La plateforme de coaching de vie, Parenthèses Coaching, vous propose une réponse adaptée à vos besoins. N'attendez pas pour vous occuper de vous afin de vous offrir une vie meilleure. Plus qu’un site : une aventure humaine Lancée officiellement en mars 2017, la plateforme Parenthèses Coaching est à l’initiative de 6 coachs provenant de la même école de formation : Coach Academie. Leur objectif principal : apporter au grand public toutes les informations liées au coaching de vie. A ce titre, un blog a été ouvert que chacun peut apprécier en fonction de ses besoins du moment. Vous y trouvez, par exemple, un dossier complet sur le développement personnel qui répond à toutes vos interrogations sur le sujet. Au fil du temps, l’équipe s’est agrandie et compte aujourd’hui pas moins de 21 coachs de vie. A terme, d’après les dires du créateur de la plateforme, Éric Sciscione, il est prévu de s’étendre sur tout le territoire français en intégrant de nouvelles personnes qui souhaitent rejoindre, à leur tour, cette belle aventure. Le seul critère de sélection : que le nouveau coach soit en accord avec les valeurs de bienveillance, d’authenticité et d’efficacité de Parenthèses Coaching. Des professionnels du coaching de vie à votre écoute En plus d’être un site qui se donne pour mission d’évangéliser le coaching, Parenthèses Coaching propose aux particuliers qui le souhaitent un accompagnement personnalisé. Attention : cette équipe de coach est spécialisée en coaching individuel. Ainsi, un chef d’entreprise peut tout à fait faire appel à eux, mais en qualité d’individu avec des enjeux personnels (gestion du stress, création d’entreprise, reconversion professionnelle, meilleur équilibre entre vie personnelle et professionnelle, apprendre à mieux communiquer, etc.). Après un premier entretien gratuit, le coach que vous rencontrez vous fournit les bons outils pour vous permettre de surmonter vos difficultés tout en vous proposant un tarif accessible. ...
Dans un environnement de plus en plus concurrentiel, il est en effet essentiel de pouvoir évaluer en permanence le statut de ses relations avec ses clients, et de s’assurer qu’ils disposent de parcours adaptés, afin de pouvoir prendre les décisions adéquates. Les solutions CRM constituent ainsi le réceptacle de toutes les interactions avec les tiers - en B2B, B2C, ou B2B2C, quels que soient les relations de l’entreprise avec ses clients, ses prospects et l’ensemble de son écosystème (partenaires, fournisseurs, etc.) Le CRM doit aussi assurer le support des processus métiers opérationnels… ce qui est déjà beaucoup plus difficile à faire. Les meilleures solutions CRM se distinguent par leur flexibilité, leur adaptation aux besoins individuels de l’utilisateur, leur modularité, leur couverture fonctionnelle et leur évolutivité. Les entreprises ne peuvent plus se contenter de recueillir des données : elles doivent s'assurer de l'efficacité de la collecte des informations et de la qualité de leur base de données afin de réaliser des analyses qui serviront de base à la prise de décisions et à la détermination des actions à mettre en œuvre. Vers un support optimal des utilisateurs Les solutions CRM de nouvelle génération vont au-delà de la restitution des informations liées au client et à son écosystème. Il est important d’optimiser la convivialité (usability) et la qualité des parcours client et de l’expérience utilisateur (user experience) de la solution CRM en pouvant agir à tout niveau sur la conception de l'interface utilisateur (user interface design). Ces 3 facteurs ont une influence directe sur l'acceptation de la solution CRM et sur son utilisation au quotidien par les utilisateurs. Il s’agit d’éléments clés à prendre en compte dans le choix d’une solution CRM, au-delà de la couverture fonctionnelle. En combinant convivialité de la solution et capacité à modéliser des processus métiers, on peut alors obtenir un taux d’appropriation et d’utilisation de la solution CRM bien supérieur à ceux de ses concurrents et disposer ainsi de données plus nombreuses et de meilleure qualité, permettant de réaliser des analyses plus efficaces et donc de prendre de meilleures décisions. Placer l’utilisateur au centre : une nouvelle approche pour les solutions CRM L’expérience utilisateur (« user experience ») est un concept global comprenant plusieurs facteurs : Perceptions et réactions d’une personne lors de l’utilisation ou à la simple vision d’une solution ou d’un service. Définition de l’« expérience utilisateur » selon la norme ISO 9241-2101. Dans le cadre de l’utilisation d’une solution CRM, l’un des principaux éléments de l’expérience utilisateur réside dans la convivialité (usability) de la dite solution. Degré selon lequel une solution CRM peut être utilisée, par des utilisateurs identifiés, dans un contexte d’utilisation spécifié, pour atteindre des objectifs définis avec efficacité, efficience et satisfaction. D’après la définition de la « convivialité » selon la norme ISO 9241-210. L’amélioration de l’expérience utilisateur comme facteur clé de réussite L’amélioration de l’expérience utilisateur vise au contraire à associer une conception optimale de la solution à une utilisation positive. L’utilisateur est ainsi placé au centre de la démarche, de la conception initiale de la solution jusqu'à son intégration, afin de prendre en compte ses besoins, ses suggestions mais aussi ses appréhensions. Ces facteurs, qui vont au-delà des critères de qualité standards, sont essentiels dans la décision d’achat, ainsi que pour la fidélisation. La convivialité (usability), l’expérience utilisateur (user experience) et la conception de l’interface utilisateur (user interface design) deviennent ainsi des leviers permettant d’agir sur la différenciation et la performance d’une solution CRM. Quand ces concepts sont pris en compte de façon systématique, on peut alors parler d’expérience client (customer experience). Dans une ét...
Créé en 2016 par cinq collègues de promotion décidés à se lancer dans l’aventure entrepreneuriale, Ergo Motri Santé (EMS) est un cabinet implanté dans le Centre-Val de Loire qui déploie son expertise pluridisciplinaire sur tout le territoire français. Dès l’année de sa création, EMS a été sacré « jeune entreprise exemplaire » lors du concours lancé par la Jeune Chambre économique d’Orléans puis, en 2017, EMS remporte le concours Talent BGE Centre Val de Loire catégorie Services. Depuis, EMS trace sa route en s’appuyant sur des partenaires de confiance, à l’instar de Nekoé, d’Harmonie Mutuelle, d’Activa Formation ou encore du CRESITT Industrie. Mesurer l’enjeu de l’ergonomie Le cœur de métier d’EMS s’articule autour de l’optimisation du bien-être, de la santé et de la qualité de vie au travail. Ainsi, l’équipe intervient dans plusieurs champs d’applications, à savoir l’évaluation et la prévention des risques professionnels, l’accompagnement des personnes en situation de handicap, la formation et la sensibilisation, la conception et l’aménagement de postes de travail ou encore l’ergonomie de conception avec l’expérience utilisateur (UX). « Réduire l’ergonomie à une norme ou à un standard est illogique parce que chaque individu, chaque structure, perçoit différemment ses besoins. Dans notre métier, il n’existe pas de solution toute faite », souligne Benoit Corret, ergonome au sein d’Ergo Motri Santé. Les prestations étant réalisées sur mesure, le cabinet peut s’adresser à différents types de structures : grands groupes, organismes du secteur public, entreprises à taille humaine... À la suite d’une demande d’intervention, l’ergonome va d’abord s’imprégner du contexte et du fonctionnement de son lieu d’intervention à partir des documents, des observations in situ et des entretiens qu’il effectue avec les hommes et femmes concernés par la problématique de l’entreprise. Puis, dans le cadre d’une EValuation des Risques Professionnels (EVRP) par exemple, l’objectif sera de proposer des préconisations pour réduire les risques de développement de maladies professionnelles ou d’accidents du travail. En appliquant une approche située, l’ergonome va pouvoir saisir le décalage entre la manière dont une personne est chargée de réaliser une tâche et la manière dont elle l’accomplit. « Nous allons justement fonder notre étude sur cette action réelle, sur ce qui se passe vraiment, car elle met en lumière la véritable problématique dans l’entreprise », explique Yves Denis, ergonome. Ensemble, investir dans une meilleure performance EMS mise sur une démarche participative en mobilisant toutes les personnes concernées par le changement. Cette notion de co-construction permet aux salariés de se sentir impliqués dans le processus, tout en favorisant la cohésion sociale dans l’organisation et en intégrant les contraintes des fonctions supports (maintenance, qualité…). Entretiens individuels ou groupes de réflexion font partie des techniques participatives déployées par le cabinet. « Ensuite, notre rôle sera de traiter toutes ces informations et d’essayer de trouver la cohérence avec les objectifs stratégiques de la structure en termes d’investissement et de productivité », soutient Xavier Prieur, ergonome. L’ergonomie collaborative est également une façon de pérenniser le changement grâce à un apprentissage mutuel pendant l’accompagnement. En effet, chaque intervention réalisée vise à offrir aux différents acteurs l’autonomie nécessaire pour qu’ils puissent prendre leurs propres décisions en ergonomie et être responsables de leur santé au travail. « Nous avons notre expertise et notre propre méthodologie pour recueillir et traiter les données, mais finalement, souvent, ce sont eux qui détiennent la solution. » ...
Une maison, mille univers. La Maison d’Alfred est un lieu de vie où se côtoient talent, innovation, co-création et synergie. En plus d’offrir un espace de travail, de séminaire et de coworking, elle permet surtout à ses habitants et à ses clients de découvrir une nouvelle manière de collaborer, de se perfectionner et de faire grandir leur projet. Pour la petite histoire Ne serait-ce que pour sa belle façade, cette bâtisse historique mérite qu’on s’y attarde. Édifiée en 1870 par M.Alfred Motte, la propriété se trouve au pied de la zone de passage du tramway du grand boulevard, un projet fou né sous l’impulsion d’Alfred Mongy dans le but de relier Lille-Roubaix-Tourcoing. Dans une volonté d’insuffler une nouvelle dynamique à cette maison bourgeoise roubaisienne, David Duprez décide de la reprendre et d’en faire un univers dédié à la créativité et au travail collaboratif, et cela « avant même l’apparition du concept du coworking en France » indique-t-il. C’est en 2016 que la propriété est officiellement baptisée « La Maison d’Alfred », faisant sans doute référence à l’ingénieur Arts & Métier, Alfred Mongy. Et l’on ne peut s’empêcher de faire le parallèle entre cet homme et l’identité de la maison. Le lieu revendique le même esprit d’innovation et l’ambition de relier les hommes entre eux. Mieux que ça, la Maison d’Alfred se veut être un lieu bienveillant et ouvert, pour que chacun puisse trouver un espace professionnel qui lui ressemble en se sentant comme à la maison. « Une maison qui a une âme », comme aime à le préciser son fondateur. Les habitants de la Maison d’Alfred À la Maison d’Alfred, les habitants donnent vie aux valeurs d’ouverture et de collaboration qui définissent le concept du lieu. Entreprises, start-up, entrepreneurs, freelancers, designers, bloggers, consultants, développeurs et coworkers nomades forment cette communauté. Certains disposent d’un bureau privé en zone franche pour travailler et d’autres partagent l’open space installé au 3e étage, entièrement dédié au cosy coworking. Rénové dans un décor lifestyle très contemporain, cet espace de 200m² se dote d’une installation moderne (bureaux équipés, accès wifi, cadre confortable, etc.) offrant une atmosphère de travail la plus stimulante possible. « D’ailleurs, j’ai carrément fait enlever les toits pour installer les verrières afin d’avoir les lumières du jour », fait savoir le fondateur. La flexibilité de l’offre constitue un autre atout majeur dont profitent les habitants. Ils ont la possibilité d'adapter leur emploi du temps grâce aux différentes formules proposées : découverte, mixte, nomade ou résident. En outre, la maison a créé le Déj d’Alfred pour dynamiser l’innovation et la collaboration entre habitants. L’objectif ? Faire émerger l’enrichissement mutuel à travers la rencontre des talents, le partage de réussite et la confrontation des idées. Incontournable, ce rendez-vous des plus vibrants est l’occasion idéale de saisir de nouvelles opportunités. En parallèle, plusieurs autres animations et ateliers sont organisés au profit des habitants, toujours dans cette optique d’échange et de collaboration sur fond de convivialité. Parmi eux figurent les Conf' d'Alfred, des réunions de discussion ouvertes à un public extérieur désireux de s'informer et d'échanger sur plusieurs thèmes. Un espace réservé pour les évènements d’entreprise Le temps d’une réunion de travail, d’une session plénière, d’une formation ou d’un séminaire, les entreprises extérieures peuvent également profiter de l’esprit cocooning de la Maison d’Alfred. Imaginées pour accueillir jusqu’à une centaine de collaborateurs, les dix salles mises à disposition des entreprises et grands groupes s’adaptent parfaitement à leurs exigences. « Auchan, Décathlon ou encore Leroy Merlin sont déjà venus découvrir notre concept et sont repartis ave...
Séminaires, team-building ou lancements de produits, l’équipe Epsilon saura faire de votre visite un moment mémorable fait de surprises, d’amusement et d’esprit d’équipe. Le concept est simple mais innovant, le room Escape. Inspiré de jeux vidéo, le but est de s’échapper d’une pièce close, la fameuse chambre du patient n° 8. Résolutions d’énigmes, mystères à découvrir, jeux de réflexion… Aux équipes de tout faire pour révéler tous les secrets de cette chambre et espérer en échapper… La chambre du patient n° 8 Inspirés des énigmes et de la réflexion caractérisant l’univers de l’escape game, Florent Steiner et Guillaume Natas, deux amis ingénieurs et passionnés de jeux vidéo, décident de créer cet univers parallèle scénarisé d'une histoire digne des plus grands thrillers. « À l’arrivée, les participants sont accueillis par un membre de l’équipe qui va leur expliquer le principe, les règles de sécurité et le scénario », nous explique Guillaume Natas. Dans un décor plus vrai que nature, nous nous retrouvons ainsi plongés dans les années 90, plus précisément en 1992. On raconte alors que le patient de la chambre n° 8, dont le docteur Edmond Epsilon avait la charge, s’est échappé par on ne sait quel moyen. Cette chambre prétendument située dans un hôpital psychiatrique, la clinique Sinople, sera ainsi le terrain de jeu des équipes, composées de 3 à 5 joueurs, qui joueront seules ou contre d’autres groupes. Tout est pensé afin de plonger chaque équipe dans le monde psychiatrique des années 90 : lit avec menottes, chambre à l’aspect froid, vieille télévision… « Propulsés dans cette histoire inspirant l’aventure, les joueurs devront ainsi découvrir comment ce patient a réussi à s’échapper de cette pièce », reprend notre interlocuteur. À l’aide d’un Maître de jeu, ou game manager, interagissant de l’extérieur avec les joueurs pour les aider en cas de besoin, chaque équipe aura en tout soixante-dix minutes pour trouver la solution et sortir de cette pièce. Des énigmes devront être résolues, des objets déplacés et des secrets dévoilés par la réflexion, l’observation, la logique et bien sûr l’esprit d’équipe. À découvrir absolument… Des prestations au-delà du jeu Au-delà de l’aspect ludique du jeu, un team-building ou un séminaire organisé autour d’un escape game sera l’occasion de découvrir les facultés et les limites de chacun. Le jeu, à la difficulté bien mesurée, contribuera, en effet, à développer l’esprit d’équipe tout en vous permettant d’identifier, aux côtés du game manager, les personnes leaders capables de mener des équipes par une bonne prise d’initiative. « Véritable révélation de la personnalité grâce à la mise en difficulté, ce jeu vous assurera de découvrir vos collaborateurs sous un nouveau jour », continue-t-il. Mis à part le côté ludique, les locaux d’Epsilon Escape disposent de salles de réception pouvant accueillir une centaine de personnes en cocktail. Les services vont ainsi de l’organisation d’une seule partie d’escape game, avec, en plus, le rafraîchissement dans un salon, de la privatisation intégrale du lieu. Ces prestations haut de gamme et sur mesure peuvent, par ailleurs, être agrémentées d’animations diverses dans le cadre de la formule clé en mains. ...
Vous souhaitez vous épanouir professionnellement ? Gérer vos tâches quotidiennes de façon plus efficace, prendre de nouvelles responsabilités, développer votre leadership, définir et mettre en œuvre un plan d’action ? Le cabinet proactif Ressources, met à votre disposition un service aussi performant que novateur. Un coaching professionnel pour accélérer la réussite de ses projets En tant que spécialiste du développement de l’efficacité professionnelle, du management de carrière et du bien-être au travail, ProActif Ressources est en mesure de répondre aux attentes des managers, dirigeants et porteurs de projet. En s’appuyant sur l’expertise de sa créatrice, Véronique Sanna, et d’un réseau solide de spécialistes et partenaires, ProActif Ressources propose des parcours d’accompagnement individuels et collectifs autour des services du coaching, de la formation et du mentorat. Mieux se connaitre pour réussir Tout commence par une phase de diagnostic, étape indispensable pour comprendre ses modes de fonctionnement et identifier les freins qui compromettent la réalisation de ses projets ou celle des équipes. La force de l’accompagnement réside dans l’utilisation, de méthodes et outils reconnus scientifiquement. Ils sont issus des dernières recherches en neuroscience basées sur le mécanisme de la pensée (biais cognitifs) qui permettent d’évaluer l’incidence des raisonnements sur les émotions et les comportements productifs et contreproductifs. De plus, l’approche en coaching cognitif (travail sur les croyances limitantes) et comportemental (centré sur l’atteinte d’objectifs opérationnels) s’avère être un véritable atout pour accompagner la conduite du changement et évoluer avec plus de sérénité dans des situations complexes. Comment se déroule la prestation ? Pour ceux qui souhaitent aller au-delà du diagnostic, qui comprend une séance de débriefing 1 h 30, il est possible de s’entrainer à agir et interagir avec son environnement. Dans ce cadre, un parcours d’accompagnement personnalisé est proposé. Son objectif : vous permettre d’élaborer et de mettre en œuvre un plan d’action tant pragmatique qu’opérationnelle en vous guidant sur le chemin de la réussite de votre évolution et de votre performance. Le parcours varie de 8 à 10 séances de 1 h 30 environ. Un coaching bref de 4 à 6 séances peut aussi être envisagé selon la demande et vos besoins. Les séances se déroulent dans les locaux de ProActif Ressources, en visio, ou encore par téléphone selon vos souhaits et disponibilités. Booster son efficacité, développer son intelligence émotionnelle, gérer son stress, manager sa carrière, transmettre son patrimoine professionnel : voici quelques champs d’actions de ce cabinet de coaching. ProActif Ressources s’engage au quotidien à vos côtés pour vous permettre de libérer votre potentiel et de réaliser vos plus beaux projets. ...
Certains biens immobiliers sont inaccessibles à un investisseur isolé. Par ailleurs, gérer un patrimoine plus ou moins conséquent peut se heurter à un certain nombre de difficultés. C’est pourquoi créer une SCI, ou société civile immobilière, se présente comme une solution idéale. Mais les investisseurs ne connaissent pas forcément les subtilités juridiques d’une telle entité. Pour cette raison, Agence Juridique offre l’opportunité de passer par sa plateforme en vue de réaliser toutes les démarches nécessaires. Focus sur un concept neuf, et des plus utiles ! Créer une SCI : le principe et les possibilités offertes Il faut savoir que près du tiers des sociétés françaises sont des sociétés civiles immobilières. Un tel succès s’explique en raison des possibilités offertes par ce genre d’entité juridique, comme le démontre Immoz.fr. Créer une SCI, c’est répartir plus facilement les droits de possessions de chaque acheteur sur un bien immobilier. Les titres sont en effet répartis selon la participation de chacun.C’est aussi une manière de pouvoir accéder, à plusieurs, à un bien qui n’aurait pas pu être acquis par un seul investisseur. Cette forme juridique est également un bon moyen de transmission pour ses dirigeants. Un associé souhaitant quitter la société peut le faire tout simplement en cédant ses titres. Et en cas de décès de l’un d’entre eux, l’indivision ne s’applique pas à ses héritiers. A la place, les décisions sont prises en conformité avec ce qui est inscrit dans les statuts. Il en va de même à propos de toutes les décisions impactant la société. Celles-ci sont prises en fonction des règles édictées dans les statuts. De quels avantages fiscaux parle-t-on ? Créer une SCI, c’est aussi avoir la possibilité de choisir l’Impôt sur les Sociétés (IS) plutôt que le régime des sociétés de personnes où les associés sont imposés directement en leur nom propre. Il existe plusieurs avantages dans le cas de l’IS. D’abord, l’imposition est effectuée directement sur le patrimoine de la société. Libre ensuite aux dirigeants de se répartir ou non les dividendes. En fonction des choix réalisés, l’acquisition du bien immobilier peut donc être amortie. Ce qui n’est pas possible dans le cas du régime des sociétés de personnes. De plus, en situation de transmission, les associés peuvent réaliser des montages financiers intéressants. Dans la mesure où le ou les immeubles sont transformés en titres, la fiscalité s’appliquant à un héritage n’est pas la même ! Quelques inconvénients à considérer Bien sûr, rien n’est parfait. Choisir de créer une SCI, c’est opter pour une société dont les associés sont responsables des dettes de façon indéfinie. Cela signifie qu’en cas de difficulté financière ou de faillite, les effets personnels des dirigeants peuvent être saisis pour régler l’endettement de la société. Mais créer une SCI, c’est aussi devoir se soumettre à un certain nombre de contraintes légales. Il est par exemple obligatoire d’organiser chaque année une Assemblée Générale où doivent se réunir tous les associés pour discuter de la tenue de l’activité. C’est aussi transmettre, tous les ans, un suivi comptable au greffe du tribunal de commerce si les dirigeants optent pour l’IS. Par ailleurs, au moment même de la création de l’entité juridique, les associés se heurtent à de véritables lourdeurs administratives. Si les statuts leur assurent une gestion simplifiée, notamment en cas de transmission des titres, ils doivent être rédigés. Et la rédaction des statuts peut s’avérer véritablement ardue pour des investisseurs qui n’ont pas forcément les clefs et les connaissances nécessaires ! Vous pouvez trouver des exemples de statuts juridiques sur les Echos. Et le processus de création ne s’arrête pas là, puisqu’il fait également intervenir d’autres formal...
L’essor de l’intelligence artificielle (IA) L’intelligence artificielle est de plus en plus présente dans la réalité quotidienne. Face aux enjeux que cela représente au niveau de l’économie et de la société, la France s’est positionnée en leader en lançant un plan de 1,5 milliard d’euros destiné à retenir et attirer les meilleurs chercheurs autour de cette technologie. Les usages potentiels et les domaines d’application de l’intelligence artificielle sont infinis. Les entreprises ont compris qu’elles ont là une opportunité unique de pouvoir mieux répondre aux besoins des consommateurs. C’est pour cela qu’EPTICA a choisi d’investir très tôt dans l’intelligence artificielle. Spécialisé dans les solutions conversationnelles pour l’expérience client digitale, EPTICA a développé « une intelligence artificielle hybride qui mélange le Traitement Automatique du Langage Naturel, le Machine Learning et le Text Analytics », explique Anne-Claire Bellec, directrice marketing et communication. Grâce à son moteur, EPTICA parvient ainsi à automatiser un maximum de conversations via les dispositifs de self-service et de chatbots, permettant aux entreprises de désengorger leur service client. De plus, « sur tous les canaux nécessitant une intervention humaine (réseaux sociaux, email, chat, etc), nos machines automatisent également un maximum de tâches. Elles fournissent des suggestions de réponses automatiques ainsi que les éléments de contexte clients qui aident les agents à se concentrer sur la relation et à personnaliser les conversations », ajoute Anne-Claire Bellec. Mais ce spécialiste de l’IA pour la relation client ne se contente pas d’automatiser les conversations digitales. Le groupe a lancé récemment vecko, une nouvelle solution capable d’analyser en continu les flux de conversations sur l’intégralité des canaux et d’en extraire des informations directement actionnables. vecko ouvre la voie de l’intelligence client. vecko, une solution pour améliorer l’expérience client La simple connaissance client n’est plus suffisante pour développer et pérenniser un business. Or, la plupart des entreprises se contentent de se fier à des enquêtes de satisfaction réalisées la plupart du temps par des instituts de sondage. Le problème est que les résultats obtenus ne donnent qu’une vague idée des causes pouvant être à l’origine des irritants ou des sources de satisfaction des clients. Afin de comprendre véritablement la psychologie et les ressentis des clients, il est nécessaire d’aller au-delà de cette connaissance client. Et pour cela, EPTICA a mis au point une technologie qui extrait en temps réel la valeur des conversations, et met à jour les véritables motifs de satisfaction ou d'insatisfaction. S’appuyant sur l’IA hybride d’EPTICA, vecko analyse toute la “voix du client” permettant de comprendre à la fois le client et son parcours. La solution présente une particularité : sa capacité à analyser finement les conversations avec une granularité qui identifie de manière fiable tous les irritants, tous les motifs d’insatisfaction ainsi que les émotions des clients. Sur ce point, il faut savoir que seuls 10 % des entreprises sont en mesure d’analyser les émotions. vecko est l’unique solution du marché français qui fournit l’ensemble de ces services aux marques. À partir des données obtenues, il génère des tableaux de bord personnalisables par métier. « Notre ambition c’est que tout le monde dans l’entreprise, utilise vecko et que chaque département (marketing, commercial, e-commerce, fidélisation, service clients, etc.) bénéficie à son niveau de l’intelligence client », précise Anne-Claire Bellec. Un plan d’action peut ensuite être mis en place pour actionner des changements sur l’ensemble du parcours client. L’amélioration de l’expérience client constitue un enjeu de taille pour les entreprises dans la mesure où cela impacte directement leurs résultats financiers. En adoptant la solution vecko, les entreprises parviennent rapidement à générer un ROI calculable très simplement. En effet, une expérience positive va inévit...
Des résultats (plus que) prometteurs ! Implantée au sein du Pôle Léonard DeVinci, DeVinci Junior se compose à 100 % d’étudiants issus de l’École d’Ingénieurs (ESILV), de l’École de Management (EMLV) et de l’Institut de l’Internet et du Multimédia (IIM). Depuis son lancement, il y a deux ans, cette Junior qui compte parmi ses clients aussi bien des grand groupes que des PME et des start-ups, contribue à la réussite des nombreux projets qui lui sont confiés. « En 2017, DeVinci Junior a réalisé un chiffre d'affaires chiffre d’affaires qui luiu permet de se hisser parmi la tranche haute des chiffres d'affaires engendrés en unior-Entreprises » explique Nathan Gouët. « Et depuis le début de l’année, nous avons d’ores et déjà franchi le cap des 60 000 € de chiffre d’affaires signé ». Bref, vous l’aurez compris, le succès est au rendez-vous. Mais si les fées se sont clairement penchées sur le berceau de DeVinci Junior, ces Junior-Entrepreneurs « made in DeVinci » ne doivent leur réussite qu’à leurs idées (résolument créatives et novatrices), à leur esprit d’équipe (pour gagner, ils jouent « collectif ») et à l’enthousiasme dont ils font preuve. Associer la théorie et la pratique, une plus-value appréciable Parce qu’elles donnent l’occasion à des étudiants de mettre en application l’enseignement qu’ils ont reçu et de développer leur potentiel, les Juniors-Entreprises constituent un excellent moyen d’acquérir une expérience professionnelle dans son domaine de compétences. « C’est d’ailleurs dans cette optique qu’on été créées les toutes premières Juniors-Entreprises. L’idée, c’est d’apporter la pratique à des étudiants qui, jusque-là, devaient se contenter de la théorie. De les professionnaliser » précise Nathan Gouët. « Une fois que l’on est un ‘’Junior-Entrepreneur’’, on n’est plus seulement un étudiant. On rentre véritablement dans le monde du travail ». Et pour cause, ce sont les Junior-Entrepreneurs qui gèrent, de A à Z, les projets qu’ils décrochent. Les Junior-Entreprises auraient ainsi sur les étudiants qui ont la chance d’en faire partie, l’effet d’un accélérateur de maturation professionnelle. L’innovation et l’adaptabilité comme maîtres-mots DeVinci Junior ne manque pas d’atouts pour attirer de nouveaux clients. En effet, la structure même de DeVinci Junior lui garantit une grande réactivité. Il lui est, par exemple, possible de mobiliser rapidement de nombreux intervenants et de les faire travailler de manière transversale. « Nous disposons d’un riche vivier de talents et de compétences (ingénierie, design digital, business, marketing, commerce, finance, nouvelles énergies, etc.) dans lequel puiser » indique Nathan Gouët. « Les quelque 4 600 étudiants du pôle DeVinci sont autant de consultants potentiels ». Enfin, le fait que les étudiants soient « à la pointe des toutes dernières tendances » et proposent à leurs clients « des solutions résolument innovantes » finit de compenser - largement - les heures de vol dont certains esprits chagrins pourraient reprocher aux Junior-Entrepreneurs de manquer… ...
Si l’escape game est passé phénomène de mode, Tempête sous un crâne (Tsuc pour les intimes) promet d’en faire une expérience singulière. Loin des grandes enseignes franchisées, cette adresse à taille humaine a imaginé ses propres scénarios et décors. Une aventure faisant la part belle au fait maison que les instigateurs du projet tiennent à réinvestir dans les trois parcours proposés. Silence, moteur, divertissement ! Trois scénarios pour chaque humeur Imaginés par les créateurs de Tempête sous un crâne eux-mêmes, les scénarios proposés par l’enseigne célèbrent l’aventure sous toutes ses formes. L’espace d’une heure – le temps qu’il faut pour réussir chaque mission – l’on entre dans l’univers très huppé d’un paquebot. Court moment de divertissement car il est bientôt l’heure de tout tenter pour sa survie, alors que l’embarcation est vouée à disparaître dans les abysses de l’océan qu’il vogue. « Les naufragés du Liberté » se prêtent aux amateurs de grand suspense. Esprit de logique et d’équipe fortement sollicités. A ceux que les mots péril et danger ne risquent nullement de démonter, Tsuc lance un défi peu commode. Investir le repaire d’un vampire pour lui dérober l’élixir d’immortalité savamment bien gardé. Cœur solide, résistance à la pression et sens de l’observation hautement recommandés pour cette mission riche en péripéties. Les personnes à mobilité réduite sont également conviées à faire partie de l’aventure. A moins que l’on se sente l’âme d’un fin limier et que l’on veuille ajouter à son pedigree la résolution d’une affaire demeurée mystérieuse depuis les années 40. « Enquête de haut vol » fera peut-être des joueurs LES experts qui auront enfin mis en lumière les circonstances de la disparition du fameux Saint-Exupéry. A condition que leur équipe sache faire preuve de méthode et que la vitesse des décisions et des actions figure parmi leurs atouts. L’alarme ne restera effectivement inactive que pendant les 60 minutes du jeu. L’escape game version fun et cosy Les jeux d’évasion font souvent penser d’emblée à beaucoup de mouvements et de rythmes. Chez Tempête sous un crâne, le côté amusant du jeu ne doit pas se laisser submerger par ces autres aspects. C’est bien pour cela que l’équipe accueille toujours ses joueurs dans l’objectif de les faire se sentir en famille, bien entourés. Histoire d’entrer en mode décontraction, le calendrier des disponibilités des missions est accessible en ligne au jour et à l’heure près. Le jour dit, l’accueil se fait en toute convivialité avec un petit rafraîchissement. Des douceurs à volonté sont mises à disposition. Outre des maîtres de jeu totalement disponibles, les salles sont équipées de dispositifs de sortie d’urgence. Pour que chaque participant ait une expérience mémorable de son passage ici, Tempête sous un crâne prévoit trois niveaux de difficultés pour les trois missions disponibles. Dès 12 ans, chacun pourra ainsi accéder un parcours à hauteur de ses capacités et de son envie de dépassement. Les missions sont planifiées pour des équipes de 3 personnes au moins. Pour un confort optimal, l’équipe Tsuc recommande un maximum de 5 participants par groupe. ...
Une fusion, une ouverture de site, une transmission entre deux dirigeants… Les organisations sont aujourd’hui en perpétuelle transition. Cependant, s’adapter à ces changements n’est pas toujours aisé. C’est là qu’intervient Leading Transform. Ce cabinet spécialisé en coaching de transitions accompagne les entreprises à faire face à ces changements, en créant de nouvelles voies et en refondant les démarches pour leur permettre d’avancer. L'accompagnement proposé est également individuel. Un riche parcours Avant de percer dans le domaine du coaching, Daniel Robin, fondateur de Leading Transform, a eu un riche parcours en tant que dirigeant d’entreprises, toutes tailles confondues. En parallèle, il a fondé la Confédération des petites et moyennes entreprises de Martinique (CPME) et assume le poste de conseiller territorial au sein de cette région. En tant que dirigeant, Daniel Robin s’est confronté à ces différents changements qui interviennent dans la vie de l’entreprise. « J’ai basculé du rôle de dirigeant à celui d’accompagnant parce que je crois qu’il est important de mettre au cœur de la démarche de l’intelligence émotionnelle et développer les compétences relationnelles », explique-t-il. Une approche globale Dans son approche, Leading Transform ne privilégie aucune méthode ni outil particuliers. Ici, « il ne s’agit pas de proposer des solutions toutes faites », car chaque séance relève d’abord d’une co-construction. « Nous travaillons à faire émerger une demande et, à partir de là, à construire un chemin, c’est un travail de coopération entre un coach et son client », précise Daniel Robin. Face à l’inconnu généré par une situation de transition, le rôle du coach est de donner la capacité au coaché à s’engager dans une démarche afin de trouver et de créer de nouvelles voies. Ainsi, le coaching proposé va permettre aux individus de regarder vers l’avenir et de se focaliser sur de nouveaux objectifs. « Mes interventions intègrent une dimension systémique, car je privilégie une approche globale tout en apportant un regard distancé permettant de refonder les démarches », explique notre interlocuteur. ...
Une prime de Noël pour quoi faire ? À l’instigation du Gouvernement en 1998, il a été instauré une prime de Noël pour les plus démunis. Bénéficier de la prime de Noël 2017 permet ainsi d’améliorer le pouvoir d’achat afin de profiter également dans de bonnes conditions des fêtes de fin d’année, et ce quel que soit le nombre d’enfants. Les conditions pour bénéficier de la prime de Noël 2017 Pour bénéficier de la prime de Noël 2017, il faut tout d’abord vérifier si vous êtes éligible au dispositif. Les bénéficiaires Pour cette année, sont concernées les personnes qui touchent les aides ou revenus suivants : Le RSA (Revenu de Solidarité Active) L’ASS (Allocation de Solidarité Spécifique) L’AER (Allocation Équivalent Retraite) La PTS (Prime Transitoire de Solidarité) La prime forfaitaire mensuelle de reprise d’activité NB : Attention seuls les bénéficiaires du RSA socle et les personnes cumulant le RSA socle avec la prime activité (elle remplace depuis le 1er janvier 2016 le RSA activité) pourront bénéficier de la prime de Noël 2017. Les cas non couverts par la prime Les bénéficiaires de la prime d’activité, de l’AAH (Allocation aux Adultes Handicapés), d’une pension invalidité ou de l’Aspa (minimum vieillesse) ne sont pas concernés par la prime de Noël. Les personnes qui bénéficient des allocations chômage (ARE – Allocation de Retour à l’Emploi) ne sont PAS concernées par le dispositif. Montant de la prime La prime versée par la CAF au motif du RSA Le montant de la prime de Noël versée par la CAF dépend de la composition familiale. Pour chaque enfant supplémentaire, le montant est majoré de 60,98 €. La prime versée par Pôle Emploi au motif des autres aides La prime versée par Pôle Emploi est unique et n’est pas indexée sur le nombre de personnes du foyer. Son montant est donc de 152,45 €. Modalités Dans un souci d’améliorer les démarches administratives, il n’y aucune formalité à accomplir pour bénéficier de la prime de Noël 2017, quel que soit votre organisme. Les bénéficiaires concernés la recevront automatiquement dans la semaine du 18 décembre. Ce sont les organismes auxquels les personnes sont affiliées qui verseront la prime : CAF, la MSA ou Pôle Emploi selon la situation. Faux courriels Conformément aux modalités ci-dessus, les bénéficiaires de la prime de Noël n’ont aucune démarche à effectuer. Ainsi, en cette période festive, tout courriel vous demandant de fournir vos coordonnées bancaires est frauduleux. Il s’agit d’une tentative de phishing par laquelle l'émetteur usurpe l'identité de la CAF ou de Pôle emploi. Ce procédé vise à recueillir certaines de vos données confidentielles. Effectivement, si vous bénéficiez des aides allouées par ces organismes, cela signifie que ceux-ci possèdent déjà vos coordonnées bancaires ; ils n’auront donc pas besoin de vous les redemander. Il est donc très facile de bénéficier de la prime de Noël 2017, du moment que vous êtes dans l’une des situations décrites dans cet article. ...
Faisant frontière avec la Suisse, sur 230 km, la Bourgogne-Franche-Comté compte deux aéroports régionaux et dispose de six aéroports internationaux, à proximité. Une mobilité facilitée, également, par quatorze gares TGV, soit le réseau ferroviaire le plus vaste de France. Neuf autoroutes la desservent, et 1612 km de voies fluviales reconnues internationalement, entrelacent le paysage. Son emplacement est sans conteste stratégiquement favorable à l’entreprenariat transfrontalier et international. C’est d’ailleurs, un atout essentiel qui a propulsé la Bourgogne-Franche-Comté dans le palmarès des régions françaises destinatrices des IDE (investissements directs étrangers) en 2019 : la région s’est ainsi hissée au 5ème rang des régions pour le nombre total de projets et au 2ème rang pour le nombre de projets dans la production. Une croissance remarquable Les chiffres l’indiquent, les choix stratégiques d’investissement dans la recherche, la formation, l’industrialisation créent un écosystème favorable au développement économique. Avec un solde commercial excédentaire de 21,5 milliards d’euros d’exportation, la région se place au second rang des exportateurs français, pour un PIB égal à 72 milliards d’euros. Terreau fertile de connaissances et de savoir-faire à l’industrie fleurissante, la Bourgogne-Franche-Comté soutenue par son Agence Economique Régionale ne cesse de s'illustrer pour l’excellence de ses compétences. Un exemple : éminemment reconnus puisqu’inscrits au patrimoine culturel immatériel de l’humanité par l’UNESCO : les savoir-faire en mécanique horlogère et mécanique d’art de l’Arc jurassien, produits d’un travail binational suisse et français. « La forte culture industrielle, la présence de pôles d’excellence en recherche séduisent les investisseurs. Les capacités de R&D et le dynamisme des écosystèmes tournés vers le futur dont des atouts essentiels pour le développement de nouvelles activités » assure Arnaud Marthey, le Président de l’AER. » Ainsi cinq pôles de compétitivité se distinguent, la filière nucléaire, la plasturgie, les microtechniques, la mobilité et l’agroalimentaire. Un exemple : liés à la mobilité, le pôle "Véhicule du futur" et l’AER BFC œuvrent ensemble pour inventer les transports propres de demain, en développant une filière hydrogène. Ici, la productivité s’appuie sur un schéma structurel ; constitué, de plateformes technologiques, de clusters, et de centres de formation répondant précisément à la demande ; lequel est identifiable dans tous les domaines de développement, de la santé au luxe. La région Bourgogne-Franche-Comté accompagne jeunes et personnes en recherche de reconversion, en proposant une très grande variété d’enseignements professionnels, technologiques ou universitaires, initiaux ou continus, répondant aux besoins spécifiques du marché. Ainsi, en synergie avec l’ensemble de ses partenaires institutionnels et privés, de la formation et de l'emploi, l’AER BFC participe à faire se rencontrer les besoins en savoir-faire et en connaissances scientifiques, des entreprises et industries implantées localement. Des programmes uniques en France sont ainsi proposés en Bourgogne-Franche-Comté comme par exemple le "Master Energie" de l’UTBM qui garantit une expertise dans les domaines de l’efficacité énergétique et des énergies propres, avec une compétence particulière en matière d’Hydrogène ou le parcours « Ingénieur Mécanismes et Industrie du Luxe. » de l’ENSMM de Besançon ou encore les programmes en les sciences agronomiques de l’alimentation et de l’environnement de Agrosup à Dijon. La Bourgogne-Franche-Comté compte 60 000 étudiants et 19 200 jeunes en formation par apprentissage. Cinq thématiques d’excellence se dégagent, les sciences dures, les territoires, l’environnement, les aliments et la santé. Terre de recherche, d'innovation et de développement dura...
Bien loin des préjugés, le parcours de Charline Prunier, fondatrice du bureau d’études WENES STAND, est un bel exemple de réussite à la française. En 2007, à seulement 23 ans, elle crée l’agence WENES STAND. Cette toute jeune femme s’engage alors dans une aventure qui n’est pas près de s’arrêter ! Historiquement parisien, le groupe ouvre une seconde agence à Lyon en 2012 sous l’impulsion de sa fondatrice. Puis, pour fêter les dix ans du groupe, une troisième, en 2017 à Nantes. Toujours à l’écoute de ses clients, leurs besoins ont dessiné le groupe Ce désir de placer les besoins de ses clients au centre de la construction du groupe imprègne son évolution. Originellement dédié à la réalisation de stand sur-mesure, c’est le développement de nouveaux besoins client qui a poussé WENES GROUP à créer deux entités : WENES EVENT & WENES AGENCEMENT. Ces deux entités répondent, chacune à leur manière, au développement de l’image d’une marque. WENES AGENCEMENT est dédiée à la réalisation de showroom, bureau, conciergerie ou corner commerciale. WENES EVENT est spécialisée dans la réalisation de structures destinées aux opérations de street-marketing (pop-up store, roadshow ou stand en extérieur). La création de marques dédiées, à contre-pied des conventions du secteur, a fait ses preuves ! En dix ans d’existence, le groupe se place dans le top des agences françaises, avec un chiffre d’affaires de 5.2 millions € en 2017. L’agilité, marque de fabrique de WENES STAND Au fil des ans, le groupe a su s’attacher des marques de renom : • les marques Beko & Grundig dans le secteur de l’électroménager • la marque Giraudi & le label Pays d’Oc en agroalimentaire • les compagnies d’assurances Allianz & Liberty La diversité des secteurs d’activité s’explique par l’agilité dont fait preuve l’équipe. Le soin apporté à la compréhension du secteur d’activité et aux besoins spécifiques d’une marque permet à l’agence d’imaginer des projets innovants, répondant parfaitement aux attentes des exposants. Cette approche sur mesure est la signature du groupe. Ces dernières années, les objectifs ont évolué et les besoins liés aux expositions se sont multipliés. Toujours à l’écoute des exposants, l’agence a créé un nouveau service dédié à toutes les exigences annexes : le service 360°. L’idée ? Offrir un service qui englobe les services satellites propres aux expositions et ainsi libérer l’exposant de toute contrainte. Ce service peut aller de la gestion des invitations salons, à la création d’animations sur stand, ou encore l’organisation de cocktail post-salon. Le savoir-faire des agences s’exporte au-delà des frontières ! Habituée des salons internationaux, l’agence accompagne ses clients dans toute l’Europe. Allemagne, Angleterre, Pays-Bas, les centres d’expositions européens n’ont plus de secret pour elle ! Deux avantages non négligeables pour les exposants français : la facilité de gestion de projet grâce à une proximité géographique et un interlocuteur français. ...
Voilà 20 ans que le marketing digital tourne autour d’un objectif majeur : une bonne visibilité sur les moteurs de recherche. Et voilà 20 ans, en regard de cet objectif, que Google occupe la place numéro un dans les stratégies webmarketing des entreprises. Vraiment ? Pour preuve : vous vous souvenez peut-être qu’en 2013, une panne de 5 minutes du géant du web a eu pour conséquence une chute du trafic Internet planétaire de… 40 % ! Peu surprenant, quand on sait que le moteur de recherche concentre autour de 70 % de parts de marché dans le monde, et près de 94 % rien qu’en France. Un marché est donc rapidement né de ce constat, celui du référencement naturel. Et des agences (nombreuses), qui vous proposent de donner un maximum de visibilité à vos pages dans les premiers résultats de Google – des places convoitées par tous. Parmi elle, Eskimoz : une agence encore jeune, installée à Paris, qui pense son métier de façon disruptive. Le référencement naturel vous va si bien Créée il y a cinq ans, l’agence Eskimoz s’est vite démarquée de ses concurrents. Avec un mélange de simplicité, d’évidence et de bonne volonté. C’est-à-dire en privilégiant une approche du référencement naturel à la fois pédagogique, qualitative et innovante. Il faut se remettre dans le contexte d’époque. Les acteurs du SEO pullulent et le marché s’apparente à une jungle opaque, dans laquelle les entreprises craignent de mettre le pied. Les zélotes du référencement en profitent pour instaurer une sorte d’obscurantisme technologique. C’est simple : moins les clients comprennent ce qu’il se passe, plus ils devront obéir aveuglément aux règles – et aux tarifs – imposés. Eskimoz a pris le contrepied de cette idéologie, en favorisant la collaboration avec ses clients et la transparence dans ses méthodes. Pour Andréa Bensaid, fondateur de l’agence, « une entreprise qui intègre les enjeux du référencement naturel simplifie la mise en place des actions nécessaires à l’optimisation de ses pages ». Car on ne travaille bien que si l’on saisit les tenants et aboutissants du problème. Qui s’imaginerait tenter de résoudre une énigme avec seulement la moitié de l’énoncé ? Eskimoz s’est donc attachée à communiquer au maximum avec ses clients afin de travailler en bonne entente. Pour atteindre ensemble un même objectif : gagner des places sur Google. Qualité y es-tu ? Ce désir de transparence induit un corollaire : celui de la qualité. Évidemment, il est toujours plus simple de bâcler son travail et de jeter de la poudre aux yeux quand on a tout fait pour garder ses clients dans l’ombre. Or, Eskimoz évolue en pleine lumière – et doit, par conséquent, garantir un positionnement haut de gamme. Impossible de tricher, car tout se fait en pleine lumière. Chaque action est discutable, et discutée. Chaque étape de la stratégie de référencement naturel répond à des enjeux précis. Et chaque consultant SEO travaille avec quelques interlocuteurs seulement, afin de donner le meilleur de lui-même sur tous les dossiers. C’est que le marché est rude. À mesure que Google devient plus exigeant avec les référenceurs, afin d’apporter des réponses toujours plus satisfaisantes aux internautes, les agences SEO doivent elles aussi offrir plus de valeur ajoutée. Les enjeux sont immenses. Prenez la question de l’e-réputation : en 2013, une étude Deloitte révélait que la notoriété digitale est considérée comme le risque numéro un pour 40 % des entreprises. Un commentaire négatif sur une plateforme de notation peut se chiffrer, pour un opérateur, à plusieurs centaines de milliers d’euros de pertes sèches. Et en 2016, la CNIL indiquait qu’un tiers des plaintes qu’elle reçoit ont trait au sujet. De sorte que si vous devez choisir un prestataire qui puisse protéger votre e-réputation, vous avez tout intérêt à faire confiance à une agence qui soit parfaitement à la hauteur des enjeux, comme l’est Eskimoz. Sans innovation, le SEO n’est rien Troisième pilier de ...
Souplesse et adaptabilité pour maîtres-mots Structure de coaching à taille humaine, le cabinet Entreprises en Mouvement fait de sa petite taille un atout tout en souplesse et en adaptabilité. « L’offre que nous proposons à nos clients est véritablement ‘’sur-mesure’’ » explique Louis-Joseph de la Fouchardière, son fondateur. « Nous sommes, par exemple, capables de nous adapter en mobilisant rapidement des partenaires en nombre suffisant pour répondre efficacement aux attentes du client. Qu’il s’agisse de coaching individuel, de formation ou d’un accompagnement d’une équipe dirigeante dans le cadre d’une transformation d’entreprise. De plus, le fait que l’ensemble des intervenants soient issus du monde de l’entreprise contribue à rassurer nos clients. Ce vécu nous permet d’être en empathie avec les équipes managériales que nous avons à coacher, de leur proposer une large palette de prestations et de partager avec elles notre sens des réalités du monde de l’entreprise ». Faire sauter les verrous Qu’il s’agisse de comités de direction ou d’équipes opérationnelles, les interlocuteurs du cabinet peuvent compter sur son expertise pour les accompagner dans la transformation de leur entreprise, les aider à exploiter tout leur potentiel et repousser leurs limites. « Beaucoup de mes clients ont le sentiment d’avoir atteint un plafond d’efficacité. Et de ne pas pouvoir aller plus haut » explique-t-il. « Mon travail consiste alors à les aider à faire sauter le verrou qui bloque leur progression. Par le biais d’une écoute attentive, je leur permets de développer leur potentiel, de mobiliser leurs ressources et de découvrir - en eux-mêmes - d’autres ressources leur permettant d’apporter des réponses nouvelles à leurs problématiques ». Pour accompagner son client tout en prenant soin de ne pas se substituer à sa démarche, Louis-Joseph de la Fouchardière met en place une véritable « alliance » entre lui et la personne qu’il est chargé de coacher ou le dirigeant de l’équipe de direction dont il assure l'accompagnement. « Cela va bien au-delà de la confiance ou encore du respect mutuel » précise-t-il. « En établissant ce lien de confiance entre lui et moi, fondé sur un partage clair des objectifs du coaching et un échange régulier sur la progression du collectif, je m’assure que mon client s’autonomise et que mon accompagnement sera efficace. Toujours bienveillant mais jamais complaisant, je m’autorise parfois un petit ‘’pas de côté’’. Si la situation l’exige, injecter dans le processus de coaching une dose de confrontation bienveillante permet, en effet, au client de visualiser le blocage. Et, partant, d’apprendre à le dépasser ». Récemment, il a ainsi fait remarquer à un dirigeant qu’il serait heureux de continuer à faire des affaires avec lui mais qu’il préférait ne plus intervenir d’ici trois mois, cela dans le but de déclencher une prise de responsabilité. Au fur et à mesure des séances, le coaché va ainsi non pas vaincre ses peurs et ses appréhensions mais apprendre à composer avec elles, aboutissant ainsi à un mouvement plus robuste. Dans le cas d’un coaching d’équipe dirigeante, le collectif va devenir une ressource plutôt qu'un lieu où s’expriment les chapelles et les enjeux de pouvoir. ...
Les nombreux services proposés aux adhérents de la CFDT ! Réponses à la carte : le service d'accueil téléphonique Ce service d’accueil téléphonique est réservé aux adhérents CFDT pour poser toutes leurs questions liées au travail, à la vie professionnelle ou personnelle. Le service Réponses à la carte est également accessible en ligne. Le soutien juridique Grâce à ce service, l'adhérent CFDT a l'assurance de ne plus être seul face à son employeur. Ce service est proposé par la CNAS (Caisse nationale d’action syndicale), qui est financée par une partie des cotisations syndicales à la CFDT. Pour un adhérent ayant moins de 6 mois d'adhésion avant le [...] L'assurance "Vie professionnelle" L’assurance « vie professionnelle » prend en charge les frais liés à la défense d’un adhérent mis en cause par un tiers (autre que son employeur) dans l’exercice de sa profession, si l’employeur refuse d’assurer la défense de son salarié. Elle est proposée par la CNAS (Caisse nationale d’action [...] L'assurance "Vie syndicale" Cette assurance couvre les militants CFDT en cas de dommage corporel à l'occasion de leur activité syndicale. Elle est proposée par la CNAS (Caisse nationale d’action syndicale), qui est financée par une partie des cotisations syndicales à la CFDT. L'aide aux victimes de répression syndicale Ce service est destiné aux militants mis à pied ou licencié pour leur activité syndicale. Il est proposé par la CNAS (Caisse nationale d’action syndicale), qui est financée par une partie des cotisations syndicales à la CFDT. La caisse de grève Cette caisse de grève permet de compenser la perte de salaire des adhérents CFDT pendant leur mobilisation. Ce service est proposé par la CNAS (Caisse nationale d’action syndicale), qui est financée par une partie des cotisations syndicales à la CFDT. ...
Se concentrer sur l’humain La richesse d’une entreprise est faite des personnes qui composent ses effectifs. Accompagner les salariés vers un « mieux-être » améliorera donc également les performances de l’entreprise. « L’humain a toujours été ma priorité. C’est ce qui m’anime, ce qui me fait avancer » explique Gyslaine Gauthier, coach professionnelle et fondatrice de H Comme Humain. Ma vision du coaching consiste donc à bâtir une relation d’aide à la fois bienveillante et humaniste avec mon client et à l’accompagner vers un ‘’mieux-être’’. Concrètement, si j’interviens auprès d’un dirigeant, la plupart du temps, je travaille sur la notion de performance ou encore sur la gestion du stress. En revanche, si c’est une équipe que j’ai pour mission d’accompagner, j’adopte alors une vue d’ensemble des interactions existantes tout en m’intéressant aussi aux individualités dont elle est constituée. Par exemple, il n’est pas rare qu’un manager soit un salarié qui aura été promu et qui éprouvera des difficultés à assumer son nouveau statut. Notamment parce qu’auprès de ses équipes, il sera passé du stade de collègue, voire d’ami à celui de supérieur hiérarchique ». Bienveillante mais exigeante Son passé d’infirmière libérale spécialisée en cancérologie et en soins palliatifs a permis à Gyslaine de développer une approche très emphatique du coaching tout en maintenant une juste distance avec les personnes qu’elle accompagne. « J’ai une écoute très humaniste et bienveillante que n’auront probablement pas un ancien manager qui se serait reconverti dans le coaching ». Mais tout en faisant monte de bienveillance, Gyslaine n’hésite pas à faire sortir le coaché de sa zone de confort si cela peut l’aider à trouver en lui les réponses aux questions qu’il se pose. « Un coach n’apporte jamais de réponses. C’est au coaché de les trouver lui-même » explique-t-elle. « Pour autant, au cours de mon accompagnement, je vais révéler à mon client des réalités qu’il n’avait pas forcément envie de voir. Mais au final, c’est lui qui décidera de la voie qu’il désire emprunter. Mon but, c’est de l’aider à s’autonomiser ». Seule une formation reconnue permet un accompagnement de qualité Tout coach digne de ce nom doit avoir suivi une formation auprès d’un établissement reconnu. « Dans le contexte actuel, la formation constitue plus que jamais un critère essentiel dans le choix d’un coach » indique Gyslaine. « On assiste à une recrudescence des coachs. Mais alors que la profession est très encadrée, le terme de coach tend, quant à lui, à être galvaudé. On l’utilise partout, à tort et à travers. Et cela risque de décrédibiliser le métier ». Lorsque l’on choisit un coach, la première chose à faire, c’est donc de vérifier qu’il est bien certifié. « C’est un gage de qualité et de professionnalisme ». La mise en place d’un contrat de coaching est un autre point à scruter en priorité. « Je fais systématiquement signer à mon client un contrat dans lequel est précisé le cadre au sein duquel interviendra sa prise en charge : le lieu, les horaires, les objectifs à atteindre, la durée de l’accompagnement, etc. Si un coach reste vague quant au nombre de séances, méfiance… » précise Gyslaine. ...
Valence Romans réunit tous les atouts pour faire d’un évènement d’entreprise une totale réussite : des lieux d’accueil prestigieux, une diversité alliée à une richesse naturelle, historique et culturelle incomparable… Mais, surtout, un service d’organisation à même de proposer des prestations sur mesure et de répondre à tout type de demande. De nombreux attraits Par sa situation géographique, le territoire jouit d’un emplacement stratégique. En effet, Valence n’est qu’à 2 heures de Paris, à 1 heure de Marseille et à 30 min de Lyon en TGV. Elle possède deux gares, dont l’une se trouve en centre-ville et l’autre à seulement 15 min du centre-ville. En matière d’infrastructures, les professionnels ont à leur disposition des sites idéalement situés (Parc des expositions, Palais des congrès Sud Rhône-Alpes…) et adaptés à leurs évènements. Par ailleurs, l’agglomération dispose d’une forte capacité hôtelière avec plus de 3 000 chambres disponibles et plus d’une centaine de restaurants. Elle est notamment reconnue pour ses nombreuses spécialités culinaires et ses produits du terroir. Autre atout : avec la Drôme classée premier département bio de France, le territoire abrite le plus grand nombre de producteurs spécialisés dans le bio. Au niveau culturel, il est important de souligner que Valence Romans Agglo est labellisée « Pays d’art et d’Histoire ». À l’image de ses musées, elle a hérité d’un patrimoine culturel et historique d’exception. Enfin, le territoire bénéficie également d’une richesse naturelle variée, qui permet de faire profiter aux visiteurs de tout un panel d’activités en plein air, incluant randonnées, golf, balades à vélo sur les vélos route ViaRhôna et V63, etc... ...
Mettre en place un partenariat créatif avec ses clients Formée à l’école Ericksonienne, Jane Hodgson a une approche du coaching à la fois globale, concrète, pragmatique et tournée vers les résultats. « Dans le cadre de l’accompagnement que je propose à mes clients, qu’il s’agisse d’individus ou d’équipes » explique-t-elle, « je mets l’accent sur les solutions. Je me concentre sur les objectifs à atteindre. Nous autres, les Anglo-saxons, allons droit à l’essentiel ». Dans le cadre de « l’alliance créative » qu’elle instaure entre elle et son client, Jane Hodgson va ainsi l’aider à initier un changement durable et à exploiter tout son potentiel. « Le coaché est au centre de tout » explique-t-elle. « Bien sûr, mon rôle consiste à le guider, à l’aider à trouver sa vision, à aligner ses valeurs et à l’orienter vers l’action, vers le changement. Mais c’est en lui-même qu’il va trouver les réponses aux questions qu’il se pose ainsi que la force d’opérer sa transformation. Au fil des séances, il va progressivement grandir, s’épanouir sous mes yeux. Et à l’issue du coaching il aura maximisé ses compétences, gagné en confiance et sera capable de mobiliser l’intégralité de ses ressources. Par exemple, j’ai accompagné l’une de mes clients dans la découverte de ses « core values » et j’ai ainsi pu l’aider à obtenir le poste dont elle rêvait, un poste qui soit aligné avec ses valeurs. J’ai également coaché une équipe de ressources humaines dans le but de créer des liens plus forts au sein de l’équipe, et d’augmenter l’implication ainsi que la motivation de chacun. Je les ai fait travailler en petits groupes pour faire sortir les ‘’non-dits’’ et parvenir à faire émerger une vision commune. Le plus étonnant, c’est qu’au final, chaque groupe a trouvé le même objectif, le même besoin : celui de développer l’intelligence culturelle, et de changer la culture générale de la société qui s’ouvrait rapidement vers l’internationale ». Pour que chacun trouve en lui-même une solution réaliste et adaptée à sa situation Les demandes que lui formulent ses clients - des leaders et des manager, pour la plupart - sont diverses et variées. « Les personnes qui s’adressent à moi veulent que je les aide à développer leur leadership, à gérer les conflits, à savoir dire non, à oser poser des limites, à retrouver une vision, un cap, à développer leurs compétences relationnelles (‘’people skills’’), à changer de posture, à reprendre confiance en eux ou encore à inspirer davantage confiance à leurs collaborateurs ». Si elle se garde bien de se substituer à son client afin de le laisser trouver lui-même les réponses les plus appropriées à l’atteinte de ses objectifs, Jane Hodgson peut compter sur son vécu pour comprendre rapidement le mode de fonctionnement de ses interlocuteurs. « Mes 15 années d’expérience en tant que fiscaliste au sein de prestigieuses multinationales (Ernst & Young, PwC) me permettent de cerner efficacement les problématiques que rencontrent mes clients et les défis qu’ils doivent relever quotidiennement. Et pour cause, je l’ai vécu moi aussi, de l’intérieur » explique-t-elle. « À cela s’ajoute le fait que je suis titulaire d’un Master en psychanalyse. Cette spécialisation m’aide à identifier rapidement les blocages de mes clients et donne incontestablement de la profondeur à mon coaching ». Mieux communiquer pour mutualiser les compétences de chacun La communication est un autre domaine dans lequel Jane Hodgson intervient. « Améliorer la communication au sein d’une entreprise, notamment dans un contexte multiculturel, permet aux équipes de collaborer plus harmonieusement, d’échanger leurs idées plus facilement et de s’adapter plus efficacement à des situations nouvelles ». En agissant sur la communication et en mutualisa...
Le doyen du coworking en France Historiquement, La Bo[a]te est le premier espace de coworking à avoir ouvert ses portes en France. Excusez du peu. Ce doyen dans la location d’espaces de travail partagés est né de l’initiative de Martine Sousse et Marin Garrigues. Une dizaine d’années plus tôt, les deux complices animaient ensemble un espace de mécénat pour une grande marque internationale de soda. Ils mettaient alors à la disposition des jeunes du quartier un lieu, des ordinateurs, une connexion Internet et un savoir-faire pour leur enseigner à se servir des nouveaux outils numériques et les accompagner dans leur découverte du tout jeune réseau Internet. Capitalisant sur leur expérience, ils rachètent l‘endroit en 2007 et ouvrent cet espace de coworking, avant le nom donc, qu’ils nomment La Bo[a]te, en hommage aux ferrys qui traversent quotidiennement le Vieux-Port. Un lieu, plusieurs activités Au départ, il y a un lieu atypique du centre-ville de Marseille. Le sol est fait d’un vieux parquet en bois. Sur les murs, on remarque des affiches vintages, comme les meubles et les canapés qui trônent dans la pièce principale. On n’est pas du tout dans l’idée des espaces de coworking que l’on peut voir ailleurs. Il y règne une ambiance cosy et artistique. Plusieurs formules de coworking sont proposées aux start-up et aux petites entreprises. À partir de 50 euros (TTC) par mois, on y vient travailler bien sûr, mais aussi échanger et partager. « un espace de coworking sans animations et sans une communauté des coworkers qui collaborent entre eux, ce n’est que de la location de bureau, explique Marin Garrigues. Dans notre idée du coworking, il y a toute une partie de l’activité qui est consacrée à créer des synergies pour qu'ils développents leur activité et leurs projets grâce à l’organisation par exemple, de rencontres informelles, de MeetUp, de réunions autour de thématiques nouvelles, Machine learning, Design thinking, Veille autour d'appels a projets, Open data, ateliers du code (pour les enfants) » On vient à La Bo[a]te principalement pour travailler, mais on y discute aussi avec d’autres porteurs de projets innovants afin de grandir ensemble. Car au-dela du coworking, c'est aujourd'hui de "co-growing" qu'il faut parler. Le lieu, qui a gardé à cœur son esprit « mécénat », accueille régulierement des associations et collectifs autour de problématiques entrepreuneuriales, citoyennes et créatives. En 2018 la Boate va dupliquer le modèle avec un partenaire important de la Métropole Aix-Marseille. Une manière de consolider son offre au jeunes entreprises et aux porteurs de projets ...
Une école reconnue et une formation de haut niveau Reconnue par l’État, Espace Transitions dispense des formations inscrites au Registre national des certifications professionnelles. Gage de qualité s’il en est, cette inscription au RNCP atteste du fait que la formation est adaptée au marché de l’emploi. Et qu’elle débouche sur un métier. Celui de coach professionnel, en l’occurrence. « Parmi nos élèves, certains envisagent une reconversion professionnelle. D’autres sont des cadres ou des managers qui, s’ils n’ont pas l’intention de quitter leurs fonctions, souhaitent changer de posture et modifier leur manière d’encadrer leurs équipes. D’autres sont consultants, travaillent dans les RH ou viennent de cabinets de bilan de compétences et souhaitent se doter d’une démarche d’accompagnement car ils ont compris qu’acquérir une posture de coach constituait une complémentarité appréciable. Nous comptons aussi parmi nos élèves des personnes de tous âges qui veulent mettre l’expérience professionnelle qu’elles ont acquise au service des autres et monter leur propre activité. Certains souhaitent disposer de revenus complémentaires à la retraite ou en complément de leur emploi. » Accompagner les transitions L’une des spécificités d’Espace Transitions réside dans l’importance accordée à l’accompagnement des futurs coachs. « Nous permettons aux stagiaires de vivre leur propre mutation tout en apprenant le métier de coach et en découvrant leur singularité. Et c’est parce qu’ils ont vécu cette mutation que les coachs peuvent accompagner leurs clients. » C’est un métier en plein essor qui demande des professionnels possédant une véritable expertise d’accompagnement. En clair, si le coaching s’inscrit dans une « relation d’accompagnement qui permet à la personne accompagnée d’explorer son potentiel et de développer ses ressources, tant personnelles que professionnelles », on pourrait en dire tout autant de la formation au coaching. « Réaliser sa propre transformation nécessite de réaliser un gros travail sur soi. » D’où l’importance d’un accompagnement attentif, bienveillant et de qualité. « Nous aidons nos élèves à travailler sur leur propre transition, mais aussi à élaborer un projet de vie professionnel adapté à leurs attentes. » Un projet professionnel structuré « En quittant l’école, à l’issue de leur formation, nos coachs disposent d’une formation solide. Ils auront également mûri un projet professionnel structuré, sur mesure, affiné en fonction de leur expérience, de leurs envies et de leurs priorités », insiste Maud Poitevin. Ils mènent de nombreuses expérimentations telles que le « co-coaching » entre pairs, des missions de coaching supervisées, ils sont tutorés… Cela leur permet de définir leurs spécificités : les clients qu’ils cibleront en priorité, par exemple, du coaching individuel ou collectif, coaching de vie ou professionnel, coaching stratégique ou de dirigeants. Certains pourront alors choisir de travailler avec des personnes souffrant d’un handicap, de coacher à l’aide de chevaux. D’autres accompagnent en marchant ou utilisent le « nez de clown ». Et il y en a qui créent leur propre méthodologie. Développer « l’écoute profonde » de l’autre Dans le cadre de leur formation, les futurs coachs apprennent à développer une vraie qualité de relation à l’autre. C’est une autre singularité de l’école. « Nous mettons l’accent sur “l’écoute profonde” de soi et de l’autre. Cette notion de “pleine présence” est essentielle à nos yeux. Nous la travaillons par le biais, notamment, d’exercices de respiration et de méditation. Car c’est en étant présent à soi-même que l’on pourra l’être pour son interlocuteur. Et pour cela, il est important que ce que l’on pense, ce que l’on sent et ce que l’on ressent soient parfaitement align&e...
Pour rappel, l’édition 2017 s’est déroulée à Brest au Quartz. Avec un bilan plus que positif : 95 entreprises et structures de formation participantes, plus de 1250 offres d’emploi proposées et environ 1700 visiteurs, témoignant de la notoriété grandissante de l’évènement auprès du grand public. Cette année le Salon Pro&Mer prend une nouvelle dimension avec plus de partenaires et d’exposants et un programme attractif. Embarquez-vous ! S’ouvrir et se professionnaliser « Notre vocation est de faire connaitre nos entreprises et faire aimer nos métiers auprès du public » explique Anne-Marie Cuesta, déléguée générale de Bretagne Pôle Naval (BPN) pilote du salon. Bien plus qu’une rencontre entre les offres et les demandes d’emploi, le salon veut surtout promouvoir et dynamiser les métiers de la mer. Seront donc représentés les filières navales, énergies marines renouvelables, marines marchandes, oil and gas, rejointes en 2018 par la filière pêche et le nautisme. L’évènement tourne autour de trois pôles complémentaires : le rayon Industriel-Employeur, l’espace attractivité des métiers, et l’axe formation/organisme. Cette année, le Salon Pro&Mer est co-organisé par BPN avec ses partenaires de toujours à savoir La région Bretagne, La Touline, l’UIMM Bretagne, le GICAN, renforcés par de nouveaux partenaires investis pour lesquels l’emploi est une priorité : l’agglomération de Lorient, la CCI du Morbihan, Naval Group, le Nautisme, Lorient Grand large, la mission locale. « Pour la première fois, PRO&MER est un évènement phare de la semaine de l’emploi maritime en Bretagne et bénéficie ainsi du support majeur de Pôle Emploi Maritime » reprend notre interlocutrice pour souligner la nouvelle dimension de cette 5ème édition. « Un parcours vers l’emploi » Atypique, c’est bien le qualificatif qui distingue PRO&MER, car les visiteurs pourront voyager dans le temps et découvrir l’évolution de la filière « Mer ». PRO&MER, c’est également le futur et les métiers d’avenir à découvrir au moyen des toutes dernières technologies dont la réalité virtuelle augmentée. En outre, deux conférences organisées sous forme d’atelier vont aussi enrichir le programme en plaçant PRO&MER au cœur de l’Europe du Maritime avec la participation du Projet Consortex. Mais avant tout, le Salon Pro&Mer c’est l’accompagnement des personnes à la recherche d’un emploi, d’une formation, ou en reconversion professionnelle vers les métiers de la mer. Une offre unique « tout en 1 », atelier CV avec des responsables RH, des chefs d’entreprises et des formateurs, service de traduction de CV en langue anglaise, conseils d’orientation et job dating sont à disposition de ceux qui souhaitent rejoindre la grande famille de la filière maritime et navale. « Nous souhaitons déployer tous les moyens possibles pour attirer les talents, et ainsi concrétiser le projet professionnel d’hommes et de femmes passionnés pour renforcer nos entreprises » termine la déléguée générale de BPN. ...