Dans un décor empreint de modernité et d’originalité, Anova Hôtel & Spa est une invitation permanente à la gourmandise et aux séjours sur mesure. Dominant en été le golf international 18 trous et en hiver les pistes de ski, il conjugue, au présent, la magie des lieux et la combinaison des saveurs.
Un trio d’espace dans un cadre d’exception
Anova Hôtel & Spa offre un cadre d’exception ouvert sur les Alpes françaises. Mélangeant des éléments de déco rustiques et chics, l’enseigne se trouve à proximité immédiate du golf de Montgenèvre, à une distance de 1,5 km de la frontière italienne. L’établissement réunit en un seul lieu un espace d’hébergement avec des chambres à l’intérieur élégant, qui donnent toutes sur la montagne, un espace bar et restaurant à l’ambiance chaleureuse, ainsi qu’un bassin de détente avec des banquettes de massage, d'un jacuzzi, d'un sauna et d'un hammam. Entre le restaurant et le bar, une salle de jeux est disponible pour faire le bonheur des petits et des grands.
Une cuisine du terroir et d’ailleurs
À travers une cuisine authentique et originale, où les saveurs du terroir et les parfums d’Italie se marient autant qu’ils se complètent, l’enseigne dispose d’un large choix d’espaces pour les gourmands et les gourmets. Qu’il s’agisse d’une halte rapide ou d’une étape gourmande, tout est possible : siroter un verre, déjeuner en terrasse ou encore dîner au coin de la cheminée. Laissez-vous surprendre par les spécialités du chef, qui à travers une cuisine du terroir et d’ailleurs, fait danser les papilles, même celles des plus exigeants.
Des plats-signatures à découvrir et à recommander
L’espace restaurant & bar de l’Anova Hôtel & Spa est le lieu idéal pour découvrir dans un plaisir sans cesse renouvelé, les spécialités franco-italiennes du chef, allant de la fondue savoyarde à la tartiflette au reblochon en passant par le risotto végétarien aux légumes de saison et la tarte citron by Anova. En mesure de proposer différents menus incluant des menus enfant, sans gluten, végétalien et végétarien, l’enseigne sait satisfaire tous les palais avec les meilleurs accords mets-vins.
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Café Soleil, un lieu où chaque moment est unique
La France est bien connue pour ses montagnes, en période d'hiver, la station de Serre-Chevalier vous offre le soleil et un domaine skiable exceptionnel adapté aussi bien aux débutants qu'aux amateurs de sensations fortes. Il n'est pas rare de croiser au Café Soleil des champions, avec un peu de chance vous rencontrerez entre autre Luc Alphand (champion du monde de ski alpin) ou bien Pierre Vaultier (champion olympique de snow board cross), devenus amis de Serge et Laurence.
Tradition et originalité : le secret de la réussite du Café Soleil
Bien que le restaurant n'ouvre ses portes que 7 mois sur 12, la jeune équipe du Café Soleil se met en 4 pour vous offrir le meilleur des services, en tout liberté chaque client pourra choisir en fonction de son budget et de sa disponibilité : le Restaurant en self service (11h30 – 15h30), le Quick Corner Snack (10 h -16h), Le CARRE service à table (12h-14h30) et pour finir la journée dans une ambiance de fête : HAPPY HOUR (15h30-16H30).
Buffets d'entrées et desserts maison,Tartiflette aux champignons des bois, mille feuilles de Bœuf au foie gras, steack haché maison, bol Vietnamien, Tiramisu aux fruits rouges, fondant aux marrons, fameuse mousse au chocolat… autant de propositions qui sont à l'image de ce lieu où se mêlent traditions, et singularités !
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Au cœur de la station de ski Serre Chevalier, Le Caribou accueille en hiver comme en été les vacanciers affectionnant les bons petits plats. La maîtresse des lieux, Liane Cunin, et sa petite équipe, composée notamment du chef Louis Blain du Poète, proposent des menus complètement différents selon les saisons. En effet, les repas servis ici sont plutôt montagnards durant la période hivernale, alors qu’ils sont entièrement improvisés lors de l’arrivée des beaux jours.
Des saveurs authentiques à découvrir
Le « fait maison » occupe une place importante au sein du Caribou. La plupart de ses plats phares sont essentiellement préparés avec grand soin à l’aide d’ingrédients frais et de saison. C’est le cas de son foie gras maison ou de sa truite fumée maison de Châteauroux, qui sont servis en entrée. Les réjouissances continuent avec du gibier, à l’instar du chevreuil aux airelles avec légumes anciens ou du dos de cabillaud aux deux citrons pour les amateurs de poisson. Le repas s’achève sur un entremets au chocolat, une tarte au citron meringuée ou des crèmes brûlées sous toutes leurs formes.
Les vins originaires des Hautes-Alpes accompagnent dignement le festin. La trentaine de références parmi les plus sollicitées en rouge et en blanc comprend le Domaine Allemand, par exemple. La clientèle est également très friande des Côtes-de-Provence et des Côtes-du-Rhône.
De la convivialité au menu
Dans le restaurant Le Caribou, on se délecte de la vue imprenable donnant sur les Hautes-Alpes. La beauté de l’établissement est encore plus saisissante une fois à l’intérieur. Il est en fait implanté dans une ancienne bergerie datée du XVIIe siècle. Il a su garder son charme d’antan grâce à sa pièce voûtée en pierre apparente, qui lui confère une ambiance assez chaleureuse.
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Dirigée par Julien Berranger, la Brasserie des Alpes propose des plats originaux et gourmands pour tous les budgets. Les fourneaux sont gérés par Naddei Felice, grand maestro de la cuisine italienne, et Marion Pierre, spécialiste des plats français. Cette belle dualité entre ces deux spécialités culinaires est à découvrir absolument.
D’un côté la France…
La Brasserie des Alpes ouvre ses portes pour ceux qui veulent vivre un voyage culinaire dans un cadre cosy et montagnard. En effet, sa capacité à offrir des plats typiquement italiens et français lui a permis de se bâtir une solide réputation dans la région. La cuisine est orchestrée par deux épicuriens. Le premier est un Français qui aime surprendre ses invités et qui propose des plats concoctés avec les produits du terroir. La cuisine traditionnelle forte en caractère et en gout est élaborée par Marion Pierre avec passion et inventivité. De quoi ravir les papilles des gourmands. Très variée, sa cuisine évoque les saveurs du terroir avec le magret de canard ou les brochettes du boucher. La maison a aussi construit sa réputation sur les grillades faites à base de viande. Il y a également la possibilité de déguster de succulents plats à base de poissons.
De l’autre, l’Italie…
Le maestro Naddei Felice propose une cuisine toute aussi gourmande insistant sur les ingrédients qui façonnent l’identité de la cuisine italienne. Ses origines mais aussi cette forte envie de défendre la cuisine de son pays se ressentent au travers des plats savoureux qu’il propose. Parmi les spécialités de la maison figurent les pâtes servies dans une meule de parmesan. Ce plat gourmand peut parfois être servi avec de la truffe et du speck, un jambon cru typique d’Italie se caractérisant par sa chair maigre et son arôme légèrement fumet. A ne pas manquer également : les sélections de pizzas préparées dans le plus grand respect de la tradition italienne, ce qui n’empêche pas le chef de sortir parfois des sentiers battus en proposant des pizzas originales comme la Fedora composée de crème de truffes, de roquette et de parmesan. Que ce soit Naddei ou Marion, la particularité des deux chefs réside dans le fait qu’ils accordent beaucoup d’importance à la qualité des produits. Ils collaborent, en effet, avec les producteurs locaux qui leur fournissent les meilleures matières premières.
Une pause gourmande dans les Hautes-Alpes
Blotti dans les Hautes-Alpes, le restaurant Brasserie des Alpes est l’endroit idéal pour une pause gourmande tout en admirant la vue panoramique. En famille, entre amis ou collègues, il assure un service de qualité et un cadre convivial. En effet, la salle de couleur vive dotée d’un décor très authentique et sobre offre une ambiance chaleureuse. Lorsque le temps n’est pas trop capricieux, la terrasse quant à elle permet d’apprécier l’air montagnard.
A découvrir à Chorges
Après un moment gourmet passé à la Brasserie des Alpes, il est temps de partir à la découverte de la richesse historique et touristique de Chorges. Ce village construit en fond de vallée possède de nombreux monuments façonnant son identité comme la fameuse église paroissiale Saint-Victor datant du XIIe siècle et aujourd’hui classée monument historique. La commune est également entourée de plusieurs sites naturels et un paysage atypique comme le lac de Serre-Ponçon situé à 7 km et les magnifiques baies Saint-Michel et de Chanteloube avec leurs eaux turquoise propices au nautisme et loisirs en plein air.
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Petit village de montagne situé entre les Alpes du nord et la Provence, Montclar est établi aux pieds de Dormillouse à 1350 mètres d'altitude. On le décrit comme un coin de Suisse égaré sous le soleil de Provence. Dans la vallée de la Blanche entre Digne, Gap et Barcelonnette, Montclar est distant d'environ deux heures du littoral méditerranéen. La beauté du paysage y est impressionnante, avec une vue imprenable sur le lac de Serre-Ponçon. Sur ses deux versants s'étalent les pistes de ski longues d'environ cinquante kilomètres cernées par une forêt de feuillus de résineux et de mélèzes. C'est en plein cœur de ce domaine que se dresse le restaurant Le Clos Madarin de l’Hôtel Le Saint-Jean, offrant un panorama sur toute la région grâce à sa terrasse ouverte toute l'année, été comme hiver.
Convivialité à l’honneur au restaurant
Au Clos Madarin, rien n'a été laissé au hasard pour satisfaire les besoins des convives. Le décor, l'ambiance des lieux inspirent calme et zénitude. Dans la salle trône une cheminée imposante conférant un esprit traditionnel à l’établissement. Elle se marie bien avec le mobilier en bois qui procure une atmosphère apaisante. Le Clos Madarin fait la part belle à la cuisine provençale traditionnelle, toujours élaborée à partir de produits frais essentiellement issus du terroir. Promu Maître Restaurateur depuis août 2014, le chef du restaurant s’inspire du travail célébrissime « Auguste Escoffier » pour la création de ses plats. Rappelons que cet auteur culinaire français est à l’origine du concept de la brigade de cuisine. Le maestro des fourneaux propose une cuisine simple et maîtrisée où les produits sont majestueusement mis en valeur. En entrée, il suggère un tartare en duo de saumon Gravelax et Saint-Jacques. En plat de résistance, le Dos de lieu jaune et légumes croquants est proposé côté poisson. Côté viande, rien de tel qu’une Caillette d’agneau ail confit et jus léger. Un dessert maison achèvera ce mélodieux repas, duo de chocolat et caramel au beurre salé et son croquant de miel.
Hôtel le Saint-Jean : familial par excellence
A l'Hôtel le Saint-Jean, les prestations ont été faites pour satisfaire au mieux les besoins des convives (wi-fi, parking etc.). Les 25 chambres disponibles sont pourvues de toutes les commodités nécessaires au confort des clients. Les formules d’hébergement varient en fonction des besoins des clients. Ainsi, il est possible d’y séjourner en demi-pension, en pension complète par ailleurs, des tarifs préférentiels sont appliqués pour les enfants en bas-âge. Au sein de cet établissement, les familles seront décidément comblées.
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Implanté au cœur des forêts de sapins, l’Alpage fait partie intégrante du décor montagnard du Boréon. Avec des plats minutieusement concoctés à partir des meilleurs produits du terroir, le restaurant devient le refuge préféré des skieurs. Accueil chaleureux, cadre magnifique et gastronomie locale haut de gamme, que des atouts pour garantir la satisfaction des clients.
Le parcours du chef
Venue tout droit de la Vallée de la Vésubie, Delphine Guetat poursuit ses études en Australie pour se spécialiser dans l’hôtellerie et la restauration. A l’issu de cette formation, elle entame une carrière au sein du groupe Accor (Sofitel). A son retour en France, elle travaille durant trois années successives au côté de l’illustre chef Joël Robuchon, dans un restaurant deux étoiles à Monaco. Une belle et grande expérience qui ne manquera pas de lui laisser son héritage.
Comblée par la richesse de sa vie passée, elle décide de reprendre le restaurant l’Alpage pour partager ses talents culinaires. Son goût prononcé pour les voyages et la nature ont une grande influence sur sa cuisine. Ainsi, la maison propose une carte inspirée des produits frais du terroir aux accents typiquement montagnards.
La cuisine de Delphine : tradition et voyage
Inspirée de ses nombreux voyages, mais surtout de la cuisine de sa mère et de sa grand-mère, Delphine prime les meilleurs produits de saison disponibles auprès des producteurs locaux. Dans sa carte, elle offre une grande variété de plats reflétant le caractère cosmopolite de sa cuisine. Les omelettes, plats typiquement rustiques, se déclinent en multiples variétés. Pour un mélange savoureusement moelleux, La Mollières propose une explosion de saveurs en bouche grâce au trio de jambon, cèpes et de fromage. La Gélas, quant à elle, contient de la mâche avec des pommes de terre qui se rajoutent à l’ensemble.
Cuit au four, le Camembert est accompagné de pomme de terre et de charcuterie. Ce plat rappelle les soirs d’hiver passés en famille au sport d’hiver. Rumsteck et accompagnement au choix ou Tartiflette sur lit de salades sont des plats à déguster intensément.
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Ce restaurant de l’Isère promet trois ambiances en une journée. Si le ton est plus festif dans la matinée, le calme est au rendez-vous l’après-midi. Pendant la soirée, l’heure est à la découverte de l’ambiance cosy et familiale qui règne dans le chalet !
L’Altiport, un décor aux multiples facettes
Le cadre et la décoration figurent parmi les points forts de ce restaurant de l’Alpe d’Huez. Sur la terrasse offrant une vue imprenable sur les montagnes, des tables et des chaises sont disposées sous l’ombre des parasols blancs qui donnent un charme naturel aux lieux. À l’intérieur, les visiteurs découvrent un décor à la croisée du style traditionnel et moderne où les poutres et le sol en bois contrastent avec les objets décoratifs en inox et les baies vitrées. Avec les bougies et la lumière tamisée, les tables rondes et leurs nappages en lin, la salle prend une allure romantique et chaleureuse en soirée.
Une cuisine traditionnelle et semi-gastronomique
Véronique Sarret et son époux Philippe Piloz, qui est aussi derrière les fourneaux, décrivent la cuisine de L’Altiport comme une cuisine « simple, saine, mais avec de très bons produits ». En effet, la carte est élaborée en fonction de ce que le chef trouve sur le marché, des produits frais et de saison, et, d’ailleurs, les propriétaires insistent sur le fait que le restaurant propose « une carte très variable et un large éventail de suggestions ». Cette année, L'Altiport lance, en plus du menu enfant, le menu 3V : végétarien, végétalien et vegan.
Le restaurant de L'Altiport veut proposer une cuisine où tout le monde se retrouve et déploie une offre culinaire qui saura satisfaire toutes les envies. Par conséquent, leur carte comporte des spécialités de montagne, des assiettes toutes simples comme une soupe à l’oignon ou des pâtes ainsi que des préparations gastronomiques revisitées avec les légumes anciens sublimés. Parmi les incontournables du restaurant, l’os à moelle servi avec des tartines aux morilles connaît toujours un franc succès auprès du public. Mais la maison a surtout forgé sa réputation avec ses plats de poissons frais et goûteux. Dégustés avec une sauce d'accompagnement, leurs saveurs n'en sont que subtilement rehaussées.
Pour le dessert, tout est fait maison : allant des différentes déclinaisons de tartes, jusqu'aux gâteaux et les préparations aux fruits.
Pour accompagner les plats, le restaurant propose une carte de vins mettant à l’honneur des références mondialement connues mais aussi des vins locaux qui méritent largement d’être proposés aux clients. Outre les bouteilles inscrites dans la carte, la propriétaire propose également en dégustation des bouteilles qu’elle a découvertes auprès des caves locales.
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Doté d'un espace bien être (Piscine, Sauna, Hammam et Fitness ainsi qu'un Spa By Clarins), l’établissement n’est qu’à 35 minutes de Moûtiers en voiture. Cet hôtel « skis aux pieds », à l’atmosphère familiale, ne manque résolument pas de caractère, ponctué par des détails qui accrochent le regard.
Perché à 1 700 m d’altitude, le restaurant offre une magnifique vue sur les montagnes des 3 vallées. À travers une cuisine gastronomique servie depuis la terrasse panoramique, l’enseigne est un lieu d’exception où il fait bon se retrouver.
Une cuisine raffinée
Le midi et le soir, le restaurant de l’hôtel laisse le choix de deux types de cuisines différentes. Si le midi met à l’honneur une ambiance semi-gastronomique, le soir, on est plutôt dans un cadre résolument gastronomique.
Travaillant des produits essentiellement sélectionnés auprès de fournisseurs locaux, l’enseigne propose, le midi, un menu tout à la carte avec des plats à partager ainsi qu'une belle sélection d’entrées froides ou chaudes, une carte de poissons, de viandes ou de pâtes, ainsi que des risottos.
Foie gras poêlé, pancake nectar de pomme et miel, cochon filet mignon laqué au miel, finger de tartiflette et soufflé Grand marnier, compotée d’agrumes et sorbet forment un beau festival de saveurs et de raffinement.
Que ce soit en famille, entre amis ou en amoureux, apéritifs, goûters et plaisirs du farniente sont autant d’occasions de profiter de l’ambiance feutrée du restaurant, de sa grande salle avec cheminée ou de sa terrasse panoramique.
Le restaurant Allodis met à votre disposition une riche carte de vins de plusieurs centaines de références, représentatives de toutes les régions. Vous n’aurez que l’embarras du choix, avec toutefois la possibilité de demander conseil au sommelier pour les meilleurs accords mets-vins.
De façon tout à fait aléatoire, le son mélodieux d’une musique d’ambiance vous bercera certains soirs, de l’apéritif jusqu’à la fin des repas, en fonction des occasions.
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La Table de l’Ours, un restaurant gastronomique rendant un bel hommage à la richesse culinaire française. Ici, les produits locaux et régionaux se retrouvent dans une cuisine traditionnelle inventive où chaque plat distille des saveurs uniques. Les assiettes gourmandes, goûteuses et fidèles à leur terre, se dégustent à la lumière d’une cheminée révélant un décor de bois et de pierre, un cadre intimiste, chaleureux et raffiné, propice au régal et à la détente. A ces délices servis dans un havre de paix en haute montagne viennent s’ajouter un accueil et un service professionnels empreints de l’hospitalité et de l’amabilité des grands hôtels.
Un haut-lieu de la gastronomie des Alpes
Poussé par l’envie d’offrir des plats de qualités, le restaurant gastronomique « La Table de l’Ours » met un accent particulier sur le choix de ses produits tout en essayant de promouvoir les acteurs locaux. Le repas s’anime autour d’une cuisine simple et subtile dans laquelle truffes, poissons, fromages des alpages et autres ingrédients révèlent toutes leurs saveurs. Ces produits du terroir choisis au gré des saisons, sont mis en valeur par une équipe dirigée d’une main de maître par Antoine Gras, afin de vous faire passer un agréable moment autour de tables dédiées au régal, au partage et au plaisir des sens.
Théâtre de nombreux évènements
L’hôtel organise, par ailleurs, des soirées à thème axées sur la découverte d’un vin ou sur un évènement marquant en particulier, un calendrier évènementiel évoluant au fil des ans à surveiller. Vos dîners en famille, vos escapades gourmandes à deux ou vos soirées entre amis et/ou collègues seront alors empreintes de traditions, d’histoires et de cultures alpines, des instants de bonheur à la convivialité retrouvée.
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L’hôtel Les Barmes de l’Ours est né sous l’initiative de Delphine André. Avocate de formation, elle décide de vivre sa passion pour l’hôtellerie en ouvrant son premier établissement à Val-d’Isère.
Pour concrétiser son projet, elle s’entoure d’une équipe de choc, composée notamment du décorateur Michel Force et du tapissier Charles Jouffre. Ensemble, ils réussissent à faire des Barmes de l’Ours une adresse incontournable dans le massif de la Vanoise.
Au sein du chalet perché en altitude, une cuisine gourmande et maitrisée, signée Alain Lamaison, est à l’honneur et fera le bonheur des épicuriens.
Les coins gourmands des Barmes de l’Ours
La Table de l’Ours est un restaurant gastronomique étoilé. Ici, le chef Alain Lamaison réinterprète avec talent et créativité les grands classiques de la cuisine de montagne. Outre les foies gras et les Saint-Jacques, le pigeon Miéral accompagné d’amandine aux graines de lin et petit pois est très apprécié. Il en est de même pour le ris de veau. Les menus « Au fil de la saison » et « Dégustation » invitent à l’exploration d’autres saveurs.
La « Rôtisserie » dégage un style qui se rapproche plus de la brasserie. Alain Lamaison y propose une cuisine simple et traditionnelle. Les pièces de bœuf, d’agneau ou de volaille les plus nobles sont dorées dans une imposante rôtissoire devant les convives. En garniture, la maison suggère une purée de pommes de terre aux truffes, des légumes verts ou des pommes allumettes.
La formule « Buffet », quant à elle, est un rendez-vous incontournable tous les soirs. Le « Coin Savoyard » met en valeur la tradition culinaire régionale. Il présente des plats aux accents du terroir comme la raclette au lait cru ou au fromage fumé ainsi que la fondue savoyarde des Barmes au xérès. Il partage également les buffets des entrées et des desserts de l’espace « Rôtisserie ».
Au Sofa Bar, le chef barman apporte encore plus de valeur à cet endroit grâce à ses cocktails maison avec ou sans alcool. Le plus représentatif de la maison est le Val Fizz, un cocktail au champagne à base de liqueurs régionales comme le génépi. Le barman y ajoute de l’eau-de(vie de poire pour le côté fruité, de la liqueur de sureau pour le côté floral, sans oublier le champagne. Du jus de pomme bio de Savoie adoucit ce mélange. Décorée avec des fruits et une tête de romarin, la boisson sera parfumée par de la chartreuse.
Un chalet pas comme les autres
Cet hôtel, dont la décoration a été pensée par Michel Force sur les préconisations de la propriétaire des lieux, rappelle les anciennes grandes maisons familiales montagnardes. Dans l’enchantement de ce décor luxueux, l’hôtel signe toute sa différence au travers de cette dualité entre l’ancien et le moderne et ses différentes décorations qui se découvrent au fil des étages.
Au premier, place à un style à l’esprit scandinave, marqué, entre autres, par les couleurs tendres et la présence de mobilier gustavien. Au deuxième, une ambiance inspirée des lodges du Grand Nord des Amériques allie noblesse du cuir, douceur du velours et chaleur de la fourrure. Un niveau plus haut : le confort et la rusticité des chalets d’Alpage s’illustrent via l’omniprésence du bois et du mobilier traditionnel. Enfin, pour ceux qui rêvent de sérénité et de design, rendez-vous au quatrième étage avec sa touche contemporaine.
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Perdu entre la Ferrière et le village de Fond-de-France dans la vallée du Haut-Breda, le restaurant de l’Aubergerie offre un authentique lieu de dépaysement aux accents montagnards où il fait bon savourer une bonne cuisine traditionnelle française enrichie d’une pointe d’originalité, à travers des « recettes de montagne combinées avec des épices d’ailleurs » souligne Thomas Sibille, propriétaire des lieux et non moins Chef cuisinier au parcours particulièrement riche.
Un Chef au riche parcours
Le Chef, Thomas Sibille doit sa passion du métier de sa riche expérience de 8 ans en tant que berger en alpage des saisons d’estives. Poussé par un grand intérêt pour les métiers agricoles, il a exercé longtemps dans le domaine un peu partout en France. Cet ancien berger a choisi de poser ses valises dans la Vallée du Haut-Breda en 1990. Pendant 15 ans, ses activités ont consisté à préparer la vente de viande d’agneau et de fromage de brebis, des produits très appréciés, qu’il écoulait sur les marchés locaux. Progressivement, l’idée d’ouvrir la ferme aux touristes a fait son petit bonhomme de chemin avec comme objectif, de « partager ce métier agricole et faire connaître la recette et le gout de ces produits » selon ses propres termes. D’ancienne ferme, l’Aubergerie s’est transformée en un restaurant où les habitués et les touristes de passage aiment observer une halte gourmande dans un plaisir à chaque fois renouvelé. Un lieu où les belles découvertes sont toujours au rendez-vous, ponctuées par les talents d’un Chef au riche parcours doté d’un remarquable sens de l’accueil.
Un cadre rustique à l’agencement bien pensé
D’une capacité d’accueil de 30 couverts tant en intérieur qu’en terrasse, l’Aubergerie est selon la description faite par Thomas Sibille, « une très belle ferme du début du 18e siècle située à 1000 m d’altitude ». Il s’agit d’un bâtiment imposant isolé en pleine campagne, sans le moindre voisinage, avec des murs en crépi plus ou moins irrégulier et des couleurs volontairement défraîchies. Le plafond constitué d’un ensemble aux poutres apparentes laisse présager du glorieux passé du bâtiment, sans oublier l’âge présumé d’un vieux plancher à l’aspect chaotique qui fait tout le charme de la pièce. Dans une « belle association d’une maison traditionnelle et d’une structure très contemporaine » comme aime l’affirmer Thomas Sibille, le restaurant l’Aubergerie bénéficie d’un cadre rustique à l’agencement bien pensé. Divisé en 2 parties bien distinctes composées notamment de la salle de restaurant au cadre paysan et de la partie cuisine au cadre contemporain qui fait office d’accueil, avec l’opportunité pour les clients de faire face au plan de travail.
Une cuisine évolutive
Le restaurant l’Aubergerie, c’est surtout la garantie d’une pause gourmande avec de belles surprises culinaires. La cuisine est élaborée à partir de produits frais et de saison, issus généralement d’ « un périmètre d’à peine 30 km » précise Thomas. La carte des menus privilégie les spécialités montagnardes à l’image des tartiflettes et des fondues au fromage, mais l’idée du restaurant reste vraiment sur le principe d’un menu du jour qui change régulièrement en fonction des saisons. Une cuisine inventive et évolutive selon les matières disponibles avec toujours à la carte, quelques spécialités de la maison comme le sauté d’agneau aux écrevisses avec une très légère pointe d’épices ou encore le collier de veau aux anchois, une spécialité d’inspiration italienne.
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Héritage familial depuis quatre générations, la Bonne Etape est un célèbre restaurant gastronomique étoilé Michelin depuis 1964. La maison reste fidèle au goût authentique de la Provence, à l’accueil amical du personnel et la convivialité des lieux. A l’intérieur comme à l’extérieur, le cadre envoûte les visiteurs. Ils prennent alors le temps de s’asseoir pour savourer une cuisine d’auteur raffinée qu’inspire le jardin biologique de la maison. L’émotion est au rendezvous, le goût du bonheur faisant toujours effet dans les plats amoureusement préparés par le chef Jany Gleize.
Le parcours prédestiné d’un passionné
Le propriétaire des lieux n’est autre que le chef étoilé Jany Gleize, Maître cuisinier de France. Né un jour du SaintValentin 1957 à Château Arnoux, il grandit au sein d’une famille de restaurateurs. Très jeune, il observe déjà son père orchestrer le restaurant et partage la passion de sa grandmère Gabrielle pour la cuisine. Son choix est fait. Dès qu’il a décroché son baccalauréat, Jany part débuter sa carrière chez « La Bonne Auberge » de Jo Rostang, à Antibes, loin du cocon familial. Il travaille ensuite pour Pierre et Jean Troisgros à Roanne, en 1976. De 1977 et 1978 il est apprenti chez Alain Chapel à Mionnay puis en 1979 chez Michel Guérard. Après son apprentissage bien peaufiné à travers la France, il devient serveur de restaurant pendant six mois au « Connaught Hotel », à Londres, en 1980. Il finit par revenir dans sa chère Provence, en 1981 et prenden main le restaurant familial. Les talents du chef se font vite remarquer si bien que sa renommée parvient même jusqu’au Palais de l’Elysée. Il est alors choisi par le Président François Mitterrand pour préparer le repas du soir du bicentenaire de la Révolution Française, le 14 juillet 1989, en l’honneur de tous les Chefs d’Etat invités. Le Maître, cependant, ne réserve pas la noblesse de son art qu’aux grands de ce monde: il lepartage avec tous ceux qui aiment la cuisine française. Il vient ainsi de publier son premier ouvrage intitulé « La Bonne Etape », sorti le 07 mars dernier. Ce beau livre, aux éditions Brigitte Eveno, contient 50 recettes où le chef dévoile ses secrets.
Des plats aux saveurs authentiques de la Provence
A la Bonne Etape, la cuisine est rythmée au fil des saisons. Elle est riche de saveurs mais légère au corps : un équilibre harmonieux savamment recherché. La maison propose trois menus, à savoir le menu Mer ou Garrigue, le menu Jarlandin dans lequel le dessert est une surprise du chef, ou encore le menu Jeunes Convives pour les moins de douze ans. Il est également possible de commander à la carte et essayer à l’entrée le fameux Foie gras de canard en trio en lobe ivre de vin rouge épicé, à 32€. Ce plat figureen saison au menu Jarlandin, tout comme l’Agneau de Sisteron rôti à feu d’enfer, servi avec du risotto. Le dessert à la carte va sûrement satisfaire les gourmets avec sixvariétés de délices sucrées, proposées avant le fromage sur une autre carte séparée. Le chef et son équipe sont heureux de conseiller leurs hôtes sur leurs choix et les vins qui s’y accordent. La cave de la maison, reconnue comme l’une des plus belles de France, laisse l’embarras du choix avec ses 600 références.
Le secret est dans le potager
La Bonne étape dispose d’un jardin potager baptisé « Jean Rey », en l’honneur du grand père qui était agriculteur. Le chef Jany Gleize a donné une nouvelle esthétique au jardin avec la collaboration de François Tessari, un jardinier ethnobotaniste de renom. Ils ont ainsi créé un jardin à l’anglaise où l’harmonie des couleurs est une véritable peinture vivante. La culture biologique y est privilégiée. Le désherbage se fait à la main, la terre est travaillée à l’aide d’une grelinette. Pour gérer les insectes nuisibles, le chef favorise les systèmes de « friches » où les larves des insectes ravageurs sont exposées aux prédateurs. C’est dans ce champ de légumes, d&rs...
À travers une cuisine à base de produits frais à l’ardoise et les remarquables talents du chef Sonia Martinez, l’Athanor est un lieu de restauration qui a tout pour plaire, même aux plus exigeants. Dans une belle découverte tournant autour d’une démarche de circuit court, les plats faits maison et de marché sont mis en avant et constituent les particularités de la maison. L’Athanor offre un cadre convivial à l’ambiance cosy qui est une véritable invitation aux plaisirs gustatifs.
Une cuisine simple et gourmande aux saveurs de la Méditerranée
À travers des plats traditionnels simples à base de produits du terroir et aux notes fraîches, Sonia Martinez se démarque par sa cuisine gourmande à l’authentique saveur de la Méditerranée, une cuisine chaleureuse aux couleurs de soleil qui fait le bonheur de tous ceux qui ont eu le privilège d’y goûter. Dynamique et talentueuse, Sonia Martinez use de petites touches personnelles dont elle seule a le secret, pour émerveiller nos papilles. La carte qu’elle partage avec un plaisir chaque fois renouvelé, privilégie aussi bien le poisson que la viande. Saint-Jacques poêlées au Cognac, filet de merlu, gigot d’agneau et andouillette grillée prennent une saveur particulière dans sa cuisine, sans parler de sa tartiflette et de son pot-au-feu, qui sont également de belles découvertes préparées avec le cœur.
Un restaurant à l’ambiance familiale et au cadre entièrement revisité
Pour la petite anecdote, l’Athanor est baptisé du nom du célèbre four bien connu des alchimistes ayant pour vocation de transformer le plomb en or. L’établissement rappelle notamment le décor feutré d’une maison familiale avec du mobilier en bois et des murs aux coloris jaune tendre. Dans une ambiance chaleureuse et bien affirmée au fort sens esthétique, le restaurant propose des plats au dressage raffiné et aux belles présentations, inscrits à la bonne franquette sur un grand tableau.
Des produits faits maison
Passée maître dans l’art de travailler la majorité des produits, Sonia Martinez accorde une attention particulière dans le choix de ses producteurs et fournisseurs locaux. « Certains sont des connaissances de longue date et d’autres, repérés sur le marché, mais je n’exclus pas le fait de travailler également des produits issus de l’extérieur selon le cas » explique-t-elle. À partir de produits coup de cœur et de saison, elle compose une cuisine faite maison à base d’ingrédients résolument frais.
Une carte réduite avec des plats-signatures ou en suggestion
L’Athanor est un restaurant qui se démarque par une carte particulièrement réduite sans menus fixes où « chacun prend ce qui l’envie » nous souffle la chef. L’établissement fait également partie des rares restaurants sans formules qui acceptent le fait que le client ne commande qu’une entrée ou qu’un dessert. Même si l’établissement n’a pas de carte fixe, certains plats reviennent assez souvent de par leur succès auprès des clients, notamment le foie gras au torchon maison qui en aucun cas ne peut être rayé de son tableau, ni d’ailleurs le pistou de saison ou encore la marinière de coquillages.
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« C’est un peu une cuisine de voyage. » C’est sur cette phrase que la chef du restaurant Zakhang décrit ses créations culinaires. Cet établissement situé sur le quai du bord de la rivière d’Isère doit son nom au terme tibétain za khang, qui signifie « restaurant ». Il faut dire que tout le concept du restaurant s’inspire de ce pays asiatique situé au nord de l’Himalaya.
Étant cosmopolite, le restaurant explore aussi les techniques culinaires issues d’autres contrées pour plonger ses convives dans cet esprit de voyage.
Une cuisine traversant les mers et les océans
Dans l’élaboration de ses plats, la chef s’inspire d’une diversité de produits tels que les condiments japonais, le chutney d’ananas et la sauce Maratika (du nom de la grotte népalaise), une sauce aux épices découvertes lors de ses voyages dans ce pays. « Ma cuisine s’inspire de ce que j’ai pu gouter en Inde, au Népal, en Chine», confie-t-elle. Effectivement, un repas au Zakhang est une invitation à la découverte de nouvelles saveurs exotiques qui ravissent les papilles.
L’établissement propose, le jeudi et le vendredi, une formule midi comprenant une entrée, un plat et un café gourmand à 15 €. Lors de notre passage, nous avons eu plaisir à déguster le panna cotta au maïs et son coulis de poivrons rouges en entrée. Un succulent cabillaud sauce kéfir, curcuma a été servi en plat de résistance.
Outre ses formules du midi, le restaurant propose aussi une carte qui suit la saisonnalité. De l’entrée au dessert, les plats sont agrémentés d’épices exotiques qui subliment les saveurs des produits frais utilisés.
Pour commencer, les fins gastronomes se régaleront d’une soupe sauvage, bruschetta au lard de Colonnata. Ici, les saveurs italiennes sont mises en avant, notamment ce lard, un produit typique de la charcuterie italienne élaboré à Colonnata. En plat, le suprême de pintade sauce au poivre de Tasmanie mise aussi sur ce mix liant tradition et exotisme. Pour finir, le black pearl : chou noir à la crème d’hibiscus, crème glacée au poivre rouge du Sichuan.
Une carte des vins bien élaborée
Zakhang propose une carte des vins assez éclectique. « Au départ, on pensait faire dans un rayon de 300 km de Grenoble en incluant les vins italiens, les vins de Savoie…Mais on a aussi un peu élargi à des vins de Bourgogne, des bordeaux et quelques vins d’Alsace », raconte la chef.
Parmi les vins issus de la vallée du Rhône et du Languedoc-Roussillon figure le Crozes-Hermitage blanc AOP 2014 du domaine du Colombier aux senteurs d’arômes floraux. Et dans la série des vins de Bourgogne, le restaurant suggère du Mâcon-Cruzille « Les Genevrières » AOP 2013 du domaine Guillot-Broux, qui fait la fierté du terroir. À déguster également : l’Alsace blanc Riesling 2013 du domaine Dirler-Cadé et le vin italien Chianti rouge 2013 de Fattoria Montellori.
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Badine est le nom de la laiterie de l’arrière-arrière-grand-père de Florian Poyet. C’est donc dans ses souvenirs d’enfance qu’il puise ses ressources pour faire tourner l’établissement. Devant les fourneaux de ce restaurant, le jeune chef est dans son élément. Effectivement, il a été le second de l’ancien chef Nicolas Bottero pendant 5 ans. De ce fait, en septembre 2015, c’est plus un passage de flambeau ou de toque.
Depuis le changement d’identité du restaurant en janvier 2016, le chef ambitionne d’apposer sa propre signature sur les assiettes, en y apportant de la modernité. Dorénavant, Badine rime avec fraicheur et couleur.
La gastronomie Poyet
Florian Poyet a la gastronomie dans la peau et dans son cœur. Désormais, il ne fait plus qu’un avec le restaurant du 168 cours Berriat, à Grenoble. Soucieux des détails, le jeune chef porte une attention particulière à la présentation. Le dressage façon Poyet, c’est toute une mise en scène des produits. Les dégradés, les nuances et les contrastes de couleurs et de textures contribuent à la création des plats. Chaque élément de l’assiette joue un rôle particulier pour donner au final un visuel qui met l’eau à la bouche.
Les produits de saison utilisés dans cette cuisine entièrement faite maison sont sélectionnés au marché ou directement chez le producteur. La maison s’assure de réduire au minimum les intermédiaires pour pouvoir construire des relations durables avec les producteurs et les fournisseurs locaux qui affectionnent leur métier et leurs produits. Grâce à son respect pour les produits frais de saison, le chef est devenu depuis peu le plus jeune « maitre restaurateur » de l’Isère.
Le restaurant Badine est aussi reconnu par le label « Restaurant de qualité », qui l’engage à promouvoir le fait-maison et le métier d’artisan-restaurateur, à informer la clientèle de l’origine des produits, à assurer la qualité de l’accueil et la cohérence du rapport qualité-prix.
Le restaurant Badine présente trois menus. Le menu « Au fil des saisons » est renouvelé toutes les 2 semaines. Par exemple, le bal s’ouvre avec des cannellonis servis froids à la ricotta fraiche, accompagnés de fenouils rôtis et de jeunes pousses d’épinard. Cette entrée est suivie d’une volaille fermière à la moutarde, avec de l’Arborio croustillant et des échalotes grises au jus. Le tout, couronné par un craquant aux deux citrons, crémeux acidulé et petites meringues.
Les deux autres menus sont le « Moment de partage », qui change tous les 2 mois, et « Les envies du chef », qui évoluent en fonction du marché et des envies du chef.
La carte des vins
La cave est composée de plusieurs références : Savoie, Vallée du Rhône, Bourgogne, Val de Loire, Bordeaux. Pour le terroir isérois, ce sont les Coteaux du Grésivaudan, produits par le Château Bayard, et les Collines Rhodaniennes du Vignoble de Seyssuel qui figurent, entre autres, à la carte. Enfin, le cru classé Côtes-de-Provence du Domaine de la Croix s’affiche en grand ambassadeur de la région.
Le cadre
Le restaurant Badine reçoit les gourmets dans un cadre chic et moderne à l’image du mobilier blanc et transparent. Cette sobriété laisse place aux accords entre les tons plus sombres des pierres apparentes et le bleu pétrole et l’orange sanguin des tableaux réalisés par un artiste local.
La grande terrasse, ombragée de sa glycine centenaire, vaut le détour !
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A Moustiers Sainte Marie, le restaurant Le Jadis se présente comme un endroit de repos gustatif idéal après une journée touristique dans le parc naturel régional du Verdon. La maison privilégie les produits français comme la viande de bœuf, mais surtout locaux comme la chèvre bio de Moustiers et son fromage, l’agneau du pays élevé à proximité.
Une cuisine traditionnelle
Le restaurant Le Jadis propose une cuisine traditionnelle majoritairement fait-maison qui favorise les produits frais du terroir. Le Chef Romain Colin collabore avec les fournisseurs locaux pour s’approvisionner en chèvre bio, en agneau mais également la truffe lorsque c’est la saison. Très important, toutes les viandes sont exclusivement françaises (porc, bœuf, agneau). Tous ces produits régionaux sont préparés dans le respect des recettes traditionnelles. La carte et les menus proposent de succulentes suggestions.
La salade du Verdon, un mélange de fromage bio de Moustiers, jambon cru, miel du producteur et des figues est l’une des signatures du restaurant.
Les pieds et paquets, une spécialité marseillaise à base de panses et pieds d’agneau sont aussi proposés. Ces abats sont mijotés dans une sauce à la tomate, au vin blanc et aux herbes de Provence. La cuisson de cette recette doit être longue et à feu doux.
Difficile de ne pas mentionner la fameuse côte de bœuf qui est la plus représentative de l’excellent rapport qualité-prix prôné par l’établissement. Les convives peuvent avoir 500 g de viande par personne pour 25 euros.
Autre plat phare : la soupe au pistou qui est une soupe de Provence très parfumée et très nourrissante à base de basilic. La majorité des ingrédients sont composés de légumes à savoir les pommes de terre, carottes, haricots, haricots verts, courgettes et poireau. De la tomate est ajoutée avant une cuisson d’une heure. Pendant que le plat mijote, le basilic est préparé avec des gousses d’ailles, de l’huile d’olive, du parmesan et des pâtes. Cette soupe est meilleure lorsqu’elle est servie chaude avec du fromage rappé.
Comme la maison veut combler tous ses convives, elle offre aussi des plats végétariens et bio comme les raviolis au tofu basilic, les pâtes bolognaises ou encore les gnocchis au broutin (spécialité fromagère bio à la sarriette et herbes de PROVENCE).
Il ne faut pas oublier que Le Jadis est aussi une pizzeria. Les pizzas aux proportions généreuses ont une pâte fine et croustillante. Les ingrédients sont très variés, de quoi largement satisfaire toutes les envies.
Un cadre authentique
Le restaurant-pizzeria Le Jadis propose un cadre provençal, jovial et cosy. Des murs aux tables, en passant par les portes, tout est coloré. Dans la salle, le set de table a été créé par le faïencier Bruno Louis et la fresque murale qui représente le village donne une touche artistique. Au niveau du bar lounge, les vieux murs de pierres apparentes donnent un ton traditionnel quand les meubles apportent de la modernité. Dans ce village où le soleil est au rendez-vous toute l’année, la terrasse du Jadis est l’endroit idéal pour apprécier la tranquillité de cet environnement de charme.
Un environnement préservé
Les Gorges du Verdon, le plus beau canyon d’Europe, constituent un des plus beaux sites d’escalade de France grâce à ses falaises. Ils font partie des principales attractions touristiques de la Provence. Ce site grandiose appartenant au parc naturel régional du Verdon offre des panoramas immenses. Aux portes du canyon du Verdon, Moustiers Sainte Marie a gardé le charme des authentiques villages provençaux. Il est classé parmi les plus beaux villages de France et bénéficie du label « Villages et cités de caractère » grâce à son patrimoine architectural et paysager exceptionnel. Ce village est reconnu pour la création de faïence et ses décorations uniques, une dizaine d’atelier lui sont encore dédiés aujourd’hui.
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Gourmands et gourmets se plairont à côtoyer la table d’Abdel Barakat, chef en cuisine au sein du Bistroquet de l’hôtel du Dauphiné. Ce locavore aime concocter des plats simples et savoureux qui transportent les convives dans un univers où se mêlent saveurs traditionnelles et exotiques.
Les ravioles : un plat emblématique
Bistroquet de l’hôtel du Dauphiné, un nom qui n’a pas été choisi au hasard. Bien au contraire, il a été mûrement réfléchi pour correspondre parfaitement à l’esprit de la maison.Celle-ci se veut aujourd’hui être l’une des ambassadrices des ravioles artisanales, une spécialité romanaise et qui sont directement commandées auprès de Chez Hostache, à Montlaur-en-Diois ou bien au Grand Goulet, à La Chapelle-en-Vercors.
Le chef Abdel Barakat aime travailler de mille et une façons ce produit romanais. Il est intéressant de savoir qu’à la base, celui-ci est constitué d’une pâte de farine de blé tendre, d’œuf et d’eau qui est garnie d’emmental ou de comté, de persil sauté au beurre. Mais au Bistroquet de l'hôtel du Dauphiné, vous ne le trouverez jamais préparé de la même manière. Laissez-vous séduire par les saveurs originales des ravioles à la crème de citron et ciboulette, des ravioles aux morilles, des ravioles au gingembre ou encore des ravioles en crumble de noix qui sont de nouvelles recettes développées par le chef.
Un amour fort pour le terroir
Bien entendu, la carte du restaurant ne se contente pas de proposer cet unique plat. Vos papilles seront forcément comblées par les nombreuses suggestions gourmandes élaborées avec passion et créativité par Abdel. Pour finir, place à des desserts plus classiques fait maison comme la tarte aux noix et caramel ou le vacherin.
Vous l’aurez compris. Au Bistroquet de l’hôtel du Dauphiné, la cuisine du terroir est à l’honneur. « J'essaie de mélanger un petit peu ma passion avec la cuisine méditerranéenne et traditionnelle » raconte le chef Barakat. Toujours dans le respect du produit, ses propositions culinaires mettent en avant sa créativité. Pour travailler, il puise dans la richesse du terroir et aime tout ce qui est « bio ». Véritable adepte du circuit court, il a tissé des relations privilégiées avec plusieurs producteurs locaux œuvrant aux alentours.
Un restaurant chaleureux
Le Bistroquet de l’hôtel du Dauphiné est installé dans une bâtisse datant du XVIIIe siècle située en bord de route,dans le centre du village, à l’angle de la rue principale de Chatillon-en-Diois. Le propriétaire décide d’apporter un peu de fraîcheur et d’innovation dans l’établissement le transformant ainsi en un lieu cosy et chaleureux.
Vous pouvez vous installer à l’intérieur pour profiter de plus d’intimité ou investir les deux terrasses lorsque le temps le permet avec en toile de fond, la superbe falaise du Vercors. Tout est fait pour que vous vous sentiez à l’aise. A l’accueil et au service, une équipe avenante et chaleureuse est à votre entière disposition et fait de votre passage un pur moment de plaisir.
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Avec sa terrasse ombragée idéale pour déjeuner en été, la Farigoule est un petit coin de paradis au cœur de Vence. Dans cette cité au riche patrimoine historique, l’établissement s’impose comme une adresse de choix pour déguster une subtile cuisine provençale et traditionnelle. Georges et Agnès Beeuwsaert font le choix de produits frais et du fait maison pour la préparation des menus saisonniers de leur restaurant. D’ailleurs, en guise de reconnaissance de ce travail acharné et de la priorité donnée à la qualité, le guide Michelin leur a attribué le Bib gourmand depuis 2015.
Des menus saisonniers qui font toute la différence
Chef autodidacte, Georges crée savamment les mets figurant dans les menus proposés à La Farigoule. Le menu Saison comporte deux entrées, plats et desserts au choix. En guise de plats pour cette formule, la restauratrice suggère vivement les joues de porc au cumin. « C’est délicieux et très fin », réplique-t-elle. Le Grand Menu donne le choix entre trois entrées, plats et desserts encore plus appétissants. Le « Caprice d’Agnès », dessert figurant dans ce menu, est assez particulier, comme l’explique notre interlocutrice : « Mon mari l’a créé pour moi, il s’agit d’un dessert à base de chocolat, sans farine, et qui est un mélange entre la mousse et le soufflé au chocolat. On utilise un cacao à 72 % que l’on met au four. » D’ailleurs, elle ne tarit pas d’éloges sur les douceurs sucrées élaborées par la maison. « Nous sommes très forts sur les desserts », clame-t-elle, avant de citer un autre incontournable : « Le carpaccio d’ananas, qui est de l’ananas coupé très finement que l’on met dans un sirop au rhum vanillé. »
Un établissement historique
Créée en 1958, La Farigoule est un restaurant vençois typique ayant su garder sa splendeur. Voilà dix ans que le duo de choc a repris l’établissement pour représenter ainsi la troisième génération de propriétaires. Au fil de son long passé, La Farigoule s’est bâti une excellente réputation grâce notamment au bouche-à-oreille, qui est, selon la restauratrice, « la meilleure publicité ». L’âme romantique des lieux a été conservée. Les meubles anciens, héritages de l’ancienne propriétaire Georgette, ont par exemple été restaurés et conservés permettant à l’endroit de respirer le charme et l’authenticité. La déco, quant à elle, a subi un lifting pour être totalement dans l’air du temps. Le patio ombragé aménagé avec 50 couverts constitue la cerise sur le gâteau. Cette « très jolie terrasse, fleurie en été », comme la décrit la propriétaire, se trouve à l’arrière de la salle du restaurant et reste unique en son genre dans le centre-ville de Vence.
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Au terme d'une vie professionnelle bien remplie, nous avons donc choisis de « boucler la boucle » dans cette magnifique vallée du Beaufortain, au Planay-Arèches-Beaufort, mondialement connu grâce à la Pierra Menta, une des premières épreuves de ski-alpinisme (32ème édition cet hiver 2016-2017). Dans ce chalet redécoré et sa terrasse au bord des pistes, une cheminée habillée avec un bois centenaire, nous vous accueillons dans une ambiance chaleureuse. Nous vous proposons des mets de terroir, d'ici ou d'ailleurs, mais toujours élaborés avec des produits de qualité soigneusement choisis. Le midi, vous aurez le choix entre le plat du jour, la carte ou une restauration plus rapide.Le soir, dans une ambiance plus intime, vous pourrez apprécier une cuisine traditionnelle, avec foie gras maison, gigot à la ficelle cuit dans la cheminée, cassoulet à la toulousaine et bien d'autres gourmandises selon l'inspiration du Chef, et également des plats régionaux, fondue, tartiflette, raclette, croziflette, matouille…
La Bartavelle : un havre de chaleur en plein paradis blanc
Des mets classiques et gourmands qui ravivent les papilles, les douces soirées d’hiver autour de la cheminée.
Vous apprécierez l'atmosphère de ce restaurant installé dans un vieux chalet et le service attentif de notre équipe. Nous vous attendons du 17 Décembre 2016 au 7 Avril 2017.
La qualité des produits avant tout
Nous nous efforçons de ne servir que les meilleurs produits et visons certes la qualité, mais aussi la quantité. Aucun convive ne quitte la table sans avoir été amplement satisfait.
Le rendez-vous privilégié des familles
La clientèle du Planay-Arèches-Beaufort a choisis le calme et l'environnement préservé, loin de l'agitation des "grosses" stations. La Bartavelle s'inscrit dans ce choix.
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L’Italie, son pays d’origine, ne quitte jamais le chef Paolo Sari, il l’affiche fièrement dans ses recettes. Tous les restaurants du Monte-Carlo Beach sont dirigés par ce passionné. Parmi ceux-ci figurent l’Elsa, le Deck et la Vigie.
Un restaurant 100 % bio
Elsa est un restaurant gastronomique étoilé dont la réputation n’est plus à faire à Monte-Carlo. Sa toute première étoile est un gage de qualité et de l’engagement qui lui a valu sa distinction de « premier restaurant 100 % bio certifié Ecocert ». Figurant parmi les plus grandes tables de la région, Elsa présente une cuisine contemporaine de haute qualité qui s’inspire de l’histoire culinaire de la Riviera. Les produits bio, majoritairement locaux, sont mis en valeur à chaque saison. Ils sont sélectionnés selon leur qualité, leur origine et les soins que les producteurs leur ont apportés. Elsa propose le Menu du Marché au déjeuner et les Menus Dégustation et Inspiration au dîner. Ce dernier est servi à l’ensemble des convives à la table. Le « Bio Sama » est le plat signature de l’établissement. Cette assiette de légumes et herbes du jardin à l’huile d’olive extra-vierge et sel de Camargue reste présente à la carte toute l’année mais change d’aspect selon la saisonnalité. Les saveurs méditerranéennes se découvrent aussi au travers des pâtes et riz proposés à l’Elsa ainsi que des poissons tels que les rougets rôtis suivant la tradition de la Riviera, accompagnés de purée de févettes et petits légumes du jardin. Les viandes sont également représentées par le cochon de lait, la côte au lard fait maison ou encore le gigot braisé. Les vins que le restaurant Elsa suggère à la carte pour accompagner les repas sont exclusivement bio. Il en est de même pour les fruits, chocolat et café rehaussant les saveurs des desserts.
Un repas au bord d’une piscine olympique
Avec son esprit brasserie, le Deck se veut être le lieu de rendez-vous de la Principauté de Monaco. L’ambiance est décontractée dans ce restaurant qui longe la légendaire piscine olympique du Monte-Carlo Beach. La cuisine y est également contemporaine et basée sur des produits frais de saison. Les tomates et mozzarella di bufala au basilic de la Riviera et carpaccio de bœuf biologique se placent au-dessus de tous les hors-d’œuvres disponibles dans la carte du Deck. Les spaghettis sont également omniprésents, mais cela n’exclut pas la présence de viandes telles que l’escalope de veau à la milanaise et poissons comme les calamars géants frits sauce tartare. Le Marché des Saveurs, un brunch programmé chaque dimanche, est une occasion de découvrir la cuisine du chef Paolo Sari. Lors de cet évènement, les convives se servent dans plusieurs stands en bois d’inspiration provençale avant de déguster leur plat sur la terrasse.
Un dîner méditerranéen
Perché sur un promontoire rocheux qui domine la mer le soir, le restaurant la Vigie est un « lieu privilégié ». Les poissons issus de la pêche locale permettent à Paolo Sari de réaliser cette fameuse cuisine axée sur la Méditerranée. Les spécialités qui ornent la carte de la Vigie sont les langoustes et les poissons grillés. Chaque ingrédient rigoureusement sélectionné bénéficie d’une présentation fraîche et appétissante, de quoi combler les épicuriens. Petite nouveauté pour cette année : le Monte-Carlo Beach Club organise une animation de saison intitulée « Beach Parties ». Le temps de deux soirées en juillet et deux en août, les invités en maillot de bain profiteront de la piscine chauffée et du buffet dressé autour. Les animations musicales quant à elles procurent une ambiance festive à l’événement.
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Idéalement situé à cinq minutes à pied de la plage et de la Promenade des Anglais, le Windsor constitue un véritable havre de paix où opère en permanence une belle magie. Le restaurant a tout pour plaire et offre un cadre atypique, marqué par une étrange volière logée dans le creux d’un vieil arbre et par un jardin tropical hors du commun qui abrite un caoutchoutier de taille impressionnante, entouré de troènes, de néfliers, de palmiers et de bambous géants.
Profitez des beaux jours à l’ombre de son caoutchoutier géant qui abrite quelques tables installées en terrasse, ou, pendant l’hiver, du décor intimiste à l’ambiance chaleureuse de son Wi Lounge, près de la cheminée. À travers une savoureuse cuisine locale aux touches provençales, le Windsor met ainsi en valeur des produits aux cuissons maîtrisées et à la présentation soignée.
Une belle cascade de saveurs
Riche du titre de maître restaurateur, le Windsor s’adresse également à une clientèle végétarienne qui apprécie d’autant plus les légumes bios. Grâce aux liens de partenariat qu’il entretient avec ses fournisseurs, l’établissement se fait un point d’honneur à fournir des produits de qualité.
Dans un voyage culinaire plein de surprises, découvrez sans tarder sa salade d’artichauts frais marinés, son millefeuille de saumon fumé aux tuiles de parmesan ou ses petits farçis à la niçoise. Enchaînez avec un aïoli aux petits légumes, ou un magret de canard au miel et à l'orange, ou encore un gigot d’agneau rôti au miel et au thym, pour terminer avec son fameux "tiramisu revisité au spéculos" la spécialité du chef, non sans oublier ses entremets rafraîchissants aux glaces et sorbets bio.
Une riche carte de vins vous attend au sein du restaurant, avec une belle représentation des vins de la région tels que les Côtes de Provence, comme le Château La Coste ou le Pink Floyd du Domaine de Miraval.
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Désireux chacun d’ouvrir leur propre restaurant, Frank et Gary concrétisent leur rêve en lançant le Bistrot Chaud-Vin, un jeu de mot bien trouvé faisant référence à la rue dans laquelle il se trouve. Ici, convivialité rime avec saveurs gourmandes.
Une déco qui marie l’esprit bistrot et la modernité
Le Bistrot Chaud-Vin se démarque par son identité visuelle. Une parfaite dualité entre traditionnel et modernité s’en dégage. La peinture aux couleurs vives additionnée aux luminaires donne un ton réellement chaleureux à l’établissement.
La décoration authentique avec meubles en bois offre à l’ensemble un esprit sobre et chic. Parfait pour un diner en couple, entre amis ou en famille. Le restaurant reflète bien l’idée véhiculée par les deux associés Gary Mesguich et Frank Moser : offrir aux clients un vrai instant gourmand.
L’esprit bistrot y est fortement présent. Des vins du terroir ainsi que d’autres régions de France ont été disposés dans des coins clés de la salle. Ils trônent majestueusement aux côtés des cagettes de légumes de saison qui rappellent l’ambiance des cuisines de nos grands-mères.
Le tout baigne dans une ambiance calme bercée par une musique de fond. Entre la qualité de service et le décor finement pensé, les convives se sentent d’un coup comme chez eux.
Une cuisine riche et généreuse pour faire plaisir aux fins palais
Le Bistrot Chaud-Vin propose une cuisine de tradition. Longuement mijotés et concoctés avec soin par le chef, les produits du terroir sont mis à l’honneur dans les divers menus. Pour satisfaire les papilles, le maestro en cuisine travaille avec des produits de bonne qualité et frais provenant directement des producteurs locaux.
Doté d’expériences acquises dans l’un des plus connus des établissements niçois, à savoir à la Petite Maison, Gary Mesguich se démarque en proposant des plats généreux, riches en saveur du terroir qu’il concocte avec passion.
Écrites à l’ardoise, les suggestions culinaires changent en fonction des saisons. En entrée, vous vous laisserez tenter immédiatement par la salade d’artichauts violets, pan bagnat de tomates. En plat de résistance, rien de tel qu’un magret de canard de la ferme Puntoun aux fruits rouges et beignets de maïs bio. Les plus gourmands ne résisteront pas à l’idée de commander cette imposante côte de bœuf d’Aubrac à partager à deux. Pour finir, l’ile flottante à la lavande séduit les palais avec ses saveurs exotiques.
L’établissement propose aussi le « Fumoir du Bistrot Chaud-Vin » avec quelques suggestions à ne pas manquer comme le saumon fumé, gaufrette citronnée et crème fouettée ou le magret fumé servi avec une salade de lentilles blondes Saint-Flour aux fruits et légumes.
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C’est près des Gorges du Verdon ainsi que du lac de Sainte-Croix que se trouve la cité Riez-la-romaine, là où se situe Le Rempart. Depuis 1999, ce restaurant chic et convivial propose des plats exquis dans le but d’épater les convives qui s’émerveilleront en même temps en découvrant les œuvres d’art exposées à l’intérieur. La réputation de cet établissement de la rue du marché est telle que les plus grands guides le recommandent pour son originalité ainsi que sa cuisine gourmande.
Quand l’originalité s’allie à la créativité
Faisant office de galerie d’art, ce restaurant travaille en collaboration avec les artistes locaux qui exposent au Japon ainsi que sur Paris. Au moyen d’un vernissage, l’artiste expose pour la première fois ses œuvres dans les salles pouvant accueillir 80 personnes. Rappelant la savane, les chaises de couleur zébrée ou unie donnent de l’exotisme au décor de la salle principale. Rondes ou rectangulaires avec des pieds droits ou sculptés, les tables en bois sont intensément vernies. En plus des lampadaires et des grands bougeoirs aux coins des murs, les tableaux et les grands miroirs, que ce soit au rez-de-chaussée ou en étage, participent énormément à l’embellissement de l’établissement. Un peu partout dans la salle, des sculptures, de la poterie et de la faïence sont à mis en exergue. A l’extérieur, lors de l’arrivée des beaux-jours, la terrasse ensoleillée promet encore plus de convivialité. La terrasse à l’ombre quant à elle est située sur la rue piétonne. Cet espace en plein air est entouré de tonneaux de vins, d’une tonnelle fleurie ainsi que des pots d’arbustes. Les peintures d’empreinte de pieds marquent le passage se dirigeant vers l’accueil, près duquel se trouve une boutique de produits provençaux.
Repas des plus succulents
Dans un souci de fraîcheur, le chef Ismaël Cardoso se ravitaille auprès de fournisseurs bios d’Allemagne-en-Provence pour les légumes. La viande de bœuf, quant à elle, est issue de Charolles tandis que l’agneau provient des Alpes. Au restaurant, il présente le menu express du midi et la formule brasserie dite rapide et chic. Parmi les plats phares du Rempart figure la farandole de spécialités provençales, une assiette bien garnie composée notamment d’artichaut barigoule, de mesclun, de tomates anciennes, de jambon cru, de chèvre chaud et de plusieurs autres ingrédients provençaux. Agréablement décorée, l’incontournable Assiette du pirate fait aussi la réputation de la maison. Elle est préparée avec une tartare de dorade rose, une salade de mesclun, des tomates anciennes, des gambas, des noix de Saint-Jacques, des langoustines, des moules, des palourdes et des poulpes en persillade flambés au Pastis et fruits de saison. Pour les plus gourmands, la carte propose la côte de bœuf charolaise grillée au barbecue servie avec une farandole de légumes et une salade accompagnée d’un panaché de sauces et sel de Guérande. A savoir que le restaurant propose plusieurs menus dont celui intitulé « Autour de la truffe » composé d’une petite brouillade de truffes, de ravioles de foie gras de truffes et d’un filet de bœuf rossini aux truffes ou de Noix de Saint-Jacques aux truffes.
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Tout au long de l’année, la Promenade des Anglais attire autant les locaux que les touristes en quête de moment de détente. Réputée pour son fameux Carnaval de Nice, la promenade est aussi connue pour abriter les hôtels à l’architecture Belle Epoque des plus remarquables de la Côte d’Azur. Parmi eux, le Westminster Hotel & Spa. Rénové entre 2015 et 2016, l’hôtel en a profité pour dévoiler son tout nouveau restaurant : Le Duc.
L’élégance à la française
Tout comme l’hôtel Westminster Hotel & Spa, le Duc séduit autant par son élégance que par son atmosphère apaisante. Jouant sur la tonalité mauve, la décoration est à la fois contemporaine et chaleureuse. Sur les murs, les photographies signées Valéry Trillaud sont parfaitement exposées et mises en scène par un éclairage subtilement nuancé. En un instant, on se croirait presque dans une galerie d’art.
Mais le vrai spectacle est celui offert par le chef et son équipe. En effet, le restaurant propose une cuisine ouverte, laissant ainsi aux convives le privilège d’admirer la brigade en action. Et pour couronner le tout, la magnifique terrasse vitrée et surélevée offre une vue imprenable sur la Méditerranée et la baie des Anges. Selon le souhait des clients, la vitre peut être ouverte pour s’imprégner totalement de l’ambiance de la Promenade des Anglais.
Une cuisine traditionnelle mais créative
Côté cuisine, la qualité des plats est à la hauteur de la beauté des lieux. Raffinés et authentiques, ils sont avant tout savoureux, frais et soigneusement concoctés. Digne fils de la ville de Nice, Le Duc met à l’honneur la cuisine méditerranéenne et traditionnelle à base de légumes, de saveurs et de senteurs provençales. La carte fait ainsi la part belle aux grands classiques niçois subtilement revisités par le chef Dominique Sgro.
Au déjeuner, les convives pourront choisir entre deux formules. La première propose une entrée et un plat ou un plat et un dessert pour 19 €. La seconde offre un menu du jour à 25 € composé d’une entrée, d’un plat et d’un dessert qui changent selon l’ardoise du jour. Pour les deux menus, les amuse-bouches ainsi que le café sont offerts. Au diner, le Menu Niçois met à l’honneur les spécialités niçoises à 37 €.
Pour accompagner le repas, l’établissement propose une sélection de vins où le terroir de la région est mis à l’honneur. La carte recèle quelques pépites comme le Bellet Château de Bellet Baron G millésime 2013 ou encore le vin rouge bordelais : l’AOP Saint-Emilion Château Berliquet Grand Cru classé millésime 2010. Le tout, servi par un personnel aussi avenant que motivé.
A chaque jour sa spécialité niçoise
Par ailleurs, Le Duc sort du lot avec son concept à chaque jour, sa spécialité niçoise. Selon la disponibilité du marché et des produits de saison, le chef met à l’honneur un plat typique de la région. Une occasion pour les convives de découvrir ce patrimoine culinaire niçois qui fascine et enivre en même temps. Le lundi, place au véritable Aïoli « Le Duc ». Le mardi, il travaille le cabillaud tandis qu’il surprend avec le succulent fricassé de lapin, le mercredi. Le jeudi, le délicieux Capon Niçois est servi. Le vendredi, le Rouget Grondin en portefeuille, sauce vierge émoustille les fins palais. Le samedi, une note de douceur apportée par l'Epaule d’Agneau Frottée à L’Ail et aux Herbes, Bayald attend les convives. Et pour achever en beauté la semaine, le chef sublime le Filet de Daurade à la plancha accompagné de conchiglioni farcis.
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8/10
03/06/2016 - Publié il y a 5 ans
Le service était tout simplement parfait avec des menus originaux