La bienveillance comme levier de développement Quelle que soit la nature de la mission qui lui aura été confiée (coaching professionnel, consulting, formation, accompagnement de projet), Nelly Trevgoda écoute mais ne juge pas. Toujours bienveillante, jamais complaisante, elle s’applique à accompagner ses clients jusqu’au résultat qu’ils souhaitent obtenir. Qu’il s’agisse d’atteindre ses objectifs, de développer ses compétences managériales, ou encore d’identifier des difficultés et de les surmonter. Mais n’allez surtout pas la comparer à un psy ! « Chacun son métier », répond-elle lorsque l’on fait mine de relever quelques similitudes entre les deux professions. En coaching professionnel, ne seront abordées que les problématiques liées au travail. « Pas question de remonter jusqu’à la petite enfance », précise-t-elle. « De plus, là où un psy s’intéressera au “pourquoi’’ de telle ou telle situation, le coach, quant à lui, se concentrera sur le “comment’’ ». Une fois la problématique formulée, le coach élaborera alors un plan d’action de façon pragmatique. Valoriser sans dénaturer L’implication du « coaché » est un facteur déterminant dans la réussite du coaching. « Certains clients sont en quête de conseils. Mais bien souvent, c’est en eux qu’ils devront puiser les ressources dont ils croient manquer. » Comme l’explique Nelly Trevgoda, « un coach ne sera pas dans le “Je sais mieux que vous alors laissez-moi vous dire quoi faire” mais plutôt dans le “Je vais vous aider à trouver votre potentiel et à l’exploiter.” » Donner des directives à quelqu’un et l’aider à faire émerger des choses qu’il possède déjà mais dont il ignore l’existence ou dont il sous-estime l’importance sont deux choses très différentes. Nelly Trevgoda, qui, avant d’embrasser la profession de coach, a étudié la restauration de tableaux anciens à Avignon, aime à comparer son activité à celle du restaurateur. « L’éthique c’est de mettre en valeur une œuvre, tout en prenant soin de ne pas altérer sa nature. Avec mes clients, c’est le même processus : le coaching leur permet de se mettre en lumière et de rester en accord avec leur personnalité profonde. » Une large palette d’outils Que l’on restaure un tableau du XVIIIe siècle ou que l’on mette en place un accompagnement personnalisé pour un manager désireux d’améliorer son leadership, il est nécessaire de disposer non seulement d’une formation solide, mais aussi des bons outils. Coach accréditée et formée à l’analyse transactionnelle ainsi qu’à l’approche systémique des organisations, Nelly Trevgoda peut compter sur une « boîte à outils » bien remplie pour mener à bien sa mission. Loin de se contenter d’exercices théoriques, Nelly adopte au contraire une démarche pragmatique. Elle accorde notamment une grande importance à la pratique par le biais de mises en situation concrètes. ...
Dans le Lot, plus précisément dans la commune d’Alvignac se trouve un restaurant de charme Chez Ernestine. « Les touristes s’y bousculent pour y découvrir les produits du terroir travaillés suivant des recettes d'antan revisitées par le chef » nous déclare Amandine Calore, maîtresse des lieux. Un chef inspiré… Cet établissement de charme doit sa renommée à son cadre « bistrot chic », mais surtout à sa cuisine traditionnelle teintée de l’inspiration de Joshua Laillier. À 28 ans, le jeune chef tient les rênes de la cuisine avec pour mots d’ordre « faire plaisir tout en se faisant plaisir ». Il fait ses armes au sein du lycée hôtelier de Souillac, avant d’acquérir toutes les bases de la gastronomie et de la brasserie en travaillant dans de nombreux établissements. Cet amoureux des bons produits du terroir se plaît à proposer des assiettes copieuses, des recettes revisitées et un visuel très festif. Ses spécialités ? « La terrine de foie gras maison en entrée, une souris d’agneau confite aux pruneaux et au pain d’épice en plat de résistance, et un tiramisu spéculos banane en dessert ». Un bon vin rouge de Rocamadour relèvera les saveurs de ces plats raffinés. Un cadre style « bistrot chic » Cette cuisine bistronomique est servie dans un cadre original « offrant une belle dualité entre modernité et tradition » selon les explications d'Amandine Calore. Les nappes en vichy, le plafond bas et l’immense bar suggèrent déjà que vous allez passer un bon moment. Les couleurs dans des teintes crème contrastent bien avec la profondeur du bois omniprésent. La devanture, avec ses pierres apparentes, souligne le charme traditionnel des lieux. À l’extérieur, la terrasse ornée de belles plantes et de parasols peut accueillir 50 couverts, et baigne l’atmosphère sous le beau temps du Sud-Ouest. ...
Pouvez-vous nous rappeler ce qu’est une maladie rare ? La définition classique est très « épidémiologique ». Elle stipule qu’une maladie est dite rare si sa prévalence est inférieure à 1 pour 2 000. Pour autant, si l’on additionne toutes les personnes qui souffrent d’une maladie rare, cela devient un véritable problème de santé publique. Combien en recense-t-on ? On dénombre plus de 6 000 maladies rares. Et 80 % d’entre elles ont une origine génétique. Les maladies rares sont donc majoritairement génétiques ? Oui. Mais pas nécessairement. Par exemple, certaines maladies rares auto-immunes ou inflammatoires n’ont pas, à priori, de composante mendélienne évidente. C’est à dire qu’elle ne sont pas causées directement par des mutations « fortes » identifiées dans un gène donné. Quelles peuvent être leurs particularités ? On a tous les cas de figures. Une très large proportion des maladies rares sont graves - voire très graves - et peuvent être hautement handicapantes pour les personnes qui en sont atteintes. Beaucoup d’entre elles sont également chroniques, c’est à dire qu’elles durent longtemps et qu’elles évoluent avec le temps, souvent en s’aggravant. Et beaucoup d’entre elles commencent parfois très tôt dans la vie. Quelles sont les causes des maladies rares ? Sont-elles toutes connues ? Sur l’ensemble des maladies rares dites « génétiques », on estime aujourd’hui à 50 % le nombre de celles dont on a pu identifier précisément la cause, à savoir, le plus souvent l’identification d’une mutation dans un gène précis. Mais une fois que l’on a identifié la cause génétique d’une pathologie rare, encore faut-il comprendre les mécanismes qui font que cette maladie va se développer. Et quelles sont les conséquences sur les cellules de l’organisme du patient des mutations présentes dans le gène responsable. Il faut ensuite identifier des stratégies de recherche pour développer des traitements. D’où l’importance cruciale que revêt la recherche sur les maladies rares. « Je fais de la recherche mais je reste avant tout médecin »Quelles sont vos spécialités ? Je me suis spécialisée dans la génétique ophtalmologique et les maladies rares de l’œil que nous suivons dans notre centre de référence (CARGO). Ici, depuis Strasbourg, je coordonne « SENSGENE », la filière nationale de santé des maladies rares sensorielles dédiée aux surdités génétiques et aux maladies rares de l’œil. Ainsi que le réseau européen de référence destiné aux maladies rares de l’œil. (ERN-EYE).De quelle façon intervenez-vous au sein du CARGO, le Centre des Affections Rares en Génétique Ophtalmologique de Strasbourg ? De plusieurs façons. En tant que coordinatrice de ce centre, j’en assure la gestion générale, notamment au niveau de l’insertion locale, régionale et nationale. Mais je suis aussi médecin. Ma mission est donc avant tout de m’occuper le mieux possible de chaque patient. La plupart de ceux que je reçois en consultation au CARGO sont atteints de maladies génétiques de l’œil comme, par exemple, la rétinopathie pigmentaire ou encore des malformations oculaires. « L’errance est la cause d’une grande souffrance psychologique chez les patients »Errance diagnostique, handicap parfois peu visible, sentiment d’isolement… Ce sont des choses dont vos patients vous parlent ? Oui. Avant d’arriver au CARGO, bon nombre d’entre eux ont déjà expérimenté l’errance diagnostique. Les maladies rares sont difficiles à diagnostiquer. Il n’est donc pas rare que leur cause médicale n’ait pas encore été identifiée après plusieurs années d’errance. Or s’il ignore de quelle pathologie il est atteint, le patient se trouve dans la situation très inconfortable d’un malade « sans maladie ». Il peut aussi arriver que le handicap ne soit pas visible. Par exemple, une personne malvoyante pourra se retrouver dans des situations difficiles. Et souffrir du comportement inadapté, voire dangereux des gens qui l’entourent. D’une manière générale, les patients atteints de maladies rares ont besoin d’une prise en charge la plus précoce et la plus efficace possible. Médicale, bien sûr mais aussi sociale, psychologique, professionnelle, etc. Enfin, une personne souffrant d’une maladie rare se sentira bien souvent isolée. C’est là que peuvent intervenir les associations. Elles permettent non seulement aux malades mais aussi à leurs proches de rencontrer d’autres personnes qui se trouvent dans la même situation, d’échanger avec elles. Et de devenir des acteurs très importants dans le monde des maladies rares.Au terme d’une errance diagnostique, il peut donc arriver qu’un malade soit soulagé que l’on mette un nom sur la pathologie dont il est atteint ? Tout à fait. Les patients sont souvent reconnaissants que l’on ait diagnostiqué leur maladie. Et qu’un terme ait été mis à leur errance diagnostique. Outre l’aspect psychologique que revêt le diagnostic clinique pour le patient, c’est un passage important. Il marque le point de départ de toute une série d’actions : amélioration de la pri...
Depuis sa création, Kalkin s’est investi d’une mission qui est celle d’améliorer les offres touristiques et la pratique du sport en plein air par des outils technologiques innovants, utiles et efficaces. Se distinguant par son « champ technique assez large », selon Pierre-Jean Mathivet, fondateur de la start-up et chef de projet, Kalkin œuvre dans la réalité virtuelle, la conception d’objets connectés et le développement des applications mobiles et web. Dans les coulisses, une équipe de sept personnes, spécialistes dans leur domaine respectif, allie les connaissances acquises au fil des années d’études avec le savoir-faire issu de l’expérience pour propulser les produits Kalkin sur le devant du marché. Témoin du succès de l’entreprise : la participation aux divers Salons tels que le CES de Las Vegas, le RuraliTIC d’Aurillac et de la VivaTechnology qui annonce la reconnaissance de Kalkin sur la sphère nationale et internationale. Parmi les références de l'entreprise figurent la station de La Plagne, le département du Tarn, le Pays de Salers, la diagonale des Fous sur l’île de la Réunion, Le Grand Canyon démo CES de Las Vegas… Kelmis et SloKi, les solutions phares signées Kalkin Très sollicitée par les organismes œuvrant dans le domaine du tourisme, Kelmis est une table tactile interactive qui donne une représentation visuelle d’un itinéraire sportif ou d’un territoire. « On valorise par l’intermédiaire, justement, de la réalité virtuelle et du 3D, les territoires et leurs offres touristiques », décrit avec fierté Pierre-Jean Mathivet. Adaptée pour une pose en salle et à l’extérieur, Kelmis a valu à l’entreprise le prix IGN pour le thème Valorisation du territoire. Tout aussi sollicité, mais cette fois-ci par des particuliers, SloKi est un système GPS permettant de voir en temps réel l’emplacement exact d’un randonneur ou d’un skieur qui porte sur lui un boîtier connecté à une application mobile. En cas de problème, il dispose d’un bouton d’alerte qui émettra un signal au téléphone pour demander une assistance. L’application Canoë France Outre Kelmis et SloKi, la start-up spécialiste en technologie outdoor propose une application mobile qui s’adresse aux amateurs de kayak et de canoë. Répertoriant les rivières et leurs spécificités ainsi que les bases à canoë en France, cette application répond aux besoins de ceux qui souhaitent s’aventurer quelques jours sur les rivières de l’Hexagone. Un système de géolocalisation permet de définir la position précise du canoë et les différents itinéraires à emprunter. ...
Après avoir fondé la compagnie Même Pas Cap, à Nantes, en 2001, le comédien Olivier Collin dépose le nom du Théâtre Beaulieu. Cette dénomination remplace celle de la salle Sémaphore lorsque la troupe la loue afin d’assurer ses représentations. Un concept intelligent et porteur Le concept de Même Pas Cap est de monter des pièces de théâtre de boulevard et des comédies, ayant eu un écho ou un grand succès à Paris, comme c’est le cas pour « Toc Toc » de Laurent Baffie, « Le père noël est une ordure » du Splendid ou encore « Oscar » incarné autrefois par Louis de Funès. L’idée est d’augmenter la période des représentations, chaque pièce étant jouée 60 fois, soit deux pièces par saison. La salle contient 280 places et a enregistré pour toute la durée de production du grand succès « Le Noir te va si bien » plus de 16 000 entrées (40 guichets fermés sur 60). L’an passé, « Thé à la menthe ou t’es citron » comédie primé aux Molières en 2011 a été mise en scène par son auteur Patrick Haudecoeur au théâtre Beaulieu. La fréquentation du théâtre Beaulieu s’accentue de saison en saison, passant de 5000 à 16 000 spectateurs (par pièce) de ses débuts en 2009 à aujourd’hui, dans la salle Sémaphore. De plus, la troupe nantaise a rarement vu son affluence baissé la barre des 30 000 spectateurs par saison. La construction d’un nouveau théâtre en 2019 En septembre 2019, sera construit le théâtre Beaulieu, d’une capacité de 320 places à 800 mètres de la salle Sémaphore, lieu ou se produit actuellement la compagnie Même Pas Cap. Et ce, en raison d’une réussite progressive dépassant les limites de l’enceinte qu’occupe actuellement la troupe nantaise. D’ailleurs, le projet sera financé par la billetterie, sans la moindre subvention. ...
C’est dans ce contexte, que les équipes de recherche de l’Institut du Cerveau et de la Moelle épinière (ICM) tentent aujourd’hui d’identifier les causes de 13 maladies rares afin d’accélérer la pose d’un diagnostic et de proposer des traitements adaptés en particulier par thérapie génique. Dans plus de la moitié des cas les maladies rares se développent dès l’enfance, mais d’autres se développent plus tardivement chez l’adulte, elles sont souvent dites « orphelines » car il n’existe à ce jour aucun traitement pour un grand nombre d’entre elles. Elles représentent un enjeu majeur de santé publique car les 7 000 maladies rares identifiées aujourd’hui atteignent plus de 3 millions de personnes soit 4,5% de la population française. Ces pathologies se caractérisent par une grande variété de signes cliniques qui varient non seulement d’une maladie à l’autre mais également d’un patient à un autre atteint de la même maladie. Cette variabilité rend compliqué le diagnostic qui intervient en moyenne 5 ans après le début des symptômes dans 25% des cas, en particulier pour les pathologies non héréditaires, soit 20% d’entre elles. « Mieux connaitre l’origine causale des maladies pour vite et mieux diagnostiquer » A l’ICM 12 équipes de recherche s’attachent à découvrir les causes de 13 de ces pathologies, d’identifier des biomarqueurs d’aide au diagnostic et de développer des traitements. L’identification de gènes, la mise en évidence de réseaux de neurones spécifiques, les études d’imagerie cérébrale, la mise en évidence de marqueurs précoce de la pathologie, sont autant de résultats prometteurs pour le développement de thérapies. Des pistes thérapeutiques issues de ces recherches sont d’ores et déjà à l’étude, comme la stimulation cérébrale profonde dans le syndrome de Gilles de la Tourette, ou la thérapie génique pour la maladie de Huntington. Une nouvelle équipe de recherche, dirigée par Nathalie CARTIER, qui a récemment rejoint l’ICM proposera un essai thérapeutique de phase I/II pour la maladie de Huntingtonen 2020. Ce groupe développe des outils permettant l’entrée de molécules thérapeutiques dans le cerveau (vecteurs administrables par voie veineuse, optogénétique, utilisation de cellules résidentes du cerveau comme vecteur thérapeutique). ...
Quel regard portent les artistes sur le paysage qui nous entoure ? Contrairement à leurs aînés des grands courants picturaux (classique, baroque, romantique, réaliste, impressionniste…) qui se sont passionnés pour le paysage, les plasticiens contemporains ne l’abordent plus seulement pour l’idéaliser ou le traduire. Les artistes de la Biennale d’Issy nous livrent leur vision du monde à travers la photographie, la peinture, la sculpture, le dessin et la vidéo. La puissance de la nature au cœur du réchauffement climatique Les artistes s’attachent aussi bien aux aspects les plus alarmants de l’intervention humaine sur Terre qu’à l’évocation de la majesté et de la beauté de la nature. Ainsi, Nils-Udo traduit la force créatrice de la nature dans sa peinture tandis que François Bard représente des rocs inamovibles. Frédéric Oudrix nous offre une végétation exubérante, Stéphane Erouane Dumas des forêts de bouleaux figés par le givre se reflètant dans un lac gelé. Traqueur d’orages, Basile Ducournau parcourt le Nouveau-Mexique pour capter le moment précis où la foudre tombe parfaitement dans l’axe d’une route qui s’éloigne en direction de l’horizon. Madame Briot, un arbre sculptural à l’élégance féminine, semble être renversé. Mais il est bien réel et révèle la richesse méconnue de la nature. Dans les autres œuvres d’Emma Tandy, la végétation y apparaît luxuriante, tout comme dans les friches que photographie Yann Monel. Le paysage soulève de nombreuses questions, notamment celle de l’environnement. Avec ses Paysages nucléaires présentés en diptyques, Jean-Pierre Attal met en perspective un avenir nucléaire incertain, avec une usine implantée dans son environnement naturel d’un côté, le même site dépourvu d’installation humaine de l’autre. Brigitte Sillard aborde la question du changement climatique avec son image d’un palétuvier qui dépérit à Madagascar dans une mangrove disparue. Régis Rizzo peint des lycaons de la savane africaine sur fond de paysage industriel pour illustrer le retour des animaux sauvages dans les villes. Cristina Ruiz Guiňazǔ présente un ange assoupi sur le sol d’un désert s’étendant à l’infini, et Pierre Monestier d’étranges quadrupèdes à gueule de canon décimant une armée sans armes. Quant à Rubén Fuentes, il peint des étendues montagneuses dont les cimes prennent la forme de silhouettes d’anciennes déesses précolombiennes, dénonçant la disparition des forêts primaires. Le paysage, terrain d’expression des artistes engagés Les artistes présentent aussi leur vision de l’évolution du paysage, avec lucidité, de manière parfois engagée. Ainsi, Caroline Secq dénonce l’apparition d’un 8e (in)continent avec une installation d’objets et de sacs plastiques rejetés par la mer qu’elle récolte sur les plages. Christophe Dalecki détourne nos objets du quotidien en plastique et donne naissance à de grands bouquets d’ombres et de lumière verte. Certains artistes révèlent l’empreinte de l’homme sur le paysage, comme Justin Weiler avec ses dessins semblables à des partitions dont les notes s’avèrent être des impacts de balles ; une musique douloureuse, témoin du lourd passé de la guerre civile au Liban. A Beyrouth, les anfractuosités provoquées par les tirs deviennent des nids d’oiseaux dans les fresques réalisées et photographiées par le street artiste Anoy. D’autres, comme Barthélémy Toguo, sensible aux situations de détresse en Afrique et dans le monde, nous livrent des œuvres engagées : ainsi, Jugement dernier est composé de deux mains levées, comme en joue face à l’obstination de l’humanité à s’autodétruire. Avec ambivalence, les aquarelles de Jean-Michel Alberola inspirent la quiétude de scènes champêtres, alors que nous sommes face à la désolation du camp de Birkenau où la nature finit par recouvrir la voie ferrée et ronger les baraquements. Dans une architecture sans vie, Anselm Kiefer mêle ses ...
Depuis sa création en 1964, la CFDT s’est battue pour obtenir des droits nouveaux pour les salariés, pour construire une France plus juste et plus équitable. La CFDT s’est toujours impliquée dans l’accompagnement des salariés pour une rémunération plus juste, pour améliorer les conditions de travail, pour réduire les inégalités, pour augmenter la solidarité, pour créer des droits nouveaux et renforcer ceux existants, pour sécuriser le travail. Et, surtout, a toujours placé les salariés au cœur des projets et des activités des entreprises, plutôt que de s’en servir comme variable d’ajustement. Le but de la CFDT est de rendre les entreprises plus performantes au niveau social, économique et environnemental. La CFDT revendique le dialogue social, car pour la confédération, il est toujours préférable de discuter, négocier plutôt que de provoquer le blocage et d’entrer dans le conflit. Ainsi les bonnes idées et les bonnes volontés sont mises en commun pour améliorer la performance économique de l’entreprise, en préservant l’emploi, en améliorant les conditions de travail et le pouvoir d’achat des salariés. Elle préfère avancer pas à pas afin d’obtenir des avancées significatives pour tous les salariés. La CFDT agit à plusieurs niveaux : État, branches professionnelles et entreprises. Depuis cinquante ans, de nombreuses avancées pour les salariés… Ces dernières années, la CFDT a obtenu de nouveaux droits pour tous les salariés. En voici quelques exemples. En 2003, la CFDT obtient la prise en compte des carrières longues lors de la réforme des retraites. Ainsi, tout salarié qui a commencé tôt sa carrière peut partir en retraite à 60 ans. Lors de la mise en place de la loi sur la modernisation du marché du travail en 2008, la CFDT a milité pour la rupture conventionnelle du CDI. Cette disposition permet à l’employeur et au salarié de convenir d’un commun accord de la rupture du contrat qui les lie. Depuis janvier 2015, chaque salarié a droit à un compte personnel de formation pour renforcer ses compétences tout au long de sa vie professionnelle. Ce compte permet de développer les niveaux de qualification et de sécuriser les parcours professionnels. Une autre mesure longtemps revendiquée par la CFDT est venue enrichir les droits des salariés ces dernières années. C’est la mise en place du compte pénibilité. Ce système permet aux salariés travaillant dans des conditions jugées difficiles de partir jusqu’à deux ans plus tôt à la retraite. … et encore en 2017 En 2017, la CFDT continuera à accompagner les avancées sociales et à défendre les intérêts des salariés tant au plan national que régional, tant au niveau des branches que des entreprises. Par exemple, la CFDT se mobilise pour une nouvelle avancée sociale : la généralisation de la prévoyance lourde. En effet, elle désire que chaque salarié soit bénéficiaire d’un grand nombre de garanties au niveau de sa complémentaire santé, notamment concernant les arrêts de travail, le décès, l’incapacité de travail ou l’invalidité. ...
Fondé en 1987, cet organisme formateur a rejoint le groupe européen de l’information professionnelle WEKA en 2014 pour construire son expertise autour d’un puissant réseau de marques spécialistes. Ce groupe fédère aujourd’hui Formations Directions, Tissot Formation, Techniques de l’Ingénieur, Stratégies Formations, MB Formations et Legal&Network, qui sont des partenaires d’excellence pour l’entreprise. Restructurer les savoirs pour répondre aux nouveaux exigences et enjeux stratégiques Interrogée sur le mode de conception de son programme de formation, Claire Pascal, Directrice Générale, explique que « le catalogue des formations veut s’adapter à l’ère du temps, à la culture des entreprises et aux besoins réels du marché ». À la confluence, elle souligne plus particulièrement le contexte global du secteur, en pleine ébullition dans la réforme de la formation professionnelle engagée depuis l’année 2014. Ce projet de loi bouscule les pratiques dans les entreprises et fait apparaitre de nouvelles demandes dans l’univers de la connaissance. Ainsi, Comundi Compétences intègre dans ses réflexions les nouvelles alternatives pédagogiques capables d’accompagner la réalisation du projet professionnel de chaque salarié tout en stimulant la compétitivité de l’entreprise. Dans ce champ opératoire particulièrement complexe, les 600 experts et consultants-formateurs assurent une veille permanente, anticipent les besoins, identifient les objectifs pédagogiques et apportent des solutions pertinentes. Ces dernières peuvent se décliner sous plusieurs formats en présentiel (coaching, formation métier, cycle long, parcours professionnalisant CPF, ateliers et conférences, etc.) et en digital learning (e-learning, portail MOOC, classe virtuelle, webinar, serious game, etc.). « Notre manière à nous d’apprivoiser et d’assembler ces briques digitales dans le but de composer un contenu innovant fait notre identité » souligne-t-elle. En parallèle, l’entreprise propose également un coaching individuel ou collectif ainsi que des prestations counseling en management et soft skills, ressources humaines et transformation digitale. Une approche pluridisciplinaire à la croisée du distanciel et du présentiel « Pour nous, l’innovation traduit la capacité à recréer et à réinventer l’existant en apportant une valeur ajoutée en plus pour satisfaire les besoins de notre marché ». En avançant ces propos, Claire Pascal illustre parfaitement le cœur du métier même de Comundi Compétences. Elle se réfère notamment à l’offre blended learning, définie comme une modalité d’apprentissage mixte qui altère une formation présentielle et une formation digitalisée. « Grâce à cette méthode, nous pouvons offrir une solution one-to-one, plus précise et plus engageante, pour donner un vrai sens à la formation collective». Toutes les ressources numériques du Comundi Store sont exploitées en avant, pendant ou après un présentiel pour dynamiser l’échange : module de formation MOOC, outils de reporting, application via des serious game, webinar, mobile learning, module d’évaluation et pack préparation concours. Au-delà d’un ensemble de dispositifs numériques, le digital learning est d’abord une culture qui révolutionne, non seulement la démarche pédagogique, mais aussi l’écosystème de l’entreprise à tous les niveaux : les méthodes, les acteurs, le processus, la communication, etc. Le créative learning trip, destiné aux dirigeants, cadres et managers, s’inscrit également dans cette volonté d’innovation. Prenant la forme de visites guidées dans les écosystèmes spécifiques comme les start-up ou les usines, ce programme, co-créé par Emulsion Creative, a pour objectif d’aider les entreprises à découvrir les nouvelles tendances dans leur secteur. Le processus créatif, le design thinking, la pédagogie collaborative, l’intrapreunariat et la transformation digitale seront les principaux thèmes mis en avant pendant les deux jours de visite. En outre, cette offre se décline &...
Tirant profit de son expérience de l’humain acquise dans son précédent emploi, la fondatrice de 2PBDEVELOPPEMENT propose un accompagnement visant l’atteinte d’objectifs d’affaires ou de cibles de développement professionnel et personnel, au travers d’un coaching de qualité. Une approche « humaniste » Accompagner les personnes dans l’identification et la mobilisation de leurs ressources pour surmonter leurs freins et faire émerger des solutions contribuant à leur réussite, telle est la mission que poursuit 2pbdeveloppement. L’approche coaching proposée repose essentiellement sur une écoute active et bienveillante. Il s’agit ensuite d’accompagner le coaché dans l’identification de son potentiel et la mobilisation de ce dernier à bon escient, puis d’établir avec lui un plan d’action concourant à l’atteinte de ses objectifs. « J'accompagne mon client à partir de là où il se trouve, pour aller avec assurance et aisance vers son But », souligne Patricia PRADEL BARTHELEMY, la fondatrice. Pour cette experte, l’essentiel est de parvenir à un stade où bien-être et réussite professionnelle se conjuguent de manière harmonieuse. Le travail effectué aura pour socle des valeurs telles que l’intégrité, le respect, la bienveillance et l’excellence. Un coaching orienté plus vers les jeunes L’expérience de notre coach Patricia PRADEL BARTHELEMY l’a souvent amené à côtoyer des jeunes, ce qui l’a notamment conduit à bien comprendre leurs besoins. Pour elle, il est essentiel de les accompagner, afin de les amener à révéler leur plein potentiel, condition nécessaire à la réussite de leur projet personnel et professionnel. Pour les aider dans l’atteinte de cet objectif, « je travaille beaucoup sur la performance, l’intégration, la confiance en soi et l’estime de soi », explique-t-elle. Depuis le lancement de son activité de coaching, Patricia PRADEL BARTHELEMY a accompagné plus d’une centaine de personnes au travers de programmes tels le PCMI : programme de coaching pour la mobilité à l’international et aussi le programme RÉUSSITE +, dédié aux étudiants. Outre l’accompagnement des jeunes, 2pbdeveloppement accompagne également les cadres d’entreprise au travers de prestations de coaching dédiées sur le même modèle, méthode qui a fait ses preuves également auprès de ce public. ...
Si ce modèle de maison-bateau séduit de plus en plus les particuliers, le porteur du projet aspire surtout à investir l’industrie hôtelière : « La Maison KayFlô permet de créer un hôtel à flot dans des espaces naturels ou à quai au cœur des plus belles villes avec une offre de standing en location saisonnière ou à la nuitée» précise-t-il. Voilà maintenant une dizaine d’années que Jean-Marc Salpetrier, ingénieur en génie civil et urbanisme, cogite sur la concrétisation de ce projet initié avec le coup de crayon originel de Gildas Plessis. La Maison KayFlô a été révélée pour la première fois au Nautic de Paris en décembre 2016. Le lancement de la 1ere série est programmé fin 2018 avec la réalisation du premier hôtel à flot en mer dans la baie du Marin à la Martinique. Avec cette maison flottante, une innovation s’opère : L’urbain s’étend en mer et le touriste « terrien » investit l’espace littoral. Nul besoin d’un permis de navigation ou d’un permis de construire, pour bénéficier de son « chez-soi » sur la mer, oui c’est possible ! Une maison-bateau « éconologique » : économique et écologique Cette maison-bateau, signée KayFlô, peut se déplacer pour une exploitation à flot ou à quai. À bord, sa structure monocoque-catamaran brevetée lui permet de gagner considérablement en espace, en volume et aussi de mieux s’intégrer dans l’environnement littoral. « L’espace de vie de la maison-bateau KayFlô est de 100 m² environ, répartis sur 3 niveaux : un niveau chambres et toilettes, un espace de vie avec vue à 360 degrés avec un salon surélevé, une cuisine fonctionnelle, une grande véranda et enfin un niveau haut avec une terrasse panoramique ».Il est possible d’y aménager un jacuzzi, un spa, un coin grillade, une piscine de mer et bénéficier de tout le confort d’une maison moderne. Et grâce à sa conception à deux coques latérales similaires à un catamaran, la maison-bateau KayFlô jouit en plus d’une grande stabilité. Mieux encore, elle peut être totalement autonome grâce à l’installation de 20 m² de panneaux solaires, de deux éoliennes, son système de récupération d’eau pluviale et son traitement des eaux usées. Enfin, investir dans une maison-bateau KayFlô est financièrement avantageux, car elle est proposée à partir de 3 000 euros le mètre carré, soit trois fois moins que le prix moyen du mètre carré à Paris ! « Le fait que le projet soit conçu avec une dimension industrielle nous permet d’offrir la solution au meilleur coût pour s’adresser à l’industrie touristique internationale et aussi aux particuliers. ». Par ailleurs, en France, nul besoin de payer des taxes foncières et d’habitation, une taxe de francisation liée à l’immatriculation du navire suffit. Une expertise 100 % française Afin de satisfaire ce marché à forte exigence de qualité, le concepteur s’est entouré de professionnels de la mer avec notamment un spécialiste dans l’architecture et la construction navale et un designer de renommée internationale. Il s’agit entre autres de Yacht Concept et du Chantier de l’Arsenal dirigés par Laurent Da Rold tous deux sis à La Rochelle, et du designer Franck Darnet à Nantes. Par ailleurs, le projet KayFlô a également bénéficié d’un soutien inébranlable du CMT Comité Martiniquais du Tourisme, de la Technopole Cacem, de l’Office de l’Eau, de l'ADEME Agence De l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie et la BPI Banque Publique d’Investissement. Pour en savoir plus et contacter KAYFLO, rendez-vous sur le site internet www.kayflo.com ...
C’est tout naturellement à Lyon, la ville gastronomique par excellence, que ce concours est organisé annuellement. « Situé au cœur de plusieurs régions viticoles, Lyon devient ainsi le cœur d’un événement fédérant tous les producteurs de vins et de spiritueux, étrangers ou français », nous explique Victor Gomez, directeur de l’entreprise organisatrice du concours, Armonia. Découvertes gourmandes et voyage gustatif sont donc au rendez-vous à l’occasion de cet événement célébrant la richesse et la diversité du vin, de la bière et des spiritueux des quatre coins du monde. « Placer la ville de Lyon au cœur du vin » C’est avec ses propos que Victor Gomez justifie la création de ce concours étant cette année à sa huitième édition. La réputation de cette célèbre compétition internationale est le fruit d’une riche collaboration avec des partenaires de renom à l’instar de Vitisphere, de Global Wine and Spirits, de l’Association des Sommeliers lyonnais, des Toques blanches lyonnaises et de la prestigieuse École du vin. Ce dernier, partenaire exclusif de l’édition 2017, apporte ainsi toute son expertise au service des dégustations, des conférences-débats et de la sélection des vins médaillés. Ces partenaires qualitatifs viennent ainsi forger la notoriété de ce « concours très engagé dans la gastronomie », selon les explications de Victor. En effet, cet événement se veut être l’ambassadeur d’une ville où le goût et les sens sont au cœur de la dynamique urbaine. Les membres du jury, qui, à l’issu des dégustations, récompensent les meilleurs des spiritueux, de la bière et du vin, sont composés de professionnels du vin (sommeliers, œnologues...), de chefs, d’acheteurs, et d’amateurs expérimentés. Élire le meilleur vin du monde « Le Concours international de Lyon est un des rares concours en France acceptant les vins internationaux », rappelle Victor, assurant que tous les vins du monde y sont représentés. La qualité reste toutefois le maître-mot de la sélection de ce concours qui, cette année, a été présidé par Gaëtan Bouvier, Meilleur sommelier de France. En effet, après la réception, chaque produit subit un contrôle rigoureux ponctué de vérifications documentaires poussées et parfois de tests en laboratoires avant de pouvoir intégrer les tables de dégustation. Exclusivement dédié au vin depuis ses débuts, cet événement intègre, en 2015, la bière et une multitude de spiritueux dans la compétition. À l’occasion de la huitième édition du 25 mars 2017, les bières auront été jugées dans 54 catégories différentes, et les spiritueux dans plus de 65 familles incluant les vodkas, les rhums, les liqueurs et bien d’autres encore. Plus de 800 dégustateurs, composés de professionnels et d’amateurs éclairés du monde entier ont ainsi goûté à près de 6 300 vins, spiritueux et bières afin d’élire les fleurons de chaque catégorie, récompensés ultérieurement d’une médaille. Les producteurs et les consommateurs trouveront ainsi une valeur sûre dans le caractère riche et éclectique de ce concours à l’issu duquel, « un jury cette fois-ci composé des meilleurs ouvriers de France, des meilleurs sommeliers de France et autres iront redéguster les meilleurs vins de la compétition pour désigner le meilleur vin du monde », conclut Victor. ...
Des Côtes d’exception Dans tous les grands vignobles français les vins de côtes ont une place à part : qu’elles soient de Beaune, de Provence ou du Rhône les côtes ont très tôt été colonisées par des viticulteurs produisant des vins de qualité supérieure à ceux de plaine. Ce n’est d’ailleurs pas surprenant si la première AOC vinicole au monde est née sur des coteaux. La vigne y jouit d’un drainage naturel et d’une exposition au soleil favorables à la production de vins concentrés, tanniques colorés et aromatiques. Balayés par les vents, l’air y est plus sain et nécessite moins l’intervention de l’homme. Chez nous, les côtes sont doublement consacrées : elles ont le caractère de ces vins d’élévation et l’élégance noble de leur tradition bordelaise. Un vignoble idéalement situé Situées sur le plateau calcaire de Saint-Emilion, les Côtes de Bordeaux bénéficient de la douce proximité de la Dordogne et ses vins furent décrit par les plus grands auteurs, d’Ausone à Emile Peynaud, comme des terres productrices des meilleurs vins. Le Château Rocher Bellevue produit des vins de côtes racés, puissants et élégants. Les vignes s'étendent sur une superficie de 24 hectares divisée sur deux communes : celle de Saint Magne de Castillon avec des sols argilo-calcaires et celle de Saint Genès de Castillon avec des sols argilo-limoneux. Ces deux terroirs très différents produisent des vins avec un caractère unique : les vignes des coteaux donnent des vins puissants et structurés, celles en pied de côtes des vins frais, souples et aromatiques. Soucieux de l’impact de son activité sur son environnement, le domaine est aujourd’hui engagé dans une démarche environnementale à travers un mode de production raisonné et la mise en place de la certification ISO 14001. ...
Une maison, mille univers. La Maison d’Alfred est un lieu de vie où se côtoient talent, innovation, co-création et synergie. En plus d’offrir un espace de travail, de séminaire et de coworking, elle permet surtout à ses habitants et à ses clients de découvrir une nouvelle manière de collaborer, de se perfectionner et de faire grandir leur projet. Pour la petite histoire Ne serait-ce que pour sa belle façade, cette bâtisse historique mérite qu’on s’y attarde. Édifiée en 1870 par M.Alfred Motte, la propriété se trouve au pied de la zone de passage du tramway du grand boulevard, un projet fou né sous l’impulsion d’Alfred Mongy dans le but de relier Lille-Roubaix-Tourcoing. Dans une volonté d’insuffler une nouvelle dynamique à cette maison bourgeoise roubaisienne, David Duprez décide de la reprendre et d’en faire un univers dédié à la créativité et au travail collaboratif, et cela « avant même l’apparition du concept du coworking en France » indique-t-il. C’est en 2016 que la propriété est officiellement baptisée « La Maison d’Alfred », faisant sans doute référence à l’ingénieur Arts & Métier, Alfred Mongy. Et l’on ne peut s’empêcher de faire le parallèle entre cet homme et l’identité de la maison. Le lieu revendique le même esprit d’innovation et l’ambition de relier les hommes entre eux. Mieux que ça, la Maison d’Alfred se veut être un lieu bienveillant et ouvert, pour que chacun puisse trouver un espace professionnel qui lui ressemble en se sentant comme à la maison. « Une maison qui a une âme », comme aime à le préciser son fondateur. Les habitants de la Maison d’Alfred À la Maison d’Alfred, les habitants donnent vie aux valeurs d’ouverture et de collaboration qui définissent le concept du lieu. Entreprises, start-up, entrepreneurs, freelancers, designers, bloggers, consultants, développeurs et coworkers nomades forment cette communauté. Certains disposent d’un bureau privé en zone franche pour travailler et d’autres partagent l’open space installé au 3e étage, entièrement dédié au cosy coworking. Rénové dans un décor lifestyle très contemporain, cet espace de 200m² se dote d’une installation moderne (bureaux équipés, accès wifi, cadre confortable, etc.) offrant une atmosphère de travail la plus stimulante possible. « D’ailleurs, j’ai carrément fait enlever les toits pour installer les verrières afin d’avoir les lumières du jour », fait savoir le fondateur. La flexibilité de l’offre constitue un autre atout majeur dont profitent les habitants. Ils ont la possibilité d'adapter leur emploi du temps grâce aux différentes formules proposées : découverte, mixte, nomade ou résident. En outre, la maison a créé le Déj d’Alfred pour dynamiser l’innovation et la collaboration entre habitants. L’objectif ? Faire émerger l’enrichissement mutuel à travers la rencontre des talents, le partage de réussite et la confrontation des idées. Incontournable, ce rendez-vous des plus vibrants est l’occasion idéale de saisir de nouvelles opportunités. En parallèle, plusieurs autres animations et ateliers sont organisés au profit des habitants, toujours dans cette optique d’échange et de collaboration sur fond de convivialité. Parmi eux figurent les Conf' d'Alfred, des réunions de discussion ouvertes à un public extérieur désireux de s'informer et d'échanger sur plusieurs thèmes. Un espace réservé pour les évènements d’entreprise Le temps d’une réunion de travail, d’une session plénière, d’une formation ou d’un séminaire, les entreprises extérieures peuvent également profiter de l’esprit cocooning de la Maison d’Alfred. Imaginées pour accueillir jusqu’à une centaine de collaborateurs, les dix salles mises à disposition des entreprises et grands groupes s’adaptent parfaitement à leurs exigences. « Auchan, Décathlon ou encore Leroy Merlin sont déjà venus découvrir notre concept et sont repartis ave...
Aymen Jabrane, Docteur en phytochimie de l’Université de Bourgogne, l’initiateur du projet s’est inspiré des potentiels offerts par les figues de Barbarie, des fruits originaires de la Tunisie et de la Méditerranée. Avec l’aide d’un ami d’enfance et d’un producteur tunisien de Nopal (figue de Barbarie), le fondateur lance sa start-up avec pour objectif de proposer des produits de haute qualité, commercialisables en Europe et USA. Pour cela, il mise sur la valorisation du Nopal dont le haut potentiel nutritionnel est avéré. Le process L’entreprise importe ses fruits issus de l’agriculture biologique depuis la Tunisie pour les transformer ici en France, dans la région bourguignonne, à Dijon. Selon des techniques d’extraction à la pointe de l’innovation, elle extrait la purée des fruits, des principes actifs de toutes les plantes afin de pouvoir profiter de toutes ses vertus. Sur toute la chaîne de production, une démarche tournée vers le développement durable entre la France et la Tunisie est appliquée, surtout du point de vue humain. Le respect, la transparence et l’honnêteté sont autant de valeurs animant la start-up qui veille à ne travailler qu’avec des producteurs locaux triés sur le volet pour la qualité de leur travail. Une gamme de produits et une chaine de valeur maitrisée De ces processus de production stricts naissent deux produits. L’un, alimentaire : le jus de fruits 100 % bio. L’autre, cosmétique : l’huile miraculeuse Bio. Le jus de fruits Nopai est un concentré de bienfaits. En plus d’être rafraîchissant, il développe un goût très exotique et a une texture onctueuse à souhait. Le Nopai est vendu dans les magasins spécialisées en France et à l’étranger. La société propose des développements sur mesure de recettes et des boissons pour des chaines de restaurants, des chaines de magasins BIO et visant le développement des marques blanches pour les GMS à long termes. L’huile extraite en France, quant à elle, possède des propriétés antivieillissement et antirides. Elle élimine les vergetures et assure une régénération de la peau. Avec une odeur discrète et agréable et une texture facilement absorbable par l’épiderme, elle peut être utilisée en parallèle avec un autre produit cosmétique et en combinaison avec les huiles essentielles. ...
Au moment d’évoquer La Pergola, on est rapidement tenté de multiplier les superlatifs. Décoration chaleureuse, cuisine savoureuse et généreuse, accueil agréable et service efficace… En réalité, il n’existe pas d’autres moyens de la décrire. Dès que l’on y met un pied, on ressent rapidement toute la convivialité et l’atmosphère sereine qui garantissent de bons moments. La cuisine gouteuse et gourmande du chef Éric Terret vient encore renforcer le sentiment épicurien qui nous envahit. Ambiance à l’esprit convivial La Pergola attire la foule déjà par sa grande terrasse accueillant jusqu’à 150 personnes. Durant l’arrivée des beaux jours, les clients s’y donnent rendez-vous pour prendre le temps de respirer et de profiter du grand air. Le grand tilleul bicentenaire trône majestueusement au sein de cet espace extérieur décoré en toute simplicité, où des tonneaux qui font office de tables procurent une ambiance originale. L’intérieur est tout aussi accueillant. Rien de superflu, tout est fait pour assurer le confort et le bien-être des clients. On est dans les couleurs rouges, qui donnent beaucoup de dynamique à la salle, avec une prédominance de bois et de briques pour la touche traditionnelle. Une cuisine copieuse et gouteuse C’est dans ce cadre chaleureux d’inspiration brasserie que le chef Éric Terret vous invite à découvrir sa cuisine traditionnelle aux couleurs du Sud-Ouest. Parmi les spécialités les plus recherchées figurent les grillades au feu de bois. Avis aux gourmands et aux gourmets : les assiettes sont particulièrement copieuses, de quoi assouvir les plus grandes faims. Pour un déjeuner à deux, vous vous laisserez tenter par la fameuse côte de bœuf d’environ 1,2 kg. Le restaurant est aussi le seul à proposer dans la région une côte de veau de 500 g par assiette, qui sera servie avec une purée « maison ». Un pur bonheur culinaire. Pour finir en beauté, vous prendrez bien un moelleux au chocolat Valrhona « maison » avec sa boule de glace vanille ou un financier aux agrumes, crème de citron et bâton de meringue. La carte, quant à elle, est renouvelée deux fois par an et évolue selon la saisonnalité et la disponibilité des produits. Il y a aussi les ardoises, qui sont élaborées en fonction des produits disponibles sur le marché. Vous l’aurez compris : à La Pergola, la politique culinaire repose sur une constante recherche d’ingrédients de qualité dans une démarche globale pour l’agriculture locale et le développement durable. Une belle carte des vins La carte des vins se dote d’une belle composition. Dès la première lecture, l’intitulé « sélection Compagnie des pergos » vous intriguera. On y propose une liste de sélections spéciales, dont la cuvée des Pergos « Marc Penavayre » bio et produite à Fronton. Les vins régionaux sont avantagés, mais vous retrouverez aussi de nombreuses autres références comme les côtes-du-rhône (Parallèle 45, Les Jalets…). L’équipe vous guide dans le choix des meilleurs accords afin de sublimer ce moment gourmand tarifé à prix doux. Les menus coutent aux environs de 28 €. Les formules du midi incluant une entrée, un plat et un dessert du jour sont aux alentours de 15 € et celles qui sont constituées d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert sont à 13 €. ...
Destination favorite des voyageurs épicuriens, Tain-l’Hermitage est la capitale du chocolat gastronomique et, plus encore, celle du vin. Il abrite quelques fleurons devenus des références internationales dans la production de ce précieux nectar, dont l'exploitation M.CHAPOUTIER. Dirigée par Michel CHAPOUTIER, l’entreprise a construit ses valeurs autour du partage et de l’échange avec la création notamment d’une importante offre oenotouristique. Un cadre exceptionnel pour l’œnotourisme Hermitage, Saint-Joseph, Condrieu, Châteauneuf-du-Pape, Côte-Rôtie... L’âme de la maison M.CHAPOUTIER se reflète à travers sa large sélection de vins d'exception issus de différents terroirs partout en France, en Espagne, au Portugal ou encore en Australie. Ces derniers se découvrent à l’occasion de sessions de dégustation au sein du Caveau situé 18, avenue du Docteur Paul Durand. Plusieurs formules avec des vins préalablement sélectionnés sont disponibles bien que les visiteurs puissent également composer eux-mêmes leurs propres formules. Des sommeliers sont présents sur place et apportent les meilleurs conseils. Pour pousser l’expérience à son paroxysme, les œnophiles avertis ou débutants sont conviés à participer aux nombreux ateliers organisés durant lesquels des repas bistronomiques à base de produits frais et de saison sont préparés par les chefs de la maison. Certains sont organisés de façon hebdomadaire. Bien entendu, place est donnée aux accords mets/vins qui affinent les connaissances autour de ce divin nectar. Différentes thématiques sont formulées à la carte avec possibilité d’organiser des ateliers sur mesure. Une immersion au cœur des vignobles Les amoureux de vins, pour qui une simple dégustation ne suffit pas, sont conviés à vivre une aventure plus enrichissante directement au cœur des vignes grâce à des balades à vélo. De nombreux parcours sillonnant le vignoble de Saint-Joseph ou bien la colline de l’Hermitage sont à découvrir via des vélos électriques. Une application sur smartphone sera mise à disposition afin de guider les cyclistes au cours de ce périple. Il est possible de faire durer davantage ces moments exquis dans l’univers viticole en passant carrément un séjour prolongé au sein des quatre gîtes de la maison plus un qui est actuellement en cours de rénovation. Ces havres de paix garantissent un maximum de confort en proposant tous les équipements nécessaires. Ils ont la chance de bénéficier d'une situation exceptionnelle qui donne sur un panorama de rêve. Le Gîte Tour du Pavillon installé au coeur du vignoble de l'Ermitage propose une vue sur les coteaux de Saint-Joseph, les vignes à perte de vue, et le château de Tournon-sur-Rhône. Les Granits donnent sur les magnifiques coteaux de Saint-Joseph et sur le Rhône. Si l'Ermite 1 vous offre un sublime aperçu du vignoble de Crozes-Hermitage plongeant vers le Rhône, l'Ermite quant à lui propose un panorama sur le Rhône et la Tour Carré dominant la colline de l’Hermitage. ...
Initialement appelée Air España, Air Europa Líneas Aéreas fut la première compagnie aérienne privée espagnole à réaliser des vols réguliers en Espagne. Depuis le début des années 2000, elle n’a cessé de déployer ses opérations à l’international au départ de l’Espagne vers les pays latino-américains en assurant des connections via Madrid avec la plupart des capitales européennes dont Paris. Ainsi, au départ d’Orly, la compagnie offre des horaires et toute une gamme de prix compétitifs sur les grandes capitales latino-américaines et destinations loisir comme la Havane, Cancun, Saint-Domingue et Punta Cana. Gravir les échelons dans une démarche responsable et durable Air Europa est à l’origine une entreprise familiale. En 1991, Juan José Hidalgo fait l’acquisition de la compagnie en s’associant avec un groupe d’investisseurs. Par la suite, l’entreprise a pu lancer son premier vol domestique via une compagnie privée en Espagne. Air Europa se développe progressivement au fil du temps jusqu’en 1996, où elle réussit à opérer son premier vol long-courrier entre Madrid et New York. Un pas significatif dans l’accroissement de sa notoriété. Une autre étape importante de son développement est son adhésion à l’Alliance SkyTeam en 2007. « L’Alliance SkyTeam est la première Alliance aérienne mondiale et nos passagers bénéficient ainsi des produits, des offres, des avantages et des réseaux des différentes compagnies formant la Skyteam », indique Vincent Verdonck. Par ailleurs, Air Europa est fortement engagée dans la préservation de l’environnement. « De 2012 à nos jours, c’est la seule compagnie aérienne espagnole à disposer de la certification EMAS », spécifie Lilian Guillemin, attachée commerciale-marketing en France. Le règlement EMAS (Eco Management and Audit Scheme) repose essentiellement sur la norme ISO 14001 qui exige que l’organisation concernée améliore constamment ses performances environnementales. Dans cette optique, Air Europa s’efforce de cadrer ses actions avec les objectifs de développement durable visés par la Commission européenne, afin de maitriser les impacts de ses activités sur l’environnement. Une flotte qui s’inscrit dans l’air du temps Si la compagnie peut aujourd’hui opérer vers différentes destinations dans le monde, c’est grâce à sa flotte moderne et variée. Le Boeing 737-800 est l’avion qui est principalement utilisé sur les routes court et moyen-courriers ; la flotte en compte 21. Pour les vols long-courriers, on distingue les Airbus 330, les Boeing Dreamliner787-8 et 787-9. Le Boeing Dreamliner peut accueillir près de 300 passagers avec une portée de 14 700 km. Notons aussi que les Boeing Dreamliner font partie des récentes acquisitions de la compagnie, sachant qu’ils répondent parfaitement aux exigences liées à la baisse de la consommation d’énergie pour un meilleur respect de l’environnement. D’ici à l’horizon 2021/22, l’intégralité de la flotte long-courriers sera composée de ces avions de dernière génération. Un vol confortable et entièrement sécurisé A bord, tout est pensé pour rendre le voyage aussi agréable que possible : confort, divertissements, service du personnel de bord, menus… tous les plaisirs sont réunis. Les Boeing Dreamliner sont équipés d’un système de filtration permet de purifier l’air à 100 %, ce qui exclut définitivement les bactéries ainsi que toute odeur désagréable et réduit la sécheresse. La cabine est moins pressurisée afin de favoriser l’absorption d’oxygène et offrir un maximum de bien-être. Toujours dans cette quête de confort, les espaces entre les fauteuils sont également élargis. D’ailleurs, la compagnie va déployer la configuration 1-2-1 en cabine business pour permettre à chaque passager d’accéder au couloir sans déranger son voisin. Ce n’est pas tout : l’intérieur du Dreamliner est plus lumineux grâce à ses hublots agrandis de 30 %. Les menus ont ét&...
Le numérique, un levier essentiel pour le développement. C’est partant de ce postulat que la Communauté de l’Agglomération Maubeuge-Val de Sambre décide de lancer plusieurs projets destinés à dynamiser le tissu économique local. Création d’un portail marketing territorial, déploiement de la fibre optique, ouverture d’une agence de numérique, développement du pôle de compétences Cybersécurité et Cyberdéfense font partie ainsi des actions menées et considérées comme des clés de l’attractivité territoriale. Une cartographie économique du territoire Dans le cadre de la promotion du territoire, la CAMVS a entamé une démarche de marketing territorial visant à renforcer et développer l’image du territoire par la mise en place d’outils innovants et pertinents. Aujourd’hui, l’agglomération connaît en effet un manque de lisibilité et de visibilité face à ses partenaires et concurrents. « A partir de plusieurs indicateurs, nous nous sommes rendus compte que l’image de la CAMVS auprès des investisseurs, des acteurs économiques et même une partie de la population locale n’était pas aussi positive qu’on le voudrait. Pour retourner cette image, il fallait avoir une politique très volontariste pour valoriser nos atouts » explique Benjamin Saint-Huile, le Président de l'Agglo. La création d’un portail de marketing territorial a ainsi constitué pour les élus, la réponse la plus pertinente et la plus efficace pour résoudre ce manque de lisibilité. « Cette plateforme a pour objectif premier de valoriser les entreprises du territoire » spécifie notre interlocuteur. Terre de travail et d’innovation, l’agglomération est très prisée des entreprises par la qualité des travailleurs ainsi que par son positionnement stratégique au centre des grandes entités urbaines. Le territoire essentiellement industriel a été choisi par de grands groupes internationaux pour y implanter leurs activités pour ne citer que Vallourec dans le domaine de la métallurgie ou MCA dans le secteur de l’automobile. Le Président fait d’ailleurs savoir « qu’en termes de chiffres, nous sommes le territoire avec la plus forte activité industrielle en Haut de France». Forte de ses leviers, la CAMVS veut valoriser son tissu économique en développant ses services en direction de potentiels investisseurs. Elle mise sur son nouvel outil numérique pour optimiser son attractivité. « Avec ce nouveau site, notre idée n’est pas seulement de montrer que nous avons du foncier ou des compétences disponibles. Nous voulons aller beaucoup plus loin qu’une simple présentation du tissu économique local. » D’où la mise en place de la notion de « package ». A travers la plateforme, l’agglomération veut présenter toute une offre globale qui donnerait envie aux investisseurs de venir. Elle réunit ainsi de nombreux services et informations autour du logement, des politiques sportives et culturelles, des offres de soins etc. Un important volet consacré à la formation a également été mis en place. Maubeuge est un territoire expérimental sur le sujet puisqu’il est le premier à avoir créé en France un Groupement d’Intérêt Public regroupant au sein d’une même entité, toutes les structures liées à l’emploi, la formation et l’insertion (Maisons de l’emploi, Missions locales etc.). Au sein de cette agence territoriale des ressources humaines, toutes les offres proposées par les entreprises sur ces champs de l’emploi, de la formation et de l’insertion sont disponibles. « Ce portail constitue en définitif le réceptacle de nos différentes politiques. En tant que notre ambassadeur, il va développer notre attractivité et montrer que notre territoire est connecté » insiste Benjamin Saint-Huile. Agence du numérique et formation sur la cybersécurité Pour faire valoir son statut de « territoire connecté », la CAMVS entame un autre grand projet : celui du déploiement de la fibre optique. « L’objectif est de couvrir l’ensemble du territoire d’ici trois ans...
À travers sa formule « All inclusive », l’hôtel Viva Wyndham V Samana, situé en bord de mer et classé 5 étoiles propose des hébergements exceptionnels. L’établissement propose une restauration de qualité mais également un espace bien-être unique, ainsi que des animations et des activités sans cesse renouvelées. Réservé uniquement aux adultes, l’hôtel comblera toutes les attentes des visiteurs à la recherche de calme et de sérénité. Un emplacement privilégié Faisant face à la magnifique plage de Playa Coson, au nord-ouest de la péninsule de Samaná, l’hôtel Viva Wyndham V Samana jouit d’un emplacement de rêve. En effet, ce resort à taille humaine se trouve à 8 km du village de Las Terrenas, soit à une dizaine de minutes en voiture. S’agissant du transport, l’aéroport international El Catey de Samaná n’est qu’à 20 min des lieux tandis que l’aéroport international Las Américas de Saint-Domingue grâce au nouvel accès et nouvelle route n’ est plus qu’ à 1 heure et demie de l’hôtel. Des hébergements exceptionnels En tout, l’hôtel dispose de 178 chambres à la fois spacieuses et lumineuses. Réparties en trois catégories (V Rooms, Vibe Rooms et Bungalows), elles sont dotées de toutes les commodités pour assurer un séjour tout confort. Chaque chambre « Vibe Room » située en rez de chaussée bénéficie d’une superbe piscine privée, permettant de se relaxer tout en admirant le coucher du soleil et la vue imprenable sur l’ océan. Afin de suggérer de nouvelles expériences de séjour, l’établissement vient récemment d’élargir son offre avec 34 bungalows de haut de gamme. Au cœur d’une végétation tropicale, ces bungalows se déclinent dans un style élégant et épuré, et se dotent de piscines privatives. S’ils le souhaitent, les résidents peuvent également bénéficier de prestations au prestigieux spa de l’établissement situé à proximité. Le Coconut Whispers Spa, véritable temple du bien-être Au cours de leur séjour à l’hôtel, les vacanciers peuvent à tout moment se ressourcer au sein du Coconut Whispers Spa, un spa entièrement dédié aux soins du corps et de l’esprit. En total symbiose avec la Nature environnante, cet espace déploie une offre complète de soins, qui fait la part belle aux produits naturels des Caraïbes. Essences de fleurs, noix de coco, miel, papaye, concombre…, le spa tire le meilleur de chaque produit pour garantir une efficacité optimale. Parmi les formules suggérées, la maison recommande vivement le massage relaxant aux pierres chaudes de la rivière de Samaná. Une expérience incomparable ! Des restaurants pour tous les gouts Les fins gourmets auront l’embarras du choix entre les 4 restaurants de l’établissement (Le Mar y Fuego, le Fusion, le Marché, le Mediterraneas). Tandis que le premier se spécialise dans les viandes et fruits de mer grillés, le second associe, quant à lui, cuisine du monde et cuisine créative. Le Marché sert non seulement des plats plus classiques tels que des salades, pâtes et autres sandwichs mais aussi quelques spécialités locales. Enfin, Le Mediterraneas, situé en bord de plage, propose une cuisine méditerranéenne sublimée par une touche locale. À noter : les résidents n’ont nullement besoin de réserver pour profiter de ces restaurants. Côté rafraichissements, ils ont 3 possibilités : le beach bar Entre Palmas, qui sert un large choix de boissons à siroter tranquillement sur un des transats de la plage ; le Hip-Bar, un bar lounge très branché : ou encore le snack bar Vivaz. De nombreuses activités L’hôtel Viva Wyndham V Samana organise de multiples activités à faire aux alentours. En raison de sa proximité avec la mer, il suggère toute une palette d’activités nautiques, incluant planche à voile, catamaran, stand up paddle, plongée sous-marine ou activités sportives telles que yoga, pilates ou tennis. Pour les amateurs de randonn&eac...
On entend souvent dire que nous n’utilisons que 10 % de notre cerveau. Il semblerait toutefois que notre corps ne soit guère mieux loti. Car bien qu’étant un formidable outil de perception, celui-ci est largement sous-exploité… Partant de ce constat, Ève Berger, spécialiste de la Pédagogie Perceptive, a eu l’idée d’en transposer le concept au coaching. Et de l’adapter aux besoins spécifiques du monde de l’entreprise. Rendre au corps la place qu’il mérite Sensoriellement parlant, notre corps est une machine d’une efficacité redoutable. Et pour cause, les informations qu’il nous transmet sur nous-mêmes mais aussi sur ce(ux) qui nous entoure(nt) peuvent s’avérer d’une grande utilité. Mais encore faut-il savoir décrypter les messages que le corps nous envoie. Las, force est de constater que faute d’un apprentissage adéquat, le commun des mortels en est incapable. Car paradoxalement, si notre civilisation voue un véritable culte au corps (il n’est qu’à voir les affiches publicitaires ou les couvertures des magazines pour s’en convaincre), c’est uniquement du corps « physique » qu’il s’agit. Et non du corps « sensible » à travers lequel nous sommes en lien avec notre environnement et grâce auquel nous éprouvons nos émotions les plus profondes. De la Pédagogie Perceptive au coaching perceptif Psychomotricienne de formation initiale, Ève Berger saisit rapidement l’importance des liens qui unissent la sensorialité et les mouvements du corps à nos ressources affectives et relationnelles. En se spécialisant en Pédagogie Perceptive, elle expérimente les énormes possibilités qu’offre cette méthode d’accompagnement qui met l’accent sur le rôle central du corps dans les processus d’apprentissage et d’interaction avec l’autre. Tout en dirigeant l’organisme national de formation professionnelle en Pédagogie Perceptive, Ève Berger poursuit en parallèle un doctorat en sciences de l’éducation et en sciences sociales. Les travaux qu’elle mène lui permettent d’affiner son approche du corps en tant que pierre angulaire de la cohésion sociale et de la réussite professionnelle. C’est donc tout naturellement qu’elle s’oriente progressivement vers une forme spécifique de coaching, le « coaching perceptif ». Dès 2012, elle crée Via Corpo (la Voie du Corps, Ndlr), une structure qui propose notamment des programmes d’accompagnement et de formation adaptés au monde du travail. Des formations adaptées aux besoins des professionnels de l’accompagnement (formateurs, RH, managers, consultants…) Dans le cadre des missions d’accompagnement et de management qu’ils ont à conduire, de nombreux professionnels peuvent tirer bénéfice des formations mises en place par Via Corpo. La palette de compétences qu’ils auront l’opportunité de développer est non seulement large mais elle leur permet aussi de répondre à des situations concrètes et réalistes. « Apprendre à décrypter les mouvements du corps revient, par exemple, à se doter d’une véritable grille de lecture » indique Ève Berger. À travers celle-ci, il devient alors possible « d’identifier les talents les plus forts, les fragilités à consolider ou encore les potentiels à développer chez une personne, qu’il s’agisse d’un client, d’un collaborateur ou même d’une équipe ». Ainsi, en développant une plus grande sensibilité corporelle mais aussi grâce à des exercices pratiques, précis et simples d’accès, un coach sera en mesure d’aider son client à « mettre en mouvement sa présence corporelle pour déployer toute son énergie de réussite ». Développer le cercle vertueux entre bien-être et performance au travail Mais l’une des particularités de Via Corpo, c’est que cette démarche ne se contente pas de développer votre perception corporelle dans le seul but de booster vos performances professionnelles. En clair, les formations qu’organise Ève Berger à l’attention des professionnels « développent leurs compétences tout en élargi...
Niché au cœur d'un parc verdoyant de 5 hectares avec tennis et piscine, le Manoir du Chambon déploie ses charmes pour des vacances en famille. Lieu idéal à proposer pour partir en villégiature en Dordogne, le domaine se situe à l'entrée de la Vallée de l'Homme, non loin de la grotte de Lascaux et de Les-Eyzies, capitale mondiale de la Préhistoire. A proximité se trouve le Château des Milandes, jadis demeure de Joséphine Baker mais également la ville de Sarlat, joyau de l'architecture médiévale réputée aussi pour sa gastronomie, ses marchés paysans et ses produits du terroir dont la célèbre truffe noire du Périgord. Bref, tout un programme pour se ressourcer et passer des vacances idéales entre randonnées, tourisme vert, gastronomie, patrimoine et Histoire. Côté hébergement, on séjourne ici en famille et entre amis dans un manoir du XVIe siècle entouré de deux anciens corps de ferme formant une cour intérieure où s'épanouit un jardin arboré. Depuis 2012, le Manoir du Chambon*** s'est vu attribuer le prestigieux classement "Village de Vacances 3 étoiles", témoignant ainsi de son engagement à offrir un accueil de qualité aux familles et des prix abordables. Confort et vacances en toute convivialité Le Manoir du Chambon offre un cadre de vie unique aux vacanciers. Il dispose de 24 chambres familiales équipées avec terrasse, salle de bains et sanitaires. Les chambres de 2 à 6 personnes sont toutes ouvertes sur un patio intérieur fleuri invitant les hôtes à se retrouver pour des soirées de convivialité. Derrière le Manoir se trouvent 3 gîtes de 4 à 6 personnes avec kitchenette, climatisation et terrasse couverte. Une chambre destinée aux personnes à mobilité réduite a également été aménagée dans le domaine. Au Manoir du Chambon***, le nombre restreint de chambres invite à la convivialité et au calme. On peut y recevoir ses amis ou de la famille, en pensant toutefois à réserver ses repas la veille. Outre ses hébergements, le Manoir du Chambon propose aussi différentes activités à partager en famille ou entre amis. Partir à la découverte du Périgord depuis le Manoir du Chambon*** Avec de nombreuses installations en son sein, le Manoir du Chambon*** regorge d’activités de toutes sortes. Court de tennis, boulodrome, piscine, tir à l’arc et balades découvertes. Le soir, le Manoir organise des soirées festives, des tournois ainsi qu’une visite nocturne de Sarlat. Classé au patrimoine mondial de l’humanité de l’UNESCO, Sarlat est une ville médiévale préservée. Ruelles pavées, maisons à colombages et nombreux bâtiments datant des XIVe et XVe siècles raviront les promeneurs. Pour les enfants de 3 ans et plus, des ateliers sur la préhistoire et le Moyen Âge ont été spécialement préparés par les équipes d’animation. Pour des activités en famille, les équipes du Manoir ont prévu des loisirs à thème tel que des balades familiales en canoë avec pique-nique autour des paysages périgourdins. Des eaux du massif-Central vers l’océan Atlantique, les rivières du Périgord racontent plus de 400 000 ans d’histoire. Le Périgord regorge d’endroits à visiter. La région se décline en quatre couleurs naturelles avec le Périgord Noir, où se trouve le Manoir du Chambon. Le Périgord Pourpre, où les vignobles se succèdent et font de la Dordogne la terre du vin avec ses 13 appellations et notamment l’AOC Bergerac. Le Périgord Blanc, se distingue par l’architecture de ses villes et villages. La région tire son nom des sols calcaires riches en craie. Quant au Périgord Vert, il attire les visiteurs par ses vergers et ses prairies verdoyantes. En plus des loisirs et des animations organisées par les équipes du Manoir, les vacanciers pourront également visiter le fac-similé de Lascaux qui se trouve à seulement 3 km, et profiter d’un tarif préférentiel sur leur visite. Découverte en 1940, les grottes de Lascaux sont célèbres pour leurs peintures rupestres datant du Paléolithique, 17 000 ans avant notre ère. En 1983, une réplique d...
Rêve de détente qui devient réalité à Marrakech, plus belle ville touristique au monde ! Connue comme la perle du sud, la ville ocre est sans aucun doute un havre de paix exotique d’exception. Des soins novateurs selon la méthode Chenot A l’hôtel Selman Marrakech, L’Espace Vitalité Chenot propose des soins novateurs selon la Méthode Chenot, un concept de santé personnalisé, notamment d’antivieillissement de la peau basé sur la biontologie. La Méthode Chenot inspirée de la médecine chinoise doit sa réussite au mérite et à l’excellence. En plus des séances de sport, un programme nutritionnel appelé Biolight est associé à chaque type de cure allant de 3 à 7 jours permettant ainsi au patient de perdre du poids (4 à 5 minimum et 5 à 6 maximum sur une semaine). Thérapeutes qualifiés et formés à la Méthode Chenot Au programme, des thérapies qui garantissent l’efficacité, le professionnalisme et la qualité des soins. Organisé par départements, Le spa Chenot à Marrakech compte des thérapeutes qualifiés et formés à la Méthode Chenot. Ils veillent à l’excellence des thérapies personnalisées. Ils mettent un point d’honneur à offrir des traitements individualisés, associés à une expérience unique. Le tout, dans un cadre idyllique, idéal pour la détente et le bien-être. ...
Le lac et l’auberge sont indissociables, comme si la nature voulait que cet établissement soit érigé à cet endroit. Le premier offre de multiples activités sportives et dépaysantes, la deuxième propose un hébergement et une succulente cuisine de terroir. Le restaurant se spécialise dans les grillades. Avis aux gourmands et aux gourmets. Le restaurant du lac Genin Le grand-père de Denis Godet a remis en état une ancienne ferme détruite par la guerre, sa gestion devient une affaire de famille depuis près d’une cinquantaine d’années. Transformée en auberge, elle accueille aujourd’hui les convives pour un repas en famille, une sortie en amoureux ou entre amis. Le bois, qui est omniprésent à l’extérieur comme à l’intérieur, se marie très bien à cet environnement bucolique et il en est de même pour les murs de pierres apparentes. Une cheminée majestueuse trône dans la salle à manger du restaurant. Les pièces de viande y sont grillées offrant un spectacle inédit. La maison suggère une cuisine traditionnelle et du terroir. Elle se spécialise dans la grillade au feu de bois. Le chef Godet prépare la côte de veau moutardée, le tournedos aux morilles, le contrefilet forestier ou la côte « Maitre Rôtisseur » devant les yeux attentifs des convives. La carte propose également du saucisson au vin braisé, de la croûstade d’escargots aux cèpes, du croûton aux morilles et un jambon cru « Chamois Blanc », des délices qui sont meilleurs lorsqu’ils sont accompagnés de salades. Les poissons ne sont pas en reste, les gourmets se délecteront des filets de perchettes au beurre ou des filets de truite rose aux échalotes. Enfin, le chef concocte délicieusement les plats régionaux que sont les fondues savoyarde et bourguignonne. Le « Petit Canada du Haut-Bugey » Le lac Genin est une étendue d’eau de 8 hectares, entourée d’une forêt de type jurassien. Il se partage entre les communes d’Oyonnax, d’Échallon et de Charix. L’endroit propose un dépaysement total pour les visiteurs qui s’offrent un séjour à l’Auberge du lac Genin. Plusieurs activités sont accessibles selon les saisons. En hiver, le paysage se couvre d’une épaisse couche de neige et la glace peut atteindre une épaisseur de 40 cm sur le lac lorsque la température est au plus bas. Celui-ci devient donc une vaste patinoire naturelle, sur laquelle on peut pratiquer du patin à glace ou de la plongée sous glace pour les initiés. Balades en raquettes et ski de fond et luges sont également sources de bonheur dans ces moyennes montagnes. Tous les matériels nécessaires sont disponibles à la location à l’Auberge du lac Genin. En été, le lac est ouvert à la pêche. On y trouve des brochets, perches, tanches, gardons, carpes et truites. De juillet à août, les visiteurs peuvent s’autoriser une baignade surveillée, avant de savourer les délicieux mets préparés par le chef Godet. Le circuit de randonnées commence au lycée Painlevé d’Oyonnax pour s’achever au lac, en passant en grande partie par la forêt. Ceux qui ont le goûu de l’effort et de la réussite bénéficient de trois circuits VTT praticables, un parcours facile de 8 km ou circuit vert, un parcours de 18 km avec une difficulté moyenne ou circuit bleu et un circuit assez difficile de 26 km. Il est également possible de grimper sur les arbres pour découvrir ce milieu naturel exceptionnel, sous l’encadrement d’une personne ayant un certificat de qualification professionnelle de grimpe encadrée dans les arbres. ...