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© Hubert Taillard / GPO Photos
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Interview avec Patrick Jeffroy
Chef du restaurant Patrick Jeffroy



Restaurant
2 étoiles au Guide Michelin
situé à Carantec
Région Bretagne

Dans votre restaurant, comment définissez-vous votre cuisine ? Quels sont vos plats «Signature»? Avec quels produits aimez-vous travailler ?

Patrick Jeffroy Je fais une cuisine d’identité régionale et voyageuse en accord avec les saisons.

Quelles émotions avez-vous ressenties lors de la remise des étoiles du Guide Michelin ?

PJ C'est toujours un moment particulier pour nous qui donnons vie à ce beau métier. Cette année, j'ai ressenti différentes émotions. Déjà, je n'ai pas été surpris par le nombre de Japonais étoilés (il se passe vraiment quelque chose). On voit que la passion, le respect du produit et la rigueur ont été récompensés. C'était très fort d'émotion ! On a vu des chefs comme Bruno Cirino qui retrouve ses étoiles, et le sacre de Christophe Bacquié porté en triomphe.

La cuisine est faite chaque jour de partage et d'émotions. Toutefois, certains moments de la vie sont à privilégier plus que d'autres... Pouvez-vous nous confier vos plats rêvés pour :
- Un repas de Noël ?

PJ Des huîtres, du foie gras, une volaille exceptionnelle, des beaux légumes d'hiver, un fromage mais surtout du très bon chocolat.

- Un repas de la nouvelle année ?

PJ Un bon tartare de Saint-Jacques et caviar d'Aquitaine en entrée ; un chevreuil avec ses légumes racines pour continuer ; du roquefort aux fruits secs et pour finir une mangue sabot à la cuillère.

- Un repas de Saint-Valentin ?

PJ C'est bien entendu la fête des amoureux. Il faut donc faire un plat avec des cœurs de légumes, pâte cuite, gelée fine : pourvu qu'il y ait des cœurs partout !

- Un repas de la fête des mères ou des pères ?

PJ Pour les Mamans : des fleurs sur les tables, des fleurs dans l'assiette, des fleurs à l'entrée de la maison, des fleurs en partant de la maison.
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Au fait, pour votre mariage, qui a fait la cuisine ? Pouvez-vous nous indiquer les plats cuisinés ?

PJ C'était moi, mais j'ai oublié ce que j'ai cuisiné !

Sans trop réfléchir, pouvez-vous nous confier votre plus beau souvenir gustatif et certaines des émotions procurées ?

PJ Mon moment inoubliable de découverte dans tous les sens du terme, a été dans le restaurant Ultraviolet de Paul Pairet à Shanghai : l'émotion à fleur de peau.

D'après la célèbre devise de Prosper Montagné "On ne fait du bon qu'avec du très bon", pouvez-vous nous révéler deux ou trois de vos adresses gourmandes. Vos producteurs et produits préférés sur votre région ou ailleurs (vins, produits frais, ou autres...)

PJ J'ai bien entendu mes petites adresses de produits :
- Chez Cadoret, des Ostréiculteurs à Riec sur Bellon
- La Charcuterie Hélibert à Bourg-Blanc
- Le beurre du Ponclet
- Le Meursault du domaine Roulot

J'aime bien manger chez Yves Camdeborde au Comptoir du Relais à Paris et au Malthazar à Marseille.

Culture - Cinéma Quelle est votre scène préférée de cinéma au restaurant ? Un souvenir de film avec une séquence particulière...

PJ Tous les repas des films de Claude Chabrol, les cailles au foie gras de Stéphane Audran dans "Le Festin de Babette" ou encore la pâtisserie de Catherine Deneuve dans "Peau d'Âne".
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Si vous aviez un hommage à adresser à Paul Bocuse, quel serait-il ?

PJ Merci Monsieur Paul pour votre humour toujours sérieux et précis.
Adresse | Contacts utiles
image-prop-contact-patrick-jeffroy Patrick Jeffroy 20 Rue du Kelenn
29660 Carantec

Tél. : 02 98 67 00 47
Site Internet

Récompenses
2 étoiles au Michelin

Patrick Jeffroy : les avis

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SCEV Monnin-Couvent : des champagnes aux âmes différentes

Sous le ciel ensoleillé de Trélou-sur-Marne, sur la rive droite de la Marne, entre Épernay et Château-Thierry, la maison Couvent Fils prend soin de ses trois hectares de vignes avec la plus grande rigueur. De ce terroir situé dans la vallée de la Marne se développent les trois cépages champenois, dont le pinot Meunier en sera le roi (70 %). Les vignes sont cultivées de façon raisonnée dans une optique de préserver le patrimoine, héritage des générations futures. Des bulles pétillantes Médaillée d'argent lors du Concours Général Agricole auquel la marque participe pour la première fois, la cuvée Empreinte est l’ambassadrice de la maison Couvent Fils. Elle est issue de l’association de trois cépages champenois et a bénéficié d'un vieillissement de 24 à 36 mois dans les caves. Pour satisfaire les amoureux de la gastronomie fine, la maison propose le Plaisir secret. Cette cuvée est élaborée à partir d’un millésimé sélectionné en fonction de sa finesse. Au moment du dégorgement, un dosage en demi-sec est réalisé. À consommer en apéritif, elle révèle aussi toutes les saveurs d’un foie gras et constitue l’allié incontournable des douceurs chocolatées.   À la découverte d’un savoir-faire La maison Couvent Fils invite les touristes à découvrir le champagne à la source. Un parcours durant lequel la visite des caves ou du pressoir est organisée. Après cette balade pédagogique, les vignerons proposent une dégustation à leurs convives. L’occasion d’apprécier les cuvées fabriquées dans le respect des techniques traditionnelles. L’immersion totale au cœur de l’univers champenois s’effectue quant à elle grâce à un séjour complet au sein d’un gîte pour six personnes labellisé Gîte de France (trois épis). ...

une Approche Neuro-Sensorielle du coaching qui replace l'humain au centre de l'organisation

Apprendre à identifier (et à exploiter) nos sensations corporelles  Élaborée par Oliver Masselot et Samy Kallel et conceptualisée à travers le livre "Le Leadership du Coeur (éditions GERESO), l'Intelligence Neuro-Sensorielle s’appuie sur la mise en valeur d'une source d’informations d’une très grande richesse mais pourtant largement sous-exploitée. « Un nombre incalculable de messages nous parviennent par le corps, via le ressenti corporel » explique Olivier Masselot. Pour nous aider à identifier et à analyser efficacement toutes ces informations, l'Intelligence Neuro-Sensorielle combine, entre autres, des outils issus des neurosciences (entre autres l'ANC du Dr Jacques Fradin) et d’autres, liés à la sensorialité. « Cette approche dynamique de l’être humain, à la fois globale et holistique, permet d’en avoir une vision différente, plus lucide, de mettre en place rapidement les protocoles adéquats et de révéler des choses qui échappent généralement aux approches plus classiques » précise Olivier.  Mieux armé pour affronter l’inconnu et gérer les imprévus Partant du principe que « nous sommes responsables de notre façon d’interpréter et d'aborder les situations qui se présentent à nous », Olivier Masselot travaille sur la sensorialité afin de permettre aux personnes qui font appel à ses services - des leaders, des créatifs et des managers, pour la plupart - « d’être capables de gérer l’imprévu avec davantage de lucidité et d’agilité ». En effet, notre crainte de l’inconnu provient très souvent du fait que nous privilégions « notre cerveau ‘automatique’ qui ne réagit qu’en fonction de ce qu’il a appris, au détriment de notre cerveau ‘adaptatif’, lequel nous permet d’improviser et donc de mieux aborder l’inconnu. L’idée, c’est de passer d’une ‘dynamique de peur’ axée sur la résistance et le désir de tout contrôler à une ‘dynamique de coeur’, orientée sur l’ouverture ainsi que sur la connexion à l’autre et à l'environnement » fait remarquer Olivier. Appliquée au monde du travail, l’Approche Neuro-Sensorielle aide un manager, par exemple, à « mettre en place un management moins rigide qui favorise l'intelligence collective et les initiatives, à prendre les bonnes décisions au bon moment, à entretenir de bonnes relations avec chacun et à favoriser un consensus ‘gagnant-gagnant’ avec ses collaborateurs, ses fournisseurs et ses clients ».  Remettre l’humain au centre des stratégies « La philosophie de l’Approche Neuro-Sensorielle, c’est que plus l’humain s’épanouit, plus l’entreprise va s’épanouir également » explique Olivier. Mais il est fréquent qu’un management trop rigide débouche sur de mauvaises réponses. Ou encore que la culture d’une entreprise ne soit plus en phase avec ce que vivent et ce que ressentent ses salariés. Or une telle situation qui « créera plus de problèmes qu’elle n’enrésoudra » s’avère préjudiciable non seulement aux hommes et aux femmes qui composent ses effectifs mais aussi à l’entreprise elle-même. En proposant une autre vision du rapport manager-collaborateur-environnement, l’intervention d’Olivier peut conduire à une véritable refonte de la culture d’entreprise, plus résiliente, parce que davantage centrée sur une dynamique collaborative. Et pour permettre aux dirigeants d’intégrer parfaitement - et durablement - ce qu’il leur aura révélé au cours de son accompagnement, Olivier Masselot a mis en place au sein de l'Approche Neuro-Sensorielle une belle bibliothèque d’entraînement en e-learning.  ...

Promouvoir et développer la professionnalisation du métier de coach

L’accréditation, un gage de qualité donné aux clients des coachs professionnels Face à la prolifération des coachs en tous genres (en séduction, en immobilier, etc.) dont certains sont d’ailleurs de coach que le nom, il est parfois difficile de s’y retrouver… Pour pallier cet état de fait et permettre aux véritables coachs professionnels de se démarquer, l’EMCC France peut, sous conditions, leur attribuer une accréditation. Ce document apporte la preuve que celui qui s’en prévaut répond aux critères d’exigence et de qualité requis. Ce faisant, il garantit également à ses clients qu’un coach dispose d’un niveau de compétence élevé. Délivrée après un examen minutieux du dossier (quota d’heures de pratique à respecter, témoignages « clients » à fournir, etc.), cette accréditation résulte d’une démarche volontaire effectuée par un coach désireux de disposer d’une preuve reconnue de son sérieux et de son professionnalisme. Elle se superposera alors aux diplômes ou aux certifications déjà obtenus et valorisera l’expertise qu’il aura acquise dans le domaine - devenu très compétitif - du coaching.  Valoriser le métier de coach professionnel Regroupant plus de 8 500 coachs, mentors et superviseurs répartis sur toute l’Europe, l’EMCC met tout en oeuvre pour valoriser le métier de coach et accompagner le développement de sa professionnalisation. Pour rejoindre cette organisation, un coach devra ainsi justifier d’une pratique effective et déontologique de son métier. Et par le biais des activités qu’elle organise tout au long de l’année (groupes de réflexion, d’échanges de pratiques, conférences, colloques, etc.), l’EMCC France contribue à partager les bonnes pratiques entre ses quelque 1 059 adhérents au 31 décembre 2017.  Accompagner le changement Parce que le monde change, le coaching professionnel doit changer avec lui. Notamment en s’adaptant aux mutations que connaît actuellement le monde du travail (transformation digitale, essor de la mondialisation, etc.). C’est la raison pour laquelle le prochain colloque annuel de l’EMCC France a pour thème « la métamorphose ». S’articulant autour des transformations auxquelles nous sommes tous confrontés et des changements de postures que ces mutations impliquent, cet événement majeur du monde du coaching rassemblera plus de 1 000 personnes (dirigeants, DRH, mentors, coachs professionnels, consultants, formateurs…) sur deux jours. Des conférences s’y dérouleront, ponctuées d’ateliers expérientiels qui seront l’occasion, pour leurs participants, de mettre en pratique, de façon concrète, leur connaissance du coaching. ...

Musée national Gustave Moreau :
plus qu’une visite, un voyage dans le temps

De crainte que ses œuvres ne soient dispersées, le maitre a voulu, à la fin de sa vie, que ses réalisations soient rassemblées en un seul lieu et exposées au public pour faire revivre tout un parcours de vie artistique. L’œuvre d'une vie Imaginé et conçu de son vivant par l’artiste en personne, le musée national Gustave Moreau trouve le plus naturellement du monde sa place et toute sa raison d’être dans cette maison où le peintre a vécu de beaux jours. Déjà très tôt, le maitre tenait à conserver les pièces du premier étage de sa maison pour en faire un petit musée où seraient réunis tous les souvenirs de personnes qui lui étaient chères.  Supervisant en personne le chantier, Gustave Moreau voit une grande partie de son projet mise sur les rails. Trois ans avant l’achèvement des travaux, il est malheureusement fauché par la mort. Le chantier continua sous l’instruction d’Henri Rupp, son exécuteur testamentaire et ancien élève, qui n’eut qu’à suivre à la lettre les instructions précises qu’avait consignées le peintre. Après douze mois de travaux laborieux, les lieux ouvrent leurs portes au public. Aujourd’hui encore, les visiteurs ont le bonheur de visiter un espace hors du temps où les fantômes du passé continuent leur épopée. Des centaines de peintures et aquarelles, des milliers de dessins ainsi que quinze sculptures en cire de la main du maître sont exposées sur quatre niveaux.  Et en réserve sont conservées près de 10 000 oeuvres d'art graphiques (dessins et photographies).  ...

Château Gaby : le terroir Fronsac dans toute sa splendeur

Situé au sein de Canon-Fronsac, petite appellation de Bordeaux d’environ 300 hectares de vignes et qui réunit 46 producteurs, le Château Gaby, créé en 1660, est un vignoble emblématique de par sa situation et sa belle architecture. Celui-ci a été repris par David Curl en 2006, avec sous sa direction Damien Landouar. Le domaine s’est donné dès lors pour objectif de promouvoir la qualité du vin de Fronsac, en prouvant que le haut du panier n’a rien à envier aux grands crus de Saint-Émilion. C’est donc un travail des plus méticuleux qui est exécuté par Damien Landouar et son équipe, qui ont vu décerner à leurs belles bouteilles de magnifiques récompenses. Le travail minutieux de sols diversifiés L’ensemble des vignes du domaine s’étend sur 16 hectares de sols à dominance calcaire, dont 80 % en jolie exposition sud, très favorable à la culture du merlot. Dans ce fameux paysage vallonné surplombant la Dordogne et faisant le charme de Fronsac, le plateau est argilo-calcaire, et la plaine argilo-sablonneuse. C’est un microclimat frais, et plus précisément maritime bordelais, qui couvre toute la propriété. C’est une agriculture bio de grande exigence que met en avant le domaine, pour obtenir le meilleur des vignes. Ainsi, l’utilisation de produits certifiés bio, à l’instar de la bouillie bordelaise traditionnelle, est de rigueur, principalement pour traiter les vignes contre les maladies. L’élaboration des sols est faite à l’ancienne, et donc à cheval sur les meilleures parcelles. Le domaine sème ses propres engrais bio, et enlève tout ce qui est chimique, afin de prolonger la vie des sols. Les pesticides sont également prohibés et la présence des engrais biologique dans cette agriculture bio permet aux racines de s’enfoncer dans la terre et de chercher plus de richesses dans le sous-sol. Entre autres, le domaine travaille selon 4 principes : Vendanger un raison mur, vinifications naturelles avec peu de souffre et levures indigènes, élevages en barriques en cherchant des tannins élégants, pas de filtrage ou de collage avant la mise en bouteille. Des vins de caractère L’expression de Fronsac regroupe 12 Châteaux des appellations Fronsac et Canon-Fronsac, des vins de garde de qualité et de précision. Pour le Château Gaby en particulier, c’est 3 vins différents et 3 sélections parcellaires différentes. Les pourcentages de cépages utilisés par le domaine sont à 80 % de merlot, 10 % de cabernet franc et 10 % de cabernet sauvignon. Parmi les vins, la Cuvée Gaby, petite production confidentielle avec environ 1 800 bouteilles produites par an. Vinifié avec zéro soufre ajouté et des macérations froides pleines de particularités, c’est un vin complexe nécessitant beaucoup de carafage. Cette bouteille issue de la parcelle à dominance calcaire est reconnue à l’échelle mondiale pour son caractère atypique. La Cuvée Gaby s’est hissée en tête de classement des vins à l’aveugle, surpassant 600 bouteilles toutes appellations confondues, devant un grand jury en 2008. Le Château Gaby est non seulement un grand vin de garde, mais également le grand vin de la propriété. Il est issu des parcelles argilo-calcaires et, pour ce vin, environ 40 000 bouteilles sont produites par an. Élégant et équilibré, il est reconnu pour sa richesse et sa finesse de bouche ronde. Ce délice est est régulièrement un coup de cœur du Guide Hachette. Les Roches Gaby, c’est le vin issu de la plaine argilo-sablonneuse du domaine. Ce paramètre donne à cette belle bouteille un caractère souple, fruité et plein de richesse. Il est consommé plus jeune que le Château Gaby. Ces vins sont servis dans de grands restaurants de Londres comme chez Marcus Wareing au Berkeley Hotel, ou encore au Goring Hotel. De plus, les vins sont en vente directe à la propriété ainsi qu’exportés dans un vingtaine de pays du monde. ...

Vous avez de nombreuses raisons de vous rendre dans le pays de Fénelon.

Rendez-vous dans le Pays de Fénelon en Périgord Noir pour l’exposition Doisneau et profitez-en pour découvrir la richesse de la région. La seule exposition permanente de Robert Doisneau au monde Les amateurs de belles photographies connaissent tous Robert Doisneau pour son travail. Savez-vous que l’Office de Tourisme du Pays de Fénelon en Périgord Noir a souhaité lui dédier une exposition permanente ? Tout commence en 1936, lorsque le gouvernement de Léon Blum crée les congés payés. Lors de ses premières vacances, Robert Doisneau en profite donc pour venir en Dordogne par le train, devenant par ce biais l’un des premiers touristes de la région. Puis, grand fan de canoë, il reviendra souvent dans la Dordogne afin d’immortaliser les sites les plus pittoresques (de Beaulieu-sur-Dordogne à Beynac). Ce sont ces photos que l’Office de Tourisme vous invite à découvrir. Entièrement gratuite, l’exposition a été mise en place en collaboration avec les filles du photographe français qui ont conservé plus de 450 000 clichés. Une bonne occasion de découvrir le Périgord vu par Doisneau à travers une sélection de 50 photos présentant, d’un côté, les plus beaux paysages de la Dordogne et, de l’autre, la vie rurale locale de l’époque. À savoir : en plus de cette exposition permanente, l’établissement veut aussi proposer plusieurs expositions temporaires de jeunes photographes contemporains afin de présenter ce qui se fait actuellement en termes de photographies. Une bonne raison de vous y arrêter pour vous renseigner sur les richesses du territoire du Pays de Fénelon tout en écrivant une carte postale et déguster une glace ou boire un café. Entre salon de thé, galerie d’art photographique et salle de réunion pour professionnels, vous découvrez un Office de Tourisme polyvalent. Les activités du Pays de Fénelon en Périgord Noir Si vous souhaitez visiter ce beau pays, le rendez-vous est donné dans cet Office de Tourisme pas comme les autres, situé dans une ancienne gare entièrement réaménagée et ouvert depuis le 30 avril. Véritable porte d’entrée de la Dordogne et du Périgord Noir, il est le point de départ de nombreux chemins qui vous mènent vers des lieux aussi charmants que typiques. En effet, tout d’abord, sachez que la voie ferrée a été transformée en piste cyclable. Puisque le train n’y passe plus depuis 1980, c’est une excellente façon de faire revivre ce trajet historique. Ainsi, 19 km de voie verte ont été créés par la Communauté de Communes et un projet d’itinérance douce est en pleine construction. Ce dernier permettra de relier Sarlat à Cazoulès par la voie de chemin de fer. De belles promenades en perspective puisqu’il se rajoute à 500 km de chemins de randonnée et 400 km de parcours de VTT. Mais ce n’est pas tout, car vous trouvez de magnifiques bourgades à proximité dont 3 plus beaux villages de France (Domme, Castelnaud-La-Chapelle, Beynac-et-Cazenac). L’occasion d’observer l’aspect architectural spécifique, à base de lauze, de la région. N’oublions pas non plus les châteaux de Salignac et de Fénelon qui valent le détour ainsi que les magnifiques jardins du manoir d’Eyrignac, les jardins d’eau de Carsac (spécialisés dans les lotus) et les jardins de Cadiot.  De plus, 3 événements importants ponctuent la saison : la Ronde des Moulins (durant le week-end de Pâques), la Ronde des Villages (mi-octobre) ainsi que la semaine de la nuit (début août). Ne repartez pas sans avoir participé à un marché gourmand Tous les visiteurs le disent : il faut avoir pris le temps de vivre l’ambiance si particulière des marchés gourmands de la Dordogne (seulement durant la haute saison, en juillet/août). En effet, vous y trouvez évidemment les spécialités de la région (truffes, cèpes, magrets de canard, salade périgourdine, produits à base de noix, etc.). Pourtant, ce qui frappe le plus, c’est le fait que des tables et des bancs ont été installés par les communes pour déguster les plats gourmands directement sur place. Les rendez-vous à ne pas manquer : - Le marché sur le thème du poi...

Back Office Santé : quand chiropracteurs
et ostéopathes s’associent pour combattre l’absentéisme au travail

« Les troubles musculo-squelettiques (TMS) ne sont pas simplement des douleurs physiques dues à de mauvaises postures ou à de mauvais gestes. Ils sont également liés au stress et à l’organisation du travail en entreprise », introduit Luc Mesme, cofondateur de la société Back Office Santé. Lesdits troubles affectent notamment les membres supérieurs (épaules, cou, poignets) et l’ensemble du rachis lombaire, bien que, dans certains cas, les douleurs peuvent également se présenter au niveau des membres inférieurs (genoux, chevilles). Les TMS constituent une véritable problématique en entreprise, dans la mesure où ils favorisent l’absentéisme chez les salariés. Ces troubles auraient causé, jusqu’à l’heure actuelle, 8,4 millions de journées de travail perdues. Et les lacunes sont palpables aussi bien « humainement » que financièrement parlant. Ce constat, Luc Mesme et Nicolas Destang l’ont fait il y a sept ans alors qu’ils exerçaient encore dans leurs cabinets respectifs. « De plus en plus de gens venaient consulter en dehors du circuit médical pour des douleurs musculaires et articulaires. Ce problème nous a incités à œuvrer directement auprès des entreprises, en tant que praticiens libéraux, sachant qu’il existe une réelle demande d’intervention face aux TMS. » Ainsi est né Back Office Santé (BOS), une société de service de santé novatrice dédiée aux entreprises et spécialisée dans la lutte contre les troubles musculo-squelettes. Pionnière dans son domaine, l’entreprise enregistre plus de 850 cabinets d'ostéopathes et chiropracteurs, membres du réseau. Un service à la hauteur de toutes les demandes Se lançant le défi de réduire le taux d’absentéisme au travail, BOS décline sa méthodologie d’intervention en trois étapes. En premier lieu : le dépistage des TMS. Pour ce faire, un thérapeute est directement envoyé sur le site de l’entreprise pour s’informer auprès des patients. Un questionnaire adressé au travailleur va aider le praticien à connaitre la localisation et la fréquence des douleurs. Des tests orthopédiques seront également réalisés sur le patient en vue de compléter le diagnostic positif des TMS. Les résultats seront ensuite compilés de manière « anonymisée », tient à souligner Luc Mesme, et seront rapportés sous forme de cartographie exposant les souffrances musculaires et articulaires identifiées chez les employés de l’entreprise. Cette étape franchie, les professionnels de BOS peuvent ensuite procéder au traitement des TMS via des séances de thérapie réalisées directement sur le site de l’entreprise même. La troisième étape consiste à sensibiliser le personnel aux TMS par le biais de conférences, dont une partie théorique aidera à identifier les premiers signes et les mauvaises postures. La partie pratique servira à travailler la posture, tout en s’exerçant à renforcer et à étirer les muscles. À noter : les praticiens engagés par BOS sont soigneusement sélectionnés selon les critères de formation exigés par le ministère de la Santé en France. ...

Repaire de Bacchus : le sacre du Printemps

Depuis le 10 janvier, Le Repaire de Bacchus a pris ses quartiers sur les toits de Paris, au sein d’un univers dédié au meilleur de la gastronomie et de l’artisanat. Un défi passionnant pour l’enseigne qui intègre là une formidable vitrine internationale sans rien perdre des valeurs qui la caractérisent depuis sa création.Sur 200 mètres carrés, soit un espace quatre fois plus vaste que celui de ses boutiques habituelles, cette 40ème adresse propose la plus alléchante et prolifique route des vins hexagonale qui soit. 1500 références de vins, 350 références de spiritueux et 100 bières exclusivement françaises Dans un décor accueillant, sobre et chic, aux couleurs de l’enseigne, elles y sont savamment mises en scène. Dès l’entrée, un magnifique bar d’époque Napoléon III, ancien bar de l’Académie du Vin fondée par Steven Spurrier et Michel Dovaz, dédié aux champagnes donne le ton. On peut y savourer des références renouvelées régulièrement à partir de 10 € la coupe. Puis l’on parcourt toutes les régions de France : si l’on retrouve des références historiques de l’enseigne, cette nouvelle adresse a aussi adapté son offre à une demande qui ne sera pas celle d’une clientèle de quartier. -Plus de Bordeaux : c’est notamment le cas des grands crus classés, dont les 1er Grands Crus Classés que l’on peut dénicher dans 7/8 millésimes incontournables. -Une superbe sélection de Bourgogne : les climats les plus prestigieux de la côte de Beaune et de la Côte de Nuit ou du Chablisien sont présents à travers des vignerons ou des maisons emblématiques. Les Comtes Lafon, Domaine Leroy, Raveneau, Roumier, Dugat-Py, Dauvissat, Chevalier, la Romanée-Conti font rêver bien sûr, mais l’amoureux de bourgognes trouvera aussi largement son bonheur avec des pépites moins célèbres donc plus accessibles et judicieusement choisies. -Les autres régions telles que la Loire, la Vallée du Rhône, l’Alsace, la Champagne ou la Provence équilibrent leur offre entre quelques références emblématiques, découvertes et vignerons historiques de l’enseigne. Ainsi des cuvées Silex de Dagueneau, Château Rayas et Château Beaucastel dans plusieurs millésimes, la maison Trimbach côtoie une sélection de vins accessibles conçus pour un pur plaisir hédoniste bien dans l’ADN de l’enseigne. -Une gamme de prix très large pour tous les budgets : l’on déniche les bouteilles les plus accessibles à 5 euros et une grande partie de l’offre se situe entre 8 et 20 euros. Même si cette 40ème boutique intègre l’univers du luxe, elle n’en a pas perdu pour autant ce qui constitue l’âme de la chaîne : celui d’un caviste artisanal de rue proche de ses clients. -Une offre en magnum conséquente : chaque région s’assortit en moyenne d’une vingtaine de références proposées en magnum, un format très attractif et prestigieux. Et sans oublier les demi-bouteilles. De la rue des Acacias au Printemps du Goût Le Repaire de Bacchus, c’est 35 ans d’aventure humaine saupoudrée d’un grain de folie. Lorsque Dominique Fenouil créé son premier Repaire de Bacchus, en 1983, c’est un peu grâce à la coupe du monde de football 1982 ! Directeur de la promotion chez Radiola, il imagine de récompenser les meilleurs clients avec des caves à vin et part sillonner le vignoble, une passion chez lui. Budget : l’équivalent de 2 millions d’euros. Il prend goût à cette activité et créé donc l’année suivante une boutique, en réalité, plutôt un club d’amis épicuriens à la recherche de bons vins, pas forcément les moins chers du marché, puis s’installe rue des Acacias, dans le 17ème arrondissement de Paris. Rappelons qu’à cette époque, on prédisait la mort du caviste, laminé par l’émergence de la grande distribution. « Je me disais qu’il y avait un marché pour les amateurs. De fait, ça ne désemplissait pas : notre premier bénéfice, l’équivalent de 80 K€, représentait l’équivalent de 2 Porsche &agra...

Le château de Pau et son domaine : une visite à ne manquer sous aucun prétexte

Si vous passez dans le Béarn, en Nouvelle-Aquitaine, faites une étape au château de Pau et son domaine. Vous serez émerveillé par sa situation et étonné par son histoire. Un château avec un environnement unique Implanté au cœur de la magnifique ville de Pau, vous pouvez vous rendre au château à pied. Pour cela, rendez-vous dans le centre-ville historique de Pau et rejoignez le domaine en déambulant dans les ruelles piétonnes ou passez par le célèbre Boulevard des Pyrénées planté de palmiers, véritable balcon sur les montagnes. Une fois sur place, vous découvrez une construction imposante aux pieds des Pyrénées. Bâti à l’origine comme une place défensive, il est devenu au fil du temps une résidence royale qui a vu séjourner plusieurs rois de Navarre puis de France (dont le célèbre et populaire Henri IV). Ainsi, il se décompose en 3 parties : le château et son jardin à la française, la Basse-Plante qui invite à la détente (avec vue sur la ville basse de Pau et les Pyrénées) et le parc : une grande forêt d’une vingtaine d’hectares (qui vous amène jusqu’au 1er golf de France). En plus d’être un des rares châteaux à pied de montagne, le château de Pau et son domaine vous proposent un gigantesque espace vert dans lequel vous pouvez vous promener à votre gré. Un château qui raconte une histoire Le château de Pau possède une histoire riche et passionnante qui commence au 10e siècle, lors de la pose des premières pierres. À cette époque, il possédait une fonction défensive et militaire. Puis, au fil du temps, d’illustres personnages le transformeront à leur guise. C’est le cas, entre autres, de Gaston III de Foix-Béarn (appelé aussi Gaston Fébus) qui y construisit un donjon en briques, des rois de Navarre qui le changeront en résidence royale, de Louis-Philippe qui le restaure dans un style évoquant la Renaissance (telle qu’on l’imaginait au 19e siècle) ou encore de Napoléon III qui y rajoutera une aile, une tour et un portique. Ceci étant dit, ce château est surtout célèbre parce qu’il a vu naître le roi Henri IV. Vous pouvez d’ailleurs y découvrir une statue du « bon roi » ainsi que son berceau (une carapace de tortue) qui est une pièce maîtresse à voir absolument. À savoir : aujourd’hui, la splendide salle des Cent couverts (à visiter également) est une salle de réception ouverte à des événements d'entreprise privés.  Tout au long de l’année, vous profitez de plusieurs expositions au sein du château ou de la maison Baylaucq (2 expositions temporaires par an pour le château et 4 pour la maison Baylaucq). D’une durée d’environ 3 mois, chacune est en lien avec le château et son historique. À savoir : les expositions plus tournées vers l’art contemporain ou présentations d’une « Œuvre choisie » sont gratuites à la maison Baylaucq. Les expositions au château, expositions palatiales dont le thème est très en lien avec l’histoire du château ou des collections, sont accessibles en s’acquittant du billet d’entrée du château (7 €) ou bien en s’acquittant d’un droit d’entrée spécifique à l’exposition (2 €) pour visiter l'exposition seule. ...

Le restaurant des Jardins de la Medina, une gastronomie inventive, un cadre idyllique

Le restaurant est situé dans la partie la plus ancienne de cette demeure princière aux magnifiques plafonds de cèdre sculpté. Plusieurs suspensions de cuivre en forme de gouttes d’eau finement travaillées laissent filtrer une lumière tamisée qui diffuse ses arabesques sur les murs ancestraux. Dès que le soleil apparaît le restaurant prend ses aises et se répand sur la grande terrasse qui ouvre sur la piscine et son grand jardin luxuriant. A chaque moment de la journée « Les Jardins de la Médina » offre l’occasion d’une expérience gastronomique unique et constamment renouvelée. Petit-déjeuner, réveillez vos papilles ! Chaque matin, le buffet des Jardins de la Médina est un moment privilégié à partager en famille ou entre amis. Des baguettes chaudes et croustillantes, des viennoiseries à peine sorties du four, des fruits de saison, des jus de fruits frais, des confitures maison, des crèpes marocaines (msemmens, beghrir), des œufs sous toutes les formes possibles, du fromage, du jambon, du saumon … Le petit-déjeuner des Jardins de la Médina est un régal pour les papilles et un plaisir pour les yeux. L’occasion de charger les batteries avant une journée bien remplie à la découverte des trésors cachés de Marrakech. Le déjeuner, la pause gourmande Au retour d’une excursion dans les environs de Marrakech ou d’une balade shopping dans les souks accordez-vous une pause gourmande sur la terrasse au bord de la piscine, à l’ombre du Jacaranda centenaire et savourez une salade d’araignée au guacamole et sorbet d’avocat, un tagine du moment ou plus simplement un tartare de veau préparé et épicé juste comme vous l’aimez. Le dîner, un voyage initiatique et romantique, un métissage des saveurs Soyez les bienvenus dans le salon de cette ancienne demeure princière transformé en un restaurant  chaleureux et romantique. A la lumière des bougies et des suspensions en cuivre ciselé découvrez la nouvelle carte du dîner imaginée par la cheffe Sana Gamas. Ici la tradition se conjugue au présent et le savoir faire culinaire marocain s’ouvre sur le monde. La harira, soupe traditionnelle du ramadan, côtoie la tempura de crevettes parfumées à l’huile d’argan. La mourouzia de Fès au jarret de veau parfumé au raz el hanout vous fait hésiter avec un dos de cabillaud poché en mille feuilles de pommes de terre. Laissez vous guider par tous vos sens et faites vous une raison : Il vous faudra rester au moins une semaine aux Jardins de la Médina pour goûter à tous ces merveilleux plats. Des évènements incontournables « Les Jardins de la Medina » organise des évènements réguliers devenus incontournables. C’est le cas notamment du désormais traditionnel brunch qui se déroule chaque dimanche de 12 à 16 heures. Le brunch est imaginé et réalisé autour d’un thème différent chaque semaine : Brunch de la mer, brunch asiatique, espagnol ou breton … La surprise et la variété des plats sont chaque fois au rendez-vous. Les mélomanes sont également comblés. Grâce notamment, aux jeudis musicaux : Jalal et Jamal, guitariste et violoniste vous invitent chaque jeudi de 20 h à 23 h à une soirée endiablée et joyeuse aux rythmes d’une musique arabo-andalouse rythmée et irrésistible. Avec sa voie chaude, sensuelle et profonde la chanteuse libérienne Linda Johnson enchante les soirées du restaurant avec un répertoire inédit de musique black, soul, reggae et jazz. Elle se produit aux Jardins de la Médina le 7 avril, 21 avril et 5 mai 2018 de 20 h à 23 h. ...

Maison Boinaud : une maitrise unique
du cognac depuis 24 générations

La famille Boinaud est installée au Domaine depuis 1640. Au départ, les Boinaud étaient spécialisés dans le travail du bois, une tradition encore perpétuée dans la fameuse tonnellerie artisanale. La passion pour le cognac s’est développée plus tard, avec l’arrivée de Charles Boinaud, arrière-grand-père des dirigeants actuels, à la tête du domaine. Celui-ci décide d’installer le premier alambic pour distiller les vins produits par la maison. Les générations qui suivent se sont évertuées à préserver soigneusement ce savoir-faire exceptionnel. C’est donc avec cette même ferveur que les deux cousins, Charles et Rémi Boinaud, conduisent aujourd’hui le domaine. Jeunes et visionnaires, ils misent sur le respect de la tradition familiale, tout en se tournant vers l’innovation pour affirmer résolument l’identité de la maison. Immersion dans la plus grande distillerie charentaise De la vigne jusqu’au verre, aucune étape n’échappe aux Boinaud. Les raisins sont récoltés sur les fameux terroirs de la Grande Champagne, qui, à l’heure actuelle, est qualifiée de meilleur cru de l’appellation Cognac. Et avec les 420 ha de vignes, le rendement ne peut être que favorable. Après la vinification, place à la distillation. « Les eaux de vie sont élaborées dans la plus grande distillerie charentaise, désormais équipée de 41 alambics », précise Clara Gilbert, cheffe de projet Hospitalité/Évènementiel. Parmi les meilleures références figure le « Cognac De Luze », symbole par excellence de la Fine Champagne. Le « Cognac J. Dupont » est également une cuvée représentative de la maison. Classé dans la gamme premium, cet « art de la Grande Champagne » est dédié aux plus fins connaisseurs. En s’adonnant à une visite classique, ceux qui viennent au domaine auront le privilège de découvrir les secrets de fabrication de ces quelques élixirs, suivis d’une dégustation. Une aventure gourmande La Maison Boinaud propose également des visites sur mesure. Les visiteurs pourront ainsi définir les activités qu’ils souhaitent inclure ou non au cours de leur visite. L’occasion pour eux de déguster les fameux produits gastronomiques dont les Boinaud sont les seuls à proposer en France, voire au monde. Il s’agit ici des Perles de Cognac, du cognac encapsulé dans une pellicule d'algue naturelle qui sert à parfaire un cocktail ou à accompagner les mets les plus délicats (huitres, foie gras, desserts…). Le Oaker est également un must à déguster. Il s’agit d’un délicieux concentré naturel de bois que les barmans utilisent généralement pour relever leurs cocktails. Le Smoaker, de son côté, a été pensé pour fumer les mets à partir de vieux copeaux de chêne issus d’anciennes barriques de cognac. À noter que la maison Boinaud pratique également l’apiculture. Ainsi, elle produit et commercialise son propre miel. ...

Aoubré L’Aventure Nature : une expérience sensationnelle en pleine nature

Aoubré L’Aventure Nature a pour vocation d’immerger les gens le temps d’une journée dans une forêt centenaire de 30 ha. À l’intérieur de ce gigantesque parc d’aventure, une panoplie d’activités y est suggérée et adaptée à tous les âges. Qu’il s’agisse d’activités ludiques, éducatives ou pédagogiques, tout  s’articule autour de la thématique nature, l’environnement et la biodiversité. Les aventuriers partent pour une exploration d’un monde animal et végétal foisonnant à travers une centaine d’ateliers et différents parcours qui proposent une découverte unique de l’environnement de la région. Au plus près des animaux Dans la petite ferme, en compagnie de vos enfants, vous aurez l’occasion d’approcher de près les animaux de la basse-cour. Pintades, poules, lapins et autres paons évoluent en toute liberté pour le grand plaisir des tout-petits. En revanche, pour les plus gros mammifères, un grand parc animalier a été spécialement aménagé afin de permettre aux visiteurs d’observer des espèces en semi-liberté. Partez à la rencontre des sangliers, des daims, des ânes de Provence et des baudets du Poitou dans un cadre naturel préservé. Enfin, véritable jardin à ciel ouvert, le Jardin des papillons vous accueille pour une exploration haute en couleur. Unique dans la région, il abrite un nombre considérable d’espèces que vous découvrirez en partie au cours de visites guidées. Accrobranche en pleine forêt Pour les audacieux, le parc leur réserve de belles surprises en les invitant à côtoyer les cimes d’une forêt centenaire. Aoubré L’Aventure Nature est l’un des rares parcs à permettre la pratique de l’accrobranche sur des cèdres centenaires. Bien encadré par une équipe hautement qualifiée, grimper et se déplacer d’arbre en arbre sera pour vous un jeu d’enfant. Les parcours sont déclinés selon différents niveaux de difficulté pour que toute la famille puisse en profiter. Toujours en hauteur, le parc suggère également une activité ludique pour les moins sportifs. Au programme, une balade sur la canopée à 15 m de haut, et ce, sans aucun équipement. Un système de filet serpentant entre les arbres vous servira de passerelle et vous assure une promenade sécurisée sur un parcours d’une centaine de mètres. Les sens partout sollicités L’Aoubré se plaît à jouer avec les sens de ses visiteurs. En effet, dans le but d’expérimenter de nouvelles sensations, le parc met à disposition le sentier des sens incluant le sentier des sons et le sentier « pieds nus ». À travers le premier parcours, les visiteurs pourront essayer au fur et à mesure différents instruments de percussion provenant d’horizons divers. Pour le second, l’idée est de marcher pieds nus sur des matériaux placés tout au long du sentier. Sensations garanties ! Au contact de la nature, vos pieds en ressentiront tous les bienfaits ! L'expérience peut se prolonger en allant à la découverte du sentier des plantes aromatiques (odorat et/ou goût) et du sentier des plantes tinctoriales (plantes qui servent à faire la teinture).  Une restauration rapide En cas de petit creux, vous avez la possibilité de pique-niquer dans le parc grâce à des aires de pique-nique spécialement dédiées à cet effet. Il est également possible de passer vos commandes auprès d’un petit snack qui propose des sandwichs, salades, hot-dogs ainsi que des boissons fraîches afin de se désaltérer.  ...

SOCIÉTÉ FRANÇAISE DE DERMATOLOGIE (SFD) : un acteur majeur au cœur de la recherche

Créée le 22 juin 1889, la SFD s’est fixé comme objectif de promouvoir la dermatologie française auprès de la communauté médicale au niveau national mais aussi international. Pour y parvenir, cette société savante s’est investie dans de nombreuses missions qui se rejoignent autour d’une même finalité : assurer une progression constante de la recherche, et ce, dans tous les domaines de la dermatologie. Les principales missions de la SFD   Le soutien et le développement de la recherche, l’amélioration des pratiques professionnelles ainsi que le développement de la formation continue, tels sont les trois grands points autour desquels œuvre la SFD. En parallèle, la SFD appuie la création et la structuration de groupes thématiques qui réunissent des hospitaliers, des chercheurs et des dermatologues. Ces groupes constituent notamment le fer de lance de la SFD en matière de recherche clinique. Une fierté pour la Société. Comme le souligne Pascal Joly,  le Président de l’association : « la dermatologie mondiale nous les envie. »  En effet, ces derniers sont essentiels pour le développement de la recherche en Dermatologie mais aussi et surtout pour leur dynamisme et la multiplicité de leurs actions. La SFD participe également à la formation médicale des dermatologues à travers l’organisation d’un grand congrès annuel appelé « Les Journées dermatologiques de Paris » (JDP). Au programme de ce congrès, figurent des sessions de formation médicale continue, mais aussi des sessions de recherche durant lesquelles des groupes exposent les résultats de leurs travaux. Les JDP connaissent aujourd’hui un succès notable à en juger par la forte affluence des participants. Ainsi toujours selon le Président, « Les JDP accueillent régulièrement plus de 4 500 congressistes dont près de 40 % viennent de l’étranger. » Enfin, en ce qui concerne les financements, il fait savoir que la SFD consacre plus de 60 % de son budget pour financer diverses actions de recherche (projets de recherche, bourses de formation à la recherche…). ...

Pressoirs de Provence : des jus de fruits frais et authentiques qui réveillent vos papilles

Pressoirs de Provence a la passion du fruit. Entre ses créations classiques et ses mélanges exotiques, la société familiale fait le nécessaire pour garder l’authenticité du fruit dans la bouteille. D’ailleurs, pour Arnaud Redheuil, le dirigeant de l’entreprise, chaque jus doit donner l’impression aux consommateurs de croquer directement dans le fruit. L’occasion de voyager dans le cœur des vergers de Saint-Rémy-de-Provence, où tout a commencé. Pressoirs de Provence : une aventure familiale et humaine Nous sommes en 1982, date à laquelle la société Sojufel Provence Production commence à produire et à vendre des jus de fruits. Devant le succès de cette boisson naturelle et savoureuse, l’entreprise décide de créer la marque Pressoirs de Provence avec un seul objectif : proposer des produits authentiques tout en valorisant le travail des agriculteurs provençaux. À savoir : depuis le début, Sojufel – Pressoirs de Provence travaille avec un réseau de plus de 300 agriculteurs qui s’engagent, tout comme la société, à respecter aussi bien la qualité des fruits cueillis que l’environnement. En 2009, Arnaud Redheuil et son père reprennent l’activité afin de développer la marque tout en respectant sa philosophie. Quelques années plus tard, on peut dire que le pari est réussi puisque Pressoirs de Provence obtient de nombreuses médailles lors des dégustations à l’aveugle des différentes éditions du concours général agricole de Paris. Ainsi, la marque a su gagner, au fil du temps, la reconnaissance de ses pairs et des consommateurs. D’ailleurs, en 2015, Arnaud Redheuil sera intronisé par les disciples d’Escoffier (un réseau d’élite de professionnels de la gastronomie). Une technique de production maîtrisée prenant soin du fruit Chez Pressoirs de Provence, tout commence et finit par le fruit. Aucun ajout de conservateur, d’additif, de colorant et d’exhausteur de goût : une recette simple qui plaît aux consommateurs exigeants. Ainsi, après que la cueillette du producteur est livrée, les lots de fruits sont goûtés et analysés selon des critères précis et rigoureux (acidité, couleur, sucrosité, odeur, etc.). Puis, les fruits retenus sont lavés à l’eau claire, séchés et préparés pour le pressage. À cette étape, le jus viendra s’écouler naturellement grâce à une méthode traditionnelle et progressive. Le mélange sera même réalisé à la main. Nous en venons, ensuite, à l’étape de pasteurisation afin de débarrasser le nectar obtenu de bactéries, levures et moisissures et de bloquer, en même temps, l’oxydation. Cette phase est très importante puisque le jus ne peut être conservé à température ambiante que quelques heures seulement. Finalement, il est embouteillé sans attendre. Cela pour préserver la saveur et la fraîcheur des fruits pressés. Des jus et nectars primés livrés directement chez le consommateur À ses débuts, l’entreprise distribuait ses jus de fruits en circuit court. En effet, on ne pouvait les trouver qu’en épicerie fine, chez le primeur ou en hôtel-restaurant. Puis, la marque a voulu bousculer ses habitudes de vente en mettant en place des partenariats à long terme afin de consommer différemment le jus de fruits et le sortir de l’image classique du petit déjeuner. De plus, depuis quelques mois, il est possible de commander en ligne et de se faire expédier son jus ou nectar favori sur toute la France (à condition de commander trois bouteilles minimum). L’occasion pour les amateurs de jus de fruits frais de découvrir les spécialités de l’entreprise (telles que le jus de pomme, le nectar d’abricot ou le nectar de poire, tous les trois médaillés or). Mais aussi certains mélanges étonnants (jus pomme-cassis, pomme-orange-passion, multifruit ou encore exotique, tous médaillés or). Cela sans oublier les grands classiques qui font le bonheur des petits et des grands. Ainsi, au total, ce sont plus de 60 boissons médaillées qui attendent tous les fans de fruits sur le site. ...

Le Château Volterra : des vins d’exception

Bâti au XIXe siècle, le Château Volterra met aujourd’hui en avant son terroir viticole par des labels incontestablement reconnus du milieu. Ayant pour ambition de réaliser d’excellents crus, le domaine se lance dans une exploitation manuelle et une culture raisonnée, écartant définitivement de ses pratiques l’utilisation des pesticides. Ce qui ne fait qu’accentuer le gout et la valeur du vin qui en résulte… Le vignoble de la Méditerranée Connu autrefois sous le nom de Château Camarat, le Château Volterra est l’héritage d’une histoire d’amour déchu entre un certain aristocrate anglais et sa belle Tropézienne. Racheté en 1926 par l’imprésario parisien Léon Volterra, il sert de lieu de tournage et accueille de nombreuses activités. A la fin des années 80, le Château et son domaine furent laissés à l’abandon jusqu’à son rachat en 1999, où ils retrouvèrent leur prestige grâce à une restauration complète par les nouveaux propriétaires. Replanté avec des cépages locaux, le vignoble reprend vie grâce à la douceur du climat maritime dont le domaine bénéficie. Le vent marin qui souffle sur les feuilles de vignes constitue d’ailleurs un élément fondamental pour la qualité des cépages et donc du vin. Dans cette zone, l’équilibre climatique occasionne une saison tempérée idéale pour la pratique viticole. Le domaine produit 50% de rouge, 25% de rosé et 25% de blanc. Des techniques de pointe pour un vin savoureux Non loin du Château, enfouie entre des murs épais du début du XXe siècle, la cave du Château Volterra renferme de grands crus. Cueillis à la main sous le souffle de la brise nocturne, les fruits font l’objet d’un tri sélectif strict en vue de collecter les meilleurs cépages qui seront destinés à la réalisation d’un vin d’exception, de qualité supérieure. Le choix d’une agriculture raisonnée et sans pesticides favorise la saveur du vin. En outre, la fermentation est obtenue par une parfaite maitrise de la température. Avant la mise en bouteille au Château, le vin est soumis à une analyse rigoureuse en laboratoire qui se trouve sur place. La particularité du rouge est qu’il est mis en bouteille sans filtration, après que les cépages aient été fermentés séparément dans de grandes cuves de bois, puis élevés dans une barrique sur une période de un à deux ans. Cette technique permet au vin d’acquérir plus de tanin et de couleur. Quant aux vins blancs, la vivacité et la fraicheur du Vermentino  (cépage blanc italien) sont dues à sa fermentation en cuve inox tandis que le Chardonnay doit sa complexité à la fermentation en barrique et à l’élevage sur lie. ...

Les Maîtres flamands à l’honneur pendant trois années de célébration 

Des programmations culturelles autour de ces Maîtres flamands constitueront le clou des visites touristiques en Flandre, sur les trois prochaines années. De Bruxelles à Anvers, en passant par Gand, les villes d’Art redécouvriront le génie des trois grandes figures de la peinture flamande, à travers les années thématiques qui leur seront respectivement consacrées. Au menu, des expériences multisensorielles qui traversent les autres pans de la culture : gastronomie, musique et art de vivre. 2018 : explorer Anvers à travers les yeux de Rubens « Anvers Baroque 2018, Quand Rubens inspire » transportera les touristes au cœur d’expériences de haut vol. Trois jours de danse, de musique, de théâtre et de feux d’artifice inaugureront les réjouissances. L’impressionnant MAS (Museum aan de Stroom), situé dans le quartier en plein renouveau de l’Eilandje, célébrera le baroque au féminin par une rétrospective consacrée aux œuvres de Michaelina Woutiers. Au musée d’Art contemporain, rendez-vous pour un face à face entre le baroque d’hier et d’aujourd’hui. Les peintres du temps de Rubens verront leurs œuvres mises en présence de créations plus contemporaines, signées Ed Kienholz ou Luc Tuymans. Avec les installations sonores ou odorantes prévues pour la scénographie, tous les sens vont vibrer au rythme baroque. Ateliers créatifs, visites guidées par les habitants, inauguration de nouveaux ouvrages de l’espace public étofferont encore cette année de célébration. L’ouverture du centre de découverte Rubens marquera le point d’orgue des festivités. 2019 : Bruegel  vous invite à plonger dans son monde Pieter Bruegel l’Ancien est un artiste dont on sait fort peu de choses. Durant l’année qui lui est consacrée, ses œuvres se chargeront de dévoiler sa personnalité. Ses méthodes de travail et l’ensemble de ses tableaux seront exposés au tout nouveau centre d’accueil portant son nom, à Bruxelles. Un rendez-vous convivial est également donné au château de Gasbeek, avec la « Fête des fous ». Les réinterprétations de Bruegel par les artistes du XXesiècle constitueront le clou de l’exposition. Elle sera clôturée par un pot de gueuze artisanale, comme on a pu en goûter du temps du peintre. Dès le printemps, « Bruegel en noir et blanc » lèvera le voile sur les travaux sur papier de l’artiste à la Bibliothèque royale de Belgique. À l’automne, Anvers se joindra également à ces hommages en accueillant au musée Mayer van der Bergh, une exposition retraçant ses dernières années dans la ville. 2020 : une année pour venir adorer l’Agneau mystique à Gand Jan van Eyck sera le centre de toutes les attentions en 2020. Son mythique retable Adoration de l’agneau mystique sera au cœur des festivités prévues en son honneur à Gand. Le très convoité retable en douze panneaux réalisé avec son frère Hubert est en phase de restauration. Une fois cette dernière achevée, cette œuvre époustouflante sera alors replacée dans la cathédrale Saint-Bavon pour laquelle elle était initialement commandée, en 1432. Dès fin 2019, le cloître des Carmes de la ville tiendra une exposition sur une œuvre singulière par bien des aspects. Elle a effectivement suscité de nombreuses passions à travers les six siècles qu’elle a traversé : copie, démontage, menace par le feu, dissimulation, vol ne sont que des exemples des péripéties par lesquelles le polyptyque est passé. « Jan van Eyck et la cour bourguignonne » promet, de son côté, d’être une expérience artistique immersive des plus marquantes. ...

Champagne Dérouillat : variété et originalité

Œuvrant dans la filière depuis 1929, quatre générations de la famille Dérouillat se sont succédées, pour se transmettre et pérenniser un savoir-faire unique. Sous la houlette de leur père, Fanny et Cécile Dérouillat dirigent actuellement cette exploitation familiale. Un terroir qui permet tous les assemblages Réparti sur 5,7 hectares, le domaine a la chance d’avoir des vignes à la fois sur la côte des Blancs, sur les coteaux Sud d’Épernay ainsi que dans la vallée de la Marne. Comme le précise Fanny Dérouillat, cette répartition contribue à la variété des vins produits : « Cela nous permet d’avoir les trois cépages de la Champagne et de faire des assemblages différents, et ainsi de retrouver tous les caractères de la Champagne. » En outre, le vignoble et l’exploitation en général sont travaillés selon les méthodes de la viticulture saine et durable, où les engrais chimiques n’ont plus cours. « Nous utilisons des bouteilles légères. L’habillage et les cartons sont issus de matières recyclées et recyclables », assure également Fanny. Des cuvées liées au terroir 40 000 bouteilles départagées en huit cuvées différentes sont produites chaque année par la maison. Leur point commun : elles expriment parfaitement la qualité et les typicités du terroir. Le Georges William - Secret de famille reflète le plus la personnalité du domaine. Concoctée à partir d’un assemblage tenu secret, comme son nom l’indique, cette cuvée est un hommage aux pères fondateurs de la maison. Il s’agit d’un champagne racé, souple et gourmand, accompagnant tous les plats, de l’apéritif au dessert. ...

Clos Saint-André : une perle rare et authentique à Pomerol

Le Clos Saint-André est l’une d’entre elles. Depuis 2004, Jean-Claude Desmarty a repris cette micropropriété d’à peine 1 hectare, fondée par son arrière-grand-mère. Il en assure seul l’activité complète, du travail du sol à la commercialisation. Il produit 1 vin par an, en très petite quantité, véritable reflet de sa personnalité, de sa conception du travail de la vigne et du vin. Chaque millésime est différent, mais chacun possède un niveau qualitatif élevé. Un travail de précision, artisanal et réfléchi Les vignes du Clos Saint-André sont vieilles. Elles sont composées de Merlot (70%) et de Cabernet (30%). Jean-Claude Desmarty travaille l’intégralité de ses sols avec un cheval. Il veut favoriser au maximum la qualité de sa terre en développant sa biodiversité et en évitant tout tassement. Il attache beaucoup d’importance à la gestion de la surface foliaire de ses plantes, qu’il modifie en fonction du cycle et des besoins exprimés par la vigne. Il adapte son travail aux conditions météorologiques différentes d’une année sur l’autre, en se posant mille questions sur la manière d’améliorer encore ses interventions. Persuadé qu’il est important d’avoir des vignes vivantes, Il recherche en permanence des équilibres naturels qui vont faire la qualité de ses raisins. Jean-Claude Desmarty vinifie son vin de manière artisanale, avec un degré d’exigence rare concernant la qualité et la précision du travail effectué. Il s’attache à ramasser des raisins bien mûrs, à effectuer un tri extrêmement sélectif, et à travailler ses raisins de manière adaptée pour extraire au mieux les matières contenues dans les baies. Toujours en recherche d’équilibre dans le vin et de contact avec la matière, il privilégie une vinification naturelle, basée sur le brassage des raisins dans ses cuves, sous forme de pigeages, remontages et délestages. Le vin du Clos Saint-André est intégralement élevé en barriques dont les bois à grains fins et serrés sont issus de forêts du centre de la France. Elles sont fabriquées par un seul tonnelier, sélectionné pour sa capacité à proposer des barriques permettant de trouver chaque année le meilleur équilibre possible entre le vin et la barrique. C’est un élément essentiel pour préserver l’authenticité et le caractère fruité du vin. L’élevage dure environ 20 mois. Un vin de plaisir, alliant élégance et générosité Chaque millésime du Clos Saint-André est différent. Néanmoins, le plaisir qu’il procure aux privilégiés qui y ont accès est toujours élevé. S’il fallait décrire les caractéristiques propres au Clos Saint-André, on pourrait évoquer les arômes de fruits, l’élégance, le velouté et la richesse du vin, sa finale longue et gourmande….. Mais peut-être vaudrait-il mieux vous laisser le découvrir !!! ...

L'application qui changera votre façon de voyager

Comme le dit le vieil adage, « Le temps c'est de l'argent ». Que vous soyez en voyage pour le travail ou pour explorer le monde, personne ne souhaite perdre une seule minute de son temps, pourtant nous perdons tellement de notre temps à attendre dans l'aéroport, dans les salles d’attentes ou même dans les stations de trains. Pendant des années, ces temps morts ont été considérés comme un mal nécessaire par les voyageurs, mais récemment un nouveau concept a émergé pour révolutionner la façon dont les gens peuvent améliorer leur expérience de voyage. À travers le monde, BYHOURS convertit des hôtels aux microséjours Les clients utilisent l’application mobile de BYHOURS pour réserver une chambre d'hôtel pour quelques heures, en choisissant leur propre heure d'arrivée. Les microséjours sont devenus  populaire grâce à leur flexibilité, permettant aux clients de transformer leur temps d’attente en un séjour de courte durée relaxant dans le confort, en toute sécurité ou l’on s’occupe de leurs bagages si besoin. L’application BYHOURS est un grand succès avec les millennials, qui sont 50% plus susceptibles de voyager pour le travail que les générations plus âgées. Cela signifie que dans chaque ville du monde, BYHOURS permet d’accéder à un bureau privé avec connexion wifi à haut débit, de profiter d'un SPA ou d'une séance d'entraînement dans une salle de sport. Les clients qui sont en ville pour le travail utilisent généralement leur chambre pour profiter d’une heure de sieste et prendre une douche avant une réunion. Mais l’application n'est pas seulement pour les jeunes professionnels - de nombreuses familles réservent des microséjours pour recharger leurs téléphones et se détendre avant de voyager. ...

Montpellier Recherche en Management (MRM) : un laboratoire ouvert sur l’entreprise et la société

Concevoir des Balanced Scorecard (tableaux de bords prospectifs), étudier les signes de qualité du vin auprès des consommateurs, analyser l’impact du Big Data sur les comportements des acteurs économiques... S’il existe un laboratoire particulièrement impliqué dans la vie des entreprises, c’est bien Montpellier Recherche en Management (MRM). Né en 2011 de la fusion des quatre équipes qui structuraient la recherche en gestion à Montpellier, le laboratoire Montpellier Recherche en Management regroupe aujourd’hui les chercheurs des universités de Montpellier et de Perpignan ainsi que du groupe Montpellier Business School. Fort de ses 140 enseignants-chercheurs permanents et de ses 90 doctorants, il représente l’un des plus grands laboratoires français de recherche en management.  Innovation et management responsable « MRM est organisé en 8 groupes de recherche qui correspondent aux différents champs qui structurent les sciences de gestion (comptabilité, contrôle et audit, entrepreneuriat, finance, gestion des ressources humaines, systèmes d’information, stratégie, altermanagement). Nos recherches sont orientées vers deux axes thématiques transversaux », indique Gérald Naro, directeur. « L’innovation (technologique, organisationnelle, managériale ou sociale), d’une part ; le management responsable, d’autre part (développement durable, responsabilité sociale des organisations). » Deux champs d’application sectoriels, fruits d’une longue tradition de coopération entre les chercheurs de MRM avec d’autres laboratoires de recherche montpelliérains, et deux secteurs d’activité historiques majeurs en Languedoc-Roussillon complètent cette structuration transversale : l’agroalimentaire et la santé. Mais comment MRM intervient-il concrètement dans une entreprise ? Le plus simplement du monde… en s’y intégrant le plus souvent. Dans le cadre de la recherche-action, les chercheurs travaillent au sein des organisations pour développer des innovations managériales ou bien réalisent des études et apportent une expertise à la demande des décideurs économiques et politiques. De la théorie à la pratique, il n’y a donc qu’un pas. Les chercheurs interviennent ainsi au Commissariat à l’Énergie Atomique et aux Énergies Alternatives de Marcoule, au Centre Hospitalier Universitaire de Montpellier, auprès de l’Ordre des experts comptables, de grands cabinets d’audit ou de conseil et collaborent étroitement avec un riche tissu de PME et de start-ups.  Expertise scientifique et prospective Quel est l’avantage pour une entreprise de faire appel à MRM ? Le premier est de bénéficier d’une expertise scientifique à la fois distanciée et rigoureuse : « Nos chercheurs mobilisent des méthodes éprouvées qui s’appuient autant sur des fondamentaux et des savoirs académiques que sur des résultats accumulés par des années de recherche et d’observations sur le terrain. Ils apportent surtout un regard extérieur sur l’entreprise, avec une approche scientifique et pragmatique qui leur permet d’être force de propositions et d’imaginer des futurs alternatifs. Nous avons également un rôle de think tank, lorsque nous faisons de la prospective ou réfléchissons avec les acteurs économiques sur de grands enjeux économiques et sociétaux. En même temps, de grandes idées et innovations naissent souvent au cœur même de l’entreprise, à nous d’être présents et d’apporter notre pierre à l’édifice. »  Ces entreprises peuvent en outre bénéficier d’un coup de pouce : via le contrat CIFRE, elles peuvent financer la thèse d’un doctorant et, en ne finançant qu’un demi-salaire, bénéficier ainsi de l’apport d’un chercheur durant 3 ans qui saura l’accompagner dans ses processus d’innovation. ...

H Comme Humain, une approche humaniste du coaching

Se concentrer sur l’humain La richesse d’une entreprise est faite des personnes qui composent ses effectifs. Accompagner les salariés vers un « mieux-être » améliorera donc également les performances de l’entreprise. « L’humain a toujours été ma priorité. C’est ce qui m’anime, ce qui me fait avancer » explique Gyslaine Gauthier, coach professionnelle et fondatrice de H Comme Humain. Ma vision du coaching consiste donc à bâtir une relation d’aide à la fois bienveillante et humaniste avec mon client et à l’accompagner vers un ‘’mieux-être’’. Concrètement, si j’interviens auprès d’un dirigeant, la plupart du temps, je travaille sur la notion de performance ou encore sur la gestion du stress. En revanche, si c’est une équipe que j’ai pour mission d’accompagner, j’adopte alors une vue d’ensemble des interactions existantes tout en m’intéressant aussi aux individualités dont elle est constituée. Par exemple, il n’est pas rare qu’un manager soit un salarié qui aura été promu et qui éprouvera des difficultés à assumer son nouveau statut. Notamment parce qu’auprès de ses équipes, il sera passé du stade de collègue, voire d’ami à celui de supérieur hiérarchique ».  Bienveillante mais exigeante Son passé d’infirmière libérale spécialisée en cancérologie et en soins palliatifs a permis à Gyslaine de développer une approche très emphatique du coaching tout en maintenant une juste distance avec les personnes qu’elle accompagne. « J’ai une écoute très humaniste et bienveillante que n’auront probablement pas un ancien manager qui se serait reconverti dans le coaching ». Mais tout en faisant monte de bienveillance, Gyslaine n’hésite pas à faire sortir le coaché de sa zone de confort si cela peut l’aider à trouver en lui les réponses aux questions qu’il se pose. « Un coach n’apporte jamais de réponses. C’est au coaché de les trouver lui-même » explique-t-elle. « Pour autant, au cours de mon accompagnement, je vais révéler à mon client des réalités qu’il n’avait pas forcément envie de voir. Mais au final, c’est lui qui décidera de la voie qu’il désire emprunter. Mon but, c’est de l’aider à s’autonomiser ».  Seule une formation reconnue permet un accompagnement de qualité Tout coach digne de ce nom doit avoir suivi une formation auprès d’un établissement reconnu. « Dans le contexte actuel, la formation constitue plus que jamais un critère essentiel dans le choix d’un coach » indique Gyslaine. « On assiste à une recrudescence des coachs. Mais alors que la profession est très encadrée, le terme de coach tend, quant à lui, à être galvaudé. On l’utilise partout, à tort et à travers. Et cela risque de décrédibiliser le métier ». Lorsque l’on choisit un coach, la première chose à faire, c’est donc de vérifier qu’il est bien certifié. « C’est un gage de qualité et de professionnalisme ». La mise en place d’un contrat de coaching est un autre point à scruter en priorité. « Je fais systématiquement signer à mon client un contrat dans lequel est précisé le cadre au sein duquel interviendra sa prise en charge : le lieu, les horaires, les objectifs à atteindre, la durée de l’accompagnement, etc. Si un coach reste vague quant au nombre de séances, méfiance… » précise Gyslaine. ...

Restaurant Pisanov : les saveurs de la cuisine franco-bulgare dans vos assiettes

Ambiance chaleureuse, recettes authentiques, personnel qualifié, autant d’ingrédients qui caractérisent le restaurant Pisanov. Aux manettes : Vasil Pisanov, un vrai passionné, qui a eu le privilège de travailler auprès de grands chefs étoilés comme Christian Constant, Alain Ducasse, Christophe Moret et Alain Pégouret. Une cuisine fine et authentique Au sein de son restaurant, Vasil Pisanov propose une improbable rencontre entre deux cuisines totalement différentes. La cuisine bulgare caractérisée par sa touche slave et méditerranéenne à la fois s’associe dans des notes très harmonieuses avec la cuisine française. Résultat : des recettes originales et variées qui donnent l’eau à la bouche. « Il y a toujours  une touche personnelle dans la création de mes plats », nous confie le chef du restaurant. Les mets sont préparés à partir des produits de saison et frais « acquis auprès des producteurs locaux ». Côté spécialités bulgares, vous vous régalerez avec le kapama, du chou fermenté avec quatre variétés de viande ; ainsi que le mijoté de boeuf au vin rouge, un des dix plats  traditionnels de la Bulgarie composés généralement de viande de porc, de volaille, de veau, de lapin et de chou fermenté. Pour des plaisirs gustatifs où les mets et les vins s’accordent dans une douce harmonie, le restaurant propose une sélection de vins français et bulgares comme le Trastena, un vin uniquement composé de framboises 100 % bio ou un vin issu du mélange de framboises et de merlot bulgare fermenté selon la méthode ancienne. Avec sa douceur, sa rondeur et ses saveurs fruitées, il se combine parfaitement avec la viande, le fromage et le foie gras. ...

Château Cadet-Bon, AOC Saint-Émilion Grand Cru : une histoire de millésimes et de récompenses

L’histoire du Château Cadet-Bon commence au XIVè siècle, quand Jacques Bon a planté sur le coteau nord de Saint-Emilion la première vigne. Déjà en 1867, le produit du terroir a contribué au succès des grands vins de la région à l’Exposition Universelle de Paris. Après une longue période de rénovation et d’études du terroir, le Château produit depuis quelques années des millésimes de grande qualité. Vingt ans de travaux et de succès Le vignoble du Château Cadet-Bon s’étend sur une surface de 6ha. Avant de devenir l’une des références dans son domaine, le Château a beaucoup investi dans l’optimisation de son terroir. Pendant les 5 premières années, les propriétaires travaillent en collaboration avec des consultants et des spécialistes en œnologie pour les accompagner et pour établir une cartographie. La douceur et le raffinement des vins du Château Cadet-Bon viennent ensuite du traitement de la vigne depuis la plantation jusqu’à la vinification, en passant par les vendanges. En effet, dès l’acquisition de la propriété, Michèle et Guy Richard arrêtent l’utilisation d’herbicides. Afin de préserver la qualité des vignes, ils optent pour une récolte manuelle et créent un système innovant de manière à minimiser les manipulations lors du transport et de l’encuvage des fruits. Le château utilise en outre la méthode du pigeage pour la vinification afin d’extraire délicatement les arômes des raisins. Ce travail soigné du terroir et de la vigne a permis à la marque de produire l’un des meilleurs vins de Saint-Emilion. Château Cadet-Bon – le choix des œnologues et des dégustateurs Dans le but d’avoir une vision générale de son terroir, le Château Cadet-Bon participe régulièrement à différents concours. Il organise aussi des dégustations lui permettant d’avoir les avis de différents œnologues et de créer un meilleur vin à l’avenir. Grâce à cette volonté d’atteindre l’excellence, le Saint-Emilion Grand Cru Classé du Château Cadet-Bon a obtenu des médailles d’Or aux Vinalies Internationales de 2021 et de 2022. Il a également gagné - entre autres récompenses - des médailles d’argent au Decanter Wine Awards 2021 et au concours organisé par Terre des Vins cette année. Outre les médailles, les notes données par les dégustateurs œnologues témoignent aussi de la qualité du vin du château. Chaque année, le Château Cadet-Bon continue de produire un nouveau millésime qui ne manque pas de marquer les connaisseurs. Parmi les meilleurs, celui de 2019 se distingue par ses délicieuses notes de fruits, sa souplesse et sa longueur en bouche. Il se trouve parmi les millésimes les mieux notés primeurs. ...

Champagne Fallet-Dart : une tradition viticole séculaire

Titulaire du label « Vignerons indépendants », la famille Fallet est issue d’une lignée de viticulteurs, qui, depuis 1610, priorise l’authenticité du terroir dans le respect de la pure tradition champenoise. Dans un vignoble s’étendant sur près de 18 hectares de terrain et situé en grande partie à Drachy, un terroir au sol tantôt argileux tantôt calcaire, sont cultivés des cépages champenois garants du caractère typique des cuvées. Un savoir-faire transmis de père en fils La marque Fallet-Dart, c’est avant tout un hommage à la passion vinicole partagée par les descendants de Gaston Fallet et Geneviève Dart, fondateurs de la maison. Selon Paul Fallet, la transmission de « l’exploitation de génération en génération » figure parmi les principales valeurs de la maison. De par ce caractère familial, la convivialité est ainsi au rendez-vous, notamment lors des vendanges faites à la main, comme le veut la tradition. Paul garantit également que la maison Fallet-Dart se veut être un pionnier de la viticulture raisonnée en veillant constamment à trouver « un juste équilibre entre l’agriculture conventionnelle et biologique ». La marque se veut, entre autres, être un gage de qualité en proposant des cuvées de qualité, pour ne citer que le Rosé Brut, le Millésime Brut et les Clos du Mont. Une notoriété au-delà des mers Élaborées suivant des techniques de vinification de pointe permettant la mise en valeur des arômes spécifiques du terroir, les cuvées mondialement connues et élégantes de Fallet-Dart sont médaillées chaque année. Grâce à sa notoriété forgée par ces récompenses, mais aussi par le bouche-à-oreille, la maison exporte aujourd’hui 10 % de sa production annuelle. Idéal pour être dégusté lors des grandes occasions, le champagne de la marque est doté d’une fraîcheur aérienne prodiguant une agréable subtilité en bouche. ...