logo-flash-matin
portrait-chef-christophe-raoux

Interview avec Christophe Raoux
Chef du restaurant L'Oiseau Blanc, The Peninsula Paris



Restaurant
5 toques Gault et Millau
situé à Paris
Région Île-de-france

Dans votre restaurant, comment définissez-vous votre cuisine ? Quels sont vos plats «Signature»? Avec quels produits aimez-vous travailler ?

Christophe Raoux Je fais une "cuisine de cuisiniers" : gourmande, savoureuse, chaleureuse ! J'aime les cuisines simples, bien exécutés. Mes plats Signature : le ris de veau français cuit en cocotte ou le turbot sauvage et son crémeux de romaine, salicorne, thym citron et ses champignons du moment. Je suis amoureux de tous les produits mais j'adore travailler les radis, les asperges, et la volaille !

Quelles émotions avez-vous ressenties lors de la remise des étoiles du Guide Michelin ?

CR Nous n'avons pas encore d'étoiles mais j'y travaille ! En revanche, je me rappelle avoir ressenti une émotion intense au moment de la remise de ma médaille de Meilleur Ouvrier de France, en 2015. Je n'y croyais tellement pas que j'ai passé la nuit avec. En me réveillant, j'ai vérifié immédiatement qu'elle était toujours bien accrochée à mon cou et que ce n'était pas un rêve !

La cuisine est faite chaque jour de partage et d'émotions. Toutefois, certains moments de la vie sont à privilégier plus que d'autres... Pouvez-vous nous confier vos plats rêvés pour :
- Un repas de Noël ?

CR Une délicieuse langouste de Bretagne en cocotte truffée !

- Un repas de la nouvelle année ?

CR Des Saint-Jacques de Port-en-Bessin en fin carpaccio, kumquat confit et gingembre frit ou un homard bleu en ravioles et sa crème de crustacés et estragon.

- Un repas de Saint-Valentin ?

CR Pour commencer : foie gras de l’Aveyron façon Luculus et truffe Tuber Melanosporum. On poursuit avec le boeuf du Limousin, une purée de mon enfance truffée. On finit par la mangue à partager : litchi, perlée citron, sablé amande et craquant de chocolat blanc.
plat-restaurant-l-oiseau-blanc-the-peninsula-paris-paris

- Un repas de la fête des mères ou des pères ?

CR Je ferais : Un rouget barbet, légumes d’une ratatouille, soupe de poisson de roche, un goût d’une rouille ou onglet de Boeuf fumé et mariné et ses gyoza croustillants
En dessert, le "Tout chocolat" de mon chef pâtissier Dominique Costa me semble idéal ! Un dessert praliné coulant, coriandre, tuile craquante. Un régal !

Au fait, pour votre mariage, qui a fait la cuisine ? Pouvez-vous nous indiquer les plats cuisinés ?

CR Je garde ça top secret, c'est notre moment à ma femme et moi. Je peux vous dire que j'avais moi-même créé le menu en faisant appel à tous les producteurs qui me sont si chers et me suivent depuis mes débuts en cuisine.

Sans trop réfléchir, pouvez-vous nous confier votre plus beau souvenir gustatif et certaines des émotions procurées ?

CR Le jour où un grand chef japonais m'a offert une râpe à bonite en bois du Japon. C'est un objet très précieux, je n'oublierai jamais ce moment rempli d'intensité.

D'après la célèbre devise de Prosper Montagné "On ne fait du bon qu'avec du très bon", pouvez-vous nous révéler deux ou trois de vos adresses gourmandes. Vos producteurs et produits préférés sur votre région ou ailleurs (vins, produits frais, ou autres...)

CR Mes incontournables :
Un morceau de jambon de Pierre Oteiza
La bonne table de L'Ambroisie 9, place des Vosges, tenue par mon grand ami Bernard Pacaud
Pour les fromages, La Ferme d'Alexandre est une valeur sûre ! L'équipe de fromagers et affineurs est formidable. Ma propre cave, parce que j’aime l’atmosphère des caves : intime, avec une odeur si reconnaissable. Le lieu idéal pour manger du saucisson et déguster de bons vins avec des amis
plat-restaurant-l-oiseau-blanc-the-peninsula-paris-paris

On parle aujourd’hui beaucoup de cuisine fusion, de plats végétariens, d'aliments biologiques, de « Trashcooking » (ingrédients destinés normalement au rebus), de « Freakshakes » pour marier un dessert à une boisson... Selon vous quelles seront les grandes tendances de la cuisine de demain ?

CR Pour moi, la cuisine n'est pas une histoire de tendances mais d'hommes, de cœur et de saisons. Je suis tout à fait conscient de la nécessité de s'adapter aux besoins d'une clientèle, à un marché, mais cela ne doit pas nous détourner de notre objectif premier : faire une cuisine plaisir, faite avec le cœur autant que les papilles, qu'elle soit fusion, gluten-free ou vegan.

Culture - Cinéma Quelle est votre scène préférée de cinéma au restaurant ? Un souvenir de film avec une séquence particulière...

CR J'adore la scène dans "Les Barbouzes", avec Lino Ventura qui se lâche sans modération, en commandant paupiette, civet et tartelettes ! Toujours avec ce ton et charisme inégalables qu'on lui (re)connait tous.
restaurant-l-oiseau-blanc-the-peninsula-paris-paris restaurant-l-oiseau-blanc-the-peninsula-paris-paris restaurant-l-oiseau-blanc-the-peninsula-paris-paris

Si vous aviez un hommage à adresser à Paul Bocuse, quel serait-il ?

CR Je lui dirais simplement merci, et il comprendrait toute la profondeur que je mettrais dans ce mot.
Adresse | Contacts utiles
image-prop-contact-l-oiseau-blanc-the-peninsula-paris L'Oiseau Blanc, The Peninsula Paris The Peninsula Paris , 19 avenue Kléber, 75116 Paris
75116 Paris

Tél. : 01 58 12 28 88
Site Internet

Récompenses
5 toques Gault et Millau

L'Oiseau Blanc, The Peninsula Paris : les avis

LES ARTICLES LES PLUS LUS

Finlande Tourisme d’affaires : une destination pleine de ressources

La Finlande a accueilli, en 2016, plus de 650 congrès internationaux. La moyenne de 600 événements professionnels annuels draine dans ce pays de contrastes – véritable passerelle entre l’Orient et l’Occident – quelque 70 000 congressistes. La qualité premium des prestations, l’expertise locale en matière d’organisation d’événements et l’hospitalité légendaire des habitants ont contribué à hisser le pays au rang des destinations offrant les expériences de voyages d’affaires les plus enrichissantes. Dans un cadre naturel d’exception, le pays de Häkkinen met à disposition un répertoire d’infrastructures où innovation et confort des usagers sont au cœur des préoccupations. Embarquement immédiat Une croyance populaire associe la Finlande à une destination très sélective, difficile à atteindre. La réalité est que le pays est plus qu’accessible : en témoignent les quelque 200 vols internationaux que draine quotidiennement le principal aéroport finlandais. En plus de Helsinki-Vantaa, six autres aéroports à travers le pays sont habilités pour l’accueil des trafics internationaux. Au départ de Paris, la capitale finlandaise n’est qu’à 3 h de vol par la compagnie Finnair (en co-operé par Air France) qui assure les vols directs. Les autres compagnies comme Lufthansa assure la desserte mais avec un escale en Allemagne. Les tour-opérateurs spécialisés ne manquent pas, pour les démarches en amont du voyage. Une fois sur place, les déplacements n’occasionnent pratiquement aucun souci, étant donné la variété des moyens disponibles – bateaux à vapeur, voitures, autocars, trains – et la fluidité des circulations en ville. Aucun risque de froisser vos collaborateurs par un quelconque retard au rendez-vous. D’autant que les locaux sont très rigoureux sur la ponctualité.  Des événements pros en Finlande, pourquoi ? Dépaysement et bien-être. Quoi de mieux pour se concentrer sur le cœur de ses affaires ? De ce côté, la Finlande rafle tous les bons points parmi ses voisins européens. Nous ne parlons pas seulement d’étendues mais également d’intégrité de l’environnement et des époustouflants contrastes dont la nature a nanti le pays. Les petites îles foisonnent, se comptant par dizaines de milliers, idem pour les lacs. Ces parenthèses d’escapades sont directement accessibles depuis les grands centres urbains. Sans compter les expériences uniques comme le soleil de minuit – deux mois sans que l’astre ne se couche – et les aurores boréales. Par ailleurs, le grand dynamisme des villes, en matière de programmations culturelles, offre l’opportunité d’associer ses événements à des moments festifs inoubliables. Sanna Tuononen, du Finland Convention Bureau, attire ainsi l’attention sur l’émergence d’événements culturels axés sur la gastronomie. « C’est assez actif, surtout à Helsinki. Les séminaristes ou autres sortes de groupes MICE peuvent partager des cours de cuisine, ou différentes sortes d’expériences autour de la gastronomie finlandaise. » Ensuite, toute la féerie de l’hiver finlandais se déroule dans un cadre d’exception en Laponie. Destinations affaires Quatre destinations se démarquent, dans le répertoire des possibilités, pour ce qui est de l’accueil des événements professionnels. La capitale Helsinki tient naturellement la tête de peloton avec ses allures de ville moderne très dynamique que viennent rafraîchir les espaces verts et les îles qui l’entourent. Alors que la ville rassemble tous les arguments technologiques et infrastructurels nécessaires, elle garde une dimension humaine. Le Radisson Blu Plaza constitue un bel exemple des adresses d’accueil adaptées aux voyageurs d’affaires. Les quartiers finnois de la chaîne très haute de gamme disposent d’un espace affaires composé d’un hall d’exposition et de cinq salles de réunion d’une capacité individuelle de 8 à 80 personnes. Le Finlandia Hall offre, de son côté, une gamme de solutions spécialisées.   Turku accueille également de nombreux suffrages, gr&a...

Restaurant LA TABLÉE : une nouvelle aventure gourmande

Située à Nantes, LA TABLÉE prône une cuisine familiale et conviviale, inspirée par le partage d’un repas comme à la maison. Le restaurant se distingue par ses plats réalisés à partir des conserves de Sardines, Thons et Maquereaux de  la Conserverie la belle-iloise. La décoration originale de la salle reflète bien cet esprit : maison de famille, thème marin, murs en pierre, meubles en bois clair, quelques touches de couleur rouge et jaune mélangées au bleu marin, des photos de famille et illustrations rappelant l’histoire de la Conserverie… Bref, un branding vraiment recherché invitant à une nouvelle découverte culinaire. Entre terre et mer En cuisine, le Chef Patrice Christodoulos fait preuve d’une grande créativité et d’ingéniosité pour révéler ce que l’on fait de mieux avec les poissons en conserve. « Ce sont des produits qui sont déjà travaillés, assaisonnés, et notre objectif est de cuisiner différemment pour offrir une cuisine de qualité originale à nos clients », explique-t-il. Avec d’autres ingrédients frais et rigoureusement sélectionnés à sa disposition, il peut laisser libre cours à son imagination pour élaborer des recettes savoureuses, raffinées et hautes en couleur. En plus des produits de la conserverie familiale, la maison travaille également avec des producteurs locaux. Ces derniers assurent l’approvisionnement en fruits et légumes, en viandes ou autres ingrédients. « Les matières premières sont fraîches et cuisinées sur place afin de vraiment sublimer nos plats », continue le Chef. Une carte du midi et une carte du soir  Les menus s’adaptent au rythme de la clientèle. Avec la formule BBI à midi par exemple, à emporter ou à consommer sur place, le client va pouvoir choisir son burger maison parmi les cinq spécialités proposées, opter pour une boisson chaude ou froide, avant de terminer avec le dessert du jour. Le soir, des plats plus élaborés sont au rendez-vous à travers le menu Quiberon, avec au choix la terrine de foie gras au thon blanc germon accompagné d’un pain d’épices à l’émietté de Sardine des Bastides ou encore le pavé de thon blanc germon lardé braisé de cinq heures. « On se rapproche vraiment  du civet, marinade de vin rouge et plantes aromatiques pour relever le goût !», reprend le Chef en décrivant ce plat. La carte Tapas où se côtoient croquetas de ratatouille au Thon fumé et accras de Maquereaux à la moutarde est disponible tout aussi bien le midi qu’en soirée. Le tartare de bœuf et Sardines à la Luzienne ou encore les Aubergines rôties au Brocciu et Sardines au citron coriandre viennent s’intégrer à la nouvelle carte de LA TABLÉE, pour ravir les gourmets. « Les gens aiment bien faire des découvertes, ils s’intéressent aux nouvelles choses », renchérit notre interlocuteur. Pour accompagner ces plats, le restaurant propose une carte de vins assez riche, où l’on y retrouve des vins de la région et des vins bio, le tout en rouge, en blanc et en rosé. Côtes-du-rhône, Menetou-Salon et Bourgogne pinot noir figurent parmi la sélection de rouges. En blanc, l’on cite les vins en appellation Muscadet-Sèvre-et-Maine et Gaillac. Le rosé AOP Côteaux-d’Aix-en-Provence complète la liste des vins qui marchent le mieux. LA TABLÉE privilège aussi les bières locales, à l’image de la Brigantine, une bière biologique fabriquée à Pornic. ...

Restaurant La Canne à sucre : ambassadeur des Antilles à Paris

Témoin incontestable du succès des plus grands noms de la musique antillaise, le restaurant La Canne à sucre perpétue la tradition familiale tout en mettant à l’honneur la cuisine antillaise. Situé dans le 18e arrondissement de Paris, à proximité de la Butte Montmartre, l’établissement vous invite à savourer de la bonne cuisine authentique et savoureuse des Antilles, dans un cadre tout aussi bien familial que convivial.    Poisson rôti au four sauce chien (sauce antillo-guyannaise à base de piments, oignon, ail et plusieurs condiments), Croisière exotique pour deux et Flan coco sont autant de merveilles pour les papilles et, également, de belles découvertes culinaires qui vous feront voyager, accompagnés d’une belle sélection de vins rouges, rosés ou blancs. Laissez-vous agréablement surprendre par le plat le plus internationalement connu des Antilles qui est l’Accra de morue. Si, à l’origine, cette spécialité est uniquement composée de morue, aujourd’hui, elle s’accommode avec des crevettes et mêmes des légumes. Un bon diner dans une ambiance musicale Dans une ambiance particulièrement festive, Eddy La Viny accompagne votre diner en reprenant de grands classiques anglo-saxons ou ceux qui ont fait le succès de son père, Gérard La Viny, Mario Canonge ou Malavoi... tous les vendredis soirs. Vous pouvez même prendre la liberté de privatiser la cave voutée pour vous amuser en famille ou entre amis avec amuses-bouches antillais salés, vasque de planteur, gâteau et disc-jockey à la clé.  Comme l’a toujours dit Gérard La Viny, « A kaz à La Canne à Sucre » ou, littéralement, « Vous êtes chez vous à La Canne à sucre ». ...

Rendez-vous aux Remparts pour une expérience culinaire mémorable

À Bazas, tout est réuni pour passer de bons moments : sa magnifique cathédrale (classée au patrimoine mondial de l’UNESCO), sa viande de bœuf, ses fêtes, ses marchés animés… Et au milieu de tout cela, le long de la place et près de l’hôtel de ville, le restaurant Les Remparts accueille les touristes de passage ou les locaux. Un établissement aussi charmant que chaleureux, qui a su imposer son nom dans le milieu gastronomique au fil des années. Aujourd’hui, sa réputation n’est plus à faire et le chef Yannick Fauriès a plus d’un tour dans son sac pour préserver cette image et cette qualité d’accueil.   Une cuisine gourmande Dès l’entrée, la salle dégage une certaine douceur qui met les convives à l’aise. Le mobilier et la décoration mêlent avec goût le contemporain et l’ancien. La table a été soigneusement dressée et démontre ce côté chic de l’établissement. Mais le restaurant n’a pas fini de surprendre… De l’autre côté, la magnifique terrasse séduit et attire instinctivement toute l’attention. Durant les beaux jours, c’est l’endroit idéal pour déguster les plats succulents de Yannick Fauriès, tout en contemplant la beauté de Bazas. En effet, la terrasse offre une vue imprenable sur la vallée, le jardin du Sultan et la fameuse cathédrale Saint-Jean-Baptiste. Un spectacle pour le plaisir des yeux, qui finit par faire croire que ces paysages ont été conçus spécifiquement pour les convives du restaurant.  Une découverte culinaire pour continuer Côté cuisine, le restaurant Les Remparts est tout à fait à la hauteur de sa réputation. Au sommet de sa maturité, le chef Yannick Fauriès propose une cuisine proche du terroir mêlée à une touche contemporaine. Ainsi, avec ses plats à base de produits frais et d’herbes sauvages, il transporte ses convives vers la découverte de nouveaux horizons culinaires. Chaque plat témoigne de sa parfaite maitrise des saveurs, tout en mettant à l’honneur les produits (bio autant que possible).  Pour Yannick Fauriès, « un bon plat doit procurer des plaisirs gustatifs, ludiques et esthétiques ». Un principe qu’il suit à la lettre et qu’on peut vérifier avec ses réalisations telles que le velouté d’herbes au maki de Saint-Jacques truffé, la brandade de morue douce aux escargots et beurre vert sauvage, le quasi veau rôti au foin et légumes au jus, la truffe palombe rôtie…  La carte est renouvelée au gré des saisons. Certes, elle est courte mais propose des plats variés : deux entrées, deux plats et deux desserts. Le menu, quant à lui, change plus régulièrement et affiche toujours les produits phares du chef comme le bœuf de Bazas, les fraises ou encore les asperges.  Et des douceurs pour terminer Qui dit bonne table dit bon vin ! Et des vins, le restaurant en possède de très bonne qualité dans sa collection. En effet, sa carte représente les meilleurs vignobles de France avec pas moins de 70 références. Parmi les plus prisés, on retrouve le margaux (vin rouge du Château Giscours), le sauternes (vin blanc liquoreux du Château Guiraud) ou encore le pessac-léognan (vin blanc sec du Clos Marsalette). La carte est régulièrement mise à jour en fonction des découvertes et des coups de cœur du propriétaire. ...

Brasserie Larché : perpétuer la tradition de la bière

La commune de Sens, riche d’histoire, est célèbre pour ses paysages de fleurs, ses édifices, mais également pour son terroir. Au sein de cette belle localité, la Brasserie Larché est devenue, au fil des années, un patrimoine bourguignon, apprécié par les amateurs de bière. Elle fait partie des premières brasseries dans cette partie de la France, à fabriquer des bières de haute et double fermentation, ce qui consiste à jouer sur la quantité des matières premières afin d’obtenir une bière au corps plus corsé. Aujourd’hui, l’entreprise brasse dix types de bières différentes. Plus de vingt années d’histoire Depuis sa création en 1996, la Brasserie Larché fait partie des producteurs qui ont su préserver l’authenticité de sa marque. Elle reste surtout très présente en Bourgogne et un peu en France (région parisienne et PACA). « Notre zone de chalandise est restreinte mais la volonté de grandir et d’être mieux référencé au niveau national est bien réelle. » nous confie Eric Poirier, actuel gérant. Parmi les fleurons de la gamme figure la bière Alésia, 100 % bio, qui a reçu en 2016 une médaille lors du Concours général agricole dans la catégorie « Bières blondes ». La maison possède d’autres produits ambassadeurs qui font sa fierté à l’instar de la Thomas Becket Ambrée, première bière élaborée par la brasserie, à fermentation haute et refermentée en bouteille avec un ajout de miel de l'Yonne. La marque Thomas Becket se présente sous différentes déclinaisons : blonde, blanche, brune et ambrée et rousse également. De manière saisonnière : « nous brassons une bière de printemps et une bière de Noël » précise notre interlocuteur. Les amateurs pourront également se laisser tenter par la Burgindia (IPA), une bière plus houblonnée, plus pâle et plus amère au goût. Depuis peu, la Brasserie Larché intervient dans la fabrication de caramel de bière et de vinaigre de bière, faisant le bonheur des amoureux de cuisine originale. Et dans une volonté de faire découvrir son savoir-faire, elle se tient prête à accueillir le public dans le cadre d’une visite comprenant la découverte des techniques de fabrication, une dégustation et un passage en boutique. ...

Conduire vers l’excellence

Créé en 1910, le Collège Alpin Beau Soleil compte parmi les plus anciens établissements d’enseignement privés de Suisse. Depuis sa création, le collège a été dirigé par trois générations de la famille de Meyer jusqu’en 2010. L’établissement offre une éducation internationale en internat avec une capacité d’accueil de 250 étudiants. Il reçoit des élèves de 11 à 18 ans issus de plus 50 nationalités différentes. La philosophie de la maison est bâtie sur quatre axes essentiels : responsabilité, respect, détermination et ambition. Pour insuffler un nouvel élan à son développement, le collège adhère en 2011 au groupe Nord Anglia Education, une organisation  regroupant 55 écoles de haute qualité à travers le monde. Ce partenariat lui permet de maintenir une atmosphère familiale tout en tirant profit des opportunités uniques qu’apporte un réseau éducatif de portée mondiale. Un collège, deux cursus L’établissement propose deux cursus diffé-rents comprenant le « french curriculum » et l’« international curriculum ». Au sein d’un environne-ment bilingue, la section française accueille les classes de la 3eme à la terminale et prépare les étudiants aux examens officiels tels que le diplôme national du brevet et le baccalauréat français. Afin de garantir la réussite scolaire, chaque élève bénéficie d’un suivi personnalisé dispensé sous forme d’un tutorat. En effet, un tuteur attitré veille à ce que l’étudiant assure un progrès constant. « Avec un ratio de quatre étudiants par enseignant, nous avons les moyens de proposer une éducation adaptée à chaque élève », explique Kevin Foyle, Directeur de l’établissement. Quant à la section internationale, elle inclut les classes qui vont du 6th grade (sixième) au 12th grade (terminale). Issue des meilleurs systèmes d’éducation, cette section prépare notamment les élèves à l'IGCSE (International General Certificate of Secondary Education) et l’IB (International Baccalaureate). À travers ses deux cursus, Beau Soleil peut se vanter d’obtenir chaque année des résultats académiques exceptionnels. À titre d’exemple, pour les résultats au baccalauréat international (2012-2016), le collège affiche 100 % de réussite. Un succès qui n’est pas dû au hasard et s’explique par de nombreux efforts axés à tous les niveaux. Sur le plan pédagogique, l’établissement dispose d’une équipe d’éducateurs passionnés qui concilie parfaitement expériences et approches innovantes. Afin de permettre un soutien personnalisé, l’institution privilégie des classes à effectif réduit. En ce qui concerne la vie en internat, tout est fait pour que les élèves se sentent comme chez eux ! Les « Boarding houses » offrent non seulement un espace propice à l’épanouissement personnel mais donnent aussi lieu à de nouvelles rencontres. Entre les traditionnels barbecues, les après-midi en cuisine ou les activités du week-end, les occasions ne manquent pas de se faire des amis. Des efforts ont été entrepris pour procurer un environnement chaleureux et accueillant. Une expérience unique dans un environnement d’exception Installé à 1 259 mètres d’altitude dans les Préalpes vaudoises, le Collège Alpin Beau Soleil profite d’un emplacement idéal. Le campus a récemment ouvert une extension du campus qui lui ont permis de doubler de volume sans pour autant augmenter l’effectif des élèves. Ces bâtiments intègrent des installations modernes tout en offrant une magnifique vue sur les Alpes suisses. C’est dans ce cadre privilégié que les élèves auront l’occasion de vivre des expériences inoubliables. À commencer par les voyages et découvertes en tout genre. « Chaque année, les élèves doivent faire un voyage, qui peut être culturel, d’étude ou dédié aux...

Moustiers-Sainte-Marie : des sensations fortes accessibles à tous

Situé dans les Alpes-de-Haute-Provence et ancré dans le Parc naturel régional du Verdon, Moustiers-Sainte-Marie est l'un des plus beaux villages de France. Il bénéficie d’un riche patrimoine naturel, propice aux sensations extrêmes et aux randonnées familiales. Au programme : sports nautiques, aériens, équestres, pédestres mais aussi escalade ou parapente... Nature et adrénaline Moustiers-Sainte-Marie regorge d’activités en plein air. De nombreuses associations sportives proposent des expériences uniques, entre ciel et terre. Les amoureux de l’eau ou les simples curieux peuvent y pratiquer le canoë, le paddle, le pédalo ou le bateau électrique. Les deux bases nautiques locales, La Cadeno et L’Étoile, vous mènent sur l’eau douce du lac Sainte-Croix, troisième plus grand lac de France. L’association Des guides pour l’aventure propose de découvrir notamment le « floating », consistant ici à descendre à la nage le grand canyon de Verdon. Celui-ci est le plus profond d’Europe. Pour savourer des paysages à couper le souffle, Verdon Passion, Roc N Vol, Verdon pro Climb vous conduisent au sommet des falaises et dans les gorges du Verdon. De l’escalade ou du parapente sont proposés à ceux qui veulent prendre de la hauteur. Pour ceux qui préfèrent la vitesse, des parcours en VTT sont organisés dans les champs de lavande du plateau de Valensole. Ces moments d’aventures conviennent aux grands sportifs comme aux débutants. Les accompagnements sont sur mesure. Des émotions sportives pour tous les âges Les randonnées pédestres ou équestres de Moustiers-Sainte-Marie sont un ravissement pour les sens. Sur des sentiers bordés de lavande, en haut du lac Sainte-Croix ou devant un coucher de soleil, elles s’adressent à toute la famille. Des promenades en poney sont organisées pour les enfants. Des associations proposent notamment des promenades équestres en fin de journée, afin de pouvoir admirer le coucher du soleil. Les nombreux sites géologiques permettent de découvrir les derniers 300 millions d’années d’histoire de la Terre. La diversité des écosystèmes confère au lieu une faune variée (chamois, chevreuils, vautours...) et une flore endémique splendide. Les émotions font partie intégrante d’un séjour à Moustiers-Sainte-Marie. Chaque âge y trouve son sport, chaque sensibilité y repousse ses limites. Le cadre invite au dépassement de soi. L’amour de la Nature se conjugue à l’intensité des sensations vécues. Un lieu à éprouver de tout son cœur et de tout son corps. ...

Bio Chanvre Félinois :
le chanvre dans tous ses états

Loin de se cantonner au respect strict et obligatoire des cahiers des charges afférents à l’Agriculture Biologique, Bio Chanvre Félinois va plus loin en pratiquant le « sans labour » et l’éco-pâturage. Dans cette démarche engagée, « nous sommes à la fois producteur et transformateur de chanvre », tient à préciser notre interlocutrice.   Se faire une « bio-té » avec des produits 100 % naturels Le choix des matières premières concorde entièrement avec les valeurs défendues par la maison. Par exemple, l’huile de coco et le beurre de karité utilisés dans les cosmétiques proviennent d’associations de femmes en Afrique qui bannissent tout intrant chimique dans leurs cultures. Ainsi, l’entreprise valorise à la fois l’aspect humain et l’aspect environnemental. Par ailleurs, les bienfaits incontestables du chanvre sur la peau sont nombreux. L’huile de chanvre est incluse à hauteur de 30 % dans les produits pour accentuer leurs propriétés hydratantes, antirides, anti-inflammatoires… ...

Kyrgyz’What : s’offrir le voyage d’une vie
à destination du Kirghizistan

Les douze heures de vol au départ de la France sont très vite récompensées par un magnifique panorama sur les chaînes montagneuses, les vallées et les plaines sauvages qui composent le pays à 90%. Le Kirghizistan, situé en Asie centrale, est une destination authentique encore méconnue du tourisme de masse. D’une beauté infinie, son paysage mystérieux envoute autant que la générosité de son peuple multiethnique. Un bout de paradis « Le Kirghizistan est la destination d’excellence pour les trekkeurs et les amoureux de la Nature », raconte Emelyne, responsable des ventes à Kyrgyz’What? et véritable globe-trotteuse dans l’âme. Près de la moitié du territoire s’élève à une altitude de plus de 2 700 m, où le pic Pobedy (7 439 m) et le pic Lénine (7 134 m) trônent majestueusementsur les montagnes du Tian Shan et du Pamir-Alay. Au cœur de ce somptueux décor se révèlent des lacs et des rivières aux eaux vertes turquoise, dont le plus célèbre est sans nul doute le lac Issyk-Kul, le deuxième plus grand lac alpin du monde. « Ici, les voyageurs peuvent s’abandonner aux baignades, explorer les gorges en canot ou se promener à cheval pour saisir la magie de cet endroit. » Entre randonnées en montagne (pédestre et équestre) en période estivale et ski hors piste, motoneige et traineau à cheval l’hiver, les activités sur place invitent à contempler toutes les merveilles de la destination. Vivre une expérience culturelle et humaine Terre d’aventures mais aussi terre de découvertes, le Kirghizistan est un pays qui vit passionnément de sa culture, partagée entre empreinte d’un passé soviétique et style de vie nomade hérité des ancêtres. « Nos voyageurs cherchent constamment cette immersion dans la vie quotidienne des Kirghizes, qui sont restés très fidèles à leur identité culturelle », poursuit Emelyne. Et l’agence Kyrgyz’What? sait relever ce défi, en proposant une rencontre inédite avec les bergers, une ou deux nuits chez les villageois, un hébergement en yourte dans les montagnes où les hôtes peuvent même s’initier à la traite des bêtes. C’est dans cet esprit que l’équipe conçoit des voyages taillés sur mesure, en fonction des envies et des exigences de la clientèle. « Nous avons des trekkeurs, des groupes d’amis, des familles ou des couples qui viennent au Kirghizistan, et tous trouvent leur part de bonheur ici. » Parcourant plusieurs thématiques (insolite, incontournable, séjour équestre et randonnée, aventure, nomade, culture, etc.), les séjours packagés durent entre trois jours et trois semaines en prévoyant un tarif avantageux pour les réservations de groupe. Basée à Bichkek, Kyrgyz’What? est à même de proposer un véritable accompagnement pour offrir la meilleure expérience de voyage possible. « En outre, nous avons également une présence active sur le Web et les réseaux sociaux pour être toujours proches de nos clients », précise l’équipe. ...

Brasserie Au Baron : le meilleur de la bière de garde

Au Baron était au départ un petit bistrot dans lequel se donnaient rendez-vous des anciens ouvriers des marbreries de la commune de Gussignies. En 1973, Alain Bailleux fait acquisition de cet estaminet et débute une carrière de petit restaurateur avec son épouse Danielle. Plus tard, les Bailleux décident d’étendre leur entreprise en se lançant le défi de créer une brasserie artisanale. Brasseur de père en fils, un début prometteur Le travail de brasseur est une tradition familiale depuis 1900 chez les Bailleux. Mais pour cette génération-là, la grande aventure n’a réellement commencé qu’en 1989. « Jusqu’à mon père, nous n’avions jamais eu de brasserie qui nous appartenait. Nous avions toujours travaillé dans des brasseries », raconte Xavier Bailleux, actuel propriétaire des lieux. La brasserie Au Baron est la concrétisation d’un rêve et le résultat de longues années d’expériences pour cette grande famille de brasseurs. Alain Bailleux, fondateur de l’entreprise, a profité de la fermeture de l’industrie dans laquelle travaillait son père en tant que maitre brasseur pour rassembler les outils nécessaires à la création de leur propre brasserie. Aujourd’hui, en plus du restaurant acquis il y a 46 ans, la brasserie Au Baron est équipée d’une taverne mettant à l’honneur les produits locaux via les menus proposés. « Nous travaillons énormément avec les producteurs locaux, dans le but de mettre en avant la région et son savoir-faire » affirme Xavier Bailleux. Bières de garde, gages d’une notoriété internationale D’après les explications de Xavier Bailleux, « la bière de garde est le style de bière français le plus connu ». Chez lui, ce produit trouve sa spécificité dans la manière dont elle est élaborée : « La fabrication se fait de manière complètement traditionnelle, sans ajout d’arômes ni de quoi que ce soit », poursuit notre interlocuteur. La fermentation s’effectue en bouteille et la boisson n’est ni filtrée ni pasteurisée. La période de garde est réalisée à froid, ce qui permet d’apporter une belle robe à la bière. Parmi les ingrédients utilisés, le brasseur cite les houblons de Flandres, l’orge des Hauts-de-France et une souche de levure de haute fermentation exclusivement propre à la maison. En tête de liste des produits phares de la maison se trouve la Cuvée des Jonquilles. Première bière blonde élaborée par la maison, elle est sortie des cuves en l’honneur du printemps 1990. Médaillée d’or au Brussels Beer Challenge 2012, cette boisson rencontre actuellement un véritable succès au niveau international. « Nous en exportons notamment aux États-Unis, en Corée, en Norvège, aux Pays-Bas et au Québec », révèle Xavier Bailleux. Très prochainement, la maison envisage une nouveauté : une bière vieillie en barrique de Nuits-Saint-Georges pendant un an et élaborée avec un brasseur californien. « Cette cuvée est destinée à faire découvrir de nouveaux horizons à nos fidèles clients. » ...

Agneau du Limousin IGP : une viande de qualité certifiée

Animés par le désir de proposer une viande de premier choix pour satisfaire la demande croissante du marché français en viande ovine, les 1 000 membres de l’association d’éleveurs GIE Ovins du Limousin se sont rassemblés pour défendre un bien commun par une démarche qualité. L’obtention de l’IGP leur a permis d’assurer l’excellence de l’agneau Baronet, déjà très avantagé par le terroir sur lequel il évolue. Sa végétation, ses prairies, ses herbes, son climat, sa pluviométrie, sa géologie et son altitude font effectivement du Limousin un endroit idéal pour élever les moutons. « Il est voué à nourrir les animaux », affirme Didier Briantais, directeur du GIE Ovins du Limousin. Au-delà, les éleveurs doivent respecter les critères du cahier des charges pour fournir une viande conforme : lait maternel pendant au moins 60 jours, traçabilité, alimentation au foin et à l’herbe en période hivernale, avec éventuellement un complément de céréales et de fourrage… Un produit d’exception pour des repas gourmands « Grâce aux propriétés spécifiques du terroir et à la rigueur des méthodes d’élevage employées, les viandes offrent une chair tendre, délicatement parfumée, avec un taux de gras idéal », souligne Didier Briantais. Elles sont aussi facile à cuisiner : des chefs de renom tels qu’Alain Longeval ou Emmanuel Ardillon prônent d’ailleurs la marque en créant des recettes. Un véritable ravissement pour les papilles qu’offrent, par exemple, la « Selle d’agneau du Limousin et pommes dauphine » ou la « Roulade de poitrine d’agneau du Limousin farcie ».  ...

Musée du Vignoble nantais : immersion au cœur d’un patrimoine 

Le vin, cette identité nantaise et expression exquise des délices d’un terroir d’exception. Le musée du Vignoble nantais se veut être l’ambassadeur de toute cette richesse au travers d’une collection riche, rappelant chaque étape de cet art gourmand emblématique. Chaque objet exposé raconte une histoire, celle d’une culture émérite, d’un héritage précieux transmis de génération en génération et du patrimoine naturel des paysages de cet élixir des dieux… Un musée empreint d’émotions Situé en plein cœur du vignoble nantais, dans la commune du Pallet, ce musée, créé en 1980 par l’association culturelle Pierre Abélard, vous emmène dans un voyage passionnant à la découverte d’un terroir et du savoir-faire traditionnel unique de vignerons attachés à leur terre. D’emblée, les visiteurs pénètrent dans une bâtisse à l’architecture géométrique résolument moderne, un savant mélange de matières naturelles empli de couleurs et généreusement éclairé. De nombreux objets, de véritables œuvres d’art pour certains, dévoilent alors leurs secrets, leurs utilisations dans le processus vitivinicole ainsi que leur évolution au fil des siècles. Musée du Vignoble nantais : un lieu d'exposition  sur  1 000 m2 Ces objets exposés sur 1 000 m2 sont présentés de manière originale, impliquant parfois l’usage de tous nos sens, gage du côté ludique de ce détour inédit. Découvrez, par exemple, le tracteur enjambeur de Marcel Brégeon, le vigneron à l’origine de ce prototype unique et sur mesure conçu pour s’adapter au vignoble nantais, un véritable chef-d’œuvre d’antan… Allant de cette exposition permanente aux mille facettes au laboratoire d’analyse entièrement dédié au vin, en passant par la boutique dédiée aux succulences du terroir, la visite, libre ou guidée, de ce musée vous réserve d’innombrables surprises savoureuses placées sous le signe de l’œnologie nantaise. ...

Château de Plassac, l’adresse incontournable pour les amateurs de cognac

La noblesse d’un lieu Pour faire un produit de qualité incomparable, il faut un lieu magistral. La riche et mouvementée histoire du domaine remonte très loin dans les racines du Moyen Âge et retrace à elle seule un petit pan de l’histoire de la région et de celle du reste de la France. Le bâtiment qui trône fièrement aujourd’hui date de 1772 et est le cinquième château élevé au même endroit. Pensée par Victor Louis, à qui l’on doit entre autres les chefs-d’œuvre architecturaux du Palais-Royal de Paris et du Grand Théâtre de Bordeaux, la bâtisse est un pur joyau du XVIIIe siècle. Ancienne propriété du fameux duc d’Épernon, la maison fut passée au marquis de Montazet pour plus tard être achetée par les Dampierre, actuels propriétaires. De prestigieuses personnalités qui ont marqué leur époque se sont succédé dans les chambres du château au fil des siècles, mais depuis plus de 200 ans, ce sont toujours les mêmes recettes qui, jalousement gardées par la famille Dampierre, servent à confectionner un des cognacs les plus appréciés par les amateurs d’eau-de-vie. Un produit rare et apprécié Dans la propriété, on trouve comme cépages réservés aux cognacs de l’ugni blanc, de la folle-blanche et du colombard, un vieux cépage de la région généreux en fruit. Ils expriment chacun dans leur subtilité le meilleur du terroir calcaire de ce coin de campagne française et de son climat océanique particulier. La plus belle « signature » de la maison, le cognac XO, est la fierté de la famille Dampierre et fait preuve de toute l’attention nécessaire à la création de ce produit d’exception. Les professionnels du secteur ont reconnu en 2015 le savoir-faire du château concentré dans cette eau-de-vie en lui attribuant cinq médailles d’or dans différents concours internationaux dont la très convoitée première place du concours général agricole de Paris. Sa robe est ambrée, soutenue et avance une belle brillance limpide. Au nez, on trouve d’élégantes traces de vanille et de caramel alors qu’au palais c’est une attaque franche et chaleureuse qui nous interpelle avant de laisser place à une bouche tonique. La dégustation du nectar s’accompagne parfaitement avec un tartare de thon ou plus simplement avec une cuillère de caviar. La carafe est elle-même une petite œuvre d’art. Élégante et fine, elle est dans une livrée splendide et ne démérite pas aux côtés de son contenu. Découvrir le berceau d’un savoir-faire Cet endroit subtil et riche d’histoire est ouvert aux visites du public. Le château est un bâtiment classé au patrimoine historique depuis trois cents ans et plusieurs excursions accompagnées permettent de se rendre au plus proche de l’âme du site ; son chai datant du XVIIe siècle et sa cave en pierres taillées si particulière où est encore distillé, dans l’alambic traditionnel, le précieux nectar. Le produit va ensuite délicatement vieillir pendant quinze ou vingt ans dans des fûts de chêne frappés aux armes de la famille avant d’être mis en carafe en éditions très limitées. Les visites, payantes, incluent une balade au cœur des installations viticoles et une dégustation en fin de parcours. ...

Comundi Compétences : acteur innovant de l’ingénierie pédagogique et de la conduite du changement

Fondé en 1987, cet organisme formateur a rejoint le groupe européen de l’information professionnelle WEKA en 2014 pour construire son expertise autour d’un puissant réseau de marques spécialistes. Ce groupe fédère aujourd’hui Formations Directions, Tissot Formation, Techniques de l’Ingénieur, Stratégies Formations, MB Formations et Legal&Network, qui sont des partenaires d’excellence pour l’entreprise. Restructurer les savoirs pour répondre aux nouveaux exigences et enjeux stratégiques  Interrogée sur le mode de conception de son programme de formation, Claire Pascal, Directrice Générale, explique que « le catalogue des formations veut s’adapter à l’ère du temps, à la culture des entreprises et aux besoins réels du marché ». À la confluence, elle souligne plus particulièrement le contexte global du secteur, en pleine ébullition dans la réforme de la formation professionnelle engagée depuis l’année 2014. Ce projet de loi bouscule les pratiques dans les entreprises et fait apparaitre de nouvelles demandes dans l’univers de la connaissance. Ainsi, Comundi Compétences intègre dans ses réflexions les nouvelles alternatives pédagogiques capables d’accompagner la réalisation du projet professionnel de chaque salarié tout en stimulant la compétitivité de l’entreprise. Dans ce champ opératoire particulièrement complexe, les 600 experts et consultants-formateurs assurent une veille permanente, anticipent les besoins, identifient les objectifs pédagogiques et apportent des solutions pertinentes. Ces dernières peuvent se décliner sous plusieurs formats en présentiel (coaching, formation métier, cycle long, parcours professionnalisant CPF, ateliers et conférences, etc.) et en digital learning (e-learning, portail MOOC, classe virtuelle, webinar, serious game, etc.). « Notre manière à nous d’apprivoiser et d’assembler ces briques digitales dans le but de composer un contenu innovant fait notre identité » souligne-t-elle. En parallèle, l’entreprise propose également un coaching individuel ou collectif ainsi que des prestations counseling en management et soft skills, ressources humaines et transformation digitale. Une approche pluridisciplinaire à la croisée du distanciel et du présentiel « Pour nous, l’innovation traduit la capacité à recréer et à réinventer l’existant en apportant une valeur ajoutée en plus pour satisfaire les besoins de notre marché ». En avançant ces propos, Claire Pascal illustre parfaitement le cœur du métier même de Comundi Compétences. Elle se réfère notamment à l’offre blended learning, définie comme une modalité d’apprentissage mixte qui altère une formation présentielle et une formation digitalisée. « Grâce à cette méthode, nous pouvons offrir une solution one-to-one, plus précise et plus engageante, pour donner un vrai sens à la formation collective». Toutes les ressources numériques du Comundi Store sont exploitées en avant, pendant ou après un présentiel pour dynamiser l’échange : module de formation MOOC, outils de reporting, application via des serious game, webinar, mobile learning, module d’évaluation et pack préparation concours. Au-delà d’un ensemble de dispositifs numériques, le digital learning est d’abord une culture qui révolutionne, non seulement la démarche pédagogique, mais aussi l’écosystème de l’entreprise à tous les niveaux : les méthodes, les acteurs, le processus, la communication, etc. Le créative learning trip, destiné aux dirigeants, cadres et managers, s’inscrit également dans cette volonté d’innovation. Prenant la forme de visites guidées dans les écosystèmes spécifiques comme les start-up ou les usines, ce programme, co-créé par Emulsion Creative, a pour objectif d’aider les entreprises à découvrir les nouvelles tendances dans leur secteur. Le processus créatif, le design thinking, la pédagogie collaborative, l’intrapreunariat et la transformation digitale seront les principaux thèmes mis en avant pendant les deux jours de visite. En outre, cette offre se décline &...

Restaurant Le Paname :
cuisine de tradition dans un décor de charme

Bénéficiant du label Maitre restaurateur, Le Paname fait sensation par son brunch dominical à concept unique. Mais sa bonne cuisine de marché, faite maison, concoctée au quotidien à partir d’ingrédients frais est pareillement un pur bonheur pour les papilles. Plaisir des sens au Paname Dans un cadre calme, Le Paname reste l’endroit idéal des foodies adeptes de cuisine gourmande. La grande terrasse protégée par des parasols beiges et entourée de verdure invite à profiter du soleil durant l’arrivée des beaux jours. Plutôt en quête de tranquillité et d’intimité ? Investissez la salle intérieure offrant une atmosphère chaleureuse dans un décor agréable. Au quotidien, 2 formules déjeuners sont proposées à un prix des plus abordables si vous ne préférez pas piocher d’autres délices dans la carte. Rien de tel que les croustillants de gambas et leur mousse de poivron rouge ou l’une des salades (Paname, Caesar, Norvégienne, Landaise, etc.) pour entamer le repas. Laissez-vous ensuite tenter par un pavé de saumon mi-cuit accompagné d’un risotto crémeux ou par le Paname Burger, plat signature du restaurant. Une salade de fruits frais, une crème brûlée à la vanille ou des crêpes Suzette flambées au Grand Marnier vous attendent en guise de desserts. Côté boissons, Le Paname fait les choses en grand avec une large palette qui comble toutes les envies : vins, champagnes, cocktails, bières, apéritifs, digestifs, smoothies, milkshakes ou jus de fruits. Et cerise sur le gâteau : le happy hours commence dès 17 h, jusqu’au soir à 23 h. ...

Domaine des Pradelles : un savoir-faire transmis de génération en génération depuis 150 ans

Le vignoble du domaine des Pradelles s’enracine sur une ancienne propriété des Chevaliers de l’ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem, située sur la commune de Vacquiers (Haute-Garonne). Les vins On distingue parmi les produits phares les cuvées « Prestige » et « Légende rouge », dont l’encépagement est à dominante négrette. Preuve du succès de ses vins, depuis 2001, le domaine des Pradelles a accumulé les récompenses dans différents concours nationaux. Les médailles d’argent ont été attribuées aux cuvées « 100sations 2017 » AOC Fronton et « Réserve de Malo 2017 » IGP Comté-Tolosan au concours Saveurs et Senteurs du Frontonnais 2018. ...

UMR 1098 - INSERM/UFC/EFS : des recherches de qualité, des thérapies innovantes

L’UMR 1098 a été créée en 2012 sur les bases de l’unité UMR645. Elle vient d’être reconduite par l’INSERM en Janvier 2017 pour 5 ans. Elle est localisée sur le pôle santé TEMIS des Hauts de Chazal de Besançon, proche du CHRU Jean Minjoz et de l'Institut Régional Fédératif du Cancer de Franche Comté (IRFC). L’unité est dirigée par le professeur Philippe Saas, et les recherches menées s’articulent surtout autour des relations entre le système immunitaire du patient et son greffon lors des transplantations, ou du système immunitaire et sa tumeur au cours de cancers. Des objectifs ambitieux : l’identification de biomarqueurs et de nouveaux traitements, les biothérapies Une des entités pionnières dans le domaine de la recherche translationnelle française, l’UMR 1098, oriente l’ensemble de ses recherches vers deux finalités majeures. En premier plan de ses objectifs, se trouve l’identification des biomarqueurs qui permettent de déterminer les causes d’une pathologie, de comprendre davantage le fonctionnement du système immunitaire dans ce contexte, et d’éclairer ainsi des zones d’ombre. Ces biomarqueurs permettent de distinguer différentes formes d’une même maladie et d’identifier de nouveaux traitements. Les maladies concernées sont la transplantation rénale, la greffe de moelle osseuse, l’autogreffe d’ovaire, des maladies auto-immunes (polyarthrite rhumatoïde, thrombopénies auto-immunes, artérites à cellules géantes,…) et des cancers (du poumon, du colon, les leucémies,…). Ses missions ne se limitent pas aux aspects fondamentaux de la recherche, mais s’élargissent jusqu’à la mise au point des nouvelles thérapies, à savoir le développement de médicaments innovants. Ces médicaments peuvent être basés sur des cellules immunitaires (lymphocyte T) ou d’autres produits du système immunitaire. L’UMR 1098 se trouve donc au cœur de divers défis médicaux majeurs : les réponses immunitaires, les complications liées à la transplantation, l’immunothérapie anticancéreuse, la transfusion sanguine, les biomarqueurs, la physiopathologie des maladies auto-immunes ou la réponse immunitaire antitumorale. Des plates-formes de pointe Afin d’atteindre ses objectifs, l’UMR 1098 a développé une forte collaboration académique et industrielle à l’échelle régionale, nationale et internationale. Elle coopère en effet activement avec des services cliniques des CHRU de Besançon et Dijon, dont le service de transplantation rénale, d'oncologie médicale et le service d’hématologie ainsi qu’avec des laboratoires d’excellence et d’autres entités leaders dans leur domaine, comme le LabEX LipSTIC, le Cancéropôle du Grand Est, l’Institut FEMTO-ST, ou le consortium ECellFrance. Désireuse d’être toujours à la pointe, elle s’est également dotée de différentes de plates-formes technologiques. Sa localisation au sein de l’EFS Bourgogne Franche-Comté lui permet d’avoir accès à des salles blanches abritées par l’EFS suivant les exigences européennes pour la production des médicaments de thérapie innovante (appelé MTI). L’EFS est un établissement pharmaceutique permettant de produire ces médicaments. L’unité dispose aussi d’une plate-forme de Bio-Monitoring pour réaliser des analyses biologiques chez les patients. Cette plateforme est commune avec le Centre d’Investigation Clinique (CIC-1431) du CHRU de Besançon permettant de mener des études cliniques de phase précoce. Une plate-forme d’ingénierie cutanée est dédiée au développement de substituts cutanés. Deux équipes de haut niveau aux compétences complémentaires Les moyens techniques et la promotion de partenariats sont, à l’évidence, essentiels pour les activités de l’UMR 1098. Mais, ce sont ses ressources humaines les véritables leviers de réussite et de concrétisation des projets. L’unité de recherche regroupe effectivement des chercheurs, enseignants chercheurs et cliniciens. Ces derniers permettent de disposer de cohortes de patients, au cœur de ses projets. Quelques 120 scientifiqu...

Parc Alpha, à la rencontre des loups

En plein cœur du Parc national du Mercantour et à quelques kilomètres de la commune de Saint-Martin-Vésubie, le Parc Alpha est situé au Boréon, c’est-à-dire à l’endroit même où le loup a fait son retour. L’engouement du grand public pour cet animal fascinant est tel que, depuis 2013, sous l’impulsion d’Éric Ciotti, président du Syndicat mixte pour le développement de la vallée de la Vésubie et du Valdeblore, le parc connait une affluence de 63 000 visiteurs par an. Actuellement, il héberge 24 loups de 2 sous-espèces différentes, réparties en 3 meutes, vivant en captivité dans de vastes espaces clos. Les objectifs du parc Depuis son retour en France, le loup est sujet d’une polémique au sein de la population locale, entre les éleveurs et les défenseurs des animaux. Le débat, qui s’est propagé au niveau national, est axé autour de la présence à l’état sauvage de ce prédateur dans la région. Le Parc Alpha a pour principal objectif de concilier les parties et de rétablir un dialogue constructif entre les différents protagonistes, en expliquant les enjeux et la problématique liés au retour de cet animal. Il sert aussi de terrain d’expérimentation grandeur nature pour développer la recherche scientifique autour du loup. Le parc animalier contribue, en outre, à redynamiser le pôle touristique de la région et à favoriser le développement économique local en utilisant l’image du loup. Sur les traces du loup S’étalant sur une surface de 12 hectares, le Parc Alpha est subdivisé en 3 secteurs bien distincts. Le chemin aménagé appelé le « Pas du loup » mène au pont de Cerise, situé à l’entrée du parc. L’accueil des visiteurs s’effectue au « Temps des hommes », où se trouve un espace de pique-nique en plein air et deux anciennes « vacheries ». Ces deux étables de l’époque de l’industrie laitière ont été restaurées et reconverties en salle de spectacles, boutique de souvenir et point de restauration. La visite commence dans la salle de spectacles avec la projection de 3 scénovisions, des récits vidéo réalisés grâce à un décor et à des effets spéciaux spécifiques. Ces vidéos racontent l’histoire des rapports entre l’homme et le loup au fil du temps et présentent quelques points de vue sur le retour du loup dans le Mercantour. Autre activité incontournable : la ferme pédagogique d’Auguste et de Marie, permettant aux enfants de découvrir les différents animaux de la ferme. L’observation effective des 3 meutes présentes au parc se fait, quant à elle, au « Temps du loup ». Cinq affûts de bois sont disséminés au sein de cet espace et ont été agencés de façon à ce que les visiteurs puissent découvrir les animaux sans empiéter sur leur lieu de vie. Vivre au plus près d’un prédateur Le Parc Alpha propose également d’aller au-devant de cet animal fabuleux au travers de certaines activités insolites. Les visiteurs sont conviés à vivre une véritable immersion au plus proche des loups, en accompagnant le personnel du parc et en devenant soigneur le temps d’une journée. Ils participent, notamment, à la préparation de la nourriture de la meute du Boréon. ...

L'Atlantique : repas gastronomique dans une ambiance jazzy

C’est en février 2014 que Soufiane Rachouque, le gérant, ouvre l’Atlantique. Il y propose une cuisine bistronomique dans un cadre aux allures de bateau qui invite à une croisière, à la découverte des saveurs du monde. Les grands esprits se rencontrent Soufiane effectue ses études en hôtellerie à Lausanne.  Il fait ses premières armes à l’Hôtel InterContinental à Genève pour ensuite devenir maître d’hôtel pendant trois ans pour le compte d’une grande famille. Après avoir notamment exercé durant 4 ans au Sofitel puis à l’issue d’un long séjour à Londres, il a l’idée de lancer son propre restaurant. Dans cette optique, il revient sur la presqu’ile et tombe sur ce charmant restaurant qu’il s’empressa d’acquérir. Il vivra cette aventure aux côtés de Nicolas Schmitz, un chef passionné et dynamique à qui Soufiane attribuera toute sa confiance. L’impressionnant parcours de ce jeune chef parle de lui-même. Alain Ducasse, Michel Guérard, Antoine Westermann… Nicolas a travaillé au côté des plus grands noms de la gastronomie française. Son expérience se reflète au travers de sa cuisine à la fois gourmande, savoureuse et maîtrisée. Une cuisine du terroir Le chef n’utilise que des produits locaux fournis par les petits producteurs de la région et des environs. Tout est frais et fait-maison, une exigence que Nicolas met un point d’honneur à mettre en avant. Puisque le restaurant est spécialisé dans la préparation de poissons et de fruits de mer, il s’approvisionne auprès des pêcheurs du coin qui apportent quotidiennement leurs trouvailles. Pour l’acquisition des fruits et légumes, le chef travaille en étroite collaboration avec une maraîchère qui veille à sélectionner ses meilleurs produits. Sinon, il se rend sur les marchés du Port-Haliguen, de Saint-Pierre-Quiberon et de Quiberon en compagnie de son second. Le fromage et les viandes issus de la région de Bretagne illustrent leur attachement au terroir. Une carte à multi-facettes A la carte, le tartare de saumon en mille-feuille d’ananas relevé au gingembre et citron vert, le tout assaisonné d’une vinaigrette mangue et passion, est un délice pour les papilles. En plat de résistance, le pavé de cabillaud en croûte d’herbes, tombée de chou vert et jambon Serrano fait partie des quatre suggestions disponibles. Pour clore le repas, la crème brulée à la vanille Bourbon apporte une note de douceur et de gourmandise. Dans la gamme des menus à ne pas rater figure la formule « Libre ». Elle est créée selon l’humeur et l’inspiration du chef qui invite les convives à vivre un instant culinaire des plus délectables. Servi à l’ensemble de la table, ce menu surprise laisse transparaître tout le talent et la créativité de Nicolas. Côté vin, la cave est constituée essentiellement de vins blancs notamment de Loire, parfaits pour accompagner les fruits de mer. Parmi les suggestions de la maison figure notamment le Mersault AOC Bourgogne 2013 du domaine des Champs-Lins. Dans la gamme des vins rouges, le Château La Nerthe du domaine Châteauneuf-du-Pape de la Vallée du Rhône-Sud fait voltiger les papilles. Cadre chic et chaleureux Dès l’entrée, la terrasse en teck offrant une vue sur le vieux port de Haliguen attire toutes les attentions. Durant l’arrivée des beaux jours, elle promet des moments de convivialité pour un apéro entre amis ou un dîner romantique en amoureux. L’intérieur de la salle affiche une décoration marine avec une prédominance de couleurs gaies et sophistiquées, le tout baignant dans une belle luminosité grâce à la présence de la grande baie vitrée. Le soir, les pianistes dans l'âme sont conviés à prendre place au piano pour partager leur talent avec l'ensemble de la salle.  ...

Destination Baie de Saint-Brieuc Paimpol Les Caps

Spectaculaires itinéraires : le GR®34, itinéraire mythique de Bretagne Suivez le sentier des douaniers pour découvrir le Grand site Cap d’Erquy - Cap Fréhel aux falaises de grès rose dominant de grandes plages de sable blanc. Plus à l’ouest, les plus hautes falaises de Bretagne, de Plouézec et Plouha, offrent une vue imprenable sur la Baie de Saint-Brieuc et l’archipel de Bréhat, spectacle permanent propice à la randonnée... Ici et là, de nombreux itinéraires balisés vous emmènent à pied, à cheval ou à vélo, au détour d’un moulin, d’une vallée, d’une fontaine, d’une Petite Cité de Caractère. Gardez le bon cap : les Espaces Mer® Tester le longe-côte à Plérin, une sortie en mer sur La Pauline, voilier traditionnel de Pléneuf-Val-André, visiter le phare de la Croix à Paimpol en kayak de mer, louer un catamaran à Binic, se faire aiguiller sur les meilleurs spots de kitesurf, ce sont plus plus de 360 manières de voyager sur l’eau. Douces ou salées, les professionnels du nautisme vous accompagnent dans des activités vivifiantes. En mode découverte, elles sont accessibles à tous les niveaux, juste pour le plaisir, en famille ou entre amis. Version coaching, on profite d’un accompagnement individuel et de conseils personnalisés. Plus sport, certaines activités s’adressent aux mordus en quête de perfectionnement et de dépassement de soi. Des expériences conviviales pour déconnecter L’appel de la criée à Erquy En fonction des saisons, les pêcheurs débarquent de nombreuses espèces de poissons et coquillages, et aussi les fameuses Coquilles Saint-Jacques de la Baie. A travers une visite guidée de la Criée, on peut découvrir le parcours de tous ces produits, de la mer vers l’assiette. Session danses bretonnes à Guingamp Entrez dans la danse des vacances estivales ! Lors du Festival de la Saint-Loup à la mi-août. Visites guidées du Haras national de Lamballe Toute l’année, Le haras et ses écuries met à l’honneur le cheval et ses célèbres étalons de trait et postier breton. A voir : la carrière d’honneur, la sellerie la remise hippomobile. Journée détente « spa essentiel » à Pléneuf-Val-André Bienvenue dans les différents espaces du Spa Marin du Val-André. Ici on se prélasse et on profite de soins personnalisés. En plein cœur de la station balnéaire, on se balade sur son immense plage, sa digue promenade et on découvre un riche patrimoine balnéaire. Les secrets des falaises de Plouha vues de la mer Au rythme des pagaies, on s’offre un peu de frissons et une sortie kayak de mer vertigineuse au pied des plus hautes falaises de Bretagne. Derrière le lien tonique, beaucoup d’amitiés à conquérir ! Evasion à bord du Maestro Croisière au large de la Baie de Saint-Brieuc Au départ des ports de Binic ou de Saint-Quay-Portrieux, un catamaran tout confort fait goûter au plaisir d’une navigation. Entre criques et falaises, sur les eaux de la Baie, on partage cela en famille ou entre amis avec un skipper d’expérience... et aux petits soins ! Le port de Paimpol Depuis les quais de la “Cité des islandais”… On peut miser sur le mardi matin, jour de marché, pour découvrir le Vieux Paimpol et explorer la ville pittoresque. Comment ne pas se laisser embarquer par l’histoire de tous ces marins qui ont fait le mythe du pays ? A noter : la visite guidée des mardis après-midi en saison. Les balades accompagnées "cyclobutineurs" au départ de Plurien Les mercredis d’été, on prend le rythme… de la lenteur. Pédaler et s’essayer au vélo à assistance électrique en famille, c’est le pied non ? Matériel adapté pour les enfants : remorque, vélo suiveur, siège enfant. Dîner aux chandelles au Château de Quintin ! Chaque samedi soir d’été, C’est la vie de château. Dans la salle à manger ou dans les anciennes cuisines, on se fait plaisir avec un vrai dîner aux chandelles. Pour la balade digestive, on ne manque surtout pas l’exposition en nocturne. Escale gourmande sur le marché de Saint-Brieuc Les mercredis et samedis matin, on entre sur le marché briochin comme en méditation d...

Bistrot Aux 24 Colonnes :
une cuisine traditionnelle gourmande

Sous la houlette d’Éric Violette, qui est à l’accueil, et son chef cuisinier écossais. La cuisine Faite Maison de ce bistrot chic se déguste dans une ambiance conviviale et amicale. La petite anecdote des lieux concerne son nom Aux 24 Colonnes, qui s’inspire de la proximité avec le Palais de Justice du Vieux Lyon. Une cuisine gourmande dans un cadre authentique Implanté dans le quartier du Vieux Lyon, classé au patrimoine mondial de l’humanité, Le Bistrot du Palais offre un cadre authentique et original, puisqu’il est installé dans une ancienne écurie de la primatiale Saint-Jean-Baptiste, qui date de 1388. Tous les matériaux du bâtiment sont faits uniquement en matière naturelle, avec du bois ou de la pierre. Rien que son plafond à la française du début du XIXe siècle mérite amplement le détour. La salle affiche un décor traditionnel et élégant. Les grandes banquettes, les tables et les chaises en bois donnent tout son cachet à cet espace intérieur. Les nombreuses surfaces vitrées donnent l’impression d’agrandir les lieux tout en conférant un air chic et rétro au restaurant. Les spécialités lyonnaises à l’honneur Le restaurant prône une cuisine faite maison, élaborée avec des produits frais et de saisons. Toutes les matières premières sont fournies par des professionnels de la région comme la charcuterie Bobosse, la fromagerie de la Mère Richard, le glacier Nardone ou le pain des Jacobins. Elles permettent au chef d’élaborer de nombreux plats gourmands qui ravissent les palais. Ici, pas de menu. Seule une carte constituée de nombreuses spécialités lyonnaises est proposée. Celle-ci change tous les 3 mois, à chaque changement de saison. Tous les plats, même les spécialités de la région, sont revisités à la façon 24 Colonnes et font la réputation du restaurant. En entrée, les convives se délecteront d’une gratinée lyonnaise, de l’œuf meurette ou d’une salade lyonnaise à base de 5 variétés de salades, de lardons, de croûtons et d’œuf poché, ou encore du Claqueret. En plat de résistance, place à l’andouillette « Bobosse » à la Beaujolaise, le blanc de Poulet de Bresse farci au boudin noir et jambon cru, la Quenelle aux queues d’Ecrevisses. Pour les desserts, la tarte pralinée, le cake à la rhubarbe et aux amandes, le soufflé au chocolat achèvent le repas en beauté. ...

Domaine de la Mongestine : l’expression d’un terroir unique

Une nouvelle aventure au cœur de la Provence verte Avec une branche de sa famille en Bourgogne, Harry avait déjà un pied dans le monde du vin. Il a pourtant fait toute sa carrière dans l’univers de la finance et de la programmation informatique. Tout juste sorti d’une société éditrice de solutions logicielles, qu'il avait créée à destination des traders sur les marchés financiers, il achète un domaine viticole en Provence. « Avant de me jeter corps et âme dans le monde du vin, j’ai travaillé une quinzaine d’années sur les marchés financiers entre Londres, Paris, New York et Bruxelles, puis une quinzaine d'années dans le monde des logiciels. Il y a de nombreux parallèles à faire entre ma première vie et la vigne. Par exemple, même si l'on ne maîtrise pas tous les paramètres, il faut réussir à mettre en place certaines méthodologies pour créer quelque chose qui soit nouveau et, dans le cadre du vin, séduisant pour le consommateur. » Toute sa vie, il a cherché de nouveaux challenges, préférant la complexité à la facilité, explorant au cours de sa carrière des univers qui lui étaient inconnus. « Ce récent bouleversement vient d’une volonté de changer complètement de rythme de vie. Je voulais travailler avec Céline sur un projet concret, très local. » Au lieu de défendre l’économie numérique française, il s’emploie aujourd’hui avec son équipe à protéger le patrimoine agricole et viticole de sa région d’adoption. « On ne touche que très peu nos vins » Situées à flanc de coteau sur un sol principalement argilo-calcaire exposé plein nord, à l’exception de quelques parcelles plus limoneuses en pied de vallée, les vignes du jeune viticulteur jouissent d’une belle exposition au soleil tout en profitant de la fraîcheur du mistral qui balaie cette région du sud de la France. L’ancien propriétaire avait, avant de se séparer de son domaine, replanté l’intégralité des cépages et travaillait depuis ses débuts la terre manuellement. Bien avant la certification Agriculture biologique ( AB ), que le domaine a obtenue en 2014, les syrah, grenache et sauvignon s’épanouissaient déjà sur une terre vierge de tout intrant chimique. La Mongestine travaille aujourd’hui avec une douzaine de cépages, principalement des AOP coteaux-d’aix, plantés à flanc de colline et à l’orée de la forêt qui domine la vallée. Harry a gardé les bonnes méthodes de son prédécesseur et la même équipe pour continuer à s’occuper des vignes. Cette conduite du plant très rigoureuse se note visuellement lors d’une visite du domaine : au lieu de pieds plus sauvages, une caractéristique des plantations biologiques classiques, les trente hectares plantés sur les 120 ha du domaine affichent des rangées bien droites, très alignées. En cave, Harry ne travaille qu’avec des levures indigènes, permettant à chaque cépage d’exprimer librement toute sa palette. Les jus sont très peu sulfités et du coup beaucoup plus ouverts, plus expressifs. Ces conditions donnent des vins aux degrés alcooliques stables, autour de 13°. Grâce à une fermentation poussée, ils gardent une très bonne tension et une jolie structure et, particulièrement sur les rosés, une rondeur presque soyeuse. « On essaie de travailler à la limite de ce que le terroir peut exprimer des cépages et sans prendre trop de risque en termes de transport et conservation. Par exemple, on arrive à avoir sur des rosés, qui font souvent moins variés que des rouges ou des blancs, des vins qui sont justement différents et qui peuvent exprimer pleinement ce terroir provençal. » Une nouvelle cuvée surprenante Le domaine de la Mongestine a récolté en 2017 sa première cuvée IGP coteaux-du-verdon. Vinifié en mono-cépage dans trois couleurs (roussanne, pinot noir, merlot) et destiné à être commercialisé en entrée de gamme, le millésime s’est montré particulièrement expressif et très aromatique, au-délà des espéran...

Vins Alphonse Kuentz : pour les amoureux des vins d'Alsace

Les amateurs de vins d’Alsace et les néophytes souhaitant en apprendre plus sur cette région sont tous invités à se rendre au domaine de la famille Kuentz. Entre modernité et méthode de travail traditionnelle : chaque visite est une véritable expérience. Une exploitation familiale fière de ses origines L’histoire du domaine débute dans les années 1950. Au début, seule de la vente en vrac était proposée. Puis, au fil du temps, la famille Kuentz a commencé à développer la vente en bouteille. D’après Jean-Marc Kuentz, le vigneron de quatrième génération en charge du domaine, ce sont les membres des deux dernières générations de sa famille qui ont commencé à développer la vente en bouteille. Ce qui a permis au domaine de faire connaitre ses cépages et ses créations originales. La particularité du domaine Kuentz : le fait de posséder un vignoble à 380 mètres d’altitude sur un sol à dominante marno-calcaire et argilo-calcaire. Ce qui fait de lui le plus élevé d’Alsace (avec tout ce que cela implique en matière de conditions climatiques). Ce qui frappe le plus quand on visite le domaine, c’est la volonté du viticulteur de travailler à la façon des anciens. Ainsi, les vendanges sont évidemment faites à la main. De plus, les bouteilles possèdent des bouchons de liège naturel et les vins sont vieillis en foudres traditionnelles de 1500 à 5000 litres. D’ailleurs, Patricia Nagel, la gérante du domaine, nous indique qu’une formation HVE (Haute Valeur Environnementale) est en cours. La durée de l’audit prenant une année environ, celle-ci devrait être effective en 2021. Les cépages et vins du domaine Kuentz Avant de parler des créations du domaine Kuentz, intéressons-nous aux raisins. Il faut, en effet, savoir que les vins d’Alsace Alphonse Kuentz sont issus de 7 cépages. Les spécialistes reconnaitront les grands noms de la région que sont le Sylvaner, le Pinot Blanc, Gris et Noir, le Riesling, le Muscat sec et le Gewurztraminer. Chacun proposant des goûts et des arômes différents pour se marier avec les plats typiques de la région (et d’ailleurs). En 2020, le domaine propose ses millésimes 2017 et 2018, ses grands crus 2015 et 2016 ainsi que ses vendanges tardives 2009 et 2015. À savoir : tous les vins sont issus à 100% d’un cépage et aucun assemblage n’est réalisé. Ce qui permet de bien apprécier le fruit. Du Gewurztraminer cuvée « Marie-Louise » qui accompagne à la perfection un apéritif ou un dessert à un Riesling Grand Cru « Pfersigberg » pour aller avec du poisson ou de la choucroute en passant par un Pinot Noir vieilli en fût de chêne qui se marie à merveille avec de la charcuterie ou du gibier : tout le monde y trouve son compte. Sans oublier le célèbre Crémant d’Alsace. Bien qu’il soit difficile de choisir un vin en particulier, la cuvée Marie Louise semble tout indiquée pour apprécier à sa juste valeur le travail de la maison Kuentz. On reconnait bien avec cette boisson savoureuse cette volonté de privilégier la qualité avant tout. Même si cela doit impliquer un rendement limité. C’est d’ailleurs ce qui permet aux cuvées Kuentz d’obtenir de très bonnes notes dans les plus grands guides de vin (souvent au-dessus de 15/20). Oenotourisme et visite de la cave Évidemment, comme tous les grands domaines français, le domaine Alphonse Kuentz ouvre ses portes aux visiteurs de passage. C’est le moment parfait pour en apprendre plus sur l’histoire de cette famille de vignerons tout en goûtant (gratuitement) les différentes bouteilles proposées. Vous pourrez ainsi en apprendre plus sur la méthode de travail traditionnelle employée dans le domaine et poser vos questions au moment de la dégustation et/ou en visitant le vignoble. Ne manquez d’ailleurs pas la petite chapelle Régelé qui domine les vignes alentours. Ce petit bâtiment et l’emblème de la famille Kuentz dessiné par l’artiste renommé J.J. Waltz font la fierté de ces exploitants très en lien avec leurs racines.  À savoir : une extension du caveau est prévue pour accueillir plusieurs nouveaux événements. ...

Vignobles Chatonnet : des vins pour les amateurs de bordeaux harmonieux et précis.

Situé à Néac, à proximité de Bordeaux, le terroir entourant le Château Haut-Chaigneau favorise la création de vins d’exception. Il faut dire que nous nous trouvons à la croisée des grandes appellations Pomerol et Saint-Émilion. Une bonne raison d’en apprendre plus sur les vins du Vignoble Chatonnet. Histoire de la propriété Avant son rachat par la famille Chatonnet en 1967, la propriété du Château Haut-Chaigneau était en ruine. Ainsi, Jeanine et André firent leur possible pour rebâtir ce magnifique domaine de 30 hectares et pour l’améliorer au fil du temps. Aujourd’hui, c’est, Pascal, le fils, qui en est propriétaire. À savoir : la création de bon vin se transmet de génération en génération chez les Chatonnet. Et nous l’observons encore aujourd’hui avec les vins Château La Croix Chaigneu, Château Haut-Chaigneau, La Sergue et l’Archange, plébiscités aussi bien par les œnologues spécialistes que par les amateurs de bordeaux. Réalisés à partir de 3 cépages différents (Merlot noir, Cabernet Franc et Malbec), les vins profitent de la qualité naturelle du terroir de la région superposant des sols sablo-argileux, argilo-sableux et argileux. Souvent primés, nous les retrouvons régulièrement sur les tables des plus grands restaurants. Château La Croix Chaigneau : le vin qui se consomme sans complexe C’est grâce aux jeunes vignes de Merlot et de Cabernet Franc que le Château La Croix Chaigneau a vu le jour. Cet assemblage lui apporte à la fois une grande finesse et une certaine densité. Ainsi, il est parfait avec des grillades simples. Des brochettes, par exemple, iront à merveille avec son côté rafraichissant. À savoir : il est possible de le faire vieillir si vous le souhaitez. Château Haut-Chaigneau : un vin à la fois fin et élégant Idéal avec de la volaille, le Château Haut-Chaigneau est issu d’un assemblage 90% Merlot Noir et 10% Cabernet Franc. Ce qu’on apprécie avec le Haut-Chaigneau, c’est cette capacité à nous proposer des notes très fruitées portées sur les fruits rouges associées à des arômes beaucoup plus boisés. Pouvant être consommé à l’achat, ce vin aux tanins intégrés et à la bouche à la fois élégante et persistante peut aussi être vieilli pendant quelques années supplémentaires pour un résultat encore plus surprenant. La Sergue : une référence à part La Sergue est à la fois puissant et féminin. Pour le créer, les 3 différents cépages de la propriété ont été assemblés ensemble : Merlot Noir (85%), Cabernet Franc (12%) et Malbec (3%). Puis, il a été vieilli pendant 14 mois en barrique neuve. C’est ce travail qui lui donne sa bouche grasse et soyeuse qui lui permet d’accompagner à merveille du veau, de l’agneau voire une petite caille aux cèpes. L’Archange : le 100% Merlot Pour apprécier le côté puissant de l’Archange, issu de son cépage 100% Merlot et du terroir de Saint-Émilion, rien de mieux qu’une bonne côte de bœuf ou une pièce de bœuf au goût relevé. Élevé en barrique neuve, vous découvrez un vin à la fois fruité, dense et rond qu’il est possible de boire tout de suite ou de faire vieillir. ...