Le musée de la faïence de Moustiers Sainte-Marie a été créé à l’initiative de Marcel Provence, à une époque où plus aucun atelier ne subsistait dans le village. S’entourant de maitres céramistes, il prend la décision de rallumer les fours. Aujourd’hui, on dénombre 11 ateliers produisant des objets en faïence dans la plus pure tradition. Un peu d’histoire Au Moyen-Âge, seuls des objets en terre vernissée étaient fabriqués. Avec l’arrivée au XVIIe siècle de Pierre Clérissy, descendant d’une famille de potiers de terre, la faïence va prendre son essor. Au début, émaillée blanc, elle va rapidement prendre des couleurs. La fin du XVIIe siècle sera marquée par le bleu et blanc. Viennent ensuite des décorations plus somptueuses, comme des guirlandes, des scènes mythologiques, des fleurs ou des animaux. La faïence de Moustiers avait alors acquis une belle notoriété dans toutes les cours d’Europe avant que sa fabrication ne s’arrête vers 1870. Aujourd’hui, les faïenciers continuent de perpétuer le savoir-faire et la tradition, avec des motifs parfois plus contemporains. Visite du musée Au cours de votre visite du musée de la Faïence, vous pourrez comprendre les différentes étapes de la fabrication de la faïence grâce à de nombreux panneaux explicatifs. Vous découvrirez son évolution au fil du temps jusqu’à aujourd’hui. Vous pourrez y admirer, entre autres, des œuvres des maîtres Clérissy, Olérys et Ferrat. Par la suite, vous pourrez flâner dans le village et pousser la porte des ateliers. Les maitres faïenciers seront heureux de vous accueillir et de vous faire partager leur savoir-faire et les secrets de leur art. ...
Au pied des contreforts du Larzac, sur le terroir de Montpeyroux, la famille Commeyras cultive la vigne depuis 6 générations. Histoire et création du domaine L’histoire du domaine remonte à 1850 avec Pierre Commeyras et son fils, Anténor, tous deux viticulteurs à Montpeyroux. Au retour de la guerre, Auguste, le fils d’Anténor a vécu la même passion. Ses enfants André, Aimé, Auguste ont suivi. Tout en poursuivant l’exploitation familiale, André et Aimé, présidents successifs de la cave coopérative de Montpeyroux, ont initié les VDQS (Vin Délimité de Qualité Supérieure) et AOC. En 1987, à l’issue d’une longue étude sur la qualité organoleptique des vins de Montpeyroux, le Domaine l’Aiguelière a été créé par les familles Teissedre et Commeyras. Nos Terroirs Les vignes épousent les nombreux terroirs qualitatifs de Montpeyroux et des communes voisines afin de favoriser une production équilibrée. Sur les terres protégées par les vents frais et sains du Larzac, le travail est depuis toujours traditionnel avec le minimum d’intrants. De plus, une conversion bio a été opérée en 2018. Les rendements sont volontairement faibles : 22 vignes sur 19 hectares ne produisent que 60 000 bouteilles/an au sein de 53 cuves inox de 3000 hl dans un chai climatisé. À noter : la gamme complète des 7 cuvées des 3 appellations (AOP Montpeyroux, AOP Terrasses du Larzac et IGP Saint-Guilhem-le-Désert) est régulièrement récompensée depuis plus de 30 ans : CGA, Decanter, Hachette, Robert Parker Wine Advocate, RVF…. Découvrez la Côte Rousse 2018 en AOP Montpeyroux Vin rouge réalisé à partir de Syrah et Grenache, si vous aimez les vins puissants et complexes avec une grande longueur et un bon équilibre des tanins, nous vous conseillons de tester la Côte Rousse 2017 ou 2018. Idéal avec du gibier à plumes, de la viande rouge, de la viande en sauce ou du chocolat noir, elle va s’épanouir pendant 10 à 15 ans au moins en restant jeune et attrayante. ...
Entre Villefranche-sur-Saône et Mâcon, à 40 km au nord de Lyon, dans la commune d’Odenas, le Château de La Chaize se dresse majestueusement sur les flancs des monts du Beaujolais. A part le fait qu’il soit devenu le plus grand producteur en appellation Brouilly, ce domaine fait partie intégrante du patrimoine historique de la région. Un château chargé d’histoire La longue histoire du Château de La Chaize débute en 1670, lorsque François de La Chaize d’Aix s’approprie la terre de La Douze à Odenas. La construction du château commence en 1674 selon les plans établis par de grands architectes de l’époque, à savoir Jules-Hardouin Mansart et Thomas Blanchet. En 1735, par le biais du mariage de Françoise de La Chaize d’Aix et d’Antoine Marquis de Montaigu, le domaine alors passe entre les mains de la famille Montaigu. En 1967, la Marquise de Roussy de Sales hérite du domaine. « Ma mère a fait énormément de travaux de restauration et de restructuration, notamment en passant de l’agriculture traditionnelle à l’agriculture raisonnée » confie Caroline de Roussy de Sales. Ces efforts ont été récompensés. L’ensemble du château, du cuvage et des jardins a effectivement été inscrit au titre des Monuments Historiques en 1972. La notoriété de cette propriété est telle qu’en 1996 la marquise a reçu Bernadette Chirac et Hillary Clinton dans le cadre d’un sommet du G7. Un vignoble d’exception Le domaine de 99 hectares profite d’excellentes conditions favorisant le développement optimal des vignes. Le sol, assez homogène et composé de sable granitique ocre spécifique à l’appellation Brouilly, favorise un drainage naturel des eaux de pluie. De plus, l’exposition à mi-pente des vignes par sa situation au sein d’un cirque naturel permet une maturité optimale des raisins. L’encépagement est intégralement composé de Gamay noir à jus blanc. La moitié du vignoble est formée de vieilles vignes de 40 ans et plus avec des parcelles qui sont même âgées de 80 ans. Un mode d’agriculture respectueux de l’environnement Depuis des générations, la famille Roussy de Sales exploite ce domaine en association avec sept familles de métayers. Depuis que Caroline de Roussy de Sales tient les rênes, de nouveaux changements ont été apportés au sein du vignoble, notamment concernant les méthodes d’agriculture. « Nous avons transformé beaucoup de choses au niveau des traitements. Il y a dix ans, nous avons entammé une nouvelle forme de plantation moins dense avec de l’enherbement et des palissages qui permettent de structurer les vignes pour faciliter le passage des tracteurs. En 2008, le domaine a reçu le certificat Bureau Veritas pour l’agriculture raisonnée », confie-t-elle. Terre du Brouilly Depuis le XVIIe siècle, le Château de La Chaize a pour vocation de produire des Brouilly qui ont toujours été mondialement reconnus. Son catalogue de vins est composé de quatre cuvées, toutes issues d’assemblage. Le « Château de La Chaize Brouilly » est la cuvée ambassadrice du domaine. Il s’agit d’un vin de garde expressif et puissant. La « Cuvée Vieilles Vignes » est, comme son nom l’indique, issue des parcelles de vieilles vignes du domaine. C’est un vin gastronomique élevé dans d’authentiques pièces bourguignonnes. La « Réserve de la Marquise », est une cuvée d’exception destinée à la garde. Elle est issue d’une macération longue et est élevée 12 mois en futs de chêne français neufs. Quant au « Rosé du Château de La Chaize », nouvel arrivant au catalogue depuis 2008, il exprime l’élégance et le côté fruité du Gamay. ...
Nous sommes en 1946 lorsque Piet Moget intègre, à La Haye, l’école des Beaux-Arts. Là, il rencontre Mary Schallenberg, une artiste talentueuse qu’il épousera cinq ans plus tard. Marqué par l’impressionnisme de Claude Monet, Piet Moget commence, avec sa femme, un long et passionnant voyage à la recherche de leur identité artistique. Dans la foulée, Piet Moget organise, dès 1952, des expositions d’œuvres de confrères artistes. Cet engagement solidaire se concrétise par la création du Lieu d’Art Contemporain (LAC) en 1991. Ils ont l’art dans le sang Le lieu d'art privé de la famille Moget, c’est avant tout la vitrine d’une passion familiale commune transmise de génération en génération. Éduqué dans une école avant-gardiste, priorisant une approche pédagogique participative et créative, il est épaulé très tôt par le peintre hollandais Jan Blockpoel. De son côté, Mary Schallenberg, fille d’un peintre, est initiée très jeune à la peinture, et développera un talent peaufiné par ses séjours en académie d’arts plastiques et de peinture. Tous deux s’installent en France en 1953, à la Grande-Basse, enchaînant travail et voyages artistiques avant d’investir une ancienne bâtisse viticole abandonnée, qui deviendra le lieu d'art que nous connaissons aujourd’hui. C’est à leur fille, Layla Moget, élevée dans la passion de l’art, que reviendra cet héritage. Après des études en conservation de musée de l’école du Louvre, cette dernière se consacre à l’horticulture avant de se tourner pleinement vers la gestion du musée privé. Des expositions et des collections riches en émotion Au cœur du département de l’Aude, à mi-chemin entre l’Espagne, la région toulousaine et le Bordelais, ce lieu d’art accueille sa toute première exposition lors de son ouverture, en 1991. Il s’agit alors d’une exposition du plus grand ami de Piet Moget : le peintre hollandais Geer van Velde. Cet événement fut une réussite, et en découle alors le début d’une success-story. Chaque année, et grâce à l’appui de nombreux partenaires locaux et régionaux, le Lieu d’Art Contemporain (LAC) accueille en moyenne trois expositions mettant à l’honneur des artistes en herbe, mais aussi des peintres reconnus tels que Dado, un artiste yougoslave, en 1997, ou Ger van Elk, un spécialiste hollandais de l’illusion d’optique, en 2015. Outre les expositions, le musée privé s’étendant sur deux niveaux dans un bâtiment de 2 000 m2 possède une collection permanente qualifiée de « collection éclectique » par Layla Moget. Olivier Debré, Dado, Geer van Velde, Robert Morris, erró, Marlene Dumas, plusieurs hyperréalistes américains ou encore Matias Spescha sont les figures de proue de cette collection accessible, dans laquelle « tout le monde peut trouver son compte […], même les visiteurs arrivés par accident », toujours selon Layla. Cette mosaïque de genres, d’époques et de styles confère ainsi toute sa singularité au lieu d'art, qui ne fait pas dans « la muséologie traditionnelle », continue Layla. ...
Manque d’idées de sortie pour le weekend ? Pas de panique ! Avec Flâner Bouger, les internautes sont certains de trouver leur bonheur à travers un large éventail d’évènements au niveau aussi bien local que national. Une petite structure qui mise sur le local Créé en 2014, le site est né d’une envie de partager des informations concernant les marchés où Laurent Brunet, le fondateur, se rendait lors de ses vacances. Flâner Bouger donne certes les grands rendez-vous nationaux. Mais il se démarque aujourd’hui par sa volonté de promouvoir et de faire connaitre la spécificité des terroirs et coutumes des territoires de France. Un avenir prometteur Afin d’apporter davantage de satisfaction aux annonceurs et aux visiteurs, Laurent Brunet envisage de s’entourer d’une équipe tout en apportant de nouvelles fonctionnalités à son site. ...
Bruno de Villepin, 10e génération de viticulteurs, a débuté en 1999 sur l’exploitation familiale de sept hectares, héritée de son aïeul, ancienne propriété de la duchesse d’Uzès, petite-fille de la veuve Clicquot. Entre la construction de son vignoble et le montage de sa cuverie de vinification, il lui aura fallu 14 ans avant de pouvoir enfin commercialiser, fin 2013, ses premières cuvées, que sont le « Millésime 2008 » et le « Brut Vignoble ». Un terroir atypique Contrairement aux autres terroirs champenois, le sol du vignoble de Boursault est argilocalcaire. Le domaine travaille et préserve ce sol très typé avec le plus grand soin en engageant une démarche innovante, notamment un enherbement complet sur certaines parcelles. Cette méthode est une alternative, plus saine et plus durable, au désherbage chimique. « Cela nous permet d’avoir une très bonne vie microbienne et d’obtenir des vignes particulièrement équilibrées » explique fièrement Bruno de Villepin. Une vertueuse initiative qui a valu au domaine la certification HVE (Haute Valeur Environnementale) et très prochainement le label Viticulture Durable en Champagne. Des gages de qualité qui incarnent la philosophie de la maison. Côté cuves Sur le plan de la vinification, la méthode est également assez particulière, puisque les parcelles sont vinifiées séparément, afin d’en connaître toutes les caractéristiques. L’élevage des vins se fait ensuite sur lies fines, sans filtrage, pour pouvoir garder la matière et la complexité du terroir. Finalement, ils sont laissés en cave au minimum 24 mois avant d’être commercialisés. ...
Le Roi de la garbure, c’est ainsi que le propriétaire du Café des sports est surnommé. Et pour cause, c’est autour de cette soupe traditionnelle béarnaise que s’est construit la notoriété de Gaby Regagnon et de son restaurant. Dans cet univers culinaire en évolution permanente, le Chef préfère se construire une identité « en béton » autour de recettes simples mais de qualité, et cela marche. Qualité et simplicité de la cuisine Dès 6h du matin, Gaby Regagnon s’active derrière les fourneaux pour préparer sa garbure. Cette soupe de légumes traditionnelle au jambon de Bayonne mijote toute la matinée. Elle est proposée tous les jours et garde toujours le même succès. Cela démontre que ce qui est important dans la cuisine : c’est la passion du métier, l’amour des produits et le temps donné par le Chef pour la satisfaction de ses clients. Comme le roi de la garbure le dit : « ce n’est ni l’eau, ni le sel qui fait la qualité de la garbure. C’est l’os de jambon, le temps de cuisson et la quantité préparée ». La cuisine du Café des Sports prime surtout les produits de Béarn et de Chalosse. A la liste des recettes phares du Café des sports, Gaby en a ajouté trois. La Tête de veau sauce gribiche est régulièrement servie le premier vendredi du mois, la Morue persillade le deuxième, la Poule au pot la troisième et le Cassoulet le quatrième. Outre ses plats de renom, le Chef suggère à la carte du Jambon de Bayonne, des Tournedos aux cèpes ou noix de Saint-Jacques sans oublier le magret et le foie gras. De la salade landaise, de l’omelette aux cèpes et des frites maison y figurent également. Et le Chef met toujours en avant la région avec le gâteau basque maison à la crème ou à la confiture de cerise. Les Pyrénées-Atlantiques, lieu de gastronomie et de tourisme Le Café des sports siège sur la place de la république, l’ancienne place du marché aux bestiaux d’Arzacq-Arraziguet. Cette commune est située dans le département des Pyrénées-Atlantiques qui s’avère être un terroir aux richesses intarissables. Beaucoup de monuments historiques et de lieux touristiques y sont liés à la gastronomie. Cela va des châteaux de domaines viticoles aux Musées, en passant par les marchés, les cafés et restaurants qui sont des témoins vivants de la tradition gastronomique gasconne. Avec les recettes du Chef Gaby, notamment la garbure, le Café des sports est devenu à lui tout seul le symbole de toute une culture. Le Café des sports est situé non loin du Musée du jambon de Bayonne à Arzacq, un espace culturel et éducatif dédié entièrement au jambon de Bayonne, à l’histoire du cochon et de sa consommation. Une boutique est également ouverte pour trouver tous les produits du Sud-Ouest comme les paniers garnis, les coffrets gastronomiques, les plats cuisinés et évidemment le fameux jambon de Bayonne. Une visite du Moulin de Garos est aussi possible après une pause gustative chez Gaby. Celui-ci se trouve à environ 5 km du restaurant, en bordure du Luy de France. C’est l’eau de ce dernier qui fait tourner les roues du moulin lors de la mouture. Ce moulin est fortement lié au Château de Cabidos, un domaine viticole de 9 hectares. Le Sauvignon, le Chardonnay ou encore le Syrah sont les fruits de cette exploitation. Ce château est inscrit à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques. ...
Les 2 cofondateurs d’Ahooga travaillaient dans la même entreprise bancaire quand à 40 ans ils cherchent à donner plus de sens à leur quotidien. Ils font le constat que les infrastructures routières et de transport ne sont plus adaptées au changement démographique. Convaincus que le tout voiture ne fonctionne plus, ils souhaitent proposer une solution de transport plus efficace et plus heureuse. L’un amoureux de la ville, l’autre cycliste, ils optent rapidement pour le développement d’un vélo dédié aux déplacements urbains, pour une meilleure mobilité. Ainsi est né en 2015 le premier vélo Ahooga, un vélo de qualité, pliable, design, confortable, compact, électrique (ou pas), léger et facile à transporter plié. Grâce à ce concept, ce vélo peut facilement être rangé à l’intérieur de votre maison ou de votre bureau, un atout important pour le protéger des intempéries et limiter les risques de vol. Avec les vélos Ahooga, plus aucune contrainte de déplacement puisqu’il répond aux besoins des cyclistes urbains. Avec le vélo à assistance électrique, vous aurez l’impression que toutes les villes sont plates. Avec l’autonomie de sa batterie, vous pouvez parcourir jusqu’à 75 kilomètres en toute tranquillité. Avec son poids léger (10kg, 13kg avec la batterie et le moteur), sa facilité de pliage et sa taille compacte, il devient vite intermodal pour vous permettre de combiner les transports sans difficultés. Actuellement, 8 modèles sont proposés, pour toute personne mesurant entre 1m60 et 2m. Ces vélos sont disponibles chez 150 revendeurs dans 10 pays européens, dont 60 magasins spécialisés en France. Récompenses Malgré sa courte existence, le vélo Ahooga a déjà été récompensé par deux fois : en 2018 par le German Design Award et récemment par le Red Dot Design Award. ...
Coaching « professionnel » : un adjectif à double sens Le coaching se développe à la faveur d’une demande croissante. Ce terme regroupe néanmoins des acceptions innombrables, ce qui rend la sélection d’un coach ardue – Face à cette multiplicité d’offre, la société Différence COACHING à Strasbourg a choisi un positionnement clair, dans une optique résolument professionnelle et s’adresse à une clientèle ciblée. Les termes « coach » et « coaching » ne sont en effet pas vraiment protégés : ils ne définissent pas précisément le profil, le contenu, ou le niveau de qualité de la prestation. Passé le premier tri entre coaching de vie et coaching professionnel (qui vise des objectifs d’ordre professionnel), la formation suivie ainsi qu’une certification reconnue s’imposent comme deux premiers critères de sélection, garants de la professionnalité dans cette pratique (en particulier par le respect d’une éthique et d’une charte). S’agissant d’un coaching effectué dans le cadre ou à des fins professionnels, quels autres critères une entreprise peut-elle considérer dans le choix d’un prestataire ? La qualité de la relation entre manager et coach, devrait être l’un de ces critères : celle-ci suppose la compréhension fiable et précise des tenants et aboutissants du milieu professionnel, du contexte donné et de la situation, aspects qui contribuent à la crédibilité professionnelle du coach. Ces aspects contribuent selon Alexandre Bouriant coach professionnel et créateur de Différence COACHING, à l’établissement possible d’une relation de confiance mutuelle qui contribuera grandement à l’efficacité d’une mission, en particulier quand cette dernière est commanditée par une entreprise et non par le manager lui-même. L’impact des cultures professionnelles dans la relation de coaching Vous l’avez sûrement remarqué : quand vous parlez avec quelqu’un venant de votre milieu professionnel, la « proximité » ressentie permet d’atteindre immédiatement une communication privilégiée. Une fois celle-ci installée, la part exprimée du dialogue se réduit à ce que l’on peut comparer à la partie visible d’un iceberg. Par contre, la partie immergée (sous-entendus, expériences vécues) qui contient une foule d’informations transmises de façon implicite, est souvent porteuse du sens profond et des aspects clé. Ce niveau de communication repose sur un bagage culturel professionnel commun aux interlocuteurs (études, milieu professionnel, spécialité, fonction, etc.). En face du coaché, s’il ne dispose pas de ce bagage proche de son client, le coach sera démuni de repères adéquats. Il lui manque alors des informations pour accéder à une perception fiable et complète du contexte professionnel et du ressenti de la personne coachée. L’efficacité de l’intervention du coach s’en trouve, de fait, limitée. De cette compétence communicative du coach par sa proximité culturelle avec le coaché, dépendra donc l’existence et l’étendue du dénominateur commun découlant de leurs bagages respectifs. C’est donc sur la base de l’expérience acquise par le coach dans une première vie professionnelle (branche, management, monde de l’entreprise) que pourra s’établir sa crédibilité face au coaché et une possible « intimité professionnelle ». Cette première expérience, avant celle de son métier de coach, est donc un prérequis et un critère de choix pour une réponse adéquate à la mission de coaching professionnel et favorise l’efficacité de son intervention. C’est à partir de cette constatation que Différence COACHING a décidé de centrer son offre de coaching sur cette optique professionnelle, ce afin de mieux adresser et satisfaire une clientèle ciblée de dirigeants et managers. Mieux identifier un possible dénominateur commun sur la base d’un positionnement de coaching spécifique Pour ses clients, Différence COACHING apporte son bagage sp&eacut...
Installé en plein cœur du centre de la ville d’art et culture, sur la Place des Cardeurs, le restaurant l’Epicurien tranche par la qualité des services et des menus proposés. Une adresse discrète à l’ambiance intimiste qui fait le bonheur des aixois et touristes de passage venus déguster une cuisine bistronomique. Un chef inspiré et créatifPour vivre une expérience culinaire hors des sentiers battus, dans une ambiance conviviale aux couleurs du sud, l’Epicurien ouvre ses portes. Un établissement qui porte bien son nom, dirigé par un chef passionné. Ludovic Aillaud fait ses premières gammes dans le Luberon au sein de l’établissement étoilé d’Edouard Loubet où il se découvre une prédilection pour les herbes, qu’il apprendra à maîtriser à la perfection. En parallèle, il continue ses études dans les métiers de la restauration et de l’hôtellerie. Plus tard, il intègre l’établissement marseillais Le Charles Livon et exerce comme second de Christian Ernst. Avec son expérience et ses talents, il est temps pour le chef de voler de ses propres ailes. En 2010, il investit le Forum des Cardeurs et concrétise un rêve : l’ouverture de son restaurant aux allures de bistrot chic, devenu rapidement l’une des références les plus citées de la ville. L’intérieur propose un cadre agréable et cosy ponctué par une décoration raffinée. Les toiles d’artistes ornant les murs et les tables en bois donnent tout son cachet à la salle. Le personnel est sympathique et Laura Aillaud, la maitresse des lieux, garantit un bon acceuil et service. Elle pourra notamment vous conseiller sur les choix des vins car il faut savoir que l'établissement possède une centaine de références variant régulièrement. Des vins de vignerons oeuvrant dans le respect du terroir et de leur écosystème ont été spécialement sélectionnés. Une cuisine de saisonEcrite à l’ardoise, la carte est évolutive et change toutes les semaines. Elle est élaborée suivant la saisonnalité, la qualité et la fraîcheur des produits mais surtout, en fonction de l’inspiration et de l’humeur du chef. Pour flatter les papilles, il n’hésite pas à plonger dans ses livres de cuisine qui lui soufflent les idées les plus originales. Chaque jour, trois entrées, trois plats et trois desserts sont proposés, de quoi satisfaire toutes les envies.Des plats signatures ? Oui. En été, les aixois investissent la belle terrasse de l’Epicurien qui se prolonge dans la rue pour venir déguster les fameux fleurs de courgette qui font la réputation du chef. Il lui arrive même d’organiser des ateliers où il partage tous les secrets de préparation de cette spécialité provençale. En tempura, vapeurs ou farcies, les fleurs de courgette se déclinent en de multiples saveurs. A ce titre, si vous souhaitez participer aux cours de cuisine du chef, il est temps de d’ores et déjà vous renseigner. Mais vous pourrez aussi faire appel à ses services pour animer vos événements (anniversaire, séminaire d’entreprise, enterrement de vie de jeune fille…) dans le cadre d’ateliers privés. ...
Depuis plus de 50 ans, Plage Royale sait vous faire bénéficier d’un cadre idyllique au bord de la Méditerranée, que ce soit pour vous restaurer ou pour passer un après-midi de détente. Installée le long de la Croisette, elle vous offre plus de 780 m² de sable doré et 150 transats pour profiter du soleil en toute tranquillité, à l’écart de la foule. Mais vous pourrez également séjourner à l’ombre sur la terrasse tout en dégustant un délicieux cocktail maison. Plage Royale a misé sur le blanc pour son mobilier moderne et confortable ainsi que pour sa décoration, afin de mettre en valeur cet environnement unique. Le restaurant Le chef Alexandre Elia aime revisiter les classiques locaux en les habillant des saveurs des différents pays méditerranéens. Tous les plats sont préparés à base de produits frais. La carte change à chaque saison. Cet hiver, vous pourrez ainsi découvrir la succulente terrine de foie gras de canard à la compotée de coings et baies de goji ou le pavé de morue à la Portugaise, cuit au four avec huile d’olive, câpres, tomates séchées, olives et oignon. Vous pourrez également satisfaire vos papilles avec le loup grillé accompagné d’une fricassée de légumes et de pommes vapeur ou la bouillabaisse royale au safran et condiments. Un menu enfant est également proposé pour que toute la famille puisse partager un agréable moment. Vos événements Dans cet espace complètement modulable, vous pourrez organiser événements privés ou professionnels selon vos envies. Toute l’équipe de Plage Royale est à votre écoute pour mettre en place votre projet dans les meilleures confitions. Mariage, anniversaire, cocktail, concert, réunion de travail ou déjeuner d’affaires pourront ainsi bénéficier de la terrasse ou de la plage en accès privatisé. ...
Sur un terroir d’exception, la maison Lequart a su mettre en valeur cette terre pour y élaborer des cuvées élégantes et toutes en finesse. Le Meunier étant ici en majorité, vous pourrez notamment y découvrir des cuvées mono-cépages pur Meunier qui ne sont à manquer sous aucun prétexte. Terre de prédilection du Meunier S’étendant sur une superficie de 10 hectares, le vignoble familial profite d’une belle exposition. "Les sols de nature argilo-calcaire apportent générosité et gourmandise à nos cuvées" confie Laurent Lequart, artisan-vigneron. 80 % de la surface est plantée en Meunier, cépage emblématique de la vallée de la Marne. Le Chardonnay et le Pinot Noir viennent compléter la trilogie. Par conviction, le vignoble est travaillé en viticulture raisonnée et évoluera prochainement avec une certification HVE Haute Valeur Environnementale. La récolte vendangée manuellement est apportée à l'union des producteurs de Passy-Grigny afin d’y être vinifiée et mise en bouteille. Le tirage et le veillissement sont personnels ce qui permet de préserver l'identité propre à chaque vigneron au sein de cette union. Des cuvées pour tous les goûts Chaque année, 63 000 bouteilles sont écoulées, essentiellement sur le marché Français bien que l'entreprise vienne de s'ouvrir aux marchés internationaux notamment sur l'Italie, les Etats Unis ou encore le Canada. Trois collections contenant chacune un Champagne 100 % Meunier font la renommée de la maison. Dans la collection Découverte, la cuvée de Réserve sera à l’honneur. Facile à déguster et très fruitée, elle accompagne à merveille des huîtres fines de claire, du saumon mariné ou encore des crevettes marinées au pamplemousse rose. La collection Gourmande dévoile la cuvée Parfait de Meunier Brut, composée exclusivement de Meunier issu de vieilles vignes de plus de 45 ans à l’origine d’une grande complexité aromatique. Dernière et non des moindres, la cuvée Prestige Pur Meunier Extra Brut de la collection Exception By LL, qui est à la fois puissante, élégante, charnue et charpentée. Ce vin est vinifié en fûts de chêne et repose six mois avant d'être vieilli pendant 72 mois soit six ans en cave. ...
Dessiné par Jacques Garcia et construit par les meilleurs artisans, le Selman Marrakech séduit par son harmonie intemporelle. Cet hôtel cinq étoiles luxe surgit comme une madeleine de Proust, un doux souvenir des contes des Mille et une Nuits. Véritable havre de paix entre tradition et modernité Marrakech s’est imposée comme destination touristique de premier plan. Le Selman Marrakech, palais érigé de main de maître, donne toute sa puissance à l’art et au savoir-faire des artisans venus de tous horizons, mais également à l’éternelle hospitalité marocaine. Moucharabiehs, dinanderies, zelliges, tapis d’Orient aux superbes coloris, jardins aux mille senteurs : lauriers, bougainvilliers, eucalyptus, arganiers et oliviers. Les lieux regorgent de nature. Autant dire que le Selman Marrakech est une oasis luxuriante. Les hôtes font partager aux convives de précieux instants magnifiés par des parades de sublimes pur-sang arabes. Tout un symbole de la grandeur d’une civilisation. Au cœur du Selman Marrakech, le rêve devient réalité. L’âme de ce palace de la ville ocre révèle un bonheur de vivre et une expérience inédite, et transporte vers un retour aux sources d’un luxe oublié, à la lumière des cinq étoiles gagnées. Immersion dans l’hôtel, une douce rêverie Voici une visite guidée du Selman Marrakech. Immersion dans une demeure unique. Le Selman Marrakech est un vrai palais, comme dans un conte de fées. La direction exige la perfection. Les hôtes satisfont les convives en quête de ce qu’il y a de meilleur. Pour les chambres, elles séduisent toutes par leur ambiance feutrée et chaleureuse. 12 chambres classiques spacieuses et énigmatiques, et 18 chambres supérieures… Les premières offrent les éléments de confort de signature Selman Marrakech. Leurs larges terrasses privatives offrent une vue imprenable sur les paysages avoisinants. Les secondes, luxueuses, sont dotées d’une grande terrasse avec vue sur les jardins andalous ou sur le bassin de 80 mètres de long. Elles sont toutes orientées du côté de la piscine. Propices à la rêverie et à l’émerveillement, ces chambres offrent un dépaysement total, un éveil des sens. Luxe et vue imprenable sur les sommets de l’Atlas D’inspiration marocaine, le décor des chambres Deluxe, au nombre de 20, spacieuses avec leurs 70 m², est raffiné. Elles bénéficient d’une vue imprenable sur les sommets enneigés de l’Atlas en hiver et d’une belle couleur chatoyante en été. Aussi les suites, au nombre de cinq, ont une surface de 120 m². Agréables et attrayantes, elles sont le parfait symbole de l’art de vivre marocain. Avec les merveilles des montagnes de l’Atlas en toile de fond, ces chambres disposent en plus de deux belles terrasses séparées donnant sur la piscine et le pavillon andalous. Élégantes, les salles de bains en marbre et zellige noir et blanc sont pourvues d’une douche et d’une grande baignoire. Les riads, l’art de vivre à la marocaine Intimes et luxueux, les cinq riads constituent les hébergements les plus emblématiques de l’art de vivre à la marocaine. Au Selman Marrakech, ces résidences romantiques jouent pleinement la carte de la sensualité. De plus, les quatre riads, d’une superficie de 580 m², disposent d’une chambre principale très spacieuse, d'un salon, d'une cuisine, d'une bibliothèque et d'une salle à manger, ainsi que d’un puits de lumière et d'une majestueuse vitrine de l’art marocain dans toute sa splendeur ! De plus, son unique riad de 700 m² est composé de deux chambres principales : une véritable maison à la montagne ! Joyaux préservés, tous les riads sont dotés d’une piscine chauffée et d’un jardin privatif bordé de bougainvilliers, et offrent un service majordome 24h/24. Autant dire une oasis luxuriante aux diverses particularités à découvrir encore et encore. ...
De toutes les propriétés viticoles de l’aire d’appellation Luberon, le Château de Clapier se démarque pour être le seul et unique domaine à disposer du Pinot Noir qui, associé au Grenache et à la Syrah, apporte une touche d’originalité et d’élégance aux vins. Un vigneron digne de son héritage Ancienne propriété des Marquis de Mirabeau, le Château de Clapier a été acquis quelque temps après la Révolution par Théodore Barataud, aïeul de l’actuel propriétaire, Thomas Montagne. Loin de déroger à cet héritage familial, ce dernier le prolonge et même au-delà. En atteste Julie Bogenschütz, responsable commercial au sein du domaine, « Thomas Montagne est le président des Vignerons Indépendants au niveau national et au niveau européen. Il défend la cause vigneronne au parlement européen, notamment ». Comme il est aussi père d’une fratrie de six enfants, cette histoire de legs n’est pas près de s’arrêter en si bon chemin. Un domaine privilégié par mère Nature Établis sur le lieu-dit du Clapier, les 35 hectares du vignoble du Château de Clapier sont installés sur un terrain argilo-calcaire et caillouteux. Bénéficiant d’un ensoleillement très favorable toute l’année, les vignes du domaine sont de plus soumises à l’effet bénéfique de l’air frais qui descend des Alpes par le goulot naturel des deux falaises qui encadrent la Durance. Résultat, les traitements en intrants y sont limités au strict nécessaire. Du vin à l’Opéra, il n’y a qu’un pas Grand amateur d’opéra, Thomas Montagne a décidé de nommer ses cuvées ambassadrices en référence à cet art lyrique. Ainsi, dans l’appellation Luberon, les cuvées du Château se déclinent en deux gammes baptisées Soprano et Vibrato, toutes disponibles dans les trois couleurs. « La gamme Vibrato, élevée en cuve inox, développe des notes de fruit et de la fraicheur, tandis que la gamme Soprano travaillée en barriques, sont des cuvées de gastronomie pour accompagner les repas », explique Julie Bogenschütz. Outre les AOP Luberon, le domaine produit également quelques vins atypiques en appellation IGP Méditerranée. ...
Après 17 ans d’expériences commerciales dans des grands groupes internationaux, Laure Demerson réalise que ce qui l’anime c’est d’accompagner les gens dans leurs réalisations. « Je sentais qu’il ne fallait pas grand-chose pour que les gens deviennent ce qu’ils ont envie d’être et qu’ils soient plus épanouis », explique-t-elle. Animée par cette volonté de venir en aide aux autres, elle suit une formation en PNL (programmation neurolinguistique), puis décide de se former au coaching. Des coachings de vie Il n’est pas nécessaire de demander à Laure Demerson le type de coaching qu’elle dispense. « Je coache des hommes et des femmes, et non des problèmes. Quelle que soit la problématique, qu’il s’agisse de difficultés personnelles ou professionnelles... Pour moi, cela s’apparente toujours à des coachings de vie », souligne-t-elle. Afin d’instaurer la confiance et de créer un espace sécurisant pour le client, Laure Demerson commence par une séance de découverte dans le but d’établir une forme de connexion entre le coach et le coaché. « Cette séance d’une heure est essentielle pour faire connaissance et également pour vérifier que nous pourrons travailler ensemble. » C’est aussi l’occasion de cerner la ou les problématiques à traiter et d’aborder les modalités de coaching. Une fois cette étape franchie, il s’agit ensuite de définir les objectifs de chaque séance et de déterminer les résultats attendus par le client. Pour justement les atteindre, le rôle du coach est de guider, d’amener l’individu à trouver en lui-même les ressources et les solutions à ses problèmes. « Par un jeu de questions qui va déclencher un effet miroir, la personne va trouver la réponse en rapport à ses objectifs. Lors des accompagnements que je propose à mes clients, je mets l’accent sur les solutions, le passage à l’action, et je me concentre sur les objectifs à atteindre. », nous explique notre interlocutrice. ...
Le chef Grégory Mirer propose au restaurant des Bories & Spa une approche contemporaine de la cuisine, surprenant mélange de parfums et de textures. Un véritable voyage à la recherche de saveurs qui excitent le palais et invitent à de nouvelles découvertes. Ponctués d’herbes aromatiques et de fleurs du jardin, ses plats contribuent au plaisir des yeux, mais aussi des papilles. Ce chef suit une trajectoire méditerranéenne mais ne dédaigne pas des incursions exotiques de cuisine fusion, notamment agrémentées d’algues japonaises, de wakamé, etc. Restaurant Les Bories : cuisine et chef étoilé... Le chef est diplômé de la célèbre École supérieure de cuisine française Ferrandi. Il a commencé sa carrière en tant que commis de cuisine à l’hôtel Meurice, à Paris. Il a travaillé pendant deux ans avec Joël Robuchon au restaurant l’Astor, « 2 étoiles Michelin ». Il a enchaîné avec l'Atelier de Joël Robuchon, avant d'intégrer l'Hôtel Métropole, à Monaco, « 2 étoiles Michelin ». Puis il a officié au restaurant Mirazur, à Menton, « 2 étoiles Michelin », pour le chef argentin Mauro Colagreco, où il s'est perfectionné dans l’utilisation des herbes et des fleurs. Le chef Grégory Mirer a su conserver l’étoile Michelin obtenue par son prédécesseur au Château de Curzay, Relais et Château, avant de se voir confier la direction de la cuisine du restaurant Le Jardin à l’Hôtel de Mougins, l’une des adresses incontournables du village. C'est en 2015 qu'il a rejoint l'Hôtel des Bories & Spa, à Gordes. Les Bories : un restaurant aux saveurs et senteurs de la Provence et du Luberon Le restaurant gastronomique des Bories bénéficie d’un cadre raffiné, d’une très belle terrasse ombragée, ainsi que d’une vue panoramique sur le Luberon. Son domaine de huit hectares d’oliviers, de cyprès, de chênes verts et de lavandes, avec ses jardins aromatiques, offre une cuisine généreuse, ensoleillée et rajeunie, afin de savourer chacun des mets et de passer un agréable moment. L’élégance discrète d’un service attentionné plonge la clientèle dans une ambiance chic décontractée, feutrée et conviviale, donnant la sensation d’un lieu calme et bienfaisant. Le chef a le don de faire danser les herbes et les fleurs dans d’étonnantes assiettes ! ...
Dans un monde de plus en plus connecté où le numérique occupe une place de choix dans des domaines variés, pourquoi la restauration devrait-elle faire exception ? Prenant conscience de l’atout majeur que pourrait constituer le digital dans la promotion des CHR, Geoffrey Cuberos, le fondateur de Tastycloud profite de l’aubaine pour en faire « la solution » qui révolutionne le domaine de la restauration. L’origine du concept C’est à l’issu de 2 ans d’étude du marché des CHR au sein d’une école supérieure de commerce, que Geoffrey Cuberos entame une brillante carrière en créant la société TastyCloud à Paris. Il part du concept qu’une bonne communication de base ne peut qu’être rentable pour un prestataire de service. Il a su tirer les leçons de ses multiples expériences personnelles à l’étranger et allier ses acquis sur le marketing sensoriel et expérientiel durant l’apprentissage. Cette démarche lui a valu une expertise infaillible en termes de création de stratégies pour l’acquisition et la fidélisation des clients. C’est ainsi que la start-up innovante a déjà bénéficié de la confiance de plusieurs clients restaurateurs et hôteliers pour la gestion de leur menu digital, à l’image des Turbulentes, Courtepaille, Ibis, Le Bal Courchevel ou encore les Dim Sum Cantine et Dim Sum Montmartre. Ses prestations s’adressent aux cafés-hôtels-restaurants en remplaçant la classique carte papier, par des menus sur tablettes tactiles à présenter au client pour qu'il fasse son choix. Le menu digital : de nombreux avantages au service de la croissance économique des CHR Les menus digitalisés sont clé en main étant donné que TastyCloud prend tout en charge, depuis la fourniture de la tablette l'offre entrée de gamme Archos 10,1″ à l'offre premium Samsung Galaxy 10,1″ full HD, jusqu'à l'application finale. Un photographe professionnel shoote tous les menus, cocktails et boissons de sorte à les mettre visuellement à leur avantage car, selon le fondateur Geoffrey Cuberos : « on mange d’abord avec les yeux… ». Des traducteurs professionnels spécialisés dans l’univers culinaire traduisent les menus parmi 25 langues pour aider les clients étrangers dans leur compréhension de la carte. Un véritable atout pour les restaurateurs situés en zone touristique. Le menu digital est une manière de rendre le consommateur plus actif dans sa consommation. Mais c’est aussi une bonne façon de le rassurer car toutes les infos qui lui sont utiles seront accessibles depuis le menu tactile, à l’instar des accords mets/vins et des allergènes. Il choisit les intolérances qui le concernent et celles-ci s’afficheront sur les plats concernés. Quant aux photos, elles font découvrir aux clients l’ensemble des menus et les aident à les comprendre en moins de 10 secondes, en plus de donner envie par des apparences alléchantes. Elles vont rassurer le client sur le côté visuel et lui donner une idée de la quantité des plats. Rassurés, les clients consomment davantage. L’augmentation du chiffre d’affaire de 10 à 30 % est assurée. « On considère que nous sommes une source de revenu au quotidien pour le restaurant », se plait à affirmer notre interlocuteur. Avec les menus classiques, il n'est pas rare de voir un restaurateur dépenser de 3000 à 5000€ par an pour renouveler sa carte papier. TastyCloud lui permet d’investir dans autre chose car toutes les modifications qu'il souhaite apporter se font en un clic, que ce soit pour une simple correction ou des rajouts de produits. Pareillement, si des produits ne sont plus en stock, la carte peut être mise à jour à tout moment. Une synchronisation automatique facilite toutes les modifications qui se font automatiquement sur le site, sur le menu ainsi que toutes les plateformes où il est exposé. La perte de temps n’existe plus. La solution qui se démarque du lot Etant un complément digital au service, le menu digitalisé n'a pas pour vocation de se substituer au serveur réel pour la simple raison que l'accueil des clients et le service sont primordiaux. Toutefois, le service reste personnal...
Tous les amateurs de champagnes connaissent la qualité des références de la famille Chapuy. Champagne Chapuy : une histoire familiale avant tout C’est en 1952 que la marque Chapuy fut créée par Serge Chapuy. Puis, son fils Arnold reprit la propriété en 1981 et, aujourd’hui, ce sont ses filles qui sont en charge de l’exploitation. À savoir : c’est sous l’impulsion de ces deux sœurs que le grand chantier de certification HVE 3 (obtenu en 2019) fut entrepris. Cela prouve que la notion de terroir reste un point important pour la famille. D’ailleurs, le travail est réalisé avec une jument sur certaines parcelles. ...
Fondé par une lignée d’artisans du cuivre à l’aube du XIXe siècle, l’établissement a été repris par Étienne Dulin en 1985. Il a continué à défendre la réputation de l’Atelier du cuivre, en transmettant un savoir-faire traditionnel basé sur la technique de repoussage et d’emboutissage pour réaliser des œuvres rares et d’une qualité exceptionnelle. C’est donc sans surprise que l’établissement a pu développer un portefeuille de clients prestigieux, composé de restaurants étoilés, d’hôtels de luxe, d’architectes et de designers à l’instar de l’illustre Philippe Starck, ou encore de diverses institutions en France comme à l’étranger. Une fabrication traditionnelle en héritage Spécialiste dans l’art de la dinanderie et du cuivre décoratif, l’Atelier du cuivre conjugue passion et compétence pour réaliser les commandes sur mesure de ses clients. Tout commence par le découpage en disque des planches de cuivre laminées avant de procéder au repoussage au tour manuel. Cette étape consiste à déformer le métal, soit du cuivre soit du laiton, suivant une forme particulière que l’on veut obtenir. Le métal passe ensuite par une cuisson au chalumeau réchauffé à 500 degrés afin de le rendre plus malléable. Le processus s’enchaîne sur l’opération de martelage, une étape délicate qui nécessite une certaine précision pour endurcir le métal. Autrement, « certaines œuvres décoratives ou artistiques sont réalisées entièrement à la main par la technique de la dinanderie », nous fait savoir aussi le propriétaire. Enfin, c’est la partie polissage qui confère aux pièces une finition parfaitement lisse et brillante, avec un sens du détail remarquable. Une gamme de produits premium Allant des ustensiles de cuisine et d’accessoires pour la salle de bains, jusqu’aux créations décoratives et pièces d’ornement, les pièces réalisées sont différentes les unes des autres suivant les exigences des clients. L’Atelier du cuivre se dote d’un show-room pour exposer sa série de produits classiques, comme les casseroles en cuivre, les sauteuses, les poêles, ou les entonnoirs à confiture, que les clients peuvent acheter sur place. En outre, l’établissement a aussi créé l’Atelier des arts culinaires, un atelier-boutique situé sous le viaduc des Arts à Paris, qui s’adresse plutôt aux professionnels de la cuisine ainsi qu’aux écoles de cuisine : « Nous y créons des pièces uniques pour des restaurants, des pâtissiers, des chocolatiers haut de gamme et des grands hôtels parisiens. Ces derniers peuvent y passer des commandes de pièces qui leur font envie », déclare fièrement Étienne Dulin. Avec une réputation qui n’est plus à faire, l’Atelier du cuivre reçoit régulièrement des demandes spéciales des églises, des décorateurs d’intérieur, des résidences privées, des producteurs cinématographiques et même des hôpitaux, que ce soit pour un alambic en cuivre, un seau à champagne, une baignoire, une statue ou des trophées. À préciser que l’établissement réalise environ 30 % de son chiffre d’affaires annuel sur le marché à l’export, aux États-Unis et en Russie. ...
Des 13 000 bouteilles produites annuellement, les sept cuvées de cette exploitation sont des trésors qui ne se retrouvent pas sur le marché traditionnel. Outre les salons et les foires, elles ne sont disponibles qu’en vente directe à la propriété ou en livraison. Une pionnière Christelle Salomon est l'une des rares représentantes de la gent féminine à être à la tête d’une exploitation viticole en région champenoise. Grâce aux trois hectares de vignoble reçus de ses parents, où elle a d’ailleurs fait ses armes, elle a créé sa propre marque en 2004 pour vivre pleinement cette passion héritée d’une longue lignée de viticulteurs. Au four et au moulin, si l’on peut dire, Christelle dirige son affaire depuis le vignoble jusqu’à la commercialisation avec une réussite indiscutable, puisque ses produits sont cités dans plusieurs guides spécialisés et ont été primés lors de grands concours, aussi bien nationaux qu’internationaux. Tradition et modernité Cinquième génération de viticulteurs champenois, Christelle Salomon a comme ligne de conduite d’élaborer ses cuvées dans le plus pur respect de la tradition. Mais comme « il faut savoir vivre avec son temps », souligne-t-elle, elle injecte savamment une touche de modernisme dans ses procédés, notamment lors de la vinification, en utilisant des cuves émaillées et en faisant nouvellement acquisition de deux cuves en inox. De cette alliance de techniques est née « Si J’ose », une cuvée qui porte bien son nom. Car, pour un champagne élaboré dans la vallée de la Marne, il est rare qu’une cuvée le soit à 100 % de chardonnay. Un pari osé, donc, mais qui a été couronné de succès, puisqu'elle a été médaillée d’argent au Concours des vignerons indépendants 2016 et a également obtenu le prix du public lors du Concours des jeunes talents du champagne 2016. ...
Qu’il s’agisse de travailleurs indépendants ou des équipes de grands groupes, weréso est en mesure de répondre à toutes les attentes et peut s’adapter aisément à toutes les formes d’organisation. weréso, une communauté avant tout ! En termes de chiffre, weréso c’est plus de 600 entreprises, 203 weréso Academy et 1300 membres réunis dans un unique réseau. L’échange humain est au cœur même de l’esprit weréso. C’est ce qui fait son point fort et le distingue des autres espaces de coworking. En effet, chaque détail a été pensé de façon à ce que les gens se rencontrent. Cela passe par l’organisation du lieu en lui-même qui intègre notamment des espaces de vie destinés à favoriser les échanges. Le tout dans la convivialité et la bonne humeur. « L’aménagement de cuisine confortable et de douches illustrent parfaitement cette idée de rapprochement». nous fait savoir Armand Verger, le fondateur. Mais weréso, c’est aussi et surtout une équipe dynamique qui prend à cœur de faciliter la relation entre les clients. La communauté se caractérise avant tout par sa complémentarité. Le fondateur souligne en effet : « L’idée c’est que dans un lieu comme weréso, les personnes soient suffisamment complémentaires pour pouvoir développer des synergies entre elles ; complémentaires dans les métiers, dans les activités et dans les formes d’organisation ». Ainsi, en associant un lieu à une communauté, weréso ouvre la voie au développement d’un réseau et d’opportunités professionnelles. Une offre très flexible et à la portée de tous les budgets ! D’abord, afin de permettre à ses clients de gagner en mobilité, weréso propose des lieux qui sont non seulement proches de leurs domiciles mais aussi dans les grandes villes de France comme Paris, Lille, Lyon, Asnières et bientôt à Bordeaux et Marseille. D’ailleurs, une des ambitions de cet espace de coworking c’est de « mailler le territoire et au-delà » rappelle Armand Verger. En effet, dans quelques années, weréso ouvrira également des espaces en Europe. Que ce soit à la carte (à l’heure) ou sur la base d’un abonnement mensuel, il propose une offre flexible qui s’adapte à tous les budgets. A l’intérieur d’espaces modulables et chaleureux, les clients ont la possibilité de choisir la formule adaptée à leurs besoins. Celle-ci inclut des bureaux d’espaces partagés, idéal pour stimuler la créativité aussi bien que des bureaux privatifs pour pouvoir discuter en toute confidentialité. L’offre weréso permet de profiter du lieu et de ses services dans les meilleures conditions. Pour plus de liberté et ce, quelle que soit la formule choisie, weréso à travers l’offre all inclusive, fait profiter de nombreux avantages aux utilisateurs. Celle-ci comprend : Wifi, accès 7j/7 24h/24, impressions, café à volonté, accès aux salles de réunion (une heure par jour pour les abonnés) et à la weréso Academy. ...
Tirer parti de ses données est une arme puissante pour les entreprises. Pourtant, peu savent réellement l'utiliser. Jedha propose ainsi des formations de qualité pour populariser ces outils, et une plateforme d'apprentissage unique en son genre. Jedha en quelques mots Depuis sa création, Jedha a souhaité fournir à ses élèves des formations en Data poussées, techniques et orientées pratiques, délivrées en présentiel ou distanciel avec le contexte sanitaire que nous connaissons. Le monde de la Data intéressant une large diversité de profils, il était nécessaire de mettre en place des programmes répondant aux besoins de chacun. De ce fait, 3 parcours ont été créés : -Programme Essentials (40h) pour acquérir les fondamentaux de la Data Science ; -Programme Fullstack (420h) pensé et conçu pour être professionnalisant, permettant de maîtriser l'entièreté du pipeline Data ; -Programme Lead (70h) pour se spécialiser sur des compétences actuellement très recherchées, en DevOps et automatisation. Chacune de ces formations s’appuie maintenant sur la plateforme d’apprentissage JULIE, une plateforme inédite dans la formation en Data. JULIE : la plateforme d'apprentissage qui suit les élèves durant toute leur carrière Pour travailler sur des projets Data, posséder une machine avec une bonne puissance de calcul et de stockage reste nécessaire, surtout lorsque l'on veut réaliser des modèles complexes. Pour contourner cette contrainte à laquelle se heurtent certains, Jedha offre à chacun de ses élèves un environnement de code dédié, l'accès à une plateforme baptisée JULIE. Chaque élève profitera d'environnements de code Cloud, permettant de créer des modèles robustes et poussés, sans avoir à installer quoique ce soit sur son propre ordinateur. Grâce à JULIE, les apprenants peuvent donc manipuler de gros volumes de données, s'initier au Deep Learning et Big Data en toute sérénité. Accessible à vie, JULIE accompagne les élèves de Jedha dans leur apprentissage tout d'abord, et dans leur carrière ensuite, les aidant à développer les modèles qu'ils auront à créer dans leur environnement professionnel. En exclusivité pour ses élèves, JULIE dispose aussi d'un portail de contenus sur lequel sont postés tous les supports de cours, des fiches d'apprentissages, des flashcards ainsi que des coding challenges proposés par les entreprises partenaires, le tout visant à s'entraîner en vue des entretiens et processus de recrutements. Bref, tous les aspects de la formation jusqu'au recrutement sont couverts ! ...
Le Cassissium est un site singulier et inspiré. Créé en 2001 à Nuits-Saint-Georges, à proximité des côtes viticoles, il ne tarit pas d’idées pour mettre en lumière un fruit aux nombreuses vertus parfois méconnues. Visite du musée, découverte de la liquoristerie, conception de cocktails et dégustation permettent une immersion totale dans le monde du cassis. Un parcours interactif étonnant, durant lequel les visiteurs deviennent acteurs, y compris les enfants. Un musée gastronomique ludique Implanté sur le domaine de la liquoristerie Védrenne, dont le savoir-faire opère depuis 1923, le Cassissium est composé d’une exposition permanente, d’une salle de projections, d’un espace de dégustation et d’une boutique. Ce sont ainsi 1 000 m2 qui sont dédiés à la petite baie noire. Histoire, utilisation, savoir-faire sont tour à tour présentés au public, invité à déguster les produits maison à la fin de la visite. La muséographie fait alterner histoires ludiques et jeux. Des tiroirs à ouvrir, des quizz, des écrans tactiles, des animations mécaniques permettent aux grands comme aux petits de manipuler de nombreux objets. Un film est projeté dans une salle insolite habillée de pierres, à l’image des vignes en Côte-d’Or. La star de l’histoire, Supercassis, y raconte son ascension. Trois thèmes ponctuent le parcours. Le premier consiste à découvrir le fruit via ses aspects historiques et agricoles. Le deuxième présente ses bienfaits médicaux et cosmétiques. Le troisième consiste à découvrir l’exploitation de la plante, en sollicitant les sens des visiteurs. Le tout est accessible en plusieurs langues. De la liquoristerie Védrenne à la dégustation La maison Védrenne, créée par Joseph Védrenne il y a près de 96 ans, a acquis sa notoriété grâce à son savoir-faire. Reconnue comme le plus grand chai d’eau-de-vie de Bourgogne, la liquoristerie détient tous les secrets de fabrication de la crème de cassis. Cette étape du parcours est un moment privilégié, à la rencontre d’un artisanat amoureux des arômes. La passion du fruit et l’ambiance particulière qui y règne révèlent une contribution inhérente à la renommée de la gastronomie bourguignonne. Et toutes ces senteurs donnent soif ! La visite se poursuit au bar du Cassissium. Le public est invité à déguster les crèmes, les subtils mélanges à base de cassis et de liqueurs, les liqueurs elles-mêmes ou encore les sirops pour les plus petits. Des jeux de couleurs et de matières transforment les produits disposés sur le comptoir en véritable palette artistique. Des ateliers cocktails imaginatifs Le Cassissium aime son fruit et déborde d’idées pour partager sa passion avec les visiteurs. Tous les 10 du mois, un atelier est organisé, destiné à désacraliser le cocktail, avec ou sans alcool. Le but : apprendre aux curieux à marier les saveurs, à revisiter les classiques et à composer au feeling de jolies et savoureuses boissons. Cassis et citron vert, gin et concombre, thé citron et sirop de rose, ces étonnantes associations sont infinies et se fardent de noms délicieux : Cocktail Soleil levant, Rose Mary, Crème brûlée Védrenne, etc. Les ateliers sont adaptés en fonction des saisons. L’été invite à réaliser des cocktails frais, tandis que l’hiver appelle à apprécier des cocktails plus chaleureux. Ces moments créatifs sont aussi ouverts aux enfants, initiés à la conception de cocktails dont les sirops jouent avec les couleurs de l’arc-en-ciel. Pour terminer la visite, 50 crèmes, liqueurs de fruits et sirops emplissent la boutique du Cassissium pour le bonheur des barmen et des amateurs de cocktails, d’ici ou d’ailleurs. Mojito, Blue lagoon ou encore Cosmopolitain n’ont, à ce stade, plus de secrets pour les visiteurs. Des visites à la carte Le site est ouvert à tous les publics. Mais il peut aussi être privatisé le temps d’un séminaire ou d’un évènement. Des déjeuners, des cocktails dinatoires et des visites privées sont organisés à la carte pour le to...
Mettre le participant au cœur du séjour, telle est l’ambition d’Atout Linguistique. Ce spécialiste des séjours linguistiques assure l’efficacité de son offre grâce à des prestations innovantes, respectant une charte qualité très stricte. Des séjours adaptés à chaque profil, des conseillers disponibles toute l’année et 24h sur 24 durant les séjours, des dossiers traités individuellement depuis la commande de brochure jusqu’au retour du séjour, un service billetterie/transports… Tout est fait pour que l’expérience soit la plus favorable possible. Les formules one to one pour progresser efficacement Atout Linguistique se distingue des autres organismes opérant dans le secteur en donnant l’opportunité aux jeunes de bâtir leurs séjours de A à Z. Chaque détail est personnalisable allant des dates, à la durée en passant par la destination jusqu’aux activités et loisirs. « L’objectif est de concocter un voyage qui corresponde à la personnalité du participant », fait savoir Aleksandra Stamenkovic, responsable de l’organisme. Cette approche est particulièrement adaptée au programme « One to One », ou « cours particulier chez le professeur ». Le participant sera accueilli dans une famille triée sur le volet dont l’un des parents est professeur. En plus des cours particuliers sur mesure, il pourra pratiquer toutes sortes de loisirs, de sports ou d’activités culturelles. « Un de nos avantages : nous proposons des destinations encore peu répandues comme la Chine, le Japon ou encore le Brésil. Et à part les activités classiques comme le golf, le surf ou le tennis, nous avons aussi des activités spécifiques selon les pays », explique notre interlocutrice. Un nouveau regard sur le monde lors de séjours en résidences internationales Les jeunes ne désirant pas vivre en famille d’accueil peuvent opter pour les hébergements en résidence. Garantissant un encadrement permanent, le séjour s’effectue dans une résidence ou une université de renom aux États-Unis, au Royaume-Uni ou ailleurs dans le monde. Au programme : cours de langue + sport, excursion, activités artistiques, visites, etc. Toujours en quête d’innovation, Atout Linguistique suggère une nouveauté sur cette formule à travers le programme London Secret City. Aleksandra Stamenkovic nous éclaire sur les particularités de l’offre. « L’hébergement s’effectue en résidence internationale. Du lundi au vendredi, l’étudiant participe au cours l’après-midi. Le reste du temps, il s’adonne à de nombreuses activités : sortie au studio Harry Potter, Night market de Londres, visite de l’Arsenal FC Club, initiation dans une école de trapèze, etc. ». Une autre formule résidentielle qui plaît beaucoup : les summer camps américains et canadiens. Ou comment progresser en anglais dans un vrai cadre de vacances, en plein cœur de la nature, une tradition chez les jeunes d’Amérique du Nord. Pour plus d'informations sur les nouvelles offres, commandez la brochure. ...