Un nouvel espace de coworking à Chalon Le travail de free-lance vient avec son lot d’avantages : indépendance, choix des horaires de travail, gestion de son temps libre, choix de ses partenaires. La liste est sans fin. Mais comme toutes les bonnes choses, il est accompagné de son lot d’inconvénients. Parmi les différentes demandes exprimées par les travailleurs indépendants de Saône-et-Loire, il revenait souvent l‘absence d’un espace de coworking digne de ce nom à Chalon-sur-Saône. C’est chose faite avec l’ouverture récente de Chalon-Coworking, le tout nouvel espace de travail partagé du centre-ville. Les avantages de travailler dans le même espace « Je travaille moi-même comme free-lance depuis 2004 et j’entendais parler des espaces de coworking, particulièrement les Anglo-Saxons, qui se développaient de plus en plus. L’idée d’ouvrir mon propre endroit a germé depuis dans mon esprit, mais ce n’est qu’il y a deux ans que j’ai commencé effectivement les démarches. », explique Pierre Canthelou, fondateur de Chalon-Coworking. Il y a une énorme différence entre les espaces de coworking des grandes villes et ceux des plus petites agglomérations comme Chalon. Les attentes et les besoins, comme le public cible, ne sont pas les mêmes. Mais les avantages quand on sort de chez soi pour travailler dans un espace commun, avec d’autres free-lances, sont partout les mêmes. À Chalon-Coworking, on bénéficie d'un bel open space équipé de la fibre. L’accueil, assuré par Pierre lui-même, est parfait : café, écoute, ambiance de travail studieuse. « Une fois que le coworker passe le pas de la porte, il est généralement surpris par l’espace. C’est vrai que l’on se projette facilement ici. » En plus d’accueillir les travailleurs, le gérant s’occupe de faire la promotion de leurs activités sur son site Internet et sur les réseaux sociaux. Il met en relation les différents utilisateurs de l’espace en plus de les rapprocher d’autres réseaux professionnels de la région. Pierre organise aussi des ateliers orientés vers les professionnels. Tous les mois par exemple, une experte dans les techniques de massage vient soulager les nuques des participants. Mais les ateliers sont variés : informatique, design, développement de logiciels, il y en a pour tous les goûts. Le dernier vendredi du mois, il propose un petit déjeuner où les participants sont invités à discuter entre eux. Encore une manière de faire du réseautage dans une ambiance conviviale. Que l’on cherche un espace où venir travailler une heure, une journée ou même toute l’année, Chalon-Coworking est le nouveau bureau du centre-ville de Chalon-sur-Saône où venir poser son ordinateur. ...
Le Château Hourtin-Ducasse tire son nom de ses deux anciens propriétaires, ayant vécu au XVIIIe et au XIXe siècle. Ce domaine situé à Pauillac, sur la rive gauche de l’estuaire de la Gironde, a été repris par la famille Marengo en 1976, qui, aujourd’hui, élabore des vins élégants et équilibrés. Le but du domaine : laisser la vigne livrer sa plus belle expression. L’agriculture de conservation Le Château Hourtin-Ducasse s’étend sur 25 hectares, dont 23 hectares de vignes. Une démarche d’agriculture de conservation sert de ligne de conduite dans le travail du vignoble. Cela consiste à préserver la richesse du terroir et sa biodiversité et à garantir ainsi la qualité des vins. L’agriculture de conservation s’inspire des techniques utilisées dans l’agriculture biologique et dans la biodynamie. Le peu d’intervention humaine dans le développement des plantes n’use que d’éléments naturels tels que des huiles essentielles ou une infusion à base de plantes. Les sept enfants de Michel et de Marie-Noël Marengo font incontestablement partie de leurs motivations dans cette conservation de la qualité de leur terre.Les 70 récompenses reçues par le domaine durant les 27 millésimes prouvent que le succès ne dépend pas toujours du suivi des règles. L’essentiel, c’est d’avoir des valeurs. « L’élément qui nous tient à cœur, c’est de faire parler la nature, de chercher le caractère et le talent du millésime. C’est ce qui fait que chaque millésime est unique », explique Marie-Noëlle Marengo. Le domaine a donc une méthode peu ordinaire dans l’assemblage des cépages. Assemblage de cépages à l’aveugle Chez les Marengo, cet assemblage destiné à la construction de chaque millésime se fait à l’aveugle. Il n’y a pas de proportions précises sur les différents cépages, mais il existe une quinzaine d’échantillons grâce auxquels le caractère du vin va être forgé puis valorisé. C’est une manière de laisser la vigne et son fruit s’exprimer et les millésimes de « raconter ce qui s’est réellement passé dans la nature à travers ses forces et ses faiblesses », selon Marie-Noëlle Marengo.Le pourcentage de renouvellement de barrique se fait en fonction de cet assemblage et dépend des attributs du fruit. Les décisions doivent accompagner, voire pousser, ces potentiels. En 2008, par exemple, le fruit a été très expressif et généreux, son encadrement et son accompagnement ont nécessité un renouvellement de 60 % des barriques. En revanche, il n’y a eu que 32 % de barrique en bois neuf en 2011 pour ne pas risquer d’ajouter des arômes qui s’écartent de ceux qui sont naturels au fruit. Ce dernier a été délicat pendant ce millésime. ...
Le domaine du Château de Gensac est localisé à Condom-en-Armagnac, dans le Gers, et s’étend sur 20 ha. Un savoir-faire inégalable La magie s’opère dans un chai ultramoderne, équipé de cuves en inox thermorégulées. La vinification terminée, les cuvées vont être élevées assez longtemps en barrique pour obtenir finalement des vins et des armagnacs de très haute qualité. ...
Ils sont trois associés, Stéphane Vier, Yves Aubry et Timothée Béchonnet, à vivre cette aventure collective lancée en 1976. Une pratique culturale saine Certifié Ecocert, le domaine Le Bouc et la Treille, de 9 ha, est conduit en agriculture biologique. Ici, la majorité du travail se fait manuellement (travaux en vert, vendanges, fauchage,…). Parmi ses particularités, la maison élabore des vins en amphores et en jarres de terre cuite. Autres spécificités : enherbement total des vignes, levain naturel, vendanges manuelles, macération très longue, vinification sans sulfite, vins orange... Les cuvées phares Les cuvées « Hircus » en Chardonnay et en Gamay sont les cuvées les plus représentatives. Vinifiée et élevée en fûts, la première présente des notes beurrées de noisette et de pain grillé. La seconde, après un long élevage en fût, dévoile une bouche gourmande de fruits confits, des tanins présents, soutenus par une finale épicée. ...
Situé à quelques pas du centre historique de Bordeaux, rue Georges Bonnac, l'Hôtel Burdigala illustre le mariage réussi entre tradition et modernité. Dès l’entrée, sa façade en pierres blondes de Frontenac évoque le style architectural bordelais du XVIIIe siècle. Mais, une fois la porte franchie, la demeure séduit par sa décoration moderne, chic et cosy. Elle propose aujourd’hui un hôtel quatre étoiles et un restaurant bistronomique : La Table de Burdigala. Une très bonne table ! Installée sous une agréable verrière, La Table de Burdigala opte pour un décor contemporain et « urban chic », avec son subtil jeu de voilages. À l’image de la bâtisse, le restaurant dégage une ambiance à la fois élégante et détendue. Il plonge ses convives dans un confort unique et un calme feutré, en contraste avec l’agitation urbaine. À la hauteur de la beauté du lieu, la qualité des plats est irréprochable. À base de produits frais issus du terroir, le Chef Denis Lemercier - Maître Restaurateur revisite le répertoire de la gastronomie classique française en y apportant une touche dosée de modernité et d’originalité. Au gré des saisons, la carte et les menus proposent une grande variété de plats, pour satisfaire toutes les envies, même les plus exigeantes. Parmi eux, le gravlax de saumon et raifort, blanc de poireau en viennoise de sésame noir, en entrée ; et le paleron de bœuf du Limousin braisé aux morilles accompagné de pommes fondantes et de rutabaga, en plat principal, sont les plus prisés. ...
Le lien entre les idées et la réalité est la visualisation. Fondé par de talentueux designers graphistes et illustrateurs partageant cette conviction, UP! Studio Paris fait partie des premiers cabinets de conseils en communication qui se spécialisent dans la pédagogie collaborative ou design thinking (pour les plus experts), appliquée à la communication. Après douze ans d’existence, l’entreprise continue d’exceller dans la formation en facilitation visuelle pour les entreprises et la conception de solutions sur mesure en communication visuelle. Le dessin au cœur du métier La facilitation visuelle ou graphique se définit comme étant une pratique utilisée lors d’un meeting, workshop, coaching, convention, séminaire ou réunion stratégique pour représenter l’intelligence collective et émotionnelle. L’objectif de cette méthode est de permettre aux participants de voir concrètement et de comprendre en temps réel comment les idées et les raisonnements évoluent vers une vision ou vers un objectif commun. « Elle favorise surtout la création d’un processus d’écoute active, de fusion d’idées et de partage émotionnel entre le manager et son équipe afin de générer un contenu collaboratif à la fin de l’événement », souligne ENRICO BALDETTI, directeur associé et directeur artistique de l’agence. À travers cette infographie illustrée, UP! Studio Paris accompagne les entreprises dans la visualisation stratégique pour raconter le cheminement d’un concept, connecter les raisonnements (mindmaping et brainstorming), ou pour schématiser une problématique. « Nous pouvons dire qu’il existe effectivement de la co-création à partir du moment où il n’existe plus de séparation entre notre équipe et les clients : ils travaillent et avancent ensemble. » La pédagogie collaborative développée par le cabinet est donc conçue pour cultiver une participation active des collaborateurs et rendre la communication plus dynamique, réelle et humaine. Apprentissage de la communication collaborative aux entreprises La seconde mission d’UP! Studio Paris est de transmettre son savoir-faire aux entreprises, et ainsi « d’améliorer la performance des réunions et la méthodologie des processus décisionnels en équipe ». En effet, à l’ère où l’on parle de plus en plus de knowledge management, de développement personnel et de Chief Happiness Officier (CHO) dans l’entreprise, la démarche managériale se doit de construire et de partager une vision commune. Ainsi, l’objectif des formations proposées par UP! Studio Paris est de « permettre aux entreprises d’avoir une certaine autonomie dans la pratique de la facilitation visuelle, pour qu’ils puissent améliorer la qualité des moments de partage en équipe et gagner en performance et convergence », fait savoir notre interlocuteur. Pour ce faire, UP! Studio Paris propose des modules de formation s’étalant sur un à trois jours, selon les besoins de l’entreprise. Au programme : une demi-journée découverte suivie d’un exercice pratique, notion de base en dessins, apport théorique sur la facilitation visuelle. Pour ceux qui souhaitent approfondir, la formation peut s’enchaîner sur une application orientée projet traitant une thématique propre à l’entreprise ou une problématique réelle dans son environnement, sous forme d’exercice individuel et collectif. Enfin, un autre module s’intéresse également à la conduite et l’animation d’une réunion participative, ainsi qu'à l’apprentissage de la communication digitale. Par ailleurs, un Up Tools Box contenant tous les outils nécessaires à la création de contenus créatifs est fourni individuellement au début de la formation. Un cours de formation en ligne pour pratiquer le dessin (Learn by drawing) est aussi disponible sur le site internet de l'agence. Une opportunité de partager ses croquis avec les autres facilitateurs visuels et s'améliorer par la co-création. ...
C’est en 1668 que le marquis de Vauban, de son vrai nom Sébastien le Prestre, conçoit les premiers plans de l’édifice pour en faire une place forte redoutable de l’époque. La citadelle faisait autrefois office de caserne pour les soldats du roi Louis XIV, puis prison d’État et camp de prisonniers de guerre avant d’être transformée en dépôt militaire. Elle a dû subir de nombreux travaux de rénovation et de restauration afin de conserver son architecture authentique d’antan. Chargée d’histoire, ce lieu unique en son genre tient sa promesse : celle d’un patrimoine vivant fort en émotions. Un patrimoine séculaire revisité Érigée au sommet d’une colline entourée elle-même de sept collines et enfermée par une boucle de la rivière du Doubs, la forteresse surplombe la capitale comtoise, Besançon, de plus de cent mètres et offre un panorama impressionnant depuis ses remparts. Elle s’étend sur douze hectares et abrite trois musées labellisés « Musées de France » dont le Musée de la Résistance et de la Déportation, un musée d’histoire fondé en 1971 par Denise Lorach, ancienne déportée, le Musée comtois, où sont exposées depuis 1948 l’histoire et l’ethnographie bisontines, ainsi que le Muséum de Besançon dont « la particularité est de réunir en son sein des secteurs animaliers très variés afin d’illustrer toute la richesse de la biodiversité », souligne Marie-Pierre Papazian, responsable Marketing en charge des Relations Médias. Avec ses richesses naturelles et ses particularités uniques, la Citadelle, elle, a été classée au titre de monuments historiques français en 1924 et est inscrite sur la liste du Patrimoine mondial de l’Unesco depuis 2008. Elle compte parmi les sites touristiques et culturels les plus visités de la région Bourgogne-Franche-Comté. Parmi les plus belles citadelles de France telles que celles d’Arras et de Longwy, elle est reconnue comme la plus belle et accueille plus de 270 000 visiteurs par an avec des centres d’intérêt éclectiques : découverte du patrimoine, de l’histoire, des musées, de la biodiversité, des spectacles… Par ailleurs, la Citadelle doit sa renommée à son créateur, l’architecte Vauban. Issu de la petite noblesse bourguignonne, ce dernier devient ingénieur militaire du roi Louis XIV en 1653 jusqu’à sa disparition en 1707. A ce titre, il édifie les plans des fortifications, assure la défense ou le siège des places fortes et participe personnellement aux actions de guerre lorsque cela s’impose. Vauban a beaucoup voyagé pour mener à bien ses projets ; on estime qu’il parcourait pas moins de 4 000 km par an. À la fois créatif et plein d’imagination, « il a su utiliser la particularité géographiques des lieux et les renforcer pour faire de la citadelle de Besançon une forteresse imprenable », précise notre interlocutrice. Une destination touristique aux mille facettes La Citadelle de Besançon propose toute l’année plusieurs activités destinées au grand public. Artistes, historiens et scientifiques conjuguent passion et savoir-faire pour renouveler les programmes en permanence. Au cœur de la forteresse, dans la chapelle Saint-Étienne, un spectacle multimédia est proposé pour permettre aux visiteurs de plonger dans l’histoire de la citadelle et de la capitale comtoise. Sur d’immenses surfaces de projections et tout autour des spectateurs, les siècles défilent, les personnages apparaissent et s’interpellent dans une gigantesque fresque historique. Depuis le temps de Jules César au Moyen Âge, en passant par les règnes de Charles Quint et de Louis XIV jusqu’aux périodes les plus tumultueuses de l’histoire de la forteresse, les présentations interactives et ludiques invitent à voyager dans le passé. En outre, les deux « chemins de ronde », longs d’environ 600 mètres, sont des lieux incontournables pour admirer le paysage exceptionnel : vieille ville de Besançon, collines verdoyantes et vues imprenables du méandre du Doubs. Pour compléter la visite, la citadelle vous convie en petit groupe et sous la conduite d’un guide à d&...
Située à Sailly-sur-la-Lys et gérée par Janine Lenoir, cette table fidèle aux succulences du Nord se démarque par son attachement à la cuisine traditionnelle et par son goût prononcé pour la qualité. Les recettes savoureuses proposées dans une carte riche des origines de la maison, avec une variante spéciale pour les végétariens, plairont aux fins gourmets. Le « fait maison » à l’honneur En s’approvisionnant auprès de producteurs locaux et en élaborant des plats « fait maison », ce restaurant propose « une cuisine traditionnelle avec des produits et des recettes maison », assure Florentin Lenoir, le fils de maison. Les formules, aussi exquises les unes que les autres, sont composées de mets succulents « variant au gré des saisons et selon la disponibilité des produits », nous souffle-t-on. Entre une entrée de foie gras maison, une planche régionale ou du welsh en guise de plat et du gâteau saillysien pour clore onctueusement le tout, chaque bouchée, accompagnée d’un vin de la cave riche et sélective de la maison, est un voyage gustatif au pays du régal. Ces plats copieux sont à déguster dans une salle chic et conviviale ou à l’ombre d’une terrasse sous la mélodie des clochers d’une église séculaire. Fêtant cette année ses vingt ans, cette table fière des traditions gastronomiques régionales, organise une semaine festive avec, au programme, « des animations interactives et ludiques tous les jours », précise Florentin. À noter que pour les touristes qui veulent prolonger leur séjour à Sailly-sur-la-Lys, Au Bon Coin bénéficie également de chambres calmes et charmantes garantissant le maximum de confort. ...
Que vous soyez en famille, entre amis ou avec des collègues, Loire Vins Aventure vous propose une expérience inoubliable pour une promenade de quelques heures ou une croisière d’une journée. Au programme : découverte des villages riverains le long de la Loire et de leurs héritages architecturaux. Le tout agrémenté par des dégustations de grands vins de Loire à bord d’un bateau de pêche traditionnel. Une balade féerique Loire Vins Aventure a été lancé à l’initiative de Denis Retiveau. À l’âge de 30 ans, ce Turquantois, à la fois vigneron et marinier, est « tombé amoureux » de la Loire, après avoir fait du canoë sur le fleuve en compagnie de quelques amis. « L’expérience m’a tellement plu que j’ai acheté des bateaux pour emmener les amis et la famille. Et c’est là que m’est venue l’idée des balades fluviales avec des dégustations de vins », raconte-t-il. Depuis quelques années, Denis Retiveau embarque les visiteurs pour des excursions uniques à bord de L’Étoile qui rit. C’est sur cette « toue cabanée », une embarcation traditionnelle entièrement construite avec du bois massif, qu’il accompagne ses voyageurs à la rencontre des villages pittoresques. Parmi les destinations : Montsoreau et son château, classé au patrimoine mondial de l’Unesco, ou encore Candes-Saint-Martin et sa fameuse collégiale datant du Moyen Âge. Selon les envies, la balade peut durer de 2 à 4 heures ou prendre toute une journée avec, en prime, de splendides couchers de soleil sur le fleuve. Au cas où les passagers auraient un petit creux, Denis Retiveau a pensé à tout. « Ils peuvent apporter leur panier de pique-nique, faire des grillades ou un barbecue à bord » explique-t-il. En outre, grâce à un partenariat avec le restaurant Diane de Méridor, les fins gourmets ont largement de quoi satisfaire leur appétit. Au menu, des amuse-bouches et un repas gastronomique peuvent être servis. Côté vins, le maître à bord profite de ce moment de convivialité pour endosser son costume de vigneron, en suggérant à ses hôtes une dégustation des différentes cuvées issues de son domaine. Enfin, pour les amoureux, Loire Vins Aventure leur propose une nuit romantique à bord de L’Étoile qui rit. Le bateau sera amarré sur les bords d’une berge ou d’un îlot et aura une vue splendide sur les villages environnants. Des cuvées exceptionnelles Troisième génération à la tête du domaine des Champs fleuris, Denis Retiveau s’occupe d’un vignoble de 20 ha, dont la moitié se situe à Turquant et l’autre à Montsoreau. L’encépagement se compose de 90 % de cabernet franc et de 10 % de chenin. À partir de ces cépages, le domaine élabore 11 cuvées d’exception, dont 2 blancs, 1 rosé, 5 rouges et 3 crémants. « Je propose aux passagers de déguster entre 6 et 8 de mes cuvées », fait-il savoir. Parmi la sélection, les invités peuvent trouver à la dégustation : la cuvée « Audace », qui se distingue par sa légèreté, sa fraicheur et ses arômes de fruits rouges ; la cuvée « Crémant de Loire », un rosé élaboré à 100 % de cabernet franc et renfermant une très grande richesse aromatique ; ou encore « Les Roches », un vin élevé durant 18 mois en fûts de chêne neuf, idéal pour accompagner un rôti, un gibier ou un fromage. Gage de leur grande qualité, les vins du domaine des Champs fleuris ont été récemment primés lors de grands concours. À l’image de la cuvée « Vieilles Vignes », qui a obtenu la médaille de bronze et la médaille d’argent en 2016 et en 2017 au concours général agricole. La cuvée « Tufolies 2016 » a, quant à elle, décroché le premier prix du « Top 100 des meilleurs rapports qualité-prix » du Guide des vins Bettane + Desseauve 2018. ...
Un parcours riche en rebondissements anime ce château appartenant à l’origine à la famille de Rothschild. Il sert d’abri aux Allemands durant la Deuxième Guerre mondiale, puis devient le couvent du Sacré-Cœur de Jésus. En 1969, cet établissement de charme est animé par des cours d’art. Le concept de château-hôtel naît en 1985. Vacanciers et voyageurs d’affaires apprécient cet endroit au cadre verdoyant, un endroit perdu à quelques kilomètres seulement de la capitale française et de l’aéroport Roissy-Charles de Gaulle. Luxe et confort vont de pair avec bien-être et détente Outre les chambres de haut standing et le restaurant gastronomique, le plus beau château-hôtel de France a toutes les cartes pour permettre au corps et à l’esprit de se relaxer et de s’évader. Les clients qui passent un séjour dans l’établissement apprécieront l’espace bien-être proposant un décor propice à la détente. Les lieux sont pourvus d’une piscine intérieure chauffée, accessible aux clients de l’hôtel. Un sauna et un hammam sont également proposés et procurent relaxation et vitalité. Pour aller plus loin dans votre quête d’évasion, laissez-vous tenter par un voyage sensoriel à travers les soins de modelage réalisés par une équipe de professionnels. Toujours en effervescence pour innover et satisfaire la clientèle, le château met au point une nouvelle carte modelage qui est personnalisée. Le corps et l’esprit se retrouvent dans un univers aux senteurs divines, au décor original et surtout avec des soins haut de gamme. Une seconde jeunesse pour les seniors, une petite échappatoire du train-train quotidien pour les autres, une occasion de changer de décor pour les jeunes et des moments magiques pour les petits. Du sport pour tout objectif physique La salle de fitness est dirigée par des coachs sportifs qualifiés qui restent à l’écoute pour mieux élaborer les programmes sportifs en adéquation aux attentes de tout un chacun sur rendez-vous : remise en forme, modelage de silhouette... Ils organisent à la demande des cours de fitness, de yoga et de pilates, individuels ou en groupe. Adieu toxines et stress, place à la tonification et à la détente. Éveil des sens, décor de prestige, senteurs enivrantes, soins personnalisés, ambiance sereine et conviviale… Le nec plus ultra ! ...
1,2 mètre pour 25 kilos à l’âge adulte… mais pouvant dépasser les 500 kg ! Pêché depuis plus de 5 000 ans, le thon rouge est l’un des poissons méditerranéens les plus prisés par les consommateurs. Il est notamment pêché à la ligne selon trois méthodes : la palangre, la canne et la traine. Bien que l’espèce ait été fragilisée dans les années 1990, sa pêche est aujourd’hui fortement encadrée pour garantir une exploitation raisonnée. Concernant le thon rouge, les avis d’experts scientifiques sont redevenus positifs, d’où l’action de la marque « Thon Rouge de ligne », qui souhaite apporter une information transparente sur ses conditions d’exploitation, afin de promouvoir ce produit exceptionnel et de rassurer les consommateurs sur la santé du stock et les pratiques de pêche. Un numéro de suivi sur Internet La marque collective Thon Rouge de ligne est le résultat d’une démarche volontaire de pêcheurs artisans battant pavillon français et pratiquant la petite pêche ou la pêche côtière, qui s’engagent à promouvoir de bonnes pratiques et une approche socialement responsable et biologiquement durable de la pêche au thon rouge. Pour le consommateur, Thon Rouge de ligne est la garantie que le thon rouge a été capturé à la ligne, avec respect et selon des pratiques visant à préserver l’espèce et son écosystème, aujourd’hui et pour l’avenir, ainsi qu’à garantir une qualité irréprochable du produit. « Nous plaçons l’homme au centre des activités maritimes pour consolider l’emploi et le développement économique local », préconise l’association VALPEM (Association pour la valorisation des produits de la pêche en Méditerranée) en charge de cette marque collective. « Avec un engagement sur la qualité, la fraicheur et la traçabilité de chaque poisson : navire, technique, lieu et jour de pêche.» Cette traçabilité complète est parfaitement accessible au consommateur : l’obligation de baguer le thon rouge ‒ sans quoi il ne peut être ni débarqué ni commercialisé ‒ permet d’obtenir un numéro d’identification unique qui figure à l’extérieur de tout emballage contenant du thon. En utilisant ce numéro, chacun peut retrouver les différentes informations concernant son poisson sur le site Internet www.thonrougedeligne.com ...
Le palmarès de la Cave des Vignerons de Pierrevert montre que leur union porte ses fruits. En 2016, elle est représentée sur tous les marchés du podium au Concours Général Agricole de Paris. En tout, elle a remporté cinq médailles dont deux médailles d’or pour l’AOP Pierrevert rosé 2015 et IGP bio rosé 2015, une médaille d’argent et deux bronzes. Au Concours des vins IGP de France VINALIES, trois médailles d’argent lui ont été décernées. Une Coopérative Ceci est l’histoire d’une centaine de viticulteurs qui décident de s’allier pour mieux produire et mieux vendre leurs vins. La coopérative « c'est d'abord un projet d'hommes et de femmes s'inscrivant dans une volonté commune de performance » selon Corinne Campana, responsable commercial. Auguste Bastide fonde en 1925 la Coopérative Vinicole Agricole des Coteaux de Pierrevert. C’est la seule coopérative vinicole des Alpes-de-Haute-Provence connue à ce jour, après la fusion avec les Coopératives de Villeneuve et de Quinson en 1992 et avec la Coopérative de Manosque en 1998. L’objectif du projet est de « proposer une large gamme de produits, adaptée au marché et capable d'évoluer rapidement en fonction de la demande des consommateurs » raconte Corinne. La structure composée de cent vingt viticulteurs produit donc des vins rouges, rosés et blancs en AOP Pierrevert, IGP des Alpes-de-Haute-Provence, IGP cépages Cabernet Sauvignon et Merlot et enfin Vin de France « rosé fruité ». Petra Viridis La Cave de la coopérative des vignerons de Pierrevert a atteint ses 90 ans en mars dernier, elle a beaucoup évolué depuis sa création. Le savoir-faire traditionnel des viticulteurs côtoie aujourd’hui les matériels modernes qui interviennent dans le processus de transformation du vin comme les pressoirs pneumatiques, cuves inox réfrigérées et groupe de froid. Cela permet à la Petra Viridis de produire « des vins qui portent la signature du terroir » Le Terroir Le terroir recouvre une surface de 400 hectares qui concerne une dizaine de communes autour de Pierrevert, sur les contreforts de la vallée de la Durance et sur le site de Quinson. La qualité du sol, le climat et surtout le travail des vignerons dévoilent à travers leurs vins les particularités de ce terroir. Les cépages prédominants sont le Grenache noir et la Syrah. Le reste inclut le Merlot, Cabernet Sauvignon, Muscat de Hambourg, Muscat petits grains, Vermentino et Grenache blanc. ...
Que vous soyez adepte de tourisme ou de voyage d’affaires, Alitalia vous permet de voler en toute sérénité. Alitalia : la compagnie italienne qui prend soin de ses passagers La première chose qui frappe lorsque l’on s’installe dans un avion Alitalia, c’est le style italien qui se dégage de l’appareil. Que ce soit au niveau de l’élégance, du confort ou du personnel de bord, chaque détail compte. Cela se ressent même dans la qualité de la cuisine en vols long-courrier avec des plats s’inspirant des traditions culinaires italiennes et une sélection de vins en partenariat avec la fondation des sommeliers italiens. La compagnie a d’ailleurs obtenu pour la huitième année consécutive le prix de « La meilleure cuisine à bord ». Plus de 22 000 grands voyageurs ont été consultés par le prestigieux mensuel américain "Global Traveller", qui a décerné à la compagnie italienne le titre de "Best Airline Cuisine" 2017. Vous l’avez compris : il est toujours agréable de voyager à l’intérieur d’un avion Alitalia. Les appareils, d’ailleurs, parlons-en. Concernant les vols long-courriers, l’entreprise dispose d’Airbus 330 et de Boeing B777. Ces deux modèles d’avion proposent 3 classes de voyage : Magnifica, Premium Economy et Economy (seuls 2 Airbus A330 ne disposent pas de Premium Economy). Pour les vols moyen-courriers, à bord des Airbus 321, 320 ou 319 il est possible de choisir la Business Class medium - haul qui offre de nombreux services dédiés pour un voyage tout confort. Pour voyager à prix avantageux sans renoncer au confort, la classe Economy offre avantages et services personnalises pour tous types de voyages. À noter : la compagnie aérienne fait de grands efforts pour améliorer sa ponctualité au fil des années. Ainsi, en février elle enregistre un taux de vols atterris à l’heure de 87,79%. Ce qui fait d’Alitalia la deuxième compagnie au monde pour la ponctualité et la première en Europe. Le sondage a été publié par FlightStats, une société américaine indépendante faisant autorité, qui dresse le classement des compagnies aériennes chaque mois pour la ponctualité. Le chiffre de février suit le record de janvier, Alitalia étant la première compagnie aérienne au monde à arriver à l'heure avec 91,89% des vols atterrissant à temps. Finalement, Alitalia offre aussi un programme de fidélisation MilleMiglia qui permet aux voyageurs de cumuler des miles servant à acheter des billets ou des services additionnels avant ou pendant le vol. Plus de 70 destinations au départ de France ou d’Italie Quels que soient vos envies et besoins, vous pouvez faire confiance à Alitalia pour voyager à l’autre bout du monde en toute sécurité. Concernant les aéroports français, si vous souhaitez partir de Paris-CDG, il est possible de vous rendre à Rome ou à Milan-Linate (4 vols directs par jour). Par contre, si vous préférez partir de Paris Orly, sachez que vous avez la possibilité d’embarquer dans un des 4 vols quotidiens à destination de Milan-Linate. Des vols quotidiens Nice-Rome et Marseille-Rome sont aussi proposés auxquels s’ajoutent les vols réguliers Toulouse-Rome. Une fois à Rome, sachez qu’il est possible de se rendre à Johannesburg, New Delhi, Malé, Los Angeles, Mexico City, Santiago du Chili, Séoul, Tokyo (possibilité de partir aussi de Milan), Sao Paulo, Rio de Janeiro, Buenos Aires, Téhéran, New York (possibilité de partir de Milan), Boston ou Miami. À partir d’octobre 2018, il sera aussi possible de se rendre à l’ile Maurice. À savoir : pendant votre escale à Rome, vous pouvez vous détendre au sein du salon Casa Alitalia. Grâce à l'attention portée aux détails et à l'accueil chaleureux donné aux visiteurs, vous profitez d’un moment agréable avec la possibilité de vous restaurer, de vous relaxer ou d’organiser des réunions de travail. Le service de restauration s'inspire de l'excellence gastronomique de l'Italie et est doté d'une cuisine ouverte où le chef prépare devant vous des menus à base de pâtes ou des pizzas. Comme si vous étiez dans une véritab...
Environnement béni des Dieux ! C’est avec ce « poids sur la conscience », c’est à dire la préservation d’un cadre naturel exceptionnel, que s’est construit le projet de ce complexe hôtelier de luxe. Bâti en granit, la roche insulaire, L’Hôtel & Spa des Pêcheurs est la seule structure réceptive de l’ïle avec de nombreuses propositions compatibles avec cet esprit (tennis, golf, plongée, yoga, plage, excursion en bateau, location de voiturette électrique) et est très apprécié aussi pour la qualité de son restaurant. Pour y séjourner, l’endroit saura séduire par l’élégance des suites et chambres avec vue panoramique sur la mer, à la décoration subtile, sobre et raffinée et bercées par le ronronnement délicat du flux et du reflux. On ne pourra qu’étre séduit aussi par son jardin aux milles et une fleurs. À chaque instant, les odeurs de myrte, de laurier, de genièvre, de chèvrefeuilles, et de tant d’autres espéces, viennent se méler aux senteurs marines. Ces effluves remontent jusqu’au bar, situé sur l’une des plages de l’Hôtel. où la qualité de l’accueil et une pétillante carte sont la garantie d’apéros, de pauses roboratives ou de soirées conviales, festives et réussies. Un thermalisme du plus haut niveau Afin d’être en harmonie avec l’exceptionnel contexte naturel, la méthode thérapeutique thermale a été priviligié. Elle a vocation à un remise en forme et en beauté globale du corps et de l’esprit. Les bains sont à base d’eau fossile “Salso Bromo Iodica” de Salso Maggiore Terme en Italie, reconnu pour ses propriétés osmotiques et drainantes, bénéfiques pour le système lymphatique, circulatoire et pour le renouvellement cellulaire. Les synergies des huiles et essences florales et les disciplines ancestrales de massages orientaux sont mises en avant via des formules de bien-être adaptées aux sensibilités et aux besoins de chacun. Les thématiques sont mûrement réfléchie et visent au bien-être total. Les techniques de massages thaïlandaises, tibétaines, japonaises, indiennes et aryuvédiques, polynésiennes, de l’ïle de Bali, hawaïenne et même suédoise, qui traitent l’ensemble du corps, sont dispensées par des maîtres en la matière et en adéquation avec les supports aromathérapeutiques. Par exemple, on trouve à la carte : des rituels à l’Immortelle de Corse, bien connue pour ses vertus exceptionnelles en matière de regénérescence cellulaire, des rituels à la rose, à la menthe, aux fleurs d’orangers et de jasmins ; l’utilisation des pierres chaudes de Cavallo pour dénouer les tensions musculaires du sportif ; des séances de yoga et de pilate le tout s’accompagnant des services classiques d’esthétisme (manucure pédicure, épilation, etc.). Et si notre prochaine cure, ne le ferions-nous pas à Cavallo ? ...
Nous sommes en 1967 lorsque des viticulteurs, animés par une passion commune pour le vin, décident de fonder une cave en hommage à leurs terres. Véritable ambassadrice d’un patrimoine commun, cette cave se trouve être le point d’orgue de l’excellence de la culture vitivinicole du Haut-Languedoc. La noble quête de la qualité Ce sont près de 80 viticulteurs qui s’attellent à offrir le meilleur de leurs vignes plantées en coteaux au travers des cuvées emblématiques. Leurs parcelles ont été sélectionnées en se basant sur leur qualité, leurs points communs, ainsi que la maturité de leurs raisins. « Cette sélection parcellaire, effectuée avant les vendanges manuelles, permet d’identifier le potentiel de chacune de ces parcelles », nous explique Alain Rogier, Directeur Général de la cave. Les cépages, pour ne citer que la syrah, le mourvèdre ou encore le grenache noir, bénéficient également d’un traitement phytosanitaire respectueux de l’environnement et préservant le goût de chaque grappe. Chaque cuvée devient ainsi un fidèle représentant de ce terroir bénéficiant de trois appellations : l’appellation Languedoc, l’appellation Saint-Chinian et l’appellation communale Saint-Chinian-Roquebrun. Cette dernière, octroyée en 2004, fait la fierté de ces artisans de la terre et la particularité des cuvées de la cave de Roquebrun. Dans cette unité vinicole, « le processus de transformation du raisin au vin se fait [d’ailleurs] sous l’égide d’un œnologue qui n’est autre que le Directeur de la Cave », précise notre interlocuteur. À ce gage de qualité s’ajoute le fait que cette cave « est bâtie sur le modèle des caves du Beaujolais par l’existence d’un plateau de macération carbonique », continue-t-il. Les vins de la cave bénéficient ainsi d’une typicité basée sur une aromatisation naturelle poussée. Égayez ainsi vos instants gourmands de ces vins aromatiques à souhait, à l’instar de la Grange des Combes, un 50 % syrah raffiné et doté d’un bouquet élégant, ou d’une Roches Noires, un 60 % syrah au nez accompli et à la bouche exquise. ...
Où en est la recherche sur le cancer aujourd’hui ? Thierry Philip : Nous avons fait beaucoup de progrès dans la compréhension du cancer, que ce soit du point de vue des mécanismes, de la génétique ou de l’immunologie. C’est-à-dire que nous savons désormais comment fonctionne une cellule malade du cancer. Pour résumer, quand une cellule devient malade, le fonctionnement normal voudrait qu’elle s’autodétruise. Or, avec le cancer, cette cellule oublie en quelque sorte de mourir. Nous comprenons mieux aujourd’hui ces mécanismes, ce qui nous permet de mieux combattre le cancer. Nous restons conscients que la maladie est horriblement complexe : à la manière d’un fleuve qu’on souhaiterait dominer, nous avons réussi à construire un énorme barrage mais nous ne savons pas encore comment éviter la formation de petites rivières de part et d’autre… D’où la nécessité de continuer à faire avancer la recherche sur le sujet ! Quelles sont les grandes avancées en matière de recherche ? Les progrès récents concernent tout d’abord la chirurgie. D’une part, lors de l’intervention : nous pouvons désormais pratiquer des interventions sous anesthésie de 12 à 13 heures sans problème, y compris chez les personnes âgées. D’autre part, après l’intervention : si la chirurgie détruit, nous pouvons reconstruire désormais un sein, une paroi abdominale, une bouche, etc. Le traitement par rayons a également énormément progressé : nous avons réussi à augmenter son efficacité tout en limitant sa toxicité. Nous travaillons actuellement pour aboutir à des traitements très efficaces sur des durées plus courtes. Quant à la chimiothérapie, la véritable révolution consiste à pouvoir faire le portrait des anomalies pour proposer un traitement personnalisé. Et encore mieux, nous espérons que, d’ici à cinq ans, nous saurons comment modifier les défenses de l’organisme pour rejeter la tumeur : c’est l’immunothérapie. Qu’en est-il des traitements ? Nous sommes désormais capables de guérir 80 % des enfants, 60 % des femmes et 50 % des hommes. Quant aux personnes que l’on n’arrive pas encore à guérir, nous leur permettons de vivre plus longtemps avec la maladie. Comme la moitié des cancers se déclare à plus de 65 ans, un allongement de dix ans de l’espérance de vie est une avancée importante. Quels sont les grands espoirs que porte l’Institut Curie aujourd’hui ? Nous nous réjouissons d’abord d’avoir enfin dans ce pays une vraie politique de prévention. Si, par exemple, tous les jeunes de moins de 20 ans décidaient aujourd’hui de ne jamais fumer, la mortalité due au cancer diminuerait de 50 % au cours des 50 prochaines années ! Ensuite, nous avons découvert que le sport est un vrai médicament de prévention du cancer, avec une activité physique, à allure modérée, de seulement 30 minutes à raison de trois fois par semaine. Enfin, les techniques de dépistage connaissent d’énormes progrès. Or, plus le cancer est détecté rapidement, meilleures sont les chances de guérison. À l’Institut Curie, nous développons des techniques permettant de détecter des cellules anormales présentes dans le sang. Ces techniques devraient permettre d’orienter les dépistages et donc de les rendre beaucoup plus ciblés et donc plus efficaces. Quels sont aujourd’hui la place de l’Institut Curie, son rôle, ses grands projets ? L’Institut Curie est l’ancêtre des centres anticancéreux, créés par le général de Gaulle en 1945. Dès 1909, nous permettions déjà des synergies entre la recherche, les soins et l’enseignement. Notre enjeu aujourd’hui, c’est de préfigurer le centre de cancérologie moderne, celui du XXI e siècle. Un endroit où la recherche fondamentale, celle qui cherche à comprendre, est présente : nous comptons 1 200 chercheurs de 77 nationalités différent...
Réserver au Haut Jardin, c’est la promesse d’un séjour de détente dans un établissement où l’intimité de la clientèle est sacrée. Le concept atypique de chalet hôtelier développé par la famille Masson, assorti du service très haut de gamme d’un Logis d’exception, fait de cette adresse un véritable cocon de luxe au calme. Des chalets avec spa privé quatre étoiles Le dispositif d’accueil du Haut Jardin a été pensé, dans les moindres détails, pour offrir un séjour mémorable à une clientèle jalouse de son intimité. Sur 3 ha de verdure et dans la fraîcheur vosgienne, les hôtes profitent d’un cadre parfait pour une décontraction maximum. Les 16 hébergements de l’enseigne sont répartis en 3 catégories toutes déclinées dans un décor unique. Les chalets intimistes, au nombre de 7, s’adressent aux amoureux qui souhaitent se retrouver dans un nid douillet. Aménagés de plain pied, ils sont clôturés, à l’abri des regards et incluent un jacuzzi privé. A l’instar des autres formules d’hébergement du parc, ils bénéficient à l’intérieur d’équipements hauts de gamme (lecteur Blu-ray, écran plat…) et de cheminées aussi charmantes les unes que les autres. La suite de luxe, avec sauna et jacuzzi duo en bois, peut accueillir les familles, avec ses 2 chambres individuelles. Des chambres prestiges Les 8 chambres, toutes prestiges, jouissent d’une ambiance romantique unique avec leur décoration différemment déclinée. Aucun nid ne ressemble à l’autre mais partout, la nature est mise à l’honneur. Pour ce faire, les matières nobles se succèdent dans une belle cohérence : bois, chaux, pierres naturelles… ...
Les cuvées Claude Thuillier et Filles sont composées des valeurs familiales chères à une maison artisanale héritée de pères en filles. Priorisant les méthodes traditionnelles d’élaboration du champagne utilisées depuis des siècles, cette marque fêtant ses 41 ans cette année élabore ses champagnes avec attention et patience. Au programme : bulles fines, fraîcheurs et arômes ! « Faire dans la continuité des traditions » Ces propos de Claudette Thuillier, l’une des héritières de l’exploitation, rappellent le parcours authentique de cette maison. En véritables amazones du vin, les filles Thuillier se distinguent par leur maîtrise parfaite du processus d’élaboration et par leur attachement au côté artisanal. La famille Thuillier, tout en tenant à moderniser leur exploitation, a choisi de remettre à jour les méthodes de vinification en fûts tout en continuant à utiliser des procédés traditionnels comme le dégorgement à la volée ou encore le remuage en pupitre. Tout cela pour produire des cuvées de qualité à l’instar de la Cuvée Spéciale, un assemblage classique au goût affirmé et englobant toutes les saveurs du terroir. Accessibilité et convivialité sont au rendez-vous En matière d’activités œnotouristiques, le domaine des Thuillier accueille ses hôtes dans un cadre typiquement champenois. Au programme : visite des quelque six hectares de vignoble, dégustations, visite des caves... Claudette, toujours dans un souci d’hospitalité, propose par ailleurs de se loger sur place dans un gîte dans le village, cela afin de vous assurer une immersion totale dans le pays du bon vin. En pleine conversion en vue de l’obtention de la certification Haute Valeur Environnementale (HVE), la maison Thuillier priorise, entre autres, le respect de la nature, un engagement assurant la vérité du goût de ses cuvées. ...
Dans un terroir au sol perméable et argilo-calcaire poussent des cépages typiques des Pays de la Loire. C’est au cœur de cette région historique qu’est situé le Domaine de l’Enchantoir, produisant des cuvées répondant à l’appellation unique « Saumur Puy-Notre-Dame », qualifiant le vin fait à un seuil minimum de 85 % de cabernet franc. Fiers de cette distinction, Jean-Michel et Fabienne Brunet, heureux propriétaires de cette exploitation séculaire, nous emmènent à la découverte de cette terre déjà viticole depuis le Moyen-Age. « Un milieu dédié aux vignes » Ces propos de Jean-Michel et Fabienne Brunet justifient la forte réputation vinicole de Puy-Notre-Dame, une notoriété datant du 19ème siècle. Grâce à son microclimat d’altitude propice à la culture vinicole, ce terroir est le lieu de prédilection de deux cépages caractéristiques, à savoir le cabernet franc, pour le vin rouge, et le chenin, pour le vin blanc. Afin de rendre hommage à cette terre généreuse, le Domaine de l’Enchantoir privilégie ces deux cépages, avec un peu de chardonnay, sur ses 17 hectares de vignobles. Par cette recherche de l’authenticité, cette maison produit des cuvées rouges, blanches, rosées et pétillantes riches en saveurs subtiles et voluptueuses, et fortes de la mosaïque d’arômes propres à ce « terroir qualitatif », précise nos interlocuteurs. L’agriculture bio mise à l’honneur Certifié « Agriculture biologique », le Domaine de l’Enchantoir se veut être la figure de proue de plusieurs générations de vignerons soucieux de l’environnement et prônant un processus de vinification traditionnelle. Les cuvées issues de cette culture raisonnée gardent ainsi toute la typicité gustative du terroir, à l’instar du « Terres pourpres », un saumur rouge au caractère affirmé et succulent en bouche. Toujours dans cet esprit, les trois vins blancs produits par la maison ont le mérite d’être certifiés 100 % bios afin de préserver ce riche patrimoine naturel de Puy-Notre-Dame. ...
Un espace de vie moderne « Espace & Vie a été créé en 2006 autour du projet novateur des résidences services pour seniors, non médicalisées, nous confie Anne-Laure Pichon Villat, chargée de communication du groupe. Nous nous adressons aux personnes âgées qui ne désirent plus vivre chez elles et qui souhaitent bénéficier d’un espace de vie fonctionnel et des services à la carte. » Les résidences proposent des appartements modernes et fonctionnels adaptés aux seniors, notamment les personnes à mobilité réduite. Les résidences Espace & Vie offrent un cadre de vie serein et convivial grâce aux animations quotidiennes, l’accès à l’espace beauté et détente, la blanchisserie, la restauration avec des menus confectionnés par les cuisiniers de la résidence… Un accompagnement personnalisé Les résidences Espace & Vie mettent les compétences et le dévouement de toute une équipe, pour garantir une qualité de service et une sécurité permanente. Espace & Vie propose un accompagnement personnalisé incluant la présence d’un personnel disponible 24h/24 et 7j/7, un bracelet d’appel d’urgence pour être aidérapidement n’importe où dans la résidence, un service de coordination médicale, l’aide administrative… Les résidents qui en ont besoin peuvent aussi bénéficier de l’aide à la personne pour être assisté dans les gestes de la vie quotidienne ...
Restaurant au décor lumineux, moderne et agréable, Le Fanal est une adresse d’exception située en plein port de Banyuls-sur-Mer. Adresse reprise par Pascal Borell et sa compagne il y a plus de 3 ans. Le couple compose des plats inventifs, colorés et saisonniers, qui mettent en avant la cuisine du terroir catalan. Une cuisine qui leur a valu 1 étoile au célèbre Guide Michelin, et le certificat d’excellence Tripadvisor. Une cuisine coup de cœur Le restaurant Le Fanal tient sa renommée de sa cuisine créative, contemporaine et aux influences méditerranéennes, variant selon les saisons et portée sur la découverte de l’essentiel : « le beau produit ». Aux fourneaux, Pascal élabore des entrées et plats savoureux, tandis que sa compagne orchestre de magnifiques desserts et s’occupe du service en salle. Tous deux ont eu à faire leurs preuves auprès de grands restaurants étoilés tels que L’Arpège d’Alain Passard, à Paris, ou encore La Famille By Bardet de Jean Bardet, à Tours. Ici, la carte change régulièrement, et la cuisine est fonction des produits du jour. Dès l’entrée, le délicieux tartare de poisson issu de la pêche locale est accompagné d’une émulsion à base de lait de coco, de concombre et de jus de citron. C’est un plat préparé à partir de poissons découpés en petits morceaux et mélangés à un assaisonnement d’huile d’olive, de jus de citron, de ciboulette et d’un peu d’huître pour apporter une petite touche iodée. La petite crème émulsionnée est versée au-dessus du tartare pour donner plus de fraicheur au plat, sans oublier le caviar perle noir du Périgord en fin de présentation. Autre entrée signature, le cromesquis d’œuf à la truffe. C’est un beignet cuit à basse température et renfermant un œuf au jaune coulant. Croustillant à l’extérieur et fondant à l’intérieur, il est servi avec une purée de champignons sur laquelle il est déposé. Les champignons utilisés pour cette préparation sont issus de la cueillette du jour. En guise de plat principal, le merlu de ligne. Ce plat cuit à basse température est un tronçon de merlu posé au centre d’une assiette, avec de la quenelle de risotto de fregola sarde. Au-dessus, une sauce accompagnée de fumé et de gingembre. Les desserts sont également élaborés en fonction des saisons. Des desserts comme la nage de pêche à la verveine, qui est une soupe froide à la pêche accompagnée de sirop à la verveine. Celui-ci est servi sur une coupe transparente légèrement givrée, et dans laquelle sont mis le sirop et la pêche découpée en petites billes. Le dessert est complété avec un sorbet au yuzu, et du romarin. Le restaurant sert également trois sortes de pain fait maison pour chaque service : un pain à l’épeautre bio, un aux céréales et un autre au maïs. Et les jolis dressages sont un appel sûr à l’appétit ! Harmonie entre cuisine et vins Les vins de la cave du restaurant Le Fanal se marient merveilleusement bien avec les plats élaborés en cuisine. À la carte, Signature millésime 2014 du Domaine du Mas Blanc. Ce vin blanc sec du terroir de la Côte Vermeille, constitué de quatre cépages, confère une fraicheur aux fines notes citronnées et iodées. Il est parfait pour accompagner le tartare de poisson. Également le Banyuls blanc, indiqué pour la nage de pêche à la verveine. Ce vin doux et naturel est consommé jeune, il se marie efficacement avec les desserts. Légèrement sucré avec des notes fraiches de fruits blancs et des nuances de poire, ce vin blanc peut être conservé longtemps pour mieux apprécier son côté aromatique. ...
Située dans le village de Bouzy nichée sur la montagne de Reims, la maison Moreau dispose d’un vignoble de 4 ha, entièrement classé 100 % Grand Cru, la plus haute distinction des vignobles champenois. Ici, Arnaud Moreau élabore des cuvées d’exception qui rend honneur à la typicité du terroir. Honneur à la tradition Le vignoble comprend des cépages formés majoritairement de pinots noirs et de chardonnay. « Le caractère unique de notre terroir fait que nos pinots noirs peuvent exprimer pleinement leurs arômes », précise Arnaud Moreau. La maison opte pour une viticulture raisonnée avec une utilisation très réduite des intrants. Côté vinification, elle suit une technique traditionnelle utilisée depuis la création de la marque et qui s’est transmise de père en fils. Les cuvées emblématiques Les spécialités de la maison se déclinent en deux gammes : les cuvées traditionnelles et les cuvées prestiges. Parmi la sélection, la cuvée Tradition et la cuvée Réserve sont, sans conteste, celles qui représentent le mieux la maison Moreau. « Ce sont des champagnes très fruités, matures avec une belle longueur en bouche et qui reflètent vraiment le vieillissement du pinot noir avec ses arômes de fruits confits », dévoile notre interlocuteur. Élaborée à partir de 70 % de pinot noir et 30 % de chardonnay, la cuvée Tradition est un champagne consensuel, capable de séduire des palais différents. Quant à la cuvée Réserve, il s’agit d’un pur champagne de repas qui offre une sensation de plénitude et de maturité. Enfin, en tant que grand amateur de champagne non dosé, Arnaud présente également ses deux cuvées phares : Arrakis et Odyssée. « Ce sont des "Brut Zéro" qui sont très appréciés dans les palaces et les restaurants étoilés », confie-t-il. ...
L’exploitation est fondée en 1984 par une famille de vignerons passionnée de la Champagne. En 1994, Didier Raimond, viticulteur et oenologue de formation, reprend les rênes et lance sa propre marque en conduisant son vignoble dans le respect de l'environnement. Une démarche engagée bientôt signée par une certification. Un art méticuleux Après les vendanges, les raisins sont directement envoyés au pressoir. Les jus sont décantés puis mis en cuves de fermentation sur lies fines. Afin de révéler au mieux les cépages et mettre l'accent sur la différenciation des terroirs, l'assemblage, qui est la base de tout le savoir-faire de la maison, se prolonge par un vieillissement sur lattes, ajusté selon les cuvées et pouvant durer 3 à 8 ans. Tout ceci dans le but de présenter à la clientèle des vins accomplis. La dernière opération du dégorgement et du dosage va parfaire la présentation en dégustation des champagnes Didier RAIMOND. De plus, certaines cuvées sont élevées partiellemet en fûts de chêne pour leur apporter plus de personnalité. Ainsi naissent des vins exceptionnels comme le Champagne rosé, le Brut Tradition, la Cuvée Sublime ou la Grande Réserve. ...
Chasseur d’appartement : la différence avec l’agent immobilier Le chasseur d’appartement travaille dans le cadre d’un mandat de recherche pour le compte d’un client. Il recherche donc à sa place un appartement à acheter ou à louer. L’agent immobilier possède un mandat de vente ou de mise en location de la part d’un propriétaire. Son but est de vendre ou de louer les biens qu’il entre dans son portefeuille. Ainsi, il n’est pas exclu que le chasseur d’appartement ait recours à un agent immobilier… Car il va effectuer sa recherche sur tous les canaux disponibles : agences, annonces de particulier à particulier, démarchage. - En revanche, chasseurs et agents sont soumis aux mêmes dispositions réglementaires : - Être titulaire d’une carte professionnelle - Disposer d’une assurance responsabilité civile professionnelle (RCP) - Disposer d’une garantie financière immobilière Processus de recherche Une recherche effectuée par un chasseur d’appartement suit généralement le processus suivant : - Établissement d’un cahier des charges précis de la demande du client - Proposition d’un mandat de recherche exclusif à valider - Signature du mandat par le client - Sélection des annonces correspondant au besoin - Visite des biens à la place du client - Élaboration d’un rapport détaillé - Visite de la dernière sélection avec le client - Négociation avec le propriétaire - Accompagnement administratif Le paiement du chasseur immobilier ne s’effectue que si une affaire est conclue (signature des actes notariés ou du bail). Le prix est fixé d’avance lors de la signature du mandat. Les honoraires varient inversement au prix du bien recherché. Plus le logement est cher, plus le taux d’honoraires est bas. Il oscille entre 1 et 5%. Pourquoi le mandat est-il exclusif ? L’exclusivité du mandat garantit la rémunération du chasseur, pour ne pas qu’il travaille pour rien. Si le bien est trouvé par le biais d’une agence ? Dans ce cas, le chasseur négocie avec l’agence le montant de la commission de celle-ci. Parfois, certains chasseurs baissent leurs propres honoraires pour compenser les coûts de l’agence. Quand faire appel à l’un ou l’autre ? Le chasseur d’appartement s’occupe de tout à votre la place. Il effectue pour vous la recherche et la sélection. Ainsi, cela représente un gain de temps important parce que vous n’avez pas besoin de démarcher plusieurs agences, de passer des heures sur le Web à éplucher les annonces. De plus, connaissant bien le marché, il ne sélectionne que ce qui correspond à votre demande. L’agent immobilier est à privilégier lorsque vous disposez de plus de temps. Car même si l’agent vous prévient lorsqu’il rentre un bien qu’il pense correspondre à votre besoin, vous devez toujours chercher par vous-même dans son catalogue. Par ailleurs, il faudra sûrement contacter plusieurs agences pour maximiser la recherche. Tout comme l’agent, le chasseur immobilier peut s’occuper de différentes recherches : achat de la résidence principale, achat d’un résidence secondaire, investissement locatif, location, local commercial. ...