150 ans d’existence au sein d’une même famille : c’est l’histoire incroyable du domaine de Cerberon qui s’est transmis de génération en génération. Héritée en 1929 par la grand-mère des propriétaires actuels, l’ancienne production de moutarde du 19è siècle se transforme peu en peu en production de vin. Domaine Cerberon : des vins pour toutes les occasions et toutes les envies Aujourd’hui, le Domaine du Cerberon met tout en œuvre pour magnifier le terroir de la Côte de Beaune. Cela passe, entre autres, par des vendanges manuelles et des techniques de viticulture durables. Mais aussi par l’agrandissement du vignoble qui passe d’un hectare et demi à ses débuts à 3 hectares aujourd’hui. Sans oublier les caves de vieillissement qui datent du 13e et 17e siècle. Cela favorise la création de vins blancs et rouges extraordinaires dont quelques premiers crus qui font le succès de la région. ...
Un savoir-faire et une passion familiale C’est à la fin des années 70 que l’entreprise voit le jour à l’initiative de Clément Lapierre. Fort d’une expérience auprès de chefs de plusieurs restaurants étoilés, il fonde avec son épouse la maison Lapierre Traiteur. Ce n’est alors qu‘une simple maison artisanale, comme on en compte tant dans la région. « On avait de vieux locaux qui ont été agrandis au fil des années. En 2007, avec toute mon équipe, on a déménagé dans nos nouveaux bâtiments dans lesquelles nous avons installé notre laboratoire de cuisine », nous explique au téléphone Fabien Lapierre, fils du fondateur de la maison et actuel dirigeant de l’entreprise. Avant d’exercer ses talents derrière les fourneaux de l’entreprise familiale, le jeune chef est allé se former longtemps au Meurice et au Georges V. Une étape a été franchie dans la vie de l’entreprise en 2007, avec l’acquisition de plus de 1 100 m2 en Plaine-Saint-Denis où il a installé sa batterie de cuisine de dernière génération répondant aux normes sanitaires européennes (CE). C’est de là que partent chaque jour les centaines de macarons et de petits canapés qui ont sublimé plusieurs générations de papilles, forgeant à chaque bouchée un peu plus la réputation de cette maison. Une carte d’exception pour tous les types d’événements Tout commence par un entretien avec le client pour bien cerner ses attentes, pour trouver avec lui l’axe nutritionnel de son repas. Selon les besoins, Lapierre Traiteur va proposer un repas sans sel ou sans gluten, avec ou sans crustacés, toujours en gardant à l’esprit le budget que le client souhaite allouer à cette prestation.« On accompagne entre 10 et 30 événements par jour tout au long de l’année. D’une commande de quatre plateaux-repas à l’organisation d’une réception de 200 personnes avec un cocktail dînatoire, on apporte toujours le même soin dans la finition de nos repas », explique Fabien Lapierre. Tout le monde fait très attention à son budget, particuliers comme professionnels. Pour proposer à tous une offre abordable et de grande qualité, Lapierre Traiteur choisit de ne travailler qu’avec des produits simples, de saison, obtenus auprès d’un réseau fidèle de distributeurs et fabrique 90 % de ses produits distribués. Un service de livraison de plateaux-repas C’est une tendance : les grandes entreprises délaissent de plus la restauration « classique » pour l’organisation de la pause déjeuner de leurs collaborateurs. Trop long, trop fastidieux, pas adapté à un monde qui bouge vite. Pour ceux qui mangent au bureau lors de réunions d’affaires, Lapierre traiteur propose un service de livraison de plateaux-repas. Pour à peine plus d’une dizaine d’euros, on choisit parmi une gamme de six plateaux-repas qui satisferont tous les goûts. Bio, végétariens, sans gluten ou composés à base de produits de saisons, ils viennent toujours accompagnés d’un fromage et d’un dessert afin de transformer une banale « pause déj. » en un moment sain et convivial. ...
Dans un environnement de plus en plus concurrentiel, il est en effet essentiel de pouvoir évaluer en permanence le statut de ses relations avec ses clients, et de s’assurer qu’ils disposent de parcours adaptés, afin de pouvoir prendre les décisions adéquates. Les solutions CRM constituent ainsi le réceptacle de toutes les interactions avec les tiers - en B2B, B2C, ou B2B2C, quels que soient les relations de l’entreprise avec ses clients, ses prospects et l’ensemble de son écosystème (partenaires, fournisseurs, etc.) Le CRM doit aussi assurer le support des processus métiers opérationnels… ce qui est déjà beaucoup plus difficile à faire. Les meilleures solutions CRM se distinguent par leur flexibilité, leur adaptation aux besoins individuels de l’utilisateur, leur modularité, leur couverture fonctionnelle et leur évolutivité. Les entreprises ne peuvent plus se contenter de recueillir des données : elles doivent s'assurer de l'efficacité de la collecte des informations et de la qualité de leur base de données afin de réaliser des analyses qui serviront de base à la prise de décisions et à la détermination des actions à mettre en œuvre. Vers un support optimal des utilisateurs Les solutions CRM de nouvelle génération vont au-delà de la restitution des informations liées au client et à son écosystème. Il est important d’optimiser la convivialité (usability) et la qualité des parcours client et de l’expérience utilisateur (user experience) de la solution CRM en pouvant agir à tout niveau sur la conception de l'interface utilisateur (user interface design). Ces 3 facteurs ont une influence directe sur l'acceptation de la solution CRM et sur son utilisation au quotidien par les utilisateurs. Il s’agit d’éléments clés à prendre en compte dans le choix d’une solution CRM, au-delà de la couverture fonctionnelle. En combinant convivialité de la solution et capacité à modéliser des processus métiers, on peut alors obtenir un taux d’appropriation et d’utilisation de la solution CRM bien supérieur à ceux de ses concurrents et disposer ainsi de données plus nombreuses et de meilleure qualité, permettant de réaliser des analyses plus efficaces et donc de prendre de meilleures décisions. Placer l’utilisateur au centre : une nouvelle approche pour les solutions CRM L’expérience utilisateur (« user experience ») est un concept global comprenant plusieurs facteurs : Perceptions et réactions d’une personne lors de l’utilisation ou à la simple vision d’une solution ou d’un service. Définition de l’« expérience utilisateur » selon la norme ISO 9241-2101. Dans le cadre de l’utilisation d’une solution CRM, l’un des principaux éléments de l’expérience utilisateur réside dans la convivialité (usability) de la dite solution. Degré selon lequel une solution CRM peut être utilisée, par des utilisateurs identifiés, dans un contexte d’utilisation spécifié, pour atteindre des objectifs définis avec efficacité, efficience et satisfaction. D’après la définition de la « convivialité » selon la norme ISO 9241-210. L’amélioration de l’expérience utilisateur comme facteur clé de réussite L’amélioration de l’expérience utilisateur vise au contraire à associer une conception optimale de la solution à une utilisation positive. L’utilisateur est ainsi placé au centre de la démarche, de la conception initiale de la solution jusqu'à son intégration, afin de prendre en compte ses besoins, ses suggestions mais aussi ses appréhensions. Ces facteurs, qui vont au-delà des critères de qualité standards, sont essentiels dans la décision d’achat, ainsi que pour la fidélisation. La convivialité (usability), l’expérience utilisateur (user experience) et la conception de l’interface utilisateur (user interface design) deviennent ainsi des leviers permettant d’agir sur la différenciation et la performance d’une solution CRM. Quand ces concepts sont pris en compte de façon systématique, on peut alors parler d’expérience client (customer experience). Dans une ét...
Cette demeure au cadre champêtre et à l’ambiance romantique est un lieu chargé d’histoire qui laisse transparaitre en toile de fonds, les secrets de la Gascogne pour un spectacle de toute beauté, composé de vallons parsemés d’abbayes cisterciennes et de villages typiques aux marchés animés. Un cadre historique couplé à une cuisine de tradition Dans un cadre verdoyant qui domine à perte de vue la campagne gersoise, le château de Larroque se trouve à proximité immédiate de Gimont, fameuse bastide à la gastronomie authentique et au marché au gras typique de la région. Les lieux se prêtent merveilleusement aux célébrations familiales et privées mais pas seulement… weekends détente, anniversaires et séminaires d’entreprise y trouvent tout aussi bien leur place ainsi que plusieurs activités extérieures. Au château de Larroque, 17 chambres dont une suite sont mises à disposition des convives où confort et bien-être sont au rendez-vous. Ouvert du mardi matin au dimanche midi inclus, son restaurant reçoit plutôt une clientèle d’affaire que de touristes avec une carte à 3 menus incluant un menu express le midi. Si la carte est assez stable en hiver, « elle est beaucoup plus changeante pendant la saison » nous précise Rosemary Rodriguez, propriétaire. Adepte de la cuisine bio et du fait maison, l’enseigne travaille prioritairement les produits frais cuisinés sur place et met à l’honneur les meilleurs des produits gersois. En marge de travailler avec un réseau régulier d’agriculteurs et de producteurs gimontois, elle peut se permettre le luxe de produire elle-même ses légumes dans les serres et potager du château. ...
Des vacances au cœur des Portes du Soleil Les Portes du Soleil, un des plus grands domaines skiables au monde, s'ouvrent devant vous depuis Saint-Jean-d'Aulps. Découvrez "L'Isle d'Aulps", le point de départ idéal pour profiter des 50 km de pistes au cœur du domaine du Roc d’Enfer : une expérience de ski unique face au pittoresque Mont Blanc. Que vous soyez un skieur confirmé ou simplement en quête d’aventures seul ou en famille, vous trouverez dans ce village, de quoi satisfaire vos envies. Un hébergement abordable et confortable Séjournez 7 nuits en pension complète au Village de Vacances "L'Isle d'Aulps" à partir de 663€, un tarif compétitif pour une destination idyllique. Installée au cœur du village de Saint-Jean-d'Aulps, cette station familiale dynamique propose une multitude d'activités hivernales. Les chambres sont spacieuses et confortables, offrant des options pour les couples, les familles et les groupes. Une gastronomie locale et conviviale Le Village de Vacances "L'Isle d'Aulps" jouit d’une restauration variée et soignée : c’est une expérience à part entière qui saura vous faire saliver. Le petit déjeuner et le déjeuner sont servis sous forme de buffet, avec une grande diversité de plats, soigneusement préparés. Le dîner est une affaire plus intime, servi à table, où vous pourrez déguster les authentiques spécialités locales. Pour vos journées de ski, vous aurez également la possibilité de demander un pique-nique à emporter pour le déjeuner. Le bar avec terrasse est ouvert de 11h à 22h30 pour vos moments de détente et de convivialité. Des activités de divertissement et de détente Le Village de Vacances "L'Isle d'Aulps" propose un large éventail d'activités pour rendre votre séjour inoubliable. Des animations sont prévues en journée et en soirée, allant de la découverte du domaine skiable du Roc d’Enfer à des sorties en raquettes au cœur de la nature sauvage, en passant par la fabrication du fromage. Un club dédié au bien-être de vos enfants Si vous voyagez en famille, sachez que le Village de Vacances "L'Isle d'Aulps" pense à vos enfants. Le club enfant est ouvert à certaines périodes de l'année (du 30/12/2023 au 06/01/2024 et du 10/02/2024 au 09/03/2024), offrant des activités adaptées aux différentes tranches d'âge. Les plus jeunes peuvent profiter de cours de ski alpin avec les moniteurs qualifiés de l'ESF, des balades en luge, des concours de bonhommes de neige et bien plus encore. Les adolescents, eux, ont la possibilité de personnaliser leur programme en fonction de leurs envies, comme une journée de ski liberté avec pique-nique. La Haute-Savoie, une région riche En dehors des plaisirs typiques du ski, la région regorge de trésors à découvrir. Les stations villages telles que Morzine et Les Gets, offrent des expériences alpines où vous pourrez créer vos plus beaux souvenirs. Les profils plus culturels pourront visiter le musée de la Musique mécanique aux Gets, ou découvrir le processus de fabrication du fromage à la fruitière locale. Pour les avides d’aventures, des activités comme le ski joëring, la descente en yooner, et le parapente sont disponibles. Les amateurs de randonnée en raquettes seront comblés par la diversité des itinéraires, offrant une immersion dans la magie de la forêt enneigée, les parfums de la nature, et la quiétude des vastes étendues de neige. En somme, le Village de vacances “L’Isle d’Aulps” à Saint-Jean-d'Aulps est bien plus qu’une simple destination de vacances au ski. Il offre une expérience complète dans un cadre exceptionnel au cœur de la Haute-Savoie, où skier, se détendre, bien manger, et découvrir la région se conjuguent pour créer des souvenirs mémorables. ...
Allergènes, produits chimiques, conservateurs, mauvaises graisses… Scruter l’étiquette des produits alimentaires devient monnaie courante chez bon nombre de consommateurs. Grâce à son panel de produits sains et bio triés sur le volet, la boutique en ligne Kazidomi se donne pour mission de faciliter leur quotidien mais aussi celui des personnes suivant un régime alimentaire strict. Mais avec elle, produits de qualité riment désormais avec petits prix. Une start-up belge qui monte Alors étudiante en gestion à la Solvay Brussels School, Emna Everard nourrissait déjà l’ambition de se lancer dans la conception de magasins « 100 % healthy ». Auparavant sujette à des intolérances alimentaires, cette fille de médecin spécialisé en nutrition mesure l’importance d’avoir une alimentation saine. Avec Alain, passionné d’entrepreneuriat et ayant achevé ses études à l’université MIT de Boston, Emna crée Kazidomi en avril 2016. Très vite, le projet des deux jeunes Belges séduit et trouve de nombreux contributeurs, comme le réseau Entreprendre et Solvay Entrepreneurs. En usant du crowdfunding, la start-up améliore ses infrastructures et étend son offre. Tirer profit des avantages d’acheter en ligne Kazidomi fait figure de pionnier sur Internet à travers son offre de plus de 1 000 références en produits sains et bio. Mieux qu’une simple sélection, ses articles passent par la validation de médecins et d’experts en nutrition avant d’être proposés aux internautes. Avec son système de filtrage des résultats, le consommateur souhaitant privilégier ou éliminer tel ou tel ingrédient trouvera en une seconde les produits qu’il cherche réellement. Le site met également en avant les points spécifiques de chaque référence (sans gluten, sans lactose, sans huile de palme, etc.), ce qui est utile et pratique au niveau des restrictions alimentaires. Outre l'alimentation, des catégories « Cosmétiques », « Bébé », « Maison », « Livre » ou encore « Régime spécifique » sont à découvrir sur le site. Économiser sur de bons produits Que ce soit par choix ou par nécessité, opter pour une nutrition de qualité implique généralement un coût élevé. Kadizomi met un frein à cette idée commune en permettant aux consommateurs d’avoir accès aux produits sains et bio sans qu’ils aient à payer le prix fort. En souscrivant à l’abonnement annuel de 100 €, la facture est considérablement revue à la baisse, car le consommateur réalise une économie allant de 20 à 50 % sur le montant initial de ses achats en ligne. Cette offre a d’ailleurs permis à la start-up de faire décoller son chiffre d’affaires. ...
La société de tous les urologues L’AFU couvre « 95 % des urologues qui exercent sur le territoire national », comme le constate le professeur Thierry Lebret, Président de l’AFU. Représentative, reconnue par les autorités de tutelle, elle est également la seule association française d’urologie et est donc l’acteur de référence en la matière. Ainsi que l’indique l’article 1 de ses statuts, l’AFU vise à « promouvoir la science urologique et l’étude de toute question ayant trait aux affections de l’appareil urinaire des deux sexes et de l’appareil génital de l’homme en particulier. Elle participe aussi à la qualité des soins ». En effet, en tant que médecin et chirurgien, l’urologue prend en charge l’appareil urinaire et génital dans son ensemble incluant notamment l’incontinence d’urine, la statique pelvienne chez la femme, l’andrologie, la transplantation rénale ou encore la cancérologie. L’association intègre des urologues de différents statuts professionnels, ainsi que des médecins qui n’exercent pas l’urologie, tel que des radiologues, radiothérapeutes, oncologues ou rééducateurs… En agrandissant ainsi son cercle, l‘AFU élargit aussi ses zones d’action et agit plus efficacement. Un acteur de la recherche et de l’évaluation en urologie L’AFU est un acteur de la recherche en urologie. Elle porte ainsi une attention particulière à la recherche bien sûr, mais aussi à la pratique professionnelle, l’évaluation et la formation initiale et continue. Les comités scientifiques de l’AFU publient régulièrement des recommandations de bonnes pratiques pour une égalité d’accès aux soins. Ils s’efforcent d’approfondir les recherches et d’évaluer les projets. Les évaluations s’appliquent aussi aux nouvelles technologies conçues pour détecter ou soigner les pathologies. En effet, l’AFU se veut à la pointe de l’innovation. Par exemple, le comité d’évaluation examine le laser utilisé pour casser les calculs ou traiter l’hyperplasie bénigne de la prostate, ou encore les ultrasons qui permettent de détruire les cellules cancéreuses de la prostate. L’AFU promeut aussi les études dans le domaine de l’urologie, et appuie financièrement les jeunes chercheurs. Chaque année, elle leur accorde huit à dix bourses d’études allouées à une année de recherche, à la préparation d’un master 2 ou à un travail de thèse. Le domaine de l’urologie est très dynamique requérant donc constamment un renouvellement de connaissances. Afin de former progressivement ses membres, l’AFU organise régulièrement un séminaire d’urologie continu (SUC). Ce séminaire, regroupant 150 membres répartis en 5 groupes de 30, remet les connaissances à neuf et aborde toute une palette de thématiques. L’AFU élabore également des manifestations scientifiques, comme les congrès et les Journées d’onco-urologie médicale. L’AFU au service des patients À travers ses missions de recherche et d’évaluation et via son comité éditorial, l’AFU diffuse les actualités et bonnes pratiques aux urologues afin d’apporter les meilleurs soins aux patients. Elle a ainsi développé des outils de communication efficaces : son site internet urofrance.org s’adresse aux médecins, de même que la newsletter qu’elle envoie régulièrement. Elle a également développé un second site internet, dédié quant à lui aux patients (urologie-sante.fr). Ainsi, toutes les publications scientifiques, les recommandations ainsi que les « fiches d’information patient » sur les traitements et les maladies sont disponibles sur les sites internet de l‘AFU. Par ailleurs, l’AFU est active sur les réseaux sociaux Twitter et Facebook. Tous les ans, elle organise notamment un chat Facebook à l’occasion de la Semaine de la continence, et cette année, un chat pour la Journée Européenne de la Prostate. L’objectif; Utiliser Facebook pour libérer la parole et diffuser de réelles informations aux patients. La transversali...
Créée en 1905 par Charles Émile Ellner, cette maison familiale réunit aujourd’hui 3 générations qui travaillent main dans la main. En effet, les champagnes Ellner, c’est d’abord une affaire de famille. Aux commandes : Jean-Pierre Ellner, le petit-fils du fondateur est déjà bien entouré et peut compter sur la génération montante. Ses filles, Emmanuelle et Alexandra s’occupent de l’image de la marque et de la partie administrative tandis que leurs neveux Frédéric et Arnaud prennent en charge les vignes et la vinification. Depuis sa création, la maison s’est fixé une ligne de conduite : produire des champagnes de grande qualité, accompagnant tous les moments de vie. La richesse des terroirs La maison Ellner dispose de 50 ha de vignobles répartis sur l’ensemble de la Champagne : la côte des Blancs, la Montagne de Reims, la vallée de la Marne, les côtes de Sézanne et l’Aube. Les 3 cépages (pinot noir, pinot meunier et chardonnay) sont plantés sur une grande variété de terroirs. « Mais le chardonnay représente près de 50% de l’encépagement de notre vignoble », tient à préciser Gauthier Bongras, directeur commercial de la marque. Ce cépage est majoritairement présent sur les terres situées à Chouilly et Tauxières, deux villages classés Grand Cru sur la côte des Blancs. Il est aussi présent sur les côtes d’Épernay et les côtes de Sézanne. « Les sols argilo-calcaires de nos vignobles permettent d’élaborer des vins complexes tout en conservant fraicheur et tension », renchérit le responsable. Les cépages noirs (pinot noir et le pinot meunier) se concentrent quant à eux sur la Montagne de Reims et la vallée de la Marne. Enfin, la maison possède également au sud de la Champagne un vignoble de 7ha planté essentiellement en pinot noir. Ce vignoble datant du jurassique supérieur est à l’origine de vins particulièrement riches en arômes. Le style Ellner La maison pratique depuis 2001 une viticulture raisonnée et s’efforce de limiter au maximum l’utilisation de produits chimiques. Côté vinification, les vins sont élevés dans des foudres de chêne qui font 20 à 25 fois la taille d’un tonneau classique. Comparée à un élevage en cuve inox, cette technique permet aux vins de mieux conserver leurs arômes d’origine. Les champagnes ne font pas non plus l’objet de fermentation malolactique. « Chez Ellner, nous donnons du temps au vin, nous ne voulons pas le vieillir artificiellement, c’est un élément vivant et moins on le secoue, plus il donne de belles choses », nous rapporte-t-on. Ici, on laisse donc volontiers ces trésors oenologiques vieillir plus longtemps, ce qui permet aux arômes de dégager toutes leurs subtilités. A titre d’exemple, l’entrée de gamme non millésimée vieillit pendant au moins 4 ans, tandis que les millésimes sont élevés sur lies en bouteille entre 10 et 12 ans. Le vieillissement se fait dans des caves traditionnelles datant du XIXe siècle et s’étendant sur 2 km de galerie. Chaque année, plus de 400 000 bouteilles y sont élevées avant d’être distribuées un peu partout en France et dans le monde, notamment aux États-Unis. Les cuvées ambassadrices Dans la liste des cuvées phares, la Grande réserve est celle qui représente le mieux la maison Ellner. Elle est obtenue par l’assemblage de 60% de chardonnay et de 40% de pinot noir. En bouche, cette cuvée surprend par sa fraicheur florale qui se double d’une nuance fruitée. À déguster, selon les envies, en apéritif ou en début de repas. Vient ensuite la cuvée Premier cru, élaborée à partir de 75% de chardonnay et 25% de pinot noir. S’habillant d’une robe or pâle, elle présente un arôme légèrement brioché. À déguster en apéritif et de préférence associée à un poisson. ...
Voilà maintenant plus de six ans que le club Finistère-affaires accompagne gratuitement les entreprises dans la conception de leurs évènements. Séminaires, congrès, incentive, team-building, lancement de produits, tout est pensé, conçu et élaboré de A à Z. Implanté dans une région riche de son patrimoine et de ses valeurs, possédant tous les atouts nécessaires à un séjour professionnel, le Club se veut être l’ambassadeur du meilleur de la Bretagne. Les missions fédératrices du club Finistère-affaires Cette association créée en 2011 s’est donnée pour principale mission de « promouvoir les activités de ses membres, de soutenir la filière événements d’entreprises dans le département et de placer le Finistère dans le top des destinations du tourisme d’affaires », explique Vincent Bellec, président de l’association. Plus de 40 professionnels du tourisme, de l’hôtellerie ou de la réception se regroupent ainsi pour orchestrer d’une main de maître chaque événement qui leur est confié. Agences réceptives, prestataires divers ou structures d’accueil viennent s’ajouter à ces professionnels qui ont fait de l’excellence leur engagement et tous animés de valeurs d’authenticité et de performance. La réussite de votre séjour professionnel sera assurée par leur expertise, leur réactivité et leur attachement à la qualité. Rigueur, flexibilité et proximité caractérisent, entre autres, leurs actions entreprisent dans le but de vous accompagner efficacement dans la réalisation de votre projet. Le Finistère : pour des événements d’entreprises d’exception Très belle destination pour des actions d’entreprises, allant des conventions aux séminaires, le Finistère se veut être une véritable terre de contraste, entre les îles, les côtes, le Nord et le Sud. Ce bout de la France occidentale, entouré par la mer des trois côtés et accueillant chaque année de nombreux festivals, offre un dépaysement total à tous ceux qui ont la chance de s’y rendre. Vous souhaitez souder, remercier ou fédérer vos collaborateurs ? Faites-le dans un département aux paysages riches de leur diversité et doté de 1 200 km de côtes, proposant un large éventail d’activités sportives, nautiques et ludiques. « Découvertes inédites et rencontres insolites seront au programme de chaque activité qui vous permettra de souffler et vous revigorer », reprend Vincent Bellec. Découvrez la beauté d’îles et d’archipels emplis de charme ou les richesses d’une gastronomie unique, oscillant entre saveurs de la mer et succulences du terroir. Des infrastructures à la pointe de la technologie Desservi par trois aéroports, celui de Brest, de Morlaix et de Quimper, par des voies express et prochainement par une LGV, le Finistère se veut être accessible. Vous pourrez rejoindre cette terre promise, depuis Paris, en trois heures. Outre cette proximité, le club Finistère-affaires propose des événements professionnels inédits en partenariat avec des structures d’accueil diverses comme des hôtels haut de gamme ou restaurants étoilés. « Des infrastructures d’hébergement de qualité sont mises à disposition des entreprises, des offres haut de gamme s’inscrivant dans les mesures prises pour satisfaire les besoins des clients en matière de tourisme d’affaires », continue notre interlocuteur. Ce département est, entre autres, fort de ses nombreuses salles de congrès, dont le Quartz Congrès, un des plus grands centres de congrès de toute la Bretagne, l’espace Glenmor pouvant accueillir plus de 3 000 personnes ou encore des hôtels privatisables pour des séminaires résidentiels de direction. À la pointe des nouvelles technologies et bénéficiant d’une situation idéale, ces structures, ayant déjà accueilli des congrès et des conventions internationales, recevront vos événements dans un cadre propice au travail et à la détente. ...
Ces hommes de prière, qui vivent dans le silence et la solitude, ont perçu l’impérieuse nécessité de travailler main dans la main avec les vignerons de cet écrin de nature sauvage qui s’étend de la crête orientale du cirque des Dentelles de Montmirail aux contreforts nord-ouest du mont Ventoux. Le vin a toujours été symbole de partage et d’amour. Tout naturellement, les moines se sont sentis liés à leurs voisins vignerons. Cette amitié partagée dans le travail s’est épanouie progressivement jusqu’à donner naissance à de nouvelles cuvées au grand cœur : les vins Caritas. Histoire des abbayes du Barroux En 1970, Dom Gérard Calvet s’installe à Bédoin dans la chapelle de la Madeleine pour vivre la Règle de saint Benoît : « Ora et Labora » (« prière et travail »). Il est rejoint par de nombreux jeunes désirant découvrir la vie monastique. La communauté grandissant, en 1980, la construction d’un monastère de style roman provençal débute au Barroux. Il sera achevé en 1988. Des vignes anciennes et nouvelles s’étalent sur les flancs de la colline silencieuse. En 1986, un groupe de moniales s’installe à proximité, sur une propriété viticole, « La Font de Pertus ». La construction de l’abbaye Notre-Dame-de-l’Annonciation débute alors, tandis que les jeunes sœurs s’engagent à cultiver les vignes. Depuis 1986, les deux communautés (aujourd’hui 57 moines et 30 moniales) s’entraident pour faire prospérer cet héritage spirituel et viticole. Le vignoble des Abbayes Les 9 hectares en terrasses des deux abbayes sont complantés de cépages variés. Pour les rouges et les rosés : grenache noir, syrah, carignan et cinsault. Pour les blancs : roussanne et clairette. Situé entre 350 et 400 mètres d’altitude, le domaine des Abbayes est adossé aux célèbres terroirs de Beaumes-de-Venise et de Gigondas. Ses sols et ses expositions variés permettent l’élaboration de vins complexes où fraîcheur et puissante structure entrent en symphonie. Les vins Caritas À la suite de la rencontre avec Jean-Dominique Artaud, en 2010, moines et moniales adoptent de nouvelles méthodes de culture pour faire progresser la qualité des vins. Avec leurs amis vignerons, ils retrouvent des procédés ancestraux comme la haute densité (7 500 pieds par hectare), ou le palissage haut sur piquets de bois. Le travail effectué à la main – taille, ébourgeonnage, épamprage, écimage, effeuillage et vendanges – ressemble bien à de la haute couture vigneronne. Les moines utilisent des engrais organiques et travaillent les vignes avec des moyens mécaniques. En 2016, les moines commencent un projet commun avec les vignerons Lux Montis. Son nom : CARITAS. Son but : une valorisation plus juste des vins de caractère produits sur ce terroir de montagne classé dans les « vignobles héroïques ». Pour le bien des vignerons courageux du Barroux, de Beaumont-de-Ventoux, de Malaucène et d’Entrechaux regroupés sous la bannière Lux Montis. L’objectif avoué est de permettre à ces montagnards de maintenir leur activité, aujourd’hui et dans les générations à venir. Le territoire tout entier devrait bénéficier de cette belle aventure solidaire. La beauté de ce terroir aux paysages époustouflants et l’équilibre socio-économique de la région sont en jeu : pour ces moines, la vie agricole est l’un des principaux facteurs structurants de cette Provence des papes. Ils veulent donc mettre leur dynamisme à son service. Pour assurer l’excellence recherchée, les nouveaux pieds de vigne sont sélectionnés selon les profils géologiques des terres. La vigne est cultivée avec beaucoup de cœur pour obtenir des raisins généreux. L’élaboration des vins se fait sous la houlette d’un jeune œnologue de talent, Daniel Haïlé, épaulé par Philippe Cambie, œnologue mondialement reconnu qui apporte son génie pour affiner les assemblages et sublimer le travail vigneron. Cette nouvelle aventure a permis de proposer les premières cuvées haut de gamme en ...
Siégeant à Paris 8, rue des Favorites, la Société Française de Sophrologie est actuellement présidée par Claude Chatillon, elle-même sophrologue. Cette association regroupe les praticiens et les établissements dispensant des formations dans la discipline. La transmission d’un savoir de qualité, acquis par un cheminement d’études rigoureux figure ainsi parmi ses chevaux de bataille. La référence en matière de formation Étant le premier organisme constitué sur le sol français pour diffuser la sophrologie, la S.F.S. s’est logiquement investie dans la mission d’harmoniser et de cautionner les offres de formation. Les personnes souhaitant emprunter cette voie de professionnalisation peuvent ainsi trouver un établissement référencé sur le site de la Société française de sophrologie. De nombreuses écoles membres de la S.F.S forment chaque année des sophrologues, aussi bien en Métropole qu’à Nouméa. Assurer la qualité des contenus Telle qu’elle a été introduite par le professeur Alfonso Caycedo, la sophrologie renvoie à un ensemble de techniques, de concepts et de philosophie dont la mise en œuvre requiert un apprentissage rigoureux. La Société française de sophrologie a toujours accordé une priorité à la qualité du cursus mis à la disposition des personnes qui souhaitent en faire leur spécialité. L’organisme est ainsi l'un des acteurs principaux des états généraux de la formation qui ont permis d’en définir les critères de qualité. Le respect de ces derniers fait partie des engagements pris par les écoles qui sont affiliées à la S.F.S. Entre autres, il s’agit de respecter un volume horaire minimum qui est actuellement de 300 heures. Ce qui correspond à une durée de formation de 2 ans répartis entre « temps de formation, temps de maturation et de réflexion, et temps de pratique », pour reprendre les propos de Mme Chatillon. Par la suite, de multiples voies de spécialisation s’offrent aux sophrologues, au titre de formation spécialisée ou par la formation continue, professionnalisant un peu plus leur pratique. Les congrès professionnels, échanges ou supervisions sont autant d’opportunités qu’ils peuvent saisir, à cet effet. ...
1. Des formats de formation inédits ! En 2030, la formation professionnelle sera complètement transformée. Elle replacera systématiquement l’apprenant au cœur de la démarche (« learner centric ») et proposera une approche ludique, plus personnalisée à chacun, selon son niveau, son projet et les compétences à acquérir. Le Rapid Learning (apprentissage rapide), la Gamification (la ludo-pédagogie et le fait d’intégrer le jeu dans les parcours de formation) et l’Adaptative Learning (apprentissage adaptatif – parcours de formation totalement personnalisés) seront démocratisés. L’hologramme le sera également et permettra de se former autrement : en téléportant des formations ou des formateurs sur son smartphone ou dans un lieu à distance, par exemple. Les formats seront principalement inspirés des nouvelles pratiques du digital et de l’innovation pour répondre aux nouveaux modes de consommation de la formation et aux besoins des apprenants. 2. Se former partout, n’importe quand et depuis n’importe quel support (ATAWAD) L'ATAWAD (Any Time, AnyWhere, Any Device) désigne la possibilité qu'offrent les technologies numériques d'être toujours connecté. Grâce à cette « mobiquité » exacerbée, il sera facile de se former selon sa préférence, d’où on le souhaite, n’importe quand et depuis n’importe quel support (ordinateur, tablette, mobile, lunettes connectées). 3. La formation sera collaborative (social learning) Cette modalité pédagogique crée un véritable cercle vertueux car le principe du social learning est bien d’appliquer des technologies sociales à des fins de formation. Cela peut se formaliser par le biais des plateformes communautaires (réseaux sociaux, forums, wikis, etc.) où les connaissances des uns renforcent les compétences des autres. La formation de demain se trouvera ainsi enrichie par les formés eux-mêmes, qui proposeront leurs propres contenus et mettront à disposition leur expérience et bonnes pratiques (« reverse mentoring » digitalisé). 4. La puissance du blended learning Dans un contexte où la révolution numérique est omniprésente, prendre le meilleur de l’humain et du digital pour les mettre au service de la formation, cela sera la promesse du blended learning (apprentissage mixte). En 2030 l’humain sera à nos yeux encore plus plébiscité pour deux raisons majeures : - Les grandes évolutions digitales en matière de formation seront digérées et le sujet ne sera plus une course à la technologie mais bien à la meilleure pédagogie : la meilleure approche et les meilleurs outils pour atteindre des objectifs de montée en compétences et la performance pour les entreprises. - Les formateurs (parfois en opposition avec le numérique par crainte) auront une maturité différente sur le volet numérique et utiliseront le digital avec beaucoup plus de pertinence dans leurs actions présentielles. Cela deviendra la norme. 5. Les impacts de la formation seront mesurables (ROI) En 2030, la formation professionnelle mesurera l’implication du formé et les impacts dans sa vie professionnelle pour optimiser le retour sur investissement (ROI). Les entreprises auront également accès à un tableau de bord permettant de mesurer avec précision le ROI de leurs actions de formation. 6. L’Intelligence Artificielle au service de la formation et de l’emploi L’intelligence artificielle (IA) va permettre l’automatisation des tâches à faible valeur ajoutée. On peut imaginer qu’en 2030, les apprenants auront des « bots » ou coachs de vie professionnelle. De véritables Assistants personnels intelligents, pour développer sa compétence, son employabilité, se former tout au long de sa vie selon ses envies et ses besoins. Ils proposeront à tous des formations adaptées au marché du travail, aux emplois à pourvoir et à nos compétences parallèles à développer en temps réel. 7. Des labels d’excellence pour entreprises et formateurs Les entreprises devront être éligibles à un label RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) pour la qualité et l’intensité données &...
Agence de voyages située à Lyon et créée sous l’impulsion de Michel Rigaud lui-même ayant vingt-cinq ans d’expérience dans le milieu, Voyage & Tradition possède un savoir-faire unique dans l’organisation de voyages en Asie, notamment au Japon. Une équipe franco-japonaise, avantagée par sa connaissance accrue des destinations locales, établit des circuits de voyage inédits au sein de l’agence. Offrir à ses clients la possibilité de découvrir librement des lieux différents des parcours habituels constitue l’une de ses spécialités. Un accompagnement de qualité Voyage & Tradition, avec l’aide de son équipe, accompagne pas à pas un projet de voyage. « Cette équipe composée de professionnels d’origine japonaise et française constitue notre valeur ajoutée. Notre force est que nous pouvons faire dans le détail, ce qui est rare dans le secteur », fait savoir Michel Rigaud, gérant de l’agence. Séjours en famille, en couple ou entre amis, voyages linguistiques, lunes de miel ou voyages d’entreprise sont cadrés dans des carnets de route très détaillés. Les roadbooks comprenant des traductions en japonais contiennent ainsi un panel d’informations : l’accès à l’hôtel par l’intermédiaire d’un plan de situation, les adresses utiles en japonais et un maximum d’indications pour voyager de façon autonome. Pour voyager également tranquille, Voyage & Tradition affecte dès l’arrivée à l’aéroport, une personne francophone jouant le rôle d’accompagnateur. Il se charge de l’accueil et explique comment utiliser de manière efficiente le carnet de voyage. Comment se repérer dans Tokyo depuis l’hôtel ? Comment se déplacer, prendre le métro ? Etc. Une seule journée passée ensemble avec ce guide suffit pour prendre ses marques et circuler librement. D’ailleurs, notre interlocuteur s’en félicite : « Avec nous, les gens passent leur séjour en toute sérénité, car tout a été pensé pour atteindre cet objectif-là ». Japon : quand tradition rime avec modernité Véritable terre de contraste, le Japon offre un panorama hors du commun qui émerveille par le paradoxe de ses paysages si l’on ne parle que de Tokyo et Kyoto. « D’un côté, Tokyo, une ville à la pointe de la modernité qui a été totalement construite après la Seconde Guerre mondiale, de l’autre, Kyoto, une ville qui a la plus grande richesse culturelle du pays et qui a été justement préservée de la Seconde Guerre mondiale », explique le propriétaire. La tradition s’allie à la modernité où l’une puise sa force chez l’autre et vice versa. Cela fait la particularité du Japon et intrigue ses visiteurs. Ces derniers auront ainsi la chance de parcourir le pays librement « car le voyage en toute liberté est la base même de notre concept »; tient à préciser notre interlocuteur. Tokyo, Kyoto, Hiroshima… telles sont les destinations phares qui attendent d’être découvertes sans contrainte, en train notamment, car c’est le mode de transport le plus utilisé offrant un confort inégalé. Activités insolites et adaptées à tout âge Outre la richesse de son patrimoine et la beauté de ses paysages, le Japon est aussi réputé pour sa culture plutôt insolite, et il est peu de le dire. Afin de s’imprégner de la richesse culturelle du pays, des activités adaptées à tous les âges peuvent être organisées. Pour les jeunes filles, s’habiller en lolita est l’un de leurs loisirs favoris. Elles arpentent les boutiques spécialisées à Tokyo à la recherche du costume approprié. Ensuite, place à l’itanail pour rester japonaise jusqu’au bout des ongles. En effet, le rituel de la manucure est typiquement nippon : une manucure 100 % manga, ou simplement un dégradé de couleurs. Elles peuvent aussi s’habiller en geisha et se promener en pousse-pousse dans les vieilles ruelles de la ville de Kyoto. Les plus âgés choisissent, quant à eux, des activités pl...
Difficile de ne pas succomber au charme de ce restaurant de Roquebrune-sur-Argens, dans le Var. Que ce soit à l’intérieur de la salle à l’ambiance conviviale ou dans la cour ombragée sous les orangers, une cuisine traditionnelle aux saveurs de la région est servie avec le sourire. Emilie Giez assure l’accueil et le service pendant que son compagnon Vincent Truffet s’active derrière les fourneaux. Un duo complice qui célèbre leur amour pour les saveurs du Sud au travers d’innombrables suggestions culinaires généreuses et gourmandes. Une cuisine aux produits du terroir « Les Jardins de l’Orangeraie » proposent une cuisine traditionnelle, à laquelle le Chef Vincent Truffet apporte une petite touche de modernité. Les suggestions à la carte exaltent la fraîcheur des produits de saison livrés tous les jours par un maraicher. Cette carte courte se compose de quatre entrées, cinq plats dont deux viandes et trois poissons et quatre desserts. La maison suggère également un « Menu Découverte » à 30 euros à côté des formules du midi. Le potager aromatique qui parfume la cour intérieure du restaurant fournit thym, basilic, romarin, menthe et autres herbes qui viendront rehausser le goût et les arômes de chaque plat. Côté cuisson, Vincent Truffet affectionne particulièrement celle à basse température, une technique qu’il utilise notamment pour la préparation de la souris d’agneau qui confit pendant près de 12 heures. Fort de son succès, ce plat redemandé très régulièrement par la clientèle est souvent présente à la carte. Autre spécialité : l’aïoli, une recette provençale que le chef revisite tous les vendredis à sa manière. Un rendez-vous gourmand à ne pas manquer sous aucun prétexte. La carte des vins « Les Jardins de l’Orangeraie » présentent une carte de vins très sélective. Cela inclut les producteurs de la commune de Roquebrune-sur-Argens. Les propriétaires de l’établissement aiment aller à la rencontre des viticulteurs pour connaître leur méthode de travail, ils ont alors une préférence pour les vins bio. Selon Emilie Giez : « Les démarches de productions et l’origine des vins doivent coïncider avec l’esprit du restaurant. » Un cadre calme et romantique La pièce maitresse des Jardins de l’Orangeraie est incontestablement sa cour intérieure. A l’abri des regards et des agitations des bords de mer, elle se présente comme un véritable havre de paix. Les tables en fer forgé accueillent les diners romantiques dans une ambiance raffinée, calme et sereine. En soirée, les luminaires extérieurs ingénieusement agencés accentuent ce côté romantique. Pour plus d’intimité ou de chaleur, la salle reste l’idéal. A côté de ses voutes et ses pierres apparentes s’affiche une décoration simple et épurée qui coïncide avec le thème de la gastronomie. La salle est agrémentée par des tons chauds tels que le marron chocolat et l’orange dénotant douceur et élégance. ...
Fondée en 1967 par Dolorès Fuenté et Gabriel Baron, le Champagne Baron-Fuenté est avant tout une histoire familiale. La Maison est désormais gérée par leurs enfants : Sophie - responsable du vignoble et Ignace - maître de chai. Depuis, l’exploitation n’a cessé de se développer, commençant avec seulement 1 hectare de vigne pour arriver à 40 hectares implantés principalement sur les Coteaux de la Vallée de la Marne. L’Esprit d’Excellence de la Maison Baron-Fuenté La Maison utilise l’ensemble des techniques modernes de vinification et tout son savoir-faire au service du respect et de l’expression de son terroir. À travers plusieurs gammes, les champagnes Baron-Fuenté se dégustent aussi bien lors de petites que de grandes occasions, de l’apéritif en toute simplicité aux repas gourmets. ...
Située sur le quai de la Marine, le lieu fleure bon les vacances. Face au Deauville Yacht Club, une ambiance bistrot-chic règne au Comptoir et la Table où les tables en bois rustiques rappellent les brasseries parisiennes confortables et sans chichis. La décoration donne le ton de la mer. Nappes blanches et banquettes confortables, cette ambiance classique rappelle le charme de la station balnéaire normande très prisée des Parisiens. Décoré par Beineiche, ce repère culinaire du Calvados est minimaliste avec beaucoup d’espace. Fidèle au style des vieux restaurants deauvillais des années 50, le clinquant n’est pas de rigueur. Seule exigence : des produits frais et de qualité pour une clientèle avertie. Nuances de truffes De véritables produits frais, tout droit débarqués des ports de pêches font la réputation de ce haut établissement du « 21e arrondissement de Paris ». A l’honneur bien sûr, la truffe, véritable crédo culinaire du Comptoir. En entrée, elle ouvre le bal avec son fameux œuf poché à la truffe, préparé simplement mais authentiquement pour sublimer ses arômes délicats. Avec sa crème de truffes et ses quelques croutons, les papilles sont enchantées par ce gout puissant et atypique si prisé des fins gourmets. Son odeur, envoutante, donne du cachet à l’assiette, et évoque la terre, l’humidité et les effluves forestières. Pour ne pas dénaturer ce gout rare, le dressage est simple et élégant. Ici, le champignon unique est frais en toute saison. En hiver, c’est celle du Périgord qui trône dans l’assiette . En été, c’est celle d’Italie qui vient accompagner les plats signatures de ce restaurant prisé pour ses interprétations de la truffe. En entrée, le carpaccio de Saint-Jacques étonne avec ses fines lamelles et son rapé de truffes. Le gout subtil de noisette et la chair très fine de ce fruit de mer en font un mets estival de choix. Le calamar en poêlée et caramélisé est très prisé par les habitués du lieu. Ce fruit de mer est également dressé sans chichis, avec une salade toute simple pour apprécier le gout tendre et sucré de cette recette fraiche et marine. Le homard se veut frais dans ce restaurant, accompagné d’une poêlée de légumes du marché croquants et d’herbes. En plat principal, on se délecte d’une sole rôtie accompagnée de linguines à la truffe. Ce champignon gastronomique sublime un risotto chaud et onctueux accompagné de son rapé. Le Comptoir et la Table varie aussi les accompagnements du diamant noir avec des produits de la mer cuisinés avec la même philosophie : sobriété et gout. En poissons, le choix est là. Turbot, cabillaud, sole, Saint-Pierre et bar viennent enchanter les assiettes des amateurs des produits de la mer frais et de qualité. Vins aux arômes délicats Avec une carte de vins variée et prestigieuse, plusieurs crus accompagneront vos plats avec leurs arômes délicats. Pour le carpaccio de Saint-Jacques, un Meursault. Un Sancerre blanc viendra libérer les arômes des poissons frais du menu avec ses effluves d’agrumes et de fleurs. La côte de veau aux girolles sera sublimée avec un Pauillac rouge et sa complexité intense idéale pour une viande rouge. Ceux qui veulent couronner leur repas avec un instant de douceur gourmande, c’est une carte de desserts classiques qu’on découvre dans cet établissement. Tarte aux pommes, tulipe de fruits frais, crêpe suzette ou encore crème brûlée à la vanille paracheveront votre repas avec sobriété et délice. ...
Les 21 villages qui composent le pays de Dieulefit-Bourdeaux s’épanouissent dans l’agriculture et l’élevage ainsi que dans la fabrication artisanale. Le fromage le picodon, les plantes aromatiques, les arbres fruitiers, les truffes, les vins, sont un aperçu de la richesse de ses terres, et invitent à l’explorer davantage. Ici, le bien-vivre au sein d’une nature généreuse rime avec plaisir gustatif authentique. Le fromage picodon, un produit emblématique du terroir Le picodon classé AOP est un fromage de chèvre, qui fait l’objet d’un véritable culte en Drôme Provençale. Gâtées par un paysage escarpé et un climat aride bercé sous le ciel de la Méditerranée, les chèvres donnent le meilleur de leur lait afin d’obtenir ce produit au goût corsé et sensiblement piquant. Quant à l’élaboration du picodon, Dieulefit a développé une méthode particulière inspirée par un savoir-faire ancestral qui remonte au XIVe siècle. Le lait de chèvre entier subit deux phases d’affinage prolongé avant de finir en emprésurage, d’une durée qui peut atteindre trois mois selon le goût recherché. Les exploitations caprines localisées à Pracoutel, à Bézaudun-sur-Bîne et à Vesc, produisent également d’autres fromages traditionnels, tels les tommes pressées, les crémeux et les faisselles. En outre, des visites pédagogiques s’articulant autour de l’élevage et de l’agriculture biologique se présentent à ceux qui veulent s’immerger dans ces fermes familiales, dont certaines sont labellisées « Secret de terroir ». Terre de vignoble par excellence Avec la Drôme 1er département bio de France, la Drôme Provençale est aussi le berceau de nombreux domaines viticoles. En 2014, sept prestataires sur le territoire Dieulefit-Bourdeaux ont été labellisés « Vignobles & Découvertes » grâce à la qualité d’accueil dans leur vignoble. La région travaille essentiellement en appellation AOC Grignan-les-Adhémar, obtenue à partir des cépages traditionnels du terroir : syrah, grenache viognier, marsanne et carignan. Déclinées en rouge, blanc et rosé, les cuvées présentent un contraste de personnalité, allant du rouge à fort caractère au blanc léger et fruité. En outre, l’Office du Tourisme de Dieulefit invite à découvrir son patrimoine viticole en proposant des visites guidées des domaines, accompagnées d’une dégustation de vins. Lors de ces séjours œnologiques, on peut ressentir la passion et l’attachement des vignerons à l’environnement, les poussant à évoluer vers une viticulture raisonnée et biologique. Nul besoin aussi d'avoir un odorat bien aiguisé, entrez dans un bistrot discret, approchez-vous d'un étal de la place du marché, vous devinerez le parfum enivrant, subtil et sensuel de la truffe, autre produit phare du pays de Dieulefit-Bourdeaux. ...
Situé à Paradou à vingt kilomètres d’Arles, le Hameau des Baux se présente comme un petit village provençal au cœur de la nature, où place, fontaine, allées, bosquets, mas, participent au charme de l’endroit. Il a été imaginé comme un lieu de vie et de partage où chaque client peut venir se ressourcer dans l’univers hôtelier, mais aussi profiter des espaces restauration et culturels présents sur le site ou participer à divers événements. Il est ouvert du 15 Mars au 2 Janvier. L’hébergement La partie hébergement propose 21 suites et chambres spacieuses, allant de 35 à 65 m², à des tarifs de 205 € à 710 €. Celles-ci sont réparties dans deux bâtiments (la Bastide et la Grange) ou dans des mazets indépendants, et même dans la chapelle. Un soin particulier a été apporté à la décoration de chaque chambre par les créateurs d’intérieur d’Esprit XXe. Chaque chambre a été conçue comme un écrin avec des couleurs apaisantes et du mobilier vintage haut de gamme des années 1950 à 1990. Par exemple, dans la chambre « La Bugadière », murs blanc et bleu côtoient des rideaux en lin bleu pétrole ainsi que des sièges des années 1950 comme les fauteuils en rotin de Franco Alibi ou la chaise de René-Jean Caillette. Un peu à l’écart de l’hôtel, le mas privatisable de 500 m² peut accueillir jusqu’à 13 personnes. Il dispose de six chambres avec salle de bains. Il est particulièrement demandé pour des événements privés ou professionnels mais est également utilisé lors d’organisation de séjours détox ou d’ateliers cuisine. Il est notamment équipé d’une piscine de 12m longueur * 5m largeur et d’une salle de gym. Lieu ouvert aux arts et à la culture Le Hameau des Baux est aussi un univers ouvert sur les arts et la culture. Tous les meubles vintage présents dans les différentes chambres de l’espace hébergement peuvent être achetés ainsi que ceux des autres espaces. Ainsi, 300 pièces nouvelles sont à découvrir chaque année, des chaises aux tables basses en passant par les miroirs, mais aussi des luminaires, sélectionnés par Emmanuelle Vidal d'Esprit XXe. Tout au long de l’année, de nombreuses œuvres d’art sont exposées dans tous lieux du site. Photographies, peintures, sculptures ou céramiques sont ainsi mises en avant pour le plaisir des yeux et pour susciter l’émerveillement et l’émotion. Le Hameau de Baux accueille également des artistes en résidence. La littérature est aussi présente avec une librairie Actes Sud où sont disponibles plus de 300 références regroupant de nombreuses thématiques : polar, roman, BD, livres jeunesse, nature, bien-être, etc. Sur la place du village, on vient prendre un verre ou dîner. Des soirées guinguettes y sont organisées. Durant la période de l’Estival du Hameau en août, tous les mardis soirs, projection d’une séance de cinéma sous les étoiles avec des films cultes du cinéma français. Tous ces espaces, ouverts aux les résidents comme aux non-résidents, font du Hameau des Baux un lieu de vie unique ! Cabriolets de collection Grâce à la flotte de cabriolets de collection du Hameau des Baux, il est possible de visiter la région cheveux aux vents ! Arpenter les routes des Alpilles, et pourquoi pas se rendre à bord d’une Ford Mustang jusqu’aux Calanques : quoi de mieux qu’une balade en cabriolet pour profiter de la beauté des paysages, de la douceur de l’air et des multiples senteurs d’une nature préservée ? Les toits s’ouvrent sur des tableaux vivants qui ont inspiré les plus grands artistes dont Van Gogh. Sensations garanties ! Location à la demi-journée, à la journée ou en semaine à partir de 130 € la demi journée, selon le modèle choisi. ...
Dans ce petit nid douillet, le couple Polizzi, leur équipe et leur sourire réservent un accueil jovial à ceux qui franchissent les portes du Marjolin. Le chef, lui, se plait à émoustiller les papilles avec des mets faits maison, élaborés à partir de produits frais et de saison. Des mets copieux et authentiques Au restaurant Le Marjolin, les merveilles culinaires préparées par le chef Polizzi sont mises en scène sur une carte composée de trois entrées, de trois plats et de trois desserts. « Elle est renouvelée chaque semaine pour promettre qualité et fraicheur à tous nos clients », se félicite Mme Polizzi, la propriétaire. Épices variées, fruits et légumes un peu exotiques y sont aussi à l’honneur et procurent une note inédite aux plats classiques français. Le repas peut débuter avec le Saint-Marcellin rôti et jambon cru ou le Raviole de langoustines et bisque maison. Vient ensuite le moment d’apprécier le Filet de daurade rôti à l'huile de sésame ou le Quasi de veau poêlé aux girolles. Le répertoire des desserts, quant à lui, chante quelques grands classiques comme le Cheesecake au citron vert ou la Tartelette chocolat-noisette. Une carte des vins surprenante Le restaurant Le Marjolin détient une belle collection de vins qui rehaussent les saveurs des repas. Sa cave à vins est essentiellement composée de « petites perles issues des domaines assez peu connus », selon les précisions de la propriétaire. Parmi la trentaine de références, on peut citer le chardonnay du Domaine Gaget, le Blaye Côtes de Bordeaux ou encore le champagne Dosnon Récolte noire. ...
La Roche-sur-Yon est une ville construite sur l’ordre de Napoléon en 1804 pour apaiser les guerres de Vendée. Sa principale particularité réside dans un tracé géométrique avec des rues à angle droit et des bâtiments de style néo-classique. Pour y séjourner et parcourir les sites touristiques de la ville, de nombreux hébergements de dimension humaine sauront vous accueillir avec chaleur. Les principaux atouts de la ville Pour le bicentenaire de la création de cette ville nouvelle, la place Napoléon (2,6 hectares) en plein centre-ville a été transformée avec plus de 50.000 végétaux et des bassins qui accueillent un étonnant bestiaire créé par François Delarozière de la compagnie « La Machine ». Tous ces étonnants animaux, où crocodile du Nil, dromadaire, ibis sacré, hippopotame et bien d’autres se côtoient, peuvent être actionnés par le public avec manettes et leviers mis à leur disposition. Cette attraction ravira petits et grands grâce à son côté ludique et interactif. Vous pourrez également vous rendre au haras national, situé dans un parc arboré, qui propose de nombreuses animations pendant le temps estival : ateliers pédagogiques, démonstrations équestres ou balades en attelage. La découverte de la ville Pour une découverte plus générale de la ville, offrez-vous une des visites proposées comme une visite accompagnée d’un guide, une visite par audio-guide sous forme de parcours, ou une balade ludique dans l’esprit d’un jeu de piste où chaque point (monument, site, …) est expliqué par des contenus audio ou vidéo sur votre smartphone. Différents circuits sont possibles pour mieux comprendre le développement de La Roche-sur-Yon au cours des siècles : la découverte de la ville avant Napoléon avec le quartier de la vieille horloge, la ville napoléonienne ainsi qu’un parcours autour de la gare. L’évocation de personnalités illustres vous feront voyager dans un passé proche : Benjamin Rabier rendu célèbre par son dessin de La vache qui rit ou son canard Gédéon, ou René Couzinet, ingénieur aéro-technicien et père de l’Arc-en-ciel, ce trimoteur qui effectua la traversée aller-retour de l’Atlantique sud. Pour parcourir la ville en toute tranquillité, vous pourrez opter pour une visite d’une vingtaine de minutes en calèche. La vallée de l’Yon Vous pourrez aussi profiter d’un environnement naturel exceptionnel avec la vallée de l’Yon, rivière parcourant toute la région du nord au sud. Le long de cette rivière, plusieurs chemins de randonnée vous emmèneront dans des lieux préservant une belle biodiversité tels que la maison des libellules ; les jardins des agrions ; le moulin de Rambourg, un moulin à eau où vous pourrez apprendre tous les secrets de la farine ; ou encore le chaos du Piquet, un chaos granitique avec de gros blocs qui constitue un lieu de promenade très agréable où s’est développée toute une mythologie puisque si vous avez de la chance vous pourrez y croiser des elfes ou des farfadets. ...
La famille Boinaud est installée au Domaine depuis 1640. Au départ, les Boinaud étaient spécialisés dans le travail du bois, une tradition encore perpétuée dans la fameuse tonnellerie artisanale. La passion pour le cognac s’est développée plus tard, avec l’arrivée de Charles Boinaud, arrière-grand-père des dirigeants actuels, à la tête du domaine. Celui-ci décide d’installer le premier alambic pour distiller les vins produits par la maison. Les générations qui suivent se sont évertuées à préserver soigneusement ce savoir-faire exceptionnel. C’est donc avec cette même ferveur que les deux cousins, Charles et Rémi Boinaud, conduisent aujourd’hui le domaine. Jeunes et visionnaires, ils misent sur le respect de la tradition familiale, tout en se tournant vers l’innovation pour affirmer résolument l’identité de la maison. Immersion dans la plus grande distillerie charentaise De la vigne jusqu’au verre, aucune étape n’échappe aux Boinaud. Les raisins sont récoltés sur les fameux terroirs de la Grande Champagne, qui, à l’heure actuelle, est qualifiée de meilleur cru de l’appellation Cognac. Et avec les 420 ha de vignes, le rendement ne peut être que favorable. Après la vinification, place à la distillation. « Les eaux de vie sont élaborées dans la plus grande distillerie charentaise, désormais équipée de 41 alambics », précise Clara Gilbert, cheffe de projet Hospitalité/Évènementiel. Parmi les meilleures références figure le « Cognac De Luze », symbole par excellence de la Fine Champagne. Le « Cognac J. Dupont » est également une cuvée représentative de la maison. Classé dans la gamme premium, cet « art de la Grande Champagne » est dédié aux plus fins connaisseurs. En s’adonnant à une visite classique, ceux qui viennent au domaine auront le privilège de découvrir les secrets de fabrication de ces quelques élixirs, suivis d’une dégustation. Une aventure gourmande La Maison Boinaud propose également des visites sur mesure. Les visiteurs pourront ainsi définir les activités qu’ils souhaitent inclure ou non au cours de leur visite. L’occasion pour eux de déguster les fameux produits gastronomiques dont les Boinaud sont les seuls à proposer en France, voire au monde. Il s’agit ici des Perles de Cognac, du cognac encapsulé dans une pellicule d'algue naturelle qui sert à parfaire un cocktail ou à accompagner les mets les plus délicats (huitres, foie gras, desserts…). Le Oaker est également un must à déguster. Il s’agit d’un délicieux concentré naturel de bois que les barmans utilisent généralement pour relever leurs cocktails. Le Smoaker, de son côté, a été pensé pour fumer les mets à partir de vieux copeaux de chêne issus d’anciennes barriques de cognac. À noter que la maison Boinaud pratique également l’apiculture. Ainsi, elle produit et commercialise son propre miel. ...
Au ReminiSens, on ne réserve pas pour manger. On bloque un créneau pour se laisser emporter dans une gamme d’expériences culinaires et culturelles, empreintes de magie, de voyage dans le temps. L’esprit de la maison réside justement en cela. Le temps d’une soirée, remonter aux fastueuses époques où Versailles était ville royale. Se divertir comme on l’eût fait alors, se délectant des saveurs fines d’antan, se laissant bercer par l’heureux babillage des « nobles » acteurs recréant les intrigues et anecdotes d’époque. Une capsule « hors du temps » pour une soirée d’exception Tenant boutique rue Baillet Reviron, au numéro 20, ReminiSens peut vite devenir un incontournable pour les férus de programmes exceptionnels. Dans une ambiance baroque, reconstituant l’esprit des appartements privés du temps des rois de France, l’on pénètre dans une capsule – hors du temps – où les yeux reçoivent les premières décharges. Caroline Masselin, conceptrice et source de cette inspiration inattendue, n’a rien laissé au hasard. Rideaux, lustres, appliques murales, chandeliers, tout est là pour recréer une atmosphère qui donne envie de s’abandonner, faisant fi des contraintes du moment. Les costumes d’apparat du personnel – également d’époque – ajoutent la touche finale pour vraiment propulser le visiteur dans le Versailles d’alors. Ces courtisans-acteurs divertiront la galerie, tout au long du dîner, par des saynètes reprenant des détails croquants de la vie à la cour. D’avance, l’on trépigne de curiosité alors que les papilles n’ont encore aucune idée des plaisirs auxquels le chef de la maison va les initier. Honneur au bien manger de l’époque Les tables de ReminiSens rendent un hommage vibrant à la gastronomie du temps où le Roi Soleil et Louis XV régentaient la France. Les menus, concoctés avec de sérieuses références historiques, célèbrent le potager, la chasse et la pêche. Il faut se laisser guider par la fibre de la Chef Marie Bin pour initier ses papilles aux mystères des gibiers comme l’on peut en avoir goûté à l’époque. Le potager se fait mine de saveurs royales quand elle propose la « Découverte de M. Parmentier ». L’on redécouvre les notes perdues de légumes comme le topinambour. L’on garde longtemps en bouche les délicats effluves de sa « Truite au champagne ». ...
Le nom du restaurant est tiré des jardins qui entourent le fameux palace de Marrakech et qui furent donnés au prince Mamoun par le sultan en cadeau de mariage. La Mamounia a été ouvert en 1996 par les parents des actuels propriétaires. C’est un endroit convivial et branché, qui convient à toutes les situations : diner en amoureux, déjeuner d’affaires ou tout simplement moment de partage entre amis ou en famille. Un décor dépaysant Le restaurant, installé le long des boulevards de Valence, propose un dépaysement total, transportant ses hôtes dans un voyage à destination du Maroc par son décor des mille et une nuits. Son plafond est entièrement fait de marqueterie traditionnelle marocaine (bois sculpté et peint à la main). Tous les éléments du décor sont des authentiques objets provenant du Maroc, depuis le tapis jusqu’au mobilier et aux banquettes, en passant par les assiettes en faïence. Un chef au parcours atypique Samir Ouazzani est à la fois le chef et le propriétaire de l’établissement. Cet homme ne s’était pas du tout destiné au métier de la restauration, ayant fait ses études et travaillé dans le domaine des techniques industrielles. Il n’a commencé à s’intéresser pleinement à cet univers qu’à partir de 2005, lorsqu’il a pris la relève de ses parents. « J’ai appris sur le tas, tout doucement, au contact de ma mère d’abord, puis avec un chef de cuisine qu’on a fait venir exprès du Maroc », raconte-t-il. Il propose une cuisine savoureuse et authentique, avec la noble intention de faire retrouver à ses clients la saveur des plats de son enfance. Un vaste choix de formules gourmandes « Le restaurant propose une cuisine familiale, trait d’union entre la tradition et de la modernité », explique son chef. Les plats sont élaborés à base de produits frais, issus des producteurs locaux. Les plus gourmands se laisseront tenter par le menu dégustation à 24 €, composé d’une entrée, d’un plat (couscous deux viandes au choix ou tajine au choix) et d’un dessert. Sinon, il est toujours possible de commander à la carte. En entrée, la tchackchouka, compotée de tomates oignons poivrons, ou la harira et ses dattes Medjool entrainent dans un délicieux voyage à la découverte des saveurs orientales. En plat de résistance, le choix s’avère cornélien entre le tajine zbib, composé d’émincés d’agneau, d’oignons au miel et de raisins secs, et le couscous royal, accompagné d’un assortiment de poulet fermier, agneau, merguez, brochette, sans oublier les boulettes de viande. Pour la touche sucrée, les papilles se régaleront du suprême d’orange à la rose et cannelle. La qualité et la fraicheur de la cuisine du restaurant lui ont valu une belle réputation à Valence, tant et si bien qu'il ne cesse d’être recommandé par le guide Gault & Millau depuis 1997. ...
Dans l'optique de mettre en valeur un produit en plein essor, qui est le vin conditionné en bag in box, la compétition baptisée Concours International Wine in Box a été lancée en 2015. Car aujourd’hui, les vins sous forme de BIB n’ont rien à envier à ceux en bouteille. « Nous sommes partis du constat que le marché des vins en BIB connaît une forte croissance. Des efforts considérables ont été entrepris par les producteurs de vins et les négociants pour rehausser la qualité des vins conditionnés en BIB entraînant une hausse de la demande sur le marché », nous explique Anne-Marie Estampe, directrice de la société Amelovin. Et d'expliquer que « grâce à ce concours, les consommateurs ont la possibilité de repérer les produits de qualité désormais estampillés de leurs médailles, comme les grands vins. » Un concours d’une envergure internationale En trois ans, CIWIB est devenu une référence. Le nombre d'inscrits ne cesse d’évoluer. Depuis la première édition en 2015, les vins qui sont en lice ont connu une hausse considérable. « En 2015, nous avons eu 250 bags in box avec une augmentation de 20 % en 2016 et en 2017. Cette année, on a eu l’Afrique du Sud, l’Argentine, l’Australie, la Bulgarie, la Grèce, l’Espagne, la France, le Luxembourg, les États-Unis… C’est vraiment un concours international, donc nous avons davantage de bags in box qui arrivent du monde entier », précise Anne-Marie. En tout, 384 compétiteurs notamment des producteurs, des coopératives, des négociants ou d'autres groupements de producteurs, ont concouru pour cette 3e édition du CIWIB. En France, les produits éligibles à la compétition sont surtout les « vins tranquilles français » ainsi que ceux certifiés selon l’article R.665-24 du code rural. Quant aux crus provenant des autres pays, ils doivent être conformes au code international des pratiques œnologiques de l’Organisation internationale de la vigne et du vin. Une compétition réglementée Au cours du concours, chaque participant doit présenter en tout quatre échantillons de vins dans un contenant Bag In Box de moins de 5 litres. Pour assurer leur confidentialité, les vins sont classés selon les appellations IGP, AOC/AOP, VDL et par catégorie : millésime, cépage, couleur. Ces produits seront évalués par des professionnels du secteur lors d’une dégustation. L’équipe du jury de cinq personnes est constituée par des œnologues, des sommeliers, des cavistes, des restaurateurs... Elle est systématiquement présidée par un œnologue. La dégustation est aussi ouverte aux amateurs. « Nous avons beaucoup de clubs d’œnologie qui rassemblent des passionnés originaires de France ou d’autres pays qui sont capables de déguster un grand nombre de vins en un laps de temps court, ce qui n’est pas donné à tout le monde », fait savoir Anne-Marie Estampe. À noter que l’or représente l’unique titre octroyé lors de ce concours international. Les résultats sont publiés le lendemain de la journée du concours. Les producteurs lauréats, quant à eux, reçoivent leurs diplômes au cours d'une cérémonie officielle de remise des diplômes qui se déroule lors d'un salon viti/vinicole. En 2015, ce fut à Bordeaux lors de VINEXPO, en 2016 ce fut à Bordeaux lors de VINITECH, en 2017 ce sera à Montpellier lors du prochain SITEVI. ...