Le Domaine du Somail se trouve à l’est du Minervois, à proximité de Narbonne. Une cité qui a une belle histoire à raconter car elle était la première agglomération romaine au-delà des Alpes en Gaule. À l’époque, Narbonne était déjà une région viticole. « Dans le vignoble et aux alentours, des vestiges de villas romaines ont été retrouvés et il semble que la culture de la vigne était présente depuis 2000 ans », racontent avec passion Julie et François Fabre qui possèdent le domaine. Ce duo d'artisans-vignerons sait qu’il profite d’un terroir très privilégié qui, en plus de recéler un riche passé, offre toutes les conditions nécessaires pour concevoir des vins d’excellence en AOC Minervois. La terre de prédilection du mourvèdre Le vignoble du Minervois est l’un des plus vastes du Languedoc Roussillon. Il produit majoritairement des vins rouges qui se veulent à la fois tendres et veloutés, aux arômes de fruits mûrs et de tanins soyeux. Le mourvèdre est le cépage phare de l’appellation et plaît pour la richesse de ses arômes et sa structure tannique de haute qualité. Au Domaine du Somail, il s’exprime dans toute sa splendeur au même titre que les neuf autres cépages composant le vignoble. Établies sur 16 hectares, les vignes s’épanouissent sur un sol argilo-calcaire au sein d’un climat aux influences méditerranéennes. « Notre situation géographique nous permet d’avoir des vins en rondeur, ni trop puissants ni trop épicés, mais agréablement équilibrés », nous fait part Julie. Cette qualité ne résulte pas du hasard. Bien au contraire, la finesse, l’élégance et l’authenticité des cuvées sont obtenues grâce à un travail de très longue haleine respectant les préceptes de l’agriculture biologique et biodynamique. Des pratiques agricoles salutaires pour l’homme et l’environnement Sur les 20 hectares composant le domaine, 4 sont consacrés à la biodiversité. « Comme nous sommes en biodynamie, nous avons voulu avoir de la nature sauvage autour de nos vignes. Nos pourtours ont été aménagés pour créer une symbiose entre nos parcelles de vignes et l’extérieur. » Le travail des parcelles s’effectue de façon individualisée en priorisant les pratiques manuelles de la taille à la vendange. « Notre but est d’utiliser l’intelligence de la nature et de la reproduire dans nos cultures », fait savoir notre interlocuteur. Au-delà de la viticulture, cet état d’esprit qui se veut vertueux pour l’homme et l’environnement se reflète également dans les méthodes de vinification. Les vins sont sans sulfite et ne subissent aucun ajout tandis que les décantations sont naturelles. Des cuvées enchanteresses qui fleurent bon leur terroir L’assemblage des vins est aussi atypique car au Domaine du Somail, chaque cuvée révèle un cépage dominant. La cuvée « Vin de Plume » par exemple est composée à 80 % de mourvèdre et 20 % de syrah. Issue d’une culture biodynamique et d’une vinification classique en cuves en ciment brut, elle est gorgée de fruits, d’épices et de notes de garrigue et possède une capacité de garde de 5 à 10 ans. Preuve de sa qualité, ce cru a bénéficié de plusieurs distinctions : 90/100 par Robert Parker, 17/20 par Terre des vins 2020, 91 points par Wine Spectator 2020 sans compter la citation dans la Revue des vins de France 2020. La cuvée « François » va davantage exprimer toute la beauté de la syrah associée au carignan et au mourvèdre. C’est un vin fruité, intense, persistant avec une belle rondeur. « C’est une de nos plus belles réussites car il a une excellente tenue et pourtant il est dépourvu de sulfite », déclare celui qui a emprunté son nom à ce précieux nectar. Avec la cuvée « L’Authentique », le mourvèdre prime à nouveau et se combine tout en délicatesse avec la syrah. À la fois complexe et élég...
Saulieu : parenthèse de fraîcheur dans le Morvan Vous voulez un séjour empreint de fraîcheur ? Rendez-vous à Saulieu. A l’entrée du parc naturel du Morvan, c’est « le site » des breaks vitaminés et gourmands. Commencez déjà par mettre de la distance entre vous et vos préoccupations purement citadines en posant vos bagages à l’une des adresses, toutes charmantes, qui foisonnent dans le coin. Cédez à l’appel de l’expérience Relais&Château en vous installant au Relais Bernard Loiseau ou préférez l’insolite d’un tipi, d’une yourte ou d’une maison de hobbit au Domaine de la Pierre Ronde. Préparez le bataillon à faire le plein d’oxygène lors de virées en quad ou à cheval. Sports nautiques et tree climbing seront également au programme. Un détour par le Bistro Charolais requinquera l’équipe qui se retrouvera autour des grillades et autres spécialités bourguignonnes de la maison. Et pour « épater la galerie » au retour, prévoir un crochet par le Café parisien – l’un des plus anciens bistros de France ! – et le musée François Pompon. Pays châtillonnais : la Côte-d’Or viticole Comme touriste, vous êtes plutôt porté sur les bons crus ? Tournez-vous vers le Pays châtillonnais, une destination Vignobles&Découvertes pleine de ressources. Le Crémant de Bourgogne se dévoile en toute intimité au long de la route qui lui est consacrée. Sur le trajet, au niveau de Massingy l’oenocentre Ampélopsis accueille petits et grands pour un parcours pédagogique et ludique unique autour du vin. Moments d’émotion quand on rencontre les Sylvain Bouhélier et les Van-Hecke Roland dans leur domaine. Prolongez ces expériences sensorielles en goûtant aux spécialités gourmandes de la Bourgogne comme les escargots. A moins que le menu gastronomique du Restaurant du Château de Courban vous parle plus. Points de chute recommandés : Les Chambres de Rochefort aménagées dans une authentique demeure du 19ème, ou celles du Clos d’Orret avec leur panorama à couper le souffle et leur salle de musique exceptionnelle avec orgue à tuyau ! Les plus beaux villages de France, c’est par ici Au-delà de ces incontournables, la Côte-d’Or et sa belle campagne, c’est avant tout une destination authentique, l’Auxois, ou surgissent des villages labellisés « Plus Beaux Villages de France » comme Chateauneuf-en-Auxois ou Flavigny-sur-Ozerain. Longues promenades romantiques en vue à travers les ruelles pavées au cœur des remparts. Pour se restaurer, on fonce à la Grange, une auberge tenue par les femmes d’agriculteurs du village, un bon petit plat très local et c’est reparti pour un autre tour de visite dans la bonne humeur. ...
Entrepreneurs, salariés et particuliers peuvent faire appel à Sylvie Frémy pour les accompagner dans leurs projets professionnels, personnels ou améliorer leur santé. L’Ayurvéda : système complet de médecine traditionnelle reconnu par l’OMS Aujourd’hui, de plus en plus de personnes, en quête d’un véritable équilibre personnel, envisagent de se tourner vers les médecines non conventionnelles comme l’Ayurvéda, considérée comme la plus ancienne médecine holistique du monde. De par sa formation, le praticien en Ayurveda est à même de rééquilibrer la Nature de la personne. Sylvie Frémy, spécialisée dans ce domaine depuis 2008, propose 3 champs d’action. Le 1er volet se déroule en face à face au cabinet ou à domicile. Il réside en l’observation, la connaissance de la Nature doshique du client et de l’influence de son environnement à l’origine du déséquilibre. Elle transmet ainsi des messages précis ouvrant le chemin au rééquilibre et à l’éducation (dans le sens positif du terme) à une meilleure compréhension et écoute du corps. Elle aime aussi enseigner lors d’ateliers, conférences (à domicile, en CE) ou salons. Le 2e volet concerne l’harmonisation de la Nature psychique et/ou émotionnelle de la personne, en face à face ou à distance (tél. ou Skype). À ce titre, Sylvie Frémy explique qu’elle est une facilitatrice de la résolution des états émotionnels de son client, qui, dans l’amour de Soi, s’en libère et gagne en harmonie et liberté. Le client repart avec son flacon d’Elixirs Floraux. Enfin, le 3e volet concerne la méthode QHIA® en Physique Quantique. Elle permet à S. Frémy de restaurer peu à peu l’intégrité vibratoire de la personne (ou l’entreprise) qui retrouve son estime de Soi et son libre arbitre, altéré par des événements présents et des mémoires. Une fois installée, l’intégrité sera maintenue par la personne prenant soin de ses propres besoins. La finalité des 3 démarches est d’amener la personne à être de plus en plus Soi, à se recentrer dans son Être, à mieux décoder les influences de son environnement sur sa Nature et à surfer sur la vague pour accueillir les événements de sa Vie. Sylvie Frémy : Pharmacien biologiste Ph.D. et conseillère en Ayurvéda et Fleurs de Bach Sylvie Frémy, de formation Pharmacien biologiste, Ph.D., est devenue responsable qualité en entreprise de diagnostic in vitro où elle s’exerce au quotidien auprès de son entourage professionnel. En parallèle, elle est devenue Conseillère en Ayurvéda et en Fleurs de Bach. Poursuivant le chemin de retour sur Soi qu’elle propose à ses clients, elle détient les clés pour répondre parfaitement à leurs attentes. Aujourd’hui, elle met son savoir au service des particuliers ou entreprises pour leur permettre de mieux se connaitre, de gagner en intégrité afin d’accueillir sereinement tous les défis professionnels et personnels. ...
Ce domaine appartient à la famille Fabre depuis 1928. C’est un plaisir et un véritable challenge pour elle d’allier sa passion pour le vin avec des méthodes culturales veillant au respect de l’environnement. Un terroir privilégié Le vignoble se situe sur un sol argilo-calcaire recouvert de galets roulés produisant principalement les cépages syrah, grenache, roussanne et chardonnay. Pour préserver la qualité de ses sols, la maison mise sur l’agriculture biologique. « Nous avons officiellement décroché le label bio en 1978, même si nous avons pratiqué ce mode cultural bien avant », spécifie Jean-Baptiste, co-gérant du domaine. Tous les intrants chimiques sont bannis du cahier des charges « Agriculture biologique ». Les vignes du Château des Coccinelles bénéficient du chaleureux climat méditerranéen. « Nos vignes sont parfaitement exposées au soleil, mais notre arme secrète reste le mistral qui nous aide énormément à préserver la qualité des raisins jusqu’aux vendanges. » Vinification, entre tradition et modernité Après les vendanges en vert et les dernières analyses de maturité en laboratoire, c’est la dégustation des baies sur le terrain qui déclenchera les vendanges. Rendez-vous alors dans le chai pour y sublimer la récolte. Grâce aux rendements maitrisés et au savoir-faire de la maître de chai, il y sera produit des vins à la fois complexes, gourmands et élégants. Aujourd’hui comme par le passé, l’entreprise familiale vinifie de façon traditionnelle sans se priver d'outils modernes. Résultat : un enchantement de saveurs qui rend honorablement ses lettres de noblesse à l’appellation Côtes-du-Rhône et Signargues. La maison est particulièrement fière d’une cuvée (sans sulfites ajoutés) baptisée « Elytres », un Côtes du Rhône rouge spécialement élaboré en l’honneur du centenaire du domaine. Cette production tire son succès de ses arômes intensément fruités qui se marient idéalement avec la cuisine méditerranéenne. ...
Grâce aux saveurs uniques de la cuisine traditionnelle française concoctée à base de produits frais et sélectionnés avec minutie par le chef, Le Château Bourgogne réserve de belles surprises aux épicuriens. Avec, à chaque fois, la promesse d’un plaisir renouvelé ! Un cadre élégant Ayant récemment fait « peau neuve », le restaurant arbore fièrement ses nouveaux attraits. Dans un décor très cosy, l’élégance transparaît à travers chaque détail. Ici, on retrouve une décoration contemporaine, très moderne où le luxe s’affiche sans complexe. Tout renvoie à l’équilibre et à l’harmonie : les couleurs, les matières sont prétextes à une combinaison d’élégance et de convivialité. Un endroit intimiste qui n’est pas dénué de charme. Les lieux conviennent parfaitement aux retrouvailles en famille, entre amis ou aux repas d’affaires. En été, vous avez la possibilité de profiter d’une belle terrasse à proximité de la piscine pour plus de tranquillité. Le raffinement dans vos plats Grâce à un partenariat privilégié avec ses fournisseurs locaux, l’établissement s’assure d’offrir à ses clients les meilleurs produits afin de leur concocter des plats incomparables. Au gré des saisons et des saveurs, le chef se propose de livrer une belle partition mettant à l’honneur les subtilités de la cuisine traditionnelle française. En entrée, le duo d’œufs en meurette est juste à tomber. Un vrai régal pour les gourmands de passage. En plat, rien de tel qu’un filet de bœuf charolais avec sauce aux morilles pour s’imprégner des saveurs régionales. Tous les dimanches, ce restaurant a l’habitude de convier les initiés à son traditionnel brunch « Le Spécial Sunday Buffet ». L’occasion aussi pour l’établissement de faire connaître aux convives le savoir-faire de ses trois pâtissiers d’exception et leur célèbre chariot de desserts. ...
Les Aviateurs est la nouvelle adresse où le Chef Chevrier donne rendez-vous à ses clients. Idéalement situé sur la Rue du Rhône, l’établissement attire les genevois par son concept si particulier. Les Aviateurs, c’est plus un bar tea-room qu’un restaurant et il porte bien son nom. Il plonge les clients dans l’élégance du monde de l’aviation pendant qu’ils savourent leurs plats. Un cadre chic et atypique Le bar Les Aviateurs a vu le jour en 2017 sous l’initiative de IWC, une manufacture horlogère Suisse. En voulant offrir une carte plus élaborée pour répondre à la demande de sa clientèle, IWC fait appel au chef Philippe Chevrier. Plus tard, il y voit l’opportunité de créer un nouveau type d'établissement : un bar tea-room où les clients peuvent venir à tout moment. Néanmoins, l'adresse reste fidèle à son nom. Le chef Chevrier décide de conserver le design intérieur du bar. Le décor quant à lui met en avant des carlingues d’avion, des cadrans de montre, des photos d’aviateurs qui nous ramènent dans les années 30 et 40. Le bar attire les clients par un style élégant de Gentlemen club. Les clients y sont invités à se détendre sur des fauteuils en cuir, autour d’une table haute. Sous la responsabilité d’Elodie Décure, une directrice proche de sa clientèle, les Aviateurs accueille les habitués et les nouveaux clients dans une ambiance chaleureuse et accueillante. A la carte du bar tea-room Les Aviateurs Les Aviateurs ouvre ses portes aux clients dès le matin jusqu’à l’after-work. Pour commencer la journée, le bar tea-room propose des viennoiseries, des muffins et des salades de fruits frais au petit-déjeuner. Pendant la journée, les clients peuvent choisir entre burgers, tartares, croque-monsieur, tartes salées, quiches et salades. Les Aviateurs possède aussi son plat signature qui met à l’honneur les produits locaux : le Burger Les Aviateurs. Pour le préparer, ils utilisent du pain boulanger local, du steak de bœuf 100% suisse coupé au couteau ainsi que du gruyère suisse. En soirée, on y retrouve planches de charcuterie, pâté en croûte et fromages. A l’heure de l’after-work, le bar offre aussi à ses clients du saumon, des rillettes de crabe et de la volaille. Par ailleurs, Les Aviateurs dispose également d’une jolie carte de pâtisserie, œuvre du pâtissier-chocolatier Laurent Exbrayat, pour l’heure du thé. Etant un tea-room digne de ce nom, l’établissement est un endroit de premier choix pour prendre une tasse de thé ou de café seul ou entre amis à l’heure du goûter. Outre les boissons chaudes, le chef Chevrier a conservé la carte des boissons auquel les premiers clients étaient déjà habitués au moment de reprendre le bar. Pour l’enrichir, il a ajouté une carte de cocktails créatifs destinée à satisfaire la clientèle masculine qui y est nombreuse. Mise à part la particularité de son cadre et de son concept, Les Aviateurs s’adapte aussi aux saisons. Nouvelle saison, nouvelle atmosphère Les Aviateurs dispose d’un atout qui fait de lui un endroit privilégié par les clients tout au long de l’année : sa terrasse estivale. Pour profiter pleinement de l’été et du soleil, les clients peuvent prendre leurs repas, leurs goûters ou leurs tasses de café au milieu des oliviers et d’autres arbres méditerranéens. En hiver, la terrasse couverte est chauffée pour permettre aux clients d’y prendre leur verre de cognac ou de fumer un cigare malgré le froid. Pour toutes ces qualités ajoutées aux talents culinaires du chef, les clients fréquentent Les Aviateurs tout au long de l’année. ...
Le Musée-Mémorial des enfants du Vel d‘Hiv accueille les visiteurs dans un espace muséographique articulé autour de milliers de documents, photographies, archives, actualités d’époque, témoignages audio et vidéo et des multimédia. Musée Mémorial des enfants Vel d’Hiv : un espace vivant consacré à la mémoire et au souvenir des déportés Juifs et Tsiganes Depuis plus de vingt-cinq ans, le Cercil-Musée Mémorial des enfants du Vel d’Hiv effectue des recherches sur l’histoire des camps d’internement de Beaune-la-Rolande, Pithiviers et la déportation juive, ainsi que sur celui de Jargeau et l’internement des nomades. Entre le 14 mai 1941 et juillet 1943, plus de 16 000 Juifs, dont plus de 4 700 enfants, ont été internés dans les camps de Pithiviers et Beaune-la-Rolande, avant d’être, quasiment tous, déportés et assassinés à Auschwitz-Birkenau. En 1942, huit convois partent directement des gares de Beaune-la-Rolande et de Pithiviers pour Auschwitz, les autres internés vont transiter par le camp de Drancy. Entre mars 1941 et décembre 1945, 1 190 Tsiganes, dont 700 enfants, ont été internés dans le camp de Jargeau. La singularité de la structure repose sur le fait qu’il s’agit à la fois d’un centre de recherche et d’un lieu de transmission où sont accueillis familles, élèves, groupes venant de toute la France. Le pôle pédagogique composé de professeurs mis à disposition par l’Education nationale et de médiateurs, est un interlocuteur privilégié pour les enseignants. Le Cercil intervient également sur la formation initiale ou continue des enseignants, des médiateurs culturels, des animateurs, de tous ceux qui sont en situation de transmission des valeurs citoyennes. Il contribue également à la préservation des archives publiques et privées, ainsi que du patrimoine bâti de ces trois camps et donc de leur valorisation. ...
Une ville qui change de visage Au cœur de la vieille ville bretonne, utilisant le bâti historique du Couvent des Jacobins dont il emprunte le nom, le nouveau Centre des Congrès de Rennes vient parachever toute une série d’investissements de la ville afin de se placer dans l’élite des destinations d’affaires françaises. Notamment en termes de mobilité, la ville est reliée au réseau de lignes à grande vitesse pour lui permettre d’être connectée, bien entendu à Paris en moins d’une heure trente, mais aussi au reste des grandes métropoles françaises en un très peu de temps. Les déplacements sur rails vont se prolonger au sein de la ville avec la création récente d’une seconde ligne de métro qui fait le lien entre la gare LGV et le Couvent des Jacobins. Signe de l’importance accordé par la ville à la création du Centre des Congrès, les deux lignes métropolitaines de la ville ont été pensées pour se croiser en deux points ; à la gare, et place Sainte-Anne devant le Centre des Congrès. Ces séries d’investissements et bien d’autres, dont la refonte totale récemment de la gare elle-même, concourent au positionnement de la ville et de son rayonnement dans un secteur fortement concurrentiel. Un outil pour demain Plusieurs dimensions façonnent les singularités et les particularités de ce projet. Déjà l’accolement du Centre au Couvent des Jacobins, lieu emblématique de la ville pour la diffusion et le partage des connaissances dès le Moyen Âge, qui crée une légitimité et une filiation entre deux époques distantes. Ensuite la situation même du Centre, au cœur historique de la capitale bretonne, avec toutes les commodités que cela suppose en termes de restaurations, logements, bars et hôtels pour les participants. On est très loin de l’image des autres Centres des Congrès plus classiques, souvent excentrés, obligeant à multiplier les transports afin de s’y rendre ou pour continuer un meeting dans un bon restaurant. Ici, tout est accessible à pied, entre deux rendez-vous, on trouve le temps de profiter de l’ambiance toute particulière de Rennes et de ses quartiers historiques. À cela, il faut ajouter qu' « Étant un Centre des Congrès nouveau, il profite des choix technologiques les plus récents. On garantit à nos clients organisateurs d’événements, et à leurs clients congressistes, une très grande capacité de communication entre les pièces, par exemple la liaison en full duplex entre toutes les salles sans branchement supplémentaire. C’est un centre extrêmement moderne par les technologies qu’il embarque avec lui », explique J.F Kerroc’h, directeur général de Destination Rennes. Un engagement total de tous les acteurs d’un territoire Ce centre n’arrive pas d’un seul coup dans un paysage vierge, mais accompagne une réflexion de tous les acteurs de la chaîne de l’accueil du territoire. « Nous avons constitué un conseil des acteurs du tourisme et des rencontres professionnelles qui assoit ses activités dans l’ambition d’accueil du territoire. De ces réflexions menées collectivement, on a retiré une proposition, pour les organisateurs, composés de 35 engagements. Un de ces engagements est de garantir, jusqu’à trois ans avant la tenue d’un événement, les chambres qui y sont associées. C’est une garantie économique puisque l’on s’engage sur les prix. » Le démarrage de ce Centre des Congrès est un travail collectif de la chaîne tourisme, mais il mobilise aussi des acteurs académiques et économiques, afin de faire réussir le projet et le propulser dans une dimension supérieure. L’enjeu est d’offrir à ces acteurs un outil moderne afin de prendre des initiatives et de porter des candidatures dans leurs réseaux à l’accueil de congrès. « Tout le monde est solidaire de la qualité de la destination. On s’est efforcé de construire des systèmes d’alliances avant même la tenue du premier congrès. C’était une condition préalable », termine J.F Kerroc’h. ...
À La Gazette, les mets se dégustent dans un endroit bourré de charme, délicieusement mis en scène par les architectes Delphine Sauvaget et Pauline d’Hoop de Synghem. Le mobilier de style vintage, le motif à feuilles de bananier de la moquette, la couleur des accessoires et les lumières tamisées ont été choisis avec gout pour baigner les convives dans une ambiance branchée et raffinée, d'inspiration exotique. Des délices au rythme des saisons Une fois que l’on est installé confortablement dans l’un des fauteuils des années 1950 de la maison, les choses sérieuses peuvent commencer. Les saveurs fraiches que proposent les marchés de Paris seront suggérées sur une carte qui change toutes les deux semaines selon les ingrédients existants. En entrée, le Tempura de gambas au sésame a depuis longtemps gagné ses lettres de noblesse auprès des clients de La Gazette. Y gouter est presque impératif dans ce restaurant. Vient ensuite le moment de se régaler avec les fameuses Pâtes langue d’oiseau au jambon truffé. Enfin, le Cheese cake à la mangue et passion ou le Moelleux au chocolat et glace vanille sont là pour achever ce mélodieux repas. «Tout cela à un prix qui montre qu’il ne faut pas forcément se ruiner pour profiter d’une cuisine digne de ce nom dans le 16e arrondissement », se félicite Hugo Hussein Salami, propriétaire et associé. Dénicher le vin qui accompagnera le repas à la perfection ne sera pas une affaire délicate au restaurant La Gazette, étant donné la richesse et l’éclectisme de sa carte des vins. Celle-ci est très « ouverte à plusieurs régions », dixit Hugo Hussein Salami. Une promesse d’aller à la rencontre des meilleurs accords. ...
Une première pour la Communauté de communes des Olonnes (CCO). De juin 2016 à mars 2017, à Olonne-sur-mer, face à l’esplanade du Vendée Globe, l’exposition « Les aventuriers de l’océan, du Moyen Âge au Vendée Globe » promet de belles découvertes. Selon Cécile Lataste, directrice de l’action culturelle à la Communauté de communes des Olonnes, l’objectif est de « présenter l’ancrage historique des Sables-d’Olonnes et des communes des alentours sur leur identité maritime ». Le Vendée Globe, à l’origine du concept Célèbre course à voile autour du monde sans escale ni assistance, le Vendée Globe contribue à faire connaitre les Sables-d’Olonne. Durant les quatre années qui séparent chaque nouvelle édition, l’esprit de la course doit être préservé. Or, une fois les dernières tentes démontées, l’engouement autour du Vendée Globe se perd. « Entre chaque édition, il n‘existe pas de dynamique de valorisation du patrimoine historique et culturel des Olonnes. Il faut s’approprier cet évènement pour pouvoir rebondir et mettre en lumière ce patrimoine », affirme Cécile Lataste. Pour la CCO et ses partenaires, alimenter l’intérêt suscité par cette course mythique permettra de promouvoir l’énergie entourant le Vendée Globe, tout en développant l’image positive qu’il apporte aux Olonnes et à la Vendée. D’où l’idée de cette exposition. Une exposition bien pensée « Cette exposition a été conçue pour présenter la naissance géographique du port des Sables-d’Olonnes, qui a évolué au cours de l’Histoire, et pour révéler les motivations qui ont conduit les hommes à partir du port des Sables-d’Olonnes et à y revenir », explique Cécile Lataste. Le projet novateur met principalement l’accent sur 5 ilots s’articulant autour de l’espace central, qui sont une invitation à voyager dans le temps et dans l’espace. À l’entrée, direction le premier ilot qui retrace la navigation commerciale au Moyen Âge et à la Renaissance. Les visiteurs y croiseront le routier et pilote maritime Garcie Ferrande, pionnier du routage maritime. Dans le deuxième ilot, le thème de la piraterie est mis en avant : l’occasion de plonger au cœur même de la vie de ces flibustiers, dont François l’Olonnais est le personnage le plus représentatif. Place ensuite à la pêche routière au sein du troisième opus qui « retrace également l’histoire des hommes partis très loin pour pouvoir pêcher et rapporter un poisson spécifique : la morue ». À l’honneur : Collinet l’armateur, marin expérimenté qui explore les bancs de Terre-Neuve dès l’âge de 13 ans. Le quatrième volet, dont la figure représentative est le marin-pêcheur et navigateur Philippe Thesson, raconte l’aventure des marins d’État, embarqués dans les grands voyages. Le cinquième ilot est, quant à lui, dédié aux skippers du Vendée Globe qui n’ont qu’un seul objectif : revoir les Sables-d’Olonne, en vainqueurs de préférence ! Petits et grands, néophytes ou inités, tout le monde pourra vivre cette invitation au voyage. Bonne navigation ! ...
Maison La Mauny, générosité et richesse aromatique L’histoire de Maison La Mauny débute en 1749 quand Ferdinand Poulain, comte de Mauny, débarque sur l’île et épouse la fille d’un riche planteur qui possédait des terres dans la petite ville de Rivière-Pilote. Il devient ainsi propriétaire d’une exploitation agricole à qui il donne son nom. Avec la terrible crise de l’industrie sucrière de 1820, la distillerie se développe et commence à produire du rhum agricole élaboré à partir du pur jus de cannes du domaine, utilisées jusque-là exclusivement pour la production de sucre. Presque cent ans plus tard, les frères Bellonnie reprennent le domaine pour ensuite s’associer à la famille de négociants marseillais, les Bourdillon. On est en 1996 quand le groupe commence les démarches nécessaires pour faire des rhums martiniquais les premiers, et jusqu’à aujourd’hui les seuls, rhums certifiés AOC au monde. Maison La Mauny travaille depuis toujours ses rhums dans l’art complexe de l’assemblage pour exalter une large palette d’arômes et une générosité particulière. Le maître de chai de la Maison, par petites touches, comme un peintre avec leur palette, sélectionne les fûts et élabore les meilleurs assemblages pour exprimer toutes les subtiles particularités de la situation géographique des plantations dans ce qu’elles offrent de plus généreux. Situées dans une vallée verdoyante à la terre rouge argileuse, les cannes ici se gorgent de sucre dans une chaleur et une humidité particulière. Cela leur confère des notes aromatiques très fruitées, que l’on rencontre dès les rhums blancs, mais qui s’expriment encore plus délicatement dans les vieux rhums. Riche de son histoire et de son authenticité, Maison la Mauny est une distillerie dite « fumante » c’est à dire une distillerie toujours en activité pendant la période de la récolte de la canne qui a lieu de mi-février à fin juin. La visite guidée se fait en petit train où vous découvrirez le savoir-faire des hommes qui perpétuent, d’année en année, les méthodes traditionnelles d’élaboration des rhums agricoles Maison La Mauny. A la Cabane à rhum, vous serez initiés aux ti-punchs et cocktails, et apprendrez tout sur l’art du vieillissement en dégustant les rhums vieux d’exception. Les rhums Trois Rivières, élégance et puissance aromatique C’est sur le site de Rivière Pilote que la précieuse colonne à distiller originelle de Trois Rivières a été déplacée pour garantir la qualité et la singularité de ses rhums. Fondée en1660 par Nicolas Fouquet, la plantation Trois Rivières fait partie des plus anciennes de la Martinique. Située au sud de l’île, surplombant la mer des Caraïbes, Trois Rivières bénéficie d’un microclimat aride qui diffère totalement de celui de Maison La Mauny. Cette situation géographique exceptionnelle renforce la concentration en sucre de ses cannes réellement exceptionnelles. Ce terroir du Sud s’exprime pleinement dans le Trois Rivières Cuvée de l’Océan, dont les cannes élevées sur l’Anse Trabaud à Ste Anne affichent autant leur forte sucrosité que l’intensité des notes iodées portées par les Alizés Visible de loin au milieu des champs de canne, un moulin à vent indique l'emplacement des Plantations Trois Rivières. Ce site est un lieu de découverte pédagogique, des procédés de distillation du rhum mais aussi de l'histoire de la Martinique. Un savoir-faire d’exception Dès la coupe, les cannes sont immédiatement apportées à la distillerie pour préserver toute leur fraîcheur. On en extrait le pur jus qui va fermenter pendant 24 à 48 heures. C’est dans la colonne à distiller, unique à Trois Rivières, que le jus des cannes se transforme en « esprit du rhum » ruisselant doucement le long des parois. Le rhum blanc, qui sort entre 65 et 75%, sera ensuite réduit au degré d’alcool voulu avant d’être commercialisé. Les rhums vieux, quant à eux, doivent vieillir au minimum tr...
Que vous soyez adepte de tourisme ou de voyage d’affaires, Alitalia vous permet de voler en toute sérénité. Alitalia : la compagnie italienne qui prend soin de ses passagers La première chose qui frappe lorsque l’on s’installe dans un avion Alitalia, c’est le style italien qui se dégage de l’appareil. Que ce soit au niveau de l’élégance, du confort ou du personnel de bord, chaque détail compte. Cela se ressent même dans la qualité de la cuisine en vols long-courrier avec des plats s’inspirant des traditions culinaires italiennes et une sélection de vins en partenariat avec la fondation des sommeliers italiens. La compagnie a d’ailleurs obtenu pour la huitième année consécutive le prix de « La meilleure cuisine à bord ». Plus de 22 000 grands voyageurs ont été consultés par le prestigieux mensuel américain "Global Traveller", qui a décerné à la compagnie italienne le titre de "Best Airline Cuisine" 2017. Vous l’avez compris : il est toujours agréable de voyager à l’intérieur d’un avion Alitalia. Les appareils, d’ailleurs, parlons-en. Concernant les vols long-courriers, l’entreprise dispose d’Airbus 330 et de Boeing B777. Ces deux modèles d’avion proposent 3 classes de voyage : Magnifica, Premium Economy et Economy (seuls 2 Airbus A330 ne disposent pas de Premium Economy). Pour les vols moyen-courriers, à bord des Airbus 321, 320 ou 319 il est possible de choisir la Business Class medium - haul qui offre de nombreux services dédiés pour un voyage tout confort. Pour voyager à prix avantageux sans renoncer au confort, la classe Economy offre avantages et services personnalises pour tous types de voyages. À noter : la compagnie aérienne fait de grands efforts pour améliorer sa ponctualité au fil des années. Ainsi, en février elle enregistre un taux de vols atterris à l’heure de 87,79%. Ce qui fait d’Alitalia la deuxième compagnie au monde pour la ponctualité et la première en Europe. Le sondage a été publié par FlightStats, une société américaine indépendante faisant autorité, qui dresse le classement des compagnies aériennes chaque mois pour la ponctualité. Le chiffre de février suit le record de janvier, Alitalia étant la première compagnie aérienne au monde à arriver à l'heure avec 91,89% des vols atterrissant à temps. Finalement, Alitalia offre aussi un programme de fidélisation MilleMiglia qui permet aux voyageurs de cumuler des miles servant à acheter des billets ou des services additionnels avant ou pendant le vol. Plus de 70 destinations au départ de France ou d’Italie Quels que soient vos envies et besoins, vous pouvez faire confiance à Alitalia pour voyager à l’autre bout du monde en toute sécurité. Concernant les aéroports français, si vous souhaitez partir de Paris-CDG, il est possible de vous rendre à Rome ou à Milan-Linate (4 vols directs par jour). Par contre, si vous préférez partir de Paris Orly, sachez que vous avez la possibilité d’embarquer dans un des 4 vols quotidiens à destination de Milan-Linate. Des vols quotidiens Nice-Rome et Marseille-Rome sont aussi proposés auxquels s’ajoutent les vols réguliers Toulouse-Rome. Une fois à Rome, sachez qu’il est possible de se rendre à Johannesburg, New Delhi, Malé, Los Angeles, Mexico City, Santiago du Chili, Séoul, Tokyo (possibilité de partir aussi de Milan), Sao Paulo, Rio de Janeiro, Buenos Aires, Téhéran, New York (possibilité de partir de Milan), Boston ou Miami. À partir d’octobre 2018, il sera aussi possible de se rendre à l’ile Maurice. À savoir : pendant votre escale à Rome, vous pouvez vous détendre au sein du salon Casa Alitalia. Grâce à l'attention portée aux détails et à l'accueil chaleureux donné aux visiteurs, vous profitez d’un moment agréable avec la possibilité de vous restaurer, de vous relaxer ou d’organiser des réunions de travail. Le service de restauration s'inspire de l'excellence gastronomique de l'Italie et est doté d'une cuisine ouverte où le chef prépare devant vous des menus à base de pâtes ou des pizzas. Comme si vous étiez dans une véritab...
Faisant aujourd’hui figure d’institution en matière de gastronomie française, l’établissement est un haut lieu de restauration, où s’apprécie une cuisine qui mêle élégance, tradition et intuition créative. Quand la magie des lieux opère Situé sur la prestigieuse avenue Montaigne au sommet du Théâtre des Champs-Élysées, cet établissement riche d’une réputation construite depuis plus de vingt-huit ans est aujourd’hui le fief de Bruno Franck et de son équipe qui y font jouer leur expérience et leur savoir-faire. Dans une ambiance intérieure raffinée et cosy, laissez-vous transporter dans un confortable voyage ou à l’ombre de son admirable terrasse qui fait face à la tour Eiffel pour une expérience gustative d’exception dans la farandole des saveurs d’une cuisine à la qualité irréprochable. À travers un vaste espace de 440 m2 offrant de multiples possibilités, la maison est constituée de deux niveaux : une salle qui longe une baie vitrée vertigineuse et verticale avec une vue dominante sur l’Ouest parisien et une mezzanine située en hauteur qui révèle son lot de surprises en s’ouvrant sur un paysage plus élargi sur la capitale et qui permet de découvrir un bar lumineux aux couleurs variables ou encore une incroyable terrasse, la terrasse Georges V telle une oasis illuminée de pleins feux par la Dame de fer, la tour Eiffel. Une cuisine d’exception, inventive et raffinée Constamment au rendez-vous, le mariage réussi des textures et des saveurs aux couleurs contrastées se suivent et se succèdent au restaurant Maison Blanche, fortement inspirées des nombreux voyages du chef Fabrice Giraud et des influences méditerranéennes de son enfance. C’est ainsi que, jour après jour, naissent de belles assiettes inventives préparées selon le marché du moment où la surprise et l’authenticité sont toujours à l’honneur. À cela s’ajoute le savoir-faire d’un excellent chef pâtissier Paul Donore, qui, depuis de nombreuses années, fait chanter les desserts à travers de grands classiques revisités à sa manière. Découvrez à travers une carte prometteuse, où sucré et salé forment un bon équilibre, un savoureux saint-pierre au citron confit et au fenouil, un plat emblématique revisité par le chef qui s’harmonise à merveille avec le Crozes de Combier 2012 Clos des Grives, au nez de framboise et de violette. Un lieu hors du commun pour accueillir vos événements Perché sur les hauteurs du Théâtre des Champs-Élysées, le restaurant Maison Blanche est également un haut-lieu de festivités parisiennes, où opère la magie des strass et des paillettes. L’établissement réunit dans diverses ambiances, tout un essaim de noctambules en quête de fêtes et de soirées bien orchestrées. Chaque samedi, cette institution se métamorphose en un night-club branché, où l’ambiance diffuse du Club Montaigne permet de se retrouver autour d’un verre sous la cadence d’une musique rythmée, et ce, jusqu’au bout de la nuit. Maison Blanche, c’est aussi un lieu d’accueil unique pour tous types d’événements. Anniversaires, séminaires, conférences de presse et aussi mariages, dîners de gala ou événements d’entreprise y sont les bienvenus. Pour toute demande de renseignements, une équipe commerciale particulièrement à l’écoute se tient à votre disposition pour la réalisation et la personnalisation de vos événements. N’hésitez pas à demander un devis. ...
En créant Papilles & Mamies, Cyril Romanet et Charlotte Thienpont ont voulu rendre accessible à tous une cuisine de qualité toujours élaborée à partir de produits frais et de saison. Faire du désir de bien manger un plaisir du quotidien, tel est l’objectif que se sont fixé ces deux amoureux de la cuisine traditionnelle française. Une histoire née de la passion pour la bonne cuisine L’univers culinaire n’a aucun secret pour les deux épicuriens dans l’âme puisque, dès leur plus tendre enfance, ils y ont été initiés. Ayant grandi dans une ferme, Charlotte a développé un amour particulier pour le bon produit. Quant à Cyril, il a appris à aimer et préparer la cuisine du terroir auprès de sa grand-mère. Dans une volonté de pérenniser ces souvenirs et partager leur passion pour la cuisine au plus grand nombre, le duo s’accorde à créer une solution qui permettrait à chacun de se faire livrer de bons plats authentiques. Le défi est donc lancé en 2018 quand Charlotte et Cyril décident de participer au concours « 100 jours pour entreprendre » qu’ils remportent avec succès. Ensemble, ils poursuivent leur entreprise avec l’aide de l’incubateur Smart Food Paris et ont réalisé un test de commercialisation avec succès. A noter que ces bons petits plats qui fleurent bon les odeurs d’enfance et les matinées agitées sont tous mijotés en cuisine par l'équipe, avec des ingrédients méticuleusement sélectionnés. Et pour que l'offre soit accessible à tous, nos deux cordons bleus préparent en coulisse l'ouverture officielle des commandes, qui sera annoncée sous peu. Des repas chaleureux et conviviaux Pour Cyril et Charlotte, alimentation de qualité rime avec produits sains et frais. Ainsi, seuls les meilleurs ingrédients locaux et de saison ont la place dans leur cuisine. Et pour conserver le maximum d’apports nutritionnels, les repas vont être soigneusement mijotés à basse température dans des bocaux en verre. Bannissant les additifs et autres conservateurs, ce mode de préparation artisanal permet d’assurer une conservation plus naturelle des plats. Le consommateur bénéficie ainsi de repas frais, et équilibrés, riches en saveurs et préparés avec amour et délicatesse, exactement comme on les aime. Et parce qu’un bon lunch n’est pas uniquement réservé pour les grandes occasions, Papilles et Mamies fait de ce plaisir une expérience à vivre et à partager au quotidien. L’occasion de se réunir en famille ou entre amis pour un moment gourmand et convivial. ...
Au cœur de la campagne du Finistère, situé près de la mer, le Manoir du Kerhuel offre des chambres spacieuses et confortables, une restauration créative et raffinée ainsi que de multiples activités sportives et de loisirs. Un endroit de rêve pour un séjour dépaysant, des escapades en amoureux, des évènements familiaux et même des séminaires grâce à des équipements audio-vidéos up to date. Une cuisine gastronomique, inventive et raffinée Au cœur de cette verdure à perte de vue, le Manoir du Kerhuel propose une cuisine gastronomique dans son restaurant où les produits locaux issus de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche sont à l’honneur. Le Chef Mathieu Menguy trouve ses fournisseurs dans un rayon de 35 km, ce qui garantit la fraîcheur de ses ingrédients. Les menus changent suivant les saisons et la cuisine est fait-maison : de l’entrée au dessert. La créativité et le raffinement des plats font la joie des yeux et des papilles. Le restaurant possède trois menus différents qui sont tout aussi tentants les uns que les autres. Le menu marché dépend des trouvailles du Chef. On peut alors y commander une interprétation de la « tartiflette, oignons de Roscoff », suivie d’un « Merlu de ligne rôti, chou-fleur grillé, coques et encre de seiche » et enfin de la « Crème de marrons et meringuettes, clémentine aux épices, sorbet impériale ». Dans le menu gourmand proposé en 5 notes, on retrouve le « Saint Jacques des Glénan, céleri rave aux amandes, jus au kari gosse », le « Lieu de ligne rôti, poireau grillé, crème d’héliantis, sabayon au citron » ou encore le remarquable « Filet de canette mi-fumé salsifis caramélisés et butternut, jus au miel de châtaignier ». Enfin, le menu dégustation se décline en 7 suggestions dont la « Langoustine Royale, effluve de sous- bois, émulsion d’agrumes », le « Foie gras grillé, gnocchi, bouillon de pomme de terre » ou les délicieuses « Nuances chocolatées, mandarine et Earl Grey ». Toutes ces saveurs sont rehaussées par un choix judicieux de vins. Pour établir sa carte, le Manoir travaille également avec une cinquantaine de vignerons. Un Manoir multi-activités Outre son environnement naturel, le Manoir du Kerhuel présente à l’intérieur de ses murs de pierres multi séculaires un style contemporain, avec une décoration sobre et élégante. Le restaurant Preti bénéficie d’une belle luminosité grâce à la grande baie vitrée qui ouvre sur la terrasse dotée d’une capacité d’accueil de 70 personnes. L’établissement est aussi constitué d’un service d’hôtellerie 3 étoiles. Il possède divers types de chambres dont la simple, la supérieure, le confort, la familiale et le cottage. Les couples en quête d’un lieu insolite pourront investir la chambre nommée le « pigeonnier » qui est située entre le Manoir et la piscine et qui bénéficie d’un cadre intimiste et calme avec notamment une baignoire ronde en pierre. Outre son décor pittoresque et ses vocations principales d’hébergement et de restauration, le Manoir du Kerhuel offre un riche éventail d’activités. A côté de la salle du restaurant, un bar dans lequel s’entretient une ambiance chaleureuse est ouvert jusqu’à minuit. Deux salles de jeux sont également disponibles avec billard, baby-foot et flipper. Pour les soirées festives, la salle Orangerie offre une scène de Karaoké et une piste de danse. Un sauna est également à disposition pour un instant de détente et de bien-être. A l’extérieur, le Manoir est doté d’une grande piscine chauffée qui reste ouverte de 8 à 22 heures et un court de tennis pour les plus sportifs. ...
À seulement 2h30 de vol de Paris se trouve Malte, bel archipel de trois îles au cœur de la Méditerranée,possédant tous les atouts pour garantir le succès de vos évènements : une météo agréable toute l’année, des infrastructures modernes, un riche patrimoine historique et des professionnels engagés dans une exigeante démarche de qualité. Malte est sous les feux des projecteurs en 2018, grâce à sa capitale La Valette, Capitale européenne de la culture dont le fil conducteur des différents événements sera la fameuse « Festa », la fête maltaise. C’est l’occasion de redécouvrir l’archipel méditerranéen à seulement 2h30 de Paris. Le pays le plus au sud de l'Union Européenne, avec sa petite taille (316 km²), offre un cadre exceptionnel pour les groupes MICE. Doté d'un patrimoine historique très riche allant de la préhistoire à nos jours en passant par l'époque des Chevaliers de l'Ordre de St Jean, Malte connaît un renouveau grâce à la désignation de La Valette, Capitale européenne de la culture en 2018. La création de musées et de lieux de réceptions ainsi que la restauration des sites historiques et les ouvertures de nouveaux établissements ont renouvelé l'offre des îles de Malte, Gozo et Comino. Avec des temps de transfert courts, un climat doux toute l'année et la variété de lieux à disposition des événements, l'archipel maltais est un terrain de jeu formidable pour tous les organisateurs événementiels. La Valette, Capitale européenne de la culture Entrée dans l’Union européenne en 2004 avec un grand enthousiasme, Malte n’en finit plus de célébrer l’Europe. Après avoir assuré la Présidence tournante de l’Union Européenne au premier semestre 2017, le pays voit capitale La Valette nommée capitale européenne de la culture durant toute l’année 2018. Avec notamment des festivals de musique, de design, de littérature, des concerts, des opéras et des expositions, ce sont plus de 400 événements culturels qui sont programmés pour cette année exceptionnelle. Afin de préparer cet événement, la ville a su se renouveler : l’entrée de la ville a complètement été réaménagée. Son bâtiment le plus remarquable est le nouveau parlement conçu par l’architecte italien Renzo Piano. Moderne tout en s’intégrant totalement à la ville, le ton est donné et rappelle que La Valette est une ville historique mais résolument tournée vers le futur. Les édifices historiques, tels que le Fort St Elme à la pointe de La Valette ou le Fort St Angelo dans le Grand Port, ont été restaurés et aménagés. Au-delà de leurs parcours muséographiques, les espaces ont aussi été pensés dans un cadre événementiel avec une grande partie privatisable. La prochaine ouverture importante mi-2018 est le MUŻA, le Musée des Arts de Malte, qui prendra ses quartiers dans l’Auberge d’Italie, un des plus beaux palais de la ville. De nombreux et somptueux hôtels L’offre hôtelière de Malte surprend toujours par sa quantité et sa qualité. En effet, elle propose 15 hôtels 5 étoiles dont 13 sont équipés de centres de conférences et 41 hôtels 4 étoiles dont une bonne partie possède les infrastructures nécessaires pour accueillir des séminaires. Ainsi, Malte parvient à s’adapter à tous les budgets. St Julian’s, ville de bord de mer se situant à 15 minutes de La Valette, concentre la plus grande offre d’hôtels 5 étoiles, appartenant à de grandes chaînes internationales, ou des hôtels indépendants et des boutique-hôtels. Ces établissements sont à une distance de quelques minutes à pied les uns des autres, ce qui a permis d’accueillir de grandes conventions de plusieurs milliers de personnes. St Julian’s est aussi le cœur battant de la nuit maltaise. Bars et restaurants en nombre permettent aux visiteurs de profiter pleinement de la fête à deux pas de leur hébergement. Avec deux hôtels de cinq étoiles, La Valette est tout aussi accueillante pour les groupes. L&rsquo...
Situé en bordure de l’autoroute A7, au cœur du vignoble de l’Hermitage, l’ancien Restaurant Umia continue sa belle aventure culinaire sous d’autres couleurs et à travers sa nouvelle appellation Maison Gambert. Repris depuis fin novembre 2015 par Mathieu Chartron, chef passionné et créatif du sud de Lyon et non moins ambassadeur du chef triplement étoilé et grand restaurateur Guy Savoy au Caesars Palace de Las Vegas pendant plus de 7 ans, l’établissement est implanté dans le domaine de Tain l’Hermitage où il jouit d’un cadre magique et d’une excellente réputation. Une cuisine bistronomique Localisée à moins de 3 km de l’entrée de l’autoroute, la Maison Gambert séduit par sa cuisine bistronomique à la table inventive et raffinée où tout est mis en œuvre pour conquérir une large clientèle. Le jeune et talentueux chef Mathieu Chartron et son équipe s’investissent avec passion dans leur métier pour concocter de bons plats simples aux ajustements raffinés, mais aussi des plats gourmands à base de produits frais de qualité préparés avec goût et recherche. Truite marinée à la Chartreuse et betteraves multicolores, poisson du moment, purée de carottes à la citronnelle ou encore panna cotta coco-passion et fruits frais sont autant de raffinements à découvrir et à apprécier dans ce restaurant aux belles assiettes où on se sent particulièrement bien accueilli et où la satisfaction est toujours au rendez-vous. Une carte attrayante et dynamique La Maison Gambert propose une carte attrayante avec une formule entrée-plat-fromage ou dessert et un menu enfant. À travers une cuisine actuelle empreinte d’originalité, elle s’attache la fidélité d’une clientèle régulière et attire la sympathie des clients de passage qui apprécient les plaisirs de la découverte gastronomique dans ses différentes déclinaisons de couleurs et de saveurs. Parmi ses spécialités, la truite marinée à la Chartreuse et la pintade sont des plats particulièrement bien maîtrisés par la maison et qui font sa réputation. D’autres spécialités telles que le tartare de bœuf coupé minute et le cabillaud figurent également aux premières lignes des plats les plus suggérés ou appréciés. Les menus sont renouvelés chaque saison et sont adaptés en fonction des inspirations du Chef. Une équipe de choc Tous les ingrédients sont réunis au sein de la Maison Gambert pour faire de l’établissement, un lieu de rendez-vous et de retrouvailles apprécié des amoureux de la bonne cuisine et où la surprise de nouvelles découvertes culinaires tient les clients en haleine jusqu’à leur prochain passage. Grâce au dévouement d’une équipe compétente qui privilégie l’écoute, le conseil et la qualité de service, l’enseigne peut se targuer d’avoir réussi son pari. Tout cela grâce à la belle association du chef Mathieu Chartron derrière les fourneaux, de José Afonso, maitre d’hôtel, et de Benoît Chartron responsable de salle. ...
Un engagement de la première heure L’implication des associations de patients dans la lutte contre les maladies rares ne date pas d’hier. Depuis bientôt trente ans, les associations redoublent d’efforts pour faire connaître les maladies rares et améliorer leur prise en charge : parcours de soin, diagnostic, recherche, suivi thérapeutique, insertion socio-professionnelle, soutien psychologique du patient et de son entourage, etc. C’est d’ailleurs sous l’impulsion des associations de patients - et notamment de l’Association Française contre les Myopathies(AFM) - qu’ont été créées des structures telles que Maladies Rares Infos Services (MRIS), l’Alliance Maladies Rares (AMR), Orphanet, le GIS-Institut des maladies rares ou encore la Plateforme Maladies rares qui regroupe géographiquement les principaux acteurs « maladies rares » au plan national : AMR, AFM-Téléthon, Eurordis, Fondation Maladies Rares, MRIS. Une forte implication au sein des filières Parce que leur expertise et leurs connaissance fine des problématiques rencontrées au jour le jour par les malades ainsi que leurs proches en font un allié de premier ordre, les associations de patients ont été invitées à rejoindre les filières de santé maladies rares dès la création de celles-ci, en 2015. Et alors que le troisième Plan National de Maladies rares (PNMR3) sera bientôt publié, l’implication des associations n’a jamais été aussi forte. Au sein des filières correspondant à leurs pathologies, les associations de patients œuvrent pour optimiser le parcours de soin des patients et organiser efficacement sa prise en charge globale. Elles veillent notamment à ce que la coordination multidisciplinaire que nécessitent les maladies rares soit la plus adaptée possible au parcours de vie des patients. Les associations de patients multiplient également les initiatives visant à améliorer la recherche, à réduire l’errance diagnostique et à explorer de nouvelles pistes thérapeutiques. Sans l’appui des financements associatifs, beaucoup de centres de référence maladies rares seraient d’ailleurs dans l’incapacité de développer des projets pourtant cruciaux comme la création de bases de données ou encore la mise en place d’essais cliniques. Enfin, l’action des associations de patients prend également la forme d’un travail de communication destiné à conférer davantage de visibilité aux maladies rares. Les points clés à retenir ▪ Les associations de patients jouent un rôle essentiel dans l’organisation et l’amélioration de la prise en charge des maladies rares. ▪ Elles contribuent à mieux faite connaître les maladies rares, que ce soit auprès du grand public mais aussi des professionnels de santé. ▪ Les associations ont participé à l’organisation des filières de santé maladies rares. ▪ Au sein des filières, les associations peuvent s’appuyer sur leur « expertise-terrain » pour optimiser le parcours de soin (diagnostic, suivi thérapeutique et médico-social, etc.). ▪ Le financement associatif est à l’origine de nombreux projets innovants. ...
Situé dans le quartier du Marais, à Paris, le restaurant L’Alivi nous emmène dans l’atmosphère d’une auberge traditionnelle corse. Ses pierres apparentes, ses poutres, son superbe carrelage de tommettes d’époque ainsi que ses belles bouteilles en font un espace convivial. Il est également doté d’une terrasse très agréable sur une venelle piétonne. Des chants polyphoniques vous accompagnent tout le long de votre repas et participent à cette chaleureuse ambiance. Saveriu Cacciari, le propriétaire du restaurant L’Alivi, et toute son équipe vous accueillent avec plaisir tous les jours, midi et soir. Des plats et des vins 100 % corses Ici, tout est fait maison à partir de produits frais de saison ou typiquement corses, sélectionnés avec soin. Le chef aime façonner des produits bruts pour les mettre en valeur et révéler toute leur saveur. En semaine, la formule déjeuner à 15 € se compose d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert. Le soir, découvrez les formules 2 ou 3 plats, respectivement à 24 et 30 €. Ou choisissez dans la carte pour vous régaler de spécialités régionales corses. De nouvelles recettes sont mises à la carte régulièrement. Les gros mangeurs pourront savourer une côte fermière de cochon de 500 g, rôtie au four et accompagnée d’une purée maison parfumée à la nepita, une herbe typique du maquis corse dont le gout se rapproche de celui de la marjolaine. Quant aux autres, ils pourront se régaler avec un civet de sanglier ou un filet de loup corse à la plancha. En dessert, il faut absolument (re)découvrir le fiadone du chef et son limoncello, un gâteau traditionnel réalisé à partir de fromage frais de brebis, le brocciu. Bien sûr, vous pourrez également apprécier les charcuteries et les fromages corses. Pour accompagner votre repas, la carte des vins propose une belle sélection. Des vins 100 % corses issus de petits domaines, dont un tiers est en bio. Découvrez également la suggestion du mois : rouge, rosé et blanc. ...
Atout France se veut l’instigateur d’une amélioration constante des offres faites aux touristes s’intéressant à la destination France. L’œnotourisme, constitué en pôle d’excellence depuis 2015, est l'un de ses terrains d’actions. Cette filière suscitant l’attention de nombreux porteurs de projets, une consolidation de leur aptitude à fournir des prestations de qualité s’imposait comme une évidence. À la demande du Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, cinq vidéos MOOC, abordant cette thématique de façon transversale, ont été mises en ligne. Tour d'horizon de ces nouveaux supports d’autoformation. Sensibiliser les acteurs sur la complexité du secteur Atout majeur de l’attractivité touristique en France, l’œnotourisme est une filière complexe s’il en est. C’est pour sensibiliser les acteurs sur cette complexité que les cinq vidéos réalisées par Atout France ont vu le jour. S’adressant aux professionnels – déjà actifs ou en devenir – de l’œnotourisme et de la viticulture, elles visent, par la même occasion, la diffusion de bonnes pratiques. Ce sont ainsi les domaines, hébergeurs, agents réceptifs et tous ceux qui ont un cœur de métier rattaché aux vins de France qui pourront accéder à cette série de formations accessibles gratuitement (liens dans l'encadré). Cinq vidéos pour maîtriser l’essentiel de l’œnotourisme Formatées dans une durée respective de cinq minutes, les cinq vidéos abordent différentes thématiques rattachées à l’œnotourisme de façon synthétique, mais ne sont pas moins consistantes. Pour les réaliser, Atout France s’est attaché les services d’une start-up spécialisée dans la formation en ligne appliquée au tourisme, à savoir Tourism Academy. Concrètement, les vidéos amènent sur des pistes de réflexion variées comme la promotion de ses offres, l’identité des clientèles étrangères, ou encore comment réussir son projet œnotouristique. Le premier volet de la série pose, non sans pertinence, les préalables de la filière pour bien cerner son domaine, c'est-à-dire des contenus ciblant des préoccupations quotidiennes dans le secteur. Ils sont issus d’études que l’organisme instigateur a menées sur l’œnotourisme à l’échelle nationale. Ces thèmes ne limitent d’ailleurs pas leur auditoire aux seuls professionnels de l’œnotourisme. Les institutionnels du tourisme sont également concernés, eu égard à leur mission de conseil auprès des premiers. Martin Lhuillier, responsable du pôle destination vignobles abonde en ce sens : « Nous, ce qu’on attend, c’est qu’elles (les vidéos, NDLR) soient diffusées le plus largement possible au sein de la filière. » Pour ce faire, Atout France mobilise son grand réseau de partenaires composé des interprofessions, des départements, des régions et des vignerons indépendants, entre autres. ...
Le Carré Rouge est situé dans les quartiers des Carmes, au cœur de Toulouse. Cet établissement, renommé et récompensé récemment par une toque au Gault & Millau, ravit les palais avec des plats gastronomiques recherchés et savoureux. Le chef Jules Frank, passionné, aime surprendre ses convives avec des recettes respectant la saisonnalité. Cadre sympathie et accueil agréable Le chef Jules Frank élabore une cuisine traditionnelle délicate revisitée, en sélectionnant des produits frais du marché. Ses mets sont à savourer dans un cadre chic et intime, pour un instant consacré à la découverte de nouvelles saveurs.L’établissement a été rénové et redécoré par l’architecte Véran Émilie. Cette jeune spécialiste apprécie particulièrement l’architecture contextuelle et sensorielle. Pour ce restaurant, elle a choisi un décor boisé allié à un travail graphique sophistiqué, tout en gardant l’esprit cosy. La salle principale est spacieuse et comporte des mobiliers colorés ainsi qu’une vaisselle moderne. Les banquets adossés aux murs et les chaises assurent le confort aux invités. Le coin VIP, quant à lui, est réservé aux soirées jazz. L’intimité se construit grâce à un fond musical très calme et une lumière légèrement tamisée. Excellente adresse, excellent repas Le chef présente des plats très soignés avec une subtile association de goûts et de couleurs. Il élabore une carte et des menus qui changent à chaque saison. Côté carte, le cordon bleu a personnalisé lui-même celle du soir qu’il a nommée « Carte du soir, au rythme du printemps ».À l’honneur ce jour-là, un gaspacho et tuile de pesto servi en entrée. Vient ensuite le gigot d’agneau, sauce gastrique à la sauge, fenouil rôti, pomme de terre « chérie ». En guise de dessert, une délicieuse charlotte à la fraise. Côté menu, la maison en propose trois au choix : le menu découverte, le menu du soir et le menu du Carré rouge. Elle sert également une formule du midi en deux déclinaisons. « Le classique », à 10 €, donne le choix entre une entrée et un plat ou un plat et un dessert. « Le complet », à 13 €, est constitué d’une entrée, d’un plat et d’un dessert. En musique La maison organise toutes sortes d’évènements à vivre entre amis ou en famille. Dans l’espace VIP ,les repas sont accompagnés d’un concert de jazz and blues. L’année dernière, l’établissement a été animé d’une soirée spéciale « piano-contrebasse » avec Thibaud Dufoyet Thibaud Saulas. Le restaurant est également privatisable et peut accueillir des fêtes comme les anniversaires, les communions, les baptêmes et les mariages mais aussi les buffets de soirées et de réunions professionnelles. Nouveauté : Le carré rouge proposera à partir du dimanche 9 octobre, un brunch dominical composé de pancake maison, de jus de fruit frais (pressés ou centrifugés), d’une gamme de thés et d’assiettes autour de la mer. Une déclinaison de viennoiserie et d’œufs travaillés de différentes manières sera aussi au programme. ...
Le digital learning est devenu une composante incontournable dans la mise en place d’un plan de formation. Cependant, le succès d’une telle démarche requiert une implication effective des formateurs. Grâce à une solution innovante, Mine de Savoirs place chaque formateur au cœur du dispositif tout en lui donnant la possibilité de créer et d’animer la formation. Optimiser la formation Implantée à Paris, Mine de Savoirs a été fondée par Alain Commissione en 2015. « J’étais directeur de projet au sein d’une entreprise de formation et de plus en plus de clients exigeaient des solutions innovantes », nous rapporte-t-il. Alain Commissione comprend rapidement que seul le digital peut répondre à ces nouveaux besoins. Il décide alors de lancer sa propre activité en créant Mine de Savoirs, une startup qui propose d’optimiser la formation par le digital. Conseils et accompagnement aux entreprises Mine de Savoirs se spécialise dans l’accompagnement des entreprises dans le cadre de la digitalisation de leurs formations en intervenant essentiellement sur trois axes. Dans un premier temps, il s’agit d’aider l’entreprise à définir une stratégie globale de digitalisation qui tient compte à la fois de ses contraintes et de ses besoins. Afin de mieux cerner ces paramètres, l’entreprise organise des ateliers de design thinking. La deuxième intervention porte sur la formation des formateurs, étape essentielle pour se familiariser avec les nouveaux modes de travail requis par la digitalisation. Enfin, la startup s’illustre dans la conception et la production de contenus pédagogiques interactifs sur mesure. MROD, l’appli Web qui révolutionne les formations Mine de Savoirs ne se contente pas d’accompagner les entreprises puisqu’elle fournit aussi des outils innovants à destination des formateurs. À l’image de la plateforme LXP (Learning eXperience Plateform ) dénommée « MROD ». Cette application accessible via un navigateur permet de créer et de diffuser facilement des supports digitaux de formation. Adapté aux supports mobiles, cet outil fonctionne à peu près à la manière d’un réseau social. Le formateur commence par créer des contenus pédagogiques pour ensuite les partager et animer des groupes d’apprenants via un mur collaboratif. « En quelques clics, il a la possibilité d’interagir sur la plateforme et peut venir déposer toutes sortes de médias comme des vidéos, des images, des quiz, etc. », explique Alain Commissione. Du côté des apprenants, les avantages sont multiples. Cette application leur évite de perdre du temps dans des formations classiques qui peuvent parfois prendre une journée entière. L’apprenant peut, à tout moment et via son mobile, avoir accès à l’information dont il a besoin. De plus, la gamification des contenus pédagogiques permet de susciter plus d’intérêt et plus d’engagement de leur part. Dernier point important, MROD change l’expérience de l’apprentissage en rendant caduque la notion de synchrone et d’asynchrone. « Alors qu’auparavant il fallait utiliser un outil pour la formation présentielle et un autre pour la formation à distance, avec MROD on peut faire les deux, et cela de manière fluide », indique le fondateur. ...
Le Château Croque-Michotte est riche d’un passé qui remonte à 1906. À l’époque négociant en vins et en Cognac, Samuel Geoffrion s’intéresse au métier de vigneron. Il est séduit par le terroir de Saint-Émilion et décide de faire acquisition de quelques parcelles. À son décès, sa fille Hélène Geoffrion-Rigal reprend les rênes. Avec ses enfants et petits-enfants, elle crée un Groupement Foncier Agricole (GFA) qui est désormais propriétaire et exploitant. La gérance est assurée par Pierre Carle depuis 1992 qui s’est investi de la mission de sublimer ce terroir selon des pratiques éco-responsables. Par amour de la terre Dès son plus jeune âge, Pierre Carle savait qu’il voulait devenir vigneron. « À quatre ans, en me baladant dans les chais, je me souviens de cette odeur qui restera à jamais gravée dans mes mémoires. De là, j’ai su que je souhaitais travailler dans ce milieu », nous confie-t-il des souvenirs plein la tête. Le destin en a voulu autrement puisqu’il finit par suivre un cursus d’ingéniorat puis en architecture avant d’évoluer dans une entreprise spécialisée dans la pose de matériels de chemins de fer où il restera 14 ans. En dépit de ce changement de vocation, Pierre n’en oublie pas son rêve d’enfance. À la retraite de l’ancien maître de chai du Château Croque-Michotte, il s’engage dans une reconversion pour prendre la direction des cultures des vignes et de la vinification. Il agrandit le vignoble de 13,7 hectares situé à l’ouest de Saint-Émilion et faisant la frontière avec Pomerol. Bénéficiant d’une situation géographique privilégiée, le terroir se trouve à proximité de voisins prestigieux tels que Pétrus, l’Évangile, Gazin, Corbin Michotte, Cheval Blanc ou encore La Dominique. Un cahier des charges en agriculture biologique Le sol composé de graves et de sables sur socle argileux est propice au développement du merlot, du cabernet franc et du cabernet sauvignon. « Depuis plusieurs années, nous avons arraché les parcelles et replanté en cabernet franc pour augmenter la proportion, car ce cépage a plusieurs avantages : il est tardif et moins sensible aux gelées tardives, il est plus tannique ce qui permet d’avoir une bonne matière surtout lors d’élevages avec un gros pourcentage de barriques neuves pour masquer le goût de bois. Ce cépage peut se vendanger plus tard et supporte la surmaturité, ce qui donne plus de souplesse. L’acidité est plus élevée pour que les vins soient moins sensibles à l’oxydation et aux attaques bactériennes. » Le domaine s’évertue également à limiter au maximum les rendements pour permettre aux vignes d’être plus résistantes aux bactéries et pour gagner en concentration dans les vins. Grâce à des méthodes culturales respectueuses de l’environnement, il obtient la certification Ecocert dès 1999. « Soit 14 ans avant tous les crus classés de Bordeaux », fait savoir notre interlocuteur. Un mode de production résolument innovant Depuis qu’il gère le Château Croque-Michotte, Pierre Carle a apporté un vent d’innovation dans les méthodes de production. À l’issue des vendanges manuelles, les grappes sont transportées dans les chais pour être sélectionnées à l’aide d’un procédé ultramoderne par « tri optique ». Les graines vertes et les résidus végétaux sont ciblés par la machine puis refoulés vers l’extérieur. Seules les bonnes graines sont récupérées et véhiculées jusqu’aux cuves. « Notre signature est de produire des vins sans sulfites ajoutés au cours de la vinification et des premiers mois d'élevage. À la place, nous avons recours à des levures concurrentes qui empêchent les bactéries de saccager le mou ». Les vins sont ensuite élevés dans des barriques de chêne français à grain fin en provenance des meilleures forêts. L’élevage s’étend sur une période de douze mois. De ce long processus naît la Cuvée Croqu...
Installé pas loin de la tour Eiffel, le restaurant Truffes folies accueille ses clients dans une ambiance feutrée, sobre et pleine de cachet. En amoureux ou en famille, ceux en quête de saveurs authentiques seront ravis de prendre place sur les tables de cet établissement de charme pour une (re) découverte des différentes déclinaisons de ce champignon de luxe. Une panoplie de combinaisons possibles… follement atypique ! En déployant des recettes revisitées, cet établissement parisien choisit la truffe comme produit de prédilection. Toujours considérée comme « une pépite d’or de la gastronomie », elle y est disponible en différentes variétés, de la truffe noire du Périgord considérée comme la reine des truffes et recherchée pour son goût marqué, en passant par la truffe blanche, plus douce, jusqu’à la truffe d’Italie au parfum très typé. La meilleure qualité est sélectionnée auprès de producteurs locaux afin d'offrir des plats aux saveurs intrigantes et envoûtantes. La carte vante différentes recettes, des associations peu communes, mais comme par magie, le goût est toujours rendez-vous. L’œuf cocotte aux truffes, le bon vieux risotto paré de ses pétales de truffes, et en dessert le tiramisu revisité à la truffe, feront un déjeuner idéal. Côté vin, la carte simple mais complète compte une dizaine de références. Un établissement qui n’a jamais fait comme les autres Tandis que les grandes maisons présentent la truffe comme un produit de luxe inaccessible au plus grand nombre, le restaurant nous prouve finalement que manger ce mets d’exception sans se ruiner est possible. Accessible à toutes les bourses, l’endroit offre une cuisine mi-bistrot, mi-gastronomique. Et pour encore plus de proximité, maintenant il est possible de commander à emporter. Le restaurant Truffes folies tire également sa renommée de son épicerie fine. Mais là encore, l’originalité est le maître-mot. Le chef Bocciarelli a concocté effectivement une sélection de produits qui sortent des sentiers battus et qui invitent à découvrir la truffe autrement. Ketchup à la truffe noire pour vos frites, le miel aux truffes pour accompagner vos tartines, ou même le pop-corn goût truffe lors de vos soirées cinéma en famille. Plus de soixante produits sont élégamment présentés sur les étagères de l’épicerie fine pour surprendre vos papilles. ...