logo-flash-matin
portrait-chef-julien-bousseau

Interview avec Julien Bousseau
Chef du restaurant Clovis



Restaurant
1 étoile au Guide Michelin
situé à Tourrettes-sur-Loup
Région Provence-Alpes-Côte d'Azur

Dans votre restaurant, comment définissez-vous votre cuisine ? Quels sont vos plats «Signature»? Avec quels produits aimez-vous travailler ?

Julien Bousseau Ma cuisine est rythmée par les saisons et par la qualité des produits que je sélectionne chaque semaine sur le marché. Tous mes plats, ma cuisine et ma créativité évoluent, se recomposent. J'ai pas vraiment de plats signatures. Je préfère me définir à partir de mon style de cuisine : j'aime associer le produit accompagné selon le plat la justesse de cuisson, de l'acidité. Je veux que mes plats soient croquants, fondants, mais surtout qu'ils surprennent... J'aime aussi travailler tous les produits de nos terroirs français. J'essaie de sélectionner les aliments selon certains critères. Par exemple, il faut que le poisson soit sauvage, le légume de saison et issu du jardin de mes producteurs, la viande doit être tendre et fondante.

Quelles émotions avez-vous ressenties lors de la remise des étoiles du Guide Michelin ?

JB Je ne m'y attendais pas du tout. Quand j'ai appris la bonne nouvelle, nous étions en famille en train de prendre l'apéritif après la fête des violettes de notre village (Tourrettes-sur-Loup). Nous avions exceptionnellement fermé ce dimanche soir pour profiter d'un moment en famille quand un confrère, Christophe Dufau, nous téléphone (la veille de la sortie du Guide) pour nous féliciter. Je pensais au début qu'il me félicitait pour la naissance de ma fille... Mais en fait, c'était pour me féliciter de ma première étoile. Je n'y croyais pas. Je pensais à une erreur, un espoir tout au plus. Nous n'avons pas dormi de la nuit jusqu'à l'annonce officielle le lendemain dans la presse. C'était une fierté immense, un soulagement car notre restaurant ne marchait pas très bien à cette époque ! Grâce à l'étoile, nous avons fait des rencontres uniques, nous avons reçu des centaines de lettres et de cadeaux de chefs et de nos fournisseurs. C'est énormément d'émotions, et chaque année on les revit lors de la sortie du guide.

La cuisine est faite chaque jour de partage et d'émotions. Toutefois, certains moments de la vie sont à privilégier plus que d'autres... Pouvez-vous nous confier vos plats rêvés pour :
- Un repas de Noël ?

JB Notre repas de Noël se fait toujours en famille et l'incontournable c'est un magnifique plateau de fruits de mer, j'en raffole ! Pour le plat, une belle volaille rôtie truffée sous la peau avec sa sauce suprême à la truffe et des légumes rôtis. Je cuisine également la viande de bœuf, élevé par mon frère et mon oncle, avec les sauces de ma belle mère et de mon beau père ! On termine le repas en beauté avec un beau plateau de fromage affiné par notre fromager "La nouvelle crèmerie" à Châteauneuf-de-Grasse et l'omelette norvégienne de ma maman.

- Un repas de la nouvelle année ?

JB Pour la Saint-Sylvestre, j'aime travailler les produits d'exception, tout en finesse et légèreté avec un accord mets et vins parfait. Chaque année, mon ardoise varie en fonction des producteurs et de ma créativité.
plat-restaurant-clovis-tourrettes-sur-loup

- Un repas de Saint-Valentin ?

JB Je ne fait pas vraiment de "menu" de la Saint Valentin. Mon ardoise affiche toujours le légume, le poisson et la viande agrémentée selon le plat d'une petite touche "exotique". Et pour finir, un dessert autour du chocolat, fruit de la passion, gingembre...

- Un repas de la fête des mères ou des pères ?

JB Pas de menu spécial, mais il faut des fleurs pour nos mamans adorées.

Au fait, pour votre mariage, qui a fait la cuisine ? Pouvez-vous nous indiquer les plats cuisinés ?

JB Nous nous sommes mariés l'été dernier et avons eu l'honneur de profiter d'un repas de rêve élaboré par notre ami Chef Nicolas Coutand, étoilé au guide Michelin également, avec son restaurant "Les Genêts" à Brem-sur-mer en Vendée. En apéritif : Sélection de charcuteries et fromages de la maison Oteiza du Sud-ouest.
Nos entrées : Plateaux de fruits de mer, foie gras et saumon Gravelax.
Notre plat : Paleron de veau, légumes rôtis et sauce sauge ananas.
Nos desserts : une Sélection de dessert réalisé par le grand pâtissier Vincent Guerlais de Nantes. Un souvenir merveilleux!
plat-restaurant-clovis-tourrettes-sur-loup

Sans trop réfléchir, pouvez-vous nous confier votre plus beau souvenir gustatif et certaines des émotions procurées ?

JB J'en ai tellement que c'est dur d'en choisir un ! J'adore la surprise et découvrir de nouveaux produits. Je suis très sensible aux accords mets et vins, thés et mets, bières et mets...

D'après la célèbre devise de Prosper Montagné "On ne fait du bon qu'avec du très bon", pouvez-vous nous révéler deux ou trois de vos adresses gourmandes. Vos producteurs et produits préférés sur votre région ou ailleurs (vins, produits frais, ou autres...)

JB Pour les légumes, je me procure généralement chez Lydie Monini, productrice bio à Tourrettes-sur-Loup. Mon producteur d'agneau est la ferme des Courmettes à Tourrettes-sur-Loup. Les agrumes sont partagés entre Yohan et Lydie à Tourrettes-sur-Loup. Le foie gras pendant les fêtes chez la maison Dupérier & Fils à Souprosse. Les fraises à la famille Valerioti de Gattières (15min de Tourrettes). Le poisson nous vient de la maison Deloye, livré tous les matins. (Saint-Jeannet). Nous sommes passionnés de vins et avons un faible pour le vin blanc de Jo Sergi du Clos-Saint-Vincent à Bellet, la Magie noire 100% folle noire du Domaine Saint-Joseph de Julien Bertaina à Tourrettes-sur-Loup, Le rouge de Reynald Delille du Domaine de Terrebrune (Bandol) à Olioules et du rosé "Les clans" du Château d'Esclans à La Motte.

On parle aujourd’hui beaucoup de cuisine fusion, de plats végétariens, d'aliments biologiques, de « Trashcooking » (ingrédients destinés normalement au rebus), de « Freakshakes » pour marier un dessert à une boisson... Selon vous quelles seront les grandes tendances de la cuisine de demain ?

JB Je ne suis pas un visionnaire mais les modes de cuissons vont probablement évoluer. Je pense qu'il y a encore énormément de techniques à découvrir !
restaurant-clovis-tourrettes-sur-loup restaurant-clovis-tourrettes-sur-loup restaurant-clovis-tourrettes-sur-loup

Si vous aviez un hommage à adresser à Paul Bocuse, quel serait-il ?

JB Merci à ce grand homme, la générosité de sa cuisine, et surtout l'union qu'il a su créer entre les chefs a fait de notre métier une culture, un patrimoine national aux yeux du monde entier.
Adresse | Contacts utiles
image-prop-contact-clovis Clovis 21 Grand-Rue
06140 Tourrettes-sur-Loup

Tél. : 04 93 58 87 04
Site Internet

Récompenses
1 étoile au Michelin

Clovis : les avis

LES ARTICLES LES PLUS LUS

Calmedica, la start-up qui réinvente le parcours de soins

La société a été fondée en 2013 par Corinne Segalen, médecin ayant effectué une brillante carrière dans l’industrie pharmaceutique, et Alexis Hernot, polytechnicien et INSEAD passionné par les nouvelles technologies. Le défi relevé par Calmedica : décharger les unités de chirurgie des étapes de suivi pré et post opératoires pour 90% des patients afin de leur permettre de se focaliser sur le cœur de leur métier, le soin. Pour les fondateurs, la solution proposée par Calmedica accompagne une évolution majeure de la pratique médicale, dans laquelle le parcours de soin est dorénavant centré sur le patient.  La solution proposée : un chatbot fonctionnant par SMS Le système proposé par Calmedica repose sur un principe simple : utiliser le SMS pour converser avec les patients pour un rappel des consignes avant l’opération et un suivi postopératoire. Pour ce faire, le système est doté d’une capacité à traiter le langage naturel et à transformer la conversation en données structurées pouvant être analysées. Ces conversations - échanges de SMS entre le robot et le patient - sont analysées en temps réel afin d’émettre des alertes aux personnels de santé en cas de problème. Aujourd’hui, cette technologie a fait ses preuves auprès de plus de 150 000 patients, dont 90 % ont été gérés sans intervention humaine. Outre le gain de temps pour les équipes médicales, le système s’inscrit dans une véritable démarche qualité : les annulations sont toutes anticipées, les patients arrivent à l’heure et respectent mieux les consignes. Les patients aussi sont enthousiastes ainsi que l’explique Elisabeth opérée en ambulatoire : « je n’ai pas eu d’attente à mon arrivée, mon mari a été informé de mon heure de sortie, et le lendemain j’ai juste eu à répondre que tout allait bien». Au-delà de la chirurgie ambulatoire, Calmedica propose un chatbot à installer sur un site internet. Celui-ci permet aux patients d’obtenir une réponse à leurs questions sans avoir à naviguer dans un contenu parfois indigeste. Le potentiel de la société n’est pas passé inaperçu pour le ministère de la Recherche qui a labellisé la start-up « Jeune entreprise innovante » et pour la Banque publique d’investissements qui l’accompagne dans son programme d’innovation. ...

Le Clos Caché :
une parenthèse gourmande et de bien-être

Définir le Clos Caché comme un simple restaurant serait inapproprié. On n’y va pas uniquement pour se restaurer mais aussi pour profiter d’un moment de bien-être et de détente, le tout dans la plus grande intimité. Des célébrités en apprécient la discrétion. L’établissement sis dans le petit village d’Escamps dans le Lot se veut être une adresse élégante et traditionnelle où l’on cultive la convivialité. L’accueil ultra-personnalisé dès la réservation par téléphone dénote déjà du service qui vous attend ! Prêt ? C’est parti… Un havre privilégié à l’ambiance intimiste et raffiné A 20 km au Sud Est de Cahors, discrètement niché sur le causse de Lalbenque, haut lieu de la truffe tuber melanosporum, l’ancienne fermette s’est transformée en une table gourmande et raffinée. Dès l’arrivée sur place, Denis, le maître des lieux, vous accueille. Ici, vous ne serez pas traité comme un client mais bel et bien comme un convive. Votre hôte vous fera visiter la propriété, histoire de vous imprégner des lieux. L’espace paysager agrémenté des arbres typiques du Quercy ne laisse pas de marbre. L’étendue d’eau quant à elle vient sublimer ce décor bucolique et dépaysant. Selon les saisons, vous avez le choix entre vous délasser sur la terrasse ombragée afin de continuer à profiter de cet environnement verdoyant ou vous installer dans la salle, décorée avec beaucoup de goût. Car outre ses talents en cuisine, Mireille est aussi une ancienne architecte d’intérieur qui a su mettre en valeur avec subtilité, l’élégance et la rusticité des lieux. Tout est fait pour assurer confort dans une atmosphère sereine. Une cuisine généreuse et personnelle Au Clos Caché, les clients sont autant choyés à l’accueil que dans l’assiette. Mireille propose une cuisine traditionnelle alliant plaisir, équilibre et gourmandise. Elle puise son inspiration sur la mixité de ses vies passées ailleurs avec les richesses offertes par les terroirs. Autant que possible, elle s’approvisionne auprès des producteurs locaux afin de garantir fraîcheur et qualité. Ici, pas de carte. On sert un menu par jour, concocté selon l’humeur et l’inspiration de la chef. Attention, l’établissement ne reçoit que sur réservation. Dès cette prise de contact, vos hôtes vous mettent au parfum quant aux plats qui seront proposés. Au menu ce jour-là, nous avions dégusté un foie gras croustillant sur une crème de févettes en entrée, un filet de lotte rôtie nappée d’une émulsion aux olives noire en plat principal et un délicieux soufflé au citron vert répandu dans une crêpe en guise de bouquet final. Une belle expérience pour nos papilles. Pour les amateurs de truffe, la maison concocte des formules spéciales. Durant la saison, des repas autour de cet exceptionnel produit sont élaborés. Côté prix, cette expérience hors de toute réalité est tarifée au prix le plus juste. Il faudra compter entre 57 et 65 euros pour un repas incluant le menu, les boissons et le plateau de fromage. Pour les menus spéciaux « truffes », les tarifs oscillent entre 75 et 80 euros hors boisson. ...

Restaurant Le Vilargène : royale cuisine

Le château de Montvillargenne voit le jour dès 1914 sous l’initiative de la famille de Rothschild. Avant de devenir l’hôtel de luxe tel qu’on le connaît aujourd’hui, il a servi d’abri pour les Allemands durant la Seconde Guerre mondiale et de couvent pour le Sacré-Cœur de Jésus. C'est en 1985 que le château de Montvillargenne devient un établissement hôtelier. En 2003, c’est la consécration puisqu’il décroche sa quatrième étoile. Un duo de chefs en action Implanté au cœur de la forêt de Chantilly, le restaurant gastronomique du château vous reçoit dans une salle bien éclairée qui offre une magnifique vue sur les terrasses. La carte est dressée par deux Chefs hors pair, dont l’artiste culinaire Stéphane Gourault qui orchestre les mets. Il orne les tables avec des assiettes uniques, généreuses en couleurs et en saveurs, le tout, dans une belle mise en scène. Stéphane est très attaché à la saisonnalité des produits qu’il choisit, qui sont, autant que possible, locaux, renouvelant ainsi la carte chaque saison. Notons que le Chef se sert aussi dans le potager du château pour justement garantir la fraîcheur de sa cuisine. De son côté, le Chef pâtissier, tel un maestro, crée les desserts les plus gourmands et les plus originaux. Ce duo talentueux saura émoustiller les papilles en concoctant à sa façon les spécialités françaises revisitées. Suggestion de plats Depuis l’entrée jusqu’au dessert, les plats font honneur à la richesse du terroir. L’entrée la plus prisée est représentée par les cuisses de grenouille, les œufs de caille pochés sur un toast de pain de campagne et le velouté froid de petits pois. Une assiette très raffinée idéalement suivie d’un bon plat de côte de porc d’antan de Picardie, d'une réduction d’un jus à la sarriette, d'une julienne des sables de la baie de Somme « Maison Bayard » en pommes Anna et laitue braisée. En dessert, laissez-vous tenter par des classiques revisités comme la Tartelette renversée au citron et à l'avocat. Pour accompagner ces plats divinement savoureux, Le Vilargène vous réserve une carte de vins éclectique où se marient grands crus et vins de petits producteurs, trouvés dans les grandes régions viticoles du pays. Le bar James Édouard : un véritable plaisir pour tous les sens Ce bar accueille tous ceux qui veulent profiter d’un moment de détente et de partage dans une ambiance feutrée. Les cocktails sont accompagnés d'une carte snacking pour un déjeuner sur le pouce. Pour le plus grand plaisir de tous, les barmans concoctent de nouveaux cocktails chaque mois. À l’heure du thé, pâtisseries et gourmandises invitent à prendre place sur les fauteuils en cuir ou sur la terrasse bien ensoleillée. ...

Les bâtisseurs d’une France plus verte

En Provence-Alpes-Côte-d’azur, les bois abattus sont moins nombreux que les bois replantés. En tant qu’acteurs de la filière bois, les Arbres Bâtisseurs contribuent au développement durable des surfaces forestières de leur région. Ils utilisent des essences locales naturellement résistantes pour les bâtiments neufs ou rénovés. Vu son double label QUALIBAT et RGE, cette entreprise écologiquement engagée ne se contente pas de construire en bois : elle vise également la basse consommation d’énergie et privilégie les isolants thermiques naturels, sains et durables. Un pour tous et tous pour un Quatre associés fondateurs des Arbres Bâtisseurs ingénieur en environnement, menuisier agenceur et ébéniste/charpentier de marine se sont rencontrés fin 2004 lors d’un chantier naval dans le Sud-Est. Ensemble, ils découvrent leur passion commune pour le métier du bois, l’écoconstruction et un système de travail à forte valeur humaine. Ils souhaitent alors se constituer en Scop, c’est-à-dire une Société Coopérative et Participative (également appelée Société Coopérative Ouvrière de Production). Pour enrichir leurs idées, ils suivent des formations et rejoignent plusieurs associations. Déterminés à relever les défis, les entrepreneurs fondent la Scop Les Arbres Bâtisseurs (ou Arbâts) début 2007. L’entreprise est aujourd’hui un exemple de réussite socio-professionnelle : elle compte actuellement 11 salariés, dont 8 associés. Les salariés-associés y partagent équitablement les décisions, les risques, l’information, les droits de vote, le capital social ainsi que les bénéfices. Un habitat vert par excellence En véritable professionnelle de la construction Reconnu Garant de l’Environnement (RGE), la Scop aRbâts est dédiée à l’efficacité énergétique. Pour améliorer la performance énergétique des bâtiments, elle privilégie les isolants naturels comme le liège, le chanvre, la ouate de cellulose, la laine de bois... Arbâts propose également la végétalisation de la toiture pour renforcer son isolation. La toiture verte résiste au son, au vent, au feu et elle est surtout étanche. Son plus grand atout reste, cependant, sa performance  thermique. (Pendant l’été, en l’occurrence, la toiture végétalisée augmente le taux d'humidité de l'air et en réduit la surchauffe.) Les isolants naturels offrent des propriétés hygrométriques et thermiques trés intéressantes en association avec le bois notamment pour le confort d'été (déphasage). L'association de matériaux verts et d'une conception bioclimatique aboutissent à des ouvrages performants, économes et confortables... ...

Restaurant Relais de poste Saint-Jacques :
une halte de tradition et de gourmandise

Sise à Dangeau, dans le Perche-Gouët, cette ancienne halte pour pèlerins est installée dans une seigneurie du XIIIe siècle, une découverte où vous attendent de belles associations de couleurs et de saveurs gourmandes. À travers une cuisine française traditionnelle qui plait, faite de savoureuses recettes inventives et personnalisées, le Relais de poste Saint-Jacques surprend et séduit en misant sur la générosité et le gout. C’est une bonne adresse gastronomique qu’on recommanderait à nos familles et à nos proches, particulièrement adaptée aux repas festifs. Comme le précise le chef et propriétaire François Morgillo, saucier incontestable, « rien ne part nature, tout est accompagné d’une petite sauce ». Et c’est d’ailleurs ce qui fait la particularité de cet établissement chargé d’Histoire et au cadre d’époque, où la noblesse de la cuisine traditionnelle est mise à l’honneur. Une farandole de saveurs Laissez-vous surprendre par un plat de ses inventions : le poulet à la Dangeautine, un poulet fermier mariné dans du cidre avec des raisins secs. La région du Perche n’a rien à voir avec une région comme le Périgord ou la région lyonnaise, « il n’y a pas de terroir alimentaire, mais il existe plutôt un terroir d’élevage, de culture maraichère et de petit élevage », reconnait François Morgillo, avec, bien sûr, « du poulet local et de la viande de bœuf locale en vente directe ». Le filet est cependant acheté à d’autres abattoirs et bouchers spécialisés. Détente percheronne est un menu à 34 € hors boissons, comportant 4 entrées au choix, 4 plats au poisson au choix, des légumes de saison frais et assortis, auxquels viennent s’ajouter un plateau de 4 ou 5 sortes de fromages locaux de chèvre et de vaches ainsi que 5 ou 6 desserts au choix. Quant au menu du Vidame, il est proposé à 49 € du fait du prix de revient beaucoup plus élevé des produits qui le composent (filet, au lieu de faux-filet entre autres). Son magret de canard en délice du Perche est, par exemple, une belle découverte à ne pas rater. Les plats changent suivant les aspirations du moment. ...

Champagne Jacques Chaput et fils : la marque à la salamandre

Sur la Côte des Bars, Champagne Jacques Chaput bénéficie d’un terroir exceptionnel établi sur un sol composé de marnes calcaires du kimméridgien, sur lesquels les trois cépages champenois se développent dans d’excellentes conditions sur un vignoble de 13,50 hectares. Grâce à une rigoureuse sélection des raisins et des assemblages issus d’un travail précis, la maison parvient à produire une gamme de champagnes exhalant des arômes typiques qui ravissent les palais les plus exigeants. De la vigne aux vins L’élaboration de champagne est un art qui se transmet de génération en génération au sein de la famille Chaput. Dans les veines de ces vignerons passionnés, ce n’est plus du sang qui coule, mais du vin. Au fil des années, la famille a acquis un savoir-faire traditionnel qui lui permet de produire de grandes cuvées. Ces champagnes associant finesse et élégance ont acquis une réputation qui dépasse les frontières de la France. Sur 100 000 cols produits chaque année, une partie de la production est effectivement exportée vers l’international, notamment aux États-Unis, « qui constituent un nouveau marché », raconte Jacky Chaput, l’héritier de ce riche patrimoine. Cette notoriété, la maison l’a acquise grâce à un travail strict qui débute dans les vignes. « Nous pratiquons une viticulture raisonnée avec une approche la plus naturelle possible. Quoiqu’il en soit, tous les vignerons seront d’ici peu amenés à recourir à des pratiques plus respectueuses de l’environnement et de la biodiversité », tient-il à préciser. L’authenticité d’un terroir La création de ce domaine familial dans les années 50 par le père de Jacky a été un challenge. « Nous sommes sur un terroir qui n’était pas très connu dans les années 60, 70 ou 80. Cette partie de la Champagne a gagné rapidement ses lettres de noblesse, et dorénavant, de nombreux domaines de la Côte des Bars remportent d’innombrables médailles et récompenses et sont mis à l’honneur », se félicite Jacky. Aujourd’hui, le vigneron tient à offrir le meilleur de cette terre qui se reflète dans ses cuvées. Parmi les plus emblématiques de la maison, il cite la cuvée blanc de noirs, composée à 100 % de pinot noir et qui est le vin qui « a remporté le plus de récompenses ». Le vigneron, pour sa part, est plus attaché à sa Cuvée L’Authentic, « qui fait partie de celles que j’ai créées et lancées lorsque je suis revenu sur le domaine familial », indique-t-il. ...

QUANTUM ROOMS : une expérience unique d’escape game

L’escape game est devenue rapidement une attraction phare aux quatre coins du monde. Devant une concurrence de plus en plus vive, chaque enseigne rivalise d’ingéniosité afin de tirer son épingle du jeu. De l’originalité, c’est ce que propose QUANTUM ROOMS à travers la création de son propre scénario qui le caractérise des autres grandes enseignes franchisées. Le concept QUANTUM ROOMS : un scénario bien ficelé Dompter le temps et pouvoir le remonter à sa guise, les concepteurs de chez QUANTUM ROOMS seraient-ils des visionnaires ou de grands rêveurs ? Toujours est-il que le scénario développé s’articule autour du voyage temporel. Pour faciliter l’immersion et mettre les joueurs au parfum, le maître du jeu  les convie à un briefing durant quinze minutes. Une fois briefé, le groupe incluant trois à six joueurs se voit investir d’une mission de sauvetage d’un genre particulier. Très vite plongés dans l’ambiance grâce à un décor qui s’adapte merveilleusement bien à la thématique proposée, ils doivent retrouver rapidement un scientifique qui a réussi tout bonnement à se perdre dans l’espace-temps. À la recherche d’éventuels indices, ils vont devoir fouiller l’appartement du professeur Cortex et tenter de résoudre des énigmes. C’est seulement après les avoir résolues que les participants pourront trouver le moyen de voyager dans le temps. Ainsi, QUANTUM ROOMS suggère un scénario captivant qui ne manquera pas de tenir les participants en haleine. Après la mission, une séance de débriefing avec le maître du jeu permettra de revenir sur les temps forts et d’aborder les lacunes constatées au cours du jeu. QUANTUM ROOMS : pour le plaisir des petits et des grands Pour satisfaire un grand nombre de participants, l’enseigne a fait en sorte d’adapter ses créations afin de toucher un large public. À partir de dix ans, les jeunes peuvent s’embarquer pour une expérience de voyage temporel inédit. Bientôt un anniversaire à fêter ? Les parents pourront compter sur QUANTUM ROOMS pour marquer l’événement comme il se doit. Pour les plus grands, ce sera l’occasion idéale de s’amuser entre amis tout en renforçant les liens autour d’une activité intéressante. Idem pour ceux qui se côtoient uniquement au bureau. Il faut savoir que les entreprises représentent 50 % du public des salles parisiennes. QUANTUM ROOMS propose aussi ses offres aux entreprises pour des séances de team building réussies. Rien de tel qu’un escape game pour consolider l’esprit d’équipe. En effet, dans le but d’atteindre l’objectif de la mission qu’on a assignée aux participants, le travail en équipe est plus que nécessaire. De leur faculté à bien communiquer et à coordonner les efforts dépendra la réussite ou l’échec de la mission. Pour l’instant, QUANTUM ROOMS ne dispose que d’une salle pouvant accueillir au maximum douze personnes en deux groupes qui devront alterner l’un après l’autre. Pas de panique ! À partir du mois de décembre, la capacité d’accueil sera revue à la hausse avec la création d’une seconde salle. Grâce à ces deux salles, il sera possible d'accueillir soit douze personnes en deux groupes avec un dans chaque salle, soit vingt-quatre personnes en quatre groupes, deux groupes passant d’abord pendant que les deux autres patientent, puis en inversant. Avec la seconde salle, selon la durée de l’événement, les groupes peuvent aussi alterner encore une fois pour que chaque groupe puisse faire aussi la seconde salle de jeu qu’il n’avait pas fait. ...

FORMATICSanté : explorer toutes les perspectives du domaine de l’e-santé

L’association FORMATICSanté a été fondée en 2003 et réunit des consultants et formateurs multidisciplinaires qui partagent la même vision que Lisette Cazellet, la fondatrice de l’association. Les actions menées par cette équipe sont soutenues par divers collèges et représentants d'Instituts, d’organismes de formation, d’universités et d’établissements de santé qui constituent les membres du conseil d’administration. Tous partagent la même vision quant à la nécessité, voire l’urgence, d’instaurer un cadre formalisé et propice à la professionnalisation des pratiques de e-santé et des dispositifs de formation destinés aux acteurs du secteur sanitaire et médico-social. Une mission d’information pour former et sensibiliser Le site officiel de l'association FORMATICSanté se veut être un espace d’échange d’informations et de partage d’expériences entre les professionnels du secteur de la santé, les divers organismes œuvrant dans le domaine, et les particuliers. L’idée étant de centraliser les données et les exploiter à des fins pédagogiques et stratégiques. L’on recense en moyenne environ 23 000 visites mensuelles du site, et celui-ci propose une documentation bien fournie en libre accès autour de la thématique santé numérique et l’e-formation : articles, études, travaux de mémoires, vidéos, etc. En parallèle, le site diffuse mensuellement des lettres d’information aux abonnés pour qu’ils puissent suivre en temps réel les actualités qui peuvent les intéresser. Sans oublier de préciser la présence active de l’association sur les réseaux sociaux depuis quelques années dans le but d’attirer un public plus large, plus jeune, et plus connecté. «Il faut que l’on aille plus loin pour faire connaître les informations relatives à la e-santé », nous indique Lisette Cazellet. L’association mène également des actions de formation qui se présentent sous forme de colloques ayant lieu chaque année, et qui s’étalent sur deux journées. « La particularité est que nous avons une journée plus orientée vers le numérique et une autre s’articulant autour de la formation », explique notre interlocutrice. Environ 250 participants, dont des professionnels du métier, des représentants d'associations ou des particuliers, viennent assister et participer à ces colloques. « Quelle place pour le numérique dans la coordination des soins et la formation des acteurs ? Un défi organisationnel », tel sera le thème traité pendant le colloque TIC santé 2018 prévu les 7 et 8 février à la Cité internationale universitaire de Paris (Fondation Biermans Lapôtre). En outre, FORMATICSanté participe activement à divers séminaires ou conférences organisés par d’autres structures ou associations au niveau national et international. « Nous avons développé une expertise effective dans le domaine de la e-santé et la e-formation et de la santé, et c’est à ce titre-là que nous sommes invités à intervenir à d’autres événements. » Les connaissances à la portée de tous Depuis 2013, le programme de formation propose le développement de compétences en vue de développer une culture numérique auprès des formateurs et professionnels au sein des établissements de soins. Dans la continuité de cette démocratisation des connaissances, l’association a mis en place un portail de formation MOOC E-santé, accessible au grand public. Un groupe de travail issu du domaine de l’e-santé et de l’e-formation a conçu ce programme, divisé en deux parcours, et enrichi par des modules innovants répondant parfaitement aux attentes de notre génération. « Nous actualisons chaque année nos modules pour être en phase avec le monde de la santé qui bouge beaucoup », explique Lisette Cazellet, Chef de projet. Le projet est une initiative qui vise à combler l’écart entre l’évolution des NTIC à grande vitesse et le réf&eacu...

Restaurant Le Château Bourgogne : le temps d’une halte gourmande

Grâce aux saveurs uniques de la cuisine traditionnelle française concoctée à base de produits frais et sélectionnés avec minutie par le Chef Gonzalo Pineiro, Le Château Bourgogne réserve de belles surprises aux épicuriens, avec à chaque fois la promesse d’un plaisir culinaire renouvelé ! Un cadre élégant  Ayant récemment fait « peau neuve », le restaurant arbore fièrement ses nouveaux attraits. Dans un décor très cosy, l’élégance transparaît à travers chaque détail. Ici, on retrouve une décoration contemporaine, très moderne où le luxe s’affiche sans complexe. Tout renvoie à l’équilibre et à l’harmonie : les couleurs, les matières sont prétextes à une combinaison d’élégance et de convivialité. Un endroit intimiste qui n’est pas dénué de charme. Les lieux conviennent parfaitement aux retrouvailles en famille, entre amis ou aux déjeuners d’affaires. Pour des repas plus intimes, le restaurant dispose de beaux espaces privatifs comme le Salon Président et le Salon Bourgogne, pouvant accueillir respectivement 10 à 30 personnes. En été, vous avez la possibilité de profiter d’une jolie terrasse, ouverte sur le jardin, à proximité de la piscine chauffée. Le raffinement dans vos plats Au gré des saisons et des saveurs, le chef Gonzalo Pineiro se propose de livrer une belle partition mettant à l’honneur les subtilités de la cuisine traditionnelle française, à travers des produits frais et de qualité. « En approvisionnement, nous privilégions au maximum les producteurs locaux », souligne Alexander Krips, directeur de l’établissement. La qualité et la fraicheur des produits utilisés se ressentent naturellement dans les assiettes. Pour s’en convaincre, il suffit de déguster les succulents escargots de Bourgogne au Chablis ou bien les Oeufs Bio en Meurette au Pinot Noir en entrée. Pour prolonger le plaisir, le Chef et sa brigade suggèrent le Filet de bœuf Charolais accompagné de son incontournable purée d’Amandine du Château à l’huile de Truffes, une spécialité de la maison ! Au Château Bourgogne, les poissons sont également à l’honneur : entre la Saint-Jacques, la Lotte ou le Turbot Sauvage, les invités ont droit à un choix alléchant. De quoi partager un bon moment autour de plats incomparables ! Le restaurant jouit d’une bonne réputation dans la région, notamment grâce à son célèbre plateau de fromages avec plus de 15 variétés. Pour les palais sucrés, les 3 pâtissiers régaleront les convives avec des douceurs entièrement faites maison. Côté vins, l’établissement présente une carte éclectique comprenant près de 300 références de Bourgogne et d’ailleurs. Demandez conseil au sommelier, qui sublimera vos plats et vous fera découvrir les cépages et appellations régionaux. Tous les dimanches, Le Château Bourgogne a l’habitude de convier les initiés à son propre brunch « Le Spécial Sunday Buffet ».  Chaque semaine, un nouveau thème est à l’honneur, avec une composition de menu différente. L’équipe en cuisine fait alors marcher son imagination et sa créativité pour sortir un repas complet et à volonté, salé, sucré, chaud et froid, pour un voyage gustatif garanti ! Le thème est dévoilé quelques jours à l’avance sur leur page Facebook. ...

Découvrez le charme de l’hôtel Amiral, établissement 3 étoiles en plein centre-ville de Nantes

Si vous souhaitez assister à des événements, faire du shopping ou visiter la ville de Nantes, ce lieu est fait pour vous. Un hôtel avec une localisation exceptionnelle Vous avez de nombreuses raisons de vous arrêter à l’hôtel Amiral. En couple, le temps d’un séjour amoureux, en famille pour découvrir la ville et ses mystères, ou encore dans le cadre d’un voyage d’affaires : chacun y trouve son compte. Localisé en plein cœur du quartier historique, vous vous trouvez à quelques minutes des établissements culturels (dont le théâtre Graslin), de la galerie marchande du passage Pommeraye, des restaurants (nous vous conseillons la brasserie La Cigale) et de nombreux monuments à visiter. Sans oublier les incontournables que sont le Château des ducs de Bretagne, le musée Jules Vernes et les Machines de l’Ile. Que vous choisissiez une chambre simple, double, triple ou familiale, vous appréciez tout autant la modernité de l’établissement que son confort. Idéal pour vous ressourcer et vous sentir chez vous avec une équipe qui saura vous conseiller et qui reste à votre écoute 24h/24 En arrivant sur place, vous vous rendrez compte d’une chose : l’équipe qui vous accueille fait son maximum pour répondre précisément à toutes vos attentes. Un hôtel engagé dans une démarche environnementale La volonté de l’hôtel Amiral de se transformer en hôtel écoresponsable remonte au début des années 2000. Ainsi, en 2006, l’établissement obtient le label Qualité HôtelCert. Quelques années plus tard, en 2008, il sera récompensé par le label Clef Verte puis par l’Écolabel européen, en 2011. Le propriétaire de l’établissement, Jean-François Nicoul, et la directrice, Nadine Witczak, investissent toujours plus, pour permettre à l’établissement de répondre aux normes et exigences écologiques imposées par ces différents labels. Ce choix est récompensé en mai 2015, avec l’obtention de la Palme du Développement durable hôtelier. De plus, l’hôtel Amiral fait aussi partie du groupe pilote volontaire pour l’expérimentation de l’Affichage environnemental. En 2017, il obtient la note A, belle récompense qui symbolise les efforts entrepris afin de limiter au mieux l’impact carbone d’une nuit d’hôtel avec petit déjeuner.  Ce parcours met en avant les efforts de l’établissement en matière d’économie d’eau et d’énergie ainsi que sa résolution de se fournir auprès de producteurs locaux et de faire le nécessaire pour gérer au mieux ses déchets. Sans oublier sa volonté de sensibiliser ses clients et son personnel aux gestes et bonnes pratiques écologiques. ...

Maladies rares : une mobilisation nationale qui dépasse nos frontières

Par rapport à ses voisins européens, la France fait figure de pionnier concernant  les maladies rares. Le pays s’illustre particulièrement en termes de mobilisation collective et par la mise en place de programmes spécifiques.  A propos des maladies rares Les maladies rares affectent un nombre très limité de personnes par rapport à l’ensemble de la  population. Le seuil fixé par les spécialistes de la santé est de 1/2000. Ces derniers ont répertorié 8000 maladies. On peut citer par exemple le syndrome d’Angelman, la maladie de Huntington ou encore  la myasthénie auto-immune. En général, les maladies rares sont synonymes de maladies génétiques. Elles dégradent la qualité de vie des personnes atteintes en les privant petit à petit de leur motricité ainsi que de leurs fonctions sensorielles et cognitives. Les maladies rares peuvent être qualifiées aussi d’«orphelines » en cas de traitement inexistant, ce qui est très souvent le cas.  Les plans nationaux maladies rares (PNMR) Mis en place en 2005, le premier volet des PNMR a contribué à apporter des progrès palpables pour de nombreux patients. En effet, le ministère de la santé a procédé à la labellisation de 130 centres de référence maladies rares (CRMR)  suivi de 500 centres de compétence (CC). Ces centres offrent la possibilité au personnel de santé d’assurer la prise en charge et le suivi des malades et ce, au plus près de leur foyer. Pour les malades, la mise en place de ce plan a permis également un meilleur accès aux médicaments orphelins. A travers Orphanet, la diffusion et la vulgarisation de l’information a été faite de manière à ce qu’elle puisse toucher un large public (patients, spécialistes, grand public). Avec le second PNMR (2011-2016), la recherche concernant les maladies rares a été étendue, la coopération (aussi bien au niveau européen qu’international) ainsi que la qualité des prises en charge des personnes atteintes ont également été renforcées! La plupart des actions de ce PNMR découle de l’évaluation menée par le HCSP (Haut Conseil de la Santé Publique). Les acteurs impliqués dans la lutte contre les maladies rares ont aussi participé à l’élaboration du plan, plus particulièrement les associations de patients. A noter que ce plan a permis l’instauration de « filières de santé maladies rares » qui vont servir à animer un réseau constitué d’un côté par les professionnels et de l’autre par les structures existantes. Ces filières permettent de fluidifier les échanges entre les acteurs tout en améliorant leur coordination.  Une plateforme unique  Créée en 2001, la plateforme maladies rares regroupe, sur un même site, différents acteurs tels que des spécialistes de santé et de recherches, des employés et des bénévoles, des représentants d’associations de malades ou encore des intervenants français et internationaux. La plateforme poursuit 5 objectifs principaux : d’abord, agir pour que les maladies rares se hissent au rang des priorités en matière de santé publique; ensuite appuyer les actions et la création d’associations de maladies rares par le biais de la formation, le partage d’information et la solidarité ;  puis améliorer la sensibilisation et les services d’information auprès du grand public ; appuyer et consolider la recherche portant sur les maladies rares dans l’optique de proposer des traitements curatifs  enfin, suggérer des espaces de travail aux différents acteurs concernés.  ...

Association Française des Sclérosés en Plaques (AFSEP) : au plus près des malades

L’AFSEP est une association qui prend à cœur de rassembler les patients et leurs familles, les informer, les aider et même de les représenter auprès des pouvoirs publics. L’association en quelques lignes Créée il y a de cela plus de 50 ans, l’AFSEP est la plus vieille association de patients en France, toutes pathologies confondues. Elle est reconnue d’utilité publique depuis 1967. Sa spécificité par rapport à d’autres associations, c’est qu’elle est constituée uniquement de patients. « L’association est pour les patients et elle est faite par les patients » souligne un membre de l’équipe AFSEP. Cette particularité place véritablement l’association au cœur du terrain constituant ainsi un relais privilégié pour tous les acteurs concernés (pouvoirs publics, laboratoires…) dans la lutte contre la sclérose en plaques. Les actions et missions de l’association La sclérose en plaque (SEP) est une maladie neurodégénérative qui touche en majorité des femmes. La moyenne d’âge des personnes atteintes se situe à 40 ans. Incurable, la SEP entraîne des conséquences dévastatrices chez l’individu telles que l’apparition d’une déficience motrice (incapacité à marcher) ou la perte de la mémoire. « Cette maladie est épouvantable, on ne peut plus rien faire après, vous êtes complètement désocialisé » explique un responsable. Face à cette situation, l’une des missions de l’association est d’accompagner les personnes atteintes et leurs proches au quotidien. Afin de les aider dans leur démarche, l’AFSEP propose aux malades un service juridique et un service social. Pour faire en sorte que les patients puissent mieux vivre avec la maladie, l’association travaille également avec des ateliers de groupe de parole ou des ateliers d’équithérapie (soin psychique basé sur la présence d'un cheval comme médiateur thérapeutique). Outre l’accompagnement des malades, l’association s’est aussi engagée sur la sensibilisation et la formation sur la SEP. Cette dernière est assurée par le pôle formation de l’AFSEP et s’adresse aux acteurs intervenants auprès des malades. Enfin, l’association mène des actions concrètes pour soutenir la recherche sur la maladie. Label « Grande cause nationale » 2018 comme objectif ! Face à la forte progression de la sclérose en plaques dans l’hexagone (100 000 malades et 4000 nouveaux cas diagnostiqués chaque année), l’association s’étonne aujourd’hui de l’absence cruelle de communication sur la SEP. Les responsables soulignent en effet : « puisqu’on n’en parle pas dans le débat public, les gens porteurs de la maladie seront incapables de diagnostiquer le problème ». L’enjeu est de taille et il s’avère vital d’informer et sensibiliser le maximum de personnes afin d’éviter une prise en charge tardive de la maladie. D’autant plus que la SEP est très difficile à diagnostiquer car elle se manifeste à travers une multitude de symptômes. Pour faire entendre sa voix, l’association a adressé une lettre à l’attention du chef du gouvernement dans laquelle elle propose que la SEP fasse l’objet du label « Grande cause nationale » 2018. Ceci dans le but d’attribuer une plus grande visibilité et générer une forte mobilisation. « Avec l’aide du gouvernement, on réduira le temps de diagnostic de la maladie »indique l’équipe avec un brin d’optimisme.  ...

Restaurant Olio Pane Vino :
un morceau d'Italie à Paris

Le chef Francesco Bertuna rapporte à Paris toutes les bonnes saveurs italiennes pour concocter des plats succulents. Il privilégie la création de recettes originales, revisitées ou classiques, élaborées uniquement avec des produits frais et de saison. Une singularité qui impressionne les convives. « Le restaurant propose 2 ou 3 plats du jour qui changent chaque jour. Les clients ne mangent jamais la même chose », indique le chef. En entrée, la salade de crevettes aux pousses d’épinard s’invite dans l’assiette. Cette suggestion fraiche et raffinée est assaisonnée d’huile d’olive, de vinaigre balsamique, sel et poivre. Une petite sauce à la cannelle légèrement sucrée l’accompagne. En plat de résistance, le choix s’annonce large. Entre le Risotto au champignon shiitaké, courgette et aneth et la Linguine au maquereau, fenouil et raisin sec, anchois, câpres et chapelure toastée, les papilles seront définitivement comblées. « Le tout à déguster avec un bon Renosu Rosso ou un vin de chez Marco Dettori », conseille Francesco Bertuna. Car sa carte de vins fait la part belle aux bouteilles italiennes réputées pour la richesse de leurs arômes et de leurs saveurs. Le voyage culinaire s’achève avec une classique tarte à la ricotta, ce célèbre fromage italien à pâte fraiche qui s’utilise dans des préparations aussi bien sucrées que salées. L’alliée favorite de tous les gourmands. Destination l’Italie À table, une généreuse coupelle d'huile d'olive et des baguettes fraiches accueillent les convives. Dans ce cadre très soigné de l’Olio Pane Vino, la clientèle plonge dans une atmosphère cosy et conviviale. Avec ses murs en pierres apparentes, sa décoration intérieure, où le blanc et la couleur crème dominent, rappelle le charme de l’Italie. Les photos en noir et blanc qui ornent les lieux et le mobilier tout en bois, du parquet au sol, créent un design épuré. La lumière intimiste et les longues tables procurent une ambiance parfaite pour les soirées entre amis ou en famille. Une adresse idéale pour des soirées privatisables ou à thème. ...

Maison Laffarge, la tradition et l’exigence du bio

L’établissement des Laffarge était, jusqu’aux années 50, un restaurant ayant notamment pour habitué un certain Lénine. Mais la maladie du propriétaire poussa sa femme à transformer le lieu en boutique de thés et de produits naturels et diététiques. Une belle innovation à l’époque. Depuis 2006, Abdelhamid Saida a repris le magasin, après avoir connu la maison en tant que client alors qu’il étudiait l’histoire et l’archéologie et résidait à la Cité Universitaire internationale. Soucieux de conserver l’esprit des lieux, il en perpétue le charme et garde la même exigence dans la sélection des produits. Plus de 250 thés minutieusement sélectionnés Avec plus de 250 variétés de thés testés et sélectionnés, La Maison Laffarge est un comptoir de thé, voire l’un des plus anciens de Paris et l’un des plus savamment fournis. Cette grande sélection toujours d’une fraîcheur remarquable, rigoureusement choisie chez Damman, Orientis Gourmet, Georges  Cannon, Alveus… vaut à l’établissement de la rue Sarrette le prix de la tradition dans le Guide du thé à Paris. Des produits biologiques et naturels venant du monde entier Monsieur Saida a également développé d’autres produits biologiques et naturels. En premier lieu, l’huile d’olive extra vierge Cercina qu’il importe de son pays natal, la Tunisie. Certifiée par Ecocert, mono variétale, douce et fruitée avec un taux d’acidité remarquablement bas,  elle est distribuée dans 160 points de vente en France. Dans son magasin, d’autres huiles sont présentes comme celles de pistache, d’Argan, de pépin de courge, de lin, de cameline,  de germe de blé et de chanvre…Les produits de la ruche restent l’un des produits phares de la maison. En effet, la gelée royale biologique française certifiée par le GPGR (Groupement de Producteurs de Gelé Royale) ainsi qu’une sélection remarquable de miel d’apiculteurs français font la réputation de l’enseigne. Des sardines millésimées Rödel, des fruits confits de fabrication artisanale (citron, angélique, gingembre, cerise, ananas, cédrat, …), des paniers de fruits et de légumes, fruits secs et séchés, des épices en vrac ainsi que des vins sans sulfite, tous issus de l’agriculture biologique / biodynamique forgent la singularité de l’enseigne et son ouverture sur les bons produits du monde entier. La Maison Laffarge, comme préfère la nommer certains observateurs, est une Institution dans le monde du bio. ...

Bol d’air : un univers de sensations intenses

Idéalement situé dans les Vosges, à La Bresse, Bol d’air s’étend sur un domaine de cinq hectares entouré de montagnes et de rivières. Fêtant, en 2017, ses 30 ans d’activité, le parc a été fondé par Régis  Laurent et son épouse Jocelyne, des passionnés de la montagne et de sensations fortes. À ses débuts, le parc accueillait quelques apprentis du parapente, mais au fil des années, d’autres activités se sont développées. Aujourd’hui, les formules proposées s’adaptent aux envies de chaque type de client, particuliers ou entreprises, en été comme en hiver. Aventures dans les airs Le Fantasticable est l’une des attractions phares du parc. Les participants vont littéralement voler et planer au-dessus des belles vallées de La Bresse, sur un câble qui fait 1,35 km de long. « On descend en position allongée, la tête la première, avec une vitesse maximale de 110 km/h », explique Laurent Mougel, le responsable communication de Bol d’air. Cette activité peut se pratiquer en mode solo ou duo en accompagnant votre enfant pendant le parcours. Et pour encore plus de sensations, un masque de réalité virtuelle (VR) peut être fourni à la demande du client. Montée d’adrénaline assurée ! La grande tyrolienne Bol d’air Line, la première dans son genre en Europe, est réservée pour les plus audacieux. Suspendu dans le vide, le participant va voler à grande vitesse, en traversant des loops, des droops, des virages jusqu’à 720 degrés sur un parcours de 900 mètres. Une expérience inédite ! Séjour à La Clairière aux cabanes Au cœur de la forêt, le parc accueille ses clients qui veulent rester pour la nuit, dans ses treize cabanes insolites. Perchée dans les arbres ou installée sur sol, chaque cabane représente un univers différent, avec des décorations pittoresques. « Les clients peuvent venir 13 fois de suite sans jamais vivre le même séjour », reprend Laurent Mougel. Des cabanes indoor, des cabanes de standing, en passant par des cabanes style chalet, tout le monde peut trouver son cocon à lui. ...

Salon Pro&Mer 2018 : rendez-vous incontournable des métiers de la mer

Pour rappel, l’édition 2017 s’est déroulée à Brest au Quartz. Avec un bilan plus que positif : 95 entreprises et structures de formation participantes, plus de 1250 offres d’emploi proposées et environ 1700 visiteurs, témoignant de la notoriété grandissante de l’évènement auprès du grand public. Cette année le Salon Pro&Mer prend une nouvelle dimension avec plus de partenaires et d’exposants et un programme attractif. Embarquez-vous ! S’ouvrir et se professionnaliser « Notre vocation est de faire connaitre nos entreprises et faire aimer nos métiers auprès du public » explique Anne-Marie Cuesta, déléguée générale de Bretagne Pôle Naval (BPN) pilote du salon. Bien plus qu’une rencontre entre les offres et les demandes d’emploi, le salon veut surtout promouvoir et dynamiser les métiers de la mer. Seront donc représentés les filières navales, énergies marines renouvelables, marines marchandes, oil and gas, rejointes en 2018 par la filière pêche et le nautisme. L’évènement tourne autour de trois pôles complémentaires : le rayon Industriel-Employeur, l’espace attractivité des métiers, et l’axe formation/organisme. Cette année, le Salon Pro&Mer est co-organisé par BPN avec ses partenaires de toujours à savoir La région Bretagne, La Touline, l’UIMM Bretagne, le GICAN, renforcés par de nouveaux partenaires investis pour lesquels l’emploi est une priorité : l’agglomération de Lorient, la CCI du Morbihan, Naval Group, le Nautisme, Lorient Grand large, la mission locale. « Pour la première fois, PRO&MER est un évènement phare de la semaine de l’emploi maritime en Bretagne et bénéficie ainsi du support majeur de Pôle Emploi Maritime » reprend notre interlocutrice pour souligner la nouvelle dimension de cette 5ème édition. « Un parcours vers l’emploi » Atypique, c’est bien le qualificatif qui distingue PRO&MER, car les visiteurs pourront voyager dans le temps et découvrir l’évolution de la filière « Mer ». PRO&MER, c’est également le futur et les métiers d’avenir à découvrir au moyen des toutes dernières technologies dont la réalité virtuelle augmentée. En outre, deux conférences organisées sous forme d’atelier vont aussi enrichir le programme en plaçant PRO&MER au cœur de l’Europe du Maritime avec la participation du Projet Consortex. Mais avant tout, le Salon Pro&Mer c’est l’accompagnement des personnes à la recherche d’un emploi, d’une formation, ou en reconversion professionnelle vers les métiers de la mer. Une offre unique « tout en 1 », atelier CV avec des responsables RH, des chefs d’entreprises et des formateurs, service de traduction de CV en langue anglaise, conseils d’orientation et job dating sont à disposition de ceux qui souhaitent rejoindre la grande famille de la filière maritime et navale. « Nous souhaitons déployer tous les moyens possibles pour attirer les talents, et ainsi concrétiser le projet professionnel d’hommes et de femmes passionnés pour renforcer nos entreprises »  termine la déléguée générale de BPN. ...

Le Clos des Abbesses, un Saint-Emillion authentique

Le Clos des Abbesses : une appellation AOC Saint-Emilion Saint-Emilion est un des vins les plus connus au monde. C’est une Appellation d’Origine Contrôlée qui compte plus de 800 viticulteurs, des terroirs différents et une qualité mondialement reconnue. Les neuf communes de l’appellation Saint-Emilion et Saint-Emilion Grand Cru sont inscrites au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1999 au titre des « Paysages culturels ». Les vignobles couvrent 5 400 ha, soit 67,5% de la superficie de la commune et produisent environ 275 000 hl de vin par an. Ils bénéficient d’un climat tempéré de type océanique, d’une humidité moyenne de 75 % et d’une pluviométrie moyenne de 800 mm/an. Les propriétés sont en général assez petites, 5 ha en moyenne et gérées plutôt de manière artisanale. Saint-Emillion est la “colline aux mille châteaux” qui produit des vins de qualité assez disparate, du grand cru aux vins de table. Les terroirs sont diversifiés, ce qui fait que chaque propriété a des caractéristiques qui lui sont uniques. Les sols argilo-calcaires donnent des vins bien corsés, puissants, charpentés, colorés, riches en alcool, en tanins et de très longue garde. Le Merlot, le Cabernet franc et le Cabernet Sauvignon sont les trois principaux cépages des vignobles de Saint-Emilion. Le Clos des Abbesses, un vin au fumet fruité « Nous avons un vrai point fort », nous explique Agnès Chariol « nos vins sont authentiques et artisanaux, ils nous ressemblent, il n’y a pas d’artifices, car on laisse avant tout parler la nature. Nous sommes des fervents défenseurs d’une agriculture raisonnée ». Le terroir se situe dans la plaine de Saint-Emillion, il est composé de graves sablonneuses. Le climat y est doux et tempéré. C’est un petit domaine de 5,2 hectares, ce qui permet une agriculture raisonnée, avec une attention toute particulière donnée aux vieux pieds de vigne. En effet, ce sont eux qui produisent le grand cru du domaine. La vinification est traditionnelle et artisanale, elle se fait dans des cuves en ciment.La durée de cuvaison varie selon les années entre 3 et 5 semaines, puis le vin est élevé de longs mois  dans des barriques de chêne français. Bien évidemment, le jus est gouté régulièrement pour connaître le moment précis où on doit le sortir des barriques. Le Merlot constitue 80 % des parcelles plantées du domaine, le Cabernet franc les 20% restants. Le Clos des Abbesses produit deux types de vin : le Clos de Abbesses sous l’appellation Saint-Emilion simple et la Grande Abbesse sous l’appellation Saint-Emilion grand cru. Le Clos des Abbesses a une teinte assez brillante, de couleur rubis. Au nez, il est assez fruité, frais et élégant. En bouche il est délicat, souple et gourmand. C’est un vin à boire rapidement pour qu’il garde tout son gout fruité. Il peut être consommé avec toutes sortes de mets. La Grande Abbesse, un vin complexe et onctueux C’est le grand cru du domaine, vinifié à partir des raisins issus des vieux pieds de vigne. La Grande Abbesse est beaucoup plus complexe que le Clos. A l’œil, il est foncé. Au nez, les notes sont vanillées et il a une bonne longueur en bouche. C’est un vin délicat qui demande à vieillir pour le déguster à sa juste valeur. Il doit être débouché au moins une heure avant de le consommer pour que ses arômes se libèrent. « Pour s’exprimer, il a besoin d’air », nous explique Agnès Chariol. ...

ANDAR : favoriser l’empowerment du patient face à la polyarthrite rhumatoïde

La polyarthrite rhumatoïde (PR) est une maladie chronique qui provoque l’inflammation des articulations à l’origine de gonflements articulaires et de douleurs. Elle est dite « auto-immune » car elle résulte d’un dérèglement du système immunitaire qui se retourne contre les articulations provoquant leur destruction sans prise en charge adaptée. Bien qu’elle puisse se manifester dès l’enfance, à l’adolescence ou chez les sujets âgés, la maladie se déclenche davantage autour de 50 ans et concerne plus souvent les femmes. « Jusqu’ici, un flou entoure les origines précises du déclenchement de la PR », nous explique Sonia Tropé, directrice de l’ANDAR. Toutefois, on sait que le tabac reste le facteur environnemental le plus connu. S’il est associé à un terrain génétique favorable, le risque de déclencher une polyarthrite rhumatoïde devient alors plus élevé. Selon notre interlocutrice, « cette maladie est mal connue du grand public ». L’ANDAR est donc née dans une volonté de mieux sensibiliser autour de la PR, mais pas que… Un accompagnement et une information de qualité dans la gestion de la maladie « Un des principaux objectifs de l’ANDAR est de servir de trait d’union entre patients et professionnels de la santé pour améliorer la relation de soins, contribuer à la mise en place de la décision médicale partagée et favoriser l’implication du patient », fait savoir la directrice. L’association régie par la loi 1901 a été créée sous l’impulsion de personnes atteintes de polyarthrite appuyées par un réseau de professionnels de la santé qui jusqu’à aujourd’hui, continuent de collaborer de manière constructive avec elle. En plus de participer au développement de la recherche en accordant une bourse annuelle financée en partie grâce à la course Polyar’trottons®, elle a pour vocation de mettre à disposition des patients, des proches et des soignants une information validée sur la PR. « Nous veillons systématiquement à ce que l’information fournie soit justifiée par des publications ou des avis d’experts », tient à souligner Sonia Tropé. Une association aux nombreuses actions innovantes Proposer les formations gratuites en ligne fait partie des moyens mis en œuvre par l’ANDAR pour diffuser l’information sur la PR. Ce MOOC (Massive Open Online Course) est accessible à tous y compris ceux qui ne sont pas adhérents de l’association. Il en est de même pour les webconférences qui invitent chaque mois un expert à venir développer un sujet en lien avec la maladie. Ces conférences interactives sont disponibles en live ainsi qu’en replay. Dans ce même élan, l’ANDAR a développé une plateforme d’information autour de la problématique du travail et de la maladie chronique qui s’adresse aux personnes œuvrant dans le secteur privé ou public, sorties du monde du travail ou à la recherche d’un emploi. Pour rester informés sur la polyarthrite rhumatoïde et sur l’ANDAR, inscrivez-vous à la newsletter mensuelle ! http://bit.ly/ANDARNL ...

Château Cadet-Bon, AOC Saint-Émilion Grand Cru : une histoire de millésimes et de récompenses

L’histoire du Château Cadet-Bon commence au XIVè siècle, quand Jacques Bon a planté sur le coteau nord de Saint-Emilion la première vigne. Déjà en 1867, le produit du terroir a contribué au succès des grands vins de la région à l’Exposition Universelle de Paris. Après une longue période de rénovation et d’études du terroir, le Château produit depuis quelques années des millésimes de grande qualité. Vingt ans de travaux et de succès Le vignoble du Château Cadet-Bon s’étend sur une surface de 6ha. Avant de devenir l’une des références dans son domaine, le Château a beaucoup investi dans l’optimisation de son terroir. Pendant les 5 premières années, les propriétaires travaillent en collaboration avec des consultants et des spécialistes en œnologie pour les accompagner et pour établir une cartographie. La douceur et le raffinement des vins du Château Cadet-Bon viennent ensuite du traitement de la vigne depuis la plantation jusqu’à la vinification, en passant par les vendanges. En effet, dès l’acquisition de la propriété, Michèle et Guy Richard arrêtent l’utilisation d’herbicides. Afin de préserver la qualité des vignes, ils optent pour une récolte manuelle et créent un système innovant de manière à minimiser les manipulations lors du transport et de l’encuvage des fruits. Le château utilise en outre la méthode du pigeage pour la vinification afin d’extraire délicatement les arômes des raisins. Ce travail soigné du terroir et de la vigne a permis à la marque de produire l’un des meilleurs vins de Saint-Emilion. Château Cadet-Bon – le choix des œnologues et des dégustateurs Dans le but d’avoir une vision générale de son terroir, le Château Cadet-Bon participe régulièrement à différents concours. Il organise aussi des dégustations lui permettant d’avoir les avis de différents œnologues et de créer un meilleur vin à l’avenir. Grâce à cette volonté d’atteindre l’excellence, le Saint-Emilion Grand Cru Classé du Château Cadet-Bon a obtenu des médailles d’Or aux Vinalies Internationales de 2021 et de 2022. Il a également gagné - entre autres récompenses - des médailles d’argent au Decanter Wine Awards 2021 et au concours organisé par Terre des Vins cette année. Outre les médailles, les notes données par les dégustateurs œnologues témoignent aussi de la qualité du vin du château. Chaque année, le Château Cadet-Bon continue de produire un nouveau millésime qui ne manque pas de marquer les connaisseurs. Parmi les meilleurs, celui de 2019 se distingue par ses délicieuses notes de fruits, sa souplesse et sa longueur en bouche. Il se trouve parmi les millésimes les mieux notés primeurs. ...

Avec Toot Sweet, vous allez adorer l’imprévu.

Vous vivez à Paris et vous en avez marre de vous retrouver toujours au même bar ? Avec l’application mobile Toot Sweet, finie la routine ! Quand rien n’est prévu, tout est possible ! Souvent, trop de choix tue le choix. En tant que parisien, vous vous en rendez compte au quotidien. Vous avez tout à côté de chez vous, mais vous ne savez pas où donner de la tête. Et surtout : il est difficile de motiver vos amis à assister à un spectacle dans quelques jours. Toujours la même excuse : « je sais pas, je verrai sur le moment ». C’est en partant de ce constat et en se rendant compte que les meilleures soirées sont celles qui ne sont pas prévues que les créateurs de Toot Sweet ont imaginé cette nouvelle application. Sur le format, Toot Sweet s'est inspirée de Tinder, l’application de rencontres, sauf qu’à la place de liker « Manuela, 23 ans », vous pourrez liker un one man show, un concert ou un bal masqué disponible maintenant ou dans les prochaines heures à proximité. Finie la préparation ! Vous êtes entre amis et vous avez envie de sortir : consultez Toot Sweet et voyez ce qui se passe à côté de chez vous. En un instant, vous pouvez réserver des places ou vous inscrire sur une guest list. Facile, rapide et fun. Surtout que Toot Sweet fait son maximum pour vous proposer les meilleurs plans par catégorie (soirée, concert, restaurant, bar, théâtre…) et en fonction de vos envies. Car, cerise sur le gâteau : cette application est capable de mémoriser vos préférences pour vous annoncer seulement les lieux et événements qui vous intéressent.  Pourquoi installer Toot Sweet ? Si vous résidez en Ile de France, Toot Sweet va vite devenir votre compagnon indispensable pour décrocher de votre agenda et vivre l’instant présent : quelle que soit l’humeur du moment, on se décide sans prise de tête, le jour même. Puis, c’est gratuit. Donc, ça ne vous coûte rien d’essayer. Les meilleures soirées sont celles qu’on n’avait pas prévues… alors on découvre « tout d’suite » ! ...

Le canard à rôtir :
un produit culinaire singulier

On raconte que même le Prince de Galles raffolait de la fameuse recette du canard à la presse au XIXe siècle. Des petits plats à déguster en amoureux jusqu’aux illustres menus festifs, le canard à rôtir séduit les gourmets pour devenir un produit d’exception présent sur toutes les tables. L’excellence est à l’honneur Promu et défendu par le CICAR, le canard à rôtir a davantage gagné en qualité. Grâce aux initiatives de ce comité interprofessionnel réunissant les différentes familles de la filière canard, l’ensemble de sa chaîne de production est de plus en plus amélioré. Des agriculteurs aux abattoirs, en passant par l’alimentation des animaux, tout a été pensé de manière à mettre en valeur la noblesse de cette viande. Des procédés rigoureux qui garantissent une viande tendre, au goût unique un peu musqué et irrésistiblement savoureux. Mais, de nos jours, la saveur ne suffit plus. Manger équilibré est quasiment la norme. Et pour cela, les vertus nutritionnelles du canard à rôtir sont inégalables. Riche en nutriments, vitamines, fer, phosphore, sélénium, cuivre et acides gras mono-insaturés, il confère une belle alliance du bon et du sain. Un produit à cuisiner à toutes les sauces L’autre atout du canard à rôtir réside dans la facilité de sa préparation. Cette viande se marie parfaitement avec plusieurs sortes de produits : légumes, fruits secs, morilles, épices..., ce qui permet de la cuisiner au gré des inspirations. En entrée ou en apéritif (comme le sushi de filet de canard ou les tapas d’aiguillette), elle met l’eau à la bouche. En plat, quelle que soit la saison (comme les aiguillettes de canard à la sauce soja et riz à la cannelle ou le tournedos de canard et sa poêlée de légumes minute), elle fait valser les sens. De surcroît, le comité CICAR a fait en sorte que les découpes du canard à rôtir soient les plus variées possible, afin que les attentes et besoins de tout un chacun soient satisfaits. On cite par exemple les aiguillettes, la cuisse, le filet ou le tournedos. Il n’y a aucun doute que le canard à rôtir a déjà gagné ses lettres de noblesse. Il a même charmé la clientèle de l’éminent restaurant La Tour d'Argent à Paris, avec la fameuse recette du canard au sang. Les grandes étoiles de la gastronomie ne tarissent pas d’éloges sur ce produit. « L’aiguillette a une texture très fondante, très moelleuse », s’exclame la célèbre chef Soizic Rescamp. Le chef renommé et conseiller culinaire Tugdual Debethune raconte pour sa part : « … Je reviens un peu sur le fameux canard à l’orange. Pourquoi cette recette est-elle devenue emblématique ? C’est parce que les saveurs se marient bien. Le canard aime tout ce qui va être miellé, sucré, acidulé, ainsi que tout autre arôme un peu floral. » ...

Villa Belle Rive :
créativité et gourmandise à la façon nantaise

Le restaurant Villa Belle Rive est orchestré de façon magistrale par un jeune maestro, dynamique et passionné. À tout  juste 38 ans, Sébastien Thébaud est reconnu pour son savoir-faire et sa passion pour la cuisine. Un chef qui aime surprendre S’initiant très jeune à ce métier, il débute à l’école hôtelière Nicolas-Appert. Une fois le CAP, le BEP et un bac professionnel du lycée hôtelier Valère-Marthe des Sables-d’Olonne en poche, il acquiert des expériences saisonnières dans deux restaurants durant quatre ans. Il continue son aventure et devient commis et maitre cuisinier à Val-d’Isère à 21 ans. Doté d’un esprit de challenge, il ouvre son propre restaurant à l’âge de 24 ans. Dans son établissement L’Escarpolette à Sucé-sur-Erdre, il commence seul en cuisine avant de se constituer une équipe de cinq personnes. Au fil du temps, sa créativité lui a permis de se construire une solide réputation. Les ambitions de ce chef passionné grandissent si bien qu’il décide de s’installer à Sainte-Luce en 2011, en reprenant notamment l’ancien restaurant du chef Delphin, qu’il rebaptise Villa Belle Rive. Sébastien vit sa consécration le jeudi 27 mars 2014. Il reçoit ce jour-là le fameux diplôme de l’innovation en art culinaire délivré par l’institut Édouard-Nignon puis le 6 Novembre 2014 où il gagne le Concours Métro- Gilles Goujon avec son équipe et une Première Toque au Gault et Millau en 2016. Un instant gourmet Villa Belle Rive ouvre ses portes à ceux qui veulent vivre une expérience culinaire mémorable. Avec une vue panoramique sur la Loire, dans un cadre spacieux et lumineux aux couleurs vives à nuance de gris, il offre une cuisine savoureuse, préparée avec soin par ce chef soucieux et attentionné. Celui-ci collabore avec des producteurs de la région qui lui fournissent des produits frais et de qualité. Sébastien a bâti sa renommée sur l’authenticité et l’originalité de sa cuisine. Il sublime les produits du terroir en les rehaussant de diverses sauces tout droit sorties de son imagination. En dégustant l’un des plats phares de la maison, à savoir le sandre au beurre blanc car il tient à respecter les traditions des bords de Loire également, vous aurez amplement un aperçu du talent et de l’inventivité du chef. Son foie gras mi-cuit est également très demandé. Différentes formules proposées aux convives Villa Belle Rive offre tous les jours trois menus gastronomiques et une carte qui sont renouvelés 4 fois par an. Parmi eux figure le menu de midi, le 12 O’clock. Servi spécialement au déjeuner du lundi au vendredi, il offre en plus des suggestions du jour, en entrée de l’avocat en cannelloni farci aux crevettes et effilochées de crabes, le tout agrémenté de sauce cocktail. La pièce du boucher snackée à la plancha est servie en plat principal et agrémentée d’une sauce barbecue ou bien encore un filet de mostelle sur sa bisque de langoustine au curé nantais. Au dessert, le fromage blanc de la Pannetière avec son coulis gourmand et le crumble de P’tit Lu fait bien l’affaire. Les convives peuvent aussi choisir le café gourmand, qui est une déclinaison de gourmandises et son café, ou bien la balade gourmande, composée d’une balade de fromager (trio de fromages sur son lit de verdurette et ses griottines) accompagnée d’un verre de vin ou de porto. ...

L'Aubergerie :
une pause gourmande à l'esprit montagnard

Perdu entre la Ferrière et le village de Fond-de-France dans la vallée du Haut-Breda, le restaurant de l’Aubergerie offre un authentique lieu de dépaysement aux accents montagnards où il fait bon savourer une bonne cuisine traditionnelle française enrichie d’une pointe d’originalité, à travers des « recettes de montagne combinées avec des épices d’ailleurs » souligne Thomas Sibille, propriétaire des lieux et non moins Chef cuisinier au parcours particulièrement riche. Un Chef au riche parcours   Le Chef, Thomas Sibille doit sa passion du métier de sa riche expérience de 8 ans en tant que berger en alpage des saisons d’estives. Poussé par un grand intérêt pour les métiers agricoles, il a exercé longtemps dans le domaine un peu partout en France. Cet ancien berger a choisi de poser ses valises dans la Vallée du Haut-Breda en 1990. Pendant 15 ans, ses activités ont consisté à préparer la vente de viande d’agneau et de fromage de brebis, des produits très appréciés, qu’il écoulait sur les marchés locaux. Progressivement, l’idée d’ouvrir la ferme aux touristes a fait son petit bonhomme de chemin avec comme objectif, de « partager ce métier agricole et faire connaître la recette et le gout de ces produits » selon ses propres termes. D’ancienne ferme, l’Aubergerie s’est transformée en un restaurant où les habitués et les touristes de passage aiment observer une halte gourmande dans un plaisir à chaque fois renouvelé. Un lieu où les belles découvertes sont toujours au rendez-vous, ponctuées par les talents d’un Chef au riche parcours doté d’un remarquable sens de l’accueil. Un cadre rustique à l’agencement bien pensé   D’une capacité d’accueil de 30 couverts tant en intérieur qu’en terrasse, l’Aubergerie est selon la description faite par Thomas Sibille, « une très belle ferme du début du 18e siècle située à 1000 m d’altitude ». Il s’agit d’un bâtiment imposant isolé en pleine campagne, sans le moindre voisinage, avec des murs en crépi plus ou moins irrégulier et des couleurs volontairement défraîchies. Le plafond constitué d’un ensemble aux poutres apparentes laisse présager du glorieux passé du bâtiment, sans oublier l’âge présumé d’un vieux plancher à l’aspect chaotique qui fait tout le charme de la pièce. Dans une « belle association d’une maison traditionnelle et d’une structure très contemporaine » comme aime l’affirmer Thomas Sibille, le restaurant l’Aubergerie bénéficie d’un cadre rustique à l’agencement bien pensé. Divisé en 2 parties bien distinctes composées notamment de la salle de restaurant au cadre paysan et de la partie cuisine au cadre contemporain qui fait office d’accueil, avec l’opportunité pour les clients de faire face au plan de travail. Une cuisine évolutive Le restaurant l’Aubergerie, c’est surtout la garantie d’une pause gourmande avec de belles surprises culinaires. La cuisine est élaborée à partir de produits frais et de saison, issus généralement d’ « un périmètre d’à peine 30 km » précise Thomas. La carte des menus privilégie les spécialités montagnardes à l’image des tartiflettes et des fondues au fromage, mais l’idée du restaurant reste vraiment sur le principe d’un menu du jour qui change régulièrement en fonction des saisons. Une cuisine inventive et évolutive selon les matières disponibles avec toujours à la carte, quelques spécialités de la maison comme le sauté d’agneau aux écrevisses avec une très légère pointe d’épices ou encore le collier de veau aux anchois, une spécialité d’inspiration italienne. ...

Le développement personnel optimisé pour créer votre vie idéale 

De l’ingénierie au coaching Avant de devenir un expert du développement personnel suivi par plus de 70 000 personnes, David Colom était ingénieur diplômé de l’École des Mines de Saint-Étienne. « À l’époque, je travaillais auprès de grandes entreprises comme Alstom, Areva ou encore Cegelec » se souvient-il. « J’étais spécialisé dans le management de la qualité et l’amélioration continue des processus de l’entreprise. J’étais également certifié Black Belt (ceinture noire = le plus haut niveau) de la méthode 6 Sigma, la plus puissante et la plus connue des méthodes de résolution de problèmes dans le monde des grandes entreprises. J’avais eu une enfance heureuse et à 32 ans, j’avais enfin rencontré la femme de ma vie. Mais quatre ans plus tard, je me suis aperçu que la vie que je menais ne me satisfaisait pas alors que tout allait bien, au travail comme dans ma vie de couple. Pour sortir de la terrible dépression qui me faisait me demander, tous les jours en rentrant du boulot, effondré dans mon canapé, pourquoi je n’étais pas heureux, je me suis tourné vers le développement personnel. J’avais entendu parler de Anthony Robbins (la référence du coaching au niveau international) par une personne de mon réseau qui avait obtenu d’excellents résultats. Ça m’a permis de découvrir un nouveau monde et d’autres experts de renommée auprès desquels je me suis formé. Jusqu’alors, je n’avais encore jamais eu l’occasion de travailler sur moi-même ». Contre toute attente, David constate alors qu’il existe des similitudes très importantes entre son métier d’ingénieur et le développement personnel. « J’ai réalisé que les préceptes que j’appliquais quotidiennement aux entreprises, dont l’amélioration continue, je ne les avais jamais transposés à ma propre vie ». Peu de temps après avoir réparé cette omission, David Colom a pu constater de gros changements dans sa vie. « J’avais enfin créé ma vie idéale. La même année, je me suis marié, je suis devenu papa et j’ai démissionné pour monter ma société ». Car cette méthode qu’il avait mise au point et dont il avait pu tester l’efficacité sur lui-même, David a rapidement éprouvé le besoin de la partager. « C’est la raison pour laquelle je me suis formé au coaching » explique-t-il. « J’ai d’ailleurs une double certification : par l’ICF (International Coaching Federation), d’une part et par le High Performance Institute aux USA, d’autre part ».  Une approche globale et structurée S’adressant à une très large palette de personnes (parmi ses clients figurent des dirigeants d’entreprise, des étudiants, des retraités, des mamans, des cadres, des médaillés olympiques, etc.), David Colom leur propose une approche globale. « L’idée » précise-t-il, « c’est de les aider à créer leur vie idéale en améliorant leurs douze domaines de vie que sont la santé, le mental, la vie spirituelle, la vie émotionnelle, la gestion du temps, la personnalité, la famille et les amis, la vie parentale, la vie de couple, la vie professionnelle, les finances et le style de vie. Pas question de se focaliser sur une thématique au détriment d’une autre ». Partant du principe qu’une vie idéale, c’est un tout indivisible, David Colom agit simultanément sur la totalité des domaines. De cette façon, il est possible de profiter d’un effet cascadant, chaque amélioration d’un domaine se répercutant sur les onze autres. En plus d’être globale, la méthode qu’a conçue David Colom s’articule autour de trois axes qui sont la clarté (avec la définition d’un projet de vie complet et l’exploration de la connaissance de soi-même : ses valeurs, ses talents…), la productivité (s’organiser afin d’obtenir rapidement plus de résultats tout en entreprenant moins d’actions et en mobilisant moins de ressources) et la motivation (parvenir à maintenir un niveau ...