Le Domaine du Moulin de Lachaud se trouve dans un cadre champêtre à Sainte-Fortunade dans le département de la Corrèze. Bruno et Armelle seront heureux de vous y accueillir en toute saison pour un séjour au calme ou pour déguster une cuisine gastronomique inspirée du terroir.
Le domaine est aussi un lieu idéal pour des repas de famille, des anniversaires ou des mariages.
L’hébergement : une large palette d’espaces dédiés
Au Domaine du Moulin de Lachaud, vous pourrez résider dans l’une des 3 chambres d’hôtes ou dans le studio, tous prévus pour recevoir 2 personnes. Si vous recherchez plus d’originalité, vous pourrez choisir la hutte gauloise pour 4 personnes ou encore l’ancien moulin rénové qui peut accueillir jusqu’à 10 personnes.
Si vous préférez le camping, une plateforme surplombant l’étang est réservée aux camping-cars. Eau et électricité sont ainsi à disposition.
Le restaurant : une cuisine gastronomique inventive
La salle du restaurant vous accueille dans un espace coloré et moderne. L’été, vous pourrez aussi profiter de la terrasse de 100 m² avec une superbe vue sur l’étang.
Le chef vous régalera avec sa cuisine gastronomique inventive et raffinée. Tous les plats sont concoctés à partir de produits frais et de saison. En entrée, le magret fourré au foie gras ou le duo de foie gras mi-cuit aux fruits secs et écorces d’orange confites sont des spécialités maison très appréciées. En plat, le grenadin de veau aux girolles fera succomber vos papilles. Mais les pâtisseries sont également à l’honneur avec le pudding à l’ananas, une recette familiale très légère sans lactose ni gluten, ou la tarte Mojito à base de jus de citron jaune et vert, de menthe et de rhum.
Ici tout est fait maison, même le pain bio est préparé sur place, comme par exemple celui au petit épeautre.
Des concerts et des soirées à thème y sont organisés tout au long de l’été.
L’étang : pour tous les amateurs de pêche
L’étang situé sur le domaine s’étend sur 2,5 hectares et est alimenté par des sources naturelles. Ce site classé en titre vous dispense de la carte de la Fédération Nationale de la pêche. Vous pourrez y pêcher carpe, truite ou black-bass toute l’année sur réservation auprès du restaurant. Si vous aimez pratiquer la pêche à la mouche, rendez-vous d’octobre à février.
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L’Auberge de Sumène, réputée pour la qualité de ses plats raffinés, se veut être l’ambassadrice du label « fait maison ». Motivé par « l’envie de faire des choses simples avec de bons produits », Basile accueille ses hôtes avec une formule unique, à base d’une entrée copieuse et d’un plat ponctué de fromages et de desserts, promettant des instants gourmands de tous les délices. Une carte (avec entrées, plats, desserts) met quant à elle en scène des produits rigoureusement sélectionnés.
L’excellence des produits locaux à l’honneur
En constante quête de la qualité, Basile souhaite affirmer l’authenticité de sa cuisine en priorisant « au maximum des produits frais, de saison et locaux voire même biologiques dans la mesure du possible », nous confie-t-il. Les classiques auvergnats, à l’instar de l’aligot ou de la truffade que l’auberge met en avant, en sont ainsi sublimés. Cette cuisine traditionnelle familiale proposée dans la fameuse formule unique de l’auberge, dont le plat est décliné en trois choix le week-end, fait la fierté de cet établissement convivial. Chaque menu est ponctué de fromages du terroir et de délices sucrés, pour ne citer que le Mystère d’Agayrou, un dessert exquis composé d’une meringue avec une boule de glace au choix (à la menthe, nous conseille le chef), accompagnée de liqueur chocolatée et d’un tulle de chocolat. Cet ensemble copieux sera idéalement suivi d’un spiritueux issu de « la cave à vins française composée à 90 % de vins biologiques et de producteurs », relate Basile.
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Tout commence en 2015, lorsque la famille Hiaut décide de reprendre une ancienne maison datant de 1869 située à cinq minutes des grottes de Lascaux. Le jeune couple met une année à rénover la bâtisse en apportant un vent de modernité à l’architecture construite en grande partie de pierre ancienne. Aujourd’hui, L’Évidence fait guise de chambres d'hôtes et ferme-auberge. Elle a la chance également d’abriter une ferme et un potager garantissant la fraîcheur des plats proposés dans le restaurant.
Un délice en pleine nature
Situé en plein milieu des bois, le domaine de la famille Hiaut est déjà très réputé pour sa bonne cuisine et son service, malgré son jeune âge. Le restaurant comprend une terrasse de 30 couverts et une salle intérieure de 30 couverts, où les convives peuvent apprécier dans un calme extraordinaire les plats concoctés avec amour par le chef de famille, Alexandre Hiaut tout juste âgé de 26 ans. Ce dernier qui a penchant pour le foie gras, le travaille en toute simplicité. À vrai dire, Alexandre n'hésitera pas à vous faire partager sa passion . En salle, la maîtresse de maison, Marion Chevallier, vous accueille avec son joli sourire et sa gentillesse. Chaque assiette que le couple suggère dans la carte a son petit secret, mais la signature du restaurant reste la fameuse tourtière de canard (confit de canard émietté, sauce tomate, pâte feuilletée) accompagnée d’une bonne salade. Pour le dessert, les fruits issus de l’exploitation agricole familiale sont servis frais tous les jours. Un des desserts préférés des habitués du restaurant est la Gaufre à l’ancienne, recette qu’Alexandre Hiaut a hérité de son grand-père.
Une maison où il fait bon vivre
L’Évidence sait ce que les gens veulent, et le partage avec plaisir à travers le savoir-faire familial. Il faut tout de même rappeler que le restaurant n’ouvre que le soir, ce qui n’empêche pas aux amateurs de cuisine de terroir, d’apprécier le charme de la verdure surplombant le domaine. Il est possible d’y passer tout un week-end, quatre chambres y sont disponibles toute l’année, avec l’accès à un spa (ouvert aux non-résidents). Des soirées à thème sont souvent organisées pour marquer les grandes occasions, avec, bien sûr, des plats adaptés à tous les budgets et pour tous les âges. Il est toujours conseillé d’y réserver sa place, même pour un simple dîner. Une chose est sûre, la famille Hiaut aussi jeune soit-elle, sait et saura prendre soin de chaque personne !
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Situé en région Midi-Pyrénées, Martel est une cité médiévale fondée au XIe siècle par les vicomtes de Turenne. Elle est aussi connue sous le nom de « la ville aux 7 tours » car, au XVe siècle, elle abritait pas moins d’une trentaine d’échauguettes, de tourelles et de tours.
Un autre attrait de la commune est qu’elle se trouve sur la route de la noix du Périgord. Au XIIIe siècle, la noix était considérére comme un bien aussi précieux que l’or dans la région. Parmi ses dérivés les plus consommés figure l’huile de noix, un produit star à découvrir au sein de l’épicerie fine du Petit Moulin, qui abrite aussi un restaurant et un bar à vins.
Un chef passionné par son métier
Le Petit Moulin de Martel s’inscrit dans la lignée des restaurants bistronomiques. Il a été créé par Adrien Castagné, qui le dirige. Ce jeune manager, fils et petit-fils d’agriculteur et producteur d’huile de noix et d’agneaux, est diplômé en œnologie à Bordeaux. Il exprime une passion si forte pour l’univers de la cuisine qu’il a décidé de renforcer ses compétences dans ce milieu. Il débute sa carrière en tant que sommelier et barman dans un bar à vins nommé La Parcelle, situé aussi à Bordeaux.
Aujourd’hui, grâce à la richesse de ses vies passées et de son expérience, il a ouvert sa propre entreprise dans sa ville natale, au sein de laquelle il est secondé par son amie, Emma Buquet. Celle-ci endosse le rôle de chargée de communication et assure également l’accueil des clients.
Un restaurant très particulier
Au sein du restaurant, les clients peuvent investir la salle qui se trouve dans le hall, un lieu très cosy et moderne. La pièce révèle un style scandinave, moderne et raffiné. Les meubles en bois sont un signe de douceur et de chaleur. À l’étage, une ancienne chambre à l’esprit vintage a été aménagée. Elle est notamment équipée d’un tourne-disque et de vinyles, qui plongent les convives dans une ambiance musicale. Pour profiter du grand air, la terrasse ombragée et blottie au coin d’une petite rue propose calme et détente.
Le bar à vins, quant à lui, invite à passer des instants agréables entre amis ou en famille. C’est le jeune chef lui-même qui vient servir ses convives d’un bon vin en accord avec les mets proposés.
À côté de ce bar, l’épicerie fine propose différents types de vins, de produits locaux comme le pâté de foie gras, les rillettes et le confit de canard… L’huile de noix constitue le produit phare de l’établissement.
La gastronomie avec des produits du terroir
Adrien Castagné propose des plats faits maison, élaborés avec des produits du terroir. Il aime concocter une cuisine traditionnelle revisitée avec gout, en utilisant des ingrédients typiques du Périgord. Les spécialités de la maison sont la raviole de canard et le filet mignon de porc.
Côté menu, le chef propose une formule à 26,50 €, composée de deux entrées, de deux plats, de fromage et d’un dessert. Le restaurant dispose d’une carte courte, constituée de cinq entrées, de quatre plats et de quatre desserts au choix.
En entrée, les fins gourmets seront séduits par l’assiette de foie gras de Marie-Claude. Le filet mignon de porc en croute de noix fait office de plat de résistance. Et, pour le dessert, la tarte diamant aux agrumes et crème café blanc procure une touche de douceur et de gourmandise.
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Faire plaisir, il n’en faut pas beaucoup plus pour faire le bonheur de ces deux épicuriens. Riches de leurs expériences passées et animés par une passion effrénée pour leur métier, Sébastien Riou et Catell Kergadallan peuvent se targuer d’offrir l’une des tables les plus réputées de Périgueux. A l’honneur : une cuisine gastronomique, gourmande et maîtrisée à travers laquelle vous vous laisserez surprendre par la créativité débordante du chef. Chaque plat raconte une histoire : celle d’une originale association de saveurs et produits triés sur le volet auprès de producteurs locaux.
Un concept unique
Ayant passé son enfance en Lorraine, Sébastien Riou fait ses classes dans de prestigieux établissements notamment à Carantec auprès du chef doublement étoilé Patrick Jeffroy ou encore à Valence chez Anne-Sophie Pic détentrice de trois macarons au Guide Michelin. Chez l’un, Sébastien s’initie à la sélection rigoureuse des produits, chez l’autre, il apprend à mettre en avant rigueur et inventivité. Grâce à ses talents, il décroche un poste important à Puylaurens au Cap du Castel dont il devient le chef de cuisine. Voulant s’épanouir davantage en ayant la liberté de faire sa propre cuisine, le chef décide d’ouvrir son établissement. Il vivra cette aventure avec sa compagne Catell Kergadallan, pour qui l’univers de la cuisine n’a plus aucun secret. Ayant grandi dans une famille de maraîchers, elle est très tôt initiée au goût des bons produits. Son parcours au sein des grandes maisons comme les Relais & Châteaux des Côtes Finistériennes ou encore chez Michel Chabran à Pont de l’Isère (26) l’a aidé à acquérir une importante expérience qu’elle met désormais à profit au Parfum de Gourmandise où elle assure l’accueil et le service.
Au rythme des saisons, ce restaurant désormais incontournable à Périgueux s’est lancé dans le concept de menu unique. L’idée est de vous faire découvrir des produits nouveaux qui n’auront probablement pas attiré votre attention dans un autre contexte. Laissez-vous guider par le prodigieux talent du chef en cuisine et appréciez l’expérience.
Une rigoureuse sélection de produits auprès de producteurs locaux
Ce menu unique est à la base constitué de quatre plats à savoir deux petites entrées, un plat et un dessert. Toutefois, il est possible d’aller jusqu’ à cinq voire sept services pour ainsi goûter à toutes les propositions suggérées par la maison. La cuisine personnelle inspirée de l’enfance du chef promet de surprendre vos papilles. L’un des ingrédients pique votre curiosité ? Catell vous donne de plus amples explications et va même aller le chercher en cuisine pour vous le montrer. Ce moment d’échange contribue à amplifier votre expérience Au Parfum de Gourmandise.
La création des menus s’effectue en fonction des produits disponibles chez les éleveurs et agriculteurs locaux. « Tout est réfléchi d’avance. Deux à trois mois à l’avance, on fait un point avec nos maraîchers pour savoir ce qu’ils vont pouvoir nous offrir d’ici quelques mois. C’est de là que naissent les idées du chef » raconte Catell.
D’ailleurs, en consultant la carte, la liste de producteurs qui ont aidé le chef à monter son menu est affichée. Une manière de rendre hommage au fabuleux travail de ces professionnels.
Quand la simplicité côtoie le raffinement
Le décor mise sur la simplicité et le raffinement. Rien de trop guindé. La salle révèle un style sobre avec une prépondérance de couleur claire pour conférer plus de luminosité. La cheminée en pierre donne un côté rétro-chic tandis que les poutres apparentes procurent une ambiance plus traditionnelle. Les luminaires judicieusement agencées donnent du charme à l’ensemble sans oublier l’art de table, avec des assiettes notamment dénichées chez la céramiste du coin.
En tout, le restaurant possède 16 couverts répartis sur 6 tables. Pour être sûr d’y avoir ses entrées, il est donc plus sage de r...
Au grand plaisir des clients en quête de bonne cuisine, l’ouverture du restaurant Au Bassin à Périgueux est une belle aventure culinaire qui ne fait que commencer. À partir d’une ancienne ambiance de café, l’établissement connait aujourd’hui une affluence différente avec la fréquentation d’une clientèle beaucoup plus exigeante qui y effectue le déplacement dans le but de partager un bon repas en famille ou entre amis.
Un nouveau départ
Judicieusement placé à la sortie de la voie des stades, le restaurant Au Bassin est, pour la plus grande part, fréquenté par les habitants de Coulounieix-Chamiers et des quartiers environnants, mais aussi par de nombreux groupes sportifs et clubs de loisirs différents. À travers des plats simples cuisinés sur place, la maison attire sympathie grâce à un accueil chaleureux et particulièrement convivial ainsi qu’une admirable volonté à aller de l’avant.
Une cuisine traditionnelle
Beaucoup plus qu’un simple restaurant, Au Bassin est surtout une très bonne adresse à la table sympathique très appréciée de tous ceux qui recherchent des recettes d’antan dans leurs assiettes. Les chefs aiment surprendre leurs clients à travers une cuisine entièrement maison et très goûteuse, préparée à base de produits frais, pour leur donner le plaisir de renouer avec la bonne cuisine traditionnelle à qui l'établissement reste fidèle.
De la disponibilité à revendre
Ouvert six jours sur sept et toute la journée, le restaurant Au Bassin l’est également les jeudis, vendredis et samedis soirs, l’avantage étant de pouvoir s’y rendre sans réserver et d’y trouver facilement une table pour 8 ou 10 personnes. Pour les autres jours, il est plutôt recommandé d’effectuer une réservation. Cette grande disponibilité apporte au lieu, un très grand avantage qui progressivement suit son petit bonhomme de chemin dans un effet très réussi, ce qui vaut à l’établissement, une fréquentation élevée.
Un personnel accueillant
Constamment à l’écoute des attentes de la clientèle, le restaurant Au Bassin se distingue surtout par le professionnalisme de son personnel. À travers une qualité d’accueil remarquable et un fort sens du service, il déploie tout un art pour répondre au plus près à leurs besoins. C’est un restaurant où on se sent particulièrement bien accueilli et où on a régulièrement envie d’y revenir.
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Le Pont de l’Ouysse est un héritage familial qui se distingue par une cuisine jalousement conservée dans la tradition et perpétrée de génération en génération. La passion du métier aidant, accentuée par le désir d’aller plus loin dans les études hôtelières, Stéphane et Mathieu, issus de la 5è génération, ont aujourd’hui repris les rênes de ce bel héritage gastronomique familial pour continuer l’aventure. Une cuisine gastronomique de région est privilégiée à laquelle vient s’ajouter des plats d’ailleurs revisités.
Une invitation aux plaisirs gustatifs et au dépaysement
Dans un style « campagne chic » à l’ambiance cosy, le restaurant Le Pont de l’Ouysse est une irrésistible invitation à la découverte et aux plaisirs gustatifs. Il offre un cadre aux notes nostalgiques où se marie merveilleusement une profusion de couleurs et de senteurs. Le restaurant est particulièrement pensé pour offrir au lieu, une pointe de romantisme très recherché, tout en laissant opérer la magie. Les clients aiment parcourir ses berges aménagées en jardins et en promenades, afin de gouter avec sérénité, au calme et au dépaysement, dans un décor idéalement fleuri… Un véritable plaisir pour les yeux et pour les sens ! « Nous pouvons y accueillir 60 personnes en salle et 70 personnes en terrasse » précise Mathieu Chambon, maître d’hôtel.
Une cuisine locale
Le restaurant privilégie les circuits courts en travaillant avec des producteurs locaux. « Nous mettons en valeur les produits régionaux (melon, truffe, agneau, pigeon, fraise, asperge, noix, fromage, foie gras, safran etc…) et nous constituons la carte en fonction des produits de saison » tient à préciser Stéphane Chambon, Chef étoilé. La maison s’attelle également à la préparation de différents plats créatifs et authentiques à partir d’un bouquet de fruits de mer tels que Saint-Jacques ou homard, ceci pour répondre aux besoins de certains clients.
Les plats-signatures à l’honneur avec des menus et formules à la carte
Parmi les plats-signatures figurent notamment le pied de porc truffé, la crème de pommes de terre, le foie gras Bonne Maman, les queues de langoustines rôties ou encore la pomme de terre à la truffe. Afin de satisfaire toutes les gourmandises, la maison a développé plusieurs formules dont le Menu Belcastel à 92 euros, le Menu des moulins à 60 euros et le Menu du Vieux Pont à 40 euros (servi uniquement le midi excepté le dimanche et les jours fériés). Sur la carte des vins, « nous privilégions plutôt le vin régional (vignobles de Cahors et Bergerac), mais nous proposons également des vins provenant de toutes régions de France » spécifie Mathieu.
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Rendez-vous incontournable des amoureux de mélanges culinaires, Le Petit Manoir allie savamment gastronomie périgourdine et asiatique. Les délices du terroir agrémentés d’une touche vietnamienne y sont appréciés dans un cadre exceptionnel et enchanteur alliant ère médiévale et subtile modernité.
La cuisine Périgord-Asie dans toute sa splendeur
Au Petit Manoir, les produits faisant la renommée du Périgord sont mis en avant avec un subtil zeste vietnamien. Les recettes locales et la tradition culinaire sont remises aux goûts de l’Asie avec, à la clé, un harmonieux mélange de succulences gastronomiques d’ici et d’ailleurs. Truffes, canards et épicerie fine trouvent ici une alliance de prédilection dans des assiettes sublimes en bouche et appelant au régal. Découvrez cette singularité en dégustant une brioche de curé, suivie d’un magret cinq parfums et d’une gourmandise au chocolat et aux marrons, dans l’une des deux salles rustiques ou à l’ombre de la terrasse, tous propices à la détente.
La fusion culinaire pour tous
Enfants, végétariens, fins gourmets : tous trouveront leur bonheur gustatif dans cette table riche de ses diversités. Dans ce lieu dont l’art est reconnu par le Collège culinaire de France, la fusion est l’affaire délicieuse de tous les hôtes qui souhaitent découvrir une tradition revisitée à la manière originale d’un chef vietnamien. Chaque instant de plaisir qui en découlera sera accompagné d’un vin de Bordeaux ou d’un vin local issu d’une cave riche d’une centaine de références.
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Dans le Lot, plus précisément dans la commune d’Alvignac se trouve un restaurant de charme Chez Ernestine. « Les touristes s’y bousculent pour y découvrir les produits du terroir travaillés suivant des recettes d'antan revisitées par le chef » nous déclare Amandine Calore, maîtresse des lieux.
Un chef inspiré…
Cet établissement de charme doit sa renommée à son cadre « bistrot chic », mais surtout à sa cuisine traditionnelle teintée de l’inspiration de Joshua Laillier. À 28 ans, le jeune chef tient les rênes de la cuisine avec pour mots d’ordre « faire plaisir tout en se faisant plaisir ». Il fait ses armes au sein du lycée hôtelier de Souillac, avant d’acquérir toutes les bases de la gastronomie et de la brasserie en travaillant dans de nombreux établissements. Cet amoureux des bons produits du terroir se plaît à proposer des assiettes copieuses, des recettes revisitées et un visuel très festif. Ses spécialités ? « La terrine de foie gras maison en entrée, une souris d’agneau confite aux pruneaux et au pain d’épice en plat de résistance, et un tiramisu spéculos banane en dessert ». Un bon vin rouge de Rocamadour relèvera les saveurs de ces plats raffinés.
Un cadre style « bistrot chic »
Cette cuisine bistronomique est servie dans un cadre original « offrant une belle dualité entre modernité et tradition » selon les explications d'Amandine Calore. Les nappes en vichy, le plafond bas et l’immense bar suggèrent déjà que vous allez passer un bon moment. Les couleurs dans des teintes crème contrastent bien avec la profondeur du bois omniprésent. La devanture, avec ses pierres apparentes, souligne le charme traditionnel des lieux. À l’extérieur, la terrasse ornée de belles plantes et de parasols peut accueillir 50 couverts, et baigne l’atmosphère sous le beau temps du Sud-Ouest.
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Ce restaurant indépendant ouvert 7 jours sur 7 (hors dimanche soir) propose à ses clients une cuisine authentique et simple agrémentée d'incontournables classiques Auvergnat. Dans un cadre convivial à l'esprit bistrot, un accueil chaleureux vous invite à déguster un grand classique de la région qu’est la Truffade Auvergnate. Il s’agit d’un plat typique à base de pomme de terre, assaisonné de poivre et d'ail et de tomme fraîche du cantal servi avec un jambon sec AOC d'Auvergne. Soucieux de la tradition, les 2 compères ont pris soin de vous préparer ce plat « à l’ancienne ». A déguster pour les puristes avec un cotes d'Auvergne rouge ou blanc selon vos envies.
Une carte raisonnable mais variée
Le Zinc se démarque de la plupart des enseignes par sa cuisine généreuse concoctée à base de produits frais. En effet, l’établissement privilégie les circuits courts et la proximité de ses fournisseurs locaux pour répondre aux exigences de fraicheur et de traçabilité des produits jusque dans l'assiette. En s’approvisionnant auprès de fournisseurs comme "la ferme Auvergnate" ou "lou vidalou" fromager affineur cantalou, la maison s'assure d’avoir les bons produits. En été comme en hiver, le chef vous propose ses incontournables rognons de veau aux morilles et le boudin noir au foie gras poelé du domaine de Limagne.
Le Zinc se fait aussi une spécialité dans la viande, en mettant à l'honneur les races à viande locale : Charolaise, Limousine ou Aubrac et ce dès que possible.
et que dire du vin ?
La carte des vins du Zinc n’a pas à rougir face à celle d’autres établissements spécialisés. De nombreux vignobles exclusivement français y figurent, du sud en remontant par la vallée du Rhône, en s'arretant en Val de Loire et en Bourgogne jusqu'au bordelais pour finir, bien évidemment, sur les vins d'Auvergne à découvrir.
Parmi une trentaine de références, le chef laisse le soin à ses clients de faire leurs choix mais ne manque pas une occasion de leur faire profiter de ses expériences si besoin.
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Installé dans l’un des « plus beaux villages de France », dans le village médiéval fortifié de Montpeyroux, le Bistrot Zen offre un cadre sympathique et convivial en plein cœur de la campagne avec quarante couverts à l’intérieur et quarante à l’extérieur. Racheté en 2014, l’établissement a été entièrement restauré de façon à créer une ambiance originale, moderne et chaleureuse, depuis la salle à manger à la cuisine jusqu’à la cave à vin. « Cette ancienne cave est constituée de petites salles voûtées en pierre avec des recoins partout, des bougies, des petits éclairages…», révèle le chef et propriétaire Cyrille Zen en parlant de cet espace qui fait sa fierté.
Une cuisine de bistrot originale et locale
Ayant un goût particulier pour les « bons produits », le chef Cyrille Zen se distingue par sa cuisine qui mélange la tradition et la modernité. Ouvert il y a trois ans, le Bistrot Zen a été créé à partir d’un concept original qu’est la cuisine de bistrot. Les plats sont généreux, mais soignés et élaborés avec, essentiellement, des produits de la région.
Grâce à une collaboration étroite avec les producteurs locaux, qui se trouvent dans un rayon de trente kilomètres environ, « nous changeons les cartes tous les mois et demi ou tous les deux mois selon les saisons », explique le chef. À côté de son établissement étoilé à Saint-Jean-en-Val, en Auvergne, « ici, nous proposons des plats signatures – ma propre signature culinaire, mais avec des formules plus abordables pour les personnes qui n’ont pas le moyen de venir chez nous en tant qu’étoilé », souligne-t-il.
Composées de trois entrées, trois plats et trois desserts, les formules de menu « entrée-plat », « plat-dessert » ou « entrée-plat-dessert » peuvent être accompagnées de fromage en supplément si besoin est. Comme plat emblématique, le chef est reconnu pour ses choux farcis à la joue de bœuf, avec en entrée des asperges, des escargots ou du maquereau mariné façon aigre douce. Au dessert, il suggère du chocolat et de la framboise.
Avant de partir, l’établissement propose de déguster des vins de la région culturelle et historique d’Auvergne. Sous la conduite de la femme du chef, Audrey, la cave du Bistrot Zen conserve une panoplie de références de vins de toutes les régions françaises, notamment du Languedoc. Toutefois, « nous privilégions des produits de vignerons locaux à l’instar d’Yvan Bernard, pour faire découvrir des vins qui ne sont pas des produits de négoce », précise le propriétaire.
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Au terroir du vin, de la truffe et du foie gras, la gastronomie fait-maison de Jean-Claude Laurent se déguste au coin du feu ou à la terrasse. Le Chef utilise encore la vieille cuisine ouverte pour préparer ses plats devant les convives. A l’auberge La Source de Peyssou, les produits de Dordogne-Périgord sont à l’honneur. Ainsi, il a vu s’ajouter à son palmarès le titre de Maître Restaurateur avec celui de Maître cuisinier de Belgique et Lauréat « Gourmets des Régions ». Ces distinctions se font bien ressentir dans les assiettes.
Une gastronomie simple et authentique
Grand amoureux de la cuisine, Jean-Claude Laurent reste longtemps derrière les fourneaux pour concocter des plats dignes de ses titres, de son établissement, de sa région et surtout de sa clientèle. Il prépare aujourd’hui les ingrédients et les sauces comme dans ses premiers souvenirs de commis de cuisine avec les gestes qui concrétisent la communion du cuisinier et des produits. Tout est alors fait-maison, même les petits pains. Doté d’une riche créativité et d’une expérience considérable, le Chef ne fait jamais la même recette deux fois.
L’auberge de La Source de Peyssou offre différents menus dont le menu Périgourdin, le découvert, le menu week-end et également un menu pour les évènements. Pour les fêtes de Pâques par exemple, le restaurant offre des huîtres Rockefeller en attendant les filets de Sole fourrés d’une mousse de coquilles Saint-Jacques, croutés d’un beurre de fines herbes. Ils sont suivis de l’agneau braisé à la printanière, pommes nouvelles. La maison suggère également un assortiment de fromages, de la salade et du miel de châtaignes du Périgord. Sans oublier un des ingrédients symboliques de Pâques : le chocolat avec « l’œuf farci ».
Le terroir Dordogne-Périgord
Dordogne-Périgord est un terroir riche en produits gastronomiques et viticoles. Ici, le respect des produits locaux tels que le foie gras, les truffes, les cèpes ou le cabécou est une tradition. Toutefois, chaque établissement apporte sa touche de créativité à cette cuisine. Dans ce sens, Jean-Claude Laurent combine dans ses préparations des produits régionaux comme le fromage de chèvre Cabécou avec des sirops, épices et agrumes. Grâce à ces mélanges audacieux, les assiettes du Chef ont pris de la couleur et du détail.
Chez les propriétaires de l’auberge de La Source de Peyssou, l’amour du métier se fait remarquer. Jean-Claude et Grete Laurent produisent eux-mêmes les courgettes, les haricots, les aubergines, les petits pois et autres légumes qui accompagneront les viandes et poissons et crustacés. Ils se prêtent aussi à l’élevage de moutons et de poulets. Pour le canard, ils font appel à un fermier du pays. Le maître de la maison prépare lui-même son foie gras.
Les évènements et formules
L’établissement offre quatre formules pour les séjours à Saint-Avit-Sénieur : la formule week-end « Fines bouches », le week-end « Découverte », la Soirée romantique et le week-end « Bien-être ». Celles-ci incluent les nuitées dans les suites.
L’auberge de La Source de Peyssou organise de temps en temps des soirées à thème. Les propriétaires ont déjà organisé par exemple un festival de homard ou une déclinaison d’asperge. Lors de cette dernière, l’asperge est présente dès la mise en bouche jusqu’au dessert. Le Chef propose alors différentes préparations comme l’asperge confite ou en gâteau.
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L’histoire de la Table de Léo est celle d’un coup de cœur. A la recherche d’un établissement typiquement périgourdin à reprendre, Florent Reversat et Servane Daudet sont immédiatement séduits par cette bâtisse en pierre qui a su préserver les marques du temps passé lui conférant tout son charme rustique. Ils la transforment en une adresse cosy et conviviale où la cuisine semi-gastronomique est à l’honneur.
Les produits du terroir au menu
Une fois que vous aurez mis les pieds à la Table de Léo, vous y retournerez, forcément. Comment résister à un accueil aussi chaleureux, à un service aussi efficace, à une cuisine aussi savoureuse ? Promis ! Ce restaurant périgourdin vous fera passer des moments exceptionnels. En cuisine, Florent s’active déjà pour vous proposer un succulent menu à midi. Ce chef passionné commence sa formation au sein du Lycée Professionnel Jean-Capelle à Naillac pour y passer son BEP et son BACC PRO. Il a ensuite exercé au sein de plusieurs grandes maisons à l’instar de l’établissement étoilé Le Vieux Logis sis au cœur du Périgord Noir. Plus tard, son chemin recroisera celui de Servane qu’il déjà a connu au Lycée Jean-Capelle. Ensemble, ils lancent le projet d’une vie : l’ouverture de leur restaurant qu’ils baptiseront « La Table de Léo » comme leur petit garçon. Coïncidence : la place située en face du restaurant se nomme aussi Léo. Plus aucun doute donc pour le couple.
Ils retravaillent entièrement la décoration. Les murs en pierres apparentes ainsi que les meubles en bois brut réveillent le côté traditionnel. Le côté chic est souligné par un art de la table soigné avec des chemins de table blanc en tissu.
Telle une véritable galerie d’art, la maison expose gratuitement beaucoup de tableaux réalisés par des peintres de la région. En somme, l’idée est de recréer une ambiance typiquement périgourdine. « Les clients aiment bien ça ! » se réjouit Servane Daudet.
Quand le temps est clément, la terrasse ombragée invite à la détente. Elle est située au pied de la célèbre abbaye de Saint-Avit-Sénieur qui se trouve sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. L’édifice religieux datant du XIIème siècle et classé au patrimoine mondial de l’UNESCO est l’une des attractions phares de la commune.
Une délectable cuisine de saison
Florent se fait l’ambassadeur d’une cuisine du terroir qu’il personnalise selon ses humeurs et ses envies. Les produits frais sont privilégiés et directement sélectionnés auprès d’éleveurs et de producteurs du coin. Les menus sont élaborés en fonction de la saisonnalité et changent tous les deux mois.
Pour combler vos papilles, vous vous laisserez séduire par le menu Plaisir proposé midi et soir pour un prix modique de 32 €. Invitant à un voyage aux quatre coins du globe, le chef vous concocte un Longe de thon fumé cuit minute dans son bouillon de crustacés aux épices thaï. Puis, direction l’Italie avec le dos de cabillaud, risotto crémeux chorizo et encornets. Terminez avec le Finger exotique, sablé coco et sorbet fromage blanc citron qui vous transporte jusque dans les îles. Une jolie carte des vins éclectique avec quelques clins d’œil sur la région est proposée. La maîtresse des lieux vous conseille en fonction de vos envies afin que vous puissiez vous délecter des meilleurs accords.
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Le petit village de Cajarc cache de grands talents dont un se dévoile aujourd’hui au restaurant L’Allée des Vignes. Grâce à Evgenia et Claude-Emmanuel Robin, cet ancien presbytère a pris un sacré coup de jeune. Dans ce cadre élégant, la cuisine bistronomique est à l’honneur le midi pour le tourisme de passage et la clientèle d’affaire, tandis que le soir et le déjeuner dominical sont destinés à l’épicurisme via une cuisine gastronomique, fine et de création.
Créer l’évènement dans l’assiette
« Mon objectif est de créer l’évènement dans l’assiette ». C’est ainsi que le chef Robin conçoit sa vision du métier, une idée longuement mijotée. A cet effet, avec son équipe, il s’efforce de suivre la saisonnalité de façon pointilleuse. Le mardi de chaque semaine est alors consacré à la rencontre avec ses partenaires locaux pour comprendre et choisir le bon produit. Si Claude-Emmanuel s’exprime aujourd’hui avec tant d’assurance, c’est parce que son établissement a naturellement privilégié le circuit court et la gastronomie locale pour des créations culinaires entièrement élaborées sur place. D’ailleurs, la ligne de conduite du restaurant l’évoque : faire les choses dans les règles pour faire plaisir en se faisant plaisir. C’est avec mesure que le chef déclare « voilà maintenant cinq ans que le restaurant a ouvert ses portes, et nous sommes heureux de pouvoir constater que les clients font des kilomètres depuis Cahors, Rodez, ou même Toulouse pour découvrir notre cuisine et le concept particulier de l’Allée ».
La flexibilité de L’Allée des Vignes
Car ce qui fait le succès de l’Allée des Vignes, c’est son concept initial, son Côté Gastronomique et la souplesse de ses cartes hebdomadaires qui se déclinent en trois formats. De la dégustation au plat, en passant par le demi-plat, chaque convive choisit le volume de son assiette. Trois formats, trois tailles pour chaque plat qui permettent de manger selon l’appétit et l’envie.
Ce concept est étayé par une cuisine patiente qui révèle la quintessence des produits sans les dénaturer. Pour ce chef locavore, rien ne se perd, tout se transforme : un peu de fantaisie et le jaune d’œuf parfait acquiert sa texture onctueuse dans un gras de canard aux parfums d’asperges vertes de Cajarc. Inspiré par ses origines latino-américaines, Claude-Emmanuel transforme la peau de Saumon en Chicharrón croustillant, qui devient ainsi l’une des composantes essentielles d’un plat. En choisissant le « Menu Dégustation », toutes les suggestions à la carte sont disponibles en format « Dégust ». La Mer, la Terre et le Végétal occupent le haut de l’assiette. L’agneau fermier, le foie gras et le safran du Quercy sont souvent à l’honneur, mais le chef sait aussi s’égarer dans des escapades exotiques en utilisant par exemple le « Voatsiperifery », un poivre sauvage de Madagascar associé à l’ananas rôti au beurre d’épices au moment du dessert. Un délice pour les papilles.
Que serait un dîner gastronomique sans un bon vin pour l’accompagner ? L’Allée des Vignes a pensé à tout pour faire plaisir aux fins palais. A l’entrée du restaurant, une Vinothèque vous révèle une sélection réfléchie de 120 références de vins. Le livre de cave en mains, le client constate un équilibre entre beaux crus classiques et nouvelles productions prônant le bio, intéressant ainsi autant les néophytes que les amateurs les plus avertis.
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La Dordogne est un département français localisé en Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes, dans le Sud-Ouest. Il est connu pour son large patrimoine culturel, archéologique et historique.
Les produits du terroir font partie du patrimoine culturel du département. La truffe noire, les pommes de terre, les fraises, les noix et les cèpes du Périgord en sont ses produits phares.
Les spécialités culinaires régionales sont composées de délicieux plats comme les confits de volaille, la sauce périgueux et le papitou, un assortiment de foie gras de canard, de chair de porc et de truffes.
La Dordogne est aussi réputée pour son vignoble de Bergerac, qui couvre environ 12 000 hectares au sud-ouest du département et produit plus de 13 AOC, dont les plus connus sont le Monbazillac, le Montravel, les côtes de Montravel et le Haut-Montravel.
Un bel espace gastronomique
Le Relais de l’Ancienne Gare est facilement accessible, même pour les personnes à mobilité réduite. Il est privatisable et accueille les cérémonies festives dans une ambiance conviviale.
À l’extérieur, on trouve un parking réservé exclusivement aux clients, une magnifique terrasse fleurie et ombragée pendant l’été. L’intérieur est décoré d’une superbe collection de locomotives et de fresques sur les trains. Il contient une salle privative avec une véranda destinée aux petits groupes.
Hervé Rodot, le chef cuisinier, a beaucoup d’expérience. Cuisinier depuis plus de 40 ans, il a travaillé chez Bernard Loiseau et dans des maisons référencées dans le Guide Michelin. Pour lui, la cuisine n’a plus de secret : « On n’invente rien en cuisine, mais on fait des associations personnelles », nous explique t-il.
Les spécialités du restaurant
Le chef travaille avec des producteurs de foies gras de Vendée et du Périgord. En hiver, il propose des plats à base de truffes noires.
L’assiette de foie gras existe en 3 versions : la terrine de foie gras, le foie gras cru à la fleur de sel et l’escalope de foie gras poêlée aux pommes et jus miellé. Le dressage se fait par petites portions sur une assiette avec une salade en décoration.
L’esturgeon Rossini est préparé avec un petit jus brun à la saveur de truffes. L’esturgeon poêlé, l’escalope de foie gras poêlée, la terrine de porcelet aux petits légumes et au foie gras, l’esturgeon au beurre rouge et aux giroles, les cuisses de canard braisées aux pêches et le cannelloni de cabillaud sont d’autres spécialités du restaurant.
En entrée, on pourra commencer par le foie gras poêlé aux fruits rouges, qui est un petit jus déglacé avec un vinaigre un peu rouge, du foie gras et des fraises. Au dessert, on choisira, par exemple, un millefeuille de fraise, composé deux feuilles de pâte feuilletée fine et caramélisée avec de la fraise, de la chantilly et du coulis de fruits rouges.
Hervé Rodot nous a fait la confidence qu’il envisage de proposer la tarte tatin d’abricot avec une glace d’amande amère ou avec un sorbet d’amande amère.
Accords mets et vins
Les vins sont choisis selon leurs accords avec les mets. Le foie gras s’accorde parfaitement avec des vins d’appellation Saint-Nicolas-de-Bourgueil comme le Chenin Blanc et l’Eclipse n° 8. Le Château Tour des Gendres Anthologia d’appellation Bergerac peut accompagner la délicieuse terrine de porcelet.
Une multiple reconnaissance
Le restaurant est ouvert tous les jours de 12 h 15 à 14 h et de 19 h 30 à 21 h, excepté les jeudis et dimanches soir.
Membre de l’association des Toques du Périgord et de celle de la Route du foie gras, Le Relais de l’Ancienne Gare a reçu un certificat d’excellence de la part de Tripadvisor en 2014 et bénéficie du label « Tables et auberges de France ». Il a aussi été sélectionné par Le Petit Futé en 2012, 2013, 2014 et par le Guide Michelin en 2015 et 2016.
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Entre l'Auvergne, la Bourgogne et le Berry, l’Hôtel Le Pont Neuf jouit d’une situation exceptionnelle, étant lui-même situé entre deux circuits automobiles reconnus à l’international qui sont Magny-Cours et Lurcy-Lévis. Au calme, dans un cadre idyllique, l’établissement propose une gastronomie impeccable, des chambres luxueuses et un parc champêtre.
D’une salle coquette à une assiette gourmande…
Au sein du restaurant, la salle est décorée avec goût et raffinement. L’art de la table est ici un art récurrent et bien maîtrisé. Les tons neutres et le style chic des lieux annoncent déjà le standing de la maison. Un décor moderne avec des touches traditionnelles, des couleurs mauves et orangées, des fenêtres qui baignent la pièce d’une lumière éclatante font d’elle un endroit idéal à la détente et au plaisir.
À salle d’exception, assiette d’exception. Les plats sont d’une finesse inouïe. Le visuel épuré incite à la gourmandise. Les suggestions du chef : le foie gras maison en entrée, du charolais au poivre comme plat principal, et enfin de la banane tatin pour le dessert. Un bon vin blanc de caractère de la région saura sublimer et révéler cet accord parfait.
D’une assiette gourmande à un hôtel de charme…
Après un bon repas dont seule la maison a le secret, vous pouvez prolonger votre séjour dans l’hôtel. Les quarante-cinq chambres feutrées et confortables vous accueillent l’instant d’un moment féerique. Le calme, la quiétude et la sérénité y règnent en maîtres. La piscine, le sauna, le tennis et la salle de remise en forme font de cet endroit une source du bien-être. D’autres activités comme de la randonnée dans la forêt de Tronçais ou encore le rafting sur l’Allier s’ajoutent à la longue liste des services proposés par la maison.
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A seulement 20 minutes de Bergerac se trouve le Château des Vigiers qui abrite un hôtel de charme et un restaurant de prestige dans lequel Didier Casaguana exerce sa passion pour la cuisine avec art et dextérité. Un mariage du luxe et de la saveur s’invite dans les assiettes soigneusement préparées par ce chef étoilé.
Un décor à l’ancienne avec une touche modernisée
« Les Fresques », tel est le nom du restaurant qui fait la fierté du Château des Vigiers. Il doit cette appellation aux murs du château décorés de fresques, un chef d’œuvre signé Liz king, une artiste anglaise. Ces visuels décoratifs forment une sorte de trompe-l’œil qui replonge les convives dans une époque lointaine. Dans l’ensemble, le restaurant offre une décoration assez épurée avec le beige et le marron, un mélange de sobriété et de raffinement.
Dehors, les clients apprécient la vue imprenable sur le terrain de golf comportant 27 trous aménagés au milieu des bois de chêne, des pruniers et des vergers. Plus loin, il est possible d’apercevoir le lac. Outre le plaisir des yeux, les papilles sont aussi comblées avec la cuisine gastronomique élaborée au restaurant.
Une cuisine de saison raffinée
Aux Fresques, la cuisine de saison est à l’honneur. Tout en offrant des plats finement préparés, le restaurant veut « conserver son côté social en privilégiant le commerce équitable et en se fournissant auprès des petits paysans qui cultivent des produits bios » comme le raconte Niels Koetsier, le directeur d’exploitation du domaine. Avec ces produits de qualité quasiment introuvables dans le commerce, le chef et son équipe concoctent des plats qui émoustillent les papilles.
Comme entrée en matière, la Pomme de ris de veau braisée et foie gras grillé, rhubarbe compotée, jus à la fleur de thym satisfait les fins palais. Vient ensuite le Dos de Turbot de chez « Jo » poêlé, condiments de printemps aux agrumes et premières herbes côté poisson ou le Pigeon entier de chez « Monsieur Linant » en cocotte, raviolis d’échalote et artichaut Macau, jus au café et noix côté viande. Pour terminer en beauté cette pause gastronomique, le dessert intitulé Mariage de saveurs entre la mangue, la passion et la coriandre parle de lui-même.
Il est important de spécifier que le Château des vigiers abrite un second espace de restauration appelé Le Chai dans lequel officie également Didier Casaguana. Cette brasserie dont le style rappelle les anciens chais de vinification avec ses vieilles barriques et ses poutres apparentes est réservée aux adeptes du plein air car elle se trouve sur une terrasse surplombant le parcours de golf.
Un chef passionné
Son amour du terroir inspire le Chef étoilé Didier Casaguana dans ses préparations culinaires. Il ramène de sa région natale, la Gascogne, son affinité pour les produits locaux en particulier les fruits et les légumes avec lesquels il prépare d’excellents plats qui réveillent les sens.
Les Fresques ouvrent ses portes tout l’été. Didier et son équipe vous attendent avec sa carte variée et ses trois menus : menu du midi à 39 €, menu du soir à 49 € et Esprit du chef à 105 €. Pour apprécier l’inventivité du maestro en cuisine, n’hésitez pas à découvrir ce fameux menu Esprit du chef dont le nom en dit déjà long sur ce qui vous attend. Celui-ci est élaboré à partir de produits prestigieux comme le foie gras d’une sélection rare, le homard, le caviar, l’huître, la langoustine, le veau... Seuls les ingrédients sont cités. C’est d’ailleurs toute la beauté de ce concept. Faites confiance aux talents du chef et appréciez l’expérience.
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Définir le Clos Caché comme un simple restaurant serait inapproprié. On n’y va pas uniquement pour se restaurer mais aussi pour profiter d’un moment de bien-être et de détente, le tout dans la plus grande intimité. Des célébrités en apprécient la discrétion. L’établissement sis dans le petit village d’Escamps dans le Lot se veut être une adresse élégante et traditionnelle où l’on cultive la convivialité. L’accueil ultra-personnalisé dès la réservation par téléphone dénote déjà du service qui vous attend !
Prêt ? C’est parti…
Un havre privilégié à l’ambiance intimiste et raffiné
A 20 km au Sud Est de Cahors, discrètement niché sur le causse de Lalbenque, haut lieu de la truffe tuber melanosporum, l’ancienne fermette s’est transformée en une table gourmande et raffinée. Dès l’arrivée sur place, Denis, le maître des lieux, vous accueille. Ici, vous ne serez pas traité comme un client mais bel et bien comme un convive. Votre hôte vous fera visiter la propriété, histoire de vous imprégner des lieux. L’espace paysager agrémenté des arbres typiques du Quercy ne laisse pas de marbre. L’étendue d’eau quant à elle vient sublimer ce décor bucolique et dépaysant.
Selon les saisons, vous avez le choix entre vous délasser sur la terrasse ombragée afin de continuer à profiter de cet environnement verdoyant ou vous installer dans la salle, décorée avec beaucoup de goût. Car outre ses talents en cuisine, Mireille est aussi une ancienne architecte d’intérieur qui a su mettre en valeur avec subtilité, l’élégance et la rusticité des lieux. Tout est fait pour assurer confort dans une atmosphère sereine.
Une cuisine généreuse et personnelle
Au Clos Caché, les clients sont autant choyés à l’accueil que dans l’assiette. Mireille propose une cuisine traditionnelle alliant plaisir, équilibre et gourmandise. Elle puise son inspiration sur la mixité de ses vies passées ailleurs avec les richesses offertes par les terroirs. Autant que possible, elle s’approvisionne auprès des producteurs locaux afin de garantir fraîcheur et qualité.
Ici, pas de carte. On sert un menu par jour, concocté selon l’humeur et l’inspiration de la chef. Attention, l’établissement ne reçoit que sur réservation. Dès cette prise de contact, vos hôtes vous mettent au parfum quant aux plats qui seront proposés. Au menu ce jour-là, nous avions dégusté un foie gras croustillant sur une crème de févettes en entrée, un filet de lotte rôtie nappée d’une émulsion aux olives noire en plat principal et un délicieux soufflé au citron vert répandu dans une crêpe en guise de bouquet final. Une belle expérience pour nos papilles.
Pour les amateurs de truffe, la maison concocte des formules spéciales. Durant la saison, des repas autour de cet exceptionnel produit sont élaborés.
Côté prix, cette expérience hors de toute réalité est tarifée au prix le plus juste. Il faudra compter entre 57 et 65 euros pour un repas incluant le menu, les boissons et le plateau de fromage. Pour les menus spéciaux « truffes », les tarifs oscillent entre 75 et 80 euros hors boisson.
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Située à l’angle de la rue Balzac et de la rue Mazerolles, La Gerbe d’Or est un endroit emblématique de Loches depuis maintenant près d’un siècle. Repris par Hélène et Didier Harbonnier en août 2014, le restaurant est aujourd’hui un lieu de rendez-vous incontournable des Lochois et des touristes en quête d’un moment agréable autour d’une bonne table.
Une ambiance conviviale et chaleureuse
En trois espaces, La Gerbe d’Or conjugue à la perfection le raffinement et la simplicité. Avec une prédominance du bois, la décoration est à la fois épurée et élégante. Dès la porte franchie, la première salle aux couleurs sobres séduit par la sensation de douceur qu’elle dégage. De l’autre côté, la grande salle charme avec son imposante cheminée qui apporte du romantisme au lieu. À l’étage, un salon offre un moment beaucoup plus intimiste et cosy pour 20 couverts. Dans chaque espace, de magnifiques tableaux signés par des artistes de la région viennent orner les murs en parfaite harmonie avec l’endroit.
Durant les beaux jours, les convives peuvent aussi se restaurer, à l’ombre des glycines, sur la terrasse joliment agencée.
Une cuisine traditionnelle
La Gerbe d’Or propose une cuisine traditionnelle et raffinée. Avec une touche de modernité et un brin d’exotisme, le chef Gérard Guignard réalise un mélange dosé de saveurs et de textures, sans pour autant dénaturer le produit principal.
À base de produits frais issus du terroir, tous les plats sont labellisés « faits maison ». Au gré des saisons, la carte se décline en plusieurs plats, dont les plus prisés sont la succulente tartine tiède d’oignons confits au chinon et jambon de pays, le fameux haddock poché au lait aux pommes anglaises accompagné par un crémeux d’échalotes au muscadet ou encore le délicieux suprême de volaille de Racan farci au foie gras et son ragout de légumes de saison.
Pour plus de surprises, les convives peuvent aussi opter pour le menu du jour. Affiché à l’ardoise, il est renouvelé au quotidien selon la disponibilité des produits sur le marché et propose une entrée, un plat et un dessert. En semaine, ce menu est à 13,90 € et le weekend à 15,90 €. Un verre de vin est offert tous les midis pour accompagner le repas, sauf le dimanche.
Par ailleurs, le restaurant propose aussi deux autres menus renouvelés au fil des saisons : le menu Gourmand et le menu Mélodie qui proposent trois entrées, trois plats et trois desserts au choix. Ces menus mettent à l’honneur des composantes locales pour un grand moment de plaisir gustatif.
Le petit plus
Pour accompagner dignement cette expérience culinaire, quoi de mieux qu’un bon vin ! En la matière, La Gerbe d’Or possède une riche collection dans sa cave, qui met à l’honneur le terroir viticole du Val-de-Loire et tout particulièrement des vins issus de la biodynamie. L’occasion pour les convives de déguster d’excellents vins en accord avec les plats proposés. Cependant, même si les vins originaires du Val-de-Loire occupent presque 90 % de la cave, quelques régions viennent compléter la sélection, avec, notamment, les Bordeaux, les Côtes- du-Rhône, les Bourgognes et d’autres bonnes surprises. Le tout est servi par un personnel de professionnel aussi sympathique que réactif.
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Un peu à l’écart de la Sauvetat-sur-Lède, le restaurant La Pierre Blanche plonge dans une tranquillité totale et baigne dans une nature splendide. La Chef Marie-Laure s’inspire de sa vie passée pour présenter une cuisine méridionale, pendant que son époux assure l’accueil, le service et la sélection des vins. La reine des fourneaux privilégie les produits frais régionaux et fait évoluer la carte au gré des saisons.
Une cuisine méridionale
Le couple Rossetti possède une expérience considérable dans la restauration. Marie-Laure revendique une cuisine méridionale qu’elle a perfectionnée au fur et à mesure de ses longues expériences à Lyon et en Provence. Elle reste très exigeante sur la qualité et la fraîcheur des produits qu’elle considère comme des bijoux sublimant ses assiettes. En fonction des saisons et de la disponibilité des ingrédients, elle n’hésite pas à apporter des modifications ponctuelles à ses recettes. Ainsi, le filet de lapin sera dorénavant préparé autrement car le foie gras qui servait de farce ne sera plus disponible d’ici peu. Heureusement que Marie-Laure ne manque pas d’imagination.
Ces modifications ne concernent pas le Croquant de tête de veau aux trompettes de la mort et graine de moutarde avec échalotes confites. Ce plat signature qui fait partie du Menu Tradition est très demandé toute l’année. En outre, il y a le Menu des Bastides suggérant des plats classiques mais incontournables comme le Poulet fermier farci forestière et légume du moment. Pour finir, le Menu Harmonie des sens mise sur l’aspect gastronomique avec les Noix de Saint-Jacques ou les Joues de lotte au Combava. Toutes ces délicieuses suggestions s’achèvent avec une note de douceur apportée par exemple par le Moelleux au chocolat, cœur coulant aux noisettes.
Côté vins, Louis Rossetti est heureux de proposer une sélection de vins issus de Bordeaux, Lot-et-Garonne, Côtes-du-Rhône et un peu de Bourgogne.
Une ambiance paisible
Situé en pleine campagne, à mi-chemin entre les bastides de Villeneuve-sur-Lot et de Monflanquin, le restaurant La Pierre Blanche reçoit ses convives au milieu d’un environnement verdoyant pour les faire profiter du grand air et des chants d’oiseaux. L’établissement se trouve un peu à l’écart du village de Sauvetat-sur-Lède où l’atmosphère est encore plus calme. La Pierre Blanche est le premier restaurant du village, l’endroit idéal pour faire une escapade gourmande.
Le restaurant tient son nom de ses beaux murs de pierres blanches qui se marient bien avec le mobilier dénotant d’une touche contemporaine. Le cadre est simple et raffiné. De petites tables pour deux sont disponibles pour les diners en tête à tête tandis que les grandes tables accueillent les familles ou les groupes. Une grande baie vitrée donne une vue sur le jardin depuis la salle. Lors des beaux jours d’été, la terrasse ombragée est le coin le plus apprécié garantissant une délectable pause gustative.
Les voyageurs de passage dans le village peuvent s’installer dans la chambre d’hôtes dotée d’un grand lit et d’une salle de bain spacieuse à l’Italienne. Pas de panique si celle-là est prise, la deuxième chambre de l’établissement est en cours de finition.
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Dans les hauteurs d’Aubrac, au beau milieu des massifs volcaniques, Arlette et Christian Bessière décident de transformer cette bâtisse abandonnée en un véritable sanctuaire culinaire : Le Buron du Ché. Installé au bout d’un chemin sinueux, ce paradis des gastronomes profite d’une excellente localisation d’où il est possible d’admirer les monts d’Aubrac.
Un refuge culinaire en pleine montagne
Le restaurant propose deux salles de styles différents. Ceux qui désirent profiter d’une ambiance plus intime et préserver la chaleur de leurs retrouvailles, le Petit Buron leur réserve charme et discrétion et peut accueillir jusqu’à 50 personnes. Puis, de l’autre côté, à travers ses grandes baies vitrées, le Grand Buron, d’une capacité de 80 places, fait profiter d’une vue panoramique donnant sur la vallée du Bes, les monts du Cantal et l' Aubrac.
Au sein du restaurant, une ambiance chaleureuse et conviviale se fait ressentir. Les poutres apparentes en bois donnent du cachet à l’établissement et tranchent avec les tables et les chaises en métal. Une prédominance de couleur claire donne un aspect élégant et spacieux à la salle.
L’aligot à l’honneur
L’aligot est le plat phare de la maison. Minutieusement préparée par Christian Bessière, cette spécialité culinaire traditionnelle de la région d’Aubrac accompagne la plupart des plats servis au restaurant. Aujourd’hui, il est préparé à base de crème, de purée de pommes de terre, de beurre et de tome d’aligot.
De nombreux menus gourmands à découvrir
Le chef tente de satisfaire toutes les envies gourmandes, en proposant différents types de menus : Saveur, Goût du pays, Tradition, Dégustation, Terroir… Comme leur nom le sous-entend, ces suggestions culinaires font honneur aux produits du terroir fournis par les producteurs locaux. Les menus ont un point commun : ils sont constitués de viandes servies toutes sans exception avec l’incontournable aligot.
À la carte, les papilles se délecteront en entrée d’une succulente crème brûlée au foie gras et pain d’épices. Le repas enchaine ensuite avec un risotto aux cèpes et gambas poêlés pour ceux qui affectionnent les produits de la mer. Sinon, il est possible de commander un mignon de porc en croûte ou une entrecôte pour les amateurs de grillades. Pour finir, les desserts maison au choix apporteront une note de gourmandise et de douceur à ce repas mélodieux.
Les convives qui désirent manger plus léger ne sont pas en reste. Le restaurant leur réserve un vaste choix de salades, dont la salade du Buron, une spécialité de la maison composée, entre autres, de jambon du pays, de fromage, de croûtons et de salade verte. En outre, la salade d’écir enchantera les palais. L’écir, ce fromage typique d’Aubrac doté d’une pâte jaune pâle, est apprécié pour ses douces saveurs de gentiane et de miel.
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Petite commune tranquille de l’Aveyron en région Languedoc-Roussillon, Midi-Pyrénées, Onet-le-château abrite une perle de la cuisine bourguignonne. Le restaurant d’Alex et Corinne est décidément réputé pour l’accueil agréable et courtois qu’il réserve à ses convives sans parler de sa cuisine fine et soignée où les produits frais et locaux sont à l’honneur.
Etape gourmande en Aveyron
Pour y aller, rendez-vous aux portes de Rodez, puis direction le rond-point Saint-Marc, route d’Espalion. A l’accueil, Corinne reçoit avec le sourire, histoire de détendre et mettre à l’aise ses convives. Une fois ceux-ci bien installés, les choses sérieuses commencent. Du mardi midi au vendredi midi, des menus entre 16 et 20 euros sont proposés avec au choix quatre entrées, quatre plats et quatre desserts. On choisit ses plats à la carte le jeudi et vendredi soir ainsi que le week-end. La carte comprend plusieurs entrées entre 6 à 10 euros, des plats entre 16 à 24 euros et des desserts entre 6 et 7 euros. « Chez nous pas de carte fixe, nous établissons un tableau qui change tous les jours, selon les saisons » raconte Corinne.
Le chef prend plaisir à concocter de succulentes spécialités bourguignonnes qui sortent des sentiers battus. Avec sa maîtrise et sa rigueur, il sait satisfaire les palais les plus exigeants. Pour ses réalisations, il mise sur son amour du produit mais aussi sur son expérience. Le couple met désormais à profit leur talent et leur savoir-faire dans leur restaurant Chai Alex and Co.
Des plats classiques mais revisités
Les suggestions du chef sont aussi attrayantes les unes des autres. Elles sont tirées de recettes traditionnelles mais retravaillées selon son humeur et son inspiration. Parmi les plats signatures figurent les œufs meurettes, des incontournables quand on parle de cuisine bourguignonne. Cette recette à base d’œufs pochés est généralement accompagnée d’une sauce bourguignonne ou d’une sauce meurette faite traditionnellement avec du vin rouge, des oignons, des lardons, et des échalotes.
Autre plat phare : le tablier du sapeur, une spécialité lyonnaise à base de bonnet nid d’abeille ou gras-double cuit au bouillon puis plongé dans une marinade à base de vin blanc. La viande est ensuite panée et frite puis servie avec des pommes de terre ou une sauce gribiche, selon les envies.
Les succulentes propositions du chef ne s’arrêtent pas là. Ne manquez pas aussi les andouillettes en chemise grillées, couvertes de moutarde à l’ancienne, de jambon de pays et d’une crêpe.
Une adresse décidément dédiée aux vins
L’établissement fait honneur à l’univers du vin. Les couleurs choisies rappellent celles de ce précieux breuvage avec ses tons roses-mauves. Le parquet au sol donne une note conviviale à la salle ainsi que les larges banquettes qui sont synonymes de confort. En plus de la présence des nombreux luminaires incrustés au plafond, le restaurant est baigné par la lumière grâce aux immenses baies vitrées.
La partie carrelée de la salle donnant sur l’espace extérieur offre une jolie vue. Elle est constituée d’une grande table pouvant accueillir 12 personnes.
La pièce maîtresse du restaurant est certainement cette cave à vins vitrée trônant majestueusement au coin de la salle, définissant aussi l’expression « chai » en référence au nom de l’établissement. Pour compléter cette ambiance chic et ce décor épuré, une musique jazz en fond sonore. Que demander de plus ?
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Tel un bijou dans son écrin de verdure, La Table du Château de Laléard est une belle découverte pour qui sait apprécier le caractère particulier des vieilles bâtisses. Représentant une des meilleures tables à des kilomètres à la ronde, le domaine est un véritable lieu d’exception.
Une étendue de tapis vert en pleine campagne, ponctuée de magnifiques espaces arborés, fait le charme de cet établissement où la cuisine familiale est toujours à l’honneur. Privilégiant les produits de saison et de marché, l’enseigne s’attache à collaborer avec les producteurs locaux qui sont ses principaux fournisseurs.
Découvrez les talents du chef Thierry Favier à travers une cuisine authentique, concoctée avec passion à partir de produits locaux et de région. Délectez-vous d’escargots, d’huitres et de foie gras pour le plaisir des papilles. Le restaurant ne dispose pas de carte proprement dite pour la simple et bonne raison que tout tourne autour des suggestions du chef Thierry Favier. En fonction des produits qu’il rapporte, un menu à l’ardoise est dressé. Le menu plafond se compose d’une entrée-plat-fromage-dessert avec, notamment, 2 choix de plats et 2 choix de desserts qui varient tous les 3 mois, c’est-à-dire à chaque saison.
Des découvertes culinaires à ne pas rater
En famille ou en amoureux, ne vous privez pas du plaisir de savourer son duo de foie gras maison au chutney ou encore sa gelée « Pineau des Charentes » suivie de son incontournable moelleux au chocolat de Guarana qui est une véritable découverte en matière de dessert.
Une belle gamme de vins accompagne le tout, dont principalement le Baudry Vieilli, un excellent vin de région. Mais cela n’empêche pas qu’on y trouve aussi du cognac ou du Pineau des Charentes par exemple… L’enseigne a bâti sa renommée sur la relation de confiance qu’elle a entretenue avec les petits producteurs qui lui proposent d’excellents vins biodynamiques ou sans soufre également. Soigneusement sélectionnés par Thierry Favier en personne, les vins sont issus de maisons et de producteurs avec qui le château a l’habitude de travailler.
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La place d’Armes entend sonner un chant de renouveau. Le Coq de la Place est aujourd’hui géré par un couple jeune et dynamique qui entend faire de cet endroit, un haut lieu de la cuisine bistronomique à Rodez. Benjamin et son équipe veulent y partager une ambiance conviviale et simple.
Un brillant parcours pour ce chef passionné
Le parcours de ce jeune chef est des plus remarquables. Né en 1985 à Albi, il intègre en 2000 le Lycée Hôtelier de Toulouse où il a obtenu trois ans plus tard son bac techno. En 2004, il décide de passer son bac pro tout en travaillant au sein du prestigieux Hôtel du Palais Imperial à Biarritz. Ensuite, avec sa compagne Célia, ils prennent la direction de Paris à l’Auberge de la Brie. S’en suit un parcours à l’international à Saint Barthélemy, aux Etats-Unis, à Singapour, à Kuala Lumpur et en Nouvelle-Zélande.
Puis se présente l'opportunité de poser leurs valises à Rodez et d'intégrer cet établissement au pied de la cathédrale de Rodez. Leur ambition : mettre en avant le patrimoine culinaire français grâce à l’utilisation de produits 100% frais et 100% terroir.
Des amoureux du terroir
Le cachet de l’établissement est justement cette cuisine de marché. Le chef et sa brigade n’hésitent pas à se rendre directement auprès des producteurs locaux pour s’approvisionner. « On est un peu des extrémistes de la cuisine. On travaille en très grande proximité avec les agriculteurs et éleveurs locaux » raconte-t-il. Dans la région, il existe un dicton qui dit que "nos aliments sont nés, élevés, abattus, travaillés et digérés en Aveyron". C’est clair comme de l’eau de roche. Que du local donc pour ce restaurant bistronomique qui ne propose que des bonnes choses: charcutaille, tapas régionales, risottos, œufs meurettes…
Côté vins, la maison veut prouver qu’il est tout à fait possible de se faire plaisir avec d’excellents vins sans forcément malmener son portefeuille. Jurançon, Gaillac, Marcillac… et bien d’autres sont à l’honneur.
Une cuisine actuelle et de partage
Chaque jour, le menu est affiché à l’ardoise. Parmi les plats qui attisent la gourmandise figure le fameux jambon coquillette. Du jambon du pays bien entendu accompagné de coquillettes disposées dans une meule de fromage puis agrémentées de crème, le tout servi devant les yeux ébahis des convives qui ont hâte d’entamer leur première bouchée.
Autre best-seller : le cochon capelin à quatre « pâtes ». Comme son nom l’indique, la viande est servie avec quatre types de pâtes. Un plat qui fait décidément saliver.
Pour le dessert, les douces saveurs du crémeux chocolat façon liégeois sont à découvrir immanquablement.
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