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© Philippe Vaurès Santamaria
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Interview avec Christopher Coutanceau
Chef du restaurant Christopher Coutanceau



Restaurant
2 étoiles au Guide Michelin
situé à La Rochelle
Région Nouvelle Aquitaine

Dans votre restaurant, comment définissez-vous votre cuisine ? Quels sont vos plats «Signature»? Avec quels produits aimez-vous travailler ?

Christopher Coutanceau Une cuisine de poissons, saine, de saison et éco-responsable mettant en valeur le produit pour le sublimer. Je suis un "cuisinier pêcheur".
L’univers marin est omniprésent dans mon restaurant qui surplombe la plage de la Concurrence à La Rochelle, du mobilier à la vaisselle, et bien sûr à la carte. Je ne travaille que des poissons de ligne, coquillages et crustacés issus d’une pêche locale, écoresponsable.
Défenseur de la pêche durable et de l’anti-gaspillage, passionné depuis ma plus tendre enfance, ma ligne directrice est claire depuis toujours. Et c’est dans mon restaurant éponyme, récompensé par deux étoiles Michelin que je gère avec mon associé Nicolas Brossard, que je m'’y atèle. A la criée tous les matins, je choisis avec amour et passion les plus beaux produits de la pêche, coquillages, crustacés ou poissons. En grand passionné, je m'investis fortement dans la défense de la faune et de la flore marine. Je collabore avec de nombreuses associations de préservation des ressources marines. Je sors un livre le 9 Mai prochain aux éditions Glénat qui sera une ode à cet univers marin et à ma cuisine que je chéris tant : « Christopher Coutanceau, Cuisinier Pêcheur ».

Quelles émotions avez-vous ressenties lors de la remise des étoiles du Guide Michelin ?

CC Beaucoup de joie de conserver nos deux étoiles depuis 32 ans et la motivation d'aller tous les jours encore plus loin dans l'excellence.

La cuisine est faite chaque jour de partage et d'émotions. Toutefois, certains moments de la vie sont à privilégier plus que d'autres... Pouvez-vous nous confier vos plats rêvés pour :
- Un repas de Noël ?

CC Que ce soit des huîtres / du foie gras / un chapon mais le plus important c’est avec qui ont le partage…

- Un repas de la nouvelle année ?

CC Pour la nouvelle année, nous travaillons mais mettons tout en œuvre pour rendre nos clients heureux. Le client est roi. Et C'est Nicolas Brossard, mon associé et ancien chef sommelier, qui est animé par la même volonté de mettre en valeur le patrimoine gastronomique régional. Il fait la part belle aux vins charentais et vendéens, étoffant avec appétence une cave réputée depuis plus de trente ans, une des plus belles de France avec plus de 1800 références et 19000 bouteilles.

- Un repas de Saint-Valentin ?

CC Pour la Saint-Valentin j’aime les Saint Jacques à la truffe et pour suivre un homard avec sa sauce corail et un dessert au chocolat

- Un repas de la fête des mères ou des pères ?

CC Pour la fête des Mères ou Pères un plateau de fruits de mer. Je sais que mes parents adorent ça!

Au fait, pour votre mariage, qui a fait la cuisine ? Pouvez-vous nous indiquer les plats cuisinés ?

CC Je ne suis pas marié, mais si c’était le cas je le ferai au restaurant Christopher Coutanceau évidemment avec mon équipe. La vue est magique !
et je cuisinerai ceci:
- Civet de homard
- Bar de ligne, artichauts sauce Saint-Emilion
- Langoustines vivantes en tartare et caviar.
- Pigeon de Madame Le Guen aux épices.
- Fromage
- Pièce montée.
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© Philippe Vaurès Santamaria

Sans trop réfléchir, pouvez-vous nous confier votre plus beau souvenir gustatif et certaines des émotions procurées ?

CC Sans hésiter, chez André Léon à Cadix : 18 plats sur les produits de la mer : dont une Peau de murène soufflée, de la Charcuterie marine, Lisettes, oursins et caviar. Je me souviens de chaque saveur et chaque plat.

D'après la célèbre devise de Prosper Montagné "On ne fait du bon qu'avec du très bon", pouvez-vous nous révéler deux ou trois de vos adresses gourmandes. Vos producteurs et produits préférés sur votre région ou ailleurs (vins, produits frais, ou autres...)

CC Mon ami Philippe Bailly, « la ferme du maréchal » agriculteur bio de légumes qui travaille que pour moi selon mes listes de saison.
Mon ami Stephane Boutin « Les viviers Renaud Boutin » au port de pêche de La Rochelle qui fait des coquillages et crustacés.
Mon ami Laurent Hurteau mytiliculteur, avec les moules de bouchots de Charon.

On parle aujourd’hui beaucoup de cuisine fusion, de plats végétariens, d'aliments biologiques, de « Trashcooking » (ingrédients destinés normalement au rebus), de « Freakshakes » pour marier un dessert à une boisson... Selon vous quelles seront les grandes tendances de la cuisine de demain ?

CC Je pense que c’est la cuisine de beaux et de vrais produits de saison qui sont mis en valeur dans les règles de l’art, tout simplement.

Culture - Cinéma Quelle est votre scène préférée de cinéma au restaurant ? Un souvenir de film avec une séquence particulière...

CC 2 scènes mythiques:
« Le grand restaurant » avec Louis de Funès pendant les entraînements pour le service en salle.
« L’aile ou la cuisse » avec la vérité des produits Tricatel. Un film visionnaire !
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© Sylvie Curty
© Sylvie Curty
© Sylvie Curty

Si vous aviez un hommage à adresser à Paul Bocuse, quel serait-il ?

CC Monsieur Paul Bocuse était le Pape de la cuisine Mondiale, il nous a mis sur le devant de la scène et a fait reconnaître notre métier. Il s’est toujours battu pour les artisans producteurs, nous avons perdu notre père.
Adresse | Contacts utiles
image-prop-contact-christopher-coutanceau Christopher Coutanceau Plage de la Concurrence
17000 La Rochelle

Tél. : 05 46 41 48 19
Site Internet

Récompenses
2 étoiles au Michelin
Membre de l’association des Grandes Tables du Monde
Membre des Relais et Châteaux

Christopher Coutanceau : les avis

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Afidol : dans l’intimité des huiles d’olive du Midi de la France

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Des formations médicales et paramédicales innovantes

5 000 étudiants et une centaine d’enseignants et chercheurs se croisent sur le campus de l’UFR des Sciences de la santé Simone Veil ou Faculté de médecine Paris Ile-de-France Ouest. Des étudiants qui ont choisi la santé comme parcours professionnel que ce soit en tant que médecin, chirurgien-dentiste, sage-femme, infirmier ou psychomotricien. « Nous avons choisi de renommer la faculté en tant que Sciences de la santé pour représenter le panel des formations médicales et paramédicales », commente Pr. Djillali Annane, doyen de l’UFR des Sciences de la santé. Tous les ans, l’UFR fait amphi comble, refusant des candidats malgré une offre de formation qui s’étoffe d’année en année.  « Il y a un besoin, une attente autant de la part des étudiants que des professionnels de santé pour diversifier les formations, notamment en paramédical », constate le doyen de l’UFR.  Professions paramédicales : des métiers d’avenir Pour le Pr. Annane, les professions paramédicales sont des métiers d’avenir à l’instar de l’ergothérapeute qui prévient, réduit ou supprime les situations de handicap en tenant compte de l’environnement et des habitudes de vie. « Au vu du vieillissement de la population, l’ergothérapie est appelée à se développer très vite alors qu’elle est encore largement méconnue par les lycéens », constate le doyen. Car c’est en dernière année de lycée que la plupart des choix professionnels se décident. Combien de nouveaux bacheliers se dirigent par défaut, sans réelle motivation et ni connaissance de leur futur métier dans des voies dites de garage ? Le doyen de l’UFR les invite à pousser les portes des UFR pour éveiller leur curiosité aux métiers de l’imagerie médicale, de la nutrition ou de la dermatologie ou de nombreuses autres professions.  Faire le lien entre les médecins surspécialisés et les soignants Si l’UFR propose des formations “classiques”, tous les étudiants ont le choix de poursuivre en se spécialisant. Un élève qui aura fini ses trois années en soins infirmiers pourra enrichir son parcours : compétences cliniques avancées en soins palliatifs, coordination de réseaux de soins, responsable de projets cliniques, consultant en éducation du patient, superviseur de pratiques soignantes...  L’infirmier devient ainsi référent dont les compétences lui ouvrent de nouvelles fonctions au sein des unités hospitalières et/ou en transversal. Des parcours enrichis qui intéressent fortement les employeurs et chefs de service. « Dans un contexte où les médecins se spécialisent de plus en plus voire se sur-spécialisent, un fossé en termes de compétences s’est creusé au sein des équipes de soignants entre paramédicaux et médecins, analyse le Pr Annane. A l’UFR, il nous a semblé important de combler ce fossé en permettant à des paramédicaux d’acquérir une compétence particulière et ainsi de faire le lien ».  Canadiens et Suisses en master 2 La force de l’UFR est aussi ses master 2, innovants et rares en France. Des master Agents infectieux, Méthodologie des interventions en santé publique ou Handicap neurologie. La renommée des formations de l’UFR Simone Veil dépasse le cadre hexagonal : Canadiens, Suisses, Belges, Luxembourgeois et Norvégiens candidatent en deuxième année de master, notamment celui en sciences cliniques en soins paramédicaux. « Les pays nordiques européens et le Canada sont, depuis longtemps, tournés vers la prophylaxie [NDLR : prévention] et leurs formations socles sont de très grande qualité, souligne le doyen. Ils viennent ici chercher une nouvelle compétence hautement spécialisée ainsi qu’une expérience au sein du système de santé français. »  ...

Back Office Santé : quand chiropracteurs
et ostéopathes s’associent pour combattre l’absentéisme au travail

« Les troubles musculo-squelettiques (TMS) ne sont pas simplement des douleurs physiques dues à de mauvaises postures ou à de mauvais gestes. Ils sont également liés au stress et à l’organisation du travail en entreprise », introduit Luc Mesme, cofondateur de la société Back Office Santé. Lesdits troubles affectent notamment les membres supérieurs (épaules, cou, poignets) et l’ensemble du rachis lombaire, bien que, dans certains cas, les douleurs peuvent également se présenter au niveau des membres inférieurs (genoux, chevilles). Les TMS constituent une véritable problématique en entreprise, dans la mesure où ils favorisent l’absentéisme chez les salariés. Ces troubles auraient causé, jusqu’à l’heure actuelle, 8,4 millions de journées de travail perdues. Et les lacunes sont palpables aussi bien « humainement » que financièrement parlant. Ce constat, Luc Mesme et Nicolas Destang l’ont fait il y a sept ans alors qu’ils exerçaient encore dans leurs cabinets respectifs. « De plus en plus de gens venaient consulter en dehors du circuit médical pour des douleurs musculaires et articulaires. Ce problème nous a incités à œuvrer directement auprès des entreprises, en tant que praticiens libéraux, sachant qu’il existe une réelle demande d’intervention face aux TMS. » Ainsi est né Back Office Santé (BOS), une société de service de santé novatrice dédiée aux entreprises et spécialisée dans la lutte contre les troubles musculo-squelettes. Pionnière dans son domaine, l’entreprise enregistre plus de 850 cabinets d'ostéopathes et chiropracteurs, membres du réseau. Un service à la hauteur de toutes les demandes Se lançant le défi de réduire le taux d’absentéisme au travail, BOS décline sa méthodologie d’intervention en trois étapes. En premier lieu : le dépistage des TMS. Pour ce faire, un thérapeute est directement envoyé sur le site de l’entreprise pour s’informer auprès des patients. Un questionnaire adressé au travailleur va aider le praticien à connaitre la localisation et la fréquence des douleurs. Des tests orthopédiques seront également réalisés sur le patient en vue de compléter le diagnostic positif des TMS. Les résultats seront ensuite compilés de manière « anonymisée », tient à souligner Luc Mesme, et seront rapportés sous forme de cartographie exposant les souffrances musculaires et articulaires identifiées chez les employés de l’entreprise. Cette étape franchie, les professionnels de BOS peuvent ensuite procéder au traitement des TMS via des séances de thérapie réalisées directement sur le site de l’entreprise même. La troisième étape consiste à sensibiliser le personnel aux TMS par le biais de conférences, dont une partie théorique aidera à identifier les premiers signes et les mauvaises postures. La partie pratique servira à travailler la posture, tout en s’exerçant à renforcer et à étirer les muscles. À noter : les praticiens engagés par BOS sont soigneusement sélectionnés selon les critères de formation exigés par le ministère de la Santé en France. ...

Millevista : hôtels, restaurants et villas… à perte de vue

L’année 2016 a été marquée par un rebranding du site à la suite de l’introduction de nouvelles catégories d’établissements. Si au départ, l’on y recensait que des hôtels avec vue panoramique, aujourd’hui Millevista regroupe aussi des restaurants et des villas qui s’inscrivent dans le même concept. Il existe maintenant plus de 600 adresses inscrites sur le site et réparties dans 18 pays essentiellement en Europe (France, Italie, Espagne, etc.), mais aussi dans des destinations de rêve comme la Polynésie française ou les îles Maldives. Mille et une vues à offrir « On a tous ce réflexe-là une fois que l’on arrive dans un établissement : vouloir admirer la vue, car rien que la vue est déjà une évasion, et ça fait toujours rêver. » Chacun de nous peut confirmer ces propos de Caroline Magliano, la chargée de communication de l’enseigne. Et peu importe le panorama recherché :  mer, montagne, nature, ville et monument ou lac et cours d’eau, Millevista peut procurer ce plaisir. Les établissements sont ainsi regroupés par lieu géographique, par catégorie, et bien évidemment par le type de vue qu’ils ont à offrir. Grâce à son moteur de recherche interne, le site gagne en efficacité et en rapidité pour trouver des correspondances aux demandes spécifiques des clients. Chaque résultat affiché est accompagné d’une fiche de présentation rédigée spécialement par l’équipe elle-même, en plus de visuels ultra-soignés pour mettre en avant le cadre idyllique. « Sur cette fiche, nous ajoutons les activités possibles à faire, des petits conseils pour les clients et d’autres informations utiles sur l’établissement », explique-t-elle pour ainsi souligner la présentation de qualité et sur mesure réalisée pour chaque hôtel, restaurant et villa. La sélection des établissements Si « avoir une belle vue » est le critère principal pour sélectionner les établissements, ce n’est pas pour autant le seul. En effet, Millevista veut garantir tout d’abord des prestations de qualité à ses clients et passe au crible les avis des internautes avant d’intégrer un établissement dans son répertoire. Un détail important : le site ne présente pas que des hôtels de luxe ou des restaurants gastronomiques. « Nous avons aussi des hôtels de charme de 2 étoiles, car ils peuvent proposer un service de qualité tout en offrant cette sensation d’évasion recherchée par nos clients », termine notre interlocutrice. Les professionnels souhaitant rejoindre le site peuvent choisir librement entre deux modèles d’abonnement : soit un abonnement annuel avec un coût fixe, soit un abonnement à la commission. ...

Expérience multisensorielle
au Château Les Chaumes 

Le Château Les Chaumes revêt une belle histoire. Un livre de comptes datant de 1833 atteste que la propriété produisait déjà du vin à cette époque. Son architecture typique des anciennes villas romaines, ses bâtiments en carré et son vignoble en coteau ont d’emblée séduit Robert Parmentier, qui en a fait l’acquisition en 1965. Après avoir replanté le vignoble, celui-ci confia le développement de l’exploitation à son fils Pierre. En 2014, Henri et Anne, deux autres enfants de Robert, décident à leur tour de reprendre la propriété.  Un terroir propice à la culture de la vigne Le vignoble, d’une superficie totale de 23 ha, repose en grande partie sur un terroir présentant des sols argilo-calcaires. « C’est un terroir un peu difficile à cultiver, mais qui donne des vins très concentrés », explique Anne Parmentier, la gérante de l’exploitation. Ici, le merlot y trouve toutes les conditions favorables à son épanouissement. Il n’est donc pas surprenant de constater qu’il compose 60 % de l’encépagement. Viennent ensuite le cabernet (30 %) et le malbec (10 %). Ce dernier est planté sur deux parcelles de 1,60 ha, sur lesquelles il peut s’exprimer comme nulle part ailleurs. « Le malbec a beaucoup de caractère, ce qui permet d’avoir des vins très expressifs », nous indique notre interlocutrice. Une viticulture raisonnée Quand elle a repris l’exploitation, Anne Parmentier n’a pas hésité à recourir aux services de deux ingénieurs agronomes, qui lui ont apporté de précieux conseils, notamment sur la conduite de la vigne. Soucieux de préserver la terre et les vignes, le domaine opte pour des pratiques culturales qui respectent l’environnement. L’utilisation des produits phytosanitaires est limitée au strict minimum. « Je ne traite que lorsque c’est vraiment nécessaire », clame notre interlocutrice. Outre le travail du sol, l’enherbement alterné est aussi privilégié dans le but d’apporter des engrais naturels aux vignes. Tous ces efforts ont contribué à entretenir la bonne santé du sol. D’ailleurs, la gérante constate : « Quand je replante, je m’aperçois avec joie que mes sols sont vivants. » La recherche de la qualité Depuis une vingtaine d’années, le Château Les Chaumes réalise des vendanges mécaniques. La machine permettant de ramasser chaque parcelle à maturité et de rapporter les raisins plus rapidement au cuvier. Ceci évite l'oxydation et leur permet d'exprimer tous leurs arômes. Avant leur arrivée en cuve, ils font l’objet d’un tri manuel au cours duquel seuls les raisins présentant une qualité optimale sont sélectionnés. Côté vinification, la maison s’en tient à des schémas classiques. « Durant la vinification, j’évite autant que possible les manipulations et je n’effectue pas de filtrage après la fermentation malolactique » confie Anne Parmentier. Les vins reçoivent ensuite un élevage en fûts de chêne français et vieillissent entre 12 et 20 mois. Les vins du domaine Le Château Les Chaumes produit quatre cuvées d’exception qui sauront surprendre tous les palais. Deux d’entre elles se distinguent du lot, à savoir le Château Les Chaumes Malbec et le Château Les Chaumes Vieilles Vignes. Pour le premier, il s’agit d’un vin concentré, produit avec de petits rendements et dans lequel on retrouve toute la puissance du malbec. « Ce vin est atypique et possède pas mal de caractère », souligne la gérante. Par ailleurs, cette cuvée a la particularité de présenter un bouquet épicé, des arômes de violette et de réglisse. Un élevage en fût de chêne, avec 25 % de bois neuf, lui confère beaucoup d’élégance. Quant à la cuvée Château les Chaumes Vieilles Vignes, elle séduit par ses arômes de cerise noire et de framboise. En bouche, on note des arômes de violette et de réglisse. À la fois équilibré et concentré, ce vin a subi un élevage en fûts de chêne et dévoile des tanins fins. Enfin, gage...

Champagne Launois Père et Fils : une échappée belle au pays des cuvées de prestige

Dans un paysage champêtre typique de la Marne, en contrefort du bassin de l’Île-de-France, mais aussi sur les coteaux du Sézannais, se dresse, sur un escalier de coteaux de craies d’une étendue de 25 hectares, le vignoble du champagne Launois Père & Fils. Cette oasis de grand cru est l’un des plus vastes domaines de vignerons de la côte des Blancs. Portrait du terroir et de l’exploitation En pénétrant dans le terroir, les allées de vignes offrent de beaux cépages champenois typiques de la région. Au-dessus du sol crayeux émergent les belles baies de pinot noir, de pinot Meunier et de chardonnay, prenant tout en douceur couleurs et arômes, en attendant la saison des vendanges. Dans ce cadre paisible et enchanteur, la machine du pressoir tourne, et le temps aussi. En effet, tout s’habille de neuf, comme le chai rénové récemment dans le but d’améliorer les cuvées. La thermorégulation des champagnes est ainsi optimisée grâce aux cuves en inox, et la finesse aromatique est d’autant plus relevée par la conservation en fûts de chêne. Une balade surprenante et gustative au domaine Launois Père & Fils Ouvert au public depuis 1978, le domaine propose durant l’année des journées oenotouristiques afin de tout savoir sur le terroir, l’élaboration des cuvées et les propriétaires, mais aussi sur les saveurs culinaires préparées pour l’occasion. Le voyage sensoriel commence dès les allées de vignes, et la promenade est idéale durant les vendanges. Un moment d’initiation concrète à la cueillette des raisins. Pour combler les envies gourmandes, place aux dégustations de champagnes, mais aussi aux repas gastronomiques à base de champagne concoctés par le chef dans le petit château. C’est l’endroit parfait pour déguster les incontournables comme la cuvée Grande réserve, caractéristique du terroir, ou encore le millésime et la cuvée Prestige, élaborés avec des raisins issus de vieilles vignes. Le musée, un incontournable du domaine, est un arrêt dans le temps avec ses photographies d’époque et ses expositions de machines traditionnelles. ...

E.L' Coaching International, L’ENERGIE AU CŒUR DE VOS PROJETS ! 

Le coaching professionnel, qu’est-ce que c’est ? Le terme coaching est aujourd’hui largement usité, « dans l’air du temps » brouillant parfois le sens de son objectif premier. Revenons un instant à son histoire pour (re)donner à ce métier toutes ses lettres de noblesse. Le coaching plonge ses racines dans un passé lointain. De par son étymologie tout d’abord puisque le terme est à la fois anglophone « the coach »  et francophone « le cocher ». Le terme renvoie donc à celui qui conduisait les voitures à l’époque et assurait par conséquence un rôle d’accompagnateur.  Le coaching était également déjà pratiqué dans l’Antiquité avec les philosophes comme Socrate, qui par une technique de questions ouvertes, pratiquait la « maïeutique » (par analogie au personnage grec Maïa qui veillait aux accouchements) et amenait ainsi ses interlocuteurs à « accoucher » d’eux-mêmes, c’est-à-dire de leurs propres ressources, de leurs propres réponses et de leurs propres solutions. On peut dire que le coaching est l’art de poser les bonnes questions. C’est une technique pratiquée par un professionnel qui s’est formé dans une école spécialisée et qui est certifié. Le coach respecte un processus, des étapes-clés dans l’accompagnement pour amener un individu ou un groupe à mobiliser ses ressources, c'est-à-dire son potentiel, pour gagner en performance. Par une technique de questions ouvertes et sur une période limitée, le coach invite un individu à clarifier sa situation, à définir les enjeux de son projet, à créer de nouvelles options et de nouvelles possibilités, à bâtir un plan d’actions cohérent et réaliste en phase avec ses valeurs profondes.  L'objectif du coaching est de permettre à la personne accompagnée de se mettre en action et d'atteindre ses objectifs plus rapidement et plus durablement.  Le coaching c’est aussi un Art dans la relation que le coach va créer avec la personne qu’elle accompagne. Le coach doit être doté d’une écoute attentive et bienveillante et amener les personnes à porter un regard différent sur leur situation. Le coach doit être également inconditionnellement constructif et positif. Il s’appuie sur ce qui fonctionne et inscrit le « coaché » dans une dynamique positive. Le coaching offre donc à la personne concernée à la fois un cadre de réflexion sur son identité profonde, un espace de créativité dans lequel émergent de nouvelles possibilités et de nouvelles stratégies pour atteindre ses objectifs professionnels.  Le coaching professionnel, pour qui ?  Le coaching professionnel s’adresse à tout professionnel qui veut se donner les moyens de réussir et qui accepte de se remettre en question et d’envisager de nouvelles options pour atteindre ses objectifs rapidement.  La motivation est fondamentale dans le processus de l’accompagnement et la personne reste responsable des résultats qu’elle obtient.  E.L' Coaching International, avant tout une philosophie…. La création de l’entreprise E.L' Coaching International est d’abord le résultat d'un cheminement et d'une réflexion personnelle et professionnelle de sa gérante, Séverine BUCHOT. Titulaire d'un CAPES de Lettres Modernes et certifiée pour enseigner le français aux étrangers, elle a enseigné avec passion la langue et la littérature française pendant 12 ans à un public très varié, francophone et étranger, notamment dans des multinationales à l’étranger où elle a aidé des chefs d'entreprises et des chefs de projets à favoriser leurs échanges avec leurs collaborateurs francophones. Sa volonté a toujours été au fil de ses expériences d'aider les personnes à développer leur potentiel grâce au langage. Elle a également réalisé à quel point notre façon de communiquer, de nous comporter et l'énergie que nous dégageons peut avoir un impact sur l'atteinte de nos objectifs, la réussite de nos projets et la relation que nous avons avec nous-même et l...

Centre du patrimoine arménien (Le Cpa) :
un lieu d’Histoire et de mémoire
ouvert sur le monde

Faire connaitre l’histoire particulière de la diaspora arménienne. Telle était la vocation première du Centre du patrimoine arménien (CPA). Mais au lieu de privilégier une approche communautaire, le centre a tout de suite misé sur l’ouverture. « Nous essayons toujours d’établir un lien entre l’histoire arménienne et les problématiques actuelles », souligne Chrystele Roveda, Responsable du service des Publics et de la communication du CPA. Créé en 2005 sous l’impulsion de la ville de Valence, Le Cpa est aujourd’hui géré par Valence Romans Agglo. « La présence d’une communauté assez importante de personnes d’origine arménienne sur le territoire est l’une des raisons qui a impulsé la création de ce centre », explique Chrystele Roveda pour revenir sur les origines du lieu. Après deux ans de travaux, cet équipement culturel majeur de Valence Romans Agglo a rouvert ses portes au public le 15 septembre 2018. L’occasion de découvrir ses infrastructures mais également les innovations apportées, sans oublier les nouvelles activités construites autour d’une programmation qui se veut ambitieuse. Avec pour leitmotiv d’être un lieu citoyen ouvert sur le XXIe siècle. Le Cpa fait peau neuve À la suite d’importants travaux, la surface dont dispose le centre est passée de 450 m2 à 1 100 m2. De nouveaux espaces ont ainsi été créés afin d’apporter une atmosphère plus conviviale à ce lieu de mémoire. Désormais, le public va bénéficier d’un nouvel espace d’accueil qui s’ouvre sur un patio, d’un auditorium d’une capacité de 100 personnes, d’une belle terrasse pouvant recevoir une centaine de personnes pour différents évènements et d’une salle pédagogique. Quant à l’espace consacré à l’exposition permanente, celle-ci a fait l’objet d’une rénovation. « Nous avons actualisé les contenus et enrichi le parcours de dispositifs multimédias innovants », rapporte notre interlocutrice. De nouvelles offres à destination des familles et du jeune public Concernant la programmation, Le Cpa s’attache à mettre en place une offre culturelle adaptée et accessible à tous. « Jusqu’à présent, nous avions organisé beaucoup d’animations pour le public scolaire. Actuellement, nous sommes en train de déployer de nouvelles offres à destination des familles et du jeune public », spécifie Chrystele Roveda. Des ateliers ludiques, des animations ou encore des visites guidées interactives sont proposés en ce sens. Et grâce au label Ethnopôle « Migrations, Frontières, Mémoires » obtenu en 2018, le centre sera en mesure, dans les années à venir, de développer des projets plus ambitieux portant sur la problématique des migrations. ...

Devenir coach : Un chemin de vie et quelques pré-requis …

Pouvez-vous nous parler en deux mots de votre parcours Un parcours en 3 grandes périodes :  - Une éducation scientifique qui aboutit à un diplôme d'ingénieur Arts et Métiers en 1981 - Une carrière en entreprise à dominante commerciale chez ABB et IBM pendant 18 ans - Un chemin de développement personnel et d'accompagnement de responsables d'équipe et de dirigeants pendant 16 années Comment définissez-vous le métier de coach ? Quelles sont vos méthodes de travail ? En quoi consiste le travail d'un coach ? Est-ce vraiment un métier ? Un métier se définit à la fois par sa finalité et par les techniques employées. A mon sens, le coaching embarque une trop grande diversité d'objectifs et de techniques pour le rattacher à un métier unique. Le coaching est donc plutôt une posture qui ouvre à de multiples métiers ou que de nombreux métiers peuvent intégrer avec bonheur, comme par exemple le management, le consulting, l'accompagnement individuel, l'animation de séminaires, la formation .... J'oeuvre pour ma part principalement dans l'accompagnement au changement et mes méthodes s'appuient sur quelques grands principes :  - Une vision humaniste de la performance professionnelle - Une approche holistique de l'individu et des groupes d'individus - Une approche systémique des situations - L’utilisation de modèles de personnalité permettant de travailler sur la diversité des profils - Un référentiel managérial issu des meilleurs cabinets de formation - Un collectif de coachs complémentaires et talentueux Le coaching consiste essentiellement à provoquer des prises de conscience chez une personne ou un groupe de personnes pour permettre une mobilisation positive vers un objectif préalablement défini. Pour générer ces prises de conscience, le coach va puiser dans une large panoplie d’outils engageant à la fois la pensée, le corps et les émotions.Quelles sont les exigences de la profession ? Tout d'abord le respect d’une charte éthique qui formalise les engagements du coach dans sa pratique, par exemple en termes de confidentialité, de responsabilité et de neutralité. Autre exigence, un devoir de travail sur soi pour le coach qui doit lui permettre d'être au clair sur ses propres blessures et d'éviter toute projection inconsciente sur son client. J'accomplis personnellement un travail psycho-thérapeutique depuis 16 ans basé principalement sur la Gestalt-thérapie de groupe et sur le voice dialog ... c'est un voyage passionnant. Quelle différence faites-vous entre coaching et psychothérapie ? Le coaching et la psychothérapie font appel à des compétences très différentes. Un psychothérapeute va en particulier s'intéresser aux expériences traumatiques d'une personne et l'aider à cicatriser ces blessures pour qu'elles ne soient plus limitantes pour elle. Même si ces 2 postures peuvent utiliser des techniques similaires, la psychothérapie requiert une maîtrise des psychopathologies et des modalités de traitement de celles-ci que ne possède pas un coach. Un coach doit donc s'abstenir impérativement d'aller sur le terrain de la psychothérapie, au risque de provoquer des réactions qu'il ne saura pas gérer. De son côté un psychothérapeute se verra limité dans sa capacité à accompagner une personne sur des situations du présent par manque de technique cette fois pour traiter ces situations. Ces 2 pratiques sont donc très complémentaires et il m'arrive fréquemment de guider mes clients vers un type de psychothérapie correspondant à son besoin.Qu’est-ce que le « life-coaching » et quelle différence y a-t-il avec le coaching professionnel ? De façon très simple, le life-coaching s'intéresse à la vie privée des gens et le coaching professionnel à leur vie professionnelle. La tendance est aujourd'hui à prendre en compte l'ensemble des domaines de vie d'une personne, même si l'objectif du coaching appartient à un domaine particulier, tous les aspects de la vie ayant une influence systémique mutuelleLe métier de Coaching est de plus en plus  répandu. Qu’est-ce qui différencie votre  approche? Chaque coach se distingue par sa sensibilité et son expérience de vie, c’est la raison pour laquelle le choix d’un coach repose avant tout sur la qualité du lien entre le coach et le coaché. En ce qui me concerne, je peux me différencier par ma capacité à mobiliser une équipe de coachs de talent et complémentaires pour obtenir des résultats dépassant les attentes de mes clients J’associe plusieurs postures : Celle de coach, de conseil, d'animateur et de formateur pour répondre plus largement aux attentes de mes clients et à leurs ambitions. Combiner en particulier le coaching individuel et le coaching d'équipe est très efficace et différenciant.  Quelles sont les formations que vous recommanderiez pour devenir coach ? La posture de coach requiert des qualités d'écoute et d'empathie qui ne s'apprennent pas, le coaching est donc destiné à des personnes ayant ses qualités de façon innée. Le plus important pour devenir coach est de mener un véritable travai...

Champagne Lacuisse : premier cru du terroir de Sermiers

Plus qu’une passion et une tradition, la viticulture est un véritable héritage familial chez les Lacuisse depuis des générations, puisque « notre grand-père, Julien Lacuisse, exploitait déjà des vignes avant les années 60 », souligne Christian Lacuisse, actuel Président de la SAS. L’entreprise familiale commence l’exploitation du champagne à partir de 1966 suite à l’initiative de deux descendants de Julien Lacuisse. « Nos cuvées sont actuellement classées premier cru et sont élaborées selon les normes de la viticulture raisonnée pour limiter les impacts sur l’environnement », poursuit notre interlocuteur. Pour le plaisir des amateurs de grands crus, la maison propose sept variétés de cuvées, à déguster au sein du domaine dans un cadre convivial et chaleureux. Un domaine coopérateur en plein essor Installé dans le village de Sermiers, à quelques minutes de Reims et d’Épernay, le domaine Lacuisse fait partie intégrante du terroir champenois. Il dispose d’un vaste vignoble qui s’étend sur 17 hectares où trois types de cépages sont cultivés, dont 70 % de pinot meunier, 15 % de pinot noir et 15 % de chardonnay. Le sous-sol de celui-ci, riche en calcaire, est essentiellement composé d’argile, de sables siliceux et de marnes, permettant ainsi aux cépages d’exprimer nettement leurs arômes et saveurs. La maison a une capacité de production annuelle de 150 000 bouteilles, dont 45 000 vendues en étiquette terminée. Pour obtenir ce résultat, le processus de fabrication se déroule en deux temps : le pressurage, la vinification, l'assemblage et la mise en bouteille des cuvées s’effectuent avec des coopérateurs locaux, tandis que les travaux comme le remuage, le dégorgement et l’ajout de la liqueur finale s’effectuent au sein de la propriété, « ce qui fait de nous un domaine coopérateur », explique le propriétaire. Une gamme de cuvées à la hauteur de toutes les attentes Qu’il s’agisse de célébrer un grand événement ou une simple réception, la maison Lacuisse propose sept variétés de cuvées qui ravissent les papilles. Dans la catégorie des entrées de gamme figure la cuvée Tradition qui a obtenu la médaille d'argent au dernier concours International des vins de Lyon, composée de 70 % de pinot meunier, 20 % de pinot noir et 10 % de chardonnay. Intense et aromatique en bouche, elle se déguste à l’apéritif ou en accompagnement de fruits secs exotiques et « représente l’encépagement de notre propriété enregistrant une vente annuelle de 20 000 bouteilles », nous fait savoir Christian. Parmi les cuvées emblématiques du domaine se démarquent la cuvée spéciale, la cuvée millésime, mais surtout « la cuvée du cosson qui a obtenu la médaille d’argent au concours agricole de Paris cette année », précise notre interlocuteur. Cette dernière est obtenue par assemblage de 70 % de chardonnay et 30 % de pinot noir uniquement, contrairement aux cuvées demi-sec (encépagement identique à la cuvée tradition) et grande réserve qui, elle, est constituée de 50 % de chardonnay, 25 % de pinot noir et 25 % de pinot meunier. ...

Le Chalet : une cuisine savoureuse et conviviale

A Saint-Mars-la-Jaille, le restaurant le Chalet fait le bonheur des locaux et touristes de passage, désireux de découvrir une vraie cuisine du terroir. En salle ou en terrasse, la carte traditionnelle illustre le talent et l’inventité de ce chef passionné et décontracté.     Un art maîtrisé à la perfection Jean-Marc, originaire du Sud-Ouest de la France, privilégie une cuisine traditionnelle préparée à base de produits bruts et frais issus du terroir local. Ce qui lui a valu une récompense  le 15 Décembre 2015 : celle de Maître Restaurateur. Un label témoignant de la qualité et de la fraîcheur de la cuisine proposée. Ce titre de Maître Restaurateur nécessite entre autres l’adoption du circuit court. C’est pourquoi le chef s’approvisionne auprès des fournisseurs régionaux comme la boucherie La Désirade, le Druide du Boisiller, les producteurs bios du wagon pour ne citer que ces exemples. Effectivement, il concocte une cuisine simple et de qualité qui éveille la sensibilité gustative. Il déclare d’ailleurs «travailler les produits locaux différemment.»  En résulte alors des plats gourmands comme ces Ravioles d’escargots de Monsieur Leroy aux pleurotes qui sont à tomber.   Une cuisine du sud-ouest                                  La formule du midi invite à prendre un menu express à 11€ ou un menu complet à 13€50, avec une entrée, un plat et un dessert, au choix. A la carte, le Saumon fumé accompagné d’une crème légère et d’un pain grillé avec une salade gourmande « la salade Landaise » qui est composée de gésiers, de magret fumé, de foie gras joints à un croustillant de canard est servi en entrée. En plat de résistance, le Civet de Gambas au chorizo comble les gourmands amoureux de bonnes saveurs. Pour finir le repas en beauté : « La Bretonne » une glace à la vanille, double caramel au beurre salé, avec des éclats de crêpes dentelles à la crème fouettée maison. En outre, Jean-Marc travaille énormément le boudin artisanal qu’il a lui-même conçu avec un artisan-boucher-charcutier du coin mais aussi le canard qui est une des spécialités du Sud-Ouest. Quant à la carte de vins, elle est assez éclectique avec une prédominance des vins de Loire et du Sud-Ouest.  « L’été, on va privilégier les vins frais (…) Il y a toujours le petit côté découverte», selon le maître des lieux.   Les plats de bistrot et service traiteur A la fois restaurant, traiteur et pizzeria, le Chalet satisfait toutes les envies.  De nombreuses spécialités incontournables sont à découvrir à la pizzeria : « l’Espelette » préparée à base de fromage, du bœuf épicé, des poivrons, des oignons et des lardons ou encore la pizza « Saint Marsienne »  concoctée avec du fromage, du boudin noir artisanal, des oignons et d’une pomme fruit. Pour les événements privés, le service-traiteur se tient prêt à proposer des services personnalisés et peut dresser un devis adapté à tous les budgets. « Nous proposons des plats différents qui nous distinguent des autres traiteurs. Notre clientèle apprécie cette singularité.», confie-t-il. Chaque tapas, tartine, pinchos et autres petits sandwichs espagnols sont réalisés avec des produits de saison. ...

Le Château du Clos Lucé, 500 ans après…

Le Château du Clos Lucé se divise en trois parties bien distinctes. Le manoir avec sa façade en briques roses et ses pierres blanches, demeure mise à disposition par François Ier pour Léonard de Vinci, le parc Leonardo da Vinci avec ses maquettes grandeur nature des œuvres et inventions du génie et le Jardin de Léonard reproduit selon les croquis de botanique, fruit de l’imagination de cet homme d’esprit universel. 1516-1519, 2016-2019… Les années 2016 à 2019 sont à marquer d’une pierre blanche pour le Château du Clos Lucé car elles correspondent au 500e anniversaire de l’arrivée de Léonard de Vinci à Amboise où il vécut de son arrivée en 1516, jusqu’à sa mort en 1519. A cette occasion, le château du Clos Lucé rend hommage à l’histoire française des œuvres et travaux réalisés par ce grand homme ainsi qu’à ses idées et ses valeurs humanistes.       En 2016, en première mondiale, les ateliers vivants du grand maître sont restitués et «  achèvent la campagne de restauration qui dure depuis près de 60 ans » comme l’explique Irina Metzl, du service communication. Pendant l’été, les Nocturnes du Clos Lucé sont une occasion d’appréhender l’art sous diverses formes et de faire revivre l’esprit de la fête de Léonard de Vinci. Le château accueille aussi chaque année le Festival Européen de Musique Renaissance. Sur trois jours, le public a le plaisir de découvrir une facette méconnue du génie toscan  ses talents de musiciens. La 11e édition en 2016 offre une programmation d’œuvres et créations inédites de Doulce Mémoire, de l’ensemble Vedado & la mezzo-soprano Latana Phoung et du Quatuor Van Kuijk. Du Clos Lucé au Louvre, les trois chefs-d’œuvre de Léonard de Vinci  Cette exposition temporaire met en lumière l’histoire française des trois chefs-d’œuvre dont Léonard de Vinci n’a jamais voulu se séparer depuis son départ d’Italie, à savoir La Joconde, La Vierge, l’Enfant Jésus et Sainte-Anne, et le Saint-Jean-Baptiste. Elle se tient du 17 juin au 15 novembre 2016 et a été mise en place grâce au commissariat d’Alessandro Vezzosi du Museo Ideale à Vinci, en Italie, et en partenariat avec le Centre de Recherche et de Restauration des Musées de France, du Louvre. En 2017, Léonard de Vinci organisateur des fêtes royales Un aspect moins connu de l’artiste aux mille facettes qui se révèle un Maître dans l’art d’organiser pour François 1er – Roi de France – et sa cour des fééries nocturnes, des spectacles qui faisaient appel à son génie créateur pour créer l’illusion, éblouir et donner à rêver. L'objectif était également pour le Roi de montrer sa puissance, de faire rayonner son image au sein des cours d’Europe dont les Ambassadeurs étaient des invités de marque. De la restitution de la Victoire de Marignan à la Fête du Paradis, effets spéciaux et jeux de lumières illustrent tout le génie de Léonard de Vinci inscrit dans son histoire française au Château du Clos Lucé, sa dernière demeure." ...

Une histoire d'amour entre Jean Aubron l'Audigère et le Muscadet

Ancienne seigneurie et juridiction, le domaine Jean Aubron L’Audigère est imprégné d’Histoire. Tout commence en 1678 avec la Maison de l’Audigère, un ensemble de bâtis servant notamment de celliers ou encore de pressoirs. Les premiers propriétaires furent les seigneurs des Rames. Puis la famille de Sévigné acquit éphémèrement le domaine, qui passe ensuite aux mains du comte de Montbel. En 1843, la famille Aubron reprend l’exploitation. Depuis, quatre générations se sont succédé et ont réussi, au fil des années, à renforcer la notoriété du domaine dans le paysage viticole de Loire-Atlantique. Terroir et renommée De 48 hectares à ses débuts, en 1843, le domaine s'étend aujourd'hui sur 84 hectares de muscadet. L’exploitation est située sur les meilleures terres de gabbros, dans le pays nantais, en Val de Loire. Influencé par le climat de l’océan Atlantique, cet illustre terroir du muscadet est composé de roches éruptives et métamorphiques caractéristiques du Massif armoricain, recouvert de sable ligérien. Cette typicité est à l’origine de son arôme unique de fleurs blanches, de fruits blancs avec des notes minérales. Vinification du Muscadet Le melon de Bourgogne est un cépage blanc provenant du vignoble de Bourgogne, délaissé dans sa région d’origine et qui s’est imposé principalement en Loire-Atlantique où il couvre actuellement une surface de 8 500 hectares et donne des vins équilibrés, secs, frais et fruités. C’est le cépage unique pour l’appellation d’origine contrôlée Muscadet. Pour obtenir un Muscadet sur lie digne de ce nom, Jean-Pascal Aubron applique une technique traditionnelle extrêmement pointilleuse et rigoureuse. Les vendanges, très précoces, se font autour de mi-septembre. Vient ensuite un pressurage sur pressoirs pneumatiques, afin d’obtenir un moût délicat, suivi d’un débourbage systématique qui élimine les matières grossières, causes d’alourdissement des expressions olfactives. Les vins sont stabilisés par précipitation tartrique par le froid après la fermentation qui se fait à une température comprise entre 18 °C et 20 °C. L’étape finale est celle de la conservation, qui s’effectue soit en cuve souterraine, soit en cuve aérienne en inox. Des vins d’exception Le muscadet est un vin qui se pare d’une robe jaune or, avec des notes de fruits blancs et de fruits secs comme l’amande et la noisette. Il est velouté, suave et complexe en bouche avec des touches briochées du fait de son élevage sur lies. La maison Jean Aubron L’Audigère possède quatre cuvées ambassadrices : le « Grand Fief de l’Audigère », qui s’accorde harmonieusement avec le ravioli de sardines crues crème d’artichaut ;  la cuvée « Elégance 2014 », qui est idéale avec une crème de petits pois à la menthe ; la « Haute Expression 2013 », qui est une merveille avec un saumon ; et le « Grand Fief de l’Audigère Vieilles Vignes 2005 », qui rehausse les saveurs d’une dorade snackée ou d’une asperge verte amande et réglisse. ...

Une bonne coordination du parcours de soins des personnes atteintes de maladies rares est essentielle

Quelle est votre mission au sein de la DGOS (Direction Générale de l’Offre de Soins) ? Mon rôle consiste à coordonner la mise en œuvre de ce que prévoit le Plan National Maladies Rares. Je viens notamment en aide aux personnes désignées pour élaborer des propositions pour le Plan n°3. Ma mission est donc une mission de suivi et de coordination interministérielle. Qu’est-ce qu’un centre de maladies rares ? Tous ces centres sont organisés en réseaux. Il en existe plusieurs catégories. Les centres de compétences (CC) assurent la prise en charge des patients atteints de maladies rares et la coordination de leur parcours de soin. Les centres de référence maladies rares (CRMR) prennent également en charge les malades mais ils ont des missions complémentaires d’animation et de coordination au sein du réseau, d’expertise, de recours, d’enseignement-formation et de recherche. On dénombre 23 filières de santé maladies rares (FSMR). Quand ont-elles été créées et dans quel but ? Leur création remonte au 2ème plan national maladies rares 2011-2014, lequel a été prolongé jusqu’en 2016. Ces filières ont pour but de favoriser la lisibilité de l’organisation entre les 109 réseaux dont nous disposons actuellement. Ce découpage en 23 filières facilite considérablement l’orientation des malades vers un centre qui soit adapté à leur pathologie. Ces filières ont également pour objectif de coordonner les différentes actions qui sont menées : expertise, recherche, enseignement, formation… On pourrait donc dire des filières qu’elles constituent l’interface entre les différents acteurs du domaine. Les réseaux maladies rares, bien sûr, mais aussi les laboratoires de diagnostic, les unités de recherche, les universités et les structures médico-sociales sans oublier les associations qui sont toutes très impliquées. Pour résumer, les filières de santé maladies rares répondent à un double objectif : faciliter la compréhension de l’organisation (centres de référence, centres de compétences) mais aussi « décloisonner » le système pour favoriser la communication entre ses acteurs.Où en est-on en France du parcours de soins dans le cas des maladies rares ? Une bonne coordination de la prise en charge des patients est essentielle. En France, nous avons la chance de pouvoir nous appuyer sur une offre non seulement de haut niveau mais aussi très structurée. Cette structuration (centres de référence maladies rares, centres de compétences, filières de santé maladies rares) que les autres pays européens nous envient, forme un maillage très dense. Grâce à elle, nous pouvons orienter efficacement les malades et leur proposer une prise en charge adaptée.. C’est ce maillage très dense qui nous permet actuellement d’orienter efficacement les malades et de leur proposer une prise en charge adaptée. Bien que nous ayons beaucoup progressé, l’errance diagnostique reste bien évidemment une préoccupation majeure. Le diagnostic est parfois difficile à établir. Mais à partir du moment, et ce indépendamment de la pose précise du diagnostic, où une personne atteinte de maladie rare sera orientée vers le centre approprié, sa prise en charge sera la plus complète possible. Nos centres sont pluri-professionnels. C’est à dire qu’aux équipes médicales viennent s’ajouter des psychologues, des assistantes sociales, des kinésithérapeutes, des nutritionnistes, etc. Chacun de nos centres réunit donc des professionnels dont la spécialité est adaptée aux pathologies devant être traitées. De plus, ces centres collaborent étroitement avec le médecin traitant, les associations de malades et tous les acteurs d’accompagnement. Et au niveau européen ? Une organisation est en train de se mettre en place an niveau européen. En 2016, la commission européenne a lancé 24 réseaux européens de référence (ERN). Certains de ces réseaux européens sont d’ailleurs coordonnés par des équipes françaises. La France est le premier pays en Europe à avoir élaboré puis mis en œuvre un plan national. Et elle contribue à cette construction européenne.Un mot sur les Assises de Génétique Humaine et Médicale et la Journée Internationale des Maladies rares ? Il est essentiel de parvenir à faire connaître, et même reconnaître davantage les maladies rares. Et des événements comme les Assisses de la Génétique ou encore la Journée Mondiale des Maladies Rares y contribuent. Comme je le disais, le diagnostic de certaines maladies rares est compliqué. Pour un médecin, cela nécessite d’avoir une véritable « culture du doute » face à des symptômes qu’il ne parviendrait pas à expliquer. On estime à 3 000 000 en France le nombre de personnes qui pourraient être atteintes de maladies rares. Or une prise en charge adaptée permet sinon d’assurer la survie, au moins d’améliorer la qualité de vie du malade. Je suis convaincue que plus on communiquera sur les maladies rares, plus on contribuera à réduire l’errance diagnostique. L’errance diagnostique est donc une priorité de santé publique ? Exactement. L’objectif, ...

Best Western Plus Hôtel & Spa de Chassieu : une entreprise familiale proposant le confort d’un hôtel Haut de Gamme.

Si vous êtes de passage dans l’Est lyonnais, arrêtez-vous au Best Western Plus Hôtel & Spa de Chassieu. Nous vous donnons toutes les raisons d’y séjourner une nuit ou le temps d’un séjour reposant. Un hôtel familial qui fait le bonheur de ses clients. Créé en 2013 par Monika et Juvénal da Cunha, cet établissement n’a qu’un seul but : permettre à toutes les personnes qui s’y arrêtent (professionnels et particuliers) de s’y reposer en toute sérénité. En effet, dès votre arrivée, vous êtes accueillis par un personnel souriant et chaleureux qui vous invite à prendre le temps de vous installer et de découvrir ses différents services : prendre un cocktail au Havana Lounge, vous restaurer à La Brasserie Flow ou même vous détendre dans son Spa de 600M². L’hôtel étant idéalement situé : il voit passer des familles en escale sur la route des vacances, des couples cherchant un moment d’évasion, des exposants se rendant aux parcs des expositions Eurexpo Lyon, et des businessmen se regroupant lors d’un séminaire d’entreprise créé sur mesure par l’équipe commerciale de l’hôtel. Une ambiance autour du Voyage à noter dans votre prochain carnet de route. ...

Exposition Courbet-Lansyer : l’élève reçoit le maître à Loches

Après avoir suivi des études en architecture, Emmanuel Lansyer nourrit l’ambition de devenir peintre. En 1861, il préfère s’inscrire dans l’atelier fraichement ouvert de Gustave Courbet plus éloigné de l’enseignement académique. Peintre impétueux et provocateur, considéré comme un artiste libre et indépendant, Courbet est à l’époque au sommet de son art. Le maître d’Ornans a eu une empreinte déterminante sur le jeune Lansyer qui, à ses côtés, explore la technique de la texture, de la couleur et de la peinture et s’imprègne de la démarche réaliste. Loches : expositions, ville d'art et d'Histoire...  Dans l’optique de faire découvrir l’œuvre de Courbet et de la mettre face à face avec celle de son disciple, la ville de Loches présente l'exposition « Courbet s’invite chez Lansyer », qui se tient dans l’ambiance intime de la maison d’Emmanuel Lansyer. La demeure bourgeoise, héritée de sa mère, est aujourd’hui classée « Maison des illustres » et « Musée de France ». La première étape de l’exposition retrace le parcours des deux artistes avant leur rencontre. Le deuxième volet dévoile l’influence du maître sur le travail de son disciple. La troisième étape relate la rencontre entre les deux hommes. Enfin, la quatrième partie propose un focus sur l’engagement de Courbet dans l’art et la politique. Plus d’une centaine d’œuvres et objets personnels des deux artistes sont ainsi exposés et invitent les visiteurs à s’imprégner de l’univers du Réalisme. Une exposition réalisée en partenariat avec l’Institut Gustave Courbet ...

Superbe restaurant au cœur de Fontainebleau : La Table du Parc

La Table du Parc, c'est le restaurant de La Demeure du Parc, boutique hôtel de caractère, idéalement situé à une des entrées du magnifique parc du Château de Fontainebleau. City-break idéal le temps d'un week-end pour se ressourcer et retrouver le goût des choses simples et vraies. Une cuisine locavore La Table du Parc est orchestrée par une jeune chef au brillant parcours, Carmen Thelen, 27 ans. A la carte, des plats créatifs, toujours inspirés des grands classiques. Cuisine sincère et percutante où l'on peut se régaler de poissons et viandes cuits à la braise, de sauces maison, élaborées dans le plus strict - et succulent - respect de la tradition, des fromages affinés par la maison Barthélémy-Goursat... Également, une identité locavore, rendant hommage aux artisans et producteurs locaux où la Chef aime à s'approvisionner. Une "Assiette" au Michelin « La Demeure du Parc c'est un peu comme une maison de famille, un lieu élégant, sans être ostentatoire, très chaleureux, où l'on se sent un peu comme chez soi » explique la gérante Nicole Ivassenko. La terrasse du restaurant ouvre sur un vaste jardin planté d'arbres fruitiers, de fleurs et plantes aromatiques où il fait bon, le soir venu, de boire un verre autour du grand brasero. Évasion conviviale et... certifiée gourmande par le guide Michelin. Dans son édition 2017, il vient de décerner une « assiette » à La Table du Parc et deux fourchettes, saluant une « cuisine de qualité, une assiette juste et bien maîtrisée ainsi qu'un bon rapport qualité-prix. » L'hôtel fait aussi son entrée dans le guide, catégorie Boutique-hôtel design très confortable, lumineux, jouant sur les matières nobles. La Demeure du Parc, un lieu addictif. ...

La Cloche d'or : restaurant traditionnel à l'excellente table

Dans un décor authentique à l’ambiance décontractée, l’enseigne perpétue une tradition vieille de plusieurs années en continuant à recevoir des diners d’artistes, mais aussi des diners en famille, en amoureux ou entre amis.   Observant une fermeture hebdomadaire le dimanche, le restaurant est accessible du lundi au vendredi, de 12 h à 14 h 30 et de 19 h à 23 h 45, et le samedi, de 19 h à 23 h 45. L’avantage étant que jusqu’à une heure avancée de la nuit, il vous est encore possible de profiter des plats généreux à base de produits frais et de saison proposés par l’établissement. Le rendez-vous des fines bouches Proposant une cuisine traditionnelle française, La Cloche d’or vous invite à découvrir son menu à la carte entre 40 et 50 €, avec un menu du soir à 2 plats + 1 dessert à 34,50 €, sa formule midi à 2 plats à 28 € et celle à 3 plats à 31 €.   Laissez-vous tenter par son délicieux camembert rôti avec ciboulettes, ses coquilles Saint-Jacques en saison ou son fumé de saumon, sans oublier sa fameuse côte de bœuf, mais aussi sa joue de cochon au curry jaune et riz basmati. Comme desserts, ne ratez surtout pas sa fameuse mousse au chocolat ou encore à sa tarte fine aux pommes qui sont particulièrement renversantes. Dans un bel assortiment de vins essentiellement issus de petits propriétaires, La Cloche d’or prend soin d’effectuer elle-même ses sélections, sans faire appel à des cavistes, en proposant un choix d’une quarantaine de références. Une carte plutôt éclectique, qui se marie bien avec ses plats. ...

Le Bistrot des Anges : ambiance brasserie à Bordeaux

« De tous les arts, l'art culinaire est celui qui nourrit le mieux son homme. » C’est avec cette belle citation de Pierre Dac que le Bistrot des Anges fait son entrée en matière. Une manière de dire qu’au sein de cette brasserie bordelaise on vient pour le plaisir de déguster une cuisine savoureuse et traditionnelle, revisitée selon l’inspiration et l’humeur du chef. Une manière aussi de vous assurer qu’on y privilégie l’art de bien recevoir. Des anges pour s’occuper de vous Durant l’arrivée des beaux jours, vous ne résisterez pas à l’envie de vous installer sur cette belle et spacieuse terrasse ombragée. Il faut dire que, depuis la rue, on n’a d’yeux que pour elle. À l’intérieur, la salle invite aussi à passer de bons moments. Toute l’attention se focalise sur cet immense bar en bois éclairé par des luminaires encastrés. En face, des tables et des banquettes en cuir accolés en mur rappellent immédiatement l’ambiance bistrot. Une autre salle beaucoup plus intimiste est proposée aux clients en quête de discrétion à l’arrière du restaurant. Celle-ci révèle des couleurs claires qui procurent un effet élégant et apaisant. Dans cette ambiance conviviale et chaleureuse, vous serez accueilli par les anges. Aux manettes : Vincent, qui est le chef d’orchestre de cette équipe de professionnels et qui fera de votre passage au sein du restaurant un pur moment de plaisir. Aux fourneaux : Nuno, un chef passionné qui concocte une cuisine généreuse, à l’image de sa personnalité. Il régale les papilles avec ses plats traditionnels mâtinés de saveurs issues des quatre coins du monde. La maison propose des menus qui changent tous les jours en fonction des arrivages du marché. À midi, 4 formules, dont les tarifs commencent à 10 €, sont élaborées. Le soir, une carte modifiée régulièrement attend les habitués ou les voyageurs de passage. En entrée, le raviole au foie gras et sa crème de cèpes émoustilleront vos palais. En plat principal, optez pour les gambas flambées au pastis et risotto à l’encre de seiche. Une grosse faim ? Dans ce cas, la côte de bœuf d’un kilo accompagnée de salade et de frites pour 2 personnes est proposée. La touche de douceur, quant à elle, sera apportée par la sphère chocolat irish cream. Pour vos moments de détente La nuit tombée, l’ambiance prend une autre tournure. Le rythme effréné du midi destiné à servir rapidement les clients pressés est délaissé au profit d’une atmosphère plus conviviale et bon enfant. Que vous soyez en groupe, en couple ou solo, le Bistrot des Anges vous garantit un accueil digne de ce nom. Le Cocktail des anges, le Mojito royal, la Pinacolada, le Daiquiri, le Bloody Mary… grâce à la large sélection de cocktails, il y a de quoi passer une bonne soirée. L’établissement a sélectionné également un large choix de vins français et étrangers ainsi que de bières ; à consommer avec modération, cela va de soi. Pour les petites faims, des tapas à partager. Au choix : les calamars en persillade et balsamique, l’assiette de brebis, confiture de cerises noires ou, pourquoi pas, la grande planche du Bistrot. Dès l’approche du weekend, la température monte d’un cran au Bistrot des Anges. Sur un fond de bonne musique, vous pourrez échanger, partager et faire des rencontres. ...

Restaurant Le Châtelain, le rendez-vous gastronomique d'Ottrott

Installé dans l’hôtel quatre étoiles Le Clos des Délices, le restaurant Le Châtelain se présente comme un endroit accueillant et plein de charme, idéal pour apprécier savoureusement des mets inspirés de la tradition gastronomique française. Ici, les pupilles se délectent avant les papilles. En pénétrant dans cet ancien couvent de sœurs bénédictines d’Ottrott, les convives ne manquent pas d’être subjugués par la beauté de ces lieux sublimés par un immense jardin, source de bien-être et d’apaisement. Une Cuisine Gastronomique aux produits de saison Le Châtelain propose à ses convives une cuisine « simple, mais pas simpliste », offrant parfois quelques clins d’œil à un style plus contemporain. Les assiettes joliment dressées par le chef Mathieu Klein provoquent de belles émotions, et cela, dès les premières bouchées. La rigoureuse sélection des produits généralement issus des producteurs locaux, et toujours frais et de saison, garantit la qualité, qui est la ligne de conduite de la maison. Parmi les plats symboles du restaurant Le Châtelain s’inscrit la truite confite à basse température. Il s’agit d’une entrée raffinée composée de radis et de crème de raifort aux herbes, où le poisson est confit à 45°C. En guise de plat, l’agneau en deux façons accompagné de gnocchis de charlottes au Sainte-Maure fumé, cerfeuil tubéreux et gel sous bois est à ne pas manquer. Côté dessert, le chef pâtissier Jean-Noël comblera les fins gourmets avec ses délices, notamment à base de thé vert Matcha. Une ambiance feutrée Le Châtelain offre un cadre reposant très cocooning pour tous ceux qui recherchent un havre de paix au beau milieu de la nature. Son décor s’inscrit dans un style moderne, souligné par les chaises design importées d’Italie. Le sol recouvert de moquette accentue l’effet chaleureux pour se sentir comme à la maison, tandis que les luminaires dorés et le mur en feuille d’or s’allient bien à l’atmosphère chic et design. ...

Amarok l’esprit nature : des voyages au plus près de la nature

Amarok a été lancée en 2008 par trois amis qui partagent la même passion et l’amour pour la nature. Régis Biron, Bertrand Carrier et Mathieu Kruker sont convaincus qu’il est aujourd’hui vital de sensibiliser le plus grand nombre à la préservation de la planète. Partant de la logique que les personnes ne respectent que ce qu’elles aiment, les trois compères ont créé Amarok pour amener l’individu à s’émerveiller et respecter ainsi la nature. La meilleure manière d’y parvenir est d’offrir à chacun la possibilité de prendre le temps d’explorer, de comprendre et de s’imprégner des richesses de cette nature. Des voyages au cœur de la nature Les voyages proposés par Amarok sont classés en fonction de leurs thématiques. À commencer par les voyages photo qui se déclinent en photographie animalière, ornithologique et naturaliste. « Ces séjours sont encadrés par un photographe professionnel », explique Tiphaine Deschaux, responsable de production. En effet, ces voyages photo vont permettre aux participants de s’initier ou de se perfectionner aux différentes techniques afin d’obtenir les meilleurs clichés possibles. Par ailleurs, afin d’avoir une bonne lecture du terrain, un accompagnateur se charge d’apporter sa connaissance de l’écosystème tout en veillant à ne pas déranger les animaux. « Le respect du milieu fait partie de notre éthique, nous n’irons jamais faire un cliché au détriment des espèces », souligne la responsable. Ensuite, les voyages aventure sont l’occasion de découvrir en « semi-autonomie » des territoires reculés et encore sauvages. Ces circuits bénéficient de l’encadrement de professionnels tels que des guides naturalistes, botanistes ou écologues. Pour ceux qui souhaitent s’initier à la vie sauvage, rien ne vaut l’expérience des séjours immersion et vie sauvage ! Là, les plus curieux apprendront quelques techniques de pleines natures : par exemple, comment allumer un feu, construire un abri, ou encore installer un campement. Les hébergements proposés ici sont typiques mais confortables. En outre, les voyages découverte incluent par exemple des séjours rencontres et savoir-faire où les participants sont inscrits dans une démarche d’écocitoyenneté. « Sur ce type de séjour, ils vont découvrir un territoire et, en même temps, les acteurs locaux qui font vivre ce territoire », précise Tiphaine Deschaux. Avec les séjours plantes sauvages, l’idée est d’apprendre aux aventuriers à reconnaître et à tirer parti des plantes sauvages. Enfin, Amarok c'est aussi des séjours treks et randonnées à pied, en raquette ou en ski au cœur des  plus belle zones nordiques en passant par les plus beaux déserts de la planète ! ...