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Interview avec Christophe Raoux
Chef du restaurant L'Oiseau Blanc, The Peninsula Paris



Restaurant
5 toques Gault et Millau
situé à Paris
Région Île-de-france

Dans votre restaurant, comment définissez-vous votre cuisine ? Quels sont vos plats «Signature»? Avec quels produits aimez-vous travailler ?

Christophe Raoux Je fais une "cuisine de cuisiniers" : gourmande, savoureuse, chaleureuse ! J'aime les cuisines simples, bien exécutés. Mes plats Signature : le ris de veau français cuit en cocotte ou le turbot sauvage et son crémeux de romaine, salicorne, thym citron et ses champignons du moment. Je suis amoureux de tous les produits mais j'adore travailler les radis, les asperges, et la volaille !

Quelles émotions avez-vous ressenties lors de la remise des étoiles du Guide Michelin ?

CR Nous n'avons pas encore d'étoiles mais j'y travaille ! En revanche, je me rappelle avoir ressenti une émotion intense au moment de la remise de ma médaille de Meilleur Ouvrier de France, en 2015. Je n'y croyais tellement pas que j'ai passé la nuit avec. En me réveillant, j'ai vérifié immédiatement qu'elle était toujours bien accrochée à mon cou et que ce n'était pas un rêve !

La cuisine est faite chaque jour de partage et d'émotions. Toutefois, certains moments de la vie sont à privilégier plus que d'autres... Pouvez-vous nous confier vos plats rêvés pour :
- Un repas de Noël ?

CR Une délicieuse langouste de Bretagne en cocotte truffée !

- Un repas de la nouvelle année ?

CR Des Saint-Jacques de Port-en-Bessin en fin carpaccio, kumquat confit et gingembre frit ou un homard bleu en ravioles et sa crème de crustacés et estragon.

- Un repas de Saint-Valentin ?

CR Pour commencer : foie gras de l’Aveyron façon Luculus et truffe Tuber Melanosporum. On poursuit avec le boeuf du Limousin, une purée de mon enfance truffée. On finit par la mangue à partager : litchi, perlée citron, sablé amande et craquant de chocolat blanc.
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- Un repas de la fête des mères ou des pères ?

CR Je ferais : Un rouget barbet, légumes d’une ratatouille, soupe de poisson de roche, un goût d’une rouille ou onglet de Boeuf fumé et mariné et ses gyoza croustillants
En dessert, le "Tout chocolat" de mon chef pâtissier Dominique Costa me semble idéal ! Un dessert praliné coulant, coriandre, tuile craquante. Un régal !

Au fait, pour votre mariage, qui a fait la cuisine ? Pouvez-vous nous indiquer les plats cuisinés ?

CR Je garde ça top secret, c'est notre moment à ma femme et moi. Je peux vous dire que j'avais moi-même créé le menu en faisant appel à tous les producteurs qui me sont si chers et me suivent depuis mes débuts en cuisine.

Sans trop réfléchir, pouvez-vous nous confier votre plus beau souvenir gustatif et certaines des émotions procurées ?

CR Le jour où un grand chef japonais m'a offert une râpe à bonite en bois du Japon. C'est un objet très précieux, je n'oublierai jamais ce moment rempli d'intensité.

D'après la célèbre devise de Prosper Montagné "On ne fait du bon qu'avec du très bon", pouvez-vous nous révéler deux ou trois de vos adresses gourmandes. Vos producteurs et produits préférés sur votre région ou ailleurs (vins, produits frais, ou autres...)

CR Mes incontournables :
Un morceau de jambon de Pierre Oteiza
La bonne table de L'Ambroisie 9, place des Vosges, tenue par mon grand ami Bernard Pacaud
Pour les fromages, La Ferme d'Alexandre est une valeur sûre ! L'équipe de fromagers et affineurs est formidable. Ma propre cave, parce que j’aime l’atmosphère des caves : intime, avec une odeur si reconnaissable. Le lieu idéal pour manger du saucisson et déguster de bons vins avec des amis
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On parle aujourd’hui beaucoup de cuisine fusion, de plats végétariens, d'aliments biologiques, de « Trashcooking » (ingrédients destinés normalement au rebus), de « Freakshakes » pour marier un dessert à une boisson... Selon vous quelles seront les grandes tendances de la cuisine de demain ?

CR Pour moi, la cuisine n'est pas une histoire de tendances mais d'hommes, de cœur et de saisons. Je suis tout à fait conscient de la nécessité de s'adapter aux besoins d'une clientèle, à un marché, mais cela ne doit pas nous détourner de notre objectif premier : faire une cuisine plaisir, faite avec le cœur autant que les papilles, qu'elle soit fusion, gluten-free ou vegan.

Culture - Cinéma Quelle est votre scène préférée de cinéma au restaurant ? Un souvenir de film avec une séquence particulière...

CR J'adore la scène dans "Les Barbouzes", avec Lino Ventura qui se lâche sans modération, en commandant paupiette, civet et tartelettes ! Toujours avec ce ton et charisme inégalables qu'on lui (re)connait tous.
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Si vous aviez un hommage à adresser à Paul Bocuse, quel serait-il ?

CR Je lui dirais simplement merci, et il comprendrait toute la profondeur que je mettrais dans ce mot.
Adresse | Contacts utiles
image-prop-contact-l-oiseau-blanc-the-peninsula-paris L'Oiseau Blanc, The Peninsula Paris The Peninsula Paris , 19 avenue Kléber, 75116 Paris
75116 Paris

Tél. : 01 58 12 28 88
Site Internet

Récompenses
5 toques Gault et Millau

L'Oiseau Blanc, The Peninsula Paris : les avis

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Que savez-vous (vraiment) du port de Rouen ?

« Situé au cœur de l’Axe Seine qui relie Le Havre à Paris, à 120 kilomètres de la mer, Rouen réalise un trafic maritime de 23,5 millions de tonnes par an et 5 millions de tonnes par an pour le trafic fluvial », aime rappeler Pascal Gabet, président du Directoire et directeur général de Haropa – Port de Rouen (Haropa est la structure qui rassemble les ports du Havre, Rouen et Paris). Entre cinq et six heures d’une navigation aussi technique que splendide sont nécessaires pour remonter le fleuve et ses méandres sillonnant la Normandie. « Afin d'exploiter pleinement cette situation géographique exceptionnelle et nous positionner plus encore comme Hub logistique, nous avons mené d’importants travaux d’amélioration des accès maritimes entre 2012 et 2019 pour un coût de 200 millions d’euros. Désormais, des navires de grande capacité sont accueillis, pouvant dépasser les 11 mètres de tirant d’eau pour 290 mètres de long et 35 mètres de large ». Très concrètement, l’amélioration des accès maritimes permet au Port de Rouen d’accueillir des navires vraquiers de nouvelle génération, avec un tirant d’eau plus important dans des conditions de sécurité nautique optimales. Ce projet répond pleinement aux enjeux environnementaux en favorisant le développement du transport maritime. Les différentes infrastructures portuaires sont par ailleurs directement connectées aux nœuds ferroviaires et routiers qui irriguent le territoire français et le nord de l’Europe. Leur multimodalité est bien entendu renforcée par le fait que la Seine assure une desserte fluviale performante des terminaux rouennais. L’un des 1 ers viviers économiques de France desservi par 32 terminaux portuaires Les quais du Port de Rouen fourmillent d’une activité alimentée par l’économie industrielle et agricole de son territoire étendu. « C’est l’un de nos 1ers atouts différenciant : nous sommes au plus près des zones de production et de consommation. Un port, c’est de l’import-export : cela veut dire que l’on fait venir de la marchandise pour la consommer (en 2019, 8,54 Millions de tonnes importées, essentiellement des vracs liquides), mais également que l’on exporte les productions locales (en 2019, 14,91 millions de tonnes exportées, dont 8,26 Millions de tonnes de céréales). L’intérêt d’un port maritime en fond d’estuaire, à l’intérieur des terres, est là : offrir une chaine logistique compétitive en réduisant le coût du premier (export) ou du dernier (import) kilomètre. Haropa – Port de Rouen, avec ses 32 terminaux portuaires répartis le long de la Seine, est au plus près de son hinterland et des activités économiques : terminaux de Honfleur, terminaux de Port Jérôme et de Radicatel, proches du complexe pétro-chimique d’ExxonMobil à Port Jérôme sur Seine, terminaux de Saint Wandrille et du Trait (utilisé par le groupe TechnipFMC) et bien entendu les terminaux situés sur le territoire de la Métropole Rouen Normandie. Grenier à blé et Chocolate Valley « Le point fort de Rouen, c’est le trafic de céréales. 50 % des céréales exportées françaises transitent ici, environ 7,5 millions de tonnes par an. Nous sommes idéalement situés près de deux zones de production céréalière très importantes : la Normandie et l’Île de France ». Cette production française de céréales navigue vers différents endroits de la planète, participant de l’approvisionnement alimentaire de ces pays : notamment les pays du Maghreb ou du Moyen-Orient. De façon complémentaire, la présence agro-industrielle locale est également très forte, avec la présence de grands noms. « Qui sait par exemple que nous sommes la Chocolate Valley ? » Chaque année 125 000 tonnes de fèves de cacao arrivent à Rouen et sont transformées par les deux leaders mondiaux dans la fabrication du chocolat : Cargill et Barry Callebaut. Les productions des usines normandes de Ferrero (unique site Europe pour le Nutella et Kinderbueno) transitent depuis Rouen vers le port de Gennevilliers. 3éme région...

Dièse, la Junior-Entreprise de l’ENSIIE joue dans la cour des grands

La souplesse d’une association combinée à l’efficacité professionnelle En intégrant la Junior-Entreprise Dièse à son cursus, l’ENSIIE permet à ses élèves de réaliser missions, études et autres projets mettant en oeuvre les connaissances qu’ils auront acquises au cours de leur scolarité. « Nos clients nous sollicitent le plus souvent pour du développement web, de la création de logiciels, de la production de supports multimédia ainsi que du conseil informatique et digital. Ces derniers temps, la plupart de nos missions consistent à créer des sites web, notamment des boutiques en ligne ou encore des applications web » explique Noah Delophont, membre du pôle communication de la Junior-Entreprise Dièse. « Notre souplesse d’intervention ainsi que le vivier de talents dans lequel nous pouvons puiser constituent indéniablement deux de nos atouts. Et parce que nous nous adaptons rapidement aux besoins de nos clients, nous sommes capables de leur proposer un accompagnement qui soit véritablement ‘sur-mesure’. C’est pourquoi nous intervenons aussi bien auprès de start-ups que de TPE/PME ou encore de grands groupes comme GRDF. Et le fait que notre génération ait grandi dans un univers digital nous permet de proposer à nos clients des solutions innovantes auxquelles ils n’auraient pas forcément songé ». Si l’on devait décrypter l’ADN de la Junior-Entreprise Dièse, nul doute que l’innovation et l’enthousiasme y figureraient en bonnes places.  Une réelle plus-value pédagogique Par le biais des missions qu’ils réalisent auprès de leurs clients, les membres de la Junior-Entreprise Dièse ont non seulement l’opportunité de mettre en pratique ce qu’ils ont appris mais aussi d’acquérir et de développer de nouvelles compétences. Autant de critères que ne manqueront pas de valoriser les recruteurs. « Pour certains élèves, ce sera la première fois qu’ils conduiront une véritable mission de A à Z et devront respecter des délais, tenir un budget, surmonter des contraintes techniques, etc. » précise Noah Delophont. « Mais nous ne sommes pas livrés à nous-même pour autant. Des filets de sécurité sont prévus. En cas de problème, nous pouvons demander conseil à nos professeurs, aux élèves-ingénieurs de dernière année ou encore aux anciens élèves. Parce que nous disposons de tout un réseau sur lequel nous appuyer, en cas de besoin, c’est d’une immersion progressive et en douceur dans le monde du travail dont Dièse nous permet de profiter ». En plus de les auditer annuellement afin de s’assurer qu’elles respectent bien la loi et ne mettent pas en danger le mouvement, la Confédération Nationale Junior-Entreprises (CNJE) propose d’ailleurs régulièrement des formations aux Junior-Entreprises. ...

Cap Loire : tous les secrets de la Loire

Cap Loire se situe dans la région touristique de l’Anjou, précisément à Montjean-sur-Loire, une commune profondément liée au fleuve et à la vie ligérienne, dont le port fut célèbre pour son intense activité. Entre parc et musée, Cap Loire se veut être le gardien et le témoin de cette époque révolue. Une découverte en trois étapes Cap Loire met à la disposition de son public trois espaces de visite pour partir à la découverte de ce patrimoine ligérien. Le parcours commence par la salle d’exposition, où l’histoire de la Loire et celle de sa navigation sont relatées. « On y parle des bateaux qui ont navigué sur le fleuve depuis toujours, depuis les pirogues jusqu’aux bateaux à moteur. Des explications autour de la vie de marinier et de leur manière de vivre à bord de leurs bateaux sont apportées », explique Clarice Reis, la directrice du parc. Les visiteurs sont ensuite conduits vers le « Cap Vert », un chaland automoteur classé monument historique. Il est posé à sec au sein du parc, et les visiteurs peuvent accéder aux différents espaces dont il dispose : la cabine de pilotage, la cabine de vie et les cales dans lesquelles on entreposait les marchandises à transporter. Une des cales a été reconvertie en salle de visionnage d’un film retraçant la remontée de la Loire en bateau, depuis Nantes jusqu’à Angers. La visite se termine par plus d'un hectare de jardins paisibles autour du bateau, où l'on évoque l'environnement de la Loire et la culture locale. Des animations tout public Tout au long de l’année, Cap Loire organise des animations aussi diverses que variées dédiées au grand public. « Tous les weekends, quoi qu’il arrive, une animation est proposée. La grande diversité des animations disponibles permet aux visiteurs de choisir le moment où ils veulent venir », comme le précise Clarice Reis. Les visiteurs peuvent venir en visite libre mais il est plus intéressant de se faire accompagner par un animateur afin de mieux cerner les différents tenants et aboutissants de la visite. Des visites guidées sont proposées le weekend ou tous les jours en juillet et août, à 15 h 30. Les thématiques des animations vont de l’archéologie à la botanique de la Loire, en passant par le métier de marinier jusqu’à la zoologie. À titre d’exemple, l’animation « Gaston le Hérisson » emmène toute la famille sur la trace d’un hérisson qui erre dans le parc, en essayant de le retrouver grâce aux indices qu’il a laissés dans le sol ou par la végétation dont il en fait sa tanière. En période de vacances estivales, les activités de Cap Loire tournent à plein régime avec des expositions temporaires, des animations et des visites guidées. Parmi celles qui sont programmées pour le mois d'août figure le « Le rallye des mariniers de Loire », un jeu ludique pour les familles où des énigmes feront découvrir le transport en Loire. Aussi, l'atelier « Land’art » offre une initiation à l’art et fera le bonheur des familles. À ne pas rater également : « Montjean et son histoire », un parcours pédestre à la découverte des sites de Montjean, dont le port, les fours à chaux et les magnifiques paysages de la Loire. ...

La Gerbe d'Or : gastronomie dans la cité médiévale

Située à l’angle de la rue Balzac et de la rue Mazerolles, La Gerbe d’Or est un endroit emblématique de Loches depuis maintenant près d’un siècle. Repris par Hélène et Didier Harbonnier en août 2014, le restaurant est aujourd’hui un lieu de rendez-vous incontournable des Lochois et des touristes en quête d’un moment agréable autour d’une bonne table.  Une ambiance conviviale et chaleureuse En trois espaces, La Gerbe d’Or conjugue à la perfection le raffinement et la simplicité. Avec une prédominance du bois, la décoration est à la fois épurée et élégante. Dès la porte franchie, la première salle aux couleurs sobres séduit par la sensation de douceur qu’elle dégage. De l’autre côté, la grande salle charme avec son imposante cheminée qui apporte du romantisme au lieu. À l’étage, un salon offre un moment beaucoup plus intimiste et cosy pour 20 couverts. Dans chaque espace, de magnifiques tableaux signés par des artistes de la région viennent orner les murs en parfaite harmonie avec l’endroit. Durant les beaux jours, les convives peuvent aussi se restaurer, à l’ombre des glycines, sur la terrasse joliment agencée.  Une cuisine traditionnelle La Gerbe d’Or propose une cuisine traditionnelle et raffinée. Avec une touche de modernité et un brin d’exotisme, le chef Gérard Guignard réalise un mélange dosé de saveurs et de textures, sans pour autant dénaturer le produit principal. À base de produits frais issus du terroir, tous les plats sont labellisés « faits maison ». Au gré des saisons, la carte se décline en plusieurs plats, dont les plus prisés sont la succulente tartine tiède d’oignons confits au chinon et jambon de pays, le fameux haddock poché au lait aux pommes anglaises accompagné par un crémeux d’échalotes au muscadet ou encore le délicieux suprême de volaille de Racan farci au foie gras et son ragout de légumes de saison. Pour plus de surprises, les convives peuvent aussi opter pour le menu du jour. Affiché à l’ardoise, il est renouvelé au quotidien selon la disponibilité des produits sur le marché et propose une entrée, un plat et un dessert. En semaine, ce menu est à 13,90 € et le weekend à 15,90 €. Un verre de vin est offert tous les midis pour accompagner le repas, sauf le dimanche.  Par ailleurs, le restaurant propose aussi deux autres menus renouvelés au fil des saisons : le menu Gourmand et le menu Mélodie qui proposent trois entrées, trois plats et trois desserts au choix. Ces menus mettent à l’honneur des composantes locales pour un grand moment de plaisir gustatif. Le petit plus Pour accompagner dignement cette expérience culinaire, quoi de mieux qu’un bon vin ! En la matière, La Gerbe d’Or possède une riche collection dans sa cave, qui met à l’honneur le terroir viticole du Val-de-Loire et tout particulièrement des vins issus de la biodynamie. L’occasion pour les convives de déguster d’excellents vins en accord avec les plats proposés. Cependant, même si les vins originaires du Val-de-Loire occupent presque 90 % de la cave, quelques régions viennent compléter la sélection, avec, notamment, les Bordeaux, les Côtes- du-Rhône, les Bourgognes et d’autres bonnes surprises. Le tout est servi par un personnel de professionnel aussi sympathique que réactif.    ...

Les formations 2021 du CNRS toujours plus adaptées aux besoins du tissu socio-économique

Des formes de collaborations multiples entre le monde socio-économique et le CNRS Les modalités de collaborations entre un industriel et le CNRS sont nombreuses et s’adaptent à tous les besoins des entreprises des grands groupes aux PME et start-up au travers d’accords-cadres autour de programmes de recherche, de laboratoires communs, de contrats de recherche ou d’expertise, d’accompagnement de start-up, d’encadrement commun de thèses CIFRE ou encore de formations courtes de haute technicité. En effet, qui, mieux que les personnels des laboratoires du CNRS et de ses partenaires, peut informer sur les dernières avancées scientifiques mais aussi sur les technologies expérimentales de pointe, sur l’intelligence artificielle ou encore sur les phénomènes sociétaux qui impacteront nos usages économiques et plus largement comportementaux ? Où, mieux que sur des plateformes de recherche, peut-on apprendre et mieux comprendre ? Dans ce cadre, la formation continue joue un rôle clef et répond à une demande croissante des industriels : CNRS Formation Entreprise forme plus de 1600 stagiaires chaque année dont la moitié issus d’entreprises et environ 20 % du secteur public non académique. Des formations adaptées aux besoins des filières industrielles  CNRS Formation Entreprises adapte chaque année son offre aux besoins du monde socio-économique. Cette année, son catalogue de formations répond aux priorités nationales et aux enjeux des filières industrielles énergie, automobile, eau, cosmétique, électronique et santé. Pour 2022, CNRS Formation Entreprises propose aux ingénieurs, chercheurs, techniciens des secteurs privés et publics plus de 230 formations de haute technicité. Ces formations sont dispensées partout en France, par les personnels de la recherche des 1100 laboratoires du CNRS et de ses partenaires ; la pédagogique s’appuie sur l’apprentissage par la manipulation d’équipements ou de données et sur les échanges interactifs entre personnels de la recherche et professionnels apprenants (en petits groupes). La qualité des apprentissages est privilégiée, en exploitant les nouvelles modalités pédagogiques offertes par les technologies numériques. Pour plus de flexibilité, des formations sur mesure Les formations intra-entreprise peuvent être une solution pour faire monter en compétences une équipe ou répondre aux besoins de collaborateurs travaillant dans différents services d’une même entreprise. Ces formations peuvent être adaptées à partir d'une formation existant au catalogue ou bâtie sur un programme sur-mesure défini par l’entreprise avec l’équipe pédagogique du CNRS qui identifiera l’expert ou les experts les plus à même de répondre au besoin de la société cliente. Depuis la crise sanitaire, les demandes concernant ce format intra-entreprise sont croissantes. Ces formations dispensées dans les locaux de la société cliente présentent de nombreux avantages : pas de déplacement des collaborateurs qui sont absents sur une durée moins longue ; flexibilité sur les dates de la formation. A la demande de la société cliente, ces formations intra-entreprises peuvent également avoir lieu dans un laboratoire du CNRS. Dans tous les cas, les collaborateurs sont regroupés autour d'un thème commun, plus ciblé et personnalisé créant une dynamique de groupe voire une cohésion d'équipe ! ...

80 Jours Voyages : des expéditions inédites en terres volcaniques

Depuis sept ans, 80 Jours Voyages, qui ne fait pas dans l’ordinaire, s’est lancé comme défi de proposer des voyages inédits au cœur de pays volcaniques, de volcans en éruption ou de sites géologiques originaux appelant à la découverte. Expérimentez toute la puissance de la nature en terres inhospitalières en étant accompagné d’une équipe chevronnée, composée de passionnés ayant à cœur de partager leur amour pour cette planète aux mille facettes. S’adaptant aux besoins et aux envies de chaque voyageur – famille, groupe d’amis ou entreprise –, chaque parcours élaboré par 80 Jours Voyages est la promesse de retrouvailles autour d’aventures authentiques et conviviales. À la rencontre d’une nature fascinante C’est en 2010 que Sylvain Chermette décide de créer 80 Jours Voyages. Spécialisée dans les expéditions en terres volcaniques, cette agence conçoit des séjours personnalisés, individuels ou en groupe afin de partager la passion de son fondateur pour la volcanologie et de prouver que cet univers peut être accessible à tous. « Une éruption volcanique [est] un spectacle inoubliable pas forcément réservé aux scientifiques », confie-t-il. Tombé amoureux des volcans après avoir admiré une éruption, M. Chermette propose une tout autre manière de voyager en emmenant les passionnés de nature au plus près de sites volcaniques situés aux quatre coins du monde. Du Chili à l’Éthiopie, en passant par l’Islande, entre amis, entre collègues ou en famille, chaque expédition à la rencontre de cette facette imprévisible de la nature est encadrée par un spécialiste des volcans et des équipes locales afin d’assurer aux participants une observation grandeur nature, riche en découvertes. Dans cette optique, l’agence est en contact permanent avec des observatoires volcanologiques de chaque destination et octroie le matériel d’observation nécessaire à chaque voyageur afin de garantir la sécurité de ces explorateurs en herbe. Une planète aux mille visages Les explorateurs en devenir pourront, entre autres, choisir parmi deux types de séjours en terres volcaniques : l’expédition classique ou les « éruptions express ». « L’expédition classique, plus centrée sur la géologie et les volcans, consiste à voyager de site en site en étant accompagné par un volcanologue ou un spécialiste assurant le regard scientifique sur chaque observation », reprend notre interlocuteur. Cette approche basique ne manque toutefois pas de piquant. Pour ceux en quête de volcans en pleine activité, l’agence concocte des expéditions pour saisir les émotions d’une éruption sur l’instant. Ces voyages « éruption express » sont organisés lorsqu’une éruption volcanique est en cours ou imminente et que les conditions d’observation sont dûment remplies. « Un groupe est alors constitué pour partir à l’aventure, observer cette éruption en direct et s’approcher au plus près du volcan sans se mettre en danger », continue-t-il. L’expertise de 80 Jours Voyages, jumelée avec celle de son partenaire de longue date Jacques-Marie Bardintzeff, volcanologue de métier, est le gage de la réussite de chacune de ces expéditions placées sous le signe de l’inédit. Outre les séjours en terres volcaniques, vous pourrez également partir à la découverte des différents phénomènes qui font la richesse de notre planète. Allant de l’admiration des aurores boréales en Islande à l’observation d’éclipses solaires, en passant par une expédition en vue d’assister à la formation de lacs de lave aux confins du Nicaragua, ces programmes sur mesure sont élaborés en vue de satisfaire les attentes des aventuriers de tout âge. Les groupes d’explorateurs étant réduits, par principe, le partage d’expérience et la convivialité seront assurément au rendez-vous lors de ces voyages en terres méconnues. ...

Le Hamac : pour trouver son coin de paradis en Guadeloupe

La Guadeloupe ne cesse d’émerveiller. Cette île papillon séduit les amoureux de voyage, d’escapade, de l’océan, de montagne, de la nature sauvage, de la culture et de la cuisine antillaise. Véritable écrin de trésors, la Guadeloupe est une destination idyllique qui se savoure intensément et sans limites pour vivre la magie qu’elle a à offrir. C’est pourquoi Jean Nussbaumer a fondé Le Hamac, une centrale de réservation vouée à la satisfaction et au bien-être des voyageurs, pour leur offrir la meilleure expérience qui soit. Offrir du rêve et de l’évasion Forte de ses longues années d’expérience dans le secteur du tourisme, l’équipe a pu développer une connaissance pointue et une maîtrise parfaite de la destination Guadeloupe. « Nous sommes une petite structure à taille humaine, on connaît très bien nos offres et l'on est en mesure de satisfaire personnellement notre clientèle », soutient le fondateur. Le Hamac est un prestataire de location saisonnière de villas privées et bungalows, mais aussi une centrale de réservation de gîtes, d’appartements et d’hôtels. L’agence met à disposition de sa clientèle, particuliers ou professionnels, plus d’une centaine de propriétés privées, soigneusement choisies pour leur emplacement, leur cadre et leur confort. La Kaz Maracudja*** située à Rifflet – Deshaies et installée à 200 m de la plage de la Perle, figure parmi la sélection. Elle est perchée dans les arbres, blottie au cœur d’un jardin tropical aux parfums exotiques enivrants, et se dote d’une grande piscine, d’un spa, d’une terrasse ouverte sur une grande clairière. Seuls le bruit des vagues et les cris d’oiseaux peuvent rompre le silence qui règne dans ce bout de paradis. Non loin de là, la Villa Mangotine **** et la Villa Ti-Pêcheur ***** offrent une autre expérience unique au sein d’un hébergement de luxe. Les hôtes apprécieront l’exclusivité de la vue sur la mer des Caraïbes et l'île de Montserrat tout en profitant du confort moderne de maisons de standing : cuisine entièrement équipée, chambres climatisées, espace séjour avec salle à manger et bar, wi-fi. Les villas, ouvertes sur l’extérieur,  donne un accès direct à la piscine et au transat, pour se prélasser après une longue journée de balade ou d’excursion. Notre interlocuteur fait savoir que « ces propriétés sont dans les plus haut de gamme proposées dans la région ». Les Villas Amazonia et Palmire, outre leur charme et prestations luxueuses, sont idéales pour accueillir les familles plus nombreuses. À préciser que les propriétés s’étendent sur les plus belles plages immaculées de Guadeloupe : Deshaies, Sainte-Rose, Pointe-Noire, Gosier, Sainte-Anne jusqu’à Le Moule. S’entourer des meilleurs collaborateurs Le Hamac étoffe sa gamme de prestations par la location de voitures, en travaillant étroitement avec ses partenaires de choix. Ce sont notamment LASCAR, EUROPCAR  et RENT@CAR, qui partagent tous la même volonté d’assurer un service impeccable à la clientèle. « Ils font preuve de sérieux et proposent un accompagnement vraiment personnalisé. Cela apporte une valeur ajoutée à l’ensemble de nos offres. » Les voyageurs seraient plus sereins de savoir que cette centrale de réservation s’associe également avec un partenaire d’assurance APRIL VOYAGES, l’allié des professionnels du tourisme. D’autres prestataires locaux rejoignent aussi la liste, tels Les Balades de Keila, Bleu Blanc Vert, ou encore des partenaires sélectionnés qui offrent des massages bien-être à domicile, tous sont à même d’enrichir encore plus votre séjour. En outre, Le Hamac est actuellement membre à l’Association professionnelle de solidarité du tourisme (APST). ...

L'Assise : la brasserie moderne nantaise

Au cœur de Nantes, un endroit exceptionnel attire la curiosité et l’intérêt : L’Assise. Il s’agit d’un restaurant installé dans les murs de l’ancienne cour d’assises, datant de 1851 et rénovée par l’architecte Jean-Philippe Nuel. Le restaurant joue la carte de l’élégance et de la modernité, tout en gardant son charme originel. Les meubles de couleur rouge et fuchsia apportent une touche de fantaisie, tandis que le jeu de faisceaux colorés projeté sur les murs à la nuit tombée invite à un voyage à la découverte de l’univers du célèbre écrivain nantais Jules Verne. Durant les beaux jours, les terrasses révèlent des couleurs gaies et vibrantes, qui sont en parfaite harmonie avec la salle intérieure.   Une cuisine fusion Tout comme l’endroit, la cuisine proposée est d’une élégance rare. Avec subtilité, le chef Frédéric Laval revisite les grands classiques de la gastronomie française, en y apportant une petite touche de modernité. Son but est avant tout de proposer des plats simples mais créatifs, où les produits sont mis en avant. Parmi eux figure le fameux tartare de Saint-Jacques acidulé d’espuma d’huitres ou encore l’émincé de ris de veau aux douceurs d’oignons rouges à l’encre de seiche et vanille. Et pour épater les gourmands curieux, le chef n’hésite pas à s’aventurer sur de nouveaux horizons culinaires. Il propose ainsi des plats venus d’ailleurs, notamment issus de la cuisine asiatique et italienne, retravaillés à la façon Laval. Une occasion pour les convives de déguster le savoureux tataki de bœuf à la sauce teriyaki, accompagné d’une mousseline de pommes de terre au wasabi. Ce plat a été adapté d’une recette japonaise qui, à l’origine, a pour base le thon et l’espadon. Les saveurs de cette suggestion culinaire sont rehaussées par un succulent Médoc Cru Bourgeois, Château Les Ormes Sorbets 2007. D’ailleurs, côté vins, la cave tente de satisfaire toutes les envies grâce à ses nombreuses références.   La cuisine est un travail d’équipe Le chef Frédéric Laval ne manque donc pas d’idées pour exprimer et exploiter son amour et sa passion pour la cuisine. Le principal but étant de répondre aux attentes des convives. Et, pour cela, il a toute une équipe derrière lui pour le soutenir et l’aider. Fidèle aux valeurs « Yes I can » du groupe, celle-ci exprime une volonté de tendre vers l’irréprochable et veille à assurer la meilleure qualité de service. La carte, élaborée avec le personnel, reflète d’ailleurs cet esprit d’équipe. En accord avec les produits de saison, elle est régulièrement renouvelée. De même pour les menus qui ont été créés pour s’adapter aux envies et au budget des convives. Ainsi, il y a le menu Pause Déjeuner à 17 €, qui est servi en moins de 30 minutes. En attendant celui-ci, une soupe froide ou chaude est servie en guise d’amuse-bouche pour faire patienter les convives. Pour les tout-petits, le menu enfant est constitué de plats savoureux et équilibrés, adaptés à leurs besoins. Enfin, le menu Nantais à 35 € rend hommage à la ville. Côté desserts, c’est le chef pâtissier Emmanuel Lebreton qui surprend avec des créations simples et savoureuses telles que la tarte crémet nantais au parfum de coing, le sablé breton crémeux au citron et à la bergamote ou encore la religieuse au caramel beurre salé. ...

Domaine Perceval : des vins de l’extrême

Propriété familiale depuis 4 générations, le domaine a été repris en 1994 par Pascal Perceval, l’actuel gérant. En perpétuelle quête de l’innovation, il élabore aujourd’hui 47 vins différents, dont son fameux vin des glaces. Un vigneron pas comme les autres Au sein de son domaine de 50 ha, Pascal Perceval fait dans l’exceptionnel. Tout en préservant les vins traditionnels comme la mondeuse, la roussette ou l’apremont, ce vigneron ne donne aucune limite à son imagination. Et il se livre à des expérimentations plutôt réussies. À en juger, par exemple, à son vin de glace, dont le moût a été congelé à 3 613 m d’altitude dans le massif du Mont-Blanc. Une fois dégelé, le précieux nectar devient plus concentré en arômes. La dernière trouvaille de Pascal Perceval est ce qu’il appelle les « vins des profondeurs ». Des vins vieillis une année dans le lac Léman, à 30 m de profondeur. Résultat : après un an de vieillissement, les vins en prennent 4 ! Une accélération naturelle qui donne ensuite des nectars plus gras et plus fruités. ...

Détours Madagascar : immersion au cœur
de l’ile Rouge de l’océan Indien

Détours Madagascar, créé à l’initiative de Sylvain Philip, est un opérateur touristique basé à Antananarivo, capitale de Madagascar. Il conçoit et réalise des circuits sur mesure pour faire découvrir la beauté de l’ile Rouge. Bien plus qu’une destination exotique, Madagascar est un pays aux multiples facettes dont certaines sont restées inexplorées. Il abrite une biodiversité unique au monde, des sites inscrits au patrimoine mondial de l’humanité et surtout un peuple particulièrement attachant. Une richesse naturelle et humaine « Son paysage remarquable, totalement préservé, si authentique et si brut, n’a rien à avoir avec tous les standards que l’on peut trouver ailleurs », énonce d’entrée de jeu le fondateur de l’agence. D’abord, les côtes et les plages font de Madagascar une halte paradisiaque. Au nord, la mer d’Émeraude à Diego Suarez, l’archipel de Nosy Be ou l’ile Sainte-Marie éblouiront les voyageurs en quête d’exclusivité. Le décor est parfait pour s’adonner aux joies de la baignade, de la plongée ou d’une balade en catamaran. Cap vers les hautes terres. Visite d’Antananarivo, de ses collines sacrées, de ses marchés, des palais royaux et de ses vues imprenables. Le périple continue vers la RN7, où rizières en terrasses et villages pittoresques se dressent sur la route. « Cette partie de l’ile se prête au tourisme d’aventure, entre trekking, randonnée itinérante et rencontre avec la population », raconte Sylvain Philip. Parcourir la chaine de l’Andringitra, la vallée de Tsaranono ou encore le plateau de l’Isalo sont des expériences à ne surtout pas manquer. Sans oublier les parcs nationaux et les réserves naturelles qui regorgent d’innombrables espèces endémiques (lémuriens, reptiles, orchidées, baobab, ravinala, etc.). Prôner les valeurs du tourisme responsable Grande spécialiste de la destination, l’équipe de Détours Madagascar a bien davantage à offrir. Elle propose notamment une croisière en boutre, sur le canal du Mozambique, une chevauchée dans le Moyen-Ouest malgache et une randonnée vers les tsingy de Bemaraha, classé au patrimoine mondial. Et, toujours, l’agence accorde la plus grande liberté aux voyageurs de personnaliser le voyage. « Notre avons fait le choix d’allier l’originalité et la dimension humaine dans toutes nos prestations », précise l’équipe. La durée des circuits va de 2 jours à 3 semaines. Détours Madagascar est également acteur du tourisme solidaire et écologique. L’aventure au cœur du massif de Makay est une très belle illustration de cet engagement. Il s’agit de soutenir le programme de préservation de ce site tout en dynamisant l’économie locale. « Finalement, notre philosophie se résume à mettre en valeur le pays et la population qui y vit. » Et Sylvain Philip ne cache pas son attachement au peuple malgache, qui a « cette simplicité, cette joie de vivre si authentique ». ...

La Maison Maurice Vesselle : la finesse des champagnes de vignerons

Ici, on entretient un lien filial avec la terre. Maurice Vesselle, fondateur du lieu en 1955, y consacre sa vie, avant de passer le flambeau à Didier et Thierry, ses deux fils. « C’était un personnage, un tempérament », raconte l’un d’eux dans un sourire. Aujourd’hui, les deux frères entretiennent un précieux savoir-faire et travaillent le vignoble comme autrefois. Ils buttent, déchaussent, à l’écoute des humeurs de la vigne. Grâce à ces pratiques, le domaine figure parmi les premiers en France a avoir été certifié Haute Valeur Environnementale. L’élevage, sans fermentation malolactique, leur permet en plus de garder longtemps les bouteilles en cave et de préserver arômes et fraicheur. Cette patience vaut la réputation de Millésimes largement récompensés. Des champagnes de caractère  Un sol profitant de calcaire confie aux Champagnes Vesselle des notes légèrement iodées et une noble longueur. Le Pinot noir leur confère rondeur et puissance tandis que le Chardonnay y ajoute sa touche de fraîcheur pétillante. La Maison produit aussi un rare Bouzy rouge Champenois, lui-même issu d’une longue tradition, née bien avant de voir apparaître les premières bulles de Champagne. Au domaine Maurice Vesselle, « c’est le raisin qui fait le vin », résume t-on humblement. A cela, nous ajouterons volontiers: et l’authenticité de leurs vignerons. ...

Restaurant Badine : la nouvelle vague de la gastronomie grenobloise

Badine est le nom de la laiterie de l’arrière-arrière-grand-père de Florian Poyet. C’est donc dans ses souvenirs d’enfance qu’il puise ses ressources pour faire tourner l’établissement. Devant les fourneaux de ce restaurant, le jeune chef est dans son élément. Effectivement, il a été le second de l’ancien chef Nicolas Bottero pendant 5 ans. De ce fait, en septembre 2015, c’est plus un passage de flambeau ou de toque. Depuis le changement d’identité du restaurant en janvier 2016, le chef ambitionne d’apposer sa propre signature sur les assiettes, en y apportant de la modernité. Dorénavant, Badine rime avec fraicheur et couleur. La gastronomie Poyet  Florian Poyet a la gastronomie dans la peau et dans son cœur. Désormais, il ne fait plus qu’un avec le restaurant du 168 cours Berriat, à Grenoble. Soucieux des détails, le jeune chef porte une attention particulière à la présentation. Le dressage façon Poyet, c’est toute une mise en scène des produits. Les dégradés, les nuances et les contrastes de couleurs et de textures contribuent à la création des plats. Chaque élément de l’assiette joue un rôle particulier pour donner au final un visuel qui met l’eau à la bouche.  Les produits de saison utilisés dans cette cuisine entièrement faite maison sont sélectionnés au marché ou directement chez le producteur. La maison s’assure de réduire au minimum les intermédiaires pour pouvoir construire des relations durables avec les producteurs et les fournisseurs locaux qui affectionnent leur métier et leurs produits. Grâce à son respect pour les produits frais de saison, le chef est devenu depuis peu le plus jeune « maitre restaurateur » de l’Isère. Le restaurant Badine est aussi reconnu par le label « Restaurant de qualité », qui l’engage à promouvoir le fait-maison et le métier d’artisan-restaurateur, à informer la clientèle de l’origine des produits, à assurer la qualité de l’accueil et la cohérence du rapport qualité-prix.  Le restaurant Badine présente trois menus. Le menu « Au fil des saisons » est renouvelé toutes les 2 semaines. Par exemple, le bal s’ouvre avec des cannellonis servis froids à la ricotta fraiche, accompagnés de fenouils rôtis et de jeunes pousses d’épinard. Cette entrée est suivie d’une volaille fermière à la moutarde, avec de l’Arborio croustillant et des échalotes grises au jus. Le tout, couronné par un craquant aux deux citrons, crémeux acidulé et petites meringues. Les deux autres menus sont le « Moment de partage », qui change tous les 2 mois, et « Les envies du chef », qui évoluent en fonction du marché et des envies du chef. La carte des vins La cave est composée de plusieurs références : Savoie, Vallée du Rhône, Bourgogne, Val de Loire, Bordeaux. Pour le terroir isérois, ce sont les Coteaux du Grésivaudan, produits par le Château Bayard, et les Collines Rhodaniennes du Vignoble de Seyssuel qui figurent, entre autres, à la carte. Enfin, le cru classé Côtes-de-Provence du Domaine de la Croix s’affiche en grand ambassadeur de la région. Le cadre Le restaurant Badine reçoit les gourmets dans un cadre chic et moderne à l’image du mobilier blanc et transparent. Cette sobriété laisse place aux accords entre les tons plus sombres des pierres apparentes et le bleu pétrole et l’orange sanguin des tableaux réalisés par un artiste local. La grande terrasse, ombragée de sa glycine centenaire, vaut le détour ! ...

La prise en charge et le parcours de soins des patients s’améliorent 

Des progrès considérables ont déjà été faits sur le parcours de soins, notamment via la prise en charge qu’effectuent les centres de référence, mais diriez-vous que le parcours de vie des patients continue de s’apparenter, malgré tout, à un parcours du combattant ?  Le problème des maladies rares est double. En effet, elles sont non seulement rares mais aussi très différentes les unes des autres. Par conséquent, il est impossible de faire des généralités. Des progrès ont effectivement été effectués. Au sein de la filière FAVA-Multi, nous constatons, par exemple, que les centres de référence ainsi que les centres de compétence traitent plus de patients qu’auparavant. On peut donc en déduire que les malades sont de mieux en mieux orientés. Et que la prise en charge ainsi que le parcours de soins s’améliorent. Pour autant, certains diagnostics restent difficiles à poser. Car en raison de la « rareté » de ces maladies et de leur diversité peu de médecins généralistes y ont été confrontés. Or plus un diagnostic est tardif, plus les difficultés (scolaires, familiales, professionnelles… ) qu’éprouvent les patients atteints de maladies rares augmentent et plus des complications risquent de survenir. - « Le parcours de vie des patients atteints de maladies rares peut s’apparenter à un parcours du combattant. Mais pas toujours. Des progrès ont été faits » Quels sont les obstacles auxquels se heurtent le plus souvent les patients et leurs proches ? Ces obstacles sont multiples. L’errance diagnostique, c’est à dire le délai excessif qui peut séparer l’apparition des premiers symptômes de l’établissement du diagnostic, est bien souvent très difficile à vivre. Et ses conséquences sur le parcours de vie du patient peuvent être dramatiques. Sans traitement adapté, son état de santé risque de s’aggraver. Un sentiment d’isolement puis d’exclusion peut aussi apparaître, le malade se sentant incompris aussi bien par les médecins qu’il consulte que par son entourage. Parce qu’elles contribuent à rompre l’isolement, les associations de patients sont d’ailleurs d’une grande utilité. L’errance diagnostique peut également entraîner un retard dans le processus de compensation du handicap. Des difficultés scolaires peuvent aussi se présenter. En effet, il peut être compliqué de scolariser un enfant atteint d’une maladie rare qui nécessite une prise en charge pluri-disciplinaire. Il en va de même du maintien d’un adulte dans son emploi. Les malades et leurs proches peuvent également rencontrer des difficultés à s’orienter dans le parcours de soins. Mais le travail effectué par les filières de santé « maladies rares » contribue à accroître la visibilité des structures mises en place. Enfin, dépressions, séparations ou encore difficultés à obtenir un prêt immobilier font partie des répercussions qu’ont les maladies rares sur le quotidien des patients et de leurs proches. - « Les associations de malades créent du lien et aident à rompre l’isolement »Comment peut-on aider les professionnels - non spécialistes - à avoir une meilleure connaissance des maladies rares ? Il est impossible de tout savoir sur les plus de 3 000 maladies rares ayant été répertoriées. Moi-même, qui travaille sur le sujet depuis des années, je ne les connais pas toutes… En réalité, ce qui compte, c’est que les professionnels aient accès à l’information. Qu’ils sachent où elle se trouve et comment l’obtenir. Aujourd’hui, la visibilité des maladies rares est plus importante qu’auparavant. Et il existe de nombreuses portes d’entrée : Orphanet qui regroupe des informations sur les maladies rares, les sites Internet des filières, les centres de référence, les hôpitaux, etc. Mais plutôt que de former chaque médecin à toutes les maladies rares, il est préférable de les aider à savoir où trouver l’information s’ils sont face à un cas inhabituel. Si l’on peine à établir un diagnostic, il faut envisager la possibilité qu’il puisse s’agir d’une maladie rare. - « Il faut faire en sorte que les médecins sachent où chercher l’information face à un cas inhabituel »Pouvez-vous nous parler du Tour de France des Filières ? En quoi consiste-t-il ?  La filière FAVA-Multi qui fédère les maladies à « anomalies vasculaires rares avec atteinte multi-systémique », et que j’ai l’honneur d’animer, organise un Tour de France des filières. L’idée, c’est de faire en sorte que les professionnels qui prennent en charge - au-delà du suivi médical - les patients atteints de maladies rares, puissent se rencontrer, échanger et tisser des liens entre eux. Participent ainsi à cet événement travailleurs sociaux, enseignants, réducteurs, MDPH, kinésithérapeutes, etc. En effet, avant que le tour de France des filières ne soit mis en place, en 2016, toutes ces personnes n’en avaient pas forcément l’occasion. Il y a pourtant une réelle demande. La toute première rencontre que nous avons organisée se déroulait sur une matinée, à Lyon. Mais les participants étaient tellement contents de se rencontrer qu’ils...

UIC-P Espaces Congrès : vos évènements
au pied de la tour Eiffel

Quel que soit le type d’évènement, privé ou professionnel, UIC-P Espaces Congrès dispose de tous les atouts pour faire de chaque évènement professionnel ou privé une réussite totale. Des espaces modulables et équipés En tout, l’UIC-P Espaces Congrès compte 14 salles modulables d’une superficie allant de 20 à 300 m2. La capacité d’accueil varie entre 10 et 300 personnes. Pour offrir davantage de confort, toutes les salles bénéficient de la lumière du jour, de la climatisation et d’une connexion Wi-Fi ultraperformante et sécurisée. Par ailleurs, chaque espace est doté d’un parc de matériels avec un équipement high-tech pensé pour les professionnels. « Nous disposons, entre autres, d’un mur d’images LED », spécifie Hassan Bentires, responsable commercial. Tous types d’évènements Grâce à ses différents espaces, l’UIC-P Espaces Congrès est à même de recevoir tous types d’évènements : conférences, séminaires, formations professionnelles, comités d’entreprise, lancements de produits, évènements privés… Ainsi, ses offres et prestations s’adressent aussi bien aux particuliers qu’aux professionnels. Une large gamme de services Outre ses infrastructures et ses équipements de haut de gamme, l’UIC-P Espaces Congrès fait bénéficier à ses clients d’un vaste choix de services. S’agissant, par exemple, d’une conférence internationale, la structure met à disposition des participants une équipe d’interprètes qualifiés. Pour assurer la restauration des invités, des traiteurs professionnels sont là pour leur proposer une carte variée de petits déjeuners, cocktails, buffets, déjeuners, plateaux repas, sandwichs… ...

Partage Formations : « Vers l’ubérisation
de la formation professionnelle »

Plus que jamais, les solutions numériques dédiées à la formation professionnelle ont le vent en poupe. Les nouvelles réformes de la règlementation relative à la formation et à l’apprentissage risquent bien d’amplifier encore plus le phénomène. Dans ce contexte, Innoprev repousse les limites en créant une plateforme collaborative où tout le monde peut trouver, partager, organiser ou demander des formations partout en France. Démocratiser l’accès et le partage de savoirs « Nous voulons lancer une application entièrement flexible, gratuite et accessible à tous, sans exception », introduit Martial David, fondateur d’Innoprev. Ainsi, l’application permet aux salariés, aux étudiants, aux stagiaires ou aux particuliers de réserver instantanément des places de formation disponibles auprès des organisateurs de formation, via une simple inscription en ligne. Ces utilisateurs peuvent comparer et choisir parmi toutes les offres, en se référant aux informations fournies à chaque annonce : thématique, zone géographique, date et durée de formation, nombre de places, tarif, etc. Pour ceux qui expriment des exigences plus spécifiques, Partage Formations leur donne la possibilité d’élaborer une demande de formation sur mesure, qui sera diffusée par la suite sur l’ensemble du réseau. « Il s’agit vraiment d’une mise en relation la plus directe et la plus transparente possible, pour satisfaire entièrement chaque utilisateur », soutient le fondateur. Un outil de communication Inversement, les organisateurs peuvent rentabiliser leurs sessions de formation internes (formation intra-entreprise, interentreprises, MOOC ou e-learning), en proposant les places libres aux particuliers souhaitant y participer. « En plus de conquérir un public extérieur, cela permettra d’obtenir un retour sur investissement de manière très rapide et immédiate », explique notre interlocuteur. Du gagnant-gagnant. D’autres fonctionnalités payantes et plus performantes sont également à leur disposition, dont l’abonnement à la notification personnalisée. « Concrètement, ces organismes de formation reçoivent un message à chaque fois que la plateforme identifie une demande de formation correspondant à leurs critères de notifications. » En outre, Partage Formations assure la promotion marketing des annonces, l’intégration Web du système d’inscription ou encore la gestion des inscriptions reçues. ...

Une aide à la réadaptation cardiaque

Idéalement situé au cœur d’un parc de 4 hectares partiellement boisé, en bordure du village de Nieuil-l’Espoir, le Centre de Réadaptation du Moulin Vert bénéficie d’un environnement particulièrement apaisant qui favorise le ressourcement et la relaxation. Afin de répondre aux objectifs de réadaptation cardiovasculaire et respiratoire, l'équipe pluridisciplinaire assure de manière professionnelle la prise en charge des patients et leur fait « retrouver un confort de vie ou mieux qu’avant » selon le Président du centre, Hervé Millet.   Une réadaptation à plusieurs volets  Le Centre de Réadaptation du Moulin Vert propose à ses patients « une prise en charge pluridisciplinaire », précise le responsable, depuis leur admission jusqu’à leur retour à domicile en appliquant un programme à plusieurs volets. Le volet médical consistant à la surveillance médicale, à l’examen de l’état de santé et à la prise en charge d’éventuelles rechutes, suivis d’actions. Le deuxième volet concerne la réadaptation proprement dite avec essentiellement une base d’activités physiques de plusieurs ordres pouvant consister à des entraînements sur vélo ou sur tapis, à des activités de gymnastique ou autres activités adaptées et encadrées par des professionnels qualifiés.  La troisième partie est d’ordre paramédical avec une prise en charge diététique, et au besoin, une prise en charge psychologique et/ou une aide à la réinsertion sociale par le biais d’une assistante sociale.   Pour qui ? Le Centre de Réadaptation du Moulin Vert s’adresse aux patients souffrant d’artérite, d’infarctus du myocarde ou coronarien ou encore présentant une insuffisance cardiaque. Le Centre agit également en mode post-opératoire pour les patients venant de subir une chirurgie cardiaque (transplantation, revascularisation ou cure de cardiopathie congénitale). À travers « la pratique d’une activité physique ou d’une hygiène de vie qu’ils n’avaient pas forcément avant », ils bénéficient de programmes qui les font se sentir mieux. D’autre part, les personnes souffrant de maladies respiratoires peuvent également intégrer l’établissement et bénéficier d’un programme de réadaptation conforme à leur état, en hôpital de jour uniquement. Des locaux adaptés  Le Centre de Réadaptation du Moulin Vert met à la disposition de ses patients, des locaux d’hébergements aménagés pour leur confort  avec des chambres individuelles de plain-pied entièrement équipées, des  chambres dédiées aux PMR (personne à mobilité réduite) et des espaces communs tels qu'une bibliothèque, une salle de repos et de loisirs, une salle de restaurant sans oublier un salon de coiffure quand ils en éprouvent le besoin. Des équipements performants Le Centre de Réadaptation du Moulin Vert est un établissement moderne doté d’équipements à la pointe de la technologie. « En plus de réunir une équipe qualifiée pour les différents aspects de la réadaptation, nous disposons de matériels performants et adaptés à chaque programme » relate le Président du centre. La plateforme technique est notamment composée d’un appareil d’échocardiographie couleur, d’un appareil d'épreuve d'effort avec monitoring, de tapis de marche, d'un vélo elliptique et d’autres machines permettant de mesurer la tension ambulatoire. ...

Pour être bien chez soi : un accompagnement à domicile de qualité et collaboratif

Avec l’âge, la vulnérabilité aux maladies et la perte d’autonomie augmentent. « Savoir prévenir et accompagner la dépendance est aujourd’hui essentiel. » Pour être bien chez soi met tout en œuvre pour appliquer cette devise, tout en respectant les spécificités de l’île de la Réunion. Une équipe « pluri-professionnelle » La prise en charge des personnes âgées hospitalisées lors de leur retour à domicile dépassant la simple fourniture d’équipements, Mona Kanaan, Docteur en Pharmacie, décide d’innover. En mars 2006, elle crée Pour être bien chez soi qui s’articule autour d’une équipe d’experts chargée d’assurer une prise en charge plus globale, s’étendant aux aidants (familles et environnements des patients). Structurée en départements répondant aux besoins spécifiques des personnes âgées malades, la société compte actuellement 20 collaborateurs. Elle propose une prise en charge « à la carte », spécifiquement adaptée à l’état de santé de chaque patient. Elle intervient sur toute l’île de la Réunion, jusque dans les sites enclavés. Une société ayant à cœur de répondre aux exigences de qualité Selon Mona Kanaan, directrice de Pour Bien être chez soi, « le secteur de la santé des personnes âgées à Domicile et dans les hébergements intermédiaires type Résidences Autonomies EHPA et EHPAD de la Réunion mériterait plus d'attention et de moyens de la part des institutions et des agences régionales de santé.» Il y a un manque criant de professionnels coordonnées type SSIAD et HAD pour accompagner les nombreux  PSAD sur le terrain. L'addition de la précarité à l'isolement aux maladies métaboliques avec une prévalence de l'insuffisance rénale, respiratoire est 7 fois plus importantes par rapport à la métropole. Le domicile étant une priorité pour maintenir et préserver les personnes âgées dans les meilleures conditions. Il est pertinent de positionner en face des structures professionnelles de santé coordonnées, sérieuses et d'envergure permettant autant la coordination de soins de proximité que de la prévention sous toutes ses formes. Devant ces difficultés, Pour bien être chez soi a souhaité valoriser son professionnalisme. Elle est certifiée ISO 9001 mais également ISO 26000 : 2010 depuis février 2017. Ainsi engagée dans une dynamique RSE (responsabilité sociétale et environnementale), elle s'attache à répondre au maximum aux besoins de la collectivité dans le respect de la bonne gouvernance. Une société préconisant l’information Pour bien être chez soi favorise toute communication sur le quotidien des personnes âgées. Fin mars 2018, elle a donc organisé un symposium international intitulé « Le défi du vieillissement réussi », pour un partage de connaissances. ...

Domaine Lacroix-Vanel : honneur aux terroirs 

Repris en 2016, le domaine est exploité par Marc-Olivier Bertrand dont il est copropriétaire avec 150 autres personnes, via un financement participatif réalisé avec l'aide de Terra Hominis. La totalité du vignoble, érigée sur des sols basaltiques, est en appellation Languedoc Pézenas. Des techniques consciencieuses La qualité des vins est garantie par un mode cultural qui favorise la vie des sols et la biodiversité. Ce travail respectueux de la Nature est certifié bio par le label AB (agriculture biologique). ...

Le massif du Sancy : destination nature d’exception

Rendez-vous en Auvergne pour passer des vacances inoubliables mariant aventure, gastronomie et découverte de patrimoine. Il suffit de consulter le site internet de l’Office de tourisme de Sancy pour se rendre compte des nombreuses activités disponibles. Au cœur du parc naturel régional des Volcans d’Auvergne Savez-vous que le Puy de Sancy est en réalité un volcan ? Vous vous situez, en effet, en région Auvergne, réputée pour son massif volcanique. Mais rassurez-vous : vous n’avez plus rien à craindre. Ceci étant dit, c’est une bonne occasion de profiter de paysages grandioses formés par des phases éruptives violentes, des éboulements et une période glaciaire avec érosion. Si vous aimez les randonnées en terre sauvage, vous n’allez pas être déçu. Aventurez-vous dans les trois réserves naturelles nationales de la région (Chastreix-Sancy, Vallée du Chaudefour et Sagnes de la Godivelle) et prenez le temps d’apprécier cette nature préservée et l’air pur qui emplit vos poumons. Vous allez être émerveillé par la flore colorée variant selon les saisons et la faune comprenant entre autres des loutres et de nombreuses espèces d’oiseaux. Parmi les lieux à découvrir absolument, nous vous recommandons Le Puy de Sancy (plus haut volcan de France métropolitaine) et le lac Pavin appartenant à la famille des maars (un volcan à cratère rempli d’eau). Tout simplement magnifique ! Des activités pour tous les âges et toutes les envies Nous vous en parlions en introduction : le massif fait le nécessaire pour donner envie à tous les vacanciers de venir y séjourner quelques jours. Pour commencer, il est difficile de passer à côté des nombreuses promenades en pleine nature. Tous les randonneurs peuvent ainsi se faire plaisir. Les néophytes apprécieront les balades d’une heure tandis que les randonneurs avertis pourront se lancer sur les GR ou sur les crêtes. De la famille avec jeune enfant souhaitant découvrir la rando poussette, la cani-rando ou la cani-trottinette à l’amateur de trail voulant se dépasser : les 670 km de sentiers balisés n’attendent que vous.  En parlant de trails, de nombreuses courses sont organisées tout au long de l’année, d’été en hiver. D’ailleurs, inscrivez-vous sans attendre au trail du Sancy et élancez-vous aux côtés de milliers de concurrents. Sans oublier un événement unique que vous trouvez seulement dans le Sancy : les balades Horizons Arts Nature. Cette nouvelle façon de randonner associe marche à pied et art contemporain pour le plaisir des yeux. Une expérience unique en son genre. Finalement, entre deux randonnées, arrêtez-vous dans le village de Besse. Labellisé « Petite cité de Caractère », vous découvrez une cité médiévale comptant pas moins de huit bâtiments classés au titre de Monuments historiques. L’Église de Saint Nectaire, fleuron de l’art roman auvergnat, est aussi une visite incontournable.  Et c’est pas fini ! Car vous avez l’opportunité de partir en balade en enfourchant un VTT (avec ou sans assistance électrique), de vous baigner dans les eaux calmes des lacs de montagne, de vous laisser emporter par la tyrolienne Fantasticable (allant jusqu’à 100 km/h à 45 m au-dessus du sol), de participer à l’Xtrem Aventure à Super Besse, de faire de la luge d’été ou de vous inscrire pour une Via Ferrata. Après l’effort, le réconfort ! Rien de mieux qu’un moment de détente après une bonne journée de randonnée. Rendez-vous dans les nombreux restaurants ou les boutiques de produits locaux pour y savourer les plats typiques de la région. La truffade et le Saint-Nectaire en tête (possibilité de visiter des fermes et de déguster sur place). Mais ce n’est pas tout ! Car niveau fromage, vous avez aussi le choix entre le Cantal, la Fourme d’Ambert, le Salers et le Bleu d’Auvergne. Concernant les recettes traditionnelles, demandez à ce qu’on vous serve un chou farci, de l’aligot, de la potée auvergnate ou bien du pounti. Vous nous en direz des nouvelles. Pour accompagner votre repas, vous avez le choix entre les bières du Sancy o...

Le colombier : le temple de la gastronomie toulousaine

Situé au cœur de Toulouse, Le colombier vous propose une cuisine riche en variété et en finesse dans une ambiance chaleureuse et conviviale. Malgré son évolution, le restaurant a su garder son âme bourgeoise. Les poutres, les vieilles pierres ainsi que les briques apparentes ravivent le côté rétro du lieu tandis que les meubles en bois reflètent son côté authentique et raffiné. Pour finir, les tables soigneusement dressées qui exposent une magnifique vaisselle disposée sur une nappe blanche mettent en valeur une cuisine toute en couleur. Reflet de la cuisine du sud-ouest Devenu un emblème de la gastronomie dans la ville Rose, Le Colombier est le digne héritier de l’ancienne maison bourgeoise, en 1924, dédiée « au vrai cassoulet de Castelnaudary ». Depuis 2007, Françoise et Alain Lacoste ont repris le flambeau et ont su maintenir la tradition à travers une cuisine traditionnelle. Ainsi, ils proposent les grands classiques et les spécialités de la région comme le foie gras, le cassoulet ou encore les poissons et les crustacés concoctés dans les règles de l’Art. Mais ceci n’empêche, en aucun cas, la créativité du chef de s’exprimer. En exploitant les meilleurs produits locaux, il surprend avec ses plats à la fois authentiques et audacieux. Par son inventivité, il arrive alors à transporter ses convives vers un voyage gastronomique inédit afin de les faire découvrir de nouveaux horizons culinaires. Selon les envies : les cuisines dites « bistrot », régionale, traditionnelle ou gastronomique promettent un moment de plaisir inégalé. Une expérience transcendante pour un prix abordable autant au niveau des plats que pour des vins dont l’établissement possède une bonne collection, notamment les vins régionaux. Alain Lacoste, un visionnaire gastronomique Dès son enfance, Alain Lacoste s’intéresse à la cuisine. Les délicieux plats proposés par sa mère et sa tante au quotidien ont nourri sa passion pour cet univers. Ainsi, dès sa quatorzième année, il a décidé de se consacrer dans des études spécialisées en s’inscrivant à l’école Jean Ferrandi (Ecole Nationale de Cuisine Française actuellement).  Après trois ans, il obtient son diplôme et s’est rapidement lancé dans le milieu professionnel. En 1978, il met le cap vers le Sud, direction Toulouse. A 30 ans, il devient le chef de La Corde où il a évolué pendant trois ans. En 2007, Alain et sa femme Françoise ont décidé de reprendre Le Colombier. En apportant leur propre vision du restaurant traditionnel, ils ont su innover tout en restant fidèle aux arpèges de la cuisine traditionnelle et familiale. Pour le couple, le mot d’ordre est : « faire plaisir et se faire plaisir ». Avec une telle motivation, les 14h à 18h de travail par jour ne seront jamais vécus comme une contrainte. Un plaisir qu’ils comptent bien partager à tous leurs convives en leur proposant des plats succulents élaborés avec soin et passion le tout ponctué d’un accueil chaleureux et d’une ambiance sereine. ...

Clamageran Expositions, votre partenaire idéal en logistique événementielle nationale et internationale : plus de 40 années d’expérience au service de la profession

Depuis 1971, la société Clamageran Expositions accompagne les organisateurs de salons d’envergure nationale et internationale à travers ses solutions de transport et prestations logistiques annexes. Clamageran Expositions est maintenant depuis plusieurs décennies leader dans son domaine et traite plus de 700 salons, congrès, événements internationaux par an, dont le Salon International de l’aéronautique et de l’espace (salon leader au monde, organisé tous les deux ans à Paris-Bourget). Clamageran Expositions a le privilège d’être un prestataire officiel de cet événement prestigieux. Une large gamme de prestations Sous licence transport de la Fédération française des commissionnaires et auxiliaires de transports, les prestations de Clamageran Expositions sont déployées sur plusieurs niveaux, depuis le traitement des formalités douanières, jusqu’au transport en passant par la manutention et le stockage. A travers son double agrément d’agent de fret aérien IATA et transitaire en douane, la société assure la préparation et le transport des marchandises jusqu’au lieu de livraison finale, que ce soit par voie aérienne, terrestre ou maritime. Aussi, sa qualité de transitaire est renforcée par une certification OEA (Opérateur Economique Agréé) lui permettant la simplification des démarches douanières à l’importation et exportation.  « Cet agrément, délivré par la Direction générale des douanes, signifie également que notre chaîne logistique est entièrement sécurisée : l’ensemble de nos circuits, nos bureaux, nos magasins et nos entrepôts », explique Lucien Lawson, Directeur Commercial International et Marketing de la société. «Propriétaire d’une importante flotte d’engins de manutention (chariots-élévateurs etc…) , de tous types de camion , notre présence permanente à l’intérieur des principaux parcs des expositions avec des entrepôts dédiés font que nous sommes le partenaire idéal de vos salons», rajoute-t-il. S’appuyer sur un réseau de partenaires De par son implantation géographique, Clamageran Expositions peut intervenir pratiquement sur tout le territoire français. En effet, elle est implantée en permanence à l’intérieur des parcs des expositions de Paris Expo Porte de Versailles, Paris Nord Villepinte permettant la couverture complète des salons de Paris et la région Parisienne. Les deux autres bases sont installées respectivement à EUREXPO Lyon et au Parc CHANOT à Marseille, des bureaux d’exploitations à Nantes permettant la couverture du Grand Ouest de la France ainsi qu’un bureau implanté dans le Sud de la France pour les salons  de la Côte d’Azur. Dans le souci de concilier les contraintes de temps et l’efficacité, la société collabore également avec d’autres partenaires logistiques spécialisés, triés sur le volet. « Les organisateurs et les prestataires avec qui nous travaillons doivent s’inscrire dans le même niveau de qualité exigé par nos engagements et nos clients », souligne notre interlocuteur. En outre, son statut d’adhérent-associé à l’Union française des métiers de l’événement (UNIMEV) lui accorde la possibilité de développer un réseau de partenaires professionnels dans l’industrie des expositions. Mais l’expertise de Clamageran Expositions s’exporte aussi en dehors de la France. Un département « salon à l’étranger » est entièrement consacré à l’accompagnement logistique des exposants français qui vont exposer en Europe et dans le monde. En tant que membre fondateur d’IELA (International Exhibition Logistics Associates), un réseau de 163 sociétés-membres présentes dans 54 pays constitue un gage de professionnalisme au service de l’industrie des expositions et événements dans le monde. Agrément ISO 20121 Au-delà de ses compétences transversales dans le transport et la manutention, la société souhaite orienter son axe d‘évolution vers le développement durable. En avril 2015, elle a engagé une démar...

Champagne Thuillier et Filles : artisans de père en filles

Les cuvées Claude Thuillier et Filles sont composées des valeurs familiales chères à une maison artisanale héritée de pères en filles. Priorisant les méthodes traditionnelles d’élaboration du champagne utilisées depuis des siècles, cette marque fêtant ses 41 ans cette année élabore ses champagnes avec attention et patience. Au programme : bulles fines, fraîcheurs et arômes ! « Faire dans la continuité des traditions » Ces propos de Claudette Thuillier, l’une des héritières de l’exploitation, rappellent le parcours authentique de cette maison. En véritables amazones du vin, les filles Thuillier se distinguent par leur maîtrise parfaite du processus d’élaboration et par leur attachement au côté artisanal. La famille Thuillier, tout en tenant à moderniser leur exploitation, a choisi de remettre à jour les méthodes de vinification en fûts tout en continuant à utiliser des procédés traditionnels comme le dégorgement à la volée ou encore le remuage en pupitre. Tout cela pour produire des cuvées de qualité à l’instar de la Cuvée Spéciale, un assemblage classique au goût affirmé et englobant toutes les saveurs du terroir. Accessibilité et convivialité sont au rendez-vous En matière d’activités œnotouristiques, le domaine des Thuillier accueille ses hôtes dans un cadre typiquement champenois. Au programme : visite des quelque six hectares de vignoble, dégustations, visite des caves... Claudette, toujours dans un souci d’hospitalité, propose par ailleurs de se loger sur place dans un gîte dans le village, cela afin de vous assurer une immersion totale dans le pays du bon vin. En pleine conversion en vue de l’obtention de la certification Haute Valeur Environnementale (HVE), la maison Thuillier priorise, entre autres, le respect de la nature, un engagement assurant la vérité du goût de ses cuvées. ...

Champagne Coche : un champagne au plus près de la nature

Le vignoble de huit hectares idéalement exposé du domaine Coche est le berceau de cuvées authentiques fières d’une grande palette aromatique, d’un éventail de goût et d’un caractère affirmé. Le chardonnay (20 %), le pinot noir (20 %) et le dominant pinot meunier (60 %) s’épanouissent en coteaux plantés dans un sol argilo-calcaire, exprimant ainsi toute la richesse du terroir Chavenay dans la Vallée de la marne, mais aussi du terroir de Bouzy, commune du parc naturel régional de la Montagne de Reims.  Cinq générations au service de l’excellence Vignerons dans l’âme, la famille Coche s’attelle, depuis cinq générations, à offrir le meilleur du terroir au travers des cuvées d’exception. La qualité de ces dernières réside dans une élaboration suivant la tradition champenoise, incluant des vendanges traditionnelles, et un savoir faire issue de l'héritage familial. À cela s’ajoute un vieillissement long conférant maturité et subtilité au champagne. Parmi les fleurons de cette gamme, la cuvée Charlotte s’illustre par son nez agréable, sa fine longueur en bouche et ses subtiles notes fruitées qui sublimeront vos instants gourmands et raffinés. Chaque bouteille de cette cuvée est élégamment ornée d’un collier en argent serti d’une perle unique, un bijou authentique idéal à offrir. Ce bijou collerette, une première dans le monde du champagne, fait la fierté de la Maison Coche, véritable joyau champenois. Outre cette cuvée scintillante de beauté, osez accompagner vos apéritifs, du Blanc de blancs (frais, équilibré et ponctué de généreuses notes florales,) vos repas et vos fêtes parmi un choix diversifié qui vous est offert.  ...

Domaine Grand Chêne : un excellent compromis entre tradition et modernité

L’histoire de la famille Lacombe a toujours été liée aux vins. Déjà en 1910, les arrière-grands-parents d’Aristide Lacombe, l’actuel gérant, travaillaient la vigne avec passion. Malheureusement, leurs efforts n’ont pas été poursuivis par la génération suivante, qui a choisi d’autres voies laissant ainsi la propriété familiale à l’abandon. Quelques années plus tard, c’est à force de travail et de sueur que les parents d’Aristide Lacombe ont réussi à rebâtir le domaine. Avec l’aide de leur fils, ils réalisent une restructuration et remettent le domaine sur les bons rails. Aujourd’hui, la propriété familiale commence à faire parler d’elle et en bien ! Des cépages propres au terroir La maison travaille sur un vignoble d’environ 30 ha en appellation Gaillac. « Il s’agit d’une AOP (Appelation d'Origine Contrôlée) comprenant une grande variété de cépages autochtones », précise d’emblée Aristide Lacombe. Pour les rouges, on remarque, par exemple, la présence du braucol et du duras tandis que, au niveau des blancs, intervient un cépage encore méconnu du grand public : le loin de l’œil (un cépage blanc de Gaillac). « Celui-ci est planté sur des terroirs en premières côtes », nous indique-t-on. Sur ces terroirs majoritairement argilo-calcaires pousse également le mauzac, cépage typique de la région qui donne, notamment, des vins blancs gras aux multiples arômes et avec un peu d’acidité. Une belle philosophie Léguer une terre saine et fertile aux futures générations : ces quelques mots résument la philosophie du Domaine Grand Chêne. Pour Aristide Lacombe, le fait d’être en bio, en agriculture raisonnée ou en biodynamie ne doit en aucun cas constituer une fin en soi. « Nous sommes inscrits dans une démarche attentive à l’environnement, mais nous avons découvert que le bio n’est pas toujours aussi idéal pour la Nature », dévoile-t-il. En effet, il trouve illogique que des produits utilisés en agriculture conventionnelle soient éligibles en agriculture bio. Bref, quelle que soit la démarche adoptée, chacun doit garder à l’esprit l’héritage qu’il compte laisser à ses enfants. Une machine « écolo » Même si la maison opte pour une vinification traditionnelle, elle compte bien y apporter quelques améliorations grâce, notamment, à ses expériences. Ainsi, depuis quelque temps, le chai s’est doté d’une machine innovante permettant de réaliser une vinification assez particulière. « Nous avons construit et breveté une machine qui nous donne la possibilité de consommer très peu d’énergie pour la vinification. » À l’image des pompes à chaleur, la machine récupère les calories produites par les fermentations alcooliques qui seront ensuite utilisées dans la production d’eau chaude.  Deux cuvées incontournables Parmi les 8 cuvées de la maison, la cuvée « Méthode ancestrale Brut » et la cuvée « Réserve Apolline » sont les plus représentatives. Alors que la première permet d’en savoir un peu plus sur l’histoire du domaine, la deuxième marque plutôt une ouverture vers la modernité et l’innovation. La cuvée « Méthode ancestrale Brut » porte bien son nom. « Nous y tenons beaucoup, car c’est un véritable héritage de nos ancêtres et sur lequel nous appliquons une méthode de vinification qui est restée inchangée », rapporte notre interlocuteur. Obtenu exclusivement à partir de mauzac, ce vin effervescent illustre un savoir-faire exceptionnel, transmis de génération en génération. Il séduit par ses notes pomme-poire, très caractéristiques du cépage mauzac. Quant à la cuvée « Réserve Apolline », elle mérite largement le titre de « cuvée ambassadrice ». Entre le rouge et le blanc, le choix est un peu délicat mais c’est finalement le rouge qui l’emporte. Élaboré...