Pour ceux qui souhaitent joindre l’utile à l’agréable, les 4 hôtels de charme du groupe Hôtels Ocre & Azur, auréolé chacun de 4 étoiles, remplissent toutes les conditions nécessaires pour offrir un environnement agréable, propice à la détente et aux affaires. Que ce soit pour l’Hôtel de l’Horloge, Le Canberra, L’Aréna ou Le Suisse, les visiteurs profitent d’une qualité d’accueil, d’un service personnalisé ainsi que de prestations irréprochables. Hôtel de l’Horloge, des évènements sur mesure Au centre historique d’Avignon, non loin du célèbre pont d’Avignon et du Palais des papes, l’Hôtel de l’Horloge reçoit ses hôtes dans une bâtisse en pierre de taille du XIXe siècle. Pour les entreprises, l’hôtel met à leur disposition une salle de réunion insonorisée de 40 m2, d’une capacité d’accueil de 25 personnes. Réunions de travail, séminaires, déjeuners d’affaires… L’établissement est à même d’organiser des évènements sur mesure, grâce au savoir-faire et à l’expérience d’une équipe de professionnels. Afin d’assurer la réussite des séances de travail, l’hôtel fournit des matériels de pointe comme des vidéoprojecteurs, des écrans ou encore des paper-boards. Après une journée de travail bien remplie, place à la détente ! En tout, cet établissement de caractère dispose de 66 chambres, se déclinant dans un style provençal contemporain. Le Canberra, le boutique hôtel de Cannes Implanté à Cannes, sur la prestigieuse rue d’Antibes, l’hôtel Le Canberra conjugue à la perfection calme et raffinement. Ses résidents jouissent de sa proximité avec de nombreuses boutiques de luxe situées aux alentours, la plage ainsi que le Palais des festivals et des congrès. Côté hébergement, les 30 chambres ainsi que les 5 suites de l’établissement plongent les invités dans un subtil mélange de simplicité et de sophistication, le tout inspiré d'un style cosy chic. « Nos établissements sont à taille humaine, car nous privilégions avant tout l’expérience humaine », souligne Myriam Fernandes, sales manager, responsable des ventes. À l’extérieur, cette charmante bâtisse du XIXe siècle possède une grande terrasse, un jardin avec piscine, qui promet d’agréables moments de fraîcheur pendant la belle saison. Avec son espace lounge-bar de 100 m2, sa véranda de 30 m2 et sa terrasse extérieure, l’hôtel Le Canberra reçoit jusqu’à 100 personnes en mode cocktail. L’Aréna, tout en authenticité En plein cœur de la ville de Fréjus, l’hôtel L’Aréna est synonyme de charme et de sérénité. Composé de 3 authentiques bâtisses provençales, il propose 32 chambres accueillantes, qui donnent sur une belle piscine et un jardin exotique. Grâce à ses 3 salons modulables qui bénéficient tous de la lumière du jour, l’établissement peut recevoir différents types d’évènements privés (mariages, baptêmes, anniversaires…) ou professionnels (séminaires, réunions, AG…). Ces salles, dont la plus grande dispose d’une surface de 110 m2, ont une capacité d’accueil variant de 15 à 110 personnes. Outre les équipements mis à leur disposition, les entreprises profitent également d’une connexion Internet et du Wi-Fi gratuit. Au niveau des activités « outdoor », l’hôtel propose de multiples expériences à partager entre collègues. Chasse au trésor, rallye, randonnées… mais aussi la découverte des trésors de la Provence font partie du programme. Le Suisse, une vue imprenable Situé à Nice, l’hôtel Le Suisse jouit d’un emplacement de rêve au bord de la mer, offrant ainsi à ses hôtes une superbe vue sur la baie des Anges et la célèbre promenade des Anglais. À proximité du Vieux Nice et de ses rues commerçantes, cet établissement promet un séjour inoubliable. En tout, l’hô...
Cisbio est spécialisé dans les technologies, les produits et les services pour le diagnostic in vitro et la recherche dans les sciences du vivant. Elle propose de nombreux dosages pour le diagnostic de cancers, de maladies métaboliques ou auto-immunes. Dans le domaine de la recherche, elle a mis au point une méthode de détection par fluorescence en milieu homogène (HTRF) et a développé une offre d'essais et de services à destination des chercheurs impliqués dans la découverte de nouveaux médicaments. Sur la base de ce savoir-faire et de plus de 200 brevets déposés, Cisbio commercialise aujourd'hui plus de 500 essais et réactifs pour accélérer les projets de recherche de ses clients et partenaires. Un rôle important dans l’économie Cisbio emploie plus de 200 personnes, dont 40 chercheurs ayant une formation scientifique en chimie, en biologie cellulaire et moléculaire ou en biophysique. Basé à Codolet, dans le Gard, Cisbio possède des filiales à Boston, à Shanghai et à Tokyo et dispose d’un réseau de distributeurs qui commercialise ses produits dans le monde entier. Cisbio joue un rôle important dans l’économie de la région Occitanie, en créant de nombreux emplois et en ayant un rôle actif en matière de formation, ainsi qu'au travers de ses partenariats avec les instituts de recherche et les universités de Montpellier et de Marseille. 2016 : création de Ze Lab Dans le courant de l’année 2016, fort de son expérience et de ses compétences aussi bien scientifiques que commerciales, Cisbio a décidé de mettre en œuvre une nouvelle structure, Ze Lab, afin d’aider et d’accompagner des startups à se développer. Pour bénéficier de cet accompagnement, les candidats doivent déjà avoir testé et validé leur concept, établi un business model et être dans une phase de finalisation de recherche, d’industrialisation ou de commercialisation. Ils doivent travailler dans des domaines d’activités bien spécifiques tels que la recherche de thérapeutiques ciblant les maladies infectieuses, le diabète, l’oncologie ou les maladies rares. Cisbio souhaite que les startups rejoignant Ze Lab se concentrent sur leur cœur de métier dans les meilleures conditions possibles. Pour cela, elle va en particulier les accompagner au niveau de l’organisation de la structure, sur la mise en place d’un business plan, sur l’étude de marché ou sur la recherche de fonds. Ainsi, mettre en place une organisation de recherche et développement performante, définir une stratégie claire, développer et commercialiser les produits, structurer les équipes, rechercher et trouver des investisseurs sont au cœur du package proposé par Cisbio. Un écosystème déjà présent et un réseau international Certains critères sont déterminants pour la sélection de ces entreprises émergentes comme la qualité de l’équipe, une offre ayant une valeur ajoutée identifiable et une forte motivation. Quelques startups ont déjà déposé leur dossier pour rejoindre Ze Lab. Ils sont à l’étude auprès du comité de sélection de Cisbio. Les sociétés retenues pourront intégrer pendant 3 mois à 2 ans un espace mis à leur disposition avec bureaux, plateaux techniques et salles de réunion. Elles peuvent ainsi bénéficier de tout l’écosystème déjà présent sur place et, potentiellement, d’un réseau commercial international. ...
Avec un slogan fort de sens - « Tous vos succès méritent un GREMILLET » - en parfait écho avec le parcours de la maison qui s’est rapidement hissée parmi les plus belles de son secteur, l’entreprise, créée par Jean-Michel GREMILLET en 1979 et reprise par ses enfants Anne et Jean-Christophe, offre un regard optimiste sur l’avenir et place la détermination, le dynamisme et le travail au cœur de ses valeurs. Une gamme de champagne mêlant qualité, fraîcheur et élégance La maison produit aujourd’hui 500 000 bouteilles par an. Le fruit d’un savoir-faire et d’une terre précieuse : un domaine vaste de 48 ha, situé au cœur du terroir unique de la Côte des Bar où le pinot noir est roi, et qui abrite depuis 2013 un clos. Ce dernier a enfanté la dernière création de la maison, une cuvée bijou qui porte son nom : le Clos Rocher. ...
De précieux documents attestent que le Château de Pravins est un domaine viticole dès 1251. Aujourd’hui, c’est Isabelle Brossard qui en assure la gestion, aidée de Vladimir Vallat. Isabelle a repris l’exploitation en 2005 et s’attache, depuis, à mettre en avant une viticulture respectueuse de l’environnement. Un terroir ancestral Ce vignoble de 5 ha d’un seul tenant est implanté sur un terroir ancien présentant des sols argilo-limoneux. Sur ces terres fertiles s’épanouissent de très vieilles vignes de gamay et également de chardonnay. Depuis 2013, le domaine est mené en agriculture biologique. Pour favoriser la biodiversité, les vignes côtoient 4 ha d’arbres champêtres. Désherbage naturel, utilisation d’engrais organiques, travail du sol… font, entre autres, partie des efforts fournis en vue de préserver la Nature. Côté vinification, les interventions sont limitées au minimum. En effet, celles-ci doivent se dérouler de la manière la plus naturelle possible. Des cuvées uniques Grâce à la richesse de son terroir, cet ancien domaine viticole propose des vins à part. En tout, la maison confectionne 3 gammes : La Grande Réserve, L’Argile ardente et Les Moraines. Parmi les spécialités de la maison, la cuvée « Les Moraines 2015 » est la plus représentative. Issu de vieilles vignes de gamay, ce vin dévoile un nez sur les petits fruits rouges et noirs bien mûrs. En bouche, on retrouve toute la puissance des arômes. Il accompagnera parfaitement différents plats comme le gibier au gratin de légumes mais aussi, par exemple, le fromage de chèvre. ...
Situé en plein cœur de Paris, dans le 20e arrondissement, le restaurant Abyssinia est une invitation à la découverte d’un pays envoûtant qu’est l’Éthiopie. Les gérants, chaleureux et toujours prêts à vous servir, vous invitent à partager des plats exotiques amoureusement mitonnés par Tesfaye Kidane. Pouvant accueillir quarante couverts, la salle est ornée de peintures et de masques africains. Dans des tons de marron et de blanc, elle offre un contraste parfait entre modernité et tradition. Masenqo, krar et kissar (des instruments de musique éthiopiens) peaufinent cette décoration atypique. Voyage hors frontière garanti ! Des plats hautement recommandés… Ici, tout le monde y trouve son compte. Les plats aux noms énigmatiques émerveilleront vos papilles. Les épices, une valeur sûre dans la cuisine éthiopienne, promettent saveur et authenticité. Vous pouvez avoir une confiance aveugle en l’équipe qui vous aiguillera dans vos choix. Parmi les suggestions avancées par la maison, figurent par exemple le samoussa ou l’azifa (purée de pois chiche) en entrée, le Key Wot (ragoût de bœuf) ou le dorowot (poulet mariné) en plat de résistance et le baklava éthiopien (une sorte de mille-feuille trempé dans du miel) en dessert. Veillez à bien vous nettoyer les mains avant, car « ici, on mange avec les doigts », précise Monsieur Kidane, le propriétaire. Le concept est simple et unique : chacun commande son plat puis le tout est rassemblé sur un grand plateau pour cinq personnes dans lequel tout le monde pioche ici et là pour goûter aux plats des autres. Des avis enthousiastes… La maison se préoccupe particulièrement de la satisfaction de ses clients. Ces derniers ressortent de l’établissement avec le sourire aux lèvres et des souvenirs plein la tête. Ceux qui sont déjà venus reviennent avec entrain et conseillent l’enseigne aux amateurs de gastronomie tropicale… « Dans notre restaurant, vous découvrirez un petit bout de l’Éthiopie », déclare notre interlocuteur. ...
Organisé par l’association Connaissance de la Meuse, le spectacle « Des flammes à la lumière » a été créé en 1996. Ce son et lumière est le plus grand spectacle d’Europe consacré à la Grande Guerre. Après la fin du centenaire, une édition 2019, enrichie de plusieurs nouveautés, est d’ores et déjà prévue. Un spectacle d’envergure Le spectacle évoque brillamment et avec beaucoup d’émotion la bataille de Verdun de 1916. Dans une carrière à ciel ouvert, le public assiste à l’affrontement entre, d’un côté, les combattants français et, de l’autre, les Allemands. Le scénario se construit autour des destins croisés de trois personnages : un Français, un Allemand et une Belge. Dans un souci de réalisme, les organisateurs se sont inspirés du théâtre et du cinéma avec des moyens techniques considérables : 3 puissants vidéoprojecteurs, 1 000 projecteurs, 8 points sonores, des effets spéciaux, des tableaux pyrotechniques, 900 costumes, etc. À l’occasion du centenaire de la Grande Guerre, de nouvelles scènes ont été créées. Parmi elles, le public a pu assister, par exemple, à la première bataille aérienne de l’Histoire, découvrir le quotidien dans une tranchée allemande ou encore assister à une fête foraine dans une ville d’arrière-front. Un finale entièrement modifié C’est certain, l’édition 2019 va apporter son lot de nouveautés. Ayant habitué le public par ses prouesses techniques, le spectacle réserve, cette fois encore, de belles surprises. De nouveaux effets de lumière et de nouvelles projections d’images, davantage de points sonores de diffusion, des bandes-sons retravaillées… Voilà un aperçu de ce qui attend les spectateurs pour la prochaine édition. Au niveau du show, deux tableaux supplémentaires viendront enrichir la représentation, avec comme thématique : « Un moment de détente au cantonnement » et « Le Soldat inconnu ». Mais la grande nouveauté va essentiellement se porter sur la fin du spectacle. « En 2019, nous souhaiterions marquer très fortement le public avec un finale entièrement modifié », précise Jean-Luc Demandre, président de l’association Connaissance de la Meuse, metteur en scène. Sans entrer dans les détails, il promet aux spectateurs un évènement riche en symboles. « À un moment donné, l’“Hymne à la joie”, de Beethoven, sera chanté pour évoquer la fraternité », nous souffle-t-il dans la confidence. Au-delà du centenaire La question de l’« après-centenaire » peut se poser dès aujourd’hui. Mais l’association Connaissance de la Meuse affiche clairement son optimisme. « Nous pensons que la ville de Verdun a une telle résonance exceptionnelle, universelle, que la bataille de 1916 va continuer, pour de longues années, à susciter l’intérêt des visiteurs », analyse Jean-Luc Demandre. Pour ce qui est du spectacle de son et lumière, celui-ci sera amené à évoluer comme cela a toujours été le cas depuis sa création. D’un ton confiant, le président de l’association souligne : « Les efforts que nous allons déployer en 2019 porteront leurs fruits même au-delà de 2020. » ...
Soucieux du futur de notre planète, Thomas Demerens et Vincent Boissard fondent, en septembre 2015, AURA (Agriculture Urbaine Responsable pour l’Avenir) dont le métier est d’installer des écosystèmes comestibles au sein des entreprises. Et d’amener la nature, le bien-être ainsi que le lien social dans les lieux de travail. L’aquaponie, une technique bimillénaire, retrouve son aura Pour réussir sa mission, AURA utilise l’aquaponie, une pratique développée par les Aztèques, il y a plus de 2000 ans. Comme son nom l’indique, cette technique allie l’aquaculture (élevage de poissons ou autres organismes aquatiques) et l’hydroponie (culture des plantes par de l'eau enrichie en matières minérales). Dans cet écosystème, les plantes absorbent les nutriments produits par les poissons et purifient l’eau. L’aquaponie présente plusieurs avantages, comme l’explique Thomas Demerens : « On économise beaucoup d’eau (environ 90% par rapport à un mode de culture classique en pleine terre) car elle circule en circuit fermé et est entièrement recyclée. En outre, elle permet la production de poissons comestibles et de végétaux bio durant toute l’année et s’adapte totalement aux limites et aux défauts de l’espace urbain, comme la pollution par exemple. Des produits parfaitement intégrés et un service complet et adapté Aura propose des produits alliant productivité, design et santé du vivant. En effet, ces écosystèmes comestibles prennent la forme de potagers aquatiques d’intérieur. Ils sont autonomes et silencieux. Leur design sobre et élégant leur permet de s’intégrer facilement à l’espace de travail. L’installation est simple, rapide, et entièrement prise en charge par l’équipe d’AURA. Cette dernière passe d’ailleurs deux fois par mois pour s’occuper des plantes et des poissons. Enfin, AURA créée également des temps d’échanges et de sensibilisation auprès des salariés des entreprises, comme la team building, ces ateliers servant à faire découvrir l’aquaponie et apprendre à en faire chez soi. ...
Fondée il y a 32 ans par Vincent Fonvieille, La Balaguère tire son nom d’un vent chaud venu d’Espagne voire de bien plus loin. Spécialiste de la randonnée dans les Pyrénées, le tour opérateur est très fortement engagé dans le développement durable de ce territoire. Acteur reconnu et impliqué, il intervient à différents niveaux de la vie locale et régionale. Tout d’abord, en tant qu’agent économique, car le tourisme développé est solidaire et concerne beaucoup d’autres acteurs tels que les accompagnateurs, les commerçants, les hébergeurs ou encore les transporteurs. Mais il remplit également un rôle d’animation, de formation, social, en participant à la vie locale, dans sa vallée, son département et surtout à l’échelle du massif pyrénéen. Le rôle majeur de La Balaguère dans les Pyrénées est surtout d’initier et de réaliser des projets, des regroupements, des événements, dont Eldorando, le festival International de la randonnée. Un engagement labellisé en faveur du tourisme responsable Membre fondateur d’"Agir pour un Tourisme Responsable" (ATR), La Balaguère a été la première entreprise à se mobiliser pour tenter d’obtenir ce nouveau label, ce qu’elle a brillamment réussi au début du mois de Mars 2016. Grâce à quatre engagements majeurs pris. En premier lieu, elle fournit au client une information claire et transparente, le sensibilise au tourisme responsable, (diffusion de la charte éthique du voyageur), l'informe sur le respect de l'environnement, du patrimoine, des cultures locales, et prend en compte ses observations à ce sujet. Ensuite, dans le pays de destination, la société a privilégié le recrutement local, formé et sensibilisé les équipes au tourisme responsable, s'engage envers les prestataires dans une relation durable, et soutient activement et financièrement le développement local. Le troisième point concerne les prestataires au niveau local : sur le plan social, La Balaguère respecte des conditions de travail correctes pour les employés, et met en place une politique de gestion des déchets et des ressources naturelles. Enfin, elle applique ces règles au sein même de l'entreprise, en formant le personnel au tourisme responsable, en manageant par la communication, en ayant un système de partage de la valeur ajoutée et en appliquant une politique de gestion environnementale. Une offre complète, variée et adaptée La Balaguère définit la qualité de son offre de randonnées par l’ancrage au territoire mais aussi par la découverte respectueuse à pied ou à vélo d’un massif ou d’un pays. Ainsi, le tour opérateur constitue des petits groupes de 5 à 15 personnes et a mis en place des guides locaux et une organisation locale dans chaque pays. En somme, des prestations et un service de qualité fournis en échange de prix justes, permettant une rémunération équitable de la chaîne des acteurs. Le service proposé par La Balaguère se distingue aussi par une forte tendance à l’innovation et à l’originalité. Notamment, en ralentissant la cadence de la marche et en donner du sens à l’itinérance. Fidèle à son ancrage, La Balaguère est fortement spécialisée sur le massif des Pyrénées, mais s’est aussi porté sur d’autres destinations de cœur sans logique précise, comme le Maroc, la Mauritanie, le Mali, l’ile de Madère, les Canaries, le Cap Vert, le Sri Lanka, le Liban, Jordanie, la Colombie, le Cambodge, l’Inde, le Népal, la Tanzanie, la Thailande ou encore le Vietnam. ...
Depuis 2006, ce domaine familial de quatre-vingt-dix hectares dont cinquante plantés est géré par les époux Georges et Corinne Leveilley Dadda dont la passion pour les vignes se reflète à travers la qualité de leurs vins. Un terroir favorable au développement des vignes Si les vins de Bordeaux connaissent un succès si spectaculaire dans le monde entier, c’est avant tout grâce à la combinaison de plusieurs facteurs plus que favorables à la viticulture. Installé à Civrac-en-Médoc, le Château de Panigon est en plein cœur de ce territoire et profite des largesses de Mère Nature pour obtenir des vins de grande qualité. En effet, le terroir argilo-calcaire recouvert de graves et de cailloux charriés par la Garonne est plus que propice au bon développement des vignes. « Le climat tempéré de la région permet aussi d’obtenir une maturité constante des raisins au fil des années et ainsi avoir des vins quasiment immuables en qualité » précise Georges Dadda. L’encépagement est composé de Merlot à 50%, de Cabernet Sauvignon à 45% et le reste en Petit Verdot. L’âge moyen des vignes quant à lui est de vingt-cinq ans. Entre tradition et modernité Toutefois, avoir des conditions aussi favorables soient-elles ne suffit pas pour autant à garantir au final la qualité des vins. Il est également important d’appliquer les bonnes techniques de vinification. Et c’est justement ce que Georges et Corinne s’évertuent à faire depuis qu’ils sont à la tête de l’exploitation. « À ce niveau, nous adoptons des méthodes modernes tout en respectant les traditions médocaines » note Georges. Les traitements sont menés toujours selon l’état sanitaire des parcelles, la fertilisation n’est jamais systématique et le désherbage est mécanique. Toutes les cuvées y sont élevées douze à dix-huit mois en barriques de chêne français avant d’être embouteillées. L’élégance pour le Château Panigon Cette cuvée, issue de l’assemblage des trois cépages du domaine et fermentée en cuves inox thermo-régulées, est produite à cent-soixante-seize-mille bouteilles en moyenne par an. D’une robe rouge grenat, elle marie harmonieusement des arômes de fruits rouges (mûres et cassis) et des fines nuances toastées au nez. En bouche, elle dévoile du gras et des tanins mûrs avec une longue finale donnant sur du fruité. Viandes rouges grillées, carré d’agneau et magret de canard sont les plats parfaits pour dévoiler tout son potentiel. La passion pour le Château Amour Vin d’assemblage entre le Merlot et le Cabernet Sauvignon en parts égales, le Château Amour présente une robe pourpre qui laisse présager de sa qualité. Au nez, il est délicatement parfumé aux olives noires de par la présence du Cabernet Sauvignon. Le vin est doux, aérien et juteux aux notes de pâtisserie en bouche. Cette cuvée s’accorde avec des fromages puissants, une poularde aux cèpes ou un carré d’agneau tout simplement grillé. En moyenne, le domaine en produit dans les cent-quatre-vingt-mille bouteilles par an. ...
En quoi le « basculement » d’un ado atteint de maladie rare de la médecine pédiatrique vers la médecine adulte peut-il se révéler compliqué ? Et pourquoi cette phase doit-elle faire l’objet de toutes les attentions ? La plupart des maladies rares sont des maladies chroniques. C’est à dire que ce sont des pathologies qui s’inscrivent dans la durée et nécessitent une prise en charge spécifique. Les diagnostics sont souvent posés dans l’enfance, voire même dès la naissance du patient. L’espérance de vie des malades atteints d’une pathologie rare progressant considérablement, beaucoup d’entre eux atteignent l’âge adulte. Or, pour nos confrères en médecine dite adulte, ce sont autant de patients qu’ils devront prendre en charge mais dont ils ne connaissent parfois pas - ou peu - la pathologie… De plus, les maladies rares nécessitent parfois une prise en charge multiple. Plusieurs intervenants sont alors impliqués. Et ce sont alors autant de parcours de transitions qui devront être orchestrés avant que le patient ne quitte le service pédiatrique pour rejoindre le service adulte. Pour toutes ces raisons, dans le domaine des maladies rares, la transition « enfant-adulte » est très souvent kaléidoscopique. D'où l’importance qu’un médecin, à la manière d’un chef d’orchestre, coordonne la phase de transition. Qu’en est-il des patients ? Parce qu’ils y ont passé beaucoup de temps, la plupart de nos jeunes patients considèrent le service pédiatrique comme leur deuxième maison. Ils y sont très attachés. Et beaucoup d’entre eux éprouvent une certaine appréhension à l’idée de devoir quitter l’unité pédiatrique pour être suivis en médecine d’adultes. Mais ce « transfert » est également une source de stress pour les parents. En effet, ceux-ci vont devoir gérer de multiples transitions qui vont bien généralement coïncider les unes avec les autres : leur enfant va non seulement passer en médecine adulte mais il va aussi passer son Bac, son permis de conduire, peut-être déménager dans le cadre d’éventuelles études supérieures, s’installer en couple, etc. Pour que le « basculement » que vous évoquiez précédemment se fasse en douceur et dans les meilleurs conditions, il est essentiel qu’il ait été anticipé et que la phase de transition ait fait l’objet d’une coordination sans faille. Le transfert du patient, c’est à dire le passage de relais entre les médecins pédiatres et leurs collègues « adultes », ne se fait pas du jour au lendemain mais de façon progressive. C’est ce que l’on appelle le processus de « transition » qui débute en pédiatrie pour se poursuivre en médecine d’adultes, bien après le transfert et cela afin de consolider ce dernier.Quels sont les risques, pour le patient, d’une éventuelle rupture du parcours de soins ? La rupture du parcours de soins peut s’accompagner de complications aigües, d’hospitalisations en urgence, voire d’une surmortalité… Il peut arriver qu’un adolescent ou qu’un jeune adulte échappe au parcours de soins et se retrouve aux urgences pour des complications aigües, voire mortelles, alors que son hospitalisation aurait tout à fait pu être évitée. En effet, cela peut s’accompagner de séquelles potentielles : perte de fonction d’un organe, d’un rein, de l’usage d’un membre… Il n’est d’ailleurs pas rare que des patients qui, plus jeunes, avaient échappé à leur parcours de soins, le regrettent amèrement, des années après. Ces séquelles sont d’autant plus dures à vivre pour nos jeunes patents que ce qu’ils désirent plus que tout, c’est d’être « comme les autres » et de mener une vie normale : travailler, payer des impôts, tomber amoureux, etc. La prise en charge doit-elle aussi consister à aider les jeunes patients à se construire un projet de vie d’adulte ? À s’autonomiser ? Bien sûr. La transition doit intégrer non seulement le parcours de soins et de santé mais aussi tous les éléments pouvant contribuer au bien-être du patient et de son entourage : scolarité, orientation professionnelle, vie relationnelle, amoureuse, projets d’avenir, etc. C’est une dimension qui passe au premier plan durant l’adolescence. Nos jeunes patients veulent évidemment qu’on les soigne mais également qu’on les aide à s’occuper de leur vie quotidienne, qu’on les écoute, qu’on réponde à leurs interrogations, qu’on les rassure, qu’on les valorise… Ces besoins spécifiques, liés à l’adolescence du patient nous obligent, nous médecins, à parfois lâcher un peu de lest. À sortir du côté strict du médecin qui se limiterait à soigner son patient. L’adolescence est une période difficile. En quoi peut-elle l’être encore davantage pour les jeunes qui sont atteints d’une maladie rare ? Souvent, mes jeunes patients me disent qu’ils veulent être comme les autres jeunes de leur âge. Sans aucun traitement de faveur. Quant aux questions qu’ils se posent, ce sont les mêmes que celles qui agitent tous les ados : est-ce que je peux plaire à quelqu’un ? Quel métier est-ce que je vais faire ? Même si d’autres interrogations, en lien avec leu...
Situé rue de l’Ale, un lieu foisonnant de commerces et de restaurants dans le centre-ville de Lausanne, en Suisse, le restaurant L’Orchidée est une adresse incontournable pour les amateurs de cuisine asiatique depuis son ouverture en 1999. Entre une flânerie au cœur de la Cité, où règne la majestueuse cathédrale de Lausanne, et une balade aux Escaliers du marché, l'un des endroits mythiques de la ville suisse, faire une pause gourmande au sein de cet établissement de type brasserie n’est pas de refus. Fondues et spécialités vietnamiennes au menu Si le restaurant de Bao Dang est populaire pour ses soupes vietnamiennes, ses autres spécialités asiatiques comme le canard laqué, la fondue chinoise ou encore les salades de vermicelle sont aussi énormément prisées par ses convives. Sa fondue thaïe à volonté, le fondateur de L’Orchidée nous la décrit comme étant « un bouillon Tom Yam, qui est un bouillon à base à citronnelle, avec des herbes aromatiques, des racines de galanga et un peu de basilic, et que l’on sert avec des vermicelles et des viandes ». Riz, charbonnade, potages, nouilles, raviolis, salades, spécialités au poulet, au porc, aux crevettes, au bœuf, au canard et au poisson font également partie de la carte. Les plats proposés dans la sélection « Délices du Mékong », de leur côté, font voyager les sens avec leurs saveurs du Vietnam. Chez L’Orchidée, on n’oublie pas non plus les tofus et les plats à base de légumes qui font le bonheur des papilles végétariennes. Une ambiance tout simplement « sympa » Selon le propriétaire, ce qui séduit à L’Orchidée, « c’est son atmosphère chaleureuse qui réveille l’appétit, son cadre sympa, accueillant, mais aussi évidemment la bonne cuisine », avant de préciser que son restaurant, qui comprend également une terrasse, s’inscrit globalement « dans un style sobre, avec des boiseries comme éléments de décor ». Le cadre convient autant pour un déjeuner entre collègues, un dîner en amoureux, ou un repas entre amis. La clientèle du restaurant est toute aussi éclectique et se compose autant de jeunes adultes que de seniors. Une équipe de passionnés Aux fourneaux, cinq cuisiniers s’attellent à préparer les plats traditionnels du Vietnam. Le chef, lui, est au service de l’établissement depuis une dizaine d’années. Pour ceux qui souhaitent mieux savourer leurs repas accompagnés de bons crus, la carte des vins privilégie les vins locaux avec une prédilection pour les cépages classiques comme le pinot noir et le merlot. On y trouve essentiellement des marques bordelaises, vaudoises et suisses. ...
Implantée à 5 km de Louhans (Saône-et-Loire), La Grange Rouge réunit, depuis plus de 30 ans, bénévoles, artistes et publics de tous âges autour d’un projet culturel reposant essentiellement sur l’échange et la rencontre. Elle s’établit sur 5 hectares de prairie et compte des bâtiments à l’architecture traditionnelle (ferme du XVIIème siècle). La Grange Rouge et sa programmation L’association propose de multiples activités axées sur la valorisation du patrimoine local. A l’exemple des ateliers et stages au cours desquels le public s’initie à l’artisanat, la musique ou encore la gastronomie bressanne. A côté de cela, l’association organise régulièrement une programmation culturelle marquée par deux grands évènements : les quatre marchés aux Puces et les Festivals. Parmi les rendez-vous à ne pas manquer le « Festival des Saveurs » est incontournable et reste un évènement important qui reflète bien les missions de l’association. Tous les deux ans, il réunit les amoureux des produits du terroir et de la gastronomie locale. C’est l’occasion également pour les curieux de passage d’apprécier tout le savoir-faire des artisans bressans. En attendant la prochaine édition, la Grange Rouge invite une fois par mois petits et grands dans son Petit Théâtre. Le temps d’un soir, la petite salle s’anime en accueillant des spectacles de danse, de musique, de théâtre, d’humour ou encore de cirque. Un programme éclectique à découvrir d’Octobre à Mai ! En vue de soutenir ses activités, la Grange Rouge procède à la location de ses bâtiments, Hutau, gîte de groupe (39 couchages), ainsi que son théâtre de verdure. A noter que Le Petit-théâtre et le chapiteau sont également disponibles à la location. ...
Renouer avec le travail de la vigne L’histoire du domaine remonte au milieu du XVIIe siècle. « Dans le village, il y a toujours eu dans la famille un producteur de vin », explique la jeune chef d’exploitation avant d’ajouter en souriant : « Avant mon arrivée, c’était une transmission classique, de père en fils, mais les choses changent maintenant… » Jusqu’à récemment, la famille Martin, comme beaucoup de producteurs de cette époque, variait son activité agricole en produisant des céréales et en élevant un petit cheptel d’animaux. C’est le père de Cécile Lorentz qui a orienté la maison en la spécialisant dans le vin et dans sa commercialisation. Tombée dedans depuis toute petite, Cécile s’intéresse à la vigne mais aussi à la vinification. Après quelques années d’études dans le domaine de l’œnologie à Beaune, elle reprend le domaine de 10 hectares qui a pour particularité d’avoir toutes ses vignes à moins de 900 mètres de la cuvée. Très attachée à ses racines, elle revendique son appartenance à Wangen, ce vieux village fortifié délicatement posé sur la route des vins d’Alsace, dont le sous-sol marno-calcaire est propice à l’implantation de la vigne. Une petite production pour le plus grand plaisir des connaisseurs Si la production est confidentielle, on ne compte par exemple que 4 000 bouteilles de crémants, elle affiche un profil aromatique étonnant. On compte, par exemple, parmi les longs cols de la maison une cuvée d’exception Riesling 2015 qui est atypique à souhait. « Au moment de la vendange du riesling, on s’est retrouvés avec des raisins très sucrés. L’A.O.C Alsace imposant un riesling en vin sec, on ne peut pas vraiment l’appeler riesling. On a dû trouver une solution. » Dans cette cuvée rare, Cécile Lorentz a réussi à allier le côté mielleux aux notes sucrées et une touche d’agrumes des raisins de cette récolte avec la rigidité sèche caractéristique du cépage. En bouche, il se confond presque avec une vendange tardive, en faisant un vin parfait pour l’apéritif ou au moment du dessert. ...
Tous les amateurs de champagnes connaissent la qualité des références de la famille Chapuy. Champagne Chapuy : une histoire familiale avant tout C’est en 1952 que la marque Chapuy fut créée par Serge Chapuy. Puis, son fils Arnold reprit la propriété en 1981 et, aujourd’hui, ce sont ses filles qui sont en charge de l’exploitation. À savoir : c’est sous l’impulsion de ces deux sœurs que le grand chantier de certification HVE 3 (obtenu en 2019) fut entrepris. Cela prouve que la notion de terroir reste un point important pour la famille. D’ailleurs, le travail est réalisé avec une jument sur certaines parcelles. ...
Tous les chocolats de la Maison Dalloyau sont fabriqués à partir de Criollo, de Forastero ou de Trinitario. Ces grands crus sont finement sélectionnés et importés du Venezuela, de l’Équateur, de Madagascar ou encore de la Côte d’Ivoire. Du sur-mesure Pour l’Opéra et tous les enrobages noirs de ses bonbons de chocolat, Dalloyau utilise une couverture sur mesure, créée en exclusivité pour la Maison : le TANNEA® 72. Réalisé à partir de cacao à 72 % et de beurre de cacao à 42 % pure origine Madagascar, ce chocolat développe des notes fraiches et fruitées. Ses arômes, marqués d’agrumes, sont présents dès l’attaque en bouche avec une mise en avant de saveurs citronnées. Le savoir-faire des maitres chocolatiers Ganaches de pure origine et matières premières d’exception choisies pour leurs saveurs naturelles et intenses : les bonbons de chocolat Dalloyau sont réalisés par les maitres chocolatiers selon des techniques artisanales et des gestes précis. Gianduja, Praliné craquant, Rocher lait praliné, Irrésistible caramel lait, Infiniment lacté, Carré d’épices, Lait de vanille, Cœur de fruits, Pralinas, Rocher noir praliné, Irrésistible caramel noir, Infiniment chocolaté, Intense 80 %, Fleur de jasmin, Mogador, Lady Grey… Rien que leurs noms mettent l’eau à la bouche ! Plaisir au quotidien et grandes occasions La Maison Dalloyau propose des écrins carrés avec des assortiments de 25 à 144 bonbons en chocolat à offrir ou à s’offrir. Les tablettes au chocolat au lait ou au chocolat noir préparées à partir de chocolat pure origine Madagascar, agrémentées de noisettes entières, d’amandes entières, de fruits secs, d’oranges confites, de cacahuètes salées ou de céréales croustillantes, sont parfaites pour se faire plaisir au quotidien. Les bouchées triples (Rocher noir, Rocher lait, Infiniment noir ou Infiniment lait) font chavirer les plus gourmands. Quant aux truffes, elles sont exceptionnellement fondantes en bouche. Pour les grandes occasions, la Dentelle de chocolat est mise à l’honneur. Chaque pièce, réalisée avec du chocolat noir 100 % pure origine Madagascar (boite, œuf de Pâques, bûche), est unique. Des pâtisseries intensément cacaotées Côté pâtisseries, l’indétrônable Opéra, créé en 1955 par Cyriaque Gavillon, contribue à la réputation de la Maison. Sa ganache au chocolat mariée à une crème au café, posée sur un biscuit Joconde, continue à séduire de nombreux palais. L’amusant Échiquier émoustille les papilles des gourmands avec ses 3 chocolats. Quant à la Religieuse de rêve®, élaborée dans un moule unique qui a nécessité de la part des chefs 9 mois de recherche, elle ravit 6 à 8 convives avec sa crème légère et fondante, intensément cacaotée. Une production artisanale Tous les produits sont fabriqués de façon artisanale dans l’unité de production située en région parisienne. Ils sont exclusivement vendus dans les 39 boutiques de la marque (11 en France, 21 au Japon, 3 à Dubaï, 2 en Azerbaïdjan, 2 à Hong Kong) et sur Internet. En 2016, le Guide des croqueurs de chocolat a décerné pour la deuxième année consécutive la distinction de « Tablette d’or » à la Maison Dalloyau. ...
Si vous aimez la chaleur conviviale des bistrots de quartier, ceux où l’on sert une cuisine authentique et amoureuse des traditions, le Café des Négociants, situé dans un décor enchanteur à Carouge (jouxtant Genève) est l’adresse parfaite pour vous. Le plus grand plaisir de Philippe Chevrier, chef doublement étoilé qui a repris l’établissement en 2009 est d'y régaler les gourmands avec les plats et les spécialités de son terroir : celui de la Suisse. Le charme à l’ancienne de Carouge Situé 29 rue de la filature, le Café des Négociants vit au rythme de de Carouge, une charmante commune jouxtant Genève qui vous fera chavirer. Carouge c’est avant tout son vieux centre, un véritable petit village bohème dans la ville. Reconnu pour son esprit festif, le quartier offre une architecture plus méditerranéenne que Suisse invitant a flâner au creux des arcades commerçantes, du marché, des échoppes d’artisans. Souvent décrite comme un vent d’Italie a quelques pas de Genève, elle est aussi le cœur culinaire qui appelle toutes les papilles des gourmands. On s’y déplace notamment pour goûter la fameuse entrecôte carougeoise relevée par des sauces morilles, béarnaise ou trois poivres. Celle que le chef cuisinier Romain Loiseau, concocte avec amour dans les cuisines du café des Négociants. Dans cet antre du terroir, on renoue avec la définition romantique et authentique du bistrot de quartier tout en restant sobre. L’idée ? On doit savoir accueillir tout autant que cuisiner. Le café des Négociants est d’ailleurs le plus vieux bistrot du coin. Chaises et tables en bois massif, parquet, mobilier typique et éclairage chaleureux au bar sont de mises. L’ambiance est décontractée et le pédant n’a pas sa place ici. Tous les ingrédients sont là pour tutoyer la simplicité avec classe. Au zinc d’époque s’harmonise alors parfaitement le style épuré de la maison. Quant aux vieilles affiches publicitaires qui peuplent les murs, elles subliment délicieusement cette atmosphère intemporelle qui séduit tant les coureurs de bistrot. Plats généreux, terroir à l’honneur La bonne nouvelle c’est que les assiettes de ce foyer chaleureux sont à la hauteur de son décor. Ici, le produit frais, qui vient souvent du marché est sacré. Les plats canailles et les grands classiques du bistrot vous attendent. En entrée, l’ardoise promet des saveurs alléchantes avec la cassolette d’escargots, le pâté en croûte de volaille fermière aux morilles, la salade du marché ou le marbré de foie gras de canard et sa queue de bœuf au vin rouge. Côté plat, on apprécie les jolies pièces de viandes locales, comme la côte de veau aux petits oignons et a la sauge et les joues de cochon braisées. Mousseline de pommes de terre, frites moelleuses et légumes de saison, viandes mais aussi poissons…Autant de recettes estampillées Négociants et qui à Lyon s’appellerait « bouchon ». L’entrecôte, les cuisses de grenouilles poêlées, les Noix de Saint Jacques rôties signent les grands classiques de la maison. Pour terminer le repas, une belle sélection de sucré est à l'honneur avec une dizaine de desserts à la carte parmi lesquels, le baba au rhum, la tarte renversée aux pommes ou la mousse au chocolat pur Venezuela. A l’image de son créateur, le chef étoilé Philippe Chevrier qui explore l’alchimie de la gastronomie et du terroir, le Café des Négociants propose une cuisine sincère, sans demi-mesure et surtout sans chichis. ...
Située à l’angle de la rue Balzac et de la rue Mazerolles, La Gerbe d’Or est un endroit emblématique de Loches depuis maintenant près d’un siècle. Repris par Hélène et Didier Harbonnier en août 2014, le restaurant est aujourd’hui un lieu de rendez-vous incontournable des Lochois et des touristes en quête d’un moment agréable autour d’une bonne table. Une ambiance conviviale et chaleureuse En trois espaces, La Gerbe d’Or conjugue à la perfection le raffinement et la simplicité. Avec une prédominance du bois, la décoration est à la fois épurée et élégante. Dès la porte franchie, la première salle aux couleurs sobres séduit par la sensation de douceur qu’elle dégage. De l’autre côté, la grande salle charme avec son imposante cheminée qui apporte du romantisme au lieu. À l’étage, un salon offre un moment beaucoup plus intimiste et cosy pour 20 couverts. Dans chaque espace, de magnifiques tableaux signés par des artistes de la région viennent orner les murs en parfaite harmonie avec l’endroit. Durant les beaux jours, les convives peuvent aussi se restaurer, à l’ombre des glycines, sur la terrasse joliment agencée. Une cuisine traditionnelle La Gerbe d’Or propose une cuisine traditionnelle et raffinée. Avec une touche de modernité et un brin d’exotisme, le chef Gérard Guignard réalise un mélange dosé de saveurs et de textures, sans pour autant dénaturer le produit principal. À base de produits frais issus du terroir, tous les plats sont labellisés « faits maison ». Au gré des saisons, la carte se décline en plusieurs plats, dont les plus prisés sont la succulente tartine tiède d’oignons confits au chinon et jambon de pays, le fameux haddock poché au lait aux pommes anglaises accompagné par un crémeux d’échalotes au muscadet ou encore le délicieux suprême de volaille de Racan farci au foie gras et son ragout de légumes de saison. Pour plus de surprises, les convives peuvent aussi opter pour le menu du jour. Affiché à l’ardoise, il est renouvelé au quotidien selon la disponibilité des produits sur le marché et propose une entrée, un plat et un dessert. En semaine, ce menu est à 13,90 € et le weekend à 15,90 €. Un verre de vin est offert tous les midis pour accompagner le repas, sauf le dimanche. Par ailleurs, le restaurant propose aussi deux autres menus renouvelés au fil des saisons : le menu Gourmand et le menu Mélodie qui proposent trois entrées, trois plats et trois desserts au choix. Ces menus mettent à l’honneur des composantes locales pour un grand moment de plaisir gustatif. Le petit plus Pour accompagner dignement cette expérience culinaire, quoi de mieux qu’un bon vin ! En la matière, La Gerbe d’Or possède une riche collection dans sa cave, qui met à l’honneur le terroir viticole du Val-de-Loire et tout particulièrement des vins issus de la biodynamie. L’occasion pour les convives de déguster d’excellents vins en accord avec les plats proposés. Cependant, même si les vins originaires du Val-de-Loire occupent presque 90 % de la cave, quelques régions viennent compléter la sélection, avec, notamment, les Bordeaux, les Côtes- du-Rhône, les Bourgognes et d’autres bonnes surprises. Le tout est servi par un personnel de professionnel aussi sympathique que réactif. ...
Après une carrière dans le milieu commercial, Anne-Laure Grasso est à un tournant de sa vie et décide qu’il est temps de changer de vocation. Son background lui a permis d’accroître ses facultés d’écoute, son empathie ainsi que ses aptitudes à créer des liens. Elle choisit alors de mettre à profit toutes ses qualités en s’intéressant à la psychologie systémique et intégrative. Rapidement, elle suit d’innombrables formations notamment dans le domaine de la psychothérapie, ce qui lui permet aujourd’hui d’aider ses patients à venir à bout d’obstacles spécifiques, à explorer en profondeur leur véritable nature et à atteindre leurs objectifs personnels. Une démarche dédiée aux enfants « Hauts potentiels » La notion « haut potentiel » désigne un enfant qui possède un développement intellectuel supérieur par rapport à son âge. En plus de disposer d’un autre système de pensée souvent en arborescence, il a une perception, un mode raisonnement ainsi qu’une analyse de l’environnement différents. À ces aptitudes intellectuelles exceptionnelles s’ajoutent une hypersensibilité, un sens accru de la justice, de l’empathie et de la lucidité. Cette intelligence hors normes est perçue comme un cadeau. Son intensité et son ampleur finissent pourtant par avoir un impact sur l’enfant en freinant l’intégration dans la société, en envahissant le champ de la pensée et en entraînant finalement des souffrances. À cause de leurs amplitudes émotionnelles plus importantes que les autres, ils sont sujets à des crises émotionnelles : peur, colère, tristesse, mépris, etc. D’où l’importance de leur offrir un accompagnement adapté pour les soutenir dans la gestion de leurs émotions. Une mission dont s’investit Anne-Laure Grasso depuis maintenant plusieurs années. La thérapeute tend la main aux enfants précoces et hypersensibles subissant un manque de confiance en eux, de l’anxiété, une exclusion sociale ou en échec scolaire. « Par ma formation systémique, je travaille toujours en étroite collaboration avec les parents. Pour aider un jeune, je dois avoir une compréhension globale des systèmes et sous-systèmes dans lesquels il vit. Tenir compte de ce contexte permet de faire des liens et aboutit à des évolutions majeures », nous confie la thérapeute. Des outils thérapeutiques adaptés aux besoins de chacun Coaching, approche systémique, PNL, art thérapie… Anne-Laure Grasso maîtrise de nombreux outils sélectionnés essentiellement en fonction des besoins de l’enfant et de l’objectif défini à atteindre. L’art thérapie s’inscrit entre autres comme l’une de ses spécialités et consiste à éveiller le potentiel d’expression artistique et de créativité pour des fins thérapeutiques. La peinture, le dessin, la sculpture et la pâte à modeler sont quelques exemples des médias utilisés et très appréciés des jeunes pour leur caractère spontané et ludique. « Cette méthode me permet de demander aux enfants de dessiner par exemple ce qui se passe dans leur cœur et de mieux comprendre leur état émotionnel… Je leur demande de parler à leurs émotions. Ils créent un personnage et se familiarisent avec cet objet transitionnel », déclare notre interlocutrice. Au cours de la démarche, les parents jouent un rôle essentiel dans leur posture et écoute empathique.Ils font partie intégrante de la solution. Pour son travail, Anne-Laure Grasso propose un accompagnement individuel ou des ateliers de groupe accueillant au maximum 6 participants. La thérapie s’articule autour de différentes thématiques. L’atelier « Bulle d’imagination » va par exemple travailler sur le développement de l’imaginaire pour prendre conscience de sa force intérieure tandis que l’atelier « La magie est en moi » met en lumière chaque potentiel pour améliorer et développer la capacité des enfants à réussir. ...
Au départ de Dierre, entre les châteaux d'Amboise et de Chenonceaux, les possibilités de voyages sont multiples, adaptées à toutes vos envies. Votre « Deuche », comme on dit, est l'unique voiture qui vous offre le privilège des itinéraires hors des sentiers battus. 2CV Légende Organisation propose plusieurs circuits au choix : rallye touristique pour le plaisir de la découverte le long de la route, ou chasse au trésor parsemée d'énigmes pour un double concentré de sensations. En famille ou entre amis, la 2CV autorise beaucoup de fantaisies ! Une belle expérience à vivre Vous serez accueillis sur une plate-forme de 2 ha avec 150 m² de barnum de réception, parking privé adossé à la forêt d'Amboise... Alors, le spectacle des véhicules alignés sous leurs plus beaux atours s'offre à vos yeux ébahis. Les regards s'emplissent déjà des images de l'enfance alors que les organisateurs vous présentent les vedettes de la journée : Joséphine, Patagonia… rouge, blanche, bleue, bariolée… Laquelle de ces belles, parmi les trente de la flotte, allez-vous conduire ? Allez-vous vous laisser surprendre par cette petite française dénuée de tout artifice ? Assis derrière le volant ou sur la banquette arrière, on ressent la suspension moelleuse du temps qui s'arrête. Déjà, autour du café d'accueil, lors des consignes de conduite, les souvenirs s'échangent. La marque de fabrique de 2CV Légende Organisation, c'est de vous faire ouvrir les portes des parcs et les cours de châteaux, traverser le cœur des vignobles sur de petits chemins. Compétent et souriant, le personnel encadrant se fait discret mais il est toujours disponible pour expliquer, distiller histoires et anecdotes. Le Val de Loire offre aux visiteurs un patrimoine façonné par le temps, la nature et les hommes. Des courbes des fleuves et rivières à ses coteaux où se nichent les habitations troglodytes, des vestiges gallo-romains aux châteaux de la Renaissance, on y croise François 1er, Diane de Poitiers, Léonard de Vinci… L'émerveillement est permanent lors de ces parcours parsemés de petites pépites que la 2CV permet d'apprécier tout particulièrement. ...
La Poudrière sort de terre début 2015, au terme de 2 ans de travaux. Sa cave à manger promet une ambiance conviviale autour de plats à base de produits frais. Sa décoration sobre et dépaysante est une véritable invitation à table. Une cuisine de convivialité La Poudrière mise par-dessus tout sur une bonne sélection de produits pour donner entière satisfaction à ses convives. Entièrement faits maison, les plats sont concoctés avec des ingrédients issus notamment de la pêche et de l’agriculture durable. Pierre Chartron et Fabrice Mury travaillent d’ailleurs en étroite collaboration avec des producteurs locaux avec l’ambition de revoir quotidiennement leurs cartes en fonction des arrivages. Au sein de ce cocon bucolique, la planche charcuterie-fromages composée de speck fumé au foin et de bœuf séché aux épices fait le bonheur des foodies. Sinon, pour se délecter pleinement du savoir-faire de La Poudrière, il suffit de choisir du boudin noir comme entrée, une truite des Pyrénées en guise de plat et un sablé au sarrasin pour le dessert. Pour accompagner les mets, la cave est riche de quelque 500 références de vins bio et nature. Sur ce point, la maison s’appuie sur l’expérience de Fabrice Mury dans le choix des meilleurs accords qui viendront sublimer le repas. Une source de produits frais à venir La Poudrière est en train de mettre en place un potager, sur lequel Fabrice et Pierre aspirent à puiser une grande partie des produits d’approvisionnement de la cuisine, à savoir des légumes, des fruits, des plantes et fleurs aromatiques ainsi que des salades. Le projet est déjà en cours, grâce à une opération de financement participatif menée en juillet 2016. ...
Cette maison de maitre au style néoclassique attire irrémédiablement l’attention. Ancienne résidence de nombreuses familles dont l’histoire est liée à celle de Strasbourg, la villa Kayserguet prend un coup de jeune lorsqu’elle commence à abriter le Lieu d’Europe et se pare d’un espace vitré donnant sur le parc. Lieu d’Europe (Strasbourg) : un centre de partages et de rencontres sur l'importance des institutions européennes... À l’intérieur, la visite débute par l’exposition permanente qui « veut montrer le lien très fort entre la ville de Strasbourg, ville aux origines européennes anciennes, et la construction européenne », explique Anne Billaut, directrice. Dans la partie historique, elle déroule la construction chronologique des institutions européennes en démarrant avec le Conseil de l’Europe qui voit le jour en 1949. « Fait intéressant : ce sont les Anglais qui ont suggéré que Strasbourg soit la ville siège de cette organisation intergouvernementale européenne », souligne Anne Billaut. Cette première pierre angulaire a permis ensuite à Strasbourg d’accueillir les autres institutions. À l’étage, les visiteurs ont accès à un centre de ressources et d’informations sur les institutions européennes. « Documents et brochures en plusieurs langues sont en libre service. Une documentaliste est également présente et guide les visiteurs dans leurs recherches », indique la directrice de l’établissement. Lieu de débats, d’échanges, de partages et de rencontres, le Lieu d’Europe est également doté, au premier étage, d’une salle de réunion et de projection baptisée « Daniel Riot », en hommage à ce journaliste français spécialiste de l’Union européenne. ...
Sise à Dangeau, dans le Perche-Gouët, cette ancienne halte pour pèlerins est installée dans une seigneurie du XIIIe siècle, une découverte où vous attendent de belles associations de couleurs et de saveurs gourmandes. À travers une cuisine française traditionnelle qui plait, faite de savoureuses recettes inventives et personnalisées, le Relais de poste Saint-Jacques surprend et séduit en misant sur la générosité et le gout. C’est une bonne adresse gastronomique qu’on recommanderait à nos familles et à nos proches, particulièrement adaptée aux repas festifs. Comme le précise le chef et propriétaire François Morgillo, saucier incontestable, « rien ne part nature, tout est accompagné d’une petite sauce ». Et c’est d’ailleurs ce qui fait la particularité de cet établissement chargé d’Histoire et au cadre d’époque, où la noblesse de la cuisine traditionnelle est mise à l’honneur. Une farandole de saveurs Laissez-vous surprendre par un plat de ses inventions : le poulet à la Dangeautine, un poulet fermier mariné dans du cidre avec des raisins secs. La région du Perche n’a rien à voir avec une région comme le Périgord ou la région lyonnaise, « il n’y a pas de terroir alimentaire, mais il existe plutôt un terroir d’élevage, de culture maraichère et de petit élevage », reconnait François Morgillo, avec, bien sûr, « du poulet local et de la viande de bœuf locale en vente directe ». Le filet est cependant acheté à d’autres abattoirs et bouchers spécialisés. Détente percheronne est un menu à 34 € hors boissons, comportant 4 entrées au choix, 4 plats au poisson au choix, des légumes de saison frais et assortis, auxquels viennent s’ajouter un plateau de 4 ou 5 sortes de fromages locaux de chèvre et de vaches ainsi que 5 ou 6 desserts au choix. Quant au menu du Vidame, il est proposé à 49 € du fait du prix de revient beaucoup plus élevé des produits qui le composent (filet, au lieu de faux-filet entre autres). Son magret de canard en délice du Perche est, par exemple, une belle découverte à ne pas rater. Les plats changent suivant les aspirations du moment. ...
C’est dans un nouveau décor sobre, mais chaleureux que s’inscrit la nouvelle destinée de l’hôtel-restaurant. Derrière la façade de pierres apparentes ancestrales émerge un intérieur cosy et contemporain. Entièrement rénovés, les lieux révèlent une décoration épurée et un brin vintage, teintée d’une inspiration italienne. Cet ancien refuge pour cavaliers et conducteurs d’attelage est maintenant un endroit incontournable pour une pause gourmande dans une atmosphère détendue. Bienvenue dans la Maison Zugno ! La cuisine de terroir avant tout La cuisine bistronomique du nouveau restaurant s’avère être un régal pour les yeux et les papilles. Une particularité qui a permis à la maison d’être classée parmi les meilleurs restaurants de sa région par certains guides comme Tripadvisor. Le chef Emmanuel Bouclans travaille uniquement des produits de saison et des produits frais 100% français dont certains sont récoltés directement chez les agriculteurs locaux. Grâce à son savoir-faire, il choisit avec minutie les ingrédients qui composeront ses prochaines créations culinaires et qui seront destinés à ravir les palais de ses convives. Les saveurs subtiles et maîtrisées émanant de chaque assiette sont sa seule priorité « bien qu’il porte aussi une attention accrue à la présentation à la fois soignée et très moderne », nous fait savoir Nicolas Zugno, propriétaire des lieux. Un mariage réussi des mets et des vins Au gré des saisons et suivant l’instinct créatif du chef, la carte est renouvelée tous les mois. Cependant, il existe quelques incontournables dont le plat signature est une poitrine de cochon laquée aux épices douces accompagnée d'un écrasé de pommes de terre maison et ses petits légumes. Quant aux desserts ceux-ci seront mis en valeur grâce au nouveau pâtisser de la Maison Zugno, Quentin Defert. En résumé, « La cuisson bien exécutée, autant que l’équilibre parfait des ingrédients, constituent nos signatures », déclare Nicolas. Côté vin, une liste éclectique qui vous fait balader dans les plus grandes régions viticoles du pays. Parmi les références qui fonctionnent le mieux figurent les vins de la Maison Bouchard ou ceux du Domaine Chapoutier. ...
Dirigé par deux femmes, Sandrine Delannoy et Catherine Lauriot, le restaurant La Table de Chapaize s’est fait connaitre pour sa cuisine moderne et savoureuse. Sandrine, en salle, et Catherine, en cuisine, ont mis en commun leur savoir-faire et leurs compétences dans ce bel établissement situé au pied de l’église romane de Chapaize, un trésor architectural datant de la première moitié du XIe siècle. Un cadre cosy Dirigée autrefois par Gilles Bérard, un chef de renom, La Table de Chapaize a désormais à sa tête Catherine et Sandrine, qui ont inauguré les lieux en juillet 2013. Dès l’acquisition, les nouvelles propriétaires n’ont pas tardé à transformer l’établissement à leur image. La salle est décorée de façon sobre et élégante : la mezzanine offre une ambiance intimiste et discrète, tandis que la grande salle apporte chaleur et convivialité. Ce cadre cosy et confortable est propice à l’accueil de groupes d’amis ou de familles. Le mariage de deux talents Le parcours des deux maitresses des lieux est pour le moins étonnant. Ayant auparavant exercé dans le secteur des industries, Catherine, la chef, a entamé sa reconversion en suivant une formation à l’école hôtelière de Chagny. Elle a poursuivi son apprentissage en se perfectionnant auprès des meilleurs chefs et formateurs. Auparavant ingénieure agronome, Sandrine, son associée, exprime un fort attachement pour les produits du terroir et une passion pour les vins. D’ailleurs, elle n’a pas manqué d’enrichir ses contacts dans ces deux domaines pour élaborer les cartes du restaurant. Ensemble, ces deux passionnées se sont fixé un seul objectif : faire plaisir à leurs convives. Le plaisir des yeux, le bonheur du goût À La Table de Chapaize, les saveurs fraiches sont à l’honneur. La chef aime surprendre en variant sa façon de cuisiner. Les spécialités de la maison sont le sucré-salé et la terrine de foie gras maison mi-cuit, qu’il est d’ailleurs conseillé de commander en avance. Les menus changent tous les mois pour permettre aux convives de découvrir d’autres saveurs. La maison propose une première formule à 27 €, composée d’une entrée, d’un plat et d’un dessert ou de fromage. Un menu à 33 € est également servi. Les suggestions dépendent des produits frais disponibles sur le marché ou fournis par les producteurs locaux. Pour cette formule, les gastronomes seront séduits par les saveurs du foie gras maison et son chutney servi en entrée. En plat principal, le filet de veau accompagné d’un jus aux baies de genièvre et d’une mousseline de céleri comble les fins palais. Enfin, en dessert, le cheese-cake au fromage frais de lys coulis de framboise attise la curiosité. À l’occasion des fêtes, La Table de Chapaize élabore des menus spéciaux : Saint-Valentin, Pâques, Fête des mères... Les grands évènements de l’année sont dignement célébrés par des formules spéciales qui sortent tout droit de l’imagination de la chef. ...