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Interview avec Christophe Raoux
Chef du restaurant L'Oiseau Blanc, The Peninsula Paris



Restaurant
5 toques Gault et Millau
situé à Paris
Région Île-de-france

Dans votre restaurant, comment définissez-vous votre cuisine ? Quels sont vos plats «Signature»? Avec quels produits aimez-vous travailler ?

Christophe Raoux Je fais une "cuisine de cuisiniers" : gourmande, savoureuse, chaleureuse ! J'aime les cuisines simples, bien exécutés. Mes plats Signature : le ris de veau français cuit en cocotte ou le turbot sauvage et son crémeux de romaine, salicorne, thym citron et ses champignons du moment. Je suis amoureux de tous les produits mais j'adore travailler les radis, les asperges, et la volaille !

Quelles émotions avez-vous ressenties lors de la remise des étoiles du Guide Michelin ?

CR Nous n'avons pas encore d'étoiles mais j'y travaille ! En revanche, je me rappelle avoir ressenti une émotion intense au moment de la remise de ma médaille de Meilleur Ouvrier de France, en 2015. Je n'y croyais tellement pas que j'ai passé la nuit avec. En me réveillant, j'ai vérifié immédiatement qu'elle était toujours bien accrochée à mon cou et que ce n'était pas un rêve !

La cuisine est faite chaque jour de partage et d'émotions. Toutefois, certains moments de la vie sont à privilégier plus que d'autres... Pouvez-vous nous confier vos plats rêvés pour :
- Un repas de Noël ?

CR Une délicieuse langouste de Bretagne en cocotte truffée !

- Un repas de la nouvelle année ?

CR Des Saint-Jacques de Port-en-Bessin en fin carpaccio, kumquat confit et gingembre frit ou un homard bleu en ravioles et sa crème de crustacés et estragon.

- Un repas de Saint-Valentin ?

CR Pour commencer : foie gras de l’Aveyron façon Luculus et truffe Tuber Melanosporum. On poursuit avec le boeuf du Limousin, une purée de mon enfance truffée. On finit par la mangue à partager : litchi, perlée citron, sablé amande et craquant de chocolat blanc.
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- Un repas de la fête des mères ou des pères ?

CR Je ferais : Un rouget barbet, légumes d’une ratatouille, soupe de poisson de roche, un goût d’une rouille ou onglet de Boeuf fumé et mariné et ses gyoza croustillants
En dessert, le "Tout chocolat" de mon chef pâtissier Dominique Costa me semble idéal ! Un dessert praliné coulant, coriandre, tuile craquante. Un régal !

Au fait, pour votre mariage, qui a fait la cuisine ? Pouvez-vous nous indiquer les plats cuisinés ?

CR Je garde ça top secret, c'est notre moment à ma femme et moi. Je peux vous dire que j'avais moi-même créé le menu en faisant appel à tous les producteurs qui me sont si chers et me suivent depuis mes débuts en cuisine.

Sans trop réfléchir, pouvez-vous nous confier votre plus beau souvenir gustatif et certaines des émotions procurées ?

CR Le jour où un grand chef japonais m'a offert une râpe à bonite en bois du Japon. C'est un objet très précieux, je n'oublierai jamais ce moment rempli d'intensité.

D'après la célèbre devise de Prosper Montagné "On ne fait du bon qu'avec du très bon", pouvez-vous nous révéler deux ou trois de vos adresses gourmandes. Vos producteurs et produits préférés sur votre région ou ailleurs (vins, produits frais, ou autres...)

CR Mes incontournables :
Un morceau de jambon de Pierre Oteiza
La bonne table de L'Ambroisie 9, place des Vosges, tenue par mon grand ami Bernard Pacaud
Pour les fromages, La Ferme d'Alexandre est une valeur sûre ! L'équipe de fromagers et affineurs est formidable. Ma propre cave, parce que j’aime l’atmosphère des caves : intime, avec une odeur si reconnaissable. Le lieu idéal pour manger du saucisson et déguster de bons vins avec des amis
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On parle aujourd’hui beaucoup de cuisine fusion, de plats végétariens, d'aliments biologiques, de « Trashcooking » (ingrédients destinés normalement au rebus), de « Freakshakes » pour marier un dessert à une boisson... Selon vous quelles seront les grandes tendances de la cuisine de demain ?

CR Pour moi, la cuisine n'est pas une histoire de tendances mais d'hommes, de cœur et de saisons. Je suis tout à fait conscient de la nécessité de s'adapter aux besoins d'une clientèle, à un marché, mais cela ne doit pas nous détourner de notre objectif premier : faire une cuisine plaisir, faite avec le cœur autant que les papilles, qu'elle soit fusion, gluten-free ou vegan.

Culture - Cinéma Quelle est votre scène préférée de cinéma au restaurant ? Un souvenir de film avec une séquence particulière...

CR J'adore la scène dans "Les Barbouzes", avec Lino Ventura qui se lâche sans modération, en commandant paupiette, civet et tartelettes ! Toujours avec ce ton et charisme inégalables qu'on lui (re)connait tous.
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Si vous aviez un hommage à adresser à Paul Bocuse, quel serait-il ?

CR Je lui dirais simplement merci, et il comprendrait toute la profondeur que je mettrais dans ce mot.
Adresse | Contacts utiles
image-prop-contact-l-oiseau-blanc-the-peninsula-paris L'Oiseau Blanc, The Peninsula Paris The Peninsula Paris , 19 avenue Kléber, 75116 Paris
75116 Paris

Tél. : 01 58 12 28 88
Site Internet

Récompenses
5 toques Gault et Millau

L'Oiseau Blanc, The Peninsula Paris : les avis

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Auberge des Bouviers : une cuisine traditionnelle de haute volée

Dominant la vallée du Gers du haut de son éperon rocheux, Lectoure fait partie des plus anciennes villes du département. L’ancienne cité médiévale a été le fief des Comtes d’Armagnac tout en étant l’une des étapes les plus incontournables sur le chemin de Saint-Jacques-de Compostelle. Elle peut aujourd’hui s’enorgueillir de posséder un riche patrimoine architectural comme le témoigne la  présence des innombrables bâtiments et monuments pour ne citer que le fameux Château des Comtes d’Armagnac, l’ancien Palais Episcopal, la Cathédrale Saint-Gervais et Saint-Protais ou encore les nombreux hôtels particuliers construits au XVIIe et XVIIIe siècle. Dans cet environnement préservé, s’il ne fallait retenir qu’une adresse pour savourer une cuisine du terroir, ce serait sans hésiter celle de Sandrine de Samie et de Bastien Boulard. L’Auberge des Bouviers propose une délicate cuisine d’inspiration gasconne qui fait la part belle aux produits frais et locaux. Une adresse incontournable du Gers Dans le mercato des chefs renommés du Gers, Bastien Boulard peut se targuer de faire partie du haut du panier. Il faut dire qu’il est allé à bonne école puisqu’il a eu la chance d’exercer au sein de nombreuses grandes maisons. Se sentant prêt à développer sa propre cuisine au gré de ses envies et de ses inspirations, le chef saute le grand pas en 2010 et ouvre son restaurant. Il vivra cette aventure auprès de sa compagne Sandrine de Samie.Sa cuisine est une ode au raffinement et à la créativité. Il se plaît à concocter des plats gascons dans lesquels transparaissent son talent et la richesse de son expérience. Dès le premier plat, tous nos sens sont en alerte. La présentation des assiettes, digne d’une véritable œuvre d’art, mérite une mention spéciale. Et à la première bouchée, les saveurs authentiques entre douceur et amertume comblent les fins gastronomes. Les produits frais et locaux, il n’y a que ça qui compte Toutes les semaines, c’est le même rituel. Le chef part s’approvisionner en légumes auprès de la maraîchère du coin Martine Mazères qui s’attache fermement à respecter la saisonnalité des produits. Pour l’acquisition du canard, Bastien fait confiance à Patrick et Jocelyne Davasse qui possèdent une exploitation à Miradoux situé à 15 km de Lectoure. L’élevage, le maïs pour nourrir le canard, la transformation… tout est fait dans le Gers.Ces produits du terroir triés sur le volet inspirent le chef dans la création de ses plats. En entrée, place au sucré-salé avec une Terrine de Melon au piment d’Espelette, Ecume de safran de Lectoure et jambon de porc noir gascon en chiffonnade. En plat de résistance, le Rôti de pieds de cochon noir aux trompettes de la mort fera le bonheur des gourmets. Pour finir, l’Omelette agenaise flambée à l’Armagnac est l’une des spécialités de la maison à ne manquer sous aucun prétexte. Ambiance « chic », saveurs « choc » Tout comme la cuisine qui y est proposée, la salle présente aussi une dualité entre l’ancien et le moderne. Dans cette demeure datant du XVIIe siècle, les murs en pierres et les poutres apparentes procurent une ambiance chaleureuse et conviviale. Les chaises confortables, les grandes fenêtres, les luminaires inspirent la douceur et la détente et apportent un vent de charme et de romantisme aux lieux. A l’accueil et au service, une équipe professionnelle et avenante se tient à la disposition des convives pour garantir leur bien-être et faire de leur passage à l’Auberge des Bouviers, un moment inoubliable de pur plaisir. ...

L’Approche Globale : aligner sa carrière et ses aspirations pour déployer tout son potentiel !

Bonjour Sophie, pourquoi selon vous de plus en plus de personnes font appel à des coachs professionnels ? Après quelques années dans la vie active, souvent lorsque l’on a entre 35 et 45 ans, on ressent le besoin de faire un bilan de sa vie et notamment de sa vie professionnelle. On compare alors ses aspirations avec la réalité et on peut se rendre compte qu’il y a un décalage entre les deux. A cette étape, que Carl Gustav Jung appelait la « mi vie », beaucoup sont prêts à remettre en question ce qui ne fonctionne pas ou plus. Vous parlez de la tranche d’âge 35-45 ans, pourquoi cette étape est-elle charnière ? Cette tranche d’âge est souvent celle des désillusions et des remises en question. On ouvre les yeux sur la réalité, on se rend compte que le temps passe vite et on se dit que c’est le bon moment pour opérer des changements. C’est aussi l’âge où on commence à avoir davantage confiance en soi et où on sait ce qu’on veut et ce qu’on ne veut pas ou plus. Sur un plan professionnel, à cet âge-là, on travaille généralement depuis 10 à 20 ans déjà. On peut avoir des responsabilités professionnelles importantes parfois lourdes à gérer ou bien à l’inverse, se sentir frustré de ne pas avoir les responsabilités professionnelles que l’on souhaiterait avoir. On peut aussi se rendre compte que la voie dans laquelle on évolue ne correspond plus à nos valeurs ou nos aspirations. Sur un plan personnel, ceux qui ont des enfants peuvent avoir du mal à trouver un équilibre entre travail et vie familiale. Et ceux qui n’en ont pas peuvent se mettre la pression pour en avoir ou bien peuvent être confrontés à la question du renoncement à la parentalité. Il n’est pas rare aussi que les 35-45 ans ne puissent plus s’appuyer comme auparavant sur leurs parents et recherchent le soutien de mentors ou de coachs pour les guider et mettre en adéquation leur « vie » avec leurs « envies ». Que permet l’approche globale ? Les personnes qui viennent nous voir ne savent pas toujours clairement pourquoi elles ressentent le besoin d’évoluer ou pourquoi elles ont un sentiment d’insatisfaction. Elles croient que c’est parce qu’elles n’ont pas assez de résultats professionnels. Ou alors elles pensent que c’est parce que leur domaine d’activité ne leur correspond pas. Mais en général leurs envies de changement sont plus profondes et plus subtiles : - Ce chef d’entreprise pense qu’il manque d’autorité alors qu’en réalité, il a une blessure émotionnelle qui lui fait tout interpréter personnellement et contre lui. Le moindre geste de ses salariés est reçu comme une agression, il se ferme, et le malaise qui en découle altère son autorité. Nous transmettons des techniques pratiques qui l’aident à cicatriser sa blessure et à se relier aux autres avec authenticité, ce qui change radicalement son leadership. - Ce manager pense qu’il n’est pas compétent car il n’est pas reconnu dans son travail. En réalité son entreprise rencontre des difficultés d’ordre financier et son chef n’arrive pas à lui transmettre des feed-back positifs dans ce contexte. Nous lui proposons des exercices et des méthodes qui lui permettent de se détacher du regard de l’autre pour qu’il s’auto-évalue de manière juste. Il apprend la communication non violente qui lui permet de dialoguer avec sa direction, en exprimant sereinement ses besoins et ses attentes. - Ce salarié ressent qu’on l’utilise, qu’on le « surcharge », qu’on ne considère pas ses alertes sur le fait qu’il en fait trop. Alors qu’en réalité c’est lui qui culpabilise de ne pas arriver à faire plus, il ne sait pas dire « non » et le surmenage lui fait petit à petit perdre son tonus physique et son enthousiasme. Nous le mettons en situation pour qu’il gagne en assurance et améliore ses capacités de communication. Ce qui lui permet de redevenir maître de son existence et de ne plus avoir le sentiment de subir. - Cette femme veut créer son entreprise mais n’arrive pas à avancer sur son projet. Il s’avère en fait qu’elle souhaite réaliser son projet parce qu’elle est persuadée qu’elle gagnera plus d’argent. Or, ce n’est pas une motivation suffisamment solide pour pouvoir mener à bien un projet de création d’entreprise. Nous l’aidons à se recentrer sur ses aspirations profondes et à imaginer une carrière en adéquation avec ce qu’elle est vraiment. - Cette employée donne tout, elle est au bord du burn-out, son corps somatise, elle pense devoir changer de travail. Nous l’aidons d’abord à équilibrer sa vie tout en lui apprenant à reconnaître ses limites et à les exprimer. Elle retrouve force, courage et confiance en elle pour transformer son poste actuel. Elle apprend à continuer à se développer en toute autonomie et à trouver ses propres ressources pour ne plus revivre ses erreurs passées. Dans l’approche globale, on éclaire les parts invisibles de l’être humain qui sont en jeu dans la problématique amenée. Par une méthode fine d’évaluation des différents domaines de la vie de la personne, on élabore sur-mesure des exerci...

Tastin’France : faire connaître les vins et spiritueux français dans le monde entier à travers des dégustations professionnelles 

Promouvoir efficacement les vins spiritueux français hors de nos frontières Cocorico ! À l’international, force est de constater que les  vins et spiritueux français ont la cote ! Jugez plutôt, pour l’année 2017, ce sont plus de 2 milliards (2 388 000 000, pour être précis !) de bouteilles de vins et spiritueux français qui ont été exportées. De l’avis des professionnels du secteur, les 12,9 milliards d’euros que toutes ces ventes auront générés constitue un record « historique ». Et quelque chose nous dit que Business France qui organise régulièrement des dégustations professionnelles de vins et spiritueux français hors de nos frontières n’est pas étranger aux excellents résultats enregistrés par la filière viti-vinicole. Car voilà, lorsque l’on est un producteur ou un négociant en vins et spiritueux, il peut se révéler difficile de commercialiser efficacement sa production en Europe et au-delà : comment s’y prendre pour communiquer sur ses produits ? Qui contacter ? Autant d’obstacles à surmonter… Et c’est là que Business France intervient. En organisant régulièrement des dégustations professionnelles Tastin’France auprès d’acteurs locaux (distributeurs, cavistes, importateurs, restaurateurs, négociants, etc.) triés sur le volet, Business France permet, en effet, aux producteurs, agents et négociants français de faire connaître leurs vins et spiritueux dans les meilleures conditions qui soient. « L’idée, c’est vraiment de leur donner les moyens d’aller à la rencontre des professionnels locaux et d’aider nos producteurs, agents et négociants à répondre à leurs besoins en termes de développement à l’international » explique Fabienne Le Goc, Responsable du Pôle Rencontres BtoB - Service Vins et Spiritueux chez Business France. Tout mettre en oeuvre pour déclencher les commandes à l’export  Pour faire découvrir les vins et spiritueux français et mettre en relation les producteurs et les négociants français avec les décideurs étrangers, Business France dispose de tout un arsenal. Tout d’abord, cette société dispose d’un solide savoir-faire. « Nous faisons profiter nos clients de notre expertise en leur fournissant des prestations de conseil pour améliorer leur démarche d’exportation » précise Fabienne Le Goc. Business France peut également s’appuyer sur son réseau : répartis dans 93 bureaux, 60 experts aident les producteurs et négociants français à exporter dans 73 pays du globe. Car sa parfaite connaissance des marchés locaux et de leurs spécificités constitue indéniablement l’un ses principaux atouts. De plus, la logistique que Business France est capable de déployer (organisation de dégustations ciblées, envois d’échantillons, organisation de voyages, rédaction de communiqués de presse, édition d’un catalogue de produits, réalisation d’études de marché, prêt de matériel de dégustation , etc.) pour accompagner les professionnels hexagonaux dans leur projet d’internationalisation participe clairement au succès de son action. Bref, autant de leviers que Business France ne manque pas d’actionner pour booster les commandes à l’export des acteurs du marché des vins et spiritueux qui font appel à leurs services. « Nous sommes un activateur d’affaires » indique Fabienne Le Goc. Pour l’année 2018, ce sont ainsi 57 dégustations qui ont été programmées : 19 d’entre elles auront pour cadre les principaux marchés européens (Belgique, Pays-Bas, Europe de l’Est, Scandinavie, etc. ). Et 38 porteront les couleurs de nos vins et spiritueux ailleurs dans le monde ! « En tout, cela représente une trentaine de ‘’tours’’ qui seront organisés dans plus de 50 pays ».    ...

Typaction, catalyseur de potentiel professionnel

On ne s’improvise pas coach Coachs en décoration, en immobilier, en séduction… Depuis quelque temps, force est de constater que les coachs en tous genres fleurissent. Pourtant, et comme le rappelle Agnès Leblanc, coach certifiée et fondatrice de Typaction, « on ne s’improvise pas coach. Le capital humain, c’est important. Pas question de faire n’importe quoi. Il ne suffit pas de croire que l’on fait preuve d’empathie ou que l’on est de bon conseil pour le devenir du jour au lendemain ». En effet, un coaching efficace nécessite non seulement de la pratique mais aussi une formation solide. Mais au-delà du processus d’accompagnement que le coach mettra en place et des techniques qu’il appliquera pour « aider son client à changer pour atteindre un objectif ou surmonter une difficulté », c’est vers l’alignement et la construction de repères « intérieurs » solides que le coaching doit tendre. C’est donc un changement de fond, induit par une méthode de questionnement et s’inscrivant dans la durée, qui doit s’opérer.   Guider la personne en fonction de ce qu’elle est C’est à l’issue d’une séance de team building à laquelle elle avait participé lorsqu'elle était manager qu’Agnès Leblanc a su qu'elle voulait devenir coach. Depuis, elle s’est formée au coaching et a appris à faire prendre conscience aux autres de ce qui peut parfois les freiner dans leur carrière. « Tout n’est bien souvent qu’une question de perspective. La perception que l’on a des choses qui nous entourent dépend de l’angle sous lequel on les regarde ». Au coach, donc, d’aider son client à réaliser que la perception qu’il a de ses capacités ou de l’image qu’il pense renvoyer à ses collaborateurs est faussée. « Selon moi » explique Agnès Leblanc, « un coach joue en quelque sorte un rôle de catalyseur de potentiel. Il aide son client à (re)découvrir ce qu’il a en lui. Mais il lui montre aussi comment l’utiliser ». S’appuyer sur une triple expertise Forte de son expérience en entreprise, en matière de gestion de carrière, Agnès Leblanc peut s'appuyer sur une triple expertise : le coaching professionnel mais aussi le Centre de Bilan de Compétences et le Conseil en Personal Branding. Quant au coaching professionnel proprement dit, la palette d’outils (indicateur de développement personnel, quotient d’intelligence émotionnelle, PNL, Systémique, etc.) dont elle a appris à se servir et qu’elle utilise régulièrement depuis maintenant plus de dix ans lui permet de faire en sorte que ses clients (managers, dirigeants) retrouvent confiance en eux et développent durablement leur potentiel. ...

Café des sports : 
ambassadeur de la gastronomie béarnaise

Le Roi de la garbure, c’est ainsi que le propriétaire du Café des sports est surnommé. Et pour cause, c’est autour de cette soupe traditionnelle béarnaise que s’est construit la notoriété de Gaby Regagnon et de son restaurant. Dans cet univers culinaire en évolution permanente, le Chef préfère se construire une identité « en béton » autour de recettes simples mais de qualité, et cela marche. Qualité et simplicité de la cuisine Dès 6h du matin, Gaby Regagnon s’active derrière les fourneaux pour préparer sa garbure. Cette soupe de légumes traditionnelle au jambon de Bayonne mijote toute la matinée. Elle est proposée tous les jours et garde toujours le même succès. Cela démontre que ce qui est important dans la cuisine : c’est la passion du métier, l’amour des produits et le temps donné par le Chef pour la satisfaction de ses clients. Comme le roi de la garbure le dit : « ce n’est ni l’eau, ni le sel qui fait la qualité de la garbure. C’est l’os de jambon, le temps de cuisson et la quantité préparée ». La cuisine du Café des Sports prime surtout les produits de Béarn et de Chalosse. A la liste des recettes phares du Café des sports, Gaby en a ajouté trois. La Tête de veau sauce gribiche est régulièrement servie le premier vendredi du mois, la Morue persillade le deuxième, la Poule au pot la troisième et le Cassoulet le quatrième. Outre ses plats de renom, le Chef suggère à la carte du Jambon de Bayonne, des Tournedos aux cèpes ou noix de Saint-Jacques sans oublier le magret et le foie gras. De la salade landaise, de l’omelette aux cèpes et des frites maison y figurent également. Et le Chef met toujours en avant la région avec le gâteau basque maison à la crème ou à la confiture de cerise. Les Pyrénées-Atlantiques, lieu de gastronomie et de tourisme Le Café des sports siège sur la place de la république, l’ancienne place du marché aux bestiaux d’Arzacq-Arraziguet. Cette commune est située dans le département des Pyrénées-Atlantiques qui s’avère être un terroir aux richesses intarissables. Beaucoup de monuments historiques et de lieux touristiques y sont liés à la gastronomie. Cela va des châteaux de domaines viticoles aux Musées, en passant par les marchés, les cafés et restaurants qui sont des témoins vivants de la tradition gastronomique gasconne. Avec les recettes du Chef Gaby, notamment la garbure, le Café des sports est devenu à lui tout seul le symbole de toute une culture. Le Café des sports est situé non loin du Musée du jambon de Bayonne à Arzacq, un espace culturel et éducatif dédié entièrement au jambon de Bayonne, à l’histoire du cochon et de sa consommation. Une boutique est également ouverte pour trouver tous les produits du Sud-Ouest comme les paniers garnis, les coffrets gastronomiques, les plats cuisinés et évidemment le fameux jambon de Bayonne. Une visite du Moulin de Garos est aussi possible après une pause gustative chez Gaby. Celui-ci se trouve à environ 5 km du restaurant, en bordure du Luy de France. C’est l’eau de ce dernier qui fait tourner les roues du moulin lors de la mouture. Ce moulin est fortement lié au Château de Cabidos, un domaine viticole de 9 hectares. Le Sauvignon, le Chardonnay ou encore le Syrah sont les fruits de cette exploitation. Ce château est inscrit à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques. ...

Vous aussi, vous pouvez lutter contre le cancer !

350 000 personnes sont frappées chaque année par le cancer.  Une personne sur deux en guérit, mais ces résultats ne peuvent s’obtenir sans une recherche active. Classement des tumeurs, leur diagnostic, l’études des gènes, l’analyse des souches tumorales, le développement de nouveaux candidats médicaments, l’optimisation des traitements de chimiothérapie, ce sont quelques-unes des missions menées par l’Institut pour la Recherche sur le Cancer de Lille (IRCL).  Depuis 75 ans, elle est la seule Fondation reconnue d’utilité publique au nord de Paris qui regroupe des équipes de recherches pluridisciplinaires fondamentales et appliquées spécialisées en cancérologie.  Située au cœur du Centre Hospitalier Régional et Universitaire, les équipes et plates-formes de cette fondation  sont toutes labellisées et assurent le transfert des résultats de la recherche au lit du malade. Don, assurance-vie, legs et donation pour les particuliers Pour continuer à progresser dans le domaine de la recherche, l’IRCL a besoin de nous tous. Et chacun peut y faire quelque chose. Pour les particuliers, il y a bien sûr la forme la plus classique d’aide via le don (qui entraîne une réduction d’impôt sur le revenu de 66% du montant des sommes versées), mais il existe d’autres possibilités exonérées de droits de mutations ou de succession : les donations (un appartement, des valeurs mobilières, des tableaux, celle-ci s’effectue du vivant du donateur) ; le legs (un acte par lequel le donateur décide de  transmettre à l’association lors de son décès tout ou partie de son patrimoine) ; les contrats d’assurance vie (celui-ci constitue une donation indirecte réalisée par le souscripteur au profit d’un bénéficiaire, personne morale ou physique. Ainsi une association ou fondation reconnue d’utilité publique peut être bénéficiaire d’un contrat d’assurance-vie).   Don ou mécénat pour les entreprises Les entreprises ont aussi un rôle à jouer. Par le don (pour une entreprise, la réduction fiscale s’élève à 60 % des sommes versées dans la limite de  5 °/°° du chiffre d’affaires), mais aussi par le mécénat. « Cela permet au chef d’entreprise de soutenir notre fondation, mais aussi d’afficher son engagement et de le valoriser auprès de son personnel et des clients », résume Maud Collyn d’Hooghe, directrice de l’IRCL. Ce mécénat, qui permet la défiscalisation et bénéficie de contreparties (l’entreprise est par exemple citée sur les supports de communication de l’IRCL), peut se traduire de différentes manières : en nature avec la remise d'un bien immobilisé, de marchandises, de mise à disposition de moyens ou de personnels techniques ; en compétence  avec la mise à disposition de compétences de salariés de l'entreprise sous forme d'accompagnement dans le montage d'un projet ; en projet avec la possibilité de soutenir une équipe en émergence.  ...

Connaissance de la Meuse

Revivez en famille la bataille de Verdun grâce à l’événement-spectacle « Des Flammes à la Lumière » réalisé par Connaissance de la Meuse. De la bataille de Verdun à nos jours Créée en 1982, l’objectif de l’association Connaissance de la Meuse est de mettre en valeur l’histoire et le patrimoine meusien. Parmi ses actions les plus connues (et spectaculaires), « Des Flammes à la Lumière » se concentre sur la Première Guerre mondiale avec un focus sur la sanglante bataille de Verdun. Le public assiste donc à une évocation historique faisant la part belle aux affrontements entre soldats français et allemands, à la vie dans les tranchées ou encore au quotidien des civils des deux côtés du Rhin. Mais ce n’est pas tout ! Car, d’après son metteur en scène, Jean-Luc Demandre, les spectateurs sont invités à redécouvrir des événements depuis l’Armistice jusqu’à aujourd’hui, dont la réconciliation entre la France et l’Allemagne. Un spectacle impressionnant pour toutes les générations Nul besoin d’être fervent amateur d’histoire pour apprécier à sa juste valeur cette création originale et particulièrement émouvante qui, depuis sa création, a enthousiasmé 530 000 spectateurs. Prenant place dans une grandiose carrière à ciel ouvert, l’association n’hésite pas à nous en mettre plein les yeux avec des effets spéciaux impressionnants, 250 acteurs-figurants, mais aussi un véritable travail avec le son à 360 degrés, les 1 000 projecteurs ou encore les décors. Le metteur en scène nous confie d’ailleurs que, ce qui touche les participants de la manifestation, c’est d’entendre des spectateurs de mêmes familles, mais de générations différentes, discuter entre eux des faits historiques qui leur ont été présentés. Ainsi, ce spectacle est aussi un lien intergénérationnel. Les modifications par rapport à la version 2019 Depuis sa création, le spectacle change et évolue afin d’inciter les spectateurs à revenir, année après année. Déjà, en 2019, les prouesses techniques avaient époustouflé les milliers de personnes venues assister au plus grand spectacle d’Europe consacré à la Grande Guerre. En 2020, Jean-Luc Demandre nous indique que le public doit se préparer à être surpris une nouvelle fois. Parmi les nouveautés de cette édition, une scène nous place dans une tranchée allemande lors d’une attaque française. De plus, un nouveau final a été créé cette année encore. Sans oublier des modifications au niveau de la mise en scène, des effets spéciaux, du mapping et des projections d’images. Une raison, s’il en fallait une, de revenir ou, si vous ne connaissez pas le travail impressionnant de cette association, de le découvrir. ...

Village “Les 4 Saisons Resort et Spa”***, la bonne adresse pour vos vacances

Si vous ressentez le besoin de vous reposer et que vous ne souhaitez pas vous retrouver sur une plage bondée cet été, alors les vacances en montagne sont faites pour vous. Aussi ensoleillée que les stations balnéaires, la montagne vous offre une multitude d’activités de détente et un environnement apaisant. Alors, n’hésitez pas : partez dans les Hautes-Alpes pour profiter pleinement de vos vacances en couple, en famille ou avec vos amis. Le village Les 4 Saisons Resort & Spa dispose de tout le confort nécessaire pour vous détendre. Situé à Serre-Chevalier, aux portes du parc national des Ecrins, ce village de vacances accueille les visiteurs dans un espace chaleureux et lumineux. Pourquoi séjourner aux 4 Saisons Resort et Spa*** ? Les 4 Saisons Resort & Spa*** se trouve au cœur de l’Oisans sauvage, entre le col du Lautaret et Briançon. Bercé par la nature, le village offre un très beau panorama sur la montagne. Il est orienté plein sud pour inonder de lumière tout l’espace. Les 4 Saisons dispose de 260 lits répartis sur 2 étages en chambres de 2 à 5 personnes. A disposition des vacanciers, le restaurant et sa terrasse ouverts sur le jardin et la montagne permettent de savourer ses repas tout en admirant la beauté du paysage. Classé 3 étoiles par Atout France, le village est particulièrement apprécié des visiteurs sur plusieurs critères : le confort, la propreté, la sécurité, les animations, les conseils, les services et la réactivité. Les activités sont diversifiées aux 4 Saisons Resort & Spa***. De jour comme de nuit, il y a des animations pour tous les âges. La région est idéale pour les pratiques sportives, comme la randonnée à pieds ou à vélo, l’escalade, les sports d’eaux vives… Les plus actifs n’auront que l’embarras du choix ! Le village de vacances dispose également d’un terrain de tennis et d’une salle de jeux. Par ailleurs, les 4 Saisons Resort & Spa*** fait partie du réseau de 30 villages gérés par Vacances passion, un opérateur touristique porteur de valeurs, centré sur la satisfaction des vacanciers. Sensible à la protection de l’environnement, le village de vacances possède un contrat d’« électricité verte » et utilise des produits certifiés Ecolabel et Ecocert. Côté restauration, Les 4 Saisons privilégient des produits frais et représentatifs de la gastronomie locale. Des séances bien-être et des animations pour toute la famille Le village de vacances Les 4 Saisons Resort & Spa est un hébergement de premier choix pour les adeptes du bien-être. Il met à la disposition des vacanciers tout l’équipement nécessaire pour se détendre. Ces derniers pourront en effet profiter des bains à remous, d’une piscine chauffée et aussi d’une piscine en plein air. L’espace spa, le hammam, le sauna et le solarium sont également à la disponibilité de tous les vacanciers qui cherchent à se relaxer. L’équipe du village de vacances propose aussi des jeux aquatiques et d’autres activités conviviales auxquels tout le monde peut participer. Cet été, des soirées à thème, des soirées dansantes, des quiz et divers jeux seront organisés pour les adultes tandis que les enfants pourront s’amuser avec leurs amis, encadrés par les équipes d’animation. Les plus jeunes auront droit à des activités de découverte, des grands jeux et des spectacles, pendant que les plus âgés s’amuseront à relever les défis proposés par les animateurs. Tout comme dans les autres villages Vacances passion, les adolescents de 15 à 17 ans auront aussi la chance de se retrouver dans des lieux dédiés. Ils pourront socialiser tout en profitant des activités que les animateurs auront préparé spécialement pour eux. Pour compléter les activités sportives, de détente et de divertissement, il est également possible de partir à la découverte de la ville fortifiée Vauban à Briançon, le lac de lumières à Serre-Ponçon, la montagne mythique la Meije, le site géologique Le Rocher blanc et le patrimoine religieux et culturel de Serre-Chevalier. ...

Château Rasque : « Par amour de la terre »

L’idée de créer un domaine viticole a surgi comme un vent de folie chez les Biancone. En 1983, Monique et Gérard ont décidé d’allier leur passion pour le vin et les vignes, en bâtissant ensemble le prestigieux Château Rasque. Un paradis créé de toutes pièces Le domaine est localisé à Taradeau, un village situé dans le centre du Var. Monique, fille de viticulteurs bordelais, et Gérard, passionné de vin : la vocation de vignerons s’est révélée comme une évidence chez les Biancone. Gérard, notamment, a également su déployer ses talents de maçon pour aménager le domaine à l’image de ses prestigieux ancêtres, les Rasque, une famille de notaires dracénois ayant occupé les lieux au XVIe siècle. Une des plus grandes fiertés de la famille est l’acquisition du Clos Jasmin, une irrésistible propriété de 12 ha, située au pied de la Sainte Victoire, sur laquelle s’enracinent de vieux ceps centenaires produisant exclusivement des rouges. Au fil des 35 ans passés, Monique et Gérard Biancone ont transmis leur passion ainsi que leur savoir-faire à leurs cinq enfants, qui ont tout simplement grandi au rythme de la vigne. À tel point qu’en 2005 leur fille Sophie reprend les rênes de l’entreprise familiale. Avec l’aide de son frère Enzo, « l’enfant des vignes », elle va apporter un vent de modernité qui ne sera que bénéfique dans la promotion de leurs vins en appellation Côtes-de-Provence. Notons qu’en 2003 la famille a également succombé au charme du domaine Hermitage de Saint-Pont, à Figanières, doté d’un vignoble de 31 ha et de 7 ha de bois. Un terroir particulièrement attachant Le vignoble du Château Rasque s’étend sur un sol argilo-calcaire de 30 ha. Perché à 260 m d’altitude, il bénéficie naturellement des conditions adéquates pour mener les vignes à parfaite maturation. D’autant plus que la couverture caillouteuse du sol limite les écarts de température entre le jour et la nuit et donc stabilise la température pour le bien-être des plantes. Le mariage de l’argile au calcaire permet le bon drainage du sol, ce qui prévient le stress hydrique chez les vignes. Ces traits caractéristiques confèrent d’onctueux arômes exotiques aux blancs et aux rosés, et leur tanicité soigneusement équilibrée aux rouges. Dans la liste des cépages travaillés figurent les célèbres variétés comme le rolle, le grenache, le cinsault, la syrah et l’ugni blanc. La vinification se fait de manière traditionnelle dans le but de tirer le meilleur du raisin, tout en le respectant. Il s’agit également de « valoriser l’âme du terroir », une terre pour laquelle la famille Biancone témoigne d’un amour particulier via une agriculture raisonnée. Ainsi, après les vendanges à la main, les raisins sont refroidis dans un échangeur tubulaire avant de passer au pressoir pneumatique. Le moût sera fermenté dans une cuve en inox, équipée d’un groupe de froid permettant de maintenir la température idéale pour la vinification. L’élevage des vins s’effectue dans des foudres de chêne installés à 8 m sous le sol, afin d’obtenir des cuvées authentiques au reflet de leurs racines. L’élégance en bouteille Grâce aux 3 domaines viticoles qui le composent, le Château Rasque peut produire différents types de vins. Réputée pour ses rosés, la maison consacre 50 % de sa production à ces cuvées. Le reste du pourcentage est départagé entre les rouges (30 %) et les blancs (20 %). Toutefois, la cuvée emblématique est la « Pièce noble », un vin rouge intense, dont la particularité se révèle à travers ses arômes de fruits confits légèrement épicés. Sa longueur en bouche et sa finale chocolatée s’avèrent être un réel plaisir pour le palais. Le Château Rasque est également connu pour ses blancs frais et complexes comme le « Blanc de blanc 100 % rolle » ou le « Clos de Madame ». ...

Activa Langues : des séjours linguistiques pour se révéler à soi-même

Aller pratiquer une langue dans le pays où elle est parlée est sans conteste le meilleur moyen de l’apprendre. Un voyage linguistique est souvent la promesse d’expériences riches. Mais pour que cette expérience soit réussie, il faut d’abord la rendre possible dans les meilleures conditions. Et c’est souvent un casse-tête. Où partir ? Combien de temps ? Pour apprendre quoi et comment ?  Activa Langues s’est donc fait une spécialité d’accompagner les participants de tous âges. Grâce à leurs différents programmes, ils organisent des séjours linguistiques pour aider de jeunes étudiants à découvrir leur vocation, ou permettre à des professionnels d’améliorer leurs compétences linguistiques. Quel que soit le programme, ou le profil du participant, le but est toujours le même. Lui proposer un séjour adapté à ses besoins, ses capacités et ses objectifs pour qu’il ressorte grandi de cette expérience. Orienter pour répondre aux besoins Pour chaque séjour linguistique, il y a au moins un entretien téléphonique avec le participant. Et pour les séjours de longue durée, Activa Langues souhaite les rencontrer lors d’un rendez-vous. Le but n’est évidemment pas de leur faire subir un interrogatoire, mais de bien cerner leurs profils, leurs personnalités et leurs besoins. En fonction de ces réponses, l’organisme va proposer différents programmes. Tous les formats d’apprentissage sont possibles. Il peut s’agir de séjours courts ou de longue durée, de mise à niveau, de cours thématiques, avec conférences, workshop, ou visites d’entreprises. Tout est envisagé au cas par cas.  L’apprentissage s’organise en fonction des aptitudes de chacun. Les adultes, par exemple, ont de meilleurs résultats en cours combiné. C’est-à-dire des cours en petits groupes le matin où ils pourront échanger avec les autres participants. Et des cours individuels l’après-midi où ils auront l’occasion de se focaliser sur certaines de leurs problématiques particulières avec un professeur. Côté hébergement, là aussi, c’est en fonction des besoins et des budgets. Plusieurs solutions sont possibles, chez l’habitant, en résidence universitaire, ou en appartement. Et comme Activa Langues sait aussi prendre des chemins de traverse pour s'adapter aux participants, ils offrent aussi la possibilité aux parents de partir en famille. Un bon moyen d’allier vacances avec les enfants et séjour linguistique : l’organisme a aussi des programmes pour les petits.  Donner de nouvelles perspectives Les jeunes bacheliers ne savent pas toujours quelle orientation choisir après le lycée. Alors pour leur permettre d’élargir leurs horizons, Activa Langues propose des programmes spécifiques. En fonction de leurs aspirations, l’organisme pourra les accompagner pour leur année de césure. Durant cette période, l’étudiant apprendra, évidemment, une nouvelle langue. Mais il aura surtout la possibilité de tester différentes filières pour trouver celle qui lui plaît le plus. En fonction de sa maturité, l’étudiant sera donc intégré dans un lycée en dernière année où il aura l’occasion de tester et d’approfondir différentes matières. Ou dans un programme « pathway to university ». Dans le second cas, il se familiarisera aussi avec les méthodes de travail en université. Dans l’université des Arts de Bornemouth en Angleterre, par exemple, les jeunes ont l’occasion de découvrir et de tester de nombreuses disciplines. La photographie, l’architecture, le stylisme ou encore l’animation, et la production audiovisuelle. Après avoir touché à tout, les futurs étudiants auront donc de meilleures perspectives sur ce qui leur plaît vraiment et sur les études qu’ils ont envie de poursuivre. Étudier à l’étranger juste après le bac permet aussi d’avoir une année de préparation pour les études universitaires. Quand les jeunes bacheliers arrivent à la fac en France, ils sont souvent perdus : les cours ne sont pas les mêmes, le travail demandé est encore plus exigeant. Bref, tout va beaucoup plus vite. Certains étudiants choisissent...

Chocolats Dalloyau : un océan de saveurs naturelles et intenses

Tous les chocolats de la Maison Dalloyau sont fabriqués à partir de Criollo, de Forastero ou de Trinitario. Ces grands crus sont finement sélectionnés et importés du Venezuela, de l’Équateur, de Madagascar ou encore de la Côte d’Ivoire. Du sur-mesure Pour l’Opéra et tous les enrobages noirs de ses bonbons de chocolat, Dalloyau utilise une couverture sur mesure, créée en exclusivité pour la Maison : le TANNEA® 72. Réalisé à partir de cacao à 72 % et de beurre de cacao à 42 % pure origine Madagascar, ce chocolat développe des notes fraiches et fruitées. Ses arômes, marqués d’agrumes, sont présents dès l’attaque en bouche avec une mise en avant de saveurs citronnées. Le savoir-faire des maitres chocolatiers Ganaches de pure origine et matières premières d’exception choisies pour leurs saveurs naturelles et intenses : les bonbons de chocolat Dalloyau sont réalisés par les maitres chocolatiers selon des techniques artisanales et des gestes précis. Gianduja, Praliné craquant, Rocher lait praliné, Irrésistible caramel lait, Infiniment lacté, Carré d’épices, Lait de vanille, Cœur de fruits, Pralinas, Rocher noir praliné, Irrésistible caramel noir, Infiniment chocolaté, Intense 80 %, Fleur de jasmin, Mogador, Lady Grey… Rien que leurs noms mettent l’eau à la bouche ! Plaisir au quotidien et grandes occasions La Maison Dalloyau propose des écrins carrés avec des assortiments de 25 à 144 bonbons en chocolat à offrir ou à s’offrir. Les tablettes au chocolat au lait ou au chocolat noir préparées à partir de chocolat pure origine Madagascar, agrémentées de noisettes entières, d’amandes entières, de fruits secs, d’oranges confites, de cacahuètes salées ou de céréales croustillantes, sont parfaites pour se faire plaisir au quotidien. Les bouchées triples (Rocher noir, Rocher lait, Infiniment noir ou Infiniment lait) font chavirer les plus gourmands. Quant aux truffes, elles sont exceptionnellement fondantes en bouche. Pour les grandes occasions, la Dentelle de chocolat est mise à l’honneur. Chaque pièce, réalisée avec du chocolat noir 100 % pure origine Madagascar (boite, œuf de Pâques, bûche), est unique. Des pâtisseries intensément cacaotées Côté pâtisseries, l’indétrônable Opéra, créé en 1955 par Cyriaque Gavillon, contribue à la réputation de la Maison. Sa ganache au chocolat mariée à une crème au café, posée sur un biscuit Joconde, continue à séduire de nombreux palais. L’amusant Échiquier émoustille les papilles des gourmands avec ses 3 chocolats. Quant à la Religieuse de rêve®, élaborée dans un moule unique qui a nécessité de la part des chefs 9 mois de recherche, elle ravit 6 à 8 convives avec sa crème légère et fondante, intensément cacaotée. Une production artisanale Tous les produits sont fabriqués de façon artisanale dans l’unité de production située en région parisienne. Ils sont exclusivement vendus dans les 39 boutiques de la marque (11 en France, 21 au Japon, 3 à Dubaï, 2 en Azerbaïdjan, 2 à Hong Kong) et sur Internet. En 2016, le Guide des croqueurs de chocolat a décerné pour la deuxième année consécutive la distinction de « Tablette d’or » à la Maison Dalloyau.  ...

Eutelmed : la téléconsultation médicale comme solution à la mobilité internationale

Le taux de mobilité internationale des Français a explosé ces cinq dernières années. Très souvent, ces déplacements hors frontières entrainent une rupture des repères culturels, particulièrement déstabilisante notamment pour les jeunes enfants. Dans ce contexte peu rassurant où les expatriés et leur famille se sentent vulnérables, une solution digitale a été conçue pour leur apporter des soins de qualité, une assistance et des conseils psychologiques déployés dans leur propre langue et dans leur culture. Un réseau de proximité même à distance La start-up a été créée en 2010, avec comme objectif de départ de monter un réseau de professionnels de santé pour accompagner psychologiquement et prendre soin des expatriés, francophones ou non, via la téléconsultation. « Nous voulons offrir un climat de confiance aux personnes qui partent vivre à l’étranger, pour qu’elles puissent s’exprimer plus aisément et se faire comprendre plus facilement » explique Matthieu BRANCHER, Directeur Marketing & Innovation. Le visiteur qui s’est inscrit sur le site est libre de choisir son interlocuteur parmi les 150 experts en psychologie, psychiatrie, neuropsychologie mais aussi en orthophonie, médecine générale et en dermatologie, spécialement formés dans la vidéo-consultation. Cette équipe multiculturelle, qui consulte en plus d’une trentaine de langues différentes, est accessible sur rendez-vous 24h/24. Un système de gestion en interne permet aux praticiens d’organiser leur agenda et les dossiers patients, de générer des prescriptions et de garder la correspondance avec leurs clients. Tous ces échanges s’effectuent dans un univers entièrement sécurisé, où chaque information cryptée garde son anonymat et stockée auprès d’hébergeurs agréés.   Par ailleurs, Eutelmed consacre un espace de prévention dédié aux dispositifs d’aides psychologiques à destination des expatriés face au changement d’environnement de travail, du cadre culturel ou la difficulté d’établir un lien social. Ainsi, elle met à disposition des visiteurs des contenus actualisés et interactifs : webinar, video live, podcast, blog et articles web qui traitent des thématiques concernées par la mobilité internationale. « La plateforme veut centraliser toutes les réponses et tous les services de soins qu’elle peut offrir à ces personnes qui partent vivre à l’étranger ». ...

Closer to the world : escale gourmande autour du monde

Lancée en Mai 2017, Closer to the world compte déjà de nombreux adeptes. Si le site e-commerce ciblait essentiellement les Parisiens de 25 à 35 ans, les consommateurs viennent désormais des quatre coins du pays. Des gens qui rêvent de voyager et de découvrir d’autres richesses gastronomiques. Closer to the world exauce leur souhait en leur proposant des coffrets gourmands. Une expérience insolite pour apprécier la cuisine du monde « Closer to the world », derrière cette dénomination traduite littéralement par « plus proche du monde » se cache un concept innovant. Muriel Mechica, la gérante du site e-commerce dévoile la genèse de sa start-up : « L’idée est née de ma frustration de la disponibilité limitée en France des nombreux produits gastronomiques que j'avais découverts lors de mes nombreux séjours à l'étranger. Mon objectif est de faire vivre une parenthèse d’évasion pour découvrir une culture à travers des produits gourmets et de qualité, mais aussi d’apprendre un peu plus sur les traditions culinaires dans le monde».  Pour garantir l’authenticité des produits qu’elle commercialise, l’entreprise s’approvisionne directement auprès des artisans locaux et des entreprises familiales. Cette démarche permet d’assurer la traçabilité et la qualité des produits. Une explosion de saveur et la découverte ludique d’une culture Les amateurs de la gastronomie peuvent s’offrir un voyage culinaire au Portugal grâce au coffret mis en avant par Closer to the world. Ce panier est composé, entre autres, de la sauce piri-piri, une épice qui haussera le goût du poulet à la portugaise. Les sardines à l’huile d’olive ou le thon en filet Cantara sont, de leur côté, des mets riches en goût pour le plaisir des papilles. Du thé vert des Açores ou encore des biscuits traditionnels viennent compléter le coffret. Afin de choisir les meilleurs produits, Closer to the world travaille en collaboration avec des chefs cuisiniers œuvrant un peu partout dans le monde. Une démarche garantissant la haute qualité et l’authenticité des produits. Outre les produits en question, « chaque coffret contient un guide de culture qui participe à l'immersion dans la culture du pays ainsi qu'une présentation du chef, ses recettes de cuisine exclusives pour utiliser certains produits du coffret et également l'histoire derrière chaque produit gourmet proposé », souligne le nº 1 de la plate-forme en ligne. Pour l’achat de ces produits, les consommateurs ont le choix entre différentes formules d’abonnement. Muriel précise que les prix sont dégressifs si la durée de l’abonnement s’étend sur plusieurs mois. ...

Pour être bien chez soi : un accompagnement à domicile de qualité et collaboratif

Avec l’âge, la vulnérabilité aux maladies et la perte d’autonomie augmentent. « Savoir prévenir et accompagner la dépendance est aujourd’hui essentiel. » Pour être bien chez soi met tout en œuvre pour appliquer cette devise, tout en respectant les spécificités de l’île de la Réunion. Une équipe « pluri-professionnelle » La prise en charge des personnes âgées hospitalisées lors de leur retour à domicile dépassant la simple fourniture d’équipements, Mona Kanaan, Docteur en Pharmacie, décide d’innover. En mars 2006, elle crée Pour être bien chez soi qui s’articule autour d’une équipe d’experts chargée d’assurer une prise en charge plus globale, s’étendant aux aidants (familles et environnements des patients). Structurée en départements répondant aux besoins spécifiques des personnes âgées malades, la société compte actuellement 20 collaborateurs. Elle propose une prise en charge « à la carte », spécifiquement adaptée à l’état de santé de chaque patient. Elle intervient sur toute l’île de la Réunion, jusque dans les sites enclavés. Une société ayant à cœur de répondre aux exigences de qualité Selon Mona Kanaan, directrice de Pour Bien être chez soi, « le secteur de la santé des personnes âgées à Domicile et dans les hébergements intermédiaires type Résidences Autonomies EHPA et EHPAD de la Réunion mériterait plus d'attention et de moyens de la part des institutions et des agences régionales de santé.» Il y a un manque criant de professionnels coordonnées type SSIAD et HAD pour accompagner les nombreux  PSAD sur le terrain. L'addition de la précarité à l'isolement aux maladies métaboliques avec une prévalence de l'insuffisance rénale, respiratoire est 7 fois plus importantes par rapport à la métropole. Le domicile étant une priorité pour maintenir et préserver les personnes âgées dans les meilleures conditions. Il est pertinent de positionner en face des structures professionnelles de santé coordonnées, sérieuses et d'envergure permettant autant la coordination de soins de proximité que de la prévention sous toutes ses formes. Devant ces difficultés, Pour bien être chez soi a souhaité valoriser son professionnalisme. Elle est certifiée ISO 9001 mais également ISO 26000 : 2010 depuis février 2017. Ainsi engagée dans une dynamique RSE (responsabilité sociétale et environnementale), elle s'attache à répondre au maximum aux besoins de la collectivité dans le respect de la bonne gouvernance. Une société préconisant l’information Pour bien être chez soi favorise toute communication sur le quotidien des personnes âgées. Fin mars 2018, elle a donc organisé un symposium international intitulé « Le défi du vieillissement réussi », pour un partage de connaissances. ...

Restaurant Ze Bistro : ode aux saveurs du Sud

Ville culturelle au riche patrimoine viticole, Aix-en-Provence est devenue, au fil du temps, une terre de la haute gastronomie française. Chaleur et convivialité se ressentent dans le moindre recoin de la ville, qui laisse penser qu’elle est bénie des dieux. C’est dans cet environnement véhiculant l’art de vivre à la provençale et immortalisé à jamais dans les œuvres du célèbre peintre Cézanne qu’Olivier Scola a entamé son projet de vie : l’ouverture de son restaurant Ze Bistro. Manger simple mais bien… Ze Bistro fait dans la cuisine de marché, travaillant qu’avec des produits frais mais aussi du terroir. Chaque jour, le chef bénéficiant du titre de maître restaurateur propose une nouvelle carte, suivant les saisons et les envies de la clientèle. Rien n’est laissé au hasard chez Olivier Scola, tout est préparé pour que chaque personne s’y sente bien et reparte avec le sourire après un bon repas. Un menu parfait ? Un Foie gras de la mer, asperge verte et orange, suivi d’un pavé d’agneau au citron confit et au jus de géranium qui finit sur un sablé breton aux fraises des bois, un blanc-manger au basilic. La carte des vins, elle, ne demande qu’à être découverte, créée par Olivier Scola en personne, avec l’aide de restaurateurs et de vignerons. Le vin, une passion Outre la cuisine, le chef est aussi un grand amateur de vins. Une passion qu’il partage avec sa compagne, originaire d’Alsace qui d’ailleurs fait partie de ses régions viticoles préférées. Enfant du terroir, il a un respect profond pour les artisans producteurs avec qui il collabore et n’hésite pas à leur rendre un vibrant hommage sur son site. Homme au grand cœur, professionnel, charmant, Olivier Scola est avant tout un artiste dans l’âme, reconnu pour ses talents de cuisinier avec dix huit années passées derrière les fourneaux. ...

Dièse, la Junior-Entreprise de l’ENSIIE joue dans la cour des grands

La souplesse d’une association combinée à l’efficacité professionnelle En intégrant la Junior-Entreprise Dièse à son cursus, l’ENSIIE permet à ses élèves de réaliser missions, études et autres projets mettant en oeuvre les connaissances qu’ils auront acquises au cours de leur scolarité. « Nos clients nous sollicitent le plus souvent pour du développement web, de la création de logiciels, de la production de supports multimédia ainsi que du conseil informatique et digital. Ces derniers temps, la plupart de nos missions consistent à créer des sites web, notamment des boutiques en ligne ou encore des applications web » explique Noah Delophont, membre du pôle communication de la Junior-Entreprise Dièse. « Notre souplesse d’intervention ainsi que le vivier de talents dans lequel nous pouvons puiser constituent indéniablement deux de nos atouts. Et parce que nous nous adaptons rapidement aux besoins de nos clients, nous sommes capables de leur proposer un accompagnement qui soit véritablement ‘sur-mesure’. C’est pourquoi nous intervenons aussi bien auprès de start-ups que de TPE/PME ou encore de grands groupes comme GRDF. Et le fait que notre génération ait grandi dans un univers digital nous permet de proposer à nos clients des solutions innovantes auxquelles ils n’auraient pas forcément songé ». Si l’on devait décrypter l’ADN de la Junior-Entreprise Dièse, nul doute que l’innovation et l’enthousiasme y figureraient en bonnes places.  Une réelle plus-value pédagogique Par le biais des missions qu’ils réalisent auprès de leurs clients, les membres de la Junior-Entreprise Dièse ont non seulement l’opportunité de mettre en pratique ce qu’ils ont appris mais aussi d’acquérir et de développer de nouvelles compétences. Autant de critères que ne manqueront pas de valoriser les recruteurs. « Pour certains élèves, ce sera la première fois qu’ils conduiront une véritable mission de A à Z et devront respecter des délais, tenir un budget, surmonter des contraintes techniques, etc. » précise Noah Delophont. « Mais nous ne sommes pas livrés à nous-même pour autant. Des filets de sécurité sont prévus. En cas de problème, nous pouvons demander conseil à nos professeurs, aux élèves-ingénieurs de dernière année ou encore aux anciens élèves. Parce que nous disposons de tout un réseau sur lequel nous appuyer, en cas de besoin, c’est d’une immersion progressive et en douceur dans le monde du travail dont Dièse nous permet de profiter ». En plus de les auditer annuellement afin de s’assurer qu’elles respectent bien la loi et ne mettent pas en danger le mouvement, la Confédération Nationale Junior-Entreprises (CNJE) propose d’ailleurs régulièrement des formations aux Junior-Entreprises. ...

Quand les huîtres de Bretagne s'invitent à notre table...

Même si nous la dégustons tout au long de l’année, l’huître de Bretagne a sa propre Histoire avec des caractéristiques bien particulières parfois méconnues mais aux multiples bienfaits et facettes qu’il est bon de connaître. Cette « Star » des gastronomes possède en sa coquille de multiples atouts dont Cancale, en Côte d'Émeraude, Capitale de l’Huître en France depuis François 1er, et inscrite au patrimoine culturel immatériel de l’Unesco grâce à son savoir-faire en matière d’ostréiculture. Huître de Bretagne, une Histoire au fil des siècles L'histoire des huîtres en Bretagne-Nord remonte à la nuit des temps. De la Préhistoire à l’Antiquité, on la retrouve dès le VIe siècle dans les fastueux banquets de l’Empire romain, où l'huître plate de Bretagne avait déjà conquis une place de choix dans les menus. Importées par Rome depuis les côtes bretonnes lors des invasions en Gaule, ces délices marins ont traversé les âges. Un parcours parfois tumultueux, qui au fil des siècles, s’est toujours invitée à la table des plus fins gastronomes. Même si leur présence s'est estompée au cours du Moyen Âge, on la retrouve sous le règne de Louis XIV où l'huître retrouve ses lettres de noblesse, au point que le monarque en faisait sa pitance matinale. Au XVIe siècle, François Ier lui-même, épris de gastronomie, ne tarissait pas d'éloges sur l'huître de Cancale, contribuant à rehausser son statut. Le port et les côtes bretonnes deviennent alors le cœur battant de cette industrie florissante. Des étendues d'élevage s'étendent des baies de Saint-Malo et de Saint-Brieuc jusqu'aux côtes du Trégor et à la rade de Brest. Cependant, la frénésie d'exploitation au XVIIIe siècle engendre une surexploitation des ressources, menaçant la pérennité des bancs d'huîtres plates. Un édit royal intervient alors, interdisant la pêche du 1er avril au 31 octobre pour permettre la régénération de ces précieuses populations marines. Alors que les premiers conchyliculteurs utilisaient des coquilles d'huîtres disposées le long du rivage pour favoriser le développement des larves, c’est grâce à Victor Coste, médecin naturaliste au service de Napoléon III et de Ferdinand de Bon, commissaire de la Marine, que les prémices de l’ostréiculture moderne ont vu le jour au milieu du XIXe siècle. Leur méthode révolutionnaire, axée sur la restauration des bancs d'huîtres plates décimés par une surpêche, introduisit l'utilisation de collecteurs dédiés à la récupération des larves, instaurant ainsi un contrôle plus efficace du cycle de croissance et de récolte. De nos jours, les techniques d'élevage évoluent, accompagnées par le perfectionnement des outils d'exploitation et par une volonté permanente des jardiniers de la mer à s’assurer du respect des écosystèmes marins et de l’environnement (voir vidéo ci-dessus). Ce développement marque une nouvelle ère pour l'huître de Bretagne-Nord, assurant sa préservation et son rayonnement pour le plus grand plaisir des gastronomes. Huître de Bretagne, un merroir d'exception Les huîtres en Bretagne révèlent une diversité captivante en douze crus distincts, s'étendant de la majestueuse baie du Mont-Saint-Michel avec Cancale à la rade de Brest en passant par Paimpol, Tréguier, Arguenon, Fresnaye, Morlaix-Penzé, rade de Brest, les Abers, , offrent un éventail exceptionnel de terroirs propices à l'élevage de ces délices maritimes. Tel un vignoble ou en l'assemblage d'un vin avec ses multiples cépages, chaque cru d'huîtres, reflet fidèle de son terroir, dévoile des caractéristiques singulières, offrant ainsi une palette de saveurs uniques aux fins gastronomes. Ainsi, les ostréiculteurs, ces jardiniers de la mer, maîtrisent l'art minutieux de l'élevage des huîtres en Bretagne. Leur métier exige une expertise rigoureuse, de la pose des collecteurs pour capturer les larves jusqu'au délicat processus de demi-&ea...

Groupe ESPI, le leader des formations en immobilier en France

Pour expliquer le succès de l’Ecole, on y retrouve comme principale qualité l’efficacité et la diversité. En effet, le Groupe ESPI propose un cursus riche afin d’élargir le panel de choix des étudiants. Pour cela, elle propose différents bachelors, tous orientés aux métiers de l'immobilier.  Une école aux cursus diversifiés • Le Bachelor « Gestionnaire d’Affaires Immobilières » (GESAI), spécialisé dans la transaction et dans la gestion immobilière. Le titre délivré est reconnu par l’Etat, niveau 6. Il permet l’obtention des trois cartes professionnelles. Pour poursuivre le programme en 2ème ou en 3ème année, l’étudiant doit être titulaire d’un Bac+ 1 / 2 validé. • « Management, Administration et Gestion de l’Immobilier » (MAGI) Une fois le parcours GESAI achevé, les Espiens peuvent continuer en entamant ce master. Tout au long du cursus, ils apprendront la gestion juridique, technique et financière des actifs immobiliers. À l’issue de leur Bac+5, ils pourront devenir des Property managers accomplis, des administrateurs de biens ou encore des Responsables d’affaires. • « Manager en Aménagement et Promotion Immobilière » (MAPI) Les cours magistraux se concentrent sur l’aménagement ou la rénovation urbaine et le montage d’opérations. Il s’agit du Master phare du groupe universitaire puisqu’il tient pour objectif de former des futurs cadres dans le marché. Ainsi, le MAPI est fait pour ceux qui souhaitent exercer le métier de prospecteur foncier, directeur de projet ou responsable du développement immobilier. • « Manager en Ingénierie de la Finance Immobilière » (MIFIM) MIFIM résulte du lien naissant indéniable entre les domaines de la finance et de l’immobilier. Au terme de leurs études, les étudiants seront en mesure de maitriser les financements et en analyser les risques. De plus, ils développeront leur savoir-faire concernant l’acquisition et la valorisation des actifs immobiliers. • « Manager en Immobilier Durable et Innovant » (MIDI). Ce Master Professionnel est le dernier en date. Il dispense un enseignement détaillé sur le développement durable, les stratégies et le management. En incluant la Finance verte dans leur cursus, le groupe ESPI inclut une problématique actuelle au cœur même des métiers de l’immobilier. • « Manager en Entreprenariat et Projets Immobiliers » (MEPI) Afin de soutenir les grandes ambitions des apprenants, le MEPI a été mis en place. Le long de leur parcours, ils boosteront leur confiance en soi pour réaliser progressivement leur rêve de piloter une entreprise immobilière. ESPI, un formateur qui s’adresse à tous Le Groupe ESPI se veut accessible et pratique pour tous les amoureux de la sphère immobilière. Ainsi, il offre plusieurs possibilités adaptées à chaque cas. L’enseignement à temps plein est fait pour les étudiants qui veulent uniquement se concentrer sur la face académique de la formation. Il dure 6 mois et est suivi d’une période de stage. En revanche, les cours en alternance soulignent l’importance de l’immersion professionnelle dès la formation. Comme son nom l’indique, ils alternent l’emploi du temps de l’Espien en lui proposant 1 semaine de cours présentiels et 3 en entreprise. La loi française exige une formation de 14 heures tous les 2 ans pour pouvoir mettre à jour sa carte professionnelle. Le Groupe ESPI ouvre ses bras aux dirigeants, managers, agents de maîtrise et assistants qui souhaitent se perfectionner davantage. Entre 2020 et 2021, près de 1200 professionnels ont bénéficié d’une formation en alternance. Des visioconférences et de l’E-learning sont proposés pour compléter les cours présentiels. Un dispositif handicap associé à des formations professionnelles Si les handicaps physiques et mentaux ont longtemps été un frein dans la poursuite des études, ESPI veut mettre fin à cela. Le directeur de l'établissement soutient que les différences ne devraient pas être un obstacle à l'éducation. Le groupe s'engage à apporter sa contribution en offrant des aides administratives et financières aux personnes à mobilit...

L'Assise : la brasserie moderne nantaise

Au cœur de Nantes, un endroit exceptionnel attire la curiosité et l’intérêt : L’Assise. Il s’agit d’un restaurant installé dans les murs de l’ancienne cour d’assises, datant de 1851 et rénovée par l’architecte Jean-Philippe Nuel. Le restaurant joue la carte de l’élégance et de la modernité, tout en gardant son charme originel. Les meubles de couleur rouge et fuchsia apportent une touche de fantaisie, tandis que le jeu de faisceaux colorés projeté sur les murs à la nuit tombée invite à un voyage à la découverte de l’univers du célèbre écrivain nantais Jules Verne. Durant les beaux jours, les terrasses révèlent des couleurs gaies et vibrantes, qui sont en parfaite harmonie avec la salle intérieure.   Une cuisine fusion Tout comme l’endroit, la cuisine proposée est d’une élégance rare. Avec subtilité, le chef Frédéric Laval revisite les grands classiques de la gastronomie française, en y apportant une petite touche de modernité. Son but est avant tout de proposer des plats simples mais créatifs, où les produits sont mis en avant. Parmi eux figure le fameux tartare de Saint-Jacques acidulé d’espuma d’huitres ou encore l’émincé de ris de veau aux douceurs d’oignons rouges à l’encre de seiche et vanille. Et pour épater les gourmands curieux, le chef n’hésite pas à s’aventurer sur de nouveaux horizons culinaires. Il propose ainsi des plats venus d’ailleurs, notamment issus de la cuisine asiatique et italienne, retravaillés à la façon Laval. Une occasion pour les convives de déguster le savoureux tataki de bœuf à la sauce teriyaki, accompagné d’une mousseline de pommes de terre au wasabi. Ce plat a été adapté d’une recette japonaise qui, à l’origine, a pour base le thon et l’espadon. Les saveurs de cette suggestion culinaire sont rehaussées par un succulent Médoc Cru Bourgeois, Château Les Ormes Sorbets 2007. D’ailleurs, côté vins, la cave tente de satisfaire toutes les envies grâce à ses nombreuses références.   La cuisine est un travail d’équipe Le chef Frédéric Laval ne manque donc pas d’idées pour exprimer et exploiter son amour et sa passion pour la cuisine. Le principal but étant de répondre aux attentes des convives. Et, pour cela, il a toute une équipe derrière lui pour le soutenir et l’aider. Fidèle aux valeurs « Yes I can » du groupe, celle-ci exprime une volonté de tendre vers l’irréprochable et veille à assurer la meilleure qualité de service. La carte, élaborée avec le personnel, reflète d’ailleurs cet esprit d’équipe. En accord avec les produits de saison, elle est régulièrement renouvelée. De même pour les menus qui ont été créés pour s’adapter aux envies et au budget des convives. Ainsi, il y a le menu Pause Déjeuner à 17 €, qui est servi en moins de 30 minutes. En attendant celui-ci, une soupe froide ou chaude est servie en guise d’amuse-bouche pour faire patienter les convives. Pour les tout-petits, le menu enfant est constitué de plats savoureux et équilibrés, adaptés à leurs besoins. Enfin, le menu Nantais à 35 € rend hommage à la ville. Côté desserts, c’est le chef pâtissier Emmanuel Lebreton qui surprend avec des créations simples et savoureuses telles que la tarte crémet nantais au parfum de coing, le sablé breton crémeux au citron et à la bergamote ou encore la religieuse au caramel beurre salé. ...

Le château de Montvillargenne, des instants bien-être pour tous

Un parcours riche en rebondissements anime ce château appartenant à l’origine à la famille de Rothschild. Il sert d’abri aux Allemands durant la Deuxième Guerre mondiale, puis devient le couvent du Sacré-Cœur de Jésus. En 1969, cet établissement de charme est animé par des cours d’art. Le concept de château-hôtel naît en 1985. Vacanciers et voyageurs d’affaires apprécient cet endroit au cadre verdoyant, un endroit perdu à quelques kilomètres seulement de la capitale française et de l’aéroport Roissy-Charles de Gaulle. Luxe et confort vont de pair avec bien-être et détente Outre les chambres de haut standing et le restaurant gastronomique, le plus beau château-hôtel de France a toutes les cartes pour permettre au corps et à l’esprit de se relaxer et de s’évader. Les clients qui passent un séjour dans l’établissement apprécieront l’espace bien-être proposant un décor propice à la détente. Les lieux sont pourvus d’une piscine intérieure chauffée, accessible aux clients de l’hôtel. Un sauna et un hammam sont également proposés et procurent relaxation et vitalité. Pour aller plus loin dans votre quête d’évasion, laissez-vous tenter par un voyage sensoriel à travers les soins de modelage réalisés par une équipe de professionnels. Toujours en effervescence pour innover et satisfaire la clientèle, le château met au point une nouvelle carte modelage qui est personnalisée. Le corps et l’esprit se retrouvent dans un univers aux senteurs divines, au décor original et surtout avec des soins haut de gamme. Une seconde jeunesse pour les seniors, une petite échappatoire du train-train quotidien pour les autres, une occasion de changer de décor pour les jeunes et des moments magiques pour les petits. Du sport pour tout objectif physique La salle de fitness est dirigée par des coachs sportifs qualifiés qui restent à l’écoute pour mieux élaborer les programmes sportifs en adéquation aux attentes de tout un chacun sur rendez-vous : remise en forme, modelage de silhouette... Ils organisent à la demande des cours de fitness, de yoga et de pilates, individuels ou en groupe. Adieu toxines et stress, place à la tonification et à la détente. Éveil des sens, décor de prestige, senteurs enivrantes, soins personnalisés, ambiance sereine et conviviale… Le nec plus ultra ! ...

Restaurant Vava : une cuisine bistronomique au cœur de Montmartre

Depuis mai 2017, Enzo et Rida vous accueillent dans une ambiance cosy au sein du restaurant Vava. Tables basses et tables hautes en bois, faites sur mesure par une ébéniste, côtoient cuir, aluminium, laiton, carreaux bleu mat et mur en pierre, pour vous plonger dans une décoration inspirée des années 70. Aux beaux jours, la vitrine s’ouvre sur la rue pour vous faire profiter d’une mini terrasse. Pour un repas bistronomique Dans ce cadre intimiste, vous pourrez parcourir la carte originale imaginée par le chef consultant Benjamin Mathieu. Passé par les cuisines de restaurants étoilés comme le Louis XV et le Bristol, il propose une cuisine bistro inspirée de ses origines méditerranéennes. Il aime particulièrement mettre à l’honneur les produits de la mer, comme les couteaux ou les palourdes par exemple. Tout au long de votre repas, vous pourrez apercevoir le chef Maxime Villevaud dans la cuisine ouverte. Après des débuts à 17 ans chez Jacques Chibois, il vous fera découvrir sa cuisine instinctive et nomade, se déclinant au fil des saisons. Avant de commencer, pensez à goûter aux passe-temps, ces délicieux tapas revisités à la mode Vava. Puis, vous pourrez savourer un des plats signatures de ce restaurant. Comme le ris de veau croustillant laqué, originalement sublimé par des câpres, du chorizo et du citron et accompagnée d’une délicieuse purée. Ou le calisson déstructuré avec madeleine et fleur d’oranger, un dessert moelleux et ultra-léger. Tous les plats sont déjà un plaisir pour les yeux avant de l’être pour vos papilles. Saveurs originales et associations délicates sont toujours au rendez-vous. La carte est courte et variée. Elle est renouvelée tous les mois pour des plats préparés à partir de produits frais et de saison. Avec une belle carte des vins La carte des vins a été soigneusement élaborée par Sébastien Depis. Avec principalement des vins français, mais aussi des vins bio et des vins italiens. Vous pourrez par exemple déguster un vin blanc du domaine des Coudereaux. Vous trouverez toujours un vin en accord parfait avec votre plat. N’hésitez pas à demander conseil. ...

Auberge de La Ferme : les authentiques recettes d’une cuisine traditionnelle

André dit « Dédé » et Michèle vous accueillent dans un cadre resté « rustique » avec poutres, pierres apparentes et objets anciens.  Une fois à l’intérieur, vous aurez le choix entre le café où se rencontrent les habitués, la petite salle où sont proposées les fondues (fromage, aux bolets,  bourguignonne)  et le cadre chaleureux de  la salle de restaurant proprement dite.  Ici, l’ambiance se veut décontractée et chaleureuse. Des plats gourmands pour tous les goûts Dédé fait le bonheur des amateurs d’une cuisine « à l’ancienne », gouteuse et … copieuse.   Vous apprécierez les saveurs des plats mijotés par « le roi de la cuisine canaille » comme se plaît à le mentionner M. Alain Giroud, critique gastronomique de La Tribune de Genève, dans son article du 21 avril 2017. La fraîcheur des ingrédients est garantie par une carte qui varie en fonction des saisons.  Par exemple, en automne, la carte de chasse propose  la selle de chevreuil avec sa sauce Grand Veneur, le filet de lièvre ou l’entrecôte de cerf avec sauce poivrade, le civet de chevreuil  « façon grand-mère », le tout accompagné des garnitures de chasse et des spaetzlis maison.   Les incontournables de la maison, qui ont fait la réputation de Dédé aux Pâquis où il a œuvré pendant plus de 20 ans, se dégustent tout au long de l’année.  Parmi ses plats phares, on retrouve les  œufs en meurette, les pieds de cochons désossés, les « énormes »  cordons bleus, les joues de bœuf confites, les cuisses de  grenouilles, les filets de perches, ...  Ne vous en faites pas, l’été, la carte se fait plus légère avec , entre autre, des tagliatas de bœuf, des sashimis de thon, des tartares de bœuf, … A l’apéritif, pourquoi ne pas partager une planchette de Malakoff (petites boules chaudes à base de fromage), un pot de rillettes d’oie ou une assiette valaisanne ?  Puis, craquez pour la terrine maison, le foie gras et son chutney de mangue, les salades diverses, …   En plat, la joue de bœuf ou le coq au vin sont servis en cassoton, l’entrecôte du Val d’Herens (Valais) ou le pavé de bœuf vous sont proposés avec une sauce maison ou une sauce au poivre ou encore la sauce aux morilles, le tout avec légumes, gratin dauphinois ou frites maison.    La cuisine se veut gourmande et les plats variés et généreux combleront toute la famille puisque les enfants ne sont pas oubliés :  nuggets de poulet ou filets de perches avec frites maison et … ketchup ! Les desserts sont  également faits « maison » et le choix peut rapidement devenir cornélien entre le fondant au chocolat, le millefeuille aux fruits rouges, les meringues à la crème de Gruyère, … Des plats du jour à Frs. 19.- vous sont proposés, à midi, du mercredi au vendredi, avec une petite entrée ou un dessert. Enfin, Dédé travaille beaucoup avec les suggestions du moment en fonction de ses achats et des désirs de ses clients ;  il peut donc vous proposer de la choucroute, des tripes, de la fricassée genevoise, …  à vous de lui faire part de vos envies. Côté vins, ici, à la campagne, la maison et les clients privilégient les vins locaux mais la carte présente également une sélection de vins vaudois, valaisans et français. ...

Trouver un expert : le service qui vous ouvre la porte des laboratoires du CNRS

Dans le cadre de sa mission de transférer ses savoirs et savoir-faire vers le monde socio-économique, ce service s’adresse aussi bien aux start-up, PME, grands groupes qu’aux collectivités et services de l’Etat nécessitant une expertise dans un domaine spécifique. Face à des besoins de plus en plus variés et fréquents, une équipe avisée assure le dialogue, la confidentialité et est une véritable passerelle entre le monde de l’entreprise et celui des laboratoires du CNRS. Des expertises de pointe dans tous domaines Le CNRS est une des plus importantes institutions de recherche du monde. Ses travaux pointus touchent tous les domaines possibles que ce soit la matière, l'espace, les sciences humaines ou biologiques. Sa Direction des Relations avec les Entreprises (DRE), a pour mission de développer les liens entre les entreprises et ses laboratoires de recherche. Pour faciliter l’accès des professionnels désireux de travailler avec le CNRS, elle innove avec le service "Trouver un expert", dont tous les projets soumis se succèdent mais ne se ressemblent pas ! Les thématiques sont larges et le réseau, solide. Edith Wilmart, responsable du service, le reconnait en chœur avec son équipe, les solutions élucidées sont parfois étonnantes. Toujours passionnantes. Chaque demande est étudiée afin de bien définir la compétence à solliciter parmi les 1100 laboratoires du CNRS et de ses partenaires, partout en France. Ces échanges peuvent conclure à une prestation de service, à une consultance ou à une collaboration dont la durée se mesure aux objectifs convoités. Des connexions fructueuses au présent et pour l’avenir Interventions ponctuelles ou durables, les situations croisent les thématiques, voire induisent des collaborations pluridisciplinaires. D’une entreprise de literie de luxe à un brevet récent sur des polymères biosourcés, d’une entreprise agro-alimentaire à une spécialiste de l’explosion pour une production moins chère et moins polluante : les exemples attisent inspirations et respect. A des travaux classiques de prestations de services, d’analyses, de conseils, de formations, précèdent parfois des alliances a priori improbables. La preuve. Une industrie de cosmétique va ainsi collaborer avec une écologue anthropologue pour in fine concevoir une huile relaxante naturelle pour homme. Une autre a bénéficié de l'aide d'un expert en efficacité énergétique (éclairage, chauffage) pour transformer des conteneurs en espaces habitables.  Gains de temps, de compétences, les plus-values proposées par le service Trouver un expert sont nombreuses et riches de sens. D’une part, parce que la recherche ouvre toujours plus largement ses portes au monde socio-économique, en participant à le qualifier durablement. D’autre part parce que le chemin est aisé pour y parvenir. Grâce à un simple formulaire à remplir sur trouverunexpert.cnrs.fr, les sciences les plus avancées se mettent à la portée de tous, pour un lendemain viable, éclairé et acteur de son environnement. ...

« En raison du nombre d’acteurs qu’elle implique, la transition ‘’enfant-adulte’’ d’un patient atteint de maladie rare est kaléidoscopique »

En quoi le « basculement » d’un ado atteint de maladie rare de la médecine pédiatrique vers la médecine adulte peut-il se révéler compliqué ? Et pourquoi cette phase doit-elle faire l’objet de toutes les attentions ? La plupart des maladies rares sont des maladies chroniques. C’est à dire que ce sont des pathologies qui s’inscrivent dans la durée et nécessitent une prise en charge spécifique. Les diagnostics sont souvent posés dans l’enfance, voire même dès la naissance du patient. L’espérance de vie des malades atteints d’une pathologie rare progressant considérablement, beaucoup d’entre eux atteignent l’âge adulte. Or, pour nos confrères en médecine dite adulte, ce sont autant de patients qu’ils devront prendre en charge mais dont ils ne connaissent parfois pas - ou peu - la pathologie… De plus, les maladies rares nécessitent parfois une prise en charge multiple. Plusieurs intervenants sont alors impliqués. Et ce sont alors autant de parcours de transitions qui devront être orchestrés avant que le patient ne quitte le service pédiatrique pour rejoindre le service adulte. Pour toutes ces raisons, dans le domaine des maladies rares, la transition « enfant-adulte » est très souvent kaléidoscopique. D'où l’importance qu’un médecin, à la manière d’un chef d’orchestre, coordonne la phase de transition. Qu’en est-il des patients ? Parce qu’ils y ont passé beaucoup de temps, la plupart de nos jeunes patients considèrent le service pédiatrique comme leur deuxième maison. Ils y sont très attachés. Et beaucoup d’entre eux éprouvent une certaine appréhension à l’idée de devoir quitter l’unité pédiatrique pour être suivis en médecine d’adultes. Mais ce « transfert » est également une source de stress pour les parents. En effet, ceux-ci vont devoir gérer de multiples transitions qui vont bien généralement coïncider les unes avec les autres : leur enfant va non seulement passer en médecine adulte mais il va aussi passer son Bac, son permis de conduire, peut-être déménager dans le cadre d’éventuelles études supérieures, s’installer en couple, etc. Pour que le « basculement » que vous évoquiez précédemment se fasse en douceur et dans les meilleurs conditions, il est essentiel qu’il ait été anticipé et que la phase de transition ait fait l’objet d’une coordination sans faille. Le transfert du patient, c’est à dire le passage de relais entre les médecins pédiatres et leurs collègues « adultes », ne se fait pas du jour au lendemain mais de façon progressive. C’est ce que l’on appelle le processus de « transition » qui débute en pédiatrie pour se poursuivre en médecine d’adultes, bien après le transfert et cela afin de consolider ce dernier.Quels sont les risques, pour le patient, d’une éventuelle rupture du parcours de soins ? La rupture du parcours de soins peut s’accompagner de complications aigües, d’hospitalisations en urgence, voire d’une surmortalité… Il peut arriver qu’un adolescent ou qu’un jeune adulte échappe au parcours de soins et se retrouve aux urgences pour des complications aigües, voire mortelles, alors que son hospitalisation aurait tout à fait pu être évitée. En effet, cela peut s’accompagner de séquelles potentielles : perte de fonction d’un organe, d’un rein, de l’usage d’un membre… Il n’est d’ailleurs pas rare que des patients qui, plus jeunes, avaient échappé à leur parcours de soins, le regrettent amèrement, des années après. Ces séquelles sont d’autant plus dures à vivre pour nos jeunes patents que ce qu’ils désirent plus que tout, c’est d’être « comme les autres » et de mener une vie normale : travailler, payer des impôts, tomber amoureux, etc. La prise en charge doit-elle aussi consister à aider les jeunes patients à se construire un projet de vie d’adulte ? À s’autonomiser ? Bien sûr. La transition doit intégrer non seulement le parcours de soins et de santé mais aussi tous les éléments pouvant contribuer au bien-être du patient et de son entourage : scolarité, orientation professionnelle, vie relationnelle, amoureuse, projets d’avenir, etc. C’est une dimension qui passe au premier plan durant l’adolescence. Nos jeunes patients veulent évidemment qu’on les soigne mais également qu’on les aide à s’occuper de leur vie quotidienne, qu’on les écoute, qu’on réponde à leurs interrogations, qu’on les rassure, qu’on les valorise… Ces besoins spécifiques, liés à l’adolescence du patient nous obligent, nous médecins, à parfois lâcher un peu de lest. À sortir du côté strict du médecin qui se limiterait à soigner son patient. L’adolescence est une période difficile. En quoi peut-elle l’être encore davantage pour les jeunes qui sont atteints d’une maladie rare ? Souvent, mes jeunes patients me disent qu’ils veulent être comme les autres jeunes de leur âge. Sans aucun traitement de faveur. Quant aux questions qu’ils se posent, ce sont les mêmes que celles qui agitent tous les ados : est-ce que je peux plaire à quelqu’un ? Quel métier est-ce que je vais faire ? Même si d’autres interrogations, en lien avec leu...