Depuis quelques années, la nutrition fait l’objet de grand tapage médiatique. Le phénomène est tel que le consommateur lambda se retrouve aujourd’hui noyé dans un flot d’informations où il lui est parfois difficile de démêler le vrai du faux. Et pour cause, les différents médias (Internet, télévision, magazines…) n’ont de cesse de véhiculer des messages contradictoires sur le sujet. Désorienté, le consommateur a de plus en plus de mal à prendre les bonnes décisions en ce qui concerne son alimentation. En s’appuyant sur l’expertise nutritionnelle de WeCook WeCare, ce dernier n’a plus à se préoccuper de savoir si ce qu’il mange est équilibré ou non. Une équipe de diététiciennes nutritionnistes assure en amont la validation de la qualité nutritionnelle de ses repas. Les enjeux d’une alimentation saine Selon The Institute for Health Metrics and Evaluation (IHME), la mauvaise alimentation est à l’origine de 21 % de décès évitables dans le monde. Avoir une alimentation équilibrée et de qualité est donc plus que recommandée dans la prévention des pathologies lourdes comme le diabète, les maladies cardiovasculaires, le cancer, etc. Mais qu’entend-on par alimentation équilibrée ? « C’est une alimentation qui fournit l’intégralité des éléments nutritifs nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme. Cela doit être une alimentation variée, diversifiée et de saison », explique Séverine Gailler-Legendre, directrice scientifique de WeCook WeCare et également diététicienne. Le rôle clé de l’accompagnement diététique À l’instar de tous les professionnels de la santé, les nutritionnistes établissent leurs recommandations en se fondant sur des données scientifiques crédibles. En effet, certains programmes diététiques qui reposent sur des idées fausses et des informations erronées peuvent présenter de graves risques pour la santé. « Le sucre est devenu l’ennemi public numéro un alors qu’il y a une grande différence entre les aliments riches en glucides non transformés et les aliments transformés où le sucre est utilisé comme exhausteur de goût », indique notre interlocutrice en guise d’exemple. Même topo pour les graisses ! Tout comme le sucre, celles-ci sont, dans des quantités et des qualités bien précises, indispensables au bon fonctionnement de l’organisme. Les exclure et opter pour un régime restrictif n’est donc pas forcément la meilleure solution. D’où l’importance d’un accompagnement diététique personnalisé permettant des changements alimentaires sains et durables. « Quelles que soient les contraintes, il faut malgré tout conserver un réel plaisir à se nourrir pour ne pas se sentir au régime et éviter le sentiment de monotonie, qui sera contreproductif sur le long terme », souligne Séverine Gailler-Legendre. Chez WeCook WeCare, les diététichefs assurent ainsi un accompagnement complet, qui non seulement respecte la santé des patients mais également concilie régime et plaisir du palais. A noter que deux livres sortiront prochainement aux Editions La Maison, dans la collection LQDP en vue de venir en aide aux patients souffrant de ces troubles fonctionnels intestinaux. Le premier s'intitule « Le Syndrôme de l'intestin irritable (SII) - Comment l'identifier et le combattre » est écrit par Séverine Gailler-Légendre. Le second ouvrage « Comment suivre une alimentation pauvre en FODMAPs sans galérer », écrit par Béatrice Housez-Février, renseignera sur les aliments à privilégier et à bannir pour soulager tous les symptômes du colon irritable. ...
Étant originellement la demeure de la famille de Rothschild, le château de Montvillargenne arbore une architecture qui combine divers styles avec des fenêtres britanniques, des colombages normands, des balcons béarnais, des toitures wurtembergeoises... Cet édifice se trouve être le plus grand château-hôtel de toute la France et a la chance d’être implanté dans un parc arboré de six hectares empruntant quelque peu le style du jardin à l’italienne, avec ses terrasses qui se succèdent. Le château bénéficie d’un emplacement idéal : une campagne jouissant d’une accessibilité optimale, puisque elle est située juste à quelques minutes de Paris et de l’aéroport Roissy-Charles de Gaulle. Tout ce qu’il faut pour organiser des séminaires au vert. La quintessence dans chacune des salles de réunion équipées Jouissant de la lumière du jour, les vingt-et-une salles de séminaire offrent des équipements high-tech tels que le wifi, le téléphone direct, un grand écran et un paperboard. La majorité de ces salles donne sur une terrasse privée pour permettre à tous de profiter de la vue sur le parc arboré de six hectares. La salle de congrès, quant à elle, offre une capacité de 300 places. Des cadreurs, des caméramans et des photographes peuvent aussi intervenir pour créer des reportages photo et vidéo des réunions. Séjour d’affaires, séjour détente Les voyageurs d’affaires peuvent profiter des 120 chambres aux ambiances diverses, du restaurant gastronomique servant uniquement des produits de saison, et de l’espace bien-être dont l'accès est libre et illimité durant le séjour. Une équipe événementielle experte en organisation de réception d’entreprise et de dîner de gala est disponible pour répondre à chaque besoin. Des activités incentives peuvent aussi être intégrées dans tout séminaire pris en charge par le château afin de permettre aux participants de se défouler et de créer une ambiance ludique visant à optimiser l’esprit d’équipe. Le serious game, par exemple, pousse les participants à collaborer entre eux. Les balades en Segway, une activité atypique qui fait découvrir les environs d’une toute autre façon, en naviguant sur des radeaux construits par les membres du séminaire eux-mêmes, toujours dans un esprit de coopération et de cohésion. La traversée de la région lors d’un rallye en 2 CV en séduit aussi plus d’un. Des soirées à thème sont organisées non seulement pour oublier le train-train quotidien, mais aussi pour faire plus ample connaissance dans une ambiance festive. Des cuisiniers en herbe, quant à eux, se révéleront durant les défis culinaires organisés. ...
C'est un lieu unique en son genre. A 100 m de la cathédrale, en plein cœur de ville, se niche un concept store totalement novateur : s’y mêlent des objets de créateurs uniques mais aussi des œuvres d'art, le tout dans un style résolument contemporain. Un tiers de du Concept Store - la micro galerie - accueille chaque mois une exposition d'art. L’autre partie de la galerie met en valeur une multitude d'objets comme par exemple, des bijoux de créateurs. « Des pièces uniques que l'on peut acheter à des prix abordables à partir de 15 ou 20 € », explique Emma Lataste, elle-même artiste-peintre. Matériaux bio ou recyclés, verre de Murano ou encore patchwork de textile : le visiteur ne pourra qu'être surpris par la richesse des styles proposés. Ailleurs dans ce concept store, on navigue de surprise en surprise. Là, des montres en bambou d'un designer italien réalisées en toute petite série. Ici un amplificateur de son pour Smartphone ultra tendance. Plus loin, des lampes magiques imaginées par une créatrice turque. « Ces objets sont proposés chez-nous en avant–première », renchérit Bruno Lataste, également peintre. « Nous sommes parfois les distributeurs exclusifs en France. Be Art, un concept store pour collectionner les nouvelles idées C'est tout l'esprit du concept store : défricher les tendances, dénicher les créateurs de talent et collectionner les nouvelles idées ». D'ailleurs, la sculpture d'une petite fille accoudée à un mur nous interpelle : « C’est fabriqué avec une technique de papier de soie très particulière », souligne Bruno Lataste. ...
Tout commence sur un coup de cœur ! Thomas Sananes, l’actuel propriétaire, se souviendra encore longtemps du jour où il a visité pour la première fois le domaine. L’atmosphère singulière qui y règne, la quiétude et la beauté du lieu l’ont tout de suite convaincu de se lancer dans l’aventure. Il décide en 2015 d’acheter la propriété et suit des études poussées afin d’acquérir les techniques ainsi que les connaissances exigées en viticulture. Le vignoble et ses cépages Le Domaine de Cantalauze travaille actuellement sur un vignoble en appellation Minervois d’une superficie de 50 ha. Les vignes y poussent et s’épanouissent idéalement sur un terroir argilo-calcaire. L’encépagement se compose à majorité de carignan. Celui-ci est complété par la syrah et le grenache, cépages utilisés pour la fabrication des vins rouges. Au niveau des blancs, le chardonnay et le sauvignon blanc sont à l’honneur. Les saveurs de la maison Afin de satisfaire les amoureux de bons vins, le domaine de Cantalauze est fier de dévoiler ses 3 cuvées : « Primum Vinum », « Le bec dans l’eau blanc » et « Le bec dans l’eau rosé ». Parmi elles, la cuvée « Primum Vinum » mérite une attention toute particulière. Comme son nom l’indique, il s’agit du premier vin produit par la maison. « C’est un vin mêlant fougue, insouciance et honnêteté », souligne Thomas Sananes. Sa particularité ? Un assemblage réalisé le jour des vendanges, et ce dans la même cuve. Ainsi, ce vin est obtenu à partir de 50 % de syrah, 40 % de grenache et 10 % de carignan. Il séduit par sa belle fraicheur et ses arômes de fruits noirs comme la mure et le cassis. Idéal en apéritif avec du jambon pata negra mais il peut également être servi avec un dessert. ...
Valence Romans réunit tous les atouts pour faire d’un évènement d’entreprise une totale réussite : des lieux d’accueil prestigieux, une diversité alliée à une richesse naturelle, historique et culturelle incomparable… Mais, surtout, un service d’organisation à même de proposer des prestations sur mesure et de répondre à tout type de demande. De nombreux attraits Par sa situation géographique, le territoire jouit d’un emplacement stratégique. En effet, Valence n’est qu’à 2 heures de Paris, à 1 heure de Marseille et à 30 min de Lyon en TGV. Elle possède deux gares, dont l’une se trouve en centre-ville et l’autre à seulement 15 min du centre-ville. En matière d’infrastructures, les professionnels ont à leur disposition des sites idéalement situés (Parc des expositions, Palais des congrès Sud Rhône-Alpes…) et adaptés à leurs évènements. Par ailleurs, l’agglomération dispose d’une forte capacité hôtelière avec plus de 3 000 chambres disponibles et plus d’une centaine de restaurants. Elle est notamment reconnue pour ses nombreuses spécialités culinaires et ses produits du terroir. Autre atout : avec la Drôme classée premier département bio de France, le territoire abrite le plus grand nombre de producteurs spécialisés dans le bio. Au niveau culturel, il est important de souligner que Valence Romans Agglo est labellisée « Pays d’art et d’Histoire ». À l’image de ses musées, elle a hérité d’un patrimoine culturel et historique d’exception. Enfin, le territoire bénéficie également d’une richesse naturelle variée, qui permet de faire profiter aux visiteurs de tout un panel d’activités en plein air, incluant randonnées, golf, balades à vélo sur les vélos route ViaRhôna et V63, etc... ...
Paré d’une décoration sobre et chic agrémentée de couleurs chatoyantes qui rappellent les origines italiennes du chef Di Benedetto, l’établissement invite ses convives à passer des moments de détente placés sous le signe de la convivialité et d’un voyage culinaire. Lieu de vie où décontraction et plaisirs gustatifs sont les maîtres mots S’étendant sur une surface de 110 m2 qui peut recevoir 48 personnes à l’intérieur et 12 à la terrasse, sur une petite cour privée classée monument historique, le restaurant La Piazza est avant tout un univers à la croisée de la décontraction et du raffinement. Tableaux, fontaines ou peintures créent une touche pittoresque aux lieux, assortis d’un design épuré apporté par le parquet au sol. Ce cadre accueillant et sympathique est incontestablement propice à une expérience gustative exceptionnelle pour découvrir des plats ensoleillés inspirés de la gastronomie italienne. Un établissement qui ne fait pas les choses à moitié Pour ses spécialités franco-italiennes, la maison n’a pas l’habitude de faire les choses à moitié. Les plats traditionnels comme les tagliatelles, le foie gras maison ou bien l’andouillette gratinée au chaource sont concoctés au gré de la créativité du chef. Les plats phares, véritables clins d'œil à la cuisine italienne, à l’image de l’antipasto à la piazza ou de la scaloppina piazza avec ses pâtes à la tomate napolitaine au basilic, ravissent aussi les papilles des épicuriens. Quant au dessert, le tiramisu maison revisité, il mérite une mention spéciale. Mais ce ne sont que des aperçus des possibilités en termes d’expériences gustatives sur place étant donné que le choix s’annonce très large. À part les menus à la carte, trois formules se présentent aux fins gourmets qui ont succombé à l’appel irrésistible de cette cuisine authentique : le menu midi, le menu complet et celui à 11,90 €. Le chef, ayant à cœur de partager les saveurs de l’Italie, importe ses produits et n’utilise qu’en partie des ingrédients locaux. En dehors de ses spécialités, l’établissement se prête aussi à une cuisine traditionnelle européenne et méditerranéenne. Côté vin, des bouteilles très représentatives des deux pays à l’instar du bordeaux français, du « Bardolino » italien ainsi que du « Rapitala », un vin rouge sicilien, riche en arômes et en saveurs, séduiront les amateurs. ...
Comme chaque année, un programme musical varié rythme la saison estivale des Hautes-Alpes. Cet été, le Label L’Accordée présente 13 festivals, reconnus pour leur haute qualité. Sur les scènes se côtoient plusieurs répertoires : jazz, musique de chambre, grand orchestre, chanson et classique. Les incontournables au programme : le Festival Messiaen au pays de la Meije, Le Festival de Chaillol et Les Musicales Guil Durance à Mont-Dauphin. Label L’Accordée : musique pour tous et performances d'artistes au programme... À chaque manifestation, le public découvre des performances musicales interprétées par des artistes talentueux dans des lieux d’exception. Grâce aux tarifs accessibles, les passionnés ne manqueront sous aucun prétexte les rendez-vous. ...
Sur le chemin du changement, il y a de nombreuses approches et cela peut être un véritable défi de choisir celle qui libèrera votre potentiel. De plus, choisir le bon professionnel est une décision importante et personnelle. Elodie Parent, Rapid Transformational Coach, s’est personnellement formée auprès de Marisa Peer, élue thérapeute n°1 en Angleterre par le magazine Tatler et qui a gagné 5 prix internationaux dont récemment le fameux Stevie Awards. Elle peut vous accompagner pour des transformations individuelles et collectives. À travers son coaching vous pourrez libérer votre énergie au service d’une prise de décision éclairée et de la puissance de votre action. Pour un accompagnement en Rapid Transformational Coaching individuel, il faut compter environ 3 séances. La première va permettre de traiter les principaux blocages qui empêchent de libérer tout son potentiel. La seconde pourra être consacrée à se connecter à sa mission de vie, ce qui fait son unicité et ainsi permettra de prendre des décisions de manière plus éclairée et en sérénité. La troisième pourra se centrer sur les manières d’intégrer la nouvelle version de soi dans la réalité du quotidien. Rapid Transformational Coaching ? Rapid Transformational Coaching (RTC) et Thérapie (RTT) relèvent d’une seule approche particulièrement innovante et créée par Marisa Peer, auteure de plusieurs Best Sellers dont Ultimate Confidence et Hypnothérapeute de la famille royale, d’athlètes olympiques et de nombreuses stars. Cette approche est reconnue par les plus grands organismes professionnels dont le General Hypnotherapy Register et The American Board of Hypnotherapy. Après 30 ans de pratique, Marisa Peer a mis au point un protocole unique permettant entre autres de se connecter à des scènes passées et des émotions enfouies, à l’origine des blocages, et de les traiter. Cela afin d’enclencher une libération en profondeur et durable. L’incroyable CAPACITE de notre cerveau à être réceptif aux suggestions Pour que l’incroyable capacité du cerveau à être réceptif aux suggestions soit activée, il faut que la personne soit en état d’hypnose. À travers des suggestions, le Rapid Transformational Coach pourra alors faciliter un travail en profondeur du client. Il peut par exemple suggérer à la personne « qu’elle rayonne la confiance en soi ». Elle va alors se voir rayonnant vraiment la confiance et ce faisant elle active concrètement toutes les ressources qu’elle a en elle dans ce but. Ce qui n’est au début qu’une suggestion s’imprime pour devenir une réalité, une nouvelle habitude. Remonter aux sources du blocage Mais cela n’est pas suffisant, si un blocage inconscient est ancré en soi, il pourra empêcher la suggestion de fonctionner. C’est en cela que RTC/RTT est une approche incroyablement efficace car elle permet de remonter à l’origine du blocage inconscient et de le traiter. Les suggestions vont ensuite pouvoir fonctionner. La session comprend trois étapes : la première consiste à plonger au plus profond de soi même pour revisiter la source d’un blocage. Lors de la seconde étape le client pourra ensuite réaliser un travail de détective pour identifier les liens entre son interprétation des scènes « visitées » et son blocage actuel. Il va ainsi commencer à changer sa relation à son vécu pour se libérer. Il va également pouvoir désactiver des émotions inconscientes qui le bloquaient. La troisième partie de la session, où le patient va simplement écouter les suggestions du RT Coach, est enregistrée afin de permettre au client/patient de repartir avec un audio unique construit sur mesure en fonction de ce qu’il s’est passé pendant la séance. Cet audio lui permettra de se mettre en autohypnose afin d’imprimer les nouvelles « habitudes ». Le mental et le corps, en parfaite connexion, peuvent faire des miracles Cette approche conduit à des changements puissants et permanents. Elle permet au cerveau de dialoguer avec le reste du corps et réciproquement. Après avoir traité l’origine du blocage, cette communication « mental-corps » devient particuli&e...
Lieu propice à la détente et à la découverte, L’Auberge des roses ne manque pas de charme avec ses pierres et poutres apparentes, sa cheminée au feu crépitant et sa terrasse ombragée à la vaste pergola, qui n’attend que vous pour les beaux jours. Une salle divisée en 3 niveaux avec une petite estrade en hauteur, appelée « petit salon », et une grande véranda font par ailleurs la particularité de cet établissement de caractère, dont la réputation n’est plus à faire. À travers une cuisine traditionnelle et gastronomique, composée en grande partie de poissons de la criée de Saint-Jean-de-Luz, le chef et gérant Hervé Barrière régalera vos papilles dans un voyage culinaire authentique et gourmand, où le temps semble s’être arrêté. Le rendez-vous des gourmets L’établissement vous invite à découvrir son appétissante et rafraichissante cuisine avec un menu à 30 € au choix, ainsi qu’une carte avec des suggestions qui changent tous les jours. Difficile de ne pas succomber à son Croustillant de gambas sur coulis de mangue marinés et roulés dans une feuille de brique, sa savoureuse Parillada de poissons, un assortiment de 4 poissons sur un lit de moules, de chipirons et de gambas, sans oublier son Pain perdu brioché pommes caramel au beurre salé qui est un véritable délice ! Pour accompagner chacun de vos repas, la maison dispose d’une très belle carte des vins, représentative de toutes les régions, avec près de 45 références, dont les fief la grange, ainsi que le vin local du Jurançon en sec et en doux. Un très beau bouquet au choix pour un accord parfait met-vin. N’hésitez pas à demander conseil ! ...
Certains biens immobiliers sont inaccessibles à un investisseur isolé. Par ailleurs, gérer un patrimoine plus ou moins conséquent peut se heurter à un certain nombre de difficultés. C’est pourquoi créer une SCI, ou société civile immobilière, se présente comme une solution idéale. Mais les investisseurs ne connaissent pas forcément les subtilités juridiques d’une telle entité. Pour cette raison, Agence Juridique offre l’opportunité de passer par sa plateforme en vue de réaliser toutes les démarches nécessaires. Focus sur un concept neuf, et des plus utiles ! Créer une SCI : le principe et les possibilités offertes Il faut savoir que près du tiers des sociétés françaises sont des sociétés civiles immobilières. Un tel succès s’explique en raison des possibilités offertes par ce genre d’entité juridique, comme le démontre Immoz.fr. Créer une SCI, c’est répartir plus facilement les droits de possessions de chaque acheteur sur un bien immobilier. Les titres sont en effet répartis selon la participation de chacun.C’est aussi une manière de pouvoir accéder, à plusieurs, à un bien qui n’aurait pas pu être acquis par un seul investisseur. Cette forme juridique est également un bon moyen de transmission pour ses dirigeants. Un associé souhaitant quitter la société peut le faire tout simplement en cédant ses titres. Et en cas de décès de l’un d’entre eux, l’indivision ne s’applique pas à ses héritiers. A la place, les décisions sont prises en conformité avec ce qui est inscrit dans les statuts. Il en va de même à propos de toutes les décisions impactant la société. Celles-ci sont prises en fonction des règles édictées dans les statuts. De quels avantages fiscaux parle-t-on ? Créer une SCI, c’est aussi avoir la possibilité de choisir l’Impôt sur les Sociétés (IS) plutôt que le régime des sociétés de personnes où les associés sont imposés directement en leur nom propre. Il existe plusieurs avantages dans le cas de l’IS. D’abord, l’imposition est effectuée directement sur le patrimoine de la société. Libre ensuite aux dirigeants de se répartir ou non les dividendes. En fonction des choix réalisés, l’acquisition du bien immobilier peut donc être amortie. Ce qui n’est pas possible dans le cas du régime des sociétés de personnes. De plus, en situation de transmission, les associés peuvent réaliser des montages financiers intéressants. Dans la mesure où le ou les immeubles sont transformés en titres, la fiscalité s’appliquant à un héritage n’est pas la même ! Quelques inconvénients à considérer Bien sûr, rien n’est parfait. Choisir de créer une SCI, c’est opter pour une société dont les associés sont responsables des dettes de façon indéfinie. Cela signifie qu’en cas de difficulté financière ou de faillite, les effets personnels des dirigeants peuvent être saisis pour régler l’endettement de la société. Mais créer une SCI, c’est aussi devoir se soumettre à un certain nombre de contraintes légales. Il est par exemple obligatoire d’organiser chaque année une Assemblée Générale où doivent se réunir tous les associés pour discuter de la tenue de l’activité. C’est aussi transmettre, tous les ans, un suivi comptable au greffe du tribunal de commerce si les dirigeants optent pour l’IS. Par ailleurs, au moment même de la création de l’entité juridique, les associés se heurtent à de véritables lourdeurs administratives. Si les statuts leur assurent une gestion simplifiée, notamment en cas de transmission des titres, ils doivent être rédigés. Et la rédaction des statuts peut s’avérer véritablement ardue pour des investisseurs qui n’ont pas forcément les clefs et les connaissances nécessaires ! Vous pouvez trouver des exemples de statuts juridiques sur les Echos. Et le processus de création ne s’arrête pas là, puisqu’il fait également intervenir d’autres formal...
Avec 14 magasins présents dans des grandes villes de France (Paris, Lille, Lyon, Toulouse, Bordeaux, Orléans …), Altermove est le leader français du vélo électrique (vélo de ville, VTC , VTT, vélo pliant, vélo 45 km/h) et de la mobilité douce (trottinette électrique, hoverboard, gyroroue, skate électrique, vélo pliant, vélo cargo...). Altermove: le premier réseau 100% électrique Créé en 2010 par Mobivia (Norauto, Midas, ATU) et accompagné par Via ID, accélérateur de startups dans les nouvelles mobilités (Smoove, Drivy, Heetch ...), Altermove, l’enseigne lilloise, a eu le nez creux en se spécialisant dans la mobilité électrique. Au fil des années, Altermove s’est constitué une équipe d’experts offrant un conseil personnalisé qui s’adapte à l’usage de son utilisateur. La diversité de l’offre Altermove permet de répondre à l’ensemble des besoins de mobilité: trajet maison-travail, loisir, multimodal,… L’enseigne se différencie aussi par les services qu’elle propose à ses clients (essai gratuit, leasing, click and collect, 1ère révision offerte, livraison à domicile …) et par la qualité de l’entretien dans ses ateliers. « L'enjeu pour les acheteurs aujourd'hui est de pouvoir faire le tri entre les nombreux acteurs, qui s'engouffrent dans le marché de l'électrique, flairant le bon filon, explique Guillaume Caroni, Directeur Général du réseau Altermove. A titre d'exemple, le nombre de revendeurs de vélo électrique sur Paris est passé de 5 à plus de 90 depuis 2008. Pour autant, ce métier demande une vraie expertise dans la sélection des produits et la capacité d'assurer l'entretien, des véhicules vendus, dans ses ateliers. Avec Altermove, nos clients ont l'assurance de rencontrer la force d'un réseau national, constitué d'une équipe de spécialistes de la mobilité électrique, sérieux et enthousiastes. Nous sélectionnons, testons et trions toutes les nouveautés pour, au final, proposer des produits innovants et fiables avec des partenaires sérieux ». L'offre Altermove: "le plaisir de rouler en plein air avec la force de l'électrique" Altermove propose une offre unique centrée sur la mobilité électrique en partenariat avec les marques leaders du marché (Kalkhoff, O2Feel, Focus, Gazelle, Matra, Lapierre, Wayscral, Etwow, Inmotion, Micro…). Altermove apporte une réponse à une tendance sociétale visant à une meilleure qualité de vie. Le vélo électrique et les micro-mobilités douces amènent du plaisir et de la liberté dans les déplacements, en maitrisant, grâce à l’assistance électrique, les efforts qu’il faut fournir. En passant le cap des 200 000 ventes par an, le marché du vélo électrique progresse de plus de 30% par an depuis 4 ans. Les 500 000 français actifs qui vont au travail à vélo viennent gonfler les rangs des séniors qui ont été les premiers à adopter ce nouveau moyen de mobilité. L’engouement généré par le vélo électrique se répand sur d’autres véhicules de micro-mobilité électrique. C’est le cas notamment de la trottinette électrique qui double ses ventes chaque année, elle a quitté la catégorie loisir pour devenir un vrai moyen de mobilité. ...
Créée en 1765 au cœur de la Vallée Noble, dans le petit village de Westhalten par la famille Heim, la Maison s’est développée au fil du temps sur les côteaux de Bennwihr, Westhalten Kaysersberg et Barr, devenant Bestheim. Elle représente aujourd’hui 450 familles de vignerons pour 1400 hectares de vignes, ce qui en fait un acteur important dans le paysage viticole alsacien. Forte de cette diversité, Bestheim propose des vins provenant des plus beaux terroirs alsaciens comme les Grands Crus Schlossberg, Zinnkoepflé, Mambourg, Marckrain ou Furstentum. Le Grand Prestige, fer de lance de la maison Bestheim En 2005, le monde des fines bulles connait un chamboulement inédit. En effet, le Crémant d’Alsace « Bestheim Grand Prestige » bouscule la hiérarchie historique en s’imposant à la 2e place lors d’une dégustation à l’aveugle mêlant des effervescents de diverses origines, devançant au passage plusieurs cuvées de Champagne de renommée mondiale. Depuis, la célébrité de cette cuvée n’a jamais faibli. Le « Grand Prestige Rosé », lancé en mars 2016, s’inscrit dans la même lignée. Il s’agit d’un rosé originaire du Strangenberg, terroir des hauts de Westhalten associé à d’autres terroirs calcaires. Il se différencie des rosés bruts traditionnels par sa tannicité bien particulière. Ce vin au fruité très expressif révèle des notes de cerise noire et de griotte, virant à la framboise sauvage et à la fraise des bois. Avec un dosage raisonné (8g/l), il est classé parmi les crémants gastronomiques. Il se marie harmonieusement avec un carpaccio de bœuf relevé au piment d’Espelette, un tartare de noix de Saint-Jacques, un minestrone de moules au safran ou un muesli de pomme de terre aux truffes. Considéré comme une cuvée premium, le « Grand Prestige Rosé » a une production limitée à seulement 12 000 bouteilles. Les autres cuvées du domaine La production de Bestheim ne se limite pas à ces deux cuvées inégalables. Elle propose des vins blancs d’Alsace et des Grands Crus appréciés aussi bien par les connaisseurs que par les néophytes. A découvrir : le Kaefferkopf 2013, Grands Crus d’Alsace révélant une robe avenante d’un jaune doré et brillant. Ce vin blanc de prestige propose un nez complexe qui offre des arômes de citron confit, de pamplemousse, de thé vert et de fleurs blanches. La bouche est vive et structurée. A déguster de préférence avec des coquillages, des poissons nobles et certains mets japonais. Un chai à la pointe de la technologie Sans cesse en quête de la perfection, Bestheim s’est très récemment doté de nouveaux matériels et équipements. Un investissement de près de 20 millions d’euros a été réalisé en 2014 pour l’installation d’une nouvelle chaine de conditionnement et l’agrandissement de la partie stockage. Cet apport a également permis l’acquisition d’un vendangeoir de dernière génération doté de 10 pressoirs pneumatiques et d’un nouveau chai de 130 cuves en inox d’une capacité totale de 130 000 hectolitres. Ces investissements ont notamment été réalisés dans un souci constant de respect de l’environnement et de développement durable qui se concrétise par exemple par une diminution de 20% de la consommation d’énergie sur les trois dernières années. ...
Ce restaurant indépendant ouvert 7 jours sur 7 (hors dimanche soir) propose à ses clients une cuisine authentique et simple agrémentée d'incontournables classiques Auvergnat. Dans un cadre convivial à l'esprit bistrot, un accueil chaleureux vous invite à déguster un grand classique de la région qu’est la Truffade Auvergnate. Il s’agit d’un plat typique à base de pomme de terre, assaisonné de poivre et d'ail et de tomme fraîche du cantal servi avec un jambon sec AOC d'Auvergne. Soucieux de la tradition, les 2 compères ont pris soin de vous préparer ce plat « à l’ancienne ». A déguster pour les puristes avec un cotes d'Auvergne rouge ou blanc selon vos envies. Une carte raisonnable mais variée Le Zinc se démarque de la plupart des enseignes par sa cuisine généreuse concoctée à base de produits frais. En effet, l’établissement privilégie les circuits courts et la proximité de ses fournisseurs locaux pour répondre aux exigences de fraicheur et de traçabilité des produits jusque dans l'assiette. En s’approvisionnant auprès de fournisseurs comme "la ferme Auvergnate" ou "lou vidalou" fromager affineur cantalou, la maison s'assure d’avoir les bons produits. En été comme en hiver, le chef vous propose ses incontournables rognons de veau aux morilles et le boudin noir au foie gras poelé du domaine de Limagne. Le Zinc se fait aussi une spécialité dans la viande, en mettant à l'honneur les races à viande locale : Charolaise, Limousine ou Aubrac et ce dès que possible. et que dire du vin ? La carte des vins du Zinc n’a pas à rougir face à celle d’autres établissements spécialisés. De nombreux vignobles exclusivement français y figurent, du sud en remontant par la vallée du Rhône, en s'arretant en Val de Loire et en Bourgogne jusqu'au bordelais pour finir, bien évidemment, sur les vins d'Auvergne à découvrir. Parmi une trentaine de références, le chef laisse le soin à ses clients de faire leurs choix mais ne manque pas une occasion de leur faire profiter de ses expériences si besoin. ...
Recommandée par l’organisation onusienne FAO (Food and Agriculture Organization), la consommation d’insectes représente l'une des meilleures alternatives alimentaires proposées en vue de basculer vers un mode de consommation responsable et écologique. Nos habitudes alimentaires tendent, en effet, à favoriser le gaspillage et la dégradation de l’environnement, situation à laquelle l’entomophagie apporte une solution durable. Afin d’appuyer ce changement progressif, ïhou s’est lancé dans la production d’insectes à croquer, de quoi ravir les papilles les plus aventureuses. La consommation d’insectes à redécouvrir Si certains se rappellent les fameuses omelettes aux vers à soie de leurs grand-mères, d’autres se souviennent avoir croqué des sauterelles grillées lors de voyages exotiques. La consommation d’insectes n’est ainsi pas une nouveauté, loin de là. En effet, plus de 2 milliards de personnes à travers le monde consomment régulièrement des insectes. La gamme ïhou a été créée en France afin de sortir des clichés sur la consommation d’insectes et de faire redécouvrir ce mode d’alimentation à haute valeur nutritionnelle. En effet, « le grillon, par exemple, présente un taux élevé de protéines (55 %) tout en contenant des vitamines et des minéraux », explique Mme Déborah Findeis Schäfer, à l’initiative de cette marque. Cette dernière de reprendre « notre ambition d’intégrer l’insecte dans l’alimentation répond à la nécessité de trouver une alternative durable à notre alimentation classique ». L’élevage de grillons ïhou dans le nord-est de la France applique d’ailleurs des normes de production strictes, de quoi assurer une alimentation saine et respectueuse de l’environnement, « le rejet de gaz à effet de serre étant extrêmement faible dans l’élevage d’insectes », continue-t-elle. ...
Avec sa silhouette élégante et raffinée, le Sicambre a fière allure. Ancien navire Turque, il a été rénové dans les moindres détails pour répondre aux satisfactions des clients les plus exigeants de la compagnie Bordeaux River Cruise. Stationné le long du ponton d’honneur, entre le Miroir d’Eau et le pont de Pierre, il arbore les couleurs rouge et noir, reflétant le parfait mariage entre la simplicité et l’authenticité. Sur le pont-terrasse, les transats rappellent l’exotisme des îles et promettent des moments de détente dans un cadre d’exception. Mais le Sicambre n’a pas fini d’éblouir… A l’intérieur, la décoration épurée du restaurant témoigne toujours de ce luxe discret : des banquettes bien espacées, un mobilier modulable et un mélange réussi de couleurs. Une cuisine millésimée A bord, la cuisine est embarquée afin que tout soit préparé sur place. Le chef puise son inspiration selon la saison, les trouvailles du marché et les producteurs locaux avec lesquelles il entretient une relation privilégiée notamment en raisonnant l’utilisation des emballages plastiques. Créatif, il met en avant le produit avec simplicité mais n’hésite pas à bousculer la tradition en revisitant les recettes les plus classiques pour leur donner une note originale. Deux types de menus sont proposés par le bateau-restaurant. D’une part, le menu Estuaire est composé d’un verre d’accueil, d’une entrée unique, d’un plat du jour (poisson ou viande) et d’un dessert unique. Leur composition change au rythme de saisons. A titre d’exemple, petit aperçu des mets proposés l’hiver dernier : en entrée, une Tourte aux champignons du moment et au foie gras qui émoustille les palais. En plat principal, un choix entre un Filet mignon de porc aux noisettes, accompagné d'une purée de potiron et de sa poêlée de champignons et un Pavé d'esturgeon, purée de pomme de terre & poireaux confits, accompagné de sa sauce au vin rouge, est proposé. En dessert, une pavlova avec sa base meringuée finalise ce mélodieux repas. D’autre part, il y a le menu Garonne constitué d’un verre d’accueil, d’une entrée unique de saison, d’un plat du jour au choix du chef et d’un dessert unique. Parmi les mets goûteux déjà suggérés par le restaurant figurent le Camembert rôti, carpaccio de canard à l’orange, gratton bordelais à la ciboulette fraîche en entrée, le Suprême de canette et sa sauce aux fruits rouges, accompagné de ses pommes de terre grenaille en plat de résistance et un fondant au chocolat en guise de bouquet final. Enfin, lors d’une réception privée, le bateau-restaurant Sicambre joue la carte de la « cuisine du bout des doigts ». Ce concept transporte les convives dans une véritable dégustation continue, non seulement avec le goût, l’odorat et la vue, mais aussi et surtout avec le toucher. Pas d’assiettes individuelles ni de couverts, les plats sont directement servis sur les tables où pics en bois et serviettes remplacent les fourchettes. La carte offre une large variété de produits régionaux dits « du terroir ». A la découverte des trésors de l’Estuaire Certaines croisières vous emmènent également vers les îles de l’Estuaire et notamment au refuge de Patiras. Lieu d’escale privilégié, l’île offre un paysage riche en diversité qui mérite le détour. Sur place, une équipe de Bordeaux River Cruise réserve aux convives un accueil chaleureux et amical. Et pour les plus motivés, l’équipe propose une visite guidée du phare de Patiras. Les gourmands ne sont pas en reste : le Refuge de Patiras situé au pied du phare historique de l’île élabore une cuisine savoureuse. Tout comme au sein du bateau-restaurant Sicambre, il privilégie le « finger food » concrétisé avec des produits frais issus de la région : poissons de l’Estuaire, crevettes blanches, artichauts de Macau… Le poisson est apporté par les pêcheurs de l’estuaire et cuisiné directement. ...
C’est en 1977 que l’aventure viticole de la famille Fayard commence par l’acquisition du domaine par Jean Pierre et Brigitte. La reconnaissance dans le monde du vin arrive dès le début des années 80. Le domaine commence sa conversion au bio en 2003 et obtient la certification « écocert » pour la totalité de ses vins en 2009. Depuis le millésime 2015, l’ensemble de notre production est inscrite à la Vegan society, car l’absence d’intrants d’origine animale convient à la communauté végétalienne et végétarienne. Le vignoble Situé sur le littoral Varois, le domaine du Château Sainte-Marguerite jouit d’un terroir typique de l’appellation Côtes-de-Provence avec un sol argilo-schisteux qui s’étend à l’île de Porquerolles, la ville de La Crau, la ville de Bormes-les-Mimosas et La Londe Les Maures. Les cépages utilisés sur les parcelles sont le Cinsault, la Grenache et la Syrah pour le Rosé. Les deux derniers cépages sont également utilisés pour le Rouge avec le Cabernet-Sauvignon et le Mourvèdre. Pour le blanc, le principal cépage st le rolle. Près de 550 000 flacons sont en moyenne issus de ces vignes dont 65% de Rosé, 20% de Rouge et 15% de Blanc. La désignation géographique complémentaire « Côtes-de-Provence La Londe » a été reconnue depuis 2008. La cave Grâce à la transmission de la passion et des secrets familiaux depuis des générations, la famille Fayard combine connaissance des traditions et techniques modernes. L’attention portée au terroir et à la vigne reste importante toute l’année avec un travail régulier du sol et une adaptation aux facteurs naturels. Le domaine investit donc dans les moyens techniques tels que les machines à vendanger avec tri embarqué et se dote d’une équipe de 40 vendangeurs. Ce sont les garanties d’une vendange à « top maturité ». Le pressurage direct avec le pressoir pneumatique permet d’éviter le déchirement de la peau ou « rebèche ». Les tiges qui tiennent les grappes sont retirées pour ne pas donner un côté herbacé au jus. Le vin rouge et blanc sont élevés en fut entre 12 et 24 mois suivant les besoins. Le Château Sainte-Marguerite est reconnu Cru Classé Côte-de-Provence depuis 1955. La cuvée Symphonie en est le navire amiral. Une symphonie de saveurs qui, en Blanc, s’habille d’une robe limpide et brillante à reflets or. Ce vin possède un nez fin et complexe, des senteurs d’agrumes, vanille et miel avec des notes grillées. Enfin, une bouche aromatique, riche et persistante glisse vers une finale délicatement miellée. Le palmarès Les deux Châteaux de la famille Fayard, Sainte-Marguerite et Saint-Martin, produit des cuvées de qualité. La Symphonie Rouge du Château Sainte-Marguerite a été médaillée d’argent au Concours Général Agricole de Paris. Pour l’Hermitage Saint-Martin, la cuvée Ikon a été récompensée par le Wine enthusiast avec une note de 93/100 pour le Rouge et 90 pour le Blanc et le Rosé. La Grande Cuvée Enzo en Rosé a aussi brillé lors de la foire de Brignoles. Le grand prix d’ensemble nous a aussi été décerné pour avoir été primé sur 5 vins dans les 3 couleurs au Concours des vins de la Méditerranée. Accessibilité La famille Fayard participe fréquemment à différents salons régionaux, nationaux et internationaux tels que la présentation des millésimes des Côtes-de-Provence à Mandelieu, le salon des clubs des professionnels du vin à l’hôtel Negresco de Nice ou encore Vinisud et Vinexpo. Par ailleurs, elle reçoit quotidiennement au domaine pour une dégustation des vins. Vous pourrez également retrouver ses vins chez de nombreux restaurateurs ainsi qu’un réseau de cavistes répartis sur toute la France. A l'international, la marque est présente dans une trentaine de pays dans le monde. ...
Situé sur la rive gauche de la sortie du port, Le J offre une formule qui fait mouche. Soleil, plage, terrasse avec vue sur la mer et cuisine où se rencontrent les saveurs méditerranéennes et asiatiques, tout y est. S’ajoute à cela, l’accueil professionnel et convivial du personnel. C’est d’ailleurs ce qu’affirme la devise de la maison : « peu importe la météo, nous vous accueillerons toujours avec le sourire ». Une cuisine du marché Selon les envies de chacun, Le J reste ouvert pour le petit déjeuner, le repas du midi, le goûter, l’apéro et le dîner. Le raffinement de la présentation des assiettes ne passe pas inaperçu aux tables du restaurant. Le goût est également présent grâce à une cuisson et un assaisonnement sans reproche. Tout est préparé avec des produits frais car la cuisine se base sur les trouvailles au marché. Outre les poissons et viandes, la maison suggère des coquillages. Ces derniers se partagent l’affiche avec les tapas. Les huîtres de Bouzigues et les crevettes sont alors suivies par l’assiette de foie gras ou de pata Negra, la salade de poulpes et les planches de tapas. A la carte du restaurant, ce ne sont pas les spécialités maison qui manquent. La Salade du J qui est une composition de salade, crudités, oignon rouge, jambon cru, camembert rôti et frites maison est un régal. Le Foie gras mi-cuit maison au poivre fumé n’est pas en reste, ses saveurs se révèlent encore plus avec un verre de Banyuls Blanc suggéré par l’établissement. Parmi les assiettes de poissons, le Filet de loup Thaï accompagné de riz crémeux et de légumes croquants affiche une note asiatique, signature du jeune Chef Maecor Jouga. Du côté des viandes, rien de tel qu’un Tartare de bœuf Charolais façon Le J. Et pour le bouquet final, la crème brûlée traditionnelle maison est tout aussi délicieuse. La carte des vins En accord avec les mets, plusieurs appellations issues de différents domaines sont proposées à la carte des vins. Le Sud est toutefois privilégié avec le Château Creyssels Picpoul de Languedoc parmi les blancs, le Sable de Camargue du domaine Petit Chaumont Gris de Gris parmi les rosés et le Mas Laval les pampres d’Hérault parmi les rouges. Ceux qui ont une petite soif auront la possibilité de commander des demi-bouteilles, une bonne alternative au vin au verre. Une ambiance bord de mer Carnon est à environ 10 à 15 minutes de Montpellier. Ses plages de sable fin s’étendent sur 7 km depuis le port jusqu’à la Grande-Motte. Le petit parking qui longe le canal à droite de la plage facilite l’accès au restaurant Le J. Ce dernier bénéficie d’une plage qui n’a pas été envahie par les parasols. Sa terrasse offre donc une vue directe sur le grand bleu. C’est indéniablement ce qui fait de celle-ci la pièce maîtresse de l’établissement. Pour accéder à la salle du restaurant, il faut passer par un petit chemin en bois au milieu du sable. A l’accueil, le bateau sur lequel sont étalés des fruits de mer donne le ton. On reste dans l’esprit bord de mer et les décorations murales et l’omniprésence de bois flotté le confirme. Les lumières tamisées dégagent une ambiance chaleureuse et intimiste, surtout au niveau des canapés où l’on peut s’asseoir pour prendre un apéritif. ...
Lancée en 1981, La Roumanière est un Établissement et Service d’Aide par le Travail (ESAT) implanté dans le département du Vaucluse. Elle fait partie des établissements fondés par l’Association Vauclusienne d’Entraide aux Personnes Handicapées (www.aveph-asso.com). Un établissement en plein essor Établie sur le village de Robion, une localité située au cœur du verger provençal, La Roumanière se spécialise dès son origine dans la fabrication de confitures, qu’elle complète par celles de biscuits et de miels. Ses activités se sont tournées principalement vers les marchés du domaine de l’agroalimentaire. « On a continué à développer l’activité avec une biscuiterie en 2009 et, depuis 2012, nous avons développé un site de production à Avignon », précise Norbert Guillarme, le directeur de l’établissement. L’enseigne compte actuellement plus de 600 clients actifs. Ces fidèles consommateurs sont composés de maisons d’hôte, de commerces de proximité « et même de compagnies aériennes », nous souffle-t-on. Insertion sociale et professionnelle Fidèle à ses valeurs et à ses engagements, La Roumanière favorise l’insertion professionnelle des personnes en situation de handicap. Son personnel est constitué de quatre-vingt-trois personnes « extraordinaires ». « J’ai trente-huit personnes sur le site originel de production situé à Robion, cinq autres personnes assurent la logistique et la préparation des commandes en expédition dans le monde entier, et quarante personnes sur le site de production d’Avignon », précise notre interlocuteur. «Ces personnes bénéficient d’un accompagnement socio-professionnel permanent. » Des produits prestigieux Grâce à leur saveur exquise, les confitures sont des douceurs indétrônables de la gastronomie française. Afin d’être à la hauteur des besoins des consommateurs, La Roumanière propose une quarantaine de variétés de confitures avec des conditionnements variés, allant du pot en verre de 25 g à 1 kg. « Les best-sellers, ce sont les confitures très classiques à base d’abricots, de fraises ou de figues. Nous avons aussi une dizaine de variétés qu’on appelle "la confiture de prestige" », fait savoir Norbert. Catégorisées dans les produits haut de gamme, les confitures de prestige sont confectionnées à partir d’un cocktail de fruits et d’alcool. Conçu à partir d’une recette traditionnelle, le confit de figue au nougat est un autre incontournable qui fait des ravages surtout en période de fin d’année. Ce produit gourmand au goût authentique accompagne parfaitement un plat de foie gras. Attestant de la qualité des produits, ces derniers sont référencés dans les meilleurs guides comme Le Guide du Routard ou Le Petit Futé et cela, depuis plus d'une dizaine d'années. ...
Le festival Bellevue en scène a été initié en 2008 par Benjamin Goudergues. Après avoir été élu conseiller municipal à la culture, celui-ci cherche un moyen pour assouvir sa passion du théâtre. « Compte tenu de mon activité professionnelle de l’époque, je ne pouvais pas faire régulièrement du théâtre et c’est ainsi que m’est venu l’idée d’organiser un festival », rapporte-t-il. Il commence donc à regarder du côté des théâtres professionnels mais après avoir obtenu quelques devis, ce dernier s’aperçoit que la commune ne dispose pas de budgets suffisants. Benjamin pense alors à créer un festival de théâtre amateur et se renseigne auprès de la Fédération Nationale des Compagnies de Théâtres et d’Animation (FNCTA). « Ils nous ont expliqué de A à Z sur la manière de monter un festival de théâtre amateur », confie Benjamin. De là naît le projet. Focus sur la dixième édition L’association DIAM, en charge de l’organisation du festival, invite tous les passionnés de théâtre à Montberon le 4, 5, 6 et 7 octobre 2018. Jeudi soir, Saint-Geniès-Bellevue (village à 5km de Montberon) aura l’honneur d’accueillir l’avant-première de cet évènement culturel de qualité. A partir de vendredi soir, les spectateurs ont droit à une programmation particulièrement éclectique: comédies dramatiques ou burlesques, spectacles, pièces de théâtre, animations…En tout, une vingtaine de troupes amateurs venant de divers horizons se produiront sur la scène du festival. « Pendant l’événement, nous utilisons en alternance deux salles : la salle des fêtes et la salle Carlos Gardel appartenant à la Maison des associations, la plus prisée des troupes », souligne l’initiateur du Festival. Les temps forts à ne pas rater L’ouverture officielle prévue le vendredi (20h30) sera sans doute l’un des temps forts de cet événement. Des personnalités locales et plus de 200 convives sont attendus à l’apéritif inaugural offert par l’association. L’occasion également de souffler les dix bougies du Festival Bellevue en scène. La célébration sera marquée par quelques surprises. En effet, le samedi soir, le festival accueille à l’occasion d’un café-théâtre, un invité de marque en la personne de Carlo Bozo, grand dramaturge et Directeur de l’école de la Commedia dell’arte de Paris. Inutile de préciser que les réservations sont fortement recommandées via la page billetterie de l’association. Enfin, il est aussi conseillé de faire dès à présent le choix des 5 pièces à regarder sachant qu’il reste la possibilité de changer une pièce par une autre. ...
En septembre 2014, Charles Danet et Agnès Peyre ont ouvert le restaurant Le Timbre, situé à proximité du Jardin du Luxembourg et du quartier Montparnasse. Ce restaurant porte bien son nom puisqu’il est agréablement étroit, de la taille d’une salle de séjour. Il peut accueillir jusqu’à 22 personnes. Les tables en bois disposées côte à côte en deux rangées renforcent l’ambiance intimiste et conviviale du lieu. Dans la cuisine ouverte sur la salle, seul le chef Charles Danet s’expose aux regards pour concocter votre repas. Après l’Australie et Bruxelles, il met toute son expérience au service d’une cuisine de bistrot personnelle et innovante. Il excelle dans les méthodes de cuisson, notamment la basse température. Pas de carte, des menus fixes L’établissement propose uniquement des menus fixes, renouvelés toutes les 2 semaines. À midi, vous avez le choix entre le menu à 23 €, composé d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert, et le menu à 28 €, incluant une entrée, un plat et un dessert. Le soir, également 2 formules : à 36 € avec une entrée, un plat et un dessert ou à 45 € avec 2 entrées, un plat et un dessert. Les plats phares, le pigeon désossé cuit à basse température et la poitrine de cochon caramélisée au gingembre, sont plébiscités par les clients. Mais vous pourrez peut-être y déguster un filet de merlu de ligne avec une émulsion à l'ail des ours ou un maquereau mariné, huile d'orange et eau de tomate verte. Tous ces plats sont mariés avec subtilité à des légumes de saison. Vous serez également conquis par les desserts comme les figues rôties servies avec une glace Panettone maison ou le crémeux au chocolat NYANGBO 68% et noisettes du Piémont. Notons également les fantastiques truffes noires du pays de Forcalquier en saison. Une carte des vins composée avec passion Agnès Peyre a mis sa touche personnelle pour composer la carte des vins. Elle offre une sélection de domaines qui mettent en avant le travail de vignerons de petites propriétés, travaillant en agriculture biologique, en biodynamie, ainsi que certains vins « nature ». Vous découvrirez, par exemple, La Roche aux moines de Clément Baraut, des blancs du Jura de Jean-François Ganevat, des bourgognes de Sylvain Pataille et Fanny Sabre, des vins du Basque Imanol Garay ou du Languedocien Romain Portier. Chaque jour, des vins au verre sont suggérés : 3 rouges, 3 blancs et 1 rosé. ...
Promotion des produits du terroir, authenticité, originalité, cuisine maison à des prix abordables. C’est en cela que ce restaurant s’affiche comme une alternative à l’existant… Et pour atténuer les effets négatifs des dispositions calamiteuses imposées par les instances en charge du projet de requalification de l’accueil, l’établissement offre entre autres à ses clients le stationnement gratuit sur son parking privé : bienvenue au Mont Saint Michel ! Rétablir la réputation du mont Saint-Michel et de sa baie Au lieu d’une retraite bien méritée, Joël Lerognon, ancien maire de la ville voisine, ingénieur et ancien chef d’entreprise, enfant du pays, ne pouvait se résoudre à voir l’image du Mont écornée aussi bien par les dispositions prises par les instances publiques que par certains comportements des acteurs économiques locaux. Malgré l’attractivité présentée par les nouveaux ouvrages, réalisés dans le cadre du grand projet, remarquables par leur conception et leur gigantisme aux conséquences encourageantes sur le retour de l’insularité du Mont, la fréquentation des visiteurs est descendue à environ 2.300.000 visiteurs par an à comparer aux 3.200.000 d’avant les travaux et des 4.200.000 prévus à l’époque pour l’horizon 2015 ! Ces chiffres attestent d’une situation dont n’ont pas pris la mesure les responsables évoqués précédemment. Cette situation est d’autant plus regrettable que la réalisation du grand projet de rétablissement du caractère maritime, justifiée par près de 2 siècles d’erreurs de l’homme jouant l’apprenti sorcier, suivis d’un siècle d’études, d’essais de controverses pour aboutir à un projet d’équilibre et respectueux de la nature, conduit à un chantier de plus de 20 ans, véritable prouesse de nos architectes et ingénieurs. Il n’est pas présomptueux d’avancer que par son ampleur et sa qualité technique et architecturale , cet ensemble d’ouvrages s’inscrit dans la continuité de l’œuvre des moines bâtisseurs du moyen âge. On regrettera d’autant plus que les errements évoqués précédemment aient écorné l’aura du Mont et nuisent à l’économie locale. S’ajoutent à ce handicap, les innombrables entraves à l’action de ceux qui veulent entreprendre et sortir de la banalité. La faute suprême étant la réussite quant elle apparait à l’horizon…. Voici le contexte dans lequel le fondateur de la Ferme St Michel a voulu procurer aux pélerins et touristes venant au Mont quelques moments de détente, de plaisir et de découverte. Ce projet il l’a réalisé, entouré d’une équipe passionnée et professionnelle, à laquelle il fixa le challenge de se placer en tête des établissements locaux. L’avenir confirmera ce pari ambitieux. Pour y parvenir, partant d’une ruine située à l’arrivée au Mont, une ancienne ferme des polders fut entièrement rénovée, faîte de pierres apparentes, de boiseries anciennes, d’une charpente cathédrale, d’ une imposante cheminée et d’ un four à pain. L’ensemble de 4 salles d’une capacité de 200 convives constitue également une exposition permanente de tableaux, dessins et sculptures d’artistes de la famille. La cuisine met en valeur des plats spécifiques à la baie, aux polders : le véritable agneau de pré salé, les carottes des polders, les pommes du verger familial, les moules et huitres de la baie et bien d’autres …. Une clientèle très large se constitue mais exclusivement par la réputation acquise et le classement des guides : TRIP ADVISOR, la Fourchette, Michelin et bien sur le bouche à oreille compensant l’absence quasi-totale de la clientèle de passage suite à l’occultation par des rideaux d’arbres, imposés par les instances en charge de l’urbanisme local. S’ajoutent des mesures discriminatoires telles la fameuse barrière fable du site à travers le monde. La Ferme St Michel contribue chaque jour à redon...
C’est à l’issue de nombreux brassages fructueux, réalisés dans le petit village de Bazincourt-sur-Epte, qu’ils lancent leurs toutes premières recettes. « Nous avons commencé par trois recettes et, [avec le succès de ces dernières], nous avons agrandi notre production », dixit Antoine. Une nouvelle brasserie est alors créée à Gisors, en Haute-Normandie, un lieu entièrement dédié à la production de bières hautes en couleur. En découlent alors deux gammes de produits empreints d’humour et adulés des connaisseurs. La vraie bière de terroir Dans le but de produire une vraie bière de terroir, les deux entrepreneurs ont peaufiné leur savoir-faire et leur maîtrise du processus de brassage en s’inspirant des techniques de fabrication artisanales. Ainsi, la bière produite n’est pas pasteurisée et ne contient ni arômes ni épices. Tout le processus d’élaboration, allant de l’infusion des céréales à la fermentation en fûts et en bouteilles, se fait, par ailleurs, sur place et les matières premières sont collectées dans des coopératives agricoles françaises. « Avec l’orge et le houblon 100 % français, nous avons également notre propre souche de levure que l’on cultive à la brasserie. Cette levure donne le goût caractéristique, qui fait la signature de nos produits. » Des bières légèrement fruitées aux saveurs uniques découlent ainsi de cette passion pour l’authenticité. ...
L’image du royaume de Maroc est désormais liée à celle de ses nombreux et prestigieux parcours de golf. S’il fait aujourd’hui partie des meilleures destinations golfiques du monde, c’est en grande partie grâce aux initiatives du roi Hassan-II qui a donné son nom au trophée disputé par les champions d’aujourd’hui. Néanmoins, l’essor du golf au Maroc est aussi le fruit de plusieurs années de développement et d’investissement. Plus de cent ans d’histoire Le premier parcours de golf du Maroc a vu le jour en 1914. Il s’agit du Royal Golf du Tanger. Plus tard en 1930, le Royal Golf Mohammedia, un nouveau parcours inspiré de la tradition écossaise a été créé. Le troisième parcours, celui du Royal Golf de Marrakech a ouvert ses portes 3 ans après. Mais le succès du golf marocain n’arrive qu’en 1971, sous le règne du roi Hassan-II. Passionné de golf, il crée un parcours de 45 trous, le plus grand du pays avec l’aide du célèbre architecte Robert Trent Jones Senior. La naissance du parcours Royal Golf Dar Es Salam accompagné du lancement du Trophée Hassan-II donne un vrai coup de pouce au golf marocain. Depuis, les parcours de golf, tous aussi prestigieux les uns que les autres ne cessent de se multiplier au Maroc pour en faire une destination golfique reconnue sur la scène internationale. Aujourd’hui, amateurs et golfeurs professionnels peuvent pratiquer leur sport favori dans le décor idyllique des paysages marocains. Le royaume possède plus de 40 parcours de grande qualité qui s’étendent du nord au sud du pays. Afin de perpétuer la tradition et la passion du golf héritées des souverains marocains, l’accès au golf est aujourd’hui gratuit pendant le tournoi Hassan-II. La fédération royale de golf ambitionne en effet d’élargir la base des pratiquants pour toucher tout le public quel que soit son statut social. Un produit phare du tourisme marocain Bien que la majeure partie des touristes choisissent encore le Maroc pour découvrir les villes anciennes, le golf est aussi devenu une importante source de revenus pour le secteur touristique. En effet, le Trophée Hassan-II étant inscrit dans l’European Tour, les parcours marocains sont mis sous les projecteurs et attirent de plus en plus les golfeurs d’Europe et d’autres pays. Près de la France d’où viennent 20% de ses touristes, le Maroc est la destination golfique privilégiée des français. Outre la proximité du Maroc, le choix des golfeurs est également motivé par l’existence de professionnels des séjours golf comme Parcours & Voyages. Par ailleurs, la création de parcours d’exception à travers le pays vise justement à développer le secteur touristique marocain, les golfeurs étant plus rémunérateurs que les touristes normaux. Il faut noter que les parcours de golf se développent autour d’infrastructures haut de gamme tels les resorts, les académies et les spas. Au Maroc, les emplacements de ces infrastructures permettent aussi de découvrir la richesse naturelle, culturelle et historique du pays. Les principaux parcours golfiques du Maroc Les parcours de golf du Maroc sont installés dans 7 régions aux climats et aux paysages différents. Celle de Marrakech accueille le plus grand nombre de parcours dont le plus connu est celui du Royal Golf de Marrakech. On y compte 12 parcours de 9 à 36 trous adaptés à tous les niveaux. La région d’Agadir quant à elle est marquée par des parcours de renommée internationale étendus sur une belle station balnéaire ensoleillée 300 jours par an. Dans la région de Rabat se trouve le fameux parcours Royal Golf Dar Es Salam, le premier 45 trous qui accueille le tournoi international Hassan-II. Il s’étend sur 440 hectares au cœur d’une nature luxuriante. La côte de Casablanca regroupe également un grand nombre de parcours dont celui du Royal Golf El Jadida, œuvre de l’architecte Cabell B. Robinson. Si vous cherchez un parcours de golf non loin du cœur historique du Maroc, vous pouvez choisir entre ceux de Fès, Meknès et Ifrane. Pour ceux qui veulent découvrir le premier golf du Maroc, le Royal Golf Tanger a su garder son authenticité même après la rénovation. Vous trouverez également dans la région l’un des parcours les ...
Tel un chef d’orchestre, Arnaud Donckele dirige une équipe de choc composée de 21 passionnés tous aussi doués les uns que les autres. Thierry Di Tullio, le directeur du restaurant La Vague d’Or ; il a été récemment élu « Meilleur directeur de salle de l’année 2016 » par le guide Gault & Millau. Avec lui, le chef sommelier Franck Perroud élabore les meilleurs accords pour sublimer les créations culinaires du chef. En cuisine, aux côtés d’Arnaud Donckele, le chef pâtissier Guillaume Godin s’occupe de ravir les palais avec ses desserts gourmands et raffinés. Arnaud Donckele, artisan du goût Si la cuisine était une musique, alors Arnaud Donckele, chef du restaurant La Vague d’Or, serait tout simplement Mozart. Petit-fils d’agriculteurs, ce prodige de la cuisine a fait ses armes auprès des plus grands noms de la cuisine française, comme Michel Guérard, Alain Ducasse et Jean- Louis Nomicos, au Lasserre. En 2005, il décide de voler de ses propres ailes et débarque à La Vague d’Or, où carte blanche lui est donnée au regard de son parcours déjà impressionnant. D’une créativité sans limites et d’une grande rigueur au travail, il met en avant son amour pour la cuisine provençale et méditerranéenne. La consécration est indiscutable et ne tarde pas à venir. En 2013, il est couronné de trois étoiles au Guide Michelin, ce qui fait de lui le plus jeune chef étoilé en France à 35 ans. En 2016, c’est au tour du guide Gault & Millau de lui décerner 5 toques. Cuisinier hors pair, Arnaud Donckele s’essaye aussi à la littérature. À l’instar de son ancien mentor Alain Ducasse, il a édité un Best of (Éd. Alain Ducasse, 2015) de ses 11 meilleures recettes ainsi que l’ouvrage Ma Provence (Flammarion, 2015), dans lequel 60 recettes typiquesde la Provence sont dévoilées. Une cuisine entre terre et mer À La Vague d’Or, une cuisine gastronomique issue du terroir provençal et méditerranéen est mise en avant. Les produits frais de saison, en provenance des petits producteurs du littoral varois, y sont privilégiés. Arnaud Donckele met à contribution avec raffinement les herbes de Provence pour illuminer ses plats, à l’image de sa « pâte Zitone », délicatement fourrée de truffe noire et de foie gras avec l’artichaut violet en trois textures, rehaussé de basilic. Le chef affectionne particulièrement les alliances, parfois insolites et audacieuses, cuisinées avec subtilité, tel le homard combiné avec la truffe noire de Carpentras. La cuisine de La Vague d’Or, c’est aussi une valse entre terre et mer, à l’exemple du râble de lapin roulé au lard paysan « façon Claudette » et homard bleu. Pour aller à la découverte du pays des délices d’Arnaud Donckele, trois menus sont proposés. En quatre actes, « L’escapade gourmande » retrace l’identité des plats tirés de la bouillabaisse, fondement de la cuisine provençale. « Au fil du temps », décliné en cinq actes, est la composition des plats traditionnels et des plats modernes mise en harmonie. La formule en huit actes de la « Balade épicurienne » propose de faire découvrir la philosophie culinaire de la maison. Quant à la carte de La Vague d’Or, elle est une invitation au voyage entre terre et mer... ou les deux. Ainsi, on se plaira à déguster les « langoustines vivifiées au pamplemousse en deux séquences », suivies d’un « mignon de veau à la mode carqueirannaise », pour terminer en beauté avec le « feuille à feuille aux dix agrumes ». ...