Qu'elles soient sucrées, salées, amères, aigres, pimentées, toutes les saveurs et les subtilités qui font l’originalité de la cuisine chinoise se retrouvent dans les plats servis au Yushan Fang.
Un style asiatique affirmé
Une fois à l’intérieur du restaurant, les convives se laissent subjuguer par l’harmonie de couleur qui y règne. Le jaune et le noir semblent parfaitement s’accorder. Entre le mobilier tout en noir et les murs qui s’habillent d’une couleur jaune symbolisant la cour royale. Le style est à l’ancienne mais empreint d’une touche de modernité. Un air de « cité interdite » se révèle à travers les portraits d’empereurs et d’impératrices qui ornent majestueusement le mur. La touche asiatique s’achève sur un joli art calligraphique.
Un concept original
Chez Yushan Fang, les convives ne se contentent pas d’être servis sur un plateau d’argent ! Eh oui, ils mettent la main à la pâte et participent à l’élaboration de leurs plats. Le soir, toute la salle s’unit autour d’une même envie : une dégustation de la spécialité du chef qu’est la fondue chinoise. Jadis très prisée par la famille royale, cette recette s’est ensuite répandue dans tout l’empire. Grâce à des tables à induction, les invités prennent plaisir à concocter eux-mêmes leur bouillon à partir d’ingrédients délicatement placés sur une feuille. À côté de ce met des plus authentiques, les grands classiques n’en déméritent pas. Les nems et les nouilles faits maison sont également très appréciés. Pour les vins, la carte se veut être résolument éclectique. Pour accompagner idéalement la fondue, rien de tel qu’un brouilly, par exemple.
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Un brin nostalgique de son enfance, le propriétaire du restaurant Chez Minnà, Saveriu Cacciari, a voulu recréer une ambiance fidèle à son enfance et à la maison de sa grand-mère corse. Pour l’aménagement intérieur, il a fait appel à Claire Peretti, une décoratrice corse. Des tables de classe, où subsistent des mots écrits par des écoliers, ont été repeintes et patinées. Pour l’éclairage, de simples fils de linge traversant la salle où sont suspendues des ampoules. Mais aussi de petites serviettes de type pique-nique, un tableau noir, des cartes postales de la Corse participent au cadre contemporain, sobre et soigné de ce lieu.
Une cuisine 100 % corse
En cuisine, tout est fait maison à partir de produits frais de saison. Des classiques de la cuisine familiale corse sont proposés.
Avec la formule déjeuner à 15 € (entrée + plat ou plat + dessert) en semaine, vous pourrez voyager au quotidien, en dégustant de savoureuses recettes de la gastronomie familiale corse. Si vous êtes pressé, vous pouvez juste profiter du plat du jour pour la modique somme de 12 €.
Tous les soirs de la semaine ainsi que le samedi, parcourez la liste de tous ces mets traditionnels corses inscrits sur l’ardoise, et vous en aurez déjà l’eau à la bouche. En entrée, commencez par des beignets de courgettes, servis avec deux sauces maison. En plat, pourquoi ne pas vous régaler d’un filet mignon de cochon avec une crème de pancetta, accompagné d’une succulente purée à l’huile d’olive. En dessert, vous pourrez (re)découvrir le traditionnel fiadone, un flan corse à base de brocciu, parfumé d’eau-de-vie et de zeste de citron, sublimé par du limoncello.
Vous pourrez également vous attabler au long comptoir pour partager des tapas corses (charcuterie, fromages, croquettes de jambon) lors d’une restauration plus rapide.
Les vins aussi
Tous les vins proposés sont achetés en direct à de petits domaines corses, dont un tiers est produit en bio. Vins rouges, vins blancs et surtout vins rosés accompagnent à merveille tous les plats de ce lieu.
Et vous aurez peut-être le plaisir de rencontrer Arnaud Montebourg ou Julie Zenatti lors d’un repas Chez Minnà.
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Le chef Pepe Iglesias a commencé sa carrière au Mexique, dans l’État d’Oaxaca. En avril 2003, il s’est installé rue Geoffroy-Marie, dans le 9e arrondissement de Paris, à deux pas des Folies Bergère. Ici, il confectionne des plats de la gastronomie mexicaine dans sa cuisine ouverte sur la salle.
Le restaurant Zicatela peut accueillir jusqu’à 34 convives, qui s’installeront sur les deux étages. Un petit espace, des poutres apparentes, une décoration résolument sobre pour une ambiance chaleureuse.
Une carte 100 % mexicaine
À côté des célèbres burritos et fajitas, vous trouverez des plats typiquement mexicains.
En entrée, les plus curieux commenceront par un pozole, cette soupe traditionnelle mexicaine légèrement piquante, à base de gros grains de maïs soufflé et de poulet, les autres savoureront un guacamole ou des nachos.
En plat, privilégiez l’enchilada, cette tortilla enroulée garnie de fromage et de poulet, recouverte d’une sauce et de fromage fondu. Pour une version sucrée-salée légèrement piquante, optez pour la negra et sa sauce mole (cacao et épices). Si vous aimez une version plus piquante, choisissez plutôt l’enchilada roja, servie avec une sauce rouge à base de chipotle (piment mexicain), ou l’enchilada verde, avec une sauce verte à base de piment vert et de tomates vertes. Toutes sont accompagnées de guacamole, de haricots rouges, de riz et de crème.
Si vous raffolez des haricots rouges, vous serez conquis par le frijoles charros.
Vous pouvez également déguster un mole, une marmite avec des morceaux de poulet et une sauce mole, ou des tingas.
En dessert, savourez un tamal, cette pâte de maïs cuite à la vapeur dans une feuille de maïs parfumée à la crème de coco et à l’ananas.
De nombreux plats sont également déclinés pour les végétariens.
Côté boissons, vous avez le choix entre vins mexicains, argentins ou chiliens, mais aussi des bières mexicaines ou des aguas frescas. Sans oublier la tequila, le mezcal ou la piña colada pour un apéritif dans la pure tradition.
Une clientèle mexicaine aime se retrouver dans ce lieu où elle peut venir savourer les plats emblématiques de son pays.
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Ouvert à la fin de l’année 2005, La Pizzetta a vu sa salle entièrement remplie, seulement trois mois après. Ce rapide succès est dû à certaines nouveautés, comme par exemple la pizza à base de farine complète ou les ingrédients sont utilisés après cuisson afin de garder pleinement toutes les saveurs et le goût.
Situé au 22 avenue Trudaine, tout près de la place Pigalle, dans le 9ème arrondissement, La Pizzetta est une authentique trattoria de la cuisine traditionnelle. C'est-à-dire, un restaurant italien calme, populaire et sans prétention. Un endroit où l’ambiance est conviviale et le service est simple et assez fluide.
Un menu varié constitué de plats de qualité à des prix raisonnables
Le restaurant La Pizzetta est l’endroit idéal pour déguster une excellente pizza, version pâte classique ou intégrale. Les pâtes et le carpaccio sont également mis à l’honneur et parfaitement exécutés.
Au total, on retrouve au menu 6 différents types d’entrées, 6 plats de pâtes, 14 variétés de pizza, 2 catégories de poissons et 2 choix de viandes, proposés à des prix très raisonnables. La preuve, si besoin en est, que la carte est largement variée. A l’instar de la pizza, on retrouve d’autres plats traditionnels italiens comme le succulent Paccheri avec des petits calmars, des olives noires, de l’ail et des petits-pois mais aussi les délicieux Gnocchi de pommes de terre aux palourdes, de savoureux Tagliolini au thon frais, avec du céleri, des tomates cerises et de l’oignon rouge, des succulentes Pennette sans gluten avec la sauce de tomates San Marzano, de l’ail et du basilic frais et de somptueux et exquis Fagottini au gorgonzola, avec des pointes d’asperge et du speck croquant. Sans oublier, les incontournables Tortiglioni all'ortolana avec des légumes frais de saison, de l’huile d'olive et du persil. La possibilité d’avoir un repas pantagruélique idéal pour satisfaire les palais les plus exigeants. D’ailleurs, le critique gastronomique Gilles Pudlowski ne tarit pas d’éloges à propos de l’établissement sur son blog en parlant d’une adresse connue depuis des années qui « vaut toujours la fréquentation et la revoyure ». Il s’émerveille de « l’authenticité des produits, de l’huile d’olive, des pâtes cuites al dente et du vinaigre balsamique de Modène ».
Cette cuisine sincère à base de produits frais est servie par un personnel présent depuis l’ouverture de l’établissement. Ce qui engendre une nette fluidité dans le service et par une grande rapidité dans son exécution.
Une ambiance conviviale et une décoration alliant tradition et modernité
La Pizzetta dispose d’une petite salle de 35 places et d’une terrasse d’hiver avec 20 couverts supplémentaires. Le lieu s’enorgueillit d’une contre-terrasse en période d’été et peut ainsi accueillir 20 personnes de plus.
Les moulures au plafond et sur les murs, rappelant l’époque de Napoléon 3 (vers 1850), rajoute une touche de baroque à un design moderne et provoque une ambiance très chaleureuse et conviviale dans un cadre calme, donnant envie aux clients de rester un peu plus longtemps.
L’élégance et la simplicité de la décoration conjuguées à la chaleur de son accueil et à l’authenticité de sa cuisine font de cet établissement un moyen de téléportation vers l’Italie. Un voyage instantané dès que l’on entre dans ce sympathique et typique restaurant italien.
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Les Saveurs de l’Orient excellent dans l’art de vous transporter à l’autre bout du monde, où vos papilles savoureront des plats authentiques et résolument orientaux.
L’art de dépayser les convives
Les Saveurs de l’Orient vous accueillent dans un décor typiquement oriental, une véritable invitation à voyager au pays des Mille et Une Nuits, le temps d’un repas. Lumière tamisée, mobilier typique et précieux, photos de danseuses orientales… Autant d’éléments qui viennent agrémenter votre voyage, mais aussi pour vous procurer cette sensation de bien-être très propice à l’appétit.
Cuisine maison, une véritable touche d’authenticité
Aux Saveurs de l’Orient, les spécialités marocaines et libanaises sont concoctées dans l’esprit « cuisine maison ». Couscous, houmous, mezzé, tagine… Choisir entre les plats proposés est de nature à vous confronter à un dilemme permanent.
L’assortiment d’entrées chaudes et d’entrées froides sera surtout à même d’éveiller davantage vos papilles, afin de vous permettre de mieux savourer les plats qui accompagnent chaque formule. Parmi celle qu’il ne faut pas rater figure la formule Pyramide, assortie d’un plat composé notamment de kefta riz salade, le garant d’un instant de pur bonheur. Combinant soupe harira, salade composée ou encore des assortiments de bricks, la formule Marrakech s’adresse, quant à elle, aux férus de plats légers plutôt revigorants.
Les vins pour mieux savourer vos plats
Les Saveurs de l’Orient proposent un large choix de vins en fonction des plats que vous aurez choisis. Vous avez jeté votre dévolu sur le mezzé rania ou le mezzé royal ? Le Kefraya ou le Ksara, deux références libanaises au gout fruité, attiseront votre appétit. Le fameux vin de Bordeaux est aussi au rendez-vous, comme pour vous aider à expérimenter un mix de culture, le temps de ce voyage culinaire.
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Construit en 1879, ce restaurant de charme chargé d’Histoire est un véritable voyage dans le temps. Lieu bien connu et apprécié des Picasso, Apollinaire, Toulouse-Lautrec et autres célèbres personnages comme Van Gogh, Le Bon Bock est une excellente adresse à découvrir.
Baignant dans un décor chaleureux et cossu où s’accordent parfaitement mobilier en bois, lumières tamisées, lustres et tableaux anciens, l’établissement a gardé ses décors d’époque, qui lui confèrent un cachet particulier.
Estampillé « fait maison », le restaurant propose une excellente cuisine traditionnelle et familiale à base de produits soigneusement choisis chez des fournisseurs privés tant pour la viande que pour les fruits et légumes.
Une carte de plats traditionnels
En marge du menu du midi entrée-plat-dessert à 19,50 €, ou entrée-plat ou plat-dessert à 15,50 €, et de celui du soir à 25,50 €, l’enseigne propose également un menu spécial pour les groupes, avec à côté des repas à la carte qui rappellent des saveurs d’un temps passé.
En entrée, quelques suggestions à retenir : le Foie gras maison, le très populaire Gratiné à l’oignon ou encore le Tartare de saumon. Au registre des plats, laissez-vous tenter par son Entrecôte Salers, son Poulet camembert ou son Parmentier de canard aux deux purées sucrées-salées. Pour terminer, craquez pour sa Brioche rôtie, sa Tarte aux pommes ou pourquoi pas son Parfait à l’absinthe ! Quel que sera votre choix, la satisfaction sera toujours au rendez-vous !
Pour accompagner chacun de vos repas, le restaurant suggère une très belle carte des vins de toutes les régions de France, dont l’Oratoire de Chasse-Spleen, le Vin de Merde du Languedoc, le Blaye Côtes de Bordeaux mais aussi le Crozes-Hermitage qui figurent parmi les références les plus demandées par les clients, sans oublier une dégustation d’absinthes préparées à l’ancienne qui font la particularité de la maison.
Une ambiance conviviale pour toutes les occasions
Pour un apéro entre amis, un brunch familial ou un diner intimiste avec votre dulcinée, faites une halte gourmande dans ce charmant estaminet de Montmartre, où des animations se font tous les mercredis (avec un pianiste) et tous les dimanches (avec une chanteuse). La salle arrière étant privatisable, ceux qui souhaitent y tenir des évènements privés sont tout à fait les bienvenus !
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À travers les saveurs d’une cuisine traditionnelle française, préparée à base de produits frais et de saison sélectionnés avec rigueur par le chef, la Brasserie Haussman nous surprend avec d’authentiques recettes à redécouvrir, chaque fois, par un plaisir renouvelé.
Un cadre empreint d’élégance
À travers une décoration à la fois ancienne et contemporaine inspirée du style Art déco des années 20, cette brasserie chic du quartier de l’Opéra se démarque par son plafond aux vitraux, son sol en parquet, ainsi que ses boiseries d’acajou et ses longues banquettes de velours rouge qui lui confèrent un caractère particulier.
Dans une ambiance chaleureuse au service impeccable et soigné, les lieux se prêtent merveilleusement bien aux repas d'affaires ainsi qu'aux retrouvailles en famille, aux rencontres entre amis ou en amoureux. Comme toute adresse qui vaut réellement le détour, la Brasserie Haussmann est tout indiquée pour apprécier de réels moments de détente et de convivialité, où tout le monde trouve son compte, surtout les gourmands et gourmets.
Profitez des plats soigneusement préparés et constamment améliorés par le chef, qui, à force de créativité et de savoir-faire, apporte le goût et le raffinement dans vos assiettes. L’enseigne n’a rien à envier à ses pairs, et c’est là toute la différence ! Elle vous accueille dans un cadre typiquement français, où se marient avec harmonie terrasse ouverte sur le boulevard Haussmann et décor atypique illuminé par un dôme en verre.
Le raffinement dans les assiettes
Grâce à une cuisine ouverte sur la salle, vous ne sentirez pas le temps passer en dégustant les nombreuses suggestions gourmandes du chef : Tagliatelles fraîches aux trois fromages, magret de canard landais et son potimarron rôti accompagné d’oignon confit et duo de raisin, Brochette de Saint-Jacques à la citronnelle, Lotte et son cele’risotto, Crumble de rhubarbe et sa glace au speculoos sont autant de découvertes culinaires à explorer.
Chaque met est rehaussé par une belle sélection de vins. La carte fait le tour des plus grandes régions viticoles du pays allant de Bordeaux, à la Bourgogne, en passant par le Beaujolais, la Vallée de la Loire et la Provence.
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Un cadre charmant à la touche « Vieux Paris », un grand bar et du mobilier en bois ancien, un peu de jazz en musique de fond : la simplicité y côtoie le raffinement pour cultiver la convivialité et l’ambiance chaleureuse. Le havre idéal pour se détendre après des activités dans le frétillant 18e arrondissement de Paris.
La cuisine traditionnelle à l’honneur
À L’Anvers du décor, la saisonnalité et la fraicheur des produits utilisés sont des engagements au quotidien. On y propose tous les jours, de 9 h à 23 h, des délices faits maison typiquement français dans une carte riche et diversifiée.
Les entrées succulentes comme le carpaccio de saumon frais marin ou les escargots de Bourgogne donnent le ton. Le chef laisse ensuite transparaitre d’autres subtilités à travers le poisson frais du jour ou des viandes tendres et délicieuses, le tout accompagné d’une garniture au choix (riz, frites maison ou haricots verts). Les convives n’ont que l’embarras du choix entre la cuisse de poulet rôti aux herbes, le confit de canard, la souris d’agneau braisée au romarin, la côte de bœuf pour deux, la côte de porc grillée du Pays basque ou encore les sardines grillées au sel de Guérande. Salades et pâtes variées sont aussi au rendez-vous.
Mais dans cette adresse hors pair, ne pas gouter aux moules marinières (origine France) est presque un péché. Sous les mains du chef, ce plat n’en reste pas un, il devient un véritable chef-d’œuvre culinaire. Et la magie ne s’achève qu’après avoir apprécié le mi-cuit chocolat crème anglaise, la tarte du jour ou la crème brulée à la vanille.
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« Que du frais et des produits de qualité ». Le restaurant Seb’on s’appuie sur ce concept pour séduire sa clientèle. Et ça marche ! « Nos clients viennent pour notre travail artisanal identitaire mettant à l’honneur le fait maison avec tendance gastronomique », raconte Sébastien Héloin, maître des lieux. Ainsi, pour préparer une glace au praliné, il préfère concocter sa propre praline lui-même, en caramélisant et en torréfiant les noisettes.
Le plaisir de chaque convive étant la priorité de l’établissement, il s’efforce de changer ses menus toutes les semaines, en fonction des saisons et de la disponibilité des produits. « Néanmoins, grâce à un partenariat avec les fournisseurs de Rungis, il arrive que des changements s’opèrent en cours de semaine », annonce le propriétaire.
Les spécialités de la maison
Malgré la diversité de sa carte, l’établissement propose toujours son plat-signature depuis son ouverture, le 28 juillet 2014, à savoir le foie gras au vin rouge. Préparé avec des épices de vin chaud, de la cannelle ou des clous de girofle, ce mets est à faire précéder d’une entrée à base de poisson ou de viande. Il est très apprécié des « franchouillards », mais aussi des touristes venus visiter Montmartre, qui l’appellent parfois le « foie gras parisien ».
Pour découvrir tout le savoir-faire du chef, les noix de Saint-Jacques snackées agrémentées de risotto noir et de jus de homard sont à déguster absolument. « Ce plat est préparé à base de riz noir riche en céréales, qui, autrefois, en Chine, était réservé à l’empereur », explique-t-il.
Dans le registre du dessert, Monsieur Héloin fait preuve d’innovation en concoctant son diplomate au litchi, gâteau servi avec un crémeux de clémentine corse, le même que celui utilisé pour agrémenter les tartes au citron.
Au coup de cœur…
Pour accompagner les plats proposés par le restaurant Seb’On, le chef aime suggérer quelques accords à sa clientèle. Toutefois, toujours fidèle à son concept de diversification, il lui arrive de présenter d’autres vins choisis « au coup de cœur ». Ainsi, les convives pourront savourer des vins issus de la vallée du Rhône, de la Bourgogne ou des Hautes Côtes de Nuits, et notamment de chez Pierre Naigeon, un jeune passionné qu’il admire particulièrement.
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Le restaurant Pramil se trouve dans une rue calme près de la Place de la République. Derrière une façade bleu ciel se niche ce doux cocon. La lumière douce diffusée dans la salle, la teinte sobre de ses murs et les pierres apparentes forment un ensemble feutré imprégnant une ambiance paisible mais conviviale. Un petit nid discret pour passer des moments gourmands.
Une cuisine française à la touche originale
La cuisine française estampillée Alain Pramil se réinvente légèrement à cette adresse, pour sortir des mets comme nulle part ailleurs. Le secret ? Les ingrédients frais de saison sublimés par l’inspiration du chef. Qualité et originalité demeurent les maîtres mots de l’établissement. Rien de tel que son foie gras mi-cuit avec anguille fumée pour entamer le repas. Continuez ensuite par le ris de veau aux navets nouveaux, une des spécialités du chef, ou le Saint-Jacques avec girolles et somen de Shimabara. Des plats qui révéleront une fois de plus le talent de l’hôte. Ne pas terminer sur une note gourmande sucrée serait bien dommage. Pour cela, succombez aux charmes de la tarte framboise, pomme Granny-Smith, poivron et Chantilly, ou les millefeuilles aux marrons glacés.
Afin d’accompagner toutes ces merveilles comme il se doit, le restaurant d'Alain Pramil propose une large palette de vins. Sa cave à vins se trouve être un point de rendez-vous des grandes appellations et des petits producteurs. Toutes des références appréciées pour leur qualité, dont certaines sont servies au verre.
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Dans un décor authentique à l’ambiance décontractée, l’enseigne perpétue une tradition vieille de plusieurs années en continuant à recevoir des diners d’artistes, mais aussi des diners en famille, en amoureux ou entre amis.
Observant une fermeture hebdomadaire le dimanche, le restaurant est accessible du lundi au vendredi, de 12 h à 14 h 30 et de 19 h à 23 h 45, et le samedi, de 19 h à 23 h 45. L’avantage étant que jusqu’à une heure avancée de la nuit, il vous est encore possible de profiter des plats généreux à base de produits frais et de saison proposés par l’établissement.
Le rendez-vous des fines bouches
Proposant une cuisine traditionnelle française, La Cloche d’or vous invite à découvrir son menu à la carte entre 40 et 50 €, avec un menu du soir à 2 plats + 1 dessert à 34,50 €, sa formule midi à 2 plats à 28 € et celle à 3 plats à 31 €.
Laissez-vous tenter par son délicieux camembert rôti avec ciboulettes, ses coquilles Saint-Jacques en saison ou son fumé de saumon, sans oublier sa fameuse côte de bœuf, mais aussi sa joue de cochon au curry jaune et riz basmati.
Comme desserts, ne ratez surtout pas sa fameuse mousse au chocolat ou encore à sa tarte fine aux pommes qui sont particulièrement renversantes.
Dans un bel assortiment de vins essentiellement issus de petits propriétaires, La Cloche d’or prend soin d’effectuer elle-même ses sélections, sans faire appel à des cavistes, en proposant un choix d’une quarantaine de références. Une carte plutôt éclectique, qui se marie bien avec ses plats.
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Dans un style bistrot à l’esprit atelier, où la cuisine ouverte permet à toute la salle de voir le chef travailler derrière une verrière, L’Atelier Ramey fait sensation auprès des foodies parisiens en quête d’une nouvelle cantine. Le décor industriel enrichi d’objets chinés pour la plupart transporte dans un joli voyage bistrotier, où une vraie aventure culinaire vous attend.
Ce petit repaire de gastronomes propose, le soir, un menu dégustation complet soupe-entrée-plat-dessert au choix à 34 €, une formule midi entrée-plat ou plat-dessert à 21 € et un menu à la carte.
Sa Terrine de boudin noir poêlé céleri remoulade au raifort, sa Joue de bœuf braisée mousseline de topinambour et son Filet de bar rôti à l’olive risotto d’agrumes constituent de véritables délices pour les papilles, sans parler de son fameux Baba au rhum ananas raisins confits et son savoureux Riz au lait caramel au beurre salé tuiles dentelles à l’orange.
Une riche carte de vins
L’Atelier Ramey travaille directement avec le vigneron qu’il connait personnellement. Ayant l’énorme avantage de posséder un bar à vins, le restaurant se repose sur l’expérience de son sommelier Cyril Laroche pour la sélection rigoureuse de tous les vins de la maison, dont les petites pépites du Sud-Ouest et de la vallée du Rhône et de la Loire, avec une large gamme de vins nature.
Pour « les petites bulles de la maison », comme les appelle si bien le propriétaire Dani Maïni, l’enseigne a choisi de travailler avec le Domaine de la Taille au Loup Montlouis-sur-Loire Triple Zéro du vigneron Jacky Blot. Pour les vins du Sud-Ouest, le choix de l’établissement s’est porté sur le Domaine d’Elian Da Ros.
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En famille ou entre amis, ce restaurant hammam permet d’allier détente et plaisir gustatif à la découverte des plats typiquement marocains. L’établissement propose une cuisine traditionnelle délicieusement concoctée par une vraie spécialiste de la cuisine orientale.
Une ambiance à la marocaine
A l’intérieur comme à l’extérieur, le restaurant s’habille aux couleurs du Maroc. Riches en textures et en couleurs, fauteuils et autres canapés sont une invitation à la détente, un peu à l’image de ces oasis qui contribuent au charme du désert. Côté luminaire, des lustres au style oriental diffusent une lumière tamisée plongeant les convives dans une atmosphère douce et chaleureuse.
Des plats typiques et faits maison
En salle, difficile de résister aux odeurs des épices et autres condiments qui caractérisent si bien la cuisine marocaine. Dans cet établissement, les produits frais sont à l’honneur ! « J’achète moi-même les poissons au marché et les légumes sont épluchés à la main » nous apprend la responsable du restaurant, la maîtresse des lieux.
En cuisine, « le chef » Fabila sublime les produits en faisant parler son expérience et son savoir-faire. Ici, tout est fait maison ! D’ailleurs, les invités peuvent s’en rendre compte d’eux-mêmes grâce à une cuisine ouverte sur la salle. Pour la première étape de cette virée culinaire au pays des berbères, Fabila prévoit une excellente salade Mechouia composée de poivron grillé, ail, tomates et épices. Les convives peuvent enchaîner ensuite soit par un délicieux couscous Royal soit par un tajine poulet citron, une spécialité maison très demandée. Pour clore en beauté cette échappée marocaine, le chef propose les fameuses cornes de gazelle, une douceur orientale en forme de croissant, accompagnées par un cocktail de fruits du pays. Côté vin, les Boulaouane et Sidi Brahim sont incontestablement les maîtres des lieux. « Ceux qui viennent chez nous ne demandent que des vins marocains » précise la gérante. En rouge, gris ou rosée, ils sont toujours très appréciés. Enfin, l’établissement propose également du vin blanc ou de la bière selon les envies.
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À la découverte des grands classiques
La cuisine thaïe est l’une des plus réputées en Asie, ses saveurs sont uniques et la variété de ses ingrédients infinie. Curry, citronnelle, menthe, coriandre, basilic, piment figurent parmi les incontournables des plats les plus emblématiques que l’on retrouve à la carte du Baan Boran – Laab neua, Tom Yam Khun, Pad Thaï, Som Tam, Ped tod rad bamboo sauce, Khaow niaow, (le fameux «Tigre qui pleure »). En version plus ou moins épicée selon les goûts des clients, accompagnés de riz parfumé ou de légumes sautés au wok.
Chacun de ces plats préparé à la minute témoigne de la richesse de la gastronomie thaïlandaise et de sa très grande légèreté.
Plats allégés et fruits colorés
Pour satisfaire l’ensemble de ses clients, le Baan Boran réserve une partie de sa carte à des spécialités allégées et végétariennes à base de légumes et de tofu.
Une gastronomie light qui s’accommode bien de riz et de salades, mais aussi de fruits exotiques dont la Thaïlande est l’un des premiers producteurs et consommateurs en Asie du Sud-Est. Des fruits dont certains entrent dans la composition de cocktails avec ou sans alcool que propose le Baan Boran, tandis que la carte des vins réserve de belles surprises aux amateurs de vins du Monde.
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Le chef Francesco Bertuna rapporte à Paris toutes les bonnes saveurs italiennes pour concocter des plats succulents. Il privilégie la création de recettes originales, revisitées ou classiques, élaborées uniquement avec des produits frais et de saison. Une singularité qui impressionne les convives. « Le restaurant propose 2 ou 3 plats du jour qui changent chaque jour. Les clients ne mangent jamais la même chose », indique le chef.
En entrée, la salade de crevettes aux pousses d’épinard s’invite dans l’assiette. Cette suggestion fraiche et raffinée est assaisonnée d’huile d’olive, de vinaigre balsamique, sel et poivre. Une petite sauce à la cannelle légèrement sucrée l’accompagne.
En plat de résistance, le choix s’annonce large. Entre le Risotto au champignon shiitaké, courgette et aneth et la Linguine au maquereau, fenouil et raisin sec, anchois, câpres et chapelure toastée, les papilles seront définitivement comblées. « Le tout à déguster avec un bon Renosu Rosso ou un vin de chez Marco Dettori », conseille Francesco Bertuna. Car sa carte de vins fait la part belle aux bouteilles italiennes réputées pour la richesse de leurs arômes et de leurs saveurs.
Le voyage culinaire s’achève avec une classique tarte à la ricotta, ce célèbre fromage italien à pâte fraiche qui s’utilise dans des préparations aussi bien sucrées que salées. L’alliée favorite de tous les gourmands.
Destination l’Italie
À table, une généreuse coupelle d'huile d'olive et des baguettes fraiches accueillent les convives. Dans ce cadre très soigné de l’Olio Pane Vino, la clientèle plonge dans une atmosphère cosy et conviviale. Avec ses murs en pierres apparentes, sa décoration intérieure, où le blanc et la couleur crème dominent, rappelle le charme de l’Italie.
Les photos en noir et blanc qui ornent les lieux et le mobilier tout en bois, du parquet au sol, créent un design épuré. La lumière intimiste et les longues tables procurent une ambiance parfaite pour les soirées entre amis ou en famille. Une adresse idéale pour des soirées privatisables ou à thème.
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Des restaurants italiens ? On en compte pléthore à Paris. Certains se démarquent par les saveurs inattendues de leurs plats et la qualité exceptionnelle de leurs produits. C’est le cas d’Il Fico. Véritable ambassadeur de la cuisine sarde, le restaurant est géré d’une main de maître par Nicola Pisu et un pool de passionnés qui, ensemble, ont largement tenu leur promesse en proposant le meilleur de la cuisine traditionnelle sarde.
Immersion
Le restaurant se trouve rue Coquillière, l’une des plus anciennes rues du Ier arrondissement. Le bâtiment arbore de grosses pierres de couleur neutre, rappelant le charme d’une trattoria à l’ancienne. La grande baie vitrée, au style très industriel, vient s’ajouter à la façade pour renforcer le cachet du restaurant, laissant entrevoir l’ambiance intimiste et chaleureuse de la salle. Une fois à l’intérieur, toujours dans la continuité de ce charme rustique, quelques cadres ici et là embellissent les murs en pierre et les poutres apparentes. Des meubles modernes aux lignes épurées apportent un côté plus contemporain et rehaussent la décoration de table déjà bien soignée.
Un concept innovant
Le restaurant s’articule autour de deux concepts : « Un concept gastronomique et à la fois bistro », décrit le chef Nicola Pisu. Lui et son équipe travaillent des plats représentatifs des saveurs de la cuisine sarde à base de poissons et de fruits de mer en provenance des côtes de l’île. « La particularité de la cuisine sarde, c’est qu’il y a beaucoup de poissons, et ils sont cuisinés très frais », continue le chef. Viennent s’ajouter les viandes, champignons, fruits et légumes témoignant la richesse de ses terres. La carte sort de l’ordinaire et propose un panel de suggestions surtout orientées vers les produits marins, comme une salade de poulpe à la méditerranéenne en guise d’entrée, de la linguine aux langoustes et sauce tomate ou encore de l’espadon grillé saisi à l'huile aux herbes et ses légumes. L’on y retrouve aussi des plats typiquement italiens à l’image de l’antipasto, généreusement enrichi de mozzarella et de la charcuterie italienne. Au dessert, la panna cotta à la vanille avec poires caramélisées au romarin est un incontournable.
Une carte qui suit la saisonnalité
Des ingrédients frais et de saison sont les produits de prédilection de Nicola Pisu, et la carte va dans ce sens. « On a une belle équipe en cuisine, on est plus motivé, on cherche toujours de nouveaux produits et on imprime une carte sur mesure selon le marché », explique notre interlocuteur. Le chef travaille directement avec des producteurs locaux de Sardaigne et s’approvisionne auprès des producteurs français pour acquérir la meilleure matière première. Il s’inspire ensuite des produits sur le marché pour concocter de nouvelles recettes, ou pour revisiter certains plats afin de les adapter à la saison.
Côté vins, le restaurant privilégie les vins de Sardaigne, et développe une quarantaine de références, qui évolue régulièrement. En rouge, notre interlocuteur cite le Giba Carignano 2012 en provenance du sud de Sardaigne, et aussi l’Olianas Cannonau 2014, un vin biologique très frais, idéal au moment de l’apéritif. La carte propose aussi du blanc, comme le Giba Vermentino 2014, ainsi qu’une intéressante sélection de vins rosés.
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Depuis mai 2017, Enzo et Rida vous accueillent dans une ambiance cosy au sein du restaurant Vava. Tables basses et tables hautes en bois, faites sur mesure par une ébéniste, côtoient cuir, aluminium, laiton, carreaux bleu mat et mur en pierre, pour vous plonger dans une décoration inspirée des années 70. Aux beaux jours, la vitrine s’ouvre sur la rue pour vous faire profiter d’une mini terrasse.
Pour un repas bistronomique
Dans ce cadre intimiste, vous pourrez parcourir la carte originale imaginée par le chef consultant Benjamin Mathieu. Passé par les cuisines de restaurants étoilés comme le Louis XV et le Bristol, il propose une cuisine bistro inspirée de ses origines méditerranéennes. Il aime particulièrement mettre à l’honneur les produits de la mer, comme les couteaux ou les palourdes par exemple.
Tout au long de votre repas, vous pourrez apercevoir le chef Maxime Villevaud dans la cuisine ouverte. Après des débuts à 17 ans chez Jacques Chibois, il vous fera découvrir sa cuisine instinctive et nomade, se déclinant au fil des saisons.
Avant de commencer, pensez à goûter aux passe-temps, ces délicieux tapas revisités à la mode Vava.
Puis, vous pourrez savourer un des plats signatures de ce restaurant. Comme le ris de veau croustillant laqué, originalement sublimé par des câpres, du chorizo et du citron et accompagnée d’une délicieuse purée. Ou le calisson déstructuré avec madeleine et fleur d’oranger, un dessert moelleux et ultra-léger.
Tous les plats sont déjà un plaisir pour les yeux avant de l’être pour vos papilles. Saveurs originales et associations délicates sont toujours au rendez-vous.
La carte est courte et variée. Elle est renouvelée tous les mois pour des plats préparés à partir de produits frais et de saison.
Avec une belle carte des vins
La carte des vins a été soigneusement élaborée par Sébastien Depis. Avec principalement des vins français, mais aussi des vins bio et des vins italiens. Vous pourrez par exemple déguster un vin blanc du domaine des Coudereaux.
Vous trouverez toujours un vin en accord parfait avec votre plat. N’hésitez pas à demander conseil.
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Bénéficiant du label Maitre restaurateur, Le Paname fait sensation par son brunch dominical à concept unique. Mais sa bonne cuisine de marché, faite maison, concoctée au quotidien à partir d’ingrédients frais est pareillement un pur bonheur pour les papilles.
Plaisir des sens au Paname
Dans un cadre calme, Le Paname reste l’endroit idéal des foodies adeptes de cuisine gourmande. La grande terrasse protégée par des parasols beiges et entourée de verdure invite à profiter du soleil durant l’arrivée des beaux jours. Plutôt en quête de tranquillité et d’intimité ? Investissez la salle intérieure offrant une atmosphère chaleureuse dans un décor agréable.
Au quotidien, 2 formules déjeuners sont proposées à un prix des plus abordables si vous ne préférez pas piocher d’autres délices dans la carte. Rien de tel que les croustillants de gambas et leur mousse de poivron rouge ou l’une des salades (Paname, Caesar, Norvégienne, Landaise, etc.) pour entamer le repas. Laissez-vous ensuite tenter par un pavé de saumon mi-cuit accompagné d’un risotto crémeux ou par le Paname Burger, plat signature du restaurant. Une salade de fruits frais, une crème brûlée à la vanille ou des crêpes Suzette flambées au Grand Marnier vous attendent en guise de desserts.
Côté boissons, Le Paname fait les choses en grand avec une large palette qui comble toutes les envies : vins, champagnes, cocktails, bières, apéritifs, digestifs, smoothies, milkshakes ou jus de fruits. Et cerise sur le gâteau : le happy hours commence dès 17 h, jusqu’au soir à 23 h.
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La nouvelle décoration des restaurants Matsuri vous plonge immédiatement dans un cocon zen, une ambiance chaleureuse et conviviale. Confort acoustique et lumière douce sont au rendez-vous grâce aux lattes en chêne disposées avec élégance au mur et au plafond. Tout ceci est le résultat de la nouvelle charte architecturale établie avec les architectes Moreau et Kusunoki, dont bénéficient déjà 5 restaurants (Boétie, Vincennes, Lyon Presqu’ile, Lyon Part Dieu et Bordeaux). A terme, tous les restaurants vont ainsi être rénovés.
Le concept du comptoir tournant
Assis sur une confortable chaise en bois devant un comptoir tournant, chaque client apprécie les différents plats proposés. Il peut composer facilement son repas suivant ses envies et son appétit, découvrir de nouvelles saveurs, tester de nouvelles spécialités. Quant aux prix, pas de surprise puisqu’ils sont indiqués par le liséré de couleur des assiettes. Ce concept innovant et ludique séduit tout particulièrement les enfants. L’accueil est assuré avec gentillesse, courtoisie et sérieux par des serveurs qui se feront un plaisir de vous accompagner pour une question ou une commande.
Une carte variée
Une grande diversité de créations originales respectant la tradition culinaire japonaise est proposée sur la carte. Vous pouvez déguster des préparations telles que la soupe miso, des sashimis, des sushis, des makis, des gunkans, des temakis à la feuille de soja ou à la feuille d’algues nori, des californias (makis avec algues nori à l’intérieur) et des desserts. On retrouve des nouvelles créations chaque saison à travers 2 cartes par an, la collection automne/hiver et printemps/été. Le chef Guillaume Libert élabore plusieurs fois par an des éditions éphémères et les nouvelles créations de la carte. Par exemple vous pourrez savourer à la fin de l’année le duo mousse thé vert yuzu ou le duo gelée de thé vert, coco et fruits rouges en édition éphémère.
Tous les sushis sont préparés sur place à partir de produits frais, sous les yeux des clients par les sushi man face au comptoir tournant.
Pour les boissons, vous pourrez choisir entre vins blancs, vins rouges, bières japonaises ou saké.
Des plats à emporter ou livrés
Bien que spécialisés dans la restauration rapide, les restaurants Matsuri proposent également des bentos à emporter ou livrés à domicile en plus de son large choix de produits. Vous pouvez donc savourer les mêmes produits chez vous ou au bureau. Ils sont accompagnés d’edamame et de riz nature.
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Élégant, prestigieux, somptueux… On serait vite tenté d’enchaîner les superlatifs pour décrire l’hôtel Westminster et ses deux restaurants ainsi que son bar, à savoir le Céladon, le Petit Céladon et le Duke’s Bar. En vérité, cet établissement est le meilleur endroit pour vivre une expérience gastronomique inoubliable.
Le Céladon, un restaurant étoilé
Le Céladon accueille ses convives dans un cadre unique bénéficiant d’un décor typiquement bourgeois. Ce restaurant étoilé au Michelin d’une capacité de 28 couverts promet ainsi une ambiance conviviale et raffinée. Le chef Christophe et sa brigade proposent un large choix de formules à l'instar du Menu express concocté en seulement trois quarts d’heure pour les plus pressés à midi. À noter que le Céladon change son menu très gastronomique toutes les semaines de façon à varier le plaisir des habitués.
Le Petit Céladon, le relais week-end
Durant le week-end, le Céladon ferme ses portes pour laisser place au Petit Céladon. Les convives sont bercés par une ambiance et un service nettement plus décontracté, sans se défaire du contexte d’un restaurant étoilé. La métamorphose concerne également la carte et l’art de la table. Cerise sur le gâteau : la légèreté est au rendez-vous en ce qui concerne les tarifs. Pour autant, les gourmets ont toujours droit à un menu-carte raffiné proposant une sélection minutieuse de produits frais et de qualité, qui est une ligne de conduite au Céladon.
Le Duke’s Bar, le garant d'instants magiques
Le Duke’s Bar mise quant à lui sur cette ambiance atypique des clubs anglais pour séduire, puis fidéliser les convives. Dans ce cocon feutré, rien de tel pour se retrouver entre amis et s’accorder des instants de pure détente. Les grands guides sont particulièrement conquis par ce lieu, qu’ils ont intégré dans le cercle très fermé des plus éminents bars de la capitale française. Au programme : snacking, apéritifs et spiritueux très appréciés de la clientèle. Ce coin bistronomique parisien est surtout reconnu pour son fameux club sandwich, mais aussi pour son cocktail de crevettes roses ou pour son inimitable burger de Kobe.
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Il est rare de pouvoir manger allemand en plein cœur de Paris. Logé dans une boutique de la rue Richelieu si ce n’est dans l’enceinte même du Goethe-Institut, le centre culturel allemand situé avenue d’Iéna, Le Stube dispose ainsi de deux emplacements pour mieux servir sa clientèle.
Un restaurant moderne à l’ambiance décontractée
Le Stuberue de Richelieu baigne dans une ambiance décontractée et chaleureuse. Il se décline dans des tonalités rouges et grises autour d’une cuisine ouverte et d’une vitrine de présentation et de vente à emporter qui confèrent à l’ensemble un décor au cachet particulier. Fréquenté par des clients de tous âges et de toutes catégories, Le Stube est particulièrement apprécié pour son côté dynamique et sympathique. Proche de nombreux théâtres, c’est le lieu idéal pour un repas avant spectacle.
Des spécialités revisitées par Gerhard Weber
Fondé à l’origine autour du concept du snacking, Le Stube a très vite élargi ses activités à la restauration et à la pâtisserie. Il propose ainsi divers plats typiques d’Allemagne ou inspirés d’Europe Centrale ainsi que de nombreuses pâtisseries et gourmandises concoctées par Gerhard Weber, le maitre des lieux.
Strudels salés ou sucrés, Currywurst, Choucroute, Koulibiac de saumon, Wienerschnitzel, Gâteau au fromage blanc, Forêt-Noire font partie des nombreuses spécialités.
La diversité des mets proposés et le service continu sur place ou à emporter permet de découvrir toutes ses spécialités à toute heure de la journée pour un déjeuner, un gouter, une petite faim, un afterwork ou un diner.
Tout est fait maison, à l’exception des charcuteries. Le tout est accompagné d’un assortiment de bières, de limonades biologiques et de sodas de très bonne qualité et typiques de la ville de Hambourg.
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S’asseoir au Chamarré Montmartre, c’est offrir à ses papilles un intermède savoureux où l’exception est la règle. Une cuisine du terroir classique ? Très peu pour le chef tombé dans la marmite du métissage en étant petit. Tel l’aquarelliste cherchant les bonnes mesures de tons à accorder, ce virtuose du goût conjugue le sucré et l’acidulé, le salé et l’épicé dans une vibrante partition à laquelle les papilles disent un grand oui.
Chamarré veut dire très coloré…
Et c’est fidèle à cet esprit que le chef déploie son énergie à la tête des fourneaux dans une vibrante chorégraphie où ses racines susurrent aux produits du terroir des notes d’ailleurs. Un petit coup d’Asie, quelques influences d’Amérique du Sud, deux-trois souffles d’océan Indien. Il distille les ingrédients en faisant force usage de ses souvenirs de voyage et de ses racines profondes. Préparer les papilles à une explosion de saveurs où crustacés et coquillages frayent avec les agrumes dans la composition de prédilection du maestro aux commandes.
Le condiment aux agrumes qui accompagne les huîtres leur confère une touche indéfinissable de fraîcheur. Les crustacés relevés des notes de mandarine du yuzu laissent en bouche une sensation fort agréable. À la saison des gibiers, l’on résiste mal à la cuisson lente et parfaite du rôti de lièvre. À l’ancienne SVP : au sautoir et avec du lard de Colonnata. La sauce à base de chocolat et d’épices en accompagnement est à tomber. Et puis, moment d’extase difficile à contenir quand le savarin maison fond sur la langue dans un fini voluptueux. Dans ce régal sucré, un mariage à trois très accommodant : vanille Bourbon, black mélasse et farine de sarrasin.
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Sous une valse de notes créatives et gastronomiques, le restaurant Le Lumière jouit d’un cadre romantique et hautement contemporain mettant à l’honneur le top des produits dans un décor d’une surprenante modernité. D’emblée, l’établissement accroche les regards avec sa superbe verrière ouverte sur la cour grandement ensoleillée de l’Hôtel Scribe qui, en soirée, baigne dans une belle lumière colorée. L’intérieur révèle un style inspiré des appartements haussmanniens avec de belles boiseries aux murs, des canapés de velours rouge et des images noir et blanc des premiers films des frères Lumière.
Une cuisine dans l’air du temps
La formule « Lumière du Jour » met en avant un menu déjeuner à 45 €, composé d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert, suivis d’un café. Faites vos choix entre une Terrine de canard à la chartreuse, Espuma de navet boule d’or, châtaignes grillées et compotée de figues ou une entrée du jour selon les produits du marché.
Allez plus loin dans la découverte avec du Dos de cabillaud cuit sur la peau, daïkon au raifort, betterave laquée, riz d’Akita et jus de coriandre ou le plat du jour selon les produits du marché. Terminez ensuite sur la note joyeuse du dessert à la parisienne à choisir sur le chariot du Chef Pâtissier.
110 références de vins
Le Lumière est également gratifié d’une carte de vins de collection comme le Coteaux du Layon du Domaine Cousin Leduc 1961. Les convives se laisseront guider par les suggestions du Chef Sébastien Crison garantissant les meilleurs accords.
Parmi les évènements récurrents du restaurant, on pourra noter les Sofitel Wine Days, qui ont lieu de fin septembre à fin octobre, et qui célèbrent le vin et l’art de vivre à la française… Des occasions de découvertes et d’échanges enrichissants autour des vins de nos régions.
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Depuis que les deux amis de longue date Florence Domec et Michael Piednoel ont fait du P’tit Vélo le théâtre de leur amitié, la cuisine et l’art y forment une parfaite alliance. Ils ont repris le restaurant en octobre et se sont investis pour faire de leur bistrot « un endroit agréable, idéal pour passer des moments avec ses proches autour d’un verre, sortir en amoureux ou simplement profiter de la bonne cuisine qu’on y propose », dixit Anne Debauve, chargée de communication. Un défi dignement réussi.
Un endroit bourré de charme
Les convives sont reçus dans un cadre fraichement rénové. Les tables, les chaises et le bar en bois sombre lustré sont une invitation au confort et à la volupté. Aux murs, une fresque colorée conjuguée au petit vélo accroché dans la salle donne une note artistique à l’ensemble de la pièce. Un décor original, fruit de l’inspiration de Florence, de Michael et de leurs amis.
Une cuisine française revisitée
Côté cuisine, le chef Rachid Ibouh séduit les sens avec une réinvention des plats classiques français. Ici, le pur, le frais et l’authentique qui font toute la beauté de l’art culinaire sont à l’honneur. La terrine du chef, le hareng pommes à l’huile ou encore le foie gras fait maison en entrée concrétisent ce concept. On pourra ensuite gouter à l’un des plats emblématiques de la maison : le foie de veau. Le soir, les convives auront droit au poisson du marché, un pur délice mettant en avant le talent et le savoir-faire du chef. En dessert, les papilles seront éblouies par la crème brulée maison, la mousse chocolat au piment d’espelette ou l’incontournable café gourmand du P’tit Vélo.
Une large palette de vins
Michael et Florence, passionnés comme ils sont, misent aussi sur les vins pour assurer la perfection de ce périple enchanteur. Les clients du P’tit Vélo ont le privilège de choisir parmi la belle collection de la cave. Des vins de soleil comme le Corbières, le Minervois ou le Rousillon, une palette de Beaujolais et Côtes-du-Rhône mais aussi des vins bio et des références issues de petits producteurs ou de cultures raisonnées.
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