S’inscrivant dans l’univers de la restauration française depuis vingt-neuf ans, Le Refuge des Gourmets est situé dans le petit village de Machilly, au pied du massif des Voirons, en campagne, à environ dix kilomètres d’Annemasse. Récemment primé d’une étoile par le Guide Michelin, cet établissement familial cossu collabore avec une équipe professionnelle et talentueuse.
Un restaurant tout en convivialité
Dans un souci de favoriser les relations humaines et le partage, Florence Chanove et son équipe de salle sont au petit soin pour leurs hôtes. Dans un cadre feutré et élégant, elles les accueillent chaleureusement et les invitent à se délecter d’une cuisine fine et surprenante.
Avec ses deux salles séparées, dont l’une peut accueillir jusqu’à 30 personnes, le restaurant convient à toutes sortes d’occasions, du repas familial au déjeuner professionnel, en passant par un simple dîner occasionnel.
Ode à la cuisine gastronomique de région
Dans les coulisses du restaurant, les chefs Jean-Marie Chanove et son fils Hubert, épaulés par leur brigade, combinent leurs compétences et créativité pour concocter des plats toujours savoureux, gourmands, mais surtout authentiques. La particularité de leur cuisine réside sur « l’utilisation de produits locaux, mais notre restaurant se distingue aussi sur nos cartes qui se renouvellent constamment en fonction des saisons », s’accordent à dire les chefs. Le restaurant travaille principalement avec des fournisseurs locaux : agriculteurs, éleveurs, pêcheurs et cueilleurs de champignons, de fruits, d’herbes sauvages, fleurs, etc. « À partir des produits régionaux et saisonniers comme la framboise, nous proposons une déclinaison de cuisine gastronomique et traditionnelle, tout en inventivité et mélange des saveurs. », spécifient-ils.
Au programme : un menu à la carte et un menu carte blanche appelé « Partition gourmande » qui se décline en sept ou huit partitions.
Pour cette saison printanière par exemple, « nous travaillons sur des jeunes herbes mixées avec des infusions hivernales, que ce soit des infusions végétales, de légumes ou de plantes séchées », poursuivent nos interlocuteurs. Au déjeuner, l’omble chevalier est à l’honneur, qui, en cette saison, est un poisson très prisé à la fois par sa délicatesse et la justesse de ses accords. « La garniture, la sauce ou le mode de cuisson de l’omble vont surgir en fonction du temps présent, puisque nous travaillons dans un esprit de spontanéité du moment ». Pour accompagner ses plats, les chefs suggèrent des vins du terroir, notamment ceux de la Haute-Savoie et de la vallée du Rhône, sa région natale.
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En partie retiré du monde, Le Pré de La Cure est un lieu d’exception au cadre raffiné qui n’a rien à envier à ses pairs. Jouissant du paysage enchanteur des abords du lac Léman, l’établissement invite à la rêverie éveillée dans laquelle on souhaiterait longtemps demeurer… Une invitation gourmande où tout n’est que douceur, bien-être et plaisir avec en prime, vue sur le lac et les remparts.
Un restaurant à la cuisine traditionnelle
Dans une atmosphère chaleureuse et agréable où il fait toujours bon se retrouver, le restaurant propose de savantes associations de textures et de saveurs soigneusement élaborées par le talentueux chef, Olivier Magnin. Fidèle aux principes de la maison, il compose de belles assiettes avec toujours le respect de la tradition pour créer une cuisine où le fait maison reste à l’honneur.
L’établissement propose « une carte qui change 3 fois par saison », annonce Amélie Magnin, propriétaire. Une belle découverte que son lièvre à la royale, « préparé de façon traditionnelle », apprend-on, un plat à partager en famille, entre amis ou en amoureux… juste pour le plaisir des papilles.
Découvrez tout autant son soufflé au Grand Marnier, qui reste le « must » des desserts.
Un décor d’exception
Salle spacieuse et élégante, tables raffinées et dressées avec gout, superbe vue sur le lac Léman… Le Pré de la Cure est un véritable petit bijou niché dans un des plus beaux villages de France. Admirable de beauté, il vous fait profiter d’un cadre contemporain et pourtant digne d’un conte de fées… mais pas seulement ! Situé en face des remparts de la cité médiévale, l’établissement possède également 25 chambres avec toutes les commodités nécessaires pour garantir un séjour agréable. Il est doté d’une piscine couverte chauffée, d'un sauna, d'un hammam et d'un jacuzzi. Le Pré de la Cure est l'un des rares établissements à posséder une telle infrastructure dans les alentours.
Dans un rêve éveillé, imprégnerez-vous alors des lieux où tout n’est que beauté, douceur et bien-être, avec un plaisir toujours renouvelé.
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À nouvelle gérance, nouveau décor ! En reprenant le restaurant il y a 2 ans et de par ses nombreux voyages un peu partout dans le monde, Loïc Ledu a apporté une signature unique. Il propose majoritairement « des menus de France revisités » comme il aime si bien le dire, avec une cuisine gourmande qui lui fait rappeler son enfance, une irrésistible nostalgie qui revient souvent dans ses inspirations.
Un globe-trotter passionné
Après une vie de globe-trotter (Écosse, Australie, Dubaï, Europe) au cours de laquelle il a toujours nourri sa passion pour le métier, Loïc Ledu a réussi de belles expériences de vie dans la restauration. Pour aller plus loin dans l’aventure, il choisit avec sa femme Céline de poser ses valises en terre française et de s’y installer. Son coup de cœur pour Le 111 a nourri en luide nouvelles inspirations créatives et originales.
Un lieu de rencontres à l’ambiance intimiste
Le 111 est un établissement qui plaît à la clientèle. Selon Loïc Ledu, c’est un « restaurant très fréquenté par les femmes », qui y trouvent un lieu idéal pour se retrouver. L’endroit offre en effet un décor intimiste aux couleurs à dominance gris et rouge imprégnées d’une ambiance feutrée qui séduit particulièrement les couples et les amoureux. « Le succès du restaurant vient du bouche à oreille », se satisfait le chef. Le 111 a une capacité d’accueil de 30 couverts en terrasse, de 40 couverts en salle et de 18 couverts pour les différents évènements de groupe (anniversaire, évènement familial…).
Du fait maison bistronomique
Le 111 propose une cuisine au concept bistronomique, c’est-à-dire des « produits simples, cuisinés de façon créative, avec de belles présentations et à prix abordables », fait valoir Loïc Ledu. Il tient notamment à préciser que l’établissement ne fait que du frais : « Tout ce qu’on a à la carte est fait maison, à base de produits bruts sans aucun produit transformé. »
C’est d’ailleurs ce qui fait la particularité de la maison. À travers ses notes sucré-salé, aux couleurs et aux goûts de France, Le 111 porte bien la signature du chef. Pour garantir la fraicheur des produits proposés, le choix des fournisseurs est très strict (meilleure régularité, meilleure viande, meilleurs produits).
Le bœuf Wellington, les Noix de Saint-Jacques et beurre de clémentine et les Ravioles de Joue de bœuf restent à ce jour les plats-signatures du restaurant, mais d’autres plats viennent s’y ajouter selon les goûts et préférences des fidèles de l’établissement. « Nous travaillons beaucoup le bœuf », explique Loïc Ledu, et les clients apprécient grandement « tartare et carpaccio », des produits coupés à la minute et au couteau.
Le 111 possède également une section grill, qui permet de préparer du steak maison avec des frites coupées à la main. Pour satisfaire encore plus les clients, le restaurant vient de sortir sa nouvelle carte d’été avec des menus adaptés, dont des noix de Saint-Jacques, du suprême de pamplemousse et du tartare de saumon.
Cerise sur le gâteau : toutes ces suggestions gourmandes peuvent se déguster depuis la salle du bas, tout en appréciant une vue imprenable sur une grande cave à vin vitrée révélant plus de 130 références.
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Le restaurant La Perle du Lac s’affirme dans un style traditionnel qui plonge sa clientèle dans une ambiance chaleureuse et douillette. Dans la salle principale et les salons privés aux larges baies vitrées, les tables se parent d’un ensemble de nappes, napperons et serviettes pour accentuer le charme séculaire des lieux. Sur la terrasse décrite comme « la plus belle terrasse de la ville » par M. La Marche, directeur du restaurant, les clients contemplent à volonté la vue sur le Mont-Blanc et la Rade.
La cuisine d’autrefois revisitée aux goûts actuels
M. La Marche qualifie la cuisine proposée de « bourgeoise et traditionnelle française ». Désireux de partager l’histoire des lieux avec ses clients, le restaurant propose, en plus du menu du jour, le menu Byron, en l’honneur du poète anglais ayant vécu sur les bords du lac Léman et qui aurait séjourné au chalet, et le menu Orangerie, pour rappeler qu’autrefois, ce chalet abritait les agrumes d’hiver de son ancien propriétaire Bartholomé.
Une carte qui sent bon le raffiné
À travers sa carte, élaborée selon le profil d’une clientèle internationale, La Perle du Lac propose des plats emblématiques, à l’instar du gratin d’écrevisses, servi principalement en septembre, l’omble chevalier meunière, la féra du lac à la sauce genevoise et le suprême de volaille du Nant d’avril relevé par une crème d’estragon. Pour l’entrée, les préparations au foie gras, en terrine ou poêlée avec du vinaigre de framboise, constituent la signature de la maison. Au dessert, le chariot savamment composé de huit assortiments de pâtisseries accommodés aux fruits de saison, d’une salade de fruits et d’une spécialité locale, fruits rouges accompagnés de meringue et de double-crème de gruyère, termine en beauté le repas.
Pour accompagner avec délice les préparations traditionnelles concoctées par le chef et son équipe, le restaurant propose une carte de vin très éclectique réunissant des références genevoises, françaises, libanaises, argentines, espagnoles, etc.
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Entre bœuf et homard
Propriétaire du restaurant Le Patio, emblématique de la gastronomie genevoise depuis les années 70, la famille Prato semble avoir trouvé en Philippe Chevrier le successeur culinaire idéal. Reconnu pour sa cuisine traditionnelle et créative, l’étoilé avait fait ses armes tout jeune au Patio, c’était donc une opportunité évidente que de reprendre l’établissement en 2013. Au-delà des classiques de bistrot, il y développe un concept original : le « Bœuf & Homard ». Aux tables du Patio, ces deux produits d’exception sont rois. Avec une texture fondante et un goût si singulier, sublimés avec talent, ils se réinventent sous les couteaux des chefs avec une déclinaison infinie de plats. Côté mer, on s’emballe pour des carapaces travaillées en bisques ou consommés aromatiques, parfumées au porto, au lemon grass, assaisonnées à la fleur de sel ou en gelée de fenouil. Côté terre, on salive pour le bœuf et sa traditionnelle entrecôte, ou en tartare, en carpaccio, farci, braisé, mitonné ou encore en ragoût. En entrée, les ravioles de queue de bœuf braisées et liées au foie gras et au porto font concurrence à la bouchée à la reine « comme faisait maman Denise ». Avec des classiques comme le tibia de bœuf à la fleur de sel et le homard grillé au beurre de corail, les plats sont authentiques et efficaces. Entre terre et mer, un trésor culinaire séduira à coup sûr les papilles des plus gourmets. Il s’agit du « Surf & Turf », alliant un cœur de filet de bœuf et un demi-homard grillé décortiqué. Souhaitant perpétuer la tradition, le restaurant revisite également les classiques d’une gastronomie d’antan, c’est-à-dire les plats phares de la famille Prato. Tartares, cuisses de grenouille, filets de perche, turbot sauvage ou encore carré d’agneau sont quelques-unes des spécialités présentes à chaque saison pour compléter le concept « Bœuf & Homard ». Pour concocter et servir cette cuisine gastronomique et audacieuse, l’équipe talentueuse du Patio réunit Gilles Granziero le directeur, deux chefs de cuisine, Romain Loiseau et Rodolphe Estiot-Braud, et Alexia Chenevard, maître d’hôtel.
Une gourmandise authentique au cœur de Genève
Tant du côté des saveurs que du décor, Le Patio est marqué par le sceau d’une élégance intemporelle. Entre lac et vieille ville, l’antre culinaire peuplé d’habitués accueille le visiteur à Genève dans une ambiance plutôt intimiste. Mêlant subtilement charme du bistrot de quartier et chaleur du restaurant douillet, difficile de résister à cet endroit. Les jolis murs de pierres apparentes sont tapissés des œuvres colorées du peintre cubain Carlos Boix, un habitué et ami du chef qui en a fait son repaire. Réputé pour son authenticité, le bistrot célèbre également le terroir à travers des soirées dédiées aux vignerons, aux cigares, à la truffe, et au gibier. « Sans vignerons et sans agriculteurs, le restaurateur n’est rien », a dit Philippe Chevrier, pour qui la cuisine est avant tout un art de la générosité et du partage. Et ce n’est pas l’incroyable sélection de vins du Patio qui nous fera dire le contraire. Des crus suisses mais aussi français et italiens sont à l’honneur d’une carte des vins étoffée et raffinée. Les chefs ont également élaboré une gamme de desserts aussi gourmands les uns que les autres. Parmi eux, on retient le traditionnel baba au rhum, la tarte fine aux pommes, ou encore le moelleux au chocolat. Le Patio reste à la fois un bistrot de quartier d’une belle tradition culinaire, qu’une institution genevoise incontournable de la rive gauche de Genève. Recommandé à tous ceux qui souhaitent partir à la chasse aux saveurs dans l’élégance de la simplicité et la chaleur de la vieille ville.
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L’endroit a tout pour plaire ! Classé au patrimoine, l’établissement a trouvé refuge dans une ancienne brasserie, structurée d’un majestueux décor de boiseries de chêne. Philippe Chevrier, actuel gestionnaire des lieux, a voulu renforcer l’esprit traditionnel de la maison à travers une cuisine italienne… certes classique, mais rayonnante de saveurs.
À la découverte de la cuisine méditerranéenne
Le restaurant Marjolaine s’approvisionne auprès de fournisseurs italiens implantés en Suisse. Simple et raffinée, la « cuisine du soleil » se prépare à partir des produits de premier choix. Avec une carte assez flexible, la maison se fait un plaisir de sublimer les produits de saison.
Philippe Chevrier a trouvé en Francesco Tedesco, un généreux chef turinois, idéal pour son restaurant italien ! Sa restauration met en avant les ingrédients typiques de l’Italie, à l’instar de la burrata, de la mortadelle, du salami, de la bresaola et, bien évidemment, les pâtes ! Au restaurant Marjolaine, tout est fait maison : spaghettis, raviolis, tagliatelles, linguine, paccheri et gnocchi de pommes de terre.
Vous vous ferez un réel plaisir à la seule vue des linguine au homard, sauce tomate ou encore des spaghettis « alla carbonara ». Si vous aimez la viande, vous n’hésiterez pas à déguster le filet de bœuf « Molard » aux bolets et chanterelles avec son jardin de légumes, le tout rehaussé d’une appétissante sauce espagnole. Les enfants se régaleront avec une escalope « alla Milanese » qui s’accompagnera de la garniture du jour. Vous êtes végétarien ? No problemo ! Francesco Tedesco, chef de cuisine, propose le minestrone della « Mamma » comme entrée et un bon risotto aux artichauts servi avec du fromage de chèvre au citron confit comme plat principal. L’aventure culinaire se termine en beauté avec une marjolaine à l’orange, sauce vanille ou tout simplement en savourant un grand classique du répertoire italien : le tiramisu.
Qui dit bon repas dit bon vin
En matière de vins, l’établissement dispose d’une cave riche en références. En apéritif ou en accompagnement, la cuvée qu’il vous faut est disponible au restaurant Marjolaine. Le maitre d’hôtel Filippo Denise, alias « Pippo », vous aidera à choisir le meilleur accompagnement pour votre repas.
L’établissement propose notamment des cuvées suisses, italiennes et françaises. Les vins suisses proviennent essentiellement de maisons genevoises comme Chasselas Domaine du paradis ou le Domaine du Clos des pins. Retrouvez également Les Vins de Philippe Chevrier. Cette fois, dans la peau d’un vigneron, notre chef présente des millésimes 2016 à base de sauvignons blanc et de sauvignon gris. Les vins de France sont représentés à travers des appellations renommées comme le bourgogne ou les côtes-du-rhône.
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Ce bistrot à la réputation déjà faite a été repris par des propriétaires bien sympathiques qui maîtrisent du bout des doigts l'art de recevoir. Une cuisine savoureuse réalisée sous la houlette d’un chef aussi créatif que talentueux, Mouss. Mouss et Muriel proposent au Bistrot Dumas une pause gourmande qui mérite le détour, dans une salle privatisable pouvant accueillir jusqu’à 50 personnes. Planté dans un cadre cosy et chaleureux, il séduit les épicuriens par sa cuisine bistronomique. Sa décoration soignée type Art déco s’illustre dans ses superbes vitraux qui ornent les luminaires et le plafond, en illuminant la salle de mille feux. Un festival de couleurs que l’on imagine comme un avant-goût de ce que la maison a à offrir. Ici, le ton est donné avec une salle spacieuse baignant dans une lumière naturelle, propice à des moments agréables à passer en toute décontraction et convivialité entre collègues, amis, ou en famille.
Une carte riche au gré des saisons pour une invitation à la découverte
À travers des plats succulents que lui connaissent ses habitués, la maison fait entreprendre un joyeux périple culinaire à ses convives. L'enchaînement des saisons se reflète à travers les couleurs ensoleillées des plats dont le visuel est soigneusement travaillé. En entrée, la carte variée et attrayante propose, par exemple, de commencer les réjouissances avec un velouté de courge muscade et butternut ou le saumon mariné houmous de betterave et délice au beurre. Comme plat de résistance, difficile de résister à l’appel du pavé de cerf ou des cuisses de grenouille à la persillade, des plats hors du commun qui constituent les spécialités de la maison. Pour continuer sur cette lancée, les œufs en meurette et la sole petit bateau cuite sur arête sont aussi des incontournables. Et que dire du tartare de bœuf coupé minute au couteau ou de la quenelle de brochet sauce homardine qui comblent les plus fins des gourmets. Les plus aventureux se laisseront tenter par l’os à moelle coupé dans la longueur pour découvrir une saveur qui fond en bouche, et pourquoi pas une salade de chèvre chaud. Le moelleux au chocolat, les meilleures tartes de Genève ou les mignardises faites maison sont d’une finesse incroyable pour finir les festivités sur des notes de douceur.
Le plus qui fait le succès de la maison : des plats bien exécutés « concoctés avec des produits issus des agriculteurs locaux », nous confie le chef Mouss.
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L’enseigne est située rue du Rhône, dans le food hall du grand magasin Globus à Genève. Elle s’est lancé un défi de taille : donner au fast-food un nouveau visage en proposant de délicieux burgers gastronomiques, à déguster sur place ou à emporter. Créé sous l’impulsion du chef doublement étoilé Philippe Chevrier, le pari est réussi pour ce snack artisanal et gourmet. Chez Denise, la carte fait aussi la part belle à des hot-dogs, des salades et des desserts gourmands, tous disponibles à emporter.
Quand le fast-food devient gourmet
Au homard, au bœuf suisse des alpages, à l’agneau, au foie gras ou encore végétarien. Toujours des garnitures uniques et créatives pour des petits pains sains mais gourmands. Des produits du terroir sélectionnés avec soin par une équipe conviviale. C’est l’idée que l’on se fait du burger chez Denise, goûteux mais simple et accessible. Dans ce snack haut de gamme, vous pourrez goûter à l’originalité raffinée de la maison comme « le homard du Maine avec sa rémoulade au citron vert nappé d’une mousseline d’avocat ». Le Spice Lamb propose, quant à lui, une recette alléchante à base d’agneau confit aux sept épices dans un pain pita. On compte au total près de sept recettes finement élaborées et chaque mois possède son lot de surprises avec un burger spécial à la carte. Un classique simple et indémodable ? Le Roast Chicken avec son poulet rôti confit, ses chips maison et sa sauce moutarde à l’ancienne. Si l’enseigne jouit d’une belle sélection de viandes, les végétariens n’en sont pas pour autant délaissés avec au menu un burger spécial galette de maïs aux délicieux légumes. Le tout est servi dans de jolis pains buns à l’épeautre, au sésame, à l’encre de seiche ou encore aux graines de courge, réalisés sur mesure par un artisan boulanger de Genève. Philippe Chevrier, chef doublement étoilé, affirme avec simplicité sa passion pour les produits du terroir et sa volonté de proposer un snack de qualité et accessible à tous ceux qui cultivent le « fast good ».
Tous à la gastronomie
Le lieu, décontracté et familial, invite les gourmands à vivre des instants culinaires conviviaux, cristallisés autour d’une idée essentielle : la sélection de bons produits tels que la célèbre tomme genevoise ou le bœuf suisse auprès des meilleurs producteurs locaux. Et pour rompre définitivement avec les clichés sur le burger, l’enseigne se veut responsable et proche de ses consommateurs comme de ses fournisseurs. Chez Denise, tout est fait « maison ». Même les sauces, comme la fameuse sauce Denise. À l’opposé de la malbouffe, on déguste ici le burger au naturel, c’est-à-dire sans arôme, sans conservateur, avec des produits cent pour cent locaux. Résultat ? Dans les cuisines, le burger subit un lifting complet pour retrouver ses lettres de noblesse. Manger sur le pouce mais gastronomique, c’est aussi une invitation à la convivialité, une valeur chère à Philippe Chevrier. Et pour perpétrer le paradis sensoriel découvert dans la cuisine familiale, le chef a choisi de rendre hommage à sa mère en lui dédiant son restaurant. « Depuis ma tendre enfance, le plaisir de la cuisine, transmis par plusieurs femmes dont ma maman, n’a fait qu’inculquer en moi cette passion et cette force qui m’ont fait grandir tout au long de ma vie », explique-t-il. Ces quelques mots rappellent que l’art culinaire est avant tout un savoir-faire empreint d’histoires qui nous replongent dans les souvenirs d’un repas de famille autant qu’une passion pour l’excellence. Sur place, en plus des produits frais et de la conception de burgers uniques, l’invitation à déguster se fait sans complexes et de manière décontractée. On voit les cuisiniers à l’œuvre dans la cuisine vitrée, en train de s’activer autour du toaster et de la plancha. Côté sucré, on se laisserait volontiers envoûter par le cake aux carottes et au gingembre, le cheese-cake new-yorkais à moins que...
Du bœuf de Kobe, à l’agneau d’Irlande en passant par le porc Genevois, le chef suisse doublement étoilé au Domaine de Châteauvieux Philippe Chevrier attise les braises dans son steak house à l’américaine. Cet authentique grill à l’américaine situé en plein cœur de Genève, sur la célèbre rue du Rhône est un repère idéal pour les fins gourmets. Célébrée dans un décor époustouflant, la viande est au centre des saveurs gastronomiques.
Un peu de New York à Genève
Pour Philippe Chevrier, cuisinier genevois doublement étoilé, c’est un vieux rêve qui s’est réalisé, avec l’ouverture de ce grill en fin 2015, à Genève. Le chef multi-restaurateur qui a bâti sa réputation au domaine mythique de Châteauvieux a toujours été fasciné par New-York. Preuve en est, il s’y rend régulièrement depuis 1984 pour participer au marathon. Plus qu’une inspiration, il a ramené du pays de l’oncle Sam de nouvelles façons de savourer la cuisine. Sur deux immenses étages boisés au chic incontestable tout de briques et de poutres, de matières brutes et de gros volumes, le décor de Chez Philippe semble tout droit sorti des quartiers de Brooklyn. Très fréquenté, l’établissement propose un dyptique au charme certain. Au rez-de-chaussée, le bar, lounge et décontracté propose à la carte burger, salades et viandes. Idéal pour un verre entre amis ou un repas sur le pouce. Le petit plus pour un moment after work : un pianiste qui accompagne les moments culinaires dans une ambiance conviviale. La brasserie est ouverte 7 jours sur 7 et prend les dernières commandes à 23h. A l’étage, c’est la partie grill-restaurant qui se dévoile. Plus intimiste, cultivant l’élégance et le raffinement cosy. Un immense loft au plafond haut et au décor vitré accueille le visiteur. Dans une ambiance tamisée et un design épuré, les chefs de Chez Philippe mettent sur le feu une gastronomie tendre et juteuse. Le succès du restaurant repose en effet sur la grande variété de viandes proposées sur le grill. A la carte, vous trouverez une vingtaine de pièces de viandes cuisinées et réputées pour leurs qualités gustatives. On y trouve, entre autres, de l’agneau d’Irlande, du porc Suisse, du boeuf d’Australie et du bœuf de Kobe (japonais). De quoi satisfaire toutes les envies des gourmets.
Des tranches de rêve dans l’assiette
Comme toujours dans les établissements signés Philippe Chevrier, les produits locaux restent à l’honneur avec des viandes suisses d’exception. Gourmandes, les recettes que l’on retrouve aux tables sont toutes réalisées avec maîtrise et savoir-faire sur le grill. Les plus belles races de bœuf, maturées sur l'os pendant 3 à 5 semaines sont travaillées par les chefs sur la base d’une cuisson au bois de hêtre dont les vertus sont reconnues pour une cuisine plus saine et diététique mais protéinée. Chez Philippe, la viande est aussi sélectionnée sur des marchés d’excellence incontournable, nous dit-on. En témoigne une collaboration fidèle depuis l’ouverture de l’établissement avec la grande boucherie du Molard, une institution Genevoise incontournable depuis 1921. Un boucher est d’ailleurs présent le midi pour découper la viande sous l’œil des clients dans les règles de l’art. Loin de se confiner à l’art terrien, la cuisine prend aussi le grand large. Homards, crevettes, noix de Saint Jacques snackées et autre mets de la mer connaissent également l’épreuve du feu avant de rejoindre le bois somptueux des tables et du bar. Le restaurant propose également un joli banc d’huitres d’Oleron. Du côté des desserts, les clins d’œil à New York se multiplient avec l’Empire State Building, ce gros gâteau meringué, servi aux fruits exotiques l’été et aux fruits rouges l’hiver. Le Genève-New-York est aussi à la carte, une sorte Paris Brest revisité et rebaptisé, véritable gourmandise agrémentée de chocolat et de café.
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Créé il y a 60 ans, Le Café des Sources était à l’origine un petit café sympathique connu du quartier. « C’était un bistrot espagnol où les gens venaient plutôt pour boire, il n’y avait pas la cuisine », nous raconte Éric Vouriot, l’actuel propriétaire depuis 2009. Il a réussi avec brio le challenge de garder l’esprit de la maison et en faire une adresse iconique de la cuisine canaille à Genève. Cette identité genevoise se reflète bien dans la décoration de la salle : grande façade en baie vitrée, mobilier en bois, vieilles banquettes de 100 ans, l’intemporel tableau noir et un grand bar au milieu : « Un endroit qui est resté identique, authentique », comme le décrit si bien le propriétaire du lieu.
Une cuisine simple et authentique
La carte propose des plats qui épatent par leur succulence et leur générosité. Parmi eux, le ris de veau aux morilles, la quenelle de brochet soufflée avec sa sauce à l’américaine, ou encore le steak de calamar et crevettes au piment et gingembre, qui sont devenus les incontournables du restaurant et se savourent tout au long de l'année. En période de chasse, d'octobre à la mi-décembre, l'on se laisse facilement tenter par le filet de lièvre rôti au romarin et coings confits ou bien les noisettes de cerf sauce poivrade avec une garniture composée de choux rouge braisé, de spatzlis ou encore de la poire au vin et purée de céleri. Des spécialités typiquement suisses s’ajoutent également à carte, tels le malakoff ou le filet de bœuf à la moelle, bien tendre et délicieux. En dehors de la chasse, les saveurs gourmandes se déclinent pour toutes les saisons. Ainsi, que ce soit en printemps, en été ou en automne, les suggestions du chef ne manqueront pas de surprendre agréablement les épicuriens par des plats travaillés et finement présentés.
En dessert, l’on se laisse tenter par le tiramisu au beurre caramel salé ou le baba au rhum et mangues confites. Et comment ne pas parler de la tarte Tatin aux poires caramélisées au beurre salé et sa glace, un dessert qui frôle la perfection. En outre, les clients peuvent se laisser séduire par les suggestions du chef, qui varient dans la semaine selon la saisonnalité et les produits au marché.
Côté vins, la quarantaine de références proposées met à l’honneur les vins genevois. Une sélection de vins français, dont ceux en appellation côtes- du-rhône et les vins de Bordeaux, figure aussi sur la carte. Enfin, des vins en provenance du Valais, en Suisse, viennent compléter la liste.
Label de qualité
Le Café des Sources est le royaume du fait maison : plats, jus, desserts, sauces sont élaborés sur place avec des produits frais et locaux. « Nos produits viennent de Genève ou du Canton de Vaud », renchérit notre interlocuteur. Cette démarche engagée produits locaux lui a valu le label « Ambassadeur du terroir genevois », gage de la qualité de ses produits et de leur origine. Toujours en quête de l’excellence, le restaurant a raflé en 2017 le premier prix catégorie bistrot pendant le concours de la semaine du goût organisé par la ville.
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Vins de plaisir !
Une large sélection de vins natures et vivants, issue de viticulture biologique et biodynamique.
Sans ajout de soufre, ces cuvées n’ont que la prétention d’être le reflet d’un terroir, d’un climat, d’un millésime et surtout le savoir-faire du vigneron se mettant en danger sans l’utilisation de produits chimiques pour devenir véritablement un artisan soucieux de délivrer de véritables « pur jus » sans artifices ni maquillages.
Franck le sommelier et Yves le cuisinier partagent des moments conviviaux en dressage quatre mains. La fervente passion de ce duo depuis le premier mai 2017 où ce concept d’amitié est en vigueur, créatif, haut en couleur et aux saveurs surprenantes.
Une carte courte bien maîtrisée, quatre entrées, cinq à six plats principaux, et trois à quatre desserts, qui varie selon l’humeur des deux compères, et surtout le réceptif de la clientèle.
Elle fait honneur à une cuisine de fusion influencée par des notes terre-mer, asiatique ou méditerranéenne, et revisitée avec ingéniosité avec beaucoup de fantaisies.
A bout de soufre remplace le concept « Chat Gourmand » où des Burgers artisanaux de première qualité étaient servis sur ardoise par le même exploitant Yves Jordan.
Cette nouvelle enseigne à Plainpalais forme un duo avec Franck Heydens à la rue jean-violette 14 sur une cuisine raffinée et légère, aux saveurs affirmées, et dont le végétal se substitue dignement aux hydrates de carbone.
Une ambiance conviviale et décontractée, associée à une très belle sélection de vins naturels sont les ingrédients indispensables pour passer d’agréables moments de partage, sur le thème de la gourmandise et du plaisir.
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Il paraît difficile de passer à côté de cette enseigne tant son architecture interpelle le regard. Aménagé dans une ancienne cour et « greffé » entre deux immeubles, l’établissement est formé par une structure de verre et d’acier avec une devanture entièrement vitrée. À l’intérieur, les convives apprécient une belle hauteur sous plafond qui donne l’impression d’un lieu d’exception. La configuration se prête idéalement au jeu des suspensions luminaires apportant au passage un design très épuré. Les invités baignent dans une ambiance conviviale et décontractée. Pour finir sur une touche insolite, une cuisine partiellement vitrée offrant aux invités le ballet des cuisiniers virevoltant aux fourneaux.
Une cuisine italienne de qualité
Avec l’arrivée d’une nouvelle direction, il souffle un vent de renouveau à la Brasserie da Matteo ! Et cela se sent surtout en cuisine. « Depuis la reprise de l’établissement, il y a de cela un an, la direction a voulu proposer une cuisine italienne de qualité axée sur la fraîcheur des produits », explique l’équipe. Ainsi, la carte change tous les trois mois en fonction des produits du marché. Pour commencer, les invités auront à choisir entre une entrée chaude ou froide. Chez Matteo, les antipasti sont toujours très appréciés. La tomate et mozzarella di Bufala, le jambon cru de Parme ou encore la salade composée font le bonheur des fins gourmets. En plat principal, le chef suggère un délicieux filet de turbot avec sa sauce au salsifis et fregola sarda, un incontournable de la maison. Pour les plus gourmands, la côte de veau milanaise promet des moments de pur délice. Pour terminer comme il se doit cette escapade culinaire italienne, les douceurs de Matteo régalent petits et grands. Entre le moelleux chocolat avec sa crème de mascarpone vanillée, le cheese-cake au caramel beurre salé ou le tiramisu classique, le choix est vite fait ! Côté vin, l’établissement possède une carte très riche qui met à l’honneur les vins italiens et français. En tout, une centaine de références qui ravira les plus fins connaisseurs.
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Si vous aimez la chaleur conviviale des bistrots de quartier, ceux où l’on sert une cuisine authentique et amoureuse des traditions, le Café des Négociants, situé dans un décor enchanteur à Carouge (jouxtant Genève) est l’adresse parfaite pour vous. Le plus grand plaisir de Philippe Chevrier, chef doublement étoilé qui a repris l’établissement en 2009 est d'y régaler les gourmands avec les plats et les spécialités de son terroir : celui de la Suisse.
Le charme à l’ancienne de Carouge
Situé 29 rue de la filature, le Café des Négociants vit au rythme de de Carouge, une charmante commune jouxtant Genève qui vous fera chavirer. Carouge c’est avant tout son vieux centre, un véritable petit village bohème dans la ville. Reconnu pour son esprit festif, le quartier offre une architecture plus méditerranéenne que Suisse invitant a flâner au creux des arcades commerçantes, du marché, des échoppes d’artisans. Souvent décrite comme un vent d’Italie a quelques pas de Genève, elle est aussi le cœur culinaire qui appelle toutes les papilles des gourmands. On s’y déplace notamment pour goûter la fameuse entrecôte carougeoise relevée par des sauces morilles, béarnaise ou trois poivres. Celle que les chefs cuisiniers Guillaume Landreau et Guillaume Jelinski, concoctent avec amour dans les cuisines du café des Négociants.
Dans cet antre du terroir, on renoue avec la définition romantique et authentique du bistrot de quartier tout en restant sobre. L’idée ? On doit savoir accueillir tout autant que cuisiner. Le café des Négociants est d’ailleurs le plus vieux bistrot du coin. Chaises et tables en bois massif, parquet, mobilier typique et éclairage chaleureux au bar sont de mises. L’ambiance est décontractée et le pédant n’a pas sa place ici. Tous les ingrédients sont là pour tutoyer la simplicité avec classe. Au zinc d’époque s’harmonise alors parfaitement le style épuré de la maison. Quant aux vieilles affiches publicitaires qui peuplent les murs, elles subliment délicieusement cette atmosphère intemporelle qui séduit tant les coureurs de bistrot.
Plats généreux, terroir à l’honneur
La bonne nouvelle c’est que les assiettes de ce foyer chaleureux sont à la hauteur de son décor. Ici, le produit frais, qui vient souvent du marché est sacré. Les plats canailles et les grands classiques du bistrot vous attendent. En entrée, l’ardoise promet des saveurs alléchantes avec la cassolette d’escargots, le pâté en croûte de volaille fermière aux morilles, la salade du marché ou le marbré de foie gras de canard et sa queue de bœuf au vin rouge. Côté plat, on apprécie les jolies pièces de viandes locales, comme la côte de veau aux petits oignons et a la sauge et les joues de cochon braisées. Mousseline de pommes de terre, frites moelleuses et légumes de saison, viandes mais aussi poissons…Autant de recettes estampillées Négociants et qui à Lyon s’appellerait « bouchon ». L’entrecôte, les cuisses de grenouilles poêlées, les Noix de Saint Jacques rôties signent les grands classiques de la maison. Pour terminer le repas, une belle sélection de sucré est à l'honneur avec une dizaine de desserts à la carte parmi lesquels, le baba au rhum, la tarte renversée aux pommes ou la mousse au chocolat pur Venezuela. A l’image de son créateur, le chef étoilé Philippe Chevrier qui explore l’alchimie de la gastronomie et du terroir, le Café des Négociants propose une cuisine sincère, sans demi-mesure et surtout sans chichis.
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Café du Soleil est un ancien relais de chasse reconverti en auberge, pour devenir aujourd’hui un bistrot sympathique à l’identité bien affirmée. Le décor de la maison qui préserve son air d’antan malgré les rénovations subies raconte 400 ans d’histoire. Ici, les habitués comme les clients de passage se sentent très vite chez eux et se laissent emporter par l’ambiance chaleureuse qui rythme la salle, « comme dans un vrai bistrot », selon Adriano Dupraz, le gérant.
Offrir une palette de goûts
La carte est variée, alléchante et reprend les grands classiques de la cuisine bistronomique. « Elle change selon la saison : la chasse en automne, des plats plus légers et des salades en été, et des recettes plus consistantes à base de fromage en hiver. »D’ailleurs, la fondue suisse constitue la signature de la maison, un plat qui continue à faire son petit effet à chaque dégustation. Elle est préparée uniquement à base du fromage AOC Gruyère et relevée ensuite par du vin blanc. En guise d’entrée, le chef propose l’intemporelle salade paysanne ou encore la salade de foies de volaille, une assiette qui séduit à tous les coups. Les malakoffs, une spécialité locale, s’imposent également et prennent la forme de savoureuses boules de fromages. En guise de plat, les grillades sont au rendez-vous : steak de bœuf grillé servi avec, au choix, de la sauce au poivre vert ou un beurre maison aux échalotes, accompagné de frites maison et d’une petite salade. En parallèle, le chef suggère un plat du jour selon les produits de saison : de la choucroute maison garnie de charcuteries du pays, ou encore de l’escalope de saumon d’Écosse poêlé sur lit de chou et pommes vapeur. Le périple culinaire s’achève sur une touche de gourmandise. « Les clients ont le choix entre la meringue double crème de Gruyère, un dessert phare en Suisse, le moelleux au chocolat et sa boule vanille, ou l’ananas frais au basilic. »
Côté vins, la carte met à l’honneur les vins suisses et les vins locaux. Parmi les références : du chardonnay issu du domaine Centaure Claude Ramu en blanc, de l’AOC Gamaret La Clémence de la Cave de Genève en rouge, du rosé de gamay du domaine Château l’Évêque Mevaux. En outre, la cave a toujours en réserve quelques vins étrangers pour satisfaire une clientèle internationale.
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Le restaurant le Vieux Logis est un patrimoine familial de 120 ans, hérité depuis 4 générations. Situé à deux pas de la Suisse et des monts de Chablais, l’établissement est réputé pour son excellente cuisine où les produits du terroir sont privilégiés en fonction des saisons.
Restaurant aux accents savoyards
Implanté dans le quartier historique d’Yvoire en Haute-Savoie, le Vieux Logis fait partie des adresses à recommander à tous ceux qui sont en quête de ressourcement et d’authenticité dans le pays du lac Léman. À travers une architecture médiévale au confort contemporain qui laisse présumer un riche héritage historique, l’établissement dégage à la fois chaleur, calme et volupté. Le cadre intimiste de son petit café favorise les rencontres mais aussi la pure réflexion. Sa terrasse ombragée entourée de vieux murs confère au lieu un charme aux accents savoyards qui fait toute son originalité. L’accueil sympathique et attentionné du personnel conforte les clients dans leur sentiment de bien-être et de satisfaction. On s’y sent particulièrement bien accueilli avec la forte envie d’y revenir.
Cuisine de tradition française
Ancré dans le centre du village médiéval, le Vieux Logis est un restaurant de charme à l’excellente table qui met en avant la cuisine française traditionnelle et ce, dans un bon rapport qualité/prix. Mis à l’honneur, le féra (poisson du lac Léman) fait partie des plus grandes spécialités de la maison à l’instar des perches meunières qui demeurent presque toujours un des plats les plus recherchés en fonction des saisons et ce ne sont pas les clients de passage qui diront le contraire ! Fraîchement cueillies du lac Léman et délicatement accompagnées de vins locaux comme le Crépy, le Marin ou le Marignan, les perches font partie des plats-phares de l’enseigne qu’on n’oublie jamais de réclamer ou de recommander. Trou normand et mignardises, mais aussi foie gras maison, huitres et autres Saint-Jacques constituent, quant à eux, de véritables merveilles pour le palais.
Service professionnel à l’accueil parfait
Faisant partie de la lignée Jacquier-Durand de la 4ème génération, le couple Paul et Nicole Jacquier-Durand a tout naturellement hérité de la direction du Vieux Logis. Tenté à l’origine d’embrasser d’autres filières, le chef et non moins propriétaire Paul Jacquier-Durand a cédé à la passion du métier, qu’il partage par ailleurs avec sa femme Nicole, pour reprendre les rênes du restaurant en lui apportant un nouveau souffle. Soutenus par une équipe professionnelle au service attentionné, ils mettent les petits plats dans les grands pour séduire la clientèle et ravir les papilles si bien que l’établissement fait aujourd’hui partie des adresses incontournables absolument à recommander en termes de restauration.
Un cadre agréable à l’ambiance médiévale
Le restaurant le Vieux Logis a le double avantage de disposer de deux salles de restauration : « une petite salle à manger pouvant accueillir 35 couverts et une salle dédiée aux banquets et aux mariages d’environ 180 couverts » ajoute Paul Jacquier. Jouissant d’une ambiance médiévale au confort contemporain, l’établissement séduit par cette dualité qui lui est propre et qui lui confère un caractère particulier.
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Auvergne-Rhône-Alpes, une région gastronomique
Des beignets de pommes de terre aux filets de perches en passant par la fondue savoyarde et les diots au vin blanc, la cuisine traditionnelle savoyarde est une des spécialités qui fait le charme de la région Auvergne-Rhône-Alpes.
Ces plats s’accordent avec des vins locaux comme le Chignin Bergeron, la Mondeuse et le Seyssel.
Les produits du terroir font partie du patrimoine culturel de la région. On y trouve de délicieux plats typiques comme la tartiflette, un gratin de pommes de terre et des crozets, un féculent préparé avec de la farine de sarrasin.
Les spécialités régionales sont composées de charcuterie, comme la pormonaise et les attriaux, et de fromages, comme l’abondance, le beaufort, le reblochon et la tomme de Savoie.
L'Auvergne-Rhône-Alpes, c’est aussi le vignoble mondialement connu du Beaujolais, qui compte 12 Appellations d’Origine Protégée. Ce sont aussi les trois AOC de la Savoie : le vin de Savoie, la Roussette de Savoie et le Seyssel.
L’Auberge d’Ayze, la rencontre des spécialités savoyardes
L’Auberge d’Ayze propose des plats savoyards et d’autres mets mis à l'honneur par Jean-Marc Herchelbout, le maître restaurateur qui fait valoir ses quarante années de métier. Sa femme nous conseille de les savourer avec des vins savoyards.
Quelques plats
La matouille est une des recettes de tommette fondue servie avec de la salade verte et de la charcuterie. Elle peut être accompagnée de vin blanc comme du Chignin Bergeron.
Le gratin de filets de perches est idéal pour les clients qui ne veulent pas consommer de viande. C’est une sauce crémée, composée de queues d’écrevisses et de morilles. Il s’accorde parfaitement avec du Chignin Bergeron et du Seyssel ou de l'Ayze tranquille.
Des plats principaux
« L’andouillette en camisole est un des plats phares de mon mari » insiste Mme Herchelbout. C’est une recette composée d’andouillette tranchée, de beaufort, de paillasson de pommes de terre et servie avec une salade verte. Il est parfait avec une bouteille de Mondeuse.
Quatre différentes fondues composent le menu, elles s’accordent toutes avec du vin blanc. La fondue suisse est servie avec de la charcuterie, la fondue aux morilles avec de la salade verte, la fondue à la tomate s’accompagne de pommes de terre et la fondue de l’Anaïs est servie avec de la salade verte. Toutes les fondues sont à l'Ayze pétillant.
Le gigotin d’agneau est une cuisson de souris d’agneau servie avec un gratin de crozets. Ce plat est conseillé aux clients qui veulent savourer de la viande.
Les points forts de l’Auberge d’Ayze
L’accès wifi est gratuit. A l’extérieur, on trouve un parking réservé exclusivement aux clients et une terrasse ombragée, entourée de fleurs.
La salle à manger est magnifiquement décorée de couleur rouge et blanc.
L’Auberge d’Ayze, c’est aussi une ambiance de campagne bien contrôlée et conviviale entre les clients et les restaurateurs.
« On a pu fidéliser des chefs d’entreprise, des ouvriers, des gens du village et de la région grâce à la qualité de nos produits, de notre amour du travail, de notre sincérité et notre sourire. Les touristes y viennent aussi pour savourer des spécialités culinaires locales. 60 % des repas se font sur réservation » nous explique Mme Herchelbout.
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Deux étoiles au guide Michelin, ce restaurant perché au plein cœur du vignoble suisse est une adresse de référence internationale pour les gastronomes depuis près de trente ans. Travailler dur pour réaliser son rêve. C’est l’histoire du chef genevois Philippe Chevrier, qui anime les fourneaux de ce charmant site champêtre situé à Satigny, une des plus grande commune viticole suisse.
Un chef qui prône la simplicité
A sept ans, Philippe Chevrier le savait déjà : il sera un jour cuisinier. Bosseur né, adolescent, il entre par la petite porte, en commençant par la plonge et en enchaînant avec des stages en boulangerie et en confiserie/pâtisserie. Quelques années plus tard, il devient l’élève des cuisiniers renommés Louis Outhier et Frédy Girardet. A 29 ans, il devient propriétaire du magnifique domaine de Châteauvieux. C’est dans sa première maison qu’il affirme ses talents culinaires. Aujourd’hui, cet alchimiste des produits du terroir est multi-restaurateur et fourmille d’idées pour créer de nouveaux concepts. Et Châteauvieux reste sa plus belle réussite. Avec son 19/20 Gault&Millau, ses deux macarons Michelin, membre de Relais&Châteaux, des Grandes Tables du Monde et des Grandes Tables de Suisse, le château cumule les titres prestigieux. Il est devenu un emblème de la gastronomie suisse autant qu’un lieu d’évasion couru, puisqu'on peut aussi séjourner dans cette magnifique bâtisse datant du XVI ième siècle.
Produits de qualité et amour des saisons
Accompagné du talentueux Damien Coche, Philippe Chevrier y concote une cuisine généreuse et cultive un amour inconditionnel de la convivialité. A Châteauvieux, ce sont ne sont pas les effets de mode, mais les saisons et leur temporalité naturelle qui sont au cœur de l’art culinaire. Dans cette ancienne ferme vigneronne superbement rénovée, le cadre fait la part belle à la chaleur des matériaux simples comme les pierres et poutres apparentes. L’écrin est rustique mais cosy et chic. Les tables blanches nappées et espacées, le bois, la cheminée : tout est là pour appeler à la détente et la sérénité. La terrasse, espace privilégié a la belle saison, offre une vue imprenable sur les vignes et le Rhône. Le jardin des plantes et le potager sont un véritable vivier d’inspiration avec les aromates, plantes, fruits et légumes de saison. Sous les couteaux des chefs, sont travaillés des produits de qualité pour révéler les arômes et les saveurs de matières généreuses. Viandes et volailles, poissons et crustacés sont à l’honneur des formules. Les menus subliment des aliments nobles comme le homard, le bœuf suisse des Alpages ou encore la truffe noire en hiver. On retient à la carte, la truffe noire de la Drôme cuite entière en chausson au foie gras, l’aile de raie bouclée poêlée a la farine de châtaigne ou encore le cœur de filet et petits farcis de bœuf des alpages suisse. En salle, c’est Esteban Valle qui met en scène les desserts avec des flambages et des découpages dont il a une parfaite maîtrise .Proposant près de 800 crus, la carte des vins, elle, est à tomber. A Châteauvieux, le voyage est des plus savoureux, loin du tumulte de la ville et idéal pour une pause nature hautement gastronomique. Le must : On peut même fumer des cigares dans le "fumoir" du domaine en savourant la digestion dans un fauteuil en cuir. Une escale d’exception et une invitation au rêve pour tous les amoureux de la campagne, de la simplicité et du bien manger.
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Perdu au milieu des champs de vignes et idéalement installé au cœur d’une réserve naturelle, le restaurant Les Granges puise son inspiration dans ce cadre exceptionnel. Ici, le soleil et les chants d’oiseaux sont complices du charme du moment. Le soin apporté à la décoration procure encore plus d’apaisement : la lumière naturelle, les meubles en bois, les lignes épurées et le style moderne et minimaliste.
Un jeu de saveurs dans les assiettes
Aux fourneaux, le duo de chefs formé par le chef Erwan Le Cadet et Alexis Lejeune propose une cuisine de brasserie à mi-chemin entre tradition et gastronomie, où les produits locaux de première qualité sont à l’honneur. « Le restaurant est axé autour d’une démarche de proximité, et la charte signée avec Pro Natura nous engage à utiliser au maximum des produits du terroir et des produits bio », nous dévoile Gaëlle Le Cadet, la gérante. C’est avec le respect de cette philosophie « engagée » que l’établissement confectionne sa carte, son menu de la semaine et ses formules en privilégiant les produits de saison.
Les incontourables de la carte sont les assortiments de burger maison, la viande à la broche tous les samedis de Mai à Septembre, les plats de la semaine et le brunch tous les dimanches.. Erwan Le Cadet concocte des plats plus sophistiqués et audacieux à l’instar de la daurade sauce vierge et riz parfumé ou la joue de porc cuite à basse température cuisson 13 heures. Côté dessert, c’est le jeune chef pâtissier Alexis Lejeune qui s’y attelle en déployant toute sa créativité. Ses signatures : le moelleux chocolat crème anglaise ou son café gourmand. « Les Granges est une aventure qui nous lie tous, chacun apporte sa personnalité et son énergie », nous rappelle l’équipe.
Animée par la volonté d’offrir l’excellence à ses clients, ce pool de passionnés travaille exclusivement avec les producteurs locaux, dont la Culture locale à Dardagny, la boucherie d’Onex et la Genevoise du Terroir. Enfin, pour enrichir la cave à vins, la maîtresse des lieux sélectionne les meilleures cuvées genevoises comme celles issues du domaine Dugerdil, du domaine Chafalet et du domaine Clos des Pins, tous situés à Dardagny.
Des formules gourmandes
De mai à septembre, les samedis c'est viande à la broche, avec possibilité de broche en dehors des samedis pour les groupes ( mariages, anniversaires, ...) à partir de 30 personnes... « Les morceaux sont découpés et préparés devant les clients, servis avec un buffet de salade, de frites et ratatouille ». Un brunch à discrétion est en revanche proposé tous les dimanches pour environ 54 francs, avec possibilité de brunch en dehors du dimanche à partir de 30 personnes également. Le brunch consiste en un gigantes-que buffet chaud/froid, avec boissons sans alcool (café, thé, jus de légumes) à déguster ou à emporter. Petits et grands vont se régaler avec les mini-viennoiseries, jus de fruits de saison, amuses-bouche salés, boissons chaudes, et desserts maison au choix. Et, en été, on sort pour profiter du beau temps et du paysage. Ces formules alléchantes sont ponctuées d’une ambiance champêtre qui s’adapte à tout événement familial.
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La Franche-Comté est réputée pour sa cuisine traditionnelle et ses produits issus des zones géographiques du Jura occidental, des Vosges du Sud, de la plaine de Saône et de la Bresse. Les fromages, les charcuteries, les morilles, la truite du Jura et les vins sont essentiels dans la cuisine franc-comtoise. Les spécialités culinaires sont composées, entre autres, de la potée comtoise préparée à base de viande de salaison et de croute aux morilles cuisinée avec des morilles et des croutons de pain grillé.
On y trouve aussi le vignoble du Jura, avec son célèbre cépage Savagnin. Ce vignoble produit des vins blancs d’appellation Côtes-du-Jura, des vins jaunes et paillés d’AOC Arbois et des mousseux d’AOC Crémant du Jura.
Un cadre enchanteur
Véritable havre de paix, La Mainaz est aménagée avec délicatesse pour permettre aux personnes à mobilité réduite d’y accéder facilement. Niché au col de la Faucille, l’établissement jouit d’un panorama unique sur la chaîne des Alpes, le Mont-Blanc et le lac Léman. Dotée de 21 chambres et suites confortables dûment décorées, d’un restaurant gastronomique « la Table de la Mainaz », d’un bistrot « le Panorama », d’un bar « le 1720 » et d’une salle de séminaire entièrement équipée, la Mainaz peut répondre à toutes vos attentes.
Dans un cadre naturel préservé, la Mainaz est le point de départ idéal pour découvrir cette magnifique région située entre l’Ain, le Jura et la Suisse. Vous découvrirez de magnifiques sentiers de randonnée dans des paysages exceptionnels, ainsi qu’un large éventail d’activités touristiques et sportives, dont le ski nordique et le ski alpin.
Ses principaux fournisseurs sont des producteurs locaux, notamment ceux du Genevois et du Jura. La qualité des produits et l’aspect humain sont les véritables critères de sélection. La Mainaz souhaite construire des relations sur le long terme avec ses fournisseurs qu’elle considère comme des collaborateurs allant dans le même sens pour valoriser et promouvoir le Haut-Jura et ses environs.
Une cuisine créative et une hospitalité garantie
Le personnel est fortement qualifié. Mathieu Sagardoytho, le Chef cuisinier, a été Sous-Chef cuisinier du Bristol avant de passer au poste de Chef à L’Agapée, où il a maintenu l’étoile Michelin. On trouve aussi dans l’établissement diverses compétences dans plusieurs domaines, notamment dans l’international. L’anglais, le mandarin et le japonais sont couramment parlés.
À La Mainaz, il importe de mettre en place un environnement propice au travail afin d’élaborer une cuisine créative prônant un équilibre entre tradition et modernité. « Notre but est de faire de ce restaurant une véritable institution locale, tout en restant dans un esprit familial. Le salarié arrive le matin avec le sourire et le client se sent comme chez lui. On veut concilier la tradition locale à la modernité », fait-on valoir.
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A quelques encablures du Lac Léman et non loin du Palais des Congrès, le restaurant Entre Nous est l’étape gastronomique incontournable à Evian-les-Bains. Dans cet établissement chaleureux, les clients ne manquent pas de témoigner d'une bistronomie originale pour cette belle table qui allie service décomplexé et agréable cuisine.Terroir, élégance et créativité sont trois termes qui décrivent parfaitement le talent de la maison.
Une cuisine du terroir
Passionnés par l'art culinaire, les Bernis ont développé un lieu de rencontre authentique autour de bons plats. Le restaurant utilise des produits locaux de saison, frais et sains. La cuisine ici valorise le terroir savoyard avec des poissons du lac Léman et les condiments de la Haute-Savoie. De l'entrée au dessert, tout est fait maison. Pour cette adresse qui ne dispose que de 50 couverts, la carte est bien évidemment courte. Un fait apprécié par la clientèle, avec des plats qui changent en fonction des saisons.
En guise d’entrée, le restaurant propose de grands classiques à l'instar du tartare de féra. La féra est un poisson très prisé du lac Léman. Après avoir badigeonné d'huile d'olive la chair de la féra découpée en petits dés, il y ajoute de fines herbes, du jus de citron et de la vinaigrette. Une entrée simple et légère, relevée par un parfum d’aneth et de cerfeuil.
Comme plat principal, le cœur de rumsteak. Plat traditionnel, il est orchestré à base de fromage d’abondance fondu dans du vin blanc, avec un accompagnement d’un écrasé de pommes de terre et d’herbes.
Autre plat signature, la côte de bœuf au four. Pour élaborer ce plat, la viande est grillée de chaque côté dans une poêle, de façon à lui donner une coloration joyeuse à l’œil en plus de son gout de fumé. La côte de bœuf est par la suite enfournée à très haute température, pour être servie accompagnée d’une sauce au foie gras et aux morilles. Le généreux assaisonnement au sel et au poivre rehausse les senteurs épicées de ce plat.
En dessert, crème brûlée à base de jaune d'œuf, sucre en poudre, d’une décoction de thé vert et feuilles de menthe fraîche. Le tout est battu au fouet afin d'obtenir un mélange homogène. Une fois la crème blanchâtre refroidie, elle est caramélisée à chaud. Le procédé confère une sensation de fraîcheur aux papilles.
En somme, Sophie et Marc cuisinent des plats à la manière « Entre Nous », à travers une cuisine minutieuse qui marie admirablement recettes classiques et originalité.
L’harmonie mets-vins
La carte des vins est aussi courte que celle des plats, avec quelques bouteilles servies au verre. Celles-ci mettent remarquablement en valeur le terroir savoyard. Sophie Bernis a vite fait de comprendre que l'expression « Le client est roi », signifie non seulement repas succulents, mais aussi accord parfait mets-vins. En accompagnement des magnifiques dressages en assiette de la maison, des vins comme l’AOC Roussette Cru Marestel Tradition du Domaine Barlet. Ce vin blanc à la robe jaune or se marie parfaitement avec le tartare de féra. Il est doté d’un nez fruité exotique, mais aussi d’une bouche riche et moelleuse. Comme accompagnement pour le cœur de rumsteak, l’AOC Mondeuse d’Arbin Graine de Terroir du Domaine Perrier. Un rouge à la robe pourpre intense et équilibrée sur des tanins fruités, poivrés et vanillés. Sa bouche complexe révèle des notes réglisses du court passage en fut de chêne
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La Rotonde propose à ses invités une cuisine traditionnelle à la fois savoureuse et généreuse où les plats sont faits maison.
Un cadre somptueux
Sans conteste, La Rotonde conjugue aisément raffinement et air du temps. En été, les convives peuvent bénéficier d’un jardin verdoyant à l’ombre de grands parasols en bois. Ils pourront également profiter de la cascade taillée dans une pierre des ardoisières de Morzine avec une vue magnifique sur les montagnes.
Pour les soirées plus fraîches, une magnifique terrasse tout en parquet et entièrement vitrée confère un style moderne et contemporain à l’établissement. A l’intérieur, trois salles permettent d’accueillir des groupes. L’ambiance est différente mais c’est tout aussi agréable.
Une cuisine traditionnelle et régionale
La Rotonde aspire à répondre aux attentes de chacun que ce soit les enfants, adultes en couple, en famille, amis ou collègues.
Dans cette perspective, le Chef propose des plats soignés, qui évoluent au fil des saisons, et des envies. Des suggestions qui changent toutes les semaines permettent d’ailleurs à ce dernier d’exprimer toute sa créativité, et aux convives, de découvrir en permanence de nouveaux plats.
Vous y retrouverez les spécialités régionales comme la raclette ou la Potence (morceaux de bœuf flambés au whisky) qui sont à la carte toute l’année. Ces dernières sont servies à volonté pour rassasier même les plus gourmands.
Durant les beaux jours, garden party et barbecue sont organisés tous les dimanches dans le jardin. Le restaurant proposant également des plats végétariens et sans gluten (également possible pour les pizzas et les fondues), il va sans dire que même les plus difficiles y trouveront leur bonheur.
La carte des vins est mise en place par le directeur de la maison, François, sommelier de formation. Une sélection de vins au verre est également proposée toutes les semaines, permettant à tous les palais de trouver l’accord parfait entre le met et le vin tout en étant plus accessible à tous les budgets. Vous pourrez même avoir le plaisir de découvrir des vins « biologiques ».
La Rotonde est un endroit cosy, où on aime prendre le temps de partager un plat de la carte soignée, dans un cadre somptueux avec des personnes que l’on apprécie. Le restaurant est ouvert à l’année, ce qui permet aux morzinois et vacanciers d’un week-end de profiter de l’un des seuls restaurants ouverts en ces périodes plus calmes. N’hésitez pas à vous y arrêter, vous ne serez pas déçus. Le restaurant est le fief des morzinois à l’entre-saison et devient alors le cœur du village.
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Depuis 40 ans, L’Etale a réussi le pari de surprendre à chaque fois ses convives en proposant une cuisine traditionnelle alliant à merveille fraîcheur, goût et générosité.
L'institution de Morzine
L’Etale est un établissement familial qui s’est transmis d’une génération à l’autre. En 1977, les grands-parents avaient commencé par un restaurant et, aujourd’hui, c’est Vincent Baud, le petit-fils qui tient les rênes.
Le restaurant n’a pas subi beaucoup de changements mais les gens l’apprécient justement pour cela. Ce côté authentique que les propriétaires ont su fièrement préserver. L’Etale c’est l’endroit où aiment se retrouver les morzinois, tout comme les vacanciers ou les saisonniers. Certains sont même devenus de grands habitués, voire des amis de la famille.
Un client nous souligne que « L’Etale, c’est un endroit chaleureux et très animé ». Pour ceux qui viennent en groupe, pas de panique ! A L’Etale, il y a de la place pour tous : la plage horaire étendue et le service continu permettant de manger à toute heure dans la rue la plus animée de Morzine.
Une vraie brasserie de montagne
Malgré un débit très important, l’Etale met un point d’honneur sur la qualité des produits. La cuisine épluche, émulsionne, taille les légumes, poche, déglace, blanchit, poêle, goûte, dresse. Ils se plaisent à dire « A L’Etale on cuisine ! ». D’ailleurs, le fait maison est le maître mot, même pour les pâtisseries.
Avec ce restaurant éclectique, vous pouvez y aller pour un repas sur le pouce le midi comme pour un festin tard le soir. Et bien évidemment, tous les budgets et les palais s’y retrouvent. C’est également démontré par la carte de vin éclectique de l’enseigne.
Par ailleurs, L’Etale n’oublie pas les végétariens ni les intolérances au gluten. Ici, vous avez la possibilité de déguster une fondue ou pizza sans gluten, ce qui en ravira plus d’un.
Les grands classiques français comme la soupe à l’oignon ou encore les escargots de Bourgogne sont bien évidemment sur la carte. Les viandes sont de qualité et d’une traçabilité irréprochable. Ce sont des viandes provenant des races Montbéliarde, Charolaise, Limousine ou comme la Black Angus d’Argentine et qui ont reçu le label Grass-fed, prouvant que les bovins ont été nourri exclusivement d’herbes. Les spécialités de fromages et de viandes sont également à la carte et proposées à volonté comme la potence qui est un produit phare de la maison, de la viande de bœuf flambée au whisky, le tout exécuté sous les yeux conquis des invités.
Un voyage gustatif s’offre à vous grâce à des plats venus des quatre coins du monde que ce soit du Japon, d’Inde ou encore du Cambodge, et ceci au gré des envies et des inspirations du chef.
En toute fin de soirée, le restaurant change souvent de visage, il devient alors très festif et régulièrement tout le monde finit par danser autour du bar. Le chef barman, est quant à lui un personnage charismatique, expert autant en mixologie qu’en chauffeur de salle.
Vous l’aurez compris, l’Etale est l’endroit à ne pas louper sur Morzine. Ses maîtres mots sont Rapidité, Qualité, Authenticité et Convivialité.
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Légèrement situé en retrait, l’établissement est implanté à Morzine (Haute-Savoie), entre la mairie et l’église. Baignant dans une atmosphère familiale particulièrement agréable, l’enseigne est une belle adresse gourmande à découvrir et qui réserve son lot de surprises, à commencer par l’ambiance. Lumière tamisée, décor intimiste, ambiance cosy… Les Vents d’Anges affichent un décor hors des sentiers battus, couplé à un service plutôt décontracté. Ici, le temps semble suspendu… On prend le temps de se poser, de s’imprégner du lieu et de savourer la bonne cuisine inventive, inspirée de belles associations.
Des plats savoureux
À la carte, de nombreuses suggestions gourmandes qui changent au gré des saisons. Parmi les plats phares qui ont séduit la clientèle s’inscrivent le Risotto à la crème de truffe, jambon blanc et pecorino truffé, les Noix de saint Jacques panées aux sarrasin torréfié ,andouille de guémené et émulsion de vert de poireaux ou le Crémeux au chocolat Li Chu et curcuma pour la note de douceur. Les produits classiques et originaux se mêlent et s’entremêlent pour former un bouquet de saveurs et d’arômes pas comme les autres.
La carte des vins
Aux Vents d'Ange, le tandem Elise-Laurent fonctionne à merveille. Monsieur s'occupe des fourneaux tandis que Madame s'affaire à acceuillir les clients mais pas seulement. Grande spécialiste de vins, Elise Camilleri se confie : « nous avons une belle carte de vins qu'on essaie d'enrichir grâce au travail des petits producteurs ». La particularité du restaurant est qu'il propose un vaste choix de vins au verre, au quart ou au demi-litre, selon les envies des clients. Quelques grandes appelations sont disponibles « complétées avec des petites trouvailles que je sélectionne moi-même" continue-t-elle.
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L’histoire des Servages débute en 1788 avec la construction de deux fermes d’alpage utilisées durant les périodes de pâturage d’altitude. Tombée sous le charme de ce paysage authentique, Armelle Linglin décide alors de transformer les lieux en un établissement hôtelier, où luxe, modernité et confort forment une belle harmonie. Un écrin situé aux pieds des pistes du Grand Massif, qui propose une table gastronomique délicate et gouteuse, fruit du savoir-faire de Pascal Flécheau, le maestro en cuisine.
Saveurs d’ici et d’ailleurs
C’est ici et nulle part ailleurs que cet ancien membre de l’équipe de France de ski veut couler des jours heureux. Armelle Linglin, avec l’aide de son époux, monte alors un projet de vie : celui de la réhabilitation de ces deux anciennes fermettes qu’ils métamorphoseront en un bel hôtel mettant en scène le luxe simple et montagnard. L’établissement 4 étoiles, qui se trouve près de Genève et de Chamonix Mont-Blanc dans la station des Carroz d’Araches, propose 10 chambres à la décoration chaleureuse et élégante.
Ce lieu d’exception abrite l’un des meilleurs restaurants gastronomiques de la Haute-Savoie. Aux fourneaux : le chef Pascal Flécheau. Originaire des Rosiers-sur-Loire, il fait ses armes auprès des Meilleurs Ouvriers de France à l’instar d’Éric Pras et de Jean-Claude Garzia. Il y a 10 ans, il rejoint Les Servages d’Armelle, où il partage une cuisine soignée, actuelle et généreuse mettant en avant des produits de saison et de qualité. La carte concoctée par ce chef passionné évolue au fil du temps en fonction de la disponibilité des produits fournis par des agriculteurs locaux majoritairement biologiques.
Côté poissons, vos palais s’émoustilleront avec un saint-pierre et des encornets grillés ou avec un homard, caviar « osciètre » bulgare, feuille végétale d’huitre. Côté viandes, vous vous laisserez bien évidemment tenter par un ris de veau poêlé avec son risotto de crozets faits par le chef au parmesan Reggiano et quelques morilles. Outre ces plats « haute couture », des spécialités savoyardes, des fondues, des raclettes et bien d’autres mets gourmands apportent un côté convivial à la carte, de quoi bien se requinquer après une journée à dévaler les pistes.
Élégance à l’honneur
L’intérieur du restaurant propose un cadre raffiné réalisé à partir du reste de bois de l’ancienne ferme. Authenticité et élégance, tels sont les qualificatifs qui nous viennent en tête devant cette subtile décoration. Les murs en pierres apparentes renforcent l’esprit campagnard, sans oublier la grande cheminée centrale autour de laquelle sont réparties les salles intimistes. Les grandes fenêtres donnent une vue imprenable sur les montagnes, ce qui permet de ne pas limiter l’expérience aux plaisirs des papilles mais aussi à ceux des pupilles.
Les amoureux du grand air prendront place à l’extérieur, sur la terrasse exposée plein sud et située en bordure des pistes, d’où l’on admire le ballet des skieurs ou l’on contemple le massif préalpin des Aravis. En prolongement de cette terrasse, une véranda, donnant sur un magnifique paysage et où trône la rôtissoire, invite à la détente.
Si l’envie vous en dit, des activités dédiées à la découverte des plaisirs de la montagne (ski, conduite sur glace, raquettes, motoneige, spa piscine fitness, chiens de traineau…) sont organisées. Décidément, aux Servages d’Armelle, tous vos sens sont sollicités.
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