logo-flash-matin
portrait-chef-sebastien-bonnet

Interview avec Sébastien Bonnet
Chef du restaurant Le Kléber



Restaurant
1 étoile au Guide Michelin
situé à Crest
Région Auvergne - Rhône-Alpes

Dans votre restaurant, comment définissez-vous votre cuisine ? Quels sont vos plats «Signature»? Avec quels produits aimez-vous travailler ?

Sébastien Bonnet Je définis ma cuisine comme moderne et créative. Mon plat signature est le pigeon qui est au menu toute l'année, préparé différemment selon les saisons. J'aime travailler avec les produits de saison et locaux si possible.

Quelles émotions avez-vous ressenties lors de la remise des étoiles du Guide Michelin ?

SB Un objectif atteint ! Un rêve de gosse qui se réalise ! Ça fait plaisir de faire parti du cercle fermé des chefs étoilés.

La cuisine est faite chaque jour de partage et d'émotions. Toutefois, certains moments de la vie sont à privilégier plus que d'autres... Pouvez-vous nous confier vos plats rêvés pour :
- Un repas de Noël ?

SB Foie gras d'oie, homard bleu, poularde de Bresse pochée sauce suprême aux truffes.

- Un repas de la nouvelle année ?

SB Il faut un repas un peu plus dingue pour l'occasion ! Des bonnes huîtres chaudes au champagne, langoustines royales rôties, araignée de mer, caviar et lièvre à la royale.
plat-restaurant-le-kleber-crest

- Un repas de Saint-Valentin ?

SB Un menu en rapport aux délices d'Eros.

Au fait, pour votre mariage, qui a fait la cuisine ? Pouvez-vous nous indiquer les plats cuisinés ?

SB Pour notre mariage, c'est un ami restaurateur qui à fait la cuisine : une cuisine simple mais travaillée avec de beaux produits. C'était un super mariage champêtre à la campagne. De beaux souvenirs !
plat-restaurant-le-kleber-crest

Sans trop réfléchir, pouvez-vous nous confier votre plus beau souvenir gustatif et certaines des émotions procurées ?

SB La "Maison Trois Gros" à Ouches, un délice ! Et la cuisine de Christophe Baquié... Le goût et les saveurs, un ensemble explosif !!!

D'après la célèbre devise de Prosper Montagné "On ne fait du bon qu'avec du très bon", pouvez-vous nous révéler deux ou trois de vos adresses gourmandes. Vos producteurs et produits préférés sur votre région ou ailleurs (vins, produits frais, ou autres...)

SB Comme je l'ai dit plus tôt, j'aime cuisiner le pigeon de Monsieur Rozeron à Marches dans la Drôme est excellent. Je recommanderais également les escargots de Montvendre, les framboises de Monsieur Granjon à Eurre et le vin de Brézème de Christian Gresse à Allex (Drôme).
restaurant-le-kleber-crest restaurant-le-kleber-crest restaurant-le-kleber-crest

Si vous aviez un hommage à adresser à Paul Bocuse, quel serait-il ?

SB Grand merci à lui, c'était un des précurseurs de la cuisine dans le monde !
Adresse | Contacts utiles
image-prop-contact-le-kleber Le Kléber 6 Rue Aristide Dumont
26400 Crest

Tél. : 04 75 25 11 69
Site Internet

Récompenses
1 étoile au Michelin

Le Kléber : les avis

LES ARTICLES LES PLUS LUS

Les vins Caritas :  des moines et des vignerons pour un projet solidaire

Ces hommes de prière, qui vivent dans le silence et la solitude, ont perçu l’impérieuse nécessité de travailler main dans la main avec les vignerons de cet écrin de nature sauvage qui  s’étend de la crête orientale du cirque des Dentelles de Montmirail aux contreforts nord-ouest du mont Ventoux. Le vin a toujours été symbole de partage et d’amour. Tout naturellement, les moines se sont sentis liés à leurs voisins vignerons. Cette amitié partagée dans le travail s’est épanouie progressivement jusqu’à donner naissance à de nouvelles cuvées au grand cœur : les vins Caritas.   Histoire des abbayes du Barroux En 1970, Dom Gérard Calvet s’installe à Bédoin dans la chapelle de la Madeleine pour vivre la Règle de saint Benoît : « Ora et Labora » (« prière et travail »). Il est rejoint par de nombreux jeunes désirant découvrir la vie monastique. La communauté grandissant, en 1980, la construction d’un monastère de style roman provençal débute au Barroux. Il sera achevé en 1988. Des vignes anciennes et nouvelles s’étalent sur les flancs de la colline silencieuse.   En 1986, un groupe de moniales s’installe à proximité, sur une propriété viticole, « La Font de Pertus ». La construction de l’abbaye Notre-Dame-de-l’Annonciation débute alors, tandis que les jeunes sœurs s’engagent à cultiver les vignes. Depuis 1986, les deux communautés (aujourd’hui 57 moines et 30 moniales) s’entraident pour faire prospérer cet héritage spirituel et viticole. Le vignoble des Abbayes Les 9 hectares en terrasses des deux abbayes sont complantés de cépages variés. Pour les rouges et les rosés : grenache noir, syrah, carignan et cinsault. Pour les blancs : roussanne et clairette. Situé entre 350 et 400 mètres d’altitude, le domaine des Abbayes est adossé aux célèbres terroirs de Beaumes-de-Venise et de Gigondas. Ses sols et ses expositions variés permettent l’élaboration de vins complexes où fraîcheur et puissante structure entrent en symphonie. Les vins Caritas À la suite de la rencontre avec Jean-Dominique Artaud, en 2010, moines et moniales adoptent de nouvelles méthodes de culture pour faire progresser la qualité des vins. Avec leurs amis vignerons, ils retrouvent des procédés ancestraux comme la haute densité (7 500 pieds par hectare), ou le palissage haut sur piquets de bois. Le travail effectué à la main – taille, ébourgeonnage, épamprage, écimage, effeuillage et vendanges – ressemble bien à de la haute couture vigneronne. Les moines utilisent des engrais organiques et travaillent les vignes avec des moyens mécaniques. En 2016, les moines commencent un projet commun avec les vignerons Lux Montis. Son nom : CARITAS. Son but : une valorisation plus juste des vins de caractère produits sur ce terroir de montagne classé dans les « vignobles héroïques ». Pour le bien des vignerons courageux du Barroux, de Beaumont-de-Ventoux, de Malaucène et d’Entrechaux regroupés sous la bannière Lux Montis. L’objectif avoué est de permettre à ces montagnards de maintenir leur activité, aujourd’hui et dans les générations à venir. Le territoire tout entier devrait bénéficier de cette belle aventure solidaire. La beauté de ce terroir aux paysages époustouflants et l’équilibre socio-économique de la région sont en jeu : pour ces moines, la vie agricole est l’un des principaux facteurs structurants de cette Provence des papes. Ils veulent donc mettre leur dynamisme à son service. Pour assurer l’excellence recherchée, les nouveaux pieds de vigne sont sélectionnés selon les profils géologiques des terres. La vigne est cultivée avec beaucoup de cœur pour obtenir des raisins généreux. L’élaboration des vins se fait sous la houlette d’un jeune œnologue de talent, Daniel Haïlé, épaulé par Philippe Cambie, œnologue mondialement reconnu qui apporte son génie pour affiner les assemblages et sublimer le travail vigneron. Cette nouvelle aventure a permis de proposer les premières cuvées haut de gamme en ...

Bourgoin Cognac : une nouvelle vision d’un cognac de vigneron authentique et sincère

Pour Frédéric Bourgoin, le temps est venu de dépoussiérer l’image désuète associée au cognac. Un phénomène qui – d’ailleurs - mérite amplement une réflexion. Dans son propre pays natal, ce spiritueux a été relégué au rang de digestif de vieux pépères. Une situation inadmissible pour ce jeune vigneron qui aspire à tellement mieux pour un si beau produit. Histoire de faire bouger les lignes du cognac, il s’est alors imposé une nouvelle vision directrice. L’idée ? « Proposer une approche viti-vinicole naturelle, de la transparence à outrance, et un soupçon d’innovation ». De la vigne au verre À côté des grandes marques de cognac, les faiseurs de petits volumes tentent de se tailler une place au soleil en adoptant une toute approche dans la production de leurs spiritueux. C’est le cas de Bourgoin Cognac.   Cette maison implantée sur la commune de Saint-Saturnin, dans le village de Tarsac fait appel à l’expérience familiale, l’amour du terroir et l’innovation pour tirer son épingle du jeu. Constitué en 1930, le domaine a vu succéder quatre générations de vignerons et s'étend aujourd'hui sur les crus premiers bois (hautement revendiqué), petite champagne et fins bois. Frédéric est particulièrement admirateur du terroir des premiers bois. « C’est un minuscule cru oublié de la carte AOC cognac du 1er Mai 1909, doté de sous-sols calcaires du Crétacé (cénomanien moyen) », communique-t-il. Ce fort attachement à la terre s’illustre par des méthodes de fabrication typiques. « Je m’obstine à faire des cognacs « nature » qui expriment au mieux le terroir qui les a vus naître. Donc chez moi pas d’assemblages, pas de filtrations, pas de colorants, et pas de sucres ajoutés ». En clair, le produit et rien d’autre. Pour aller encore plus loin dans sa démarche, le vigneron-terroriste fait aussi tout lui-même, aidé de quelques membres de la famille. De la récolte des raisins, au pressurage, en passant par la distillation jusqu’au vieillissement, le domaine maîtrise l’ensemble de la chaîne de production. Quelques ambassadeurs de la maison L’innovation constitue l’une des marques de fabrique de Bourgoin Cognac. Une philosophie qui se découvre à travers le Micro-barrique 1998. Ce cognac XO est élevé dans des micro-barriques de 10 litres, ce qui lui donne plus de rondeur et de suavité. Ce n’est pas tout. « Ces contenants sont surchauffés à l’intérieur à l’aide de charbon actif qui va capter les éléments trop agressifs du cognac et le rendre plus doux en bouche. C’est ce qu’on appelle la méthode du bousinage crocodile », nous informe notre interlocuteur. L’objectif étant de redonner l’envie à certaines personnes qui boudaient le cognac de se remettre à en déguster. Pari gagné. Les produits Bourgoin Cognac commencent à imposer leur signature auprès du cercle très fermé des jeunes branchés parisiens. « Nous avons pour ambition de plaire notamment aux trentenaires qui ont envie de se différencier de la consommation de leur papa plus axé sur le whisky et qui redécouvrent cet alcool français oublié. Cette jeunesse qui aime déjeuner dans les restaurants gastronomiques, en quête de naturalité, de produits vrais et authentiques, de structures familiales et de produits en direct du producteur. Bref, ceux qui ont en marre d’acheter des marques déconnectées du terrain. » Message clair et limpide Monsieur Bourgoin ! ...

#MyInvisibleMS : une sensibilisation
sur les symptômes invisibles
de la sclérose en plaques

La sclérose en plaques (SEP) est actuellement reconnue comme une des causes principales du handicap chez l‘adulte jeune en France. La maladie s’explique par une inflammation du système nerveux central (SNC) et se manifeste par différents symptômes qui varient selon la localisation des lésions. Les symptômes les plus connus sont les troubles moteurs tels que la difficulté à marcher ou les troubles de l’équilibre. Mais il existe des troubles tout aussi invalidants que l’on désigne par « symptômes invisibles ». C’est ce que le hashtag #MyInvisibleMS tient actuellement à faire connaître sur la Toile et les réseaux sociaux. Une maladie auto-immune Les causes exactes de la SEP sont jusqu’à présent méconnues. Pour l’heure, les recherches révèlent uniquement les mécanismes de la maladie. Tout se déroule au niveau du système nerveux central qui comprend le cerveau, la moelle épinière et les nerfs optiques. On parle de SEP lorsque la gaine de myéline qui enveloppe ce système se dégrade à cause des inflammations. Notons que cette gaine de myéline a pour rôle de protéger les nerfs et d’augmenter la vitesse de propagation de l’influx nerveux. Une démyélinisation entraine des troubles neurologiques, puisque la transmission de l’information élaborée par le cerveau ou venant de la périphérie est perturbée. Mais, en général, la majorité de ces troubles disparaissent, ou du moins régressent, une fois que la myéline se régénère. Il faut noter toutefois que si la maladie évolue ou que les inflammations sont trop importantes, les mécanismes de réparation sont insuffisants. Dès lors, les symptômes persistent et le handicap s’installe. Par ailleurs, le fait que la SEP soit une maladie auto-immune rend la remyélinisation plus difficile. En effet, lors des poussées, le système immunitaire de l’individu concerné considère la gaine de myéline comme un corps étranger. Ce qui fait que la réaction immunitaire est menée contre le corps lui-même. Des symptômes multifactoriels Il est souvent difficile pour l’entourage du patient de reconnaitre et de comprendre les symptômes invisibles de la sclérose en plaques. Le patient lui-même a du mal à admettre sa maladie, s’efforçant de tenir le coup lors de la première poussée. Durant cette phase apparaissent les dénommés « symptômes invisibles » qui sont d’ordre neurologique : fatigue extrême, troubles de la mémoire ou de la concentration, dépression, anxiétés… L’aggravation de ces symptômes ou l’apparition de nouveaux signes cliniques est ce qu’on désigne par le terme « poussée ». Les symptômes de la SEP diffèrent d’une personne à l’autre, selon la zone lésée. Ainsi, certains patients souffrent de troubles de la sensibilité qui se manifestent notamment par des sensations de fourmillement ou de picotement au niveau des bras, des jambes, du thorax ou encore d’une partie du visage. Ces sensations sont souvent suivies d’une impression de froid ou de ruissellement sur la peau ou bien encore d’une sensation d’étau, voire des douleurs. Une personne atteinte de SEP peut également présenter une baisse de l’acuité visuelle accompagnée d’une douleur autour de l’orbite. Dans d’autres cas, on note une diplopie (vision double), ces symptômes étant dus à une névrite optique (inflammation du nerf optique). D’autres symptômes de troubles urinaires peuvent aussi se manifester. Traitement de la SEP : un défi encore à relever Malgré l’avancée des recherches, aucun traitement n’a encore été trouvé pour lutter efficacement contre la sclérose en plaques. Les solutions adoptées jusqu’alors ne permettent que de ralentir l’évolution de la maladie et de diminuer la fréquence des poussées. Par ailleurs, la prise en charge de la SEP est multidisciplinaire. Différentes compétences sont donc associées dans le but d’améliorer le quotidien des patients. Une première approche consiste à traiter la maladie par des médicaments à effet anti...

Papilles & Mamies : délicieusement authentique

En créant Papilles & Mamies, Cyril Romanet et Charlotte Thienpont ont voulu rendre accessible à tous une cuisine de qualité toujours élaborée à partir de produits frais et de saison. Faire du désir de bien manger un plaisir du quotidien, tel est l’objectif que se sont fixé ces deux amoureux de la cuisine traditionnelle française. Une histoire née de la passion pour la bonne cuisine L’univers culinaire n’a aucun secret pour les deux épicuriens dans l’âme puisque, dès leur plus tendre enfance, ils y ont été initiés. Ayant grandi dans une ferme, Charlotte a développé un amour particulier pour le bon produit. Quant à Cyril, il a appris à aimer et préparer la cuisine du terroir auprès de sa grand-mère. Dans une volonté de pérenniser ces souvenirs et partager leur passion pour la cuisine au plus grand nombre, le duo s’accorde à créer une solution qui permettrait à chacun de se faire livrer de bons plats authentiques. Le défi est donc lancé en 2018 quand Charlotte et Cyril décident de participer au concours « 100 jours pour entreprendre » qu’ils remportent avec succès. Ensemble, ils poursuivent leur entreprise avec l’aide de l’incubateur Smart Food Paris et ont réalisé un test de commercialisation avec succès. A noter que ces bons petits plats qui fleurent bon les odeurs d’enfance et les matinées agitées sont tous mijotés en cuisine par l'équipe, avec des ingrédients méticuleusement sélectionnés. Et pour que l'offre soit accessible à tous, nos deux cordons bleus préparent en coulisse l'ouverture officielle des commandes, qui sera annoncée sous peu. Des repas chaleureux et conviviaux Pour Cyril et Charlotte, alimentation de qualité rime avec produits sains et frais. Ainsi, seuls les meilleurs ingrédients locaux et de saison ont la place dans leur cuisine. Et pour conserver le maximum d’apports nutritionnels, les repas vont être soigneusement mijotés à basse température dans des bocaux en verre. Bannissant les additifs et autres conservateurs, ce mode de préparation artisanal permet d’assurer une conservation plus naturelle des plats. Le consommateur bénéficie ainsi de repas frais, et équilibrés, riches en saveurs et préparés avec amour et délicatesse, exactement comme on les aime. Et parce qu’un bon lunch n’est pas uniquement réservé pour les grandes occasions, Papilles et Mamies fait de ce plaisir une expérience à vivre et à partager au quotidien. L’occasion de se réunir en famille ou entre amis pour un moment gourmand et convivial. ...

Vignobles de Saint-Tropez : témoin immémorial de l’excellence vinicole

Volupté, extase des sens et subtiles saveurs méditerranéennes se retrouvent dans chaque cuvée du terroir tropézien. Les vignes s’épanouissent sur une terre de gneiss métamorphique bénéficiant d’un ensoleillement idéal, et d’une légère brise marine conférant toute sa typicité au vin. Symbole de l’art de vivre à la tropézienne, cette cave figure parmi les plus grandes références dans le monde vinicole. Un terroir d’expression singulier Ce sont 180 hectares de vignobles perdus entre terre et mer, traités dans le respect de l’environnement, qui produisent un vin caractéristique rendant hommage à une terre bénie. Les particularités géologiques et climatologiques riches de ce terroir favorisent l’obtention de cuvées riches en saveurs, matures et complexes. « Ce vignoble au cœur du village de Saint-Tropez se veut [ainsi] être le fier représentant de l’identité tropézienne », nous confie Alain Guichet, directeur de la cave. Les vignobles de Saint-Tropez se font aujourd’hui les défenseurs zélés de cet héritage vinicole précieux. Chevalier Torpez : une ode au village Parmi les gammes emblématiques de la cave, la gamme provençale Chevalier Torpez fait fière figure d’ambassadrice de l’excellence vinicole tropézienne. Décliné en rosées, en domaines ou en bruts tradition, Chevalier Torpez est « un mélange d’histoire et de traditions », continue notre interlocuteur. En effet, en s’inspirant de l’histoire du chevalier Torpez, régisseur du temps de l’empereur romain Néron et élevé au rang de saint après être mort en martyr au nom de sa foi, l’origine de cette gamme ambassadrice est intimement liée à celle du village. Appréciez ainsi, lors de vos instants gourmands, les cuvées de cette gamme incluant le vin Château la Moutte, « produit dans un domaine ambassadeur de 4 hectares, dont le vignoble en coteaux, établi sur la pointe de Salin, fait face à la mer », reprend Alain.   ...

Château de Lacquy : l’armagnac pour remonter le temps

Situé dans l’appellation « Bas-Armagnac », ce domaine est la plus anciennepropriété familiale produisant cette noble eau-de-vie. Il traverse les siècles depuis 1711 sans jamais prendre une ride, et cela, grâce à la passion et au travail acharné d’hommes et de femmes. Gilles de Boisséson, 11ème génération, est particulièrement fier de son terroir qu’il qualifie « d’exceptionnel ». Au sein du domaine s’étendant sur 400 ha d’un seul tenant, les vignes (surface de 24 hectares) et un parc verdoyant agrémenté de chênes se côtoient en harmonie. Une production atypique Sur ces terres, le baco, la folle blanche et le colombard se révèlent dans leur plus belle expression. Les eaux-de-vie obtenues à partir de ces cépages et des seuls vins du domaine, sont très fines, peu agressives, longues en bouche et très parfumées. Vieillies uniquement en fûts de chêne de 400 litres, elles sont absolument pures et ne font l’objet d’aucune manipulation ni adjonction de produits extérieurs (colorants, sucres etc.). « Nous avons la particularitéd’adopter une politique de vendange, de vinification, de distillation, et de vieillissement par cépage. De quoi nous assurer une très bonne connaissance de l’évolution du cépage sur 20, 30 ans… », révèle notre interlocuteur. Une dégustation du « 12 ans d’âge » ou du « 1999 » est une opportunité de s’offrir ce voyage dans le temps. ...

Lieu d’Art Contemporain de Sigean : admirer l’art dans toute sa splendeur

Nous sommes en 1946 lorsque Piet Moget intègre, à La Haye, l’école des Beaux-Arts. Là, il rencontre Mary Schallenberg, une artiste talentueuse qu’il épousera cinq ans plus tard. Marqué par l’impressionnisme de Claude Monet, Piet Moget commence, avec sa femme, un long et passionnant voyage à la recherche de leur identité artistique. Dans la foulée, Piet Moget organise, dès 1952, des expositions d’œuvres de confrères artistes. Cet engagement solidaire se concrétise par la création du Lieu d’Art Contemporain (LAC) en 1991. Ils ont l’art dans le sang Le lieu d'art privé de la famille Moget, c’est avant tout la vitrine d’une passion familiale commune transmise de génération en génération. Éduqué dans une école avant-gardiste, priorisant une approche pédagogique participative et créative, il est épaulé très tôt par le peintre hollandais Jan Blockpoel. De son côté, Mary Schallenberg, fille d’un peintre, est initiée très jeune à la peinture, et développera un talent peaufiné par ses séjours en académie d’arts plastiques et de peinture. Tous deux s’installent en France en 1953, à la Grande-Basse, enchaînant travail et voyages artistiques avant d’investir une ancienne bâtisse viticole abandonnée, qui deviendra le lieu d'art que nous connaissons aujourd’hui. C’est à leur fille, Layla Moget, élevée dans la  passion de l’art, que reviendra cet héritage. Après des études en conservation de musée de l’école du Louvre, cette dernière se consacre à l’horticulture avant de se tourner pleinement vers la gestion du musée privé. Des expositions et des collections riches en émotion Au cœur du département de l’Aude, à mi-chemin entre l’Espagne, la région toulousaine et le Bordelais, ce lieu d’art accueille sa toute première exposition lors de son ouverture, en 1991. Il s’agit alors d’une exposition du plus grand ami de Piet Moget : le peintre hollandais Geer van Velde. Cet événement fut une réussite, et en découle alors le début d’une success-story. Chaque année, et grâce à l’appui de nombreux partenaires locaux et régionaux, le Lieu d’Art Contemporain (LAC) accueille en moyenne trois expositions mettant à l’honneur des artistes en herbe, mais aussi des peintres reconnus tels que Dado, un artiste yougoslave, en 1997, ou Ger van Elk, un spécialiste hollandais de l’illusion d’optique, en 2015. Outre les expositions, le musée privé s’étendant sur deux niveaux dans un bâtiment de 2 000 m2 possède une collection permanente qualifiée de « collection éclectique » par Layla Moget. Olivier Debré, Dado, Geer van Velde, Robert Morris, erró, Marlene Dumas,  plusieurs hyperréalistes américains ou encore Matias Spescha sont les figures de proue de cette collection accessible, dans laquelle « tout le monde peut trouver son compte […], même les visiteurs arrivés par accident », toujours selon Layla. Cette mosaïque de genres, d’époques et de styles confère ainsi toute sa singularité au lieu d'art, qui ne fait pas dans « la muséologie traditionnelle », continue Layla. ...

GIP e-SIS : accompagner les établissements de santé publics et privés dans la transformation digitale

« e-SIS est un groupement d’intérêt public spécialisé dans la mise en œuvre des systèmes d’information des établissements de santé », introduit Karl VERBECQUE, le directeur marketing d’e-SIS. Cette structure publique de coopération développe une expertise transversale dans l’application des technologies numériques aux pratiques et aux métiers médicaux. Après seize ans d’existence, e-SIS ouvre aujourd’hui un nouveau chapitre grâce à un rapprochement stratégique avec le groupement d’intérêt public SIB. Une gamme de prestations modulaires « Notre champ d’application se déploie sur trois pôles phares : plate-forme de télémédecine multi-spécialités, hébergement de données de santé et des applications médicales et enfin dématérialisation des processus métier. » Ces prestations s’adaptent à tout type d’établissements de santé et e-santé, puis sont réalisées en conformité avec les objectifs stratégiques de chaque structure, tout en tenant compte des contraintes des ressources disponibles. Afin d’offrir une solution sur mesure, e-SIS procède d’abord à une analyse approfondie des besoins, avant la conception et la réalisation du projet, et met à disposition une formation ajustée et un accompagnement personnalisé. Gain de productivité, réduction des coûts liés au fonctionnement, optimisation des processus métier et accompagnement des professionnels de santé sont, entre autres, les promesses d’e-SIS aux groupements hospitaliers de territoire (GHT) et centres médico-sociaux adhérents. Avec les agréments pour l’hébergement de données e-santé à caractère personnel et le tiers-archivage, e-SIS applique sur l’ensemble de ses infrastructures les impératifs de confidentialité et de protection de données voulus par le règlement. SIB et e-SIS : une nouvelle coopération, la même vision En décembre 2017, les GIP SIB et e-SIS ont signé un protocole d’accord de rapprochement afin de combiner leurs compétences, moyens et savoir-faire au profit des établissements de santé membres respectifs. Karl VERBECQUE fait savoir que « ce rapprochement est un choix stratégique dans le sens où nos expertises sont vraiment complémentaires et nous permettent de mieux satisfaire l’ensemble de nos adhérents ». Le SIB, notamment en tant que spécialiste dans l’édition de progiciels santé et décisionnel, va apporter une dimension plus technologique et une valeur ajoutée fonctionnelle complémentaire à l’expertise d’e-SIS dans la conception de solutions numériques adaptées aux enjeux des établissements  sanitaires, sociaux et médico-sociaux. Grâce à cette collaboration,et dans le contexte de mise en œuvre des GHT et de l’application prochaine du règlement général européen sur la protection des données (RGPD), les deux GIP ont pour ambition de proposer une gamme plus étendue sur le marché national. «Aujourd’hui, le regroupement avec le SIB nous permet de maîtriser toutes les ressources nécessaires à l’élaboration, au développement et à la mise en œuvre des systèmes d’information de nos clients», termine-t-il. ...

« En raison du nombre d’acteurs qu’elle implique, la transition ‘’enfant-adulte’’ d’un patient atteint de maladie rare est kaléidoscopique »

En quoi le « basculement » d’un ado atteint de maladie rare de la médecine pédiatrique vers la médecine adulte peut-il se révéler compliqué ? Et pourquoi cette phase doit-elle faire l’objet de toutes les attentions ? La plupart des maladies rares sont des maladies chroniques. C’est à dire que ce sont des pathologies qui s’inscrivent dans la durée et nécessitent une prise en charge spécifique. Les diagnostics sont souvent posés dans l’enfance, voire même dès la naissance du patient. L’espérance de vie des malades atteints d’une pathologie rare progressant considérablement, beaucoup d’entre eux atteignent l’âge adulte. Or, pour nos confrères en médecine dite adulte, ce sont autant de patients qu’ils devront prendre en charge mais dont ils ne connaissent parfois pas - ou peu - la pathologie… De plus, les maladies rares nécessitent parfois une prise en charge multiple. Plusieurs intervenants sont alors impliqués. Et ce sont alors autant de parcours de transitions qui devront être orchestrés avant que le patient ne quitte le service pédiatrique pour rejoindre le service adulte. Pour toutes ces raisons, dans le domaine des maladies rares, la transition « enfant-adulte » est très souvent kaléidoscopique. D'où l’importance qu’un médecin, à la manière d’un chef d’orchestre, coordonne la phase de transition. Qu’en est-il des patients ? Parce qu’ils y ont passé beaucoup de temps, la plupart de nos jeunes patients considèrent le service pédiatrique comme leur deuxième maison. Ils y sont très attachés. Et beaucoup d’entre eux éprouvent une certaine appréhension à l’idée de devoir quitter l’unité pédiatrique pour être suivis en médecine d’adultes. Mais ce « transfert » est également une source de stress pour les parents. En effet, ceux-ci vont devoir gérer de multiples transitions qui vont bien généralement coïncider les unes avec les autres : leur enfant va non seulement passer en médecine adulte mais il va aussi passer son Bac, son permis de conduire, peut-être déménager dans le cadre d’éventuelles études supérieures, s’installer en couple, etc. Pour que le « basculement » que vous évoquiez précédemment se fasse en douceur et dans les meilleurs conditions, il est essentiel qu’il ait été anticipé et que la phase de transition ait fait l’objet d’une coordination sans faille. Le transfert du patient, c’est à dire le passage de relais entre les médecins pédiatres et leurs collègues « adultes », ne se fait pas du jour au lendemain mais de façon progressive. C’est ce que l’on appelle le processus de « transition » qui débute en pédiatrie pour se poursuivre en médecine d’adultes, bien après le transfert et cela afin de consolider ce dernier.Quels sont les risques, pour le patient, d’une éventuelle rupture du parcours de soins ? La rupture du parcours de soins peut s’accompagner de complications aigües, d’hospitalisations en urgence, voire d’une surmortalité… Il peut arriver qu’un adolescent ou qu’un jeune adulte échappe au parcours de soins et se retrouve aux urgences pour des complications aigües, voire mortelles, alors que son hospitalisation aurait tout à fait pu être évitée. En effet, cela peut s’accompagner de séquelles potentielles : perte de fonction d’un organe, d’un rein, de l’usage d’un membre… Il n’est d’ailleurs pas rare que des patients qui, plus jeunes, avaient échappé à leur parcours de soins, le regrettent amèrement, des années après. Ces séquelles sont d’autant plus dures à vivre pour nos jeunes patents que ce qu’ils désirent plus que tout, c’est d’être « comme les autres » et de mener une vie normale : travailler, payer des impôts, tomber amoureux, etc. La prise en charge doit-elle aussi consister à aider les jeunes patients à se construire un projet de vie d’adulte ? À s’autonomiser ? Bien sûr. La transition doit intégrer non seulement le parcours de soins et de santé mais aussi tous les éléments pouvant contribuer au bien-être du patient et de son entourage : scolarité, orientation professionnelle, vie relationnelle, amoureuse, projets d’avenir, etc. C’est une dimension qui passe au premier plan durant l’adolescence. Nos jeunes patients veulent évidemment qu’on les soigne mais également qu’on les aide à s’occuper de leur vie quotidienne, qu’on les écoute, qu’on réponde à leurs interrogations, qu’on les rassure, qu’on les valorise… Ces besoins spécifiques, liés à l’adolescence du patient nous obligent, nous médecins, à parfois lâcher un peu de lest. À sortir du côté strict du médecin qui se limiterait à soigner son patient. L’adolescence est une période difficile. En quoi peut-elle l’être encore davantage pour les jeunes qui sont atteints d’une maladie rare ? Souvent, mes jeunes patients me disent qu’ils veulent être comme les autres jeunes de leur âge. Sans aucun traitement de faveur. Quant aux questions qu’ils se posent, ce sont les mêmes que celles qui agitent tous les ados : est-ce que je peux plaire à quelqu’un ? Quel métier est-ce que je vais faire ? Même si d’autres interrogations, en lien avec leu...

Domaine de la Garenne : un domaine aux raisins d’or

Appartenant à la famille De Balincourt depuis près de 300 ans, le Domaine de la Garenne  s’étend aujourd’hui sur une superficie de 27 ha hectares dont 22 en AOC. En 1961, le comte Jean de Balincourt reprend l’exploitation pour y  produire les meilleurs vins de la vallée de Saint-Come. Aujourd’hui, sa fille, Béatrix en assure la direction avec grand succès.      Une exploitation familiale Le Domaine de la Garenne se situe dans la Commune de Cadière d’Azur. Ses terres baignent dans un climat méditerranéen, caractérisé par la douceur de ses hivers et de l’intense chaleur de sa saison estivale. La rareté des précipitations qui viennent perturber le climat de la région a une forte influence sur la qualité de l’agriculture du domaine et en l’occurrence du vin qu’il produit. Parallèlement, la texture argilo-calcaire du sol favorise la culture du cépage mourvèdre qui constitue une très grande partie du vignoble des Balincourt. Le Domaine de la Garenne a toujours été une exploitation familiale. Environ 85 %  des terres sont consacrées à la viticulture de l’AOC Bandol. L’ensemble de la culture produit 70 % de vin rosé et 30 % de vin rouge.  Le domaine a connu d’autres activités avant de devenir un vignoble de renommée. En effet, avant que le comte Jean de Balincourt ne prenne possession des terres en 1965 pour y pratiquer la viticulture, les terres étaient l’un des meilleurs terrains de chasse aux lapins de Garenne. Une fois reconverti à sa nouvelle vocation, le domaine abandonne certaines de ses politiques notamment celles orientées sur le marché du négoce. L’exploitation a pris une toute autre tournure lorsque Béatrix reprend les rennes en 2002. Elle met en pratique ses expériences dans le commerce en entreprise et opte pour un nouveau type de marché notamment plus axé sur l’exportation.     Le Bandol rosé Cuvée M 2015 : le flambeau du Domaine de la Garenne Couronné par une médaille d’or lors du Concours Agricole de Paris en 2015, le Bandol Rosé Cuvée M 2015 fait la fierté de Béatrix de  Balincourt. Il se compose de 65 % de mourvèdre, de 25 % de cinsault et de 10 % de grenache pour une teneur en alcool de 13.5°. Sa couleur claire et son nez très fuité font la particularité de ce vin.  Apprécié pour sa longueur en bouche, le Bandol Rosé Cuvée M 2015 accuse une essence  d’agrume de pamplemousse agréablement douce. La vendange manuelle est privilégiée afin de préserver la qualité des cépages. Les cultures sont alors égrappées et foulées sans avoir recours à aucun outil mécanique. Les cépages subissent un pressurage direct pour être ensuite fermentés à une température régulée entre 16 – 18 °C. Afin d’en apprécier le goût de façon optimale, il est conseillé de déguster le Bandol Rosé Cuvée M avec une grillade de poisson ou une assiette de poisson en sauce, de la bouillabaisse ou de la bourride, mais il est également excellent en apéritif. ...

Istrenn Passion, la passion de l’huitre

L’ostréiculture est une des principales activités économiques maritimes de la Bretagne et en particulier dans le golfe du Morbihan. Chaque année, près de 10 000 tonnes d’huitres sortent des bassins des exploitants locaux à destination des tables de France, d’Europe et en bien de pays du monde. Les deux variétés d’huitres, la creuse et la plate, sont exploitées dans la péninsule. Toutefois, les professionnels privilégient surtout l’huitre plate, espèce indigène d’Europe peu charnue et à la saveur douce au goût de noisette.   Histoire de l’ostréiculture bretonne À l’époque de l’Empire romain, les huitres armoricaines faisaient déjà partie des mets les plus recherchés. Ces huitres, encore sauvages, étaient destinées aux familles puissantes et riches des grandes villes. Les débuts de l’ostréiculture ne sont pas précis, la première mention remonte au IVe siècle, lorsqu’un poète de l’époque en fait l’éloge dans ses écrits. Au XVIIIe siècle, la ville de Cancale s’est imposée comme étant la capitale de l’huitre française.L’ostréiculture moderne, elle, a débuté sous Napoléon III, avec le naturaliste Victor Coste. Les premières unions locales ne se créèrent que durant l’entre-deux-guerres, idem pour les premiers syndicats. En 1920, une épizootie détruit 90% de la population ostréicole, puis une autre encore dans les années 1970. Une nouvelle variété originaire du Japon a dû être réintroduite dans la baie pour repeupler les parcs de la région.Actuellement, la filière est strictement encadrée par les législations régionales, nationales et européennes,qui garantissent sa pérennité.   Les activités d’Istrenn Passion Dans le golfe du Morbihan, à Saint-Philibert, face à la Trinité-sur-Mer, se trouve Istrenn Passion, dirigé par Gildas Mourier. Un des rares à faire partie de ceux qui continuent à perpétuer l’art de l’ostréiculture traditionelle. Ce passionné a repris ce chantier trois ans auparavant et s’en occupe personnellement avec l’aide d’un ouvrier. Sa principale activité est la production d’huitres naturelles, c’est-à-dire issues de reproduction en mer, sur un parc aquatique de 3 hectares. Istrenn Passion vend au détail et sur place ses huitres et autres fruits de la mer comme les coquillages et les crustacés.Restaurateurs locaux et grandes surfaces forment le réseau de clients d’Istrenn Passion.L’entreprise effectue aussi des expéditions dans toute la France et l’Europe. Une petite partie de la production est destinée à l’exportation.Toute l’année, 7 jours sur 7, Istrenn Passion accueille les visiteurs sur le chantier installé au bord de l’eau ; celui-ci offre une vue imprenable face à la Trinité-sur-Mer. Des séances de dégustations d’huitres, de coquillages et de crustacés directement issus de la pêche y sont organisées. Des visites guidées invitant à la découverte du métier de l’ostréiculture au travers d’un parcours ludique et pédagogique sont également proposées. Au cours de cette activité, les visiteurs enrichissent leurs connaissances sur l’histoire de l’huitre, de la naissance à la consommation, ou sur la manière de les ouvrir. Il est par ailleurs possible de recevoir des groupes pour des évènements familiaux ou professionnels. L’exploitation travaille en étroite collaboration avec les organismes locaux tels que les offices de tourisme de Saint-Philibert, de Crach, de Locqmariaquer et de la Trinité-sur-Mer ainsi que le Comité départemental du Morbihan pour développer ses activités touristiques. ...

Château Corbin Michotte pour le plaisir des papilles

Le Château Corbin Michotte et la famille Boidron La famille Boidron vit le vin comme une évidence de génération en génération à partir de 1760. Jean-Noël Boidron (Membre de l’Académie Internationale du Vin et de l’Académie des Vins de France) est un viticulteur chevronné et un œnologue, dégustateur reconnu et propriétaire de plusieurs crus en Libournais. Il élabore ses vins avec rigueur et passion. Il est également un homme très attaché à la terre. Il a acquis le Château Corbin Michotte en 1959. Le château était à l’origine une des parties d’un grand domaine féodal propriété du Prince Noir, Edouard de Woodstock, sous l’occupation anglaise. Remis en état par Jean-Noël Boidron, le domaine est devenu familial où il se fait assister par ses enfants Hubert Boidron (production), Emmanuel Boidron (commerce) et Isabelle Boidron (administratif). Dans les crus produits de la famille Boidron, il y a une philosophie qui exprime, comme dans les arts, un choix esthétique défini par cette devise : « Excellence, Harmonie, Humilité ».  Le Château Corbin Michotte Saint-Émilion Grand Cru Classé En 1980, les chais ont été reconstruits pour respecter la qualité des raisins. Les vignes sont plantées sur les sols sablo-limoneux brun-gris reposant sur un sous-sol sablo argileux très ferrugineux avec des graves en surface. Ce sol est l’un des plus riches en oligo-éléments d’où la typicité de ce vin. Prônant un retour aux sources pour un vin de qualité, le vignoble n’a jamais été traité avec de l’herbicide. Toujours dans l’esprit de démarche qualité, le processus est manuel de la vendange à la mise en cuve. La vinification se fait naturellement. La macération est longue, et elle est suivie d’une dégustation quotidienne. L’élevage se fait en fûts neufs et dure de18 à 24 mois. La répartition des cépages se décide chaque année selon la dégustation par les trois œnologues la famille. Conservés en cave, on y assemble que les lots de parfaites qualités atteignant la haute expression recherchée. Au service, le vin fait ressortir une grande profondeur dans sa couleur avec des reflets bleu-violet. Légèrement boisée avec des tannins bien présents, mais d’une grande finesse, en bouche ce n’est que du plaisir. Ce vin est l’illustration même des plus grands crus qui ont fait la renommée de l’appellation Saint-Émilion Grand Cru. ...

DeVinci Junior : une Junior qui a tout d’une grande !

Des résultats (plus que) prometteurs ! Implantée au sein du Pôle Léonard DeVinci, DeVinci Junior se compose à 100 % d’étudiants issus de l’École d’Ingénieurs (ESILV), de l’École de Management (EMLV) et de l’Institut de l’Internet et du Multimédia (IIM). Depuis son lancement, il y a deux ans, cette Junior qui compte parmi ses clients aussi bien des grand groupes que des PME et des start-ups, contribue à la réussite des nombreux projets qui lui sont confiés. « En 2017, DeVinci Junior a réalisé un chiffre d'affaires chiffre d’affaires qui luiu permet de se hisser parmi la tranche haute des chiffres d'affaires engendrés en unior-Entreprises » explique Nathan Gouët. « Et depuis le début de l’année, nous avons d’ores et déjà franchi le cap des 60 000 € de chiffre d’affaires signé ». Bref, vous l’aurez compris, le succès est au rendez-vous. Mais si les fées se sont clairement penchées sur le berceau de DeVinci Junior, ces Junior-Entrepreneurs « made in DeVinci » ne doivent leur réussite qu’à leurs idées (résolument créatives et novatrices), à leur esprit d’équipe (pour gagner, ils jouent « collectif ») et à l’enthousiasme dont ils font preuve.  Associer la théorie et la pratique, une plus-value appréciable Parce qu’elles donnent l’occasion à des étudiants de mettre en application l’enseignement qu’ils ont reçu et de développer leur potentiel, les Juniors-Entreprises constituent un excellent moyen d’acquérir une expérience professionnelle dans son domaine de compétences. « C’est d’ailleurs dans cette optique qu’on été créées les toutes premières Juniors-Entreprises. L’idée, c’est d’apporter la pratique à des étudiants qui, jusque-là, devaient se contenter de la théorie. De les professionnaliser » précise Nathan Gouët. « Une fois que l’on est un ‘’Junior-Entrepreneur’’, on n’est plus seulement un étudiant. On rentre véritablement dans le monde du travail ». Et pour cause, ce sont les Junior-Entrepreneurs qui gèrent, de A à Z, les projets qu’ils décrochent. Les Junior-Entreprises auraient ainsi sur les étudiants qui ont la chance d’en faire partie, l’effet d’un accélérateur de maturation professionnelle.  L’innovation et l’adaptabilité comme maîtres-mots DeVinci Junior ne manque pas d’atouts pour attirer de nouveaux clients. En effet, la structure même de DeVinci Junior lui garantit une grande réactivité. Il lui est, par exemple, possible de mobiliser rapidement de nombreux intervenants et de les faire travailler de manière transversale. « Nous disposons d’un riche vivier de talents et de compétences (ingénierie, design digital, business, marketing, commerce, finance, nouvelles énergies, etc.) dans lequel puiser » indique Nathan Gouët. « Les quelque 4 600 étudiants du pôle DeVinci sont autant de consultants potentiels ». Enfin, le fait que les étudiants soient « à la pointe des toutes dernières tendances » et proposent à leurs clients « des solutions résolument innovantes » finit de compenser - largement - les heures de vol dont certains esprits chagrins pourraient reprocher aux Junior-Entrepreneurs de manquer… ...

Le Bistrot du Maquis :
un restaurant sympathique hors des sentiers battus

Que ce soit en famille, en amoureux ou entre amis, les occasions ne manquent pas pour partager un bon repas autour d’une excellente table, dont les plats et les services n’ont rien à envier aux autres établissements des alentours. Une cuisine de goût et de créativité La bonne humeur et la convivialité sont constamment au rendez-vous lorsqu’il s’agit de goûter à la cuisine bistronomique et de bon goût du chef, qui vous invite à de belles découvertes. Laissez-vous tenter par sa terrine de jarret de veau au romarin et aux noisettes, une cuisson faite au bouillon et reconstituée en terrine avec un peu de gélatine à laquelle s’ajoutent du romarin, des noisettes, un petit peu d’oignon et de carottes, le tout servi avec une petite vinaigrette. Continuez avec son savoureux rognon de veau, poêlé avec une sauce moutarde (cuisson 30 à 35 minutes) et des échalotes revenues au beurre, puis déglacé au vin blanc et mouillé au fond de veau avec de la moutarde. On crème un petit peu, on passe au chinois, on monte au beurre et on ajoute de la moutarde en grains. Servi avec une fondue de choux et des petits lardons. Terminez sur une note joyeuse par son moelleux au chocolat avec une glace vanille, qui est un savoureux mélange chocolat-farine-œufs, cuit au four avec un cœur légèrement fondant liquide. Pour accompagner chacun de vos repas, le Bistrot du Maquis propose une belle carte de vins issus de la culture raisonnée biodynamique, sélectionnés directement auprès de propriétaires, vignerons et autres représentants, parmi lesquels se distinguent le Marcel Lapierre, la Principauté-d’orange de Paul Daumene ou encore le Bouzeron du Domaine Cruchandeau.  ...

un savoir-faire traditionnel et familial au service de la création de spiritueux

Imaginons un peu ces milliers de fûts de chêne qui reposent patiemment ; certains, jeunes, viennent accueillir les premières distillations de l’année ; d’autres ont plus de 130 ans. Imaginons un peu cette palette d’arômes avec plus de 300 eaux-de-vie différentes prêtes à exploser en bouche. Imaginons alors toute l’élégance du métier de maître de chais, qui, à l’instar du peintre ou du parfumeur, nécessite de posséder un solfège acquis par l’expérience, le travail aiguisé des sens et la maîtrise de soi afin de produire un assemblage harmonieux de textures et de saveurs. Des cognacs raffinés… Et c’est ce savoir qui s’est forgé au fil du temps, bonifié de génération en génération, que nous propose de partager la distillerie Tessendier au travers de trois gammes de cognac (Park , Campagnère, Grand Breuil) où chacune a sa propre spécificité, sa propre histoire… Autant de variétés qui ont vocation à satisfaire tous les goûts. Une maison toujours en quête d’innovation… Pour répondre aux besoins  d’une clientèle internationale aux approches gustatives et culturelles souvent très différentes, l’entreprise a toujours su renouveler son offre. En témoigne la dernière bouteille de la gamme Park, où une finition de six mois en fûts de chêne de mizunara  (chêne japonais très rare et très qualitatif) apporte une synergie entre les arômes floraux typiques des crus Borderies et le côté ambré des chivas japonais. En témoigne, aussi, depuis une dizaine d’années, la création d’une gamme de rhum où s’exprime tout l’art de l’assemblage de Jérôme et Lilian Tessendier, avec notamment l’arrivée de nouveaux produits dont le Rum Saison réserve. ...

5 par Cinq : pour vous aider à trouver en vous les réponses aux questions que vous vous posez

De l’ingénierie au coaching professionnel Après avoir exercé le métier d’ingénieur pendant plus de 15 ans, Céline Poloce suit une formation de coach pour créer sa structure et lancer son activité professionnelle. « Je suis quelqu’un de rationnel » précise-t-elle. « Par mon parcours scientifique, mon approche des choses est très analytique. J’ai une vision très systémique et globale des interactions qui existent entre mes clients et leur environnement professionnel ». Pour autant, Céline n’hésite pas à combiner des outils très pragmatiques avec d’autres, moins rationnels. « Ma capacité à actionner une large palette de leviers, très concrets pour certains, plus métaphoriques pour d’autres, me permet de m’adapter rapidement à mes interlocuteurs. Je peux ainsi les aider à répondre efficacement aux questions qu’ils se posent ». Se garder de proposer des réponses à ses clients À la différence d’un consultant, un coach ne conseille pas son client mais permet plutôt à celui-ci de mobiliser les ressources nécessaires pour surmonter les obstacles qui lui barrent la route. En clair, un coach ne saurait se substituer à son client. Céline a donc appris à neutraliser les réflexes qu’elle avait hérités de son ancienne activité professionnelle. « L’une des missions de l’ingénieur consiste à résoudre les problèmes des autres à leur place. On recherche son expertise et son analyse » indique-t-elle. « Au contraire, un coach doit faire en sorte que ce soit son client qui trouve lui-même les réponses les plus adaptées pour atteindre ses objectifs. À moi de l’aider à voir la situation qu’il est en train de vivre d’un autre oeil. Tout n’est bien souvent qu’une question de point de vue. ».  Sortir de sa zone de confort Basée sur la confiance et le respect, la relation qui se noue entre le coach et son client vise à obtenir des résultats concrets et mesurables. Pour y arriver, il peut s’avérer nécessaire de « bousculer » le coaché et de le faire sortir de sa zone de confort. « L’idée » explique Céline, « c’est d’emmener le client là où il n’est jamais allé, hors des sentiers balisés ». En le poussant à oser s’aventurer en « terre inconnue » plutôt qu’en « terrain connu », le coach amènera ainsi son client à l’autonomie. Prendre conscience de son potentiel et comprendre son propre mode de fonctionnement permettra au coaché d’être mieux armé pour affronter les difficultés de son travail quotidien. « Qu’il s’agisse pour un dirigeant de prioriser les actions à mener dans son entreprise, de modifier son leadership, ou encore de s’impliquer différemment en osant lâcher du lest et en confiant davantage d’autonomie à ses équipes ».   ...

Le Clos Real, l’art de produire du bon vin

Au Moyen Âge, Pierrefeu-du-Var, situé dans le triangle d’or des vins Côtes-de-Provence, formé de Pierrefeu, de Puget-Ville et de Cuers, était déjà réputé pour la qualité exceptionnelle de ses vins.   Un terroir complexe Les 22 hectares de vignes du Clos Real se trouvent sur un terroir schisteux très particulier et varié, constitué notamment de schiste, de quartz, de feldspath, de gneiss et de schiste bleu. Les parcelles du vignoble se trouvent sur des terrasses en altitude particulièrement difficiles à cultiver et dont le sous-sol très pauvre est enclavé dans le maquis. Il faut remarquer que, sur la production totale de vins réalisée dans l’Hexagone, celle du vin de schiste ne représente que 5%. Installées dans la vallée fluviale du Réal Martin, les vignes du domaine sont par ailleurs soumises à un microclimat unique, méditerranéen et à tendance continentale. Concernant les cépages de l’exploitation, ils sont conformes aux exigences de l’appellation Côtes-de-Provence. Grenache noir, syrah, vermentino, cinsault, carignan noir connu pour apprécier les sols schisteux et mourvèdre en petite quantité sont présents sur le domaine. Les cépages de vigne sont en moyenne âgés de 19 ans ; toutefois, certaines parcelles comportent des vieilles vignes âgées de 50 ans, voire de 100 ans pour les raisins blancs.   La biodynamie au service de l’agriculture et de la vinification Au Clos Real, la méthode d’agriculture mise en pratique est biodynamique. Dans les faits, cela signifie non seulement que les produits phytosanitaires chimiques sont proscrits, mais aussi que l’usage des produits dits naturels comme le cuivre ou le soufre sont drastiquement limités afin de préserver au maximum l’environnement. Pour lutter contre les attaques de parasites et les maladies, des tisanes et des décoctions de plantes dynamisées avec de l’eau sont utilisées. S’agissant de la vendange et de la vinification, le Clos Real procède à la méthode de sélection microparcellaire : les cépages d’une même parcelle sont vendangés et vinifiés ensemble, contrairement à la méthode classique où seuls les mêmes cépages sont vendangés et vinifiés ensemble. Cette pratique était celle qu’employaient les moines au Moyen Âge, qui avaient compris que cette mixité avait un effet bénéfique sur le goût, la couleur, la saveur et la texture des vins. Du fait de la déclivité importante du terrain, seule la vendange manuelle est possible à pratiquer et elle s’effectue en suivant le calendrier lunaire. Le concept de biodynamie est encore et toujours présent à la cave, où le travail est un compromis entre tradition et modernité. Les vins sont élaborés dans des cuves en inox avec deux méthodes thermiques opposées. Dans la réalisation de la presse, aucune pompe ni pressoir ne sont utilisés, car c’est la gravité qui est mise à contribution avec ces caves disposées sous forme de succession d’étages. Au final, on obtient un vin d’une complexité anodine avec une forte empreinte de son terroir. En raison de tous ces facteurs contraignants (biodynamie, petite surface et structure du sol), la production annuelle du Clos Real est faible, avec moins de 600 hectolitres par an. Toutefois, ce faible rendement permet de favoriser la qualité des vins. ...

Jedha : un bootcamp dédié aux métiers de la Data Science

La masse de données qui circule dans le monde est si énorme que l’on aurait besoin d’un millier de forêts amazoniennes pour parvenir à toutes les transcrire sur papier. Heureusement que des solutions comme le big data existent et ont été conçus pour justement comprendre ces informations, les analyser afin d’en extraire les données utiles et essentielles au moment voulu. Jusqu’ici, la science des données reste la meilleure arme stratégique pour prédire l’avenir. Le concept Basé sur le modèle pédagogique des bootcamps, Jedha propose des formations présentielles et intensives de huit semaines pour maîtriser la data science : outils de web analytics, de data visualisation, SQL et Python appliqué au Machine Learning. Les 40 heures de cours s’alternent entre cours sur l’algorithme et statistiques d’une part, et des entraînements individuels et exercices de groupe, d’autre part.  « Nous abordons chaque module en fonction des problématiques actuelles en entreprise, de telle sorte que l’ensemble de la formation puisse apporter une solution réelle et immédiate à nos apprenants », précise Antoine KRAJNC, CEO et fondateur de Jedha. D’autres consultants externes, issus d’une dizaine d’entreprises expertes dans le métier, viennent régulièrement échanger et partager leurs propres expériences avec les étudiants. La dernière semaine du programme est entièrement consacrée à la pratique avec un projet de Data Science. L’espace de travail se transforme en un véritable laboratoire où les apprenants peuvent expérimenter les techniques acquises, confronter leurs compétences et découvrir de nouvelles possibilités dans le but de résoudre une problématique donnée, avec pour finalité bien évidemment de décrocher le certificat. Une communauté collaborative En parallèle, le bootcamp organise des workshops dans ses locaux. Quand une trentaine de personnes connaisseuses et passionnées de la data science se réunissent autour d’un sujet, cela crée une vraie émulation d’idées et de connaissances. « La première heure est dédiée à la présentation, après les participants se retrouvent autour d’une bière ou d’un petit café pour discuter et se construire un réseau. » Le public de ces events se compose de jeunes étudiants, d’entrepreneurs, mais aussi de professionnels dans le métier ou en reconversion ainsi que des data analyst confirmés. Par ailleurs, l’équipe Jedha est à même de concevoir un accompagnement sur mesure des projets d’entreprise dans le data management et data analysis. Cette formule cible au plus près les besoins spécifiques de chaque écosystème tout en développant les compétences de l’équipe interne. ...

Comment bénéficier de la prime de Noël 2017 ?

Une prime de Noël pour quoi faire ? À l’instigation du Gouvernement en 1998, il a été instauré une prime de Noël pour les plus démunis. Bénéficier de la prime de Noël 2017 permet ainsi d’améliorer le pouvoir d’achat afin de profiter également dans de bonnes conditions des fêtes de fin d’année, et ce quel que soit le nombre d’enfants. Les conditions pour bénéficier de la prime de Noël 2017 Pour bénéficier de la prime de Noël 2017, il faut tout d’abord vérifier si vous êtes éligible au dispositif. Les bénéficiaires Pour cette année, sont concernées les personnes qui touchent les aides ou revenus suivants : Le RSA (Revenu de Solidarité Active) L’ASS (Allocation de Solidarité Spécifique) L’AER (Allocation Équivalent Retraite) La PTS (Prime Transitoire de Solidarité) La prime forfaitaire mensuelle de reprise d’activité NB : Attention seuls les bénéficiaires du RSA socle et les personnes cumulant le RSA socle avec la prime activité (elle remplace depuis le 1er janvier 2016 le RSA activité) pourront bénéficier de la prime de Noël 2017. Les cas non couverts par la prime Les bénéficiaires de la prime d’activité, de l’AAH (Allocation aux Adultes Handicapés), d’une pension invalidité ou de l’Aspa (minimum vieillesse) ne sont pas concernés par la prime de Noël. Les personnes qui bénéficient des allocations chômage (ARE – Allocation de Retour à l’Emploi) ne sont PAS concernées par le dispositif. Montant de la prime La prime versée par la CAF au motif du RSA Le montant de la prime de Noël versée par la CAF dépend de la composition familiale. Pour chaque enfant supplémentaire, le montant est majoré de 60,98 €. La prime versée par Pôle Emploi au motif des autres aides La prime versée par Pôle Emploi est unique et n’est pas indexée sur le nombre de personnes du foyer. Son montant est donc de 152,45 €.  Modalités Dans un souci d’améliorer les démarches administratives, il n’y aucune formalité à accomplir pour bénéficier de la prime de Noël 2017, quel que soit votre organisme. Les bénéficiaires concernés la recevront automatiquement dans la semaine du 18 décembre. Ce sont les organismes auxquels les personnes sont affiliées qui verseront la prime : CAF, la MSA ou Pôle Emploi selon la situation. Faux courriels Conformément aux modalités ci-dessus, les bénéficiaires de la prime de Noël n’ont aucune démarche à effectuer. Ainsi, en cette période festive, tout courriel vous demandant de fournir vos coordonnées bancaires est frauduleux. Il s’agit d’une tentative de phishing par laquelle l'émetteur usurpe l'identité de la CAF ou de Pôle emploi. Ce procédé vise à recueillir certaines de vos données confidentielles.  Effectivement, si vous bénéficiez des aides allouées par ces organismes, cela signifie que ceux-ci possèdent déjà vos coordonnées bancaires ; ils n’auront donc pas besoin de vous les redemander. Il est donc très facile de bénéficier de la prime de Noël 2017, du moment que vous êtes dans l’une des situations décrites dans cet article.  ...

Château de Beaulon : du cognac pour héritage

Le domaine se trouve à Saint-Dizant-du-Gua, sur la rive droite de la Gironde, à proximité de l’océan, et jouit d’un terroir argilo-calcaire, bercé par un climat doux et tempéré. Construit en 1470 par la famille De Vinsons, le château est repris par la famille de Beaulon en 1530 avant de redevenir une propriété familiale en 1712. Entre-temps, l’héritier Monseigneur de Nesmond a confié le domaine aux évêques de Bordeaux, qui ont élargi l’exploitation (consacrée uniquement au cognac à l’époque) et ont apporté les cépages de Sauternes, utilisés dans l’élaboration de pineau. Loyal à la tradition du XVIIe siècle Aujourd’hui, le château de Beaulon possède 94 hectares de vignobles, où sont cultivés neuf cépages anciens. « Nos cognacs ne ressemblent pas aux autres, pratiquement la totalité est issue du cépage que l’on appelle l’ugni blanc », renchérit Christian Thomas. Le cognac VSOP 7 ans d’âge, monocépage mythique Folle Blanche, avec une senteur florale et une personnalité bien fruitée, tient une place d’honneur dans sa gamme de produits. Le cognac XO Premier, Colombard, Montils, Folle Blanche, s’est vu attribuer une récompense d’or aux concours VinaliesInternationales Paris 2017, grâce à ses arômes très riches et très frais. Le château de Beaulon produit aussi des pineaux élaborés à partir de cépages identiques à ceux utilisés en Bordeaux puis vieillis en fûts de chêne. Petite précision de la part de notre interlocuteur  : « Nous sommes bouilleurs de cru. Ici, on ne distille que les récoltes du château. »  Inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques, le domaine constitue une attraction touristique phare de la région « hautement connue jusqu’à Bordeaux et bien au-delà », nous souffle-t-on. Environ une dizaine de milliers de visiteurs viennent chaque année pour apprécier la très belle demeure, le pigeonnier, le parc à l’anglaise… ...

Villa Eugénie :
quand l'apparat côtoie la haute gastronomie

Au bord du littoral, sur une colline sablonneuse surgit en 1855 un imposant et magnifique palace. Chez le commun des mortels, des fleurs ou autres présents symboliques serviront aux hommes à témoigner de leur amour. Mais quand on se nomme Napoléon III, on a l’exigence du luxe et du somptueux. Très épris, le prince-président ordonna alors la construction de l’opulente Villa Eugénie pour combler les désirs de sa belle. Devenu propriété de l’impératrice Eugénie au décès de son époux en 1873, l’édifice sera ensuite revendu à la Banque de l’Union Parisienne en 1880. Il sera plus tard le rendez-vous de prestige des têtes couronnées du Vieux Continent. Ravagé par un incendie en 1903, il s’est transformé en l’Hôtel du Palais qui abrite désormais l’une des meilleures tables de Biarritz. Romantisme de la belle époque Pour y avoir ses entrées, une tenue d’apparat sera de rigueur. Puis direction la grande place de Biarritz, là où trône majestueusement l’Hôtel du Palais. Vous vous laisserez d’emblée conquérir par le luxe et le raffinement des lieux. Les tapisseries, les tentures de soie, les belles dorures, les vertigineuses hauteurs sous plafonds, les tables dressées au millimètre près, les meubles d’époque ou restaurés témoignent de l’élégance exclusive de la Villa Eugénie. La salle propose des tons chauds mis en valeur par les superbes luminaires. Comme si le temps s’est arrêté, on ressent encore cette ambiance « Second Empire » marquée par l’aristocratie et tout son Gotha. Les tables ont été ingénieusement installées pour que chaque client puisse profiter de la vue imprenable donnant directement sur l’océan ou sur le célèbre rocher de la Vierge.    Cuisine gastronomique entre élégance et poésie A la Villa Eugénie, la haute gastronomie est à l’honneur. On y découvre un Jean-Marie Gautier au summum de son art. Ce chef né de parents agriculteurs voue dès son plus jeune âge une passion pour la cuisine.  Il passe son CAP à 14 ans puis intègre le Relais de Poitiers à 18 ans comme commis. Chef de partie du Maxim’s à Paris et de l’Auberge des Templiers en Sologne, il intègre  plus tard le Domaine des Hauts de Loire où il exerce comme sous-chef. Après avoir passé quelques années aux côtés de Christian Willer, il rejoint l’Hôtel du Palais en 1991. Très rapidement, il recevra le titre tant convoité de Meilleur Ouvrier de France. Jamais figée, sa cuisine est une ode au raffinement. Ses 25 années d’expériences transparaissent mélodieusement dans l’assiette. Le chef s’inspire de la cuisine française traditionnelle et régionale qui révèle des saveurs pointues avec une touche d’inspiration du reste du monde.   ...

Restaurant La Pizzetta:
Toute la finesse et la saveur de l’authentique pizza italienne

Ouvert à la fin de l’année 2005, La Pizzetta a vu sa salle entièrement remplie, seulement trois mois après. Ce rapide succès est dû à certaines nouveautés, comme par exemple la pizza à base de farine complète ou les ingrédients sont utilisés après cuisson afin de garder pleinement toutes les saveurs et le goût. Situé au 22 avenue Trudaine, tout près de la place Pigalle, dans le 9ème arrondissement, La Pizzetta est une authentique trattoria de la cuisine traditionnelle. C'est-à-dire, un restaurant italien calme, populaire et sans prétention. Un endroit où l’ambiance est conviviale et le service est simple et assez fluide. Un menu varié constitué de plats de qualité à des prix raisonnables Le restaurant La Pizzetta est l’endroit idéal pour déguster une excellente pizza, version pâte classique ou intégrale. Les pâtes et le carpaccio sont également mis à l’honneur et parfaitement exécutés. Au total, on retrouve au menu 6 différents types d’entrées, 6 plats de pâtes, 14 variétés de pizza, 2 catégories de poissons et 2 choix de viandes, proposés à des prix très raisonnables. La preuve, si besoin en est, que la carte est largement variée. A l’instar de la pizza, on retrouve d’autres plats traditionnels italiens comme le succulent Paccheri avec des petits calmars, des olives noires, de l’ail et des petits-pois mais aussi les délicieux Gnocchi de pommes de terre aux palourdes,  de savoureux Tagliolini au thon frais, avec du céleri, des tomates cerises et de l’oignon rouge, des succulentes Pennette sans gluten avec la sauce de tomates San Marzano, de l’ail et du basilic frais et de somptueux et exquis Fagottini au gorgonzola, avec des pointes d’asperge et du speck croquant. Sans oublier, les incontournables Tortiglioni all'ortolana avec des légumes frais de saison, de l’huile d'olive et du persil. La possibilité d’avoir un repas pantagruélique idéal pour satisfaire les palais les plus exigeants. D’ailleurs, le critique gastronomique Gilles Pudlowski ne tarit pas d’éloges à propos de l’établissement sur son blog en parlant d’une adresse connue depuis des années qui « vaut toujours la fréquentation et la revoyure ». Il s’émerveille de « l’authenticité des produits, de l’huile d’olive, des pâtes cuites al dente et du vinaigre balsamique de Modène ». Cette cuisine sincère à base de produits frais est servie par un personnel présent depuis l’ouverture de l’établissement. Ce qui engendre une nette fluidité dans le service et par une grande rapidité dans son exécution. Une ambiance conviviale et une décoration alliant tradition et modernité La Pizzetta dispose d’une petite salle de 35 places et d’une terrasse d’hiver avec 20 couverts supplémentaires. Le lieu s’enorgueillit d’une contre-terrasse en période d’été et peut ainsi accueillir 20 personnes de plus. Les moulures au plafond et sur les murs, rappelant l’époque de Napoléon 3 (vers 1850), rajoute une touche de baroque à un design moderne et provoque une ambiance très chaleureuse et conviviale dans un cadre calme, donnant envie aux clients de rester un peu plus longtemps. L’élégance et la simplicité de la décoration conjuguées à la chaleur de son accueil et à l’authenticité de sa cuisine font de cet établissement un moyen de téléportation vers l’Italie. Un voyage instantané dès que l’on entre dans ce sympathique et typique restaurant italien. ...

Pour être bien chez soi : un accompagnement à domicile de qualité et collaboratif

Avec l’âge, la vulnérabilité aux maladies et la perte d’autonomie augmentent. « Savoir prévenir et accompagner la dépendance est aujourd’hui essentiel. » Pour être bien chez soi met tout en œuvre pour appliquer cette devise, tout en respectant les spécificités de l’île de la Réunion. Une équipe « pluri-professionnelle » La prise en charge des personnes âgées hospitalisées lors de leur retour à domicile dépassant la simple fourniture d’équipements, Mona Kanaan, Docteur en Pharmacie, décide d’innover. En mars 2006, elle crée Pour être bien chez soi qui s’articule autour d’une équipe d’experts chargée d’assurer une prise en charge plus globale, s’étendant aux aidants (familles et environnements des patients). Structurée en départements répondant aux besoins spécifiques des personnes âgées malades, la société compte actuellement 20 collaborateurs. Elle propose une prise en charge « à la carte », spécifiquement adaptée à l’état de santé de chaque patient. Elle intervient sur toute l’île de la Réunion, jusque dans les sites enclavés. Une société ayant à cœur de répondre aux exigences de qualité Selon Mona Kanaan, directrice de Pour Bien être chez soi, « le secteur de la santé des personnes âgées à Domicile et dans les hébergements intermédiaires type Résidences Autonomies EHPA et EHPAD de la Réunion mériterait plus d'attention et de moyens de la part des institutions et des agences régionales de santé.» Il y a un manque criant de professionnels coordonnées type SSIAD et HAD pour accompagner les nombreux  PSAD sur le terrain. L'addition de la précarité à l'isolement aux maladies métaboliques avec une prévalence de l'insuffisance rénale, respiratoire est 7 fois plus importantes par rapport à la métropole. Le domicile étant une priorité pour maintenir et préserver les personnes âgées dans les meilleures conditions. Il est pertinent de positionner en face des structures professionnelles de santé coordonnées, sérieuses et d'envergure permettant autant la coordination de soins de proximité que de la prévention sous toutes ses formes. Devant ces difficultés, Pour bien être chez soi a souhaité valoriser son professionnalisme. Elle est certifiée ISO 9001 mais également ISO 26000 : 2010 depuis février 2017. Ainsi engagée dans une dynamique RSE (responsabilité sociétale et environnementale), elle s'attache à répondre au maximum aux besoins de la collectivité dans le respect de la bonne gouvernance. Une société préconisant l’information Pour bien être chez soi favorise toute communication sur le quotidien des personnes âgées. Fin mars 2018, elle a donc organisé un symposium international intitulé « Le défi du vieillissement réussi », pour un partage de connaissances. ...

Parc sports et loisirs : un cadre exceptionnel pour tout type d’événement !

S’étendant sur une superficie de 10 ha, Parc sports et loisirs bénéficie d’un cadre somptueux avec les collines du contrefort des Cévennes en toile de fond. Il dispose entre autres d’infrastructures adaptées pour recevoir des séminaires ou autres réunions de travail. En fonction des envies et des besoins, le site propose trois grandes salles de différentes capacités ; la plus grande salle pouvant accueillir entre 200 et 400 personnes. Des prestations complémentaires et variées sont également suggérées : mise en place de la salle, bouteilles d’eau, vidéoprojecteur, estrade, buffets avec boissons chaudes, biscuits et jus de fruits… Tout est pensé pour assurer le succès de vos réunions de travail ! Une résidence de tourisme classée trois étoiles Afin de profiter au maximum des activités proposées par le parc et ses environs, les visiteurs ont droit au confort d’une résidence classée trois étoiles. En tout, 53 appartements équipés, incluant un appartement familial trois pièces, des studios doubles, des studios twin, des appartements deux pièces sont disponibles. Pour la partie restauration, le site est doté d’un restaurant avec un service traiteur. Grâce à ses équipements et installations de qualité, le parc constitue un lieu d’hébergement idéal pour des séjours à thèmes variés ! Que ce soient des séjours loisirs, sportifs, détentes, découvertes ou culturels. De multiples activités au programme Afin de se divertir, les visiteurs peuvent s’adonner à de nombreuses activités. En salle ou en plein air, plusieurs options s’offrent à ces derniers. Grâce à la piscine couverte et chauffée toute l’année, ils peuvent s’exercer tranquillement aux sports aquatiques comme l’aquagym ou l’aquafitness. Ensuite, une salle de sport permet de garder la forme ou de se sculpter une belle silhouette. Pour se détendre après ces séances, un service de massage relaxant est mis à disposition. Une aire de jeux pour enfants et un boulodrome viennent compléter les activités disponibles dans la partie résidence. Sur la même complexe, les férus de sport mécanique profitent des deux pistes de karting où ils pourront tester leur adresse au volant ou se lancer des défis entre amis. Grâce à son implantation au cœur d’une région réputée pour ses activités de pleine nature, le parc promet des moments d’évasion inoubliables. « Pour les activités, nous avons déjà des partenariats… Il y a une remise systématique pour tous nos clients », souligne Mme Sandrine Coulon, la directrice d’exploitation. Ceux qui sont en quête de sensations fortes seront servis et pourront s’adonner à des activités comme l’accrobranche ou l’escalade. En ce qui concerne les activités aquatiques, c’est l’occasion rêvée pour s’essayer à la pratique du canoë-kayak ou du canyoning ! Parc sports et loisirs réserve aussi de belles surprises aux amoureux de nature à travers ses diverses randonnées à thème. Les promenades à vélo figurent également au programme ! Enfin, les amateurs de bons vins auront la chance de visiter un domaine viticole authentique et familial, situé seulement à 15 min du site. Là, ils découvrent un terroir noble et singulier avec des vins de caractère et de passion. Pour finir, Parc sports et loisirs entend élargir les activités au sein du site. « Très prochainement, nous lançons un partenariat pour accéder à des cours de tennis à proximité, nos clients y auront accès gratuitement », renchérit Sandrine Coulon. ...