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© Philippe Vaurès Santamaria
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Interview avec Christopher Coutanceau
Chef du restaurant Christopher Coutanceau



Restaurant
2 étoiles au Guide Michelin
situé à La Rochelle
Région Nouvelle Aquitaine

Dans votre restaurant, comment définissez-vous votre cuisine ? Quels sont vos plats «Signature»? Avec quels produits aimez-vous travailler ?

Christopher Coutanceau Une cuisine de poissons, saine, de saison et éco-responsable mettant en valeur le produit pour le sublimer. Je suis un "cuisinier pêcheur".
L’univers marin est omniprésent dans mon restaurant qui surplombe la plage de la Concurrence à La Rochelle, du mobilier à la vaisselle, et bien sûr à la carte. Je ne travaille que des poissons de ligne, coquillages et crustacés issus d’une pêche locale, écoresponsable.
Défenseur de la pêche durable et de l’anti-gaspillage, passionné depuis ma plus tendre enfance, ma ligne directrice est claire depuis toujours. Et c’est dans mon restaurant éponyme, récompensé par deux étoiles Michelin que je gère avec mon associé Nicolas Brossard, que je m'’y atèle. A la criée tous les matins, je choisis avec amour et passion les plus beaux produits de la pêche, coquillages, crustacés ou poissons. En grand passionné, je m'investis fortement dans la défense de la faune et de la flore marine. Je collabore avec de nombreuses associations de préservation des ressources marines. Je sors un livre le 9 Mai prochain aux éditions Glénat qui sera une ode à cet univers marin et à ma cuisine que je chéris tant : « Christopher Coutanceau, Cuisinier Pêcheur ».

Quelles émotions avez-vous ressenties lors de la remise des étoiles du Guide Michelin ?

CC Beaucoup de joie de conserver nos deux étoiles depuis 32 ans et la motivation d'aller tous les jours encore plus loin dans l'excellence.

La cuisine est faite chaque jour de partage et d'émotions. Toutefois, certains moments de la vie sont à privilégier plus que d'autres... Pouvez-vous nous confier vos plats rêvés pour :
- Un repas de Noël ?

CC Que ce soit des huîtres / du foie gras / un chapon mais le plus important c’est avec qui ont le partage…

- Un repas de la nouvelle année ?

CC Pour la nouvelle année, nous travaillons mais mettons tout en œuvre pour rendre nos clients heureux. Le client est roi. Et C'est Nicolas Brossard, mon associé et ancien chef sommelier, qui est animé par la même volonté de mettre en valeur le patrimoine gastronomique régional. Il fait la part belle aux vins charentais et vendéens, étoffant avec appétence une cave réputée depuis plus de trente ans, une des plus belles de France avec plus de 1800 références et 19000 bouteilles.

- Un repas de Saint-Valentin ?

CC Pour la Saint-Valentin j’aime les Saint Jacques à la truffe et pour suivre un homard avec sa sauce corail et un dessert au chocolat

- Un repas de la fête des mères ou des pères ?

CC Pour la fête des Mères ou Pères un plateau de fruits de mer. Je sais que mes parents adorent ça!

Au fait, pour votre mariage, qui a fait la cuisine ? Pouvez-vous nous indiquer les plats cuisinés ?

CC Je ne suis pas marié, mais si c’était le cas je le ferai au restaurant Christopher Coutanceau évidemment avec mon équipe. La vue est magique !
et je cuisinerai ceci:
- Civet de homard
- Bar de ligne, artichauts sauce Saint-Emilion
- Langoustines vivantes en tartare et caviar.
- Pigeon de Madame Le Guen aux épices.
- Fromage
- Pièce montée.
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© Philippe Vaurès Santamaria

Sans trop réfléchir, pouvez-vous nous confier votre plus beau souvenir gustatif et certaines des émotions procurées ?

CC Sans hésiter, chez André Léon à Cadix : 18 plats sur les produits de la mer : dont une Peau de murène soufflée, de la Charcuterie marine, Lisettes, oursins et caviar. Je me souviens de chaque saveur et chaque plat.

D'après la célèbre devise de Prosper Montagné "On ne fait du bon qu'avec du très bon", pouvez-vous nous révéler deux ou trois de vos adresses gourmandes. Vos producteurs et produits préférés sur votre région ou ailleurs (vins, produits frais, ou autres...)

CC Mon ami Philippe Bailly, « la ferme du maréchal » agriculteur bio de légumes qui travaille que pour moi selon mes listes de saison.
Mon ami Stephane Boutin « Les viviers Renaud Boutin » au port de pêche de La Rochelle qui fait des coquillages et crustacés.
Mon ami Laurent Hurteau mytiliculteur, avec les moules de bouchots de Charon.

On parle aujourd’hui beaucoup de cuisine fusion, de plats végétariens, d'aliments biologiques, de « Trashcooking » (ingrédients destinés normalement au rebus), de « Freakshakes » pour marier un dessert à une boisson... Selon vous quelles seront les grandes tendances de la cuisine de demain ?

CC Je pense que c’est la cuisine de beaux et de vrais produits de saison qui sont mis en valeur dans les règles de l’art, tout simplement.

Culture - Cinéma Quelle est votre scène préférée de cinéma au restaurant ? Un souvenir de film avec une séquence particulière...

CC 2 scènes mythiques:
« Le grand restaurant » avec Louis de Funès pendant les entraînements pour le service en salle.
« L’aile ou la cuisse » avec la vérité des produits Tricatel. Un film visionnaire !
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© Sylvie Curty
© Sylvie Curty
© Sylvie Curty

Si vous aviez un hommage à adresser à Paul Bocuse, quel serait-il ?

CC Monsieur Paul Bocuse était le Pape de la cuisine Mondiale, il nous a mis sur le devant de la scène et a fait reconnaître notre métier. Il s’est toujours battu pour les artisans producteurs, nous avons perdu notre père.
Adresse | Contacts utiles
image-prop-contact-christopher-coutanceau Christopher Coutanceau Plage de la Concurrence
17000 La Rochelle

Tél. : 05 46 41 48 19
Site Internet

Récompenses
2 étoiles au Michelin
Membre de l’association des Grandes Tables du Monde
Membre des Relais et Châteaux

Christopher Coutanceau : les avis

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Hameau des Baux : un nouveau concept hôtelier où il fait bon vivre

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CoHomly : l’unique plateforme de mise en relation entre famille et étudiants

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Esprit 50 cl : haut lieu de l’excellence

C’est dans la capitale de l’art de vivre que le palace des champagnes et des spiritueux vous ouvre ses portes. Chaque bouteille y est révélatrice d’une histoire, d’une effluve de chaleur humaine et de savoir-faire à découvrir. La nouveauté, la qualité et la passion sont les mots d’ordre d’Alain Caste, maître de ces lieux uniques de l’Est parisien et ambassadeur de l’alcool d’exception sous toutes ses coutures. Le joyau des caves à spiritueux Couleurs sobres et élégantes, décor contemporain et atmosphère feutrée caractérisent d’emblée ces lieux au style novateur où tout a été savamment pensé afin de mettre en valeur chaque bouteille à l’instar de l’étagement épuré et de l’éclairage optimal. L’envie trouve son expression dans cet agencement propice à la flânerie gourmande et à la découverte de saveurs typées grâce aux conseils généreusement prodigués par le caviste. Dans une ambiance conviviale, chaque hôte sera amené à découvrir par lui-même son produit en le visualisant, en palpant son flacon, en humant son odeur et en le goûtant, tout cela avec un fond musical appelant à l’exaltation des sens et à la satisfaction de l’appétence gustative. L’aménagement a, de plus, été conçu afin d’attirer un public de connaisseurs et d’amateurs éclairés, notamment la gent féminine friande de meilleures succulences que celles qu’elles ont connues dans leur jeunesse. L’interaction entre le caviste et les visiteurs se veut être conviviale et emplie de la bonne humeur qui caractérise l’amour du « bon alcool». Ce concept innovant, unique et guidé par un esprit avant-gardiste trouve son essence dans le « désir de s’éloigner du code traditionnel des cavistes tout en proposant des produits de très bonne qualité, mais à un prix très abordable», affirme Alain. Du haut de gamme à portée de mains Le génie d’Alain Caste, à l’origine de cette entreprise, priorise une sélection rigoureuse de ses produits afin de faire de chaque flacon un voyage vers l’excellence. Allant des bouteilles primées en compétitions internationales, composant 75 % de la collection de l’Esprit 50 cl, à celles référencées dans les plus prestigieuses tables étoilées et officielles d’Europe, en passant par les cuvées méconnues à découvrir, « la qualité est le premier critère de sélection [suivi] du caractère exclusif, voire rare de certaines bouteilles », selon Alain. Cet engagement qualitatif s’exprime par une « large et rigoureuse gamme de produits » méticuleusement élaborée par Alain qui n’hésite pas à dénicher les perles rares qui viendront agrémenter sa cave dans des distilleries et des maisons productrices de spiritueux du monde entier. L’Amérique, l’Europe, l’Asie ou encore les Antilles sont autant de sources de richesse, d’authenticité et d’histoire composant cette mosaïque de saveurs. Élixirs européens en édition limitée, nectars des Tropiques en série intime et goûts d’ailleurs se retrouvent ainsi dans une collection éclectique où « n’importe quelle bouteille sera une bonne bouteille ». S’illustrant ainsi comme le précurseur du mélange harmonieux entre cave contemporaine et produits haut de gamme faisant la renommée de leurs terroirs, la cave Esprit 50 cl dévoile les secrets d’élaboration, d’habillage et de dégustation du champagne, du gin, de la vodka, du saké, du calvados et d’autres spiritueux exquis, de très grande qualité et accessibles. ...

Festival «  Empreintes d’artistes » :
le rendez-vous des amateurs d’art, du 29 juillet au 14 août 2016

Au programme : expositions de photos, d’illustrations et performances artistiques. Festival «  Empreintes d’artistes : une édition riche en programmation Parmi les artistes seront présents Corneille (Cobra), avec les Collections du Musée de l’Imprimerie de Nantes, Serg Gicquel, l’éditeur belge Daily Bul, et la photographe Marie-Louise Bréant. L’initiative vient de la maison d’édition Ligne de Légende, spécialisée dans la publication de livres d’art. ...

Cognac Frapin : fief du cognac haute-couture

Du cognac dans toute son authenticité. C’est la promesse faite par la maison Frapin à tous les amateurs de cette prestigieuse eau-de-vie, symbole de l’art de vivre français. Avec son vignoble exceptionnel, la maison Frapin incarne avec passion la grande tradition d’une famille installée en Charente depuis 1270. Le vignoble de plus de 240 hectares situé au cœur de la Grande Champagne, l'appellation la plus prestigieuse du Cognac, jouit d’un terroir unique qui apporte complexité, richesse, élégance et finesse aux cognacs. Des produits dont la régularité et la qualité se maintiennent depuis le XIX siècle… Une belle épopée familiale Difficile de parler de Cognac Frapin sans évoquer son historique familial dont le prélude s’entame au XIIIème siècle, lorsque la famille Frapin s’installe en Charente, à Ségonzac. À l’époque, elle se lance dans les activités de viticulture car le cognac n'existait pas encore. C’est à partir du milieu du XVIIème siècle que la production cognaçaise s’amorce. Pour symboliser la marque, la famille choisit la plume en hommage à François Rabelais, célèbre écrivain humaniste et épicurien, fils d’Antoine Rabelais et d’Anne-Catherine Frapin. D’ailleurs, des cuvées « Rabelais » ont également été produites au domaine pour faire honneur à cet illustre aïeul. L’histoire de Frapin est également liée à un autre grand personnage qui n’est autre que Gustave Eiffel. En 1889, à l’occasion de l’exposition universelle de Paris, Pierre Frapin reçoit une médaille d’or symbolisant la qualité des cognacs Frapin. « Les deux personnages font connaissance durant cet évènement. Trois ans après, en 1892, l’équipe de Gustave Eiffel est venue réaliser la charpente métallique d’un chai que l’on montre lors des circuits de visite », raconte l'équipe de communication. De la vigne au flacon Grâce à sa position géographique privilégiée au cœur de la Grande Champagne considérée comme le Premier Cru de cognac, la maison Frapin parvient à produire des vins sublimés par une intense richesse aromatique. « Des vins qui donnent ensuite naissance à des eaux-de-vie plus fines », tient à préciser Patrice Piveteau, Maitre de chai. Ici, seul le cépage Ugni-blanc est cultivé car il a pour atout d’offrir une certaine acidité et une plus grande régularité. Après les vendanges et la vinification, la magie s’opère lors de la distillation faite de façon artisanale. « Nous distillons tout sur lies car cette technique procure une meilleure richesse aromatique », fait savoir notre interlocuteur. Place maintenant au vieillissement. Toujours dans cette quête d’authenticité, le Maître de Chai mise sur deux styles qui diffèrent selon le type de chai. Patrice Piveteau nous explique. « Nous utilisons des chais humides posés à même le sol sur de la terre battue. L’évaporation modérée procure au cognac plus de rondeur et de souplesse. En parallèle, nous avons également des chais secs placés à l’étage sous les toits. L’évaporation accentuée donne un cognac plus fort et puissant avec plus de finesse. » De ces procédés minutieux et originaux naissent des cognac XO haut de gamme comme le XO VIP et l’EXTRA. Le Château Fontpinot XO Frapin mérite aussi toutes les attentions par son caractère exclusif. « Au niveau de la Grande Champagne, nous sommes la seule maison de cognac à détenir cette appellation Château ». Un savoir-faire à venir découvrir avec le circuit de visite que propose la maison toute l’année sur RDV. ...

Sport et santé, Hopale a les clés

Ils sont plus de 200 sportifs à franchir chaque année la porte de la Fondation Hopale. Situé à Berck-sur-Mer, sur la Côte d’Opale, le site accueille footballeurs, basketteurs, judokas ou encore coureurs. Toutes disciplines confondues, ils viennent des clubs régionaux mais aussi de la France entière et de l’étranger. Ils sont nombreux à solliciter les médecins et chirurgiens hopaliens, afin de bénéficier d’un plateau de rééducation hautement spécialisé et dédié aux sportifs, le tout face à la mer. Les soins dispensés sont de qualité et l’établissement dispose désormais d’une certaine notoriété. Une prise en charge de A à Z Ligaments croisés, lésions du ménisque, instabilités d’épaules, tendinites, rupture du tendon d’Achille et autres blessures musculaires sont autant de pathologies qui guettent les sportifs. Matthieu Bataille, judoka français, en a fait les frais en 2008. Alors qu’il remporte le bronze un an avant aux championnats du monde, le sportif se blesse au ligament latéral interne. L’opération est inévitable. La rééducation se déroulera dans la station de Berck-sur-Mer, à la Fondation Hopale. « Ma famille vit dans le secteur, ce qui avait initialement motivé ma décision. Je ne l’ai jamais regrettée car j’ai été très bien suivi. Même si les journées étaient chargées entre la kinésithérapie, la préparation physique et la balnéo ! » Ce choix sera payant. Trois ans plus tard, en 2011, Matthieu Bataille remporte l’or mondial par équipe. « Nous sommes l’un des rares établissements où l’on peut tout faire », affirme le Dr Jérémie Caudin, médecin de médecine physique et de réadaptation. « De l’acte chirurgical à la rééducation, en passant par la réathlétisation, tout est sur place. »  En plus de la rééducation, un sportif de haut niveau a besoin de s’entretenir et, à la Fondation Hopale, il peut profiter d’appareils de musculation, de tapis de course, dont un tapis antigravité, d’une balnéothérapie, avec bains froids et chauds, de jacuzzis... Les athlètes sont chouchoutés afin qu’ils retrouvent au plus vite le chemin de la guérison et des compétitions.  « Quatre mois après sa sortie, le sportif est invité à revenir », ajoute le Dr Antoine-Xavier Malliopoulos, chef du département de rééducation orthopédique, traumatologie, rachis, appareillage et rééducation du sportif. « On lui fait alors un test isocinétique, qui permet de connaître la force développée par le patient. Suivant les résultats, un programme de reconditionnement musculaire est possible. Nous utilisons différentes techniques de pointe pour d’autres pathologies, comme les ondes de choc ou l’injection de facteurs plaquettaires pour les problèmes de tendons. » La Fondation possède également un service appareillage qui complète cette chaine de soin et de rééducation. On y fabrique, par exemple, des masques pour que les sportifs puissent recommencer l’entrainement sans crainte, après une fracture faciale, et on y adapte aussi des fauteuils roulants ou des kayaks pour la pratique du handisport. Bientôt un Institut du Sport de référence  C’est l’objectif affiché pour les mois à venir. La Fondation Hopale aimerait tendre vers une structure entièrement consacrée au monde du sport. Jusqu’alors, la prise en charge des sportifs était possible, notamment, grâce à l’association Hopale Sport Santé, créée en 2013. « L’une des missions est de promouvoir la prévention de la blessure », précise le Dr Malliopoulos. « Par exemple, grâce à une évaluation dynamométrique effectuée en début de saison dans différents clubs de la région. Cela permet de mesurer le risque de blessure et de le corriger si besoin. »  Cette prévention sera accentuée et renforcée avec la naissance de ce projet d’Institut du Sport, qui proposera des stages de préparation physique aux sportifs aguerris, valides ...

L’agence Mont-Saint-Michel Voyages
 

Il crée une agence de voyages réceptive, Mont Saint Michel Voyages dans le but d’offrir un accueil et des prestations d’une qualité, à tous égards, à la hauteur de ce site hors du commun. Ce projet audacieux se justifie par la dégradation galopante de l’aura de ce site à travers le monde suite aux conditions d’accueil contestables dans tous les sens du terme. Disons tout de suite que cette obsession de l’initiateur du projet se révélera prémonitoire lorsque débarqueront sur le Mont les instances chargées de la « requalification de l’accueil » dernière étape du grand projet de rétablissement du caractère maritime. Cette agence a pour but d’organiser accueil, visites, séjours, circuits destinés à découvrir le site et sa région. Très vite, la direction de l’agence comprenant que sa réputation était largement entachée par la qualité contestable de la restauration offerte à ses clients et naturellement sous-traitée, décide de créer son propre restaurant, conforme à ses conceptions : c’est ainsi que nait La Ferme St Michel, aménagée dans une ancienne ferme des polders, implantée à l’arrivée au Mont, dernier vestige d’une ruralité en voie de disparition juste avant le Las Vegas, faubourg du Mont. Afin de mieux décrire cette nouvelle aventure, répondons aux questions du visiteur : Pourquoi cet ensemble sous l’égide du groupe familial Baie Mont et Merveilles ? La création d’une structure touristique offrant des prestations éclectiques, implique la collaboration et la participation de métiers très divers pour obtenir une cohérence et une adhésion aux valeurs de base présidant à l’exercice du métier. Les différents acteurs doivent accepter le principe d’un minimum de fédération. Par ailleurs, s’agissant de petites structures dans ce monde de la concentration autour de grosses structures, leur survie implique un regroupement. On y retrouvera les filiales familiales et des acteurs extérieurs. Quelles activités sont pratiquées et offertes aux clients ? La panoplie est large : tout d’abord des prestations « sèches » : hébergement, restauration, visites, activités religieuses, culturelles, sportives, ludiques. Puis des séjours complets pour des couples ou des groupes, des circuits à thèmes ou de découvertes, des conférences et des visites… Mais où se situe la différence avec l’existant et le banal ?  Tel l’a voulu son créateur, quelques mots clés :  aller à contre courant, cultiver la différence, à savoir sortir de la banalité, - respecter l’authenticité, les valeurs, l’histoire, le passé, la nature … - adapter les propositions à la sensibilité, au souhait du client : du sur-mesure ! Quelles sont les qualités dominantes de la prestation ? - Le souci de la qualité voire de la perfection, le soin du détail, l’exigence de la rigueur et un professionnalisme sans conteste.                                                                                                                                         Pour quels clients ? - Des couples, retraités, familles, associations, entreprises pour des repas et séminaires, rencontres de promotions de grandes écoles, jumelages de villes. - nombreux autocaristes et agences de voyages. - administrations, écoles militaires, groupement d’officiers de réserve, les telecom, villes, collectivités - groupes industriels : pharmacie, agro alimentaire, bâtiment, travaux publics… ...

« Les maladies rares sont un vrai problème de santé publique »

Pouvez-vous nous rappeler ce qu’est une maladie rare ? La définition classique est très « épidémiologique ». Elle stipule qu’une maladie est dite rare si sa prévalence est inférieure à 1 pour 2 000. Pour autant, si l’on additionne toutes les personnes qui souffrent d’une maladie rare, cela devient un véritable problème de santé publique. Combien en recense-t-on ? On dénombre plus de 6 000 maladies rares. Et 80 % d’entre elles ont une origine génétique. Les maladies rares sont donc majoritairement génétiques ? Oui. Mais pas nécessairement. Par exemple, certaines maladies rares auto-immunes ou inflammatoires n’ont pas, à priori, de composante mendélienne évidente. C’est à dire qu’elle ne sont pas causées directement par des mutations « fortes » identifiées dans un gène donné. Quelles peuvent être leurs particularités ? On a tous les cas de figures. Une très large proportion des maladies rares sont graves - voire très graves - et peuvent être hautement handicapantes pour les personnes qui en sont atteintes. Beaucoup d’entre elles sont également chroniques, c’est à dire qu’elles durent longtemps et qu’elles évoluent avec le temps, souvent en s’aggravant. Et beaucoup d’entre elles commencent parfois très tôt dans la vie. Quelles sont les causes des maladies rares ? Sont-elles toutes connues ? Sur l’ensemble des maladies rares dites « génétiques », on estime aujourd’hui à 50 % le nombre de celles dont on a pu identifier précisément la cause, à savoir, le plus souvent l’identification d’une mutation dans un gène précis. Mais une fois que l’on a identifié la cause génétique d’une pathologie rare, encore faut-il comprendre les mécanismes qui font que cette maladie va se développer. Et quelles sont les conséquences sur les cellules de l’organisme du patient des mutations présentes dans le gène responsable. Il faut ensuite identifier des stratégies de recherche pour développer des traitements. D’où l’importance cruciale que revêt la recherche sur les maladies rares. « Je fais de la recherche mais je reste avant tout médecin »Quelles sont vos spécialités ? Je me suis spécialisée dans la génétique ophtalmologique et les maladies rares de l’œil que nous suivons dans notre centre de référence (CARGO). Ici, depuis Strasbourg, je coordonne « SENSGENE », la filière nationale de santé des maladies rares sensorielles dédiée aux surdités génétiques et aux maladies rares de l’œil. Ainsi que le réseau européen de référence destiné aux maladies rares de l’œil. (ERN-EYE).De quelle façon intervenez-vous au sein du CARGO, le Centre des Affections Rares en Génétique Ophtalmologique de Strasbourg ? De plusieurs façons. En tant que coordinatrice de ce centre, j’en assure la gestion générale, notamment au niveau de l’insertion locale, régionale et nationale. Mais je suis aussi médecin. Ma mission est donc avant tout de m’occuper le mieux possible de chaque patient. La plupart de ceux que je reçois en consultation au CARGO sont atteints de maladies génétiques de l’œil comme, par exemple, la rétinopathie pigmentaire ou encore des malformations oculaires. « L’errance est la cause d’une grande souffrance psychologique chez les patients »Errance diagnostique, handicap parfois peu visible, sentiment d’isolement… Ce sont des choses dont vos patients vous parlent ? Oui. Avant d’arriver au CARGO, bon nombre d’entre eux ont déjà expérimenté l’errance diagnostique. Les maladies rares sont difficiles à diagnostiquer. Il n’est donc pas rare que leur cause médicale n’ait pas encore été identifiée après plusieurs années d’errance. Or s’il ignore de quelle pathologie il est atteint, le patient se trouve dans la situation très inconfortable d’un malade « sans maladie ». Il peut aussi arriver que le handicap ne soit pas visible. Par exemple, une personne malvoyante pourra se retrouver dans des situations difficiles. Et souffrir du comportement inadapté, voire dangereux des gens qui l’entourent. D’une manière générale, les patients atteints de maladies rares ont besoin d’une prise en charge la plus précoce et la plus efficace possible. Médicale, bien sûr mais aussi sociale, psychologique, professionnelle, etc. Enfin, une personne souffrant d’une maladie rare se sentira bien souvent isolée. C’est là que peuvent intervenir les associations. Elles permettent non seulement aux malades mais aussi à leurs proches de rencontrer d’autres personnes qui se trouvent dans la même situation, d’échanger avec elles. Et de devenir des acteurs très importants dans le monde des maladies rares.Au terme d’une errance diagnostique, il peut donc arriver qu’un malade soit soulagé que l’on mette un nom sur la pathologie dont il est atteint ? Tout à fait. Les patients sont souvent reconnaissants que l’on ait diagnostiqué leur maladie. Et qu’un terme ait été mis à leur errance diagnostique. Outre l’aspect psychologique que revêt le diagnostic clinique pour le patient, c’est un passage important. Il marque le point de départ de toute une série d’actions : amélioration de la pri...

KAOKA : un chocolat bio équitable d’excellence

En vrai visionnaire, André Deberdt était à l’origine de la création du label Bio équitable et était à la fois un acteur majeur au sein du réseau Biocoop. Il fonde KAOKA en 1993, et  choisit de se concentrer sur le cacao et le chocolat afin de maîtriser toute la chaîne de valeur, depuis la plantation jusqu’à la commercialisation des produits finis. Un cacao éthique et de qualité Présente sur quatre filières, à savoir l’Équateur, Sao Tomé, le Pérou et la République Dominicaine, la société entre en relation directe avec les producteurs locaux et s’investit dans une stratégie de codéveloppement concertée pour pérenniser l’activité. L’une des valeurs éthiques véhiculées par KAOKA est le respect des hommes, qui se concrétise par la mise en place d’un cadre de travail optimal ainsi qu’une rémunération juste et honnête. Cet enrichissement mutuel se poursuit notamment dans la mise en place de coopératives regroupant les petits planteurs de cacao, qui bénéficient d'équipements performants utilisés dans les étapes de fermentation et du séchage. Ces investissements garantissent une meilleure qualité des récoltes tout en simplifiant les activités des producteurs. Dans sa vision d’un partenariat à long terme et pour faire face aux menaces de la pénurie de cacao, la société a également développé une technique agronomique basée sur la méthode du greffage comme solution viable pour les deux parties. Au-delà de l'augmentation de la production de cacao pour les producteurs, cette technique permet surtout d'encourager et favoriser la culture des variétés locales de cacao aux arômes originels et exceptionnels. Cette démarche reconnue a valu à KAOKA l'obtention de la certification FFL pour l'ensemble de ses produits, selon le référentiel pointu et exigeant BioPartenaire. Une palette bien gourmande Selon l’origine des fèves, les produits KAOKA révèlent une typologie aromatique bien spécifique et riche en saveurs. La gamme Noir Dégustation qui est l’ambassadrice de la maison se décline en plusieurs tablettes et s’adapte au goût de chacun : allant d’un mélange de saveurs plus délicates jusqu’au noir intense à 90 % pure pâte de cacao. Récemment, la marque a lancé deux nouveaux produits : l'un agrémenté de citron-gingembre et l'autre de noix de coco, pour apporter une note exotique plus soutenue. En outre, la gamme pâtissière (chocolat de couverture, pépites et poudres de cacao) est souvent appréciée par les fabricants chocolatiers et les artisans pâtissiers, de par sa qualité et conformité à leur exigence. ...

Château Kirwan, un domaine de référence

Le Château Kirwan, un Margaux authentique et élégant L’AOC Margaux est la seule appellation communale du Haut-Médoc à porter le nom d’un premier grand cru classé et une des plus prestigieuses et des plus vastes appellations du Médoc. Elle s’étend sur 1 400 ha et produit 21 crus classés sur 61 dans tout le Médoc.  Le vignoble se trouve au sud du Médoc sur des terroirs sablonneux, graveleux et argileux. C’est un assemblage de 45 % de Cabernet-Sauvignon, 30 % de Merlot, 15 % de Cabernet franc et 10 % de Petit Verdot. Les Margaux se distinguent par leur élégance et leur finesse. En bouche, ils sont harmonieux, amples, soutenus par une fine trame de tanins délicats et savoureux. La finale est toute en harmonie et en élégance. Le Margaux est un vin "féminin", évolue et touche son apogée 15 à 20 ans plus tard selon les millésimes.  Le Château Kirwan, une belle aventure Au 18ème siècle, Sir John Collingwood, important négociant britannique installé à Bordeaux pour le commerce avec l’Angleterre règne sur le Domaine de Lasalle. Son gendre Mark Kirwan hérite de ce prestigieux vignoble en l’agrandissant avec une parcelle voisine et en lui donnant son propre nom « Kirwan ».  L’authenticité de ses terroirs et la qualité des vins ont permis au château d’être classé 3ème Grand Cru Classé du Médoc en 1855, avant de passer dans les mains de la famille Schyler en 1926. Château Kirwan, un Grand Cru Classé par excellence Il se distingue à l’œil par sa couleur rouge profonde et sa belle robe. Au nez, il est élégant et on sent ses arômes de fruits rouges mûrs. En bouche, il est savoureux, gourmand et a une longueur aromatique. « Il envoute votre palais avec des fruits superbes », nous explique Sophie Thierry. Il s’accorde parfaitement avec les mets à base de viande blanche, les charcuteries et bien d’autres choses. Charmes de Kirwan, un jeune vin plein de charme C’est la deuxième cuvée du château. Ce vin est issu des vignes qui ont moins de 8 ans. Le Millésime 2009 est de couleur rubis foncé. Au nez, il est élégant avec des notes de fruits mûrs et une attaque fraiche. En bouche, il est ample et a une saveur aromatique. La finale est longue et aromatique. ...

UIC-P Espaces Congrès : vos évènements
au pied de la tour Eiffel

Quel que soit le type d’évènement, privé ou professionnel, UIC-P Espaces Congrès dispose de tous les atouts pour faire de chaque évènement professionnel ou privé une réussite totale. Des espaces modulables et équipés En tout, l’UIC-P Espaces Congrès compte 14 salles modulables d’une superficie allant de 20 à 300 m2. La capacité d’accueil varie entre 10 et 300 personnes. Pour offrir davantage de confort, toutes les salles bénéficient de la lumière du jour, de la climatisation et d’une connexion Wi-Fi ultraperformante et sécurisée. Par ailleurs, chaque espace est doté d’un parc de matériels avec un équipement high-tech pensé pour les professionnels. « Nous disposons, entre autres, d’un mur d’images LED », spécifie Hassan Bentires, responsable commercial. Tous types d’évènements Grâce à ses différents espaces, l’UIC-P Espaces Congrès est à même de recevoir tous types d’évènements : conférences, séminaires, formations professionnelles, comités d’entreprise, lancements de produits, évènements privés… Ainsi, ses offres et prestations s’adressent aussi bien aux particuliers qu’aux professionnels. Une large gamme de services Outre ses infrastructures et ses équipements de haut de gamme, l’UIC-P Espaces Congrès fait bénéficier à ses clients d’un vaste choix de services. S’agissant, par exemple, d’une conférence internationale, la structure met à disposition des participants une équipe d’interprètes qualifiés. Pour assurer la restauration des invités, des traiteurs professionnels sont là pour leur proposer une carte variée de petits déjeuners, cocktails, buffets, déjeuners, plateaux repas, sandwichs… ...

Le Maroc et le golf : une tradition

L’image du royaume de Maroc est désormais liée à celle de ses nombreux et prestigieux parcours de golf. S’il fait aujourd’hui partie des meilleures destinations golfiques du monde, c’est en grande partie grâce aux initiatives du roi Hassan-II qui a donné son nom au trophée disputé par les champions d’aujourd’hui. Néanmoins, l’essor du golf au Maroc est aussi le fruit de plusieurs années de développement et d’investissement. Plus de cent ans d’histoire Le premier parcours de golf du Maroc a vu le jour en 1914.  Il s’agit du Royal Golf du Tanger. Plus tard en 1930, le Royal Golf Mohammedia, un nouveau parcours inspiré de la tradition écossaise a été créé. Le troisième parcours, celui du Royal Golf de Marrakech a ouvert ses portes 3 ans après. Mais le succès du golf marocain n’arrive qu’en 1971, sous le règne du roi Hassan-II. Passionné de golf, il crée un parcours de 45 trous, le plus grand du pays avec l’aide du célèbre architecte Robert Trent Jones Senior. La naissance du parcours Royal Golf Dar Es Salam accompagné du lancement du Trophée Hassan-II donne un vrai coup de pouce au golf marocain. Depuis, les parcours de golf, tous aussi prestigieux les uns que les autres ne cessent de se multiplier au Maroc pour en faire une destination golfique reconnue sur la scène internationale. Aujourd’hui, amateurs et golfeurs professionnels peuvent pratiquer leur sport favori dans le décor idyllique des paysages marocains. Le royaume possède plus de 40 parcours de grande qualité qui s’étendent du nord au sud du pays. Afin de perpétuer la tradition et la passion du golf héritées des souverains marocains, l’accès au golf est aujourd’hui gratuit pendant le tournoi Hassan-II. La fédération royale de golf ambitionne en effet d’élargir la base des pratiquants pour toucher tout le public quel que soit son statut social. Un produit phare du tourisme marocain Bien que la majeure partie des touristes choisissent encore le Maroc pour découvrir les villes anciennes, le golf est aussi devenu une importante source de revenus pour le secteur touristique. En effet, le Trophée Hassan-II étant inscrit dans l’European Tour, les parcours marocains sont mis sous les projecteurs et attirent de plus en plus les golfeurs d’Europe et d’autres pays. Près de la France d’où viennent 20% de ses touristes, le Maroc est la destination golfique privilégiée des français. Outre la proximité du Maroc, le choix des golfeurs est également motivé par l’existence de professionnels des séjours golf comme Parcours & Voyages. Par ailleurs, la création de parcours d’exception à travers le pays vise justement à développer le secteur touristique marocain, les golfeurs étant plus rémunérateurs que les touristes normaux. Il faut noter que les parcours de golf se développent autour d’infrastructures haut de gamme tels les resorts, les académies et les spas. Au Maroc, les emplacements de ces infrastructures permettent aussi de découvrir la richesse naturelle, culturelle et historique du pays. Les principaux parcours golfiques du Maroc Les parcours de golf du Maroc sont installés dans 7 régions aux climats et aux paysages différents. Celle de Marrakech accueille le plus grand nombre de parcours dont le plus connu est celui du Royal Golf de Marrakech. On y compte 12 parcours de 9 à 36 trous adaptés à tous les niveaux. La région d’Agadir quant à elle est marquée par des parcours de renommée internationale étendus sur une belle station balnéaire ensoleillée 300 jours par an. Dans la région de Rabat se trouve le fameux parcours Royal Golf Dar Es Salam, le premier 45 trous qui accueille le tournoi international Hassan-II. Il s’étend sur 440 hectares au cœur d’une nature luxuriante. La côte de Casablanca regroupe également un grand nombre de parcours dont celui du Royal Golf El Jadida, œuvre de l’architecte Cabell B. Robinson.  Si vous cherchez un parcours de golf non loin du cœur historique du Maroc, vous pouvez choisir entre ceux de Fès, Meknès et Ifrane. Pour ceux qui veulent découvrir le premier golf du Maroc, le Royal Golf Tanger a su garder son authenticité même après la rénovation. Vous trouverez également dans la région l’un des parcours les ...

Chalon-Coworking : le nouvel espace de travail partagé du centre-ville

Un nouvel espace de coworking à Chalon Le travail de free-lance vient avec son lot d’avantages : indépendance, choix des horaires de travail, gestion de son temps libre, choix de ses partenaires. La liste est sans fin. Mais comme toutes les bonnes choses, il est accompagné de son lot d’inconvénients. Parmi les différentes demandes exprimées par les travailleurs indépendants de Saône-et-Loire, il revenait souvent l‘absence d’un espace de coworking digne de ce nom à Chalon-sur-Saône. C’est chose faite avec l’ouverture récente de Chalon-Coworking, le tout nouvel espace de travail partagé du centre-ville. Les avantages de travailler dans le même espace « Je travaille moi-même comme free-lance depuis 2004 et j’entendais parler des espaces de coworking, particulièrement les Anglo-Saxons, qui se développaient de plus en plus. L’idée d’ouvrir mon propre endroit a germé depuis dans mon esprit, mais ce n’est qu’il y a deux ans que j’ai commencé effectivement les démarches. », explique Pierre Canthelou, fondateur de Chalon-Coworking. Il y a une énorme différence entre les espaces de coworking des grandes villes et ceux des plus petites agglomérations comme Chalon. Les attentes et les besoins, comme le public cible, ne sont pas les mêmes. Mais les avantages quand on sort de chez soi pour travailler dans un espace commun, avec d’autres free-lances, sont partout les mêmes. À Chalon-Coworking, on bénéficie d'un bel open space équipé de la fibre. L’accueil, assuré par Pierre lui-même, est parfait : café, écoute, ambiance de travail studieuse. « Une fois que le coworker passe le pas de la porte, il est généralement surpris par l’espace. C’est vrai que l’on se projette facilement ici. » En plus d’accueillir les travailleurs, le gérant s’occupe de faire la promotion de leurs activités sur son site Internet et sur les réseaux sociaux. Il met en relation les différents utilisateurs de l’espace en plus de les rapprocher d’autres réseaux professionnels de la région. Pierre organise aussi des ateliers orientés vers les professionnels. Tous les mois par exemple, une experte dans les techniques de massage vient soulager les nuques des participants. Mais les ateliers sont variés : informatique, design, développement de logiciels, il y en a pour tous les goûts. Le dernier vendredi du mois, il propose un petit déjeuner où les participants sont invités à discuter entre eux. Encore une manière de faire du réseautage dans une ambiance conviviale. Que l’on cherche un espace où venir travailler une heure, une journée ou même toute l’année, Chalon-Coworking est le nouveau bureau du centre-ville de Chalon-sur-Saône où venir poser son ordinateur. ...

Restaurant Logis de la Cadène : l’esprit étoilé de Saint-Emilion

Au cœur de Saint Emilion, place du Marché au Bois, une jolie bâtisse abrite Le Logis de la Cadène. Pour les familles du village et des environs, c’est une véritable institution qui a trouvé un nouveau souffle depuis que Stéphanie de Boüard-Rivoal a décidé d’en faire l’acquisition en 2013 au nom d’Angélus, la propriété familiale qu’elle dirige. Logis de la Cadène : une adresse historique Le choix de ce lieu, fondé en 1848, ne doit rien au hasard. Lorsque Stéphanie de Boüard-Rivoal l’évoque c’est en convoquant ses souvenirs d’enfance. Ici, elle venait en famille déguster la viande cuite aux sarments, dans la plus pure tradition locale. De cette histoire, Le Logis de la Cadène a conservé la convivialité et l’ancrage dans le terroir mais, depuis 2013, l’établissement a aussi considérablement évolué pour devenir une adresse prisée des gourmets et des gourmands, le prolongement idéal d’une visite dans les vignobles voisins. Le Logis de la Cadène a été entièrement rénové pour qu’on s’y sente comme dans une maison de famille. Le décor épuré à l'esprit « rustique-chic », dans les deux salles à manger, le petit salon de lecture et les cinq chambres toutes uniques et très cosy où dominent les matières nobles et brutes, crée une atmosphère à la fois chaleureuse et élégante propice à l’éveil de tous les sens. Une cuisine inventive et raffinée En coulisses, le jeune chef Alexandre Baumard,disciple de Paul Bocuse qui poursuivit ses « classes » auprès d’autres grands noms de la gastronomie tels Christophe Bacquié à l’Hôtel du Castellet (***) ou encore Laurent Saudeau au Manoir de la Boulaie (**), allie une grande maîtrise technique à un style personnel déjà bien affirmé. Son credo : la créativité au service des produits du terroir et de la tradition culinaire française qu’il prend plaisir à revisiter et à réinterpréter, selon les codes actuels mais toujours avec un infini respect pour les fondamentaux. Une approche et un engagement passionné très vite salués par une première étoile au Michelin et une clientèle d’habitués et de voyageurs du monde entier, propulsent ce jeune talent parmi les grands. Récemment, Alexandre Baumard a décidé d’innover en ne proposant plus de carte mais seulement quatre menus. Une manière sans doute de pousser encore plus loin son goût pour la précision et une forme d'ajouter de la simplicité dans la sophistication. Le Menu du Marché, le Menu Découverte de Terroirs et le Menu Inspirations proposent, crescendo, un voyage dans les propositions du Chef et la dégustation de vins issus de la cave du restaurant, riche de plus de mille références. Dans le Menu Signatures, l’un des plats emblématiques de l’Auberge du Pont de Collonges -le célèbre Rouget Barbet en écailles de pommes de terre croustillantes du mentor et maître Paul Bocuse- côtoie deux créations d’Alexandre Baumard : Les truffes « Melanosporum » de Guillaume Ge en risotto lié au parmesan et Le tourteau de nos côtes, en deux services, quinoa à l’huile d’agrumes, légères touches de combawa, sorbet carottes gingembre, caviar d’aquitaine « Perlita » de la Maison l’Esturgeonnière dans un dialogue original où la tradition et la modernité se conjuguent au présent. Avec ce choix de menus, Alexandre Baumard, chef enthousiaste et exigeant, entend partager encore davantage son amour des beaux produits dénichés auprès de producteurs locaux et son plaisir à les travailler en déclinant textures et cuissons. C’est toujours ultra précis, parfaitement maîtrisé et immanquablement délicieux ! La description ne serait pas complète sans évoquer le jeune et talentueux chef-pâtissier Damien Amilien, qui fait fondre de plaisir tous les amateurs de douceurs. Le duo harmonieux que forment les deux jeunes Chefs trouve dans Le Logis de la Cadène l’écrin idéal pour exprimer sa créativité et déployer son talent. Entre ces murs, l&rsquo...

OR Traiteur : artisan traiteur de tradition

Ils ont une spécialité : la cuisson à la broche de pièces choisies de viande charolaise. Le couple se déplace au domicile de ses clients ou sur n’importe quel site dans les départements de la Loire (42) et de la Côte-d'Or (21), notamment pour offrir la saveur unique des morceaux ainsi cuisinés, mais également une variété de créations colorées. Fêtes familiales, événements d’entreprises ou d’associations deviennent alors des instants conviviaux autour de saveurs singulières et fraîches. Une cuisine festive, aux couleurs des envies Si le couple sert surtout des spécialités françaises, Françoise Ostler souligne que les offres de son entreprise se veulent être à l’image des événements pour lesquels on les sollicite. Variés et éclectiques, les arrangements de saveurs déployés pour chaque occasion couvrent donc diverses gammes. L’on peut très bien se faire servir de la tartiflette ou du jambalaya selon les envies de l’instant. « On est dans une cuisine gourmande […] une cuisine de saveurs », résume notre interlocutrice. Au milieu de ces riches options savoureuses, la prestation de ce couple dont les services couvrent également l’Ain (01) et le Rhône (69) se singularise avec l’option cuisson à la broche. Agneau, porc, cuisseau de veau, cuisse de bœuf et de nombreux autres morceaux choisis du Charolais expriment ainsi leur note persillée distinctive en cuisant doucement au feu de bois. Dans cette gamme de prestation, l’enseigne peut servir jusqu’à 800 convives. Chiffre limité à 300 pour des repas plus classiques, par souci de qualité. Artisans pour particuliers et professionnels Les services offerts par Or Traiteur se diversifient au gré des demandes qui lui sont faites. Repas de mariage, apéritifs ou cocktails déjeunatoires, buffets sont organisés à la hauteur du budget du client. Sinon l’équipe de la maison s’adapte aux attentes de celui-ci, faisant appel, s’il le faut, à une main-d’œuvre extra. Simples ou plus élaborés, les repas commandés bénéficient de la même garantie de qualité, et ce, pour des interventions couvrant des rayons jusqu’à 100 km. ...

Champagne Breton Fils : l’art de faire du vin, héritage familial

La passion du métier et l’amour de la vigne sont au cœur de l’ADN de la maison Breton et fils. Depuis près de 70 ans, ce vigneron indépendant et récoltant-manipulant puise dans les techniques traditionnelles héritées de ses aïeuls pour élaborer des champagnes au caractère affirmé. Des cuvées reflétant le raffinement à la française qui savent séduire les palais les plus exigeants. La diversité avant tout Implanté dans deux départements, sur les coteaux du Sézannais, en plein cœur de la côte des Blancs, Champagne Breton Fils mise sur la diversité de son terroir pour élaborer des champagnes qui réunissent tous les désirs gustatifs. Son vignoble de 16 hectares est réparti sur 11 communes, avec une présence sur les premiers crus et les grands crus. Cette implantation sur de nombreux villages et coteaux s’inscrit dans la stratégie qualitative prônée par la maison. Questionné sur ce point, l’actuel propriétaire, Reynald Breton, explique que « la démarche permet d’avoir un juste équilibre sur des sols argileux, des sols calcaires et des sols argilocalcaires rendant propice la culture du pinot noir, du chardonnay et du pinot Meunier. » Les vignes particulièrement chouchoutées donnent des champagnes inimitables construits sur l’élégance, la générosité et la minéralité. Les efforts sont menés dans l’objectif d’avoir des crus de qualité, sans pour autant faire l’impasse sur le respect de la terre et la préservation du patrimoine. « Nous adoptons la viticulture raisonnée depuis plus de dix ans, et nous avons entamé le processus pour détenir le label "haute valeur environnementale" », confie le vigneron. La responsabilité écologique n’est pas prise à la légère, pour que les vins livrent naturellement toutes les caractéristiques du terroir. Des cuvées pour toutes les envies Animée par l’amour du champagne, le respect des hommes et celui des valeurs ancestrales, la maison Breton Fils s’est engagée à élaborer des cuvées au plus proche des attentes des consommateurs. Les collections « Les classiques », « Les Cuvées spéciales » ou « Les Cuvées Grande Cave » s’adressent notamment aux clients locaux. Parmi les perles de la gamme « Les classiques », s’inscrit le Brut Tradition, composé à parts égales des trois cépages champenois. Ce champagne à la robe jaune légèrement pâle, aux notes florales en nez, avec une bouche structurée et élancée, sera le compagnon idéal d’un dessert gourmand comme une tarte aux poires amandines, un opéra ou une charlotte au chocolat. Les adeptes de vins monocépages seront charmés par le caractère gourmand et complexe du Blanc de blancs Brut à 100 % de chardonnay. Ses notes pâtissières et sa douceur florale le rendent parfait pour accompagner un feuilleté de ris de veau, des huîtres ou un crémeux de homard. Afin de satisfaire sa clientèle à l’international, l’entreprise a aussi créé des marques pour différents marchés. La cuvée BRUUT, par exemple, est proposée exclusivement aux Pays-Bas. Idem pour la marque de luxe De Roval, qui est présente davantage à l’export. « Nous voulons partager notre passion et notre savoir-faire, et faire rayonner l’art de vivre à la française partout dans le monde. Nous sommes présents sur tous les continents », déclare Reynald Breton. ...

Champagne G. Boutillez-Vignon : un savoir-faire exceptionnel au cœur de Villers-Marmery

Bien que les premières bouteilles aient été commercialisées en 1976, l’histoire entre les Boutillez et les vignes remonte au XVIe siècle. Aujourd’hui, c’est la deuxième génération qui tient les rênes. Et elle compte bien faire prospérer cette activité avec passion et rigueur. Les terroirs Les principaux cépages qui sont le chardonnay et le pinot noir sont départagés entre deux terroirs. 80 % des vignes sont situées à Villers-Marmery, où l’exposition des sols est idéalement propice au chardonnay. Les pinots noirs sont cultivés sur 1 ha de vignes classées grand cru. S’agissant du mode cultural, le domaine mise sur une viticulture raisonnée. Un travail consciencieux qui sera bientôt certifié HVE (haute valeur environnementale). Les vins Les Boutillez ont opté pour une vinification en cuve avec fermentation malolactique. Pour créer une belle complexité au niveau des arômes, ils misent aussi sur un élevage en fûts de chêne. Par ailleurs, la maison a su développer l’art d’assembler le chardonnay et le pinot noir. C’est de cette manière qu’elle réussit à produire des champagnes exquis et fraichement pétillants, présents sur les meilleures tables. ...

Musée national des douanes : 35 ans au service de l’Histoire et de la valorisation de l’administration des douanes

Le Musée national des douanes (MND) a fait son nid dans la halle de l’Hôtel des fermes du roi, un des plus précieux vestiges architecturaux de Bordeaux. Dédié exclusivement à l’Histoire et à la valorisation de l’administration des douanes, le musée regroupe actuellement plus de 13 000 objets, dont 600 sont exposés dans le parcours permanent. Le reste est dévoilé occasionnellement, lors d’expositions temporaires qui sont, le plus souvent, associées à un thème spécifique. L’exposition permanente, un parcours riche de découvertes « Nous avons des collections très variées et assez intrigantes pour nos visiteurs », introduit Aurélie Guichemerre, conservatrice et chargée de communication au MND. « Très variées », en effet, car, entre les œuvres d’art, les équipements et toute une panoplie de documents d’archives, il y a beaucoup à découvrir. Le parcours permanent du MND se décline en trois temps. Une première section retrace brillamment les moments clés de l’Histoire en abordant notamment l’Ancien Régime, la Révolution française, l’époque napoléonienne ou encore l’ère contemporaine. La deuxième section met en avant l’évolution du métier d’agent douanier. Y sont présentés toute une collection d’uniformes et d’accessoires, mais aussi un vaste panel d’outils et de matériels de travail dont l’utilisation remonte au XIXe et au XXe siècle. Quant à la dernière section (inaugurée récemment), elle dévoile un aspect plus contemporain. En ce lieu sont exposées les missions actuelles de la douane (perception des taxes, régulation des marchés, protection des citoyens, des espèces menacées, du patrimoine culturel…) et les différentes fonctions exercées par ses 16 800 agents (employés de bureau, maîtres-chiens, pilotes…). Se plonger dans la documentation historique Le centre de documentation historique (CDH) est accessible uniquement sur rendez-vous. Doté d’une bibliothèque et d’une médiathèque, cet espace est surtout dédié à la recherche. « Nous accueillons souvent des chercheurs, des journalistes souhaitant recueillir des éléments pour alimenter leurs articles ou même des personnes qui sont à la recherche d’une piste généalogique. Dans ce dernier cas, nous regroupons les informations trouvées dans les registres du personnel », explique Aurélie Guichemerre. Le CDH est dirigé par une documentaliste qui se charge d’aider les visiteurs à mieux s’orienter dans leurs recherches. Le centre propose également différentes prestations afin de répondre aux demandes les plus spécifiques. Parmi les éléments de documentation mis à disposition figurent des ouvrages, des photographies et des documents d’archives, tous en lien avec l’histoire et les différents services de la douane. ...

Emile et Zim : pour une dégustation de vins à l'aveugle

Depuis février 2017, une nouvelle box est disponible pour tous les amateurs de vins. « Emile et Zim » a conçu pour tous les amateurs de vins un concept original et breveté : une box mensuelle contenant 2 bouteilles de vins masquées pour une dégustation à l’aveugle sans préjugé. L’inscription se fait par internet sur le site Emile-et-Zim. Ce nouveau concept permet de déguster chaque mois un vin rouge et un vin blanc produits dans les nombreux terroirs français. Les vins sont soigneusement sélectionnés pour faire découvrir et mettre à l’honneur les vins de petits producteurs qui travaillent en accord avec la nature. Recevez chez vous tous les mois 2 bouteilles de vins Pour recevoir chez vous chaque mois votre box « Emile et Zim », il suffit de vous inscrire sur le site Internet et de choisir votre abonnement : soit le Coffret Emile, à 19.90 euros par mois pour un engagement sur 12 mois, soit le Coffret Zim à 39,90 euros par mois pour la même durée d’engagement.  Mais il existe aussi depuis peu une formule SANS ENGAGEMENT qui vous permet d’essayer ce jeu à moindre frais ! C’est aussi une bonne idée de cadeau ! Vous pouvez également choisir d’offrir cette box à un de vos proches. Dans ce cas, vous pourrez dédicacer votre cadeau : 1 tiers des nouveaux abonnés l’ont reçu en cadeau ! Le premier mois d’abonnement, vous recevrez un plateau de jeu avec 4 pions en forme de bouteille. Chaque mois, vous est livré un coffret avec une bouteille de vin blanc et une bouteille de vin rouge ainsi que 2 enveloppes. Chaque bouteille est masquée par une chaussette noire, sa capsule a été coupée et elle est couplée avec une enveloppe à l’intérieur de laquelle se trouvent toutes les caractéristiques du vin (région, cépage, producteur, domaine, accord mets / vin, prix). De plus, l’ordre de dégustation des vins vous est indiqué ainsi que la température à laquelle il doit être consommé. Tout est mis en œuvre pour que votre dégustation se passe dans les meilleures conditions possibles. Un concept LUDIQUE avant tout A vous de déguster chacun des vins reçus. Suite à cette dégustation à l’aveugle, chaque participant doit deviner quel en est cépage et de quelle région provient le vin. Le plateau de jeu sert à enregistrer les paris et à mémoriser les points marqués. Une fois que toutes les mises sont effectuées, vous pouvez ouvrir l’enveloppe correspondante pour y trouver toutes les informations nécessaires. Chaque box Emile et Zim vous permet donc de découvrir de nouveaux vins, de renforcer votre culture œnologique, d’exercer votre nez et vos papilles, de vous faire voyager dans l’Hexagone et surtout de passer un moment convivial et ludique avec vos proches. Les abonnés ont ensuite la possibilité de racheter les mêmes vins à un tarif préférentiel pendant un mois dans la boutique partenaire : Vinsolite.fr (www.vinsolite.fr) qui propose l’ensemble des vins au même tarif que ceux proposé par les vignerons dans leur caveau. ...

Paulaner : des bières dans la tradition munichoise

La première trace de la brasserie Paulaner remonte à 1634. C’est à cette date que les moines de l’ordre de Saint-François-de-Paule commencent à vendre leurs bières. En 1806, le brasseur Franz Xaver Zacherl reprend la brasserie. Puis, en 1822, il installe une nouvelle fabrique rue Falkenstrasse, à Munich. Depuis 2016, la brasserie a investi dans de nouveaux locaux, pour toujours mieux répondre aux attentes de ses consommateurs. Aujourd’hui, Paulaner est la plus grande brasserie bavaroise. En effet, plus de trois millions d’hectolitres y sont brassés chaque année. Elle exporte ses bières dans plus de 80 pays. Un grand soin est apporté à la fabrication Toutes les bières fabriquées par Paulaner sont des bières pur malt orge et blé. Aucun adjuvant, ni colorant, ni sucre n'y sont ajoutés. L’eau utilisée pour le brassage de la bière est particulièrement douce, puisée à une profondeur de 240 mètres dans l’Isar (Bavière). Quant au houblon, qui participe à l’amertume et à l’arôme du breuvage, il est soigneusement sélectionné dans la région d'Hallertau, en Bavière. Toutes les étapes nécessaires à l’élaboration de la bière sont réalisées en Bavière, du maltage à l’embouteillage. La gamme des bières Paulaner La brasserie Paulaner est réputée pour la diversité de ses produits. La bière la plus populaire est la Wiessbier. C’est une bière avec une robe aux reflets dorés, dégageant un léger parfum de banane. La Munchner Hell, elle, est une bière d'un beau blond doré, dont le goût est légèrement malté. Quant à la Salvator, c’est la bière la plus forte produite par Paulaner. Elle présente une belle robe couleur châtaigne avec une mousse caramel. On y discerne une fine note de chocolat. ...

Restaurant Le Cerf : dégustez une cuisine en perpétuelle évolution !

Le Cerf se plaît à surprendre ses convives à travers une cuisine qui allie parfaitement excellence, innovation et créativité. Un cadre enchanteur Entraînant ses hôtes dans un voyage intemporel, le restaurant du Cerf a choisi comme cadre une charmante bâtisse du Moyen Âge. Ici, les invités dégustent une cuisine d’exception dans une ambiance cosy avec un style soigné et créatif, le tout conservant une certaine sobriété. Bien visibles, des arches et piliers en pierre signent l’originalité et l’authenticité du lieu. Bref, un endroit idéal pour passer un moment agréable en famille, entre amis ou collègues. Une cuisine évolutive toujours au plus proche du produit. En cuisine, le chef Carlo Crisci, doublement étoilé au Michelin,  accorde beaucoup d’importance au respect du produit et de ses origines. « L’inspiration vient du produit essentiellement », souligne-t-il au passage. Dans ses créations, le chef s’adapte ainsi en fonction des saisons. Résultat, les convives se retrouvent avec quatre menus au choix : surprises, fixe 4 entrées, prestige et gastro-business. Avec la promesse de pouvoir découvrir à chaque fois de nouvelles saveurs, les menus surprises connaissent un large succès auprès des habitués. « Nous sommes en constante évolution. Nos clients n’ont ainsi pas l’impression de manger à chaque fois la même chose. Ils viennent justement pour cela, la découverte », explique le chef. Ainsi, le mardi, mercredi et jeudi, Carlo Crisci propose aux plus audacieux le menu surprise 2 entrées, accompagné de ses 5 crus au verre. Pour les moins téméraires, le chef leur suggère d’opter pour le menu prestige en dégustant par exemple une frivolité de turbot à la moelle, beurre fumé et émulsion d’oursins. Et pourquoi pas le menu fixe 4 entrées avec un filet de rouget rôti en écailles de taro matelote aux flaveurs de carvi. ...

Fondation pour la Recherche sur Alzheimer : propulser la recherche sur la maladie d’Alzheimer

Un sondage récent effectué pour Notre Temps, La Croix et La Fondation pour la Recherche sur Alzheimer, met en lumière les craintes des Français autour de cette maladie neuro-dégénérative, encore trop mal connue. Il révèle qu’Alzheimer est la 2e maladie qui fait le plus peur aux Français, juste après le cancer et au même titre que l’AVC. Les deux tiers du panel, surtout les plus jeunes, redoutent d’avoir cette maladie un jour. Et une personne sur deux affirme connaître une personne proche ou un membre de la famille qui en est atteint. Face à ces chiffres inquiétants, aucun traitement efficace n’a été trouvé à ce jour pour guérir la maladie, malgré les nombreux efforts des acteurs qui tentent d’offrir une meilleure qualité de vie aux personnes atteintes. Pendant qu’un malade du cancer sur deux parvient à guérir, la Fondation milite pour rattraper le retard évident des découvertes scientifiques liées à la pathologie. Comprendre la maladie d’Alzheimer Connue comme étant « la maladie de la mémoire », la maladie d’Alzheimer se caractérise par la perte graduelle des fonctions cognitives d’un individu due entre autres à un développement anormal de la protéine bêta-amyloïde dans les neurones du cerveau et une altération des protéines Tau. Ces deux types de lésions cérébrales, plaques amyloïdes et  « dégénérescence neurofibrillaire » entrainent progressivement le dysfonctionnement des synapses puis la mort des neurones. Pour le moment, les traitements préconisés servent à atténuer les symptômes pour essayer de ralentir le déclin qui conduit à une perte d’autonomie. En effet, les recherches menées sur la maladie d’Alzheimer sont « sous-dotées », par rapport aux budgets affectés à d’autres maladies, limitant ainsi les champs d’action des chercheurs. « Les fonds mobilisés pour la recherche sur cette maladie sont insuffisants et reposent beaucoup sur les dons des particuliers » explique Claire Clairefond, responsable marketing et communication de la Fondation pour la Recherche sur Alzheimer. Une lacune que la Fondation souhaite combler pour accélérer les avancées médicales sur la maladie.  La vision et les missions de la Fondation pour la Recherche sur Alzheimer La Fondation pour la Recherche sur Alzheimer a été fondée en 2004 par deux médecins français : le docteur Olivier de Ladoucette et le professeur Bruno Dubois, chercheur de renommée internationale, avec pour principale mission le financement de la recherche sur Alzheimer. Elle concentre ses actions sur 4 axes complémentaires tout en assurant un rôle de vecteur d’informations sur le sujet auprès du grand public. Ainsi, la Fondation soutient le principal pôle d’excellence de la recherche clinique sur la maladie d’Alzheimer en France, qu’est la Pitié-Salpêtrière. Elle finance notamment l’Institut de la Mémoire et de la Maladie d’Alzheimer (IM2A) : un centre expert dédié au diagnostic, aux soins et à la recherche clinique sur les maladies neuro-dégénératives, dirigé par le Pr Bruno Dubois. « Ce centre reçoit environ 5000 consultations mémoires par an, des patients jeunes et moins jeunes, qu’on encourage à participer aux protocoles de recherche clinique ». En outre, la Fondation finance diverses études cliniques en cours visant à mieux comprendre les mécanismes de la maladie d’Alzheimer auprès de différentes populations. Il s’agit notamment de l’étude multicentrique MULTI-MA & COMAJ, réalisée dans plusieurs villes. La sélection des personnes se base sur des critères propres à la maladie et est assurée par un comité scientifique composé de spécialistes. MULTIMA vise à étudier une cohorte de patients âgés pouvant ou non, développer la maladie d’Alzheimer et COMAJ étudie en parallèle les personnes jeunes (<60 ans) atteintes d’une maladie d’Alzheimer précoce. La Fondation a également financé la création d’une banque d’échantillons de tissus biologiques et l’acquisition d’un appareil d’imag...

Caveau des Lys : une ode à la cuisine gastronomique de saison au cœur de Fontainebleau

Dans un décor médiéval fait de pierres apparentes et de voûtes, cet établissement de style lounge au cadre raffiné et à la musique d’ambiance ne manque pas de caractère. Prenez le temps de déguster la cuisine raffinée, savoureuse et soignée du chef François Le Touche, où le fait maison est particulièrement à l’honneur. En plus du menu des Lys proposés à chaque repas, incluant 3 plats à 47 € ou 4 plats à 50 €, le restaurant propose également une formule déjeuner à 29 €, du mercredi au samedi, ainsi que différents plats à la carte allant de 16 à 30 €.  Son foie gras de canard fait maison, son filet de taureau poêlé et son crumble d’abricot aux coulis de fruits rouges sont d’autant plus renversants qu’incroyablement délicieux.  Une sélection de bons vins Pour accompagner chacun de vos repas, Le Caveau des Lys vous propose une carte des vins plutôt éclectique, incluant des bouteilles de 75 cl, des demi-bouteilles ainsi que des vins au verre « ouverts à tous les budgets », comme le précise Marion Orfeuille, coordonnatrice, qui conseille notamment le Saint-Amour, l’Aloxe-Corton, le Nuits-Saint-Georges ou encore le Saint-Émilion.   Aimant composer de belles assiettes, le chef met les petits plats dans les grands à travers un mariage réussi de saveurs et de textures pour un résultat à couper le souffle. Très présent également dans son deuxième restaurant au nom évocateur, Le Jardin des Lys, il est animé de la même passion pour offrir le meilleur dans vos assiettes. ...

Maison de l’économie : conçue pour vos événements professionnels

Équipement de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) du Doubs, la Maison de l’économie offre 1 400 m2 dédiés aux événements d’entreprises. Des locaux de taille variable (amphithéâtres, salles, bureaux…), des services haut de gamme, un accompagnement personnalisé et la garantie de manifestations réussies sont la signature d’une équipe investie et qualifiée. Pour les entreprises qui souhaiteraient y organiser leurs événements, la Maison de l’économie propose des formules sur mesure où chaque étape du projet est placée sous le signe du professionnalisme. Une offre enrichie en 2016 Congrès, séminaires, formations, lancements de produits, assemblées générales ou encore réunions d’affaires… Tout se fait ici dans un cadre propice au travail et facilement accessible. Outre un parking, la structure dispose en effet de plusieurs espaces qui permettent des prestations à la carte et adaptées au format de chaque projet. Certaines sont internes – la Maison de l’économie propose ainsi l’accès à une cafétéria – pour d’autres, une liste de prestataires externes est disponible : traiteurs, décorateurs, techniciens… « Chacun de nos clients est particulier », souligne Corinne Francart, la responsable de ce service. « Le temps accordé à l’analyse de la demande est fondamental pour proposer le meilleur service possible. C’est à nous de trouver la bonne réponse aux attentes du client et de l’accompagner. Il arrive qu’au cours de nos discussions, il choisisse finalement d’autres prestations que celles qu’il avait imaginées. C’est aussi le côté agréable du travail de pouvoir conseiller le client pour le mieux ». Ainsi, le Grand hall accueille des dîners de gala, La Galerie, des cocktails ou des expositions, et, pour les réunions, les salons Ledoux, Vauban ou Pasteur sont modulables. Depuis un an, la Maison de l’économie a enrichi son offre avec une nouvelle salle des conférences. « Il s’agit d’un espace haut de gamme où l’identité régionale est omniprésente. L’utilisation du bois rappelle la place de la forêt dans notre région et l’architecte local a reproduit sur les côtés de la salle, dans une ligne de ciel, la silhouette des monuments emblématiques de Franche-Comté : la citadelle de Besançon, le château de Montbéliard, la porte Saint-Pierre de Pontarlier, le château de Joux…», ajoute Corinne Francart. « L’ambiance lumineuse a, de plus, été récompensée par un prix national décerné à la CCI du Doubs et à l’entreprise Le Point lumineux, par l’Association française de l’éclairage (AFE) pour la mise en lumière des lieux », reprend-elle. Plus de 300 événements y sont organisés chaque année. ...