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© Charlotte Lindet
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Interview avec Cyril Lignac
Chef du restaurant Le Quinzième



Restaurant
1 étoile au Guide Michelin
situé à Paris
Région Île-de-france

Dans votre restaurant Le Quinzième, comment définissez-vous votre cuisine ?

Cyril Lignac La cuisine du Quinzième a évolué. Depuis la 1ère étoile Michelin en 2012, j’écris petit à petit une nouvelle histoire : la mienne. Entre techniques françaises et produits d’ailleurs se dessinent des assiettes lisibles, gourmandes, plus personnelles encore, dont le seul but est de donner du plaisir.

Quels sont vos plats « signature » ?

CL J’aime que les choses évoluent, que les recettes grandissent, je n’ai ainsi pas vraiment de plat signature. Malgré tout, je garde parfois longtemps à la carte certaines recettes que je trouve vraiment abouties, comme la Langoustine grillée et tartare avec son dashi en émulsion.

Avec quels produits aimez-vous travailler ?

CL J’aime travailler les champignons rosés de Saint-Ouen l’Aumône, l’agneau de lait du Pays Basque, la lotte de Roscoff, le citron feuille de Menton... autant de produits identitaires que j’ai pris soin d’étudier du sol aux étals. Une condition nécessaire pour les cuisiner au mieux.
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D'après la célèbre devise de Prosper Montagné "On ne fait du bon qu'avec du très bon", pouvez-vous nous révéler deux ou trois de vos adresses gourmandes. Vos producteurs et produits préférés sur votre région ou ailleurs (vins, produits frais, ou autres...)

CL J’ai à coeur de mettre en valeur le meilleur des produits du terroir et de sublimer le travail des petits producteurs et artisans. Je travaille notamment avec Véronique et Didier Grandvillain pour les volailles, avec le fromager Bernard Antony ou encore avec Alexandre Drouard de Terroirs d’Avenir.

Quelles émotions avez-vous ressenties lors de la remise des étoiles du Guide Michelin ?

CL Un grand bonheur et une grande fierté pour l’équipe bien sûr !
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Quel est l’un de vos plats préférés ?

CL Une belle côte de bœuf-aligot, clin d’oeil à mes racines aveyronnaises.

Au-delà de votre restaurant étoilé, vous êtes à la tête de 3 autres restaurants et de 7 boutiques La Pâtisserie & La Chocolaterie. Vos établissements ont-ils une identité commune ?

CL On retrouve ma personnalité dans chacun de mes établissements. Que ce soit pour les restaurants, les pâtisseries ou les chocolateries, j’ai imaginé avec mes équipes des créations qui me ressemblent, autour de saveurs que j’affectionne. Néanmoins, chacun d’eux a sa propre identité, son univers.
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Avez-vous prévu de prochaines ouvertures de restaurants ?

CL Pas d’ouverture prochainement mais nous avons fermé notre bistrot du 11ème arrondissement, Le Chardenoux, il y a quelques semaines pour lui refaire une petite beauté. Il ré-ouvrira bientôt avec une nouvelle identité, une nouvelle carte, une nouvelle ambiance.
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Quelle est votre actualité sucrée ?

CL Nous venons de lancer notre Collection Printemps-Eté à La Pâtisserie. Parmi les créations, on retrouve la Charlotte aux fraises, la Tarte Fraise et la Tarte Framboise. Côté cacaoté, l’irrésistible Brioche Gianduja fait son come-back à La Chocolaterie.
Adresse | Contacts utiles
image-prop-contact-le-quinzieme Le Quinzième 14 rue Cauchy
75015 Paris

Récompenses
1 étoile au Michelin

Le Quinzième : les avis

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L’Institut culturel basque encourage le développement de la culture basque.

L’Institut culturel basque invite les associations à rejoindre le mouvement afin de bâtir des projets culturels autour de la culture basque. Présentation de l’Institut L’Institut culturel basque (ou ICB) a été créé en 1990 avec le soutien de l’Etat, du Conseil Régional de Nouvelle-Aquitaine, du Département des Pyrénées-Atlantiques et du Syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque (devenu aujourd’hui Communauté d’Agglomération du Pays Basque), et de ses 160 associations membres. Situé au Château Lota à Ustaritz, près de Bayonne, le but premier de l’ICB, depuis plus de 25 ans, est de favoriser la création de projets créatifs en lien avec la culture basque, de faciliter leur diffusion et de sauvegarder le patrimoine culturel immatériel de cette culture si riche. Mais ce n’est pas tout. Car l’Institut est aussi un organe de recherches et d’échanges culturels travaillant sur la meilleure façon de transmettre la langue et la culture basques. À ce titre, l’ICB développe ses projets pluriannuels sur des thématiques comme le chant, la musique, ou encore la danse basque. Ainsi, en plus d’aider à mettre en œuvre de nombreux événements culturels, l’ICB possède un site portail qui évolue régulièrement et qui se transforme, au fil du temps, en un véritable espace multimédia dédié à la diffusion de la culture basque. L’Institut culturel basque : ethnopôle depuis 2017 L’année 2017 a été importante pour l’ICB, car c’est la date où il a été labellisé ethnopôle, en partenariat avec l’École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS). 9e ethnopôle national et deuxième de la région Nouvelle-Aquitaine, à travers une convention signée avec le Ministère de la Culture et l’EHESS, l’ICB s’engage pour 4 ans à travailler sur le patrimoine et la création, sur l’oralité, sur la valorisation des ressources numériques liées à la culture basque et sur les pluralités linguistiques. Tout cela s’intégrant au sein d’un programme de recherche, de diffusion pluriannuelle et de formation.  De ce fait, il s’occupe de collecter et sauvegarder tous documents vidéos et audios basques par le biais du programme Eleketa (collecte de plus de 300 témoignages filmés) tout en travaillant sur le traitement des fonds sonores et audiovisuels basques numérisés par le service Archives du département des Pyrénées-Atlantiques. Cela lui a permis de devenir une véritable référence dans le domaine du patrimoine oral de la culture basque. Autre sujet important pour l’ICB : faire le lien avec la création contemporaine. Le centre en vient ainsi à s’interroger sur les enjeux de la création culturelle au Pays basque. Pour cela, il engage des débats sur les réalisations traditionnelles et modernes des artistes actuels par le biais de journées associant travaux de groupe, témoignages, échanges et conférences. L’ICB est donc aussi un véritable laboratoire de la mémoire et de la création. ...

La Communauté d’Agglomération Maubeuge-Val de Sambre est prête à accueillir de nouvelles entreprises

Vous cherchez un lieu pour vous implanter ou pour développer votre activité ? La CAMVS (Communauté d’Agglomération Maubeuge Val de Sambre) possède de véritables atouts dont les entreprises de tout secteur peuvent bénéficier. Le Pôle Economique, le guichet unique des entreprises Un chef d’entreprise qui souhaite faire prospérer son activité se heurte parfois à de véritables murs au niveau administratif et financier. Il est, en effet, courant que les entrepreneurs se trouvent dépassés par une méconnaissance des formalités administratives. Cela les empêche d’obtenir les aides économiques auxquels ils peuvent prétendre. C’est pourquoi l’Agglomération a ouvert un guichet unique destiné à toutes les entreprises déjà implantées ou qui souhaitent venir s’installer sur le territoire. Ainsi, parce que la loi NOTRe retire au département la gestion de l’immobilier d’entreprise, l’agglomération a décidé d’acquérir le bâtiment de la Petite-Savate (ancienne ruche d’entreprises dont le coût d’achat équivaut à 1,067 millions d’euros). Cela pour assurer la continuité du service d’hébergement d’entreprises et pour créer un pôle économique ; vitrine entièrement dévolue au développement économique des entreprises du territoire. Que vous soyez en phase de création de projets (déjà implantés sur le territoire ou non) ou en développement de votre activité, votre interlocuteur unique répond à toutes vos questions ou vous transfère vers la personne ou le service adéquat. Les raisons de contacter ce guichet unique sont multiples : - Vous voulez trouver un terrain pour vous implanter ; - Vous possédez déjà une entreprise sur le territoire et vous souhaitez vous étendre ; - Vous cherchez des informations sur différentes notions liées à votre secteur d’activité ; - Vous voulez faire progresser votre business grâce aux aides proposées par la Région ; - Vous souhaitez être mis en relation avec une structure précise ; - Etc. Grâce à l’ouverture de ce Pôle Economique dédié aux entrepreneurs, vous profitez d’un guichet unique et d’un service de développement économique performant qui vous fait gagner un temps précieux tout en vous permettant de vous concentrer sur votre activité. Le Pôle Numérique, un atout pour l’innovation Parce que le numérique constitue un véritable levier de développement économique, la Communauté d’Agglomération Maubeuge-Val de Sambre a décidé de créer en 2018 son Pôle Numérique. Se présentant comme un espace dédié à la création de nouveaux services et à l’innovation, elle invite les étudiants, les indépendants et les entreprises à se rencontrer, à échanger et à collaborer afin de mutualiser leurs savoir-faire. De plus, elle met un point d’honneur à mettre en place un pôle d’excellence en matière de sécurisation des systèmes d’information et des objets connectés. En effet, que vous soyez un artisan, une TPE/PME, un indépendant ou un étudiant, vous devez savoir que toutes les structures peuvent être sujettes au piratage informatique. Vous n’avez pas besoin d’être une multinationale pour craindre pour vos données. C’est pourquoi l’Agence du Numérique invite les acteurs économiques à se connecter entre eux et à prendre part à différents projets liés à la sécurisation de leurs données numériques. Au sein des 350 m² mis à la disposition des étudiants, des porteurs de projets et des entreprises, vous découvrez un espace de coworking, un univers start-up ainsi qu’un hackerspace. Ce dernier lieu étant défini comme un centre de tests, de veille et de transferts technologiques servant à développer de nouveaux outils de cyberdéfense performants et innovants afin d’assurer la sécurité des systèmes industriels. Sans oublier une pièce de détente, un espace-conférence, une salle de réunions ainsi qu’un Fablab (avec possibilit&e...

Domaine Ernest Burn-Clos Saint-Imer :
la richesse des vins d’Alsace

Propriété de Francis Burn, le Clos Saint-Imer fait partie intégrante du Domaine Ernest Burn, qui lui-même est inclus au sein du village de Gueberschwihr. Terre de prédilection pour les sept cépages nobles alsaciens, ce village est reconnu depuis plusieurs siècles pour l’excellence de ses vins. Ernest Burn, précurseur du domaine Terroir de premier choix pour les grands vins avec son sol calcaire et sa forte pente, les villageois de Gueberschwihr commencèrent à défricher la colline à partir du VIIe siècle, sous l’impulsion de son protecteur Saint-Imer. Toutefois, suite à la Révolution qui morcela ces terres, au phylloxera qui décima les plantations et aux difficultés d’exploitation, la viticulture fut abandonnée sur cette colline à la fin du XIXe siècle. Ernest Burn, issu d’une très longue lignée de vignerons et conscient de l’énorme potentiel de ce terroir, s’attela à partir de 1934 à le faire renaître de ses cendres. Il releva les murs de pierres, rouvrit les chemins et replanta les parcelles qu’il acquit au fur et à mesure. Son nom est resté attaché au domaine qu’il a transmis à ses enfants. Son fils Francis continue son œuvre et exploite avec passion ce vignoble tant réputé. Le Clos Saint-Imer Juché à 330 mètres d’altitude au nord du village de Gueberschwihr, le Clos Saint-Imer occupe cinq hectares d’un seul tenant au lieu-dit Grand Cru Goldert. Son terroir calcaire est propice aux cépages nobles alsaciens, en particulier le Gewurztraminer et le Muscat d’Alsace. Cette particularité lui a d’ailleurs valu le surnom d’ « aristocrate du vignoble alsacien ». Imposé par la forte déclivité du terrain (jusqu’à 60% de pente en certains endroits) mais aussi dans un souci de préservation de la nature, les vignes y sont travaillées à la manière traditionnelle. « Nous travaillons surtout à l’ancienne, tout est manuel. » explique Francis Burn. Et lui de poursuivre : « depuis toujours, les insecticides sont bannis de ce clos afin de respecter un type d’agriculture raisonnée, voire au-delà. Des vins riches et fruités Avec ses dix hectares en tout, dont cinq pour le Clos Saint-Imer, le Domaine Ernest Burn produit annuellement quarante-mille bouteilles, déclinées en une quinzaine de vins différents. « Nous ne commercialisons que des vins mûrs, qui ont entre trois et quatre ans, élevés trois ans minimum avant d’être mis en bouteille. Nos vins sont très riches, fruités…» précise Francis. Le « Clos Saint-Imer - Muscat Vendanges Tardives » 2007, AOC Alsace Grand Cru Goldert illustre la richesse des vins issus de ce clos. Composé de Muscat à 100% récolté en surmaturité, il présente une robe jaune doré, aux reflets cuivrés. Son nez ouvert et complexe, offre un mélange d’arômes de rose, d’abricot, de miel et d’épices. Equilibré et structuré, cette cuvée est à réserver pour les occasions particulières, et s’accompagne d’un roquefort ou d’une mousse au chocolat. A l’instar du Muscat, le « Clos Saint-Imer - Gewurztraminer Vendanges Tardives » 2011 AOC Grand Cru Goldert est également un grand vin de garde qui peut se bonifier jusqu’à quinze ans en cave. La finesse de sa sucrosité permet à ce vin moelleux des accords gourmands. Présenté en coffret de bois, il s’offre en cadeau aux amateurs de grands vins. ...

Festival « Musicales Guil Durance » : l’événement estival incontournable des Hautes-Alpes

Créé en 1992, les « Musicales Guil Durance » rassemble chaque année, entre juillet et août, de nombreux artistes de renommée nationale et internationale. Le festival aborde principalement la musique classique mais reste ouvert à d’autres styles musicaux. Pour les artistes locaux, il s’agit d’un véritable tremplin pour se faire connaître du grand public. « Dans nos musicales 2018, nous allons mettre en valeur de jeunes musiciens de la région », explique Patrick Pichard, vice-président de l'association Arts et Musiques en Montagne (AMM). Pour l’année 2018, cet événement entre dans sa 27e édition et l’équipe organisatrice a concocté un programme alléchant qui ravira à coup sûr les mélomanes. Tout sur l’édition 2018 Pour cette 27e édition, dix concerts figurent au programme ! Du 24 juillet au 6 août 2018, place à une véritable rencontre d’amitié et des découvertes variées autour de la musique ! Cette année encore, le festival va se dérouler dans des lieux d’exception. « Depuis 2017, nous avons la chance d’être en partenariat avec le Centre des monuments nationaux et nous faisons notre festival au sein du site de l’arsenal de Mont-Dauphin, classé patrimoine de l’Unesco », souligne le vice-président de l’AMM. Au menu de cette nouvelle édition figure un concert de flûte à bec, une chorale polonaise ( choeurs lauréats de Vaison-la-Romaine), de la musique flamenco, un quintette à vent (une formation régionale), un concert de piano avec François René Duchâble et un autre avec Jean-Philipe Collard, le quatuor Debussy, un concert de jazz avec le trio dénommé Un Poco Loco, et enfin un récital de musique espagnole. ...

Lapierre Traiteur : l’art du service

Un savoir-faire et une passion familiale C’est à la fin des années 70 que l’entreprise voit le jour à l’initiative de Clément Lapierre. Fort d’une expérience auprès de chefs de plusieurs restaurants étoilés, il fonde avec son épouse la maison Lapierre Traiteur. Ce n’est alors qu‘une simple maison artisanale, comme on en compte tant dans la région. « On avait de vieux locaux qui ont été agrandis au fil des années. En 2007, avec toute mon équipe, on a déménagé dans nos nouveaux bâtiments dans lesquelles nous avons installé notre laboratoire de cuisine », nous explique au téléphone Fabien Lapierre, fils du fondateur de la maison et actuel dirigeant de l’entreprise. Avant d’exercer ses talents derrière les fourneaux de l’entreprise familiale, le jeune chef est allé se former longtemps au Meurice et au Georges V. Une étape a été franchie dans la vie de l’entreprise en 2007, avec l’acquisition de plus de 1 100 m2 en Plaine-Saint-Denis où il a installé sa batterie de cuisine de dernière génération répondant aux normes sanitaires européennes (CE). C’est de là que partent chaque jour les centaines de macarons et de petits canapés qui ont sublimé plusieurs générations de papilles, forgeant à chaque bouchée un peu plus la réputation de cette maison. Une carte d’exception pour tous les types d’événements Tout commence par un entretien avec le client pour bien cerner ses attentes, pour trouver avec lui l’axe nutritionnel de son repas. Selon les besoins, Lapierre Traiteur va proposer un repas sans sel ou sans gluten, avec ou sans crustacés, toujours en gardant à l’esprit le budget que le client souhaite allouer à cette prestation.« On accompagne entre 10 et 30 événements par jour tout au long de l’année. D’une commande de quatre plateaux-repas à l’organisation d’une réception de 200 personnes avec un cocktail dînatoire, on apporte toujours le même soin dans la finition de nos repas », explique Fabien Lapierre. Tout le monde fait très attention à son budget, particuliers comme professionnels. Pour proposer à tous une offre abordable et de grande qualité, Lapierre Traiteur choisit de ne travailler qu’avec des produits simples, de saison, obtenus auprès d’un réseau fidèle de distributeurs et fabrique 90 % de ses produits distribués. Un service de livraison de plateaux-repas C’est une tendance : les grandes entreprises délaissent de plus la restauration « classique » pour l’organisation de la pause déjeuner de leurs collaborateurs. Trop long, trop fastidieux, pas adapté à un monde qui bouge vite.  Pour ceux qui mangent au bureau lors de réunions d’affaires, Lapierre traiteur propose un service de livraison de plateaux-repas. Pour à peine plus d’une dizaine d’euros, on choisit parmi une gamme de six plateaux-repas qui satisferont tous les goûts. Bio, végétariens, sans gluten ou composés à base de produits de saisons, ils viennent toujours accompagnés d’un fromage et d’un dessert afin de transformer une banale « pause déj. » en un moment sain et convivial. ...

Choisir de voyager avec Alitalia, c’est privilégier la sécurité et le confort avant tout.

Que vous soyez adepte de tourisme ou de voyage d’affaires, Alitalia vous permet de voler en toute sérénité. Alitalia : la compagnie italienne qui prend soin de ses passagers La première chose qui frappe lorsque l’on s’installe dans un avion Alitalia, c’est le style italien qui se dégage de l’appareil. Que ce soit au niveau de l’élégance, du confort ou du personnel de bord, chaque détail compte. Cela se ressent même dans la qualité de la cuisine en vols long-courrier avec des plats s’inspirant des traditions culinaires italiennes et une sélection de vins en partenariat avec la fondation des sommeliers italiens. La compagnie a d’ailleurs obtenu pour la huitième année consécutive le prix de « La meilleure cuisine à bord ». Plus de 22 000 grands voyageurs ont été consultés par le prestigieux mensuel américain "Global Traveller", qui a décerné à la compagnie italienne le titre de "Best Airline Cuisine" 2017. Vous l’avez compris : il est toujours agréable de voyager à l’intérieur d’un avion Alitalia. Les appareils, d’ailleurs, parlons-en. Concernant les vols long-courriers, l’entreprise dispose d’Airbus 330 et de Boeing B777. Ces deux modèles d’avion proposent 3 classes de voyage : Magnifica, Premium Economy et Economy (seuls 2 Airbus A330 ne disposent pas de Premium Economy). Pour les vols moyen-courriers, à bord des Airbus 321, 320 ou 319 il est possible de choisir la Business Class medium - haul qui offre de nombreux services dédiés pour un voyage tout confort. Pour voyager à prix avantageux sans renoncer au confort, la classe Economy offre avantages et services personnalises pour tous types de voyages. À noter : la compagnie aérienne fait de grands efforts pour améliorer sa ponctualité au fil des années. Ainsi, en février elle enregistre un taux de vols atterris à l’heure de 87,79%. Ce qui fait d’Alitalia la deuxième compagnie au monde pour la ponctualité et la première en Europe. Le sondage a été publié par FlightStats, une société américaine indépendante faisant autorité, qui dresse le classement des compagnies aériennes chaque mois pour la ponctualité. Le chiffre de février suit le record de janvier, Alitalia étant la première compagnie aérienne au monde à arriver à l'heure avec 91,89% des vols atterrissant à temps. Finalement, Alitalia offre aussi un programme de fidélisation MilleMiglia qui permet aux voyageurs de cumuler des miles servant à acheter des billets ou des services additionnels avant ou pendant le vol. Plus de 70 destinations au départ de France ou d’Italie Quels que soient vos envies et besoins, vous pouvez faire confiance à Alitalia pour voyager à l’autre bout du monde en toute sécurité. Concernant les aéroports français, si vous souhaitez partir de Paris-CDG, il est possible de vous rendre à Rome ou à Milan-Linate (4 vols directs par jour). Par contre, si vous préférez partir de Paris Orly, sachez que vous avez la possibilité d’embarquer dans un des 4 vols quotidiens à destination de Milan-Linate. Des vols quotidiens Nice-Rome et Marseille-Rome sont aussi proposés auxquels s’ajoutent les vols réguliers Toulouse-Rome. Une fois à Rome, sachez qu’il est possible de se rendre à Johannesburg, New Delhi, Malé, Los Angeles, Mexico City, Santiago du Chili, Séoul, Tokyo (possibilité de partir aussi de Milan), Sao Paulo, Rio de Janeiro, Buenos Aires, Téhéran, New York (possibilité de partir de Milan), Boston ou Miami. À partir d’octobre 2018, il sera aussi possible de se rendre à l’ile Maurice. À savoir : pendant votre escale à Rome, vous pouvez vous détendre au sein du salon Casa Alitalia. Grâce à l'attention portée aux détails et à l'accueil chaleureux donné aux visiteurs, vous profitez d’un moment agréable avec la possibilité de vous restaurer, de vous relaxer ou d’organiser des réunions de travail. Le service de restauration s'inspire de l'excellence gastronomique de l'Italie et est doté d'une cuisine ouverte où le chef prépare devant vous des menus à base de pâtes ou des pizzas. Comme si vous étiez dans une véritab...

L’Espace Vitalité Chenot à Marrakech :
un spa d’excellence !

Rêve de détente qui devient réalité à Marrakech, plus belle ville touristique au monde ! Connue comme la perle du sud, la ville ocre est sans aucun doute un havre de paix exotique d’exception. Des soins novateurs selon la méthode Chenot A l’hôtel Selman Marrakech, L’Espace Vitalité Chenot propose des soins novateurs selon la Méthode Chenot, un concept de santé personnalisé, notamment d’antivieillissement de la peau basé sur la biontologie. La Méthode Chenot inspirée de la médecine chinoise doit sa réussite au mérite et à l’excellence. En plus des séances de sport, un programme nutritionnel appelé Biolight est associé à chaque type de cure allant de 3 à 7 jours permettant ainsi au patient de perdre du poids (4 à 5 minimum et 5 à 6 maximum sur une semaine).  Thérapeutes qualifiés et formés à la Méthode Chenot Au programme, des thérapies qui garantissent l’efficacité, le professionnalisme et la qualité des soins. Organisé par départements, Le spa Chenot à Marrakech compte des thérapeutes qualifiés et formés à la Méthode Chenot. Ils veillent à l’excellence des thérapies personnalisées. Ils mettent un point d’honneur à offrir des traitements individualisés, associés à une expérience unique. Le tout, dans un cadre idyllique, idéal pour la détente et le bien-être. ...

Champagne Lacuisse : premier cru du terroir de Sermiers

Plus qu’une passion et une tradition, la viticulture est un véritable héritage familial chez les Lacuisse depuis des générations, puisque « notre grand-père, Julien Lacuisse, exploitait déjà des vignes avant les années 60 », souligne Christian Lacuisse, actuel Président de la SAS. L’entreprise familiale commence l’exploitation du champagne à partir de 1966 suite à l’initiative de deux descendants de Julien Lacuisse. « Nos cuvées sont actuellement classées premier cru et sont élaborées selon les normes de la viticulture raisonnée pour limiter les impacts sur l’environnement », poursuit notre interlocuteur. Pour le plaisir des amateurs de grands crus, la maison propose sept variétés de cuvées, à déguster au sein du domaine dans un cadre convivial et chaleureux. Un domaine coopérateur en plein essor Installé dans le village de Sermiers, à quelques minutes de Reims et d’Épernay, le domaine Lacuisse fait partie intégrante du terroir champenois. Il dispose d’un vaste vignoble qui s’étend sur 17 hectares où trois types de cépages sont cultivés, dont 70 % de pinot meunier, 15 % de pinot noir et 15 % de chardonnay. Le sous-sol de celui-ci, riche en calcaire, est essentiellement composé d’argile, de sables siliceux et de marnes, permettant ainsi aux cépages d’exprimer nettement leurs arômes et saveurs. La maison a une capacité de production annuelle de 150 000 bouteilles, dont 45 000 vendues en étiquette terminée. Pour obtenir ce résultat, le processus de fabrication se déroule en deux temps : le pressurage, la vinification, l'assemblage et la mise en bouteille des cuvées s’effectuent avec des coopérateurs locaux, tandis que les travaux comme le remuage, le dégorgement et l’ajout de la liqueur finale s’effectuent au sein de la propriété, « ce qui fait de nous un domaine coopérateur », explique le propriétaire. Une gamme de cuvées à la hauteur de toutes les attentes Qu’il s’agisse de célébrer un grand événement ou une simple réception, la maison Lacuisse propose sept variétés de cuvées qui ravissent les papilles. Dans la catégorie des entrées de gamme figure la cuvée Tradition qui a obtenu la médaille d'argent au dernier concours International des vins de Lyon, composée de 70 % de pinot meunier, 20 % de pinot noir et 10 % de chardonnay. Intense et aromatique en bouche, elle se déguste à l’apéritif ou en accompagnement de fruits secs exotiques et « représente l’encépagement de notre propriété enregistrant une vente annuelle de 20 000 bouteilles », nous fait savoir Christian. Parmi les cuvées emblématiques du domaine se démarquent la cuvée spéciale, la cuvée millésime, mais surtout « la cuvée du cosson qui a obtenu la médaille d’argent au concours agricole de Paris cette année », précise notre interlocuteur. Cette dernière est obtenue par assemblage de 70 % de chardonnay et 30 % de pinot noir uniquement, contrairement aux cuvées demi-sec (encépagement identique à la cuvée tradition) et grande réserve qui, elle, est constituée de 50 % de chardonnay, 25 % de pinot noir et 25 % de pinot meunier. ...

Le château de Montvillargenne, des instants bien-être pour tous

Un parcours riche en rebondissements anime ce château appartenant à l’origine à la famille de Rothschild. Il sert d’abri aux Allemands durant la Deuxième Guerre mondiale, puis devient le couvent du Sacré-Cœur de Jésus. En 1969, cet établissement de charme est animé par des cours d’art. Le concept de château-hôtel naît en 1985. Vacanciers et voyageurs d’affaires apprécient cet endroit au cadre verdoyant, un endroit perdu à quelques kilomètres seulement de la capitale française et de l’aéroport Roissy-Charles de Gaulle. Luxe et confort vont de pair avec bien-être et détente Outre les chambres de haut standing et le restaurant gastronomique, le plus beau château-hôtel de France a toutes les cartes pour permettre au corps et à l’esprit de se relaxer et de s’évader. Les clients qui passent un séjour dans l’établissement apprécieront l’espace bien-être proposant un décor propice à la détente. Les lieux sont pourvus d’une piscine intérieure chauffée, accessible aux clients de l’hôtel. Un sauna et un hammam sont également proposés et procurent relaxation et vitalité. Pour aller plus loin dans votre quête d’évasion, laissez-vous tenter par un voyage sensoriel à travers les soins de modelage réalisés par une équipe de professionnels. Toujours en effervescence pour innover et satisfaire la clientèle, le château met au point une nouvelle carte modelage qui est personnalisée. Le corps et l’esprit se retrouvent dans un univers aux senteurs divines, au décor original et surtout avec des soins haut de gamme. Une seconde jeunesse pour les seniors, une petite échappatoire du train-train quotidien pour les autres, une occasion de changer de décor pour les jeunes et des moments magiques pour les petits. Du sport pour tout objectif physique La salle de fitness est dirigée par des coachs sportifs qualifiés qui restent à l’écoute pour mieux élaborer les programmes sportifs en adéquation aux attentes de tout un chacun sur rendez-vous : remise en forme, modelage de silhouette... Ils organisent à la demande des cours de fitness, de yoga et de pilates, individuels ou en groupe. Adieu toxines et stress, place à la tonification et à la détente. Éveil des sens, décor de prestige, senteurs enivrantes, soins personnalisés, ambiance sereine et conviviale… Le nec plus ultra ! ...

La Grande Épicerie de Paris : le laboratoire gourmet du monde

Ce n’est un secret pour personne : La Grande Épicerie de Paris est un lieu incontournable de la gastronomie. Depuis novembre 2017, l’enseigne historique de la Rive Gauche a traversé la Seine et ouvert un nouveau magasin rue de Passy, dans le 16ème arrondissement. La Grande Épicerie de Paris : lieu de vie et de passion Rive Gauche comme Rive Droite, les rayons de La Grande Epicerie de Paris mettent à l’honneur une vaste sélection de saveurs d’ici et d’ailleurs : épicerie (thé, café, huile, pâtes, confiture etc.), produits frais (fromage, charcuterie, poissonnerie, boucherie etc.), références d’exception (caviar, foie gras ou truffe), cave (vins et spiritueux du monde),  sans oublier la pâtisserie, la boulangerie et le traiteur dont les créations sont réalisées chaque jour par une centaine d’artisans passionnés dans les laboratoires, sous le magasin rue de Sèvres. Pour satisfaire tous les gourmets, La Grande Épicerie de Paris accorde une grande importance à la sélection de ses produits. C’est dans ce but qu’une équipe d’experts sillonne la France entière et le Monde à la rencontre des producteurs et artisans proposant les meilleurs produits mais aussi à la découverte d’innovations en tous genres dans le secteur de l’alimentaire : nouvelles textures, nouveaux ingrédients, packagings originaux, catégories de produits redynamisés,… La Grande Épicerie de Paris : une histoire à succès L’histoire de La Grande Épicerie de Paris débute en 1852. C’est à cette date qu’Aristide Boucicaut crée le premier grand magasin au monde : Le Bon Marché, où de nombreuses innovations virent le jour tels que la vente par correspondance, le blanc ou les soldes. Dès 1923, un « comptoir de l’alimentaire » est installé au sein du grand magasin et c’est en 1978 que La Grande Epicerie de Paris telle qu’on la connait aujourd’hui voit le jour. Depuis sa création, elle reste le lieu privilégié des gastronomes parisiens à la recherche de produits et d’expériences d’exception. Après un tour dans les rayons, chacun peut s’arrêter au choix sur l’un des comptoirs de dégustation essaimés dans les magasins (ibérique, thé et café, luxe et truffe entre autres) ou dans les restaurants : La Table de La Grande Epicerie (Rive Gauche) ou Le Rive Droite tenu par la chef Beatriz Gonzalez (rue de Passy). Lieu de découverte mais aussi de vie, La Grande Epicerie de Paris propose à ses clients une foule de services : de l’organisation d’événements, à la confection de corbeilles cadeaux sur mesure en passant par la livraison à domicile, le service voiturier ou la réservation de taxis. La Grande Épicerie de Paris sur le web La Grande Épicerie de Paris, ce ne sont pas seulement deux magasins dédiés à la gastronomie. C’est aussi un site internet complet et pratique qui met à disposition des internautes une vaste sélection de références livrables partout en France et en Europe et une multitude de recettes, tendances, d’informations sur les marques, les artisans et les savoir-faire. Prolongement de l’expérience en magasin, il regorge d’informations pratiques (plan, visite virtuelle, catalogue de produits) et de services complémentaires (demande de devis, privatisation du restaurant La Table…). ...

SL Consultant : le coaching professionnel pour optimiser la productivité en entreprise

Le monde des affaires étant de plus en plus complexe et stimulant, s’entourer de partenaires stratégiques contribue à promouvoir l’engagement, optimiser les processus et instaurer des relations positives pour augmenter les performances des équipes. SL Consultant accompagne les entreprises dans leurs changements en leur proposant un service de coaching chargé d’impulser la croissance individuelle et l’efficacité collective. Contribuer au développement des performances humaines Un coach professionnel a besoin d’avoir une expertise en dynamique d’entreprise et de comprendre les enjeux organisationnel et managériaux pour mieux appréhender les éléments systémiques et stratégiques. Sylvie Roche détient un socle de connaissances sur l’écosystème des organisations et du management grâce à ses nombreuses années d’expérience passées dans de grandes entreprises. Après avoir suivi plusieurs formations notamment d’ingénieur en ingénierie pédagogique, en leadership ou encore en conduite du changement et reçu une accréditation Insights Discovery et MBTI, elle élargit son champ de compétences par la maîtrise de plusieurs outils complémentaires : analyse transactionnelle, programmation neuro-linguistique, hypnose ericksonienne, etc. « Avoir différentes boîtes à outils est indispensable pour un coaching plus personnalisé. Une technique qui fonctionne pour une personne ne marchera pas forcément pour une autre face à la différence de contexte, de personnalité ou de problématique à résoudre », confie-t-elle. Elle complète son expertise grâce à une formation de coach professionnel. Aujourd’hui, elle met son savoir-faire au service des professionnels souhaitant entre autres profiter d’un coaching orienté solution. Sa spécialité ? L’accompagnement de personnes en situation de burn-out. ...

Ostéobio, École Supérieure d'Ostéopathie et de Biomécanique : pour une approche fonctionnelle, réaliste et pragmatique de l’ostéopathie

L’ostéopathie, une pratique reconnue et réglementée L’ostéopathie est une méthode thérapeutique qui permet, grâce à des manipulations et des mobilisations de venir à bout de problèmes « mécaniques » de blocage ou de perte de mobilité (lumbago, torticolis, entorses, etc.). Avec ses mains pour seuls outils, l’ostéopathe ne saurait, par conséquent, se substituer au médecin, ni au kinésithérapeute qui rééduque ses patients. Pour autant, il n’est pas nécessaire d’attendre d’être coincé ni de souffrir le martyr pour consulter un ostéopathe. En effet, l’ostéopathie a aussi un rôle préventif. Une autre particularité de cette méthode thérapeutique tient au fait qu’elle analyse le fonctionnement de l’individus et les interactions mécaniques de son environnement. Le praticien dressera alors un bilan complet afin de déterminer les facteurs de risques à l’origine de la douleur et pourra proposer des conseils personnalisés à son patient. À titre d’exemple, il peut arriver qu’une douleur lombaire soit la conséquence d’une mauvaise posture de travail. Et là où le médecin prescrira généralement des anti-inflammatoires, des analgésiques ou des décontractants, l’ostéopathe, quant à lui, travaillera donc sur les articulations lombaires de son patient pour le soulager mais il proposera également des conseils pour modifier les conditions de travailà l’origine de la douleur. Une approche biomécanique de l’ostéopathie Là où Ostéobio se distingue des autres établissements qui enseignent l’ostéopathie, c’est notamment du fait de la large part qu’elle accorde à la biomécanique dans son enseignement. « La biomécanique » explique Jean-Michel Robert, Responsable de la communication de l’école, « c’est l’étude des forces qui s’appliquent aux articulations et aux viscères. Et c’est précisément l’importance accordée à la biomécanique dans le cadre de la formation qu’elle dispense qui constitue la valeur ajoutée d’Ostéobio ». Créée en 1988, la plus ancienne école d'ostéopathie française en formation initiale a toujours fait de l’efficacité son maître-mot envisage donc l’ostéopathie comme une « application purement clinique et thérapeutique de la biomécanique ». La finalité de l’ostéopathie telle qu’elle est enseignée et pratiquée dans les locaux d’Ostéobio n’est donc pas de combattre le stress des patients mais bien de les soigner en traitant les troubles fonctionnels musculo-squelettiques (80 % des motifs de consultations en ostéopathie) dont la cause mécanique aura été diagnostiquée. « Certaines écoles d’ostéopathie sont davantage orientées vers le bien-être des patients. Leur enseignement diffère de celui d’Ostéobio car il y est question de fluides, d’énergies ou encore de sensations. Axée sur la biomécanique, à la fois pragmatique et scientifique, notre conception de l’ostéopathie, est au contraire tournée vers l’efficacité et le résultat. Chacune des techniques que nous utilisons a fait l’objet, au préalable, d’une validation scientifique. Elles sont donc toutes à l’épreuve de la réalité scientifique. La place prépondérante donnée à la pratique Riche de ses trente années d’expérience, Ostéobio associe systématiquement l’enseignement théorique à une pratique régulière des gestes et des techniques ostéopathiques. Car ce n’est qu’en répétant les mêmes gestes, encore et encore, et en les adaptant à des situations différentes, que les futurs ostéopathes les assimileront parfaitement. C’est la raison pour laquelle la formation proposée par Ostéobio comprend non seulement des bases théoriques solides mais aussi une mise en application systématique et progressive des connaissances. « Notre école combine une formation théorique de haut niveau a...

Domaine des Frontières : des vins d’artisan dans le Beaujolais

Le Domaine des Frontières est situé à Jullié, non loin de Mâcon dans le Rhône, qui est considéré comme l’un des plus anciens villages du Beaujolais tirant son nom de Jules César et ses légions qui s’y établirent autrefois. Il y travaille essentiellement l’AOC Juliénas réputée pour ses vins printaniers aux notes de fruits rouges, de pêche et d’arômes floraux et l’AOC Beaujolais-Villages s’illustrant pour ses crus de caractère, charpentés et colorés exprimant finesse et souplesse. Le gamay dans toute sa splendeur Le lancement du Domaine des Frontières est un véritable projet de vie pour Jérémy Thien qui quitte sa carrière dans l’administration pour se reconvertir en vigneron. Il crée l’exploitation familiale de toute pièce en faisant progressivement acquisition de parcelles aujourd’hui d’une superficie totale de 6 hectares. Son vignoble composé de vieilles vignes de 60 à 80 ans met à l’honneur le gamay, cépage phare du beaujolais. Les raisins expriment leur plus belle intensité sur ce terroir constitué de roches volcaniques anciennes. Tout est fait pour leur épanouissement. « Nous faisons un véritable travail d’artisan avec très peu de mécanisation », confie Jérémy. La certification HVE atteste de ce soin apporté à la vigne qui ne subit aucun traitement chimique agressif. Plusieurs cuvées pour les meilleurs moments de vie Sous le label Juliénas, le Domaine des Frontières propose deux crus atypiques à savoir La Cuvée Classique et la Cuvée Réservée. La Classique se veut solaire avec des arômes de poivre, d’épices, de fruits noirs, de cacao et de cuir noble. Élégante et intense à la fois, elle se sert avec des gibiers à plume, des viandes rouges, du bœuf bourguignon ou du magret de canard. La Cuvée Réservée est produite à partir d’une sélection parcellaire issue du lieu-dit Vayolette qui procure une finesse et une concentration exceptionnelles. Avec un potentiel de garde de 7 à 8 ans, ce 100 % gamay révèle un beau bouquet floral et fruité ainsi qu’une belle longueur en bouche. À accompagner avec des crustacés, du bœuf, de l’agneau ou du gibier. Quant au Beaujolais-Villages Vers le Château, il se veut plus fruité, rond et charmeur. Parfait pour les barbecues estivaux ou en apéritif avec un plateau de fromages et de charcuteries. ...

L’Assiette d’Arthur et Alex : le bon goût de la ferme à sa table

C’est souvent en étant privé d’une chose que l’on mesure sa vraie valeur. Le fondateur de la marque et son associé de cousin ont vécu cette expérience en s’éloignant de leur campagne d’origine pour faire leurs études. « C’est vraiment à ce moment-là qu’on a pris conscience de la chance qu’on avait […], de ce savoir-faire, de la gastronomie, de tous ces bons produits au final dont on peut bénéficier en France », nous confie Alexandre Nillès. Les deux comparses mûrissent alors l’idée d’un service faisant le trait d’union entre les producteurs du terroir et le consommateur épris de goûts authentiques. De la ferme à l’assiette Direct, simple, transparent, ce trépied de valeurs définit le concept de l’Assiette d’Arthur et Alex. Démarré avec les réseaux de relations des deux cousins, petits-fils de bouchers-charcutiers-traiteurs, le répertoire des producteurs associés à cette aventure s’est enrichi de fil en aiguille. « […] on a grandi en campagne, on a beaucoup d’amis producteurs, donc on s’est déjà inspiré de ce que l’on connaissait. » Cette connaissance profonde de leurs partenaires a ensuite aidé le duo d’entrepreneurs à définir les critères de sélection des nouveaux fournisseurs. Ceux-ci sont fédérés autour des mêmes valeurs de savoir-faire et de qualité pour proposer ensuite des produits 100 % français, parfaitement traçables. Ils assurent eux-mêmes la livraison de ces produits chez le client qui bénéficie, toute l’année, d’une fraîcheur garantie sur leur commande. L’interface de l’enseigne se veut ainsi  être le plus court chemin pour convier à sa table le meilleur des terroirs français. Du chapon en direct de la plaine de Bresse, du champignon du Périgord ou des terrines de la Bourgogne du Sud, le client peut sélectionner précisément ce qu’il souhaite faire venir et de quelle région. ...

Hôtel-restaurant Anthon : les merveilles d’une maison alsacienne à la façade ocre rouge 

Ancien relais de poste transformé en hôtel 3 étoiles, l’Anthon dispose de 13 chambres, équipée chacune d’une salle de bains privative. Les fenêtres ouvrent sur l’arrière-cour verdoyante et les massifs arborés. Une romantique gloriette se trouve dans le jardin, près du sauna. À quelques mètres des bois, des bulles transparentes permettent aux hôtes de dormir confortablement à la belle étoile. Le restaurant de l’hôtel, au rez-de-chaussée, inclut une spacieuse salle en rotonde et une terrasse. Les hôtes y sont marqués par l’accueil chaleureux du personnel, la compétence du sommelier Laurent Chiocca, et surtout, la créativité du chef Flaig. Georges Flaig et son génie de la précision Le jeune chef, Georges Flaig, s’est formé auprès des grands maîtres comme Loiseau et Westermann. Revenu à la maison, il succède à son arrière-arrière-grand-père aux fourneaux.Il fait la cuisine autrement, tout en apportant un air du Sud aux classiques du Grand Est. À chaque bouchée, les papilles reconnaissent les saveurs du terroir, avec cette touche « en plus » qui n’existe que chez Anthon. Il décrit son art comme « une cuisine avec des choses assez simples mais précises, bien travaillées avec des produits locaux ». Le carpaccio de bœuf Highland, une de ses entrées phares, est agrémenté de copeaux de parmesan, chapeauté par des feuilles de roquette et contourné par une sauce pesto. Pour le plat principal, le chef revisite une vieille recette alsacienne : la raviole schnieders päetzle à la truite. Le déjeuner se termine enfin par un millefeuille glacé de chocolat noir sur un coulis d’oranges amères. L’épaisseur demi-millimétrique de chaque disque de chocolat, le dressage, la consistance et le goût révèlent simplement la virtuosité technique. Ce savoir-faire-là, le chef le partage avec ceux qui suivent ses cours de cuisine. Avis aux amateurs et aux futures toques !  ...

Le vieux logis :
cuisine au feu de bois

Située entre les estuaires de la Vilaine et de la Loire, l’océan Atlantique et le marais de Brière, cette Ville d’art et d’histoire est reconnue pour la richesse de son patrimoine. La Collégiale de Saint-Aubin, la chapelle Notre-Dame la Blanche, le couvent des Ursulines, le Moulin du Diable sont autant de sites classés monuments historiques qui méritent le détour. Aux côtés de ses trésors historiques, la ville a la chance d’abriter quelques tables d’exception. Au restaurant le Vieux Logis, vous vous laissez éblouir par les saveurs d’une cuisine traditionnelle préparée avec passion par le chef Michel Stéphan. Une ambiance conviviale et traditionnelle L’été, le cadre extérieur gai et verdoyant est une invitation à la détente. D’ailleurs, cette terrasse accueillante fait le succès de l’établissement même si l’intérieur est tout aussi coquet. Le charme des lieux vous plonge dans un autre univers empreint de calme et de sérénité. Comme si le temps s’était arrêté, vous vous retrouvez dans un décor rustique datant du XVIème siècle ponctué par la présence de la grande cheminée, des vieilles poutres et des murs en pierres apparentes. C’est dans cette atmosphère agréable et conviviale qu’évolue le chef Michel Stéphan, également propriétaire des lieux. Ce personnage dynamique nourrit une passion pour la cuisine dès sa plus tendre enfance. Il effectue sa formation au sein de l’Ecole Hôtelière Saint-Anne à Saint-Nazaire puis intègre l’Hôtel du Berry place de la Gare à Saint-Nazaire comme cuisinier. Après avoir exercé dans quelques brasseries de Saint-Nazaire, Michel est poussé par l’envie de voler de ses propres ailes. Il rachète alors cette vieille bâtisse datant de 1620 pour la transformer en restaurant, là où règne une ambiance auberge. Grillades à volonté Les délicieuses grillades font la réputation de la maison. Les viandes et poissons sont directement cuits au feu de bois sur la cheminée, offrant un joli spectacle. Faux-filet, côte de Bœuf, onglet, entrecôte… tout est méticuleusement préparé devant vous. Tous les jours, des formules express du midi sont écrites à l’ardoise. Elles sont constituées d’une entrée et d’un plat ou d’un plat et d’un dessert au prix de 16,90 € ou d’une formule entrée, plat et dessert tarifée à 19,90 €. Le restaurant a créé aussi des menus gourmands qui flatteront vos papilles. Le menu qui a été intitulé « Maître Restaurateur » avec son foie gras maison ou son magret de canard au miel est un délice culinaire. Le dessert devra être choisi à la carte.  L’autre suggestion intitulée Terre et Mer vous convie à un doux voyage où se combinent les saveurs marines et les produits régionaux. La terrine de courgette au saumon fumé, suivi de l’onglet de bœuf grillé suffiront à faire votre bonheur. Pour sa part, le menu « Frivole » constitué d’un foie gras maison en entrée, d’un bar entier, beurre blanc aux algues en plats et du Champagne gourmand en dessert vous convaincra. Tous ces mets sont sublimés par une carte de vins qui fait honneur à de nombreuses régions. Pour que le plaisir soit à son comble, les services d’une équipe courtoise et avenante sont proposés. Elle fera de votre passage au Vieux Logis, un instant agréable et mémorable. Vous n’aurez désormais plus qu’une seule envie : y revenir.   ...

Les Vignobles Jander :
quand faire du vin devient un art

Les Vignobles Jander s’épanouissent sur une exploitation de 17 ha, où le merlot (53 %) et le cabernet sauvignon (47 %) règnent en exclusivité. Le terroir est départagé entre deux types de sols : un terrain sablo-graveleux pour le Château Sémeillan-Mazeau et argilo-graveleux pour le Château Jander. Vinifier dans les règles du bio Depuis 2012, la maison conduit son exploitation selon les principes de l’agriculture biologique. Cette méthode assure que les vins gagnent en équilibre et expriment pleinement le terroir. Une réelle fierté, comme l’affirme Maxime Julliot, directeur du domaine : « Depuis 2015, nous sommes la seule propriété certifiée en agriculture biologique sur les appellations Moulis et Listrac-Médoc. » Dès lors, le traitement des vignes respecte un cahier des charges bien défini, qui allie judicieusement tradition et modernité. La vinification s’opère dans un chai « très pratique à travailler », selon les termes de notre interlocuteur. L’endroit est en effet équipé de matériels de pointe comme des cuves thermorégulées, donnant la possibilité de diversifier les modes de fermentation, et des cuves extrêmement larges, qui permettent l’extraction des tanins pendant la fermentation. La maison met de côté le foulage pour permettre des vinifications plus respectueuses de la matière première. Par ailleurs, le processus de vinification est réalisé avec patience et délicatesse. À titre illustratif, la période d'élaboration de la cuvée « Sémeillan-Mazeau » s’étend sur presque 30 mois. Dans un premier temps, les récoltes des vendanges parcellaires sont vinifiées et élevées séparément pendant un an. Au bout de cette période, chaque lot de vin est encore retravaillé pendant 12 mois afin de bien accentuer toutes les caractéristiques des raisins (structure, arômes…). Ce temps écoulé, l’équipe du domaine procède enfin à l’assemblage dans les cuves. « La séance d’assemblage n’est pas qu’une somme des caractéristiques. L’objectif est de créer un juste équilibre entre ces différents composants », révèle Maxime Julliot. Et pour un résultat impeccable, six mois de plus sont nécessaires pour stabiliser les vins et les préparer à la mise en bouteille. Un vin pour une appellation À chacune des deux appellations correspond une cuvée qui arbore idéalement tous les traits particuliers de son terroir. « Notre stratégie de produits consiste à rassembler tous les vins d’une appellation dans une bouteille. »  Ainsi, l’appellation Moulis est représentée par la cuvée « Château Jander », qui est un millésime aussi élégant que complexe. « Le Château Jander est fait pour les gens qui aiment les ‘’vins sérieux’’», a voulu préciser avant tout notre interlocuteur. En effet, ce vin fait partie du haut de gamme, à en juger par la qualité de ses cépages issus de vieilles vignes (25 ans en moyenne), élevées sur terroir argilo-graveleux, et la façon dont ceux-là sont travaillés. Ainsi, contrairement au Château Sémeillan-Mazeau, l’assemblage des cuvées s’effectue dès que la vinification est terminée. Au bout de longs mois d’élevage en barrique naît un vin puissant avec des tanins aussi souples qu’élégants. Quant à l’appellation Listrac, elle se révèle à travers les bouteilles de « Château Sémeillan-Mazeau ». Ces cuvées sont caractérisées par leurs notes de fruits rouges et de bois très harmonieuses. Tandis que la fraicheur de leurs arômes crée un véritable moment d’émotion pour les papilles, la souplesse de leurs tanins ne fait qu’accentuer le plaisir à la dégustation. Ainsi, le Château Sémeillan-Mazeau est aussi idéal en apéritif qu’en accompagnement du repas, sans compter qu’il se marie quasi avec tous les types de plats. On distingue parmi les meilleures références de cette cuvée le mill...

Entretien avec Patricia BLANC
« Le cancer des enfants doit être une priorité. »

Quelle est l’histoire de Margo ? Ma fille Margo a été diagnostiquée d’un cancer à l’âge de 14 ans. Malheureusement, il s’agissait d’une tumeur au cerveau incurable. Pendant seize mois, ma fille s’est battue contre cette maladie tout en organisant parallèlement une collecte de fond pour aider la recherche qui a permis de récolter plus de 100 000 euros. Ce combat, je l’ai vécu à ses côtés et cela m’a fait prendre conscience que les enfants n’étaient pas épargnés par les cancers. Il s’agit même de la première cause de décès par maladie des enfants de plus d’un an en France et en Europe. Lorsque Margo nous a quittés, elle a laissé dans un cahier ce message inspirant : « Vas y, bats-toi, gagne ! » J’ai alors créé, avec son père, mon mari, l’association Imagine for Margo afin de poursuivre le combat.  Parlez-nous de la genèse de l’association ? Déjà, c’est un changement de vie complet. J’ai dû arrêter de travailler pour m’investir totalement dans l’association que je voulais professionnelle et qui s’est développée rapidement. L’objectif a rapidement été clair : faire bouger les lignes pour obtenir des traitements et des médicaments moins toxiques et plus efficaces pour les enfants au travers de l’accès sécurisé à une recherche innovante et du développement de la médecine de précision. Parallèlement, l’objectif est de rechercher et d’obtenir des financements en mobilisant différents acteurs qu’ils soient industriels ou politiques et faire évoluer la réglementation européenne en la matière. L’idée, aussi, est de sensibiliser l’opinion publique sur les cancers qui touchent les enfants à travers des campagnes de communication. Enfin, l’association entend également apporter du soutien aux enfants et à leurs familles dans leur combat. Quels sont vos partenaires financiers ? Il faut bien comprendre que le cancer de l’enfant est peu attractif pour les industriels du médicament, qui préfèrent privilégier la recherche pour les cancers des adultes qui concernent plus de patients. Face à cette réalité, nous avons mobilisé activement nos donateurs ; particuliers et entreprises. Ainsi, en 10 ans, l’association Imagine for Margo a affecté 17 millions d’euros à la recherche en oncologie pédiatrique permettant de cofinancer 42 programmes de recherche aboutissant, aujourd’hui à 28 nouveaux traitements bénéficiant à 3000 enfants en France et en Europe. Depuis 2020, nous avons aussi fait changer d’échelle notre combat. En effet, avec deux autres associations européennes au Luxembourg et en Belgique, nous avons créé, l’appel à projets, Fight Kids Cancer. Ce regroupement est inédit et significatif. L’objectif est de booster la recherche contre le cancer en mutualisant nos fonds afin d’agir plus vite contre ce fléau qui touche 35.000 enfants et adolescents en Europe. En 3 ans, ce sont plus de 12 millions d’Euros qui ont été affectés à des programmes de recherche innovants. Pour les chercheurs, le message est clair : Nous souhaitons qu’ils passent moins de temps à chercher du financement et qu’ils se consacrent à leur mission : créer un monde avec des enfants sans cancer. Parvenez-vous à sensibiliser vraiment les politiques et les industriels du secteur ? Il faut être volontariste. Ainsi, nous souhaitons que des fonds européens soient dédiés à la recherche pour les cancers des enfants. D’ailleurs, les lignes bougent avec le premier Plan cancer européen et la Mission cancer pour financer de nouveaux projets au niveau européen. Aussi, le changement de la règlementation européenne va être annoncé en mars et nous espérons que cela va aller en faveur du développement des médicaments anti-cancéreux chez l’enfant, comme cela est déjà le cas dans la règlementation américaine depuis 2020. Par ailleurs, des laboratoires pharmaceutiques commencent à mettre en place des équipes dédiées à la pédiatrie, c’est prometteur et nous e...

Allibert Trekking, voyager et découvrir dans le respect des hommes et de la nature

Née il y a 40 ans de la passion de trois guides de haute montagne, Allibert Trekking conçoit et organise plus de 1 400 voyages d'aventure, randonnées, trekking et expéditions sur les cinq continents, dans le respect des populations et de l'environnement. Première agence de voyages d'aventure certifiée ATR, « vers un tourisme responsable », en 2008, Allibert Trekking est engagé dans une démarche de tourisme responsable depuis sa création.   Des treks incontournables tels le tour des Annapurnas, le camp de base de l'Everest, au Népal, ou les parcs mythiques de l'Ouest américain, les plus belles randonnées en France avec le GR20 Corse, le tour du Mont-blanc... Chaque année, Allibert Trekking propose de nouveaux voyages d'aventure, de nouvelles destinations et de nouvelles activités tournées vers la nature. Différentes formules pour différentes manières de voyager En famille, en liberté, entre amis... Allibert Trekking a mis en place plusieurs offres adaptées aux besoins  et demandes de ses clients. Le voyage accompagné réunit des groupes de 5 à 15 personnes autour d'un guide : il emmène les randonneurs à la découverte d’un pays ou d’une région, partage ses connaissances, anime et assure la cohésion du groupe. La formule famille s'articule autour de circuits de randonnée ponctués d’activités ludiques et de parcours adaptés aux enfants, une manière de leur transmettre le goût du voyage et de l’aventure. Quant aux voyages en liberté, il s'adresse aux personnes plus autonomes souhaitant voyager à leur rythme. Allibert Trekking se charge de la logistique et fournit un roadbook afin de garantir la sécurité sur les différents itinéraires. Cette formule est possible à partir de deux personnes. Allibert Trekking propose également des randonnées culturelles, la gamme Sentiers des arts. Encadrés par des guides-conférenciers, spécialistes de chaque destination, les voyageurs peuvent ainsi découvrir les richesses culturelles de la planète, tout en se réservant des temps de marche.  Enfin, pour ceux qui souhaitent partir ensemble, entre amis, en famille, avec des collègues de travail, à la date de leur choix, mais aussi pour les comités d'entreprise, clubs, associations, l'agence a développé des offres spécifiques : les groupes privatifs, des voyages existants déclinés selon les souhaits du groupe, en fonction de leurs envies.    ...

Château de Lacquy : l’armagnac pour remonter le temps

Situé dans l’appellation « Bas-Armagnac », ce domaine est la plus anciennepropriété familiale produisant cette noble eau-de-vie. Il traverse les siècles depuis 1711 sans jamais prendre une ride, et cela, grâce à la passion et au travail acharné d’hommes et de femmes. Gilles de Boisséson, 11ème génération, est particulièrement fier de son terroir qu’il qualifie « d’exceptionnel ». Au sein du domaine s’étendant sur 400 ha d’un seul tenant, les vignes (surface de 24 hectares) et un parc verdoyant agrémenté de chênes se côtoient en harmonie. Une production atypique Sur ces terres, le baco, la folle blanche et le colombard se révèlent dans leur plus belle expression. Les eaux-de-vie obtenues à partir de ces cépages et des seuls vins du domaine, sont très fines, peu agressives, longues en bouche et très parfumées. Vieillies uniquement en fûts de chêne de 400 litres, elles sont absolument pures et ne font l’objet d’aucune manipulation ni adjonction de produits extérieurs (colorants, sucres etc.). « Nous avons la particularitéd’adopter une politique de vendange, de vinification, de distillation, et de vieillissement par cépage. De quoi nous assurer une très bonne connaissance de l’évolution du cépage sur 20, 30 ans… », révèle notre interlocuteur. Une dégustation du « 12 ans d’âge » ou du « 1999 » est une opportunité de s’offrir ce voyage dans le temps. ...

Le Val de Loire : une terre d’accueil pour les amateurs d’oenotourisme

Tourisme et vins du Val de Loire n’ont jamais fait aussi bon ménage. Comme chaque année, InterLoire déploie le grand jeu pour accueillir tous ses visiteurs. Le vignoble en quelques chiffres Réparti sur 43 000 hectares (de Nantes à Blois) et traversé par une route des vins de 800 km, le vignoble du Val de Loire est réputé pour être le premier vignoble français pour la qualité d'accueil et la 3e région viticole française en volume d’AOC. Inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO, il ne propose pas moins de 50 appellations et dénominations d’origine ainsi qu’une IGP. Le saviez-vous ? 270 millions de bouteilles de vins du Val de Loire sont vendues chaque année dans le monde (dans plus de 140 pays). Soit 9 bouteilles par seconde. 13 % des oenotouristes français et étrangers ont visité le vignoble du Val de Loire en 2016, apprécié pour la diversité et la qualité de ses vins, son patrimoine historique incomparable et la qualité de l’accueil réservé aux visiteurs. Un vaste réseau de caves touristiques 350 caves touristiques labellisées sont réparties sur 2 régions et 5 départements. En s’appuyant sur une charte qualité stricte, chaque cave déploie son savoir-faire pour permettre à ses visiteurs de profiter d’une expérience unique. Ces critères sont au nombre de 10 : Accessibilité ; Amplitude horaire et respect des horaires d’ouverture ; Informations détaillées sur le domaine ; Lieu d’accueil sécurisé et aménagé ; Dégustations pédagogiques animées par une personne qualifiée ; Application des règles en vigueur sur la consommation d’alcool ; Affichage clair des tarifs ; Mise en avant des services proposés aux visiteurs ; Mise à disposition et conseils sur l’offre touristique locale ; Acceptation des démarches de contrôle et d’évaluation. À noter : au sein de cette offre qualifiée, 80 caves ont obtenu un niveau d’excellence.  Mieux découvrir le territoire et le vignoble Pour préparer votre voyage, nous vous conseillons de vous rendre sur le site internet vinsvaldeloire.fr. Vous y trouverez de nombreuses informations (dont une carte interactive) qui vous permettront de préparer votre circuit et vos visites de caves. Que vous cherchiez un vin précis, un domaine particulier ou que vous vouliez associer dégustation et visite de patrimoine (le château de Blois, par exemple), vous trouverez toutes les informations souhaitées sur le site. C’est une première étape indispensable pour tous les voyageurs avertis. Si vous aimez vagabonder en toute liberté, sachez qu’il est aussi possible de trouver directement en office de tourisme (ou sur chaque site) des dépliants avec une carte, qui vous indiquent l’emplacement de toutes les caves touristiques de la région. Ainsi, vous pouvez localiser simplement votre prochaine destination avant de reprendre la route. Pour aider les voyageurs, de nombreux panneaux de signalisation jalonnent le circuit. Ils vous proposent de suivre Les Routes des vins du Val de Loire. Des boucles à la journée ou demi-journée sont mises en place sur la région Pays de la Loire pour découvrir le vignoble et ses paysages ainsi que les caves et les sites de visites. Que vous ayez prévu de parcourir la région en un week-end ou pendant plusieurs jours, vous êtes ainsi assuré de ne manquer aucun point d’intérêt important. Les événements 2018-2019 à ne pas manquer Comme chaque année, la visite du territoire est ponctuée de différents événements qui intéresseront les visiteurs à la recherche de nouvelles expériences. Un grand événement : Vignes Vins Randos en Val de Loire Ainsi, le 1er week-end de septembre, les amateurs de randonnées et de dégustation de vin se retrouvent pour l’aventure Vignes Vins Randos. Que vous soyez seul, entre amis ou en famille, plus de 15 parcours, chacun porté par une AOP, vous sont proposés pour partir à la découverte des vignobles du Val de Loire. Accompagné d’un vigneron passionné, vous profitez d’un parcours ludique qui vous permet d’améliorer vos connaissances sur le vin et le métier de vigneron. De nombreuse...

« Préparer le Baccalauréat » : de précieux outils pédagogiques pour les professeurs d’enseignement artistique… Mais pas que !

Une approche originale et pragmatique de l’éducation artistique et culturelle Richement illustrés, chacun de ces livres aborde un thème, une œuvre ou un artiste pour en livrer une analyse certes complète mais aussi – et surtout – accessible à tous. Et pour cause, l’objectif des auteurs n’est autre que de mettre à la disposition du plus grand nombre (enseignants, lycéens, amateurs d’art en général) l’éducation artistique sous une autre forme. Plus simple. Moins austère. Bref, de vulgariser tout en gardant un niveau d’exigence élevé. Étape par étape, au moyen d’explications et d’exemples, un sujet qui aurait pu sembler, de prime abord, compliqué fera donc l’objet d’une clarification. Et sa compréhension par le lecteur s’en trouvera considérablement facilitée ! Libre à chacun de venir chiner, à sa propre convenance, des informations au fil des pages (sans risquer de s’y noyer !) ou de tout lire d’une traite. Des publications innovantes et en phase avec leur époque Dans un souci d’innovation et de renouvellement, ces publications (qui, rappelons-le, ne sont en aucune façon la chasse gardée des professeurs d’enseignement artistique ni des élèves de terminale) ont parfaitement intégré la révolution numérique. C’est pourquoi elles se déclinent en différents supports allant du livre imprimé au webdocumentaire en passant par le web. Si l’analyse des  Lumières de la ville (pour le cinéma), le chef-d’œuvre de Charlie Chaplin, ou encore celle de l’univers de  Rodin (pour les arts plastiques) font l’objet de livres imprimés, il est également possible de les télécharger au format PDF. De même, des compléments numériques sont très souvent proposés. Par exemple, L’Affaire Tailleferre, l’une des œuvres au programme du baccalauréat Musique, prend la forme d’un webdocumentaire pédagogique et d’un DVD au menu duquel figurent films documentaires mais aussi documents audio, vidéos, PDF, etc. Pour toutes ces raisons, nul doute que Réseau Canopé mériterait de décrocher une mention pour la façon dont il est parvenu à conjuguer innovation et pédagogie. ...

Brasserie Belga Queen, l’ambassadrice du made in Belgium

Fondée en 2002, par le célèbre architecte d’intérieur et designer et chef Antoine Pinto, la brasserie de luxe belge Belga Queen est considérée comme le plus bel établissement de bouche de Belgique et sans doute d'Europe. Belga Queen est aussi un lieu chargé d’histoire. La brasserie prend place dans un bâtiment datant du début du XVIIIème siècle, ayant auparavant abrité l’Hôtel de la Poste, puis une banque, le Crédit du Nord. L’endroit est aux antipodes d’une brasserie traditionnelle « coude à coude », l’architecture et la gastronomie s’y rencontrant de manière exceptionnelle. Une gastronomie authentique et soignée Belga Queen propose une cuisine belge mise au goût du jour, allégée et agrémentée de touches très nationales à travers notamment l’accompagnement de nombreux plats par la bière. Une gastronomie authentique avec d’excellents produits minutieusement choisis auprès d’artisans belges ayant su garder le respect du terroir. Les vins proviennent de producteurs exclusivement belges tandis que le café Ponti est un mélange de grains ’Pur Arabica’ de plusieurs provenances et torréfiés par un maître belge en la matière. Preuve s’il en faut que le Belga Queen fait la part belge à tout ce que ce pays fait de bon et au-delà. Une architecture dévastatrice Véritable miraculée de l'architecture bruxelloise dévastatrice de la fin des 30 glorieuses, la brasserie Belga Queen en conserve les fondations sérieuses, une salle des coffres impressionnante abritant désormais le légendaire « Club de Cigare », des escaliers propices à se dérober aux regards indiscrets et une verrière surplombant la salle principale dont seuls quelques privilégiés ont pu, à ce jour, observer l'état aérien de grâce et de conservation d'une œuvre d'art à nulle autre pareille. ...

Château Fabre Gasparets, expression et pureté en Boutenac par la Famille Fabre,  vignerons depuis 1605

S’il fallait remonter aux origines de la famille, cela nous ramènerait jusqu’en 1605, à l’époque d’un certain Jaume Fabre. Tour à tour, ses descendants ont perpétué son œuvre jusqu’à faire briller le patronyme familial dans le paysage viticole languedocien et par-dessus les frontières. L’immense patrimoine est aujourd’hui composé de cinq domaines dont Château Fabre Gasparets de Boutenac, berceau historique de la maison. Aux origines d’un Cru Boutenac Situé dans le Massif du Pinada, le secteur du Boutenac s’inscrit comme l’un des plus beaux terroirs des Corbières. Suite à une politique de hiérarchisation, cette zone géographique a obtenu officiellement l’autorisation d’opérer en tant qu’appellation à part entière. Une victoire pour Louis Fabre et sa sœur Marie qui se sont consacrés pendant plusieurs années aux côtés de nombreux autres vignerons à faire reconnaître le Cru Boutenac. Pour les Fabre, cette terre s’étendant du Massif des Corbières jusqu’au Massif des Pyrénées est digne d’un tableau de maître. Les vignes entourées de pinèdes et de garrigues avec des collines comme toile de fond proposent un paysage envoûtant, à l’image des vins qui y sont produits. De grands vins concentrés, symboles d’excellence Sur ces sols composés de grès de Boutenac et de galets roulés, le carignan est travaillé selon des pratiques culturales qui promeuvent l’équilibre entre les vignes et l’environnement. Transporté par les fameux « wagonnets », il arrive au chai sans éraflure et peut se dévoiler dans sa plus belle expression. Le Château Fabre Gasparets propose deux cuvées : une éponyme et l’autre intitulée La Serre,une cuvée parcellaire limitée à 3000 bouteilles par an.  Ambassadeurs du savoir-faire séculaire, ces deux vins sont produits d’une façon relativement spécifique car le carignan qui est à la base un cépage tannique et puissant n’est pas élevé dans des barriques, mais plutôt dans des jarres de 150 litres en argile et en forme d’œuf. Après un assemblage avec la syrah et le mourvèdre et un élevage de 12 à 15 mois, les Crus obtenus s’illustrent pour leur raffinement et la subtilité de leurs arômes. ...