Propriété du roi de France, le domaine de Bastore fut cédé le 3 juillet 1711 à Vincent de La Montaigne, un conseiller au parlement de Bordeaux. C’est de là que vient le nom « Bastor Lamontagne ». Au fil du temps, le château connait plusieurs propriétaires qui ont, chacun à leur manière, façonné son caractère si particulier. C’est en novembre 2018 que le domaine ouvre une nouvelle page de son histoire avec l’arrivée de la famille Helfrich, les nouveaux propriétaires des lieux. Un terroir prédisposé à la viticulture Depuis 2016, la propriété est en entièrement bio. Idéalement situé sur la deuxième terrasse de la Garonne, le vignoble du domaine Château Bastor-Lamontagne repose sur un terroir essentiellement gravelo-sableux avec une matrice argileuse légère et des variantes parcellaires tenant aux différentes proportions de graves. Cette typicité donne lieu à des vins présentant une belle harmonie entre finesse et acidité. Classé Grand Cru, le Château Bastor-Lamontagne est membre de l'Union des Grands Crus. Côté encépagement, celui-ci se compose majoritairement de sémillon (43,5 ha) qui apporte aux vins leur aspect fruité. Ce cépage est complété par le sauvignon blanc (4,3 ha), procurant fraicheur et vivacité, ainsi que par le sauvignon gris, cultivé en petite quantité (1,3 ha). Des vins aux arômes sensuels Au château, tout se fait d’une manière traditionnelle : de la vinification jusqu’à la mise en bouteille, en passant par l’élevage. Résultat : des vins bio dotés d’une grande élégance, à l’image de la cuvée « Château Bastor-Lamontagne » ! Au nez, ce vin dévoile des arômes de fruits exotiques, d’ananas confit, miellé d’acacia. La bouche est ample, soutenue par une fraicheur persistante. Un vin séduisant qui s’apprécie aisément de l’apéritif au dessert ! La cuvée « Les Remparts de Bastor-Lamontagne », quant à elle, est élaborée à partir des vignes les plus jeunes et des premières tries. Ce deuxième vin du château est plus fruité. Ses arômes de fruits associés à sa rondeur et à sa vivacité séduiront plus d’un. Enfin, la cuvée « So Sauternes » est l’illustration parfaite d’une nouvelle façon d’apprécier les vins de Sauternes. En phase avec les goûts actuels, ce vin fringant, à la fois fruité et vivace, est excellent à l’apéritif. ...
Passionné très tôt par les vins, Marc Hennequière crée son vignoble à l’âge de 16 ans, en 1980. Vers les années 2000, lorsque sa femme s’installe sur le domaine, ils s’initient ensemble à la champagnisation. Le couple s’acquitte de toutes les tâches, avec l’aide d’un salarié à temps partiel et d’employés saisonniers lors des périodes de palissage et de vendange. Cette petite équipe soudée s’attelle à produire un champagne à l’esprit unique, qui reflète le terroir. Les secrets d’une viticulture durable en Champagne Le vignoble implanté sur la Côte des Bar s’étend sur une superficie de 3,5 hectares. Les cépages (principalement le pinot noir, le meunier et le chardonnay) sont cultivés sur un sol argilo-calcaire, « excellent pour élaborer le champagne », confie Marie-Nelly Hennequière. Le couple possède également quelques parcelles de terrain exposées plein sud, « ce qui permet d’avoir une bonne maturité des raisins ». Divers procédés sont mis en œuvre pour entretenir le sol et les vignes, comme l’usage de charrues, la faible application de produits phytosanitaires et la non-utilisation de désherbants. En effet, les méthodes durables ont spécialement été choisies et adoptées pour « laisser le sol respirer un peu », selon les précisions de la viticultrice. De la vigne au vin La maison Marc Hennequière joue la carte de l’originalité dans la production de ses champagnes en ayant recours à certaines techniques innovantes. « Dernièrement, nous avons décidé de changer un peu notre façon de produire, en lançant la cuvée Prémices qui subit un passage de 6 mois en fûts de chêne. Habituellement, nous ne travaillons qu’avec des cuves en inox », révèle notre interlocutrice. Parmi les 8 cuvées produites aujourd’hui, la cuvée Réserve Marie-Nelly endosse le rôle d’ambassadrice de la maison. « C’est un champagne qui nous définit. » Élaborée à partir de 25 % de chardonnay et le reste en pinot noir et meunier, la cuvée Réserve Marie-Nelly développe un nez complexe et expressif, avec une belle attaque en bouche. Idéale pour déguster une andouillette de Troyes ou une volaille rôtie. ...
L’AFSEP est une association qui prend à cœur de rassembler les patients et leurs familles, les informer, les aider et même de les représenter auprès des pouvoirs publics. L’association en quelques lignes Créée il y a de cela plus de 50 ans, l’AFSEP est la plus vieille association de patients en France, toutes pathologies confondues. Elle est reconnue d’utilité publique depuis 1967. Sa spécificité par rapport à d’autres associations, c’est qu’elle est constituée uniquement de patients. « L’association est pour les patients et elle est faite par les patients » souligne un membre de l’équipe AFSEP. Cette particularité place véritablement l’association au cœur du terrain constituant ainsi un relais privilégié pour tous les acteurs concernés (pouvoirs publics, laboratoires…) dans la lutte contre la sclérose en plaques. Les actions et missions de l’association La sclérose en plaque (SEP) est une maladie neurodégénérative qui touche en majorité des femmes. La moyenne d’âge des personnes atteintes se situe à 40 ans. Incurable, la SEP entraîne des conséquences dévastatrices chez l’individu telles que l’apparition d’une déficience motrice (incapacité à marcher) ou la perte de la mémoire. « Cette maladie est épouvantable, on ne peut plus rien faire après, vous êtes complètement désocialisé » explique un responsable. Face à cette situation, l’une des missions de l’association est d’accompagner les personnes atteintes et leurs proches au quotidien. Afin de les aider dans leur démarche, l’AFSEP propose aux malades un service juridique et un service social. Pour faire en sorte que les patients puissent mieux vivre avec la maladie, l’association travaille également avec des ateliers de groupe de parole ou des ateliers d’équithérapie (soin psychique basé sur la présence d'un cheval comme médiateur thérapeutique). Outre l’accompagnement des malades, l’association s’est aussi engagée sur la sensibilisation et la formation sur la SEP. Cette dernière est assurée par le pôle formation de l’AFSEP et s’adresse aux acteurs intervenants auprès des malades. Enfin, l’association mène des actions concrètes pour soutenir la recherche sur la maladie. Label « Grande cause nationale » 2018 comme objectif ! Face à la forte progression de la sclérose en plaques dans l’hexagone (100 000 malades et 4000 nouveaux cas diagnostiqués chaque année), l’association s’étonne aujourd’hui de l’absence cruelle de communication sur la SEP. Les responsables soulignent en effet : « puisqu’on n’en parle pas dans le débat public, les gens porteurs de la maladie seront incapables de diagnostiquer le problème ». L’enjeu est de taille et il s’avère vital d’informer et sensibiliser le maximum de personnes afin d’éviter une prise en charge tardive de la maladie. D’autant plus que la SEP est très difficile à diagnostiquer car elle se manifeste à travers une multitude de symptômes. Pour faire entendre sa voix, l’association a adressé une lettre à l’attention du chef du gouvernement dans laquelle elle propose que la SEP fasse l’objet du label « Grande cause nationale » 2018. Ceci dans le but d’attribuer une plus grande visibilité et générer une forte mobilisation. « Avec l’aide du gouvernement, on réduira le temps de diagnostic de la maladie »indique l’équipe avec un brin d’optimisme. ...
Cette exploitation de 22 ha en conversion HVE (haute valeur environnementale) est dirigée par une équipe féminine avec, à sa tête, Marielle Tadieu, gérante des lieux. Des produits récompensés De ses vignes, la Ferme de Gagnet élabore un excellent floc de Gascogne, médaillé d’or de 2012 à 2018 au Salon de l’agriculture. De ses canards élevés en liberté, la ferme confectionne du foie gras de canard, du confit, des rillettes, des pâtés, des cous farcis, du cassoulet… Mention spéciale pour le foie gras, médaillé de bronze en 2016 au Concours agricole, à Paris. ...
Sur Talents culinaires, le catalogue part des petites accessoires comme les emballages ou les dosettes Nespresso aux moules en silicone. La boutique propose aussi une gamme diversifiée de cacao Barry, des ingrédients alimentaires et des livres de cuisine. Les apprentis cordons bleus peuvent ainsi réaliser des formules plus techniques, tout en s’inspirant des recettes d’illustres MOF. Le magasin de stockage est situé à Antony, à l’intersection de trois départements, desservie par des routes importantes qui facilitent la livraison des commandes. Des produits d’origine française et italienne Talents culinaires accompagne les professionnels ou les particuliers dans la réussite de leurs recettes grâce à une panoplie complète d’ustensiles culinaires. Les marques françaises et italiennes y sont privilégiées, garantissant ainsi la qualité et la sécurité d’usage conformément aux normes européennes. La boutique sélectionne ainsi la maison Louis François comme fournisseur exclusif de tous les ingrédients alimentaires. Côté coutellerie, les gammes Lion Sabatier ou Sanelli sont proposées aux meilleurs rapports qualité-prix. Sur tout l’ensemble du site, d’autres fabricants soucieux de la même éthique professionnelle estampillent des milliers de produits. Les gourmets y trouveront également une librairie en ligne, où de célèbres chefs comme Stéphane Glacier, J.-M. Perruchon, Joël Bellouet ou Jean-Yves Guinard dévoilent leurs plus belles recettes. ...
La société a été fondée en 2013 par Corinne Segalen, médecin ayant effectué une brillante carrière dans l’industrie pharmaceutique, et Alexis Hernot, polytechnicien et INSEAD passionné par les nouvelles technologies. Le défi relevé par Calmedica : décharger les unités de chirurgie des étapes de suivi pré et post opératoires pour 90% des patients afin de leur permettre de se focaliser sur le cœur de leur métier, le soin. Pour les fondateurs, la solution proposée par Calmedica accompagne une évolution majeure de la pratique médicale, dans laquelle le parcours de soin est dorénavant centré sur le patient. La solution proposée : un chatbot fonctionnant par SMS Le système proposé par Calmedica repose sur un principe simple : utiliser le SMS pour converser avec les patients pour un rappel des consignes avant l’opération et un suivi postopératoire. Pour ce faire, le système est doté d’une capacité à traiter le langage naturel et à transformer la conversation en données structurées pouvant être analysées. Ces conversations - échanges de SMS entre le robot et le patient - sont analysées en temps réel afin d’émettre des alertes aux personnels de santé en cas de problème. Aujourd’hui, cette technologie a fait ses preuves auprès de plus de 150 000 patients, dont 90 % ont été gérés sans intervention humaine. Outre le gain de temps pour les équipes médicales, le système s’inscrit dans une véritable démarche qualité : les annulations sont toutes anticipées, les patients arrivent à l’heure et respectent mieux les consignes. Les patients aussi sont enthousiastes ainsi que l’explique Elisabeth opérée en ambulatoire : « je n’ai pas eu d’attente à mon arrivée, mon mari a été informé de mon heure de sortie, et le lendemain j’ai juste eu à répondre que tout allait bien». Au-delà de la chirurgie ambulatoire, Calmedica propose un chatbot à installer sur un site internet. Celui-ci permet aux patients d’obtenir une réponse à leurs questions sans avoir à naviguer dans un contenu parfois indigeste. Le potentiel de la société n’est pas passé inaperçu pour le ministère de la Recherche qui a labellisé la start-up « Jeune entreprise innovante » et pour la Banque publique d’investissements qui l’accompagne dans son programme d’innovation. ...
Des programmations culturelles autour de ces Maîtres flamands constitueront le clou des visites touristiques en Flandre, sur les trois prochaines années. De Bruxelles à Anvers, en passant par Gand, les villes d’Art redécouvriront le génie des trois grandes figures de la peinture flamande, à travers les années thématiques qui leur seront respectivement consacrées. Au menu, des expériences multisensorielles qui traversent les autres pans de la culture : gastronomie, musique et art de vivre. 2018 : explorer Anvers à travers les yeux de Rubens « Anvers Baroque 2018, Quand Rubens inspire » transportera les touristes au cœur d’expériences de haut vol. Trois jours de danse, de musique, de théâtre et de feux d’artifice inaugureront les réjouissances. L’impressionnant MAS (Museum aan de Stroom), situé dans le quartier en plein renouveau de l’Eilandje, célébrera le baroque au féminin par une rétrospective consacrée aux œuvres de Michaelina Woutiers. Au musée d’Art contemporain, rendez-vous pour un face à face entre le baroque d’hier et d’aujourd’hui. Les peintres du temps de Rubens verront leurs œuvres mises en présence de créations plus contemporaines, signées Ed Kienholz ou Luc Tuymans. Avec les installations sonores ou odorantes prévues pour la scénographie, tous les sens vont vibrer au rythme baroque. Ateliers créatifs, visites guidées par les habitants, inauguration de nouveaux ouvrages de l’espace public étofferont encore cette année de célébration. L’ouverture du centre de découverte Rubens marquera le point d’orgue des festivités. 2019 : Bruegel vous invite à plonger dans son monde Pieter Bruegel l’Ancien est un artiste dont on sait fort peu de choses. Durant l’année qui lui est consacrée, ses œuvres se chargeront de dévoiler sa personnalité. Ses méthodes de travail et l’ensemble de ses tableaux seront exposés au tout nouveau centre d’accueil portant son nom, à Bruxelles. Un rendez-vous convivial est également donné au château de Gasbeek, avec la « Fête des fous ». Les réinterprétations de Bruegel par les artistes du XXesiècle constitueront le clou de l’exposition. Elle sera clôturée par un pot de gueuze artisanale, comme on a pu en goûter du temps du peintre. Dès le printemps, « Bruegel en noir et blanc » lèvera le voile sur les travaux sur papier de l’artiste à la Bibliothèque royale de Belgique. À l’automne, Anvers se joindra également à ces hommages en accueillant au musée Mayer van der Bergh, une exposition retraçant ses dernières années dans la ville. 2020 : une année pour venir adorer l’Agneau mystique à Gand Jan van Eyck sera le centre de toutes les attentions en 2020. Son mythique retable Adoration de l’agneau mystique sera au cœur des festivités prévues en son honneur à Gand. Le très convoité retable en douze panneaux réalisé avec son frère Hubert est en phase de restauration. Une fois cette dernière achevée, cette œuvre époustouflante sera alors replacée dans la cathédrale Saint-Bavon pour laquelle elle était initialement commandée, en 1432. Dès fin 2019, le cloître des Carmes de la ville tiendra une exposition sur une œuvre singulière par bien des aspects. Elle a effectivement suscité de nombreuses passions à travers les six siècles qu’elle a traversé : copie, démontage, menace par le feu, dissimulation, vol ne sont que des exemples des péripéties par lesquelles le polyptyque est passé. « Jan van Eyck et la cour bourguignonne » promet, de son côté, d’être une expérience artistique immersive des plus marquantes. ...
Monsieur « Pipo » de son surnom fonde le restaurant « Chez Pipo » réputé pour sa socca en 1923. Dans ce restaurant ce plat a su traverser les époques tout en conservant l’authenticité du produit et du lieu. Dans la vieille rue Bavastro, la recette phare niçoise continue d'émerveiller les locaux ainsi que les touristes qui ne ratent pas l'occasion de faire une halte dans ce restaurant historique lors de leur passage sur la Côte d'Azur. Et oui, la région n'est pas simplement synonyme de plage et bord de mer, elle renferme aussi un patrimoine culinaire riche en saveurs. La socca, une recette traditionnelle niçoise La socca devient une spécialité niçoise dans les années 1900 lorsqu’elle est popularisée par les marchands ambulants qui la préparent sur place à un prix modeste. C'est une galette préparée à base de farine de pois chiche qui provient du moulin d'Annot, d’eau et d’huile d’olive, dorée au four à bois. Bruno Wagner et Yann Sicé, les préparateurs de la socca Chez Pipo, veillent à ce qu'elle soit fine, croustillante à l'extérieur et moelleuse à l'intérieur. Pour la savourer au mieux, elle se saupoudre de poivre. La socca était l'unique produit du restaurant jusqu'en 1990 et continue d'en être le plat principal actuellement. Elle est généralement servie avec une salade de mesclun. Outre ce met mythique, le restaurant propose en entrée des tartinades, mini pan bagnats, ou la fameuse pissaladière (pâte à pain avec oignon caramélisé). Et dans la gamme des desserts maison, la tarte au citron meringuée, le tiramisu ou bien la tourte aux blettes émoustille les papilles. Toutes ces succulentes suggestions se dégustent en toute convivialité dans un esprit de partage. Côté vins, le restaurant dispose d'une cuvée spéciale de la maison, d'ailleurs étiquetée « Chez Pipo », un Côtes de Provence du domaine Château Rêva décliné sur les trois couleurs. Décor respectueux de l'esprit de la socca Prêt à accueillir une centaine de personnes, le restaurant se décline en deux espaces : une salle intérieure et une terrasse. A l'intérieur, les tables et les tabourets sont en bois. Des photos et images de Nice à la belle époque habillent les murs et replongent les convives dans une autre époque. La cuisine est au cœur du restaurant. Elle est ouverte, avec une verrière qui donne sur la salle. La préparation même de la socca s'exécute dans un four de 300 ans taillé avec des pierres de Biot. Ce n'est autre qu’un des plus vieux fours de la ville créé au moment de la construction de l'immeuble dans lequel se trouve le restaurant. Comme il trône majestueusement au cœur de la salle, le client assiste à toute la préparation jusqu'à la cuisson, un procédé artisanal et ancestral. Et sur la terrasse, les tables en fer jouent sur les teintes grises et s’accompagnent de chaises en bois. Une Vespa avec le logo de Chez Pipo y est visible. Et une combi Volkswagen fait office de terrasse mobile pour le bistrot. Ce cadre atypique au style vintage façonne l’identité des lieux. ...
Un réseau wifi privé, sécurisé et accessible partout Que ce soit pour faire fonctionner ses applications, regarder ses séries préférées sur son smartphone, son portable ou sa tablette tactile, lire et envoyer des e-mails, surfer sur le Web, ou encore communiquer sur les réseaux sociaux, avoir la garantie que l’on pourra se connecter à Internet sur son lieu de vacances est devenu une préoccupation essentielle lorsque l’on voyage. Force est pourtant de constater que trouver une connexion wifi peut se révéler un parcours semé d’embûches : bornes wifi en libre accès dont la sécurité laisse à désirer, qualité inégale du réseau… Et si les frais d’itinérance ont été supprimés au sein de l’Union européenne, dans le reste du monde, ils peuvent gonfler considérablement votre facture ! No stress, la solution à tous ces problèmes se présente sous la forme d’un petit boîtier. Travel Wifi, une start-up fondée en 2014 propose, en effet, à ses clients de louer – à partir de 3 € par jour – un modem XXL (il tient dans la poche) capable de capter la 4G environnante pour la convertir en un réseau wifi privé, totalement sécurisé et accessible dans 120 pays, 24 heures sur 24. Quasiment illimitée, la connexion peut même être partagée simultanément entre dix utilisateurs. Une solution nomade, facile d’utilisation et modulable Chacun voyageant différemment, c’est à vous d’opter pour l’offre la mieux adaptée à vos besoins. Lire et envoyer des e-mails consomment, par exemple, moins de data que de regarder des vidéos en streaming ou de télécharger des applications sur votre smartphone. Travel Wifi propose ainsi une enveloppe "data" allant de 500 Mb à 3 Gb par jour. Après avoir effectué votre réservation en ligne, vous pouvez récupérer votre box de poche directement chez Travel Wifi, dans le IIIe arrondissement, à Paris (même qu’ils vous offriront le café !). Mais vous avez également la possibilité de vous faire livrer (hôtels, locations de vacances, points "Information Tourisme" des aéroports parisiens, points de retrait, etc.). À l’expiration de la location, vous n’aurez qu’à retourner le boîtier en le plaçant dans l’enveloppe prépayée que l’on vous aura remise. Une clientèle en pleine évolution La majorité des clients de Travel Wifi sont des touristes (souvent américains ou asiatiques) qui passent leurs vacances en France. Pour autant, Léopold Goraguer, l’un des cofondateurs (aux côtés de Jonathan Justman, Benoît Marie et Vincent Rebus) constate que « de plus en plus d’Européens font désormais appel à leurs services et souscrivent l’offre ‘’monde’’ pour rester connectés lorsqu’ils voyagent hors des frontières de l’Union européenne ». ...
Tirant profit de son expérience de l’humain acquise dans son précédent emploi, la fondatrice de 2PBDEVELOPPEMENT propose un accompagnement visant l’atteinte d’objectifs d’affaires ou de cibles de développement professionnel et personnel, au travers d’un coaching de qualité. Une approche « humaniste » Accompagner les personnes dans l’identification et la mobilisation de leurs ressources pour surmonter leurs freins et faire émerger des solutions contribuant à leur réussite, telle est la mission que poursuit 2pbdeveloppement. L’approche coaching proposée repose essentiellement sur une écoute active et bienveillante. Il s’agit ensuite d’accompagner le coaché dans l’identification de son potentiel et la mobilisation de ce dernier à bon escient, puis d’établir avec lui un plan d’action concourant à l’atteinte de ses objectifs. « J'accompagne mon client à partir de là où il se trouve, pour aller avec assurance et aisance vers son But », souligne Patricia PRADEL BARTHELEMY, la fondatrice. Pour cette experte, l’essentiel est de parvenir à un stade où bien-être et réussite professionnelle se conjuguent de manière harmonieuse. Le travail effectué aura pour socle des valeurs telles que l’intégrité, le respect, la bienveillance et l’excellence. Un coaching orienté plus vers les jeunes L’expérience de notre coach Patricia PRADEL BARTHELEMY l’a souvent amené à côtoyer des jeunes, ce qui l’a notamment conduit à bien comprendre leurs besoins. Pour elle, il est essentiel de les accompagner, afin de les amener à révéler leur plein potentiel, condition nécessaire à la réussite de leur projet personnel et professionnel. Pour les aider dans l’atteinte de cet objectif, « je travaille beaucoup sur la performance, l’intégration, la confiance en soi et l’estime de soi », explique-t-elle. Depuis le lancement de son activité de coaching, Patricia PRADEL BARTHELEMY a accompagné plus d’une centaine de personnes au travers de programmes tels le PCMI : programme de coaching pour la mobilité à l’international et aussi le programme RÉUSSITE +, dédié aux étudiants. Outre l’accompagnement des jeunes, 2pbdeveloppement accompagne également les cadres d’entreprise au travers de prestations de coaching dédiées sur le même modèle, méthode qui a fait ses preuves également auprès de ce public. ...
Pourquoi cette banque est d’utilité publique ? Le faible nombre de malades, la faible couverture en termes de population et les biais des autres outils de mesure nationaux à disposition ne permettent pas d’assurer des études populationnelles de qualité dans le cadre des maladies rares. Le ministère de la santé a donc souhaité promouvoir la mise en œuvre d’un recueil de données spécifique aux maladies rares : la BNDMR. Cette base de données nationale vise à doter la France d’une collection homogène de données sur la base d’un set de données minimum (SDM) pour documenter la prise en charge et l’état de santé des patients atteints de maladies rares dans les centres experts français, et de mieux évaluer l’effet des plans nationaux. Que permettra cette banque ? Ce sera un outil essentiel pour le pilotage et la conduite des politiques publiques de santé. Notamment, ce recueil permettra de connaître le nombre global de patients atteints de maladies rares, ce qui devrait alors permettre d’adapter le réseau de soin pour la prise en charge des malades. C’est à dire : permettre l’adéquation de l’offre de soin avec les besoins de terrain pour assurer une couverture nationale équitable au niveau de la prise en charge ; permettre l’analyse des parcours de soins et de l’organisation des services ; mesurer l’impact d’un nouveau traitement ou d’une nouvelle politique de santé; mesurer l’efficience du système de soins maladies rares mis en place ( ex : mesurer l’errance diagnostique, estimer le nombre de patients qui ne sont pas passés par le réseau, ...) à destination des ministères, ARS etc. Qu’est-ce qu’on y met ? Les données contenues aujourd’hui dans les dossiers des patients atteints de maladies rares ne sont pas toujours adaptées à un recueil épidémiologique ou à la mise en place de cohortes ou d’essais thérapeutiques ad hoc. Il est cependant primordial d’avoir accès à la totalité des informations disponibles afin de pouvoir les colliger dans cette future BNDMR. Dans cette logique, un « set minimal de données maladies rares national » a été défini par l’équipe projet de la BNDMR à la suite d’un long processus qui s’est appuyé sur l’expertise des professionnels de santé des 131 centres de référence maladies rares et d’un groupe de travail ministériel (en 2013). Ce « set de données minimal national maladies rares » a pour vocation d’être recueilli auprès de chaque patient atteint d’une maladie rare reçu dans un centre de référence ou de compétences maladies rares labellisé. Il vise à minimiser le nombre de données collectées par centre afin de garantir la qualité de l’information recueillie et son exploitation. Il favorise la communication avec les systèmes informatiques de soins hospitaliers. Il constitue ainsi le socle d’information commun à toutes les maladies rares et à tous les acteurs de la prise en charge du soin. Le set de données minimal national maladies rares se décompose par chapitre de la manière suivante : • Consentement (réglementaire) • Identification patient • Informations administratives • Informations familiales (le cas échéant) • Statut vital • Parcours de soins • Activité de soins • Histoire de la maladie • Diagnostic • Confirmation du diagnostic • Traitement • Anté et néonatal (le cas échant) • Recherche (le cas échant) Il est constitué d’une soixantaine d’items. La limitation du nombre d’items nous permet de minimiser la double-saisie des données par les professionnels. Qui ? Comment ? Tous les centres spécialisés maladies rares ont obligation d’entrer leurs patients dans cette base de données. Elle ne sera donc pas exhaustive car certains patients ne se rendent jamais en consultation dans un centre de référence maladies rares. Mais elle constituera un recueil unique au monde (aucun pays n’a fait ça avant la France) et unique en son genre (un seul recueil centralisé national pour tout le monde). A l’heure actuelle il y a 2 manière...
A Saint-Mars-la-Jaille, le restaurant le Chalet fait le bonheur des locaux et touristes de passage, désireux de découvrir une vraie cuisine du terroir. En salle ou en terrasse, la carte traditionnelle illustre le talent et l’inventité de ce chef passionné et décontracté. Un art maîtrisé à la perfection Jean-Marc, originaire du Sud-Ouest de la France, privilégie une cuisine traditionnelle préparée à base de produits bruts et frais issus du terroir local. Ce qui lui a valu une récompense le 15 Décembre 2015 : celle de Maître Restaurateur. Un label témoignant de la qualité et de la fraîcheur de la cuisine proposée. Ce titre de Maître Restaurateur nécessite entre autres l’adoption du circuit court. C’est pourquoi le chef s’approvisionne auprès des fournisseurs régionaux comme la boucherie La Désirade, le Druide du Boisiller, les producteurs bios du wagon pour ne citer que ces exemples. Effectivement, il concocte une cuisine simple et de qualité qui éveille la sensibilité gustative. Il déclare d’ailleurs «travailler les produits locaux différemment.» En résulte alors des plats gourmands comme ces Ravioles d’escargots de Monsieur Leroy aux pleurotes qui sont à tomber. Une cuisine du sud-ouest La formule du midi invite à prendre un menu express à 11€ ou un menu complet à 13€50, avec une entrée, un plat et un dessert, au choix. A la carte, le Saumon fumé accompagné d’une crème légère et d’un pain grillé avec une salade gourmande « la salade Landaise » qui est composée de gésiers, de magret fumé, de foie gras joints à un croustillant de canard est servi en entrée. En plat de résistance, le Civet de Gambas au chorizo comble les gourmands amoureux de bonnes saveurs. Pour finir le repas en beauté : « La Bretonne » une glace à la vanille, double caramel au beurre salé, avec des éclats de crêpes dentelles à la crème fouettée maison. En outre, Jean-Marc travaille énormément le boudin artisanal qu’il a lui-même conçu avec un artisan-boucher-charcutier du coin mais aussi le canard qui est une des spécialités du Sud-Ouest. Quant à la carte de vins, elle est assez éclectique avec une prédominance des vins de Loire et du Sud-Ouest. « L’été, on va privilégier les vins frais (…) Il y a toujours le petit côté découverte», selon le maître des lieux. Les plats de bistrot et service traiteur A la fois restaurant, traiteur et pizzeria, le Chalet satisfait toutes les envies. De nombreuses spécialités incontournables sont à découvrir à la pizzeria : « l’Espelette » préparée à base de fromage, du bœuf épicé, des poivrons, des oignons et des lardons ou encore la pizza « Saint Marsienne » concoctée avec du fromage, du boudin noir artisanal, des oignons et d’une pomme fruit. Pour les événements privés, le service-traiteur se tient prêt à proposer des services personnalisés et peut dresser un devis adapté à tous les budgets. « Nous proposons des plats différents qui nous distinguent des autres traiteurs. Notre clientèle apprécie cette singularité.», confie-t-il. Chaque tapas, tartine, pinchos et autres petits sandwichs espagnols sont réalisés avec des produits de saison. ...
Situé en région Midi-Pyrénées, Martel est une cité médiévale fondée au XIe siècle par les vicomtes de Turenne. Elle est aussi connue sous le nom de « la ville aux 7 tours » car, au XVe siècle, elle abritait pas moins d’une trentaine d’échauguettes, de tourelles et de tours. Un autre attrait de la commune est qu’elle se trouve sur la route de la noix du Périgord. Au XIIIe siècle, la noix était considérére comme un bien aussi précieux que l’or dans la région. Parmi ses dérivés les plus consommés figure l’huile de noix, un produit star à découvrir au sein de l’épicerie fine du Petit Moulin, qui abrite aussi un restaurant et un bar à vins. Un chef passionné par son métier Le Petit Moulin de Martel s’inscrit dans la lignée des restaurants bistronomiques. Il a été créé par Adrien Castagné, qui le dirige. Ce jeune manager, fils et petit-fils d’agriculteur et producteur d’huile de noix et d’agneaux, est diplômé en œnologie à Bordeaux. Il exprime une passion si forte pour l’univers de la cuisine qu’il a décidé de renforcer ses compétences dans ce milieu. Il débute sa carrière en tant que sommelier et barman dans un bar à vins nommé La Parcelle, situé aussi à Bordeaux. Aujourd’hui, grâce à la richesse de ses vies passées et de son expérience, il a ouvert sa propre entreprise dans sa ville natale, au sein de laquelle il est secondé par son amie, Emma Buquet. Celle-ci endosse le rôle de chargée de communication et assure également l’accueil des clients. Un restaurant très particulier Au sein du restaurant, les clients peuvent investir la salle qui se trouve dans le hall, un lieu très cosy et moderne. La pièce révèle un style scandinave, moderne et raffiné. Les meubles en bois sont un signe de douceur et de chaleur. À l’étage, une ancienne chambre à l’esprit vintage a été aménagée. Elle est notamment équipée d’un tourne-disque et de vinyles, qui plongent les convives dans une ambiance musicale. Pour profiter du grand air, la terrasse ombragée et blottie au coin d’une petite rue propose calme et détente. Le bar à vins, quant à lui, invite à passer des instants agréables entre amis ou en famille. C’est le jeune chef lui-même qui vient servir ses convives d’un bon vin en accord avec les mets proposés. À côté de ce bar, l’épicerie fine propose différents types de vins, de produits locaux comme le pâté de foie gras, les rillettes et le confit de canard… L’huile de noix constitue le produit phare de l’établissement. La gastronomie avec des produits du terroir Adrien Castagné propose des plats faits maison, élaborés avec des produits du terroir. Il aime concocter une cuisine traditionnelle revisitée avec gout, en utilisant des ingrédients typiques du Périgord. Les spécialités de la maison sont la raviole de canard et le filet mignon de porc. Côté menu, le chef propose une formule à 26,50 €, composée de deux entrées, de deux plats, de fromage et d’un dessert. Le restaurant dispose d’une carte courte, constituée de cinq entrées, de quatre plats et de quatre desserts au choix. En entrée, les fins gourmets seront séduits par l’assiette de foie gras de Marie-Claude. Le filet mignon de porc en croute de noix fait office de plat de résistance. Et, pour le dessert, la tarte diamant aux agrumes et crème café blanc procure une touche de douceur et de gourmandise. ...
Datant de 1923, cet établissement se trouve au cœur de la Bretagne, à Pontivy, plus précisément au bord du Blavet. Odile et Philippe Berland ont un coup de cœur pour cet endroit chargé d’Histoire et décide de le reprendre en août 2009, à la suite de la cession par la famille Robic. Le couple apprécie la bonne cuisine de ce restaurant, si bien qu’il décide de garder le nom des anciens propriétaires. Cette initiative contribue aussi à préserver l’âme des lieux et à faire connaitre son riche passé. « Le fils de la famille Robic nous a donné tous les descriptifs historiques du bâtiment », déclare avec fierté Philippe Berland. Un cadre chic et spacieux Le restaurant affiche trois espaces pour savourer pleinement les petits plats bretons : une salle de 50 couverts, une autre à 35 places ainsi qu’une terrasse qui peut accueillir 25 personnes. Les différents espaces révèlent une décoration moderne avec une prédominance de couleur sobre. Effectivement, les chaises en résine tressée révèlent une élégance tout à fait particulière. Les murs sont habillés de tableaux faisant référence à la nature. Le tout forme une belle harmonie et confère une ambiance intimiste et agréable. Des saveurs aux milles senteurs Pendant qu’Odile est à l’accueil et au service, Philippe est aux fourneaux, prêt à préparer de succulents mets. « Je suis du métier » raconte-t-il. Ce chef passionné dispose d’un CAP en cuisine et a également suivi une formation en pâtisserie. Il a ensuite évolué dans divers milieux relatifs à l’univers de la gastronomie. Sa riche expérience lui a permis de lancer sa première affaire à Vannes. Ayant eu envie de changer d’horizon, il déménage à Pontivy pour continuer à vivre de sa passion dans ce lieu historique. Le chef se plait à proposer une cuisine simple, préparée à base de produits frais. Il travaille en étroite collaboration avec les producteurs locaux, afin de garantir la qualité de ses mets qui rendent hommage à la richesse du terroir breton. Des spécialités bretonnes Avec des prix abordables, la carte est relativement courte afin que la maison puisse privilégier le fait maison à base de produits bruts. Savoureuse et gourmande, elle est enrichie de plats classiques appréciés de tous. En entrée, rien de tel qu’une grande salade côté terre, composée de pomme de terre, salade, avocat, blanc de volaille, foie gras, magret et tomate. Une autre déclinaison côté mer est aussi proposée. En plat de résistance, les gourmands se laissent tenter par le hamburger maison ou par une entrecôte XL de 300 g accompagnée de salade et de frites maison. Assez éclectique, la carte de vins, quant à elle, privilégie les Coteaux-de-Languedoc comme l’Ermitage du Pic Tour Saint-Loup et le Mas Bruguière. « Nos vins sont sélectionnés par un caviste qui travaille directement avec de nombreux vignerons. On lui fait entièrement confiance », explique Philippe. Menu à découvrir La maison Robic concocte une formule du Boucher, composée d’un plat et d’un dessert à 16 €. Pour répondre aux envies de chacun, trois choix de plats sont proposés : une pièce de bœuf poêlée, un tartare de bœuf minute ou un carpaccio de bœuf à volonté, le tout avec frites et salade. En dessert, une crème brûlée ou une salade de fruits apporte la touche douce et sucrée qu’il fallait pour clore en beauté ce repas. ...
Dans une grande salle lumineuse se dressent des tables soigneusement alignées et habillées de nappes blanches, prêtes à accueillir les assiettes colorées et savoureuses. Dans ce cadre au charme atypique, l’odeur enivrante du fameux cassoulet de Castelnaudary s’échappe de la cuisine. Un avant-goût prometteur dont les convives peuvent se délecter, bien que la maison propose aussi plusieurs plats typiquement toulousains. Les réjouissances peuvent s’achever sur une bonne tasse de café, un autre produit qui fait la réputation de la maison depuis 1984. Une cuisine originale aux accents du Sud-Ouest À découvrir en plein centre de Toulouse, au 14 rue Bayard, le restaurant Le Colombier est une excellente adresse pour les adeptes de la cuisine traditionnelle. Au centre des saveurs, des produits du terroir sont mis en avant. Le foie gras, le jambon d’Espagne ou encore le saumon fumé maison rythment les plats. Un bon compromis entre la cuisine locale et des créations personnelles est proposé par les cuisiniers. Cette harmonie peut se retrouver dans la carte. À midi, l’établissement propose un condensé de gourmandises avec une entrée de foie gras, un cassoulet au confit d’oie et la croustade aux pommes en guise de dessert. Autant d’émotions en bouche pour confirmer la réputation du Colombier. Le restaurant sélectionne également les meilleurs vins de la région, pour une expérience plus jouissive. Il s’approvisionne directement chez les viticulteurs locaux, dans une volonté de privilégier le circuit court. Les vins des terroirs du Sud-Ouest et près du Languedoc Roussillon enrichissent une carte aux nombreuses références. La passion et la qualité La maison est également guidée par une passion qui évolue au fur et à mesure du temps. Ses menus sont empreints d’élégance et de technique. Les déclinaisons de plats proposées par le restaurant laissent transparaître un choix très strict pour les bons produits. Le soin est apporté à la présentation de l’assiette, tout comme au mariage des saveurs. ...
En octobre 2016, Maitre Christelle Gouirand reprend l’étude de Maitre Holz, étude créée en 1984. En plus d’un apprentissage classique du métier en région parisienne et dans le sud de la France, Maître Gouirand travailla quelques temps pour le monde des enchères à la télévision. Toutes les ventes aux enchères organisées par cette étude ont lieu à l’hôtel des ventes d’Arles, à 5 minutes du centre-ville, et simultanément en live sur internet. Elles sont planifiées un samedi sur deux et sont ouvertes à tout public. Vous pourrez y découvrir et acheter de petits ou de gros trésors, comme par exemple des tableaux, des sculptures, des photographies, des livres, des bijoux dont provençaux, des jouets, des armes, vins, rubans et pièces de costumes d’Arlésiennes, livres, véhicules, matériels,… Maître Christelle Gouirand réalise également des estimations et des expertises, des estimations pour les assurances, des inventaires dans le cadre de successions. Elle est également formée pour authentifier les œuvres d’artistes reconnus. Elle se fait aider d’experts spécialisés pour les objets plus rares. Vous pouvez donc lui confier tout objet ou œuvre d’art dont vous souhaitez connaître la valeur. Pour ce faire, vous pouvez prendre rendez-vous ou lui envoyer un mail auquel seront jointes des photographies. Des pièces exceptionnelles Maitre Christelle Gouirand a eu l’occasion de vendre aux enchères des œuvres d’art d’exception. Citons par exemple « Nature morte à la poêle » un tableau de Bernard Buffet datant de 1949, vendu 13.500 euros en décembre 2017 ou encore un superbe lustre Lalique en cristal dont la valeur a atteint 18.200 euros. ...
Le projet OniMegiri a été lancé à l’initiative de Aïnama Dominique Nayatie. Cette ancienne graphiste de jeux vidéos a depuis toujours voué une passion pour la restauration. En 2016, elle décide de monter sa propre affaire et se lance dans la restauration rapide, plus précisément dans le street-food. Elle choisit alors d’allier ses deux passions et commence son activité en allant à la rencontre du public dans les salons de jeux vidéos ou de cosplay. Assez rapidement, un produit fait l’unanimité auprès des clients : le onigiri. « Au début, c’était un produit parmi d’autres que nous proposions mais, à force de demandes de la part de nos clients, nous en avons fait notre spécialité », déclare Naya. Qu’est-ce que le onigiri ? Pouvant se décliner à l’infini, les onigiris sont de délicieuses boulettes de riz japonais vinaigré, enveloppées d’une feuille d’algue nori. À la viande, au poisson, aux légumes, grillés, fourrés ou nature, ils se dégustent à tout moment et en toute convivialité. À côté de ce produit phare, OniMegiri réserve également de nombreuses autres surprises pour les gastronomes curieux. « Notre objectif est de partager et de faire découvrir aux gens des produits encore peu connus », indique notre interlocutrice. D'ailleurs, « OniMegiri » signifiant la balade des démons, l'enseigne a fait le choix de faire découvrir ses produits en se déplaçant dans des salons comme dans le Sud du pays notamment, ou bien dans des lieux de rencontre ou de rassemblements de gameurs et de cosplayeurs ainsi que d'autres amoureux de la culture nippone. OniMegiri sera également présent au Toulouse Game Show et au Tarbes Geek Festival au mois de décembre. Des saveurs surprenantes Naya ne se contente pas seulement de sublimer la cuisine asiatique, puisqu’elle prend aussi un malin plaisir à mélanger les saveurs. Afin de s’en convaincre, il suffit de gouter le curry japonais au cœur de canard flambé, véritable plat signature de la maison. « Nous proposons une cuisine franco-asiatique, c’est-à-dire un mélange des saveurs d’Asie au sens large, avec l’Inde, le Cambodge, la Chine, le Japon, le Vietnam, et des saveurs du sud-est de la France », rapporte la fondatrice d’OniMegiri. Pour accompagner ces intéressantes découvertes, la maison suggère différentes boissons, dont les boissons traditionnelles telles que le saké ou le thé. Côté douceurs, OniMegiri met à l’honneur la pâtisserie japonaise avec les fameux dorayakis (sorte de pancake accompagné traditionnellement d’une garniture de pâte de haricot rouge appelée « anko »). Chez OniMegiri, la plupart des produits proposés sont bio et faits maison. « Pour les sakés, par exemple, nous proposons de faire découvrir de petites productions familiales où tout se fait encore de manière artisanale. » Pour la livraison, la maison fait confiance à des leaders de la livraison de repas à domicile tels que Just Eat, Uber Eats et aussi Deliveroo à partir de la première quinzaine du mois de novembre 2018. Face au scandale du gaspillage alimentaire, l'enseigne veut apporter sa pierre à l'édifice pour lutter contre ce fléau. Ainsi, OniMegiri s'engage à travailler de manière éco-responsable à tous les niveaux de sa chaîne de transformation et adhère au projet zéro gachis. Cet engagement s'est cristallisé avec son passage par l'application Too Good To Go qui lui permet entre autre de lutter contre le gaspillage alimentaire, mais surtout de donner l'opportunité aux gens dans le besoin de manger de la bonne nourriture et un repas chaud. Toujours au plus près de sa clientèle, OniMegiri envisage prochainement d'étendre ses services aux commandes à emporter. Les commandes pourront ainsi se faire par téléphone à des prix très attractifs, et peuvent être récupérées au labo. Non seulement cette démarche s'inscrit en réponse aux demandes d'une clientèle variée, mais cette proximité avec les clients vise également à faire découvrir à cette der...
Idéalement situé à cinq minutes à pied de la plage et de la Promenade des Anglais, le Windsor constitue un véritable havre de paix où opère en permanence une belle magie. Le restaurant a tout pour plaire et offre un cadre atypique, marqué par une étrange volière logée dans le creux d’un vieil arbre et par un jardin tropical hors du commun qui abrite un caoutchoutier de taille impressionnante, entouré de troènes, de néfliers, de palmiers et de bambous géants. Profitez des beaux jours à l’ombre de son caoutchoutier géant qui abrite quelques tables installées en terrasse, ou, pendant l’hiver, du décor intimiste à l’ambiance chaleureuse de son Wi Lounge, près de la cheminée. À travers une savoureuse cuisine locale aux touches provençales, le Windsor met ainsi en valeur des produits aux cuissons maîtrisées et à la présentation soignée. Une belle cascade de saveurs Riche du titre de maître restaurateur, le Windsor s’adresse également à une clientèle végétarienne qui apprécie d’autant plus les légumes bios. Grâce aux liens de partenariat qu’il entretient avec ses fournisseurs, l’établissement se fait un point d’honneur à fournir des produits de qualité. Dans un voyage culinaire plein de surprises, découvrez sans tarder sa salade d’artichauts frais marinés, son millefeuille de saumon fumé aux tuiles de parmesan ou ses petits farçis à la niçoise. Enchaînez avec un aïoli aux petits légumes, ou un magret de canard au miel et à l'orange, ou encore un gigot d’agneau rôti au miel et au thym, pour terminer avec son fameux "tiramisu revisité au spéculos" la spécialité du chef, non sans oublier ses entremets rafraîchissants aux glaces et sorbets bio. Une riche carte de vins vous attend au sein du restaurant, avec une belle représentation des vins de la région tels que les Côtes de Provence, comme le Château La Coste ou le Pink Floyd du Domaine de Miraval. ...
Enovap accompagne les fumeurs et les vapoteurs à contrôler leur consommation en nicotine, et éventuelle-ment permettre de la réduire progressivement. Conçue par une équipe d’ingénieurs, cette start-up en pleine expansion, est déjà suivie de près en Angleterre et aux Etats-Unis. Faciliter la transition vers la cigarette électronique Le prototype final du produit a été partiellement financé par le réseau Entreprendre, la BPI France et la Fondation Norbert Ségard. L’objectif, faire comprendre à l’utilisateur la nécessité d’adapter sa consommation en nicotine suivant ses besoins et suivant les moments de la journée. Pour cela, la partie supérieure du vaporisateur personnel se pare d’un système à deux réservoirs, une technologie brevetée. « L’utilisateur va remplir un e-liquide sans nicotine dans l’un des réservoirs, et un avec nicotine dans le second réservoir », explique Julien Abulféda, directeur technique d’Enovap. En contrôlant la vapeur émise de chaque réservoir, Enovap permet au vapoteur de réguler sa concentration en nicotine et le volume de vapeur inhalé, en appuyant simplement sur un bouton. En mode manuel, l’usager peut utiliser cette fonctionnalité « hit control » à tout instant, sans avoir à changer de liquide. En outre, le « flavor mix » permet à l’utilisateur de composer ses propres cocktails de saveurs en associant deux e-liquides aux arômes différents et en contrôlant le pourcentage voulu de chaque saveur. Son design élégant, signé Elium Studio, suggère une forme ergonomique et optimisée. « La housse est entièrement personnalisable, car il s’agit d’un objet personnel à usage quotidien, c’est important qu’il plaise à chaque utilisateur », explique Aymard de Ravignan, directeur commercial d’Enovap. Un algorithme performant La start-up a engagé une collaboration avec le Centre National de la Recherche Scientifique afin de dévelo-pper un algorithme avancé permettant d’analyser et d’anticiper les besoins en nicotine de l’utilisateur à chaque inhalation. « L’intelligence artificielle va comprendre les habitudes de consommation de l’usager et récupérer ces données pour stabiliser ou diminuer son taux de consommation. » Le produit Enovap est ainsi connecté à une application mobile, où sera affichée en temps réel l’évolution de la consommation à travers des données graphiques simples. En activant le mode automatique, cette technologie crée un programme de réduction d’apport en nicotine sur la base des données recueillies. Le vapoteur peut relever ce challenge sous les conseils des professionnels de santé et en s’entourant d’une communauté d’utilisateurs. « À terme, le dispositif offre un accompagnement complet et sur mesure aux fumeurs dans leur démarche d’arrêt du tabac. » ...
Après des années de recherche, le pharmacien Jean-Pierre Pallier a réussi à mettre au point un dispositif permettant de soigner le mal de dos sans besoin pour le patient de s’aider de la médication ou de manipulations supplémentaires. Spinup est une innovation dans le secteur de la rhumatologie car il a fait ses preuves en milieu hospitalier sur des personnes souffrant des maux de dos les plus courants. Spinup, un système simple pourtant efficace pour soulager le mal de dos Spinup est unique en son genre grâce à sa simplicité d’utilisation et ses effets immédiats. Il suffit pour son utilisateur de s’allonger dessus quotidiennement pendant une quinzaine de minutes pour sentir l’état de son dos s’améliorer. Sabine Pallier, co-gérante de la société Spinup, explique que ce dispositif breveté possède deux missions en étant « préventif et curatif ». Les « orthèses » mises au point sur Spinup jouent un rôle essentiel dans le soulagement des maux de dos d’origine physique, tels que lombalgies, cervicalgies, sciatique, arthrose, scoliose, ostéoporose, hernie discale, mais elles fonctionnent aussi sur les maux dus au stress et à la fatigue, tout en contribuant à décontracter les muscles. Ces deux barres saillantes et souples épousent les contours de la colonne vertébrale afin de redresser et replacer celle-ci correctement, en effectuant en même temps un massage. Comme l’indique notre interlocutrice, « Spinup peut être utilisé simplement pour se détendre », en mentionnant toutefois que celui-ci « agit sur la douleur et sur la posture ». Adospin, le coussin idéal pour reposer le dos Adospin, le « petit frère » de Spinup, est un coussin gonflable également pensé pour soulager le dos mais s’utilise, quant à lui, en position assise. Il s’utilise au moment des trajets en voiture, en train ou en avion. Sa forme anatomique épouse le dos et il a été conçu en double-face, le premier dédié aux douleurs dorsales, le second aux douleurs lombaires. Ses deux faces sont également constituées d’orthèses corrigeant la mauvaise posture de la colonne vertébrale. Adospin a fait l’objet de tests cliniques et ses effets sont sans appel sur le soulagement des maux de dos. Il convient même à un meilleur ajustement de la posture des personnes à mobilité réduite. ...
Un parcours repensé Au plan architectural, le musée s’est agrandi et connaît de nombreux embellissements. Le hall d’entrée donne le ton à la visite avec l’une des pièces maîtresses du musée, le carrosse des Vachères, une voiture hippomobile datant du 18e siècle. Il s’agit d’une pièce rare considérée comme un « trésor national ». Les collections se déploient en quatre grands ensembles, un véritable parcours « encyclopédique ». Au rez-de-chaussée, la galerie historique abrite les collections locales de la préhistoire à la Renaissance. Les visiteurs y découvrent la préhistoire de la Haute-Loire à travers des pièces d’exception, telles que le cavalier de Bas-en-Basset (une statuette en alliage de cuivre datant de l’âge de Bronze) ou les bâtons percés et gravés. Cette galerie met également en perspective le monde méditerranéen antique, notamment avec des cercueils égyptiens et leurs momies ou des productions céramiques de Grande Grèce. Parallèlement, l’époque gallo-romaine et le Moyen Âge se dévoilent à travers toute une série de collections de sculptures. La collection compte deux rares représentations d'arbalètes antiques ! Enfin, les visiteurs pourront admirer des objets d’art de la période médiévale et de la Renaissance exposés dans trois salles différentes. Une chaire en bois aux armes de Polignac, des coffres ou encore des majoliques italiennes figurent parmi les œuvres les plus notables. La galerie du Velay est dédiée aux pèlerinages et à la dentelle, élément phare du patrimoine de la ville et de la Haute-Loire. Dans cette section, les visiteurs ont tout le loisir d’apprécier le savoir-faire local en matière d’artisanat. Bijoux, verres, volants de dentelle, marqueteries de paille… sont parmi les principales œuvres exposées. La galerie des beaux-arts suggère avec ses sept salles, un survol de la peinture européenne depuis le Moyen Âge jusqu’au début du 20esiècle. Quelques chefs-d’œuvre s’offrent ainsi aux regards : La Vierge au manteau, La Sainte Famille ou encore le célèbre Vercingétorix devant César. À mi-parcours, la salle du Dôme offre une vue imprenable sur le jardin et la vieille ville. Enfin, la galerie des Sciences propose d’intéressantes collections de paléontologie, d’histoire naturelle et de mécanique. Les fossiles du mastodonte d’Auvergne et le crâne de la hyène géante de Sainzelles sont les plus connus. La collection de mécaniques regroupe des modèles réduits de l’ingénieur Alexandre Clair qui mettent à l’honneur les inventions et innovations technologiques depuis l’Antiquité jusqu’au 19e siècle. Les plus curieux auront l’occasion de voir de près la première machine à coudre, la machine à vapeur de Watt ou le praxinoscope (l’ancêtre du cinéma). ...
Bien plus qu’une simple croisière vers une destination exotique et ensoleillée, le Paul Gauguin vous propose de partir, à la découverte d’un des derniers paradis naturels qu’abrite notre planète, à la rencontre d’un peuple chaleureux et authentique qui a su élever l’accueil au rang d’art. Ces îles mythiques du “bout du monde” qui nous font tant rêver, Tahiti, Moorea, Bora Bora ou encore les Marquises en Polynésie, Rarotonga, Aitutaki aux Iles Cook, Suva aux Fidji, Vava’u aux Tonga... vous éblouiront à jamais par leur exceptionnelle diversité et leur irréelle beauté. L’archipel de la Société, le Mythique Il abrite les Îles du Vent comme Tahiti, Moorea et Tetiaroa et les Îles sous le Vent dont Huahine, Raiatea, Taha’a, Maupiti et Bora Bora… Ces îles aux noms évocateurs de découverte paradisiaque ou de bonheur extatique, vous éblouiront par leurs paysages contrastés, entre montagnes luxuriantes et altières et lagons translucides et préservés. L’archipel des Marquises, le Mystérieux Composées de 6 îles principales et de 6 îlots déserts, les îles Marquises attirent et envoûtent par leur authenticité. Nuku Hiva, Hiva Oa… Berceau de la conquête polynésienne, terres sauvages aux aspects tourmentés, vertigineuses falaises aux prises directes avec l’océan, cet univers inattendu et surprenant ne vous laissera pas indifférent… Paul Gauguin et Jacques Brel s’y sont laissés prendre ! L’archipel des Tuamotu, le Paradis de la plongée Vestiges d’anciens volcans engloutis par le lagon, ces atolls sont si nombreux et certains si petits que l’on a longtemps ignoré leur nombre exact. Rangiroa, Tikehau, Fakarava, Ahe… Anneaux coralliens aujourd’hui au nombre de 76, affleurant une eau turquoise, bandes de terre entre océan et lagon, confettis dispersés sur le Pacifique, ces atolls abritent une des plus riches faunes aquatiques au monde. L’archipel des Gambier, le Méconnu Les eaux relativement fraîches de ces îles du bout du monde favorisent la production de perles de qualité, on y dénombre aujourd’hui 129 fermes perlières rien qu’à Mangareva. C’est grâce à cette activité, renforcée par l’exploitation de la nacre, qu’au cours de ces dernières années, l’archipel a vu sa population croître, mais il reste encore aujourd’hui, essentiellement fréquenté par ses habitants. L’archipel des Australes, le Sauvage Grenier de la Polynésie grâce à leurs terres fertiles et à leurs cultures maraichères qui alimentent le marché de Papeete, Tubuai, Rurutu… ont vu leur environnement et traditions préservés dû à leur relatif éloignement. Rendez-vous annuel des baleines qui viennent y mettre bas de juillet à octobre, ces cinq îles où l’art du tressage atteint le summum de la créativité et de l’esthétisme, s’ouvrent timidement au tourisme. Les itinéraires à fleur de lagon Ici, le sable est blanc et même parfois rose, la mer de tous les bleus, les baies des plus majestueuses, les lagons des plus translucides, les poissons les plus insolents de couleurs…Ici, l’heure est à l’unique, aux émotions réinventées, à ce qui fait du voyage une expérience rare, authentique, essentielle...Des destinations de rêve et des itinéraires originaux de 7 à 17 nuits. ...
Junior-entreprise (JE) de l’ESCP Europe, ESCP Europe Conseil a été créée en 1972. Avec pour objectif de donner l’opportunité aux étudiants de cette grande école de commerce d’affûter leurs compétences managériales et leurs comportements entrepreneuriaux en mettant en pratique leur enseignement théorique. L’association mise sur ses 45 ans d’expérience, l’excellence de son parcours académique et l’appui de ses prestigieux parrains (Oliver Wyman, le BCG et Capgemini Consulting) pour conforter sa position de leader. Des performances qui s’illustrent dans les divers classements. En effet, ESCP Europe Conseil fait partie des 30 meilleures junior-entreprises du pays et se positionne 4e en termes de chiffre d’affaires. Des services pour des clients aux profils variés Calqué sur les modèles des cabinets de conseils, ESCP Europe Conseil se compose d'admnistrateurs formés d'un bureau (président, vice-président, secrétaire général, responsables des ressources humaines et trésoriers) ainsi que de responsables des différents pôles qui prennent en charge la réalisation des missions, à savoir le pôle développement commercial, le pôle qualité et le pôle Communication et Événementiel. « L’équipe est choisie selon un processus de recrutement sélectif, axé sur les performances des étudiants afin d’assurer des prestations de qualité », nous explique le nouveau président de l’association Nathan Haas. La JE accompagne autant un auto-entrepreneur désireux d’initier un projet qu’une entreprise du CAC 40. « Nous avons des profils de clients très variés et nous travaillons même pour des associations », fait savoir le président. Cette clientèle peut miser sur le savoir-faire, la rigueur et l’expertise des étudiants pour réaliser des business plan, du benchmarking, des enquêtes de satisfaction ou encore des travaux de traduction. Une junior-entreprise toujours en action Animée d’une forte dynamique, ESCP Europe Conseil planche régulièrement sur de nouveaux moyens destinés à améliorer la qualité de ses formations envers les étudiants mais aussi de ses prestations envers sa clientèle. Une des dernières initiatives repose sur le lancement du parcours scolaire aménagé. Selon les explications de Nathan Haas, ce Business Track « est calqué sur un rythme d’apprentissage. Nous alternons entre période de cours et période dédiée uniquement à la JE, ce qui permet de libérer du temps pour servir au mieux les besoins des clients ». Car pour ESCP Europe Conseil, la satisfaction client est stratégique. D’ailleurs, dans le dessein de mieux accompagner les entreprises, l’association vient d’ouvrir une antenne à Londres. « À travers ESCP Europe, nous avons la chance d’avoir différents campus en Europe et nous avons des chefs de projet sur chaque campus. Le fait de créer un bureau à Londres nous permet ainsi de répondre aux demandes dont les enjeux sont de plus en plus axés sur l’international et ne sont pas seulement franco-français », fait valoir notre interlocuteur. ...
Champagne Lacroix est une exploitation viticole répartie sur un ensemble de terroirs autour de Montigny, formés de parcelles de vignes de 13 hectares. Sur ses coteaux donnant sur la vallée de la Marne, l’Aisne et la vallée de l’Ardre se développent les raisins cultivés dans le respect de la terre. Des champagnes à l’image de la région Vallée de la Marne Au centre des vallées champenoises, le terroir du Champagne Lacroix est propice à la culture du chardonnay, du pinot noir et du pinot meunier. D’où en ressortent des cuvées riches en arômes. Très présent sur le terroir, le pinot meunier domine dans les encépagements. Ce détail distingue les champagnes Lacroix et lui permet de produire des vins monocépages, à l’instar de la cuvée Anthony. Par sa robe aux reflets ambrés, son nez minéral associé à des arômes d’amandes fraîches et une bouche équilibrée, elle saura plaire aux épicuriens. La cuvée Brut Tradition fait office d’ambassadrice du terroir, car elle est constituée des trois cépages : 70 % de pinot Meunier, 15 % de pinot noir et 15 % de chardonnay. En apéritif, elle sera le compagnon idéal. Autre fer de lance de la marque : la cuvée Grande Réserve, exhalant un nez floral pour un palais généreux et épicé, qui rappelle la pomme et le pain d’épice. Une exploitation viticole exemplaire Anthony Lacroix est très à cheval sur l’entretien de la vigne et l’élaboration du champagne. Respectueux de l’écosystème, il s’attache à faire valoir la viticulture raisonnée qu’il aime faire découvrir aux touristes lors des visites. La balade, durant laquelle une explication détaillée sur la cueillette manuelle, l’élevage et la vinification de raisin est prodiguée, se déroule au cœur du terroir. Une visite qui s’achève dans le bâtiment viticole ouvert en 2010 et accueillant le centre de pressurage moderne, les caves ainsi qu’une nouvelle cuverie. À savoir que la maison innove toujours dans les moyens techniques, afin d’améliorer la qualité de ses cuvées. L’emploi de cuves en inox permet par exemple d’obtenir des champagnes plus expressifs en finesse et en minéralité. ...