus visiter Montmartre, qui l’appellent parfois le « foie gras parisien ». Pour découvrir tout le savoir-faire du chef, les noix de Saint-Jacques snackées agrémentées de risotto noir et de jus de homard sont à déguster absolument. « Ce plat est préparé à base de riz noir riche en céréales, qui, autrefois, en Chine, était réservé à l’empereur », explique-t-il. Dans le registre du dessert, Monsieur Héloin fait preuve d’innovation en concoctant son diplomate au litchi, gâteau servi avec un crémeux de clémentine corse, le même que celui utilisé pour agrémenter les tartes au citron. Au coup de cœur… Pour accompagner les plats proposés par le restaurant Seb’On, le chef aime suggérer quelques accords à sa clientèle. Toutefois, toujours fidèle à son concept de diversification, il lui arrive de présenter d’autres vins choisis « au coup de cœur ». Ainsi, les convives pourront savourer des vins issus de la vallée du Rhône, de la Bourgogne ou des Hautes Côtes de Nuits, et notamment de chez Pierre Naigeon, un jeune passionné qu’il admire particulièrement. ...
Dans un terroir au sol perméable et argilo-calcaire poussent des cépages typiques des Pays de la Loire. C’est au cœur de cette région historique qu’est situé le Domaine de l’Enchantoir, produisant des cuvées répondant à l’appellation unique « Saumur Puy-Notre-Dame », qualifiant le vin fait à un seuil minimum de 85 % de cabernet franc. Fiers de cette distinction, Jean-Michel et Fabienne Brunet, heureux propriétaires de cette exploitation séculaire, nous emmènent à la découverte de cette terre déjà viticole depuis le Moyen-Age. « Un milieu dédié aux vignes » Ces propos de Jean-Michel et Fabienne Brunet justifient la forte réputation vinicole de Puy-Notre-Dame, une notoriété datant du 19ème siècle. Grâce à son microclimat d’altitude propice à la culture vinicole, ce terroir est le lieu de prédilection de deux cépages caractéristiques, à savoir le cabernet franc, pour le vin rouge, et le chenin, pour le vin blanc. Afin de rendre hommage à cette terre généreuse, le Domaine de l’Enchantoir privilégie ces deux cépages, avec un peu de chardonnay, sur ses 17 hectares de vignobles. Par cette recherche de l’authenticité, cette maison produit des cuvées rouges, blanches, rosées et pétillantes riches en saveurs subtiles et voluptueuses, et fortes de la mosaïque d’arômes propres à ce « terroir qualitatif », précise nos interlocuteurs. L’agriculture bio mise à l’honneur Certifié « Agriculture biologique », le Domaine de l’Enchantoir se veut être la figure de proue de plusieurs générations de vignerons soucieux de l’environnement et prônant un processus de vinification traditionnelle. Les cuvées issues de cette culture raisonnée gardent ainsi toute la typicité gustative du terroir, à l’instar du « Terres pourpres », un saumur rouge au caractère affirmé et succulent en bouche. Toujours dans cet esprit, les trois vins blancs produits par la maison ont le mérite d’être certifiés 100 % bios afin de préserver ce riche patrimoine naturel de Puy-Notre-Dame. ...
Bonjour Monsieur Hermelin. Christopher Hermelin | Bonjour On connaît tous très bien le caviste Nicolas. Mais peut-être un peu moins Craft Beers et compagnie. Qu’est-ce que c’est exactement ? C H | Alors Craft Beers et Compagnie, j’insiste sur le « Compagnie », parce que le « et Compagnie » a un rôle important, est l’enseigne spécialisée dans les bières artisanales et dans la bière en règle générale, de Nicolas. Au-delà de ça, il y a un « et Compagnie », puisqu’effectivement ce n’est pas que la bière artisanale. Derrière cette enseigne on a souhaité aussi y mettre tous les produits Craft, (Craft étant la traduction anglaise d’artisanal), des petites séries, mais aussi les champagnes et les spiritueux qui sont produits en petite quantité. Cette idée, elle est née au début avec la volonté de véritablement faire découvrir la bière au travers d’un concept store complet entièrement intégré et original. Les magasins Craft Beers ce sont des magasins qui font près de 400 m². Dans ces espaces, on va y retrouver trois grandes zones : une zone de vente, une zone de dégustation, c’est-à-dire que vous pouvez acheter un produit et le déguster sur place, et enfin un atelier de brassage pour vous permettre entre amis, entre collègues ou autre, de créer votre propre bière et de la laisser vieillir quelques temps chez Nicolas. Puis au bout d’une quinzaine de jours, venir la récupérer et la consommer. Alors comment ça se déroule un atelier brassage ? C H | En fait vous réservez, parce qu’il nous faut la disponibilité. Ça se pratique par deux et il faut compter à peu près 3 heures en moyenne. Un parce qu’on vous explique un petit peu les tenants les aboutissants, puis on se cale sur la recette que vous voulez faire, et à partir de là, une fois que cette recette est imaginée d’un commun accord, on va passer à l’acte de brassage à proprement parlé. Une fois que c’est fait, que le produit est fini et conçu, il sera mis dans deux fûts de cinq litres chacun, ce qui permettra aux deux personnes qui font cet atelier de brassage de repartir chacun avec le sien. Ils seront mis dans une cave à bières et vous pourrez revenir aisément dans 15 jours récupérer vos deux fûts de bière pour pouvoir les consommer. Monsieur Hermelin, pour les brasseurs qui souhaiteraient mettre leur bière en vente dans vos magasins, quelles sont vos critères de sélection ? C H | Petit un, elles doivent être Craft, hors circuit industriel, faite par des brasseurs qui font des tailles peu importantes. Et on a privilégié le local. Pour nous, derrière Craft Beers, l’enjeu c’était le local. Si je suis en Bretagne, j’ai un magasin Craft en Bretagne, je vais y trouver des produits locaux. À Clermont-Ferrand je trouverai des produits auvergnats et dans le Nord, j’y trouverai majoritairement des produits du Nord. Et j’imagine que, comme chez Nicolas, vos vendeurs sont extrêmement bien formés pour conseiller au mieux votre clientèle. C H | La bière c’est extrêmement créatif, y’a beaucoup de choses, y a une palette de goûts colossale. Ça ne se résume pas à des bordeaux ou a des bourgognes. Il y a une profusion de goût, d’assemblages etc. Donc là il y a besoin d’un accompagnement, il y a besoin d’un conseil, et puis qu’on travaille véritablement sur le goût. Qu’on ait une blanche, qu’on ait une blonde, qu’on ait une ambrée ou une brune, on peut avoir des variétés de goût et de fermentations radicalement différentes. Et puis il y a aussi toutes ces bières un peu spéciales, qui sont des aromatisées qui se développent énormément, surtout en été, où là aussi il y’a des assemblages. Donc ça, c’est important parce qu’on peut décevoir rapidement un client. Et puis après sur les accords mets et vins, on parle des accords mets et vins, mais aussi des accords mets et bières. Et de plus en plus nos cavistes sont formés pour vous conseiller et pour vous permettre d’avoir une alternative avec un met et son accord vin...
Épices pures ou en mélange, aromates et herbes. Les rayons d’Épices du monde déploient des produits provenant des quatre coins de la planète. Les férus de saveurs exotiques et méconnues trouveront ici leur bonheur. À ces condiments d’exception – délices d’ailleurs choisis suivant des critères de qualité rigoureux – viennent s’ajouter des épices locales défendant le goût de leur terroir. Mettre le monde dans son assiette Des épices de Madagascar à celles de la cuisine mexicaine, en passant par le célèbre piment d’Espelette, tous les goûts, les senteurs et les saveurs du monde se retrouvent dans l’éventail de produits proposés dans cette boutique en ligne. Les condiments qui y sont présentés, des plus connus à ceux qui le sont moins, sont alors une véritable invitation à un voyage culinaire fleurant bon la découverte. Grâce à ces produits de qualité, le monde s’invite dans vos assiettes. Cette enseigne de renom suggère de nombreuses recettes pour varier les plaisirs de l'apéritif jusqu'au dessert. Une gamme de 350 références triées selon la fiabilité et la renommée des fournisseurs, garantissant la traçabilité quant à l’origine de chaque produit. Cet engagement relevant de la rigueur est ainsi le gage de la qualité de chacune de ces références, aussi gourmandes les unes que les autres. Le client peut donc apprécier en toute confiance tout ce qui est cumin, curry, poivre de Kampot ou de Malabar... ...
Toulouse, ville des orgues Ville dynamique et chargée d’histoire Toulouse abrite un patrimoine organistique extraordinaire composé d’orgues de toute esthétique et de toute époque. Rien que dans le périmètre du centre-ville, il est possible d’entendre 5 siècles de musique sur différents instruments. De ce riche patrimoine est né le Festival international Toulouse les Orgues. « Cet événement original et inédit attire un public de passionnés ou de novices qui viennent du monde entier pour découvrir un concentré de talents, de concerts originaux et d’instruments aux sonorités très spécifiques » raconte Mélanie Daoulas, chargée de communication de l’Association Toulouse les Orgues. Dimension d'exploration et de confrontation permanente Premier temps fort de cette édition 2016 qui marque d’ailleurs les 20 ans du Festival, le week-end Dialogue des cultures, qui fera entendre des musiques balkanique, arabo-andalouse, anglaise et turque. Le festival proposera des duos tels que l'orgue avec le taïko, un tambour japonais ou le kannel estonien. Mais le "dialogue des cultures", c’est aussi la rencontre de cultures musicales différentes, à l’image de « Rock the Organ », un concert orgue, percussions et guitare électrique autour d’oeuvres de Zappa, Pink Floyd ou Gavin Bryars. C’est aussi des récitals où les oeuvres jouées évoqueront le voyage, l’exil, l’ailleurs. Pour un anniversaire sans fausse note, le dernier week-end sera consacré aux fondateurs du festival et aux créateurs et interprètes d’aujourd’hui. Parmi les autres temps forts du Festival, la restitution d’un projet d’éducation artistique ambitieux : Souffle sur l’étang. Ce spectacle qui se tiendra à l’église-musée des Augustins est le fruit d’un travail mené tout au long de l’année par des élèves de deux classes primaires d’horizons géographiques, culturels et sociaux différents avec leurs enseignants, un intervenant organiste et un danseur chorégraphe. De l'orgue pour tous! ...
La Maison de La vache qui rit, créée en 2009, se situe à Lons-le-Saunier, sur le site même de la première usine de la marque à ses débuts en 1921. Elle s’étend sur une superficie d’environ 2 000 m², avec une surface extérieure de 1 300 m² transformée en un parcours en plein air comportant divers jeux et animations ludiques pour les enfants. Une mise en scène vivante Bien plus qu’un simple musée, La Maison de La vache qui rit est aujourd’hui un véritable lieu de vie qui offre une belle rétrospective de l’évolution de la marque. « Sur le projet, nous avons collaboré avec un collectif d’architectes qui s’appelle Encore Heureux, une équipe très engagée et pleine d’imagination », souligne Laurent Bourdereau, le directeur de la marque. Elle arbore désormais une nouvelle identité, plus artistique, plus innovante, et toujours aussi amusante ! Après ce bain de jouvence, La Maison de La vache qui rit offre une découverte encore plus enrichie, présentée sous divers angles allant du parcours historique de la marque jusqu’aux ateliers création, en passant par de nombreuses séquences audiovisuelles et objets publicitaires. C’est d’abord un espace très artistique et animé, grâce aux nombreuses affiches, illustrations, expositions à thème et expositions permanentes reprenant les anciens packagings, dont la fameuse première boîte commercialisée. En outre, un parcours multimédia explique en détail le mode de fabrication de ces délicieuses portions La vache qui rit, et les visiteurs peuvent même s’adonner à une séance de dégustation pendant les ateliers cuisine. « Les enfants sont ensuite conviés à l’étage pour participer à une session d’art manuel de transformation d’emballage, dans une ambiance très créative et interactive », continue notre interlocuteur. Bref, La vache qui rit est une marque à partager en famille ! ...
Lancée en mars 2016, l’agence immobilière en ligne Click & Bed est l’œuvre de deux amis et associés : Fabien Desjeux et Vincent Peronnet. Deux anciens agents immobiliers qui connaissent parfaitement le marché et capables d’y déceler de nouvelles opportunités. Cette jeune start-up s’adresse essentiellement aux professionnels qui éprouvent des difficultés à se loger en raison de leur situation transitoire. « Leurs dossiers sont systématiquement refusés à la fois auprès des agences immobilières traditionnelles et des particuliers qui demandent des garanties, des conditions d’éligibilité pour accéder à un logement », explique Fabien Desjeux, président et cofondateur de la société. Grâce à Click & Bed, dénicher un logement en Auvergne-Rhône-Alpes n’a jamais été aussi facile. À noter qu’il s’agit de séjours temporaires ne dépassant pas trois mois (90 nuits par personne et par logement). En termes de concurrence, l’agence possède des atouts qui font toute la différence. « On a toute la légitimité de travailler sur ce secteur puisque l’on est la seule plate-forme légale par rapport aux autres et on cible une demande bien particulière », souligne Fabien Desjeux. Par ailleurs, à chaque réservation, tous les documents locatifs (contrat de location, quittance, facture) sont dématérialisés pour un gain de temps plus qu’appréciable. Des solides partenariats Pour assurer son développement sur le long terme, la start-up a procédé à une première levée de fonds auprès d’importants investisseurs comme Aymeric Léger, cofondateur du site de rencontres EasyFlirt. Cette levée de fonds a permis d’engranger pas moins de 200 000 euros. Afin de donner entière satisfaction à ses clients, l’agence collabore étroitement avec plusieurs partenaires : agences immobilières, promoteurs immobiliers ainsi que les offices de tourisme. « On collabore également avec des sociétés de conciergerie pour tout ce qui concerne le ménage, la remise des clés, l'état des lieux », nous souffle-t-on. Enfin, la start-up travaille en partenariat avec l’assureur Groupama pour assurer toutes les locations ! ...
Dans les hauteurs d’Aubrac, au beau milieu des massifs volcaniques, Arlette et Christian Bessière décident de transformer cette bâtisse abandonnée en un véritable sanctuaire culinaire : Le Buron du Ché. Installé au bout d’un chemin sinueux, ce paradis des gastronomes profite d’une excellente localisation d’où il est possible d’admirer les monts d’Aubrac. Un refuge culinaire en pleine montagne Le restaurant propose deux salles de styles différents. Ceux qui désirent profiter d’une ambiance plus intime et préserver la chaleur de leurs retrouvailles, le Petit Buron leur réserve charme et discrétion et peut accueillir jusqu’à 50 personnes. Puis, de l’autre côté, à travers ses grandes baies vitrées, le Grand Buron, d’une capacité de 80 places, fait profiter d’une vue panoramique donnant sur la vallée du Bes, les monts du Cantal et l' Aubrac. Au sein du restaurant, une ambiance chaleureuse et conviviale se fait ressentir. Les poutres apparentes en bois donnent du cachet à l’établissement et tranchent avec les tables et les chaises en métal. Une prédominance de couleur claire donne un aspect élégant et spacieux à la salle. L’aligot à l’honneur L’aligot est le plat phare de la maison. Minutieusement préparée par Christian Bessière, cette spécialité culinaire traditionnelle de la région d’Aubrac accompagne la plupart des plats servis au restaurant. Aujourd’hui, il est préparé à base de crème, de purée de pommes de terre, de beurre et de tome d’aligot. De nombreux menus gourmands à découvrir Le chef tente de satisfaire toutes les envies gourmandes, en proposant différents types de menus : Saveur, Goût du pays, Tradition, Dégustation, Terroir… Comme leur nom le sous-entend, ces suggestions culinaires font honneur aux produits du terroir fournis par les producteurs locaux. Les menus ont un point commun : ils sont constitués de viandes servies toutes sans exception avec l’incontournable aligot. À la carte, les papilles se délecteront en entrée d’une succulente crème brûlée au foie gras et pain d’épices. Le repas enchaine ensuite avec un risotto aux cèpes et gambas poêlés pour ceux qui affectionnent les produits de la mer. Sinon, il est possible de commander un mignon de porc en croûte ou une entrecôte pour les amateurs de grillades. Pour finir, les desserts maison au choix apporteront une note de gourmandise et de douceur à ce repas mélodieux. Les convives qui désirent manger plus léger ne sont pas en reste. Le restaurant leur réserve un vaste choix de salades, dont la salade du Buron, une spécialité de la maison composée, entre autres, de jambon du pays, de fromage, de croûtons et de salade verte. En outre, la salade d’écir enchantera les palais. L’écir, ce fromage typique d’Aubrac doté d’une pâte jaune pâle, est apprécié pour ses douces saveurs de gentiane et de miel. ...
La marque a monté tout un univers créatif pour donner vie à l’intérieur de notre maison et pour égayer notre table. Entourée de très talentueux designers nationaux et internationaux, elle veut hisser le savoir-faire français dans l’art et la décoration. Un savoir-faire savamment exprimé avec créativité dans le travail des matières, des lignes, des courbes et des textures. Le style contemporain revisité Sibo Homeconcept est créateur de nouvelles tendances en articles de verrerie, de vaisselle, de mobilier, de la décoration et divers accessoires qui se regroupent en différentes collections. À mi-chemin entre le style contemporain et un design industriel, chaque collection se compose de pièces uniques dont la plupart sont façonnées à la main. Méticuleusement conçus par des designers, les articles de la marque s’affichent dans les plus grands hôtels et restaurants du monde. Et peu importe le goût de chacun, le concept novateur et simpliste des produits de Sibo Homeconcept séduit aussi bien les particuliers que les restaurateurs et les chefs étoilés. Le choix d’une palette de couleurs neutres pour accompagner les courbes épurées suggère un esprit minimaliste. Et cette esthétique sobre et chic renforce encore plus la fonctionnalité primaire des objets, et n’encombre en rien leur utilisation. La gamme de collection vaisselle Chaque collection vaisselle est fabriquée à partir de matières composites : bois, verre, métal, verre soufflé, grès, porcelaine fine, etc. Et elles sont élaborées de façon à préserver ce côté naturel, qui devient l’âme de la collection. OSLO est une collection qui fait honneur aux matières organiques, plus spécifiquement le grès. Les articles revêtent un design moderne, aux courbes fines et légères. Une finition à la main affine les textures et crée une nuance d’effet mat et brillant. Les couleurs restent dans les tons naturels et sobres, pour souligner l’authenticité de la matière utilisée. NORI : collection marquée par ses formes arrondies et imparfaites. Le design apporte une touche de modernité au charme intemporel des vaisselles rustiques. Le mélange de grès et des émaux réactifs soumis à la chaleur explique la nuance de couleur vert amande, très caractéristique à chaque article. Une sélection conçue pour la maison et pour une utilisation quotidienne. URBAN, quant à elle, est composée exclusivement de flûtes à champagne, de verres à vin et de gobelets. Grâce à leur transparence, ils sont discrets mais ne passeront pas inaperçus et se fondent parfaitement dans la décoration de table. Au style contemporain très affirmé, ces articles sont créés par des artisans verriers en soufflé bouche. Chaque type de produits est commercialisé en lot de six pièces. ...
Située à Lirac, une commune au cœur du Gard, cette très ancienne propriété de la famille de Régis de Gatimel a été reprise en 1995 par Henri de Lanzac. Le château du XVIIe siècle est aujourd’hui tenu par des passionnés : trois générations (le grand-père, les enfants et le petit-fils) travaillent de concert pour produire des vins en AOP Lirac mais aussi AOP Tavel et AOP Côtes-du-Rhône. Incursion au sein d’une exploitation unique… Une diversité de terroirs Le Château de Ségriès constitue une véritable vitrine pour la vallée du Rhône méridionale, en regroupant 3 AOP sur ses 58 hectares de vignobles notamment constitués de vieilles vignes. Les 43 hectares servent à la production du Lirac (rouge et blanc) tandis que les 11 hectares composés typiquement de galets roulés, de silice, d’argile, de sable et de lauzes sont dédiés au Tavel. Depuis 1995, la maison détient en fermage le Clos Jean Alesi, l'ancien pilote de F1, installé sur l’AOC Côtes-du-Rhône et qui représente environ 4 hectares. Sur ces sols à dominance argilo-calcaire, le grenache, la syrah, le cinsault, le mourvèdre, l’ugni blanc, la clairette, le bourboulenc, le picpoul et la roussanne sont cultivés dans le respect de la tradition paysanne et selon une démarche raisonnée. « Nous avons fait le choix de ne prendre que ce que la Nature nous offre. Notre rendement est certes inférieur aux autres exploitations, mais cette philosophie nous permet de garantir une belle concentration à nos vins et donc une meilleure qualité », explique la famille de Ségriès. Des vins typiques, comme autrefois Lorsque la famille reprend le Château de Ségriès, elle décide de l’exploiter sans rien changer. Après des vendanges à la main, les raisins sont travaillés dans les mêmes installations qu’en 1925, notamment dans des cuves en ciment mais avec des techniques d'élaboration plus modernes. « Fermentation et macération se font alors plus naturellement, à l’origine d’une plus fine stabilité des vins », continue-t-elle. Ainsi, la majorité se conserve facilement une dizaine d’années (en dehors du Tavel qui se garde 4 ou 5 ans). Dans la gamme des cuvées ambassadrices, le Lirac Rouge trône en tête, car il reflète le plus le terroir, selon les gérants de la SCEA. « Sur les 41 hectares utilisés pour la production de ce vin, 30 hectares sont d’un seul tenant, lovés au creux de collines. Les vignes bénéficient alors d’un bel ensoleillement et, durant la nuit, la chaleur emmagasinée pendant la journée est redistribuée. Cela aboutit à des raisins d’une maturité rare, faisant toute la particularité de nos Lirac rouges ». Cette qualité est régulièrement reconnue lors des concours de vins. En 2016, une médaille d’or a été décernée au Lirac Rouge millésime 2015, à Orange, de même qu’en 2017, à Paris et à Mâcon. En 2018, le millésime 2016 a remporté deux médailles d’or. Entre autres exemples, le Tavel Rosé 2017 s’est vu attribuer 2 étoiles au Guide Hachette des Rosés 2018. Autant de preuves d’un vif succès ! ...
Promouvoir efficacement les vins spiritueux français hors de nos frontières Cocorico ! À l’international, force est de constater que les vins et spiritueux français ont la cote ! Jugez plutôt, pour l’année 2017, ce sont plus de 2 milliards (2 388 000 000, pour être précis !) de bouteilles de vins et spiritueux français qui ont été exportées. De l’avis des professionnels du secteur, les 12,9 milliards d’euros que toutes ces ventes auront générés constitue un record « historique ». Et quelque chose nous dit que Business France qui organise régulièrement des dégustations professionnelles de vins et spiritueux français hors de nos frontières n’est pas étranger aux excellents résultats enregistrés par la filière viti-vinicole. Car voilà, lorsque l’on est un producteur ou un négociant en vins et spiritueux, il peut se révéler difficile de commercialiser efficacement sa production en Europe et au-delà : comment s’y prendre pour communiquer sur ses produits ? Qui contacter ? Autant d’obstacles à surmonter… Et c’est là que Business France intervient. En organisant régulièrement des dégustations professionnelles Tastin’France auprès d’acteurs locaux (distributeurs, cavistes, importateurs, restaurateurs, négociants, etc.) triés sur le volet, Business France permet, en effet, aux producteurs, agents et négociants français de faire connaître leurs vins et spiritueux dans les meilleures conditions qui soient. « L’idée, c’est vraiment de leur donner les moyens d’aller à la rencontre des professionnels locaux et d’aider nos producteurs, agents et négociants à répondre à leurs besoins en termes de développement à l’international » explique Fabienne Le Goc, Responsable du Pôle Rencontres BtoB - Service Vins et Spiritueux chez Business France. Tout mettre en oeuvre pour déclencher les commandes à l’export Pour faire découvrir les vins et spiritueux français et mettre en relation les producteurs et les négociants français avec les décideurs étrangers, Business France dispose de tout un arsenal. Tout d’abord, cette société dispose d’un solide savoir-faire. « Nous faisons profiter nos clients de notre expertise en leur fournissant des prestations de conseil pour améliorer leur démarche d’exportation » précise Fabienne Le Goc. Business France peut également s’appuyer sur son réseau : répartis dans 93 bureaux, 60 experts aident les producteurs et négociants français à exporter dans 73 pays du globe. Car sa parfaite connaissance des marchés locaux et de leurs spécificités constitue indéniablement l’un ses principaux atouts. De plus, la logistique que Business France est capable de déployer (organisation de dégustations ciblées, envois d’échantillons, organisation de voyages, rédaction de communiqués de presse, édition d’un catalogue de produits, réalisation d’études de marché, prêt de matériel de dégustation , etc.) pour accompagner les professionnels hexagonaux dans leur projet d’internationalisation participe clairement au succès de son action. Bref, autant de leviers que Business France ne manque pas d’actionner pour booster les commandes à l’export des acteurs du marché des vins et spiritueux qui font appel à leurs services. « Nous sommes un activateur d’affaires » indique Fabienne Le Goc. Pour l’année 2018, ce sont ainsi 57 dégustations qui ont été programmées : 19 d’entre elles auront pour cadre les principaux marchés européens (Belgique, Pays-Bas, Europe de l’Est, Scandinavie, etc. ). Et 38 porteront les couleurs de nos vins et spiritueux ailleurs dans le monde ! « En tout, cela représente une trentaine de ‘’tours’’ qui seront organisés dans plus de 50 pays ». ...
Les spiritueux gastronomiques n’ont plus de secret pour la maison Jean Boyer. Depuis une vingtaine d’années, l’entreprise est devenue le partenaire privilégié des cavistes et des restaurateurs en quête de produits « premium » et exclusifs. « Nous ne commercialisons qu’à destination des professionnels sur le territoire français, mais aussi un peu à l’export notamment vers le Japon et l’Australie », fait savoir le propriétaire, Dominique Ribéreau-Gayon. Au total, 150 000 bouteilles sont produites annuellement, toutes gammes confondues. Un mode de travail fidèle à la tradition Société à taille humaine située dans les Landes à Saint-Geours-de-Maremne, Jean Boyer s’attache à préserver un savoir-faire artisanal et traditionnel dans l’univers de la production de spiritueux. Parmi ses produits de prédilection, s’inscrit le pastis, ou les pastis puisqu’il y a une dizaine de recettes différentes. Le pastis « est totalement élaboré sur place à partir de plantes que nous faisons macérer pour en tirer le meilleur des arômes », explique le propriétaire. Les assemblages sont ensuite réalisés sur place. Enfin, les pastis restent plusieurs mois en cuve pour permettre une décantation naturelle, « une filtration retiendrait tous les arômes » s’exclame Dominique Ribéreau-Gayon. Mais le produit phare de la maison reste le whisky. A l’origine, le Scotch puisque Jean Boyer avait d’étroites relations avec certaines distilleries écossaises. Ils pouvaient ainsi accéder aux meilleures sélections de fûts. La société est alors devenue un véritable embouteilleur indépendant de whisky qui choisit ses fûts et les embouteille individuellement. Ainsi chaque fût ne produira que 500 bouteilles environ qui sont uniques et rares. Le rhum, second produit moteur de Jean Boyer, provient de différentes régions de productions. Les fûts sont acheminés dans les Landes sur le site de l’entreprise afin d’y être préparés et conditionnés. Un concept assez novateur « Notre maison se distingue par sa forte réputation auprès des cavistes », déclare Dominique Ribéreau-Gayon. Et pour cause, l’entreprise a développé un concept qui plaît énormément chez les professionnels : le puits Jean Boyer. L’idée est de permettre au consommateur de venir remplir sa bouteille chez le caviste, directement au puits. « Nous fournissons à nos clients tous les éléments nécessaires pour respecter la réglementation. Ils n’ont pas à se préoccuper des aspects administratifs. Ce concept, que nous sommes les seuls à proposer, est totalement dans l’air du temps et connaît un franc succès », se félicite le propriétaire. ...
La région de Grimaud est un petit écrin particulièrement agréable à découvrir hors saison, à l’écart de l’afflux estival. Bénéficiant d’un climat doux et ensoleillé, elle offre une douceur de vivre propice au ressourcement et à la tranquillité. De plus, elle propose de nombreuses activités pour le plaisir de chacun. Entre Massif des Maures et Méditerranée, cette région met en émoi tous vos sens, avec ses nombreuses nuances de couleurs, avec ses paysages plein de charme, avec ses parfums naturels, avec ses chants d’oiseaux, avec sa gastronomie toute provençale. Des découvertes patrimoniales et culturelles Par exemple le village médiéval de Grimaud enchantera les flâneurs et les curieux avec son château classé monument historique, son église, ses ruelles étroites, ses fontaines et son moulin à vent. Quant à la cité lacustre de Port-Grimaud devenue « Patrimoine du XXe siècle » depuis 2001, elle est un bel exemple d’un village méditerranéen entre terre et mer. Ces 2 sites peuvent être découverts en empruntant le petit train touristique. La région de Grimaud offre également d’agréables moments de partage avec ses concerts classiques, ses festivals et ses expositions de peintures ou de photographies. Si vous souhaitez découvrir Saint-Tropez, vous pourrez emprunter un bateau à partir de Port-Grimaud, Sainte-Maxime, Cogolin ou Saint-Raphaël pour rejoindre rapidement cette célèbre cité et sa citadelle. Un environnement naturel exceptionnel Cette région est idéale pour retrouver le goût de marcher en pleine nature. De nombreux sentiers de balades à faire à pied, à vélo ou à cheval vous emmèneront le long du littoral ou dans le Massif des Maures. Si vous préférez pratiquer un sport nautique, son littoral vous offre de nombreuses possibilités : yachting, dériveur, windsurf, kayak, jet ski, paddle, planche à voile, barefoot, optimiste, surf, catamaran, etc. Sans oublier les somptueuses plages qui invitent au farniente, comme la plage de Port-Grimaud, la plage du Gros-Pin, la plage de Guerrevieille ou la plage des Cigales. Vous pourrez également flâner dans l’un des 3 jardins insolites du Golfe : le jardin des Méditerranées (Le Rayol-Canadel) avec une belle évocation des flores du monde, le jardin botanique L’Hardy-Denonain (Gassin) avec des espèces spécifiques au climat méditerranéen ou le Parc botanique des Myrtes (Sainte-Maxime) avec une belle collection de palmiers. Aussi une terre de saveurs Vins, huiles d’olive, fruits, légumes, herbes de la garrigue, poissons de la Méditerranée, fromages de chèvre vous attendent sur les différents marchés de la région. Goûtez aux spécialités locales comme la bouillabaisse, la tapenade, l’anchoïade, la maximoise ou encore la tarte tropézienne. ...
Le Mas Janeil Le Mas Janeil est une propriété située dans la vallée de l’Agly, dans les Pyrénées-Orientales, avec des parcelles sises entre les communes de Maury et de Tautavel. Son terroir, à cheval sur une faille géologique, présente une très grande diversité. Ses vignes sont constamment soumises aux souffles de la tramontane et du marin. Les vieilles vignes de grenache, de mourvèdre et de syrah ne sont vendangées qu’à leur pleine maturité, ce qui confère aux cuvées une belle maturité aromatique. Les vins qui y sont produits sont déclinés sous le nom de « Mas Janeil », en appellation AOP Côtes-du-Roussillon et Côtes-du-Roussillon Village et « Les Hauts de Janeil » en IGP Pays d’Oc. Le Château des Erles François Lurton a acquis avec son frère ce vignoble situé aux confins des Corbières en 2001. Les 18 hectares, composés de sols schisteux mélangés à du grès noir, sont plantés de carignan, de grenache et de syrah, en faible densité de 3000 pieds par hectare. Il est soumis à un climat méditerranéen typique et une pluviométrie faible qui sont à l’origine de la fraicheur prononcée de ses vins. Les herbes de Provence qui entourent le vignoble donnent à ses cuvées des notes d’herbes. Le domaine produit deux vins en appellation Fitou : le « Grand Vin du Château des Erles » et la « Cuvée des Ardoises ». Le Domaine du Ministre Le Domaine du Ministre, situé sur la commune de Murviel-lès-Béziers, se trouve en plein cœur de l’appellation Saint-Chinian. Ses cépages de syrah, de grenache et de mourvèdre grandissent sur un sol calcaire contenant de la marne. L’exploitation produit le vin du même nom, le « Domaine du Ministre », qui bénéficie d’une couleur rouge rubis profond, avec un nez complexe et intense,tout en offrant un bel équilibre en bouche avec des tanins suaves et des arômes concentrés. Le Domaine des Salices Le Domaine des Salices est un vignoble situé dans le Minervois, entre la Montagne noire et la Méditerranée. Ses vignes bénéficient d’un excellent ensoleillement toute l’année, qui garantit un murissement parfait des raisins. Le terroir produit quatre cuvées en appellation IGP de Pays d’Oc. Les Fumées Blanches « Les Fumées Blanches »constitue la cuvée de référence qui fait la renommée mondiale de François Lurton. Celle-ci tire son nom de la brume matinale qui couvre les vignes de sauvignon blanc, au pied de la Montagne noire, entre l’Atlantique et les Pyrénées. Ce vin de cépage monovariétal est un assemblage de sauvignon blanc issu de plusieurs terroirs différents dans cette région du Gers, à 150 km de Bordeaux. Créée il y a 18 ans, la gamme de vins s’est dotée d’une nouvelle venue, plus pétillante grâce à l’ajout d’une légère dose de dioxyde de carbone qui révèle la délicatesse des arômes du cépage. ...
Le Musée national des douanes (MND) a fait son nid dans la halle de l’Hôtel des fermes du roi, un des plus précieux vestiges architecturaux de Bordeaux. Dédié exclusivement à l’Histoire et à la valorisation de l’administration des douanes, le musée regroupe actuellement plus de 13 000 objets, dont 600 sont exposés dans le parcours permanent. Le reste est dévoilé occasionnellement, lors d’expositions temporaires qui sont, le plus souvent, associées à un thème spécifique. L’exposition permanente, un parcours riche de découvertes « Nous avons des collections très variées et assez intrigantes pour nos visiteurs », introduit Aurélie Guichemerre, conservatrice et chargée de communication au MND. « Très variées », en effet, car, entre les œuvres d’art, les équipements et toute une panoplie de documents d’archives, il y a beaucoup à découvrir. Le parcours permanent du MND se décline en trois temps. Une première section retrace brillamment les moments clés de l’Histoire en abordant notamment l’Ancien Régime, la Révolution française, l’époque napoléonienne ou encore l’ère contemporaine. La deuxième section met en avant l’évolution du métier d’agent douanier. Y sont présentés toute une collection d’uniformes et d’accessoires, mais aussi un vaste panel d’outils et de matériels de travail dont l’utilisation remonte au XIXe et au XXe siècle. Quant à la dernière section (inaugurée récemment), elle dévoile un aspect plus contemporain. En ce lieu sont exposées les missions actuelles de la douane (perception des taxes, régulation des marchés, protection des citoyens, des espèces menacées, du patrimoine culturel…) et les différentes fonctions exercées par ses 16 800 agents (employés de bureau, maîtres-chiens, pilotes…). Se plonger dans la documentation historique Le centre de documentation historique (CDH) est accessible uniquement sur rendez-vous. Doté d’une bibliothèque et d’une médiathèque, cet espace est surtout dédié à la recherche. « Nous accueillons souvent des chercheurs, des journalistes souhaitant recueillir des éléments pour alimenter leurs articles ou même des personnes qui sont à la recherche d’une piste généalogique. Dans ce dernier cas, nous regroupons les informations trouvées dans les registres du personnel », explique Aurélie Guichemerre. Le CDH est dirigé par une documentaliste qui se charge d’aider les visiteurs à mieux s’orienter dans leurs recherches. Le centre propose également différentes prestations afin de répondre aux demandes les plus spécifiques. Parmi les éléments de documentation mis à disposition figurent des ouvrages, des photographies et des documents d’archives, tous en lien avec l’histoire et les différents services de la douane. ...
Pédagogie à la carte Fort de plus de 60 ans d’expérience, Nacel place la pédagogie au cœur de son action. La marque travaille en étroite collaboration avec des enseignants de tous horizons, afin de créer des séjours adaptés aux envies et aux objectifs de chacun. Chaque personne étant unique, l’organisme propose des formules sur-mesure permettant à tous, petits et grands, de trouver le séjour qui lui correspond. Les participants sont ainsi orientés vers les programmes convenant à leur niveau, leur âge, leur destination, leur objectif et la langue avec laquelle ils souhaitent se familiariser. Les immersions permettront des progrès rapides et un apprentissage naturel en partageant le quotidien d’une famille étrangère. Les préparations aux examens conviendront à ceux qui espèrent des séjours riches en contenus pédagogiques. Pour ceux qui veulent joindre l’utile à l’agréable, l'apprentissage se complète par diverses activités ludiques comme le sport, le théâtre ou le cinéma, des activités culturelles et des jeux propres à la culture de chaque pays. En famille ou en résidence, les participants peuvent profiter de séjours tout au long de l’année pour apprendre le monde le temps d’un voyage… Une offre riche et qui répond aux tendances actuelles Grâce à quelques 200 partenariats développés avec des établissements partout dans le monde, Nacel offre plus de 20 pays d’accueil, parmi lesquels la Grande Bretagne, les USA, la Chine, les Emirats Arabes Unis, Chypre, ou encore Malte. L’organisme dispose en outre d’un réseau intégré d’équipes implantées aux Etats-Unis, au Canada ou encore en Australie. Les destinations anglophones étant les plus plébiscitées, Nacel propose comme nouveauté 2018 , une immersion de dix jours à Dublin. Un séjour très intensif, rythmé par des activités et des séquences de discussion en one to one avec des intervenants anglophones. Avec un taux d’encadrement d’un natif pour un participant, l’apprentissage sur-mesure prend tout son sens… Nacel se diversifie en se montrant à l’écoute des tendances actuelles et organise des séjours de plus en plus originaux. Pour tous les férus d’informatique, il existe aujourd’hui des formules permettant un double apprentissage en programmation et en langue. L’organisme propose un séjour inédit anglais et coding à Londres. Durant 2 semaines, les participants jongleront entre cours d’anglais (15h) et cours de codage informatique (45h). Enfin, Dubaï étant devenue une destination phare, Nacel a créé un séjour riche en activités originales au cœur de la ville où tout semble possible. Outre les 30 heures de cours d’anglais en classe internationale, les participants visiteront l’îlot de modernité dans son ensemble… Des séjours de qualité et certifiés Réputé pour la qualité de ses séjours, Nacel fait partie des rares organismes à avoir obtenu la certification NF Service attribuée par Afnor Certification. Son adhésion à l’Unosel renforce sa fiabilité et son sérieux, puisqu’il est rigoureusement tenu de respecter une charte de qualité imposée par cette union professionnelle des organisateurs de séjours linguistiques. Maitrisant toute la chaine de l’organisation du séjour grâce à une implantation dans de nombreux pays, l’entreprise est aussi agréée IATA (Association Internationale du Transport Aérien). Ce partenariat lui permet d’offrir les meilleures conditions de séjour à ses clients en termes de prix, de destination et de prise en charge. Une trentaine de conseillers sont quotidiennement à l’écoute pour leur apporter un support permanent et un suivi personnalisé. Ce sérieux et cette expertise a valu à Nacel un indice de satisfaction de 16.4/20 en 2017. ...
Situé à 15 min de Chinon, entre Tours et Poitiers, le Château du Rivau présente l’énorme avantage d’abriter une ferme où sont plantés et cueillis ses propres légumes, ce qui lui permet une totale maitrise de leur provenance et une parfaite garantie de fraicheur. Une cuisine simple et gourmande Dans sa démarche constante de développement durable ancrée sur l’environnement, l’économie, le volet éthique et social, le Château du Rivau propose une cuisine simple préparée à base de produits frais du jardin. Derrière ses fourneaux, en cuisine, la chef Béatrice Allart déploie un impressionnant savoir-faire à travers une cuisine inventive et particulièrement saine, avec une option pour les végétariens, les végétaliens et aussi pour les intolérants au gluten. D’excellentes soupes artisanales Le Château est un établissement particulièrement réputé pour ses soupes artisanales, préparées à base des produits de la ferme du Rivau, notamment le velouté à la sucrine du Berry, une de ses soupes phares dont les habitués ne s’en lassent pas. Il s’agit d’une savoureuse soupe traditionnelle et artisanale préparée à base des produits de la ferme du Rivau, avec comme principal ingrédient la sucrine du Berry, une courge de variété autochtone, menacée de disparition et qui fait l’objet d’un plan de sauvegarde au sein du Conservatoire de la région Centre. Un salon de thé au cœur du château Tel un voyage dans le temps à l’époque de la royauté, le Château du Rivau dévoile une magnifique bâtisse à l’ambiance onirique et aux décors très contemporains, aménagée avec gout dans une belle association entre Histoire et modernité. Au milieu de ce décor, particulièrement en période de vacances scolaires, l’établissement ouvre les portes de son salon de thé, où il est possible de savourer de nombreuses variétés de thés et autres tisanes aromatisées, accompagnées de délicieux gâteaux faits maison, sans oublier des jus de fruits frais très désaltérants et du soda. Dégustation de vins Grâce à la généreuse contribution de quelques vignerons experts, une visite au Château du Rivau est l’occasion toute trouvée de déguster gratuitement d’excellents vins produits dans la région. La maison propose aussi des dégustations pour les individuels qui se déroulent d’avril à octobre et qui offrent deux formules possibles, à savoir les cépages de la Loire ou les 3 terroirs de Chinon (de type argilo-silicieux, graves ou argilo-calcaire) qui durent 30 minutes. En outre, des dégustations pour les groupes invitant à découvrir un vin de Loire ou un fromage de chèvre de Sainte-Maure-de-Touraine sont organisées dans le décor verdoyant des jardins du Rivau. Promenade ludique dans un cadre médiéval Le Château du Rivau laisse subtilement flotter une ambiance féérique. La magnifique forteresse médiévale est entourée de 14 jardins savamment agencés et minutieusement entretenus, où, selon les propos de Patricia Laigneau, créatrice des jardins, « chaque jardin évoque un conte de fée différent ». Baignant dans un cadre au charme authentique, il est classé au patrimoine mondial de l’UNESCO… Un carnet de voyage incontournable à découvrir en famille. ...
En plus de profiter d’un emplacement privilégié, le Château Lafon a su magnifier un terroir prodigieux pour nous proposer deux vins blancs liquoreux d’exception. Le Château Lafon : une enclave au milieu des vignes du Château d’Yquem Le Château Lafon est une propriété familiale qui a été achetée dans les années 1920 et qui a été, ensuite, transmise de génération en génération. Localisé en plein milieu du Château d’Yquem, dans le Sauternes, le domaine (qui a obtenu la certification HVE) dispose de 12 hectares de vignes 100% Sémillon. Pour en arriver à ce vin blanc liquoreux aux notes de noisette, de miel et d’acacia, chaque cuvée est élevée avec passion et amour du terroir. Ainsi, après une vendange manuelle par tri successif, le vin passera par des cuves en inox et sera finalement vieilli en barriques de chêne pendant 12 mois. Ce qui permet de créer le Château Lafon et le Château Nauton, tous deux multi-récompensés et accompagnant aussi bien un foie gras qu’un dessert chocolaté ou fruité. ...
Lancés en décembre 2016, à Montlouis-sur-Loire, par David Grougi, Les Potions Créoles sont des punchs au rhum élaborées grâce à de traditionnelles et familiales recettes des Antilles. Produites par la seule main de David Grougi, les 2000 bouteilles annuelles représentent le résultat de la passion et de l’efficacité. Une fabrication entièrement artisanale pour un goût authentique La fabrication des Potions Créoles est 100 % artisanale et manuelle. Elle s’appuie sur la rigoureuse sélection de fruits frais à maturité, garantissant ainsi le meilleur échange aromatique avec le rhum agricole AOC de Martinique. La macération est réalisée, par le biais de bocaux de verre de 5 litres chacun, selon la tradition antillaise. Après le retrait des résidus de fruits, l’ensemble est arrangé d’un sirop de sucre de canne maison et d’épices des Antilles avant d’être manuellement mis en bouteille. L’absence de fruits apparents dans ces Potions Créoles permet au consommateur de ne pas être lésé au niveau de la quantité liquide de la bouteille et lui propose également un goût non altéré. Des potions diversifiées et récompensées Depuis un peu plus d’un an et demi, 5 potions créoles ont été lancées. Avec un succès tant commercial que critique et honorifique. C’est notamment le cas du punch au gingembre et au citron vert qui a remporté la médaille d’or du concours Top Rum 2018. Ce rhum arrangé équilibré possède une belle signature fruitée, titrant à plus de 30 degrés. Le punch coco n’est pas vraiment en reste. Car, fort de sa médaille d’argent obtenue lors du Concours Général Agricole de Paris en 2017, cette boisson, aux saveurs sucrées et à la texture crémeuse, est arrangée par un mélange de sucre de cannes et d’épices et titre à 11 degrés. Médaille de bronze au concours Top Rum 2018, le punch banane flambée, dont la préparation est filtrée à plusieurs reprises, rend une note finale, gourmande, suave et élégante titrant à plus de 29 degrés. Vendu en édition limitée, le punch fraise nécessite l’apport de fraises de Touraine, sélectionnées à maturité et cueillies à la main. Avec sa teinte grenat soutenue, son onctuosité et son fruité délicat cette boisson de l’été titre à 29 degrés. Commercialisé depuis juin dernier, le punch fruits de la passion est une potion élaborée à partir de Maracujas de la Martinique. Avec son goût fruité et acidulé, le Maracuja apporte une fraicheur aromatique surprenante titrant à 34 degrés. A ces 5 Potions Créoles s’ajouteront, tout prochainement, deux autres. Disponibles à partir du mois d’août prochain le punch duo de citrons (jaune et vert) et celui à la cacahuète viendront compléter une gamme déjà diversifiée et combler encore plus nos papilles gustatives. ...