Dans une région propice à la détente et à la découverte de la nature, le Mas des Herbes Blanches s’inscrit parfaitement dans ce cadre avec ses bâtiments construits en pierres sèches. Créé en 1973 comme un vieux mas provençal et rénové en 2016, cet hôtel vous accueille dans un site exceptionnel avec une magnifique vue panoramique sur la campagne environnante. Charme, confort …. Séjourner dans l’une des 33 chambres ou 14 suites de cet établissement est une belle occasion de se ressourcer dans un cadre intimiste et charmant. Au calme et dans un écrin naturel, chaque chambre vous plonge dans une ambiance poétique et apaisante grâce au mariage de nobles matériaux et de teintes claires. Ainsi vous serez conquis par les ravissantes tomettes, le marbre, les murs patinés à la chaux, le chêne cérusé ou encore les rideaux en lin. D’une superficie de 20 à 55 m², chacune révèle ses facettes tout au long de la journée dans une belle atmosphère lumineuse. Si vous optez pour une suite, vous aurez en plus le plaisir de vous glisser dans l’eau limpide de votre piscine privative ou de vous reposer sur votre terrasse. … et détente Ses espaces bien-être vous font bénéficier d’un service de professionnels. Offrez-vous d’agréables moments de détente grâce à son spa Sothys tout en profitant de la vue sur la vallée à travers une grande baie vitrée. Piscine intérieure chauffée, jacuzzi, hammam, sauna et salle de fitness sont ainsi mis à votre disposition. Mais vous préférerez peut-être vous relaxer lors d’un massage. Dès cette année, vous pourrez même vous installer sous une tonnelle pour des massages en simple ou en duo. ...
Marcher, courir, pédaler ou répondre correctement à des quiz, tout est bon pour rapporter des points à son équipe ! Grâce à MySquadRunner, les collaborateurs d’une entreprise, qu’ils soient sportifs ou non, vont pouvoir se motiver mutuellement pour tendre vers un objectif commun : placer son équipe en tête du classement à la fin du mois. SquadRunner, la genèse Est-il encore nécessaire de rappeler à quel point le sport est bénéfique pour la santé ? Et pourtant beaucoup de gens font l’impasse sur les activités physiques, faute de temps ou de moyens. Dans la plupart des cas, la cause est plus intrinsèque. « L’absence de motivation est la principale source de blocage », fait savoir Anaïs Baumgarten, directrice marketing de SquadRunner. Afin de répondre à cette problématique, Denis Laboureyras et Brice Chapignac ont décidé de lancer SquadRunner. Une application mobile destinée à motiver le grand public à la course à pied et qui s’appuie sur deux leviers de motivation : l’intérêt pour le jeu et le besoin de se mesurer aux autres. Un concept appliqué aux entreprises Depuis sa création en 2015, SquadRunner a dépassé la barre des 100 000 téléchargements ! Forte de ce succès, l’équipe a ensuite développé « MySquadRunner », une plateforme dédiée exclusivement aux entreprises. « Nous utilisons les mêmes leviers pour motiver les collaborateurs à réaliser une activité physique régulière, l’idée est d’utiliser l’esprit d’équipe et le collaboratif pour lutter contre la sédentarité », explique notre interlocutrice. Unique plateforme à opérer dans ce domaine, MySquadRunner est utilisée aujourd’hui dans 60 pays à travers le monde et compte 58 000 utilisateurs. Le concept est simple : les collaborateurs se répartissent en différents « Squad », dans lequel chacun contribue à faire gagner son équipe en récoltant le maximum de points. Courir, marcher ou faire du vélo, chaque action est récompensée. Seul ou en groupe, les participants peuvent pratiquer à tout moment. « Tout fonctionne autour du collaboratif. Mais cela ne repose pas seulement sur l’activité physique », précise Anaïs Baumgarten. En effet, les personnes en situation de handicap peuvent également participer à travers des outils gamifiés. Des quiz permettent, par exemple, de gagner des points bonus, tandis que des « pouvoirs magiques » offrent la possibilité de booster les actions d’un coéquipier. Des fonctionnalités avancées Outre l’amélioration de la cohésion d’équipe, l’application optimise également la communication interne. Un système de messagerie instantanée permet aux collaborateurs d’échanger entre eux, tout en leur donnant le moyen de créer du lien social. « Les entreprises peuvent utiliser les quiz et le challenge pour diffuser de manière ludique et collaborative des informations de marque employeur », nous indique-t-on. À titre d’exemple, Safran, à la suite de sa fusion avec le groupe Zodiac, s’est servi des leviers de la plateforme pour véhiculer et partager les valeurs du nouveau groupe auprès de ses salariés. ...
Tout commence en 1825 lorsque Jean-Louis Prieur, un Champenois d’origine, fonde la maison Ch. & A. Prieur et réalise une activité de négoce. Pendant quelques années, la maison cherche, affine et affirme son style. À la fin du XIXe siècle, elle a la brillante idée de miser sur l’image de l’empereur Napoléon pour promouvoir ses champagnes. Le succès est tel qu’Alfred-Marie, le petit-fils du fondateur, décide de déposer la marque « Napoléon » en 1907. Un siècle plus tard, les champagnes Napoléon continuent encore d’enchanter les palais à travers la magie de leurs bulles légères. Deux cépages à l’honneur Négociant-manipulant, la maison Napoléon se procure ses raisins auprès de familles de vignerons. « Nos raisins proviennent majoritairement de la côte des Blancs et de la montagne de Reims », décrit Julia Prévost, responsable marketing de la marque. Les champagnes Napoléon sont issus d’un assemblage harmonieux de deux cépages que sont le chardonnay et le pinot noir. Côté vinification, la maison opte pour un élevage en cuve inox plutôt qu’en fût de chêne. « La vinification en cuve permet à nos champagnes de conserver une belle minéralité à la dégustation. » Si l’appellation Champagne impose 15 mois minimum pour les cuvées non millésimées, Champagne Napoléon s’impose un minimum de 36 mois pour parfaire le vieillissement de ses vins. « Ce temps de vieillissement peut atteindre jusqu’à 10 ans en cave pour les millésimes », précise notre interlocutrice. Des vins d’un autre temps À travers sa gamme œnothèque, la maison Napoléon propose aux œnophiles une collection unique de vieux millésimes. Il s’agit de champagnes en édition limitée dont la particularité varie d’un millésime à l’autre. « Actuellement, ce sont les millésimes 1992, 1996 et 1998 que nous mettons en vente via notre boutique en ligne », précise Julia Prévost. La maison souhaite ainsi rendre accessibles au public des produits jusque-là considérés comme « élitistes ». Cette gamme a pour objectif de prouver l’impact du dosage sur un champagne et se décline en deux expressions : Œnothèque originelle (dosages d’autrefois) et Œnothèque Dosage récent (dosée en 2018, lancement en novembre 2018) avec nouvel habillage. En parallèle, quatre cuvées sont également proposées : Tradition, Blanc de blancs, Rosé et Millésime 2004. La cuvée Tradition est sans conteste celle qui représente le mieux la maison. Élaboré à partir de 50 % de chardonnay et de 50 % de pinot noir, ce champagne a vieilli en cave près de 4 ans. Il se distingue par un mélange d’arômes de pâtisserie, de fruits exotiques et de fruits jaunes. En bouche, la magie s’opère grâce à l’équilibre parfait entre la fraicheur du chardonnay et la puissance du pinot noir. Cette cuvée est recommandée pour l’apéritif et accompagne idéalement des plats de viandes. ...
Situé à quelques enjambées de la maison de la Radio, le restaurant Chaumette continue d’honorer l’art culinaire traditionnel français. Une valeur qui a fait de la maison un endroit unique en son genre. Un vestige du siècle dernier Caché derrière une authentique façade en bois se trouve le restaurant Chaumette. À l’intérieur règne une ambiance rétro, bon enfant et chaleureuse. Le décor, propre aux bistrots des années 1930, réveille un sentiment de nostalgie et de bien-être : boiseries, petites tables serrées. Ici sont suspendues des photos anciennes. Et là trônent des cadres dédicacés, où l’on peut lire des lignes élogieuses à faire pâlir d’envie n’importe quel restaurateur. La preuve que Chaumette a été l’endroit coup de cœur de plusieurs personnalités comme Édith Piaf, Arletty, Jacques Brel ou Joséphine Baker. Un haut lieu de la cuisine traditionnelle française Vincent Spirito et son équipe conservent le concept qui a su séduire les convives du restaurant Chaumette durant presque huit décennies : une cuisine traditionnelle française et faite maison, des ingrédients frais et de qualité issus en majeure partie de filières françaises. Savourez en entrée une terrine de foie gras de canard, confiture d'oignons ou du vol-au-vent d'escargots crème de champignons. En plat, passer à côté du pot-au-feu, l’emblème incontournable du restaurant depuis sa création, serait bien dommage. Mais cela n’empêche pas de se laisser éblouir par d’autres spécialités : noix de ris de veau, blanquette de veau, rognon de veau à la moutarde de Meaux, civet de sanglier, pigeon rôti découpé sur toast à la farce d'abats… Et au dessert aussi, quelques classiques sont au rendez-vous : millefeuille à la vanille bourbon, soufflé au chocolat... Côté cave, Chaumette privilégie les vignerons indépendants et ceux qui ont une démarche globale de respect de l’environnement et des méthodes de production. Les vins bio voire nature sont mis à l'honneur sur l'ensemble des vignobles mais particulièrement en Languedoc, Loire, Rhône... ...
Initialement appelée Air España, Air Europa Líneas Aéreas fut la première compagnie aérienne privée espagnole à réaliser des vols réguliers en Espagne. Depuis le début des années 2000, elle n’a cessé de déployer ses opérations à l’international au départ de l’Espagne vers les pays latino-américains en assurant des connections via Madrid avec la plupart des capitales européennes dont Paris. Ainsi, au départ d’Orly, la compagnie offre des horaires et toute une gamme de prix compétitifs sur les grandes capitales latino-américaines et destinations loisir comme la Havane, Cancun, Saint-Domingue et Punta Cana. Gravir les échelons dans une démarche responsable et durable Air Europa est à l’origine une entreprise familiale. En 1991, Juan José Hidalgo fait l’acquisition de la compagnie en s’associant avec un groupe d’investisseurs. Par la suite, l’entreprise a pu lancer son premier vol domestique via une compagnie privée en Espagne. Air Europa se développe progressivement au fil du temps jusqu’en 1996, où elle réussit à opérer son premier vol long-courrier entre Madrid et New York. Un pas significatif dans l’accroissement de sa notoriété. Une autre étape importante de son développement est son adhésion à l’Alliance SkyTeam en 2007. « L’Alliance SkyTeam est la première Alliance aérienne mondiale et nos passagers bénéficient ainsi des produits, des offres, des avantages et des réseaux des différentes compagnies formant la Skyteam », indique Vincent Verdonck. Par ailleurs, Air Europa est fortement engagée dans la préservation de l’environnement. « De 2012 à nos jours, c’est la seule compagnie aérienne espagnole à disposer de la certification EMAS », spécifie Lilian Guillemin, attachée commerciale-marketing en France. Le règlement EMAS (Eco Management and Audit Scheme) repose essentiellement sur la norme ISO 14001 qui exige que l’organisation concernée améliore constamment ses performances environnementales. Dans cette optique, Air Europa s’efforce de cadrer ses actions avec les objectifs de développement durable visés par la Commission européenne, afin de maitriser les impacts de ses activités sur l’environnement. Une flotte qui s’inscrit dans l’air du temps Si la compagnie peut aujourd’hui opérer vers différentes destinations dans le monde, c’est grâce à sa flotte moderne et variée. Le Boeing 737-800 est l’avion qui est principalement utilisé sur les routes court et moyen-courriers ; la flotte en compte 21. Pour les vols long-courriers, on distingue les Airbus 330, les Boeing Dreamliner787-8 et 787-9. Le Boeing Dreamliner peut accueillir près de 300 passagers avec une portée de 14 700 km. Notons aussi que les Boeing Dreamliner font partie des récentes acquisitions de la compagnie, sachant qu’ils répondent parfaitement aux exigences liées à la baisse de la consommation d’énergie pour un meilleur respect de l’environnement. D’ici à l’horizon 2021/22, l’intégralité de la flotte long-courriers sera composée de ces avions de dernière génération. Un vol confortable et entièrement sécurisé A bord, tout est pensé pour rendre le voyage aussi agréable que possible : confort, divertissements, service du personnel de bord, menus… tous les plaisirs sont réunis. Les Boeing Dreamliner sont équipés d’un système de filtration permet de purifier l’air à 100 %, ce qui exclut définitivement les bactéries ainsi que toute odeur désagréable et réduit la sécheresse. La cabine est moins pressurisée afin de favoriser l’absorption d’oxygène et offrir un maximum de bien-être. Toujours dans cette quête de confort, les espaces entre les fauteuils sont également élargis. D’ailleurs, la compagnie va déployer la configuration 1-2-1 en cabine business pour permettre à chaque passager d’accéder au couloir sans déranger son voisin. Ce n’est pas tout : l’intérieur du Dreamliner est plus lumineux grâce à ses hublots agrandis de 30 %. Les menus ont ét&...
L’histoire du domaine remonte aux XVIème siècle. Il fut d’abord la propriété de la famille du Comte du Périer de Larsan qui y a véritablement forgé l’histoire du domaine. Puis a ensuite été la propriété de la famille de Montesquiou / David-Weill. La famille FLAGEUL rachète finalement la propriété en 1975 et l’agrandit en même temps. Quasiment historique dans la région, dès 1874, le Guide Féret sur Bordeaux et ses vins consacre déjà le vignoble comme l’un des meilleurs de l’appellation. Les vins du Château Brillette sont reconnus pour leur goût authentique, un mariage de fruits et d’épices. Avec un sol constitué d’un tiers d’argile, de galets et de graviers, le vignoble s’étend en partie sur des parcelles de « graves », spécificités géologiques de la région. En ce qui concerne les cépages, ils sont composés à 60% de Cabernet Sauvignon et le reste de Merlot et de Petit Verdot. Le vignoble n’utilise ni engrais chimique ni insecticides. La pratique de la culture y est raisonnée et manuelle. Le domaine garde un savoir-faire traditionnel héritage de son histoire glorieuse. C’est grâce à cette manière de travailler que depuis 2018, le château a acquis la plus haute labellisation en la matière puisqu’il est certifié HVE-3 (Haute Valeur Environnementale). L’utilisation de produits testés sur les animaux ou qui mettent les animaux en danger y est ainsi proscrite et une partie de la production est même certifiée végan. La vigne fonctionne dans un écosystème privilégié. Avec un climat bordelais océanique porté par l’Atlantique, les raisins obtiennent une belle maturité. L’élevage et les vendanges Les vendanges se font pendant trois semaines, précisément entre le 25 Septembre et le 15 Octobre de l’année. La vinification est toujours traditionnelle, et le vin est très peu travaillé pour lui donner un goût intense naturellement. Ce vin de terroir a une typicité qui se retrouve dans le même type de vin même s’ils changent de directeur ou de Maître de chais. Sur le domaine, ce sont 15 personnes qui travaillent en permanence et pendant les vendanges, cela peut aller jusqu’à 60 personnes. En ce qui concerne l’élevage, qui se fait en général sur une période de 12 mois, l’équipe fait la récolte, vinifie et procède à la macération post fermentaire. Pendant 10 jours, le vin est extrait, on sépare le marc du jus et tous les vins partent en barrique. Pour ne pas avoir un goût boisé dans le vin, les barriques sont peu chauffées. Le Maître de chais collabore étroitement avec l’œnologue reconnu Eric Boissenot dans l’assemblage de certaines cuvées. Des vins d’exception au cœur de l’appellation Parmi les vins produits sur le domaine qui se démarquent particulièrement, on retrouve la bouteille « Haut Brillette ». Un vin à base dominante de merlot assorti à du Cabernet Sauvignon et de Petit Verdot selon les années. C’est un vin frais et très fruité en bouche. Il est issu principalement de jeunes vignes et met en avant le terroir constitué de graves de Günz et d’argile. Autre vin à découvrir également, le Château Brillette qui jouit d’une palette typée de fruits noirs, d’épices et d’un boisé subtil. Composé de trois cépages, du Cabernet Sauvignon, du Merlot et selon les saisons du Petit Verdot, c’est un vin de couleur noire car les couleurs restent assez longtemps. Au niveau du nez, on ressent une note de fruit, avec un goût particulier mentholé et d’eucalyptus. A la dégustation, il accompagne les viandes, la charcuterie, le fromage ou encore les plats thaïlandais épicés. Les vins du Château Brillette se dégustent au bout de 5 ans et possèdent une bonne garde de 15 à 20 ans. On peut les retrouver sur de grandes tables comme Chez René, Fontaine de Mars, Chez André rue Marbeuf, Stella ou Sebillon. Ils sont aussi présents chez de grands cavistes reconnus comme La Vignery. Le domaine produit plus de 160.000 bouteilles par an principalement destinées au marché local mais aussi exportées vers la Martinique, la Guadeloupe...
Marrakech, ville au patrimoine historique d’exception, se distingue par sa place Jemaa El Fna, son jardin Majorelle, son Palais de la Bahia, sa Koutoubia, sa Ménara, son palais El Badi, sa Palmeraie… Le décor de rêve Avec les feux de camp, les lumières tamisées et les chandelles, derrière les remparts et les portes en arcades, l’environnement autour de la piscine, Selman Marrakech se prête à toutes les envies. Cosy, ébloui par des lumières dans un cadre des plus idylliques, à trois heures dix de vol de Paris, le Selman Marrakech offre un emplacement privilégié pour les manifestations d’entreprise et les fêtes. L’établissement séduit par son harmonie intemporelle et éveille l’imaginaire orientaliste, pour inspirer des instants purement inoubliables. Les team-building ou fêtes, l’escapade à proximité Au Selman Marrakech, tous les aménagements ont été réalisés pour offrir un confort optimal lors des événements. L’écrin naturel, baigné en toile de fond par l’Atlas, vaut le détour. La flexibilité unique des espaces intérieurs et extérieurs du Selman Marrakech permet d’organiser tous types d’événements. Le décor se prête au moindre désir des convives. Pour un dîner de gala, un anniversaire, un enterrement de vie de jeune fille, un mariage, une soirée de lancement ou événementielle, un team building ou une réunion d’affaires, le Selman Marrakech incarne le raffinement et l’excellence du service et fait de tout événement un moment des plus exceptionnels. Pour les manifestations professionnelles, type team-building, ou pour les fêtes, l’environnement naturel ouvert sur les montagnes de l’Atlas et la présence du haras avec ses pur-sang arabes du Selman Arabians. Les jardins, avec leurs cinq paddocks entourés de baldaquins, la magnificence des lieux et les chevaux lâchés en liberté raniment les passions pour le plus grand plaisir des hôtes. Pour des team-building des plus impressionnants, le ballet magnifique des étalons donne tout son sens et sa magie au Selman Marrakech, où tout est pensé pour faire vivre aux hôtes une expérience unique au monde. ...
Il crée une agence de voyages réceptive, Mont Saint Michel Voyages dans le but d’offrir un accueil et des prestations d’une qualité, à tous égards, à la hauteur de ce site hors du commun. Ce projet audacieux se justifie par la dégradation galopante de l’aura de ce site à travers le monde suite aux conditions d’accueil contestables dans tous les sens du terme. Disons tout de suite que cette obsession de l’initiateur du projet se révélera prémonitoire lorsque débarqueront sur le Mont les instances chargées de la « requalification de l’accueil » dernière étape du grand projet de rétablissement du caractère maritime. Cette agence a pour but d’organiser accueil, visites, séjours, circuits destinés à découvrir le site et sa région. Très vite, la direction de l’agence comprenant que sa réputation était largement entachée par la qualité contestable de la restauration offerte à ses clients et naturellement sous-traitée, décide de créer son propre restaurant, conforme à ses conceptions : c’est ainsi que nait La Ferme St Michel, aménagée dans une ancienne ferme des polders, implantée à l’arrivée au Mont, dernier vestige d’une ruralité en voie de disparition juste avant le Las Vegas, faubourg du Mont. Afin de mieux décrire cette nouvelle aventure, répondons aux questions du visiteur : Pourquoi cet ensemble sous l’égide du groupe familial Baie Mont et Merveilles ? La création d’une structure touristique offrant des prestations éclectiques, implique la collaboration et la participation de métiers très divers pour obtenir une cohérence et une adhésion aux valeurs de base présidant à l’exercice du métier. Les différents acteurs doivent accepter le principe d’un minimum de fédération. Par ailleurs, s’agissant de petites structures dans ce monde de la concentration autour de grosses structures, leur survie implique un regroupement. On y retrouvera les filiales familiales et des acteurs extérieurs. Quelles activités sont pratiquées et offertes aux clients ? La panoplie est large : tout d’abord des prestations « sèches » : hébergement, restauration, visites, activités religieuses, culturelles, sportives, ludiques. Puis des séjours complets pour des couples ou des groupes, des circuits à thèmes ou de découvertes, des conférences et des visites… Mais où se situe la différence avec l’existant et le banal ? Tel l’a voulu son créateur, quelques mots clés : aller à contre courant, cultiver la différence, à savoir sortir de la banalité, - respecter l’authenticité, les valeurs, l’histoire, le passé, la nature … - adapter les propositions à la sensibilité, au souhait du client : du sur-mesure ! Quelles sont les qualités dominantes de la prestation ? - Le souci de la qualité voire de la perfection, le soin du détail, l’exigence de la rigueur et un professionnalisme sans conteste. Pour quels clients ? - Des couples, retraités, familles, associations, entreprises pour des repas et séminaires, rencontres de promotions de grandes écoles, jumelages de villes. - nombreux autocaristes et agences de voyages. - administrations, écoles militaires, groupement d’officiers de réserve, les telecom, villes, collectivités - groupes industriels : pharmacie, agro alimentaire, bâtiment, travaux publics… ...
À l’angle de la rue de la Ville-en-Bois et de la rue Nicolas-Appert, à quelques pas de la place Canclaux, La Table de Yo séduit par son décor unique et humble. À l’extérieur, l’enseigne grise et la grande ardoise verte attirent spontanément le regard des passants. Une fois à l’intérieur, la salle dégage une délicatesse qui fait que l’on s’y sent immédiatement bien. La décoration de la salle reflète une harmonie parfaite entre le moderne et le vintage. Les murs en pierres apparentes et les meubles en formica apportent une petite touche rétro tandis que le zinc, qui recouvre le bar, fait ressortir le côté cosy et chic du lieu. Les luminaires subtilement disposés à travers la salle créent une ambiance chaleureuse et conviviale. Et la petite touche musicale en fond sonore apporte un sentiment d’apaisement, de détente et de joie. Cuisine savoureuse et respect des produits Lieu de retrouvailles des habitués du quartier, La Table de Yo propose une cuisine à la fois simple et inventive pour séduire les palais nantais. Affichés à l’ardoise, les plats se déclinent en plusieurs choix pour satisfaire tous les gouts. Ainsi, les convives pourront opter entre 4 entrées, 4 plats et 3 desserts sans oublier les fromages fournis par le fromager du quartier. Pour débuter ce voyage culinaire, le gloire à l’œuf ou le millefeuille d’asperges à la coppa attendent d’être dégustés. En plat de résistance : le risotto, l’entrecôte du chef ou le poisson du marché accompagné par des betteraves et des petits pois primeurs donne l’eau à la bouche. Et en dessert : le fameux yodélice, la mousse d’avocat tartare de kiwi et le cœur coulant, légo croquant. Le tout à savourer sur la terrasse, en salle ou sur le comptoir. Yolaine Briec, la propriétaire, veille particulièrement à ce que les produits utilisés soient frais et issus au maximum des producteurs locaux. Fièrement, elle affiche le « fait maison », y compris pour le pain. Raison pour laquelle l’ardoise change quotidiennement et évolue au gré des saisons et des inspirations de Frédéric Legal. La cuisine de ce chef passionné conjugue alors la tradition avec une pointe de créativité. Il réussit à interpréter les grands classiques en y ajoutant quelques notes plus modernes rendant sa cuisine savoureuse, authentique, sans dévier de la belle simplicité qui fait la réputation de la maison. Fidèle à la philosophie de l’établissement, le chef Legal travaille le produit pour qu’il puisse révéler sa plus belle expression. Yolaine : artiste à multiples facettes À part la qualité de sa cuisine, La Table de Yo se démarque par la qualité de son accueil. Il s’agit là de la première marque d’attention qu’un restaurant doit accorder à ses convives. Grâce à ses nombreuses années d’expérience dans la restauration, Yolaine Briec l’a bien compris et le maitrise à la perfection. Ainsi, avec aisance et simplicité, elle prend en main ses convives, habitués ou non, de façon à ce qu’ils se sentent comme chez eux. Douée avec les mots, Yolaine Briec est aussi dotée d’un esprit créatif. Pour preuve : elle s’est occupée elle-même de la décoration de son restaurant. Ce qui n’a rien d’étonnant puisque la propriétaire a envisagé, à un certain moment de sa vie, de se lancer dans la décoration. En outre, elle ne reste pas seulement spectatrice en cuisine. Elle est toujours là pour apporter son petit grain de sel au menu et veille au respect de la qualité des plats. ...
Installée dans la région depuis près de 400 ans, la famille Maillet a toujours travaillé la terre ou la vigne. Afin de perpétuer la tradition, Pierre Maillet reprend en 2004 le domaine créé par son grand-père, pharmacien à Mâcon il y a une centaine d’années. Une équipe passionnée À l’origine, Pierre Maillet était membre d’une cave coopérative. Mais, en 2014, l’ancien radiologue reconverti en vigneron décide de voler de ses propres ailes et de gagner en indépendance en sortant de cette coopérative. Pour mener à bien son projet, il investit dans des cuves et des matériels de vinification de dernière génération. De là nait le Domaine de la Jobeline. En bon dirigeant, Pierre Maillet s’occupe de la communication et du volet commercial. Caroline Maillet, l’épouse de Pierre, est responsable de l’administration. Le couple est épaulé par Laurent Alexandre, le chef d’exploitation chargé de la culture des vignes, de la vinification et de l’entretien de la cuverie. Grâce à la passion, à la volonté et à un travail acharné, cette équipe a permis au Domaine de la Jobeline de se faire un nom dans le paysage viticole de la région. Une agriculture raisonnée Orientées de l’est au sud, les vignes sont étagées de 300 à 400 m d’altitude. Leur excellente situation géographique leur procure un fort ensoleillement durant la journée, de l’air frais la nuit et une bonne ventilation. Plantées sur diverses parcelles, elles sont âgées de 25 ans en moyenne. Elles sont implantées sur un sol riche à composition argilo-calcaire et sont situées sur des coteaux bien drainés et modérément pentus. Le domaine d’une superficie de 11 hectares, avec une densité de plantation de 8 000 pieds par hectare, produit environ 550 hectolitres par an. La culture est menée de façon raisonnée, avec maitrise des rendements. Cette démarche s’accompagne de l’usage limité des intrants chimiques, de la valorisation des engrais naturels, de l’aération du sol par des labours et du respect des cycles biologiques. Les conditions climatiques favorables, les matériels de dernière génération comme les pompes péristaltiques, le pressoir pneumatique et les cuves thermorégulées en inox ont permis au Domaine de la Jobeline de produire des vins d’excellence. Un important palmarès Grâce aux efforts du trio Pierre-Caroline-Laurent, les vins du domaine ont acquis une belle réputation, s’illustrant au travers des nombreuses récompenses qu’ils ont obtenues. Dernièrement, le Mâcon-Villages 2014 a obtenu une médaille d’or lors du Concours international Gilbert et Gaillard 2016. Avec sa robe or éclatant, ce vin possède un nez équilibré et expressif, avec des notes florales et minérales. En bouche, il est structuré et précis. Parfait pour accompagner les poissons, les volailles ou les fromages de chèvre. Au même concours, le Mâcon Verzé blanc « en Prévisy » 2014 a également remporté une médaille d’or. Il a aussi été récompensé d'une médaille d'argent au Decanter World Wine Awards 2016. Ce vin de garde riche accompagne, quant à lui, les quenelles en sauce, les poissons, les viandes blanches et les fromages de type pâtes persillées ou le comté. ...
Ouvert depuis 1999, le restaurant La Casa dell’estelle vous accueille dans une ambiance résolument cosy. Dans une déco sobre, de superbes photos en noir et blanc ornent les murs : photos évoquant le cinéma italien des années 1960, photos d’acteurs venus au restaurant... Une musique jazzy accompagne avec délicatesse les repas. La terrasse chauffée est aussi très appréciée, hiver comme été. Ici, tout est fait maison, même les desserts, à l’exception des boules de glace réalisées par un artisan glacier. L’équipe de cuisiniers, aime concocter de nouveaux plats dans le respect de la gastronomie traditionnelle italienne, qu’elle fait découvrir aux clients tout au long de l’année. Le guide Le Petit Futé a sélectionné La Casa dell’estelle parmi ses restaurants préférés. Le Collège culinaire de France (créé en 2011 et co-présidé par Alain Ducasse et Joël Robuchon) a octroyé le label « Restaurant de qualité » à La Casa dell’estelle pour la qualité de sa cuisine, son accueil et son service. Le restaurant la Casa dell'estelle a été sélectionnée pour la 2ème année consécutive pour faire partie du Guide Best restaurants Paris (2017, 2018). Une carte 100 % italienne La carte présente une grande diversité de salades, de carpaccios, de plats, de pizzas et de desserts. Parmi les plats proposés, on notera les linguine aux truffes, le sauté de gambas et de noix de Saint-Jacques avec concassé de tomates et les pâtes aux cèpes et foie gras. Mais vous serez aussi conquis par les raviolis farcis de ricotta et roquette avec leur crème légère, servis sur un lit de roquette, ou encore par la scaloppina de noix de veau (origine France) poêlée aux morilles. Pour tous ceux qui aiment la pizza et qui ont un petit appétit, le restaurant innove avec la demi-pizza accompagnée d’une salade, comme la salade de roquette avec copeaux de parmesan et pignons de pin grillés. En dessert, les célèbres panna cotta et tiramisù sont, bien sûr, au rendez-vous. Chaque jour, un menu (plat et dessert) est proposé avec suggestion d’un vin au verre. Le client peut ainsi découvrir des recettes originales et savoureuses. Des vins principalement italiens La carte des vins met particulièrement l’accent sur les vins italiens comme le Brunello di Montalcino, le Barolo et le Montepulciano d’Abruzzo. Mais vous pourrez également accompagner votre repas d’un Chardonnay ou déguster un champagne Pommery. Privatisation de la salle La petite salle du restaurant (de 12 à 18 couverts) peut être privatisée pour organiser un anniversaire, un diner d’affaires ou pour prolonger un séminaire. À cette occasion est offert à chaque convive en souvenir un menu personnalisé avec logo. De même, vous pouvez réserver une partie de la grande salle (jusqu’à 30 couverts). L’espace sera astucieusement divisé grâce aux banquettes pour préserver votre intimité. Le restaurant peut également être privatisé en totalité. ...
Aller vers l’autre, conjuguer les atouts pour aller plus loin tout en respectant un terroir aimé : c’est un peu le mantra qui fait avancer les hommes et les femmes de ce domaine authentique. Une histoire de rencontre et de valeurs partagées La famille de Jean-Christophe Dumas – cultivateurs et récolteurs de vignes – est implantée dans le piémont cévenol depuis plus de 5 générations. En 2017, le domaine de la Vaillère en association avec Sébastien Plagne, un jeune visionnaire passionné de vinification et d’œnologie se lance dans l’élaboration d’une gamme de vins plus complexes. Depuis, dans le chai, une petite équipe passionnée s’est formée, récoltant Cinsault, Grenache, Carignan, Cabernet, ou encore Chardonnay pour produire des vins fruités et imaginer de délicats assemblages. Dans les caves du domaine… Lorsqu’elle travaille sa vigne, la maison privilégie la recherche perpétuelle de la qualité, à travers la rigueur et l’innovation. L’alignement des pratiques aux exigences des labels illustre également son engagement pour l’environnement. « Depuis le début de l’année, on est en Terra Vitis », précise J.-C. Dumas. L’adaptation des étapes de l’élevage pour aboutir à la réduction des sulfites, voire leur suppression, révèle un savoir-faire minutieux et la volonté de s’engager dans le développement durable. Le rouge-merlot Obstiné 2018 et le blanc Chardonnay 2019 sont les premiers symboles de cette démarche. Les procédures de certification bio sont en cours depuis le 1er août. Si le maître des lieux évoque son domaine avec une certaine modestie, quelques-uns de ses vins ont déjà été récompensés. C’est le cas de Grand Pré, cuvées 2018, 2019, un rouge grenache-syrah-carignan, caressant et harmonieux en bouche et deux fois médaillés d’or au concours général agricole de 2019 puis 2020. La cave du domaine recèle d’autres pépites comme Gabriel, également médaillé d’or en 2018 et 2019 et Viognier - 2 étoiles au guide Hachette des vins. Mais le coup de cœur de Jean-Christophe Dumas va à un certain Futé, un vin vinifié avec 100% de Carignan qui a fait un bref passage en fût. Un cépage qui était largement répandu en Languedoc et qui de nos jours se fait beaucoup plus rare. Les références de vins du domaine de la Vaillère se retrouvent sur les bonnes tables de la région. ...
Situé aux portes du Verdon à seulement trente minutes des côtes varoises, le Restaurant Le Nid a ouvert ses portes au public en 2015, à l’initiative du couple Émilie et Davy Jobard. Postée sur la route de grands domaines de vins dans le charmant village provençal de Flayosc, on peut dire que cette ancienne pizzeria a plutôt réussi son incroyable reconversion. Un établissement au nom évocateur Sous des dehors de pépinière gourmande, à la table un chouïa bourgeoise, cet établissement au nom évocateur baigne dans une ambiance intimiste, à l’image d’un parfait nid douillet, où le jeune couple de cuisiniers a bien pris ses marques. Dans un cadre cosy où émane une belle convivialité, ce restaurant au service agréable séduit par son ambiance feutrée dans laquelle on aime se retrouver en famille ou en amoureux, à la recherche de détente et de bien-être. Oui, il faut dire que la cuisine faite minute et bien tournée du chef, combinée avec l’accueil personnalisé de la maîtresse des lieux, y sont pour beaucoup. Une cuisine de marché au fil des saisons Très belle enseigne pour amoureux, le Restaurant Le Nid est un haut lieu de restauration où les compétences et l’expérience de deux talents se valent et se complètent en parfaite osmose. À travers une cuisine de marché au fil des saisons, concoctée à base de produits qui mettent à l’honneur le savoir-faire de petits producteurs locaux, le lieu nous embarque dans une farandole d’authentiques saveurs provençales comme on les aime. ...
Petite auberge familiale à l’origine, sa création remonte aux années 20 à l’initiative de Roger Théron et Marthe David (qui fait partie des decouvreurs de la grotte de Pech Merle). Depuis, plusieurs générations de la famille Théron se sont succédées jusqu'à Nicolas et Clélia qui reprennent l'établissement en 2012. Un petit hôtel aux mille facettes De la chambre double à la chambre familiale avec balcon, les quinze chambres de l’hôtel ont une vue imprenable sur la rivière, la piscine extérieure, les falaises ou le château de Cabrerets. « Le petit-déjeuner gourmand à base de produits locaux se prend en toute tranquillité en terrasse avec vue sur la rivière », confie Clelia Leroux, la gérante. Outre la salle de réunion, le salon commun propose d’autres divertissements comme la télévision, des livres et des jeux pour enfant. Aux alentours, « les clients peuvent s’adonner aux randonnées pédestres ou équestres », rajoute la gérante. Des canoës et kayaks feront, entre autres, le bonheur des passionnés de sports nautiques, tandis que les plus téméraires pourront s’adonner au VTT et VTC sur plusieurs circuits disponibles entre Lot et Célé. Quant aux œnophiles, « ils pourront découvrir les vignobles de Cahors qui se trouvent à une petite heure de chez nous », précise notre interlocutrice. Après les promenades, place à la gourmandise Construit directement au pied de la falaise de Rochecourbe, le restaurant de l’Hôtel des Grottes abrite des trésors culinaires incomparables. Aux fourneaux, le chef concocte des plats traditionnels qui mettent à l'honneur les saveurs des produits locaux et les spécialités quercynoises comme la charcuterie artisanale, le confit de canard maison et la tarte au caramel et aux noix qui tiennent le haut de l’affiche. Quant à la spécialité du chef, c'est l’agneau de 7 heures: un agneau fermier du quercy confit au four pendant sept heures. " Nous proposons aussi un menu enfant, un menu végétarien et un menu autour des produits tripiers comme les cœurs de canard ou les ris d'agneaux persillés pour satisfaire toutes les envies » assure Nicolas Théron. Pour accompagner ses différents plats, la maison met à disposition des convives une large référence de vins régionaux, notamment des AOC Cahors telles que le Clos Triguedina et le Château du Cèdre. ...
À l’échelle internationale, c’est la Belgique entière qui s’est forgé une image de destination de pointe pour les congrès et les réunions d’affaires. Les infrastructures dont disposent les villes flamandes de Gand, de Bruges et d'Anvers y contribuent largement. Le secteur des professionnels de l’évènementiel en Flandre montre d’ailleurs beaucoup de dynamisme dans la rénovation et la création de nouveaux dispositifs. Un large choix de sites de congrès « Après l’ouverture du tout nouveau centre des congrès d’Anvers, c’est au tour de Bruges de se lancer dans la construction d’infrastructures adaptées à ce marché, tandis que Gand, déjà bien positionnée dans l’accueil de grands évènements internationaux, compte rénover son principal site », déclare Pascale Schuddings, Directrice pour l’Europe Francophone de VISITFLANDERS, l’office de tourisme de Flandre et Bruxelles. Il est vrai que la Flandre détient un palmarès fourni, en matière de lieux d’accueil de congrès et d’événements professionnels. Ils se déclinent dans un large panel de styles pour une adéquation parfaite avec les recherches de la clientèle. Avant-garde ou Art nouveau, contemporain ou médiéval, moderne ou historique, classique ou plus décalé, chaque lieu garantit de répondre à toutes les gammes d’attente. Avec, à chaque fois, la possibilité d’investir un espace à la taille de son événement : plus grand, plus intime ou modulable. Le Flanders Meeting and Convention Center à Anvers Le FMCCA illustre parfaitement la haute technicité des infrastructures que la Flandre peut proposer. Il bénéficie d’une situation privilégiée à quelques minutes du centre-ville, dans une zone de basses émissions, de surcroît. Anvers est elle-même avantageusement desservie par le réseau ferroviaire depuis Cologne, Amsterdam, Londres et Paris. Le centre allie à la perfection technologie et authenticité historique. Les 2 100 m² de l’atrium ouvrent, au rez-de-chaussée, sur une vingtaine de salles de réunion incrustées dans une structure d’une beauté architecturale saisissante. La salle de réunion VIP Bugatti Hall est, ainsi, rehaussée des œuvres du fameux sculpteur éponyme. Les autres niveaux de cet immense complexe comptent bien d’autres espaces – près de 20 000 m² en tout –, certains récemment aménagés selon les exigences les plus pointues de notre époque. Matériaux durables et dispositifs d’efficacité énergétique à la clé. Le tourisme de congrès à l’honneur à Bruges En tant que destination de congrès, Bruges affiche une affinité particulière avec quelques secteurs en croissance. Médecine, culture et tourisme, port et logistique, mécatronique et TIC sont les spécialités prioritairement ciblées par les établissements réceptifs. Le nouveau centre de congrès, dont le démarrage du chantier est prévu en 2018, mobilisera le talent d’architectes de gabarit international. Avec une capacité prévue pour 600 personnes, il abritera 4 500 m² d’espaces d’exposition. En attendant, la ville déploie déjà une large offre de lieux modulables selon les besoins de chaque événement. Avec des références comme le VIVES Campus Brugge ou le Congrescentrum Oud Sint-Jan. Gand et son centre de congrès international Le plus important établissement d’accueil de congrès de Gand profite d’un emplacement unique au sein du parc de la Citadelle. Cet ensemble de 17 000 m² aménagé dans un écrin de verdure peut accueillir jusqu’à 5 000 personnes dans ses 25 salles polyvalentes. Les organisations ayant à cœur de mettre en avant leur engagement pour l’environnement trouveront ici l’endroit idéal pour faire écho à leur conviction. Énergie renouvelable pour l’alimentation des moyens de communication et autres solutions vertes dans l’organisation des événements constituent la signature de l’adresse. ...
Installé dans les locaux d’un ancien cinéma des années trente, appelé « Le Familia », le Théâtre du Pont Tournant représente aujourd’hui un haut lieu de la culture bordelaise. Dans ce quartier populaire de Bacalan, cette structure est devenue l’un des lieux les plus réputés en Aquitaine dans la création et la diffusion de spectacle vivant. Le théâtre en quelques mots Dans les années soixante, l’arrivée des multiplex sonne le glas pour « Le Familia » qui se voit obligé de mettre les clés sous la porte. Quelque temps après, c’est au tour des papeteries La Couronne d’investir la salle de projection. C’est en recherchant un local pour la compagnie Pygmalions que Stéphane Alvarez et son épouse, Carole Pierret, découvrent par hasard ce bel endroit qui leur servira d’abri. Ils succombent instantanément aux charmes de la bâtisse. Nous sommes en 1998. Le couple et toute l’équipe ont depuis œuvré pour faire renaître l’âme culturelle des lieux. Si le quartier était autrefois déserté par les Bordelais, ce n’est plus le cas aujourd’hui. Le théâtre est devenu un rendez-vous privilégié des férus de culture dans lequel ils retrouvent une certaine mixité générationnelle et sociale. Une programmation riche et variée Misant sur la pluridisciplinarité, le Théâtre du Pont Tournant tient à cœur de proposer aux spectateurs une programmation de qualité. Le catalogue de la compagnie présente une programmation variée allant des pièces du répertoire classique comme Molière aux auteurs les plus contemporains à l’instar de Pierre Notte. Ce dernier va d’ailleurs débarquer dans les mois qui viennent sur les planches du Théâtre du Pont Tournant avec sa toute nouvelle pièce, La nostalgie des blattes. La compagnie a également réalisé quelques pièces reconnues comme Paroles de poilus qui a été tournée non seulement en France mais aussi à l’étranger. En outre, de nombreuses pièces de théâtre à succès ont été déjà présentées dont celles de Romain Bouteille, Pierret Étaix, Rufus, Daniel Mesguich, Dreyfus, Philippe Caubère, Jango Édouard... ...
Le vignoble Saint-Émilion couvre environ 5 400 hectares de terrains et est encépagé de 60 % de merlot, de 30 % de cabernet franc et de 10 % de cabernet sauvignon. Il se trouve sur des terroirs calcaires, argilo-limoneux, sableux et bénéficie d’un climat doux et tempéré. L’AOC Saint-Émilion, inscrit au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO, est une subdivision du Libournais. Elle comprend les appellations Saint-Émilion simple et Saint-Émilion Grand Cru, cette dernière regroupe elle-même les grands crus classés A et B, sa plus haute distinction, et les grands crus classés, sa seconde. Le classement Saint-Émilion Grand Cru existe depuis 1955 et se renouvèle tous les 10 ans. Ces vins sont complexes, charpentés avec une bonne longueur aromatique en bouche. Leur production demande une plus grande attention et des conditions plus rigoureuses par rapport aux vins d’AOC Saint-Émilion simple. Le Château La Gaffelière, un vinificateur de vins fins et élégants Ce vignoble est encépagé majoritairement de merlot, à coté duquel on trouve du cabernet franc. Depuis la création du Château La Gaffelière jusqu’à nos jours, la famille Malet Roquefort y accorde une attention particulière. Pour cela, elle y vit afin de contrôler en permanence son système de production. La famille Malet Roquefort, respectueuse de l’environnement, est une fervente défenseuse de l’agriculture raisonnée. Tout le travail de la vigne se fait selon des méthodes traditionnelles, en utilisant des produits bio. « On travaille des parcelles avec un cheval et on exige des produits bio pour le traitement des vignes », explique Françoise Morice, une représentante du Château. Le Château La Gaffelière, un vin fruité avec un boisé harmonieux Le Château La Gaffelière est un premier Grand Cru classé de Saint-Émilion qui a une capacité de garde de plus de 25 ans. Il est connu pour sa longueur en bouche et pour s’accorder parfaitement avec des côtes de bœuf et des mets à base de gibier, de fromage et de viande rouge. Millésime 2009 : à l’œil, il est de couleur violette profonde. Au nez, il est intense et on sent ses arômes fruités. En bouche, il est complexe, rond, suave, avec un boisé harmonieux. Millésime 2010 : il charme à l’œil par sa couleur grenat et au nez par ses expressions de fruits mûrs. En bouche, il est moyennement complexe, sec et très léger, avec une touche boisée. Millésime 2014 : il a une belle robe rouge rubis. Au nez, il est élégant et a des expressions florales et fruitées. En bouche, il est puissant avec une bonne longueur. Clos La Gaffelière, un vin jeune, élégant et soyeux C’est un jeune vin d’appellation Saint-Émilion Grand Cru qui a une capacité de garde de 5 à 7 ans. Il s’associe bien avec une pièce de bœuf et les mets à base de viande rouge et de fromage. ...
La grande aventure a commencé en 1999. Après avoir excellé dans l’intégration et l’infogérance durant de longues années, AZNetwork installe son premier data center à Alençon, en 2007. Cela lui permet de déployer son secteur d’activité dans le domaine de l’hébergement. Grâce à sa collaboration avec des clients internationaux œuvrant dans le domaine de la santé, l’entreprise devient officiellement hébergeur de données en santé en 2013, une année après l’ouverture d’un deuxième data center, désormais complété par un troisième. Aujourd’hui, AZNetwork se veut plus indispensable que jamais, en proposant également des services en matière de conseil et d’audit en sécurité pour le compte de grandes entreprises implantées en France et à l’étranger. Un hébergeur de données entièrement fiable « La certification ISO/IEC 27001 est le garant de toute notre expertise », déclare Frédéric Morel, président de l’entreprise AZNetwork qui représente la première PME normande à l’avoir obtenu. Cette norme permet aux organisations de tout genre (entreprises, administrations, associations…) d’améliorer le niveau de sécurité des systèmes d’information, tout en optimisant leur système de management via des processus de validation et d’amélioration continue. Étant munie de cette certification, AZNetwork garantit donc une protection optimale des fonctions et des informations hébergées sur ses serveurs. Et cela, notamment grâce au renforcement des plans de reprise d’activité (PRA) ainsi qu’à la (re)construction des infrastructures de réseau WLAN. Ainsi, les organisations qui se fient aux services d’AZNetwork bénéficient d’un accès continu et sécurisé à leurs données. Accompagner les clients dans l’optimisation de leurs systèmes d’information Le service de conseil et d’audit assuré par les experts d’AZNetwork vise principalement à accompagner les entreprises dans la mise en place et le suivi de leur système de management de la sécurité de l’information (SMSI). Ce système est un fort avantage concurrentiel dans la mesure où il garantit la sécurité des données face aux différentes menaces qui s’accroissent. « Tous nos clients ont intérêt à être les plus sécurisés possible au vu des attaques qui sont de plus en plus nombreuses, virulentes et, parfois, presque indétectables », souligne Frédéric Morel. Grâce à une certification des hébergeurs de données de santé (HDS) qu’elle compte obtenir prochainement, AZNetwork tient à prouver qu’elle est entièrement apte à supporter et à protéger les applications de ses clients éditeurs. ...
Sous l’impulsion de son directeur général Joël Julien, élu meilleur manager de l’année en Languedoc Roussillon, la cave est actuellement une référence mondiale en vins de Beauvignac, avec près de 20 millions d'euros de chiffre d’affaires annuel. Des appellations de renom Sur les 1800 hectares de vignoble, 450 sont classés en AOP Picpoul de Pinet. « Il s’agit de l’appellation emblématique de la coopération, celle qui a permis d’acquérir une notoriété reconnue dans le monde », explique Joyce Arends, responsable caveaux et marketing. Ces vins, élevés sur des terres en arc de cercle ensoleillées et argilocalcaires nommées Costières, s’apprécient pour leur fraîcheur, leur vivacité et leurs arômes fruités de pamplemousse et de citron vert. Outre cette fameuse appellation, le vignoble en compte d’autres tout aussi prestigieuses, comme l’AOP Languedoc, l’IGP Pays d’Oc ou encore l’IGP Côtes de Thau. Parmi la large palette de grands vins blancs, rouges et rosés que propose la coopérative, on retrouve la cuvée exceptionnelle Chardonnay Beauvignac ou encore l’incontournable cuvée Prestige Cabernet Sauvignon, les deux médaillées d’Or lors du concours général agricole de Paris 2016. Avec sa robe jaune pâle aux reflets vifs, la cuvée Beauvignac AOP Picpoul de Pinet (médaille d’argent) offre un équilibre harmonieux entre fruité et vivacité et se déguste avec les huîtres de Bouzigues. De nombreuses animations œnotouristiques Au sein de la cave, une initiation à la dégustation sous la houlette d’un sommelier est proposée afin de découvrir les saveurs et arômes subtils des vins de Beauvignac. Les visiteurs peuvent également partir à la découverte du savoir-faire Beauvignac à travers des visites complètes allant de la vinification jusqu’à la mise en bouteille finale. Des escapades gourmandes en catamaran ou bien encore des balades sur le terroir avec en prime une initiation aux plantes aromatiques dirigée par l’herboriste Corinne Fabre complètent l’apprentissage sur l’univers des vins et affinent les connaissances sur la biodiversité. ...
Quel regard portent les artistes sur le paysage qui nous entoure ? Contrairement à leurs aînés des grands courants picturaux (classique, baroque, romantique, réaliste, impressionniste…) qui se sont passionnés pour le paysage, les plasticiens contemporains ne l’abordent plus seulement pour l’idéaliser ou le traduire. Les artistes de la Biennale d’Issy nous livrent leur vision du monde à travers la photographie, la peinture, la sculpture, le dessin et la vidéo. La puissance de la nature au cœur du réchauffement climatique Les artistes s’attachent aussi bien aux aspects les plus alarmants de l’intervention humaine sur Terre qu’à l’évocation de la majesté et de la beauté de la nature. Ainsi, Nils-Udo traduit la force créatrice de la nature dans sa peinture tandis que François Bard représente des rocs inamovibles. Frédéric Oudrix nous offre une végétation exubérante, Stéphane Erouane Dumas des forêts de bouleaux figés par le givre se reflètant dans un lac gelé. Traqueur d’orages, Basile Ducournau parcourt le Nouveau-Mexique pour capter le moment précis où la foudre tombe parfaitement dans l’axe d’une route qui s’éloigne en direction de l’horizon. Madame Briot, un arbre sculptural à l’élégance féminine, semble être renversé. Mais il est bien réel et révèle la richesse méconnue de la nature. Dans les autres œuvres d’Emma Tandy, la végétation y apparaît luxuriante, tout comme dans les friches que photographie Yann Monel. Le paysage soulève de nombreuses questions, notamment celle de l’environnement. Avec ses Paysages nucléaires présentés en diptyques, Jean-Pierre Attal met en perspective un avenir nucléaire incertain, avec une usine implantée dans son environnement naturel d’un côté, le même site dépourvu d’installation humaine de l’autre. Brigitte Sillard aborde la question du changement climatique avec son image d’un palétuvier qui dépérit à Madagascar dans une mangrove disparue. Régis Rizzo peint des lycaons de la savane africaine sur fond de paysage industriel pour illustrer le retour des animaux sauvages dans les villes. Cristina Ruiz Guiňazǔ présente un ange assoupi sur le sol d’un désert s’étendant à l’infini, et Pierre Monestier d’étranges quadrupèdes à gueule de canon décimant une armée sans armes. Quant à Rubén Fuentes, il peint des étendues montagneuses dont les cimes prennent la forme de silhouettes d’anciennes déesses précolombiennes, dénonçant la disparition des forêts primaires. Le paysage, terrain d’expression des artistes engagés Les artistes présentent aussi leur vision de l’évolution du paysage, avec lucidité, de manière parfois engagée. Ainsi, Caroline Secq dénonce l’apparition d’un 8e (in)continent avec une installation d’objets et de sacs plastiques rejetés par la mer qu’elle récolte sur les plages. Christophe Dalecki détourne nos objets du quotidien en plastique et donne naissance à de grands bouquets d’ombres et de lumière verte. Certains artistes révèlent l’empreinte de l’homme sur le paysage, comme Justin Weiler avec ses dessins semblables à des partitions dont les notes s’avèrent être des impacts de balles ; une musique douloureuse, témoin du lourd passé de la guerre civile au Liban. A Beyrouth, les anfractuosités provoquées par les tirs deviennent des nids d’oiseaux dans les fresques réalisées et photographiées par le street artiste Anoy. D’autres, comme Barthélémy Toguo, sensible aux situations de détresse en Afrique et dans le monde, nous livrent des œuvres engagées : ainsi, Jugement dernier est composé de deux mains levées, comme en joue face à l’obstination de l’humanité à s’autodétruire. Avec ambivalence, les aquarelles de Jean-Michel Alberola inspirent la quiétude de scènes champêtres, alors que nous sommes face à la désolation du camp de Birkenau où la nature finit par recouvrir la voie ferrée et ronger les baraquements. Dans une architecture sans vie, Anselm Kiefer mêle ses ...
A l’occasion de la 35ème édition, qui se tiendra en décembre prochain, les organisateurs de cette foire mythique, des bénévoles uniquement, ont souhaité varier les plaisirs et les sensations en alliant détour gourmand, expérience humaine et escapade culturelle. Des animations ludiques, des découvertes inédites et des rencontres inoubliables avec plus de 150 producteurs sont au programme. Véritable ode au savoir-faire local, a Fiera di a Castagna figure fièrement parmi les ambassadeurs de l’authenticité corse, une île riche d’un patrimoine culturel et culinaire exceptionnel et digne d’intérêt. La culture corse au goût de châtaigne C’est durant le premier week-end de décembre que se tient traditionnellement cette foire emblématique, la plus ancienne de l’île, rendant hommage à la châtaigne. En farine, grillée, fraîche ou préparée autrement, la châtaigne se redécouvre à chaque bouchée, se savoure différemment et s’admire au gré de stands disposés sur une surface couverte de 3 000m². Découvrez ainsi les nombreuses particularités gourmandes de ce produit fascinant aux mille déclinaisons. Toutefois, même si l’évènement tourne principalement autour de ce délice faisant la fierté de l’île de beauté, de nombreux aspects de l’agriculture, de la culture et de l’artisanat local sont abordés tout au long des trois jours de foire. De plus, chaque année, des artisans et des producteurs agricoles, venant de différentes régions et territoires, sont invités à la foire afin de faire découvrir et partager leurs savoir-faire. "Cette année, ce sera aux piemontais de Venasca, village jumelé avec Bocognano, de venir présenter leurs produits agro-alimentaires, allant du miel à la pâtisserie, aux côtés de forgerons catalans qui effectueront une démonstration de forge durant la foire", nous explique Denis Moretti, président du Foyer rural de Bocognano "U Castagnu", association membre de la Fédération des Foires rurales, agricoles et artisanales de Corse (FFRAAC) en tant qu’organisatrice de l’évènement. Tout au long du week-end seront proposés aux visiteurs des animations musicales, des visites guidées (moulin, musée …), des dégustations de produits ainsi qu’une initiation à la cuisine corse. Un programme convivial riche en partage et en émotions… Un hommage à la production locale Cette manifestation qui accueille pas moins de 15 000 visiteurs chaque année répond à un cahier des charges très strict. En effet, toujours selon Denis Moretti, "aucun revendeur n’est admis, seuls les producteurs peuvent présenter leurs propres produits, cette foire étant une exposition du savoir-faire local tant sur le plan artisanal qu’agricole". Les bénévoles, chargés de son organisation, tiennent également à mettre les traditions culinaires corses en avant. Le brocciu, le vin et le miel, tous détenteurs d’une AOC, les fromages de chèvre et de brebis fermiers, les huitres du littoral corse et la charcuterie artisanale locale… Autant de produits, présentés par les producteurs eux-mêmes en bons ambassadeurs de la richesse de leur territoire. « Des plats typiques rappelant les saveurs traditionnelles corses seront, entre autres, préparés dans le restaurant de foire », reprend notre interlocuteur. Rendez-vous immanquable des amoureux de l’âme corse et des gourmands, la Fiera di a Castagna est un véritable gage d’authenticité. ...
A une soixantaine de kilomètres au Sud de Bastia, le Domaine Vecchio et son vignoble sont situés sur les pentes de la montagne de Monte San Appiano. Sous l’appellation AOP Vin de Corse et IGP de l’ile de Beauté, cette région est renommée pour ses vins à forte potentialité aromatique. Quatre terroirs pour vingt huit hectares Les vingt huit hectares de vignes du Domaine Vecchio sont installés sur les coteaux du Monte San Appiano qui se divisent en quatre types de terroirs bien distincts : argiles légères sur graves, schistes, graves et argiles légères avec marne de cailloux. Ce vignoble livre une grande diversité de cépages, qui vont des typiques de la région comme le Niellucciu ou le Sciaccarellu, aux cépages dits nobles comme le Grenache, le Vermentino ou la Syrah. Situées à proximité de la mer, les vignes jouissent d’un microclimat favorisant des brumes matinales et des nuits fraîches qui confèrent aux raisins leurs fruités et leurs acidulés. « Ce microclimat spécial va me permettre de laisser la pourriture noble se développer » pour le liquoreux fait sur vermentino ajoute Florence. Toutes ces conditions réunies permettent ainsi aux vignes de se développer favorablement. Rien ne vaut les bonnes et vieilles méthodes « Nous sommes des vignerons artisans » tient à préciser Florence. En tant que tels, le couple s’est engagé à travailler leur vignoble selon les anciennes méthodes. Dans les faits, cela consiste à l’observation de la météo pour déterminer les traitements à appliquer, limiter les rendements (30 hectolitres/hectares) pour réduire l’usage d’intrants, travailler le sol par labourage et enherbement pour préserver la flore et enfin employer uniquement le cuivre et le soufre pour le traitement des pieds de vignes. Le plaisir avant le prestige Paul Claudel a dit qu’« en matière de vin, il faut savoir faire passer le plaisir avant le prestige ». Cette citation s’applique autant pour ceux qui boivent le vin que ceux qui le produisent. Et c’est exactement le cas au Domaine Vecchio où l’étape cruciale de la vinification est menée « artistiquement », selon le plaisir des maîtres des lieux. Les techniques varient en fonction de la couleur travaillée, mais toujours en équilibrant les éléments et en adéquation avec le terroir. Le domaine obtient ainsi une gamme de trois cuvées à savoir « Tradition », « Prestige » et « Fût de Chêne » déclinées en huit vins différents. La cuvée « Uva Antica » se démarque par sa composition à 100% de Minustellu, que seule une poignée de vignerons insulaires cultivent encore de nos jours. Ce vin est gourmand et fruité, donnant sur des saveurs de caramel, mûres et chocolat. Il est le compagnon idéal sur des viandes nobles, ou des desserts au chocolat. ...
Poussée par sa curiosité, Véronique Aliaga s’initie pour la première fois au chamanisme auprès de la Foundation for Shamanic Studies (FSS), fondée par l'anthropologue Michael Harner. Cette expérience l’a tellement bouleversée qu’elle décide d’approfondir un peu plus, en suivant différents stages. Dans une démarche de développement personnel, elle apprend notamment à utiliser la méthode chamanique dans le but de prodiguer des soins. D’abord sollicitée par ses proches, Véronique Aliaga se lance petit à petit dans une reconversion pour se consacrer entièrement aux soins chamaniques. Des énergies positives venues d’outre-monde Afin d’accéder à un état de conscience modifié, unique moyen pour entrer en contact avec les esprits de la Nature, Véronique Aliaga se sert d’un tambour chamanique. Avant de commencer la séance, elle et son client s’attèlent d’abord à trouver une intention sans laquelle le voyage chamanique ne pourra avoir lieu. Qu’est-ce que la personne a vraiment envie de changer ? Ce n’est qu’une fois en possession de cette intention que la praticienne peut véritablement débuter le travail. À travers les vibrations de son tambour chamanique, elle communique avec ses guides en leur demandant leur aide. Pendant ce temps, le « patient », placé dans une position propice à la relaxation, se concentre sur les battements du tambour. Devenue une sorte de « réceptacle » d’énergie, Véronique Aliaga fait entrer cette force chamanique dans le corps de son « patient ». À noter qu’à aucun moment la praticienne ne perd le contrôle de son corps. À la fin de la séance, la personne est invitée à exprimer ses ressentis. ...