Perdu au milieu des champs de vignes et idéalement installé au cœur d’une réserve naturelle, le restaurant Les Granges puise son inspiration dans ce cadre exceptionnel. Ici, le soleil et les chants d’oiseaux sont complices du charme du moment. Le soin apporté à la décoration procure encore plus d’apaisement : la lumière naturelle, les meubles en bois, les lignes épurées et le style moderne et minimaliste.
Un jeu de saveurs dans les assiettes
Aux fourneaux, le duo de chefs formé par le chef Erwan Le Cadet et Alexis Lejeune propose une cuisine de brasserie à mi-chemin entre tradition et gastronomie, où les produits locaux de première qualité sont à l’honneur. « Le restaurant est axé autour d’une démarche de proximité, et la charte signée avec Pro Natura nous engage à utiliser au maximum des produits du terroir et des produits bio », nous dévoile Gaëlle Le Cadet, la gérante. C’est avec le respect de cette philosophie « engagée » que l’établissement confectionne sa carte, son menu de la semaine et ses formules en privilégiant les produits de saison.
Les incontourables de la carte sont les assortiments de burger maison, la viande à la broche tous les samedis de Mai à Septembre, les plats de la semaine et le brunch tous les dimanches.. Erwan Le Cadet concocte des plats plus sophistiqués et audacieux à l’instar de la daurade sauce vierge et riz parfumé ou la joue de porc cuite à basse température cuisson 13 heures. Côté dessert, c’est le jeune chef pâtissier Alexis Lejeune qui s’y attelle en déployant toute sa créativité. Ses signatures : le moelleux chocolat crème anglaise ou son café gourmand. « Les Granges est une aventure qui nous lie tous, chacun apporte sa personnalité et son énergie », nous rappelle l’équipe.
Animée par la volonté d’offrir l’excellence à ses clients, ce pool de passionnés travaille exclusivement avec les producteurs locaux, dont la Culture locale à Dardagny, la boucherie d’Onex et la Genevoise du Terroir. Enfin, pour enrichir la cave à vins, la maîtresse des lieux sélectionne les meilleures cuvées genevoises comme celles issues du domaine Dugerdil, du domaine Chafalet et du domaine Clos des Pins, tous situés à Dardagny.
Des formules gourmandes
De mai à septembre, les samedis c'est viande à la broche, avec possibilité de broche en dehors des samedis pour les groupes ( mariages, anniversaires, ...) à partir de 30 personnes... « Les morceaux sont découpés et préparés devant les clients, servis avec un buffet de salade, de frites et ratatouille ». Un brunch à discrétion est en revanche proposé tous les dimanches pour environ 54 francs, avec possibilité de brunch en dehors du dimanche à partir de 30 personnes également. Le brunch consiste en un gigantes-que buffet chaud/froid, avec boissons sans alcool (café, thé, jus de légumes) à déguster ou à emporter. Petits et grands vont se régaler avec les mini-viennoiseries, jus de fruits de saison, amuses-bouche salés, boissons chaudes, et desserts maison au choix. Et, en été, on sort pour profiter du beau temps et du paysage. Ces formules alléchantes sont ponctuées d’une ambiance champêtre qui s’adapte à tout événement familial.
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Deux étoiles au guide Michelin, ce restaurant perché au plein cœur du vignoble suisse est une adresse de référence internationale pour les gastronomes depuis près de trente ans. Travailler dur pour réaliser son rêve. C’est l’histoire du chef genevois Philippe Chevrier, qui anime les fourneaux de ce charmant site champêtre situé à Satigny, une des plus grande commune viticole suisse.
Un chef qui prône la simplicité
A sept ans, Philippe Chevrier le savait déjà : il sera un jour cuisinier. Bosseur né, adolescent, il entre par la petite porte, en commençant par la plonge et en enchaînant avec des stages en boulangerie et en confiserie/pâtisserie. Quelques années plus tard, il devient l’élève des cuisiniers renommés Louis Outhier et Frédy Girardet. A 29 ans, il devient propriétaire du magnifique domaine de Châteauvieux. C’est dans sa première maison qu’il affirme ses talents culinaires. Aujourd’hui, cet alchimiste des produits du terroir est multi-restaurateur et fourmille d’idées pour créer de nouveaux concepts. Et Châteauvieux reste sa plus belle réussite. Avec son 19/20 Gault&Millau, ses deux macarons Michelin, membre de Relais&Châteaux, des Grandes Tables du Monde et des Grandes Tables de Suisse, le château cumule les titres prestigieux. Il est devenu un emblème de la gastronomie suisse autant qu’un lieu d’évasion couru, puisqu'on peut aussi séjourner dans cette magnifique bâtisse datant du XVI ième siècle.
Produits de qualité et amour des saisons
Accompagné du talentueux Damien Coche, Philippe Chevrier y concote une cuisine généreuse et cultive un amour inconditionnel de la convivialité. A Châteauvieux, ce sont ne sont pas les effets de mode, mais les saisons et leur temporalité naturelle qui sont au cœur de l’art culinaire. Dans cette ancienne ferme vigneronne superbement rénovée, le cadre fait la part belle à la chaleur des matériaux simples comme les pierres et poutres apparentes. L’écrin est rustique mais cosy et chic. Les tables blanches nappées et espacées, le bois, la cheminée : tout est là pour appeler à la détente et la sérénité. La terrasse, espace privilégié a la belle saison, offre une vue imprenable sur les vignes et le Rhône. Le jardin des plantes et le potager sont un véritable vivier d’inspiration avec les aromates, plantes, fruits et légumes de saison. Sous les couteaux des chefs, sont travaillés des produits de qualité pour révéler les arômes et les saveurs de matières généreuses. Viandes et volailles, poissons et crustacés sont à l’honneur des formules. Les menus subliment des aliments nobles comme le homard, le bœuf suisse des Alpages ou encore la truffe noire en hiver. On retient à la carte, la truffe noire de la Drôme cuite entière en chausson au foie gras, l’aile de raie bouclée poêlée a la farine de châtaigne ou encore le cœur de filet et petits farcis de bœuf des alpages suisse. En salle, c’est Esteban Valle qui met en scène les desserts avec des flambages et des découpages dont il a une parfaite maîtrise .Proposant près de 800 crus, la carte des vins, elle, est à tomber. A Châteauvieux, le voyage est des plus savoureux, loin du tumulte de la ville et idéal pour une pause nature hautement gastronomique. Le must : On peut même fumer des cigares dans le "fumoir" du domaine en savourant la digestion dans un fauteuil en cuir. Une escale d’exception et une invitation au rêve pour tous les amoureux de la campagne, de la simplicité et du bien manger.
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La Franche-Comté est réputée pour sa cuisine traditionnelle et ses produits issus des zones géographiques du Jura occidental, des Vosges du Sud, de la plaine de Saône et de la Bresse. Les fromages, les charcuteries, les morilles, la truite du Jura et les vins sont essentiels dans la cuisine franc-comtoise. Les spécialités culinaires sont composées, entre autres, de la potée comtoise préparée à base de viande de salaison et de croute aux morilles cuisinée avec des morilles et des croutons de pain grillé.
On y trouve aussi le vignoble du Jura, avec son célèbre cépage Savagnin. Ce vignoble produit des vins blancs d’appellation Côtes-du-Jura, des vins jaunes et paillés d’AOC Arbois et des mousseux d’AOC Crémant du Jura.
Un cadre enchanteur
Véritable havre de paix, La Mainaz est aménagée avec délicatesse pour permettre aux personnes à mobilité réduite d’y accéder facilement. Niché au col de la Faucille, l’établissement jouit d’un panorama unique sur la chaîne des Alpes, le Mont-Blanc et le lac Léman. Dotée de 21 chambres et suites confortables dûment décorées, d’un restaurant gastronomique « la Table de la Mainaz », d’un bistrot « le Panorama », d’un bar « le 1720 » et d’une salle de séminaire entièrement équipée, la Mainaz peut répondre à toutes vos attentes.
Dans un cadre naturel préservé, la Mainaz est le point de départ idéal pour découvrir cette magnifique région située entre l’Ain, le Jura et la Suisse. Vous découvrirez de magnifiques sentiers de randonnée dans des paysages exceptionnels, ainsi qu’un large éventail d’activités touristiques et sportives, dont le ski nordique et le ski alpin.
Ses principaux fournisseurs sont des producteurs locaux, notamment ceux du Genevois et du Jura. La qualité des produits et l’aspect humain sont les véritables critères de sélection. La Mainaz souhaite construire des relations sur le long terme avec ses fournisseurs qu’elle considère comme des collaborateurs allant dans le même sens pour valoriser et promouvoir le Haut-Jura et ses environs.
Une cuisine créative et une hospitalité garantie
Le personnel est fortement qualifié. Mathieu Sagardoytho, le Chef cuisinier, a été Sous-Chef cuisinier du Bristol avant de passer au poste de Chef à L’Agapée, où il a maintenu l’étoile Michelin. On trouve aussi dans l’établissement diverses compétences dans plusieurs domaines, notamment dans l’international. L’anglais, le mandarin et le japonais sont couramment parlés.
À La Mainaz, il importe de mettre en place un environnement propice au travail afin d’élaborer une cuisine créative prônant un équilibre entre tradition et modernité. « Notre but est de faire de ce restaurant une véritable institution locale, tout en restant dans un esprit familial. Le salarié arrive le matin avec le sourire et le client se sent comme chez lui. On veut concilier la tradition locale à la modernité », fait-on valoir.
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Café du Soleil est un ancien relais de chasse reconverti en auberge, pour devenir aujourd’hui un bistrot sympathique à l’identité bien affirmée. Le décor de la maison qui préserve son air d’antan malgré les rénovations subies raconte 400 ans d’histoire. Ici, les habitués comme les clients de passage se sentent très vite chez eux et se laissent emporter par l’ambiance chaleureuse qui rythme la salle, « comme dans un vrai bistrot », selon Adriano Dupraz, le gérant.
Offrir une palette de goûts
La carte est variée, alléchante et reprend les grands classiques de la cuisine bistronomique. « Elle change selon la saison : la chasse en automne, des plats plus légers et des salades en été, et des recettes plus consistantes à base de fromage en hiver. »D’ailleurs, la fondue suisse constitue la signature de la maison, un plat qui continue à faire son petit effet à chaque dégustation. Elle est préparée uniquement à base du fromage AOC Gruyère et relevée ensuite par du vin blanc. En guise d’entrée, le chef propose l’intemporelle salade paysanne ou encore la salade de foies de volaille, une assiette qui séduit à tous les coups. Les malakoffs, une spécialité locale, s’imposent également et prennent la forme de savoureuses boules de fromages. En guise de plat, les grillades sont au rendez-vous : steak de bœuf grillé servi avec, au choix, de la sauce au poivre vert ou un beurre maison aux échalotes, accompagné de frites maison et d’une petite salade. En parallèle, le chef suggère un plat du jour selon les produits de saison : de la choucroute maison garnie de charcuteries du pays, ou encore de l’escalope de saumon d’Écosse poêlé sur lit de chou et pommes vapeur. Le périple culinaire s’achève sur une touche de gourmandise. « Les clients ont le choix entre la meringue double crème de Gruyère, un dessert phare en Suisse, le moelleux au chocolat et sa boule vanille, ou l’ananas frais au basilic. »
Côté vins, la carte met à l’honneur les vins suisses et les vins locaux. Parmi les références : du chardonnay issu du domaine Centaure Claude Ramu en blanc, de l’AOC Gamaret La Clémence de la Cave de Genève en rouge, du rosé de gamay du domaine Château l’Évêque Mevaux. En outre, la cave a toujours en réserve quelques vins étrangers pour satisfaire une clientèle internationale.
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Il paraît difficile de passer à côté de cette enseigne tant son architecture interpelle le regard. Aménagé dans une ancienne cour et « greffé » entre deux immeubles, l’établissement est formé par une structure de verre et d’acier avec une devanture entièrement vitrée. À l’intérieur, les convives apprécient une belle hauteur sous plafond qui donne l’impression d’un lieu d’exception. La configuration se prête idéalement au jeu des suspensions luminaires apportant au passage un design très épuré. Les invités baignent dans une ambiance conviviale et décontractée. Pour finir sur une touche insolite, une cuisine partiellement vitrée offrant aux invités le ballet des cuisiniers virevoltant aux fourneaux.
Une cuisine italienne de qualité
Avec l’arrivée d’une nouvelle direction, il souffle un vent de renouveau à la Brasserie da Matteo ! Et cela se sent surtout en cuisine. « Depuis la reprise de l’établissement, il y a de cela un an, la direction a voulu proposer une cuisine italienne de qualité axée sur la fraîcheur des produits », explique l’équipe. Ainsi, la carte change tous les trois mois en fonction des produits du marché. Pour commencer, les invités auront à choisir entre une entrée chaude ou froide. Chez Matteo, les antipasti sont toujours très appréciés. La tomate et mozzarella di Bufala, le jambon cru de Parme ou encore la salade composée font le bonheur des fins gourmets. En plat principal, le chef suggère un délicieux filet de turbot avec sa sauce au salsifis et fregola sarda, un incontournable de la maison. Pour les plus gourmands, la côte de veau milanaise promet des moments de pur délice. Pour terminer comme il se doit cette escapade culinaire italienne, les douceurs de Matteo régalent petits et grands. Entre le moelleux chocolat avec sa crème de mascarpone vanillée, le cheese-cake au caramel beurre salé ou le tiramisu classique, le choix est vite fait ! Côté vin, l’établissement possède une carte très riche qui met à l’honneur les vins italiens et français. En tout, une centaine de références qui ravira les plus fins connaisseurs.
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Si vous aimez la chaleur conviviale des bistrots de quartier, ceux où l’on sert une cuisine authentique et amoureuse des traditions, le Café des Négociants, situé dans un décor enchanteur à Carouge (jouxtant Genève) est l’adresse parfaite pour vous. Le plus grand plaisir de Philippe Chevrier, chef doublement étoilé qui a repris l’établissement en 2009 est d'y régaler les gourmands avec les plats et les spécialités de son terroir : celui de la Suisse.
Le charme à l’ancienne de Carouge
Situé 29 rue de la filature, le Café des Négociants vit au rythme de de Carouge, une charmante commune jouxtant Genève qui vous fera chavirer. Carouge c’est avant tout son vieux centre, un véritable petit village bohème dans la ville. Reconnu pour son esprit festif, le quartier offre une architecture plus méditerranéenne que Suisse invitant a flâner au creux des arcades commerçantes, du marché, des échoppes d’artisans. Souvent décrite comme un vent d’Italie a quelques pas de Genève, elle est aussi le cœur culinaire qui appelle toutes les papilles des gourmands. On s’y déplace notamment pour goûter la fameuse entrecôte carougeoise relevée par des sauces morilles, béarnaise ou trois poivres. Celle que les chefs cuisiniers Guillaume Landreau et Guillaume Jelinski, concoctent avec amour dans les cuisines du café des Négociants.
Dans cet antre du terroir, on renoue avec la définition romantique et authentique du bistrot de quartier tout en restant sobre. L’idée ? On doit savoir accueillir tout autant que cuisiner. Le café des Négociants est d’ailleurs le plus vieux bistrot du coin. Chaises et tables en bois massif, parquet, mobilier typique et éclairage chaleureux au bar sont de mises. L’ambiance est décontractée et le pédant n’a pas sa place ici. Tous les ingrédients sont là pour tutoyer la simplicité avec classe. Au zinc d’époque s’harmonise alors parfaitement le style épuré de la maison. Quant aux vieilles affiches publicitaires qui peuplent les murs, elles subliment délicieusement cette atmosphère intemporelle qui séduit tant les coureurs de bistrot.
Plats généreux, terroir à l’honneur
La bonne nouvelle c’est que les assiettes de ce foyer chaleureux sont à la hauteur de son décor. Ici, le produit frais, qui vient souvent du marché est sacré. Les plats canailles et les grands classiques du bistrot vous attendent. En entrée, l’ardoise promet des saveurs alléchantes avec la cassolette d’escargots, le pâté en croûte de volaille fermière aux morilles, la salade du marché ou le marbré de foie gras de canard et sa queue de bœuf au vin rouge. Côté plat, on apprécie les jolies pièces de viandes locales, comme la côte de veau aux petits oignons et a la sauge et les joues de cochon braisées. Mousseline de pommes de terre, frites moelleuses et légumes de saison, viandes mais aussi poissons…Autant de recettes estampillées Négociants et qui à Lyon s’appellerait « bouchon ». L’entrecôte, les cuisses de grenouilles poêlées, les Noix de Saint Jacques rôties signent les grands classiques de la maison. Pour terminer le repas, une belle sélection de sucré est à l'honneur avec une dizaine de desserts à la carte parmi lesquels, le baba au rhum, la tarte renversée aux pommes ou la mousse au chocolat pur Venezuela. A l’image de son créateur, le chef étoilé Philippe Chevrier qui explore l’alchimie de la gastronomie et du terroir, le Café des Négociants propose une cuisine sincère, sans demi-mesure et surtout sans chichis.
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Le design de l’établissement reflète l’ambiance typique des brasseries lyonnaises. Un espace simple et raffiné, où se côtoient chaque jour des travailleurs et des habitués du quartier venus savourer de bons plats canailles.
Une invitation au retour aux sources
« Pas de cuisine inventive ni extravagante ! », s’exprime Jeremy Vanvreugel, responsable commercial du Bistrot de Charlotte. L’établissement se spécialise dans la cuisine du terroir, des plats à travers lesquels tout le monde trouve facilement son plaisir. La spécialité de la maison : les viandes et les poissons. Abonnés aux meilleurs fournisseurs implantés sur Genève, le restaurant s’approprie aussi les meilleures viandes de race issues de la Suisse, de la France ou de l’Espagne. Par ailleurs, la plupart des ingrédients utilisés respectent le label GRTA, un gage de qualité quant aux produits du terroir genevois.
Parmi les plats typiques figure le ris de veau à la sauce aux morilles. « Le chef accorde un soin tout particulier aux sauces qui sont les éléments révélateurs des plats », souligne notre interlocuteur. Toutefois, même si la maison excelle dans la cuisine traditionnelle, sa meilleure vente reste le burger, dont l’ingrédient phare est un fromage 100 % suisse.
Une gamme de formules gourmandes
Le Bistrot de Charlotte propose 3 formules. D’abord, le Menu Express. Le défi est de réaliser le service en 45 minutes une fois la commande effectuée. Le client aura le choix entre 2 entrées et 2 plats du jour. Avec le Menu Charlotte, le client a droit à un menu complet et pourra choisir entre 4 entrées, 5 plats et 3 desserts.
Pour les épicuriens, le Menu Gourmet propose une entrée et un plat premium (entre 3 options de chaque catégorie) et le dessert de son choix, selon les suggestions disponibles à la carte. Dans la sphère des entrées premium, on distingue les huitres Ostra Regal de la famille Boutrais, le foie gras de canard maison et les escargots de Bourgogne. Pour les plats de résistance, tout se jouera entre la délicieuse côte de bœuf suisse et l’entrecôte de bœuf blonde de Galice maturée 60 jours. Notons que l’entrecôte fait également partie des produits phares de la maison.
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Du bœuf de Kobe, à l’agneau d’Irlande en passant par le porc Genevois, le chef suisse doublement étoilé au Domaine de Châteauvieux Philippe Chevrier attise les braises dans son steak house à l’américaine. Cet authentique grill à l’américaine situé en plein cœur de Genève, sur la célèbre rue du Rhône est un repère idéal pour les fins gourmets. Célébrée dans un décor époustouflant, la viande est au centre des saveurs gastronomiques.
Un peu de New York à Genève
Pour Philippe Chevrier, cuisinier genevois doublement étoilé, c’est un vieux rêve qui s’est réalisé, avec l’ouverture de ce grill en fin 2015, à Genève. Le chef multi-restaurateur qui a bâti sa réputation au domaine mythique de Châteauvieux a toujours été fasciné par New-York. Preuve en est, il s’y rend régulièrement depuis 1984 pour participer au marathon. Plus qu’une inspiration, il a ramené du pays de l’oncle Sam de nouvelles façons de savourer la cuisine. Sur deux immenses étages boisés au chic incontestable tout de briques et de poutres, de matières brutes et de gros volumes, le décor de Chez Philippe semble tout droit sorti des quartiers de Brooklyn. Très fréquenté, l’établissement propose un dyptique au charme certain. Au rez-de-chaussée, le bar, lounge et décontracté propose à la carte burger, salades et viandes. Idéal pour un verre entre amis ou un repas sur le pouce. Le petit plus pour un moment after work : un pianiste qui accompagne les moments culinaires dans une ambiance conviviale. La brasserie est ouverte 7 jours sur 7 et prend les dernières commandes à 23h. A l’étage, c’est la partie grill-restaurant qui se dévoile. Plus intimiste, cultivant l’élégance et le raffinement cosy. Un immense loft au plafond haut et au décor vitré accueille le visiteur. Dans une ambiance tamisée et un design épuré, les chefs de Chez Philippe mettent sur le feu une gastronomie tendre et juteuse. Le succès du restaurant repose en effet sur la grande variété de viandes proposées sur le grill. A la carte, vous trouverez une vingtaine de pièces de viandes cuisinées et réputées pour leurs qualités gustatives. On y trouve, entre autres, de l’agneau d’Irlande, du porc Suisse, du boeuf d’Australie et du bœuf de Kobe (japonais). De quoi satisfaire toutes les envies des gourmets.
Des tranches de rêve dans l’assiette
Comme toujours dans les établissements signés Philippe Chevrier, les produits locaux restent à l’honneur avec des viandes suisses d’exception. Gourmandes, les recettes que l’on retrouve aux tables sont toutes réalisées avec maîtrise et savoir-faire sur le grill. Les plus belles races de bœuf, maturées sur l'os pendant 3 à 5 semaines sont travaillées par les chefs sur la base d’une cuisson au bois de hêtre dont les vertus sont reconnues pour une cuisine plus saine et diététique mais protéinée. Chez Philippe, la viande est aussi sélectionnée sur des marchés d’excellence incontournable, nous dit-on. En témoigne une collaboration fidèle depuis l’ouverture de l’établissement avec la grande boucherie du Molard, une institution Genevoise incontournable depuis 1921. Un boucher est d’ailleurs présent le midi pour découper la viande sous l’œil des clients dans les règles de l’art. Loin de se confiner à l’art terrien, la cuisine prend aussi le grand large. Homards, crevettes, noix de Saint Jacques snackées et autre mets de la mer connaissent également l’épreuve du feu avant de rejoindre le bois somptueux des tables et du bar. Le restaurant propose également un joli banc d’huitres d’Oleron. Du côté des desserts, les clins d’œil à New York se multiplient avec l’Empire State Building, ce gros gâteau meringué, servi aux fruits exotiques l’été et aux fruits rouges l’hiver. Le Genève-New-York est aussi à la carte, une sorte Paris Brest revisité et rebaptisé, véritable gourmandise agrémentée de chocolat et de café.
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Créé il y a 60 ans, Le Café des Sources était à l’origine un petit café sympathique connu du quartier. « C’était un bistrot espagnol où les gens venaient plutôt pour boire, il n’y avait pas la cuisine », nous raconte Éric Vouriot, l’actuel propriétaire depuis 2009. Il a réussi avec brio le challenge de garder l’esprit de la maison et en faire une adresse iconique de la cuisine canaille à Genève. Cette identité genevoise se reflète bien dans la décoration de la salle : grande façade en baie vitrée, mobilier en bois, vieilles banquettes de 100 ans, l’intemporel tableau noir et un grand bar au milieu : « Un endroit qui est resté identique, authentique », comme le décrit si bien le propriétaire du lieu.
Une cuisine simple et authentique
La carte propose des plats qui épatent par leur succulence et leur générosité. Parmi eux, le ris de veau aux morilles, la quenelle de brochet soufflée avec sa sauce à l’américaine, ou encore le steak de calamar et crevettes au piment et gingembre, qui sont devenus les incontournables du restaurant et se savourent tout au long de l'année. En période de chasse, d'octobre à la mi-décembre, l'on se laisse facilement tenter par le filet de lièvre rôti au romarin et coings confits ou bien les noisettes de cerf sauce poivrade avec une garniture composée de choux rouge braisé, de spatzlis ou encore de la poire au vin et purée de céleri. Des spécialités typiquement suisses s’ajoutent également à carte, tels le malakoff ou le filet de bœuf à la moelle, bien tendre et délicieux. En dehors de la chasse, les saveurs gourmandes se déclinent pour toutes les saisons. Ainsi, que ce soit en printemps, en été ou en automne, les suggestions du chef ne manqueront pas de surprendre agréablement les épicuriens par des plats travaillés et finement présentés.
En dessert, l’on se laisse tenter par le tiramisu au beurre caramel salé ou le baba au rhum et mangues confites. Et comment ne pas parler de la tarte Tatin aux poires caramélisées au beurre salé et sa glace, un dessert qui frôle la perfection. En outre, les clients peuvent se laisser séduire par les suggestions du chef, qui varient dans la semaine selon la saisonnalité et les produits au marché.
Côté vins, la quarantaine de références proposées met à l’honneur les vins genevois. Une sélection de vins français, dont ceux en appellation côtes- du-rhône et les vins de Bordeaux, figure aussi sur la carte. Enfin, des vins en provenance du Valais, en Suisse, viennent compléter la liste.
Label de qualité
Le Café des Sources est le royaume du fait maison : plats, jus, desserts, sauces sont élaborés sur place avec des produits frais et locaux. « Nos produits viennent de Genève ou du Canton de Vaud », renchérit notre interlocuteur. Cette démarche engagée produits locaux lui a valu le label « Ambassadeur du terroir genevois », gage de la qualité de ses produits et de leur origine. Toujours en quête de l’excellence, le restaurant a raflé en 2017 le premier prix catégorie bistrot pendant le concours de la semaine du goût organisé par la ville.
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Vins de plaisir !
Une large sélection de vins natures et vivants, issue de viticulture biologique et biodynamique.
Sans ajout de soufre, ces cuvées n’ont que la prétention d’être le reflet d’un terroir, d’un climat, d’un millésime et surtout le savoir-faire du vigneron se mettant en danger sans l’utilisation de produits chimiques pour devenir véritablement un artisan soucieux de délivrer de véritables « pur jus » sans artifices ni maquillages.
Franck le sommelier et Yves le cuisinier partagent des moments conviviaux en dressage quatre mains. La fervente passion de ce duo depuis le premier mai 2017 où ce concept d’amitié est en vigueur, créatif, haut en couleur et aux saveurs surprenantes.
Une carte courte bien maîtrisée, quatre entrées, cinq à six plats principaux, et trois à quatre desserts, qui varie selon l’humeur des deux compères, et surtout le réceptif de la clientèle.
Elle fait honneur à une cuisine de fusion influencée par des notes terre-mer, asiatique ou méditerranéenne, et revisitée avec ingéniosité avec beaucoup de fantaisies.
A bout de soufre remplace le concept « Chat Gourmand » où des Burgers artisanaux de première qualité étaient servis sur ardoise par le même exploitant Yves Jordan.
Cette nouvelle enseigne à Plainpalais forme un duo avec Franck Heydens à la rue jean-violette 14 sur une cuisine raffinée et légère, aux saveurs affirmées, et dont le végétal se substitue dignement aux hydrates de carbone.
Une ambiance conviviale et décontractée, associée à une très belle sélection de vins naturels sont les ingrédients indispensables pour passer d’agréables moments de partage, sur le thème de la gourmandise et du plaisir.
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L’enseigne est située rue du Rhône, dans le food hall du grand magasin Globus à Genève. Elle s’est lancé un défi de taille : donner au fast-food un nouveau visage en proposant de délicieux burgers gastronomiques, à déguster sur place ou à emporter. Créé sous l’impulsion du chef doublement étoilé Philippe Chevrier, le pari est réussi pour ce snack artisanal et gourmet. Chez Denise, la carte fait aussi la part belle à des hot-dogs, des salades et des desserts gourmands, tous disponibles à emporter.
Quand le fast-food devient gourmet
Au homard, au bœuf suisse des alpages, à l’agneau, au foie gras ou encore végétarien. Toujours des garnitures uniques et créatives pour des petits pains sains mais gourmands. Des produits du terroir sélectionnés avec soin par une équipe conviviale. C’est l’idée que l’on se fait du burger chez Denise, goûteux mais simple et accessible. Dans ce snack haut de gamme, vous pourrez goûter à l’originalité raffinée de la maison comme « le homard du Maine avec sa rémoulade au citron vert nappé d’une mousseline d’avocat ». Le Spice Lamb propose, quant à lui, une recette alléchante à base d’agneau confit aux sept épices dans un pain pita. On compte au total près de sept recettes finement élaborées et chaque mois possède son lot de surprises avec un burger spécial à la carte. Un classique simple et indémodable ? Le Roast Chicken avec son poulet rôti confit, ses chips maison et sa sauce moutarde à l’ancienne. Si l’enseigne jouit d’une belle sélection de viandes, les végétariens n’en sont pas pour autant délaissés avec au menu un burger spécial galette de maïs aux délicieux légumes. Le tout est servi dans de jolis pains buns à l’épeautre, au sésame, à l’encre de seiche ou encore aux graines de courge, réalisés sur mesure par un artisan boulanger de Genève. Philippe Chevrier, chef doublement étoilé, affirme avec simplicité sa passion pour les produits du terroir et sa volonté de proposer un snack de qualité et accessible à tous ceux qui cultivent le « fast good ».
Tous à la gastronomie
Le lieu, décontracté et familial, invite les gourmands à vivre des instants culinaires conviviaux, cristallisés autour d’une idée essentielle : la sélection de bons produits tels que la célèbre tomme genevoise ou le bœuf suisse auprès des meilleurs producteurs locaux. Et pour rompre définitivement avec les clichés sur le burger, l’enseigne se veut responsable et proche de ses consommateurs comme de ses fournisseurs. Chez Denise, tout est fait « maison ». Même les sauces, comme la fameuse sauce Denise. À l’opposé de la malbouffe, on déguste ici le burger au naturel, c’est-à-dire sans arôme, sans conservateur, avec des produits cent pour cent locaux. Résultat ? Dans les cuisines, le burger subit un lifting complet pour retrouver ses lettres de noblesse. Manger sur le pouce mais gastronomique, c’est aussi une invitation à la convivialité, une valeur chère à Philippe Chevrier. Et pour perpétrer le paradis sensoriel découvert dans la cuisine familiale, le chef a choisi de rendre hommage à sa mère en lui dédiant son restaurant. « Depuis ma tendre enfance, le plaisir de la cuisine, transmis par plusieurs femmes dont ma maman, n’a fait qu’inculquer en moi cette passion et cette force qui m’ont fait grandir tout au long de ma vie », explique-t-il. Ces quelques mots rappellent que l’art culinaire est avant tout un savoir-faire empreint d’histoires qui nous replongent dans les souvenirs d’un repas de famille autant qu’une passion pour l’excellence. Sur place, en plus des produits frais et de la conception de burgers uniques, l’invitation à déguster se fait sans complexes et de manière décontractée. On voit les cuisiniers à l’œuvre dans la cuisine vitrée, en train de s’activer autour du toaster et de la plancha. Côté sucré, on se laisserait volontiers envoûter par le cake aux carottes et au gingembre, le cheese-cake new-yorkais à moins que...
L’endroit a tout pour plaire ! Classé au patrimoine, l’établissement a trouvé refuge dans une ancienne brasserie, structurée d’un majestueux décor de boiseries de chêne. Philippe Chevrier, actuel gestionnaire des lieux, a voulu renforcer l’esprit traditionnel de la maison à travers une cuisine italienne… certes classique, mais rayonnante de saveurs.
À la découverte de la cuisine méditerranéenne
Le restaurant Marjolaine s’approvisionne auprès de fournisseurs italiens implantés en Suisse. Simple et raffinée, la « cuisine du soleil » se prépare à partir des produits de premier choix. Avec une carte assez flexible, la maison se fait un plaisir de sublimer les produits de saison.
Philippe Chevrier a trouvé en Francesco Tedesco, un généreux chef turinois, idéal pour son restaurant italien ! Sa restauration met en avant les ingrédients typiques de l’Italie, à l’instar de la burrata, de la mortadelle, du salami, de la bresaola et, bien évidemment, les pâtes ! Au restaurant Marjolaine, tout est fait maison : spaghettis, raviolis, tagliatelles, linguine, paccheri et gnocchi de pommes de terre.
Vous vous ferez un réel plaisir à la seule vue des linguine au homard, sauce tomate ou encore des spaghettis « alla carbonara ». Si vous aimez la viande, vous n’hésiterez pas à déguster le filet de bœuf « Molard » aux bolets et chanterelles avec son jardin de légumes, le tout rehaussé d’une appétissante sauce espagnole. Les enfants se régaleront avec une escalope « alla Milanese » qui s’accompagnera de la garniture du jour. Vous êtes végétarien ? No problemo ! Francesco Tedesco, chef de cuisine, propose le minestrone della « Mamma » comme entrée et un bon risotto aux artichauts servi avec du fromage de chèvre au citron confit comme plat principal. L’aventure culinaire se termine en beauté avec une marjolaine à l’orange, sauce vanille ou tout simplement en savourant un grand classique du répertoire italien : le tiramisu.
Qui dit bon repas dit bon vin
En matière de vins, l’établissement dispose d’une cave riche en références. En apéritif ou en accompagnement, la cuvée qu’il vous faut est disponible au restaurant Marjolaine. Le maitre d’hôtel Filippo Denise, alias « Pippo », vous aidera à choisir le meilleur accompagnement pour votre repas.
L’établissement propose notamment des cuvées suisses, italiennes et françaises. Les vins suisses proviennent essentiellement de maisons genevoises comme Chasselas Domaine du paradis ou le Domaine du Clos des pins. Retrouvez également Les Vins de Philippe Chevrier. Cette fois, dans la peau d’un vigneron, notre chef présente des millésimes 2016 à base de sauvignons blanc et de sauvignon gris. Les vins de France sont représentés à travers des appellations renommées comme le bourgogne ou les côtes-du-rhône.
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Le restaurant La Perle du Lac s’affirme dans un style traditionnel qui plonge sa clientèle dans une ambiance chaleureuse et douillette. Dans la salle principale et les salons privés aux larges baies vitrées, les tables se parent d’un ensemble de nappes, napperons et serviettes pour accentuer le charme séculaire des lieux. Sur la terrasse décrite comme « la plus belle terrasse de la ville » par M. La Marche, directeur du restaurant, les clients contemplent à volonté la vue sur le Mont-Blanc et la Rade.
La cuisine d’autrefois revisitée aux goûts actuels
M. La Marche qualifie la cuisine proposée de « bourgeoise et traditionnelle française ». Désireux de partager l’histoire des lieux avec ses clients, le restaurant propose, en plus du menu du jour, le menu Byron, en l’honneur du poète anglais ayant vécu sur les bords du lac Léman et qui aurait séjourné au chalet, et le menu Orangerie, pour rappeler qu’autrefois, ce chalet abritait les agrumes d’hiver de son ancien propriétaire Bartholomé.
Une carte qui sent bon le raffiné
À travers sa carte, élaborée selon le profil d’une clientèle internationale, La Perle du Lac propose des plats emblématiques, à l’instar du gratin d’écrevisses, servi principalement en septembre, l’omble chevalier meunière, la féra du lac à la sauce genevoise et le suprême de volaille du Nant d’avril relevé par une crème d’estragon. Pour l’entrée, les préparations au foie gras, en terrine ou poêlée avec du vinaigre de framboise, constituent la signature de la maison. Au dessert, le chariot savamment composé de huit assortiments de pâtisseries accommodés aux fruits de saison, d’une salade de fruits et d’une spécialité locale, fruits rouges accompagnés de meringue et de double-crème de gruyère, termine en beauté le repas.
Pour accompagner avec délice les préparations traditionnelles concoctées par le chef et son équipe, le restaurant propose une carte de vin très éclectique réunissant des références genevoises, françaises, libanaises, argentines, espagnoles, etc.
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Entre bœuf et homard
Propriétaire du restaurant Le Patio, emblématique de la gastronomie genevoise depuis les années 70, la famille Prato semble avoir trouvé en Philippe Chevrier le successeur culinaire idéal. Reconnu pour sa cuisine traditionnelle et créative, l’étoilé avait fait ses armes tout jeune au Patio, c’était donc une opportunité évidente que de reprendre l’établissement en 2013. Au-delà des classiques de bistrot, il y développe un concept original : le « Bœuf & Homard ». Aux tables du Patio, ces deux produits d’exception sont rois. Avec une texture fondante et un goût si singulier, sublimés avec talent, ils se réinventent sous les couteaux des chefs avec une déclinaison infinie de plats. Côté mer, on s’emballe pour des carapaces travaillées en bisques ou consommés aromatiques, parfumées au porto, au lemon grass, assaisonnées à la fleur de sel ou en gelée de fenouil. Côté terre, on salive pour le bœuf et sa traditionnelle entrecôte, ou en tartare, en carpaccio, farci, braisé, mitonné ou encore en ragoût. En entrée, les ravioles de queue de bœuf braisées et liées au foie gras et au porto font concurrence à la bouchée à la reine « comme faisait maman Denise ». Avec des classiques comme le tibia de bœuf à la fleur de sel et le homard grillé au beurre de corail, les plats sont authentiques et efficaces. Entre terre et mer, un trésor culinaire séduira à coup sûr les papilles des plus gourmets. Il s’agit du « Surf & Turf », alliant un cœur de filet de bœuf et un demi-homard grillé décortiqué. Souhaitant perpétuer la tradition, le restaurant revisite également les classiques d’une gastronomie d’antan, c’est-à-dire les plats phares de la famille Prato. Tartares, cuisses de grenouille, filets de perche, turbot sauvage ou encore carré d’agneau sont quelques-unes des spécialités présentes à chaque saison pour compléter le concept « Bœuf & Homard ». Pour concocter et servir cette cuisine gastronomique et audacieuse, l’équipe talentueuse du Patio réunit Gilles Granziero le directeur, deux chefs de cuisine, Romain Loiseau et Rodolphe Estiot-Braud, et Alexia Chenevard, maître d’hôtel.
Une gourmandise authentique au cœur de Genève
Tant du côté des saveurs que du décor, Le Patio est marqué par le sceau d’une élégance intemporelle. Entre lac et vieille ville, l’antre culinaire peuplé d’habitués accueille le visiteur à Genève dans une ambiance plutôt intimiste. Mêlant subtilement charme du bistrot de quartier et chaleur du restaurant douillet, difficile de résister à cet endroit. Les jolis murs de pierres apparentes sont tapissés des œuvres colorées du peintre cubain Carlos Boix, un habitué et ami du chef qui en a fait son repaire. Réputé pour son authenticité, le bistrot célèbre également le terroir à travers des soirées dédiées aux vignerons, aux cigares, à la truffe, et au gibier. « Sans vignerons et sans agriculteurs, le restaurateur n’est rien », a dit Philippe Chevrier, pour qui la cuisine est avant tout un art de la générosité et du partage. Et ce n’est pas l’incroyable sélection de vins du Patio qui nous fera dire le contraire. Des crus suisses mais aussi français et italiens sont à l’honneur d’une carte des vins étoffée et raffinée. Les chefs ont également élaboré une gamme de desserts aussi gourmands les uns que les autres. Parmi eux, on retient le traditionnel baba au rhum, la tarte fine aux pommes, ou encore le moelleux au chocolat. Le Patio reste à la fois un bistrot de quartier d’une belle tradition culinaire, qu’une institution genevoise incontournable de la rive gauche de Genève. Recommandé à tous ceux qui souhaitent partir à la chasse aux saveurs dans l’élégance de la simplicité et la chaleur de la vieille ville.
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Ce bistrot à la réputation déjà faite a été repris par des propriétaires bien sympathiques qui maîtrisent du bout des doigts l'art de recevoir. Une cuisine savoureuse réalisée sous la houlette d’un chef aussi créatif que talentueux, Mouss. Mouss et Muriel proposent au Bistrot Dumas une pause gourmande qui mérite le détour, dans une salle privatisable pouvant accueillir jusqu’à 50 personnes. Planté dans un cadre cosy et chaleureux, il séduit les épicuriens par sa cuisine bistronomique. Sa décoration soignée type Art déco s’illustre dans ses superbes vitraux qui ornent les luminaires et le plafond, en illuminant la salle de mille feux. Un festival de couleurs que l’on imagine comme un avant-goût de ce que la maison a à offrir. Ici, le ton est donné avec une salle spacieuse baignant dans une lumière naturelle, propice à des moments agréables à passer en toute décontraction et convivialité entre collègues, amis, ou en famille.
Une carte riche au gré des saisons pour une invitation à la découverte
À travers des plats succulents que lui connaissent ses habitués, la maison fait entreprendre un joyeux périple culinaire à ses convives. L'enchaînement des saisons se reflète à travers les couleurs ensoleillées des plats dont le visuel est soigneusement travaillé. En entrée, la carte variée et attrayante propose, par exemple, de commencer les réjouissances avec un velouté de courge muscade et butternut ou le saumon mariné houmous de betterave et délice au beurre. Comme plat de résistance, difficile de résister à l’appel du pavé de cerf ou des cuisses de grenouille à la persillade, des plats hors du commun qui constituent les spécialités de la maison. Pour continuer sur cette lancée, les œufs en meurette et la sole petit bateau cuite sur arête sont aussi des incontournables. Et que dire du tartare de bœuf coupé minute au couteau ou de la quenelle de brochet sauce homardine qui comblent les plus fins des gourmets. Les plus aventureux se laisseront tenter par l’os à moelle coupé dans la longueur pour découvrir une saveur qui fond en bouche, et pourquoi pas une salade de chèvre chaud. Le moelleux au chocolat, les meilleures tartes de Genève ou les mignardises faites maison sont d’une finesse incroyable pour finir les festivités sur des notes de douceur.
Le plus qui fait le succès de la maison : des plats bien exécutés « concoctés avec des produits issus des agriculteurs locaux », nous confie le chef Mouss.
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Avec une cuisine traditionnelle concoctée essentiellement à partir des produits frais, ce petit restaurant de campagne se plait à chouchouter ses convives en leur proposant le meilleur des saveurs locales.
Comme à la maison
Simplicité et convivialité : voilà les deux mots qui résument parfaitement l’ambiance qui règne à L’Étoile. Dans ce restaurant familial, tout est fait pour mettre les invités à leur aise. « Chez nous, la bonne humeur et la sympathie sont toujours au rendez-vous. Les gens se sentent comme à la maison », confie Éva Tardy, la cheffe de cuisine.
Côté déco, on trouve une grande variété de couleurs. Au bar, la star se nomme Betty Boop. Elle est visible partout, en hommage au grand-père d’Éva, qui était passionné par cette héroïne de dessins animés américains des années 1930. Privatisable, l’établissement dispose de différentes salles adaptées pour les événements privés ou professionnels.
Une jolie véranda est prévue pour accueillir tout type de buffets : apéritifs, entrées ou dinatoires. À l’extérieur, les convives profitent d’une belle terrasse ombragée. Juste à côté, ils peuvent s’offrir quelques moments de détente grâce à des jeux de boule mis à leur disposition.
Une cuisine simple mais authentique
Soucieuse d’offrir une cuisine de qualité, la maison n’utilise que des produits frais, tout en assurant un approvisionnement en circuit court. Ainsi les fromages, viandes, poissons ou encore les vins proviennent directement des producteurs locaux. « Nous avons les mêmes fournisseurs depuis quinze ans », rapporte notre interlocutrice. Quant aux légumes, ceux-ci sont fraichement cueillis dans un potager familial soigneusement entretenu par Maxime, le père de famille.
En cuisine, Éva fait parler son expérience et son savoir-faire pour sublimer comme il se doit ces produits d’exception. Parmi les spécialités de la maison, les gâteaux de foie de volaille, le poulet aux morilles, les grenouilles, les bréchets de poulet, les goujonnettes de carpe et les ris de veau enchanteront les papilles les plus délicates.
À L’Étoile, on adore faire plaisir aux fins gourmets. Ainsi, les formules à volonté et les menus du jour sont servis toute la semaine, même les dimanches et les jours fériés. « Nous sommes à l’écoute de nos hôtes et nous pouvons changer le menu à leur convenance », nous indique-t-on.
Pendant les weekends, Éva invite les convives à partager un moment chaleureux autour d’une délicieuse raclette, avec une variante au bleu de Bresse ou des fromages locaux. Des têtes de veau ou des tapas concoctés à partir des meilleurs produits de la région peuvent être également servis.
Une carte au gré des saisons
Pour offrir davantage de choix, l’établissement propose quatre menus classiques. Entre le pavé de truite au citron, l’entrecôte poêlée ou le canard au poivre vert, c’est selon les envies de chacun ! À part ses menus, l’établissement présente une carte qui évolue au gré des saisons. En été, les épicuriens pourront déguster différentes salades et autres assortiments de charcuterie.
Afin de combler toutes les attentes, le restaurant L’Étoile suggère aussi de succulents plats végétariens, végétaliens ou sans gluten. « Nous nous adaptons aux demandes spécifiques de nos clients », souligne Éva.
Côté vins, la maison propose un large choix qui s’accorde merveilleusement bien avec les saveurs de la région. Parmi les références, les côtes-du-rhône, les vins du Bugey, de Mâcon ou de la Loire sont les plus demandés.
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Le bâtiment qui abrite L’Épicurien était un ancien corps de ferme haut-savoyard, rénové et reconverti. Le nom que lui a donné François Kohli, son propriétaire, n’est en rien le fruit du hasard. L’épicurisme, symbolisant la rencontre, l’amitié, la convivialité et la simplicité, est une valeur chère de l’établissement, que François s’efforce de respecter et de rendre en tout point. Bienvenue à L’Épicurien !
À la fois gite et maison d’hôtes
L’Épicurien a commencé son activité en 2002 avec un gite rural et une maison d’hôtes, encore maintenus jusqu’à présent. Situé à 10 min d’Annecy, il bénéficie d’une bonne localisation : un havre de paix et de calme idéal pour se ressourcer.
Comme l’établissement se trouve près des stations montagnardes (20 min de Semnoz, 40 min des Aravis), il constitue un excellent pied-à-terre pour partir à l’assaut des pistes en hiver. Il met à disposition de ses hôtes un gite rural accueillant jusqu’à 5 personnes et cinq chambres meublées, d’une capacité totale de 15 personnes. L’établissement est doté de tout le confort nécessaire et convient parfaitement pour les séjours en famille et entre amis. Il peut accueillir les soirées festives comme les anniversaires, les enterrements de vie de jeune fille ou encore des soirées d’entreprise.
Une cuisine simple et savoureuse
À ses débuts, L’Épicurien proposait une table d’hôtes, qui n’a pas tardé à connaitre un vif succès. François a alors décidé d’ouvrir un restaurant gastronomique en 2007, destiné principalement à la population locale. Une terrasse champêtre, disponible durant les beaux jours à partir d’avril.
Cette table chavanodine met en avant une cuisine simple, généreuse, élaborée avec des produits frais. En effet, la maison se fournit chez des producteurs locaux qui sont privilégiés.
La cuisine bourguignonne est particulièrement mise en avant comme les escargots bourguignons, l’œuf en meurette, la terrine de lapin aux deux moutardes, sans oublier les fromages en l’honneur des origines du propriétaire. Le chef concocte aussi une grande variété de salades savoureuses : salade des Aravis, salade du Semnoz… avec des sauces dont il est le seul à avoir le secret. La carte des desserts, quant à elle, offre un large panel de délices faits maison : tarte aux myrtilles, tiramisu à la framboise, crème brulée ou encore mousse au chocolat.
L’Épicurien dispose également d’une rôtissoire magnifique, installée dans l’ancien fumoir de la ferme. Les côtes de bœuf, andouillettes 5A, travers de porc, côtelettes d’agneau et même poissons y émanent d’arômes enivrants. Le feu est alimenté en bois noble de hêtre et de chêne, provenant de la commune voisine de Chavanod.
Toutes ces succulentes suggestions se dégustent dans une ambiance musicale car n’oublions pas que François a été pianiste de bar pendant près d’une vingtaine d’années.
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André dit « Dédé » et Michèle vous accueillent dans un cadre resté « rustique » avec poutres, pierres apparentes et objets anciens. Une fois à l’intérieur, vous aurez le choix entre le café où se rencontrent les habitués, la petite salle où sont proposées les fondues (fromage, aux bolets, bourguignonne) et le cadre chaleureux de la salle de restaurant proprement dite. Ici, l’ambiance se veut décontractée et chaleureuse.
Des plats gourmands pour tous les goûts
Dédé fait le bonheur des amateurs d’une cuisine « à l’ancienne », gouteuse et … copieuse. Vous apprécierez les saveurs des plats mijotés par « le roi de la cuisine canaille » comme se plaît à le mentionner M. Alain Giroud, critique gastronomique de La Tribune de Genève, dans son article du 21 avril 2017.
La fraîcheur des ingrédients est garantie par une carte qui varie en fonction des saisons. Par exemple, en automne, la carte de chasse propose la selle de chevreuil avec sa sauce Grand Veneur, le filet de lièvre ou l’entrecôte de cerf avec sauce poivrade, le civet de chevreuil « façon grand-mère », le tout accompagné des garnitures de chasse et des spaetzlis maison. Les incontournables de la maison, qui ont fait la réputation de Dédé aux Pâquis où il a œuvré pendant plus de 20 ans, se dégustent tout au long de l’année. Parmi ses plats phares, on retrouve les œufs en meurette, les pieds de cochons désossés, les « énormes » cordons bleus, les joues de bœuf confites, les cuisses de grenouilles, les filets de perches, ... Ne vous en faites pas, l’été, la carte se fait plus légère avec , entre autre, des tagliatas de bœuf, des sashimis de thon, des tartares de bœuf, …
A l’apéritif, pourquoi ne pas partager une planchette de Malakoff (petites boules chaudes à base de fromage), un pot de rillettes d’oie ou une assiette valaisanne ? Puis, craquez pour la terrine maison, le foie gras et son chutney de mangue, les salades diverses, … En plat, la joue de bœuf ou le coq au vin sont servis en cassoton, l’entrecôte du Val d’Herens (Valais) ou le pavé de bœuf vous sont proposés avec une sauce maison ou une sauce au poivre ou encore la sauce aux morilles, le tout avec légumes, gratin dauphinois ou frites maison. La cuisine se veut gourmande et les plats variés et généreux combleront toute la famille puisque les enfants ne sont pas oubliés : nuggets de poulet ou filets de perches avec frites maison et … ketchup !
Les desserts sont également faits « maison » et le choix peut rapidement devenir cornélien entre le fondant au chocolat, le millefeuille aux fruits rouges, les meringues à la crème de Gruyère, …
Des plats du jour à Frs. 19.- vous sont proposés, à midi, du mercredi au vendredi, avec une petite entrée ou un dessert.
Enfin, Dédé travaille beaucoup avec les suggestions du moment en fonction de ses achats et des désirs de ses clients ; il peut donc vous proposer de la choucroute, des tripes, de la fricassée genevoise, … à vous de lui faire part de vos envies.
Côté vins, ici, à la campagne, la maison et les clients privilégient les vins locaux mais la carte présente également une sélection de vins vaudois, valaisans et français.
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À nouvelle gérance, nouveau décor ! En reprenant le restaurant il y a 2 ans et de par ses nombreux voyages un peu partout dans le monde, Loïc Ledu a apporté une signature unique. Il propose majoritairement « des menus de France revisités » comme il aime si bien le dire, avec une cuisine gourmande qui lui fait rappeler son enfance, une irrésistible nostalgie qui revient souvent dans ses inspirations.
Un globe-trotter passionné
Après une vie de globe-trotter (Écosse, Australie, Dubaï, Europe) au cours de laquelle il a toujours nourri sa passion pour le métier, Loïc Ledu a réussi de belles expériences de vie dans la restauration. Pour aller plus loin dans l’aventure, il choisit avec sa femme Céline de poser ses valises en terre française et de s’y installer. Son coup de cœur pour Le 111 a nourri en luide nouvelles inspirations créatives et originales.
Un lieu de rencontres à l’ambiance intimiste
Le 111 est un établissement qui plaît à la clientèle. Selon Loïc Ledu, c’est un « restaurant très fréquenté par les femmes », qui y trouvent un lieu idéal pour se retrouver. L’endroit offre en effet un décor intimiste aux couleurs à dominance gris et rouge imprégnées d’une ambiance feutrée qui séduit particulièrement les couples et les amoureux. « Le succès du restaurant vient du bouche à oreille », se satisfait le chef. Le 111 a une capacité d’accueil de 30 couverts en terrasse, de 40 couverts en salle et de 18 couverts pour les différents évènements de groupe (anniversaire, évènement familial…).
Du fait maison bistronomique
Le 111 propose une cuisine au concept bistronomique, c’est-à-dire des « produits simples, cuisinés de façon créative, avec de belles présentations et à prix abordables », fait valoir Loïc Ledu. Il tient notamment à préciser que l’établissement ne fait que du frais : « Tout ce qu’on a à la carte est fait maison, à base de produits bruts sans aucun produit transformé. »
C’est d’ailleurs ce qui fait la particularité de la maison. À travers ses notes sucré-salé, aux couleurs et aux goûts de France, Le 111 porte bien la signature du chef. Pour garantir la fraicheur des produits proposés, le choix des fournisseurs est très strict (meilleure régularité, meilleure viande, meilleurs produits).
Le bœuf Wellington, les Noix de Saint-Jacques et beurre de clémentine et les Ravioles de Joue de bœuf restent à ce jour les plats-signatures du restaurant, mais d’autres plats viennent s’y ajouter selon les goûts et préférences des fidèles de l’établissement. « Nous travaillons beaucoup le bœuf », explique Loïc Ledu, et les clients apprécient grandement « tartare et carpaccio », des produits coupés à la minute et au couteau.
Le 111 possède également une section grill, qui permet de préparer du steak maison avec des frites coupées à la main. Pour satisfaire encore plus les clients, le restaurant vient de sortir sa nouvelle carte d’été avec des menus adaptés, dont des noix de Saint-Jacques, du suprême de pamplemousse et du tartare de saumon.
Cerise sur le gâteau : toutes ces suggestions gourmandes peuvent se déguster depuis la salle du bas, tout en appréciant une vue imprenable sur une grande cave à vin vitrée révélant plus de 130 références.
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L’établissement propose un cadre rustique montagnard garantissant un accueil chaleureux et convivial. Trois salles aux décors de charme invitent à découvrir la gastronomie et les produits du terroir qui font la réputation de la Haute-Savoie. Sur une grande terrasse, l’on savoure les trésors culinaires proposés chez Mamie Lise en se laissant bercer par le lac d’Annecy qui mêle sa fraîcheur à celle des montagnes.
Une cuisine traditionnelle aux couleurs de la région
Aux portes de la Vieille Ville d’Annecy, le restaurant Chez Mamie Lise dévoile la riche tradition culinaire de la Haute-Savoie. Sa cuisine rend hommage à la générosité du terroir à travers une sélection soignée de charcuteries, de poissons et de viandes. Les spécialités fromagères sont notamment à l’honneur : reblochon, manigodine, beaufort, morbier et chèvre. Des entrées jusqu’aux desserts, la conception des plats proposés traduit une réelle passion pour la cuisine. « Je suis quelqu’un de très passionné, la cuisine c'est toute ma vie ! », déclame Patrice Clerc, le chef du restaurant.
Des spécialités et des saveurs à la savoyarde
L’établissement a, entre autres, bâti sa réputation grâce à ses fondues, raclettes et autres tartiflettes. La fondue savoyarde aux trois fromages, la Manigodine cuite et fumée au bois de hêtre ainsi que l’Ercheu de jambon de montagne illustrent parfaitement la cuisine de chez Mamie Lise. Les poissons du lac d’Annecy sont également bien représentés avec, entre autres, les goujonnettes de féra en croûte de manigodine et le rôti de lotte au jambon de montagne. Par ailleurs, l’entrecôte Simentahl, le magret de canard mulard et le carré d’agneau sont à ne pas rater.
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S’inscrivant dans l’univers de la restauration française depuis vingt-neuf ans, Le Refuge des Gourmets est situé dans le petit village de Machilly, au pied du massif des Voirons, en campagne, à environ dix kilomètres d’Annemasse. Récemment primé d’une étoile par le Guide Michelin, cet établissement familial cossu collabore avec une équipe professionnelle et talentueuse.
Un restaurant tout en convivialité
Dans un souci de favoriser les relations humaines et le partage, Florence Chanove et son équipe de salle sont au petit soin pour leurs hôtes. Dans un cadre feutré et élégant, elles les accueillent chaleureusement et les invitent à se délecter d’une cuisine fine et surprenante.
Avec ses deux salles séparées, dont l’une peut accueillir jusqu’à 30 personnes, le restaurant convient à toutes sortes d’occasions, du repas familial au déjeuner professionnel, en passant par un simple dîner occasionnel.
Ode à la cuisine gastronomique de région
Dans les coulisses du restaurant, les chefs Jean-Marie Chanove et son fils Hubert, épaulés par leur brigade, combinent leurs compétences et créativité pour concocter des plats toujours savoureux, gourmands, mais surtout authentiques. La particularité de leur cuisine réside sur « l’utilisation de produits locaux, mais notre restaurant se distingue aussi sur nos cartes qui se renouvellent constamment en fonction des saisons », s’accordent à dire les chefs. Le restaurant travaille principalement avec des fournisseurs locaux : agriculteurs, éleveurs, pêcheurs et cueilleurs de champignons, de fruits, d’herbes sauvages, fleurs, etc. « À partir des produits régionaux et saisonniers comme la framboise, nous proposons une déclinaison de cuisine gastronomique et traditionnelle, tout en inventivité et mélange des saveurs. », spécifient-ils.
Au programme : un menu à la carte et un menu carte blanche appelé « Partition gourmande » qui se décline en sept ou huit partitions.
Pour cette saison printanière par exemple, « nous travaillons sur des jeunes herbes mixées avec des infusions hivernales, que ce soit des infusions végétales, de légumes ou de plantes séchées », poursuivent nos interlocuteurs. Au déjeuner, l’omble chevalier est à l’honneur, qui, en cette saison, est un poisson très prisé à la fois par sa délicatesse et la justesse de ses accords. « La garniture, la sauce ou le mode de cuisson de l’omble vont surgir en fonction du temps présent, puisque nous travaillons dans un esprit de spontanéité du moment ». Pour accompagner ses plats, les chefs suggèrent des vins du terroir, notamment ceux de la Haute-Savoie et de la vallée du Rhône, sa région natale.
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En partie retiré du monde, Le Pré de La Cure est un lieu d’exception au cadre raffiné qui n’a rien à envier à ses pairs. Jouissant du paysage enchanteur des abords du lac Léman, l’établissement invite à la rêverie éveillée dans laquelle on souhaiterait longtemps demeurer… Une invitation gourmande où tout n’est que douceur, bien-être et plaisir avec en prime, vue sur le lac et les remparts.
Un restaurant à la cuisine traditionnelle
Dans une atmosphère chaleureuse et agréable où il fait toujours bon se retrouver, le restaurant propose de savantes associations de textures et de saveurs soigneusement élaborées par le talentueux chef, Olivier Magnin. Fidèle aux principes de la maison, il compose de belles assiettes avec toujours le respect de la tradition pour créer une cuisine où le fait maison reste à l’honneur.
L’établissement propose « une carte qui change 3 fois par saison », annonce Amélie Magnin, propriétaire. Une belle découverte que son lièvre à la royale, « préparé de façon traditionnelle », apprend-on, un plat à partager en famille, entre amis ou en amoureux… juste pour le plaisir des papilles.
Découvrez tout autant son soufflé au Grand Marnier, qui reste le « must » des desserts.
Un décor d’exception
Salle spacieuse et élégante, tables raffinées et dressées avec gout, superbe vue sur le lac Léman… Le Pré de la Cure est un véritable petit bijou niché dans un des plus beaux villages de France. Admirable de beauté, il vous fait profiter d’un cadre contemporain et pourtant digne d’un conte de fées… mais pas seulement ! Situé en face des remparts de la cité médiévale, l’établissement possède également 25 chambres avec toutes les commodités nécessaires pour garantir un séjour agréable. Il est doté d’une piscine couverte chauffée, d'un sauna, d'un hammam et d'un jacuzzi. Le Pré de la Cure est l'un des rares établissements à posséder une telle infrastructure dans les alentours.
Dans un rêve éveillé, imprégnerez-vous alors des lieux où tout n’est que beauté, douceur et bien-être, avec un plaisir toujours renouvelé.
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Le restaurant le Vieux Logis est un patrimoine familial de 120 ans, hérité depuis 4 générations. Situé à deux pas de la Suisse et des monts de Chablais, l’établissement est réputé pour son excellente cuisine où les produits du terroir sont privilégiés en fonction des saisons.
Restaurant aux accents savoyards
Implanté dans le quartier historique d’Yvoire en Haute-Savoie, le Vieux Logis fait partie des adresses à recommander à tous ceux qui sont en quête de ressourcement et d’authenticité dans le pays du lac Léman. À travers une architecture médiévale au confort contemporain qui laisse présumer un riche héritage historique, l’établissement dégage à la fois chaleur, calme et volupté. Le cadre intimiste de son petit café favorise les rencontres mais aussi la pure réflexion. Sa terrasse ombragée entourée de vieux murs confère au lieu un charme aux accents savoyards qui fait toute son originalité. L’accueil sympathique et attentionné du personnel conforte les clients dans leur sentiment de bien-être et de satisfaction. On s’y sent particulièrement bien accueilli avec la forte envie d’y revenir.
Cuisine de tradition française
Ancré dans le centre du village médiéval, le Vieux Logis est un restaurant de charme à l’excellente table qui met en avant la cuisine française traditionnelle et ce, dans un bon rapport qualité/prix. Mis à l’honneur, le féra (poisson du lac Léman) fait partie des plus grandes spécialités de la maison à l’instar des perches meunières qui demeurent presque toujours un des plats les plus recherchés en fonction des saisons et ce ne sont pas les clients de passage qui diront le contraire ! Fraîchement cueillies du lac Léman et délicatement accompagnées de vins locaux comme le Crépy, le Marin ou le Marignan, les perches font partie des plats-phares de l’enseigne qu’on n’oublie jamais de réclamer ou de recommander. Trou normand et mignardises, mais aussi foie gras maison, huitres et autres Saint-Jacques constituent, quant à eux, de véritables merveilles pour le palais.
Service professionnel à l’accueil parfait
Faisant partie de la lignée Jacquier-Durand de la 4ème génération, le couple Paul et Nicole Jacquier-Durand a tout naturellement hérité de la direction du Vieux Logis. Tenté à l’origine d’embrasser d’autres filières, le chef et non moins propriétaire Paul Jacquier-Durand a cédé à la passion du métier, qu’il partage par ailleurs avec sa femme Nicole, pour reprendre les rênes du restaurant en lui apportant un nouveau souffle. Soutenus par une équipe professionnelle au service attentionné, ils mettent les petits plats dans les grands pour séduire la clientèle et ravir les papilles si bien que l’établissement fait aujourd’hui partie des adresses incontournables absolument à recommander en termes de restauration.
Un cadre agréable à l’ambiance médiévale
Le restaurant le Vieux Logis a le double avantage de disposer de deux salles de restauration : « une petite salle à manger pouvant accueillir 35 couverts et une salle dédiée aux banquets et aux mariages d’environ 180 couverts » ajoute Paul Jacquier. Jouissant d’une ambiance médiévale au confort contemporain, l’établissement séduit par cette dualité qui lui est propre et qui lui confère un caractère particulier.
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Imaginez le cadre où Paul Cézanne a peint son fameux Lac bleu. Ajoutez des tables où défilent des palettes de fraîcheur, certaines cueillies à deux pas de là dans le potager de la maison. Saupoudrez du talent d’un chef qui a côtoyé les Jacky Fréon et Joël Robuchon. Le décor est planté pour apprécier la cuisine inventive, gourmande et conviviale des tables de l’Abbaye de Talloires.
La tentation de la gourmandise
Inutile d’essayer une quelconque manœuvre de résistance. L’adresse millénaire est naturellement enveloppée d’un charme auquel l’on ne peut que céder. Il y a dans son atmosphère beaucoup de sympathie et un rien de secret, de mystérieux que viennent réchauffer les touches plus modernes, épurées de la décoration. Les délicats effluves montant des fourneaux des Jardins des Délices assurent aux gourmets que leurs papilles expérimenteront quelque chose de rare. La perspective n’est pas déçue lorsqu’un sabayon de chèvre apporte son fondant pour caractériser le croquant des légumes en entrée. C’est ensuite dans la légèreté que le maigre sauvage de ligne exprime toute sa saveur, avec son accompagnement de courgette fraîchement cueillie au potager. Les amateurs de douceurs s’échapperont le temps de savourer les touches d’ailleurs qui relèvent le vacherin glacé.
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10/10
23/04/2016 - Publié il y a 3 ans
Pour s’éloigner un peu du bruit de la ville, cet endroit est idéal. Il offre un dépaysement absolu. Un accueil très sympathique, un cadre naturel et discret avec des activités diverses et un bon restaurant. On y a passé un séjour magnifique en famille.