Située sur l’avenue Carnot, L’empreinte By Yannick Lecoq se veut simple mais raffiné. Le restaurant propose trois espaces aussi attirants et surprenants les uns des autres. Le premier propose un cadre contemporain avec une cuisine ouverte qui offre un spectacle inédit d’où il est possible d’observer le chef et son équipe. Ici, le partage et la convivialité sont les maitres mots. Dans le deuxième espace, l’ambiance est beaucoup plus intimiste. L’alliance du beige et du noir reflète le côté sobre et élégant du lieu tandis que la baie vitrée illuminant la salle procure une touche de douceur à l’ensemble. Et, durant les beaux jours, la grande terrasse permet de savourer à l’ombre du figuier, les délicieuses créations culinaires du chef. « Empreinte culinaire » Doté de vingt ans d’expérience, le chef Yannick Lecoq a réussi à affiner son « Empreinte culinaire ». Aujourd’hui, c’est au sein de son propre restaurant L’empreinte by Yannick Lecoq qu’il exprime et partage son talent. Fidèle aux valeurs de l’établissement, Yannick propose une cuisine raffinée à base de produits frais et de saison. Inspirés de ses voyages et de ses envies, ses plats sont aussi savoureux que créatifs. Chaque bouchée promet un voyage culinaire transcendant. Le souci du détail est mis en avant : un parfait équilibre au niveau des assaisonnements, un respect au millimètre près de la cuisson et un accord subtil des saveurs. Par ailleurs, le chef apporte une attention particulière aux produits. Dès leur sélection, il se montre extrêmement exigeant pour assurer la qualité et la fraicheur de ses plats et s’approvisionne autant que possible sur le marché local. Lors de la préparation, il veille à ce que les produits ne soient pas dénaturalisés. En outre, le chef apporte aussi un intérêt particulier aux vins. Etant un grand passionné, il veille à assurer les meilleurs accords. L’occasion pour les convives de découvrir la collection du restaurant comprenant 150 références environ. « Une cuisine qui s’adapte » Au menu, quatre formules différentes allant de 17 à 52 euros sont présentées. Pour chacune d’entre elles, les convives ont droit à une entrée, un plat et un dessert. A partir de 40 euros, un plateau de fromages de la Maison Mons vient s’ajouter à la liste. Pour les gourmands aventuriers, la formule à 52 euros leur est spécialement dédiée. Celle-ci est constituée de plats surprenants et authentiques comme le fameux Opéra de foie gras « pomme, pain d’épices et fruits de la passion », l’un des plats signatures du chef. A la carte, les convives choisissent entre : trois entrées, trois plats et trois desserts. C’est l’occasion idéale de déguster la fraicheur des entrées comme le tartare de saumon au citron et à la ciboulette ou encore les asperges blanches de Provence à la vinaigrette et au fruit de la passion, accompagnées d’un œuf poché. Le mélodieux repas s’enchaînerait ensuite sur un magret de canard au vinaigre balsamique ou une délicieuse souris d’agneau braisée au jus de cuisson à la tomate. Et pour finir, une note de douceur avec la salade d’orange à la vanille de Tahiti ou la crème marquise au chocolat et framboise. ...
Bénéficiant du label Maitre restaurateur, Le Paname fait sensation par son brunch dominical à concept unique. Mais sa bonne cuisine de marché, faite maison, concoctée au quotidien à partir d’ingrédients frais est pareillement un pur bonheur pour les papilles. Plaisir des sens au Paname Dans un cadre calme, Le Paname reste l’endroit idéal des foodies adeptes de cuisine gourmande. La grande terrasse protégée par des parasols beiges et entourée de verdure invite à profiter du soleil durant l’arrivée des beaux jours. Plutôt en quête de tranquillité et d’intimité ? Investissez la salle intérieure offrant une atmosphère chaleureuse dans un décor agréable. Au quotidien, 2 formules déjeuners sont proposées à un prix des plus abordables si vous ne préférez pas piocher d’autres délices dans la carte. Rien de tel que les croustillants de gambas et leur mousse de poivron rouge ou l’une des salades (Paname, Caesar, Norvégienne, Landaise, etc.) pour entamer le repas. Laissez-vous ensuite tenter par un pavé de saumon mi-cuit accompagné d’un risotto crémeux ou par le Paname Burger, plat signature du restaurant. Une salade de fruits frais, une crème brûlée à la vanille ou des crêpes Suzette flambées au Grand Marnier vous attendent en guise de desserts. Côté boissons, Le Paname fait les choses en grand avec une large palette qui comble toutes les envies : vins, champagnes, cocktails, bières, apéritifs, digestifs, smoothies, milkshakes ou jus de fruits. Et cerise sur le gâteau : le happy hours commence dès 17 h, jusqu’au soir à 23 h. ...
C’est près de Cambrai dans la commune Les Rues-des-Vignes que l’Abbaye de Vaucelles a été construite à partir de 1132. Un lieu entièrement dédié à la prière et au travail manuel comme le veut l’ordre des cisterciens. Cette construction hors-norme a été abandonnée par les moines avant la Révolution. En 1971, l’abbaye en ruine est rachetée par les époux Lagoutte qui commencent les travaux de restauration. Fin 2017, le département du Nord a repris l’exploitation du site avec le projet de développer l’offre culturelle. Aujourd’hui ne subsistent plus que l’aile des moines et le bâtiment claustral. Un site à visiter De mi-mars à fin octobre, l’abbaye est ouverte au public pour la visite de l’aile des moines. Dans ce bâtiment long de 80 mètres, vous apprécierez l’architecture romane du scriptorium et les élégantes colonnes de la chapelle ; vous admirerez le joyau de l’abbaye avec la salle capitulaire la plus grande d’Europe à la formidable acoustique, salle où se rassemblaient les moines deux fois par jour ; vous découvrirez avec recueillement le passage sacré où les moines revêtaient leurs habits monastiques avant de se rendre aux offices religieux. Puis vous pourrez aller flâner dans le superbe parc de 7 hectares, avec entre autres le jardin médiéval et la roseraie. Là, vous profiterez de la sérénité du lieu. Vous pourrez également aller jusqu’au belvédère pour admirer l’ensemble du site. Un lieu exceptionnel pour vos réceptions L’abbaye offre plusieurs salles de réceptions pour tout événement privé ou professionnel. Suivant les nombre d’invités, vous pourrez louer une des 2 salles du bâtiment claustral, la salle des moines avec piste de danse ou la merveilleuse salle capitulaire, salle lumineuse avec ses ouvertures directes sur le jardin. ...
1. La transition, c’est quoi ? La transition désigne le temps dédié à la préparation et à la planification du transfert d’un adolescent, porteur d’une maladie chronique depuis l’enfance, vers les services adultes. Il s’agit d’une période critique qu’appréhendent bien souvent à la fois le jeune patient mais aussi sa famille et son pédiatre. La réussite de ce passage nécessite, en amont, une préparation qui doit englober tout un processus d’autonomisation et de maturation du jeune patient. Ce processus doit être organisé et structuré afin, d’une part, d’éviter tout risque de rupture du suivi médical ou encore de non-observance du traitement. D’autre part, de réduire les risques éventuels de complications et de rechutes. Outre des collaborations entre les services pédiatriques et adultes, des outils ont été mis en place dans les centres des filières maladies rares pour permettre d’assurer le suivi des adolescents. 2. Les outils des filières de santé maladies rares Pour faire en sorte d’améliorer le processus de transition pour les adolescents atteints de pathologie rare, les filières de santé maladies rares disposent d’outils à la fois efficaces et pertinents. Parmi eux figure le Référentiel de Transition Filfoie. Il s’agit de recommandations générales visant à optimiser la prise en charge médicale globale des jeunes lorsqu’ils arrivent à l’âge adulte. Ce référentiel s’articule autour de 3 axes : • la préparation avant le transfert qui détaille les modalités de la consultation en pédiatrie et met l’accent sur l’importance de l’éducation thérapeutique. Celle-ci englobe la connaissance de la maladie, ses complications possibles et la nature de son traitement; • la période du transfert en service de médecine pour adultes. Cette section précise les modalités des premières consultations et rappelle la nécessaire collaboration entre les équipes pédiatriques et de médecine d’adultes. • l’accueil et le suivi en service de médecine pour adultes. On y traite des prérequis (comme la formation des médecins aux pathologies hépatiques pédiatriques) mais aussi de l’accueil et des modalités des consultations dédiées aux jeunes adultes. Un programme de transition/transfert basé sur des questionnaires a également été mis en place par la filière de santé des maladies rénales rares ORKiD. Structuré et adaptable à chaque spécificité, « À vos marques, prêts, partez » aide les jeunes à acquérir les compétences et les connaissances nécessaires pour qu’ils puissent gérer leurs soins avec sérénité, aussi bien dans les services pédiatriques qu’au sein des unités pour adultes. La Check-list transition FAI2R constitue un autre outil mis à la disposition des filières. Elle permet de définir comment et à quel moment doit être abordée la transition. Quant aux carnets de liaison MCGRE dont la création résulte d’une collaboration fructueuse avec ROFSED, ils ont pour but de faire le lien entre le service pédiatrique et le service adulte. Enfin, le dossier patient partagé (DPP) vient compléter la boîte à outils opérationnelle des filières. Sécurisé, confidentiel et gratuit, Compilio qu’ont respectivement développé et financé l’association R4P en région Rhône-Alpes et l’ARS, permet ainsi de faciliter la coordination et le suivi des soins dans le cadre d’un handicap et/ou d’une maladie rare en centralisant et en sauvegardant toutes les informations et documents relatifs au patient. Ces données pourront ensuite être partagées avec les professionnels qu’y aura autorisés le patient. 3. Les espaces dédiés à la transition Il existe aujourd’hui des lieux réservés aux adolescents atteints de maladie rare. Créée en 2016, la Suite Necker a ainsi vocation à accompagner les adolescents et les jeunes adultes suivis à Necker pour des maladies rares ou chroniques. Dans cet espace, ils trouveront toutes les informations et...
Tenue et exploitée par la même famille depuis 1979, La Péniche a su conserver un charme intemporel au gré des années. Un succès qu’elle doit en grande partie à une décoration presque envoûtante. Les propriétaires ont fait appel à Guy Falco, un décorateur très connu sur le littoral. À l’intérieur, vous vous laisserez emporter naturellement par son ambiance à la fois cosy et très feutrée. Avec ses lumières tamisées déposant un doux reflet sur les tables en bois, vous aurez l’impression d’être dans un cocon doré. À l’avant du bateau, vous pourrez profiter d’une belle vue donnant sur les canaux, ses embarcations, et le mont Saint-Clair. La méditerranée dans vos assiettes À bord, vous prendrez plaisir à goûter à des compositions esthétiques et savoureuses mettant en valeur de bons produits. S’approvisionnant auprès de producteurs locaux, le chef et son équipe vous concoctent des plats sublimant tous les produits de la mer. Des ingrédients frais à profusion pour les plus exigeants ! Vous aurez également l’occasion de déguster la Macaronade, une spécialité sétoise que la maison est fière de revisiter à sa manière. Autres succulences à ne pas rater : les seiches et les moules farcis à la sétoise, un pur délice pour les amateurs du genre. Côté vins, La Péniche vous suggère une sélection diversifiée qui met en avant les vins régionaux. En tout, les clients choisissent parmi une vingtaine de références avec une prédominance de vins du sud de la France (Languedoc-Roussillon). ...
Véritable conservatoire du patrimoine végétal, cet arboretum est l’aboutissement d’une passion commune qui a animé Gérard et Claudie Adeline pendant 45 ans dans leur « Pépinière de collection », participant ainsi à l’enrichissement de nombreux parcs botaniques d’Europe. En considération des connaissances qu’ils ont accumulées, ils vous feront découvrir des floraisons inédites, des fructifications spectaculaires, des coloris d’automne flamboyants et de superbes écorces décoratives. Arboretum Adeline à La Chapelle-Montlinard : un patrimoine vivant pour les amoureux des plantes, parcs et jardins... Chaque saison apportant son lot de découvertes, ils vous expliqueront comment intégrer ces végétaux en tenant compte du site environnemental et de la nature de votre sol. Réunis autour d’une grande table de pierre, Gérard et Claudie Adeline aiment partager un moment entre passionnés de plantes. Il s’agit d’éclairer tout un chacun sur la nécessité de sauvegarder ces espèces qui sont notre « patrimoine végétal vivant », qui, s’il n’est pas protégé, risque de laisser perdre un savoir scientifique et historique considérable. ...
Ayant son siège social à Pont de Buis dans le Finistère, le groupe Salaün est à la fois tour opérateur, réseau d’agences de voyage et autocariste. Fort de plus d’un demi-siècle d’expérience dans l’organisation de voyages, le groupe propose une expérience inédite placée sous le signe de la rencontre. Il était une fois en Bretagne... L’aventure Salaün Holidays est intimement liée à l’histoire d’un homme : Michel Salaün, le fondateur. En 1927, Michel part rejoindre les Etats-Unis pour tenter sa chance et y travaille pendant 5 ans. A son retour en France en 1932, l’idée lui est venue de faire l’acquisition d’une ferme. Après de nombreuses visites, aucune ne correspondait à ses attentes. Sur le conseil de ses amis, il décide alors d’acheter un car. « A l’époque, il y avait une réelle demande car les gens avaient besoin d’un moyen de transport pour se rendre au bal le dimanche soir, aller aux foires, aux marchés ou encore faire des excursions » témoigne Michel, le petit-fils du fondateur et Président actuel du groupe. Après le décès de son père en 1964, Yves Salaün a repris les rênes de la société familiale. Lorsqu’il était à la tête de l’entreprise, Yves a assuré la croissance interne en développant non seulement le nombre de cars mais également en allant à la conquête d’une nouvelle clientèle. En 1982, c’est au tour de Michel de faire ses preuves. « J’ai intégré l’entreprise après avoir décroché un BAC D et un DUT en transport logistique et j’ai débuté ma carrière au volant d’un car » partage-t-il. Passionné par le monde de l’autocar, Michel est tombé dedans étant petit. En effet, pendant ses vacances scolaires, il ne rate aucune occasion pour accompagner son père. Reprendre l’entreprise familiale était donc pour lui une évidence. Voyager autrement avec Salaün Holidays Faire confiance à Salaün Holidays, c’est la garantie de bénéficier d’un certain nombre d’avantages qui font toute la différence. En ce qui concerne ses équipes, le groupe privilégie une démarche basée sur la proximité et l’engagement envers tous ses clients. A chaque étape du voyage, des professionnels sont disponibles pour répondre à n’importe quelle demande. Au niveau du service, la qualité est au rendez-vous avec un savoir-faire maintes fois éprouvé tout au long de ces 85 ans d’existence. Satisfaire les voyageurs reste la priorité du tour opérateur. C’est pourquoi des milliers de « globe-trotters » l’ont choisi et n’hésitent pas à renouveler leur confiance pour vivre des voyages toujours plus enrichissants. Chaque séjour est unique que ce soit aux portes de l'Europe comme le Portugal et la Croatie ou des destinations lointaines telles que les Etats-Unis, la Thaïlande, l'Inde, le Vietnam ou l'Afrique Australe. Chez Salaün Holidays, confiance rime avec sérénité. En effet, les destinations sont rigoureusement élaborées tandis que les prestations font l’objet d’une étude très poussée. Pour ceux qui ont besoin d’être rassurés, pas de panique ! Ils ont la possibilité de souscrire une assurance voyage auprès des services de l'entreprise. Celle-ci peut inclure une assurance assistance rapatriement, une assurance annulations et bagages ou encore la garantie « fermeture d’aéroport ». Côté tarifs, les voyageurs ont droit à des conditions de prix très attractives. Qu’il s’agisse de voyages en autocar ou circuits en avion, Salaün Holidays est particulièrement reconnu pour la compétitivité de sa politique tarifaire. Un accompagnement privilégié Afin d’offrir une expérience unique aux voyageurs, la société a choisi de travailler avec les meilleurs guide-accompagnateurs francophones à travers le monde. Il s’agit de professionnels aguerris qui disposent tous d’une grande expérience du terrain et de la destination. Véritables passerelles entre une culture d’origine et un pays d’accueil, les guide-accompagnateurs constituent ...
Tirant son nom de la perle d’Akoya, ce petit joyau de l’Océan indien invite ses visiteurs à passer des moments uniques au cours d’un séjour placé sous le signe de la détente et de la sérénité. Un panorama exceptionnel Installé au cœur d’une végétation luxuriante, AKOYA HOTEL & SPA s’étend sur un parc arboré de trois hectares. L’établissement classé cinq étoiles dispose d’espaces extérieurs parfaitement aménagés. Le cadre mêle intimité, détente et harmonie visuelle, à l’instar des jardins d’AKOYA, avec ses fleurs aux parfums exotiques et ses palmiers placés subtilement en enfilade. L’eau, source de vie, est omniprésente. Comme dans une oasis, sa présence confère à ce lieu un charme presque intemporel. À travers sa piscine aux courbes douces plongeant dans l’océan et ses quelques bassins d’agrément, l’hôtel fait profiter à ses invités de merveilleuses sources de fraîcheur. Des chambres aux couleurs de la Réunion Pour offrir à ses hôtes des séjours aussi confortables qu’exceptionnels, AKOYA HOTEL & SPA dispose de 104 chambres et suites spacieuses. Afin d’apprécier toute la beauté de l’île Bourbon, les invités retrouvent une déclinaison de six univers reflétant les richesses naturelles de l’île. Dans chaque chambre, on note la présence de mobilier raffiné, d’étoffes légères, ainsi que de matériaux naturels aux couleurs délicates. Les chambres « Fournaise » À l’intérieur, la décoration s’est clairement inspirée du Piton de la Fournaise, site naturel emblématique de l’île. Les invités apprécient les lignes et coloris sobres accompagnés de subtiles touches volcaniques. Les chevets et rideaux épousent des motifs sobrement ethniques, tandis que la tête de lit reçoit un mélange réussi de tons de vanille et de bronze. Les chambres « Champs de thé » Décorées de manière contemporaine et élégante, les « champs de thé » affichent sans équivoque un style oriental. En attestent de typiques vases chinois noirs et blancs posés ici et là. Les rideaux se parent de papillons multicolores. La tête de lit s’embellit d’une bande de tissu et des touches de couleurs plus acidulées viennent orner les coussins. Les chambres « Namaste » Véritables clins d’œil à la culture indienne, ces chambres avec leurs lignes modernes et ethniques revêtent un décor à la fois sobre mais élégant. Ici, les couleurs fastes si chères au pays des Maharajas s’affichent sans complexe, à l’image des coussins et du jeté de lit gansé aux couleurs safran. De grands luminaires de chevet et un majestueux baldaquin de bois clair finissent par apporter plus de raffinement aux lieux. Les chambres « Tropical » Dans ces chambres, le savoir-faire des artisans locaux se reflète à la fois par un style contemporain assorti de nombreuses touches décoratives, ainsi que par des mobiliers qui rendent un bel hommage à l’artisanat réunionnais, à l’exemple du lit, avec sa tête tressée de fibres végétales et ses colonnettes en bois clair surplombées d’ananas sculptés. Les amoureux d’art ancien apprécieront au passage les lampes de chevet avec leurs silhouettes de sculptures populaires. Le jeté de lit de couleur verte et les coussins aux motifs floraux sont un clin d’œil à la nature environnante. Les chambres « Trou d'eau » On peut dire que ces chambres portent bien leur nom ! La décoration s’est inspirée du magnifique lagon situé à proximité de l’hôtel. Une attention toute particulière a été apportée au niveau des couleurs. Ainsi, le jeté de lit s’habille en couleur émeraude, rappelant les vagues qui scintillent au soleil. Des couleurs douces et sablées se marient parfaitement aux rideaux brodés de subtils feuillages. La tête de lit est formée de strates aux lignes souples, qui évoquent les fonds marins. Les chambres familiales Des vacances réus...
« De tous les arts, l'art culinaire est celui qui nourrit le mieux son homme. » C’est avec cette belle citation de Pierre Dac que le Bistrot des Anges fait son entrée en matière. Une manière de dire qu’au sein de cette brasserie bordelaise on vient pour le plaisir de déguster une cuisine savoureuse et traditionnelle, revisitée selon l’inspiration et l’humeur du chef. Une manière aussi de vous assurer qu’on y privilégie l’art de bien recevoir. Des anges pour s’occuper de vous Durant l’arrivée des beaux jours, vous ne résisterez pas à l’envie de vous installer sur cette belle et spacieuse terrasse ombragée. Il faut dire que, depuis la rue, on n’a d’yeux que pour elle. À l’intérieur, la salle invite aussi à passer de bons moments. Toute l’attention se focalise sur cet immense bar en bois éclairé par des luminaires encastrés. En face, des tables et des banquettes en cuir accolés en mur rappellent immédiatement l’ambiance bistrot. Une autre salle beaucoup plus intimiste est proposée aux clients en quête de discrétion à l’arrière du restaurant. Celle-ci révèle des couleurs claires qui procurent un effet élégant et apaisant. Dans cette ambiance conviviale et chaleureuse, vous serez accueilli par les anges. Aux manettes : Vincent, qui est le chef d’orchestre de cette équipe de professionnels et qui fera de votre passage au sein du restaurant un pur moment de plaisir. Aux fourneaux : Nuno, un chef passionné qui concocte une cuisine généreuse, à l’image de sa personnalité. Il régale les papilles avec ses plats traditionnels mâtinés de saveurs issues des quatre coins du monde. La maison propose des menus qui changent tous les jours en fonction des arrivages du marché. À midi, 4 formules, dont les tarifs commencent à 10 €, sont élaborées. Le soir, une carte modifiée régulièrement attend les habitués ou les voyageurs de passage. En entrée, le raviole au foie gras et sa crème de cèpes émoustilleront vos palais. En plat principal, optez pour les gambas flambées au pastis et risotto à l’encre de seiche. Une grosse faim ? Dans ce cas, la côte de bœuf d’un kilo accompagnée de salade et de frites pour 2 personnes est proposée. La touche de douceur, quant à elle, sera apportée par la sphère chocolat irish cream. Pour vos moments de détente La nuit tombée, l’ambiance prend une autre tournure. Le rythme effréné du midi destiné à servir rapidement les clients pressés est délaissé au profit d’une atmosphère plus conviviale et bon enfant. Que vous soyez en groupe, en couple ou solo, le Bistrot des Anges vous garantit un accueil digne de ce nom. Le Cocktail des anges, le Mojito royal, la Pinacolada, le Daiquiri, le Bloody Mary… grâce à la large sélection de cocktails, il y a de quoi passer une bonne soirée. L’établissement a sélectionné également un large choix de vins français et étrangers ainsi que de bières ; à consommer avec modération, cela va de soi. Pour les petites faims, des tapas à partager. Au choix : les calamars en persillade et balsamique, l’assiette de brebis, confiture de cerises noires ou, pourquoi pas, la grande planche du Bistrot. Dès l’approche du weekend, la température monte d’un cran au Bistrot des Anges. Sur un fond de bonne musique, vous pourrez échanger, partager et faire des rencontres. ...
En 1890, un ancêtre charpentier a construit la grange qui sert aujourd’hui de chai, faisant payer ses services en lopins de terre. Depuis les vignes sont travaillées au fil des saisons dans le respect de la tradition, en culture raisonnée. Domaine de Guillau : une démarche environnementale Jean-Claude Lartigue mène le domaine dans une démarche environnementale afin de préserver les sols et mettre en bouteille la meilleure expression de ce terroir. Par exemple, des fèveroles sont semées entre les rangs de vigne, puis broyées avant maturité et servent ainsi d’engrais vert ; les sols sont travaillés mécaniquement. Les vins sont régulièrement récompensés au Concours Général agricole de Paris comme au Concours des Vins des Coteaux du Quercy (3 médailles d’or cette année), et marqués de 5 coups de Cœur au Guide Hachette des Vins cette dernière décennie. La cuvée Rouge Tradition du Domaine de Guillau Les vins Rouges AOC Coteaux du Quercy sont issus des cépages Cabernet franc, Merlot, Tannat et Cot. Les vendanges de la cuvée Rouge Tradition, à maturité optimale, sont suivies d’une vinification traditionnelle et d’un élevage en cuve. La cuvée "Plénitude", sélection des parcelles les mieux exposées de Cabernet, Tannat et Merlot, est élevée pendant 12 mois minimum en fût de chêne français de la Tonnelerie Orion. Un rosé d’exception Le Rosé AOC Coteaux du Quercy du Domaine de Guillau est un rosé de "saignée" : les cuves de vendanges fraîches des Cabernet, Merlot, Cot et Gamay sont saignées quelques heures après récolte. Le jus de raisin ainsi retiré est légèrement coloré, la fermentation lente à basse température conserve tous ses arômes et ses qualités. Un blanc en IGP vin duTarn-et-Garonne : le "Prélude" tradition Pour le vin Blanc, les vendanges manuelles des cépages Viognier et Chardonnay permettent de trier et sélectionner les raisins. Ils sont ensuite réfrigérés afin d’être pressés à basse température. Par ce fait, la fermentation débute lentement et le contrôle des températures est parfaitement maîtrisé. Le vin obtenu est alors élevé sur lies pendant 6 mois en cuve pour le "Prélude" tradition et élevé en fût de chêne neuf de la Tonnelerie Orion avec bâtonnage pour une cuvée "Prélude" plus confidentielle. ...
« Le savoir n’est rien s’il ne se partage pas » La cuisine est souvent une histoire d’émotion et de passion, mais ce sont aussi les gestes techniques et le savoir-faire qui transforment un repas classique en un moment unique de partage. Parmi les valeurs exprimées par Alain Ducasse tout au long de sa carrière, la transmission du savoir-faire culinaire a toujours occupé une place importante. Cette idée particulière du partage a été rendue accessible à tous en mai 2009, quand le célèbre chef étoilé a finalement lancé son projet d’école pour les particuliers. C’est dans un espace contemporain de 500 m2 niché au cœur du prestigieux XVIe arrondissement de Paris que tous les cours sont regroupés pour offrir une expérience unique aux participants. Les cuisines sont spacieuses et aménagées avec les derniers équipements professionnels. Dans un décor réalisé par le designer Pierre-Yves Rochon (à qui l’on doit l’aménagement de célèbres établissements hôteliers à travers le monde, comme les Fours Seasons à New York ou le Ritz-Carlton à Bahreïn), les clients profitent d’un espace chaleureux et agréable où venir apprendre les meilleures techniques culinaires auprès des chefs de l'école. Une équipe de chefs formateurs Il faut saluer ici l’excellent travail effectué par Julian Mercier, chef exécutif de l’école. Il a ramené de ses expériences aux quatre coins du monde, toujours aux commandes des fourneaux les plus réputés, un goût exquis du partage et des rencontres qu’il met maintenant au service des particuliers. Accompagné d’une équipe composée de la fine fleur de la restauration gastronomique, il transmet son savoir et sa passion dans l’art du « geste juste, celui qui fait la différence ». Quand on lui demande quels sont les points forts de l’école, il répond modestement que : « Nous apportons la caution des chefs "Alain Ducasse" et tout leur savoir-faire. Les chefs sont accessibles et s’adaptent à tous les niveaux, débutants ou confirmés. Il est important que chacun puisse trouver son bonheur et les réponses à ses questions en venant ici. » Les cours sont regroupés sous forme de sessions d’une demi-journée au minimum qui permettent d’aborder différents aspects de la cuisine contemporaine. « Cuisine du quotidien », « Cuisine 3 étoiles » ou classes spécialement conçues pour les « Kids », les diverses formations proposées par l’École de Cuisine Alain Ducasse sont autant de portes d’entrée dans l’univers fascinant de la gastronomie. Les cours durent au moins quatre heures afin d’avoir le temps de détailler tous les points importants des recettes, étape par étape. Aussi, pour être certaine de répondre aux attentes particulières de tous les participants, chaque formation ne compte pas plus de dix élèves par session. Il n’est pas rare de croiser quelques jeunes étoiles montantes de la cuisine internationale qui viennent se glisser au programme de l’école. Fumiko Kono ou Beena Paradin, ces chefs invités viennent partager leurs talents et leurs techniques originales pour le plus grand bonheur des participants. Amenant avec eux leurs aspirations aux couleurs subtiles, ils ouvrent lors de ces worshops les horizons culinaires et sensoriels des élèves. En plus de ces initiations à la cuisine, l’École de Cuisine Alain Ducasse propose aux élèves de prendre part à des cours de pâtisserie et de dégustations oenologiques. Vous trouverez différrents thèmes pour appréhender ces deux autres activités qui font partie intégrante de la gastronomie. ...
Situé au cœur de Paris, à deux pas de l’Odéon et du boulevard Saint-Michel, l’établissement tire son nom du veau de lait Ferrandais, une race bovine typique du Puy-de-Dôme qui fait partie du terroir auvergnat. Dans une ambiance du 17e siècle, ce restaurant à la belle devanture propose une cuisine traditionnelle française faite de produits frais, et travaille directement avec éleveurs pour sa viande et des producteurs des fromage et de charcuterie. Renouvelée tous les mois, la carte de l’établissement présente des menus variés tous aussi succulents les uns que les autres. Le menu à 37 € est composé d’une entrée, d’un plat et d’un dessert. À travers son menu dégustation à 55 €, bénéficiez d’une variété de six plats composés notamment de deux entrées, un poisson, une viande, un fromage et un dessert. Une cuisine de tradition Démarrez l’aventure culinaire avec son velouté de potiron, châtaignes et lard paysan à tomber par terre, suivi de sa blanquette de veau de la Ferrandaise accompagnée de riz basmati. Terminez ensuite sur une note de douceur avec son délicieux coing en jus aux saveurs d’hiver, accompagné d'une glace à la gentiane et d'un biscuit tendre aux marrons confits. Pour accompagner chacun de vos plats, La Ferrandaise propose une belle carte de vins, représentative de toutes les régions, achetés directement aux vignerons, comme le Pech Abusé de M. Daniel TISSOT du sud-ouest et quelques vins de Côtes d’Auvergne, la Frondeuse, pinot noir, de M. Pierre Goigoux ou les Terrasses en bio , syrah, de M. Yvan Bernard. ...
Situé au cœur historique de la ville, en bordure de l’ancien lit de la Basse Deûle et du port, l’Hospice Comtesse reste l’un des derniers témoignages lillois de l’action des comtes de Flandres. Fondé en 1237 par la comtesse Jeanne de Flandres dans l’enceinte de son propre palais, l’Hôtel de la Salle, l’hôpital est placé sous la protection de la Vierge. Cette fondation lilloise s’inscrit naturellement dans ce large mouvement de création d’asiles hospitaliers qui se multiplient au cours des XIIe et XIIIe siècles, dans les comtés de Flandre et du Hainaut, à l’image des hôpitaux Saint-Jean de Bruges (1180), Notre-Dame de la Bijloke de Gand ou Notre-Dame à la Rose de Lessines (1260). Patrimone emblématique de l'Histoire de la ville Conformément aux vœux de la fondatrice, l’hôpital accueille des malades, des pauvres et des pèlerins. Régulièrement agrandi pour répondre aux besoins d’hébergement croissants des populations en errance, cette institution hospitalière a été richement dotée au fil des siècles. Ce qui lui permet de disposer de ressources suffisantes afin de faire face aux dépenses de fonctionnement et d’assumer pleinement son rôle charitable. En 1796, suite à la Révolution et aux évolutions de la médecine, l’autorité municipale remodèle l’assistance publique : toutes les fondations hospitalières lilloises sont réorganisées. L’Hospice Comtesse devient un hospice pour les vieillards - les «Vieux-Hommes» - et les orphelins dits «les Bleuets», tandis que les malades sont regroupés à l’hôpital Saint-Sauveur. Un lieu d'une grande richesse artistique Après avoir découvert l'ancienne salle des malades, la chapelle et le jardin médicinal, le visiteur entre dans la maison de la communauté des sœurs augustines qui avaient en charge l’accueil et le soin des malades. Plusieurs salles d’ambiance telles que la cuisine, le réfectoire ou la lingerie s’y succèdent et rappellent tout autant la vocation hospitalière que l’intimité d’une maison flamande des siècles passés. Si le réfectoire, avec son mobilier au décor opulent, restitue l’ambiance solennelle de l’ancien hôpital, la cuisine avec ses innombrables carreaux de faïence bleue – près de 4000 ! – fait revivre le quotidien des lieux. À l’étage, vous partez à la rencontre de l’histoire de Lille et de la vie lilloise. Les collections exposées dans l’ancien dortoir des religieuses tissent le portrait de Lille du XVIe siècle à la Révolution française. Sculptures sur bois, peintures et documents graphiques décrivent le paysage urbain lillois sur plusieurs centaines d’années ; les galeries de portraits des comtes de Flandre et des ducs de Bourgogne ou encore les clefs de la ville soulignent le contexte historique et politique de Lille au travers des siècles. Les importantes corporations de métiers, qui rappellent le passé marchand de la cité, sont racontées, par exemple, par des objets traditionnels comme les bannières ou encore par le tableau La Procession de Lille peinte par François Watteau. Les œuvres de cet artiste mais aussi de son père, Louis Watteau, sont de précieux témoignages de la ville et de la vie lilloise sous l’Ancien Régime. À la fin du parcours, les deux superbes globes, céleste et terrestre, du cartographe vénitien Vincenzo Coronelli, évoquent l’engouement pour les voyages et les découvertes scientifiques des XVIIe et XVIIIe siècles. Ancré dans le paysage et l’histoire de Lille, le musée de l’Hospice Comtesse invite, chaque année, les visiteurs à découvrir, le temps d’une exposition, des artistes contemporains ayant un lien avec la ville mais aussi des grandes présentations thématiques dans lesquelles les collections du musée sont mises à l’honneur. Un musée en constante évolution Le rez-de-chaussée et le premier étage des collections permanentes du musée ont fait l’objet d’une remise en beauté durant l’année 2022, à l’occasion du 60e anniversaire du musée. Un parcours renouvelé, plus valorisant pour les œuvres dont certaines ont ét&eacu...
Quel regard portent les artistes sur le paysage qui nous entoure ? Contrairement à leurs aînés des grands courants picturaux (classique, baroque, romantique, réaliste, impressionniste…) qui se sont passionnés pour le paysage, les plasticiens contemporains ne l’abordent plus seulement pour l’idéaliser ou le traduire. Les artistes de la Biennale d’Issy nous livrent leur vision du monde à travers la photographie, la peinture, la sculpture, le dessin et la vidéo. La puissance de la nature au cœur du réchauffement climatique Les artistes s’attachent aussi bien aux aspects les plus alarmants de l’intervention humaine sur Terre qu’à l’évocation de la majesté et de la beauté de la nature. Ainsi, Nils-Udo traduit la force créatrice de la nature dans sa peinture tandis que François Bard représente des rocs inamovibles. Frédéric Oudrix nous offre une végétation exubérante, Stéphane Erouane Dumas des forêts de bouleaux figés par le givre se reflètant dans un lac gelé. Traqueur d’orages, Basile Ducournau parcourt le Nouveau-Mexique pour capter le moment précis où la foudre tombe parfaitement dans l’axe d’une route qui s’éloigne en direction de l’horizon. Madame Briot, un arbre sculptural à l’élégance féminine, semble être renversé. Mais il est bien réel et révèle la richesse méconnue de la nature. Dans les autres œuvres d’Emma Tandy, la végétation y apparaît luxuriante, tout comme dans les friches que photographie Yann Monel. Le paysage soulève de nombreuses questions, notamment celle de l’environnement. Avec ses Paysages nucléaires présentés en diptyques, Jean-Pierre Attal met en perspective un avenir nucléaire incertain, avec une usine implantée dans son environnement naturel d’un côté, le même site dépourvu d’installation humaine de l’autre. Brigitte Sillard aborde la question du changement climatique avec son image d’un palétuvier qui dépérit à Madagascar dans une mangrove disparue. Régis Rizzo peint des lycaons de la savane africaine sur fond de paysage industriel pour illustrer le retour des animaux sauvages dans les villes. Cristina Ruiz Guiňazǔ présente un ange assoupi sur le sol d’un désert s’étendant à l’infini, et Pierre Monestier d’étranges quadrupèdes à gueule de canon décimant une armée sans armes. Quant à Rubén Fuentes, il peint des étendues montagneuses dont les cimes prennent la forme de silhouettes d’anciennes déesses précolombiennes, dénonçant la disparition des forêts primaires. Le paysage, terrain d’expression des artistes engagés Les artistes présentent aussi leur vision de l’évolution du paysage, avec lucidité, de manière parfois engagée. Ainsi, Caroline Secq dénonce l’apparition d’un 8e (in)continent avec une installation d’objets et de sacs plastiques rejetés par la mer qu’elle récolte sur les plages. Christophe Dalecki détourne nos objets du quotidien en plastique et donne naissance à de grands bouquets d’ombres et de lumière verte. Certains artistes révèlent l’empreinte de l’homme sur le paysage, comme Justin Weiler avec ses dessins semblables à des partitions dont les notes s’avèrent être des impacts de balles ; une musique douloureuse, témoin du lourd passé de la guerre civile au Liban. A Beyrouth, les anfractuosités provoquées par les tirs deviennent des nids d’oiseaux dans les fresques réalisées et photographiées par le street artiste Anoy. D’autres, comme Barthélémy Toguo, sensible aux situations de détresse en Afrique et dans le monde, nous livrent des œuvres engagées : ainsi, Jugement dernier est composé de deux mains levées, comme en joue face à l’obstination de l’humanité à s’autodétruire. Avec ambivalence, les aquarelles de Jean-Michel Alberola inspirent la quiétude de scènes champêtres, alors que nous sommes face à la désolation du camp de Birkenau où la nature finit par recouvrir la voie ferrée et ronger les baraquements. Dans une architecture sans vie, Anselm Kiefer mêle ses ...
Forte d’une tradition séculaire, la distillerie Isautier produit du rhum d’exception alliant richesse aromatique et saveurs exotiques. La large gamme de Rhums blancs, Rhums vieux, Arrangés et Punchs, est l’emblème de la noble quête de qualité et d’excellence qui a animé plusieurs générations d’amoureux de cet élixir de vie. Une maison fière et forte de ses racines Nous sommes au milieu du XIXe siècle lorsque Louis et Charles Isautier jettent l’ancre sur une île qui deviendra, au fil des années, le sanctuaire d’une entreprise familiale de renom. Investissant d’abord dans le sucre, les Isautier prennent petit à petit la route du rhum. Cet engagement, en hommage à la richesse du terroir réunionnais, se concrétisera par la création de la distillerie Isautier en 1845 sous l’impulsion de Charles Isautier, le frère de Louis. Commence alors une épopée familiale couronnée de succès grâce à la diversification des produits de l’entreprise-mère mais surtout grâce à la production d’un rhum artisanal de qualité élaboré dans le respect de la pure tradition réunionnaise. L’âme du terroir dans chaque bouteille Les Isautier se consacrent principalement au rhum dans les années 1990 afin de donner le meilleur du terroir réunionnais. Depuis, leur ambition est de proposer une gamme de spiritueux authentiques et fidèles aux traditions en donnant la priorité à l’innovation. Cette ambition, à maintes reprises dignement récompensée, fait aujourd’hui partie de l’identité de la marque. Riche de près deux siècles d’existence, la Maison élabore ainsi des spiritueux à la mosaïque aromatique caractérisant l’île de la Réunion avec, en prime, du rhum vieux… et plus vieux encore. ...
Pourquoi SKYdeals va-t-il devenir le site web indispensable pendant les vols ? Focus sur cette nouvelle technologie innovante qui intéresse autant les voyageurs que les compagnies. SKYdeals : la solution d’inflight « shoppertainment » incontournable Pendant les vols long-courriers, internet manque à de nombreux passagers (professionnels ou non). Ainsi, l’annonce de l’arrivée du WiFi dans les avions est une excellente nouvelle. D’ailleurs, bien que, pour le moment, ce service soit payant, les spécialistes estiment que d’ici quelques années, il n’est pas impossible qu’il devienne gratuit à bord. En partant de ce constat, il est évident que les grands acteurs du voyage par avion recherchent des solutions intéressantes pour elles et pour leurs passagers. À ce titre, avec le site SKYdeals, les personnes à bord peuvent accéder à des ventes privées de produits et services privés à destination ainsi qu’à des événements commerciaux pendant le voyage. Par exemple, il est possible de participer à des ventes flash de produits spécifiques en survolant certaines zones (fly-over) ainsi qu’à des offres groupées qui permettent de bénéficier de réductions intéressantes si plusieurs personnes y participent. De ce fait, cela permet aux voyageurs d’animer leur voyage tout en profitant du vol pour faire leur shopping. Ludique et pratique ! SKYdeals : de l’idée au déploiement SKYdeals est un site qui a vu le jour en janvier 2017 grâce à Julien Sivan et Céline Braems. Tous deux spécialistes du digital et du secteur aérien, ils ont vite compris que la possibilité de capter le Wifi dans les avions allait s’accompagner de nouvelles demandes des compagnies aériennes et des voyageurs. Les premières souhaitent rentabiliser aussi rapidement que possible cette nouvelle technologie tandis que les seconds espèrent en profiter pour s’occuper et bénéficier, par la même occasion, d’offres intéressantes. Ainsi, après une première levée de fonds de 300 000 € et des tests sur les passagers des vols French Blue (en 2017), il est prévu de déployer cette solution à l’international en 2018 (via des compagnies asiatiques et américaines). Pour atteindre cet objectif, une seconde levée de plusieurs millions d’euros est prévue en 2018. Bientôt, tous les passagers pourront donc profiter de ventes privées et événementielles en vol. ...
Dijon, capitale de la Bourgogne La capitale de la Bourgogne se visite en déambulant entre le centre historique, deuxième secteur sauvegardé de France après Paris et classé au patrimoine mondial de l’UNESCO. Elle abrite des monuments emblématiques tels que le Palais des Ducs et des nouveaux quartiers où l’architecture moderne laisse libre cours à sa virtuosité en offrant des créations ultramodernes comme l’auditorium, la tour Elythis ou le Consortium. Le Palais des Ducs, surplombé par la Tour Philippe le Bon et hôte du Musée des Beaux-arts, est l’un des témoins du passé fastueux de cette ville qui fut jadis le siège d’un pouvoir plus puissant que celui des rois de France. Sillonnez les rues médiévales de Dijon à l’occasion de balades gourmandes avec quelques stops incontournables : La boutique Mulot et Petitjean, plus ancien producteur de pain d’épices artisanal de Dijon, la toute nouvelle boutique Fallot, dernière moutarderie artisanale de Bourgogne ou encore l’échoppe de L’or des Valois, repère de la truffe grise de Bourgogne à Dijon. Un peu plus loin sur la route des grands crus, un tour à la Fromagerie Gaugry s’impose, pour savourer Epoisses et autre Brillat-Savarin, fleurons des fromages régionaux, avant de passer à la découverte de ces fameux « climats » de Bourgogne inscrits au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 2015 ! Escapade à Beaune Derrière ses remparts, Beaune est une ville intime et secrète qui se découvre au gré de ruelles bordées par les façades des hôtels Renaissance et des maisons à pans de bois qui se mêlent harmonieusement à la beauté de l’architecture romane. Dans le centre de la ville, les ruelles pavées vous amènent à la découverte de caves anciennes dont les plus illustres sont Bouchard Père et Fils, Bouchard Ainé et Fils, Patriarche ou le Couvent des cordeliers. Beaune étant capitale des vins de Bourgogne, difficile de passer à côté de la visite du Musée des vins de Bourgogne ou de la Maison des Climats, un lieu incontournable pour tout comprendre de l’histoire, la géographie et les traditions du vignoble bourguignon. Le charme médiéval de la ville quant à lui, s’apprécie à travers l’incontournable l’Hôtel-Dieu, autrefois édifice médical et religieux, aujourd’hui site touristique d’exception qui est né sous l’impulsion de Nicolas Rolin, homme de guerre, diplomate conseiller personnel de Philippe le Bon, 2eme des quatre puissants ducs de Bourgogne au Moyen-âge. Réputée pour ses sites touristiques autant que ses vins, Beaune s’illustre également par sa gastronomie. Au rang des adresses les plus incontournables pour apprécier les délices du terroir figurent des restaurants comme Le Charlemagne, Loiseau des Vignes, le Clos du Cèdre ou le Fleury. ...
Si le plus vieux parcours de golf des Emirats Arabes Unis date déjà de 1971, l’afflux des joueurs internationaux vers ces Etats est bien plus récent. En effet, le succès du golf dans cette région du monde arrive avec la croissance économique des Emirats et la création de nouveaux parcours dignes des plus grandes compétitions internationales. Pourquoi partir au Moyen-Orient pour golfer ? Les pays du Golfe attirent les touristes de tous horizons par leur richesse et leurs infrastructures extravagantes. Si les pays de la péninsule arabique possèdent tous leurs terrains de golf, ceux des Emirats Arabes Unis sont les plus prisés par les voyageurs étrangers. Les complexes de golf s’étendent au milieu des tours et des grandes villes mais également dans le désert. Les golfeurs viennent principalement découvrir les 27 parcours des Emirats Arabes Unis où se démarquent Dubaï et Abu Dhabi. Qualifié de « destination 5 étoiles » par Parcours & Voyages - le spécialiste français des séjours au golf -, le Moyen Orient est en effet une destination golfique d’exception. Le paysage arabique, dominé par le désert mais également par les buildings et leurs lumières futuristes donne une autre dimension aux parties de golf. Les golfeurs sont nombreux à choisir Dubaï pour ce cadre d’exception disposant des complexes de golf les plus prestigieux au monde. Golfer à Dubaï leur permet ainsi de découvrir les curiosités de la ville comme le Palm Islands, The World, le Dubai Mall etc. tout en pratiquant leur sport favori. Mais Dubaï n’est pas le seul endroit à découvrir pour pratiquer le golf aux Emirats Arabes Unis. La ville d’Abu Dhabi possède aussi de très beaux parcours reconnus mondialement. Le meilleur parcours du Moyen Orient : celui de Yas Links se trouve dans cette ville. Tout comme Dubaï, Abu Dhabi s’est aussi lancé dans des projets de construction ambitieuses pour attirer les touristes. Vous y trouverez une antenne du Musée du Louvre. Plus tard en 2025, la ville disposera également d’un Guggenheim. A côté, le Sultanat d’Oman est également doté de parcours de renommée internationale. La capitale du pays possède par exemple le numéro 2 des parcours du Moyen Orient. Il accueille des grands tournois comme le Challenge Tour. Comment réussir son séjour de golf aux pays arabiques ? Pour un séjour au golf réussi, l’idéal est de vous renseigner auprès d’une agence spécialisée. Certains Tours Opérateurs s’occupent en effet exclusivement de ce type de séjour. Si vous partez de la France, Parcours & Voyages se trouve parmi les meilleurs organisateurs de voyages de golf à travers le monde dont les Emirats Arabes Unis et le Sultanat d’Oman. En tant que spécialistes, ils pourront vous conseiller sur les meilleurs parcours, vos cours de golf, les compétitions, les hôtels où vous pourrez loger et sur plusieurs autres aspects pratiques. Bien qu’il soit toujours possible de golfer tout au long de l’année aux pays du Golfe, la saison idéale pour y pratiquer votre sport favori se trouve entre fin octobre et début mars. La température est plus douce pendant cette période. En été, la température peut atteindre les 50°C ! Néanmoins, pensez toujours à vous protéger du soleil et commencez vos parties en milieu d’après-midi pour la même raison. Concernant le choix du terrain, le Emirates Golf Club dispose des meilleurs parcours dont le Majlis qui accueille chaque année le Omega Dubai Desert Classic. Le Dubaï Creek Golf and Yatch Club qui se trouve au cœur de la ville offre également de très beaux parcours. Il dispose aussi d’un parcours de championnat installé au cœur d’un complexe luxueux. Celui-ci possède une marina, un yatch club, un hôtel et des villas haut de gamme. A Abu Dhabi, vous pouvez opter pour le Abu Dhabi Golf Club où se déroulent l’European Tour et le HSBC Abu Dhabi Championship. Si vous partez à Oman, le Almouj Golf à Muscat est le plus beau de tout le pays. ...
Bonjour Monsieur Hermelin. Christopher Hermelin | Bonjour On connaît tous très bien le caviste Nicolas. Mais peut-être un peu moins Craft Beers et compagnie. Qu’est-ce que c’est exactement ? C H | Alors Craft Beers et Compagnie, j’insiste sur le « Compagnie », parce que le « et Compagnie » a un rôle important, est l’enseigne spécialisée dans les bières artisanales et dans la bière en règle générale, de Nicolas. Au-delà de ça, il y a un « et Compagnie », puisqu’effectivement ce n’est pas que la bière artisanale. Derrière cette enseigne on a souhaité aussi y mettre tous les produits Craft, (Craft étant la traduction anglaise d’artisanal), des petites séries, mais aussi les champagnes et les spiritueux qui sont produits en petite quantité. Cette idée, elle est née au début avec la volonté de véritablement faire découvrir la bière au travers d’un concept store complet entièrement intégré et original. Les magasins Craft Beers ce sont des magasins qui font près de 400 m². Dans ces espaces, on va y retrouver trois grandes zones : une zone de vente, une zone de dégustation, c’est-à-dire que vous pouvez acheter un produit et le déguster sur place, et enfin un atelier de brassage pour vous permettre entre amis, entre collègues ou autre, de créer votre propre bière et de la laisser vieillir quelques temps chez Nicolas. Puis au bout d’une quinzaine de jours, venir la récupérer et la consommer. Alors comment ça se déroule un atelier brassage ? C H | En fait vous réservez, parce qu’il nous faut la disponibilité. Ça se pratique par deux et il faut compter à peu près 3 heures en moyenne. Un parce qu’on vous explique un petit peu les tenants les aboutissants, puis on se cale sur la recette que vous voulez faire, et à partir de là, une fois que cette recette est imaginée d’un commun accord, on va passer à l’acte de brassage à proprement parlé. Une fois que c’est fait, que le produit est fini et conçu, il sera mis dans deux fûts de cinq litres chacun, ce qui permettra aux deux personnes qui font cet atelier de brassage de repartir chacun avec le sien. Ils seront mis dans une cave à bières et vous pourrez revenir aisément dans 15 jours récupérer vos deux fûts de bière pour pouvoir les consommer. Monsieur Hermelin, pour les brasseurs qui souhaiteraient mettre leur bière en vente dans vos magasins, quelles sont vos critères de sélection ? C H | Petit un, elles doivent être Craft, hors circuit industriel, faite par des brasseurs qui font des tailles peu importantes. Et on a privilégié le local. Pour nous, derrière Craft Beers, l’enjeu c’était le local. Si je suis en Bretagne, j’ai un magasin Craft en Bretagne, je vais y trouver des produits locaux. À Clermont-Ferrand je trouverai des produits auvergnats et dans le Nord, j’y trouverai majoritairement des produits du Nord. Et j’imagine que, comme chez Nicolas, vos vendeurs sont extrêmement bien formés pour conseiller au mieux votre clientèle. C H | La bière c’est extrêmement créatif, y’a beaucoup de choses, y a une palette de goûts colossale. Ça ne se résume pas à des bordeaux ou a des bourgognes. Il y a une profusion de goût, d’assemblages etc. Donc là il y a besoin d’un accompagnement, il y a besoin d’un conseil, et puis qu’on travaille véritablement sur le goût. Qu’on ait une blanche, qu’on ait une blonde, qu’on ait une ambrée ou une brune, on peut avoir des variétés de goût et de fermentations radicalement différentes. Et puis il y a aussi toutes ces bières un peu spéciales, qui sont des aromatisées qui se développent énormément, surtout en été, où là aussi il y’a des assemblages. Donc ça, c’est important parce qu’on peut décevoir rapidement un client. Et puis après sur les accords mets et vins, on parle des accords mets et vins, mais aussi des accords mets et bières. Et de plus en plus nos cavistes sont formés pour vous conseiller et pour vous permettre d’avoir une alternative avec un met et son accord vin...
Le domaine de la santé avance à grands pas vers l’ère numérique. On parle de plus en plus de santé mobile et des solutions technologiques qui servent à modifier considérablement notre connaissance et notre comportement vis-à-vis de l’e-santé. PandaLab est l’une d’entre elles, et se veut être un outil qui révolutionne l’interaction et l’échange entre les établissements de santé et divers services au sein de ceux-ci, en alliant performance, rapidité, et sécurité en une seule application. Une mission de vecteur d’informations On peut envoyer et recevoir des messages, des photos ou des fichiers contenant des informations médicales ou non, avec cette application. « Le but c’est de pouvoir communiquer avec les collaborateurs avec qui l'on travaille tous les jours », explique l’initiateur du projet PandaLab. Bien que ces actions puissent se faire à l’aide du smartphone, l’application apporte en plus des mesures de confidentialité, un cadre formalisé et des fonctionnalités supplémentaires pour rendre l’échange plus riche. La fonction messagerie permet d’avoir une discussion privée ou en groupe en temps réel avec divers intervenants au sein des différents services de soin. « Le secrétariat peut transmettre un fichier médical à un médecin traitant qui va envoyer un résultat d’analyses à un confrère d’un autre service annexe par exemple », détaille notre interlocuteur. Grâce à la fonction intégrée de lecteur radiographique, il est également possible de lire les résultats directement dans la messagerie et de les partager avec les autres. En outre, les médecins peuvent générer en quelques clics des modèles d’ordonnances classiques et créer de nouvelles prescriptions, toujours avec la même application sur smartphone ou sur tout autre support. « On a voulu centraliser tous les outils que nous utilisons au quotidien dans un objet qui rentre dans notre poche », explique le Dr. Aurélien Lambert pour résumer le concept. Respect strict la politique de confidentialité Vu l’enjeu et l’importance des informations qui circulent sur PandaLab, le Dr. Aurélien Lambert mise tout sur la sécurité de son outil, à commencer par le choix d’un hébergement de données hautement sécurisé en France. La messagerie chiffrée de l’application permet de « verrouiller » les messages et les fichiers échangés pour qu’ils ne puissent pas être interceptés par d’autres personnes. Aussi, pour se connecter, l’utilisateur va devoir passer par une double authentification, d’abord avec son mot de passe et ensuite avec un code de validation, pour vérifier l’identité de la personne. L’application a été également créée selon le Référentiel de bonnes pratiques sur les applications et les objets connectés en santé, imposé par la Haute Autorité de la santé. Ajouté à cela une validation obtenue par le label européen mHealth Quality délivré par DMD Santé, PandaLab observe à la lettre les normes exigées lorsqu’il s’agit d’un sujet délicat telle la confidentialité des informations dans le domaine médical. « On essaye de proposer une offre professionnelle d’une grande qualité, mais qui reste tout de même accessible et facile d’utilisation », soutient notre interlocuteur. Plus de temps perdu, plus de gaspillage Une fois que la question de sécurité est abordée, les utilisateurs peuvent profiter librement des avantages offerts par cette application. À part l’accès rapide aux informations, PandaLab élimine les contraintes liées à la « paperasserie » et les erreurs éventuelles dans le traitement de document papier pour faire gagner en temps de production. D’après une étude préliminaire effectuée, l’utilisation de l’application économise 30 minutes de temps par jour à un médecin et jusqu’à 30 % du temps d’un(e) secrétaire gaspillé en téléphone, en fax et en aller-retour de service en service. En pratique, l’application veut rendre ce la...
Si vous souhaitez assister à des événements, faire du shopping ou visiter la ville de Nantes, ce lieu est fait pour vous. Un hôtel avec une localisation exceptionnelle Vous avez de nombreuses raisons de vous arrêter à l’hôtel Amiral. En couple, le temps d’un séjour amoureux, en famille pour découvrir la ville et ses mystères, ou encore dans le cadre d’un voyage d’affaires : chacun y trouve son compte. Localisé en plein cœur du quartier historique, vous vous trouvez à quelques minutes des établissements culturels (dont le théâtre Graslin), de la galerie marchande du passage Pommeraye, des restaurants (nous vous conseillons la brasserie La Cigale) et de nombreux monuments à visiter. Sans oublier les incontournables que sont le Château des ducs de Bretagne, le musée Jules Vernes et les Machines de l’Ile. Que vous choisissiez une chambre simple, double, triple ou familiale, vous appréciez tout autant la modernité de l’établissement que son confort. Idéal pour vous ressourcer et vous sentir chez vous avec une équipe qui saura vous conseiller et qui reste à votre écoute 24h/24 En arrivant sur place, vous vous rendrez compte d’une chose : l’équipe qui vous accueille fait son maximum pour répondre précisément à toutes vos attentes. Un hôtel engagé dans une démarche environnementale La volonté de l’hôtel Amiral de se transformer en hôtel écoresponsable remonte au début des années 2000. Ainsi, en 2006, l’établissement obtient le label Qualité HôtelCert. Quelques années plus tard, en 2008, il sera récompensé par le label Clef Verte puis par l’Écolabel européen, en 2011. Le propriétaire de l’établissement, Jean-François Nicoul, et la directrice, Nadine Witczak, investissent toujours plus, pour permettre à l’établissement de répondre aux normes et exigences écologiques imposées par ces différents labels. Ce choix est récompensé en mai 2015, avec l’obtention de la Palme du Développement durable hôtelier. De plus, l’hôtel Amiral fait aussi partie du groupe pilote volontaire pour l’expérimentation de l’Affichage environnemental. En 2017, il obtient la note A, belle récompense qui symbolise les efforts entrepris afin de limiter au mieux l’impact carbone d’une nuit d’hôtel avec petit déjeuner. Ce parcours met en avant les efforts de l’établissement en matière d’économie d’eau et d’énergie ainsi que sa résolution de se fournir auprès de producteurs locaux et de faire le nécessaire pour gérer au mieux ses déchets. Sans oublier sa volonté de sensibiliser ses clients et son personnel aux gestes et bonnes pratiques écologiques. ...
Comprendre les cellules autrement Les recherches au sein du Labex visent à développer des approches de biologie cellulaire quantitative basées sur les propriétés physiques des cellules, à l’échelle d’une seule cellule et aussi au niveau du comportement collectif des cellules à l’intérieur d’un tissu. Les études se focalisent sur trois thematiques principales : le remodelage dynamique de la membrane cellulaire, la régulation des fonctions cellulaires par divers phénomènes (biochimiques, géométriques,…) et la dynamique de communication des cellules entre elles-mêmes ou avec leurs environnements. Les résultats de ces recherches fondamentales seront appliqués au domaine de la cancérologie notamment à l’élaboration d’approches thérapeutiques contre le mécanisme du développement tumoral. Coopération internationale et soutien des chercheurs Référence internationale dans le domaine de la physique appliquée à la biologie cellulaire grâce à une longue tradition de biophysique à l'Institut Curie, Le labex Celtisphybio entend renforcer encore cette position en créant des partenariats étroits avec les autres instituts mondialement reconnus dans ce domaine : MBI Singapour, EMBL Heidelberg (Allemagne), MIT (Etats-Unis), MPI Dresde (Allemagne)... Le Labex Celtisphybio soutient également des collaborations scientifiques avec les instituts membres du PSL tel que l’illustre Ecole Normale Supérieure de Paris ainsi que l'organisation de colloques et cours internationaux. Le labex Celtisphybio intervient également dans le financement et accompagnement des nouveaux chercheurs. Cours et ateliers à sujets différents et évolutifs y sont proposés ; ces cours octroient, en prime des deux perceptions scientifiques d’un sujet, des crédits d’unité d’enseignement valables pour le système ECTS. Des bourses pour participer à des congrès ou cours scientifiques sont offertes au chercheurs ; le programme « short-term fellowship » est destiné à envoyer ou faire venir des chercheurs afin de faciliter les collaborations et l'apprentissage de nouvelles techniques. Des bourses à plus grande échelle sont même attribuées ...
Au Touquet, à Wimereux ou en plein cœur du Marais parisien, vous trouvez une adresse atypique et pleine de surprises : Le Burger Fermier des Enfants Rouges. Un Burger délicieux qui ne ressemble à aucun autre Malheureusement pour le burger, ce plat n’a pas toujours eu bonne réputation en France. Toutefois, certains restaurateurs ont décidé de redonner à ce sandwich mythique ses lettres de noblesse. Parmi eux, Le Burger Fermier des Enfants Rouge. Grâce à sa recette simple et sans artifice, l’entreprise répond aux attentes de sa (vaste) clientèle. Il suffit de consulter les avis des consommateurs sur leurs différentes pages Facebook pour s’en rendre compte. En effet, les clients sont unanimes : ce burger est un véritable délice. Mais comment font-ils ? Tout simplement en utilisant des produits locaux (Buns maison avec une farine du pas de calais, viande de race Angus, fromage, frites fraiches…) et en offrant la possibilité de choisir la cuisson et le fromage (assez rare pour le souligner). Même les boissons sont locales. Il n’en faut pas plus pour offrir des saveurs incomparables. Un Burger Fermier issu du monde paysan L’histoire du Burger Fermier remonte à une dizaine d’années et est liée, en partie, à celle du Marché des Enfants Rouges en plein cœur du Marais à Paris. À cette époque, Christine Muller, la gérante, décide de proposer un produit simple et gourmand avec un seul objectif : celui de faire travailler les entreprises locales. Elle ouvre alors, au fil du temps, 3 enseignes à Paris, au Touquet et Wimereux. Fille de paysan et propriétaire terrienne elle-même, elle explique que cette idée lui est venue après avoir observé qu’elle avait trop de bêtes. Ainsi, en utilisant son réseau et en se fournissant chez des producteurs locaux, elle commence à cuisiner des burgers. Le succès est immédiat et les restaurants ne désemplissent pas. A savoir : les boutiques sont ouvertes tous les jours sauf lundi pour le Touquet, mardi pour Wimereux et lundi et mardi pour Paris. Ainsi, si vous êtes de passage dans l’un de ces trois coins de France, n’hésitez pas à vous arrêter un moment. Vous ne serez pas déçu de l’expérience. Petite anecdote sympathique : Christine Muller nous explique qu’elle conserve les restes pour les donner à ses bêtes de retour dans sa ferme. Il paraitrait même que les vaches adorent les frites précuites tandis que les veaux seraient plus amateurs de pain. ...
En quoi le « basculement » d’un ado atteint de maladie rare de la médecine pédiatrique vers la médecine adulte peut-il se révéler compliqué ? Et pourquoi cette phase doit-elle faire l’objet de toutes les attentions ? La plupart des maladies rares sont des maladies chroniques. C’est à dire que ce sont des pathologies qui s’inscrivent dans la durée et nécessitent une prise en charge spécifique. Les diagnostics sont souvent posés dans l’enfance, voire même dès la naissance du patient. L’espérance de vie des malades atteints d’une pathologie rare progressant considérablement, beaucoup d’entre eux atteignent l’âge adulte. Or, pour nos confrères en médecine dite adulte, ce sont autant de patients qu’ils devront prendre en charge mais dont ils ne connaissent parfois pas - ou peu - la pathologie… De plus, les maladies rares nécessitent parfois une prise en charge multiple. Plusieurs intervenants sont alors impliqués. Et ce sont alors autant de parcours de transitions qui devront être orchestrés avant que le patient ne quitte le service pédiatrique pour rejoindre le service adulte. Pour toutes ces raisons, dans le domaine des maladies rares, la transition « enfant-adulte » est très souvent kaléidoscopique. D'où l’importance qu’un médecin, à la manière d’un chef d’orchestre, coordonne la phase de transition. Qu’en est-il des patients ? Parce qu’ils y ont passé beaucoup de temps, la plupart de nos jeunes patients considèrent le service pédiatrique comme leur deuxième maison. Ils y sont très attachés. Et beaucoup d’entre eux éprouvent une certaine appréhension à l’idée de devoir quitter l’unité pédiatrique pour être suivis en médecine d’adultes. Mais ce « transfert » est également une source de stress pour les parents. En effet, ceux-ci vont devoir gérer de multiples transitions qui vont bien généralement coïncider les unes avec les autres : leur enfant va non seulement passer en médecine adulte mais il va aussi passer son Bac, son permis de conduire, peut-être déménager dans le cadre d’éventuelles études supérieures, s’installer en couple, etc. Pour que le « basculement » que vous évoquiez précédemment se fasse en douceur et dans les meilleurs conditions, il est essentiel qu’il ait été anticipé et que la phase de transition ait fait l’objet d’une coordination sans faille. Le transfert du patient, c’est à dire le passage de relais entre les médecins pédiatres et leurs collègues « adultes », ne se fait pas du jour au lendemain mais de façon progressive. C’est ce que l’on appelle le processus de « transition » qui débute en pédiatrie pour se poursuivre en médecine d’adultes, bien après le transfert et cela afin de consolider ce dernier.Quels sont les risques, pour le patient, d’une éventuelle rupture du parcours de soins ? La rupture du parcours de soins peut s’accompagner de complications aigües, d’hospitalisations en urgence, voire d’une surmortalité… Il peut arriver qu’un adolescent ou qu’un jeune adulte échappe au parcours de soins et se retrouve aux urgences pour des complications aigües, voire mortelles, alors que son hospitalisation aurait tout à fait pu être évitée. En effet, cela peut s’accompagner de séquelles potentielles : perte de fonction d’un organe, d’un rein, de l’usage d’un membre… Il n’est d’ailleurs pas rare que des patients qui, plus jeunes, avaient échappé à leur parcours de soins, le regrettent amèrement, des années après. Ces séquelles sont d’autant plus dures à vivre pour nos jeunes patents que ce qu’ils désirent plus que tout, c’est d’être « comme les autres » et de mener une vie normale : travailler, payer des impôts, tomber amoureux, etc. La prise en charge doit-elle aussi consister à aider les jeunes patients à se construire un projet de vie d’adulte ? À s’autonomiser ? Bien sûr. La transition doit intégrer non seulement le parcours de soins et de santé mais aussi tous les éléments pouvant contribuer au bien-être du patient et de son entourage : scolarité, orientation professionnelle, vie relationnelle, amoureuse, projets d’avenir, etc. C’est une dimension qui passe au premier plan durant l’adolescence. Nos jeunes patients veulent évidemment qu’on les soigne mais également qu’on les aide à s’occuper de leur vie quotidienne, qu’on les écoute, qu’on réponde à leurs interrogations, qu’on les rassure, qu’on les valorise… Ces besoins spécifiques, liés à l’adolescence du patient nous obligent, nous médecins, à parfois lâcher un peu de lest. À sortir du côté strict du médecin qui se limiterait à soigner son patient. L’adolescence est une période difficile. En quoi peut-elle l’être encore davantage pour les jeunes qui sont atteints d’une maladie rare ? Souvent, mes jeunes patients me disent qu’ils veulent être comme les autres jeunes de leur âge. Sans aucun traitement de faveur. Quant aux questions qu’ils se posent, ce sont les mêmes que celles qui agitent tous les ados : est-ce que je peux plaire à quelqu’un ? Quel métier est-ce que je vais faire ? Même si d’autres interrogations, en lien avec leu...