En octobre 2016, Maitre Christelle Gouirand reprend l’étude de Maitre Holz, étude créée en 1984. En plus d’un apprentissage classique du métier en région parisienne et dans le sud de la France, Maître Gouirand travailla quelques temps pour le monde des enchères à la télévision. Toutes les ventes aux enchères organisées par cette étude ont lieu à l’hôtel des ventes d’Arles, à 5 minutes du centre-ville, et simultanément en live sur internet. Elles sont planifiées un samedi sur deux et sont ouvertes à tout public. Vous pourrez y découvrir et acheter de petits ou de gros trésors, comme par exemple des tableaux, des sculptures, des photographies, des livres, des bijoux dont provençaux, des jouets, des armes, vins, rubans et pièces de costumes d’Arlésiennes, livres, véhicules, matériels,… Maître Christelle Gouirand réalise également des estimations et des expertises, des estimations pour les assurances, des inventaires dans le cadre de successions. Elle est également formée pour authentifier les œuvres d’artistes reconnus. Elle se fait aider d’experts spécialisés pour les objets plus rares. Vous pouvez donc lui confier tout objet ou œuvre d’art dont vous souhaitez connaître la valeur. Pour ce faire, vous pouvez prendre rendez-vous ou lui envoyer un mail auquel seront jointes des photographies. Des pièces exceptionnelles Maitre Christelle Gouirand a eu l’occasion de vendre aux enchères des œuvres d’art d’exception. Citons par exemple « Nature morte à la poêle » un tableau de Bernard Buffet datant de 1949, vendu 13.500 euros en décembre 2017 ou encore un superbe lustre Lalique en cristal dont la valeur a atteint 18.200 euros. ...
Verdun, 21 février 1916. Le soleil se lève à peine que l’armée allemande déchaîne des tirs d’obus sur les lignes françaises. Cet assaut marque le début de 300 jours et de 300 nuits de combats terribles, sans discontinuité, qui sera l’affrontement le plus meurtrier de la Grande Guerre. La Bataille de Verdun emporte avec elle pas moins de 300 000 êtres chers. Depuis 1996, l’événement-spectacle Des flammes…à la lumière évoque cet épisode tragique de l’histoire avec émotions intenses, à travers un gigantesque spectacle de son et lumière à 360°. De la guerre… à la paix Ce projet ambitieux et sans pareil en Europe a été relevé haut la main par l’association Connaissance de la Meuse, fondée et présidée par Jean-Luc Demandre, qui n’est autre que le metteur en scène et coscénariste de l’événement. « Notre idée de départ était de rendre hommage à tous les combattants en revivifiant l’histoire dans la mémoire collective », explique-t-il. En recueillant les documents d’archives, les traces écrites, les divers ouvrages et les témoignages des anciens combattants, il décide d’approcher le sujet par un regard croisé à la fois sur les soldats au champ de bataille que sur les civils. D’un côté, le scénario se rapproche de l’expérience pénible que devaient vivre les hommes, les femmes et les familles déchirés par la guerre et obligés d’abandonner leur village dans les larmes. Le spectacle veut s’incruster dans le quotidien de ces gens lambda qui se retrouvent du jour au lendemain au milieu d’une guerre sans merci. Quelques kilomètres plus loin, les soldats des deux camps ennemis s’affrontent sans relâche, se blessent et se redressent, tombent et se relèvent en essayant de survivre dans le froid, dans la nuit, dans la boue, entourés de rats et des poux... Au cœur de ces moments ténébreux, l’histoire met en lumière le récit de deux jeunes soldats français et allemands qui vont croiser le chemin d’un Belge devenu volontaire pour soigner les blessés de guerre. Émotion, sacrifice, amitié, dévouement s’entremêlent dans leur histoire. Vers la fin du spectacle, « à l’évocation de l’armistice, nous avons deux soldats qui se donnent une poignée de main : Verdun est un haut lieu de la souffrance mais aussi un haut lieu de l’espoir. L’espoir que non seulement la paix est possible, mais que les ennemis d’hier peuvent vivre en amitié et en harmonie aujourd’hui », nous souffle Jean-Luc, une pointe d’émotion dans la voix. Un spectacle vivant Cet événement-spectacle de la guerre 14-18 représente la plus grande performance jamais réalisée en France. Il se déroule sur une scène de deux hectares à ciel ouvert avec une tribune de 2 500 places numérotées. Un panorama impressionnant éclairé sous le feu de 1 000 projecteurs et souligné par des jeux de lumière et des effets spéciaux exceptionnels pour une expérience mémorable. « Nous utilisons des techniques du théâtre et du cinéma pour réaliser le spectacle en s’appuyant sur un parc de matériel à la pointe, sans pour autant effacer l’humain qui est au cœur de la performance », souligne notre interlocuteur. Pour l’été 2018, marqué par le centenaire de la Grande Guerre, de nouvelles scènes s’ajouteront à l’événement, notamment la première bataille aérienne de l’histoire, une fête foraine dans une ville d’arrière-front et des confessions poignantes entre l’arrière et le front. En apothéose, des éléments de décor surgissent de part et d’autre au rythme du spectacle, créant ainsi des émotions et des surprises sans fin. Par ailleurs, près de 900 costumes sont confectionnés sur mesure pour les 250 acteurs français qui feront vivre l’histoire. Derrière, le spectacle Des flammes… à la lumière mobilise pas moins de 450 bénévoles passionnés, petits et grands. Ils prennent part à la scénographie, la logistique, les préparatifs tec...
En partenariat avec des centres de recherche sur le cancer, à l’instar du Centre Oscar Lambret de Lille ou celui de Sainte-Catherine d’Avignon, ChromaLys a développé un dispositif efficace dans le traitement par radiothérapie des tumeurs mobiles. L’équipe de chimistes de la start-up en effet a créé un produit de contraste injectable afin d’identifier et de rendre facilement détectable les mouvements des cellules cancéreuses lors des séances de radiothérapie. Les tumeurs mobiles efficacement ciblées Les tumeurs mobiles sont des cellules tumorales mouvantes de par la respiration du patient. « Ces tumeurs sont la plupart du temps thoraciques et abdominales et se situent notamment dans le foie, les poumons ou le pancréas », explique Marc Verelst, directeur de ChromaLys Le traitement par radiothérapie de ces cellules mobiles pourrait causer des effets secondaires notables, car « le faisceau de rayons gamma curatifs pourrait endommager les tissus sains si la tumeur mobile n’est pas clairement ciblée ». C’est ainsi afin « d’éviter de détruire du tissu sain qu’il est nécessaire de marquer la tumeur et permettre au robot de viser la tumeur au millimètre près ». Cette technique de détection tumorale dynamique par un liquide injectable, en cours d’essais préliminaires, est alors baptisée Tumor-Track. Le Tumor-Track : un dispositif aux multiples avantages Outre le fait que les tumeurs soient ciblées grâce à la technologie Tumor-Track, facilitant ainsi le traitement curatif, cette révolution dans la lutte contre le cancer comporterait d’autres avantages. En effet, trente séances en moyenne sont nécessaires pour soigner une tumeur par radiothérapie. « Si on améliore le ciblage des cellules tumorales mobiles grâce à la technologie Tumor-Track, une méthode efficace mais peu coûteuse, nous pouvons réduire les séances de radiothérapie de trente à cinq », souligne le scientifique. « Cela représenterait un avantage conséquent en matière de coût et d’efficacité, notamment pour les hôpitaux qui pourront ainsi traiter à l’année six fois plus de patients, mais également pour les personnes âgées ou à mobilité réduite suivant ce type de traitement » conclut-il. ...
Si vous ne connaissez pas encore la start-up TransPod, il y a fort à parier que cela ne sera plus le cas d’ici quelques années. Un 5e mode de transport pour compléter l’offre existante Le concept de TransPod peut être résumé simplement : la start-up canadienne souhaite mettre au point un nouveau système de transport respectueux de l’environnement et à l'échelle d'un pays. En effet, d’ici quelques années, l’avion, le train et la route devront composer avec un nouvel arrivant dans le secteur des transports de marchandises et de personnes. Via un réseau de tubes placés en hauteur et l'utilisation de technologies innovantes, vous pourrez bientôt profiter des fruits de l'avancée du concept Hyperloop revisité par TransPod. Sans rentrer dans les détails trop techniques, sachez que c’est un concept de train sous vide prenant la forme de capsules (pouvant accueillir 27 personnes ou 10 tonnes de fret environ) qui se déplacent grâce au procédé de lévitation magnétique. Les avantages sont nombreux, car le système TransPod est plus rapide (800 km/h en moyenne), plus sûr (tout est automatisé et protégé par le tube), plus écologique (il évite le rejet de millions de tonnes de CO2 dans l’atmosphère) et moins cher pour le consommateur que l’avion et le TGV. Sans oublier que l’accélération sera équivalente à celle d’un tram ou d’un métro ; évitant la sensation d’écrasement que l’on peut ressentir en avion. Des solutions existent pour les longs trajets comme pour les courtes distances. Pour autant, il est important de préciser que ce nouveau moyen de transport ne viendra pas remplacer ses « concurrents », mais leur sera complémentaire. Premiers tests prévus en 2018, en France et au Canada. TransPod : une entreprise innovante voulant révolutionner le monde du transport Fondée en 2015 par Sébastien Gendron et Ryan Janzen, TransPod est une start-up canadienne qui s’appuie sur l’expérience de ses deux créateurs pour évoluer rapidement. En effet, Sébastien Gendron a travaillé pendant 13 ans pour de grands groupes du secteur du transport (Safran, Airbus, Bombardier, etc.) tandis que Ryan Janzen est un inventeur de génie qui aime concevoir de nouvelles technologies (en plus d’avoir participé à une centaine de conférences et d’être apparu dans de nombreux médias). Tout en s’affranchissant du document Alpha d’Elon Musk, ils se lancèrent dans la conception d’un premier design de pod et déposèrent leurs propres brevets. Grâce à des investisseurs européens qui croient en ce projet génial, TransPod souhaite proposer cette innovation au Canada, mais aussi en Europe. En partant de ce constat, si on vous dit que, d’ici une dizaine d’années, vous pourrez commencer à vous déplacer à grande vitesse dans des capsules au sein d’un tube, vous y croyez ? C’est pourtant la vérité. ...
Aujourd’hui, c’est Jean-Marc Kuentz, quatrième génération, qui prend les rênes de l’exploitation familiale. Entouré d’une petite équipe, la famille perpétue le geste ancestral du vigneron en vinifiant sur cette terre si harmonieuse et si riche. Ses cépages prestigieux qui en font sa fierté permettent d'élaborer des vins et des crémants d’Alsace dans le plus pur respect de la tradition. Les 7 cépages typiques d’Alsace Niché à 380m d’altitude, au pied des Trois-Châteaux, à 7km de Colmar, ce vignoble est implanté sur les prestigieux coteaux des Grands Crus Eichberg et Pfersigberg. Là, sur le point culminant du vignoble alsacien, les vignes s’épanouissent sur un terroir à dominante argilo-calcaire et marno-calcaire. On y trouve les 7 cépages typiques d’Alsace que sont le sylvaner, le pinot blanc, le riesling, le muscat d’Alsace, le pinot gris, le gewurztraminer et le pinot noir. L’Alsace étant connue pour être le berceau de l’agriculture biodynamique, la maison Kuentz ne déroge pas à la règle et applique une viticulture soucieuse de la terre et des vignes. Ainsi, les produits chimiques et de synthèse n’ont pas leur place au domaine. La qualité comme seul mot d’ordre Dès sa création, cette exploitation familiale a toujours privilégié une production qualitative avec des rendements limités. Et comme il est admis que seuls les bons raisins donnent des grands vins, la maison met toutes les chances de son côté. « Nous récoltons assez tardivement et nous ne sélectionnons que les raisins qui ont atteint leur pleine maturité », explique Jean-Marc Kuentz, l’actuel propriétaire. Côté vinification, la maison Kuentz s’en tient strictement aux cahiers des charges imposés par l’appellation d’origine contrôlée des Vins d’Alsace. Petite particularité du domaine : un élevage en foudre sur l’ensemble de ses cuvées. Des vins exceptionnels En tout, le domaine élabore 6 gammes de vins (réserve personnelle, grands crus, cuvées spéciales, vendanges tardives Grains Nobles, pinot noir et crémant) comprenant dans l’ensemble 14 cuvées différentes. Pour mieux faire connaissance avec la maison Kuentz, la cuvée Marie-Louise est la plus indiquée. « Elle est issue d’un terroir Grand Cru et a fait l’objet d’une vendange tardive », confie Jean-Marc Kuentz. Il s’agit d’un vin blanc monocépage (100 % gewurztraminer) élevé en fût durant 4 mois au minimum. Habillée d’une belle robe jaune or, cette cuvée présente un nez à la fois délicat et floral. La bouche, harmonieuse et distinguée dévoile un vin structuré dans lequel le sucre bien que présent sait se montrer discret. Un vin qui sublimera foies gras, fromages et desserts. S’il y a une autre cuvée qui représente à merveille la maison, c’est sans conteste « Le crémant d’Alsace ». Élaborée selon la méthode traditionnelle, elle a reposé au minimum 13 mois sur lattes et a subi un élevage de 2 mois en cuve. Vendangées manuellement, les précieuses grappes passent par un pressurage direct en raisin entier. Les jus obtenus sont ensuite débourbés. Vif et délicat, ce 100 % pinot blanc surprend par sa fraicheur fruitée, ce qui fait de lui le compagnon idéal des mets les plus raffinés. À déguster à l’apéritif ou en fin de repas ! Des cuvées très bien notées Gage de leur qualité, les cuvées sont régulièrement citées dans des célèbres guides des vins tels que Gault & Millau. Ainsi, 3 d’entre elles ont obtenu des notes supérieures ou égales à 15. Il s’agit notamment de la cuvée « Sylvaner » (un vin blanc sec, fruité, très agréable à boire et facile à apprécier), la cuvée « Gewurztraminer » Grand Cru Pfersigberg 2005 ainsi que de la cuvée « Gewurztraminer » Vendanges Tardives 2004. Ces vins ont reçu respectivement la note de 15/20, 16/20 et 16,5/20. ...
À travers un panel de services, Calleo facilite le quotidien des praticiens en assurant une permanence téléphonique de qualité et une gestion efficace de leur planning. Le télésecrétariat, une solution efficace et moins coûteuse Pour les professionnels de la santé, recourir aux services d’une secrétaire travaillant au sein de leur cabinet n’est pas toujours la meilleure solution. En effet, pour la grande majorité des médecins, le salaire attribué aux secrétaires représente jusqu’à 15 % de leurs recettes. C’est la raison pour laquelle de plus en plus de professionnels préfèrent s’attacher les services d’une secrétaire à distance. Aujourd’hui, pour des raisons économiques, 32 % des médecins adoptent ainsi le télésecrétariat comme solution alternative. De manière générale, le secteur de la santé s’intéresse également au secrétariat externe dans la mesure où celui-ci facilite l’accès aux soins. En établissant un lien privilégié entre patient et médecin, il peut être perçu comme un moyen de lutter contre la désertification médicale. Tout sur Calleo Présent sur le marché depuis une quinzaine d’années, Calleo propose aux professionnels de la santé un service de télésecrétariat complet et adapté à leurs besoins. Qu’ils soient généralistes, spécialistes ou paramédicaux, les professionnels peuvent compter sur Calleo pour la gestion de leurs appels et rendez-vous. De manière ponctuelle ou régulière, une équipe expérimentée et professionnelle prend en charge les appels au quotidien conformément aux consignes du médecin. Les praticiens peuvent dès lors se consacrer entièrement à leurs activités sans craindre d’être dérangés par les appels des patients. Le professionnalisme dont font preuve les télésecrétaires de Calleo garantit zéro perte au niveau des appels et les patients sont assurés de ne subir aucune attente au téléphone. Par ailleurs, le médecin peut avoir accès en temps réel à son agenda médical en ligne et celui-ci a la possibilité de consulter à tout moment ses messages et ses rendez-vous ! En cas d’urgence ou de changement du planning, le praticien sera alerté immédiatement via SMS. Face à ses concurrents, Calleo offre une qualité de service très élevée et choisit d’opérer uniquement dans le secteur médical. ...
Terre promise de l’événementiel dans l’arc méditerranéen, elle accueille ses hôtes dans un cadre enchanteur perdu entre terre et mer. Riche de nombreux sites patrimoniaux, de 2 parcs naturels régionaux, d’un ensoleillement optimal et de déplacements facilités, la cité antique possède tous les atouts pour séduire le tourisme d’affaires. Actuellement, plusieurs projets d’aménagements urbains et architecturaux viennent également renforcer ce fort potentiel. « Lieu convivial, attachant et marquant » C’est en ces termes que Didier Honoré, élu en charge du palais des congrès et des événements, décrit la ville d’Arles. Selon lui, cette cité attachante a le mérite de se trouver « au milieu d’une région extraordinaire et au cœur d’un territoire chargé culturellement et historiquement ». Plus d’une centaine d’édifices historiques sont, ainsi, présents à Arles. Huit d’entre eux sont inscrits au patrimoine mondial de l’Unesco. À ces vestiges d’un lointain passé, viennent s’ajouter des traditions chères aux habitants, comme l’élection de la reine d’Arles. Ces sites, témoins des époques emblématiques pour la ville, offriront à vos clients ainsi qu’à vos collaborateurs des moments de détente alliant découverte et partage. Outre cette richesse historique et culturelle, Arles se trouve au cœur d’une nature foisonnante, où le charme de la Camargue côtoie celui des Alpilles. Dans cette ville provençale à taille humaine, l’art de vivre se retrouve, dans des manifestations culturelles majeures, à l’instar des Rencontres Internationales de la photo, dont la renommée n'est plus à faire. « Tout au long de l’année, les monuments de la ville sont également animés dans le cadre de manifestations telles que des spectacles de gladiateurs ou des pièces de théâtre », nous explique Christian Mourisard, adjoint « Patrimoine et tourisme » auprès du maire. Véritable joyau de la Provence, cette ville, située à 3h de Paris, et à 1h30 de Lyon, saura ainsi ravir vos équipes à l’occasion d’un team-building, d’un séjour incentive, d’un séminaire ou d’un congrès. Vos événements sous le signe du succès De l’hébergement à l’accueil, en passant par l’organisation, Arles offre la garantie du parfait déroulement de chaque étape de votre événement. Concernant les infrastructures d’accueil, la ville s’est dotée d’un grand parc hôtelier avec plus de 800 chambres dans le centre-ville et plus de 200 chambres, de deux à trois étoiles, à proximité du palais des congrès de la ville. Ce palais, est idéalement situé au cœur d’une ville de charme, et bénéficie d’un accès autoroutier immédiat. Il est doté d’un parc technique moderne, incluant notamment le wifi et la visioconférence, pour une capacité totale d’accueil de plus de 1 000 personnes. « Cet espace modulable peut accueillir tout type d’événements, allant de la réunion d’affaires au congrès », reprend Didier Honoré. Spécialiste des événements sur mesure et clés en main, l’équipe du palais des congrès mettra son expertise et son professionnalisme au service de votre projet. ...
Auréolé de 4 étoiles, Splendid Hôtel & Spa est un vrai havre de paix qui jouit d’un emplacement de rêve. En plein centre-ville, cet hôtel familial côtoie plusieurs restaurants et boutiques tout en étant proche de la mer. Il ne s’agit là que d’un aperçu des innombrables atouts déployés par cet établissement de luxe, qui a su perfectionner l’art de recevoir depuis plus d’un siècle. Une centaine de chambres et suites, une piscine, un bar, un spa… Splendid Hôtel & Spa a de quoi séduire les plus exigeants ! Des chambres confortables et élégantes Familles, touristes, hommes d’affaires ou voyageurs du monde entier : Splendid Hôtel & Spa offre à ses hôtes une expérience de séjour unique, alliant confort et détente. L’établissement leur propose ses suites et ses 128 chambres spacieuses, déclinées en 5 catégories : Famille, Harmonie, Deluxe, Suite ou encore Suite présidentielle. Sobre mais élégante, chaque chambre est pourvue de toutes les commodités pour offrir le maximum de confort : mini-bar avec boissons offertes, salle de bains comprenant une baignoire balnéo et une douche (suivant la catégorie), climatisation… Bref, tout ce qu’il faut pour garantir un séjour agréable et reposant. Des services dédiés à la détente et au bien-être Afin d’assurer le bien-être de ses hôtes, l’établissement leur propose de nombreux moments de détente grâce aux prestations du Spa Splendid. Rien de tel qu’un massage relaxant pour se remettre du décalage horaire. En plus de ses trois cabines de massage, le Splendid Hôtel & Spa dispose d’une salle de relaxation, d’un hammam et d’un bain à remous. Pour celles et ceux qui souhaitent garder la forme, rendez-vous à la salle de fitness de l’hôtel situé au rez-de-chaussée. Là, les sportifs profitent de matériels et d’équipements de haut de gamme mis à leur disposition. « S’ils le souhaitent, nous pouvons même leur suggérer des cours privés de pilates », indique l’équipe. Après la séance, un petit passage au sauna est vivement recommandé, afin de permettre au corps de bien récupérer. Par ailleurs, le toit de l’hôtel abrite une piscine et un jacuzzi accessibles à tous les résidents. Juste à côté, l’EssenCiel-Bar et son cadre raffiné les attendent pour des instants rafraichissants. Offrant une vue panoramique sur la ville, cet espace lounge invite chacun à se détendre et à déguster cocktails et tapas. « Le bar est aussi idéal pour un café matinal au soleil ou simplement profiter de la douceur des soirées d’été », souligne Marion Tschann, la Directrice Adjointe. Découvrir les trésors de Nice Les hôtes désireux de découvrir les trésors de Nice n’auront pas à aller bien loin pour satisfaire leurs curiosités. La plage et la célèbre promenade des Anglais font, par exemple, le bonheur des amoureux de farniente. Celles et ceux qui s’intéressent à l’art peuvent visiter le musée d’Art moderne et d’Art contemporain (MAMAC), qui constitue une des fiertés de la ville. Enfin, de nombreux restaurants à proximité de l’hôtel invitent à la découverte de la gastronomie niçoise. ...
L’Esprit du Samaritain tire l’origine de sa dénomination des précédents établissements (Le Samaritain et L’Esprit tapas) que tenait Philippe Flambard, son propriétaire. Ce nom reflète également la philosophie générale des lieux, où les clients sont toujours assurés d’être bien accueillis et bien servis. Un décor surprenant, alliance d’ancien et de moderne Installé dans un secteur sauvegardé de la ville d’Uzès, le bâtiment qui abrite le restaurant L’Esprit du Samaritain est une ancienne sellerie, dont les fondations remontent au XIVe siècle. « Une partie de l’entrée est bâtie sur les anciens remparts de la ville. Le milieu de la salle est une voute croisée tout en pierre. Le bâtiment en lui-même parle de lui tout seul », décrit Philippe Flambard. Le mobilier très contemporain forme un mariage assez surprenant mais très joli avec le style ancien. Ici et là pendent une douzaine de bassinoires et de pièces de cuivre, dont Philippe est un fervent collectionneur. En tout, la salle peut accueillir jusqu’à 42 couverts. Une cuisine d’instinct L’Esprit du Samaritain sert une cuisine traditionnelle française. Le chef Philippe Flambard aime préparer ses plats à l’instinct. « J’achète moi-même tous mes produits frais. Je travaille tout à la minute pour le client, il n’y a rien de prêt chez moi », explique-t-il. Ainsi, l’établissement ne propose ni menu, ni carte, ni formule spéciale. « Je prépare ce que je trouve sur le marché. Tout est relatif. La cuisine que je fais reste le plus simple possible et laisse exprimer toute la saveur du produit », poursuit-il. Cependant, le chef apprécie en particulier les poissons frais et le bœuf (il ne travaille que les races françaises) mais toujours en fonction de ce qu’il trouve au marché. Une de ses spécialités est la côte de bœuf grillée à l’ancienne ou la souris d’agneau à l’ail confit qui revient régulièrement sur son ardoise. Ses habitués sont également friands de sa terrine de foie gras au pain d’épices, cuite 25 minutes à basse température. Accompagné de petites framboises et de toasts de pain grillé, ce plat est un pur régal pour les fins gourmets. ...
La maison Fredestel est dans la même famille depuis cinq générations. Depuis 2008, Ghislain et Estelle Olivier ont repris l’exploitation des vignobles, qui s’étendent sur 2,98 hectares et sont répartis sur 28 parcelles. Ils sont plantés principalement de cépages chardonnay mais aussi de pinot noir. Une viticulture durable Vignerons indépendants, Ghislain et Estelle ont choisi de pratiquer une viticulture durable en adoptant des méthodes agricoles raisonnées. Pour ce faire, ils limitent les apports chimiques, réduisent l’usage d’intrants, soignent l’enherbement et travaillent le sol par labourage, obligeant les vignes à aller puiser leurs ressources en profondeur. Cette exploitation familiale est d’ailleurs certifiée haute valeur environnementale. Ainsi, elle peut proposer aux consommateurs des produits de qualité tout en respectant l’environnement. Toutes les étapes de l’élaboration des champagnes sont effectuées au domaine. Les vendanges sont faites à la main avec sélection des raisins. Après pressurage, le jus de raisin ainsi obtenu est vinifié dans des cuves en inox. Le vin va ensuite vieillir en cave avant d’être mis en bouteille. Leur gamme de champagnes La maison Fredestel produit environ 22 000 bouteilles par an. L’exploitation commercialise plusieurs cuvées de champagne. La Perle Blanche se caractérise par sa composition 100 % chardonnay extra-brut sans assemblage, avec une robe dorée, présentant un parfum fruité d'orange, de citron et de kiwi. Il est parfait pour l’apéritif. Le champagne Tradition est issu d’un assemblage de 80 % de chardonnay et de 20 % de pinot noir. Il est disponible en brut ou en demi-sec. Quant au champagne Les Agapes, avec 50 % de pinot noir, 20 % de chardonnay et 30 % de chardonnay en fût de chêne, il révèle plus particulièrement des notes de fruits à chair, comme la pêche et la poire. Ils produisent également du ratafia, un apéritif à base de vin. Les champagnes Fredestel sont exclusivement en vente à la propriété. Visiter le domaine Vous pouvez visiter le domaine sur rendez-vous tous les jours de la semaine. La visite est suivie d’une séance de dégustation. ...
Pouvez-vous nous parler en deux mots de votre parcours Un parcours en 3 grandes périodes : - Une éducation scientifique qui aboutit à un diplôme d'ingénieur Arts et Métiers en 1981 - Une carrière en entreprise à dominante commerciale chez ABB et IBM pendant 18 ans - Un chemin de développement personnel et d'accompagnement de responsables d'équipe et de dirigeants pendant 16 années Comment définissez-vous le métier de coach ? Quelles sont vos méthodes de travail ? En quoi consiste le travail d'un coach ? Est-ce vraiment un métier ? Un métier se définit à la fois par sa finalité et par les techniques employées. A mon sens, le coaching embarque une trop grande diversité d'objectifs et de techniques pour le rattacher à un métier unique. Le coaching est donc plutôt une posture qui ouvre à de multiples métiers ou que de nombreux métiers peuvent intégrer avec bonheur, comme par exemple le management, le consulting, l'accompagnement individuel, l'animation de séminaires, la formation .... J'oeuvre pour ma part principalement dans l'accompagnement au changement et mes méthodes s'appuient sur quelques grands principes : - Une vision humaniste de la performance professionnelle - Une approche holistique de l'individu et des groupes d'individus - Une approche systémique des situations - L’utilisation de modèles de personnalité permettant de travailler sur la diversité des profils - Un référentiel managérial issu des meilleurs cabinets de formation - Un collectif de coachs complémentaires et talentueux Le coaching consiste essentiellement à provoquer des prises de conscience chez une personne ou un groupe de personnes pour permettre une mobilisation positive vers un objectif préalablement défini. Pour générer ces prises de conscience, le coach va puiser dans une large panoplie d’outils engageant à la fois la pensée, le corps et les émotions.Quelles sont les exigences de la profession ? Tout d'abord le respect d’une charte éthique qui formalise les engagements du coach dans sa pratique, par exemple en termes de confidentialité, de responsabilité et de neutralité. Autre exigence, un devoir de travail sur soi pour le coach qui doit lui permettre d'être au clair sur ses propres blessures et d'éviter toute projection inconsciente sur son client. J'accomplis personnellement un travail psycho-thérapeutique depuis 16 ans basé principalement sur la Gestalt-thérapie de groupe et sur le voice dialog ... c'est un voyage passionnant. Quelle différence faites-vous entre coaching et psychothérapie ? Le coaching et la psychothérapie font appel à des compétences très différentes. Un psychothérapeute va en particulier s'intéresser aux expériences traumatiques d'une personne et l'aider à cicatriser ces blessures pour qu'elles ne soient plus limitantes pour elle. Même si ces 2 postures peuvent utiliser des techniques similaires, la psychothérapie requiert une maîtrise des psychopathologies et des modalités de traitement de celles-ci que ne possède pas un coach. Un coach doit donc s'abstenir impérativement d'aller sur le terrain de la psychothérapie, au risque de provoquer des réactions qu'il ne saura pas gérer. De son côté un psychothérapeute se verra limité dans sa capacité à accompagner une personne sur des situations du présent par manque de technique cette fois pour traiter ces situations. Ces 2 pratiques sont donc très complémentaires et il m'arrive fréquemment de guider mes clients vers un type de psychothérapie correspondant à son besoin.Qu’est-ce que le « life-coaching » et quelle différence y a-t-il avec le coaching professionnel ? De façon très simple, le life-coaching s'intéresse à la vie privée des gens et le coaching professionnel à leur vie professionnelle. La tendance est aujourd'hui à prendre en compte l'ensemble des domaines de vie d'une personne, même si l'objectif du coaching appartient à un domaine particulier, tous les aspects de la vie ayant une influence systémique mutuelleLe métier de Coaching est de plus en plus répandu. Qu’est-ce qui différencie votre approche? Chaque coach se distingue par sa sensibilité et son expérience de vie, c’est la raison pour laquelle le choix d’un coach repose avant tout sur la qualité du lien entre le coach et le coaché. En ce qui me concerne, je peux me différencier par ma capacité à mobiliser une équipe de coachs de talent et complémentaires pour obtenir des résultats dépassant les attentes de mes clients J’associe plusieurs postures : Celle de coach, de conseil, d'animateur et de formateur pour répondre plus largement aux attentes de mes clients et à leurs ambitions. Combiner en particulier le coaching individuel et le coaching d'équipe est très efficace et différenciant. Quelles sont les formations que vous recommanderiez pour devenir coach ? La posture de coach requiert des qualités d'écoute et d'empathie qui ne s'apprennent pas, le coaching est donc destiné à des personnes ayant ses qualités de façon innée. Le plus important pour devenir coach est de mener un véritable travai...
Assesseur et coach certifiée maître praticien par l’EMCC, également formatrice inscrite au répertoire des CFI, Céline DALBÉRA se destine pour ce métier depuis toujours. « Sans le savoir, j’ai toujours été coach avant même l’apparition de ce métier en France », nous confie-t-elle. Et pour cause, elle a toujours fait du développement du potentiel humain son unique credo, que ce soit dans sa carrière d’ingénieur agronome ou dans sa vocation d’enseigner. Elle s’initie très tôt au management des équipes, s’intéresse à la pédagogie créative et apprend à cultiver l’intelligence émotionnelle dans ses relations. JARDINS D’ACCORDS est la continuité logique de son parcours, où elle partage avec d’autres consultants externes la conviction que le développement durable de la personne est le principal facteur clé de la performance collective. Se connaître soi-même pour mieux se reconnecter aux autres Son expertise se déploie sur plusieurs champs d’intervention : coaching individuel, coaching de groupe, formation, accompagnement de projets stratégiques, techniques et projets de changement. « Notre philosophie repose sur la valorisation du capital humain et la mobilisation des formes d’intelligence, aussi bien émotionnelle, relationnelle que collective. » Scientifique comme elle est, Céline DALBÉRA construit ses accompagnements et sa pédagogie en se référant aux neurosciences car il faut comprendre les principes du fonctionnement à la fois des individus et du système pour piloter un changement significatif qui soit pérenne. Ce travail s'appuie sur le respect de l’écologie personnelle de chaque collaborateur et l’écologie de l’organisation. Ici, la notion d’écologie englobe la logique qui relie l'histoire, les valeurs, la personnalité/la culture, les rythmes et l’évolution des relations qu’une personne/organisation entretient avec son environnement. « Notre vigilance porte sur la cohérence entre ces deux concepts, de telle manière qu'il y ait harmonie entre les parties prenantes de l’écosystème et que l’individu s’épanouisse dans le collectif. » De ce fait, le choix du processus d’intervention et des techniques utilisées varie en fonction de la complexité de l’environnement étudié (entreprise, associations, collectivités, etc.). Stimuler la dynamique émotionnelle Aux JARDINS D’ACCORDS, accompagner un changement signifie révéler le meilleur de la personne, l’aider à dépasser son cap d’évolution et lui permettre d'exprimer son plein potentiel. Céline DALBÉRA réalise cette mission en s’appuyant sur deux stratégies : orienter l’ascension vers les ressources déjà présentes et exploiter la synergie des deux hémisphères cérébraux. Pourquoi est-il si important d’apprécier les compétences, les qualités, les performances et les moyens déjà en place ? « Quand on regarde les neurosciences, on constate que l’énergie, le désir, l’enthousiasme et même l’apprentissage et la mémoire sont nourris par les signes de reconnaissance positifs, la célébration des réussites. » En d’autres termes, elle encourage les équipes à s'appuyer sur leurs réussites passées, comme un moyen de se projeter dans le futur. « Dans ma méthodologie, j'invite à transformer la problématique en une ambition, une vision, puis à mobiliser les ressources individuelles au service du collectif en créant du lien entre les collaborateurs : c'est cela qui génère une fédération des équipes, de l’innovation et une performance durable. » ...
Lancé en septembre 2017, par Christelle Sol et Pascal Dubourgnoux, deux quadras épicuriens et désireux de créer leur propre entreprise, Miamz’y est une application mobile gratuite permettant de commander des plats à emporter dans des restaurants traditionnels. Une véritable alternative aux fast food permettant à tous ceux n’ayant pas le temps de cuisiner ou de s’asseoir au restaurant de déguster des plats de qualité. L’application est disponible sur iOS, Android et via le site internet. Miamz’y rentre désormais dans une phase de croissance, comptant dès cette année élargir son offre à tout le territoire Auvergne-Rhône-Alpes. D’ici trois ans, le service sera opérationnel sur tout l’hexagone. Un concept innovant et intelligent Plébiscité par plus de 51% des français (d'après l'Étude Next Content : « Click and collect, les principaux enseignements »), le « click and collect » est un service permettant aux consommateurs de commander en ligne pour ensuite retirer leur article dans un magasin de proximité. Miamz’y est la première start-up à utiliser cette solution dans le domaine de la restauration, ce qui en fait un concept inédit en France. En pratique, l’application permet à ses utilisateurs de commander et d’aller récupérer leur plat à l’heure voulue dans le restaurant sans aucune attente et sans payer de frais de livraison. De plus, les plats du jour de chaque restaurant sont mis en ligne quotidiennement sur l’application. Variés et peu onéreux, ils offrent la possibilité aux consommateurs de manger rapidement pendant la pause déjeuner. Une solution adaptée à la taille des villes et aux restaurateurs Les fonctionnalités de l’application Miamz’y ont été conçues afin de répondre aussi bien aux besoins des habitants de grandes métropoles que des villes de taille moyenne telles que Clermont-Ferrand. Elle concerne également tous les oubliés de la livraison habitant dans les petites villes aux alentours. Grâce à l’application, il est possible de découvrir rapidement les restaurants disponibles le long des trajets quotidiens par exemple, il suffit de renseigner son itinéraire « Travail – Maison » pour savoir où commander le soir en rentrant du travail. Les besoins des restaurateurs sont également pris en compte, puisqu’ils ont étroitement collaboré au développement de l’application Miamz’y. Le résultat de cette alliance permet de moderniser et de dynamiser toute une économie grâce à un nouvel outil numérique permettant d’attirer de nouveaux clients. ...
À la suite d’un voyage à l’étranger, les trois amis, Deborah, Nathaniel et Guillaume, décident de redonner vie au restaurant Les Philosophes, qui était anciennement une brasserie célèbre des années 60, et d’apporter un concept innovant : un bar où l’on peut se servir soi-même. Trois espaces pour trois ambiances Depuis sa reprise en 2017, Les Philosophes baigne ses visiteurs dans trois ambiances différentes à travers son bar, sa brasserie et ses salons dont la décoration revêt une touche « travaillée et recherchée », selon Ellie Makris, Responsable de la Communication et du marketing. La brasserie invite les clients dans un voyage temporel vers les années 20 avec les tables en marbre, en cuivre et en bois, les papiers peints et les objets décoratifs au ton anthracite. Au bar, le thème des années 20 est maintenu, mais avec un côté cosy très prononcé grâce aux tables hautes et les tabourets en rotin, les fauteuils en velours et le carrelage à l’ancien. À l’étage, c’est tout un univers doux et chaleureux avec ses murs framboise et ses parkas à l’ancienne, qui accueille des réunions, séminaires, événements et cocktails. En cuisine, les grands classiques revisités Les « plats de grand-mère revisités », telle est la description de la cuisine proposée à la Brasserie, selon les mots d'Ellie Makris. Le chef revisite les préparations traditionnelles françaises avec les produits locaux et de saison dans une carte qui change tous les 3 mois. La signature de la maison : les Tartares fait-maison, de viande ou de poissons, préparés devant les clients et accommodés aux condiments de leurs choix. La nouveauté du moment est représentée par les Tartares flambées qui promettent des saveurs à embraser le palais. Pour le déjeuner, le restaurant propose le menu du jour entrée-plat-dessert qui ravira les fins gourmets. Tous les dimanches, les gourmands invétérés viennent au Philosophes pour prendre le brunch dans une ambiance conviviale qui donne l’impression d’être chez soi ou chez des amis. Des vins et des champagnes Outre les boissons servies habituellement dans les restaurants, Mme Makris affirme avec fierté que Les Philosophes possède une « carte de vin très fournie ». Des bouteilles suisses, françaises et nature s’alignent aux côtés des 20 références de champagnes dans le bar où les clients choisissent leur breuvage à leur convenance, comme s’ils étaient « chez des amis ». Ils prennent eux-mêmes leurs verres, leurs bacs à glaçons et piquent à la planchette tapenade, fromage ou légumes, bref l’apéro qui leur fait envie avant de regagner leurs places. C'est ce concept de « se servir soi-même » dans une ambiance détendue et festive que les fondateurs veulent aussi faire profiter à la clientèle. ...
Depuis trois générations, la famille Montloin-Rocchietta a patiemment bâti deux havres de paix, dans un environnement unique et préservé. À l’origine, en 1949, on trouvait le Château de Valmer. Au cœur d’un vignoble entre terre et mer, cette demeure bourgeoise s’est peu à peu transformée en pension de famille, puis en hôtel. Aujourd’hui classé 5 étoiles, le Château de Valmer attire une clientèle aisée et discrète. À deux pas de là, au bout d’une majestueuse allée de palmiers, la Pinède Plage se construit peu à peu... Au début, ce n’était que deux simples bungalows de plage qui, au fil du temps, sont devenus, eux aussi, un hôtel 4 étoiles. Le raffinement de la Provence Ainsi, aujourd’hui, le Château de Valmer propose 41 chambres dans une situation unique au cœur d’une nature généreuse. Ici, tout évoque le raffinement de la Provence. Les chambres sont agrémentées de meubles authentiques, avec tout le confort d’un hôtel de luxe moderne. La Pinède Plage, située en bord de mer et face aux iles d’Or, dispose de 32 chambres fraîchement rénovées, confortables, à l’esprit méditerranéen et ouvertes sur la mer. Ses hôtes ont un accès immédiat à la plage privée de sable et à la piscine extérieure, au court de tennis… Des équipements dont peuvent bien sûr profiter les résidents du Château de Valmer. Farniente et gourmandise Chacun des établissements est une invitation au farniente… et à la gourmandise, avec deux restaurants. Ouverte de mai à octobre, La Palmeraie, sous la direction de son chef Jimmy Coutel, vient de recevoir une récompense très convoitée du Gault & Millau : le titre de grand de demain, avec une note de 15/20 et trois toques pour la qualité de la cuisine, inscrite dans la tradition méditerranéenne et provençale. Le service s’effectue dans le jardin andalou ou sur la terrasse ouverte sur le parc. Côté Pinède, le restaurant donne sur la plage, face aux iles d’Or. Le chef, Vincent Colbeau-Justin, y travaille des poissons et des produits frais locaux pour les repas, tandis que, l’après-midi, chacun peut y trouver des snacks, les pieds dans l’eau. Les deux restaurants privilégient les produits du terroir et bio, notamment ceux qui sont cultivés dans le potager bio du domaine ainsi que le vin rosé bio du Château de Valmer. Pas de doute, luxe et élégance, mais aussi authenticité caractérisent bien le Château de Valmer et la Pinède Plage ! ...
Fondée il y a de cela 200 ans par Nicolas-François Billecart et Élisabeth Salmon, la maison Billecart-Salmon continue de pérenniser et de repousser sans cesse les limites d’un savoir-faire déjà reconnu et salué par les plus grands experts. Place à la nouvelle génération La maison Billecart-Salmon, c’est avant tout une histoire familiale. À l’origine, ils sont trois à avoir posé les premières pierres à l’édifice : Nicolas-François Billecart, son épouse Élisabeth Salmon et Louis Salmon, son frère. Jusqu’à maintenant, la maison a connu au total sept générations. Après trente ans de bons et loyaux services passés à la présidence, François Roland-Billecart va bientôt céder sa place à la génération montante. Ainsi, son successeur Mathieu Roland-Billecart se tient prêt à prendre la relève au mois de janvier 2019. Il est vrai que chez les Billecart, le vin est d’abord une affaire de famille. « Autour de cette famille, nous avons une équipe de personnes à la pointe de leur métier : Denis et Florent s’occupent de la création des vins, Jean Roland-Billecart reste très actif côté dégustation, Alexandre et Antoine pour la commercialisation », explique le futur président. Un savoir-faire exceptionnel L’équipe viticole travaille un domaine de 100 ha et s’approvisionne en raisins sur une superficie totale de 300 ha. « Nous nous approvisionnons principalement en premier cru et en grand cru afin de maintenir des vins de très grande qualité », souligne Mathieu Roland-Billecart. Pour cela, la maison profite de son emplacement à la croisée des trois régions hautement qualitatives de la Champagne que sont : la côte des Blancs, la vallée de la Marne et la montagne de Reims. En effet, c’est là où coexistent les grands crus de pinot noir, de chardonnay et de pinot meunier. Fidèle à son credo, la maison exploite également une parcelle entièrement vouée à la culture de l’excellence appelée Clos Saint-Hilaire. « C’est une vigne d’un hectare plantée en pinot noir, de vieilles vignes taillées en cordon permanent, on ne met que 3 à 5 grappes par pied », nous indique-t-on. Prestige oblige, chez les Billecart, on sacrifie volontiers le rendement sur l’autel de la perfection. Dans ce clos planté en pinot noir, la terre est choyée avec des méthodes ancestrales : le cheval de trait pour le labour et les moutons pour l’entretien du sol. Le clos Saint-Hilaire produit un champagne éponyme d’exception. Vinifié en fût, celui-ci offre une fraîcheur et une complexité hors norme. Autre particularité de la maison : une totale maîtrise d’une technique de vinification à froid, un style Billecart profondément ancré depuis plusieurs décennies. « C’est une vinification très lente mais qui permet de retrouver la finesse et l’élégance qui caractérisent notre style », dévoile Mathieu. Pour ce qui est de la maturation, il faut compter au minimum 10 ans pour les millésimes et 3 ans pour les non-millésimés. Des cuvées au sommet de leur hiérarchie 1999 est sans doute l’année de consécration pour la maison Billecart-Salmon avec l’obtention d’une distinction ultime, grâce notamment à ses deux millésimes. En effet, la cuvée Nicolas François Billecart 1959 fut auréolée du titre de « Champagne du Millénaire » lors d’une dégustation à l’aveugle effectuée par un panel d’experts. Le millésime 1961, quant à lui, arrive sur la seconde marche du podium. Parmi les « best-sellers », le rosé non millésimé fait particulièrement honneur à la maison. Il s’agit d’un rosé d’assemblage associant des cépages de chardonnay, pinot meunier et pinot noir vinifié en rouge. Cette cuvée allie harmonieusement finesse et élégance avec des notes plus fruitées. Ensuite, la cuvée Louis est également assez représentative de la maison. Un brut Blanc de Blancs Millésime 2006. « Là vous &...
Le restaurant La Perle du Lac s’affirme dans un style traditionnel qui plonge sa clientèle dans une ambiance chaleureuse et douillette. Dans la salle principale et les salons privés aux larges baies vitrées, les tables se parent d’un ensemble de nappes, napperons et serviettes pour accentuer le charme séculaire des lieux. Sur la terrasse décrite comme « la plus belle terrasse de la ville » par M. La Marche, directeur du restaurant, les clients contemplent à volonté la vue sur le Mont-Blanc et la Rade. La cuisine d’autrefois revisitée aux goûts actuels M. La Marche qualifie la cuisine proposée de « bourgeoise et traditionnelle française ». Désireux de partager l’histoire des lieux avec ses clients, le restaurant propose, en plus du menu du jour, le menu Byron, en l’honneur du poète anglais ayant vécu sur les bords du lac Léman et qui aurait séjourné au chalet, et le menu Orangerie, pour rappeler qu’autrefois, ce chalet abritait les agrumes d’hiver de son ancien propriétaire Bartholomé. Une carte qui sent bon le raffiné À travers sa carte, élaborée selon le profil d’une clientèle internationale, La Perle du Lac propose des plats emblématiques, à l’instar du gratin d’écrevisses, servi principalement en septembre, l’omble chevalier meunière, la féra du lac à la sauce genevoise et le suprême de volaille du Nant d’avril relevé par une crème d’estragon. Pour l’entrée, les préparations au foie gras, en terrine ou poêlée avec du vinaigre de framboise, constituent la signature de la maison. Au dessert, le chariot savamment composé de huit assortiments de pâtisseries accommodés aux fruits de saison, d’une salade de fruits et d’une spécialité locale, fruits rouges accompagnés de meringue et de double-crème de gruyère, termine en beauté le repas. Pour accompagner avec délice les préparations traditionnelles concoctées par le chef et son équipe, le restaurant propose une carte de vin très éclectique réunissant des références genevoises, françaises, libanaises, argentines, espagnoles, etc. ...
Ces différentes parties sont appelées des sous-personnalités. Elles ont toutes une fonction, une énergie, des croyances, des besoins et une raison d’être qui les caractérisent. Nous avons en nous plusieurs dizaines de sous-personnalités et souvent nous n’en n’avons pas conscience. Quelques exemples de sous-personnalité, le critique, le patriarche, l’actif, le gentil, l’exigeant, le perfectionniste, le juge, le parent responsable, le performant, la victime etc… Devenir notre propre chef d’orchestre Chaque personne a des typologies de sous-personnalités qui lui sont propres. Ce à quoi nous invite le Dialogue Intérieur est d’apprendre à identifier toutes les sous-parties qui nous composent et développer notre capacité à devenir notre propre chef d’orchestre de façon à jouer la meilleure partition possible. Parmi les problématiques qui sont adressées par le Dialogue Intérieur, on trouve très souvent les problématiques liées à la confiance en soi et à l’estime de soi. Coaching de vie, coaching professionnel Nos clients viennent nous voir le plus souvent car ils n’arrivent pas à régler les tensions ou la souffrance qu’ils éprouvent à l’intérieur d’eux-mêmes. Pour certains, ils souhaiteraient mieux maitriser des parties d’eux-mêmes qu’ils trouvent trop excessives, toutes sortes de comportements non maitrisés qui peuvent avoir des impacts fâcheux dans leur vie personnelle ou professionnelle. Après quelques séances, nos clients nous disent qu’ils se sentent plus apaisés et qu’ils ont retrouvé plus de joie de vivre et de sérénité. Et surtout, qu’ils ont récupéré une meilleure capacité à prendre leur vie en main et mieux gérer leur autonomie Cette approche est tout aussi efficace pour le coaching de vie, que pour le coaching professionnel. ...
Association créée en 1970, UNA (Union nationale de l’aide, des soins et des services aux domiciles) est le 1er réseau français des services d’aide à domicile. Membre à part entière de ce réseau,aide à domicile UNA du secteur de Tigy met au service de ses quelque 300 usagers une riche expérience de 50 ans en faveur du maintien à domicile. Ses 34 aidants professionnels interviennent dans l’ancien canton de Jargeau dans le Loiret, qui compte 10 communes. Grâce à leurs compétences, cet organisme à but non lucratif est en mesure de proposer un accompagnement de qualité répondant au plus près aux besoins de la personne. Une gamme de services à domicile Les services tarifés à prix réels concernent l‘aide aux gestes essentiels de la vie (repas, toilette, habillage, aide au lever ou au coucher, courses et ménage, mais aussi travaux de jardinage) et toute forme d’accompagnement. Un service de téléassistance est également disponible, afin que les personnes vivant seules puissent obtenir de l’aide rapidement face à une situation d’urgence. ...
Le 1er janvier, la communauté de communes est devenue une communauté d’agglomération. Que cela change-t-il en termes culturels ? Annick Guinot : Il y a deux principales nouveautés. Désormais, l’agglomération prend en charge directement les deux musées labellisés musées de France du territoire : l’Écomusée du Haut-Beaujolais, à Thizy-les-Bourgs, et le musée Barthélemy Thimonnier de la machine à coudre et du cycle, à Amplepuis. Nous avons également pris la compétence des écoles de musique. En les gérant, la COR va pouvoir les mettre en réseau au niveau de l’administration, du recrutement, de la mise à disposition de professeurs, etc. Autre changement : vous vous impliquez encore plus dans les festivités du territoire… → Jusqu’alors, nous donnions des subventions aux associations organisatrices d’événements. Désormais, nous serons co-organisateurs ou organisateurs de manifestations, comme Cafés en fête, le Festival de la bande dessinée, etc. Nous sommes partenaires avec le CCAB et le Théâtre de Villefranche. Enfin, pour la Biennale de la danse, la COR fait partie des 12 groupes retenus pour le défilé. Nous prenons en charge l’organisation des répétitions, des ateliers de confection des costumes et de construction des chars. Pourquoi ce souhait de s’impliquer plus ? → Nous souhaitons répartir la culture de manière équivalente sur tout notre territoire. En apportant une offre complémentaire à ce que font déjà les 34 communes. Chez nous, la culture est essentielle et, d’ailleurs, dans un contexte de baisse des dotations de l’État, elle n’est pas une variable d’ajustement. La convention « Retissons le territoire » avec la DRAC s’inscrit aussi dans cette démarche… → Oui, la Direction régionale des affaires culturelles (DRAC) a repéré les territoires où il y avait un besoin d’offres culturelles. « Retissons le territoire » s’appuie sur la mémoire de l’industrie du textile et se traduira par des spectacles, du cinéma, des expositions photographiques ou avec des plasticiens, etc. ...
Ancienne demeure de la famille de Rothschild qui le fait construire en 1914, le château de Montvillargenne est le témoin de grands tournants de l’histoire. L’armée allemande s’y installe durant la Seconde Guerre mondiale. Il fait par la suite office de noviciat pour les sœurs du Sacré-Cœur de Jésus avant de devenir en 1985 l’actuel hôtel de prestige quatre étoiles arborant une décoration contemporaine tout en gardant son architecture originelle, un mélange atypique qui fait tout son charme. Outre le château en lui-même, son parc de six hectares constitue une de ses valeurs ajoutées et offre une irrésistible invitation à des moments de farniente. La détente atteint ici son paroxysme grâce au centre de bien-être constitué d’une salle de fitness équipée, un sauna, une piscine et un hammam. Des chambres qui font rêver Les quelques 120 chambres de ce lieu de prestige sont, chacune à leur façon, un véritable havre de paix invitant à la détente et promettant des nuits dignes d’un conte de fées dans un véritable château. Deux catégories standard : l’une dans l’extension qui se trouve dans la partie qui jouxte le château, juste à côté de l’espace bien-être et de la piscine, conjugue confort avec modernité ; l’autre, au cœur du château, séduit par sa décoration tantôt traditionnelle, tantôt contemporaine accentuée par des couleurs rouge et beige ou marron glacé et fuchsia, couleurs de l’amour, du romantisme, de la sérénité et des… vacances. Un standing qui laisse bouche bée Les tons turquoise et chocolat qu’arborent les chambres supérieures sont reposants pour les yeux. Une décoration tout en fleurs, une ambiance moderne… Il y en a pour tous les goûts. Les univers originaux font voyager, avec un style qui va du baroque au marocain. Séjourner dans un château authentique tout en profitant d’un design très actuel, de toutes les commodités, d’une ambiance exotique et romantique, c’est ce que promettent les chambres de luxe. La chambre Prestige, quant à elle, vous plonge au cœur de l’Égypte dans une belle mise en scène où le sensationnel est au rendez-vous. La décoration est rehaussée d’un sphinx à l’entrée, d’un toit pyramidal, d’une statuette représentant le pharaon au niveau des tentures… Un véritable voyage dans le temps et l’espace faisant ressentir aux clients qu’ils sont vraiment « rois ». Cette suite offre un panorama sur le parc, comme les dieux d’antan qui, au réveil, se mettent à contempler leurs terres. Les saveurs du terroir autrement La salle du restaurant, quant à elle, baigne dans une ambiance douillette et offre une vue sur le jardin. Stéphane Gourault, l’artiste culinaire chargé d’élaborer la carte, revisite les recettes du terroir. De ses fourneaux en sortent des plats créatifs, riches en saveurs et hauts en couleurs. Le tout accompagné d’une carte de vins éclectique qui fait honneur aux plus grandes régions viticoles du pays et d’ailleurs… ...
C’est en Vendée, dans le charmant village de Damvix, au cœur de la Venise verte que se trouve le restaurant-cave à vins Le Marais. À sa tête, deux passionnés qui s’engagent à offrir le meilleur d’eux-mêmes pour satisfaire les épicuriens venus déguster une bonne cuisine et un bon vin dans leur chaleureux établissement. Une cave à vins très personnelle… D’une part, Vincent Lejay, membre de l’association des Cavistes alternatifs. Il « défend une autre idée du vin », qui privilégie le bio et le naturel. Sa collection est le fruit d’un tri méticuleux et strict auprès des petits producteurs. « Je fonctionne uniquement au coup de cœur pour la sélection des vins, bières et spiritueux proposés », nous confie-t-il. Sa cave, particulièrement éclectique mettant en valeur le travail de vignerons engagés, est conforme au personnage : avec beaucoup de personnalité. Les noms très évocateurs des références qui y sont présentées raviront aussi bien les amateurs que les connaisseurs. Dans cette véritable caverne d’Ali Baba, près de 350 références de vins français et étrangers, 50 marques de bières artisanales françaises et 50 marques de spiritueux trônent fièrement sur le rayonnage. Une table inventive… D’autre part, Marie Marteau, grande passionnée de gastronomie s’active aux fourneaux. Elle propose une cuisine de marché avec des produits frais et au maximum local. L’assiette, à la présentation soignée qui laisse entrevoir en filigrane l’empreinte féminine, invite à la gourmandise. La carte évolue tous les mois suivant les inspirations du chef. Parmi les plats phares de la maison figure l’assiette du marais en entrée, la fricassée d’anguilles sauvages et de pommes de terre grenailles en plat de résistance et la brioche vendéenne façon pain perdu, glace vanille et crème caramel au beurre salé ou encore le dôme de chocolat au cœur framboise pour le dessert. Pour accompagner les repas, pas de problème ! Les nombreuses références enrichissant la cave à vins garantissent les meilleurs accords. ...
Ce havre de paix au décor de carte postale invite à l’activité physique. Tout est mis en œuvre pour que chaque passage en couple ou en famille devienne un moment de ski « sur mesure » dans les deux stations-villages du territoire : Saint-Jean-d’Aulps-Domaine Roc d’Enfer et Montriond - Domaine d’Avoriaz. De plus, les professionnels de la montagne proposent des alternatives pour satisfaire une clientèle qui en redemande. Le paradis des skieurs La première station-village est le village de Saint-Jean d’Aulps, avec son domaine « ski grandeur Nature » du Roc d’Enfer. Ce domaine offre des espaces débutants, qui, loin de la foule des grands domaines skiables, permettent aux novices et aux enfants de pratiquer un ski tranquille et itinérant. Parallèlement, petits et grands de tous les niveaux peuvent trouver leur bonheur sur les 50 kilomètres de pistes du domaine. Pour les déplacements, des navettes Skibus assurent gratuitement la liaison entre les villages et les stations durant toute la saison d’hiver. Mais les amateurs de balade détente et revigorante seront aussi tentés par le circuit de plus de 20 kilomètres qui serpente en forêt. De leur côté, le village de Montriond et le domaine d’Avoriaz offrent une expérience de rêve grâce à leur accès direct aux Portes du Soleil. Ce domaine skiable franco-suisse est l’un des plus grands du monde avec ses 650 kilomètres de pistes. Pour leur part, les 77 kilomètres de pistes du domaine d’Avoriaz donnent la possibilité de visiter le village des Lindarets, village des chèvres en été, enfoui sous un manteau neigeux. Un immense terrain de jeu Des activités innovantes et insolites sont aussi à découvrir. La plongée sous glace au lac de Montriond est ouverte à tous sous l’encadrement de professionnels. Pour les amateurs de sensations fortes, il serait dommage de rater le speed riding (parapente et ski) ou le Yooner. Des jeux compétitifs peuvent aussi être mis en place, notamment le Raquett’arc. Les stations-villages possèdent des écoles qui proposent des cours d’apprentissage ou de perfectionnement pour la plupart des activités. Les nombreux restaurants d’altitude restent ouverts pour de petites pauses gustatives. Et à la fin d’une intense journée, rien de tel qu’un lit douillet dans l’hébergement de votre choix pour vous reposer et vous ressourcer avant de reprendre cette intense expérience le lendemain. ...
Quelle est l’histoire de Margo ? Ma fille Margo a été diagnostiquée d’un cancer à l’âge de 14 ans. Malheureusement, il s’agissait d’une tumeur au cerveau incurable. Pendant seize mois, ma fille s’est battue contre cette maladie tout en organisant parallèlement une collecte de fond pour aider la recherche qui a permis de récolter plus de 100 000 euros. Ce combat, je l’ai vécu à ses côtés et cela m’a fait prendre conscience que les enfants n’étaient pas épargnés par les cancers. Il s’agit même de la première cause de décès par maladie des enfants de plus d’un an en France et en Europe. Lorsque Margo nous a quittés, elle a laissé dans un cahier ce message inspirant : « Vas y, bats-toi, gagne ! » J’ai alors créé, avec son père, mon mari, l’association Imagine for Margo afin de poursuivre le combat. Parlez-nous de la genèse de l’association ? Déjà, c’est un changement de vie complet. J’ai dû arrêter de travailler pour m’investir totalement dans l’association que je voulais professionnelle et qui s’est développée rapidement. L’objectif a rapidement été clair : faire bouger les lignes pour obtenir des traitements et des médicaments moins toxiques et plus efficaces pour les enfants au travers de l’accès sécurisé à une recherche innovante et du développement de la médecine de précision. Parallèlement, l’objectif est de rechercher et d’obtenir des financements en mobilisant différents acteurs qu’ils soient industriels ou politiques et faire évoluer la réglementation européenne en la matière. L’idée, aussi, est de sensibiliser l’opinion publique sur les cancers qui touchent les enfants à travers des campagnes de communication. Enfin, l’association entend également apporter du soutien aux enfants et à leurs familles dans leur combat. Quels sont vos partenaires financiers ? Il faut bien comprendre que le cancer de l’enfant est peu attractif pour les industriels du médicament, qui préfèrent privilégier la recherche pour les cancers des adultes qui concernent plus de patients. Face à cette réalité, nous avons mobilisé activement nos donateurs ; particuliers et entreprises. Ainsi, en 10 ans, l’association Imagine for Margo a affecté 17 millions d’euros à la recherche en oncologie pédiatrique permettant de cofinancer 42 programmes de recherche aboutissant, aujourd’hui à 28 nouveaux traitements bénéficiant à 3000 enfants en France et en Europe. Depuis 2020, nous avons aussi fait changer d’échelle notre combat. En effet, avec deux autres associations européennes au Luxembourg et en Belgique, nous avons créé, l’appel à projets, Fight Kids Cancer. Ce regroupement est inédit et significatif. L’objectif est de booster la recherche contre le cancer en mutualisant nos fonds afin d’agir plus vite contre ce fléau qui touche 35.000 enfants et adolescents en Europe. En 3 ans, ce sont plus de 12 millions d’Euros qui ont été affectés à des programmes de recherche innovants. Pour les chercheurs, le message est clair : Nous souhaitons qu’ils passent moins de temps à chercher du financement et qu’ils se consacrent à leur mission : créer un monde avec des enfants sans cancer. Parvenez-vous à sensibiliser vraiment les politiques et les industriels du secteur ? Il faut être volontariste. Ainsi, nous souhaitons que des fonds européens soient dédiés à la recherche pour les cancers des enfants. D’ailleurs, les lignes bougent avec le premier Plan cancer européen et la Mission cancer pour financer de nouveaux projets au niveau européen. Aussi, le changement de la règlementation européenne va être annoncé en mars et nous espérons que cela va aller en faveur du développement des médicaments anti-cancéreux chez l’enfant, comme cela est déjà le cas dans la règlementation américaine depuis 2020. Par ailleurs, des laboratoires pharmaceutiques commencent à mettre en place des équipes dédiées à la pédiatrie, c’est prometteur et nous e...