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© Hubert Taillard / GPO Photos
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Interview avec Patrick Jeffroy
Chef du restaurant Patrick Jeffroy



Restaurant
2 étoiles au Guide Michelin
situé à Carantec
Région Bretagne

Dans votre restaurant, comment définissez-vous votre cuisine ? Quels sont vos plats «Signature»? Avec quels produits aimez-vous travailler ?

Patrick Jeffroy Je fais une cuisine d’identité régionale et voyageuse en accord avec les saisons.

Quelles émotions avez-vous ressenties lors de la remise des étoiles du Guide Michelin ?

PJ C'est toujours un moment particulier pour nous qui donnons vie à ce beau métier. Cette année, j'ai ressenti différentes émotions. Déjà, je n'ai pas été surpris par le nombre de Japonais étoilés (il se passe vraiment quelque chose). On voit que la passion, le respect du produit et la rigueur ont été récompensés. C'était très fort d'émotion ! On a vu des chefs comme Bruno Cirino qui retrouve ses étoiles, et le sacre de Christophe Bacquié porté en triomphe.

La cuisine est faite chaque jour de partage et d'émotions. Toutefois, certains moments de la vie sont à privilégier plus que d'autres... Pouvez-vous nous confier vos plats rêvés pour :
- Un repas de Noël ?

PJ Des huîtres, du foie gras, une volaille exceptionnelle, des beaux légumes d'hiver, un fromage mais surtout du très bon chocolat.

- Un repas de la nouvelle année ?

PJ Un bon tartare de Saint-Jacques et caviar d'Aquitaine en entrée ; un chevreuil avec ses légumes racines pour continuer ; du roquefort aux fruits secs et pour finir une mangue sabot à la cuillère.

- Un repas de Saint-Valentin ?

PJ C'est bien entendu la fête des amoureux. Il faut donc faire un plat avec des cœurs de légumes, pâte cuite, gelée fine : pourvu qu'il y ait des cœurs partout !

- Un repas de la fête des mères ou des pères ?

PJ Pour les Mamans : des fleurs sur les tables, des fleurs dans l'assiette, des fleurs à l'entrée de la maison, des fleurs en partant de la maison.
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Au fait, pour votre mariage, qui a fait la cuisine ? Pouvez-vous nous indiquer les plats cuisinés ?

PJ C'était moi, mais j'ai oublié ce que j'ai cuisiné !

Sans trop réfléchir, pouvez-vous nous confier votre plus beau souvenir gustatif et certaines des émotions procurées ?

PJ Mon moment inoubliable de découverte dans tous les sens du terme, a été dans le restaurant Ultraviolet de Paul Pairet à Shanghai : l'émotion à fleur de peau.

D'après la célèbre devise de Prosper Montagné "On ne fait du bon qu'avec du très bon", pouvez-vous nous révéler deux ou trois de vos adresses gourmandes. Vos producteurs et produits préférés sur votre région ou ailleurs (vins, produits frais, ou autres...)

PJ J'ai bien entendu mes petites adresses de produits :
- Chez Cadoret, des Ostréiculteurs à Riec sur Bellon
- La Charcuterie Hélibert à Bourg-Blanc
- Le beurre du Ponclet
- Le Meursault du domaine Roulot

J'aime bien manger chez Yves Camdeborde au Comptoir du Relais à Paris et au Malthazar à Marseille.

Culture - Cinéma Quelle est votre scène préférée de cinéma au restaurant ? Un souvenir de film avec une séquence particulière...

PJ Tous les repas des films de Claude Chabrol, les cailles au foie gras de Stéphane Audran dans "Le Festin de Babette" ou encore la pâtisserie de Catherine Deneuve dans "Peau d'Âne".
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Si vous aviez un hommage à adresser à Paul Bocuse, quel serait-il ?

PJ Merci Monsieur Paul pour votre humour toujours sérieux et précis.
Adresse | Contacts utiles
image-prop-contact-patrick-jeffroy Patrick Jeffroy 20 Rue du Kelenn
29660 Carantec

Tél. : 02 98 67 00 47
Site Internet

Récompenses
2 étoiles au Michelin

Patrick Jeffroy : les avis

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Champagne Le Brun Servenay : l’élégance du chardonnay de la côte des blancs

Établie sur la prestigieuse côte des Blancs, la maison Le Brun Servenay exploite actuellement un vignoble d’environ 7 ha, réparti sur trois villages classés grand cru. L’encépagement se compose à 80 % de chardonnay tandis que le reste du vignoble est planté en pinot noir et en pinot meunier. Des vignes centenaires La maison a été fondée en 1965 à la suite de l’union de deux familles de viticulteurs. Cinq générations plus tard, c’est au tour de Gauthier Le Brun de diriger l’exploitation familiale. Ici, les vignes, dont certaines sont centenaires, bénéficient d’un sol argilo-calcaire. « La spécificité de notre terroir donne une belle minéralité et une belle finesse au chardonnay », explique le propriétaire. Récoltant-manipulant, la maison privilégie une viticulture raisonnée qui respecte à la fois la terre et les vignes. Le travail de palissage soigné permet d'éviter l'apparition de maladies réduisant l'usage des produits phytopharmaceutiques au strict minimum. Depuis 2004, la maison procède à l’enherbement de son vignoble afin d'assurer la stabilité du sol combiné au travail à la charrue sous les rangs. La même attention est portée sur le soin des vignes. « La taille de notre exploitation nous permet de porter une attention toute particulière à chacune de nos parcelles », nous indique-t-on. Côté vinification, la maison allie volontiers tradition et équipements modernes. Ainsi, tandis que l'entreposage des bouteilles s'effectuent encore à la main selon le savoir faire traditionnel champenois depuis des générations, les vins clairs sont quant à eux vinifiés dans des cuves en inox thérmorégulées afin de s'assurer le blocage des fermentations malo-lactiques. « Cette méthode nécessite un plus long vieillissement mais cela permet à nos vins de garder toute leur fraicheur  à la dégustation », fait savoir Gauthier Le Brun. Résultat, pour les cuvées de la gamme courante, le vin vieillit entre 3 et 12 ans dans des caves de craie. En revanche, pour les  plus Grands Millésimes, il faut compter plus de 25 ans. Des cuvées de grande qualité La maison Le Brun Servenay propose dans sa gamme 7 cuvées : Mélodie en C., Odalie, Juste Rosé, XB 2.5 blanc de blancs et XB 3.2 Rosé ultime, Exhilarante 2008 et Chardonnay 2006. Ils commercialisent également de vieux millésimes de 1988 à 2002 disponibles sur commande avec un délai d'attente de 6 semaines correspondant au temps nécessaire au remuage et au dégorgement.  ...

Voyagez éco-responsable avec Vacances Passion

Historiquement, Vacances passion et La Ligue de l'Enseignement ont été parmi les premiers à intégrer la protection de l'environnement à leur projet, en participant au sommet de la Terre à Rio en 1992, puis avec la création en 1998 du label CED (Citoyenneté, Environnement, Développement durable). Aujourd’hui, Vacances passion a évolué vers la certification de ses structures par l'Ecolabel européen, plus en adéquation avec les enjeux actuels. Aujourd'hui, vacances passion et la Ligue accompagnent 30 villages de vacances et centres de séjours vers l'obtention de l'Ecolabel, affirmant ainsi leur engagement pour un tourisme durable, respectueux de l’environnement. Vacances passion sensibilise également par de nombreuses actions ses convives, résidents aux bonnes pratiques en matière d’écologie pour des vacances écoresponsables. L'Ecolabel, une certification d'excellence pour un tourisme durable Créé en 1992 par la Commission européenne, l'Ecolabel garantit un niveau d'exigence élevé en matière de limitation des impacts environnementaux. Les structures doivent répondre à 22 critères obligatoires et 29 critères optionnels portant sur le management environnemental, les économies d'eau et d'énergie, la réduction des déchets, l'usage de produits chimiques, l'encouragement aux mobilités douces et la gestion écologique de l'environnement. Acteur majeur du tourisme durable Vacances passion engage ses villages dans une politique commune en matière de tourisme et de transition écologique. Grâce à cet Ecolabel et à sa démarche accélérée d'écolabellisation sur l’ensemble de ses villages vacances, elle devient aujourd’hui un acteur majeur du tourisme en France respectueux de la protection de l'environnement mais pas uniquement. En effet, en matière de voyages et de séjours éco-responsables, elle rassemble également ses équipes autour de cette dynamique passionnante qu’est l’écologie, véritable enjeu du XXIe siècle, pour sensibiliser ses vacanciers (de plus en plus attentifs) à travers des programmes éducatifs et ateliers ludiques. Spécialiste des vacances en famille, Vacances Passion gère aujourd’hui un réseau de 30 villages vacances et plus de 100 résidences locatives et campings partenaires. Sensible à un tourisme responsable, elle propose au sein de ses villages vacances des expériences inédites et des infrastructures à même de répondre aux exigences nécessaires à notre transition écologique. Des investissements d'avenir importants mais également des mesures éducatives et de sensibilisation pour mieux appréhender l’importance et les enjeux d’un tourisme durable. Des obligations et chantiers pour l'Avenir Les structures de Vacances passion et de la Ligue de l’enseignement, telles que le Manoir du Chambon à Montignac, la Fontaine d'Annibal à Buis-les-Baronnies et Le Château de la Turmelière à Liré Orée d'Anjou, sont parmi les premières à avoir obtenu l'Ecolabel. Au-delà des critères du label européen, Vacances passion a mis en place des actions supplémentaires, telles que la gestion différenciée des espaces verts, l'autonomie en énergie biomasse et des investissements pour le recyclage des mégots. Pour aller encore plus loin dans la préservation de l'environnement, les village Vacances passion s'engagent à répondre aux exigences du décret tertiaire, de la loi Egalim sur l'alimentation et de la loi AEGEC sur les biodéchets. Ces mesures visent à renforcer les rénovations énergétiques, réduire le gaspillage alimentaire et valoriser les déchets biodégradables. Pionnière dans le tourisme durable, l’opérateur Vacances passion continue aujourd’hui d'écrire son histoire dans le respect de l’environnement. Un voyage engagé, porté par une volonté forte de préserver notre planète pour les générations futures. ...

Docndoc : premier réseau de remplacements médicaux par mise en relation directe des médecins

Depuis 2014, une solution digitale a réinventé la recherche de remplacements médicaux, de gardes et d’astreintes. Docndoc rapproche les professionnels de santé de toutes disciplines dont la médecine générale, la radiologie, la psychiatrie, la chirurgie, la neurologie ou la gériatrie autour d’un réseau fiable et réactif. Le défi était de réduire le temps nécessaire à la très engageante et laborieuse démarche pour trouver un remplaçant tout en favorisant la confraternité entre praticiens. Trouver le remplaçant idéal en quelques clics Docndoc est une plate-forme dédiée exclusivement à la recherche d’un remplaçant médical entre médecins et professionnels de santé exerçant en France métropolitaine et dans les DOM/TOM. Conçue pour faciliter et accélérer la mise en relation directe entre praticiens installés et médecins remplaçants, elle fonctionne selon un algorithme interne qui permet de « matcher » une demande à une offre. Une fois inscrit, chaque profil est filtré non seulement sur la base de ses compétences, mais aussi sur sa disponibilité et sur la localisation géographique souhaitée. La gestion de son espace membre est d’autant plus simplifiée en utilisant les outils proposés sur le site : tableau de bord, calendrier et agenda, consultation sans rendez-vous... Ainsi, pour chaque demande postée sur la plate-forme, Docndoc génère en temps réel une liste de médecins remplaçants préqualifiés qui ont répondu à la correspondance spécialité/date/lieu. « Le site ne s’intéresse pas uniquement aux médecins libéraux, mais aussi aux groupes de médecins, cliniques, établissements de santé et centres hospitaliers », explique Pascal Karila-Cohen, la présidente de la société. Il en résulte donc une grande liberté de choix dans la recherche d’un confrère intérimaire grâce à une sélection plus affinée et plus ciblée s’étendant sur le territoire national. Élargir les possibilités en partenariat avec les régions de France L’équipe de Docndoc a comme ambition de transformer la plate-forme en un véritable tremplin à la collaboration et à la succession des médecins. Elle a ainsi imaginé une approche innovante, basée sur des conditions de remplacement attrayantes, pour dynamiser les échanges entre les grandes villes et les zones plus éloignées. Cette stratégie consiste, entre autres, à offrir une formule spéciale au remplaçant lui permettant par exemple de découvrir des activités touristiques, sur le lieu qui lui est proposé par le site, à un prix préférentiel. « Nous avons pensé à une solution qui combine le déplacement à une attractivité territoriale pour inciter les médecins à partir plus loin et à casser le cloisonnement de certaines zones. » Le site incite surtout les jeunes médecins à explorer d’autres régions potentiellement favorables à l’activité médicale. ...

Champagne Autréau de Champillon :
subtil mélange de tradition et de modernité

Les grands crus et les premiers crus Autréau, véritables références, puisent leur élégance, leur finesse et leur bouquet exquis dans cinq terroirs riches de leur typicité. Le chardonnay, le pinot meunier et le pinot noir s’expriment pleinement au travers de cette diversité, conférant ainsi aux cuvées Autréau une belle mosaïque d’arômes et de saveurs. Un engagement qualitatif… C’est au lendemain de la Seconde Guerre mondiale que Gérard Autréau, issu d’une lignée d’artistes et de vignerons, entame l’épopée champenoise que reprendra par la suite son fils Éric. Aujourd’hui, c’est Laurent Autréau qui a repris le flambeau, sous l’œil bienveillant de ses aînés, avec toujours comme objectif de produire des cuvées prestigieuses. Parmi les cuvées ambassadrices de la maison, délectez-vous, lors d’un apéritif, du Brut Premier Cru, un assemblage harmonieux des trois cépages champenois se distinguant par sa note fruitée et sa texture agréable procurant une subtile longueur en bouche. Accompagnez vos instants gourmands et raffinés de la cuvée 1670 Grand Cru, un hommage au fait que « l’on a retrouvé le nom d’Autréau dans le village de Champillon jusqu’en 1670 », selon Laurent. Le meilleur du pinot noir et du chardonnay a contribué à créer ce champagne expressif au nez élégant et à la bouche somptueuse. … dans le respect du terroir et des traditions « Nous travaillons en famille en tenant compte des contraintes environnementales et en pratiquant une viticulture raisonnée », explique Laurent. Cet volonté de préserver l’environnement qui nous entoure se traduit concrètement par 2 certifications récemment obtenues : la certification HVE (Hautes Valeurs Environnementales) et la certification Viticulture Durable. Outre ce respect profond pour l’environnement, la Maison Autréau produit des champagnes présents sur les meilleures tables, « en travaillant avec les matériaux et techniques d’aujourd’hui tout en respectant les traditions champenoises », conclut-il. ...

Cave de Tain l’Hermitage  : ambassadrice des grands crus de la vallée du Rhône

Fleuron de la coopération viticole de sa région, la Cave de Tain, idéalement située entre Valence et Lyon, jouit aujourd’hui d’une notoriété largement acquise dans le monde des vins. Située en plein cœur du vignoble historique des Côtes-du-Rhône septentrionales, elle contribue à valoriser un héritage gourmand, véritable fierté de vignerons passionnés et au savoir-faire unique depuis 1933. Le vignoble, étalé sur des zones d’appellations de renom de la vallée du Rhône septentrionale, se veut être une terre d’expression pour des cuvées aux multiples facettes portant chacune la signature de terroirs d’exception. Regroupant 300 vignerons, la Cave de Tain produit des cuvées issues de cinq appellations ancrées de part et d’autre du Rhône, à savoir Saint-Péray, Hermitage, Saint-Joseph, Cornas et Crozes-Hermitage.   Terres de Syrah, le pôle œnotourisme de la Cave de Tain l’Hermitage Fondé en 2016, ce pôle œnotourisme accueille les amoureux du vin, au travers de nombreux événements, toute l’année. Le programme est riche et ceux qui souhaitent en savoir plus sur la Cave, son vignoble et ses vins sont comblés : cours de dégustation, balades, circuits de visites, animations… • Visites de la Cave et des chais haut de gamme de vinification et d’élevage suivies d’une dégustation, en six formules, joliment nommées de Terres de découverte à Terres mythiques d’Hermitage… À partir de dix personnes. • Plusieurs balades en Hermitage ou Saint-Joseph à la découverte des vignobles : à pied, en gyropode, en vélo électrique ou en buggy avec une dégustation de vins et produits du terroir. • Des cours d’initiation à la dégustation ou des dégustations thématiques au fief de Gambert, lieu de séminaire et de dégustation au pied de la colline de l’Hermitage, sont programmés régulièrement durant l’année, tels Vins d'hiver, Syrah Haute Couture, Bulles de fêtes, Saint-Valentin, vin et chocolat, soirée Wine & BBQ l’été, etc.  • Des journées packagées pour les groupes en partenariat avec d’autres sites touristiques locaux (tels que la cité du chocolat Valrhona, le Petit Train des vignes ou le musée de la Céramique à Saint-Uze) ; ou sur des thématiques bien-être pour les individuels.  • Des animations œnologiques lors d’événements privés ou professionnels. • La location du fief de Gambert, l’ancienne maison de maître du fondateur de la Cave, pour les séminaires d’entreprise. ...

La Maison de Brian :
« par l’art, s’ouvrir à l’autre, construire des amitiés »

Depuis 2005, Martine Cazin expose ses œuvres parmi celles d’autres artistes dans la Maison de Brian. Cette dernière lui a été léguée par Brian Featherstone, son compagnon. Outre ses métiers de traducteur aux Nations Unies, écrivain et berger, cet anglais amoureux de la France était connu au village de Simiane-la-Rotonde : il participait activement à la défense et au renouveau du village. Une galerie d’art atypique La Maison de Brian est une maison du 16ème siècle, très connue dans le village de Simiane-la-Rotonde grâce à la place que tenait Brian Featherstone dans la communauté. Les matériaux bruts tels que les poutres en bois et les murs de pierres reflètent l’authenticité de cette demeure, typique des villages de Haute-Provence. Une galerie d’art contemporain occupe la moitié de la maison. Elle reçoit de fin avril à fin août quatre expositions temporaires, soit une par mois.  L’esprit de la Maison de Brian s’écarte un peu des idées reçues sur les galeries d’art. Aucune description ne saurait être plus explicite que celle de la propriétaire : « le concept de départ consiste à montrer des œuvres dans une vraie maison habitée, dans les mêmes conditions que chez les gens qui vont les acheter. » Le fait d’être aménagée dans une maison habitée rend la galerie plus vivante et plus naturelle. L’art y fait partie du quotidien, les œuvres bénéficient simplement d’un éclairage adapté. L’exigence d’une artiste Au départ La Maison de Brian, qui est une association loi de 1901, privilégiait les artistes de la région. Mais avec douze années d’existence, elle s’est ouverte à d’autres régions et à Paris. Martine Cazin et ses amis restent toutefois à l’affut des nouveaux talents qui pourraient exposer dans sa galerie. Elle-même, plasticienne et ancienne céramiste aime faire découvrir de nouveaux artistes. Sa curiosité l’emmène souvent dans les expositions de groupe et salons. Sa galerie étant bien connue, beaucoup d’artistes lui adressent des dossiers de candidature. Tout en garantissant le professionnalisme des artistes qu’elle choisit, Martine Cazin agit généralement sur un coup de cœur : « mon choix reste extrêmement subjectif, je me fie à mon propre goût » déclare-t-elle. Trois facteurs peuvent influer son choix. D’abord, elle part du principe que l’art doit être accessible, ce qui met déjà au second plan les œuvres hors de prix. Elle se base ensuite sur sa sensibilité personnelle.  Enfin, Martine Cazin pense qu’un art a plus de sens en coexistant avec d’autres. Elle s’aventure donc à chaque fois à marier les œuvres de deux ou trois artistes qui pratiquent des disciplines différentes, par exemple un peintre et un sculpteur. Cela donne un sens à l’ensemble et provoque un sentiment supplémentaire chez le public. Programme 2016 La Maison de Brian a quatre expositions en perspective cette année. Martine Cazin met particulièrement en focus celle du 2 au 31 juillet associant Edmée Delsol et Alexandre Hollan. La première est une Parisienne qui a étudié la peinture et la sculpture aux Beaux-Arts de Paris, elle est connue pour l’association de la pâte de verre au raku. Le second, d'origine Hongroise, qui a développé une carrière de peintre en France : les arbres et les « vies silencieuses » sont ses thèmes de travail. ...

Une équipe de professionnels pour accompagner les futurs coachs

Une école reconnue et une formation de haut niveau Reconnue par l’État, Espace Transitions dispense des formations inscrites au Registre national des certifications professionnelles. Gage de qualité s’il en est, cette inscription au RNCP atteste du fait que la formation est adaptée au marché de l’emploi. Et qu’elle débouche sur un métier. Celui de coach professionnel, en l’occurrence. « Parmi nos élèves, certains envisagent une reconversion professionnelle. D’autres sont des cadres ou des managers qui, s’ils n’ont pas l’intention de quitter leurs fonctions, souhaitent changer de posture et modifier leur manière d’encadrer leurs équipes. D’autres sont consultants, travaillent dans les RH ou viennent de cabinets de bilan de compétences et souhaitent se doter d’une démarche d’accompagnement car ils ont compris qu’acquérir une posture de coach constituait une complémentarité appréciable. Nous comptons aussi parmi nos élèves des personnes de tous âges qui veulent mettre l’expérience professionnelle qu’elles ont acquise au service des autres et monter leur propre activité. Certains souhaitent disposer de revenus complémentaires à la retraite ou en complément de leur emploi. » Accompagner les transitions L’une des spécificités d’Espace Transitions réside dans l’importance accordée à l’accompagnement des futurs coachs. « Nous permettons aux stagiaires de vivre leur propre mutation tout en apprenant le métier de coach et en découvrant leur singularité. Et c’est parce qu’ils ont vécu cette mutation que les coachs peuvent accompagner leurs clients. » C’est un métier en plein essor qui demande des professionnels possédant une véritable expertise d’accompagnement. En clair, si le coaching s’inscrit dans une « relation d’accompagnement qui permet à la personne accompagnée d’explorer son potentiel et de développer ses ressources, tant personnelles que professionnelles », on pourrait en dire tout autant de la formation au coaching. « Réaliser sa propre transformation nécessite de réaliser un gros travail sur soi. » D’où l’importance d’un accompagnement attentif, bienveillant et de qualité. « Nous aidons nos élèves à travailler sur leur propre transition, mais aussi à  élaborer un projet de vie professionnel adapté à leurs attentes. »  Un projet professionnel structuré « En quittant l’école, à l’issue de leur formation, nos coachs disposent d’une formation solide. Ils auront également mûri un projet professionnel structuré, sur mesure, affiné en fonction de leur expérience, de leurs envies et de leurs priorités », insiste Maud Poitevin. Ils mènent de nombreuses expérimentations telles que le « co-coaching » entre pairs, des missions de coaching supervisées, ils sont tutorés… Cela leur permet de définir leurs spécificités : les clients qu’ils cibleront en priorité, par exemple, du coaching individuel ou collectif, coaching de vie ou professionnel, coaching stratégique ou de dirigeants. Certains pourront alors choisir de travailler avec des personnes souffrant d’un handicap, de coacher à l’aide de chevaux. D’autres accompagnent en marchant ou utilisent le « nez de clown ». Et il y en a qui créent leur propre méthodologie.  Développer « l’écoute profonde » de l’autre Dans le cadre de leur formation, les futurs coachs apprennent à développer une vraie qualité de relation à l’autre. C’est une autre singularité de l’école. « Nous mettons l’accent sur “l’écoute profonde” de soi et de l’autre. Cette notion de “pleine présence” est essentielle à nos yeux. Nous la travaillons par le biais, notamment, d’exercices de respiration et de méditation. Car c’est en étant présent à soi-même que l’on pourra l’être pour son interlocuteur. Et pour cela, il est important que ce que l’on pense, ce que l’on sent et ce que l’on ressent soient parfaitement align&e...

Alpes Méditerranée Charpente :
une entreprise exclusivement dédiée au bois à Saint-Crépin

Le bois à l’honneur Tout comme son slogan « Vivre avec le bois » l’indique, AMC utilise principalement du bois (mélèze, douglas, sapin) pour construire ses maisons bioclimatiques et à basse consommation énergétique. Elle assure ainsi le dynamisme de l’économie de la filière bois dans la région PACA et inscrit ses activités dans le développement durable de la forêt. Outre les constructions neuves, l’entreprise intervient aussi dans la rénovation, la réhabilitation ou la restauration des bâtiments anciens. Une entreprise grandissante et de plus en plus autonome Gérée par Franck FAURE-BRAC, l’AMC ne cesse de s’agrandir depuis qu’elle a vu le jour en 1989. Elle compte aujourd’hui 40 salariés dont 2 personnes au bureau d'études, 3 conducteurs de travaux et 3 personnes dans l'administration. L’AMC a également accumulé, au fil des ans, une large clientèle composée de particuliers, de professionnels, de collectivités publiques et privées. Elle couvre actuellement près de 6 départements : les Alpes-de-Haute-Provence, les Hautes-Alpes, les Alpes-Maritimes, les Bouches-du-Rhône, le Var et même l’Isère. Vos projets de A à Z Référence dans son domaine d’activités, AMC prend en charge toutes les étapes de la réalisation des bâtiments. Elle dispose, en effet, d’une « Speed Cut » pour découper le bois avec une précision au 5/10e  de millimètre. L’entreprise n’a donc pas besoin de faire de la sous-traitance pour effectuer la découpe ou l'usinage des éléments en bois sur-mesure. Du coup, les clients s’adressent à un seul interlocuteur, ce qui leur permet de gagner du temps tout en faisant des économies. ...

Les Rosiers :
une cuisine exclusive à quatre mains sur la côte basque

Discrètement lovée sur les hauteurs de Biarritz, la demeure blanche aux volets rouge vif donne du pétillant et de la dynamique à ce quartier calme. C’est bel et bien à cet endroit que le couple Rosier exerce sa passion depuis 2008. Elle, meilleure ouvrière de France ; lui, grand chef passionné. Ensemble, ils relèvent avec brio le pari de proposer une cuisine gastronomique qui plaît pour sa constance et sa simplicité. Une cuisine à quatre mains, harmonieuse, où chacun des chefs met en valeur les produits qui lui tiennent à cœur, en veillant à leur laisser leur plus belle expression. Bienvenue au restaurant Les Rosiers. Meilleure ouvrière de France Le choix de ces volets rouges n’est pas le fruit du hasard. Car, après un détour vers la maison familiale de la chef, on sait d’où vient l’idée. En réalité, tout cet amour qu’elle voue pour la cuisine, Andrée Rosier la doit à ses parents, notamment à sa mère qui se plait à travailler les produits du terroir pour concocter des plats typiques du Pays basque. Après avoir effectué une formation hôtelière à Biarritz, en 1994, elle fait ses débuts dans le milieu professionnel à titre de commis au sein de la Villa Eugénie de l’Hôtel du palais de Biarritz. Le destin a voulu qu’elle y rencontre l’homme qui deviendra son époux : Stéphane Rosier. Grâce à son talent, ce grand gaillard à lunettes séduit les plus grandes maisons, dont l’Hôtel du palais où il exerce en tant que 1er sous-chef de cuisine durant 4 ans. Il a également exercé dans le célèbre restaurant 2 étoiles La Chèvre d’or, à Eze. En 2007, c’est la consécration pour Andrée Rosier certes, mais aussi pour son époux qui n’a cessé de l’épauler. Elle est la première femme à obtenir le titre de meilleure ouvrière de France. Ce défi relevé, elle s’en fixe un nouveau : ouvrir son propre établissement. De là est né Les Rosiers. Quand la simplicité s’allie à la perfection Le couple Rosier concocte une cuisine gastronomique concrétisée dans le respect des traditions culinaires régionales et qui fait totalement honneur à sa distinction. Car n’oublions pas que, en 2009, l’établissement a reçu la prestigieuse étoile au Guide Michelin. Chaque matin, Andrée et Stéphane se rendent ensemble au marché pour trouver les produits qu’ils sublimeront le midi. Parmi les plats à ne manquer sous aucun prétexte : ce succulent crabe en fine gelée de crustacées, caramel de fenouil et pomme verte, que l’on sert en entrée. En plat principal : une belle assiette de filets de rougets cuits à l’unilatéral, daube de cochon et châtaigne en crépinette, frites de polenta, sauce vin rouge. En bouquet final : un moelleux au chocolat, glace crémeuse au gingembre, écume de lait à l’huile de cacahuète. Vos palais n’en reviendront pas. Le duo Rosier possède une technique et une maitrise imparables, qui lui permettent de mettre en valeur le produit brut, sans jamais le dénaturer. Toutes ces belles propositions culinaires sont rehaussées par une carte des vins éclectique, suggérée par le maitre d’hôtel, Pierre Ransinangue. ...

Le restaurant La Pergola : délices du palais au cœur des Pyrénées

Proposant une cuisine typiquement française inspirée des traditions gastronomiques de la région, cet établissement est le rendez-vous incontournable des fins gourmets. Dans une ambiance sympathique rappelant les anciennes auberges à l’accueil chaleureux, le chef et son équipe concoctent les meilleurs plats à base de produits du terroir. Une table d’exception dans un cadre authentique Travaillant directement avec les producteurs locaux, la maison Pergola donne la priorité aux produits frais de la région afin d’élaborer des menus aux plats authentiques. Avec une carte riche et alléchante dès le premier abord, cette table se veut être l'un des pionniers de la cuisine de qualité. Le cadre agréable et cosy des deux salles du restaurant, dotées de charmantes cheminées appelant à la convivialité, confère aux lieux une ambiance authentiquement basque. Une décoration simple mais élégante des tables, la qualité des services, et la possibilité de se restaurer sous l’ombre d’une belle terrasse : autant d’attributs qui en font une table d’exception. « Une cuisine traditionnelle revisitée » Ces propos de Jean-Marie Mir, gérant de l’établissement, mettent l’accent sur son attachement aux valeurs culinaires artisanales que le restaurant souhaite véhiculer. Parmi les plats signature que les hôtes affectionnent particulièrement se trouve l’opéra au noir de Bigorre et foie gras, ponctué d’un pain perdu, ananas poêlé à la coriandre ; tout cela accompagné d’un vin issu de la cave éclectique du restaurant. Cette cave, composée de grands crus provenant de toute la France, privilégie les vins d’exception, pour ne citer que les Bordeaux. ...

Maîtres Goxe et Belaïsch vous invitent à l’Hôtel des Ventes d’Enghien

Maîtres Isabelle Goxe et Laurent Belaïsch sont des commissaires priseurs spécialisés dans l’expertise et la vente d’objets d’art, entre autres les meubles, les tableaux, les pièces de monnaie, les vins et alcools, les bijoux, les arts de la table et les accessoires de mode. Grâce à leur expérience, ils vous offrent les meilleures garanties sur le marché de l’art international, y compris français. A l’Hôtel des Ventes d’Enghien en plein cœur de la ville, ils vous proposent un dimanche de chaque mois, une vente cataloguée de bijoux et d’orfèvrerie et également une vente cataloguée de tableaux, objets d'art et mobilier. Des ventes générales classiques ont lieu le jeudi, des ventes thématiques une fois par trimestre. Si vous pensez détenir des objets de valeur, vous pouvez les faire expertiser par Maîtres Goxe et Belaïsch en vous rendant à l’Hôtel des ventes d’Enghien ou 3 boulevard Arago à Paris. Ils se feront un plaisir de vous donner gracieusement une estimation orale de ceux-ci. Les objets peuvent aussi y être déposés en vue de leurs ventes. Vente du 21 janvier 2018 : Succession John et Ruth Christoforou Lors de cette l’exposition-vente, vous aurez une occasion unique de découvrir environ 160 œuvres réalisées par John Christoforou, ce célèbre peintre expressionniste français. Mais aussi son chevalet de peintre, torturé et déchiqueté, en cohérence avec ses œuvres et un grand nombre de documents préparatoires ou accessoires à son travail. Dans ses toiles apparaissent presque exclusivement des figures, des masques et des totems primitifs, traités en grands cernes noirs qui limitent les éléments de la composition. La violence dans les thèmes abordés et la puissance de sa matière picturale caractérisent ses œuvres. Se dégage de ses toiles souvent très vastes, parfois jusqu’à 3 m de long, la nécessité intérieure de l'artiste à travers la vision d'un monde qui n'a rien de malsain ou de morbide. Vente de 28 janvier 2018 : Lingots et Monnaies d’or, Beaux Bijoux et Orfèvrerie 240 lots avec des lingots et monnaies d'or, de beaux bijoux certains signés STERLÉ, CARTIER, BOUCHERON, MAUBOUSSIN, des montres bracelets et goussets, de l’orfèvrerie des XVIIIe, XIXe et XXe siècles seront mis en vente lors de cette séance. ...

Made in France Box : des délices sucrés-salés aux saveurs de la France

À travers des produits de qualité qui mettent à l’honneur le savoir-faire de petits producteurs, Made in France Box reflète, dans les moindres détails, toute l’authenticité de la cuisine française. Ce concept innovant a vite fait de faire parler de lui avec, comme principe, de dénicher à la source le meilleur du terroir et le faire découvrir au plus grand nombre. Le meilleur du terroir livré chez vous Présentée dans un package de carton luisant, simple à offrir et peu encombrant, une box contient huit variétés de produits d’une région qui peuvent varier selon la disponibilité. Le pack renferme, notamment, un livret justifiant du choix de la sélection avec une présentation de chaque produit et l’histoire de chaque producteur ainsi que des idées de recettes exclusives. Parmi les box les plus prisées, figurent les box à fort terroir, comme le confit d’oignon rose au miel et chouchen de la box Bretagne ou aussi le caramel de pommes dieppois au beurre salé de Jean-Pierre Roussel, qui est l'un des produits de la box Normandie. Un mois, une région       Made in France Box porte haut le flambeau de la cuisine française et permet de découvrir et de retrouver des saveurs longtemps oubliées qui mettent chaque mois l’accent sur une région différente. Recevoir régulièrement chez soi d’authentiques produits du terroir n’est pas un luxe réservé à une clientèle restreinte. Aujourd’hui, chacun a la possibilité d’accéder au produit à peu près partout dans le monde. Grâce à un simple abonnement sur le site, la France vient à vous le plus simplement du monde, dans votre boîte aux lettres comme une lettre à la poste.  ...

Le Domaine de La Cavellerie

Située près des plages de la Côte fleurie, en Pays d’Auge, La Cavellerie est une propriété cidricole de 50 hectares, dont 40 % sont couverts de pommiers de différentes variétés. Son propriétaire Gontran Dondain est également propriétaire du Mas Roc de Bô, en Minervois, et du Château Cabezac.   Les pommes du Père Gontran Le domaine de La Cavellerie est constitué d’un verger de 20 hectares sur lequel se développent 26 variétés différentes de pommiers dites de hautes tiges et adaptées à la fabrication de cidre et de calvados. Les pommes livrent des saveurs douces, amères, aigres et douces-amères. Parmi les plus connues et les plus représentatives du Pays d’Auge, il y a la Fréquin Rouge, la Rambault, la Moulin à Vent, la Cimetière de Blangy, la Marie Ménard ou la Douce Coët Ligné. Variant selon les caprices météorologiques, la récolte se fait au plus tôt à la mi-octobre et au plus tard vers fin novembre, avec un tonnage pouvant aller de 80 à 150 tonnes. Ce rendement est doublé lorsque les pommiers de La Cavellerie atteigneront leur pleine maturité d’ici à quelques années.   De la pomme au cidre Après leur récolte, les pommes sont d’abord stockées plusieurs jours afin qu’elles puissent développer leur degré en sucre, nécessaire à la bonne teneur en alcool. Elles passent ensuite par la laveuse avant d’être réduites en morceaux par une broyeuse. La répartition des morceaux obtenus sur la machine à presse est la seule étape où le travail manuel est nécessaire. Enveloppée de toiles de jute, cette presse classique garantit la douceur et la constance du jus obtenu sans en altérer la qualité. Finalement, après 3 mois passés dans des cuves de fermentation, le jus de pommes est transformé en cidre. Il faut remarquer qu’à la Cavellerie cette étape de fermentation s’effectue selon les méthodes traditionnelles, avec fermentation et prise de mousse naturelle. Une partie du cidre obtenu est conditionnée et mise en bouteilles sous le doux nom de « Père Gontran Cidre Brut » en appellation AOC Pays d’Auge. Ce cidre possède un caractère fruité et généreux et accompagne à merveille les plats traditionnels comme le lapin au cidre ou le poulet vallée d’Auge.  Quant au reste de la production, elle doit encore suivre quelques étapes de transformation avant de devenir un produit plus noble, typique du Pays d’Auge.   Du cidre au calvados Le calvados s’obtient après une double distillation du cidre. Mais, avant, le cidre doit encore patienter 6 mois en cuve. Vers le mois de juin ou de juillet survient la première distillation dont est issu un produit dit « petite eau » ou « bouillis », qui deviendra le calvados. Celui-ci est alors élevé en futs de chêne, dans un chai de vieillissement, durant 3 ans au minimum avant d’être mis en bouteille. À 3 ans, un calvados sera dit « fin » ; à 4 ans, « réserve » ; à 5 ans, « vieille réserve » ; à 6 ans, « VSOP » ; et à partir de 7 ans, il est appelé « hors d’âge ».  La collection de calvados de La Cavellerie se décline en 8 cuvées en appellation AOC Pays d’Auge, classées selon leur âge, dont les plus fameuses sont le « Père Gontran Fine » de 3 ans, se caractérisant par des arômes de pommes fraiches et de fruits rouges et élaboré avec une seule cuvée. Autre produit incontournable : le « Père Gontran hors d’âge 7 ans », élaboré avec une seule cuvée et livrant un nez vif et puissant aux notes boisées et fruitées. Le « Père Gontran hors d’âge 24 ans », assemblage des millésimes 1989 et 1991 aux notes végétales puis boisées et caramélisées, figure, quant à lui, au panthéon des meilleurs produits du domaine. ...

À la rentrée 2017, le CFA des métiers du travail social et médico-social s'ouvre aux métiers du secteur sanitaire

La formation au diplôme d'État d'infirmier par l'apprentissage était jusque-là, pour des raisons historiques, rattachée au CFA du Campus des Métiers de Joué-lès-Tours. En transférant ce diplôme au CFA SMS Centre-Val de Loire, l'intégration du sanitaire et du social prend tout son sens, conformément aux souhaits de la Branche associative, sanitaire, sociale et médico-sociale à but non lucratif (BASS), qui labellise un CFA sanitaire et social par région. Une offre de formation ajustée pour les cinq ans à venir Dans le cadre du renouvellement conventionnel, chaque CFA s'engage avec la Région Centre-Val de Loire pour la période 2017-2022. C'est l'occasion de faire le point sur l'offre de formation, en la redéfinissant, en l'adaptant en fonction des besoins sur les territoires. Une meilleure articulation avec le médico-social ne peut être que bienvenue, car la frontière est souvent ténue entre les besoins sur le plan strictement sanitaire et la prise en compte des problématiques concernant les personnes âgées dépendantes, l'aide à domicile ou le handicap. Devenir infirmier par l'apprentissage C'est possible depuis 2010, mais cette voie d'accès au diplôme d'État n'est pas assez connue. Compte tenu de la durée des études (trois ans) et des 1 800 heures de cours magistraux et travaux dirigés, la formation en apprentissage est actuellement centrée sur la troisième année du cursus. ...

Split coworking : un espace de rencontre et de collaboration unique

Situé dans le XVIIIe arrondissement de Paris, Split coworking dispose d’un espace de 230 m2, entièrement mis à la disposition des coworkers pour assurer leur épanouissement tant au niveau personnel que professionnel. La communauté Split coworking Split coworking est un espace authentique qui rassemble en un même lieu des professionnels évoluant dans différents secteurs. Aujourd’hui, la communauté au sein de cet espace de coworking réunit des agences indépendantes à taille humaine (55 %), des startuppers (35 %) ainsi que des indépendants issus de divers horizons (10 %). En choisissant Split coworking, tous ces acteurs profitent d’un lieu unique qui leur permet de travailler dans les meilleures conditions possibles, et cela à moindre coût. Chez Split coworking, l’organisation du lieu répond à un but unique : favoriser les échanges ! À l’instar de ces bureaux partagés où les coworkers peuvent bénéficier d’un bel espace idéalement agencé. Parallèlement, des déjeuners ou des apéros sont souvent organisés afin de créer des liens entre les coworkers. « Cela rajoute une dimension humaine à ce coworking », souligne Freddy Cimper, le fondateur de Split. Des offres flexibles Avec Split coworking, les professionnels profitent d’une grande liberté. En effet, les formules proposées ont l’avantage de ne présenter ni contrainte ni engagement. Chez Split coworking, le confort est le maître mot. Chaque collaborateur doit pouvoir disposer d’un poste de travail confortable où il pourra travailler à son aise. Split coworking suggère différentes offres à ses clients. Cependant, quelle que soit la formule choisie, une connexion Internet (par câble ou wi-fi), l’accès à un espace détente ainsi qu’aux deux salles de réunion sont inclus dans chaque prestation. Les salles en question font respectivement 30 m² (pour 12 personnes) et 10 m² (pour 5 personnes). Elles disposent d’un équipement moderne (vidéoprojecteur, imprimante et écran de projection). En plus de ces offres, des compléments peuvent aussi être suggérés.  ...

La filière oléicole de Corse : des hommes attachés à la sauvegarde de leur patrimoine et à la valorisation de l’Oliu di Corsica

En Corse, des oliviers depuis toujours… La Corse, terre méditerranéenne par excellence, héberge l’olivier depuis la nuit des temps.  L’île offre des conditions climatiques optimales pour la culture de l'olivier; les arbres s'y développent parfois jusqu’à des hauteurs de 20 mètres. Ils ont bâti des troncs vénérables, certains depuis plus de 2000 ans…  Des monuments végétaux vivants, véritable patrimoine culturel! Un patrimoine à entretenir et à préserver, du feu en particulier depuis toujours... et de la redoutable bactérie Xylella fastidiosa aujourd’hui. L’AOP, un gage de qualité Obtenue en 2004, l’Appellation d’Origine Contrôlée (devenue Appellation d’Origine Protégée en 2007) est ainsi venue récompenser le travail collectif d’une cinquantaine de récoltants passionnés et attachés à la sauvegarde du patrimoine oléicole insulaire, ainsi qu’à la valorisation de leur huile d’olive. Un signe officiel de qualité qui garantit, entre autres, l’origine - corse - des olives et leur lieu de trituration - la Corse - et récompense la tradition oléicole corse et le savoir-faire de ses hommes. Une belle couleur or brillant caractérise l’Huile d’Olive de Corse- Oliu di Corsica AOP. Elle est produite exclusivement à partir de variétés locales : Sabina, Ghjermana di Casinca, Zinzala, Capanace, Ghjermana d’Alta Rocca (ou di Tallano), Curtinese. Les olives sont cueillies noires, c’est-à-dire à maturité des fruits. Elles perdent ainsi en amertume et piquant et dégagent subtilement les parfums du maquis corse. Selon la variété et le terroir, des nuances aromatiques s’ajoutent à l’arôme du fruit mûr. Chaque lot d’Huile d’Olive de Corse - Oliu di Corsica AOP est dégusté avant la mise en marché par un jury d’experts afin de vérifier l’absence de défauts et le respect de la typicité. Il s’agit d’une disposition unique pour le contrôle d’un produit en  AOP, garantie supplémentaire pour le consommateur. L’Huile d’Olive de Corse - Oliu di Corsica AOP est toujours produite en petite quantité, avec un savoir-faire ancestral associé aux méthodes de production les plus modernes. Sa rareté et sa qualité en font un produit d’exception. « Récolte sur l’arbre » et « Récolte à l’ancienne » pour des saveurs différentes Ce sont principalement les modes de récolte qui influent sur les arômes de l’huile : L’Huile d’Olive de Corse – Oliu di Corsica AOP se décline en une double gamme afin de permettre au consommateur de différencier les huiles les plus « douces » des plus « fraiches » :  Les olives récoltées sur l’arbre, par action mécanique,  avant qu’elles ne chutent, donnent en effet une huile  « fraîche », relevée d’une pointe d’ardence et d’amertume, aux arômes d’amande, d’artichaut ou de pomme. Les olives récoltées à l’ancienne, par chute naturelle sur filets, à surmaturité, offrent quant à elles une huile aux arômes « confits » d’olive noire, de fruits secs ou de fleurs du maquis. C’est une huile à la saveur très douce, exempte d’amertume et de piquant.  Si l’Huile d’Olive de Corse AOP « Récolte à l’ancienne » accommode particulièrement bien les plats chauds tels que viandes et poissons grillés ou purées de pommes de terre, l’Huile d’Olive de Corse AOP « Récolte sur l’arbre »  dévoile tous ses arômes en accompagnement de salades ou de mets froids.  Les bouteilles d’Huile d’Olive de Corse – Oliu di Corsica AOP portent un « macaron » pour les identifier dans l’une ou l’autre gamme.   La mise en place d’une filière locale de plants d’oliviers certifiés Face à la menace représentée par la bactérie Xylella Fastidiosa sur le verger oléicole de Corse, le syndicat AOC Oliu di Corsica met en place une filière locale de plants d’oliviers certifiés.&nbs...

Château du Raux :
le rubis des tables raffinées

L’exploitation viticole du Château du Raux est une propriété de 30 hectares, comprenant une belle maison de XVIIIe siècle et un vignoble groupé autour des bâtiments. Elle est située à proximité de la Gironde, dans la commune de Cussac-Fort-Médoc, entre Pauillac et Margaux. La maison est réputée pour son Cru Bourgeois, médaillé à plusieurs reprises, issu de ce domaine familial transmis de génération en génération depuis 1879.   Un sol béni de Dionysos Le champ viticole de la maison s’étend sur 20 hectares, dans la commune de Cussac-Fort-Médoc. Il appartient à Patrick Bernard et à sa famille depuis des générations. Leur vigne, renouvelée au fil des ans, est vieille d’un quart de siècle. À cet âge idéal, les récoltes sont moins abondantes, mais elles donnent des grappes de raisin plus concentrées. Ce sont ces vieilles vignes qui contribuent à produire les meilleurs vins. Bénéficiant d’un sol sablo-graveleux d’excellente qualité et pauvre en minéraux sur un mètre de profondeur, leur terre favorise la lente croissance de la vigne, tandis que le sous-sol en argile assure une alimentation hydrique régulière. Une telle combinaison donne des vins rouges d’exception, aux arômes puissants, à la fois complexes et persistants. Le climat bordelais, en outre, offre les conditions nécessaires pour parfaire cette entreprise familiale : du soleil, un vent d’automne, un hiver sans gelées et un printemps relativement humide. Ce cadeau de la nature, associé à un grand professionnalisme, est garant de la grande qualité de chaque millésime du Château du Raux.   Des millésimes d’exception Le vin du Château du Raux bénéficie du climat chaud de la région, avec une bonne répartition des précipitations et une période sèche propice à la vendange. Le merlot et le cabernet-sauvignon, cépages traditionnels en Haut-Médoc, expliquent la belle couleur intense, la puissance, l’élégance et la souplesse présentes dans tous ses millésimes. Le millésime 2013, en l’occurrence, se démarque par la richesse de ses arômes. Le nez est marqué par des notes épicées de type clou de girofle, des notes boisées, sous forme vanillée. Le soupçon de fruits mûrs et de notes boisées qui attisent la gourmandise est également présent dans le millésime 2012. Son attaque puissante reste, cependant, son atout vu qu’elle promet un grand potentiel de garde. Quant aux papilles adeptes des bouches rondes et souples, le millésime 2011 est un excellent choix. Peu ouvert, à la structure fine, aux tanins souples et aux arômes discrets, ce vin séduit par sa rondeur et sa souplesse. Il figure dans « Bordeaux, le millésime 2011 » de Jacques Dupont (Le Point, mai 2012), qui lui a attribué la note 14. Le même auteur a également donné la même note à son cadet, le millésime 2010, dans « Bordeaux, le millésime 2010 » (Le Point, mai 2011). Le millésime 2010 partage la même bouche tendre et légère que son aîné, mais se distingue par son arôme de cassis. ...

Coding Days : la programmation web à la portée des néophytes

L’histoire de Coding Days a commencé lorsque Alexandre Zana, un étudiant en école de commerce, a décidé un jour d’apprendre à coder. En effet, il avait beaucoup de mal à formuler ses besoins et à communiquer avec des développeurs, l’obligeant à mettre en place lui-même ses projets. C’est à travers cette expérience qu’il se passionne pour la programmation et qu'il apprend le code informatique de façon autodidacte. La suite ? Il souhaite aller plus loin et décide de se rendre chez Makers Academy, à Londres, pour une formation intensive au code pendant 12 semaines, avant de revenir en France et fonder la start-up, début 2017. Cette expérience chez Makers Academy était l’une des plus belles de sa vie, après Coding Days ;-).   Faire ses premiers pas dans le code « Notre philosophie n’est pas de former des développeurs ou experts en code, mais de former des compreneurs, des gens qui sont capables d’assimiler le code et ses enjeux », explique, explique Émilie Rehmann, responsable marketing. En d’autres termes, le concept vise à démocratiser le développement web et à le rendre ainsi accessible au plus grand nombre. La start-up cible un public débutant très large : chef de projet marketing en entreprise, entrepreneurs et intrapreneurs qui veulent booster leurs business, simple étudiant à la recherche d’une compétence supplémentaire, ou designer qui souhaite créer son propre site internet. Coding Days forme notamment celles et ceux qui exercent des professions libérales et qui ont un réel besoin relatif à leur site internet, mais qui n’ont pas les compétences techniques appropriées. L’objectif ? Parler le langage web pour mieux comprendre l’univers de la programmation. « Armés d’un bagage technique, ils seront capables de trouver les bons mots pour mieux s’exprimer et faire évoluer leur projet personnel. » À l’issue de la formation, les apprenants peuvent déchiffrer les jargons utilisés dans ce domaine (client, serveur, hébergement, langage, notions HTML5 et CSS3, frameworks, bibliothèques, Front-End et Back-End, etc.) et repartent même avec leur propre site web à l’issue de la formation d’une semaine. Les formateurs de Coding Days interviennent également dans des écoles de commerce telles que l'EM Normandie, l’ISCOM, l’ESD ou encore Audencia Nantes. Ils forment aussi des étudiants d'écoles de communication, de journalisme et de design qui s’intéressent de plus en plus au monde digital et aux nouvelles technologies. Déjà établie à Paris et donnant également des cours à Londres, la startup poursuit sa conquête de l’Europe et donnera prochainement des formations à Madrid. Une pédagogie active En se lançant dans cette aventure, les fondateurs de Coding Days et l’équipe pédagogique ont développé une pédagogie innovante inspirée des méthodes Montessori, de la pédagogie inversée ou encore de l’intelligence collective qui requiert beaucoup de pratique. « Notre propre méthodologie est ce qui nous permet justement de nous adresser à des personnes vraiment novices dans la programmation web.» Il poursuit en insistant sur l’importance de la pédagogie au sein des formations de Coding Days : « Ce n’est pas la même chose d’apprendre à coder et d’apprendre à comprendre le code. La pédagogie n’a rien à voir. » déclare Alexandre Zana.  En parallèle, l’équipe collabore avec une vingtaine de mentors (développeurs full-stack, CEO, growth hackers, data scientists, experts en cyber-sécurité, etc.) qui sont des experts, passionnés par la pédagogie issus des start-up françaises ou des groupes internationaux. Un mentor est dédié à chaque groupe de cinq personnes (1 pour 3 durant la semaine pour créer son site) et aura comme mission de cadrer l’échange et de favoriser l’interaction pendant les séances de challenge. De leur côté, les participants, autrement appelés les « Explorers » travaillent chacun sur leur site internet personnel à partir de la plate-forme E-learning conçue par Coding Days pour booster l’imagination tout en stimulant l’apprentissage. Plutô...

Stempfer, toute la grandeur et l’authenticité du vin alsacien

Gérant de l’entreprise Stempfer Richard et fils, Yves Stempfer est viticulteur récoltant, c'est-à-dire qu’il ne vend que ce qu’il produit dans son exploitation viticole. D’ailleurs, depuis sa reprise du domaine, en 1999, la surface a doublé, atteignant désormais 8 hectares, tout comme la production, soit entre 40 000 et 50 000 bouteilles par an. Yves Stempfer a toujours un contact direct avec sa clientèle, et s’occupe de toutes les étapes du processus viticole, de la récolte des raisins à la mise en bouteille et l’étiquetage. Ce qui confère bien plus d’authenticité à son vin. Le sol granitique de Dambach minéralise le vin de Stempfer A Dambach, les sols sont granitiques, avec un granit rose à deux micas. Cette particularité géologique donne des vins très expressifs et très minéraux. Certains sont très parfumés mais tous sont élégants, aériens, droits et frais avec une acidité fine. Les nombreux minéraux solubilisés dans l’eau lors de la décomposition de la roche mère sont rendus accessibles pour la vigne et se retrouvent dans les vins en leur donnant un toucher de bouche cristallin, avec une belle salinité. Le climat alsacien se résume en automne à une alternance de journées chaudes et de nuits fraiches. Cette condition météorologique permet une maturation lente et prolongée des raisins. Ce qui favorise le développement d’arômes complexes et la préservation d’une acidité mûre procurant de la fraicheur aux vins. La vinification parcellaire : un gage de cohérence et d’authenticité Yves Stempfer pratique la vinification par parcelles. C'est-à-dire que les vins ne sont pas mélangés lors de la vinification. Ce qui permet d’extraire le terroir de chaque endroit à part. Et d’obtenir un assemblage cohérent, garantissant la complexité, l’expressivité et la régularité de la qualité des vins. En outre, L’avantage du vin alsacien est la grandeur de sa gamme. On trouvera toujours un plat pour bien l’accompagner, par exemple le Riesling ressort parfaitement sur du poisson ou des fruits de mer. Les autres vins proposés par Stempfer sont le Gewurztraminer, le Sylvaner et les Pinots, blanc, noir et gris. ...

Sultanat d’Oman, un des joyaux les mieux gardés d’Orient

Une cité millénaire au bout du monde Pays aride, montagneux, très étonnant, le sultanat d’Oman a été pendant plusieurs siècles une destination très peu connue des touristes occidentaux. Ce pays du bout du monde est souvent cantonné à son histoire de grand port commercial entre l’Orient et l’Occident. Points de passage obligatoires, ses ports ont servi pendant des siècles d’escale aux navires qui revenaient vers l’Europe chargés d’or, d’épices et d’encens. La précieuse sève, qui s’échangeait alors aux prix du métal jaune, laisse encore aujourd’hui flotter cette odeur si particulière dans tous les souks du pays. Souks où l’on se laisse bercer par les histoires de princesses et de marins cherchant gloire et fortune sur les sept mers du monde. Depuis une dizaine d’années, cette jeune monarchie parlementaire ne cache plus ses ambitions de devenir un grand pays touristique. La capitale du pays, Mascate, illustre parfaitement ces aspirations. La ville est délicatement située entre les montagnes du Hajar à l’ouest et l’océan Indien sur son flanc est. Les dernières découvertes archéologiques font remonter son histoire au cinquième millénaire avant notre ère, faisant de Mascate l'une des plus vieilles cités du Moyen-Orient. La ville royale captive l’œil des visiteurs avec ses marchés aux poissons qui s’animent dès les premières lueurs de l’aube et ses souks regorgeant de bijoux, tapis colorés et épices. Un « must-see » lors d’un passage dans la ville est la grande mosquée du Sultan Qaboos. Inaugurée en 2001, elle est richement décorée d’or, de bleu et de blanc et possède l'un des plus grands tapis de prière au monde. Le front de mer de la ville offre aussi un moment de détente exquis, très apprécié des Omanais, particulièrement au moment du coucher du soleil. Entre déserts, montagnes et mer Les « wadis » sont indissociables des régions montagneuses qui serpentent le pays du nord au sud. Ces vallées au fond desquelles courent de petits ruisseaux ou de grandes rivières et abritent pour certains des piscines naturelles offrent une infinité d’activités pour tous les âges et tous les goûts. On peut y faire du canyoning, de la marche à pied, ou plus simplement du tourisme tellement elles proposent de paysages époustouflants. C’est là aussi que l’on peut voir des systèmes d’irrigation (les aflaj ou falaj au singulier) particulièrement ingénieux qui remontent, pour les plus anciens, à plus de 4 500 ans. L’eau, repartie équitablement entre tous les habitants de ces zones verdoyantes difficiles d’accès, y coule toujours aujourd’hui et irrigue des roseraies situées à flanc de montagne. Chaque année entre les mois de mars et de mai, les fleurs s’ouvrent et offrent un tableau étonnant de délicates nuances de rose. Plusieurs de ces systèmes d’irrigation sont classés sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco. On retrouve au milieu de ces vallées les fameuses plantations de palmiers-dattiers. Ces fruits gorgés de soleil et de sucre sont une des fiertés du pays et trouvent toujours leur place dans les bagages des touristes. Une majeure partie du sultanat reste recouverte de sable. C’est dans ces grands déserts que l’on trouve encore des Bédouins qui pratiquent les travaux de saisons ou l’élevage de dromadaires que l'on surmonne ici "les vaisseaux du désert". Plusieurs excursions avec guides permettent de passer plusieurs nuits sous des tentes dressées au milieu des dunes. Le littoral, lui, est parsemé de plusieurs centaines de forts. D’influences diverses, perse, portugaise ou arabe, ils sont l’héritage de la riche histoire du pays. Plusieurs ont été restaurés à l’initiative du sultan actuel et une vingtaine de forts sont actuellement ouverts à la visite pour les plus férus d’histoire. Le fort de Bahla, situé dans l’oasis du même nom, est classé au patrimoine mondial de l’humanité depuis 1987. ...

Maison Sassy :
des cidres du terroir « so sassy » !

La marque Sassy est lancée en 2014 sous l’impulsion de deux amis d’enfance Pierre-Emmanuel RACINE-JOURDREN et Xavier D’AUDIFFRET-PASQUIER, originaires de Normandie et vouant une grande passion pour le cidre. Au cours de leurs études à l’étranger, ils constatent un engouement autour des « ciders ». Cependant, ces boissons à base de concentrés de jus de pomme sont loin des standards qualitatifs auxquels nos deux amis sont habitués. Ils décident alors de proposer un produit « made in France » à la fois moderne et haut de gamme. Des créations tendances Visant une qualité optimale, les créations Sassy sont sans ajouts et non concentrées. Du 100 % pur fruit, élaboré en partenariat avec un maitre de chai. Pour être dans l’air du temps, le design a été soigneusement travaillé et les créations mises en valeur dans des bouteilles de verre blanc de 75 et de 33 cl. Mais c’est véritablement sur la qualité que tout se joue. Pour preuve, les créations Sassy sont associées à des grands noms de la gastronomie et de la mixologie comme Alain Ducasse (éminent chef étoilé) ou Julien Escot (champion du monde de cocktail). Du brut au plus fruité, en passant par des arômes acidulés, les 5 produits de la maison se prêtent idéalement aux jeux des associations. ...

Hôtel Viva Wyndham V Samana :
vivre un séjour exotique de rêves

À travers sa formule « All inclusive », l’hôtel Viva Wyndham V Samana, situé en bord de mer et classé 5 étoiles propose des hébergements exceptionnels. L’établissement propose une restauration de qualité mais également un espace bien-être unique, ainsi que des animations et des activités sans cesse renouvelées. Réservé uniquement aux adultes, l’hôtel comblera toutes les attentes des visiteurs à la recherche de calme et de sérénité. Un emplacement privilégié Faisant face à la magnifique plage de Playa Coson, au nord-ouest de la péninsule de Samaná, l’hôtel Viva Wyndham V Samana jouit d’un emplacement de rêve. En effet, ce resort à taille humaine se trouve à 8 km du village de Las Terrenas, soit à une dizaine de minutes en voiture. S’agissant du transport, l’aéroport international El Catey de Samaná n’est qu’à 20 min des lieux tandis que l’aéroport international Las Américas de Saint-Domingue grâce au nouvel accès et nouvelle route n’ est plus qu’ à 1 heure et demie de l’hôtel. Des hébergements exceptionnels En tout, l’hôtel dispose de 178 chambres à la fois spacieuses et lumineuses. Réparties en trois catégories (V Rooms, Vibe Rooms et Bungalows), elles sont dotées de toutes les commodités pour assurer un séjour tout confort.  Chaque chambre « Vibe Room » située en rez de chaussée bénéficie d’une superbe piscine privée, permettant de se relaxer tout en admirant le coucher du soleil et la vue imprenable sur l’ océan. Afin de suggérer de nouvelles expériences de séjour, l’établissement vient récemment d’élargir son offre avec 34 bungalows de haut de gamme. Au cœur d’une végétation tropicale, ces bungalows se déclinent dans un style élégant et épuré, et se dotent de piscines privatives. S’ils le souhaitent, les résidents peuvent également bénéficier de prestations au prestigieux spa de l’établissement situé à proximité. Le Coconut Whispers Spa, véritable temple du bien-être Au cours de leur séjour à l’hôtel, les vacanciers peuvent à tout moment se ressourcer au sein du Coconut Whispers Spa, un spa entièrement dédié aux soins du corps et de l’esprit. En total symbiose avec la Nature environnante, cet espace déploie une offre complète de soins, qui fait la part belle aux produits naturels des Caraïbes. Essences de fleurs, noix de coco, miel, papaye, concombre…, le spa tire le meilleur de chaque produit pour garantir une efficacité optimale. Parmi les formules suggérées, la maison recommande vivement le massage relaxant aux pierres chaudes de la rivière de Samaná. Une expérience incomparable ! Des restaurants pour tous les gouts Les fins gourmets auront l’embarras du choix entre les 4 restaurants de l’établissement (Le Mar y Fuego, le Fusion, le Marché, le Mediterraneas). Tandis que le premier se spécialise dans les viandes et fruits de mer grillés, le second associe, quant à lui, cuisine du monde et cuisine créative. Le Marché sert non seulement des plats plus classiques tels que des salades, pâtes et autres sandwichs mais aussi quelques spécialités locales. Enfin, Le Mediterraneas, situé en bord de plage, propose une cuisine méditerranéenne sublimée par une touche locale. À noter : les résidents n’ont nullement besoin de réserver pour profiter de ces restaurants. Côté rafraichissements, ils ont 3 possibilités : le beach bar Entre Palmas, qui sert un large choix de boissons à siroter tranquillement sur un des transats de la plage ; le Hip-Bar, un bar lounge très branché : ou encore le snack bar Vivaz. De nombreuses activités L’hôtel Viva Wyndham V Samana organise de multiples activités à faire aux alentours. En raison de sa proximité avec la mer, il suggère toute une palette d’activités nautiques, incluant planche à voile, catamaran, stand up paddle, plongée sous-marine ou activités sportives telles que yoga, pilates ou tennis. Pour les amateurs de randonn&eac...

Union régionale interprofessionnelle CFDT Centre  : un partenaire indispensable

Depuis sa création en 1964, la CFDT s’est battue pour obtenir des droits nouveaux pour les salariés, pour construire une France plus juste et plus équitable. La CFDT s’est toujours impliquée dans l’accompagnement des salariés pour une rémunération plus juste, pour améliorer les conditions de travail, pour réduire les inégalités, pour augmenter la solidarité, pour créer des droits nouveaux et renforcer ceux existants, pour sécuriser le travail. Et, surtout, a toujours placé les salariés au cœur des projets et des activités des entreprises, plutôt que de s’en servir comme variable d’ajustement. Le but de la CFDT est de rendre les entreprises plus performantes au niveau social, économique et environnemental. La CFDT revendique le dialogue social, car pour la confédération, il est toujours préférable de discuter, négocier plutôt que de provoquer le blocage et d’entrer dans le conflit. Ainsi les bonnes idées et les bonnes volontés sont mises en commun pour améliorer la performance économique de l’entreprise, en préservant l’emploi, en améliorant les conditions de travail et le pouvoir d’achat des salariés. Elle préfère avancer pas à pas afin d’obtenir des avancées significatives pour tous les salariés. La CFDT agit à plusieurs niveaux : État, branches professionnelles et entreprises. Depuis cinquante ans, de nombreuses avancées pour les salariés… Ces dernières années, la CFDT a obtenu de nouveaux droits pour tous les salariés. En voici quelques exemples. En 2003, la CFDT obtient la prise en compte des carrières longues lors de la réforme des retraites. Ainsi, tout salarié qui a commencé tôt sa carrière peut partir en retraite à 60 ans. Lors de la mise en place de la loi sur la modernisation du marché du travail en 2008, la CFDT a milité pour la rupture conventionnelle du CDI. Cette disposition permet à l’employeur et au salarié de convenir d’un commun accord de la rupture du contrat qui les lie. Depuis janvier 2015, chaque salarié a droit à un compte personnel de formation pour renforcer ses compétences tout au long de sa vie professionnelle. Ce compte permet de développer les niveaux de qualification et de sécuriser les parcours professionnels. Une autre mesure longtemps revendiquée par la CFDT est venue enrichir les droits des salariés ces dernières années. C’est la mise en place du compte pénibilité. Ce système permet aux salariés travaillant dans des conditions jugées difficiles de partir jusqu’à deux ans plus tôt à la retraite. … et encore en 2017 En 2017, la CFDT continuera à accompagner les avancées sociales et à défendre les intérêts des salariés tant au plan national que régional, tant au niveau des branches que des entreprises. Par exemple, la CFDT se mobilise pour une nouvelle avancée sociale : la généralisation de la prévoyance lourde. En effet, elle désire que chaque salarié soit bénéficiaire d’un grand nombre de garanties au niveau de sa complémentaire santé, notamment concernant les arrêts de travail, le décès, l’incapacité de travail ou l’invalidité. ...

Brasserie De Sutter : un zeste de folie dans la bière artisanale

C’est à l’issue de nombreux brassages fructueux, réalisés dans le petit village de Bazincourt-sur-Epte, qu’ils lancent leurs toutes premières recettes. « Nous avons commencé par trois recettes et, [avec le succès de ces dernières], nous avons agrandi notre production », dixit Antoine. Une nouvelle brasserie est alors créée à Gisors, en Haute-Normandie, un lieu entièrement dédié à la production de bières hautes en couleur. En découlent alors deux gammes de produits empreints d’humour et adulés des connaisseurs. La vraie bière de terroir Dans le but de produire une vraie bière de terroir, les deux entrepreneurs ont peaufiné leur savoir-faire et leur maîtrise du processus de brassage en s’inspirant des techniques de fabrication artisanales. Ainsi, la bière produite n’est pas pasteurisée et ne contient ni arômes ni épices. Tout le processus d’élaboration, allant de l’infusion des céréales à la fermentation en fûts et en bouteilles, se fait, par ailleurs, sur place et les matières premières sont collectées dans des coopératives agricoles françaises. « Avec l’orge et le houblon 100 % français, nous avons également notre propre souche de levure que l’on cultive à la brasserie. Cette levure donne le goût caractéristique, qui fait la signature de nos produits. » Des bières légèrement fruitées aux saveurs uniques découlent ainsi de cette passion pour l’authenticité. ...