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© Geoffroy de Boismenu
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Interview avec Yannick Alléno
Chef du restaurant Le Pavillon Ledoyen



Restaurant
3 étoiles au Guide Michelin
situé à Paris
Région Île-de-france

Dans votre restaurant, comment définissez-vous votre cuisine ? Quels sont vos plats «Signature»? Avec quels produits aimez-vous travailler ?

Yannick Alléno Au pavillon Ledoyen, nous proposons une cuisine moderne qui s’inscrit dans un mouvement culinaire que nous avons initié en 2013 et qui est né de la volonté de faire correspondre la cuisine Française à notre époque. Les clients souhaitent manger moins gras et moins salé tout en découvrant de nouvelles saveurs. Aussi, j’avais envie de redécouvrir ce qui constitue l’identité de la cuisine française, sa complexité, après des années de cuisine dites « de produit ». Pour cela, nous modernisons les éléments fondateurs constitutifs de la cuisine pour les remettre au goût du jour. Cette envie se traduit par un travail continu de recherche. Ainsi, nous avons commencé à travailler sur la sauce qui est le verbe de la cuisine française : elle lie tous les ingrédients dans une assiette. Nous avons développé la technique de l’Extraction® qui nous permet de créer des sauces moins grasses moins salées mais plus goûteuse. Ce travail autour de la Cuisine Moderne m’enthousiasme et nous nous réjouissons chaque jour de l’engouement qu’elle provoque. Nos récentes récompenses n’en sont que l’écho.

Quelles émotions avez-vous ressenties lors de la remise des étoiles du Guide Michelin ?

YA Obtenir 3 étoiles au guide Michelin est le graal absolu ! J’ai eu l’immense privilège d’être triplement étoilés à trois occasions et ces moments sont à jamais gravés dans ma mémoire. La première fois était en 2007 ; j'étais aux Etats-Unis avec mes enfants et j'avais perdu mon téléphone dans un manège... Le guide Michelin ne réussissait pas à me joindre et pour cause. Je n’ai appris qu’à mon retour à Paris que j’étais triplement étoilé. C’était un bonheur immense ! Nous sommes d’ailleurs partis avec mes équipes faire la fête chez Paul Bocuse ! En 2015, nous venions de reprendre le Pavillon Ledoyen seulement 7 mois auparavant ; cela a été un grand moment de cohésion avec ma brigade à nouveau parce que nous n'avions pas ménagé notre peine pour y arriver... Quant à l'année dernière, en 2017, la veille de la sortie du guide, j'attendais avec espoir un appel qui n'est jamais arrivé. En me réveillant, j'avais 5 messages, j'ai compris, j'étais fou de joie. Se voir récompenser deux fois de trois étoiles avec le Pavillon Ledoyen à Paris et Le 1947 à Cheval Blanc Courchevel est fantastique. Chaque fois, c'est un grand sentiment de plénitude, pour autant, ces moments sont très fugaces car notre priorité est toujours le prochain client. En effet, cette excellence nous oblige à nous dépasser toujours parce que l'on attend cela de nous à chaque plat. Je tire d'ailleurs un grand chapeau à tous les cuisiniers et cuisinières qui travaillent à mes côtés ; la cuisine est un travail d'équipe, sans eux je n'accomplirais rien.

La cuisine est faite chaque jour de partage et d'émotions. Toutefois, certains moments de la vie sont à privilégier plus que d'autres... Pouvez-vous nous confier vos plats rêvés pour :
- Un repas de Noël ?

YA Je crois tout autant en l'implication et en la simplicité qu'en la détermination d'un menu compliqué. On peut faire simple et bon si on y met du cœur et le temps. Mes parents étaient bistrotiers, j'aime les plats goûteux et chacun connait mon engouement pour la sauce. Une bonne volaille fermière à Noël fait toujours plaisir, on l'humidifie bien pendant la cuisson pour qu'elle soit tendre et on la sert avec son jus sur le côté.
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© Philippe Vaures Santamaria

Au fait, pour votre mariage, qui a fait la cuisine ? Pouvez-vous nous indiquer les plats cuisinés ?

YA J'ai fêté mon mariage au Pavillon Ledoyen évidemment ! Nous avons de nombreuses salles de réception et organisons d'ailleurs des mariages, comme toutes sortes de fêtes et d'événements professionnels tout au long de l'année. Toutes mes équipes étaient là. Ils nous ont préparé une Saint-Jacques en entrée, accompagnée d'épinards de Viroflay. Le terroir parisien dispose d'une multitude de produits merveilleux et j'encourage tout un chacun à manger local ; c'est meilleur et pas toujours plus cher. Ensuite, nous avions du bar en mousseline avec du céleri. J'adore le céleri, j'en mets partout... Et, en dessert, Aurélien Rivoire, notre chef pâtissier, avait préparé un fantastique buffet.
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Sans trop réfléchir, pouvez-vous nous confier votre plus beau souvenir gustatif et certaines des émotions procurées ?

YA Mes meilleurs souvenirs gustatifs sont souvent associés à des grandes dégustations de vins ! Cela ne veut d'ailleurs pas forcement dire que l'on fasse appel à des grands vins ; on trouve de bons vins à des prix raisonnables aujourd'hui. Pour faire rêver un peu, j'ai le souvenir d'une gelée de courge et meringues aux pralines roses accompagnée d’un château Yquem 67. C’est un millésime incroyable, d’une grande complexité, avec une très belle note de safran qui trouve un écho parfait dans la texture fondante de la courge.

D'après la célèbre devise de Prosper Montagné "On ne fait du bon qu'avec du très bon", pouvez-vous nous révéler deux ou trois de vos adresses gourmandes. Vos producteurs et produits préférés sur votre région ou ailleurs (vins, produits frais, ou autres...)

YA Je peux vous conseiller "Antoine" près de la Tour Eiffel : un excellent restaurant de poisson. Je recommande également "Tomy&Co" rue Surcouf, chez "Astier" dans le 11ème, ou encore "Pertinence" qui vient d'obtenir une étoile. Pour les pâtisseries, je ne peux que recommander Yann Couvreur, Avenue Parmentier dans le 10ème... Pour le vin, il y a depuis peu le salon des vins de la vallée du Rhône et de la truffe sur les Champs-Elysées (www.salonvintruffeparis.com) et j'invite tous les lecteurs à y faire leur marché. Discuter avec les producteurs est un régal et une vraie source d'inspiration dans la cuisine du quotidien.

On parle aujourd’hui beaucoup de cuisine fusion, de plats végétariens, d'aliments biologiques, de « Trashcooking » (ingrédients destinés normalement au rebus), de « Freakshakes » pour marier un dessert à une boisson... Selon vous quelles seront les grandes tendances de la cuisine de demain ?

YA Je crois au bon sens gastronomique, à la nécessité du végétal et au respect de la nature. Je n'aime pas le mot "Trashcooking" ; à mon sens tout est noble en cuisine. C'est le traitement que l'on en fait qui est important ; une peau séchée peut faire un sublime assaisonnement et remplacer le sel que tout le monde décrie. L'ère où l'on jetait plus de la moitié du produit pour réaliser des assiettes trois étoiles est terminée et tant mieux. Tout doit être envisagé comme un don pour les produits issus de la culture ou un sacrifice pour les produits issus de l'élevage. Nous avons même fait faire des vestes de cuisinier par la maison Bragard sur lesquels nous y avons mis un petit bouton vert à coté de tous les autres boutons blancs. Une philosophie, pour garder en tête une démarche verte et respectueuse.

Culture - Cinéma Quelle est votre scène préférée de cinéma au restaurant ? Un souvenir de film avec une séquence particulière...

YA La danse de Louis de Funès dans Le Grand Restaurant ! Elle est tournée au Pavillon Ledoyen et nous a inspiré la carte de vœux 2016.
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© Philippe Vaures Santamaria

Si vous aviez un hommage à adresser à Paul Bocuse, quel serait-il ?

YA J'aimais profondément cet homme. Monsieur Paul a eu une influence déterminante sur le rayonnement de la gastronomie française au niveau mondial. Il était notre ambassadeur et sera irremplaçable. Il avait compris qu'il fallait moderniser la cuisine traditionnelle et il a montré l'exemple de ce qu’est et doit être la cuisine française dans le monde entier. Je suis devenu cuisinier parce que je l’admirais, c’était mon Zidane ! Et, je ne suis pas le seul. Il a donné envie à tant de jeunes de faire des choses extraordinaires. Imaginez le destin hors norme de cet homme qui se définissait comme Paulo des bords de Saône…
Je lui dirais simplement merci et qu'il me manque.
Adresse | Contacts utiles
image-prop-contact-le-pavillon-ledoyen Le Pavillon Ledoyen 8, avenue Duituit
75008 Paris

Tél. : 01 53 05 10 00
Site Internet

Récompenses
3 étoiles au Michelin
5 toques Gault et Millau
31e meilleur restaurant du monde selon les Worlds 50 Best (2017)
6e meilleure note au monde selon La Liste (2018)

Le Pavillon Ledoyen : les avis

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La Font des Pères : allier plaisir des vins et séjours œnotouristiques

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La ferme de Gennetay : du bon fromage artisanal d’Angers 

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Horus Pharma : le meilleur des produits ophtalmologiques

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Chez Mamie Lise : les saveurs du terroir savoyard

L’établissement propose un cadre rustique montagnard garantissant un accueil chaleureux et convivial. Trois salles aux décors de charme invitent à découvrir la gastronomie et les produits du terroir qui font la réputation de la Haute-Savoie. Sur une grande terrasse, l’on savoure les trésors culinaires proposés chez Mamie Lise en se laissant bercer par le lac d’Annecy qui mêle sa fraîcheur à celle des montagnes.   Une cuisine traditionnelle aux couleurs de la région Aux portes de la Vieille Ville d’Annecy, le restaurant Chez Mamie Lise dévoile la riche tradition culinaire de la Haute-Savoie. Sa cuisine rend hommage à la générosité du terroir à travers une sélection soignée de charcuteries, de poissons et de viandes. Les spécialités fromagères sont notamment à l’honneur : reblochon, manigodine, beaufort, morbier et chèvre. Des entrées jusqu’aux desserts, la conception des plats proposés traduit une réelle passion pour la cuisine. « Je suis quelqu’un de très passionné, la cuisine c'est toute ma vie ! », déclame le chef du restaurant. Des spécialités et des saveurs à la savoyarde  L’établissement a, entre autres, bâti sa réputation grâce à ses fondues, raclettes et autres tartiflettes. La fondue savoyarde aux trois fromages, la Manigodine cuite et fumée au bois de hêtre ainsi que l’Ercheu de jambon de montagne illustrent parfaitement la cuisine de chez Mamie Lise. Les poissons du lac d’Annecy sont également bien représentés avec, entre autres, les goujonnettes de féra en croûte de manigodine et le rôti de lotte au jambon de montagne. Par ailleurs, l’entrecôte Simentahl, le magret de canard mulard et le carré d’agneau sont à ne pas rater. ...

Marie-Anne Haour, fondatrice de Simiya : associer Design Thinking et coaching systémique pour accélérer l’innovation

Avec treize ans d’expérience dans l’accompagnement d’entreprises, start-up et associations, Marie-Anne Haour entend tirer profit de sa connaissance du Design Thinking pour apporter un coaching plus efficient pour aider ses clients à travailler et innover différemment. Le coaching, un métier en plein essor Ces dernières années, le coaching s’est largement développé au vu des évolutions que connaissent la société et les individus qui la composent. Face à ces changements, le coaching est rapidement devenu un outil indispensable pour accompagner les personnes dans leur évolution à la fois personnelle et professionnelle. En général, cet accompagnement vise à libérer les potentiels de chacun en mettant en place des stratégies pouvant aider à atteindre des objectifs spécifiques. En fonction des besoins, le coaching peut ainsi revêtir plusieurs formes. Mais qu’il s’agisse de coaching individuel, d’équipe ou d’organisation, les techniques utilisées tendent vers un seul et même but : la résolution d’une problématique de développement. Une méthodologie originale La méthodologie de coaching prônée par Marie-Anne Haour, fondatrice de Simiya, s’appuie sur un puissant processus d’innovation qu’est le Design Thinking. « Il s’agit d’un processus d’innovation centré sur l’humain, l’idée est de passer par l’humain afin de proposer des solutions qui sont viables économiquement et réalisables technologiquement », explique Marie-Anne HAOUR. L’intérêt de cette méthode repose sur le fait qu’elle génère une nouvelle manière de travailler avec un état d’esprit complètement différent de celui qu’on trouve traditionnellement en entreprise. Cet état d’esprit repose sur l’empathie, la confiance créative, l’optimisme dans un contexte complexe et s’appuie sur l’intelligence collective. « Par exemple, depuis quelques années, j’accompagne aussi bien des groupes du CAC 40, que des groupes scolaires à changer leur façon d’innover avec plus d’agilité et de collaboratif grâce au Design Thinking. » Dans le cadre d’ateliers, elle accompagne les équipes sur des projets concrets où elle injecte aussi bien de la formation sur la méthodologie du Design Thinking, que du coaching autour de la nouvelle posture à adopter dans le cadre de ce type de travail. « En créant un contexte bienveillant et en accompagnant les individus et le collectif avec du coaching, on arrive à des résultats incroyables en termes de transformation dans les mentalités et dans les réflexes de travail collaboratif . » Des offres de coaching pour des cibles différentes Simiya propose des offres de coaching pour les entreprises, notamment au niveau des cadres dirigeants, des jeunes cadres ou des équipes formées autour d’un projet. L’accompagnement a pour objectif de permettre à ces équipes de progresser en termes de performance et d’innovation. Cela passe nécessairement par un changement d’état d’esprit et une collaboration optimisée. Et pour améliorer la manière de collaborer, Marie-Anne Haour privilégie l’approche systémique qui est centrée sur les interactions de l’individu avec les autres. Outre le coaching d’entreprise, Simiya accompagne également les individus dans leurs moments de transition. « J’explore avec eux leurs envies et leurs besoins, et les aide à élargir leur réflexion pour les amener à définir des projets d’avenir concrets », souligne la fondatrice. Enfin, un accompagnement sera bientôt proposé aux personnes qui ont été touchées par un cancer pour les aider dans leur reconstruction. Ici, il ne s’agit pas d’intervenir au niveau psychologique mais plutôt de mettre l’accent sur la réalisation et la prise de confiance en soi à travers l’action. ...

Le Bouc et la Treille : des vins bio
de grande qualité

Ils sont trois associés, Stéphane Vier, Yves Aubry et Timothée Béchonnet, à vivre cette aventure collective lancée en 1976. Une pratique culturale saine Certifié Ecocert, le domaine Le Bouc et la Treille, de 9 ha, est conduit en agriculture biologique. Ici, la majorité du travail se fait manuellement (travaux en vert, vendanges, fauchage,…). Parmi ses particularités, la maison élabore des vins en amphores et en jarres de terre cuite. Autres spécificités : enherbement total des vignes, levain naturel, vendanges manuelles, macération très longue, vinification sans sulfite, vins orange... Les cuvées phares Les cuvées « Hircus » en Chardonnay et en Gamay sont les cuvées les plus représentatives. Vinifiée et élevée en fûts, la première présente des notes beurrées de noisette et de pain grillé. La seconde, après un long élevage en fût, dévoile une bouche gourmande de fruits confits, des tanins présents, soutenus par une finale épicée. ...

École Autograf : où créer l’avenir devient un art

Donner aux créateurs de demain le savoir et la compétitivité nécessaires pour faire face à un monde qui bouge sans cesse, c’est le cœur de mission d’Autograf, école de design parisienne ayant vu le jour en 1982. Un corps d’enseignants formé de professionnels rompus à leur art respectif, une incubation régulière des étudiants dans des situations réelles de création et la mise en avant de l’alternance. Tels sont les traits distinctifs qui font sortir cette institution du lot. Gros plan sur la MANAA : l’année préparatoire d’Autograf Intégrer un cursus supérieur en arts appliqués, sans s’y être nécessairement préparé en amont, c’est ce qu’offre Autograf à travers son parcours MANAA, à traduire par mise à niveau en arts appliqués. Cette année préparatoire, première année commune des Bachelors Design, permet par la suite d’intégrer les BTS et Bachelors proposés par l’école Autograf. Cette année d’apprentissage, planifiée sur le calendrier scolaire, se termine par quatre semaines de stage en entreprise pour une application pratique. Les candidats à cette formation reçoivent les bases en dessin, en graphisme, en analyse d’espace, en animation 3D et en infographie. Ils s’initient à leur secteur d’intention sous l’encadrement de professionnels qui y travaillent déjà. Le parcours MANAA présente comme grand atout de préparer les étudiants à être éligibles à l’alternance dès l’année suivante. Daniel Toupenet, Directeur d’Autograf le souligne : « Toutes les semaines, nos étudiants ont des cours sur les logiciels de création graphique afin d’être opérationnels et ainsi favoriser leur intégration en entreprise en alternance ». ...

Marina André-Khvatova, fondatrice d'Alest : le coaching sous toutes ses formes (interculturel, de dirigeants, d'équipes dirigeantes) 

Le coaching pour accompagner les dirigeants dans leur évolution Coach certifiée ICF-PCC (Profesionnal Coach Certified), facilitatrice, formatrice mais aussi créatrice de modules de formation « sur mesure », Marina André-Khvatova, la fondatrice d’Alest, prodigue un accompagnement (individuel ou collectif) adapté aux besoins exprimés par ses clients. Dans le cadre de sa prestation de l’accompagnement humain personnalisé, elle intervient auprès de ses clients - des directeurs généraux, des directeurs des divisions et des services, des directeurs ressources humaines de groupes internationaux dans une large majorité - pour les aider à grandir et à construire ou à progresser dans leurs projets professionnels. « Je leur propose des outils personnalisés et leur permet de mieux se connaître » explique-t-elle. À ce titre, Marina André-Khvatova considère que son métier consiste aussi à «  accompagner les dirigeants en ressources humaines ». Mais comme tout bon coach, Marina se garde bien de se substituer à ceux qu’elle accompagne. « Mon rôle auprès d’eux consiste à leur permettre de développer tout leur potentiel et de trouver en eux la force d’oser relever des défis qu’ils croyaient hors de leur portée ». À la façon d’une photographie argentique dont l’image va apparaître sous l’action d’un révélateur chimique, les talents de ses clients vont ainsi se faire jour grâce à l’intervention de Marina. « La relation coach-coaché doit s’inscrire dans la confiance et le respect mutuels » précise-t-elle. « Le succès du coaching repose en grande partie sur la qualité de cette relation ». Le coaching interculturel pour tirer parti des différences culturelles et améliorer son leadership Si Marina André-Khvatova propose des prestations de coaching « classique », elle a également mis en place une offre de coaching interculturel. « Qu’il s’agisse d’aider le coaché à appréhender des cultures différentes de la sienne ou encore d’accompagner une équipe multiculturelle, le coaching interculturel aura le plus souvent pour objectif de résoudre les éventuelles problématiques interculturelles. En effet, les habitudes et les méthodes de travail peuvent considérablement varier d’un pays à un autre. Sans faire de généralités, des Anglais ne travailleront pas de la même façon que des Français ou que des Américains. Ils fonctionneront différemment » explique Marina André-Khvatova. « Notre offre de coaching interculturel permet justement de mettre en place des stratégies pour gérer efficacement les différences culturelles inhérentes aux équipes internationales ». Si un manager français est amené à devoir encadrer des salariés anglais, allemands ou chinois, Marina André-Khvatova et ses équipes l’aideront à décrypter efficacement les comportements de ses collaborateurs et à tisser avec eux des liens professionnels solides. Pas question ici de tenter de gommer des différences culturelles mais plutôt de « les optimiser et de les harmoniser afin d’opérer un réel rapprochement ». S'il est sensibilisé à leurs cultures et connait leurs codes, un manager saura gérer ses équipes interculturelles sans craindre qu’un incident diplomatique - causé par un malentendu culturel - ne survienne. « Étant moi-même originaire de Russie - je suis arrivée en France il y a 25 ans -,  être expatriée ne m’a pas empêchée de bâtir mon projet professionnel » précise Marina. « Mon vécu contribue d'ailleurs à rassurer mes clients. Étant franco-russe, je sais de quoi je parle. Ce qu’ils vivent, moi aussi, je l’ai vécu ». ...

Le Château du Rivau : 
une table gourmande dans un château médiéval

Situé à 15 min de Chinon, entre Tours et Poitiers, le Château du Rivau présente l’énorme avantage d’abriter une ferme où sont plantés et cueillis ses propres légumes, ce qui lui permet une totale maitrise de leur provenance et une parfaite garantie de fraicheur. Une cuisine simple et gourmande Dans sa démarche constante de développement durable ancrée sur l’environnement, l’économie, le volet éthique et social, le Château du Rivau propose une cuisine simple préparée à base de produits frais du jardin. Derrière ses fourneaux, en cuisine, la chef Béatrice Allart déploie un impressionnant savoir-faire à travers une cuisine inventive et particulièrement saine, avec une option pour les végétariens, les végétaliens et aussi pour les intolérants au gluten. D’excellentes soupes artisanales Le Château est un établissement particulièrement réputé pour ses soupes artisanales, préparées à base des produits de la ferme du Rivau, notamment le velouté à la sucrine du Berry, une de ses soupes phares dont les habitués ne s’en lassent pas. Il s’agit d’une savoureuse soupe traditionnelle et artisanale préparée à base des produits de la ferme du Rivau, avec comme principal ingrédient la sucrine du Berry, une courge de variété autochtone, menacée de disparition et qui fait l’objet d’un plan de sauvegarde au sein du Conservatoire de la région Centre. Un salon de thé au cœur du château Tel un voyage dans le temps à l’époque de la royauté, le Château du Rivau dévoile une magnifique bâtisse à l’ambiance onirique et aux décors très contemporains, aménagée avec gout dans une belle association entre Histoire et modernité. Au milieu de ce décor, particulièrement en période de vacances scolaires, l’établissement ouvre les portes de son salon de thé, où il est possible de savourer de nombreuses variétés de thés et autres tisanes aromatisées, accompagnées de délicieux gâteaux faits maison, sans oublier des jus de fruits frais très désaltérants et du soda. Dégustation de vins Grâce à la généreuse contribution de quelques vignerons experts, une visite au Château du Rivau est l’occasion toute trouvée de déguster gratuitement d’excellents vins produits dans la région. La maison propose aussi des dégustations pour les individuels qui se déroulent d’avril à octobre et qui offrent deux formules possibles, à savoir les cépages de la Loire ou les 3 terroirs de Chinon (de type argilo-silicieux, graves ou argilo-calcaire) qui durent 30 minutes. En outre, des dégustations pour les groupes invitant à découvrir un vin de Loire ou un fromage de chèvre de Sainte-Maure-de-Touraine sont organisées dans le décor verdoyant des jardins du Rivau. Promenade ludique dans un cadre médiéval  Le Château du Rivau laisse subtilement flotter une ambiance féérique. La magnifique forteresse médiévale est entourée de 14 jardins savamment agencés et minutieusement  entretenus, où, selon les propos de Patricia Laigneau, créatrice des jardins, « chaque jardin évoque un conte de fée différent ». Baignant dans un cadre au charme authentique, il est classé au patrimoine mondial de l’UNESCO… Un carnet de voyage incontournable à découvrir en famille. ...

Château de Gensac : des vins intenses et robustes produits avec passion et fierté

Le Château de Gensac porte en lui un riche passé. Surplombant la Vallée de l’Auvignon, un écrin pour de nombreux châteaux gascons, il n’a jamais connu un destin ordinaire. Après sa construction au XIIIème siècle, il sera utilisé de nombreuses fins notamment comme base militaire durant les grandes guerres, mais aussi comme orphelinat. À proximité du château se dresse une chapelle du XIVème siècle surmontée d’un clocher-mur. À l’époque, il s’agissait d’une église à part entière qui a subi des agrandissements au fil du temps. Désormais désacralisé, cet ancien lieu spirituel accueille des évènements culturels. En 2017, Jan et Kim Schürmann tombent littéralement amoureux de cette immense propriété de 300 hectares sise dans le Gers entre Toulouse et Bordeaux. Le couple décide d'en faire acquisition et mettent rapidement en place des modifications. Tout en conservant le cœur de Gensac, il modernise le profil des produits et créé une image et une philosophie contemporaines du Domaine. Un écosystème exceptionnel Sur les 300 hectares constituant la propriété, seuls 20 hectares sont dédiés à la culture de la vigne. Le reste est consacré à la culture de céréales, plantation de peupliers, forêts et prairie naturelles. Une grande partie des terres a été mobilisée à titre de pâturages pour offrir un cadre de vie heureux et épanouissant aux chevaux. Le Château de Gensac possède également une écurie proposant des pensions en box-terrasse ou en stabulation au public. D’ailleurs, l’image de marque du Château de Gensac est intimement liée au monde hippique. « Les visuels et les dénominations utilisés sur nos vins sont le reflet des pratiques de dressage en équitation comme le Piaffer ou le terre à terre pour faire le lien entre nos deux passions », témoigne Jan, totalement enchanté par la plénitude de cette nouvelle vie de vigneron. Après une longue carrière dans l’industrie agro-alimentaire, son arrivée au domaine sonne comme un retour aux sources. Un endroit qu’il façonne dans le respect d’une pratique éco-responsable. « Une grande naturalité et biodiversité se développe sur notre exploitation. Nous avons même décidé d’entamer une conversion bio pour matérialiser notre engagement. » Des vins de caractère et de grande qualité Le domaine propose des vins en IGP Gers et fait partie des rares maisons à se positionner sur cette appellation. La production de ces cuvées authentiques résulte d’un travail de longue haleine. Car prendre soin d’une grande diversité de cépages exige rigueur et implication. En tout onze variétés sont cultivées sur les terres à dominance argilo-calcaire à savoir le tannat, le malbec, le merlot, le fer servadou, le cabernet sauvignon, la syrah, le sauvignon gris, le sémillon, le petit corbu, le petit manseng et pour l’armagnac, l’ugni blanc et le colombard. Dans cette volonté d’élaborer des vins de grande qualité, les vendanges sont faites à la main et le domaine a volontairement choisi un faible rendement par hectare. Une fois les grappes acheminées jusqu’au chai ultramoderne, les vins passent par une vinification en cuve inox et un élevage en barriques neuves de chênes français. Un processus également appliqué dans la fabrication de l’armagnac qui constitue un autre fer de lance de la maison. Les vins obtenus prônent l’excellence et la beauté de leur terroir. À l’image de la cuvée Terre à Terre qui reçoit l’éloge des critiques internationaux tels qu’Andreas Larsson, James Suckling ou encore Jancis Robinson. Élaboré à partir de tannat, de malbec et de merlot, ce rouge puissant qui allie noblesse et saveurs gourmandes se déguste idéalement avec des ragoûts, des plats épicés, de la viande rouge grillée, des fromages forts ou encore des plats rustiques. Terre à Terre existe également en blanc sec issu d’un assemblage de petit courbu et de sauvignon gris. Un nectar qui accompagne à merveille des poissons en sauce, des fruits de mer, du foie gras, des poissons marinés et de la viande blanche gri...

Vino Vecchio ou l’art d’être vigneron

A une soixantaine de kilomètres au Sud de Bastia, le Domaine Vecchio et son vignoble sont situés  sur les pentes de la montagne de Monte San Appiano. Sous l’appellation AOP Vin de Corse et IGP de l’ile de Beauté, cette région est renommée pour ses vins à forte potentialité aromatique. Quatre terroirs pour vingt huit hectares Les vingt huit hectares de vignes du Domaine Vecchio sont installés sur les coteaux du Monte San Appiano qui se divisent en quatre types de terroirs bien distincts : argiles légères sur graves, schistes, graves et argiles légères avec marne de cailloux. Ce vignoble livre une grande diversité de cépages, qui vont des typiques de la région comme le Niellucciu ou le Sciaccarellu, aux cépages dits nobles comme le Grenache, le Vermentino ou la Syrah. Situées à proximité de la mer, les vignes jouissent d’un microclimat favorisant des brumes matinales et des nuits fraîches qui confèrent aux raisins leurs fruités et leurs acidulés. « Ce microclimat spécial va me permettre de laisser la pourriture noble se développer » pour le liquoreux fait sur vermentino ajoute Florence. Toutes ces conditions réunies permettent ainsi aux vignes de se développer favorablement. Rien ne vaut les bonnes et vieilles méthodes « Nous sommes des vignerons artisans » tient à préciser Florence. En tant que tels, le couple s’est engagé à travailler leur vignoble selon les anciennes méthodes. Dans les faits, cela consiste à l’observation de la météo pour déterminer les traitements à appliquer, limiter les rendements (30 hectolitres/hectares) pour réduire l’usage d’intrants, travailler le sol par labourage et enherbement pour préserver la flore et enfin employer uniquement le cuivre et le soufre pour le traitement des pieds de vignes. Le plaisir avant le prestige Paul Claudel a dit qu’« en matière de vin, il faut savoir faire passer le plaisir avant le prestige ». Cette citation s’applique autant pour ceux qui boivent le vin que ceux qui le produisent. Et c’est exactement le cas au Domaine Vecchio où l’étape cruciale de la vinification est menée « artistiquement », selon le plaisir des maîtres des lieux. Les techniques varient en fonction de la couleur travaillée, mais toujours en équilibrant les éléments et en adéquation avec le terroir. Le domaine obtient ainsi une gamme de trois cuvées à savoir « Tradition », « Prestige » et « Fût de Chêne » déclinées en huit vins différents. La cuvée « Uva Antica » se démarque par sa composition à 100% de Minustellu, que seule une poignée de vignerons insulaires cultivent encore de nos jours. Ce vin est gourmand et fruité, donnant sur des saveurs de caramel, mûres et chocolat. Il est le compagnon idéal sur des viandes nobles, ou des desserts au chocolat. ...

La Poudrière : votre nouvelle cantine préférée

La Poudrière sort de terre début 2015, au terme de 2 ans de travaux. Sa cave à manger promet une ambiance conviviale autour de plats à base de produits frais. Sa décoration sobre et dépaysante est une véritable invitation à table. Une cuisine de convivialité La Poudrière mise par-dessus tout sur une bonne sélection de produits pour donner entière satisfaction à ses convives. Entièrement faits maison, les plats sont concoctés avec des ingrédients issus notamment de la pêche et de l’agriculture durable. Pierre Chartron et Fabrice Mury travaillent d’ailleurs en étroite collaboration avec des producteurs locaux avec l’ambition de revoir quotidiennement leurs cartes en fonction des arrivages. Au sein de ce cocon bucolique, la planche charcuterie-fromages composée de speck fumé au foin et de bœuf séché aux épices fait le bonheur des foodies. Sinon, pour se délecter pleinement du savoir-faire de La Poudrière, il suffit de choisir du boudin noir comme entrée, une truite des Pyrénées en guise de plat et un sablé au sarrasin pour le dessert. Pour accompagner les mets, la cave est riche de quelque 500 références de vins bio et nature. Sur ce point, la maison s’appuie sur l’expérience de Fabrice Mury dans le choix des meilleurs accords qui viendront sublimer le repas.    Une source de produits frais à venir La Poudrière est en train de mettre en place un potager, sur lequel Fabrice et Pierre aspirent à puiser une grande partie des produits d’approvisionnement de la cuisine, à savoir des légumes, des fruits, des plantes et fleurs aromatiques ainsi que des salades. Le projet est déjà en cours, grâce à une opération de financement participatif menée en juillet 2016. ...

Hôtel-restaurant Anthon : les merveilles d’une maison alsacienne à la façade ocre rouge 

Ancien relais de poste transformé en hôtel 3 étoiles, l’Anthon dispose de 13 chambres, équipée chacune d’une salle de bains privative. Les fenêtres ouvrent sur l’arrière-cour verdoyante et les massifs arborés. Une romantique gloriette se trouve dans le jardin, près du sauna. À quelques mètres des bois, des bulles transparentes permettent aux hôtes de dormir confortablement à la belle étoile. Le restaurant de l’hôtel, au rez-de-chaussée, inclut une spacieuse salle en rotonde et une terrasse. Les hôtes y sont marqués par l’accueil chaleureux du personnel, la compétence du sommelier Laurent Chiocca, et surtout, la créativité du chef Flaig. Georges Flaig et son génie de la précision Le jeune chef, Georges Flaig, s’est formé auprès des grands maîtres comme Loiseau et Westermann. Revenu à la maison, il succède à son arrière-arrière-grand-père aux fourneaux.Il fait la cuisine autrement, tout en apportant un air du Sud aux classiques du Grand Est. À chaque bouchée, les papilles reconnaissent les saveurs du terroir, avec cette touche « en plus » qui n’existe que chez Anthon. Il décrit son art comme « une cuisine avec des choses assez simples mais précises, bien travaillées avec des produits locaux ». Le carpaccio de bœuf Highland, une de ses entrées phares, est agrémenté de copeaux de parmesan, chapeauté par des feuilles de roquette et contourné par une sauce pesto. Pour le plat principal, le chef revisite une vieille recette alsacienne : la raviole schnieders päetzle à la truite. Le déjeuner se termine enfin par un millefeuille glacé de chocolat noir sur un coulis d’oranges amères. L’épaisseur demi-millimétrique de chaque disque de chocolat, le dressage, la consistance et le goût révèlent simplement la virtuosité technique. Ce savoir-faire-là, le chef le partage avec ceux qui suivent ses cours de cuisine. Avis aux amateurs et aux futures toques !  ...

Château de Livran : une histoire de cœur

Une équipe passionnée « L'acquisition de ce domaine est parti d’un coup de cœur, d’une histoire complexe et assez exceptionnelle. C’est vraiment une belle aventure que nous vivons avec cette propriété depuis trois ans » raconte Edwige Lurton-Michon, propriétaire du domaine avec son mari Olivier Michon. La propriété avait été achetée par un investisseur russe, qui malheureusement n’a pas réussi à mettre en valeur son terroir. Avec l’appui d’une équipe aussi professionnelle que passionnée, les époux Michon ont commencé à la remettre sur pied, petit à petit. Avec Patrick Turani, régisseur ,Sandra Desgroppes, assistance administrative, Evelyne, John, Loïc, Sylvie et Dominique qui se partagent entre vigne et chai, chacun apporte tout le soin nécessaire à l'épanouissement de ce patrimoine végétal et architectural. La propriété est suivie par les oenologues Eric Boissenot et Marco Balsimelli. Des ressources sous-estimées Depuis quelques décennies, le Château Livran avait quelque peu disparu des écrans radars de la place de Bordeaux. Cependant, grâce à l’importante restructuration menée par l’équipe actuelle, le domaine est en pleine renaissance. « La propriété était en sommeil, nous nous employons à la remettre dans son énergie. De nouveaux chais et cuvier innovants dans le respect de l’environnement (climatisation naturelle grâce aux puits canadiens, nettoyage des eaux usées par compostage des sarments...) sont en cours de construction au cœur du domaine» affirme Edwige. Le vignoble dispose pour le moment de 27 hectares de vignes. Toutefois, 10 autres hectares sont en train d’être replantés, en Merlot majoritairement. Ce cépage est en effet complémentaire avec le Cabernet Sauvignon, leur assemblage permet d’obtenir des vins fins et structurés. Concernant la politique culturale, le vignoble introduit doucement mais sûrement une agriculture en biodynamie « afin de préserver et faire fructifier de manière harmonieuse ce site naturel» précise la vigneronne. Plus aucun herbicide n’y est employé, et les doses de produits chimiques ont été réduites de façon drastique. Le domaine use à présent de tisanes et d’engrais organiques pour amender et protéger les vignes. Deux cuvées distinctes Aujourd’hui, le Château Livran produit 50 hectolitres à l’hectare de vins, soit 150 000 bouteilles réparties en parts égales de « Château Livran » cru bourgeois et « Les sources de Livran ». « Le terroir, composé de marnes et de calcaire qui se chevauchent, est assez atypique pour le Médoc et ressemble plus au Saint-Emilionnais » selon Edwige. Vinifiés à partir de méthodes traditionnelles en cuves béton, les raisins issus de ce terroir donnent des vins fins et fruités. ...

Domaine du Moulin : que du vrai !

Ciblant un public averti pour les visites du vignoble ou des caves souterraines voûtées en pierres destinées à l’élevage du vin, le Domaine du Moulin est un domaine familial qui tire son nom d’un quartier de la commune de Vinsobres où se trouvait un moulin à huile d’olive. Les cépages classiques des Côtes-du-Rhône : grenache, syrah et divers autres sont plantés sur un vignoble de vingt hectares en appellation d’origine contrôlée (AOC) Vinsobres. Sur ces sols argilo-calcaires, les propriétaires adoptent l’agriculture raisonnée depuis si longtemps que cela leur semble naturel. D’ailleurs, ils sont surpris que l’on prenne aujourd’hui cette démarche comme quelque chose d’extraordinaire. Aujourd’hui encore, les vignerons ont su conserver le cep gobelet, un cep de vigne qui tient debout tout seul et dont la vendange ne peut être faite mécaniquement. « La vigne forme un petit arbuste comme il y a cent ans, et cela apporte une meilleure aération des grappes et une meilleure répartition du soleil », explique Denis Vinson. La famille veut rester dans la pure tradition du vignoble.   La cuvée ambassadrice La Cuvée ++ est la plus représentative du Domaine du Moulin. Sa robe couleur rubis, nuancée de violet donne un avant-goût des notes de fruits mûrs, d’épices et de moka relevés par des notes de vanille qui se dévoilent au nez. En bouche, on sent toujours du fruit avec des notes boisées sur la fin. Denis Vinson persiste à dire que chaque vin est exceptionnel, mais il faut savoir l’accorder avec les bons mets. ...

Rhum Karukera : les saveurs de la Guadeloupe à l’honneur

Véritable emblème des Antilles françaises, Karukera® est une marque de rhum déjà présente en Guadeloupe à la fin du XXe siècle.C’est alors la première marque de rhum en Grande-Terre qui sera reprise plus tard par Grégoire Hayot, héritier de générations de producteurs qui depuis 1788 ont marqué l’histoire du rhum et du sucre des Antilles Françaises Ce dernier, en partenariat avec François Longueteau, héritier et acquéreur de la distillerie éponyme et des plantations de canne à sucre du Domaine du Marquisat de Sainte-Marie, décide en 2006 de donner vie à la rhumerie karukera pour produire des rhums Vieux au Domaine. Rhum d’artisan, pur jus de canne La fabrication du rhum Agricole fait intervenir successivement différentes opérations : la récolte de la canne à sucre, l’extraction du jus de ses tiges, la préparation du mout, la fermentation, la distillation et la maturation des distillats. L’expression du terroir est une signature des rhums Karukera® : La canne à sucre provient des plantations du Domaine et toutes les opérations de la fabrication du rhum sont réalisées sur place au Marquisat de Sainte-Marie. Une fois la récolte effectuée, la transformation se fait sans additif, sans acidification et sans complémentation. La fraicheur de la canne et la préservation de la flore bactérienne permettent la fermentation et la formation des arômes. L’eau-de-vie obtenue est ainsi dotée d’un fort potentiel aromatique qui s’exprime pleinement au terme du vieillissement en fûts de chêne. Parmi les fleurons de Karukera, le rhum Blanc l’Intense qui a bénéficié d’une maturation longue, offre une expression à fort degré et gourmande du rhum Blanc Karukera "canne bleue". ...

Les viandes bio de Versailles : « faire du bio, mais du bon bio » 

Fièrement installée dans les Halles de Versailles, la boucherie traditionnelle Lombert a bâti sa réputation en offrant à sa clientèle les plus beaux morceaux de viande, dont évidemment, le fameux bœuf en Chalosse. Aujourd’hui, de nouveaux challenges s’esquissent pour Joël Lombert avec l’ouverture de sa nouvelle boucherie 100% bio. Un emplacement vacant à côté de la boutique actuelle s’est révélé être le point de départ de ce nouveau projet. Déterminé, l’artisan-boucher s’est engagé dans l’aventure avec le soutien d’UNEBIO grâce à qui il a réussi à trouver des éleveurs répondant à ses cahiers des charges. La conversion en bio Dans le secteur de la boucherie, se reconvertir en bio n’est pas une mince affaire. Il faut respecter à la lettre un cahier de charges pointilleux, à commencer par le choix des éleveurs. Joël Lombert a sélectionné des petits producteurs, qui commercialisent leur viande avec UNEBIO, et qui répondent non seulement à la réglementation imposée, mais surtout à ses besoins et à sa vision « faire du bio, mais du bon bio ». Il désire exclusivement disposer de viandes qui sont légèrement engraissées, bien finies, travaillées à la main avec de belles couleurs et obtenues via une démarche biologique. Les éleveurs qui travaillent pour la boucherie sont majoritairement  issus du sud-ouest de la France. Chez eux, les animaux sont élevés dans le respect de leur bien-être, tant au niveau de l’alimentation qu’au niveau du traitement, que ce soit pour le bœuf, l’agneau, le porc ou les volailles. « Les animaux sont nourris uniquement avec une alimentation naturelle et saine, sur des pâturages et avec des fourrages qui sont référencés bio. Ils vivent à l’air libre dans la journée et ne sont pas cloîtrés », explique Joël Lombert. Toutes ces méthodes particulières de l’élevage bio permettent d’avoir des viandes plus colorées et savoureuses. Ce qui justifie le prix appliqué par la boucherie « Chez moi, en termes de tarifs, il faut compter environ 10 % de plus qu’une boucherie traditionnelle normale », reprend Joël Lombert. Ces extras sont consacrés aux petits producteurs français pour gratifier leurs travaux à leur juste valeur. Le Made in France à l’honneur Côté bœuf, la boucherie Lombert propose des viandes nobles, celles de race limousine, la blonde aquitaine ou la parthenaise. Le propriétaire a fait le choix de diversifier aussi bien les producteurs et les viandes racées pour s’assurer d’avoir en permanence des produits variés à présenter aux clients. Pour le veau, il privilégie les viandes un peu plus musclées avec une belle conformation (selon le classement E.U.R.O.P). En agneau, les viandes venant d’Aveyron sont d’un goût authentique, en plus d’être tendres et parfumées. En ce qui concerne les viandes porcines, elles sont assurées par les éleveurs bio membres d’UNEBIO issus du grand-ouest de la France. Enfin, la boucherie Lombert travaille des volailles en tout genre (poulets, dindes, pintades, canettes…) toujours élevées à l’air libre et nourries sans OGM. Étant une boucherie traditionnelle, Joël Lombert travaille lui-même les carcasses, pour ensuite les couper à la main. C’est une étape délicate et importante, sur laquelle dépend la qualité gustative de chaque morceau de viande. ...

Brasserie Akerbeltz : des bières basques artisanales

Basque d’origine, François Iraola fonde la Brasserie Akerbeltz en 1999. En 2012, il agrandit la petite Brasserie Akerbeltz en s’installant dans la zone artisanale Larre Lore d’Ascain, à quelques minutes de Saint-Jean-de-Luz. Tout y est fait sur place : réception des matières premières, brassage, fermentation, mise en bouteilles et en futs, étiquetage, dégustation, vente, expédition. Avec toute son équipe, il y fabrique les bières Akerbeltz , artisanales et naturelles, dans le respect de la tradition. Ici, pas d’OGM, pas d'additif, pas de colorant et pas de conservateur. Des bières basques à découvrir Les bières Akerbeltz sauront ravir celles et ceux qui les dégustent. Leurs saveurs sont authentiques, délicates et subtiles. Repas entre amis, déjeuner sur le pouce, au comptoir, pique-nique ou encore petit moment pour se désaltérer...Il y a une bière Akerbeltz pour chaque moment. La gamme historique La Blonde Horaila est une bière aux céréales avec une pointe d’amertume très discrète. Elle est savoureuse en accompagnement d’huitres, de poulet rôti ou de chèvre doux. La Blanche Xuria est une bière brassée avec des malts d’orge et de froment, très légèrement amérisée et dont l’aromatique a pour origine l’infusion d’un bouquet aromatique végétal dont vous devrez deviner la composition lors de votre venue. Ses arômes de sapin, de levure et de brioche agrémentent à merveille un tartare de langoustines ou un guacamole. Cette bière a reçu la médaille d’or au Concours général agricole 2015. L’Ambrée Gorrasta est une bière aux saveurs grillées multiples, dont des notes de caramel. Elle est délicieuse avec une piperade basque ou un fromage de brebis d’Ossau. La Brune Iluna est une bière aux 6 malts différents avec des arômes qui évoquent le chocolat noir et le café avec une pointe de caramel. Avec de la charcuterie, de la viande grillée, un brillat-savarin, une tarte tropézienne ou un pain perdu à la vanille, elle prend toute sa dimension. Les dernières créations La IEPA (Indar Euskal Pale Ale) est une bière blonde triple, forte et houblonnée, qui laisse apparaitre une amertume résineuse fort agréable. Elle s’accorde particulièrement avec la tortilla, la mouclade basque, la tomme de brebis ou le gâteau basque. La Megabeltz est la cousine triple de la brune Iluna, relativement forte : la technique de brassage très particulière qui caractérise sa fabrication exacerbe ses arômes de chocolat noir et de café avec toujours une pointe de caramel. Elle s’associe parfaitement avec un foie gras ou des huitres. Deux autres bières sont disponibles en saison, à savoir la bière de printemps Udaberri et la bière de Noël Olentzero. D’autres nouveautés sont en cours de conception. Boutique  Toutes les bières de la Brasserie Akerbeltz sont en vente sur place à la fabrique.  • De février à mars : du mercredi au samedi, de 14h00 à 19h00 • D’avril à juin et de septembre à décembre : du mardi au samedi, de 14h00 à 19h00 • Juillet et août : du lundi au samedi, de 14h00 à 19h00 • Janvier : fermé au public. Bar  Une visite s'impose pour découvrir et déguster les bières de la Brasserie Akerbeltz ! La brasserie propose des visites guidées où vous découvrirez la fabrication traditionnelle de la bière étape par étape dans une ambiance chaleureuse et originale suivie d’une dégustation. Horaires d'ouverture • De février à mars : du mercredi au samedi, de 14h00 à 19h00. Bar le vendredi soir jusqu'à 21h00. • D'avril à juin et de septembre à décembre : du mardi au samedi de 14h00 à 19h00. Bar le vendredi soir jusqu'à 21h00. • De juillet et août : du lundi au samedi, de 14h00 à 19h00. Bar jusqu'à 20 h et le vendredi jusqu'à 21 h • Janvier : fermé au public. Visites • Juillet et août : vendredi à 17h00 (sur réservation - nombre de places limité). • Autres dates : minimum 10 personnes (consulter la brasserie). Tarif de la visite : 7 € par personne. Dégustation comprise. ...

Musée de La Fabuloserie : quand l’Art Brut est Poésie

Créée en 1979 et ouverte au public en 1983, La Fabuloserie est un lieu où Nature et Art Brut se rencontrent. Le jardin est parsemé de sculptures réalisées par des autodidactes, telles que le Manège de Petit Pierre, les girouettes de Jean Bertholle, la Petite Afrique de Jules Damloup ou encore les personnages de Camille Vidal. Mais La Fabuloserie est aussi un musée, riche d'un millier de pièces d'art brut qui retrace tout le parcours passionné depuis les années 70 de Caroline et Alain Bourbonnais. Au musée, on y retrouve les dessins de Yanko Domsic, Scottie Wilson et Aloïse, les bourrages de Francis Marshall, les boîtes à cachettes de Pascal Verbena (exposées en 2023 à la Halle Saint Pierre à Paris), ou encore la salle à manger de Giovanni Podestà en sont quelques exemples. La Fabuloserie, une Histoire d’Amour et d’Art Ils s'étaient unis en 1955, lui étant architecte en chef des palais nationaux. Il disait : "Je veux être un fabricant fabuleux". C'est ainsi qu'est né au fil du temps l’âme de collectionneur artiste d’Alain Bourbonnais, dépassant peu à peu son vrai métier d’architecte au point même d’ouvrir en 1972 et en réaction au départ de la collection privée de Jean Dubuffet à Lausanne en Suisse une galerie à Paris, l’Atelier Jacob. Une initiative plébiscitée par Jean Dubuffet lui-même qui, malgré des réserves sur l'emploi du terme d’art brut, apporta son soutien dès l’ouverture de la galerie avec de nombreux échanges d’artistes enrichissant ainsi la collection de la rue Jacob et celle de La Fabuloserie. Passionnés par l’art brut qu'il définit comme "l'art des fous, des marginaux, des enfants, des prisonniers, des malades mentaux, des sauvages, des primitifs, des voyants, des solitaires, des autodidactes", le couple Caroline et Alain Bourbonnais dévoilaient aussi les trésors de leur collection "d’art hors-les-normes" dans un musée lui-même hors norme : La Fabuloserie. Un musée qui n’est pas vraiment un musée, mais plutôt un cabinet de curiosités, qualifié par Michel Ragon, écrivain et critique d’art au parcours étonnant, de "caverne d’Ali-Baba" ou "Tout est insolite. Tout vous agresse. Tout vous enchante". Ici, on cultive l’imaginaire, le génie de l’enfance retrouvée en partant à la rencontre de créateurs qui ne sortent pas des écoles d’art, mais plutôt des usines et des champs. Des artistes qui ont su transcender leur quotidien, s’évader pour trouver une forme de liberté en réalisant leurs rêves les plus fous avec de simples objets cassés, vieux jouets, laine, fil de fer, bois flottés... La Fabuloserie, un écrin dédié à l’art brut Alain Bourbonnais voulait que La Fabuloserie soit un "temple du rêve, de l’imagination, de l’émotion", un lieu avec une mise en scène onirique, parfois organique à la Gaudi, où tout est surprenant, insolite, étrange et authentique. C’est ainsi que l'architecte artiste Alain Bourbonnais décida de réaliser son univers fait de fables en aménageant au fil des années un parcours initiatique, un labyrinthe avec des chambres à surprises, des escaliers de meunier, des murs à traverser. Le parc prolonge cette expérience, offrant une dernière demeure aux bâtisseurs de l’imaginaire et aux créateurs inspirés du bord des routes, qui ont passé leur vie à transfigurer leur environnement quotidien en un paradis personnel. Des œuvres d'art singulières, créées par des artistes dépourvus de soucis esthétiques, qui souvent ne se considèrent ni ne se revendiquent d’ailleurs du monde de l’art. Des outsiders de l’art en marge de la culture officielle avec des œuvres souvent fragiles faites de bric et de broc qui échappent parfois à la destruction, à l’instar en 1987 du transfert du Manège de Petit Pierre à la Fabuloserie ou de sa rénovation en 2021 avec le concours de généreux donateurs. Au programme de ce lieu atypique, une collection étonnante d’artistes à la croisée de l’art brut, de l'art naïf, de l'art populaire, mais également ouverte aux influences ...

Fondation des hôpitaux privés de Metz (HPMETZ) : acteur de l’innovation médicale

La fondation HP Metz soutient l'ensemble des missions et des projets menés par les Hôpitaux privés de Metz. Ces hôpitaux réunis depuis 10 ans au sein d'une même structure sont associatifs et donc par essence à but non lucratif. La fondation poursuit plusieurs objectifs, notamment celui de venir en aide aux patients en mettant à leur disposition des dispositifs médicaux innovants et en mobilisant des moyens concrets afin d'améliorer la prise en charge de la douleur. Quelques mots sur la fondation La fondation HP METZ, créée en janvier 2015, regroupe des hôpitaux privés qui sont exclusivement des établissements à but non lucratif. Parmi eux, l’hôpital Belle-Isle, créé en 1874 par les sœurs Diaconesses de Stuttgart  ou encore l’hôpital Sainte Blandine, créé par les sœurs franciscaines allemandes et qui a ouvert ses portes en 1886. On note également les 2 Résidences à savoir Sainte Marie et Sainte-Claire qui sont spécialisées dans la prise en charge des personnes âgées dépendantes. Enfin, plus récemment, l’hôpital Robert Schuman dont l’ouverture en mars 2013 s’inscrit dans la continuité d’unification des HP METZ. A ses débuts, la fondation HP METZ avait comme principal objectif la recherche de fonds destinés au financement d’un robot chirurgical à la fois innovant mais couteux. Mais au fil du temps et en fonction de nouveaux besoins, elle a élargi considérablement son champ d’action pour pouvoir assurer un accompagnement de qualité à tous les patients. Présidée par Paul ARKER, ancien président de la Chambre de Commerce et d'Industrie de Lorraine, la fondation est placée sous l’égide de la Fondation de France. Ses principales missions La fondation HP METZ s’est assignée 4 grandes missions. La première concerne le financement de dispositif innovant qui inclue trois volets essentiels : l’acquisition d’équipements de pointe et l’accompagnement de l’équipe médicale et soignante dans la lutte contre la douleur, la poursuite de la restructuration et modernisation des unités et services de soins. Ensuite, à travers ses actions de financement, la fondation s’est engagée à contribuer au développement de la recherche clinique. Concrètement, il s’agit ici d’encourager la recherche médicale dans le traitement des maladies systémiques rares ou soutenir la lutte contre le cancer. Pour les malades, la fondation prévoit de développer non seulement les programmes d’aides et de prévention mais aussi tout ce qui touche de près  à l’éducation thérapeutique. Pour les résidents en longue maladie, en fin de vie ou en situation de handicap, l’idée est de leur fournir une assistance efficace tout en soutenant les actions des bénévoles et des aidants. Enfin, l’accompagnement des personnes âgées dépendantes est également une des missions prioritaires de la fondation. Cet accompagnement consiste notamment à améliorer leurs conditions d’hébergement et les aider au mieux dans leur vie quotidienne. Les réalisations de l’année 2016 et 2017 La fondation s’est illustrée dans le financement d’une prothèse révolutionnaire : l’endoprothèse fenêtrée. Il s’agit d’une nouvelle technique permettant d’effectuer un traitement directement à l’intérieur d’un vaisseau sanguin. Cette prothèse est confectionnée manuellement et fabriquée sur mesure pour être adaptée à chaque patient. Ce qui explique son coût très onéreux. De plus, elle n’est pas remboursée par l’assurance maladie. L’utilisation de l’endoprothèse fenêtrée a permis d’augmenter considérablement les chances de survie des patients qui ont pu en bénéficier. En raison de la nécessité de ce traitement, la fondation HP METZ a financé ces endoprothèses sans reste à charge pour les patients. L’implantation est réalisée par un chirurgien vasculaire attaché à l’hôpital Robert Schuman. La fondation a aussi procédé au financement et à l’installation d’un dispositif livesurgery permettant de retransmettre en direct des interventions chirurgical...

L’enseignement catholique recrute ! Formez-vous !

Des voies d’accès à la profession plus lisibles.  Entre les différentes réformes, il est parfois difficile de s’y retrouver. Quels parcours doivent emprunter les plus jeunes pour devenir professeur ?  Les modes d’accès à la profession se sont simplifiés au fil des années afin d’être plus lisibles. La voie royale reste celle du concours de recrutement. Il est aujourd’hui accessible dès que l’on est inscrit en Master 1, pour une majorité de filières. Les épreuves du concours externe, identiques pour le concours du public et du privé, se déroulent de mars à juin (en fonction du parcours 1er ou 2nd degré).  « Bien que les modalités de recrutement des enseignants soient identiques entre l’enseignement privé et l’enseignement public, le candidat doit effectuer un choix qui sera déterminant pour sa future carrière,  explique Bruno Sébire, directeur de l’Institut de formation pédagogique Nord - Pas-de-Calais à Lille. Si au final, le métier est le même, il faut savoir qu’il n’existe quasiment pas de passerelles entre le public et le privé une fois que l’on devient enseignant. ». Le choix du concours engage donc une carrière au sein de l’enseignement public ou bien de l’enseignement privé, (majoritairement des établissements catholiques d’enseignement). Une fois ce concours obtenu, les étudiants intègrent un Master 2  MEEF (Métiers de l’Enseignement, de l’Education et de la Formation). Il s’agit d’une année de formation par alternance. En effet, le professeur stagiaire est rémunéré à temps plein, dès cette cinquième année d’étude, pour se former, tandis que l’autre partie du temps est consacrée à enseigner, à mi-temps dans une classe. Chaque étudiant est bien sûr accompagné par deux tuteurs, l’un en établissement, l’autre à l’IFP. D’autres concours dits réservés ou internes existent pour ceux qui n’empruntent pas la voie du Master 2. Ces concours sont notamment ouverts à ceux qui font des remplacements depuis plusieurs années. Prof à 40 ans : et pourquoi pas vous ? On ne naît pas prof, on le devient par la formation et la pratique professionnelle. On peut aussi le devenir au cours de sa carrière professionnelle… même si, jusqu’alors, elle n’avait pas grand-chose à voir avec l’enseignement. C’est un phénomène nouveau observé par Bruno Sébire, directeur de l’Institut de formation pédagogique du Nord-Pas-de-Calais à Lille. Depuis quelques années, un nouveau public s’oriente vers le métier de professeur. « Avant, nous accueillions essentiellement des étudiants. Désormais, on observe de plus en plus de personnes, en reconversion professionnelle, qui souhaitent réorienter leur carrière dans l’enseignement ».  Ceux-là peuvent avoir subi un licenciement, avoir l’impression d’avoir fait le tour de la question dans leur ancien métier et veulent changer d’orientation, ou avoir tout simplement envie de transmettre les compétences acquises durant 10, 20 ou 30 ans. Les métiers de l’enseignement leur sont également accessibles, d’autant plus en cette période « où les demandes de chefs d’établissement pour des remplacements sont importantes ». L’IFP Nord-Pas-de-Calais accueille et accompagne ces personnes en reconversion professionnelle, qui peuvent être suppléants avec un niveau licence. Cet accompagnement se fait en plusieurs étapes : un entretien préalable, pour clarifier les intentions ; un stage d’immersion en collège ou en lycée, pour appréhender les réalités du métier ; une proposition d’entrée en formation et/ou en suppléance (remplacement) ; enfin, une formation professionnelle adaptée. Les professeurs en espagnol, en sciences-physiques, en mathématiques sont très recherchés… Alors, pourquoi pas vous ? Parce que le futur enseignant, professeur des écoles, professeur de mathématiques ou de boulangerie, cela peut bien être vous ! ...

Association des Coteaux Sud d’Épernay : dynamiser le tourisme, promouvoir et valoriser les villages qui composent cette petite région au cœur de la Champagne

Fondée en 1996, l’association des Coteaux Sud d’Épernay a pour vocation de faire connaître et promouvoir son territoire géographique réunissant 11 communes et 13 villages. Elle est l’organisatrice des plus grands événements touristiques et œnotouristiques dans la région, ciblant quelque 6 500 habitants et mobilisant plus d’une centaine de bénévoles autochtones. Cette année encore, toute l’équipe renouvelle ses deux rendez-vous emblématiques en promettant encore plus de découvertes, de gourmandises et de plaisirs ! L’escapade pétillante et gourmande en Champagne Cette manifestation labélisée Vignobles et Découverte par Atout France en est déjà à sa 14e édition. Son succès est tel que, depuis quelques années, elle s’est vue ramenée à l’échelle européenne, en comptant des visiteurs venus de Belgique, d’Angleterre, de Suisse ou encore d’Allemagne. Le concept : accueillir et faire manger les milliers de participants au cœur des vignes, c’est une aventure qui peut paraître un peu folle. Tout au long d’un itinéraire fléché de sept kilomètres environ, les promeneurs, équipés d’un kit, vont traverser un parcours pédestre ponctué de six escales gastronomiques. Un menu spécial est servi en six plats et chaque halte offre une dégustation des vins de Champagne les plus raffinés, le tout rythmé par une animation musicale. Cette balade est d’autant plus séduisante car elle fait découvrir un panorama exceptionnel des paysages en coteaux et des champagnes aux assemblages différents. Les visiteurs peuvent alors rencontrer et échanger directement avec les vignerons, et découvrir leur passion de la vigne et du vin. À la fin du parcours, ils trouveront un orchestre qui animera et fera danser les plus courageux et pourquoi ne pas opter pour une dernière expérience gourmande auprès des food trucks. Véhiculer l’art de vivre à la française, les valeurs de l’hospitalité, du bénévolat et de la convivialité fait partie intégrante de cet événement. Rendez-vous donc le 24 juin 2018 dans le village de SAINT-MARTIN D’ABLOIS. Participation sur réservation uniquement. La Champagne en fête : destination Moussy La seconde édition de La Champagne en fête sera organisée dans neuf villages différents : Chavot-Courcourt, Chouilly, Cramant, Cumières, Épernay, Le Mesnil-sur-Oger, Moussy, Mutigny et Oger. L’événement d’ouverture aura lieu le 29 juin 2018 dans l’avenue de Champagne à Épernay, avant de se déployer sur toutes les communes participantes pour les deux prochains jours. Le village de Moussy, plus particulièrement, a conçu tout un programme « découverte » à partager en famille ou entre amis. Le champagne bien évidemment, mais aussi la gastronomie et la musique seront mises en avant à travers les ateliers de dégustation, les divers spectacles gratuits, les balades thématiques et les expositions culturelles. En parallèle, concerts, expériences gustatives et animations pour enfants vont enrichir les festivités pour satisfaire petits et grands. Week-end de détente assuré. ...

L’Hôtel & Spa des Pêcheurs dans l’île de Cavallo, une destination de rêve à ne pas rater

Coupé du reste du monde, l’Hôtel & Spa des Pêcheurs est une véritable perle au milieu de la Méditerranée. Entouré de granites et d’eau limpide, l’hôtel est uniquement accessible par bateau. Les visiteurs ont le choix entre le bateau privé de l’hôtel ou les bateaux du service public de Piantarella qui ont des horaires réguliers. Les habitants des villes européennes peuvent accéder à l’hôtel an atterrissant aux aéroports d’Ajaccio, Bastia ou de Figari. Un hôtel au cœur d’une réserve naturelle Construit par l’architecte Roberta Valle en 1991, l’Hôtel des Pêcheurs est un hôtel de luxe quatre étoiles, situé sur l’île Cavallo. Située à douze kilomètres de la Sardaigne et à trois kilomètres de Sperone, Cavallo est la seule île habitée de l’archipel des îles Lavezzi. Racheté par Jean Castel en 1966, il cèdera le reste de l’archipel à la municipalité de Bonifacio pour qu’elle en fasse une réserve naturelle. L’Hôtel & Spa des Pêcheurs est idéal pour les clients intransigeants qui exigent du professionnalisme. Petite particularité de l’île, les seuls moyens de locomotion autorisés sont le vélo et les voitures électriques. Ce, afin de préserver la nature aux alentours, classée par ailleurs réserve naturelle. L’hôtel possède un restaurant très sophistiqué avec des menus variés. Dans le restaurant de l’Hôtel & Spa des Pêcheurs, le poisson est mis à l’honneur ainsi que les plats traditionnels italiens, français bien sûr mais aussi la cuisine corse. Le bar de l’hôtel possède une terrasse qui mène directement à la plage privée et offre des cocktails à déguster au son des vagues clapotant contre les rochers. L’hôtel possède sa propre plage privée avec des chaises longues où l’on voit la mer des Bouches de Bonifacio et ses eaux turquoise. Dès le matin, on peut profiter de l’ambiance méditerranéenne qui y règne en dégustant le petit-déjeuner buffet sur la terrasse. L’Hôtel & Spa des Pêcheurs, le lieu aux milles plaisirs L’Hôtel & Spa des Pêcheurs offre différentes activités pour émerveiller ses visiteurs. On peut y découvrir le snorkeling pour les amoureux de la mer désireux de découvrir les fonds marins, les excursions en bateau, ainsi que le tennis et le golf pour les amateurs de sport plus physique. Le golf de Sperone figure parmi les plus beaux parcours de golf. Entre végétation typique de la région et vue sur la Méditerranée, on y pratique son birdie autour des 18 trous répartis sur 135 hectares. L’hôtel offre aussi des moments de détente avec son centre de bien-être. Le personnel qualifié fournit des programmes personnalisés en séance privée ou dans le Spa de l’hôtel.  Il dispose également d’une piscine de thalassothérapie, d’un sauna et d’un centre de fitness. Différents soins sont aussi disponibles comme les soins du visage et corps, ainsi que des leçons de Yoga et de Pilates. Un séjour à l’Hôtel & Spa des Pêcheurs, luxe et raffinement L’hôtel dispose de 50 chambres ayant chacune une décoration raffinée avec une touche de bleue, beige et blanche et un confort inégalé. Les chambres sont équipées de petit coin salon, de TV satellite, une connexion Wifi dans les endroits partagés, un coffre-fort, un minibar et une terrasse dépassant l’eau de la baie qui entoure l’hôtel. La nuit, vous serez bercés par le bruit des vagues et ensorcelés par les senteurs marines. Chaque chambre dispose d’une magnifique vue sur les jardins de myrte, de genièvre, de chèvrefeuilles et de toute une végétation envoûtante qui offre un parfum subtil. La grande suite, avec ses 120m2 de confort et de cadre surprenant, offre un lit à baldaquin et un séjour pouvant accueillir jusqu’à 4 personnes. Le plus de cette suite est qu’elle donne une vue magnifique sur l’archipel des îles Lavezzi et possède un balcon privé. Une chambre « Privilège les pieds dans l’eau » offr...