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© Philippe Vaurès Santamaria
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Interview avec Christopher Coutanceau
Chef du restaurant Christopher Coutanceau



Restaurant
2 étoiles au Guide Michelin
situé à La Rochelle
Région Nouvelle Aquitaine

Dans votre restaurant, comment définissez-vous votre cuisine ? Quels sont vos plats «Signature»? Avec quels produits aimez-vous travailler ?

Christopher Coutanceau Une cuisine de poissons, saine, de saison et éco-responsable mettant en valeur le produit pour le sublimer. Je suis un "cuisinier pêcheur".
L’univers marin est omniprésent dans mon restaurant qui surplombe la plage de la Concurrence à La Rochelle, du mobilier à la vaisselle, et bien sûr à la carte. Je ne travaille que des poissons de ligne, coquillages et crustacés issus d’une pêche locale, écoresponsable.
Défenseur de la pêche durable et de l’anti-gaspillage, passionné depuis ma plus tendre enfance, ma ligne directrice est claire depuis toujours. Et c’est dans mon restaurant éponyme, récompensé par deux étoiles Michelin que je gère avec mon associé Nicolas Brossard, que je m'’y atèle. A la criée tous les matins, je choisis avec amour et passion les plus beaux produits de la pêche, coquillages, crustacés ou poissons. En grand passionné, je m'investis fortement dans la défense de la faune et de la flore marine. Je collabore avec de nombreuses associations de préservation des ressources marines. Je sors un livre le 9 Mai prochain aux éditions Glénat qui sera une ode à cet univers marin et à ma cuisine que je chéris tant : « Christopher Coutanceau, Cuisinier Pêcheur ».

Quelles émotions avez-vous ressenties lors de la remise des étoiles du Guide Michelin ?

CC Beaucoup de joie de conserver nos deux étoiles depuis 32 ans et la motivation d'aller tous les jours encore plus loin dans l'excellence.

La cuisine est faite chaque jour de partage et d'émotions. Toutefois, certains moments de la vie sont à privilégier plus que d'autres... Pouvez-vous nous confier vos plats rêvés pour :
- Un repas de Noël ?

CC Que ce soit des huîtres / du foie gras / un chapon mais le plus important c’est avec qui ont le partage…

- Un repas de la nouvelle année ?

CC Pour la nouvelle année, nous travaillons mais mettons tout en œuvre pour rendre nos clients heureux. Le client est roi. Et C'est Nicolas Brossard, mon associé et ancien chef sommelier, qui est animé par la même volonté de mettre en valeur le patrimoine gastronomique régional. Il fait la part belle aux vins charentais et vendéens, étoffant avec appétence une cave réputée depuis plus de trente ans, une des plus belles de France avec plus de 1800 références et 19000 bouteilles.

- Un repas de Saint-Valentin ?

CC Pour la Saint-Valentin j’aime les Saint Jacques à la truffe et pour suivre un homard avec sa sauce corail et un dessert au chocolat

- Un repas de la fête des mères ou des pères ?

CC Pour la fête des Mères ou Pères un plateau de fruits de mer. Je sais que mes parents adorent ça!

Au fait, pour votre mariage, qui a fait la cuisine ? Pouvez-vous nous indiquer les plats cuisinés ?

CC Je ne suis pas marié, mais si c’était le cas je le ferai au restaurant Christopher Coutanceau évidemment avec mon équipe. La vue est magique !
et je cuisinerai ceci:
- Civet de homard
- Bar de ligne, artichauts sauce Saint-Emilion
- Langoustines vivantes en tartare et caviar.
- Pigeon de Madame Le Guen aux épices.
- Fromage
- Pièce montée.
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© Philippe Vaurès Santamaria

Sans trop réfléchir, pouvez-vous nous confier votre plus beau souvenir gustatif et certaines des émotions procurées ?

CC Sans hésiter, chez André Léon à Cadix : 18 plats sur les produits de la mer : dont une Peau de murène soufflée, de la Charcuterie marine, Lisettes, oursins et caviar. Je me souviens de chaque saveur et chaque plat.

D'après la célèbre devise de Prosper Montagné "On ne fait du bon qu'avec du très bon", pouvez-vous nous révéler deux ou trois de vos adresses gourmandes. Vos producteurs et produits préférés sur votre région ou ailleurs (vins, produits frais, ou autres...)

CC Mon ami Philippe Bailly, « la ferme du maréchal » agriculteur bio de légumes qui travaille que pour moi selon mes listes de saison.
Mon ami Stephane Boutin « Les viviers Renaud Boutin » au port de pêche de La Rochelle qui fait des coquillages et crustacés.
Mon ami Laurent Hurteau mytiliculteur, avec les moules de bouchots de Charon.

On parle aujourd’hui beaucoup de cuisine fusion, de plats végétariens, d'aliments biologiques, de « Trashcooking » (ingrédients destinés normalement au rebus), de « Freakshakes » pour marier un dessert à une boisson... Selon vous quelles seront les grandes tendances de la cuisine de demain ?

CC Je pense que c’est la cuisine de beaux et de vrais produits de saison qui sont mis en valeur dans les règles de l’art, tout simplement.

Culture - Cinéma Quelle est votre scène préférée de cinéma au restaurant ? Un souvenir de film avec une séquence particulière...

CC 2 scènes mythiques:
« Le grand restaurant » avec Louis de Funès pendant les entraînements pour le service en salle.
« L’aile ou la cuisse » avec la vérité des produits Tricatel. Un film visionnaire !
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© Sylvie Curty
© Sylvie Curty
© Sylvie Curty

Si vous aviez un hommage à adresser à Paul Bocuse, quel serait-il ?

CC Monsieur Paul Bocuse était le Pape de la cuisine Mondiale, il nous a mis sur le devant de la scène et a fait reconnaître notre métier. Il s’est toujours battu pour les artisans producteurs, nous avons perdu notre père.
Adresse | Contacts utiles
image-prop-contact-christopher-coutanceau Christopher Coutanceau Plage de la Concurrence
17000 La Rochelle

Tél. : 05 46 41 48 19
Site Internet

Récompenses
2 étoiles au Michelin
Membre de l’association des Grandes Tables du Monde
Membre des Relais et Châteaux

Christopher Coutanceau : les avis

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Ar Men Du :
les valeurs sûres d'une cuisine de tradition

Aujourd’hui, nombre de consommateurs font attention à ce qu’ils mettent dans leur assiette. La volonté de manger des plats sains et légers, bénéfiques pour la santé, prend le dessus. Implanté à Névez, dans le Finistère, en Bretagne, le restaurant gastronomique Ar Men Du est conscient de cette nouvelle exigence. C’est pourquoi il propose une invitation tout à la fois à la gourmandise et aux menus bio : deux concepts qui se marient à merveille ! Un restaurant étoilé Michelin au cadre idyllique Pierre-Yves Roué, propriétaire des lieux, a su choisir un emplacement au cadre idyllique pour son restaurant. Le sens du service y trouve toute sa signification avec une équipe efficace et à l’écoute pour répondre au plus près aux demandes de la clientèle. Les prestations incluent également un service de petit déjeuner majoritairement fait maison, un luxe que les clients peuvent se permettre sur les lieux ! Dans un décor intimiste à l’ambiance élégante, le restaurant Ar Men Du offre une vue imprenable sur la mer. Au fil de leurs découvertes gastronomiques, les clients n’ont qu’une envie : celle d’y retourner pour retrouver des plaisirs gustatifs oubliés ou découvrir de nouvelles saveurs insoupçonnées, qui font rêver et voyager.  L’esprit de famille à l’honneur, dans un tandem gagnant  Dans les coulisses de l’Ar Men Du interviennent un talent culinaire : Jean-Marie Le Guen, ancien second de cuisine qui a pris la relève et remplace désormais son père Patrick Le Guen, une figure bien connue du carré des 3 toques Gault & Millau. Bien qu’il ait aujourd’hui laissé sa place à son fils, Patrick reste malgré tout présent en cuisine. Dans un bel esprit de famille, le duo travaille de concert pour proposer une cuisine raffinée, à la cuisson légère, où les légumes faits à la minute trouvent naturellement leur place. Ces ingrédients sont associés à la valeur sûre des produits de terre et de mer bretons, dans un concept résolument bio. Une pause gustative au cœur de la Bretagne Le chef s’est bâti une réputation dans l’art de préparer des plats aux saveurs authentiques et raffinées. Pour une halte gourmande au cœur de la Bretagne, l’Ar Men Du propose une carte riche en produits du terroir, fournis directement par des producteurs locaux. C’est aussi la garantie d’une qualité bio, exigée par le métier. Poitrine de porc aux ormeaux, turbot au jus de viande, tartares de bar de ligne et sashimis bretons font partie des plats signatures qui font la réputation de la maison, sans oublier le subtil ris de veau et le dessert d’agrumes raffiné. Une cave à vins d’exception Pierre-Yves Roué peut s’enorgueillir d’avoir réussi le défi de constituer une cave à vins particulièrement bien fournie, qui n’a rien à envier à celle d’autres établissements. En effet, le restaurant Ar Men Du est aujourd’hui en mesure de proposer une carte de près de 600 références, privilégiant deux régions phares réputées pour leurs vignobles, qui sont notamment les Pays de la Loire et la Bourgogne. La passion du métier aidant, toute l’équipe de l’Ar Men Du se fera un plaisir de servir des vins d’exception, qui accompagneront différents repas de famille ou de fête. ...

Les Chevaliers d’Argouges : défenseurs de la tradition chocolatière normande

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Brasserie Mira : dégustez des bières à l’eau de source naturelle

La maison Mira, c’est d’abord et avant tout une brasserie aux savoir-faire et au style bien affirmés. Mais c’est aussi un pub atypique, où la musique et l’art ont toute leur place. Mira, un concept à deux têtes Mira est la concrétisation d’un projet partagé par deux passionnés de houblon : Jacques Bellec et Aurélien Rey. En 2015, les deux associés ont eu le déclic au cours d’une visite effectuée dans une brasserie implantée au Canada. Un an plus tard, la première bière Mira voit le jour : la Mira Blonde n° 1 « floquée » d’une chimère, un animal fabuleux à deux têtes ! C’est le début d’une belle épopée, qui verra la création successive de nouvelles gammes de bières authentiques. Des produits diversifiés La Brasserie Mira confectionne ses produits de A à Z. En tout, la maison propose deux gammes de bières « Mira » et « BM », une gamme « Soda » et des spiritueux. Mais la brasserie n’a nullement l’intention d’en rester là. « Nous lancerons très bientôt une bière bio et sans gluten », annonce Lucile Crestey, chargée de marketing et communication. S’agissant de la production des bières justement, la maison se démarque par l’utilisation d’une eau de source presque « mira-culeuse » ! « La bière est composée de 82 % d’eau et celle que nous utilisons est très spéciale », nous confie-t-on. En effet, c’est à 300 m de profondeur, directement sous la brasserie, que la maison puise une eau de source de 22 500 ans d’une qualité exceptionnelle. Parfaitement minéralisée, cette eau d’une grande pureté a traversé pas moins de 67 couches. Avec cet ingrédient rarissime, la maison produit des bières au goût inimitable. À l’exemple de la Mira Blonde, mélange subtil de malt d’orge et de houblon, qui séduit par ses accents floraux et son arôme incomparable. Et que dire de la Mira Ambrée et de son surprenant gout caramélisé ? « Nous proposons aussi des bières en édition spéciale comme l’édition Noël », rapporte notre interlocutrice. La gamme « Soda », quant à elle, se compose de 3 boissons gazeuses : la limo, le cola et le tonic. 100 % rafraichissantes, celles-ci révèlent de subtils arômes, qui seront un pur délice pour toutes les papilles. Concernant les spiritueux, la maison présente un « London Gin » de haut de gamme, élaboré à partir d’alcool de blé et d’une macération botanique. Ce gin est le complice idéal du « Mira Tonic » avec lequel il peut exprimer toutes ses caractéristiques. Ensemble, ils forment un cocktail réussi, qui plaira aussi bien aux amateurs qu’aux passionnés. Si ces boissons offrent des expériences différentes en termes de saveurs, elles partagent toutes le même secret : une eau pure, exempte de pesticides, de chlore et de nitrates. Un pub atypique Accolé à la brasserie, le pub Mira est l’endroit indiqué pour faire plus ample connaissance avec les spécialités de la maison, grâce à une carte d’alcools et d’apéritifs bien fournie. Par ailleurs, les gourmets de passage ont l’occasion de déguster des plats savoureux, cuisinés exclusivement avec des produits frais. Le soir, tapas en tout genre et pièces du boucher sont à l’honneur. Côté animations, l’établissement organise un concert par jour. « Nous avons de nombreux évènements liés à la musique et nous accueillons des artistes qui viennent se produire tout au long de l’année », nous dévoile Lucile Crestey. Chaque mois, le pub Mira soutient les nouveaux talents locaux, en leur donnant l’opportunité de se produire devant un public. S’ils le souhaitent, ces artistes en herbe peuvent se perfectionner auprès d’une école de musique sous la supervision de professeurs expérimentés. Véritable lieu de culture et de partage, l’établissement accueille également de nombreuses manifestations artistiques (street art, expositions&...

Restaurant Aria Nova : la Méditerranée à l’honneur !

Le restaurant Aria Nova sort des sentiers battus, entre autres grâce à son chef cuisinier qui fait preuve d’une grande créativité, tout en respectant les recettes méditerranéennes traditionnelles. Outre les assiettes joliment présentées et bien garnies, le cadre et l’environnement ne sont pas pour déplaire non plus, d’autant plus que l’établissement est sis au centre de la vieille ville. Une décoration hors du commun Ce restaurant se démarque de bien des manières, et cela se voit dès le premier coup d’œil. Outre sa terrasse découvrable qui permet de dîner le soir à ciel ouvert, une armure médiévale trône fièrement, juste à côté de l’entrée, tout près de laquelle se trouve un tableau affichant le menu. Juste derrière, un fût en guise de table, entouré de chaises de bar. Vous êtes d’ores et déjà mis dans l’ambiance, avant même d’avoir mis les pieds dans la salle. L’ambiance authentique de cette dernière est rehaussée par un parquet en bois et des murs en pierres blanches bonifaciennes, tandis que des tableaux bien colorés arborant différents couchers de soleil et inspirant des moments d’évasion sont accrochés aux murs. Une cuisine authentique Si le décor original est un plaisir pour les yeux, les assiettes en séduisent aussi plus d’un. Le Chef Ayrton Toffart, un amoureux des bons produits et un ancien de chez Georges Blanc à Vonnas, vous fera (re)découvrir les saveurs méditerranéennes – avec un mélange d’Italie et de Corse – d’une tout autre façon avec ses plats revisités. Il mise uniquement sur les produits de qualité optimale : il va jusqu’à cueillir lui-même les plantes aromatiques, ne travaille que des légumes bio et n’utilise que des produits locaux. D'autre part, tout ce qui sort de sa cuisine est fait maison ! En entrée, le Chef suggère le carpaccio de loup avec du citron vert, fin et savoureux à la fois. En guise de plat, choisissez entre le côté terre et le côté mer : ravioli maison aux langoustines et crémeux à la vanille Bourbon ou côte de veau bio. Pour finir, rien ne vaut la douceur et la finesse du tiramisu à la châtaigne. Bien sûr, la carte change au fil des saisons. Accompagnez votre menu de vins locaux de haute qualité dont ceux issus du Clos Paoli. ...

La Maison des Cultures du Monde  — Centre français du patrimoine culturel immatériel

Grâce à l’organisation d’événements culturels et de formations, la Maison des Cultures du Monde — CFPCI valorise et facilite l’accès au patrimoine immatériel de l’humanité. Missions et actions de la Maison des Cultures du Monde La Maison des Cultures du Monde doit sa fondation à Chérif Khaznadar, poète et metteur en scène syrien, et Françoise Gründ, écrivaine, artiste et ethnoscénologue. Depuis sa création en 1982, elle contribue à valoriser et enrichir la connaissance des diverses formes du patrimoine culturel immatériel à travers des publications, des colloques, des expositions et également un événement majeur, le Festival de l’Imaginaire. ONG accréditée auprès du Comité intergouvernemental de l’Unesco pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (PCI), la Maison des Cultures du Monde s’est donné comme objectif d’explorer, de partager, de conseiller et de former. Missions de prospection en partenariat avec des professionnels et le monde universitaire, accompagnement d’acteurs du PCI, conception de formations sur-mesure, la Maison des Cultures du Monde est reconnue pour son savoir-faire unique en matière de recherche et de conseil sur le PCI. Le Centre français du patrimoine culturel immatériel En 2005, à Vitré, dans les Marches de Bretagne, la Maison des Cultures du Monde a inauguré un centre de ressources documentaires afin d’abriter les archives et les objets collectés lors des missions de terrain. Les 60 000 références de ce fonds alimentent une base de données accessible en ligne, certains objets, comme les instruments de musique, sont exposés de façon permanente tandis que d’autres sont prêtés ou montrés lors d’expositions temporaires. Ouvert au public toute l’année, le centre dispose d’une médiathèque consacrée au patrimoine culturel immatériel. En 2011, désigné « organisme compétent pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel » par le ministère de la Culture, en application de la Convention  adoptée par l’Unesco en 2003 et ratifiée par la France en 2006, celui-ci est devenu officiellement Centre français du patrimoine culturel immatériel. En 2016, le CFPCI a été labellisé ethnopôle et missionné pour être l’interface entre le ministère de la Culture et de Communication, le public et les acteurs du PCI. Le Festival de l’Imaginaire, un événement unique Réalisé avec l’appui de partenaires nationaux et internationaux, le Festival de l’Imaginaire offre une scène ouverte aux peuples et civilisations du monde contemporain, dans l’envie de partager avec le public l’étonnante richesse des formes d’expression de l'humanité. Une rare occasion de découvrir grands maîtres de la tradition et jeunes artistes dans les domaines de la musique, de la danse et des performances rituelles. Rencontres et ateliers autour de la programmation permettent de s’adresser à tous les publics. Colloques, tables rondes et conférences interrogent nos repères et élargissent notre vision du monde. ...

CNRS Formation entreprises : la recherche en faveur de la transmission

Dispensées par les experts les plus pointus, ces stages ont pour but de développer le potentiel des entreprises, en terme de compétences, de connaissances et de technologies. Elles touchent de nombreux secteurs et permettent un échange direct avec les professionnels de la recherche. Plus de 1600 stagiaires en profitent chaque année et accèdent ainsi aux compétences de l’un des 1100 laboratoires avec tutelle CNRS, partout en France. Une passerelle entre laboratoires et entreprises L’organisme de formation continue du CNRS, CNRS Formation Entreprises, fait partie du département "Services aux entreprises" de la Direction des Relations avec les Entreprises (DRE). En réponse aux attentes actuelles, l’offre de formation s’est développée de manière considérable ces dernières années, tout en favorisant la qualité au nombre. Le catalogue s’articule désormais autour de 16 axes thématiques, allant de la chimie à la biologie en passant par la sociologie, les sciences cognitives ou la bioinformatique. Afin de répondre aux attentes des industriels et des stagiaires, l’organisme crée chaque année une 30 aine de formations sur de nouvelles technologies de pointe. Aussi bien destinées aux entreprises qu’aux organismes publics ou même aux particuliers, ces formations d’une durée d’1 à 5 jours sont flexibles et organisées en petits groupes. La théorie laisse une large place à la pratique dispensée par les personnels de la recherche directement au sein du laboratoire CNRS détenant la compétence et/ou la technologie. Cette interactivité participe à stimuler les interactions entre industriels et laboratoires et débouche même parfois sur des projets de collaboration. CNRS Formation Entreprises est également à l’écoute de nombreuses demandes spécifiques et crée ainsi chaque année une quarantaine de formations pour une entreprise et ses collaborateurs. Ces formations intra-entreprises peuvent se décliner à partir d’une formation proposée au catalogue inter-entreprises ou être créées sur-mesure en réponse à un besoin original d’une structure. Une offre variée, orientée vers de nombreux secteurs Transport, cosmétique, informatique, biotech, hospitalier, pénitentiaire, collectivité territoriale … la plupart des secteurs sont concernés par les innovations technologiques et les nouveaux enjeux sociétaux. Pour mieux maîtriser une technique sur laquelle vous rencontrez une difficulté, pour avoir un état de l’art d’une nouvelle approche ou tout simplement, évoluer ou faire évoluer un collaborateur, de nombreuses situations invitent à une formation auprès d’experts du CNRS. Parmi les nouveautés au catalogue 2021 les formations : "Biologie dans les systèmes microfluidiques", "Procédés d’oxydation avancée pour le traitements des eaux" s’adressent à des profils divers : ingénieurs biologistes, techniciens ou encore managers. Outre les formations technologiques qui constituent le cœur de son offre, CNRS Formation Entreprises propose des formations sociétales sur les politiques publiques de santé, les radicalités, les stéréotypes de genre ou encore sur le handicap en entreprises avec notamment une formation sur l’autisme  "Personnes autistes dans l'entreprise : inclusion, innovation et création de valeur". Cette dernière est un réel succès qui a déjà permis de former plusieurs managers, référents handicap et professionnels de l’orientation, et suite aux stages inter-entreprises, l’organisme a été sollicité pour des demandes de formation intra-entreprises sur le sujet. Enseignements à distance et interactivité numérique En raison du contexte sanitaire et des mesures gouvernementales actuels, CNRS Formation Entreprises a décliné certaines de ses formations 2020 en format numérique à distance, lorsque cela a été possible. Ces adaptions ont concerné quelques formations inter-entreprises initialement prévues en présentiel comme le stage « Introduction au machine learning et au deep learning, mise en oeuvre en Python » et d’autres ont été réalisées sur-mesure suite à la demande d’une so...

Le vieux logis :
cuisine au feu de bois

Située entre les estuaires de la Vilaine et de la Loire, l’océan Atlantique et le marais de Brière, cette Ville d’art et d’histoire est reconnue pour la richesse de son patrimoine. La Collégiale de Saint-Aubin, la chapelle Notre-Dame la Blanche, le couvent des Ursulines, le Moulin du Diable sont autant de sites classés monuments historiques qui méritent le détour. Aux côtés de ses trésors historiques, la ville a la chance d’abriter quelques tables d’exception. Au restaurant le Vieux Logis, vous vous laissez éblouir par les saveurs d’une cuisine traditionnelle préparée avec passion par le chef Michel Stéphan. Une ambiance conviviale et traditionnelle L’été, le cadre extérieur gai et verdoyant est une invitation à la détente. D’ailleurs, cette terrasse accueillante fait le succès de l’établissement même si l’intérieur est tout aussi coquet. Le charme des lieux vous plonge dans un autre univers empreint de calme et de sérénité. Comme si le temps s’était arrêté, vous vous retrouvez dans un décor rustique datant du XVIème siècle ponctué par la présence de la grande cheminée, des vieilles poutres et des murs en pierres apparentes. C’est dans cette atmosphère agréable et conviviale qu’évolue le chef Michel Stéphan, également propriétaire des lieux. Ce personnage dynamique nourrit une passion pour la cuisine dès sa plus tendre enfance. Il effectue sa formation au sein de l’Ecole Hôtelière Saint-Anne à Saint-Nazaire puis intègre l’Hôtel du Berry place de la Gare à Saint-Nazaire comme cuisinier. Après avoir exercé dans quelques brasseries de Saint-Nazaire, Michel est poussé par l’envie de voler de ses propres ailes. Il rachète alors cette vieille bâtisse datant de 1620 pour la transformer en restaurant, là où règne une ambiance auberge. Grillades à volonté Les délicieuses grillades font la réputation de la maison. Les viandes et poissons sont directement cuits au feu de bois sur la cheminée, offrant un joli spectacle. Faux-filet, côte de Bœuf, onglet, entrecôte… tout est méticuleusement préparé devant vous. Tous les jours, des formules express du midi sont écrites à l’ardoise. Elles sont constituées d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert au prix de 16,90 € ou d’une formule entrée, plat et dessert tarifée à 19,90 €. Le restaurant a créé aussi des menus gourmands qui flatteront vos papilles. Le menu qui a été intitulé « Maître Restaurateur » avec son foie gras maison ou son magret de canard au miel est un délice culinaire. Le dessert devra être choisi à la carte.  L’autre suggestion intitulée Terre et Mer vous convie à un doux voyage où se combinent les saveurs marines et les produits régionaux. La terrine de courgette au saumon fumé, suivi de l’onglet de bœuf grillé suffiront à faire votre bonheur. Pour sa part, le menu « Frivole » constitué d’un foie gras maison en entrée, d’un bar entier, beurre blanc aux algues en plats et du Champagne gourmand en dessert vous convaincra. Tous ces mets sont sublimés par une carte de vins qui fait honneur à de nombreuses régions. Pour que le plaisir soit à son comble, les services d’une équipe courtoise et avenante sont proposés. Elle fera de votre passage au Vieux Logis, un instant agréable et mémorable. Vous n’aurez désormais plus qu’une seule envie : y revenir.   ...

Restaurant Le Palais de Port-Marly :
une table gourmande aux spécialités indochinoises

À travers une histoire de famille plutôt réussie qui a commencé en 1987, le restaurant connait à ce jour 30 ans de succès bien mérité. Succédant à ses parents, initiateurs de l’aventure, Valérie assure, depuis maintenant un an, la gérance de l’établissement, guidée par la même passion du métier et son expérience professionnelle Shanghaïenne. Le Palais de Port-Marly a l’énorme avantage de proposer en un seul lieu un bouquet de saveurs gourmandes inspirées de trois pays que sont la Thaïlande, le Vietnam et la Chine. Disposant d’un menu à 26 € pour le midi et le soir, avec entrée-plat-dessert, l’enseigne dispose également d’une formule à 16,50 € « pour les gens plutôt pressés » et qui peut être servie en une demi-heure, incluant 1 entrée et 1 plat. Une cuisine pleine d’exotisme En entrée, il vous est conseillé les nems faits maison, « que nos clients apprécient énormément », selon Valérie, mais aussi les raviolis vietnamiens et les rouleaux de printemps au bœuf, servis tièdes, que l'on ne trouve nulle part ailleurs. Dans le registre des plats, optez pour le bœuf sauté Mongoli qui n’est autre que du bœuf émincé mariné dans du soja et sauté avec des grains de poivre et des petits oignons sur plaque chauffante, « ce qui permet aux clients de choisir la cuisson de la viande ». Comme c’est rarement le cas dans la restauration asiatique, l’établissement est en mesure de proposer « de la viande bleue, à point ou saignante ». Les crevettes à la sauce piquante sont également à découvrir. Crevettes sauvages préalablement décortiquées, sautées avec des petits oignons, une sauce piquante parfumée légèrement aigre douce. Cette sauce se marie aussi très bien avec du cabillaud ou des Saint-Jacques. Parfait pour les amateurs de fruits de mer. Sans oublier le saumon au jus de coco pour un plat très en sauce au très joli rendu, accompagné de riz gluant ou de riz nature.  Le  Palais de Port-Marly pratique principalement la cuisine au wok, « pour une cuisson rapide et où la matière première ne perd pas de son goût ni de sa texture ». Cette technique contribue aussi de réduire l’utilisation de matière grasse. Toutefois, ce qui fait la particularité de la cuisine asiatique, ce sont les épices dont les préférées de la maison sont l’épice de saté à base de cacahuètes, de piment, d’ail et d’herbes concassés, qui permet d'obtenir une sauce accompagnant délicieusement le bœuf et les crustacés, et également le basilic avec son croquant en bouche, le curry et aussi la citronnelle. ...

Moustiers Sainte-Marie : un patrimoine touristique à découvrir sans modération

Moustiers Sainte-Marie, cette commune des Alpes de Haute-Provence, bénéficie d’une situation exceptionnelle dans les Gorges du Verdon et d’un climat tempéré chaud. En dessous de hautes falaises calcaires, le village bâti à partir du Ve siècle a su conserver un charme tout provençal avec ses ruelles et placettes, ses fontaines et ses ateliers de faïence. Cette cité de caractère est une destination idéale pour tous les amoureux de la nature et du patrimoine culturel. Des activités sportives …. Si vous aimez les randonnées, vous pourrez parcourir à loisirs les 13 sentiers balisés, pour profiter d’une nature préservée.  Vous pourrez notamment sillonner les réputés GR99 ou GR4. Si vous êtes adeptes du VTT, vous ne serez pas en reste avec la trentaine de circuits qui vous permettront de découvrir des paysages magnifiques. Vous pourrez même vous aventurer sur le TransVerdon avec ses 260 kilomètres. En famille, rendez-vous au lac Sainte Croix où vous pourrez pratiquer la baignade et le farniente sur la plage, mais aussi la planche à voile par exemple. Si vous préférez les sensations fortes, escalade, kayak, canyoning, randonnée aquatique, sports d’eau vive et sports aériens pourront également être au programme de votre séjour. … et un village provençal à découvrir Moustiers Sainte-Marie est particulièrement réputé pour sa faïence. Découvrez cet art en visitant le musée qui lui est dédié. Lors de vos balades au cœur du village, vous pourrez y admirer deux monuments classés historiques. Tout d’abord l’église paroissiale et son haut clocher lombard. Pour atteindre le second, vous devrez emprunter un escalier de 262 marches, taillé à même la roche. Il vous mènera à Notre-Dame de Beauvoir, une magnifique chapelle romano-gothique ancien lieu de pèlerinage. Là vous aurez une superbe vue sur le village ainsi que sur la vallée. Au plaisir des yeux s’ajoutera une part de mystère avec cette étoile dorée surplombant le village. ...

Château Virant : la quête de la différence

Lançon de Provence, la commune où s'étend le vignoble et l'oliveraie, située à quelques kilomètres de Salon-de-Provence et d'Aix en Provence. Cette exploitation, devenue l'un des porte-étendards du vin et de l'huile d'olive provençale, doit sa réussite à un travail de longue haleine et un savoir-faire qui se transmet de père en fils. La famille Cheylan a fait de la qualité, la différence et l'innovation, sa devise. Ce qui lui a valu des récompenses. Elle est primée au salon de l'Agriculture depuis 1996 pour son huile d'olive qui est la plus médaillée de France, et s'est distinguée par un prix d'excellence au concours français des œnologues pour ses vins. Une vinification associant modernité et tradition Robert et Noëlle Cheylan sont devenus propriétaires du Château Virant en 1974. Dès lors, ils ont entrepris une profonde remise en état des bâtiments et du vignoble, dans une optique d’amélioration qualitative du vin. La démarche pour obtenir ce précieux sésame est la lutte raisonnée, elle empêche l'utilisation maximale des produits chimiques. Ici, le processus de vinification allie à souhait modernité et tradition. La récolte des fruits bien que mécanisée se fait aussi à la main. Une fois les récoltes effectuées, elles sont acheminées en cave pour un pressurage direct en vue de l'obtention des vins blancs et rosés. Par contre les rouges ont besoin d'une période de cuvaison, qui est l'élément déclencheur de leur fermentation. Le jus obtenu après pressurage est retravaillé dans une cuve en inox ou en barriques de chêne pour être mieux élevé. Le domaine fait la différence prioritairement avec 12 types de vin et produit principalement du rosé. Le cœur de gamme est la cuvée Château Virant, à l'exemple du blanc qui est issu de l'assemblage des cépages nobles , à savoir le Chardonnay, le Sauvignon blanc et l’Ugni blanc. A l’œil ce vin est d'une robe claire et d'une minéralité particulière due à une touche d'agrumes et de fruits blancs. Le rosé de la même cuvée est essentiellement composé de Grenache et de Cabernet Sauvignon. D'un visuel clair, en bouche il est assez vif, équilibré et ponctué par des notes de fruits rouges. Ce vin est vivement conseillé pour des repas méditerranéens et des apéritifs. D'autres cuvées traduisent mieux l'identité du terroir et les vertus du climat de la région, en l'occurrence le rosé de la Cuvée Tradition. Plus haut de gamme, il est soutenu et à forte dominante de fruits rouges tels que les framboises et les cerises. Il s'accorde parfaitement avec des poissons grillés ou marinés. Des particularités qui pèsent leur poids Le vignoble et l'oliveraie  sont implantés sur une zone géographique microclimatique aride et sèche où les surfaces des feuilles sont en permanence soumises à une forte canicule, aidant à l'épanouissement des cultures. Le terroir est bercé par un vent sec et froid, le Mistral, favorable à un bon état sanitaire des fruits. Le climat méditerranéen qui couvre la zone s'harmonise parfaitement avec la faible pluviométrie obligeant ainsi à des vendanges précoces, dès la première quinzaine du mois d'aout. Château Virant est aussi un domaine à explorer de fond en comble pour mieux connaître la culture de la vigne et de l’olive. Les tenanciers promeuvent l'oenotourisme à travers des visites guidées en groupe ou individuelles , l'organisation de réceptions, séminaires et réunions au sein même du domaine, mais aussi des instants ludiques à l’instar de l’invitation de  "Mado la Niçoise" dans le courant de l'été. ...

Restaurant Truffes folies : quand les truffes prennent le pouvoir…

Installé pas loin de la tour Eiffel, le restaurant Truffes folies accueille ses clients dans une ambiance feutrée, sobre et pleine de cachet. En amoureux ou en famille, ceux en quête de saveurs authentiques seront ravis de prendre place sur les tables de cet établissement de charme pour une (re) découverte des différentes déclinaisons de ce champignon de luxe. Une panoplie de combinaisons possibles… follement atypique ! En déployant des recettes revisitées, cet établissement parisien choisit la truffe comme produit de prédilection. Toujours considérée comme « une pépite d’or de la gastronomie », elle y est disponible en différentes variétés, de la truffe noire du Périgord considérée comme la reine des truffes et recherchée pour son goût marqué, en passant par la truffe blanche, plus douce, jusqu’à la truffe d’Italie au parfum très typé. La meilleure qualité est sélectionnée auprès de producteurs locaux afin d'offrir des plats aux saveurs intrigantes et envoûtantes. La carte vante différentes recettes, des associations peu communes, mais comme par magie, le goût est toujours rendez-vous. L’œuf cocotte aux truffes, le bon vieux risotto paré de ses pétales de truffes, et en dessert le tiramisu revisité à la truffe, feront un déjeuner idéal. Côté vin, la carte simple mais complète compte une dizaine de références. Un établissement qui n’a jamais fait comme les autres Tandis que les grandes maisons présentent la truffe comme un produit de luxe inaccessible au plus grand nombre, le restaurant nous prouve finalement que manger ce mets d’exception sans se ruiner est possible. Accessible à toutes les bourses, l’endroit offre une cuisine mi-bistrot, mi-gastronomique. Et pour encore plus de proximité, maintenant il est possible de commander à emporter. Le restaurant Truffes folies tire également sa renommée de son épicerie fine. Mais là encore, l’originalité est le maître-mot. Le chef Bocciarelli a concocté effectivement une sélection de produits qui sortent des sentiers battus et qui invitent à découvrir la truffe autrement. Ketchup à la truffe noire pour vos frites, le miel aux truffes pour accompagner vos tartines, ou même le pop-corn goût truffe lors de vos soirées cinéma en famille. Plus de soixante produits sont élégamment présentés sur les étagères de l’épicerie fine pour surprendre vos papilles. ...

Châteaux Paradis : La finesse provençale

La région de Provence-Alpes-Côte d’Azur est le terroir à forte inspiration gastronomique et viticole qui abritele Château Paradis. Poursuivant l’œuvre de leurs prédécesseurs, les nouveaux propriétaires,qui ont hérité de ce domaine, bénéficient d’un patrimoine d’exception et d’un savoir-faire particulier en termes de vinification. Une agriculture viticole raisonnée La famille Thieblin est installée et pratique la viticulture dans la commune de Puy-Sainte-Réparade depuis 2011. Bien avant, le domaine a été la propriété de Jacques Héon durant une vingtaine d'années. Par la suite, il est passé aux mains de la famille Deschamps en 2003. Xavier et Odile, exploitants de spiritueux à la Réunion, l'ont racheté ensuite et ont étendu le vignoble avec 50 hectares supplémentaires, passant de 30 à 80 hectares en 2012. Un soin particulier est apporté au travail des sols et une surveillance accrue de l’état des vignes permet un travail plus respectueux. De plus, l’ensoleillement et le Mistral sont naturellement propices à une culture raisonnée. Les vins du domaine sont élaborés à partir de cépages de qualité, comme le Grenache, le Sauvignon, le Cabernet Sauvignon et la Syrah. Ils se déclinent en deux gammes différentes :"Terre des Anges" et  "Château Paradis". Une vinification dans les règles de l’art « Terre des Anges rouge », à la robe pourpre profond, est ponctué en nez par son côté minéral. En bouche, il éveille les papilles par sa rondeur et sa finesse. Ce vin s’accorde bien avec une daube de sanglier. Pour une meilleure dégustation, il est conseillé de le servir entre 10 et 12 °C. « Château Paradis blanc », très séduisant par ses reflets dorés à l’œil, d’un nez frais ponctué de notes d’agrumes, enchante les papilles avec ses arômes de grenache blanc. Il s’apprécie parfaitement avec une papillote de bar, citron confit et coriandre. La douceur et la générosité de ces vins est la résultante d’une vinification faite dans les règles de l’art. Le processus de vinification bénéficie des conseils œnologiques de Michel Tardieu et de Philippe Cambie. Le domaine s’est doté, en 2003, d’une cave par gravité et utilise des cuves tronconiques pour altérer le moins possible la qualité et la nature du raisin. ...

Le Domaine des Frontières :
les Crus du Beaujolais à l’honneur

Son propriétaire, Jérémy Thien, a passé les quinze premières années de sa vie active dans l’administration. Natif de la région beaujolaise, il sait apprécier les bons vins. Sa passion le pousse à se reconvertir dans le métier de vigneron, lorsqu’une occasion se présente à lui. « C’était un virage très important dans ma vie. C’est un métier qui ne s’improvise pas et il faut retourner à l’école » admet-il. Il a repris ce domaine fin 2012 et produit son premier millésime en 2013. La qualité avant tout Les 12 hectares de parcelles du  Domaine des Frontières sont juchés à 350 mètres d’altitude sur un terroir de marnes bleues, qui confère au vin une belle concentration et des notes épicées et poivrées. Jérémy Thien met une rigueur particulière dans la culture de ses vignes, car pour lui : « tout part de la production du raisin ;  la qualité du vin vient à 90% de la qualité du raisin ». Ses cuvées sont issues de vieilles vignes, vendangées entièrement à la main. La vinification se fait selon les procédés traditionnels du Beaujolais, avec macération semi-carbonique, poussée jusqu’à 14 jours de façon à obtenir des tanins soyeux et ronds. L’élevage est long afin qu’ils puissent être directement bus au moment où ils sont mise en bouteille. Les vins du domaine Le Domaine des Frontières produit deux cuvées en appellation « Juliénas » et une en appellation « Beaujolais ». Le « Domaine des Frontières Juliénas » est un vin issu à 100% de vieilles vignes Gamay Noir. Révélant une robe couleur rubis, il propose un bouquet floral et fruité au nez, avec des notes de cassis, cannelle et poivre. C’est un vin nerveux, charpenté avec une belle longueur en bouche. Il peut s’accompagner de côtes de veau, de poissons de rivière, de grillades de bœuf ou de desserts à base de fruits rouges. Le millésime 2013 a obtenu le deuxième prix de la Saint-Vincent des vignerons de Jullié. Le « Domaine des Frontières Juliénas Cuvée réservée » pour sa part est une pure merveille issue de vieilles vignes de Gamay Noir. La robe est rubis intense, le nez floral et fruité, avec des notes de cuir et légèrement boisé ; la bouche est très longue, nerveuse et charpentée. Ce vin peut évoluer et se garder jusqu’à sept ou huit ans. Il se savoure accompagné d’une blanquette d’agneau, d’un magret de canard ou d’un potage au potiron. Dernier et non des moindres : le « Domaine des Frontières AOC Beaujolais Villages » qui est issu de vieilles vignes de 60 ans  de Gamay Noir à jus blanc. Sa robe est brillante, aux éclats violacés caractéristiques des vins jeunes. Au nez, on note des arômes de fruits rouges. En bouche, c’est un vin souple et frais. Pour un meilleur accord, il accompagne la charcuterie, la viande blanche, les escargots et les fromages. Le millésime 2014 a été récompensé de la meilleure note des Beaujolais Villages au Guide Rouge de la revue du Vin de France, tandis que le millésime 2015 a reçu une médaille d’argent au Concours des Grands Vins du Beaujolais. ...

Le porc du Limousin ou l’authenticité du goût

Un mode de production spécifique  Une viande gouteuse et tendre, voilà ce qui caractérise la viande de porc du Limousin Label Rouge. Les porcs sont nourris de céréales (au minimum 60% de la ration avec au maximum 20% de maïs)jusqu’à un âge minimum de 182 jours (contre 168 jours pour le porc standard) sur un territoire intégrant 3 départements du Limousin et certains cantons limitrophes. Il  doit la qualité de sa viande à cette durée de croissance particulière. Stricte méthode de traçabilité Le porc du Limousin Label Rouge porte dès le sevrage, son numéro d’élevage et sa semaine de naissance. Après l’abattage, chaque pièce est étiquetée d’une vignette de labellisation permettant de distinguer son origine selon les principes de la traçabilité : côtes de porc, épaule, jambon… » relate Jean-Marc ESCURE, directeur de Limousin Promotion. Les caractéristiques d’une viande d’exception D’une belle couleur rose homogène, la viande de porc du Limousin label Rouge présente un gras de bardière blanc et ferme ainsi qu’une viande juteuse, savoureuse et particulièrement tendre. Le Label Rouge est le gage d’une viande au gout authentique et aux saveurs de qualité supérieure. Plus de 30.000 porcs du Limousin sont labellisés et commercialisés dans toute la France chaque année. 190 points de vente incluant grandes surfaces et boucheries artisanales distribuent aujourd’hui du porc du Limousin Label Rouge, une production certifiée et contrôlée « de l’élevage jusqu’à l’abattoir». ...

Domaine Filhea,
entre les fleurs et le vin il n’y a qu’un pas

Coopérateur jusqu’en 2013, André Fille soutenu par son épouse Rachel et ses filles Marine et Vanessa tente le pari d’ouvrir sa cave particulière .Il  confie sa gestion à sa fille ainée Vanessa. Le nom du domaine résulte d’une erreur de transcription de l’Etat Civil. En effet, l’ancienne orthographe de la famille était alors Filhe, mais le « h » a été changé par un « l » par l’administration. Une nouvelle aventure pour la famille Fille​​ L’histoire de la famille Fille est celle d’une invraisemblable reconversion : « on a totalement changé de travail, puisqu’on est passé de la vente de plants pour l’horticulture  à la fabrication de vins » raconte Vanessa Fille. Cette dernière s’occupe du vignoble sous les conseils avisés de l’œnologue Patrick Galliano. Actuellement, le domaine applique une agriculture raisonnée dans les vignes avec un encépagement essentiellement composé de Grenache, Cinsault et Syrah, qui confèrent aux vins ses arômes, et de cépages assez atypiques de la région comme le Cabernet ou le Merlot. Dans les années à venir, Vanessa n’écarte pas l’idée de reconvertir tout le domaine en agriculture biologique. Cette vigneronne passionnée et soucieuse de l’environnement estime qu’un terroir préservé permet la production de vins de meilleure qualité. Un grand succès pour une première​ Le Domaine Filhéa a commencé la vinification de ses premières cuvées en septembre 2015 «  On a douze hectares de vignoble, qui ont donné aux environs de 550 hectolitres. Nous avons produit une première gamme de vins composée de cinq rosés, trois rouges ainsi qu’un blanc » explique Vanessa Fille. Et pour une première, elle peut être qualifiée de grande réussite puisque quatre rosés du domaine ont été récompensés lors du concours Général Agricole de Paris. La palme revient surtout à la cuvée « Un Autre Monde » puisque cette dernière a remporté une médaille d’or en AOC Provence. Il s’agit d’un vin aux arômes très fins en bouche, qualifié de « sexy » par le jury. La cuvée « Marine » et « Vanessa » ont gagné chacune une médaille d’argent en AOC Côtes de Provence tandis que la cuvée « 16 Aout » a été couronnée d’une médaille de bronze en IGP des Maures. Autre récompense qui n’a pas de prix : les vins du domaine sont déjà présents sur des tables renommées de la région telles que le restaurant « La Colombe » de Nadège et Pascal Bonamy, « Planches et Gamelles » et la « Farigoulette » d’Anthony Lopez et le « Lou Portaou » à Bormes-les-Mimosas. Mis à part les restaurants, le domaine écoule sa production par la vente aux particuliers au sein du domaine et s’appuie sur le bouche-à-oreille pour renforcer sa réputation. ...

Le Lulli : une belle découverte en plein cœur de Paris

Sur un fond de tonalités végétales, Le Lulli offre une belle luminosité à laquelle vient s’ajouter une grande verrière installée tout au long du restaurant. Transformé en un lieu du chic et du charme avec en plus « un magnifique jardin au jeu de lumières infinies», comme le décrit si bien le chef Jean-Baptiste Orieux, Le Lulli est une véritable œuvre d’art pour qui sait l’apprécier. Constitué à 50 % d’une clientèle d’affaires et à 50 % de « personnes qui recherchent un produit plus élevé qu’un restaurant traditionnel ou qu’une brasserie parisienne », l’établissement est un lieu dédié à la clientèle parisienne, un endroit « où l’on peut passer un bon moment avec un service de qualité 5 étoiles », se félicite-t-on. À 35 ans et après 12 ans d'expérience auprès du chef meilleur ouvrier de France Jean-Yves Leuranguer au Fouquet’s Barriere, Jean Baptiste Orieux a pris la tête des cuisines du grand hôtel du palais royal et de son restaurant le Lulli en juillet 2017. Une cuisine très France avec plusieurs spécialités  Le restaurant Le Lulli offre à sa clientèle « une cuisine savoureuse, préparée avec des produits frais », nous précise-t-on, mais également des spécialités variées tout aussi succulentes les unes que les autres, incluant 4 entrées, 6 plats et 6 desserts. Les formules déjeuner incluent deux plats à 29€ ou trois plats à 38€ avec des propositions appétissantes à chaque semaine. Jean-Baptiste Orieux a imaginé une carte au goût du jour, construite autour de produits locaux choisis pour leurs propriétés et leurs qualités, bio ou encore sans gluten. Il offre ainsi une sélection de plats très raffinés, réalisés avec les meilleurs produits de saison. Bar pané au sésame condiment gingembre, ballotine de foie gras de canard mi-cuit et Granny Smith bio, dos de cabillaud avec chou-fleur façon risotto aux algues et craquant de sarrasin, maigre confit avec bonbon de poireaux, hollan­daise au Gewurztraminer ... En dessert, on se laisse volontiers tenter par le pavlova framboise et sa meringue délicate ou l’opéra café et choco­lat... biscuit croustillant »… Le Lulli, le restaurant du Grand Hôtel du Palais Royal, est RÉCOMPENSÉ POUR LA DEUXIÈME ANNÉE CONSÉCUTIVE EN 2017 PAR LE GUIDE MICHELIN qui lui attribue « L’Assiette MICHELIN ». ...

Maison de l’économie : conçue pour vos événements professionnels

Équipement de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) du Doubs, la Maison de l’économie offre 1 400 m2 dédiés aux événements d’entreprises. Des locaux de taille variable (amphithéâtres, salles, bureaux…), des services haut de gamme, un accompagnement personnalisé et la garantie de manifestations réussies sont la signature d’une équipe investie et qualifiée. Pour les entreprises qui souhaiteraient y organiser leurs événements, la Maison de l’économie propose des formules sur mesure où chaque étape du projet est placée sous le signe du professionnalisme. Une offre enrichie en 2016 Congrès, séminaires, formations, lancements de produits, assemblées générales ou encore réunions d’affaires… Tout se fait ici dans un cadre propice au travail et facilement accessible. Outre un parking, la structure dispose en effet de plusieurs espaces qui permettent des prestations à la carte et adaptées au format de chaque projet. Certaines sont internes – la Maison de l’économie propose ainsi l’accès à une cafétéria – pour d’autres, une liste de prestataires externes est disponible : traiteurs, décorateurs, techniciens… « Chacun de nos clients est particulier », souligne Corinne Francart, la responsable de ce service. « Le temps accordé à l’analyse de la demande est fondamental pour proposer le meilleur service possible. C’est à nous de trouver la bonne réponse aux attentes du client et de l’accompagner. Il arrive qu’au cours de nos discussions, il choisisse finalement d’autres prestations que celles qu’il avait imaginées. C’est aussi le côté agréable du travail de pouvoir conseiller le client pour le mieux ». Ainsi, le Grand hall accueille des dîners de gala, La Galerie, des cocktails ou des expositions, et, pour les réunions, les salons Ledoux, Vauban ou Pasteur sont modulables. Depuis un an, la Maison de l’économie a enrichi son offre avec une nouvelle salle des conférences. « Il s’agit d’un espace haut de gamme où l’identité régionale est omniprésente. L’utilisation du bois rappelle la place de la forêt dans notre région et l’architecte local a reproduit sur les côtés de la salle, dans une ligne de ciel, la silhouette des monuments emblématiques de Franche-Comté : la citadelle de Besançon, le château de Montbéliard, la porte Saint-Pierre de Pontarlier, le château de Joux…», ajoute Corinne Francart. « L’ambiance lumineuse a, de plus, été récompensée par un prix national décerné à la CCI du Doubs et à l’entreprise Le Point lumineux, par l’Association française de l’éclairage (AFE) pour la mise en lumière des lieux », reprend-elle. Plus de 300 événements y sont organisés chaque année. ...

Beaujolais Pierres Dorées : des villages exceptionnels et des vins méconnus à découvrir

La région des Pierres Dorées, surnommée « la petite Toscane beaujolaise » doit son nom à cette quarantaine de villages remarquables construits avec les pierres calcaires locales d’une couleur ocre jaune. Ce territoire, labellisé depuis 2010 Vignobles et Découvertes, compte aujourd’hui plus de 80 partenaires (vignerons, hébergeurs, restaurateurs, prestataires de loisirs et structures patrimoniales) qui forment ainsi un réseau solide d’échange et de promotion autour de cette destination, animé par les Offices de tourisme Beaujolais Pierres Dorées et Villefranche Beaujolais Saône. Grâce à ce label, le client peut bénéficier d’une offre de produits multiples et complémentaires (hébergement, restauration, visite de cave et dégustation, site culturel, événement...) avec des prestations de qualité. Le Fascinant Week-end Vignobles et Découvertes Depuis 4 ans, le territoire labellisé organise le Fascinant Week-End Vignobles & Découvertes. Que vous soyez sportifs, gastronomes, mélomanes ou amateurs d’expériences nouvelles, profitez le temps d’un week-end, fin octobre, de l’univers passionnant du vignoble, en trouvant une activité qui correspond à vos envies. A cette occasion, vous pourrez participer à des visites commentées, des ateliers découvertes, assister à des concerts aux répertoires éclectiques, découvrir des expositions ou vous adonner à des activités sportives et insolites… Vous êtes libres de choisir votre animation, partager vos émotions et explorer les produits de ce terroir. Lors de vos différentes activités, les paysages exceptionnels du Beaujolais sauront se dévoiler à vous. Sélection Pierres Dorées Mais la région des Pierres Dorées est aussi une région vinicole produisant des vins de qualité, avec les trois couleurs représentées : rouge, blanc et rosé. Des viticulteurs passionnés travaillent tout au long de l’année pour créer des vins subtils et étonnants, des vins gourmands et généreux, et pourtant méconnus. Pour faire découvrir la richesse et la typicité de ce territoire, l’Office de tourisme organise depuis 20 ans une sélection de vins. Les meilleurs vins et millésimes du Beaujolais des Pierres Dorées y sont récompensés. Cette sélection est également mise en avant lors de soirées événementielles. Lors de votre passage, vous pourrez la découvrir dans un guide pratique. Ainsi l’Office de tourisme s’engage également depuis une dizaine d’années pour la reconnaissance de l’appellation AOC « Pierres Dorées », en étroite collaboration avec l’Organisme de Défense et de Gestion de l’appellation Beaujolais-Beaujolais Villages depuis peu. ...

À la rentrée 2018, le CFA du social, médico-social et sanitaire de la Région Centre-Val de Loire propose une nouvelle formation par l'apprentissage

Parmi les divers établissements délivrant la formation au TP « ADVF » en Région, aucun ne le proposait par la voie de l'apprentissage. C'est maintenant chose faite avec la MFR de Rougemont, la nouvelle UFA du CFA SMS Centre-Val de Loire qui accueille les apprenti(e)s jusqu'à l'âge de 30 ans révolus. Une offre de formation qui ouvre des perspectives dans le secteur de l'aide à domicile Les employeurs du secteur de l'aide à domicile connaissent de grandes difficultés de recrutement et peinent à trouver des personnes qualifiées pour accompagner au domicile des personnes de plus en plus fragilisées. Par ailleurs, les dispositions de la loi relative à l'adaptation de la société au vieillissement (ASV) haussent les exigences de professionnalisation pour améliorer la qualité de prise en charge des personnes. L'ouverture du TP ADVF par l'apprentissage vient répondre à des besoins quantitatifs, tout en proposant un mode de transmission des savoir-faire professionnels sur le terrain, par l'expérience, tant sur le plan technique que celui des valeurs. C'est aussi une belle opportunité de rajeunir les équipes ! Devenir assistant(e) de vie aux familles par l'apprentissage En lien avec l'UFA de la MFR « Rougemont-Tours » et les professionnels du Service public régional de l'orientation (SPRO), le CFA SMS accompagne les candidat(e)s à réfléchir sur leur projet professionnel, à prospecter pour trouver un employeur et finaliser un contrat d'apprentissage. L'entrée en formation nécessite d'avoir au moins 18 ans, d'être titulaire d'un diplôme ou titre de niveau V, d'avoir un moyen de locomotion. 490 h de formation sont dispensées sur 15 mois. ...