C’est en 1935 que Fernande Gobert fonde À la Reine Astrid. Fervente admiratrice de la défunte princesse Astrid de Suède (Reine de Belgique à cette époque), Melle Gobert a été autorisée à donner à sa chocolaterie le nom de la Reine à une seule condition : l’excellence des chocolats. En 1975, elle laisse les rênes à Melle Granjean qui continuera à rendre hommage à la princesse à travers l’extrême qualité des chocolats. Reprise en 1998 par Geneviève Salomon, l’enseigne continue son essor à l’international. Puis, en 2012, arrive Christophe Bertrand. Au fil du temps, la réputée maison À la Reine Astrid a toujours su préserver la qualité prestigieuse de ses produits. Elle est désormais devenue une référence de la chocolaterie française. L’excellence travaillée dans l’éthique Désireuse de garantir la qualité et de construire celle-ci sur des valeurs responsables, la chocolaterie À la Reine Astrid privilégie le circuit court. Sauf pour le cacao certifié bio et équitable, dont une coopérative haïtienne est le fournisseur. « Ce qui compte quand nous achetons nos matières premières, c’est la qualité du produit et la proximité du fournisseur. Je préfère même me fournir chez des gens que je connais où une certaine éthique est assurée », déclare Christophe Bertrand. De la fève conjuguée aux talents du chef À la recherche de l’idéal chocolatier, À la Reine Astrid a choisi de rejoindre les rares fabricants qui font usage de la fève. Ce produit d’exception ne sera confié qu’aux mains du chef Nicolas Morin. Perfectionniste et passionné, ce dernier a passé une dizaine d’années chez la réputée Maison du chocolat à Paris. Son talent a d’ailleurs été récompensé par la médaille de bronze à la Coupe de France des jeunes chocolatiers confiseurs. Des petites douceurs au grand succès L’ultime perle des trésors chocolatiers de la marque À la Reine Astrid est le praliné. La particularité de ce chocolat est constituée de la note affirmée de la noisette et de l’amande. Et pour symboliser un évènement heureux avec douceur, l’enseigne propose la plaquette personnalisée, un produit faisant aussi honneur à la maison. « C'est une plaque de chocolat dans laquelle on ajoute des amandes, du raisin sec et du riz soufflé pour que cela croustille. Puis le message symbolique choisi par le client sera écrit dessus », explique Christophe Bertrand. Une belle idée de cadeau alliant gourmandise et raffinement. ...
Une passion de la vigne transmise de génération en génération L’histoire des champagnes Nominé-Renard remonte à la rencontre entre Germaine Renard et André Nominé. Fils et fille de viticulteurs, ils unissent leurs domaines et fondent en 1960 la maison Nominé-Renard. Ils installent les premiers pressoirs de la maison et lancent dans la foulée la construction de la cave à Villevenard. En 1973, leurs garçons Claude et Laurent rejoignent l’exploitation après des études en œnologie et commencent à façonner le caractère des champagnes Nominé-Renard. Les 21 hectares de l’exploitation, composés à moitié de chardonnay, d’un tiers de pinot meunier et de pinot noir pour le reste, deviennent alors entre les mains du viticulteur une palette infinie de textures et d’arômes. Il y pioche pour conserver la mémoire et développer l’identité des champagnes. Après 35 années de service en cave, il laisse à son plus jeune fils le soin de perpétuer la signature élégante et fraîche de la maison. Un jeune vigneron novateur Simon Nominé a baigné toute sa jeunesse dans l’ambiance particulière de la maison de champagne familiale. C’est tout naturellement qu’il se destine à reprendre le domaine. Pour cela, il aiguise sa connaissance de la viticulture à l’université du vin de Suze-la-Rousse et en sort brillamment diplômé en 2002. Il enchaîne ensuite les expériences professionnelles dans différentes caves de la région afin de parfaire sa formation. Ce n’est que huit années plus tard qu’il revient sur les parcelles qui l’ont vu grandir pour poursuivre la tradition des Nominé-Renard en devenant le chef de cave de la maison. En remettant constamment en question sa pratique viticulturale et tout en gardant à cœur le respect de l’authenticité de la maison, le jeune viticulteur innove en proposant sur certaines cuvées des vinifications en fût ou en s’essayant à de nouvelles techniques, comme récemment avec une cuvée mono-parcellaire qui s’est vue rapidement écoulée auprès des connaisseurs. Il pousse l’exercice jusqu’à planter de nouveaux pieds de vigne, des pinots blancs, pour ajouter une note de fraîcheur fruitée à sa palette. C’est un fait plutôt rare dans la région, car quand on parle de champagne, si l'on pense directement à des assemblages de chardonnay, de pinot noir ou de pinot meunier, l'on oublie souvent que le pinot blanc est l'un des sept cépages inscrits sur la liste des raisins autorisés par le Comité interprofessionnel des vins de Champagne (CIVC). Une initiative à suivre de près donc. Un savoir-faire et une qualité reconnus à l’étranger Ce goût de l’excellence qui se transmet de père en fils et que l’on retrouve dans chaque bouteille de champagne sortant de cette maison séduit une clientèle qui dépasse les frontières de l’hexagone. Sur les 120 000 bouteilles produites chaque année, plus de la moitié de la production de la maison s’envole vers les marchés asiatiques et américains. Le Brut Nominé-Renard, produit phare de la cave, est le parfait exemple de cette réussite à l’étranger. Son assemblage (40 % de chardonnay et une part égale de pinot noir et de pinot meunier) en fait un nectar élégant et fin en bouche, qui accompagne parfaitement un morceau de foie gras ou une tranche de saumon fumé. Le Club Trésors de Champagne Dès sa création dans les années 70, Claude Nominé a rejoint le Club Trésors qui comprend aujourd’hui 27 membres représentant tous les terroirs de Champagne et ayant en commun une approche très qualitative de la viticulture. Tous les ans, chacun est libre de proposer une cuvée dite « Spécial Club ». Quand l’année est particulièrement bonne qualitativement parlant, une cuvée millésimée est éditée en très petit nombre. Ces cuvées exceptionnelles, très rares (5 000 bouteilles ou bien moins), restent cinq ans en cave avant d’être proposées à un public de connaisseurs. Elles servent d’ambassadrices auprès d’un public toujours plus large et assurent à la maison de champagne No...
Les spiritueux gastronomiques n’ont plus de secret pour la maison Jean Boyer. Depuis une vingtaine d’années, l’entreprise est devenue le partenaire privilégié des cavistes et des restaurateurs en quête de produits « premium » et exclusifs. « Nous ne commercialisons qu’à destination des professionnels sur le territoire français, mais aussi un peu à l’export notamment vers le Japon et l’Australie », fait savoir le propriétaire, Dominique Ribéreau-Gayon. Au total, 150 000 bouteilles sont produites annuellement, toutes gammes confondues. Un mode de travail fidèle à la tradition Société à taille humaine située dans les Landes à Saint-Geours-de-Maremne, Jean Boyer s’attache à préserver un savoir-faire artisanal et traditionnel dans l’univers de la production de spiritueux. Parmi ses produits de prédilection, s’inscrit le pastis, ou les pastis puisqu’il y a une dizaine de recettes différentes. Le pastis « est totalement élaboré sur place à partir de plantes que nous faisons macérer pour en tirer le meilleur des arômes », explique le propriétaire. Les assemblages sont ensuite réalisés sur place. Enfin, les pastis restent plusieurs mois en cuve pour permettre une décantation naturelle, « une filtration retiendrait tous les arômes » s’exclame Dominique Ribéreau-Gayon. Mais le produit phare de la maison reste le whisky. A l’origine, le Scotch puisque Jean Boyer avait d’étroites relations avec certaines distilleries écossaises. Ils pouvaient ainsi accéder aux meilleures sélections de fûts. La société est alors devenue un véritable embouteilleur indépendant de whisky qui choisit ses fûts et les embouteille individuellement. Ainsi chaque fût ne produira que 500 bouteilles environ qui sont uniques et rares. Le rhum, second produit moteur de Jean Boyer, provient de différentes régions de productions. Les fûts sont acheminés dans les Landes sur le site de l’entreprise afin d’y être préparés et conditionnés. Un concept assez novateur « Notre maison se distingue par sa forte réputation auprès des cavistes », déclare Dominique Ribéreau-Gayon. Et pour cause, l’entreprise a développé un concept qui plaît énormément chez les professionnels : le puits Jean Boyer. L’idée est de permettre au consommateur de venir remplir sa bouteille chez le caviste, directement au puits. « Nous fournissons à nos clients tous les éléments nécessaires pour respecter la réglementation. Ils n’ont pas à se préoccuper des aspects administratifs. Ce concept, que nous sommes les seuls à proposer, est totalement dans l’air du temps et connaît un franc succès », se félicite le propriétaire. ...
L’association FORMATICSanté a été fondée en 2003 et réunit des consultants et formateurs multidisciplinaires qui partagent la même vision que Lisette Cazellet, la fondatrice de l’association. Les actions menées par cette équipe sont soutenues par divers collèges et représentants d'Instituts, d’organismes de formation, d’universités et d’établissements de santé qui constituent les membres du conseil d’administration. Tous partagent la même vision quant à la nécessité, voire l’urgence, d’instaurer un cadre formalisé et propice à la professionnalisation des pratiques de e-santé et des dispositifs de formation destinés aux acteurs du secteur sanitaire et médico-social. Une mission d’information pour former et sensibiliser Le site officiel de l'association FORMATICSanté se veut être un espace d’échange d’informations et de partage d’expériences entre les professionnels du secteur de la santé, les divers organismes œuvrant dans le domaine, et les particuliers. L’idée étant de centraliser les données et les exploiter à des fins pédagogiques et stratégiques. L’on recense en moyenne environ 23 000 visites mensuelles du site, et celui-ci propose une documentation bien fournie en libre accès autour de la thématique santé numérique et l’e-formation : articles, études, travaux de mémoires, vidéos, etc. En parallèle, le site diffuse mensuellement des lettres d’information aux abonnés pour qu’ils puissent suivre en temps réel les actualités qui peuvent les intéresser. Sans oublier de préciser la présence active de l’association sur les réseaux sociaux depuis quelques années dans le but d’attirer un public plus large, plus jeune, et plus connecté. «Il faut que l’on aille plus loin pour faire connaître les informations relatives à la e-santé », nous indique Lisette Cazellet. L’association mène également des actions de formation qui se présentent sous forme de colloques ayant lieu chaque année, et qui s’étalent sur deux journées. « La particularité est que nous avons une journée plus orientée vers le numérique et une autre s’articulant autour de la formation », explique notre interlocutrice. Environ 250 participants, dont des professionnels du métier, des représentants d'associations ou des particuliers, viennent assister et participer à ces colloques. « Quelle place pour le numérique dans la coordination des soins et la formation des acteurs ? Un défi organisationnel », tel sera le thème traité pendant le colloque TIC santé 2018 prévu les 7 et 8 février à la Cité internationale universitaire de Paris (Fondation Biermans Lapôtre). En outre, FORMATICSanté participe activement à divers séminaires ou conférences organisés par d’autres structures ou associations au niveau national et international. « Nous avons développé une expertise effective dans le domaine de la e-santé et la e-formation et de la santé, et c’est à ce titre-là que nous sommes invités à intervenir à d’autres événements. » Les connaissances à la portée de tous Depuis 2013, le programme de formation propose le développement de compétences en vue de développer une culture numérique auprès des formateurs et professionnels au sein des établissements de soins. Dans la continuité de cette démocratisation des connaissances, l’association a mis en place un portail de formation MOOC E-santé, accessible au grand public. Un groupe de travail issu du domaine de l’e-santé et de l’e-formation a conçu ce programme, divisé en deux parcours, et enrichi par des modules innovants répondant parfaitement aux attentes de notre génération. « Nous actualisons chaque année nos modules pour être en phase avec le monde de la santé qui bouge beaucoup », explique Lisette Cazellet, Chef de projet. Le projet est une initiative qui vise à combler l’écart entre l’évolution des NTIC à grande vitesse et le réf&eacu...
En version pack de base ou événementiel personnalisé, les offres entreprises de Gopark respirent le même punch qui fait la signature de la maison. Autre trait distinctif de la marque : le culte qu’elle voue à l’inventivité. À expérimenter au travers de la vingtaine d’activités dédiées aux organisations. Penser équipe et jeu avec les formules sportives Une équipe à motiver, une culture à entretenir ? Les entreprises qui s’adressent à Gopark ont l’embarras du choix pour aborder le challenge en toute décontraction. La maison programme des tournois pensés pour faire vibrer chaque élément dans ses fibres les plus profondes. Objectif : l’investissement de soi pour défendre les couleurs de son groupe. Au choix, une vingtaine d’activités allant du paintball aux joutes de gladiateurs, en passant par le foot en bulles. Gopark : trois options de tournois à découvrir... Ces activités sont à découvrir à travers trois options de tournois : paintball pur, multi-activités ou mix combinant paintball et olympiades. Quelle que soit la formule retenue, Gopark réserve un accueil et un pot de départ très sympathiques, tout en assurant entièrement l’organisation des compétitions, jusqu’à la remise des trophées. Les aires de jeux sont naturellement réservées à l’usage exclusif des groupes inscrits sur un créneau donné. Gopark pour les entreprises, c’est également l’option d’un site extérieur de 8 ha pouvant même accueillir les très grandes structures. Les aires de divertissement peuvent effectivement recevoir jusqu’à 400 personnes en une fois. ...
Appréciée pour son microclimat très actif et son ensoleillement exceptionnel, l'Alpe d’Huez fait le bonheur des amateurs de glisse venus des quatre coins du monde. La célèbre station culminant à 1 860 m d’altitude profite de remarquables atouts comme son incontournable domaine skiable avec ses 250 km de pistes. Les 10 000 m de dénivelés répartis sur 5 itinéraires satisfont les adeptes de longues descentes. Sur les 17 pistes noires, difficile de ne pas mentionner la mythique piste de Sarenne, qui est la plus longue d’Europe (16 km), ou celle du Tunnel. Les skieurs un peu moins chevronnés, quant à eux, trouveront plaisir à sillonner le nouveau parcours ludique Marcel's Farm installé à 2 108 m d’altitude. Cette nouvelle piste verte tout public assure de véritables sensations grâce à ses modules et ses attractions comme le slalom, les whoops ou le tunnel à traverser. Et pour achever le périple en beauté, rendez-vous au Pic Blanc situé à 3 330 m d’altitude et accessible via un téléphérique, d’où il est possible d’admirer un cinquième du territoire français, dont le Parc national des Écrins et le Mont Blanc. Bien-être et famille Comme dit le célèbre adage, « après l’effort, le réconfort ». Le bien-être des vacanciers est également au cœur des priorités de la station de l'Alpe d’Huez. « Les vacances dans les montagnes doivent être des instants de ressourcement. C’est le moment de prendre soin de soi, de dorloter ou de se faire dorloter », évoque François Badijily, directeur d'Alpe d'Huez Tourisme. Le développement des centres de bien-être et de spas témoigne de l’importance accordée au volet relaxation. Les vacances sont aussi une occasion pour la famille de se retrouver tous ensemble. Et, pour cela, l’air pur et le grand espace de l’Alpe d’Huez sont parfaits, d’autant que la station est labellisée « Famille Plus ». Ce titre prestigieux récompense les efforts d’un site touristique dans la prise en compte des attentes des familles et l’élargissement des offres dédiées aux enfants. « Une promesse d’accéder à des prestations compatibles avec leurs besoins et leurs envies », conclut François Badijily. ...
Lancé en juillet 2017 par Hugo Faivre, Background Paris est un projet de tourisme alternatif et expérientiel qui vise à interroger de nouveaux modes d’exposition, partager l’ADN artistique de cette culture et permettre l’échange entre un public international et les artistes locaux par le biais de 3 expériences indépendantes (graffiti, musique et danse). D’une durée de trois heures, chaque expérience peut accueillir 10 personnes et a un coût de 40€/pers. L’expérience « One Can » propose un street art tour ponctué par un live painting Les amateurs de graffiti et les curieux peuvent désormais participer à un street art tour, en petit comité et (re)découvrir un quartier de Paris (10ème, 11ème, 13ème, 18ème, 19ème et 20èmearrondissements) à travers son histoire commune avec les arts urbains. Cette balade urbaine se conclut par une rencontre avec un artiste graffiti dans son atelier ou directement dans la rue afin d’assister à la création en direct. La musique hip hop à travers deux formats : intime et live L’expérience « One Beat » consacrée à la musique donne l’occasion de découvrir l’univers d’un studio d’enregistrement pour une heure de masterclass aux côtés d’un musicien et ainsi de connaitre les dessous de la création musicale. Pour clore cette visite en beauté, les heureux spectateurs sont invités à un événement musical hip hop dans la capitale. Assistez à une session d’entrainement au contact des danseurs, et plongez en immersion dans l’univers d’un battle de danses hip hop Au niveau des danses hip hop, l’expérience « One Move » propose de partir à la rencontre d’un crew (collectif) de danseurs pour assister à leur session d’entrainement avant d’offrir une plongée en immersion dans l’ambiance d’un battle (compétition) où dépassement de soi et partage flottent dans l’air. Ainsi, ils dévoileront le « work in progress » de leur pratique artistique au sein de leur contexte créatif. ...
Pour un domaine viticole, la Bergerie d’Aquino est un nom pour le moins insolite, n’est-ce-pas ? Ce nom tire en fait ses origines d’une légende née dans la région comme quoi le fameux Saint-Thomas d’Aquin aurait fait de cette bergerie à l’époque, une étape régulière durant ses nombreux voyages entre la France et l’Italie. Un terroir qui se prête au bon développement des vignes Composé d’un terroir à base d’argile, le vignoble du domaine est, selon les explications d’Eric Bompard, propice à la viticulture : « Nous avons un sol argilo-calcaire très caillouteux qui favorise le drainage ». Les parcelles de Grenache, Syrah, Cabernet Sauvignon et Rolle y sont exposées plein sud et bénéficient d’un ensoleillement exceptionnel toute l’année. En 2015, une nouvelle parcelle de Cinsault a été cultivée pour élargir les possibilités d’assemblage, notamment pour le rosé. Les premières vendanges de cette parcelle auront lieu dans deux ans. En matière de viticulture, profiter d’un bon terroir n’est pas suffisant pour avoir des récoltes de qualité. La façon de le cultiver est également une étape primordiale. « Nous n’utilisons aucun pesticide, aucun engrais et évitons de traiter les vignes. En revanche, en cas de maladie prévisible, nous prenons la liberté d’éviter par traitement le risque d’une dégradation de la récolte » note Eric Bompard. Les rendements y sont rigoureusement maîtrisés et donnent une production de l’ordre de trente à trente-cinq hectolitres à l’hectare, garantissant une maturité et une concentration optimale des baies de raisins. Et pour finir, les vendanges se font exclusivement à la main dans des petites caissettes de 35 kilos. Gastronomique ou plaisir immédiat, il y a le choix Lorsqu’il a acquis ce domaine en 2014, Eric Bompard nourrissait fortement l’ambition de produire des vins de qualité. Nouveau venu dans la filière mais non moins passionné, il a fait appel à un œnologue spécialiste de ce terroir pour mener à bien la vinification. Ce dernier jongle entre les techniques modernes de contrôle des températures avec les méthodes traditionnelles de macérations et de fermentations pour élaborer ses vins. Il en résulte deux gammes de vins aussi différentes qu’exceptionnelles que sont les cuvées « Bergerie », vins de gastronomie déclinés en rouge et blanc d’une part et d’autre part la gamme « Etoiles d’Aquino », « une gamme destinée à une consommation plus immédiate, aux arômes puissants, fruités, qui correspondent au terroir de la Provence » explique Eric. Cette dernière gamme, en appellation protégée Coteaux Varois en Provence est composée de trois vins déclinés sur les trois couleurs. ...
Situé à quelques pas de la rive gauche du Rhône et du quartier de la Guillotière, La Cocagne est un restaurant qui cultive le « bien manger », tout en invitant ses convives à la détente. Ce bel écrin, détenant un « certificat d’excellence TripAdvisor », est le lieu d’une cuisine riche des voyages culinaires entrepris par les deux propriétaires à travers le monde. Une cuisine qui offre un rapport qualité-prix exceptionnel, en plus du service professionnel. Tradition culinaire française à la sauce méditerranéenne et lyonnaise Les délices du restaurant sont tirés des classiques de la cuisine française, ainsi que des inspirations méditerranéenne et lyonnaise. Ici, les produits sont frais, la cuisine faite maison, le terroir de Lyon mis en valeur dans des préparations se rapprochant des saveurs d’ailleurs. Aux fourneaux, les recettes sont fabuleusement élaborées par Sandrine Bernard. Celle-ci a déjà eu à faire ses preuves dans des restaurants tels que la « Meditrina » et « Un Moment à Part », toujours à Lyon. La carte change environ tous les trois mois, mais quelques plats et desserts reviennent de temps en temps. Des desserts du soir, comme le pain perdu au caramel au beurre salé, qui est un peu comme une signature de la maison et très apprécié par la clientèle. En guise de plat, tartare du chef et ses frites maison, assaisonné d’épices chinoises du Sichuan dont a le secret Sandrine. Par ailleurs de nouvelles recettes sont souvent testées pour le plus grand plaisir gustatif des hôtes. C’est le cas du vitello tonnato et ses frites de polenta. Une savoureuse recette italienne de tranches de veau cuites au lait, et nappées d’une sauce au thon et aux anchois. Egalement à la carte, des salades à l’instar du céviche de cabillaud, qui est une recette péruvienne élaborée à partir d’une petite marinade d’oignons assaisonnée avec du piment et du jus de citron. Le mélange va saisir les filets de cabillaud qui vont ensuite être débités, pour intégrer la marinade en accompagnement de coriandre fraîche. La cuisine du restaurant propose un ticket moyen aux alentours de 18 euros. Sylvain Armand de son côté, propose de très belles bouteilles se mariant à la perfection avec la cuisine de Sandrine Bernard. Celles-ci sont servies en verre ou à la bouteille. En accompagnement du vitello tonnato, un Gamay coteaux du Lyonnais vinifié à Taluyer en agriculture cloisonnée. C’est un vin rouge peu gras sur la longueur et conseillé pour ne pas écraser la saveur du vitello tonnato qui est un plat servi frais. Le tartare du chef et ses frites maison étant plus fort, il peut être accompagné avec un AOC Vacqueyras du Domaine Colline St Jean coûtant 29 euros. Celui-ci est suffisamment soutenu pour tenir les épices de la maison. Esprit bistrot et ambiance cosy sans chichi Cadre chaleureux au sein d’une rue paisible avec vue directe sur Fourvière et sur l’Hôtel-Dieu de Lyon, le restaurant La Cocagne accueille dans une ambiance à la bonne franquette. L’établissement affiche un décor boisé au minimalisme épuré très convivial, façon bistrot lofté. En terrasse, bon air et vue imprenable permettent de savourer chaque bouchée. La conception et le dressage des tables sont très particuliers, de même que le traitement acoustique qui fait des vagues sur du panneau de chêne. L’espace quant à lui est aéré et bien éclairé. En soirée, la lumière tamisée offre aux couples un moment privilégié dans le petit étage aménagé à l’intérieur. C’est aussi une adresse privilégiée pour les sorties en famille et entre amis. ...
Quand le Collège Culinaire de France (créé en 2011 et co-présidé par Alain Ducasse et Joël Robuchon) décide d’attribuer le titre de « Restaurant de Qualité » à l’établissement, ou quand le guide Best Restaurants Paris continue de présenter La Casa dell’Estelle deux années de suite dans sa sélection, cela aiguise notre curiosité. La Casa dell’Estelle ne se contente pas de proposer une délicieuse cuisine transalpine, mais réinvente sa cuisine pour offrir une expérience gustative exclusive à ses clients. Un pari réussi pour les propriétaires Jacques Younes et sa fille Anne-Laure, qui sont tombés « par hasard » dans ce métier… Des combinaisons de saveurs Ici règne une atmosphère zen et décontractée, dans un cadre à la fois cosy et raffiné. L’accueil est sympathique, bercé par un fond de musique jazzy. Cette ambiance agréable invite à un voyage culinaire à travers l’Italie, ponctué par une inspiration française. La carte offre un bel éventail de choix : salades, spécialités italiennes, plats végétariens, pizzas, desserts. En entrée, elle suggère du foie gras de canard servi avec une compotée de figues et pain d’épices, et de la salade Romana au saumon fumé d’Écosse ou à la Bresaola. En plat, les linguine aux cèpes et au foie gras ou encore le sauté de gambas et de noix de Saint-Jacques accompagné de linguine déclenchent à chaque fois des émotions. En outre, « à la Casa, les escalopes sont dans la noix de veau origine France, et les poissons et fruits de mer sont frais de la marée », explique le gérant. Aux desserts faits maison, les clients succombent facilement au tiramisù sans alcool, au fraisier, à la merveille et au café gourmand avec sa glace artisanale au basilic. Mais que serait La Casa dell’Estelle sans leurs incontournables pizzas revisitées qui font mouche auprès de la clientèle. Les pizzas à base de mascarpone se déclinent en plusieurs variétés : pizza salmone au saumon fumé d’Écosse au sel sec, pizza au jambon de Parme, pizza à la bresaola assaisonnée à l’huile de truffe et pizza au foie gras. « Notre cuisine est évolutive, nous recherchons en permanence de nouveaux thèmes et de nouvelles propositions à présenter à nos clients », raconte le gérant. La carte est donc renouvelée, non seulement au gré des saisons, mais également en fonction de nouveautés. Apprécier un bon moment ensemble À La Casa dell’Estelle, les clients viennent en amoureux, en famille, entre amis ou entre collaborateurs pour passer un moment convivial. La formule entrée-plat/plat-dessert à 28 € ou le menu complet à 34 € fonctionnent parfaitement pour les groupes. « Pour une meilleure gestion du temps, nous proposons, en entrée, l’assiette conviviale à partager qui se présente comme un assortiment de salades, d’entrées variées et de l’authentique foccacia, et ce concept est une idée originale pour mettre l’accent sur la convivialité, le partage et la communication entre les convives. » La salle est entièrement modulable pour être privatisée en toute occasion : une réunion de travail en petit groupe, une fête intimiste en famille ou une réception debout autour d’un buffet. La maison élabore avec les clients un menu spécial pour satisfaire au mieux leurs exigences. ...
Que vous soyez en famille, entre amis ou avec des collègues, Loire Vins Aventure vous propose une expérience inoubliable pour une promenade de quelques heures ou une croisière d’une journée. Au programme : découverte des villages riverains le long de la Loire et de leurs héritages architecturaux. Le tout agrémenté par des dégustations de grands vins de Loire à bord d’un bateau de pêche traditionnel. Une balade féerique Loire Vins Aventure a été lancé à l’initiative de Denis Retiveau. À l’âge de 30 ans, ce Turquantois, à la fois vigneron et marinier, est « tombé amoureux » de la Loire, après avoir fait du canoë sur le fleuve en compagnie de quelques amis. « L’expérience m’a tellement plu que j’ai acheté des bateaux pour emmener les amis et la famille. Et c’est là que m’est venue l’idée des balades fluviales avec des dégustations de vins », raconte-t-il. Depuis quelques années, Denis Retiveau embarque les visiteurs pour des excursions uniques à bord de L’Étoile qui rit. C’est sur cette « toue cabanée », une embarcation traditionnelle entièrement construite avec du bois massif, qu’il accompagne ses voyageurs à la rencontre des villages pittoresques. Parmi les destinations : Montsoreau et son château, classé au patrimoine mondial de l’Unesco, ou encore Candes-Saint-Martin et sa fameuse collégiale datant du Moyen Âge. Selon les envies, la balade peut durer de 2 à 4 heures ou prendre toute une journée avec, en prime, de splendides couchers de soleil sur le fleuve. Au cas où les passagers auraient un petit creux, Denis Retiveau a pensé à tout. « Ils peuvent apporter leur panier de pique-nique, faire des grillades ou un barbecue à bord » explique-t-il. En outre, grâce à un partenariat avec le restaurant Diane de Méridor, les fins gourmets ont largement de quoi satisfaire leur appétit. Au menu, des amuse-bouches et un repas gastronomique peuvent être servis. Côté vins, le maître à bord profite de ce moment de convivialité pour endosser son costume de vigneron, en suggérant à ses hôtes une dégustation des différentes cuvées issues de son domaine. Enfin, pour les amoureux, Loire Vins Aventure leur propose une nuit romantique à bord de L’Étoile qui rit. Le bateau sera amarré sur les bords d’une berge ou d’un îlot et aura une vue splendide sur les villages environnants. Des cuvées exceptionnelles Troisième génération à la tête du domaine des Champs fleuris, Denis Retiveau s’occupe d’un vignoble de 20 ha, dont la moitié se situe à Turquant et l’autre à Montsoreau. L’encépagement se compose de 90 % de cabernet franc et de 10 % de chenin. À partir de ces cépages, le domaine élabore 11 cuvées d’exception, dont 2 blancs, 1 rosé, 5 rouges et 3 crémants. « Je propose aux passagers de déguster entre 6 et 8 de mes cuvées », fait-il savoir. Parmi la sélection, les invités peuvent trouver à la dégustation : la cuvée « Audace », qui se distingue par sa légèreté, sa fraicheur et ses arômes de fruits rouges ; la cuvée « Crémant de Loire », un rosé élaboré à 100 % de cabernet franc et renfermant une très grande richesse aromatique ; ou encore « Les Roches », un vin élevé durant 18 mois en fûts de chêne neuf, idéal pour accompagner un rôti, un gibier ou un fromage. Gage de leur grande qualité, les vins du domaine des Champs fleuris ont été récemment primés lors de grands concours. À l’image de la cuvée « Vieilles Vignes », qui a obtenu la médaille de bronze et la médaille d’argent en 2016 et en 2017 au concours général agricole. La cuvée « Tufolies 2016 » a, quant à elle, décroché le premier prix du « Top 100 des meilleurs rapports qualité-prix » du Guide des vins Bettane + Desseauve 2018. ...
En ce moment, depuis le mois de mars, le musée laisse place à une exposition d'anciennes photographies qui s’étendent de 1907 à 1969. Des photographies capturées par l’atelier Pasquero, véritable témoin de père en fils. Cette initiative est l'une des plus belles initiées par le musée pour mettre en valeur cette époque du XXème siècle. L’atelier Pasquero, entre photos et témoins du quotidien Qui aurait cru que cet ancien militaire ferait encore parler de lui près d’un siècle plus tard. Car oui, Pasquero, c’est d’abord le père : Jean. Ancien militaire donc, qui profite de sa passion pour la photo et d’une retraite anticipée pour monter son atelier dans ce qui est aujourd’hui la salle Nouveau Siècle. Mais les Pasquero, c’est aussi le fils : René. Une passion intergénérationnelle qui s’enchaîne jusqu’en 1972 et la folie d’un promoteur immobilier qui décide de détruire le quartier et donc l’atelier pour y construire un Diplodocus ! L’histoire elle, commence en 1907 lorsque le père crée l’entreprise familiale. Passionné de photographie qu’il découvre en prenant des portraits de ses copains de régiment, Jean Pasquero devient l’une des figures emblématiques de Lille en matière de photographie. En 1908, celui-ci rachète le fonds d’atelier des Ferrand alors spécialisés dans le portrait de famille depuis 1870. Peu à peu, il devient une figure incontournable et s’imposera finalement dans le domaine des photographies industrielles. René Pasquero lui, reprend le flambeau à la mort de son père en 1948. Ce sera lui qui en 1972, à la demande de Philippe Jessu, conservateur du Musée de l’Hospice Comtesse, cèdera l’ensemble du fonds photographique établi sur près de 60 ans au musée. Lille, la métropole et leur histoire en photos Jusqu’en juillet 2023, le Musée de l’Hospice Comtesse accueille ainsi l’atelier Pasquero dans ses murs. A travers une sélection de 260 photographies et objets ayant appartenu aux deux photographes. Des débuts du père dans le milieu jusqu’à son évolution dans le métier, l’exposition permet de découvrir non seulement l’histoire riche de l’époque mais aussi l’évolution des différents procédés et techniques photographiques. L’exposition retrace ainsi une série de photos de 1907 à 1969. Le tout bien évidemment classé suivant un parcours chronologique mais aussi didactique. On y retrouve ainsi les débuts amateurs du père, puis durant sa carrière militaire, en tant que portraitiste de la classé aisée de l’époque et enfin dans son travail de commande. Entre portraits et scènes du quotidien, l’exposition retrace le parcours de l’un des photographes les plus emblématique de la ville. On y retrouve des séries de portraits mais aussi des éléments plus « industriels ». Comme par exemple, la construction de la coupole de la Banque générale du Nord, les voûtes de la Treille ou encore les anciennes façades de commerce du Vieux Lille. Sur la fin de son parcours, René Pasquero s’était spécialisé dans la photographie industrielle. Une expo à ne pas rater Aujourd’hui, évènement incontournable de la région, l’exposition Pasquero aurait d’abord dû se dérouler en 2021. Reportée pour cause de confinement, elle aura d’abord lieu mais uniquement en ligne à travers des visites virtuelles. Au-delà des photos et du travail effectué par le père et le fils, l’expo permettra également de se replonger dans le Lille de l’époque. Bien évidemment les photos viendront apporter cette ambiance dans un agencement judicieusement orchestré. Le visiteur pourra ainsi s’attarder dans l’atelier reconstitué du photographe. Le salon d’accueil et la salle de pose comme si on remontait le temps. Ensuite, pourquoi ne pas se rendre dans le laboratoire. On pourra s’y essayer aux différentes techniques de développement et de tirage de l’époque et leurs applications. L’exposition se tiendra jusqu’au 02 juillet prochain et sera accessible le lundi de 14h à 18h et les mercredis et dimanches de 10h &agrav...
SOP Events se démarque par sa large panoplie de services, de prestations et d’activités pensés, conçus et réalisés pour les entreprises, dans leurs locaux ou dans des lieux atypiques. Séminaires d’exception, soirées de gala inédites, team-building inoubliables ou encore voyages incentive originaux sont autant de spécialités dédiées à vos collaborateurs, à vos clients ainsi qu’à vos collègues. Mettez ainsi la touche joviale, authentique et quelque peu fougueuse du Sud-Ouest au cœur de vos événements d’entreprise de toute taille. L’agence partenaire de vos projets Forte de ses nombreuses années d’expérience, cette agence événementielle couvre la totalité des villes du Sud-Ouest de l’Hexagone allant de Toulouse à Bordeaux. Découvrez ainsi, selon vos envies et vos besoins, chacune des particularités de ces villes réservant le meilleur d’elles-mêmes à l’occasion de vos événements d’entreprise. Dans cette optique, chaque séminaire, team-building ou séjour incentive sont organisés d’une main de maître par une équipe chevronnée, passionnée, et dont les membres mettent leurs expériences et leur dynamisme au service de votre manifestation. Allant du simple conseil à l’organisation de A à Z, en passant par l’accompagnement effectif tout au long des étapes du projet, l’expertise de l’équipe SOP Events est gage de réussite. « Pour les voyages d’entreprise à but uniquement professionnel, nous proposons, par exemple, des prestations à la carte, du vrai sur-mesure en fonction des besoins des entreprises », nous explique Jean-Jacques Castanet, le fondateur de l'entreprise. « Pour ce qui est des voyages incentive, dont le but est de récompenser ses collaborateurs, des circuits touristiques peuvent également être organisés dans le Pays basque, au Pic du Midi, dans un loft au dernier étage de la plus haute tour de Toulouse ou au cœur de Bordeaux. Prenons l’exemple de Bordeaux nous proposons des déjeuners atypiques Bordelais, des visites du marché avec balade en segway, des dégustations du fameux vin de Bordeaux, ainsi que la visite de la célèbre cité du vin », continue-t-il. Team-building, animations et séminaires fleurant bon l’insolite « En été comme en hiver, nous proposons aux entreprises un très large panel d’activités originales comprenant l’organisation de team-building, de séminaires et des animations musicales et artistiques. » Pour ce qui est des séminaires, vous aurez le choix entre un séminaire résidentiel ou un séminaire d’une journée. Dans la première catégorie, votre projet sera organisé en pleine nature sur trois jours environ, ou à bord d’une péniche. « Des séminaires résidentiels luxe à Biarritz sont également proposés à l’occasion de réunions de cadres. Dix à vingt personnes profiteront ainsi d’un événement unique en partenariat avec l’hôtel du palais de Biarritz, un magnifique hôtel cinq étoiles », toujours selon notre interlocuteur. Concernant les séminaires en journée, des activités extraprofessionnelles, à l’instar du kayak, viennent clore chaque événement. En hiver, profitez également de séminaires en Andorre et dans les Pyrénées avec des activités axées sur la neige, pour ne citer que les chiens de traîneaux, la recherche en avalanche ou la privatisation intégrale d’un restaurant niché en haut des pistes de ski. Toujours dans cet esprit d’inédit, les team-building conçus pour permettre aux collaborateurs de mieux se connaître et de communiquer, mettront ces derniers à l’épreuve à l’occasion de journées rafting, ateliers de création de vin, dégustations insolites ou défis divers qui les souderont au nom de l’esprit d’équipe et de la convivialité. SOP Events propose d’autres animations insolites : course de drones, chasse au trésor, magie numérique, bootcamp et des jeux dérivés de célèbres jeux télévisé...
Voilà maintenant vingt ans qu’Alain Milliat partage sa passion pour les bonnes choses avec les amoureux du bon goût. En apéritif, en Brunch ou en Tea-time, la collection reste incontournable, de par les textures uniques et les saveurs authentiques. Proposant trente-six parfums différents, cette palette unique de parfums séduit et fascine par sa puissance et sa fraicheur aromatique. « À chaque produit son fruit frais » Ici, les produits n’ont, en effet, pas de saveurs uniformes et sont différents selon la saisonnalité. Les années et les aléas climatiques façonneront ainsi leur goût et leur texture. « Nous allons chercher une origine, une variété, un niveau de maturité très particulier », fait savoir le fondateur. Provenant de Sicile, du Pérou ou de la Drôme, les fruits gardent ainsi toutes leurs caractéristiques. Une véritable mosaïque de saveurs à découvrir. Le fruit dans toute sa splendeur « Notre cœur de métier est d’identifier un fruit par ses particularités, sa texture, sa couleur et ses arômes, et de retranscrire toutes ces singularités dans un jus de fruits », continue-t-il. Le nectar d’abricot présente, par exemple, une texture onctueuse, un orangé lumineux, une belle attaque en bouche et un équilibre sucre acide pour révéler les arômes si particuliers de cette variété Bergeron. Laissez-vous surprendre par la fraicheur et le zesté de la Mandarine Ciaculli, récoltée près de Palerme. Appréciez également la subtilité et l’élégance d’un jus de Raisin Sauvignon récolté en vendange précoce. La collection Alain Milliat est présente sur les belles tables, dans les hôtels de luxe et en boutique spécialisée. ...
Pour le couple Doris et Renaud Gruyer, être fromager est avant tout un art. Un art qui exige savoir-faire, talent et passion. Ils se sont lancés dans l’aventure de la ferme de Gennetay, il y a sept ans de cela en reprenant une fromagerie existante depuis treize ans, avec l’ambition d’honorer une riche tradition fromagère du terroir angevin. Aujourd’hui, cette petite entreprise familiale développe une identité porteuse de valeur et d’engagement. Protéger une méthode artisanale Depuis sa création, la ferme de Gennetay fabrique une gamme de fromages frais élaborés exclusivement avec du lait de vache cru soigneusement sélectionné. Plus tard, elle s’est tournée vers des produits plus traditionnels tels que les fromages affinés pour faire un clin d’œil à la typicité du terroir. Le fournisseur exclusif de la fromagerie, le GAEC écoferme du Gennetay, n’est autre que sa ferme voisine implantée sur le même site. Une proximité qui garantit une meilleure traçabilité et un meilleur contrôle sur la qualité des matières premières. « Notre lait est issu d’une ferme qui applique l’agriculture raisonnée et évolue dans une démarche de conservation de sol, qui consiste notamment à éliminer le labour de la terre et à minimiser le traitement phytosanitaire », explique-t-il. Dans cette continuité, il décide aussi de cultiver lui-même ses levains et d’opter pour un emprésurage naturel afin de conserver la palette aromatique de chaque produit. Les étapes qui s’enchaînent par la suite sont toutes réalisées à la main, respectant la méthode de fabrication d’antan : le moulage, l’étalage, l’aromatisation séchage, le retournement et le conditionnement. « Si nous avons choisi de tout faire à la main, c’est uniquement pour obtenir le meilleur produit fromager qui soit, en apportant tout le soin du travail fait main. Ce n’est pas pour folklore », nous confie Renaud Gruyer. La promesse d’une belle expérience gustative Les tomes « La Grise d’Anjou » déclinées en quatre produits, figurent parmi la grande spécialité de la ferme de Gennetay. Ce fromage à la texture à la fois fondante et moelleuse sera déposé sur des planches d'épicéa et placé pour l'affinage en troglodyte, pendant une durée comprise entre quatre et six semaines. « La phase d’affinage lui confère sa particularité, car les troglodytes nous permettent d’obtenir un équilibre parfait et constant entre la température et l’hygrométrie. » A noter que toutes les tomes sont fabriquées en chaudron cuivre. La gamme s’étoffe par une sélection de délicieux fromages frais de fabrication artisanale : fromage sans sel, nature ou agrémenté d’ail et fines herbes, oignon, échalote et ciboulette, aux trois poivres, cendré, et fromage pempa (poivron, échalote, graine de moutarde, poivre et ail). Une mention spéciale pour Le Crêmet d’Anjou, la star du concours international des fromages et produits laitiers 2013. Petite douceur authentiquement angevine, ce dessert est fabriqué à base de crème, de blanc d'oeuf et de sucre. Mais la Ferme fabrique aussi Le Crêmet d'Angers, qui lui, est à base de fromage blanc, crème, blanc d'oeuf et sucre. D’autres créations maison sont également à découvrir, à l’instar des bûches, pâtes à tartiner, fromages blancs et faisselles. Possibilité d’achat direct à la fromagerie et livraison dans le département du Maine-et-Loire et à 100 km autour de la fromagerie ( Maine et Loire, Indre et Loire et Sarthe) et par prestataire en dehors de ces départements. ...
A une soixantaine de kilomètres au Sud de Bastia, le Domaine Vecchio et son vignoble sont situés sur les pentes de la montagne de Monte San Appiano. Sous l’appellation AOP Vin de Corse et IGP de l’ile de Beauté, cette région est renommée pour ses vins à forte potentialité aromatique. Quatre terroirs pour vingt huit hectares Les vingt huit hectares de vignes du Domaine Vecchio sont installés sur les coteaux du Monte San Appiano qui se divisent en quatre types de terroirs bien distincts : argiles légères sur graves, schistes, graves et argiles légères avec marne de cailloux. Ce vignoble livre une grande diversité de cépages, qui vont des typiques de la région comme le Niellucciu ou le Sciaccarellu, aux cépages dits nobles comme le Grenache, le Vermentino ou la Syrah. Situées à proximité de la mer, les vignes jouissent d’un microclimat favorisant des brumes matinales et des nuits fraîches qui confèrent aux raisins leurs fruités et leurs acidulés. « Ce microclimat spécial va me permettre de laisser la pourriture noble se développer » pour le liquoreux fait sur vermentino ajoute Florence. Toutes ces conditions réunies permettent ainsi aux vignes de se développer favorablement. Rien ne vaut les bonnes et vieilles méthodes « Nous sommes des vignerons artisans » tient à préciser Florence. En tant que tels, le couple s’est engagé à travailler leur vignoble selon les anciennes méthodes. Dans les faits, cela consiste à l’observation de la météo pour déterminer les traitements à appliquer, limiter les rendements (30 hectolitres/hectares) pour réduire l’usage d’intrants, travailler le sol par labourage et enherbement pour préserver la flore et enfin employer uniquement le cuivre et le soufre pour le traitement des pieds de vignes. Le plaisir avant le prestige Paul Claudel a dit qu’« en matière de vin, il faut savoir faire passer le plaisir avant le prestige ». Cette citation s’applique autant pour ceux qui boivent le vin que ceux qui le produisent. Et c’est exactement le cas au Domaine Vecchio où l’étape cruciale de la vinification est menée « artistiquement », selon le plaisir des maîtres des lieux. Les techniques varient en fonction de la couleur travaillée, mais toujours en équilibrant les éléments et en adéquation avec le terroir. Le domaine obtient ainsi une gamme de trois cuvées à savoir « Tradition », « Prestige » et « Fût de Chêne » déclinées en huit vins différents. La cuvée « Uva Antica » se démarque par sa composition à 100% de Minustellu, que seule une poignée de vignerons insulaires cultivent encore de nos jours. Ce vin est gourmand et fruité, donnant sur des saveurs de caramel, mûres et chocolat. Il est le compagnon idéal sur des viandes nobles, ou des desserts au chocolat. ...
Art Mas, c’est le vignoble familial de Xavier Combe. Véritable hymne à la biodiversité, les thyms, les romarins, les sauges, les oliviers et autres senteurs colorent le paysage et le parfument d’une fragrance inoubliable. Le viticulteur cultive 11 hectares de vieilles vignes à l’encépagement noble, localisées dans l’aire d’appellation Côtes-du-Rhône Villages Visan. Sur ce sol argilo-calcaire, les vins, produits biologiquement, s’épanouissent sous le soleil méditerranéen, ce qui donne des breuvages fruités, équilibrés, concentrés, expressifs et d’une étonnante richesse aromatique. « Nous nous distinguons par de très faibles rendements », confie Xavier Combe. « Seulement 25 hl/hectare en moyenne, ce qui permet la parfaite expression d’un terroir unique, souvent qualifié comme l’un des plus beaux de Visan. » Domaine viticole Art Mas : un terroir d'exception.... Exclusivement récolté à la main, le raisin ne subit aucun traitement par des intrants chimiques. La phytothérapie est adaptée à la vigne en utilisant des principes actifs naturels afin de renforcer la plante. « Nous exécutons des pratiques traditionnelles et des méthodes ancestrales ». Ce respect de la tradition n’empêche pas la modernité et l’originalité. Les étiquettes de la gamme ont été redessinées par le vigneron en 2016. De quoi se faire et faire plaisir. D’ailleurs, de nombreuses tables étoilées dans toute la France le savent bien : elles ont du vin du Vignoble Art Mas à leur carte. ...
Depuis ses débuts dans l’univers du vin, Jean-Luc Thunevin a souhaité briser les codes du milieu. Le vin Bad Boy en est un exemple concret. Bad Boy : un vin pas comme les autres La première chose qui interpelle quand on observe la bouteille, c’est son étiquette. Cette dernière reprend les codes qui ont fait la réputation de Jean-Luc Thunevin. Le mouton noir, tout d’abord. Mais aussi la notion de « vin de garage » et enfin, le nom. Jean-Luc Thunevin est, en effet, surnommé le Bad Boy de Saint-Émilion. Créé à partir d’un cépage 100% Merlot, ce vin est élevé en barrique neuve pendant 14 mois. D’après les commentaires de son créateur, le vin Bad Boy est très facile à boire et peut facilement être vieilli pendant quelques années supplémentaires. À cela, il faut rajouter le fait qu’il soit proposé à un excellent rapport qualité/prix et que les différents millésimes sont particulièrement bien notés (entre 86 et 90/100 en moyenne selon les millésimes). ...
Le Pont de l’Ouysse est un héritage familial qui se distingue par une cuisine jalousement conservée dans la tradition et perpétrée de génération en génération. La passion du métier aidant, accentuée par le désir d’aller plus loin dans les études hôtelières, Stéphane et Mathieu, issus de la 5è génération, ont aujourd’hui repris les rênes de ce bel héritage gastronomique familial pour continuer l’aventure. Une cuisine gastronomique de région est privilégiée à laquelle vient s’ajouter des plats d’ailleurs revisités. Une invitation aux plaisirs gustatifs et au dépaysement Dans un style « campagne chic » à l’ambiance cosy, le restaurant Le Pont de l’Ouysse est une irrésistible invitation à la découverte et aux plaisirs gustatifs. Il offre un cadre aux notes nostalgiques où se marie merveilleusement une profusion de couleurs et de senteurs. Le restaurant est particulièrement pensé pour offrir au lieu, une pointe de romantisme très recherché, tout en laissant opérer la magie. Les clients aiment parcourir ses berges aménagées en jardins et en promenades, afin de gouter avec sérénité, au calme et au dépaysement, dans un décor idéalement fleuri… Un véritable plaisir pour les yeux et pour les sens ! « Nous pouvons y accueillir 60 personnes en salle et 70 personnes en terrasse » précise Mathieu Chambon, maître d’hôtel. Une cuisine locale Le restaurant privilégie les circuits courts en travaillant avec des producteurs locaux. « Nous mettons en valeur les produits régionaux (melon, truffe, agneau, pigeon, fraise, asperge, noix, fromage, foie gras, safran etc…) et nous constituons la carte en fonction des produits de saison » tient à préciser Stéphane Chambon, Chef étoilé. La maison s’attelle également à la préparation de différents plats créatifs et authentiques à partir d’un bouquet de fruits de mer tels que Saint-Jacques ou homard, ceci pour répondre aux besoins de certains clients. Les plats-signatures à l’honneur avec des menus et formules à la carte Parmi les plats-signatures figurent notamment le pied de porc truffé, la crème de pommes de terre, le foie gras Bonne Maman, les queues de langoustines rôties ou encore la pomme de terre à la truffe. Afin de satisfaire toutes les gourmandises, la maison a développé plusieurs formules dont le Menu Belcastel à 92 euros, le Menu des moulins à 60 euros et le Menu du Vieux Pont à 40 euros (servi uniquement le midi excepté le dimanche et les jours fériés). Sur la carte des vins, « nous privilégions plutôt le vin régional (vignobles de Cahors et Bergerac), mais nous proposons également des vins provenant de toutes régions de France » spécifie Mathieu. ...
Partir, c’est bien. Partir exactement là où l’on veut, quand on le désire, pour vivre des expériences à nul autre pareil et jamais encore tentées, c’est tellement mieux. Et surtout, c’est possible. Sensations du Monde se veut être le sésame qui ouvre les horizons du vrai voyage sur mesure. Créateur de destinations depuis plus de vingt ans On est voyagiste, ou on ne l’est pas. Sensations du Monde l’est et l’est passionnément. Depuis 1996, cette agence hors du commun déploie des trésors d’inventivité pour proposer des voyages toujours plus forts en émotion à sa clientèle. Au soleil, avec sa tribu, en amoureux, dans le grand luxe, toutes les façons sont bonnes quand il s’agit de découvrir d’autres latitudes. L’agence encourage toutes les gammes d’inspirations, les classiques, bien sûr, mais aussi et surtout les plus empreintes d’aventures. Un autotour en choisissant des étapes Premium avec des hébergements de charme et authentiques, un séjour au pied du Volcan Arenal au Costa Rica ou dans des Lodges de rêve en Namibie ou une séance de farniente sur les plages immaculées aux Iles Vierges. Sensations du monde vous invite à l’authentique, l’extraordinaire et le personnalisé : un privilège tout à fait abordable. Les États-Unis sont une destination phare, régulièrement réclamée par les habitués de la maison. Les road trip à travers les espaces hauts en contrastes de ce pays autorisent tant d’émotions et d’expériences fébriles. Vagues de récidives à prévoir ! Les Cyclades constituent un autre péché mignon auquel de nombreux clients succombent. Les férus d’escapades courtes, le temps d’un week-end, ne sont pas loin de revoir leurs acquis, en matière de voyage. De Madrid à Prague, en passant par Vienne et New York, les treize villes proposées à la base ne paraîtront plus tout à fait les mêmes si elles sont explorées à votre manière, l’expertise de Sensations du Monde aidant. Un talent particulier pour le voyage sur mesure Écouter enfin ses vraies envies lors des voyages ? Rien de plus simple, les experts voyage de Sensations du Monde ont la fibre de la création dans le sang. Pour les plus exigeants ou les plus visionnaires, le périple est taillé au détail près. Plusieurs possibilités sont offertes au client, définitivement maître dans ses choix. Si la qualité du service ne souffre aucune demi-mesure, la formule existe bel et bien à l’agence pour créer des voyages à l’image de chacun sur la base des offres sur catalogue. La durée du voyage est-elle trop longue pour les honeymooners ? L’agence raccourcit ou rallonge à loisir. Les activités incluses dans la formule ne sont-elles pas assez variées ou aux goûts d’une famille ? Elle rectifie, rajoute ou retire pour que les vacances de tout le monde soient les plus satisfaisantes possible. Si les vols planifiés par l’agence ne conviennent pas à la clientèle, il est même possible de les adapter en fonction des contraintes. Et que dire des vrais explorateurs qui veulent aller là où Sensations du Monde n’a même pas encore imaginé partir ? Le voyagiste soutient passionnément les projets de découverte qui font fi des classiques et du déjà-vu. Il crée la destination, compose les arrêts et les excursions ou les autres découvertes souhaités par le client et lui assure de vivre cette expérience authentique. Le temps de la conception, le voyageur est régulièrement amené à valider les ingrédients proposés. C’est une recette de découverte strictement personnalisée que l’agence lui concocte. ...
Une maladie est qualifiée de « rare » si son apparition au sein de la population est moins d’un cas sur 2 000. Les maladies rares sont dans la plupart du temps d’origine génétique. On compte aujourd’hui environ 8 000 maladies rares dont fait partie le syndrome de Rett, l'ostéogenèse imparfaite ou encore la neurofibromatose. L’inexistence de traitement curatif pose actuellement un problème majeur en ce qui concerne une grande partie de ces maladies. Les MDPH : interlocuteur privilégié des personnes en situation de handicap Les MDPH (maison départementale des personnes handicapées) ont été mis en place dans chaque département pour accueillir, informer, orienter et accompagner les personnes handicapées. Selon la loi n° 2005-102 du 11 février 2005, la MDPH doit « offrir un accès unique aux droits et prestations, à toutes les possibilités d’appui dans l’accès à la formation et à l’emploi, et à l’orientation vers des établissements et services, ainsi que faciliter les démarches des personnes handicapées et de leur famille ». Parmi ses principales missions, la MDPH procède à la création d’une équipe pluridisciplinaire en vue d’étudier chaque cas, de cerner les besoins de la personne et de proposer des solutions à travers un plan personnalisé de compensation (PPC). Les aides financières qui sont du ressort de la MDPH L’AAH, ou allocation aux adultes handicapés, est octroyée d’une part aux personnes ayant un taux d’incapacité égal à 80 % sur une période de un à cinq ans (voire plus) et, d’autre part, aux personnes qui présentent un taux d’incapacité supérieur ou égal à 50 % mais inférieur à 80 %. Ensuite, l’AEEH, ou allocation d’éducation de l’enfant handicapé, est accordée aux personnes résidant sur le territoire français et qui ont un enfant en situation de handicap de moins de vingt ans. La prestation de compensation du handicap (PCH) Les personnes en situation de handicap peuvent bénéficier d’un certain nombre d’aides. À commencer par la prestation de compensation du handicap (PCH). Il s’agit d’une aide financière octroyée par le département pour compenser les besoins liés à la perte d’autonomie. Elle s’adresse aux personnes âgées jusqu’à 60 ans et résidant en France mais également aux enfants qui perçoivent l’AEEH (allocation d’éducation de l’enfant handicapé, attribuable jusqu’à 20 ans). La PCH peut concerner différents besoins. L’« aide humaine » par exemple permet au malade de bénéficier de l’assistance d’une tierce personne dans ses activités quotidiennes telles que l’habillage, la toilette, les déplacements... L’« aide technique » peut être délivrée pour permettre l’acquisition ou la location d’équipement destiné à pallier une limitation d’activité liée à un handicap. La PCH peut financer aussi, si besoin est, l’aménagement du logement et du véhicule. Cela dans le but d’améliorer l’autonomie de l’individu tout en facilitant par la même occasion le travail des aidants. L’« aide animalière » ainsi que les charges spécifiques ou exceptionnelles figurent également parmi les éléments de la PCH. ...
Les conservateurs sont couramment utilisés dans les produits ophtalmologiques y compris les solutions d'entretien pour lentilles de contact. Leur rôle est de prévenir le développement de champignons ou bactéries et assurer ainsi la qualité microbiologique des produits. Bien qu’elles soient incontournables, ces substances synthétiques ont un effet délétère sur l’œil, car elles peuvent provoquer une irritation voire une inflammation oculaire. Le laboratoire indépendant spécialisé en ophtalmologie Horus Pharma aspire à résoudre cette problématique, avec le lancement de Regard®. Une décontamination respectueuse de l’œil Servant à nettoyer, rincer, désinfecter, conserver et lubrifier les lentilles de contact souples, Regard® se caractérise par l’absence de conservateurs sur l’œil grâce à un mode d’action nouvelle génération, le système OxyChlorite®. Agent antimicrobien, le chlorite nettoie puis humidifie les lentilles. « Il n’a aucun caractère nocif, car dès qu’il entre en contact avec la lumière et les larmes, il se transforme en oxygène, sel et eau, les composants retrouvés naturellement dans les larmes », explique Alain Tahchi, Chef de projets Marketing Digital et Chef de produits Contactologie chez Horus Pharma. Résultat : la décontamination oxydative respecte la nature de l’œil permettant à Regard d’apporter confort, tolérance et efficacité. CE 0318 - Fabricant: VitaResearch - Distributeur France : Horus Pharma - Dispositif médical de classe IIb. Ce dispositif médical est un produit de santé réglementé qui porte, au titre de cette réglementation, le marquage CE. Lire attentivement la date d'élaboration et les instructions figurant dans la notice d'utilisation. Pour plus d'informations, consultez votre opticien ou votre ophtalmologiste. Janvier 2020 ...
A moins d’une heure d’Avignon, l’hôtel Crillon le Brave séduit par son charme délicieusement vintage et la sensation de bien-être qu’il dégage. Il est perché sur le sommet de la colline du village et offre une vue imprenable sur le Mont Ventoux et les dentelles de Montmirail. Labellisé Relais & Château, il arbore fièrement le luxe et le chic d’un endroit remplit d’histoires. Installé dans les anciennes écuries, le restaurant Jérôme Blanchet attire l’intérêt et l’attention. La décoration, signée Penny Lydon de Chalkhouse Design, reflète la parfaite harmonie entre l’ancien et le contemporain. Les pierres voutées sur les murs témoignent de l’authenticité du style provençal du XVIIIè siècle tandis que les somptueux luminaires apportent une touche de modernité. Dans cette ambiance feutrée, la chaleur procurée par l’imposante cheminée ajoute un brin de romantisme à l’ensemble. Une cuisine du terroir… Créatif et dynamique, le chef Jérôme Blanchet surprend les papilles avec sa cuisine raffinée et savoureuse reflétant la richesse du terroir. Ancien sous-chef du Negresco à Nice, c’est à la tête de la brigade des restaurants de l’hôtel Crillon le Brave qu’il exploite depuis 2013 son talent et son savoir-faire. Des atouts qui lui ont valu le titre de Maître Restaurateur de France en 2015 et qui a permis au restaurant d’obtenir sa troisième toque au Guide Gault&Millau, la même année. Depuis sa tendre enfance, le charentais se passionne pour la cuisine du terroir. « Enfant, je concoctais le cochon en terrine, les confitures maison et les légumes du potager avec mes parents » confie-t-il. Aujourd’hui, c’est dans ce même esprit qu’il impose son empreinte culinaire et s’appuie sur un vaste panel d’artisans et de petits producteurs de la région. Une confiance mutuelle s’est installée entre Jérôme et ses partenaires. Chaque jour, ces derniers lui livrent directement les meilleurs produits locaux. Parmi eux, Claudine Vigier de la fromagerie du Comtat pour les fromages ; Pierre et Philippe Silvain de Sylvain Frères pour les nougats ; Le Potager d’Olivier pour les fruits et légumes de saison ; la Boucherie Choc Viande pour le cochon, l’agneau, le bœuf et la charcuterie… Un restaurant à part… Au sein du restaurant qui porte son propre nom, le chef Jérôme Blanchet propose de la haute gastronomie qui revisite à la perfection les grands classiques de la cuisine française en y ajoutant une pointe d’innovation. Avec finesse et authenticité, chaque plat met à l’honneur les produits issus du terroir local. Pour satisfaire toutes les envies, Jérôme propose deux différents menus : le menu de saison et le menu dégustation. Avec le premier, il dévoile sa propre interprétation de chaque saison et propose une entrée, un plat, un fromage et dessert au choix pour 69 €. Avec le second, il invite les convives à se laisser tenter par une expérience culinaire inédite. Pour cette formule à 99 €, le service s’effectue en sept notes. Ce n’est pas tout ! Une carte qui évolue au rythme des saisons et qui met l’accent sur les produits frais du marché est à découvrir. En entrée, le délicieux carpaccio de loup de méditerranée au piment d’Espelette révèle toute la fraîcheur des produits provençaux. Comme plat, le succulent rouget de roche, fenouil et pommes de terre à l’or rouge des trois rivières démontre le parfait équilibre des textures et des saveurs. Et en dessert, le soufflé chaud au limoncello au sorbet verveine apporte une touche de douceur. Pour accompagner toutes ces savoureuses suggestions, le restaurant propose une intéressante carte de vins qui regroupe plus de 600 références dont principalement des vins de la Vallée du Rhône. Le tout, à déguster en salle ou sur la terrasse panoramique du restaurant pour profiter d'un cadre inoubliable, et servi par un personnel aussi sympathique que réactif. ...
La passion des vins a donné naissance au restaurant gastronomique le Burgundy Lounge, un écrin exclusivement consacré aux terroirs de Bourgogne (et à quelques appellations de champagne). Alliant cadre cosy, service dévoué et cuisine gastronomique, il mérite amplement le détour. Honneur aux vins de Bourgogne D’un premier coup d’œil, on remarque les quelque 280 bouteilles maintenues en apesanteur, exhibées comme des médailles derrière une grande paroi vitrée. C’est la pièce maitresse de la maison Burgundy Lounge. Les matériaux décoratifs bruts comme le bois rappellent l’univers du vin. On note le style à la française des plafonds avec ses poutres apparentes et les murs aux pierres nues qui rappellent l’univers de la cave. Cette cave justement, le Burgundy Lounge la promeut avec fierté. Elle est joliment fournie grâce au lien que l’établissement s’est construit avec les domaines qu’il suggère à la carte. Plus de 9 000 bouteilles en 800 références et 80 domaines font la renommée du restaurant. Les flacons proposés sont issus des vignobles du Chablis, de la Côte de Beaune et de la Côte de Nuits (et à quelques appellations de champagne). La première étape du voyage auquel vous êtes convié est la sélection du vin. Que vous soyez amateur averti ou simplement curieux, les conseils du chef sommelier Jean-Sébastien Jurin et de son équipe vous seront d’une grande utilité dans la découverte des meilleurs accords. Une harmonie entre mets et vins Quatre espaces aux ambiances distinctes attendent les convives : autour de la table de dégustation, proche de la cuisine, sur des chauffeuses basses dans la mezzanine, ou dans la bibliothèque face à la cave. La sérénité et l’intimité y règnent, avec une lumière tamisée et une disposition de tables confortables offrant des espaces personnels de taille très raisonnable. Dans l’enchantement de ce décor chaleureux, vous gouterez à une cuisine gastronomique, finement sculptée des mains de maitre. Le chef Axel Ruga détient le titre de maitre restaurateur et promet de satisfaire vos papilles en proposant des plats de haute tenue et pleins de saveurs. L’évolution de la carte du Burgundy Lounge suit la saisonnalité des produits et les inspirations de son chef. En parlant d’inspiration, on peut dire que ce dernier en a. Sa technicité et sa personnalité héritées d’une famille de trois générations de restaurateurs se lisent dans ses plats. Sa cuisine est entièrement faite maison, en accord harmonieux avec les vins de Bourgogne. Le chef est alors très exigeant sur la qualité des matières premières et il a noué des relations de confiance avec ses fournisseurs pour ne proposer que des produits de grande fraicheur. Du jambon blanc à la truffe aux Saint-Jacques bretonnes snackées, écrasé de pommes de terre au beurre d’algues, œuf de tobico au wasabi : vos papilles se délecteront ! ...