Au cœur du village de Bourgvilain, l’auberge Larochette séduit par son décor unique mais simple. A l’extérieur, la façade artistiquement dressée attire instinctivement le regard des passants. Durant les beaux jours, la terrasse ombragée et fleurie permet de profiter pleinement de la beauté du paysage et de s’imprégner à l’atmosphère de la région. En rouge et crème, l’intérieur de l’auberge reflète le parfait équilibre entre le luxe et la simplicité. Les meubles anciens réaffirment le côté « vieille auberge » de l’établissement tandis que les objets de décoration contemporaine, signés Faïencerie de Charolles, témoignent de l’esprit jeune et moderne de ses nouveaux propriétaires, Céline Becker et Nicolas Guillaume. Dotés d’un esprit artistique, ils exposent plusieurs toiles de Marie Ecochard et de Thedy sur les murs, pour le grand plaisir des passionnés d’art. Et pour couronner le tout, la bougie allumée sur chaque table et le feu qui crépite de la cheminée apportent une touche chic & cosy à l’ensemble. Une symphonie culinaire Depuis une centaine d’années, l’auberge Larochette est un lieu emblématique de la ville de Bourgvilain. Aujourd’hui encore, l’auberge continue à maintenir les valeurs qui ont fait sa fierté : une cuisine gourmande dans un cadre chaleureux. En cuisine, le chef Nicolas fait preuve de justesse et propose des plats à la fois traditionnels et créatifs. Les convives auront le choix entre trois menus différents selon leurs envies en plus d’un menu du jour servi tous les midis et constitué d’une entrée, d’un plat et d’un dessert. Avec le menu tradition, ils redécouvriront le goût authentique des produits fermiers du terroir grâce aux plats simples et savoureux préparés avec passion par le chef. A l’honneur : une salade de pomme de terre, maquereau fumé maison accompagné de roquette suivi d’un suprême de poulet, déclinaison de patate douce, jus de poulet au miel de pissenlit et baies de Goji. Avec le menu du terroir charolais, ils pourront déguster aux plats phares de l’auberge comme l’entrecôte charolaise juste poêlée accompagnée d’un gratin dauphinois ou encore, en dessert, le fameux soufflé chaud aux fruits de la passion. Dans le menu gourmand, le chef les invite à découvrir des plats semi-gastronomiques et raffinés comme la mousse légère de crustacé accompagnée d’un crabe royal en salade et d’un espuma d’avocat ou encore du Rouget barbet doré aux poireaux, accompagné d’une soupe de poissons. Dans les assiettes, le chef cherche surtout à exposer le goût et les saveurs en laissant les produits s’exprimer. Et pour assurer la qualité de ses créations culinaires, il se montre particulièrement exigeant sur le choix des produits qu’il utilise et s’approvisionne autant que possible auprès des producteurs locaux. Par ailleurs, il veille à ce que chaque plat s’accorde avec la bonne collection de vins, régionaux et venus d’ailleurs, de l’établissement. D’ailleurs, les convives pourront même choisir deux ou trois bouteilles en même temps puisque la carte propose des vins en demi-bouteille. Un talent à découvrir Du haut de ses trente ans, le chef Nicolas fait preuve d’une grande maturité. A la tête de l’auberge depuis janvier 2015 avec sa compagne Céline, il s’est rapidement démarqué et s’est bâti une très bonne réputation qui grandit à une vive allure. D’ailleurs, moins de douze mois après son ouverture, l’auberge Larochette a obtenu son bib gourmand et sa fourchette auprès du Guide Michelin. Pour Nicolas, la cuisine est avant tout une passion. En quête de l’excellence, il ne cesse de se réinventer et de tester de nouvelles saveurs pour emmener ses convives vers un voyage culinaire inédit. ...
Créée en 1905 par Charles Émile Ellner, cette maison familiale réunit aujourd’hui 3 générations qui travaillent main dans la main. En effet, les champagnes Ellner, c’est d’abord une affaire de famille. Aux commandes : Jean-Pierre Ellner, le petit-fils du fondateur est déjà bien entouré et peut compter sur la génération montante. Ses filles, Emmanuelle et Alexandra s’occupent de l’image de la marque et de la partie administrative tandis que leurs neveux Frédéric et Arnaud prennent en charge les vignes et la vinification. Depuis sa création, la maison s’est fixé une ligne de conduite : produire des champagnes de grande qualité, accompagnant tous les moments de vie. La richesse des terroirs La maison Ellner dispose de 50 ha de vignobles répartis sur l’ensemble de la Champagne : la côte des Blancs, la Montagne de Reims, la vallée de la Marne, les côtes de Sézanne et l’Aube. Les 3 cépages (pinot noir, pinot meunier et chardonnay) sont plantés sur une grande variété de terroirs. « Mais le chardonnay représente près de 50% de l’encépagement de notre vignoble », tient à préciser Gauthier Bongras, directeur commercial de la marque. Ce cépage est majoritairement présent sur les terres situées à Chouilly et Tauxières, deux villages classés Grand Cru sur la côte des Blancs. Il est aussi présent sur les côtes d’Épernay et les côtes de Sézanne. « Les sols argilo-calcaires de nos vignobles permettent d’élaborer des vins complexes tout en conservant fraicheur et tension », renchérit le responsable. Les cépages noirs (pinot noir et le pinot meunier) se concentrent quant à eux sur la Montagne de Reims et la vallée de la Marne. Enfin, la maison possède également au sud de la Champagne un vignoble de 7ha planté essentiellement en pinot noir. Ce vignoble datant du jurassique supérieur est à l’origine de vins particulièrement riches en arômes. Le style Ellner La maison pratique depuis 2001 une viticulture raisonnée et s’efforce de limiter au maximum l’utilisation de produits chimiques. Côté vinification, les vins sont élevés dans des foudres de chêne qui font 20 à 25 fois la taille d’un tonneau classique. Comparée à un élevage en cuve inox, cette technique permet aux vins de mieux conserver leurs arômes d’origine. Les champagnes ne font pas non plus l’objet de fermentation malolactique. « Chez Ellner, nous donnons du temps au vin, nous ne voulons pas le vieillir artificiellement, c’est un élément vivant et moins on le secoue, plus il donne de belles choses », nous rapporte-t-on. Ici, on laisse donc volontiers ces trésors oenologiques vieillir plus longtemps, ce qui permet aux arômes de dégager toutes leurs subtilités. A titre d’exemple, l’entrée de gamme non millésimée vieillit pendant au moins 4 ans, tandis que les millésimes sont élevés sur lies en bouteille entre 10 et 12 ans. Le vieillissement se fait dans des caves traditionnelles datant du XIXe siècle et s’étendant sur 2 km de galerie. Chaque année, plus de 400 000 bouteilles y sont élevées avant d’être distribuées un peu partout en France et dans le monde, notamment aux États-Unis. Les cuvées ambassadrices Dans la liste des cuvées phares, la Grande réserve est celle qui représente le mieux la maison Ellner. Elle est obtenue par l’assemblage de 60% de chardonnay et de 40% de pinot noir. En bouche, cette cuvée surprend par sa fraicheur florale qui se double d’une nuance fruitée. À déguster, selon les envies, en apéritif ou en début de repas. Vient ensuite la cuvée Premier cru, élaborée à partir de 75% de chardonnay et 25% de pinot noir. S’habillant d’une robe or pâle, elle présente un arôme légèrement brioché. À déguster en apéritif et de préférence associée à un poisson. ...
Le petit village de Cajarc cache de grands talents dont un se dévoile aujourd’hui au restaurant L’Allée des Vignes. Grâce à Evgenia et Claude-Emmanuel Robin, cet ancien presbytère a pris un sacré coup de jeune. Dans ce cadre élégant, la cuisine bistronomique est à l’honneur le midi pour le tourisme de passage et la clientèle d’affaire, tandis que le soir et le déjeuner dominical sont destinés à l’épicurisme via une cuisine gastronomique, fine et de création. Créer l’évènement dans l’assiette « Mon objectif est de créer l’évènement dans l’assiette ». C’est ainsi que le chef Robin conçoit sa vision du métier, une idée longuement mijotée. A cet effet, avec son équipe, il s’efforce de suivre la saisonnalité de façon pointilleuse. Le mardi de chaque semaine est alors consacré à la rencontre avec ses partenaires locaux pour comprendre et choisir le bon produit. Si Claude-Emmanuel s’exprime aujourd’hui avec tant d’assurance, c’est parce que son établissement a naturellement privilégié le circuit court et la gastronomie locale pour des créations culinaires entièrement élaborées sur place. D’ailleurs, la ligne de conduite du restaurant l’évoque : faire les choses dans les règles pour faire plaisir en se faisant plaisir. C’est avec mesure que le chef déclare « voilà maintenant cinq ans que le restaurant a ouvert ses portes, et nous sommes heureux de pouvoir constater que les clients font des kilomètres depuis Cahors, Rodez, ou même Toulouse pour découvrir notre cuisine et le concept particulier de l’Allée ». La flexibilité de L’Allée des Vignes Car ce qui fait le succès de l’Allée des Vignes, c’est son concept initial, son Côté Gastronomique et la souplesse de ses cartes hebdomadaires qui se déclinent en trois formats. De la dégustation au plat, en passant par le demi-plat, chaque convive choisit le volume de son assiette. Trois formats, trois tailles pour chaque plat qui permettent de manger selon l’appétit et l’envie. Ce concept est étayé par une cuisine patiente qui révèle la quintessence des produits sans les dénaturer. Pour ce chef locavore, rien ne se perd, tout se transforme : un peu de fantaisie et le jaune d’œuf parfait acquiert sa texture onctueuse dans un gras de canard aux parfums d’asperges vertes de Cajarc. Inspiré par ses origines latino-américaines, Claude-Emmanuel transforme la peau de Saumon en Chicharrón croustillant, qui devient ainsi l’une des composantes essentielles d’un plat. En choisissant le « Menu Dégustation », toutes les suggestions à la carte sont disponibles en format « Dégust ». La Mer, la Terre et le Végétal occupent le haut de l’assiette. L’agneau fermier, le foie gras et le safran du Quercy sont souvent à l’honneur, mais le chef sait aussi s’égarer dans des escapades exotiques en utilisant par exemple le « Voatsiperifery », un poivre sauvage de Madagascar associé à l’ananas rôti au beurre d’épices au moment du dessert. Un délice pour les papilles. Que serait un dîner gastronomique sans un bon vin pour l’accompagner ? L’Allée des Vignes a pensé à tout pour faire plaisir aux fins palais. A l’entrée du restaurant, une Vinothèque vous révèle une sélection réfléchie de 120 références de vins. Le livre de cave en mains, le client constate un équilibre entre beaux crus classiques et nouvelles productions prônant le bio, intéressant ainsi autant les néophytes que les amateurs les plus avertis. ...
Une sélection de créateurs Pour explorer les bijoux de ces six créateurs, il faut notamment se laisser tenter par les élégants ballotins ou encore les box gourmandes, tout droit sortis des ateliers de la chocolaterie Puycard. Ce leader incontesté du savoir-faire artisanal suggère d’harmonieuses combinaisons de délices comme de succulentes tablettes faites maison, de gourmandes réglettes de calissons et de délicates barres de nougat dans une même offre à seulement 35,90 euros. Ce maître chocolatier fait, depuis sa création en 1967, le choix audacieux de se passer d’additifs, pour garder intacte la puissance de ses arômes. Avec ses “Cœur de France” et “Cœur de Nantes” , à seulement 21,30 euros, la chocolaterie Philippe Castelane, elle, livre sur chocolaterieonline.com une toute aussi prestigieuse gamme de produits artisanaux. Du haut de ses 25 ans d’expérience, ce maître chocolatier n’hésite pas à innover même lorsqu’il s’agit de proposer des classiques. Des valeurs sûres Chocolaterieonline.com a ainsi choisi de miser sur des valeurs sûres pour convenir au palais les plus exigeants. Les créations de Henri Le Roux avaient donc toute leur place dans ce panel de fines gourmandises. Le maître, qui a mis au point la recette du fameux caramel au beurre salé, vend sur cette plate-forme ses bouchées au praliné craquant et ses coffrets chocolats aux riches saveurs. Ses tablettes chocolat noir Madagascar ou Brésil à 17,60 euros sont un appel au voyage. Tout comme les créations de Sadaharu Aoki. Ce génie japonais qui a su combler les gourmets grâce à un style épuré. Un univers bien particulier, où l’explosion des couleurs se mêle à la diversité des saveurs, dans de surprenants coffrets bonbons maquillage, à 19,80 euros. Ses chocolats taillés avec finesse n’ont pas fini de faire leur effet. Même souci du détail, du côté du leader du praliné belge, Planète Chocolat. Cette enseigne fait dessiner ses petits bijoux par des artistes. Parcourir ses produits est un ravissement pour les yeux et pour les papilles, comme le prouvent ses coffrets chocolats pralinés à 44,90 euros. De véritables idées cadeaux à considérer en période de fête. Tout aussi agréable à regarder et surtout à croquer que les sublimes coffrets chocolat de Pascal le Gac. Ses ganaches et pralinés sont d’une complexité à ravir les passionnés de chocolat. Son coffret amandes enrobées à 28,80 euros promet une belle longueur en bouche et un fondant inégalable. ...
Même si nous la dégustons tout au long de l’année, l’huître de Bretagne a sa propre Histoire avec des caractéristiques bien particulières parfois méconnues mais aux multiples bienfaits et facettes qu’il est bon de connaître. Cette « Star » des gastronomes possède en sa coquille de multiples atouts dont Cancale, en Côte d'Émeraude, Capitale de l’Huître en France depuis François 1er, et inscrite au patrimoine culturel immatériel de l’Unesco grâce à son savoir-faire en matière d’ostréiculture. Huître de Bretagne, une Histoire au fil des siècles L'histoire des huîtres en Bretagne-Nord remonte à la nuit des temps. De la Préhistoire à l’Antiquité, on la retrouve dès le VIe siècle dans les fastueux banquets de l’Empire romain, où l'huître plate de Bretagne avait déjà conquis une place de choix dans les menus. Importées par Rome depuis les côtes bretonnes lors des invasions en Gaule, ces délices marins ont traversé les âges. Un parcours parfois tumultueux, qui au fil des siècles, s’est toujours invitée à la table des plus fins gastronomes. Même si leur présence s'est estompée au cours du Moyen Âge, on la retrouve sous le règne de Louis XIV où l'huître retrouve ses lettres de noblesse, au point que le monarque en faisait sa pitance matinale. Au XVIe siècle, François Ier lui-même, épris de gastronomie, ne tarissait pas d'éloges sur l'huître de Cancale, contribuant à rehausser son statut. Le port et les côtes bretonnes deviennent alors le cœur battant de cette industrie florissante. Des étendues d'élevage s'étendent des baies de Saint-Malo et de Saint-Brieuc jusqu'aux côtes du Trégor et à la rade de Brest. Cependant, la frénésie d'exploitation au XVIIIe siècle engendre une surexploitation des ressources, menaçant la pérennité des bancs d'huîtres plates. Un édit royal intervient alors, interdisant la pêche du 1er avril au 31 octobre pour permettre la régénération de ces précieuses populations marines. Alors que les premiers conchyliculteurs utilisaient des coquilles d'huîtres disposées le long du rivage pour favoriser le développement des larves, c’est grâce à Victor Coste, médecin naturaliste au service de Napoléon III et de Ferdinand de Bon, commissaire de la Marine, que les prémices de l’ostréiculture moderne ont vu le jour au milieu du XIXe siècle. Leur méthode révolutionnaire, axée sur la restauration des bancs d'huîtres plates décimés par une surpêche, introduisit l'utilisation de collecteurs dédiés à la récupération des larves, instaurant ainsi un contrôle plus efficace du cycle de croissance et de récolte. De nos jours, les techniques d'élevage évoluent, accompagnées par le perfectionnement des outils d'exploitation et par une volonté permanente des jardiniers de la mer à s’assurer du respect des écosystèmes marins et de l’environnement (voir vidéo ci-dessus). Ce développement marque une nouvelle ère pour l'huître de Bretagne-Nord, assurant sa préservation et son rayonnement pour le plus grand plaisir des gastronomes. Huître de Bretagne, un merroir d'exception Les huîtres en Bretagne révèlent une diversité captivante en douze crus distincts, s'étendant de la majestueuse baie du Mont-Saint-Michel avec Cancale à la rade de Brest en passant par Paimpol, Tréguier, Arguenon, Fresnaye, Morlaix-Penzé, rade de Brest, les Abers, , offrent un éventail exceptionnel de terroirs propices à l'élevage de ces délices maritimes. Tel un vignoble ou en l'assemblage d'un vin avec ses multiples cépages, chaque cru d'huîtres, reflet fidèle de son terroir, dévoile des caractéristiques singulières, offrant ainsi une palette de saveurs uniques aux fins gastronomes. Ainsi, les ostréiculteurs, ces jardiniers de la mer, maîtrisent l'art minutieux de l'élevage des huîtres en Bretagne. Leur métier exige une expertise rigoureuse, de la pose des collecteurs pour capturer les larves jusqu'au délicat processus de demi-&ea...
Membre de la présidence Euro-Toques Luxembourg, qui réunit des artisans cuisiniers utilisant uniquement des produits frais, le Cibo’s Restaurant, fondé en 2014, et tenu par le chef Étienne-Jean Labarrère-Claverie, sélectionne des produits frais et saisonniers, cuisinés avec amour et selon la tradition française. Fraîchement intégré dans le guide Michelin 2018, l’établissement a déjà été recommandé par le guide Gault & Millau 2015, 2016, 2017 et 2018 avec une note de 14/20 + 2 toques. Ce restaurant à l’esprit chaleureux, sis dans le bâtiment de la piscine de Bettembourg, au Luxembourg, est dédié aux épicuriens en quête de nouvelles saveurs. Des plats à déguster les yeux fermés Le Cibo’s Restaurant met en avant deux menus destinés à surprendre les papilles des convives. Le menu « Laisse-toi faire », à 66 € et servi le soir, est comme l’explique le chef Étienne-Jean Labarrère-Claverie, « préparé suivant mon inspiration ». On se laisse donc surprendre par le talent du chef à travers cette suggestion uniquement servie en soirée. Le menu « Fais-toi plaisir », à 44 €, proposé tous les midis ainsi que les mercredis et jeudis soir, a également été imaginé selon l’idée de se faire plaisir en dégustant des repas de qualité. Le fait maison et les produits de saison se retrouvent également dans les plats de la carte et dans le menu de la semaine, ce dernier proposant trois suggestions d’entrées, de plats et d’un dessert. La formule Bien-être, quant à elle, proposée au déjeuner, associe avec finesse fraîcheur des aliments et repas diététique. Les suggestions du chef Modifiée à chaque saison, la carte du Cibo’s Restaurant reflète toute la créativité du maître des lieux. Étienne-Jean Labarrère-Claverie nous en donne un exemple, à travers la côte de veau de Galice, un plat pour deux personnes et dont « la viande est d’origine espagnole, servie avec six légumes différents glacés au jus de volaille, du foie gras chaud de canard et des pommes dauphines » selon ses explications. La tartelette de rouget barbet, en guise d’entrée, est aussi recommandée par le chef. Il le décrit lui-même comme « un plat méditerranéen à base d’une sauce faite de courgettes, d’olives, d’huile d’olive, d’oignons, de citrons, accompagné d’une petite tapenade. » Côté desserts, le restaurant privilégie des valeurs sûres : crème brûlée, profiteroles, moelleux au chocolat ou encore brioche perdue sont proposés. Le chariot de fromages, à ne pas manquer pour les plus gourmands, est un concentré de plusieurs fromages sélectionnés par Xavier Thuret, sacré meilleur ouvrier de France en 2007. ...
« Chaque année, plus de 30 millions de journées de remplacement sont à pourvoir dans ces secteurs en France », fait savoir la Start-Up. « L'embauche de vacataires reste un exercice difficile car il faut tenir compte de nombreuses contraintes : organisation des entretiens d'embauche, récupération des pièces administratives, rédaction des contrats, spécificité des profils recherchés, mobilisation de personnel… » Les employeurs ont donc souvent recours à l'intérim faute de disponibilité de leurs vacataires attitrés. Un outsourcing essentiel pour garantir le bon fonctionnement des services mais néanmoins très coûteux. Avec de surcroît un environnement financier toujours plus tendu pour les établissements sanitaires et médico-sociaux, la plateforme tombe à point nommé. L’objectif est clair : simplifier considérablement le recrutement par une mise en relation directe entre les établissements (cliniques, hôpitaux, maisons d'accueil spécialisées, Ehpad, etc.) et les professionnels de ces secteurs (Infirmièr(e)s, aide-soignant(e)s, kinés, Educs Spé, AMP etc.). Grâce à un système de matching et d'alertes par SMS et E-mail, les candidats sont directement avertis des offres de vacations qui correspondent à leur profil. Dès acceptation, un contrat de travail avec signature électronique est automatiquement généré. Innovante et efficiente, la solution Bipsoin met avant tout l'accent sur la fluidité du service et le niveau d’expertise des profils proposés. Après vérification, seuls des professionnels qualifiés sont sélectionnés et intégrés dans le gisement de ressources. Aussi, pour les établissements, les bénéfices sont immédiats : - Réduction des coûts liée à l’économie de temps de gestion. - Souplesse et réactivité accrues dans la planification des remplacements. - Possibilité de recruter de nouveaux profils y compris sur des filières dont la « ressource » se fait plus rare (Médecins, Infirmièr(e)s, anesthésistes, orthopho-nistes…). Mais les avantages de Bipsoin ne s’arrêtent pas là. En garantissant le maintien des taux d'encadrement, cette solution profite aussi aux patients. In fine, Bipsoin leur permet d'être mieux accompagnés, suivis et soignés. Avantages du côté des établissements Avec Bipsoin, les établissements du secteur vont réduire significativement les coûts liés à la gestion des remplacements: « Nous permettons aux établissements de réaliser jusqu'à 80 % d'économie en évitant l'appel à l'intérim. », explique le Directeur des Opérations. En parallèle, la solution impulse une nouvelle dynamique dans l'optimisation des process RH. En effet, grâce à Bipsoin, les établissements sanitaires et médico-sociaux profitent d'un accès instantané à une multitude de profils de soignants disponibles et compétents. De plus, pour davantage de proximité, la solution intègre une fonctionnalité permettant la mise en relation avec des candidats situés à proximité des établissements. Il en résulte « une réactivité et un gain de temps non négligeables » dans le processus de recrutement. Finalement, Bipsoin permet aux établissements d'envoyer, en quelques clics, leurs offres de vacation. Mais « l'une des fonctionnalités les plus appréciables, c'est la possibilité d'accéder aux agendas des professionnels et d'anticiper la planification ». Bipsoin compte déjà de nombreux partenaires dont des associations gestionnaires d'établissements parmi les plus représentatives du secteur. Avantages du côté des soignants L'objectif de Bipsoin est de devenir la première communauté du secteur en créant un réseau fédéré autour de valeurs éthiques communes. En effet, en s'inscrivant sur www.bipsoin.fr les candidats intègrent la communauté des «Bippers» qui, quelques semaines après sa création, rassemblait d&e...
De la Basse Vallée de l’Hérault à la mer Méditerranée, un chapelet de jeunes volcans plonge le sol dans un songe minéral depuis des siècles. Si les GRECS y plantèrent les premières vignes de France il y a 2600 ans, les quelques domaines profitant désormais de ces terres confirment leurs vertus. Leurs vins invitent à explorer des contrées en dehors des sentiers battus. Un paysage viticole et un savoir-faire uniques en France "La perle noire de la Méditerranée", c’est ainsi que Marco Polo nomma la cité d’Agde, déjà revêtue à l’époque de son architecture en pierres de basalte. La Grande Conque, une plage volcanique, illustre également cette cohabitation profonde avec la nature. Depuis toujours, le Cap d‘Agde et les villes voisines se sont inspirés de leur environnement pour se développer, en accord avec celui-ci. Aujourd’hui, leurs domaines viticoles profitent d’un lien unique en France : entre mer et volcan. Un terroir résultant d’une ultime rencontre, il y a de cela 750 000 ans, entre déferlantes de laves et vagues de la grande bleue. Une rareté reconnue et convoitée, soumettant au palais des goûteurs une explosion de fraîcheur en bouche, en guise de signature. Etendu sur plusieurs kilomètres, ponctué de volcans, de rumeurs maritimes et de sous-sols plus classiques, le terroir de basalte donne une dimension singulière aux différents cépages qui y sont cultivés. Grenache, Syrah, Mourvèdre, Cinsault ou Carignan s’y épanouissent, composant, sous les nez avisés des vignerons locaux, des vins rouges dont l'équilibre vacille entre notes minérales et notes de fruits rouges. Une terre rare et préservée C’est sous l’Appellation d’Origine Protégée Languedoc Pézenas que l’excellence du terroir basaltique se révèle. Seule une dizaine de domaines possède une parcelle du précieux sol et veille, tant à son épanouissement qu’à celui des vins de son cru. Loin du succès grisant rencontré au 19ème siècle, les vignobles contrôlent aujourd’hui leur marque, garants de son authenticité et de son excellence. Le vin, l’architecture et la géologie témoignent de leur connexion évidente et cette harmonie s’explore, de la dégustation d’un verre de vin à la contemplation d’un paysage bucolique. Si l’histoire remonte à loin, elle ne cesse pour autant de s’écrire, l’agriculture biologique en sus parmi les nouvelles pages. ...
Depuis la création de Sensilead, en 2004, Fabienne Vaillant et son équipe de coachs internationale ont développé une approche holistique pour favoriser l’humain et l’Être qui sommeillent dans nos entreprises souvent asséchées, manquant de cette eau de vie que pourraient nourrir : l’autonomie, l’initiative, la confiance, la responsabilité, la bienveillance et de vraies Relations respectant la différence… l’autre. Fabienne Vaillant : une coach favorisant l’humain et l’Être dans son ensemble Universitaire, thérapeute et coach certifiée : Fabienne Vaillant a eu un parcours riche en expériences diverses et passionnantes. Ainsi, aujourd’hui, en plus d’être coach d’entreprise, elle est aussi psychothérapeute psychocorporelle et analyste de rêves (Jung). Ce qui lui permet d’enrichir sa capacité d’écoute et ses propositions d’accompagnement. Son objectif : travailler avec des hommes et des femmes, des entrepreneurs, des managers, des dirigeants voulant grandir et réussir tant professionnellement que personnellement. Au-delà des interventions « classiques » en coaching individuel, coaching d’équipe et transformation des organisations, elle développe des expériences novatrices pour explorer le champ des possibles à partir d’une conscience plus ouverte et profonde, pour déconstruire les idées reçues, détecter et capitaliser les talents, connecter les idées, les personnes et les projets. Avec son équipe, elle s’appuie sur la démarche The Human Element® de W. Schutz, pionnier du développement personnel en entreprise qui confère à la dimension humaine une place prépondérante dans la réussite des organisations. Une approche éthique, dynamique et systémique des relations humaines. Dans sa forme actuelle, c’est le mélange astucieux d’une variété de méthodes, y compris la visualisation, non verbale, la méditation, la conscience sensorielle, et d’autres impliquant le corps et l’énergie. La facilitation de ces groupes se concentre sur l’ici et maintenant. Elle permet de mieux comprendre le comportement humain et les clefs de motivation dans de multiples situations personnelles et professionnelles. Elle explore les trois dimensions de base de toute relation que sont l’inclusion, le contrôle et l’ouverture pour décrire aussi bien les dynamiques des individus que celles des collaborateurs, des équipes et des organisations. Découvrez la formation être et agir en leader Pour répondre au besoin de plus en plus vital de quête de sens de nombreuses personnes, toutes générations confondues, Fabienne Vaillant a développé depuis 16 ans une démarche innovante qui intègre toutes les dimensions de la personne « le Projet de Vie personnel et professionnel ». En un temps concentré et intense qui permet de relire votre vie pour en découvrir le fil rouge et en extraire les facteurs clefs de votre talent unique, Fabienne vous apporte les repères existentiels et les clefs de compréhension nécessaires pour déclencher la motivation et la vision d’un projet de vie unique et motivant. L’enjeu pour la plupart de ses clients ? Trouver sa place dans le monde, dans son travail et dans sa vie. Le résultat obtenu ? Devenir leader de sa vie et dans sa vie ! ...
Poussez les portes du bureau de Corsazur et découvrez la Corse autrement. Corsazur : quand la Bretagne rencontre la Corse Des Bretons qui proposent des locations de voiliers avec ou sans skipper sur le littoral Corse : un concept qui peut surprendre le voyageur. Et pourtant, en échangeant avec Edmée et Étienne Delaisi, les chefs de base, vous comprenez rapidement les raisons qui les ont poussés à venir s’installer sur l’île de beauté. Expatriés depuis plusieurs années sur ce territoire, ils ont posé leurs valises en plein cœur du port d’Ajaccio afin d’aider les passionnés de voile à prendre le large. Avec leur flotte de 10 voiliers parfaitement entretenus, ils font leur maximum pour se démarquer de la concurrence. Comment ? En permettant aux amoureux de la mer de louer le monocoque de 30 à 50 pieds adapté à leurs envies et en proposant des services personnalisés de qualité. Avant de prendre le large, laissez-vous conseiller par ces deux passionnés qui prennent à cœur de satisfaire leurs clients. Les plus beaux paysages de Corse vus de la mer Pourquoi avoir choisi Ajaccio ? Parce que la côte ouest de l’île regorge de panoramas à couper le souffle. Véritable objectif pour tous les marins, c’est le point de départ de la route du nord menant vers la réserve de Scandola, Porto, Girolata et Cargèse ou de la route du sud avec des destinations telles que Senetosa, Bonifacio, Tizzano, Roccapino ou les îles Lavezzi. Choisissez l’une ou l’autre en fonction de vos envies (et de la météo !). Dans tous les cas, vous prenez la mer en toute sérénité. Laissez-vous porter par la brise marine et le flot des vagues et ressentez cette incroyable sensation de liberté si chère aux navigateurs. À noter : en téléchargeant le guide de croisière gratuitement sur le site, vous trouverez de nombreuses informations dont des trajets types qui vous aideront à vivre une expérience à la hauteur de vos attentes. Deux itinéraires vous sont proposés, avec chacun leurs lots d’escales et de lieux à visiter. ...
Propriété du roi de France, le domaine de Bastore fut cédé le 3 juillet 1711 à Vincent de La Montaigne, un conseiller au parlement de Bordeaux. C’est de là que vient le nom « Bastor Lamontagne ». Au fil du temps, le château connait plusieurs propriétaires qui ont, chacun à leur manière, façonné son caractère si particulier. C’est en novembre 2018 que le domaine ouvre une nouvelle page de son histoire avec l’arrivée de la famille Helfrich, les nouveaux propriétaires des lieux. Un terroir prédisposé à la viticulture Depuis 2016, la propriété est en entièrement bio. Idéalement situé sur la deuxième terrasse de la Garonne, le vignoble du domaine Château Bastor-Lamontagne repose sur un terroir essentiellement gravelo-sableux avec une matrice argileuse légère et des variantes parcellaires tenant aux différentes proportions de graves. Cette typicité donne lieu à des vins présentant une belle harmonie entre finesse et acidité. Classé Grand Cru, le Château Bastor-Lamontagne est membre de l'Union des Grands Crus. Côté encépagement, celui-ci se compose majoritairement de sémillon (43,5 ha) qui apporte aux vins leur aspect fruité. Ce cépage est complété par le sauvignon blanc (4,3 ha), procurant fraicheur et vivacité, ainsi que par le sauvignon gris, cultivé en petite quantité (1,3 ha). Des vins aux arômes sensuels Au château, tout se fait d’une manière traditionnelle : de la vinification jusqu’à la mise en bouteille, en passant par l’élevage. Résultat : des vins bio dotés d’une grande élégance, à l’image de la cuvée « Château Bastor-Lamontagne » ! Au nez, ce vin dévoile des arômes de fruits exotiques, d’ananas confit, miellé d’acacia. La bouche est ample, soutenue par une fraicheur persistante. Un vin séduisant qui s’apprécie aisément de l’apéritif au dessert ! La cuvée « Les Remparts de Bastor-Lamontagne », quant à elle, est élaborée à partir des vignes les plus jeunes et des premières tries. Ce deuxième vin du château est plus fruité. Ses arômes de fruits associés à sa rondeur et à sa vivacité séduiront plus d’un. Enfin, la cuvée « So Sauternes » est l’illustration parfaite d’une nouvelle façon d’apprécier les vins de Sauternes. En phase avec les goûts actuels, ce vin fringant, à la fois fruité et vivace, est excellent à l’apéritif. ...
Les domaines prestiges constituent des vitrines de l’excellence oenotouristique des vignobles entourant le Cap d’Agde. Ils insufflent un nouvel élan à ce territoire qui jusqu’alors n’était considéré que comme une destination balnéaire. Grâce à ce renouveau de la viticulture et à l’exceptionnalité de ses domaines, le Cap d’Agde rayonne désormais pour la qualité de ses produits viticoles. Immersion dans l’histoire et le prestige Les Domaines Prestige ont développé des offres pour une clientèle que l’on ne ciblait pas jusque-là. Leur philosophie : associer leur savoir-faire à l’esprit traditionnel et enchanteur des lieux. Parmi eux : le Prieuré de Saint-Jean de Bébian, domaine créé en 1152 qui porte haut les couleurs des vins languedociens et accueille désormais un chef étoilé : Matthieu de Lauzun. A Vias, le château de Preignes le Vieux, à l’histoire millénaire, appartient à la famille Vic qui le restaure et le met en valeur depuis 1905. La propriété s'organise autour d’une véritable forteresse du XIIIème siècle implantée au cœur de 250 ha de vignes. La Seigneurie de Peyrat, quant à elle, est l’emblème par excellence des prouesses architecturales du XVIIème siècle. A l’intérieur comme à l’extérieur, le domaine se révèle comme l’endroit idéal pour célébrer dignement un grand événement. A Montagnac, le château Saint-Martin de la Garrigue séduit par son parc à la française, sa chapelle du IXèmesiècle et ses chais à barriques exceptionnels. ...
Périgord peut être arboré sous quatre angles : par le nord qui emprunte son nom de Périgord Vert aux forêts de chênes et des châtaigniers décorant cette région. Un peu plus à l’ouest, le paysage verdoyant laisse place aux plateaux calcaires et aux architectures anciennes datant de l’époque romane et gothique. Le Périgord Noir, lui, situé dans le Sud-Est, se distingue par ses sites préhistoriques et ses authentiques villages médiévaux. Enfin, Bergerac et ses champs de vignes ont inspiré l’appellation Périgord Pourpre pour un rappel à la richesse du terroir. Une destination à multiples facettes Il faudra longer plus de 500 kilomètres au départ de Paris pour atteindre cette terre mythique qui abrite secrètement une partie de l’histoire de la France. « Connue sous le nom de département de mille et un châteaux, la Dordogne était un emplacement stratégique fervemment disputé par le royaume de France et d’Angleterre lors de la guerre de Cent Ans », nous souffle Stéphane, le responsable de la plate-forme. Ce qui explique la belle collection de châteaux fortifiés, de châteaux Renaissance, de manoirs et de maisons fortes qui s’imposent majestueusement sur les sommets et vallées de cette région. Le château de Biron, classé monument historique ou encore le château médiéval de Castelnaud, le musée de la Guerre au Moyen Âge sont, entre autres, les témoins du passé historique du Périgord. Mais cette destination nous ramène encore plus loin, précisément à 400 000 ans plus tôt à travers ses monuments préhistoriques. La formation géologique de la région justifie la concentration de nombreux vestiges, grottes ornées, peintes ou gravées, gisements et sites troglodytiques, notamment dans la vallée de la Vézère. Parmi eux, le Roque Saint-Christophe, un site qui impressionne par sa représentation authentique d’une habitation troglodytique. Un exemple qui illustre parfaitement la richesse archéologique de la Dordogne, le « berceau de l’humanité ». Périgord est aussi une terre de bien-être où la nature semble trouver un parfait équilibre avec l’homme. Chacun peut savourer un moment de douceur et d’évasion lors d’une petite promenade dans les vallées ou d’un camping au cœur de la forêt. « Nous avons également beaucoup de loisirs autour de la rivière, comme la baignade ou le canoë », souligne notre interlocuteur. En prime, la cuisine du Sud-ouest qui met à l’honneur les produits du terroir (la truffe, le magret et le foie gras, les noix du Périgord, les vins de Bergerac, etc.) va procurer une touche à cette expérience déjà si intense. Un site pour répertorier les incontournables de la région Perigord.com, le tout premier site portail du tourisme dans la région, s’attribue comme mission de partager et de promouvoir cette destination. En effet, son premier modèle en tant qu’hébergeurs de prestataires de tourisme en Dordogne date de 1998. Aujourd’hui, le site arbore un design sobre et étudié de façon à offrir le plus de contenus possible aux internautes. Ces derniers peuvent parcourir facilement les rubriques visites, loisirs, hébergements, restaurants, produits locaux et infos pratiques pour personnaliser à souhait leur séjour en Dordogne. Le site mise sur une stratégie de proximité et son éthique d’échange équitable pour se distinguer de ses concurrents. « Nous mettons en relation directe les offres et les demandes, sans frais ni commission, pour que les internautes puissent payer au meilleur tarif et que les prestataires soient rémunérés au juste prix », termine-t-il. ...
Badine est le nom de la laiterie de l’arrière-arrière-grand-père de Florian Poyet. C’est donc dans ses souvenirs d’enfance qu’il puise ses ressources pour faire tourner l’établissement. Devant les fourneaux de ce restaurant, le jeune chef est dans son élément. Effectivement, il a été le second de l’ancien chef Nicolas Bottero pendant 5 ans. De ce fait, en septembre 2015, c’est plus un passage de flambeau ou de toque. Depuis le changement d’identité du restaurant en janvier 2016, le chef ambitionne d’apposer sa propre signature sur les assiettes, en y apportant de la modernité. Dorénavant, Badine rime avec fraicheur et couleur. La gastronomie Poyet Florian Poyet a la gastronomie dans la peau et dans son cœur. Désormais, il ne fait plus qu’un avec le restaurant du 168 cours Berriat, à Grenoble. Soucieux des détails, le jeune chef porte une attention particulière à la présentation. Le dressage façon Poyet, c’est toute une mise en scène des produits. Les dégradés, les nuances et les contrastes de couleurs et de textures contribuent à la création des plats. Chaque élément de l’assiette joue un rôle particulier pour donner au final un visuel qui met l’eau à la bouche. Les produits de saison utilisés dans cette cuisine entièrement faite maison sont sélectionnés au marché ou directement chez le producteur. La maison s’assure de réduire au minimum les intermédiaires pour pouvoir construire des relations durables avec les producteurs et les fournisseurs locaux qui affectionnent leur métier et leurs produits. Grâce à son respect pour les produits frais de saison, le chef est devenu depuis peu le plus jeune « maitre restaurateur » de l’Isère. Le restaurant Badine est aussi reconnu par le label « Restaurant de qualité », qui l’engage à promouvoir le fait-maison et le métier d’artisan-restaurateur, à informer la clientèle de l’origine des produits, à assurer la qualité de l’accueil et la cohérence du rapport qualité-prix. Le restaurant Badine présente trois menus. Le menu « Au fil des saisons » est renouvelé toutes les 2 semaines. Par exemple, le bal s’ouvre avec des cannellonis servis froids à la ricotta fraiche, accompagnés de fenouils rôtis et de jeunes pousses d’épinard. Cette entrée est suivie d’une volaille fermière à la moutarde, avec de l’Arborio croustillant et des échalotes grises au jus. Le tout, couronné par un craquant aux deux citrons, crémeux acidulé et petites meringues. Les deux autres menus sont le « Moment de partage », qui change tous les 2 mois, et « Les envies du chef », qui évoluent en fonction du marché et des envies du chef. La carte des vins La cave est composée de plusieurs références : Savoie, Vallée du Rhône, Bourgogne, Val de Loire, Bordeaux. Pour le terroir isérois, ce sont les Coteaux du Grésivaudan, produits par le Château Bayard, et les Collines Rhodaniennes du Vignoble de Seyssuel qui figurent, entre autres, à la carte. Enfin, le cru classé Côtes-de-Provence du Domaine de la Croix s’affiche en grand ambassadeur de la région. Le cadre Le restaurant Badine reçoit les gourmets dans un cadre chic et moderne à l’image du mobilier blanc et transparent. Cette sobriété laisse place aux accords entre les tons plus sombres des pierres apparentes et le bleu pétrole et l’orange sanguin des tableaux réalisés par un artiste local. La grande terrasse, ombragée de sa glycine centenaire, vaut le détour ! ...
Le Château des Annereaux, c’est l’histoire d’une famille installée dans la région depuis 1390. Fortement impliqués dans la production vinicole, les Annereaux ont participé entre autres à la lutte contre le phylloxera au XIXème siècle. Aujourd’hui, cette ferveur visant à améliorer la qualité des vignes et des vins perdure grâce au travail de Benjamin Hessel, représentant la dernière génération. Le bio pour protéger les hommes et préserver la terre À partir de 2007, l’ensemble du vignoble qui s’étend sur 25 hectares, dont 22,7 ha consacrés à l’appellation Lalande de Pomerol et 2,3 ha à l’appellation Bordeaux, est conduit en viticulture biologique. « Mon père, Dominique Hessel, a décidé de faire cette reconversion entre autres pour éviter que les employés travaillent dans des conditions dangereuses », confie Benjamin Hessel. Cette viticulture respectueuse de la terre combinée à un terroir favorisant la bonne maturité des raisins donne des vins harmonieux, fruités, à la belle expression aromatique. ...
Un peu d’Histoire… Bolivie : entre Cultures Chanés, Inca et Espagnol Située au cœur de l'Amérique du Sud, la Bolivie est un pays riche en histoire et en diversité culturelle. Ses racines culturelles sont profondément ancrées par trois grandes influences : les cultures Chanés, Incas et Espagnoles. Les Chanés étaient l'un des peuples autochtones précolombiens de la région, contribuant à la richesse culturelle de la Bolivie avant l'arrivée des Incas et des Espagnols. Ils étaient réputés pour leur expertise en agriculture, en particulier dans la culture du maïs et du manioc, et ont laissé un héritage agricole durable qui persiste encore aujourd'hui. L'empire Inca, avec sa capitale voisine de Cuzco au Pérou, a étendu son influence sur la Bolivie au cours du XVe siècle. Ils ont apporté leur architecture spectaculaire et leur système d'irrigation sophistiqué, laissant derrière eux des vestiges tels que le site archéologique de Tiwanaku près du lac Titicaca, dans la région d'Altiplano. Les Incas ont également laissé une marque profonde sur la culture et la langue, de nombreuses coutumes et traditions incaïques étant encore célébrées par les populations autochtones boliviennes. L'arrivée des Espagnols au XVIe siècle a marqué un tournant majeur dans l'histoire de la Bolivie. Sous la colonisation espagnole, de nombreuses cultures autochtones ont été soumises à des pressions pour se convertir au christianisme et adopter la culture européenne. Cependant, les Boliviens ont également intégré des éléments de la culture espagnole dans leur propre identité, créant une fusion culturelle unique. Aujourd'hui, la Bolivie est un pays où les héritages des cultures Chanés, Incas et Espagnoles coexistent harmonieusement. Ses festivals, sa cuisine, sa musique et ses danses reflètent cette riche mosaïque culturelle qui en fait une destination rare avec des parcours, des visites grandioses. Sur les traces de sites remarquables de Bolivie Voyager en Bolivie, c’est partir à la rencontre de Monuments et Sites Naturels souvent classés au Patrimoine Mondiale de l’UNESCO. Voici quelques repères incontournables à découvrir lors de votre séjour avec Thaki Voyage. Fort de Samaipata, une merveille architecturale Après notre arrivée par Santa Cruz, capitale économique de la Bolivie, notre voyage commence (Jour 2) par la visite du Fort de Samaipata, une merveille architecturale, taillée à même la roche, nichée au cœur des montagnes verdoyantes de la région de Santa Cruz. Le fort était autrefois un lieu sacré pour les peuples autochtones locaux, mais il a également servi de point de contrôle stratégique pour les civilisations précolombiennes et plus tard pour les colons espagnols. La pierre a été sculptée avec une précision remarquable pour former des représentations complexes de divinités, de motifs géométriques et de symboles culturels. Taillé à même la roche, le Fort de Samaipata est un exemple exceptionnel d'architecture rupestre qui témoigne de l'ingéniosité des anciennes cultures de la région. Dès les premiers jours du voyage (Jour 2), il offre une expérience immersive dans l'histoire et la culture de la Bolivie et symbolise la richesse du patrimoine culturel bolivien. Le même jour, notre visite passe par le Parc de « Cascadas de Cuevas » à la rencontre d’une véritable merveille naturelle constituée de trois magnifiques cascades. Niché au cœur d'une forêt luxuriante, ce site remarquable offre pour les amoureux de la nature une expérience inoubliable, un spectacle époustouflant avec des cascades alimentées par des ruisseaux cristallins et leurs eaux dévalant des rochers escarpés. A la rencontre des fougères géantes de Samaipata et du Parc national d'Amboro Au 3éme jour de notre arrivée, nous partons à la rencontre des fougères géante du Parc Amboro. La Forêt de fougères géantes de Samaipata et le Parc national d'Amboro sont deux joyaux de la biodiversité situés en Bolivie, qui offrent un aperçu exceptionnel de la nature foisonnante de l'Amazonie. La Forêt de fougères g&ea...
C’est à Joigny, dans un cadre intimiste, que Jean-Michel Lorain officie, mettant ses talents de chef au service d’une table qui célèbre les ingéniosités de Mère Nature. Réserver chez cet enfant terrible de la gastronomie française, c’est ouvrir ses palais à l’expérience d’un voyage dont les papilles ressortent ragaillardies et transformées. Quand gastronomie rime avec simplicité Placée sous le signe de la légèreté et de la fraîcheur, la cuisine gastronomique vue par le chef de la Côte Saint-Jacques puise ses inspirations au cœur des produits. Sélectionnés chez des fournisseurs triés sur le volet, ils rendent le meilleur d’eux-mêmes dans un défilé de saveurs aussi changeantes que les saisons. Le classique y fraye délicatement avec l’exceptionnel, à travers des plats signatures comme la poularde de Bresse à la vapeur de champagne. Pour les très grandes occasions, la maison convie à un parcours savoureux où les papilles se retrouvent au détour de mille nouvelles initiations. Le thé fumé lapsang souchong révèle le foie gras sous un jour nouveau. Tous les sens sont en émoi, à l’instant du dessert, devant un service sucré qui déploie d’opulentes notes florales dans un camaïeu de rose. L’ambiance contemporaine et claire de la salle, qui rend élégamment la finesse des couverts, ajoute une touche d’ailleurs à toutes ces pérégrinations au cœur du goût. ...
Lancé en juillet 2017 par Hugo Faivre, Background Paris est un projet de tourisme alternatif et expérientiel qui vise à interroger de nouveaux modes d’exposition, partager l’ADN artistique de cette culture et permettre l’échange entre un public international et les artistes locaux par le biais de 3 expériences indépendantes (graffiti, musique et danse). D’une durée de trois heures, chaque expérience peut accueillir 10 personnes et a un coût de 40€/pers. L’expérience « One Can » propose un street art tour ponctué par un live painting Les amateurs de graffiti et les curieux peuvent désormais participer à un street art tour, en petit comité et (re)découvrir un quartier de Paris (10ème, 11ème, 13ème, 18ème, 19ème et 20èmearrondissements) à travers son histoire commune avec les arts urbains. Cette balade urbaine se conclut par une rencontre avec un artiste graffiti dans son atelier ou directement dans la rue afin d’assister à la création en direct. La musique hip hop à travers deux formats : intime et live L’expérience « One Beat » consacrée à la musique donne l’occasion de découvrir l’univers d’un studio d’enregistrement pour une heure de masterclass aux côtés d’un musicien et ainsi de connaitre les dessous de la création musicale. Pour clore cette visite en beauté, les heureux spectateurs sont invités à un événement musical hip hop dans la capitale. Assistez à une session d’entrainement au contact des danseurs, et plongez en immersion dans l’univers d’un battle de danses hip hop Au niveau des danses hip hop, l’expérience « One Move » propose de partir à la rencontre d’un crew (collectif) de danseurs pour assister à leur session d’entrainement avant d’offrir une plongée en immersion dans l’ambiance d’un battle (compétition) où dépassement de soi et partage flottent dans l’air. Ainsi, ils dévoileront le « work in progress » de leur pratique artistique au sein de leur contexte créatif. ...
Vous avez de nombreuses raisons de séjourner pendant plusieurs jours à Batz-sur-Mer. Batz-sur-Mer : une commune familiale Pour des vacances en famille réussies, rendez-vous à Batz-sur-Mer. Située au sud de la Bretagne, dans le département de Loire-Atlantique, sur la presqu’île de Guérande, vous y découvrirez le charme d’une cité de caractère. Ce qui plait aux voyageurs, c’est tout autant la possibilité de se reposer sur des plages magnifiques que les nombreuses activités pour petits et grands. En effet, tandis que les plus jeunes profitent du club Mickey (juillet-août), les adeptes d’activités marines peuvent se rendre dans l’école de surf et/ou l’école de voile la plus proche, chacune située sur une des deux plus grandes plages. Vous aimez la randonnée ? Aventurez-vous sur le sentier de la côte sauvage (13 km) proposant de nombreux points de vue et d’intérêt. Sans oublier la dune de la falaise avec sa faune et sa flore protégée ainsi que les marais salants. Évidemment, si vous envisagez de rester plusieurs jours, vous pouvez poser vos valises dans l’un des nombreux hébergements de la cité. Vous avez le choix entre l’Hôtel des Marais Salants (2 étoiles), l’Hôtel Le Lichen de la Mer (3 étoiles), la résidence Soleil Vacances (3 étoiles), la résidence Odalys (3 étoiles) ainsi que le Centre Marceau pouvant accueillir des groupes de 114 personnes (enfants et adultes). Une cité de caractère au patrimoine exceptionnel Batz-sur-Mer est aussi très appréciée des amateurs d’histoire et de belles pierres. D’ailleurs, nous vous conseillons de rentrer dans l’église Saint-Guénolé, classée. De style gothique breton, elle recèle de nombreuses richesses inscrites qui méritent une visite (libre et gratuite ou guidée). À savoir : sa tour lanterne est accessible (payant) grâce à ses 184 marches. Du haut de ses70 mètres, un panorama incroyable vous offre une vue sur les marais salants et l’océan. Autre bâtiment à visiter absolument : le moulin de la falaise. Construit au 16e siècle, il fut abandonné puis détruit par les flammes avant d’être entièrement rénové. Situé au cœur d’un site Natura 2000, il est aujourd’hui utilisé par un meunier pour produire de la farine de sarrasin bio (en vente sur place). Les amateurs de musée et les plus curieux ne sont pas en reste. La commune offre, en effet, deux musées passionnants : le musée des marais salants (musée de France) et le musée du grand blockhaus. Finalement, nous vous conseillons aussi de prendre un peu de temps pour vous perdre au sein de quatre magnifiques villages de paludiers : Kervalet, Trégaté, Kermoisan et Roffiat. Découvrez d’étonnantes spécialités locales Évidemment, il est difficile de repartir sans avoir acheté des sachets de sel de Guérande. Vous trouvez votre bonheur au Natursel et au Paludier de Guérande. Ces deux maisons spécialisées dans le sel depuis des dizaines d’années vous offrent des produits de grande qualité, pour toutes les envies : sel moulu, gros sel, sel aromatisé, fleur de sel ainsi que différents condiments et aromates (salicornes et haricots de mer, entre autres). De plus, pour se reposer entre deux promenades, les voyageurs éreintés apprécient de s’arrêter un moment à La Gède aux livres : une librairie/café indépendante, à l’ambiance unique. Sans oublier les nombreux restaurants de qualité, la brasserie artisanale ainsi les biscuiteries et la chocolaterie. Batz-sur-Mer : une cité vivante et dynamique Durant les mois de juillet/août, de nombreux événements viennent ponctuer la saison des vacances. Ainsi, en juillet, vous avez l’occasion de participer à un festival de jazz ou de découvrir les Nuits salines (mettant en avant la culture celtique sous tous ses aspects). Pendant le mois d’août, il est impossible de louper le festival « Batz’Arts de rue », entièrement gratuit. Si vous êtes sur place durant la semaine du 06 au 10 août, préparez-vous à vous amuser en famille au rythme des arts de la rue, où se mêlent théâtre, fanfare, jong...
Ce bar-restaurant est un lieu d’exception qui met particulièrement à l’honneur la Bellerose, une bière fabriquée par la Brasserie des Sources. Mais un large éventail de bières est à découvrir : des bières à la pression, des bières artisanales (craft beers) sans cesse renouvelées, à la pression, en bouteille ou même en édition limitée. Elles vous feront incontestablement voyager puisqu’elles sont produites dans le monde entier (Etats-Unis, Ecosse, Pays-Bas, Autriche, Japon, …). Vous n’avez pas fini de vous rendre au Bellerose si vous voulez explorer l’ensemble de la palette de bières que l’établissement propose.Côté restauration, le Bellerose s’est spécialisé dans la confection de burgers gourmets originaux à partir de produits frais de qualité. Tous les burgers sont préparés spécialement pour vous, à la minute, avec une parfaite cuisson de la viande.En cuisine, une équipe de 4 cuisiniers unis par leur goût pour la Street Food offrent un univers culinaire assez varié. Ils travaillent leurs burgers au gré de leurs envies pour proposer de nouvelles recettes qui s’ajoutent à ceux de la carte permanente.En consultant celle-ci, vous aurez peut-être envie de vous régaler d’un burger Little Italia avec pain ciabatta, cheddar, steak, speck, oignons frits, salade roquette et tomates confites, agrémenté d’une sauce moutarde. Le "Oh my goat" avec steak, chèvre, miel, oignons frits, bacon, salade et tomate, est aussi très apprécié.Si vous êtes végétarien, pas de souci, venez savourer le Veggie avec son bun boulanger, steak de mozzarella panée, tomate fraiche, roquette, tomates confites, sublimé par une sauce basilic.Ici tout est prévu pour les gros mangeurs puisque vous pouvez demander un burger avec un, deux ou trois steaks. Et les indécis choisiront plutôt le duo de mini-burgers.Toutes les assiettes sont préparées avec soin, toujours servies avec des frites et de la salade. Les desserts sont également faits maison, vous pourrez par exemple vous régaler avec un cheesecake.Pour le midi, vous pouvez déguster le burger du jour accompagné d’une bière Bellerose pour seulement 12 euros.Si vous venez entre amis, partagez quelques mix tapas (Guacamole, onion rings, beignets de calamar et chicken wings ) sans oublier de commander votre bière préférée.Sa salle tout en longueur est partagée entre bar et restaurant. La décoration privilégie une ambiance industrielle et vintage avec des tables en bois noir et des tabourets. De la bonne musique en fond sonore, une lumière tamisée, un accueil sympathique et chaleureux, des bières de qualité, des burgers gourmands, tous les ingrédients sont réunis pour passer un moment convivial....
Ensemble, on est plus forts Créée en février 2000, l’Alliance Maladies Rares compte parmi les pièces-maîtresses de l’échiquier des acteurs des maladies rares. Regroupant plus de 210 associations de malades et portant la voix de quelque trois millions de malades, cette structure est rapidement devenue incontournable. Mais sa force et son impact, c’est au collectif, c’est à dire à ceux qui la composent qu’elle les doit. Car plus qu’une simple association, l’Alliance Maladies Rares est « une force associative, un collectif, un réseau ». L’association couvre d’ailleurs tout l’hexagone par le biais de ses trente délégués régionaux. « Ensemble, on est plus forts. Réunir un grand nombre d’associations permet de combattre plus efficacement les maladies rares, dans leur ensemble, que si chacun reste dans son coin. On a plus de chances de faire bouger les choses si l’on peut s’appuyer sur un réseau solide » explique Nathalie Triclin-Conseil, la présidente de l’Alliance Maladies Rares. La force considérable de son réseau alliée à sa grande légitimité valent ainsi à Alliance Maladies Rares de participer activement à l’élaboration des politiques de santé et d’occuper une place centrale au sein de la Plateforme Maladies Rares. Son organisation a même été copiée hors de nos frontières. En Italie et en Espagne, notamment. Améliorer la vie des personnes atteintes de maladies rares Son action revêt plusieurs facettes. De la sensibilisation du grand public et des professionnels de santé à l’amélioration de la qualité de vie des patients souffrant de maladies rares en passant la promotion de la recherche médicale et le soutien apporté aux associations dans le combat qu’elles livrent quotidiennement, les missions de l’Alliance Maladies Rares s’articulent autour d’un dénominateur commun : accompagner les malades ainsi que leurs proches. L’Alliance Maladies Rares a d’ailleurs fait de l’émergence d’un véritable « droit à l’accompagnement » des malades souffrant de maladies rares, l’une de ses priorités. « Nous défendons au quotidien les droits des personnes atteintes de maladies rares et mettons tout en oeuvre pour que des réponses adaptée soient proposées aux malades. L’accès à la recherche, la réduction de l’errance diagnostique, l’intégration à l’école et au travail, l’annonce du diagnostic, la transition enfant-adulte ou encore l’élargissement du diagnostic néonatal font partie des questions que nous défendons » précise Nathalie Triclin-Conseil. Faire bouger les lignes Faire du « sur place » ? Très peu pour elle ! Si elle veut pouvoir remporter son combat, l’Alliance Maladies rares sait que c’est de l’avant qu’elle doit aller. Bien décidée à faire bouger les choses, cette association enchaîne donc - avec le soutien de ses nombreux bénévoles - les actions (Journée Internationale des Maladies Rares, Marche des Maladies Rares, formations, etc.) et multiplie les expérimentations sur le terrain. L’un de ces projets, les « Compagnons Maladies Rares », est actuellement expérimentée en Nouvelle Aquitaine. Ce dispositif vise à professionnaliser des patients mais aussi des aidants « experts » afin qu’ils soient en mesure d’accompagner des personnes atteintes de maladies rares jusqu’à l’autonomie. « L’idée, c’est qu’ils mettent leur vécu, leur expérience de la maladie au service des malades. Nous attachons une grande importance à l’éducation thérapeutique ». ...
À l’origine de la première mousse de fruit sans arôme avec zéro pour cent de matière grasse, Woos bouscule tous les codes en créant une émulsion ultralégère au goût fruité particulièrement prononcé, qui se décline en quatre parfums gourmands. À l’origine de la marque Fondée en février 2013 par le tandem Anne-Sophie Marquet et Janagan Suntharalingam, Woos est née d’un simple constat qui a joué le rôle d’un véritable élément déclencheur. Après avoir cherché sans succès des mousses de fruits sans lait ni œufs dans de nombreux commerces, Anne-Sophie, la cofondatrice de la start-up a effectué de nombreux essais en cuisine pour inventer elle-même la texture et le goût de la mousse longtemps recherchés. De fil en aiguille, l’idée de créer une start-up qui va développer une gamme révolutionnaire de mousses juste aux fruits (très distincte de la crème fouettée qu’elle était d’ailleurs loin d’apprécier) lui est venue. Son projet reçoit l’adhésion de Janagan, un ami de SciencesPo qui va l’aider à démarrer cette belle aventure pas comme les autres. Une association de valeurs et de savoir-faire Voulant se démarquer de la chantilly classique, la gamme de mousse Woos intègre une association de valeurs innovantes et particulièrement chères aux deux cofondateurs. Dans leur projet, l’innovation, la santé, le bien-être et la gourmandise jouent leur va-tout pour dévoiler une sélection de quatre mousses. La framboise plaît pour son zeste d'acidité et son parfum boisé. La version citron intense et audacieuse dénote une douce acidité. Aux fruits de la passion, la Woos décoiffe par sa mosaïque d'arômes exotiques. La Woos à la mangue, la dernière-née de la gamme, propose, quant à elle, un goût vrai et équilibré. S'adressant aussi bien aux particuliers qu'aux salons de thé, aux barmen ou aux restaurateurs, les Woos viennent sublimer les petits-déjeuners, le goûter ou le cocktail du soir à déguster en famille ou entre amis. Elles accompagnent à merveille certains desserts cuisinés ou se dégustent avec du fromage blanc. Points de vente Vous pourrez trouver les Woos à la Grande Épicerie de Paris, chez Alice Délice ainsi que dans les meilleures épiceries fines en région et sur l'e-shop de Woos. ...
À hôtes particuliers, prestations particulières. Qu’il s’agisse de partenaires d’affaires à impressionner ou de relations personnelles de marque, certaines personnes méritent simplement qu’on leur propose ce qu’il y a de mieux. Et le mieux, c’est toujours l’exceptionnel, créneau dans lequel Le Connoisseur est passé maître grâce à son carnet d’adresses élégamment fourni. Le mot d’ordre : créer des émotions mémorables en faisant faire des rencontres uniques. Donner accès aux merveilles insoupçonnées de Paris « Des accès privilégiés dans des lieux uniques », ce sont les termes qu’utilise Olga Vincent, première muse chez Le Connoisseur pour résumer ce à quoi sa clientèle est en droit de s’attendre. Une approche d’exclusivité qui fait la signature et la force de cette agence spécialisée dans la création de séjours d’exception à Paris. L’idée de cette enseigne est née de la longue expertise de sa fondatrice dans l’organisation d’événements dans la ville lumière. Sous cette appellation, l’enseigne compose des idées de circuits et de séjours sur mesure dans la capitale, en mettant l’accent sur le luxe. Les clients ont la possibilité de commander la totalité du séjour ou juste une visite privée. Ces séjours ou expériences célèbrent tantôt la mode, tantôt la gastronomie, ou encore la culture. Au final, le même objectif : donner au visiteur des souvenirs de Paris qui dépassent les clichés et les expériences de masse, même les plus magnifiques. De Connoisseur à connaisseurs : un partage d’expériences authentiques à la carte Express ou de plus longue durée, chaque passage à Paris constitue un prétexte suffisant pour découvrir les facettes les plus intimes de la ville. Le Connoisseur détient les clés pour ouvrir aux adeptes les antres les plus secrets de la mode, à travers son fashion tour. Cette expérience exclusive dévoilera les coulisses d’un artisan de luxe ou d’un créateur célèbre avec lequel la marque développe des collaborations. De Saint-Honoré à l’avenue Montaigne, en passant par le Marais, le client s’adonnera ensuite à une virée shopping comme il n’en expérimentera pas ailleurs. Place Vendôme, l’émerveillement s’enveloppe de touches éclatantes lorsque l’un des hauts joailliers de cet endroit mythique ouvrira ses portes pour un accueil personnalisé. Œnologue par passion, qui croit tout savoir des crus du pays ? Paris détient encore quelques secrets que l’on perce à jour lors d’une visite privée dans un domaine familial implanté à l’ouest de la ville. Des collaborateurs et des clients hautement impressionnés Un partenaire à accueillir ou un collaborateur à récompenser ? Le Connoisseur joue plus que jamais la carte de la création d’émotions intenses dans ses offres dédiées entreprises. Les responsables de l’organisation de journées incentive peuvent naturellement demander des séjours personnalisés et des visites à la carte. Au programme : - sortie de service, soirée ou animation en relation avec le métier de l’entreprise cliente dans des musées peu connus et autres lieux confidentiels; - dîner animé par un expert: artisan, joaillier, bottier, qui présentent leur savoir-faire unique et invitent les participants à faire sa propre création ludique; - invitation privilégiée dans l’univers d’une marque de luxe, cocktail dans un salon de la marque. La gastronomie à l'honneur Pourquoi ne pas booster la cohésion de groupe en les mettant autour d’une même table pour préparer un plat illustre de la gastronomie française. Un chef étoilé pourra tout à fait être de la partie pour rendre l’expérience encore plus constructive et mémorable. Il est encore possible de pousser le mariage de l’utile à l’agréable jusqu’à l’extase de l’instant où tout le monde goûtera le chocolat créé spécialement et fabriqué avec un ma...
Les Yvelines, une terre d’opportunités Premier département industriel d’Île-de-France, Les Yvelines entretiennent depuis quelques années une belle dynamique en concentrant plus de 18 % de l’emploi industriel de la région. Il est également le premier département en Recherche et Développement d’Île-de-France. Accusant un PIB /habitant très élevé, les Yvelines comptent parmi les départements les plus prospères à l’échelle nationale. Le département bénéficie en effet de la présence de nombreux acteurs économiques regroupés autour de quatre filières d’excellence : l’industrie automobile et aérospatiale, les éco-industries et la filière TIC. Une ressource humaine jeune et qualifiée Sur le plan démographique, le département compte environ 1,4 million d’habitants avec 28 % de jeunes de moins de 20 ans. Les Yvelines se dotent d’une cinquantaine de centres de formation comprenant un réseau de lycées internationaux, six grandes écoles ainsi que l’université de Versailles-Saint-Quentin. Près de 10 000 actifs évoluant dans les professions intellectuelles supérieures sont recensés sur le territoire. Un endroit où il fait bon vivre La ville de Rambouillet remplit toutes les conditions pour offrir une qualité de vie très appréciable. « Une étude réalisée en juillet 2015 place Rambouillet au 9ème rang des villes où il fait bon vivre en France » souligne M. MEMAIN, vice-président, chargé du Développement économique. Un des critères pris en compte dans ce classement concerne le taux de chômage. Sur ce point, la ville affiche un taux relativement bas oscillant entre 5,4 et 5,7 % en fonction des trimestres. Une performance qui reflète notamment la bonne santé économique de Rambouillet. Un véritable vivier d’entreprises Sur le territoire se trouvent des entreprises appartenant à deux pôles de compétitivité : la Cosmetic Valley (sciences de la beauté et du Bien-Être et Mov’eo (secteur de l’automobile et des transports collectifs). Localement, la filière parfumerie et cosmétique est représentée par des grands noms comme Guerlain et L’Oréal. Il en va de même pour la filière de l’automobile avec Continental ou Veolia, implantées à Rambouillet. Au-delà de ces fleurons, on note aussi la présence de groupes internationaux (Rehau, Shüco) et d’un réseau de PME-PMI dynamiques (SNEF, EBP, Noe, Polysem, A2V, Sentosphère, Rouxel…) Un dynamisme qui se traduit par un chômage peu élevé : avec un taux de 5,7% début 2017, le niveau de chômage dans le bassin d’emploi de Rambouillet est l’un des quatre plus bas en France. « Nous sommes adhérents à MOV’EO et nous avons un projet portant sur un véhicule autonome et qui s’inscrit actuellement dans une démarche d’expérimentation et d’innovation» explique monsieur MEMAIN. Parc d’activité(s) Bel Air – La Forêt : donnez de l’air à votre entreprise ! Établi sur une superficie totale de 63 hectares, le parc d'activités Bel Air-La Forêt est un endroit unique dédié aux entreprises du tertiaire et de la petite industrie. À seulement 35 minutes de Paris et offrant un large choix de transport, le parc profite d’un emplacement stratégique. Au sein de cet environnement qualitatif, les conditions de travail sont optimales. Il faut savoir que 40 % du parc sont réservés aux essences végétales de la région. Au niveau architectural, tout a été conçu afin de préserver un équilibre entre le bâti et l’espace naturel. Séduites par les multiples attraits de Bel Air – La Forêt, des entreprises telles que DBA, A2V, CTA MGA ou encore DUPONT RESTAURATION ont saisi l’opportunité de s’implanter sur la zone. Ces entreprises ont non seulement tiré avantage des prix compétitifs, mais elles ont également bénéficié d’une exonération sur la taxe d’aménagement (part communale). ...