Installé dans les locaux d’un ancien cinéma des années trente, appelé « Le Familia », le Théâtre du Pont Tournant représente aujourd’hui un haut lieu de la culture bordelaise. Dans ce quartier populaire de Bacalan, cette structure est devenue l’un des lieux les plus réputés en Aquitaine dans la création et la diffusion de spectacle vivant. Le théâtre en quelques mots Dans les années soixante, l’arrivée des multiplex sonne le glas pour « Le Familia » qui se voit obligé de mettre les clés sous la porte. Quelque temps après, c’est au tour des papeteries La Couronne d’investir la salle de projection. C’est en recherchant un local pour la compagnie Pygmalions que Stéphane Alvarez et son épouse, Carole Pierret, découvrent par hasard ce bel endroit qui leur servira d’abri. Ils succombent instantanément aux charmes de la bâtisse. Nous sommes en 1998. Le couple et toute l’équipe ont depuis œuvré pour faire renaître l’âme culturelle des lieux. Si le quartier était autrefois déserté par les Bordelais, ce n’est plus le cas aujourd’hui. Le théâtre est devenu un rendez-vous privilégié des férus de culture dans lequel ils retrouvent une certaine mixité générationnelle et sociale. Une programmation riche et variée Misant sur la pluridisciplinarité, le Théâtre du Pont Tournant tient à cœur de proposer aux spectateurs une programmation de qualité. Le catalogue de la compagnie présente une programmation variée allant des pièces du répertoire classique comme Molière aux auteurs les plus contemporains à l’instar de Pierre Notte. Ce dernier va d’ailleurs débarquer dans les mois qui viennent sur les planches du Théâtre du Pont Tournant avec sa toute nouvelle pièce, La nostalgie des blattes. La compagnie a également réalisé quelques pièces reconnues comme Paroles de poilus qui a été tournée non seulement en France mais aussi à l’étranger. En outre, de nombreuses pièces de théâtre à succès ont été déjà présentées dont celles de Romain Bouteille, Pierret Étaix, Rufus, Daniel Mesguich, Dreyfus, Philippe Caubère, Jango Édouard... ...
Existant depuis 1850, le domaine ne commence à vinifier qu’en 1994. En 2010, Philippe Betschart apportera sa touche personnelle, en s’appropriant l’approche biodynamique dans le mode cultural et les techniques de vinification. La personnalité de chaque cuvée est marquée par un élevage qui diffère d'un millésime à l'autre. 2014 signe une démarche innovante puisqu'en décidant d'exclure les apports d'origine animale à la vigne et à l'élaboration du vin, le château débouche sur une certification VEGAN (EVE01), permettant à tout un chacun, dont les végétariens, de goûter à des vins faciles à boire qui ont de la personnalité. Un atout de taille qui lui permet de conquérir des tables prestigieuses aussi bien locales (le Prince Noir à Bordeaux) qu'à l'internationale (au Japon entre autres). Vinification : entre tradition et modernité Le domaine des Graves de Viaud a élu le merlot, le cabernet franc et le cabernet sauvignon comme principaux cépages. Les vignes bénéficient des meilleurs soins conformes aux exigences du label Demeter, dont le cahier des charges impose une vinification sans aucun intrant chimique, excepté le soufre. Les levures indigènes sont donc privilégiées pour les fermentations, tandis que les cuvaisons durent de 25 à 35 jours. « Notre mode de vinification tient à rester le plus naturel possible », souligne Philippe Betschart, propriétaire-gérant du domaine. Ainsi, les Côtes-de-Bourg du Château Les Graves de Viaud arborent finesse et élégance. « Nous produisons des cuvées modernes et classiques de bordeaux, prisées pour leur fraicheur, leur souplesse ainsi que leurs saveurs fruitées », nous indique-t-on. Le fruit avant tout Les vins de la maison sont répartis en deux gammes. D’une part, on trouve la gamme des cabernets où s’inscrivent des cuvées résolument modernes telles que « Les Cadets » et « Terroir ». « Les Cadets » est appréciée pour sa simplicité et ses délicieuses notes florales tandis que « Terroir » est privilégiée pour sa délicatesse et sa complexité issues d’un long élevage en barrique. D’autre part, on distingue la gamme des merlots qui regroupe des cuvées, certes plus classiques, mais absolument exquises. Parmi la liste figure la cuvée « Origine », qui est un assemblage à 90 % de merlot. Connaissant un succès certain à l’export, ce vin est un véritable enchantement pour les papilles. La cuvée « Réserve » fait également partie de la gamme des merlots. Ici, place à une sélection de vieilles vignes de plus de 60 ans qui sont élevées en barriques neuves durant 18 à 24 mois. Le résultat garantit un plaisir optimal à la dégustation ! ...
À travers les saveurs de la cuisine traditionnelle bretonne, concoctée à base de produits frais, ce restaurant vous promet d’authentiques recettes toutes aussi surprenantes les unes que les autres. Une cuisine 100 % bretonne Derrière les fourneaux, Emmanuel LAURAND, source d’inspiration pour toutes les recettes, prend plaisir à sélectionner soigneusement des produits frais venant des petits artisans bretons. Pour préparer les crêpes et autres galettes, cet établissement n’hésite pas à se procurer de la farine bio fabriquée à l’ancienne dans un petit moulin du Morbihan. Résultat, les saveurs et la qualité sont bel et bien présentes dans chaque plat. À midi, le menu Maïwen à 9,90 € fait des ravages et se compose d'une galette avec trois ingrédients au choix et d'une crêpe au dessert. Parmi les spécialités de la maison, laissez-vous tenter par une galette Tréhorenteuc, à base de crottin de chèvre, de miel, de paprika, de salade de mâche et de pignons. Une glace au chèvre préparée par un artisan glacier achève la composition de ce subtil mélange chaud-froid. Les amateurs de cuisine de brasserie avec des plats du terroir essaieront le magret de canard au caramel salé, une formule qui fait mouche. Côté crêpe, ce ne sont pas les parfums qui manquent. Caramel salé nature, caramel de chocolat, caramel de whisky breton, tout est fait pour subjuguer le palais. Les cidres Ambassade de Bretagne Cidre doux, jus de pomme, confiture de lait, ce restaurant propose également la découverte exclusive de gourmandises concoctées par des artisans bretons. Dégustez un large choix de 18 cidres issus des départements bretons pour une escapade authentique en terre bretonne. À l’instar de la cuvée blanche du Manoir de Kinkiz fabriquée à partir d’une pomme spéciale à la fois acidulée et fruitée. Un breuvage au goût très particulier, fort agréable en bouche. ...
« Les Bretons autrefois », « Sainte-Hélène et Le Porge » dans le Médoc ou encore « Lyon en 14-18 » : voilà quelques titres tirés de la passionnante série « Mémoire en Images » des Éditions Sutton. Ce n’est pourtant qu’un infime échantillon puisque la collection compte aujourd’hui près de 2000 ouvrages ! Quelle que soit la ville recherchée, les passionnés d’Histoire comme les habitants curieux trouveront chaussure à leur pied : chaque recoin de la France possède un titre dédié. Les Éditions Sutton proposent également une collection sur des thématiques nationales comme la Grande Guerre ou encore Napoléon. Edition Sutton : voyagez au coeur de nos régions Depuis près de 20 ans, la maison d’édition Sutton sédimente la mémoire collective pour faire paraître des livres racontant la vie des régions d’autrefois. Pour chaque édition, des auteurs documentent et mettent à jour des centaines de documents pour mettre en perspective l’évolution économique et culturelle d’une ville ou d’une région qu’il connaît bien. À travers les cartes postales d’autrefois et les photographies anciennes mais aussi des gravures ou des plaques de verre, le quotidien de la fin du XIXe siècle jusqu’au milieu du XXe siècle reprend vie. ...
Avec ses 11 ha, ce terroir du Vaucluse situé entre Vacqueyras et Gigondas fait des envieux. Et pour cause, les ingrédients d’une vendange de qualité sont réunis grâce à son ensoleillement exceptionnel couplé au mistral. Soucieux de faire perdurer les saveurs du terroir à travers le respect du sol et des vignes, le Domaine des Espiers est en viticulture biologique depuis 1999. « Nous avons été avant-gardistes dans notre style de vinification », explique Philippe Cartoux, propriétaire du domaine. Des techniques innovantes entrainant une belle reconnaissance Dans sa quête de la qualité, il a développé un système de thermorégulation pour ses cuves, étant électrotechnicien de formation. « Je réchauffe le jus pour relancer le début de fermentation ainsi que pour la rallonger, de sorte qu’elle soit plus complète. Cette technique, en plus de donner des vins souples, permet de mieux fixer les couleurs », ajoute-t-il. Sur les appellations Gigondas, Sablet et Côtes-du-Rhône, le domaine produit des cuvées qui ont su conquérir des tables étoilées. Parmi les privilégiés : le Restaurant Pierre Gagnaire, Le Grand Restaurant, de Jean-François Piège ou Le Jules Verne. Faisant l’objet de commentaires élogieux et bien mérités lors des dégustations, la réputation des vins du Domaine des Espiers n’est plus à faire. ...
Ayant fait ses débuts en toute confidentialité, la marque initiée par un duo d’enfants terribles de la restauration se fait vite remarquer. Les fondateurs Fabien Gomez et Loïc Cheveu font montre d’un savoir-faire qui convainc les grands comptes. Depuis 2012, ils sont de plus en plus nombreux à associer le nom du traiteur parisien à leurs événements. Privés ou pour le compte d’entreprises, ces rendez-vous bénéficient alors d’un service où compétence et discrétion, attention et qualité se déploient en bonne mesure. Des hommes et des femmes de talent Sens Gourmand est une adresse jeune, mais son ADN est nourri par l’expérience de l’équipe qui la compose. Parlant des talents qui ont vu l’impulsion de son aventure, l’enseigne livre un beau palmarès. Les deux fondateurs affichent chacun un parcours ponctué de contacts remarquables auprès de brillantes références. Loïc Cheveu étoffe ses compétences en service traiteur en évoluant au sein de maison de prestige comme Potel et Chabot, un parcours qui n’étonne que peu chez celui qui a fait ses gammes dans de prestigieuses adresses comme le Grand Vefour et la maison Lenôtre elle-même. Son comparse, Fabien Gomez, principal fondateur, n’a rien à lui envier côté CV. Son chemin l’a mené dans l’intimité de Benoît Guichard et de Joël Robuchon après ses débuts dans un deux-étoiles lyonnais. Le directeur général, Olivier Lepetit, les rejoints en 2010 ; Olivier a lui acquis une solide expérience de l’organisation d’événements chez Potel&Chabot, mais également en Grande-Bretagne où formé par le majordome de la Reine d’Angleterre, il va officier auprès de grandes familles. Le produit au cœur d’une cuisine inventive et locavore Ayant à cœur de développer pour sa clientèle une gastronomie « claire, précise et lisible », Sens Gourmand place le produit au centre de son métier au quotidien. Lorsque le bataillon de la maison se met en œuvre, c’est dans une intention créative empreinte d’audace et d’innovation mais en gardant la maîtrise. L’esbroufe ? Très peu pour cette enseigne qui nourrit pour le produit et la saisonnalité un respect quasi sacré. Ici, l’on vibre entièrement local et l’on évite les tendances éphémères. L’on attend que les vergers français aient livré leurs poires, leurs pommes et leurs fraises pour les intégrer dans des recettes plutôt que de les proposer hors saison, en les faisant venir du bout du monde. Tout cela n’empêche pas ces professionnels d’apporter des réponses sur mesure aux demandes de sa clientèle, aux plus simples comme aux plus originales. Au final, les particuliers et les entreprises accèdent à des gammes de saveurs où la finition visuelle fait également l’objet du plus grand soin. Un service remarquable Fiabilité et constance sont les maîtres mots du service qui accompagne les prestations de Sens Gourmand. Attachant une grande importance à l’écoute du client, l’adresse sait apporter sa dose de créativité sans jamais contraindre son prospect. Au-delà du service repas lui-même, l’enseigne met un point d’honneur à penser rigoureusement chaque détail qui pourrait faire la différence sur chaque événement. Selon les souhaits du donneur d’ordre, les décorations des tables, comme la mise en scène des buffets sont conçues pour un fini plus décalé, épuré ou classique. Quant à la décoration florale, elle est assurée par une jeune et talentueuse décoratrice florale Céline B. Sens Gourmand complète sa gamme de service offert à ses clients d’entreprises par un service de recherche de lieux gracieux et efficace ...
Situé aux portes du Verdon à seulement trente minutes des côtes varoises, le Restaurant Le Nid a ouvert ses portes au public en 2015, à l’initiative du couple Émilie et Davy Jobard. Postée sur la route de grands domaines de vins dans le charmant village provençal de Flayosc, on peut dire que cette ancienne pizzeria a plutôt réussi son incroyable reconversion. Un établissement au nom évocateur Sous des dehors de pépinière gourmande, à la table un chouïa bourgeoise, cet établissement au nom évocateur baigne dans une ambiance intimiste, à l’image d’un parfait nid douillet, où le jeune couple de cuisiniers a bien pris ses marques. Dans un cadre cosy où émane une belle convivialité, ce restaurant au service agréable séduit par son ambiance feutrée dans laquelle on aime se retrouver en famille ou en amoureux, à la recherche de détente et de bien-être. Oui, il faut dire que la cuisine faite minute et bien tournée du chef, combinée avec l’accueil personnalisé de la maîtresse des lieux, y sont pour beaucoup. Une cuisine de marché au fil des saisons Très belle enseigne pour amoureux, le Restaurant Le Nid est un haut lieu de restauration où les compétences et l’expérience de deux talents se valent et se complètent en parfaite osmose. À travers une cuisine de marché au fil des saisons, concoctée à base de produits qui mettent à l’honneur le savoir-faire de petits producteurs locaux, le lieu nous embarque dans une farandole d’authentiques saveurs provençales comme on les aime. ...
Perché à 30 m de haut, Vertigo Restaurant/Skybar occupe les plus hauts niveaux du magnifique immeuble Ehundura, situé dans le quartier des Machines de l’ile de Nantes, un endroit assurément branché. Le restaurant offre un cadre moderne et épuré et bénéficie d’une vue imprenable sur la cité des Ducs. Trois niveaux, trois ambiances Pour tutoyer les cimes, rendez-vous au Vertigo, un établissement de caractère qui se décline en trois espaces. Au 6e étage du fameux immeuble, place à l’élégance et à la convivialité. Les convives ont accès à un salon privatif, à une salle de restauration, à un bar et à une cuisine ouverte. Toujours au 6e étage, le restaurant ouvre sa terrasse durant l’été pour servir les déjeuners ou les diners avec une vue surplombant la Loire et le centre historique de Nantes. Un étage plus haut se trouve la principale salle de restauration appelée La Verrière, offrant une vue sur le ciel, qui comporte un jardin extérieur, un salon privé ainsi qu’un bar et un piano. Le Skybar panoramique, au 8e et dernier étage, offre un magnifique panorama sur toute la ville et invite à passer des moments privilégiés entre amis ou entre collègues à déguster les savoureuses tapas accompagnées des cocktails maison. Une cuisine de maitre restaurateur Depuis 2013, Vertigo Restaurant/Skybar bénéficie du label « Maitre restaurateur ». En tant que tel, tous ses plats sont faits maison, élaborés essentiellement à partir de produits bruts et frais (80 % au minimum). Vertigo travaille par ailleurs en étroite collaboration avec les producteurs et les artisans locaux pour son approvisionnement. Il est aussi partenaire et ambassadeur du label « Saveurs DétonNantes », qui met en avant les artisans et les produits de la région nantaise. Changeant au gré des saisons, la cuisine du Vertigo est à la fois raffinée et contemporaine, ouverte aux saveurs du monde. Elle est dirigée en coulisses par Emmanuel Prévot, un chef originaire de Nantes. « Pourtant diplômé en restauration, je me considère plus comme un autodidacte », raconte-t-il. Il a en effet beaucoup appris du métier au contact de grands noms de l’art culinaire tels que Stéphane Gravouille du restaurant Bénureau, Bernard Pelhatre du Café Cult’ ou Thierry Martin du Roman Bleu. Ce personnage ouvert d’esprit et rigoureux affirme un gout du détail très prononcé. Son plat fétiche : la Saint-Jacques gratinée au chorizo, accompagné d’une purée de patates douces rhum-vanille et d’un écumé de roquette et chips de légumes d’antan. Cette suggestion culinaire se déguste de préférence avec un Bourgogne blanc, un Muscadet millésimé ou un Saumur Champigny. ...
Des certifications qui donnent confiance Pierre&Terre est triplement certifiée : NF Habitat, NF Habitat HQE et Pro Permea (pour la perméabilité et l’étanchéité des maisons). « Avec ces triples normes, on se doit de mener des chantiers parfaits », explique Sébastien Dourthe, PDG. « Mes chantiers sont vérifiés et contrôlés aléatoirement. Et, bien sûr, je ne choisis pas où l’organisme passe… » L’un de ces organismes de certification est la CEQUAMI. Pour vérifier le label NF-HQE, il évalue la qualité environnementale de la maison selon trois thématiques : l’économie (limitation des consommation d’électricité et d’eau), la santé (air ambiant, protection contre les champs électromagnétiques, etc.) et le confort (espaces dédiés au tri sélectif, lumière naturelle). Sur les 1 500 constructeurs de maisons individuelles en France, une centaine d'entre eux sont certifiés NF, 70 sont labellisés NF Habitat et seulement une quinzaine cumule les trois certifications. Du sur-mesure pour tous Avec Pierre&Terre, vous avez le choix de ne pas faire comme tout le monde. « Nous nous efforçons de réaliser un projet sur mesure. » Le « constructeur de vos projets » propose cinq familles de modèles (Starter, Caractère, Patrimoine, Autonomie, Expression), qui englobent un grand nombre de possibilités : du plain-pied idéal pour les personnes âgées au premier achat, en passant par la maison à l’architecture cubique ou l’achat patrimoine pour le locatif, tout le monde peut y trouver son compte. Financièrement, toutes les gammes de tarifs sont représentées : « Notre prix moyen est de 150 000 € », constate Sébastien Dourthe, « mais nous avons des maisons qui vont de 100 000 € jusqu’à 300 000 ou 400 000 €, voire plus, selon les clients. » Pierre&Terre se distingue par un esprit de cocréation. La maison est réalisée en lien étroit avec ses futurs habitants. « Nous sommes finalement dans le service, en aidant à trouver le terrain, en suivant la qualité des travaux, etc. » Autre avantage non négligeable : avec Pierre&Terre, vous signez un contrat de construction qui vous protège des variations de prix et des délais non respectés. « Il ne peut pas y avoir de mauvaises surprises. » Une maison connectée d’office Chez Pierre&Terre, votre maison est smart connect ! C’est-à-dire qu’elle est connectée. Exemple : vous êtes au travail, votre livreur vous appelle, vous ouvrez le portail à distance, vous pouvez même contrôler l’angle d’ouverture. Autre cas pratique : votre enfant rentre seul, vous ne voulez pas lui confier les clés, vous pouvez lui ouvrir à distance la porte du garage, qui lui permettra de rentrer dans la maison, rien qu’avec votre smartphone. Avec Pierre&Terre, cette maison connectée l’est d’office, car l’offre de base propose les volets roulants et le garage motorisé. « L’avantage de cette solution est qu’elle est entièrement évolutive. On peut rajouter une machine à laver connectée, un sèche-linge, le portail : tout est prévu pour se simplifier la vie sans devoir tout changer », indique Sébastien Dourthe. ...
Avec un peu plus de 3 millions de Français qui en sont atteints, soit 4,5 % de la population, les maladies rares constituent un enjeu majeur de santé publique. Faisant figure de pionnière dans le domaine, la France est le premier pays européen à avoir déployé un plan national de grande ampleur visant à favoriser l’accès au diagnostic et à améliorer la prise en charge des malades. Et les filières maladies rares sont un rouage essentiel de cette organisation. Assurer l’interface entre les différents acteurs du domaine des maladies rares Créées dans le cadre du second plan national (PNMR 2011-2014), les filière de santé maladies rares s’articulent autour de pathologies présentant des aspects communs (symptômes, prise en charge, etc.). Ces organisations ont pour objectif de coordonner les actions (expertise, recherche, enseignement, formation…) qui sont menées afin d’améliorer la prise en charge des malades. Les filières constituent donc une « interface entre les acteurs du domaine des maladies rares » précise Anne Chevrier, chef de projet maladies rares-Ministère de la Santé. Parce qu’elles « décloisonnent » le système, elles favorisent la communication entre les maillons de la chaîne de soins. En effet, chacune des 23 filières maladies rares regroupe un large panel d’intervenants : centres de référence maladies rares (CRMR), centres de compétences (CCMR), laboratoires de diagnostic, unités de recherche, structures médico-sociales, associations de malades… Chargée de leur animation, la DGOS (Direction Générale de l’Offre de Soins) permet aux filières d’avancer de façon mutualisée sur des problématiques transversales et de communiquer entre elles. « Les filières de santé maladies rares apportent une véritable valeur ajoutée au parcours de soins des malades » remarque Hélène Dollfus, médecin hospitalo-universitaire spécialisée dans la génétique médicale et l’ophtalmologie à Strasbourg. Simplifier la lisibilité de l’organisation La précocité du diagnostic est essentielle. Plus vite une maladie rare sera diagnostiquée, plus vite la prise en charge du patient par un centre de référence/compétences adapté à sa pathologie pourra démarrer et plus grandes seront les chances sinon de guérir la maladie, à tout le moins de ralentir son évolution. Mais parce qu’il subsiste des gènes qui n’ont pas encore été identifiés, diagnostiquer une maladie rare peut se révéler extrêmement difficile. « L’errance diagnostique dure, en moyenne, quatre ans » précise Sophie Bernichtein, chef de projet de la filière Maladies Rares Brain Team. Et parce qu’ils sont peu confrontés à ces pathologies, beaucoup de médecins ne les envisagent pas dans leur diagnostic. « C’est une véritable culture du doute qu’il faut contribuer à développer » indique Sophie Bernichtein. En rendant l’organisation plus lisible et plus accessible, les filières facilitent l’orientation des patients vers les centres adaptés et contribuent à réduire l’errance diagnostique. « Il est essentiel de simplifier l’offre de soins » précise Sophie Bernichtein. Une répartition des rôles clairement définie Les maladies rares se caractérisent par leur faible prévalence (la commission européenne a fixé le seuil à cinq personnes atteintes sur 10 000) mais aussi par leur complexité. En termes de diagnostic comme de prise en charge. Celle-ci « implique des intervenants multiples dont il faut coordonner l’action » précise Sophie Bernichtein. Les réseaux étant pluridisciplinaires, « aux équipes médicales s’ajoutent des psychologues, des assistantes sociales, des kinésithérapeutes, des nutritionnistes, etc. Chaque centre réunit des professionnels dont la spécialité est adaptée aux pathologies traitées » indique Anne Chevrier. Médecins traitants et associations de malades sont également sollicités. Des modèles de simplification, basés sur une répartition claire des mi...
En France, où l’enseignement supérieur, de grande qualité, est, non pas gratuit, mais quasiment « non-payant »... il semblerait que peu d’entre nous se préoccupent vraiment de ce bien commun. Sans doute notre université nous accompagne-t-elle depuis si longtemps que nous ne la voyons plus...Sans doute aussi qu’elle n’a guère fait d’efforts pour se faire connaître et reconnaître, au fil des siècles... Et pourtant... il n’y a aucune économie compétitive, aucun progrès social, sans une université publique solide et reconnue comme un bien commun à faire prospérer. Deuxième plus grande université de France, mère de nombreuses prouesses scientifiques et médicochirurgicales et figurant dans les vingt premières universités innovantes en Europe, quatre-vingtième dans le monde, Paris Descartes (Paris V) contribue à la recherche et au développement de stratégies durables et efficaces au service du progrès social et économique, au service de l’Homme et de sa santé. Sous la bannière, « l’Université, où irions nous sans elle ? », la Fondation Paris Descartes, qui lève des fonds auprès des entreprises comme des particuliers pour soutenir les programmes de recherche et de formation de l’Université Paris Descartes, interpelle et informe, en huit tableaux simples et efficaces, sur l’utilité sociétale et économique de l’université, appelant au soutien de la société civile par des bourses, des fonds pour l’innovation en recherche et en pédagogie, et à la collaboration contractuelle ou professionnelle, dans un effort de communication unique pour une université française. Une démonstration qu’il y a peu d’aspects de notre vie qui ne soient impactés par le travail de Paris Descartes ! Trouver de nouveaux traitements médicaux Discipline phare de Paris Descartes, ce secteur nous a donné des premières qui sauvent ou changent des vies : greffe du rein, chirurgie in-utéro, emploi de cellules-souches dans les affections cardiaques, développement du cœur artificiel, essor de l’immuno-oncologie pour le traitement des cancers.... Dans un lien permanent entre le travail de laboratoire et le chevet du patient, nos médecins hospitalo-universitaires, qui sont à la fois praticiens et chercheurs, sont dans une position idéale pour découvrir de nouvelles pistes pour le diagnostic et le traitement de nombreuses maladies, et les rendre disponibles au plus grand nombre. Le soutien apporté par les dons privés est précieux à nos médecins. Former les jeunes pousses de la recherche Aller plus loin, plus vite, dans la recherche, c’est d’abord investir dans la matière grise, capital intellectuel de notre université, et de notre pays. La qualité et le nombre de chercheurs engagés dans un projet de recherche détermine en grande partie les avancées scientifiques. Dans ce contexte la formation et l’encadrement de jeunes chercheurs talentueux sont une priorité, pour laquelle la contribution des savoirs dispensés à l’université est essentielle. Le travail en équipes, souvent pluridisciplinaires à Paris Descartes, est un autre atout. Il renforce en effet notre capacité à questionner et innover grâce aux expertises qui peuvent être mises en œuvre, constituant de fait un vrai capital immatériel qui fait notre force. Mais l’innovation scientifique, c’est aussi une compétition internationale où les moyens mis à la disposition des chercheurs sont un élément crucial, en particulier pour ces jeunes pousses de la recherche qu’il convient de maintenir dans le paysage scientifique de notre pays. Les dons faits à la Fondation Paris Descartes permettent notamment le financement de ces jeunes chercheurs présents dans nos laboratoires Dans les années 70, quand le Prof.Wolf-Hervé Fridman, jeune cancérologue, à commencé à travailler avec le Prof. Kourislky dans le domaine pionnier du contrôle des tumeurs humaines par le système immunitaire, personne n’imaginait que l’on démontrerait une telle efficacité pour l’immunothérapie, des taux de survie au cancer améliorés, avec des effets secondaires le plus souvent limités ? Aujourd’hui,...
Préparé uniquement à base de produits frais et de saison, chaque plat est une belle découverte qui met à l’honneur le meilleur des produits de la Bretagne. À travers sa passion dans laquelle transparait avec raffinement l’amour du beau, la cuisine du chef Rachel Gesbert est un véritable régal pour les papilles. Il va sans dire que l’établissement travaille également les produits du terroir tels que le lièvre, le gibier ou le cabillaud. Grands moments de gastronomie Sa galette de blanc de turbo au tartare d’andouille, qui est un savoureux mélange de poisson, d’andouille et de galette de blé noir, est, en l’occurrence, « le plat magique du restaurant », comme aime l’appeler Rachel Gesbert, chef et propriétaire de l’enseigne. Mais cela n’empêche pas d’autres découvertes comme sa salade gourmande de trois crustacés, composée de tourteau, de langoustine et de homard, son ris de veau forestier, ses crêpes au Grand Marnier au beurre de caramel ou encore son millefeuille chocolat-café soufflé à la vanille, sans pour autant oublier son fromage au lait cru et son pain perdu mirabelle. Bien que, à midi, la cuisine du marché à 28 € fasse sensation auprès des convives, la maison suggère aussi de nombreuses formules aux noms évocateurs, comme le menu Perle de cristal à 39 € ou le menu Perle de nacre à 57 €, dont la différence repose sur le nombre de choix de plats. En dehors de ces menus, les suggestions du jour permettent de varier les plaisirs des clients qui viennent très régulièrement. Chaque plat se savoure autrement grâce à la très jolie carte des vins enrichie de 53 lignes de champagne et de 450 références de vins à la carte. Des grandes appellations aux petits producteurs, la sélection affirme un bel éclectisme qui fait honneur à toutes les grandes régions du pays pour satisfaire tous les gouts et toutes les envies. ...
Fondée il y a de cela 200 ans par Nicolas-François Billecart et Élisabeth Salmon, la maison Billecart-Salmon continue de pérenniser et de repousser sans cesse les limites d’un savoir-faire déjà reconnu et salué par les plus grands experts. Place à la nouvelle génération La maison Billecart-Salmon, c’est avant tout une histoire familiale. À l’origine, ils sont trois à avoir posé les premières pierres à l’édifice : Nicolas-François Billecart, son épouse Élisabeth Salmon et Louis Salmon, son frère. Jusqu’à maintenant, la maison a connu au total sept générations. Après trente ans de bons et loyaux services passés à la présidence, François Roland-Billecart va bientôt céder sa place à la génération montante. Ainsi, son successeur Mathieu Roland-Billecart se tient prêt à prendre la relève au mois de janvier 2019. Il est vrai que chez les Billecart, le vin est d’abord une affaire de famille. « Autour de cette famille, nous avons une équipe de personnes à la pointe de leur métier : Denis et Florent s’occupent de la création des vins, Jean Roland-Billecart reste très actif côté dégustation, Alexandre et Antoine pour la commercialisation », explique le futur président. Un savoir-faire exceptionnel L’équipe viticole travaille un domaine de 100 ha et s’approvisionne en raisins sur une superficie totale de 300 ha. « Nous nous approvisionnons principalement en premier cru et en grand cru afin de maintenir des vins de très grande qualité », souligne Mathieu Roland-Billecart. Pour cela, la maison profite de son emplacement à la croisée des trois régions hautement qualitatives de la Champagne que sont : la côte des Blancs, la vallée de la Marne et la montagne de Reims. En effet, c’est là où coexistent les grands crus de pinot noir, de chardonnay et de pinot meunier. Fidèle à son credo, la maison exploite également une parcelle entièrement vouée à la culture de l’excellence appelée Clos Saint-Hilaire. « C’est une vigne d’un hectare plantée en pinot noir, de vieilles vignes taillées en cordon permanent, on ne met que 3 à 5 grappes par pied », nous indique-t-on. Prestige oblige, chez les Billecart, on sacrifie volontiers le rendement sur l’autel de la perfection. Dans ce clos planté en pinot noir, la terre est choyée avec des méthodes ancestrales : le cheval de trait pour le labour et les moutons pour l’entretien du sol. Le clos Saint-Hilaire produit un champagne éponyme d’exception. Vinifié en fût, celui-ci offre une fraîcheur et une complexité hors norme. Autre particularité de la maison : une totale maîtrise d’une technique de vinification à froid, un style Billecart profondément ancré depuis plusieurs décennies. « C’est une vinification très lente mais qui permet de retrouver la finesse et l’élégance qui caractérisent notre style », dévoile Mathieu. Pour ce qui est de la maturation, il faut compter au minimum 10 ans pour les millésimes et 3 ans pour les non-millésimés. Des cuvées au sommet de leur hiérarchie 1999 est sans doute l’année de consécration pour la maison Billecart-Salmon avec l’obtention d’une distinction ultime, grâce notamment à ses deux millésimes. En effet, la cuvée Nicolas François Billecart 1959 fut auréolée du titre de « Champagne du Millénaire » lors d’une dégustation à l’aveugle effectuée par un panel d’experts. Le millésime 1961, quant à lui, arrive sur la seconde marche du podium. Parmi les « best-sellers », le rosé non millésimé fait particulièrement honneur à la maison. Il s’agit d’un rosé d’assemblage associant des cépages de chardonnay, pinot meunier et pinot noir vinifié en rouge. Cette cuvée allie harmonieusement finesse et élégance avec des notes plus fruitées. Ensuite, la cuvée Louis est également assez représentative de la maison. Un brut Blanc de Blancs Millésime 2006. « Là vous &...
Une médecine multimillénaire Au départ, il y a l’énergie, c’est la base immuable que la médecine chinoise met en relation avec l’univers. Cette énergie reste la même sous toutes ses formes. À partir de là, la médecine chinoise a suggéré son concept qui veut que cette énergie ait deux aspects : le yin et le yang. Dans le schéma humain, le yin est l’aspect lourd et matériel, qui compose le corps. Tout ce qui l‘anime est représenté par le yang. « Les théories de la médecine chinoise sont basées sur ce déséquilibre fondamental entre le yin et le yang dans un corps humain. Le but de sa pratique est de découvrir et de changer ce déséquilibre, en fonction des organes, des entrailles, des tissus corporels et de l’état émotionnel et psychologique des individus », explique Jean Massé, professeur à l’IMTC. Pour soigner les maux, la médecine chinoise utilise des outils thérapeutiques comme l’acupuncture, le tuina (la technique chinoise traditionnelle de massage), l’ostéopathie chinoise et la pharmacopée chinoise. La tradition chinoise a aussi classé cinq éléments (le bois, le feu, l’eau, le métal et la terre) qui regroupent selon cette tradition la plupart des catégories que l’on trouve dans l’univers. Ils sont associés chacun à différentes parties du corps humain. Par exemple, dans la loge du Feu, on mettra le cœur et l’intestin grêle, dans la loge de l’Eau, on trouvera le rein et la vessie. Une des particularités de la médecine traditionnelle chinoise est de mettre en lien tous ces éléments. Ces connaissances millénaires sont utilisées dans l’établissement des diagnostics et ont été enrichies par les grands médecins qui ont jalonné l’histoire de cette pratique. Une formation en cinq ans L’Institut traditionnel de médecine chinoise existe maintenant depuis plus de trente-cinq ans. L’école a démarré dans les années 80, à l’initiative René Vinai, père du directeur actuel de l’établissement, en faisant l'une des premières structures d’enseignement de cette pratique en France. Depuis ses débuts, les élèves de l’école font des voyages pour se confronter à la réalité de la pratique dans les hôpitaux chinois. Cette étroite collaboration a été renforcée en 2016 quand l’école a resigné, après audit de l'établissement et des contenus des cours, des accords de coopération avec l’Université d’enseignement de médecine traditionnelle chinoise de Shanghai, un gage supplémentaire de reconnaissance de la qualité de l’enseignement fourni. Cette formation en cinq ans alterne chaque week-end un enseignement théorique et pratique. Les cours sont dispensés par 25 professeurs qui sont répartis entre les quatre centres que compte l’Institut : Bordeaux, Toulouse, Paris et Avignon où est située la maison mère. Une part importante de l’apprentissage est donnée à la maîtrise des gestes du tuina, ainsi qu’à l’acupuncture. L’autre grand corps de l’enseignement est réservé à l’acquisition de connaissances sur la pharmacopée chinoise et les différentes combinaisons possibles qu’elle propose. Une des grandes richesses dans la médecine chinoise est que ces trois axes sont tous basés sur un même principe de traitement. Après ces cinq années, chaque praticien est invité à choisir plusieurs spécialisations, toujours en lien étroit avec la médecine chinoise. Aujourd’hui, l’IMTC en propose une quinzaine pour parfaire le cursus des élèves. Sur les 500 étudiants répartis sur les cinq ans de formation, près de 60 % des élèves diplômés s’installent à la fin du cursus comme pratiquant indépendant. Le reste, souvent les élèves qui avaient déjà une formation médicale classique en arrivant à l’IMTC, met en valeur l’enseignement en collaboration avec leur propre profession. Nouveau phénomène, quelques étudiants s’inscrivent ...
Le spa des jardins de la Medina été aménagé sur l’une des principales terrasses de l’hôtel et domine le grand jardin luxuriant et sa piscine chauffée en hiver. Il permet aux hôtes de l’hôtel de découvrir ou redécouvrir la tradition ancestrale des soins du corps. Le hammam, élément incontournable de l’art de vivre marocain Invitation à la relaxation, le hammam est un excellent moyen de se détendre, de faire le vide et d'oublier ses soucis. On en ressort avec une véritable sensation de bien-être. Il est impensable de séjourner au Maroc sans expérimenter cette pratique incontournable de l’art de vivre marocain. Ce plus ancien rite de beauté relaxe les muscles, libère les toxines et purifie la peau, surtout lorsqu'il est associé à un gommage au savon noir parfumé à l'eucalyptus. L’art du massage Le massage est l’une des plus anciennes formes de thérapie populaire au monde. Il était pratiqué déjà près de 3000 ans avant J-C. Les médecins de l’antiquité grecque et romaine les utilisaient pour soulager et guérir. Et les orientaux, dont les turcs ont prolongé et adapté ces pratiques à leur propre usage. Les soins délivrés aux Jardins de la Médina sont inspirés des rituels orientaux. Ils s’adaptent à vos envies et/ou besoins du moment : Relaxation, décontraction, tonification. La thérapeute spécialement formée est à votre écoute pour faire de ces soins une parenthèse de bien-être personnalisée. Un barbier authentique et chic Le barbier est installé dans un petit salon authentique et chic. Il œuvre tous les jours sur rendez-vous et propose à sa clientèle masculine différents soins raffinés au choix comme le rasage, les soins de la barbe et du visage et, bien entendu la coupe de cheveux. ...
En France, 11 millions d’aidants accompagnent au quotidien des personnes en perte d’autonomie. Ainsi investis dans le soutien de leurs proches, les aidants peuvent s'oublier et s'épuisent. Dans ces conditions, une pause s’avère primordiale. La maison de répit « Les Grands Monts » leur offre l’opportunité de se reposer et de se ressourcer au cours d’un séjour pensé spécialement pour eux. Une bouffée d’oxygène Créée en 2014, MBO2 est une association à but non lucratif dont la mission est d’organiser et de gérer la maison de répit « Les Grands Monts ». Il s’agit d’un établissement hôtelier situé à Megève, en Haute-Savoie. Sa particularité ? Offrir du répit pour les proches aidants et les personnes en perte d’autonomie. « Nous proposons une solution de répit pour les aidants, un séjour oxygène pour qu’ils puissent se reposer et prendre du temps pour eux », explique Malourène Cordier, chargée de communication. Considéré comme un enjeu de santé publique, le droit au répit est en effet officiellement reconnu en 2015 par la loi d’adaptation de la société au vieillissement de la population. Profiter des vacances ensemble Les aidants séjournent avec la personne en perte d'autonomie qu'ils accompagnent. Les Grands Monts permet de profiter sereinement de quelques jours de « vacances de ressources. » Cette maison de répit dispense pour cela un confort et des prestations dignes d'un établissement haut de gamme. En tout, une vingtaine de chambres adaptées et de suites spacieuses sont mises à la disposition des vacanciers. L’établissement dispose également d’un restaurant qui sert des plats concoctés exclusivement à partir des produits locaux. « Nous avons un chef qui veille à ce que les saveurs, la présentation et les textures des plats puissent stimuler les sens des convives », nous confie-t-on. Pour éveiller la curiosité, Megève a de quoi assurer un séjour stimulant aux vacanciers. Réputée comme étant l’une des plus importantes stations de ski de France, elle offre de multiples activités : ski de piste, ski de fond, handiski, balade à raquettes ou en chiens de traineau… En été, des randonnées et des promenades autour des lacs de la région peuvent être organisées. Enfin, le charme de Megève se découvre également à travers ses fermes et ses produits d’exception tels que le fromage. Outre ces prestations, l’établissement se démarque par sa capacité à offrir un service d’accompagnement pour les personnes en perte d’autonomie. Ce service appelé « La Belle Vire » est assuré par une équipe spécialisée qui propose de prendre en charge les personnes dépendantes pendant la journée. « L’avantage est de pouvoir venir ensemble et que les aidants puissent se reposer pendant que notre équipe prend le relais », rapporte notre interlocutrice. Les personnes en perte d’autonomie bénéficient ainsi d’un panel d’activités incluant des ateliers de création, des sorties ou encore des exercices physiques comme la gymnastique adaptée. En fin de séjour, un temps d'échange permet à MBO2 de proposer des pistes pour le retour au domicile. Un vrai engagement ! ...
L’établissement est situé dans le centre-ville de Bordeaux, afin de répondre aux besoins de proximité. Il est le fruit du regroupement de trois établissements historiques de Bordeaux. Avec une importance particulière accordée au développement durable, les locaux neufs et adaptés participent à l’objectif d’amélioration de la qualité de la prise en charge et des conditions de travail en proposant un environnement confortable et adapté. La Nouvelle Clinique Bel Air est un pôle de référence pour de nombreuses spécialités : la chirurgie du rachis, la médecine et la chirurgie urologique, la chirurgie cancérologique, la chirurgie esthétique-plastique et reconstructrice, la chirurgie maxillo-faciale, la chirurgie ophtalmologique, la chirurgie ORL face et cou, la chirurgie orthopédique, la chirurgie stomatologique, la médecine du sommeil et la radiologie. La Nouvelle Clinique Bel Air est également dotée d’un centre de chirurgie réfractive et d’un plateau d’explorations fonctionnelles ophtalmologiques. Ses équipements Afin de proposer un parcours adapté, la clinique dispose de 800 m2 de consultation et d’un service de radiologie. 120 lits et places accueillent chaque jour les patients. Des espaces familles et détente sont à disposition. Un centre autonome de la chirurgie de la cataracte favorise cette prise en charge de très courte durée pour plus de confort. Un plateau technique performant est composé de dix salles opératoires, de deux salles d’endoscopies, et d'une stérilisation. Des équipements performants pour toutes les spécialités, pour une chirurgie de qualité. La qualité de l’offre de soins 102 praticiens libéraux et 170 salariés travaillent chaque jour à la bonne prise en charge des patients. L’écoute tout au long du séjour du patient est une priorité. Les parcours patients sont adaptés pour favoriser les séjours de courte durée et l’ambulatoire. La Nouvelle Clinique Bel Air accueille chaque année près de 20 000 patients, pour 60 % d’entre eux en ambulatoire. La clinique est l’établissement qui accueille le plus de patients en ambulatoire dans la région. Les circuits et organisations sont donc favorisés. ...
En 2006, François et Sylvie s'installent à Meursault. Le domaine familial est aujourd’hui géré par cette 5ème génération de vignerons, bientôt rejointe par Antoine la 6ème lignée. Il s’agit d’une entreprise à taille humaine et c’est peu de le dire ! La famille travaille seule et ne compte aucun ouvrier. « Nous faisons tout de A à Z, de la culture de la vigne, à la vinification en passant par la commercialisation », témoigne Sylvie. La simplicité et la convivialité font tout le charme de cet endroit blotti au cœur de la Bourgogne. Des vins à l’ancienne, une signature Comme il est de coutume en Bourgogne, le pinot noir et le chardonnay sont à l’honneur sur les 6,5 hectares du Domaine François et Sylvie Gerbeaut. La région étant connue pour ses lieux-dits très morcelés, l’exploitation dispose de plusieurs parcelles réparties sur les communes de Pommard, Beaune et de Volnay. « Nous travaillons à l’ancienne, en lutte raisonnée en collaboration avec la Chambre de l’agriculture pour être à la pointe de tout ce qui se fait de mieux au niveau des vignes », explique Sylvie Gerbeaut. Dans sa démarche respectueuse de l’environnement, la maison promeut une méthode de culture hors des sentiers battus. Lors des vendanges qui se font manuellement pour toutes les appellations villages, les raisins sont triés directement sur les parcelles pour que les grains qui arrivent dans les cuves soient les plus sains et les plus propres possible. La récolte s’effectue à maturité complète et ainsi, les cépages peuvent exprimer toute la typicité de leur terroir. « Lorsque le raisin est très mûr, nous n’avons pas besoin de chaptaliser ni d’ajouter des levures. Le but est de rester le plus naturel en utilisant ce que la terre peut offrir. » Le domaine aspire clairement à être le représentant de ses terroirs. « Nous ne changeons rien lors de la vinification car nous voulons que nos produits arborent leur identification de départ », insiste la vigneronne. Après un long passage en cuves bétons ou inox durant 20 à 30 jours, les vins passent par un élevage en fûts de chêne pendant 12 mois au minimum avec là encore, quelques particularités. « Nous n’utilisons que 10% de fûts neufs pour que le boisé dans le vin soit fondu et que les arômes fruités et floraux soient davantage mis en avant. » Le meilleur de la Bourgogne Produisant entre 15 000 à 20 000 bouteilles dans l’année, le Domaine François et Sylvie Gerbeaut propose un large éventail de cuvées en appellations Beaune 1er cru, Bourgogne Hautes Côtes de Beaune, Pommard 1er cru et Volnay. Parmi les différents crus qui retiennent l’attention figurent ceux produits sur les parcelles de Pommard. Le 1er Cru « Les Charmots » 100% pinot noir par exemple plaît pour sa complexité et ses arômes de fruits rouges. Il s’accorde à merveille avec toutes sortes de viandes blanches, viandes rouges, gibiers, fromages ou volailles. Fierté de la maison, le Beaune 1er cru « Le Clos des Mouches » est issu du plus beau clos situé dans l’aire d’appellation. « C’est un vin authentique, puissant et magique qui est une belle représentation de notre travail », avoue notre interlocutrice. Révélant une couleur rubis intense, ce rouge au potentiel de garde est à la fois intense, complexe, il aiguise les palais avec ses arômes de fruits noirs et de fruits rouges. Un nectar subtil à accompagner d’une côte de bœuf, de viandes rouges en sauce ou de fromages affinés. ...
FlashMatin | Bonjour ! Jean-Michel Dubois | Bonjour. Monsieur Dubois, vous êtes président d’une association qui s’occupe de très près de la neurofibromatose. Je vous laisse vous présenter et présenter votre association s’il vous plait. JM D | Jean-Michel Dubois, je suis le président de l’association neurofibromatose recklinghausen depuis 2010. L’association est né en 1986. Elle a été créée par des parents qui étaient concernés par la neurofibromatose. A l’heure actuelle, il y a à peu près un millier d’adhérents et une cinquantaine d’actifs, tous bénévoles. Et donc Monsieur Dubois pouvez-vous nous expliquer ce qu’est la neurofibromatose ? JM D | On parle des neurofibromatoses, qui sont des maladies génétiques, neurologiques, caractérisées par l’apparition de tumeurs sur les gaines des nerfs, avec une caractéristique commune qui est que c’est assez imprévisible dans les évolutions de ces maladies ; à la fois dans la forme et dans le temps. Donc, on a affaire à trois maladies bien distinctes. La NF1, la maladie de Von Recklinghausen, qui est elle-même un ensemble de maladies tant il y a une variété dans l’ expression. Un enfant ou en adulte qui a une NF1 ne va pas forcément ressembler à un autre. Ensuite la neurofibromatose 2 qui atteint souvent l’appareil auditif, et enfin la schwannomatose qui s’apparente beaucoup à la neurofibromatose 2, mais qui est différente, et là aussi on est toujours dans le domaine de tumeurs sur les nerfs. Il y a donc plusieurs formes de neurofibromatoses. Mais alors comment se rendre compte que notre enfant ou qu’un adulte est atteint de cette maladie ? JM D | La neurofibromatose 2 et la Schwannomatose apparaissent plus tardivement que la neurofibromatose 1 où l’un des critères principaux diagnostiqués est l’apparition de tâches café-au-lait, qui peuvent aussi être présentes dès la naissance. Au départ c’est assez compliqué, même si pour beaucoup d’enfants, il n’y a pas une manifestation de la maladie qui les handicape. Dans la NF1, il y a aussi une proportion plus grande par rapport à la population générale de difficultés des apprentissages. Il y a des manifestations qui arrivent plus rapidement. Un gliome des voix optiques, ça apparaît très rapidement chez certains enfants. On peut avoir une pseudarthrose c’est-à-dire une malformation des os. Et ça nécessite des greffes osseuses, des hospitalisations, de la rééducation. Un gamin qui subit ça, c’est compliqué. Alors justement, on imagine qu’être porteur d’une maladie rare en France c’est assez compliqué, quel est donc le rôle de votre association ? JM D | D’abord on est à l’écoute. Souvent le cas de figure c’est : « Je rentre de chez le médecin ou de chez le pédiatre, mon enfant a des taches café-au-lait, on me parle de neurofibromatose 1, qu’est-ce que c’est, qu’est-ce que je dois faire ? ». La première chose c’est d’être ouvert et d’être à l’écoute. Ensuite, c’est de les orienter vers des centres, de références s’ils sont en Île-de-France, ou de compétences s’ils sont en région. Notre rôle c’est de les diriger vers des équipes médicales qui connaissent et qui peuvent organiser le suivi médical. Il faut être vigilant, il faut être attentif, il faut s’informer, c’est le rôle de l’association. On publie une revue pour nos adhérents, sur notre site on met des choses qui ont été vérifiées et pas des… Des informations qui ne seraient pas fondées. Mais vous apportez aussi un soutien financier avec votre association ? JM D | On a déjà apporté 3 millions d’euros pour des équipes de recherche. On est là aussi pour leur apporter un soutien à la fois financier mais aussi un soutien moral, une sorte de caution, parce que c’est important que ces équipes de chercheurs puissent faire état de notre soutien. Ça leur donne une sorte de crédibilité, même si c’est d’abord leurs compétences qui sont importantes. Comme je le dis parfois, il manque peut-être un z&eac...
Pourquoi SKYdeals va-t-il devenir le site web indispensable pendant les vols ? Focus sur cette nouvelle technologie innovante qui intéresse autant les voyageurs que les compagnies. SKYdeals : la solution d’inflight « shoppertainment » incontournable Pendant les vols long-courriers, internet manque à de nombreux passagers (professionnels ou non). Ainsi, l’annonce de l’arrivée du WiFi dans les avions est une excellente nouvelle. D’ailleurs, bien que, pour le moment, ce service soit payant, les spécialistes estiment que d’ici quelques années, il n’est pas impossible qu’il devienne gratuit à bord. En partant de ce constat, il est évident que les grands acteurs du voyage par avion recherchent des solutions intéressantes pour elles et pour leurs passagers. À ce titre, avec le site SKYdeals, les personnes à bord peuvent accéder à des ventes privées de produits et services privés à destination ainsi qu’à des événements commerciaux pendant le voyage. Par exemple, il est possible de participer à des ventes flash de produits spécifiques en survolant certaines zones (fly-over) ainsi qu’à des offres groupées qui permettent de bénéficier de réductions intéressantes si plusieurs personnes y participent. De ce fait, cela permet aux voyageurs d’animer leur voyage tout en profitant du vol pour faire leur shopping. Ludique et pratique ! SKYdeals : de l’idée au déploiement SKYdeals est un site qui a vu le jour en janvier 2017 grâce à Julien Sivan et Céline Braems. Tous deux spécialistes du digital et du secteur aérien, ils ont vite compris que la possibilité de capter le Wifi dans les avions allait s’accompagner de nouvelles demandes des compagnies aériennes et des voyageurs. Les premières souhaitent rentabiliser aussi rapidement que possible cette nouvelle technologie tandis que les seconds espèrent en profiter pour s’occuper et bénéficier, par la même occasion, d’offres intéressantes. Ainsi, après une première levée de fonds de 300 000 € et des tests sur les passagers des vols French Blue (en 2017), il est prévu de déployer cette solution à l’international en 2018 (via des compagnies asiatiques et américaines). Pour atteindre cet objectif, une seconde levée de plusieurs millions d’euros est prévue en 2018. Bientôt, tous les passagers pourront donc profiter de ventes privées et événementielles en vol. ...
À travers une tradition culinaire française à légère tendance méditerranéenne s’inscrit une carte diversifiée et soigneusement élaborée, où l’inspiration créative du chef en cuisine nous embarque dans un remarquable voyage plus qu’une expérience culinaire. Honneur aux produits locaux Travaillant au jour le jour et quasi à l’ardoise, le restaurant propose une cuisine de marché où les produits frais et locaux sont toujours à l’honneur. Grâce à une carte réduite de 6 entrées, 6 plats et 6 desserts, qui évolue au fil des jours et en fonction des saisons, l’établissement a l’énorme avantage de satisfaire autant les gourmands que les fins gourmets, dans un plaisir toujours renouvelé. Avec une carte des vins assez éclectique, où beaucoup de vins sont proposés au verre, l’établissement reste pour la plupart du temps sur les petits producteurs avec, de par ses origines, un léger penchant pour les vins du Languedoc, comme le Pic Saint Loup. « Nous travaillons avec des vignerons indépendants pour les vins de Bordeaux et de Bourgogne ; sinon pour tout ce qui est vins du Sud, Côtes-du-rhône, Roussillon et Languedoc, nous avons nos propres contacts », tient à préciser Pierre-Louis Cazes, gérant du restaurant, qui, avec sa femme, Céline Weber, fait tourner le restaurant avec l’appui d’un chef et d’un second. ...
Un cadre sur quatre est en situation de stress au travail. Les résultats de l’étude menée par l’AMETRA et trois autres services de santé au travail pendant un an et demi auprès de 500 salariés des TPE et PME des départements du Gard et de l’Hérault permettent de mettre des chiffres sur la souffrance au travail chez cette catégorie socioprofessionnelle. Ce stress touche inégalement les femmes et les hommes : une personne de sexe féminin sur trois déclare cet état de fait contre une sur cinq concernant leurs homologues masculin. D’autres chiffres sont probants : 80% des cadres se disent trop fatigués après leur journée de travail pour effectuer ce qu’ils voudraient dans leur vie privée; un tiers déclare manquer de moyens pour faire du travail de bonne qualité; 49% estiment que le travail affecte leur santé. « Cette étude conduite avec l’Université québécoise permet d’identifier les facteurs de risques liés au métier. Il nous appartient désormais de restituer, de prendre en compte ces problématiques de terrain et de guider au mieux les entreprises. Nos ressources internes sont spécialisées dans ces domaines pour les entreprises et les salariés du secteur tertiaire », décrypte Véronique Demon, directrice de l’AMETRA Diffuser les bonnes pratiques L’AMETRA, qui compte 10 200 entreprises adhérentes pour 105 000 salariés, estime que l’on peut établir de bonnes pratiques pour réduire cette part de stress au travail : « Il faut guider, former et mettre à disposition les moyens et les ressources pour réaliser les attentes, améliorer la reconnaissance pour une meilleure prise en compte du travail de chacun », conseille la directrice. « On peut aussi améliorer les conditions de travail et diffuser les réseaux d’aides en cas de difficulté et de souffrance au travail », ajoute-t-elle. Ce rôle d’aide et d’écoute, l’AMETRA entend le tenir avec d’autres partenaires, en mettant en place des ateliers d’échanges de pratiques autour de situations concrètes et en construisant des outils ainsi que des méthodes d’aide aux managers. ...
Le golf a en effet évolué au fil des années pour permettre aux amateurs de pratiquer leur sport favori. Comme les parcours qui se multiplient à travers toute la planète, les offres de services et de matériels autour du golf se diversifient également. Ces changements permettent aujourd’hui à d’autres classes sociales de s’initier au golf. Néanmoins, avant de se démocratiser, le golf est aussi passé par plusieurs étapes et transformations. Le golf du XVè siècle à aujourd’hui Le golf tel que nous le connaissons actuellement est apparu à la fin du XVè siècle en Europe. Initié par Jacques IV, roi d’Ecosse à l’époque et repris notamment par Jacques Ier d’Angleterre, le golf devient une passion pour la noblesse et l’aristocratie, d’autant plus que les balles et les clubs étaient encore trop onéreux pour permettre à la classe moyenne de le pratiquer. Tombé dans l’oubli à la disparition des pionniers, le golf revient en force au XVIIIè siècle grâce aux francs-maçons. Ils étaient également des grands parieurs et passionnés de golf. Ils organisent les premiers tournois et compétitions puis ils établissent les premières règles. Les clubs organisés font leur apparition. Le golf se répand alors en Europe et arrive même au Canada. Aux Etats-Unis, le premier club de golf voit le jour en 1888. Après une victoire américaine au British Open en 1922, le sport se développe très vite sur le territoire ; les compétitions se tiennent même dans les universités. Puis, l’arrivée et les nombreuses victoires de Tiger Woods ont définitivement changé la vision du golf aux Etats-Unis. On le reconnaît comme une vraie discipline sportive et on en parle beaucoup dans les médias. La passion pour le golf arrive peu à peu aux autres continents, il devient même une véritable tradition dans certains pays du Moyen Orient. Le public s’intéresse ainsi de plus en plus au golf même s’il n’est pas gratuit et même s’il est encore peu connu par rapport aux autres sports. Qui peut jouer au golf ? Ce qui rend le golf si particulier, c’est que tout le monde peut le pratiquer. Mis à part les championnats où se confrontent les athlètes, il n’y a pas de conditions particulières pour pouvoir jouer. Quel que soit votre âge et votre niveau, vous pouvez toujours apprendre et jouer au golf. Il s’agit d’un sport de précision dont les bases peuvent être apprises assez rapidement. Si on a plus l’habitude de voir des hommes jouer au golf, la discipline est aussi ouverte aux dames ; d’ailleurs, il existe aujourd’hui plusieurs tournois dédiés au golf féminin. Les femmes ont en effet leurs propres championnats comme le Ladies European Tour, le Ladies Professional Golf Association Tour (LPGA) et les Open féminins. Aujourd’hui, les adolescents sont aussi intéressés par ce sport grâce à l’existence des jeux vidéo de golf et au palmarès des champions les plus connus. Autrement dit, tous les passionnés de golf peuvent en jouer. Cependant, seules la pratique et la persévérance peuvent amener au professionnalisme ! Comment intégrer l’univers du golf ? S’il fallait faire partie d’un club pour pouvoir pratiquer le golf auparavant, ce n’est plus le cas aujourd’hui, en tous cas pour la plupart des parcours. En général, il suffit de payer un ticket d’entrée. La fabrication de matériels de golf étant déjà industrialisée, leurs coûts sont plus accessibles aujourd’hui. Néanmoins, il est indispensable de prendre des cours avant de jouer au golf. Bien qu’il existe aujourd’hui des nouvelles technologies qui facilitent l’apprentissage du golf, il est bien plus intéressant de l’apprendre sur de vrais terrains. Et pourquoi ne pas organiser des vacances de golf pour le faire ? Vous pouvez programmer à l’avance votre stage en approchant des spécialistes comme Parcours & Voyages. Vous aurez ainsi le privilège de découvrir de très belles destinations tout en pratiquant sur les meilleurs parcours. La plupart des clubs de golf proposent en effet des cours pour ceux qui veulent s’initier. ...
L’ambiance du showroom où Laurianne Ripé reçoit ses clients annonce les couleurs. Ici, l’on vient acquérir le savoir-faire d’une organisatrice et l’on pressent que la collaboration débouchera sur un évènement d'exception. Ecoute et présence sont les valeurs fondatrices de ce prestataire né de la rencontre de plusieurs professionnels rompus chacun à leur art. L’événementiel dans le sang Laurianne Ripé est loin d’être une néophyte dans le domaine de l’événementiel. Son parcours à la tête des Fourmis blanches était précédé d’une expérience parisienne dans l’organisation de mariage. C’est en se relogeant à Lyon que cette wedding planner d’origine lance le concept de la nouvelle enseigne, en s’associant avec Astuce des chefs, traiteur lyonnais de longue date. Sous cette appellation, ces ouvriers de l’événementiel dispensent leur conseil aux entreprises et les accompagnent de A à Z dans la mise en œuvre de leur projet. La marque de fabrique de la maison ? Son équipe ne se laisse pas démonter par les contraintes géographiques. S’il faut aller à Majorque ou au Brésil pour assurer le chantier, le collectif répond présent. Entreprises ciblées au cœur de leur image Les Fourmis blanches déploie son savoir-faire pour toutes sortes d’événements rattachés à l’entreprise et son image. Des inaugurations de nouveaux bâtiments aux conceptions d’événements de team building, la maison possède de multiples cordes à son arc. L’organisation de lancements de produits et de cocktails d’entreprise constitue une autre demande pour laquelle elle est régulièrement sollicitée. Recherche de l’endroit pour organiser l’événement, décoration, fleurs, repas, tout est pris en charge grâce au vaste réseau de partenaires entretenu par l’enseigne au fil de son expérience. ...