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© Geoffroy de Boismenu
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Interview avec Yannick Alléno
Chef du restaurant Le Pavillon Ledoyen



Restaurant
3 étoiles au Guide Michelin
situé à Paris
Région Île-de-france

Dans votre restaurant, comment définissez-vous votre cuisine ? Quels sont vos plats «Signature»? Avec quels produits aimez-vous travailler ?

Yannick Alléno Au pavillon Ledoyen, nous proposons une cuisine moderne qui s’inscrit dans un mouvement culinaire que nous avons initié en 2013 et qui est né de la volonté de faire correspondre la cuisine Française à notre époque. Les clients souhaitent manger moins gras et moins salé tout en découvrant de nouvelles saveurs. Aussi, j’avais envie de redécouvrir ce qui constitue l’identité de la cuisine française, sa complexité, après des années de cuisine dites « de produit ». Pour cela, nous modernisons les éléments fondateurs constitutifs de la cuisine pour les remettre au goût du jour. Cette envie se traduit par un travail continu de recherche. Ainsi, nous avons commencé à travailler sur la sauce qui est le verbe de la cuisine française : elle lie tous les ingrédients dans une assiette. Nous avons développé la technique de l’Extraction® qui nous permet de créer des sauces moins grasses moins salées mais plus goûteuse. Ce travail autour de la Cuisine Moderne m’enthousiasme et nous nous réjouissons chaque jour de l’engouement qu’elle provoque. Nos récentes récompenses n’en sont que l’écho.

Quelles émotions avez-vous ressenties lors de la remise des étoiles du Guide Michelin ?

YA Obtenir 3 étoiles au guide Michelin est le graal absolu ! J’ai eu l’immense privilège d’être triplement étoilés à trois occasions et ces moments sont à jamais gravés dans ma mémoire. La première fois était en 2007 ; j'étais aux Etats-Unis avec mes enfants et j'avais perdu mon téléphone dans un manège... Le guide Michelin ne réussissait pas à me joindre et pour cause. Je n’ai appris qu’à mon retour à Paris que j’étais triplement étoilé. C’était un bonheur immense ! Nous sommes d’ailleurs partis avec mes équipes faire la fête chez Paul Bocuse ! En 2015, nous venions de reprendre le Pavillon Ledoyen seulement 7 mois auparavant ; cela a été un grand moment de cohésion avec ma brigade à nouveau parce que nous n'avions pas ménagé notre peine pour y arriver... Quant à l'année dernière, en 2017, la veille de la sortie du guide, j'attendais avec espoir un appel qui n'est jamais arrivé. En me réveillant, j'avais 5 messages, j'ai compris, j'étais fou de joie. Se voir récompenser deux fois de trois étoiles avec le Pavillon Ledoyen à Paris et Le 1947 à Cheval Blanc Courchevel est fantastique. Chaque fois, c'est un grand sentiment de plénitude, pour autant, ces moments sont très fugaces car notre priorité est toujours le prochain client. En effet, cette excellence nous oblige à nous dépasser toujours parce que l'on attend cela de nous à chaque plat. Je tire d'ailleurs un grand chapeau à tous les cuisiniers et cuisinières qui travaillent à mes côtés ; la cuisine est un travail d'équipe, sans eux je n'accomplirais rien.

La cuisine est faite chaque jour de partage et d'émotions. Toutefois, certains moments de la vie sont à privilégier plus que d'autres... Pouvez-vous nous confier vos plats rêvés pour :
- Un repas de Noël ?

YA Je crois tout autant en l'implication et en la simplicité qu'en la détermination d'un menu compliqué. On peut faire simple et bon si on y met du cœur et le temps. Mes parents étaient bistrotiers, j'aime les plats goûteux et chacun connait mon engouement pour la sauce. Une bonne volaille fermière à Noël fait toujours plaisir, on l'humidifie bien pendant la cuisson pour qu'elle soit tendre et on la sert avec son jus sur le côté.
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© Philippe Vaures Santamaria

Au fait, pour votre mariage, qui a fait la cuisine ? Pouvez-vous nous indiquer les plats cuisinés ?

YA J'ai fêté mon mariage au Pavillon Ledoyen évidemment ! Nous avons de nombreuses salles de réception et organisons d'ailleurs des mariages, comme toutes sortes de fêtes et d'événements professionnels tout au long de l'année. Toutes mes équipes étaient là. Ils nous ont préparé une Saint-Jacques en entrée, accompagnée d'épinards de Viroflay. Le terroir parisien dispose d'une multitude de produits merveilleux et j'encourage tout un chacun à manger local ; c'est meilleur et pas toujours plus cher. Ensuite, nous avions du bar en mousseline avec du céleri. J'adore le céleri, j'en mets partout... Et, en dessert, Aurélien Rivoire, notre chef pâtissier, avait préparé un fantastique buffet.
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Sans trop réfléchir, pouvez-vous nous confier votre plus beau souvenir gustatif et certaines des émotions procurées ?

YA Mes meilleurs souvenirs gustatifs sont souvent associés à des grandes dégustations de vins ! Cela ne veut d'ailleurs pas forcement dire que l'on fasse appel à des grands vins ; on trouve de bons vins à des prix raisonnables aujourd'hui. Pour faire rêver un peu, j'ai le souvenir d'une gelée de courge et meringues aux pralines roses accompagnée d’un château Yquem 67. C’est un millésime incroyable, d’une grande complexité, avec une très belle note de safran qui trouve un écho parfait dans la texture fondante de la courge.

D'après la célèbre devise de Prosper Montagné "On ne fait du bon qu'avec du très bon", pouvez-vous nous révéler deux ou trois de vos adresses gourmandes. Vos producteurs et produits préférés sur votre région ou ailleurs (vins, produits frais, ou autres...)

YA Je peux vous conseiller "Antoine" près de la Tour Eiffel : un excellent restaurant de poisson. Je recommande également "Tomy&Co" rue Surcouf, chez "Astier" dans le 11ème, ou encore "Pertinence" qui vient d'obtenir une étoile. Pour les pâtisseries, je ne peux que recommander Yann Couvreur, Avenue Parmentier dans le 10ème... Pour le vin, il y a depuis peu le salon des vins de la vallée du Rhône et de la truffe sur les Champs-Elysées (www.salonvintruffeparis.com) et j'invite tous les lecteurs à y faire leur marché. Discuter avec les producteurs est un régal et une vraie source d'inspiration dans la cuisine du quotidien.

On parle aujourd’hui beaucoup de cuisine fusion, de plats végétariens, d'aliments biologiques, de « Trashcooking » (ingrédients destinés normalement au rebus), de « Freakshakes » pour marier un dessert à une boisson... Selon vous quelles seront les grandes tendances de la cuisine de demain ?

YA Je crois au bon sens gastronomique, à la nécessité du végétal et au respect de la nature. Je n'aime pas le mot "Trashcooking" ; à mon sens tout est noble en cuisine. C'est le traitement que l'on en fait qui est important ; une peau séchée peut faire un sublime assaisonnement et remplacer le sel que tout le monde décrie. L'ère où l'on jetait plus de la moitié du produit pour réaliser des assiettes trois étoiles est terminée et tant mieux. Tout doit être envisagé comme un don pour les produits issus de la culture ou un sacrifice pour les produits issus de l'élevage. Nous avons même fait faire des vestes de cuisinier par la maison Bragard sur lesquels nous y avons mis un petit bouton vert à coté de tous les autres boutons blancs. Une philosophie, pour garder en tête une démarche verte et respectueuse.

Culture - Cinéma Quelle est votre scène préférée de cinéma au restaurant ? Un souvenir de film avec une séquence particulière...

YA La danse de Louis de Funès dans Le Grand Restaurant ! Elle est tournée au Pavillon Ledoyen et nous a inspiré la carte de vœux 2016.
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© Philippe Vaures Santamaria

Si vous aviez un hommage à adresser à Paul Bocuse, quel serait-il ?

YA J'aimais profondément cet homme. Monsieur Paul a eu une influence déterminante sur le rayonnement de la gastronomie française au niveau mondial. Il était notre ambassadeur et sera irremplaçable. Il avait compris qu'il fallait moderniser la cuisine traditionnelle et il a montré l'exemple de ce qu’est et doit être la cuisine française dans le monde entier. Je suis devenu cuisinier parce que je l’admirais, c’était mon Zidane ! Et, je ne suis pas le seul. Il a donné envie à tant de jeunes de faire des choses extraordinaires. Imaginez le destin hors norme de cet homme qui se définissait comme Paulo des bords de Saône…
Je lui dirais simplement merci et qu'il me manque.
Adresse | Contacts utiles
image-prop-contact-le-pavillon-ledoyen Le Pavillon Ledoyen 8, avenue Duituit
75008 Paris

Tél. : 01 53 05 10 00
Site Internet

Récompenses
3 étoiles au Michelin
5 toques Gault et Millau
31e meilleur restaurant du monde selon les Worlds 50 Best (2017)
6e meilleure note au monde selon La Liste (2018)

Le Pavillon Ledoyen : les avis

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Champagne Boutillez-Guer : cinq siècles
de savoir-faire

Actuellement, la maison Boutillez-Guer travaille sur un vignoble s’étendant sur une superficie de 5 ha 25, planté à 80 % de chardonnay, 5% pinot noir et 15% en pinot meunier. Ici, le travail de la vigne se fait avec la même passion qui a animé chaque génération depuis les origines de l’exploitation. Fidèle à son héritage, la maison continue de préserver l’authenticité et la tradition, gages de la qualité de ses champagnes d’exception. Une méthode soucieuse de l’environnement Pour tirer le meilleur de son terroir viticole, la maison mise sur une viticulture raisonnée et s’efforce de limiter au maximum tout impact sur l’environnement. « Nous réduisons l’usage de produits chimiques et nous privilégions des procédés naturels tels que l’enherbement et l'utilisation de phéromones pour réduire l'utilisation d'insecticides », nous explique-t-on. Par ailleurs, le plus gros du travail se fait à la main, que ce soit pour la taille des vignes ou pour la vendange. La vinification, quant à elle, se veut être classique avec un élevage en cuve. Fière de son statut de vigneron indépendant et de récoltant-manipulant, la maison maitrise ainsi parfaitement toute la chaîne de production. Des cuvées « premiers crus » Parmi les spécialités de la maison, 4 cuvées sortent du lot : la cuvée Brut tradition, la cuvée Blanc de Blancs, la cuvée Brut Rosé et la cuvée Millésime 2008.   La cuvée Brut Tradition est obtenue à partir de l’assemblage de 80 % de chardonnay et de 20 % de pinot noir, dont 50 % de vin de réserve. Elle s’habille d’une couleur or brillant et renferme des arômes briochés. Idéale pour accompagner les volailles ou pour des saveurs plus subtiles telles que le saumon fumé. Ensuite, la cuvée Blanc de Blancs, élaborée essentiellement avec du chardonnay, dont 30 % de vin de réserve, se distingue par sa légèreté et son arôme fruité qui séduiront les plus fins palais. Ce champagne sublimera des plats comme un feuilleté de langoustines ou un tartare de poisson. Pour enchainer, la cuvée Brut Rosé s’obtient par l’assemblage de 70 % de chardonnay et de 30 % pinot noir, dont 10 % de coteau rouge. En bouche, celle-ci mêle harmonieusement raffinement, rondeur et puissance. Le tout, dominé par des parfums de fruits rouges et une fraicheur agréable. Enfin, le Millésime 2008 est, quant à lui, 100 % chardonnay. Ses arômes briochés et ses notes fruitées font de ce champagne le complice idéal pour les instants raffinés. ...

Découvrez le charme de l’hôtel Amiral, établissement 3 étoiles en plein centre-ville de Nantes

Si vous souhaitez assister à des événements, faire du shopping ou visiter la ville de Nantes, ce lieu est fait pour vous. Un hôtel avec une localisation exceptionnelle Vous avez de nombreuses raisons de vous arrêter à l’hôtel Amiral. En couple, le temps d’un séjour amoureux, en famille pour découvrir la ville et ses mystères, ou encore dans le cadre d’un voyage d’affaires : chacun y trouve son compte. Localisé en plein cœur du quartier historique, vous vous trouvez à quelques minutes des établissements culturels (dont le théâtre Graslin), de la galerie marchande du passage Pommeraye, des restaurants (nous vous conseillons la brasserie La Cigale) et de nombreux monuments à visiter. Sans oublier les incontournables que sont le Château des ducs de Bretagne, le musée Jules Vernes et les Machines de l’Ile. Que vous choisissiez une chambre simple, double, triple ou familiale, vous appréciez tout autant la modernité de l’établissement que son confort. Idéal pour vous ressourcer et vous sentir chez vous avec une équipe qui saura vous conseiller et qui reste à votre écoute 24h/24 En arrivant sur place, vous vous rendrez compte d’une chose : l’équipe qui vous accueille fait son maximum pour répondre précisément à toutes vos attentes. Un hôtel engagé dans une démarche environnementale La volonté de l’hôtel Amiral de se transformer en hôtel écoresponsable remonte au début des années 2000. Ainsi, en 2006, l’établissement obtient le label Qualité HôtelCert. Quelques années plus tard, en 2008, il sera récompensé par le label Clef Verte puis par l’Écolabel européen, en 2011. Le propriétaire de l’établissement, Jean-François Nicoul, et la directrice, Nadine Witczak, investissent toujours plus, pour permettre à l’établissement de répondre aux normes et exigences écologiques imposées par ces différents labels. Ce choix est récompensé en mai 2015, avec l’obtention de la Palme du Développement durable hôtelier. De plus, l’hôtel Amiral fait aussi partie du groupe pilote volontaire pour l’expérimentation de l’Affichage environnemental. En 2017, il obtient la note A, belle récompense qui symbolise les efforts entrepris afin de limiter au mieux l’impact carbone d’une nuit d’hôtel avec petit déjeuner.  Ce parcours met en avant les efforts de l’établissement en matière d’économie d’eau et d’énergie ainsi que sa résolution de se fournir auprès de producteurs locaux et de faire le nécessaire pour gérer au mieux ses déchets. Sans oublier sa volonté de sensibiliser ses clients et son personnel aux gestes et bonnes pratiques écologiques. ...

Restaurant Le Marjolin :
une ambiance conviviale, une cuisine de tradition

Dans ce petit nid douillet, le couple Polizzi, leur équipe et leur sourire réservent un accueil jovial à ceux qui franchissent les portes du Marjolin. Le chef, lui, se plait à émoustiller les papilles avec des mets faits maison, élaborés à partir de produits frais et de saison. Des mets copieux et authentiques Au restaurant Le Marjolin, les merveilles culinaires préparées par le chef Polizzi sont mises en scène sur une carte composée de trois entrées, de trois plats et de trois desserts. « Elle est renouvelée chaque semaine pour promettre qualité et fraicheur à tous nos clients », se félicite Mme Polizzi, la propriétaire. Épices variées, fruits et légumes un peu exotiques y sont aussi à l’honneur et procurent une note inédite aux plats classiques français. Le repas peut débuter avec le Saint-Marcellin rôti et jambon cru ou le Raviole de langoustines et bisque maison. Vient ensuite le moment d’apprécier le Filet de daurade rôti à l'huile de sésame ou le Quasi de veau poêlé aux girolles. Le répertoire des desserts, quant à lui, chante quelques grands classiques comme le Cheesecake au citron vert ou la Tartelette chocolat-noisette. Une carte des vins surprenante Le restaurant Le Marjolin détient une belle collection de vins qui rehaussent les saveurs des repas. Sa cave à vins est essentiellement composée de « petites perles issues des domaines assez peu connus », selon les précisions de la propriétaire. Parmi la trentaine de références, on peut citer le chardonnay du Domaine Gaget, le Blaye Côtes de Bordeaux ou encore le champagne Dosnon Récolte noire. ...

Château Latour-Martillac : le meilleur du terroir de graves

Identifié par le négociant Edouard Kressmann dès 1871, c’est seulement en 1930 que son fils ainé Alfred acquiert la propriété. Ce dernier décide alors de renommer la propriété afin d’éviter toute confusion avec son illustre homologue du Médoc, le Château-Latour. En 1954, c’est au tour de Jean Kressmann de reprendre le flambeau. Celui-ci agrandit le domaine avec l’acquisition de nouvelles parcelles, qui passe de 15 à 30 hectares. Il fait partie de ces hommes qui ont contribué à la création de l’appellation communale Pessac-Léognan. Actuellement, le domaine est dirigé par Tristan et Loïc Kressmann, fils cadets de Jean. Ils ont poursuivi l’œuvre de leur père avec notamment la rénovation importante des chais intervenue au début des années 90 et l’ajout de parcelles de Sauvignon Blanc à celles du Sémillon pour tirer profit du meilleur de ce terroir de graves. Terroir d’exception en viticulture raisonnée Le vignoble de Château Latour-Martillac est réparti en deux parcelles bien distinctes. Grattecap est une très vieille parcelle de seulement 65 ares qui date de 1884. Située au sud-est du domaine, elle accueille du Sémillon, de la Muscadelle et du Sauvignon Blanc. Le plateau du Martillac, dispose d’un terroir à mosaïque de graves, mélange de quartz, jaspes, lydiennes et silex. Ce genre de sol est parfait pour la culture de la vigne, particulièrement pour le Cabernet Sauvignon et le Petit-Verdot. Plus près de la Garonne, le terroir est constitué de sol argilo-calcaire avec des graves en surface. Les cépages blancs comme le Sauvignon Blanc et le Sémillon s’y plaisent particulièrement. Au Château Latour-Martillac, le respect de l’environnement est une préoccupation majeure. Avec l’aide de Denis Wendling, chef de culture, le domaine a mis en place une viticulture raisonnée. L’utilisation d’intrants chimiques est limitée au profit de la plantation de jachères et de haies qui favorise une faune auxiliaire. Des labours, échardages, effeuillages et vendanges vertes sont menés et prennent le pas sur les herbicides. Les effluents viticoles sont également récupérés et traités grâce une aire de lavage moderne. Une vinification de haute voltige Le Château Latour-Martillac doit sa réputation à ses vins blancs exceptionnels. Afin de perpétuer cette renommée, le domaine a recruté au début des années 1990 l’œnologue Valérie Vialard. Sous l’impulsion de Loïc Kressmann, elle supervise avec une précision chirurgicale toute la vinification. La totalité de la vendange est effectuée manuellement, avec des tris successifs et sélectifs des grappes de raisins. Les vins blancs sont fermentés dans des barriques et élevés sur lies, avec un bâtonnage régulier pour apporter arômes et structures aux vins.  La fermentation des vins rouges se fait dans des cuves en inox thermorégulées. Chaque parcelle est vinifiée séparément et l’élevage s’effectue dans des barriques en chêne français durant 16 à 18 mois. Des vins de référence Depuis qu’ils ont pris les rênes de la propriété, Tristan et Loïc Kressmann ont mis en place une belle gamme de vins de Bordeaux, dont le Château Latour-Martillac, Cru Classé de Graves en rouge et en blanc depuis 1953. Au fil des millésimes, les vins du domaine sont devenus des références del’appellation Pessac-Léognan. Lagrave-Martillac est le second vin du Château Latour-Martillac. Il existe depuis 1986 pour le rouge et 1990 pour le blanc, toujours en appellation Pessac-Léognan. Avec l’acquisition du Château Langlet en 1999, les équipes du château ont élargi leur expertise à l’appellation Graves.  Le « Château Latour-Martillac » blanc 2013 est issu à 70% de Sauvignon Blanc et 30% de Sémillon. Il a été élevé sur lies durant 15 mois dont 10 en barrique. Au nez, ce vin dévoile des arômes de fruits blancs et agrumes. En bouche, son attaque est élégante et équilibrée, avec des notes de pêches blanches. Cette cuvée se révèle être un excellent vin de garde.  « Lagrave Martillac » rouge est élabor...

Musée Bernard d’Agesci : cabinet de curiosités et lieu de vie

Né de la centralisation des anciens musées thématiques de la ville de Niort, le Musée Bernard d’Agesci réunit dans une infrastructure remarquable plusieurs typologies de collections. Vers la compréhension de nos histoires Au sein du Musée Bernard d’Agesci, des éminentes collections de tous types (ethnographie, beaux-arts, arts décoratifs, Histoire naturelle, etc.) sont à découvrir tout au long de l’année, dont 700 peintures du XVIe au XXe siècle, des dessins, et des sculptures. Plusieurs expositions temporaires par an, un accrochage mensuel et un service de médiation (visite guidée, animations, conférences) viennent enrichir l’exposition permanente. La mission du musée ne se limite pas uniquement à la conservation de ces trésors ; il s’agit aussi d’en assurer la diffusion. « Nous avons une démarche de service public très marquée. Chez nous, l’ouverture à la démocratisation culturelle n’est pas une utopie », déclare Laurence Lamy, directrice du musée. « Nous essayons d’apporter à toutes et à tous les clés et la lecture des œuvres d’art afin d’en faciliter l’accès. » Un musée étroitement lié à la pédagogie « Le Musée Bernard d’Agesci met la pédagogie au cœur du système. »  Dans ce cadre, il invite les scolaires à une visite libre accompagnée d’enseignants disposant d’une connaissance approfondie des œuvres exposées. Des livrets pédagogiques destinés à chaque niveau (primaire, collège, lycée) sont proposés ainsi que des plaquettes pédagogiques pour les enseignants. Le musée figure aussi parmi les rares structures où l’école du Louvre décentralise ses cours. ...

Domaine de Cadablès : un terroir, un volcan, un engagement pour une culture vivante.

Le terroir du Domaine de Cadablès présente un intérêt bien particulier : les vignes sont plantées sur un volcan. « C’est ce qui apporte la minéralité à nos vins, les rendant très digestes et hors du commun », explique Bernard Isarn. Celui-ci n’a pas hésité à en faire l’acquisition en 2004, « avec la noble ambition d’y produire du vin biologique ». Une maison engagée Poursuivant sa démarche agro-environnementale, le Domaine de Cadablès signe son engagement à travers le label AB en cours et ses vins fins biologiques. La cuvée « Terre Promise » est particulièrement à découvrir. ...

PALM HOTEL & SPA : voyage au cœur des saveurs réunionnaises

Le PALM HOTEL & SPA dispose de trois restaurants qui, malgré leurs spécificités, présentent tous le même point commun : la promotion d’une cuisine authentique concoctée essentiellement à partir des produits locaux. Le MAKASSAR, table gastronomique Le restaurant MAKASSAR reçoit ses invités dans un décor empreint d’élégance et de convivialité. En cuisine, le chef  Claude Pothin met à l’honneur les produits locaux et encense par l’occasion le terroir réunionnais. D’ailleurs, par souci de qualité, l’établissement respecte la charte « locavore » qui consiste à utiliser des produits récoltés, péchés ou élevés dans un périmètre de 150 km autour de PALM HOTEL & SPA. Papayes de Petite-Île, pigeon des Avirons, foie gras de la Plaine des Palmistes, herbes issus du potager de l’hôtel… en sont quelques exemples qui illustrent parfaitement cette démarche. Combiné au talent et savoir-faire du chef Claude Pothin, tout cela donne lieu à des créations naturelles et subtiles aux saveurs surprenantes. Comme entrée,  la maison suggère des « Camarons black tiger & tomate arbuste » s’enchaînant sur une délicieuse « Langouste rouge et sa déclinaison de légumes bio ». Enfin, il convient d’achever la découverte avec une pointe d’exotisme en dégustant un « Tantinet soufflé à l’ananas ». Pour les amateurs de découverte gustative, le chef a pensé à eux en leur réservant un menu « surprise ». Depuis 2009, chaque année (au mois de mars), le lieu est devenu le point de ralliement d’un événement de grande envergure dénommé le MAKASSAR FESTIVAL. L’occasion pour l’établissement d’accueillir de grands noms de la cuisine française et des vignerons provenant de diverses régions viticoles de l’hexagone et d’Afrique du Sud. Dégustation de vins, concours d’œnologie, gastronomie figurent au programme de cet évènement d’exception. En matière de vins, la maison peut se vanter de bénéficier d’une carte à la fois riche et éclectique. Un véritable trésor œnologique où se côtoient quelques 300 références de grands crus et petits producteurs.   Le KAH et son concept original Dans un espace de 1200 m2, le KAH Beach & Restaurant associe détente et gourmandise. Cet espace repos faisant face à l’océan propose un hammam, un bain à remous, des transats et des lits à baldaquin. Un restaurant vient compléter ce concept unique de plage suspendue entre ciel et mer. Les pieds dans le sable, les convives peuvent déguster grillades, bagels avec des pains « faits maison », sandwichs et autres salades.  Pour de purs moments de gourmandises, glaces, pâtisseries et smoothies  les attendent l’après-midi. Le KOKOA, bar lounge Dans un style chic et décontracté, le KOKOA invite ses convives à déguster de délicieux cocktails. Chaque semaine, des animations sont proposées autour de la fabrication de rhum arrangé et des vins d’Afrique du Sud. Tous les dimanches soir, un rendez-vous lounge avec DJ et musique éléctro-jazz est au programme ! En hiver, le KOKOA offre un point d’observation idéal pour apprécier le passage des baleines dans la baie de Grand Anse. ...

Un restaurant bistronomique à l'ambiance cosy

Installé au portes du Forez, à Saint-Cyprien, le restaurant Autour du tilleul est un établissement à l’ambiance cosy, où l’on propose une cuisine moderne et créative, préparée à base de produits bruts sur commande. Le fait maison à l’honneur Bien connu des habitués constitués majoritairement d’une clientèle d’affaires, l’établissement reçoit également des familles et des amis, surtout en weekend. Privilégiant le concept du circuit court Werner Coetzee, chef et propriétaire des lieux, ne cuisine que du frais et achète ses produits localement à la source. Il faut dire que le restaurant est très strict sur la qualité de ses matières premières, donnant aux clients le privilège de goûter à une cuisine préparée entièrement à la main : « Que du frais, tout est fait maison », assure Juliane Méric, son épouse.    Sens du détail et de la présentation Werner Coetzee se plait à préparer des assiettes aux belles présentations, où chacune est décorée à la manière d’un tableau auquel se mêle une savante association de couleurs et de saveurs intégrant des plantes aromatiques, des légumes, des herbes et des fleurs de bourrache. L’établissement Autour du tilleul est particulièrement connu pour ses plats signatures qui mettent en avant le carpaccio de bœuf charolais en rosaces avec une salsa verde. Pour accompagner ce plat, Juliane Méric propose un vin de Nouvelle-Zélande : « le Marlboro, un sauvignon blanc extrêmement parfumé, qui se marie à la perfection avec la plupart des entrées », explique-t-elle. La viande charolaise est également une spécialité de la maison et s’accompagne idéalement de « vins qui ont du gout » comme le Saint-Joseph ou encore le Côtes-du-Rhône. La ballotine de lote farcie à la mousse de gambas aux asperges et petit pois, servie avec un consommé safrané présenté en bol ainsi que le barreau d’agneau grillé avec des ris d’agneau et des petits pois à la menthe ont aussi du succès auprès des fins palais. Selon Juliane, « le vin qui se marie le plus à la lote serait le Chablis ou le Chardonnay alors que, pour l’agneau, ce serait plutôt le Saint-Nicolas de Bourgogne ». Dans la liste des desserts, les brownies à la Guinness, une spécialité irlandaise revisitée à la manière du chef, accompagné d’une boule de sorbet de glace artisanale fait toujours l’unanimité, sans parler de l’incontournable crème brulée à la lavande servie avec un petit biscuit maison, et aussi la meringue à la crème glacée accompagnée d’un peu de crème anglaise, de salade de fruit et de caramel en dentelle, décrite par Juliane Méric comme « une ile flottante qui ne flotte pas ». Une déco épurée Juliane Méric décrit Autour du tilleul comme étant un « restaurant au décor assez épuré » avec des fonds naturels où peinture couleur de dune et terracotta font bon ménage. Elle évoque notamment trois belles peintures qui illuminent de manière significative le restaurant, illustrées par « un triptyque géologique » et qui fait référence aux montagnes de l’Afrique du Sud, aux sommets des Alpes et à la Chaussée des géants en Irlande. Autour du tilleul baigne dans un décor convivial où l’on se sent décidément comme chez soi.   ...

Le Domaine de l’Enchantoir : la passion du vin depuis le 19ème siècle

Dans un terroir au sol perméable et argilo-calcaire poussent des cépages typiques des Pays de la Loire. C’est au cœur de cette région historique qu’est situé le Domaine de l’Enchantoir, produisant des cuvées répondant à l’appellation unique « Saumur Puy-Notre-Dame », qualifiant le vin fait à un seuil minimum de 85 % de cabernet franc. Fiers de cette distinction, Jean-Michel et Fabienne Brunet, heureux propriétaires de cette exploitation séculaire, nous emmènent à la découverte de cette terre déjà viticole depuis le Moyen-Age. « Un milieu dédié aux vignes » Ces propos de Jean-Michel et Fabienne Brunet justifient la forte réputation vinicole de Puy-Notre-Dame, une notoriété datant du 19ème siècle. Grâce à son microclimat d’altitude propice à la culture vinicole, ce terroir est le lieu de prédilection de deux cépages caractéristiques, à savoir le cabernet franc, pour le vin rouge, et le chenin, pour le vin blanc. Afin de rendre hommage à cette terre généreuse, le Domaine de l’Enchantoir privilégie ces deux cépages, avec un peu de chardonnay, sur ses 17 hectares de vignobles. Par cette recherche de l’authenticité, cette maison produit des cuvées rouges, blanches, rosées et pétillantes riches en saveurs subtiles et voluptueuses, et fortes de la mosaïque d’arômes propres à ce « terroir qualitatif », précise nos interlocuteurs. L’agriculture bio mise à l’honneur Certifié « Agriculture biologique », le Domaine de l’Enchantoir se veut être la figure de proue de plusieurs générations de vignerons soucieux de l’environnement et prônant un processus de vinification traditionnelle. Les cuvées issues de cette culture raisonnée gardent ainsi toute la typicité gustative du terroir, à l’instar du « Terres pourpres », un saumur rouge au caractère affirmé et succulent en bouche. Toujours dans cet esprit, les trois vins blancs produits par la maison ont le mérite d’être certifiés 100 % bios afin de préserver ce riche patrimoine naturel de Puy-Notre-Dame. ...

GoSense, des yeux dans les oreilles !

Depuis l’enfance, François Birot et Hugues de Chaumont, cofondateurs de GoSense, vouaient une passion démesurée pour le son et les nouvelles technologies. Tous les deux ont rêvé d’en faire leur métier et de faire quelque chose qui ait un « impact positif » pour la société. Plus tard, leur empathie envers le monde du handicap les a conduits à imaginer une manière d’aider les malvoyants. En mettant leurs compétences respectives en commun, ils ont comme leitmotiv de répondre aux besoins essentiels des personnes déficientes visuelles en termes de sécurité, d’orientation et de localisation. C’est en 2015, à l’issue de 5 ans de travail acharné, de brainstormings successifs et de près de 400 expériences sur le terrain que GoSense a vu le jour. Une belle opportunité pour ces enfants terribles de la technologie de réaliser leur rêve. Et depuis, l’aventure continue… Une jeune start-up au potentiel très prometteur, avec le son comme centre de processus d’innovation Travaillant principalement sur l’environnement sonore, GoSense mise sur la capacité naturelle humaine à repérer les sons dans l'espace. C’est là qu’entre en jeu la réalité augmentée sonore. Le principe est simple : substituer l’acuité visuelle qui fait défaut aux personnes malvoyantes par celle de l’ouïe à l’aide de capteurs 3D capables de produire des sons spatialisés. Afin de déterminer les besoins réels d’un déplacement à l’aveugle, des mises en situation ainsi qu’une co-conception avec des personnes malvoyantes et des personnes aveugles ont été mises en place. Très vite, le potentiel du projet a réussi à mobiliser des partenariats conséquents tels que celui avec le Commissariat à l’Energie Atomique (CEA) à Grenoble. Leur démarche terrain et plus largement leur démarche de design pour concevoir un produit centré sur l’utilisateur, n’est pas non plus passée inaperçue auprès de l’Agence pour la Promotion de la Création Industrielle (APCI) qui a décoré GoSense de l’étoile 2018 du design. 3 produits pour 3 besoins Trouver une solution pour aider les personnes en situation de cécité à se déplacer d’une façon plus autonome et sécurisée semble un pari osé. Mais c’était sans compter sur la détermination et l’audace de ces férus de la technologie à la démarche engagée. 3 accessoires complémentaires viennent ainsi émanciper les personnes déficientes visuelles à travers Rango, Airdrives et Wizigo. « Grâce à eux, les déficients visuels ont connaissance de l’endroit où ils se trouvent et de ce qu’ils ont autour d’eux », précise Hugues de Chaumont.                   GoSense propose Rango, décrit comme « le bouclier virtuel intelligent ». À disposer sur tout type de canne blanche, Rango répond au besoin de sécurité des personnes aveugles en émettant un son 3D en lieu et place de l’obstacle sur le parcours de l’utilisateur (devant, en haut ou en bas, à droite ou à gauche). Ainsi à chaque danger détecté, l’utilisateur entend un retour sonore qui lui permet de localiser précisément le danger. L'utilisateur déficient visuel détecte donc facilement le son émis dans l'espace, et n'a plus qu'à le contourner pour éviter l'obstacle. On parle donc bien de réalité augmentée sonore. L’innovation de GoSense permet ainsi de rendre sonore les chemins ou obstacles qui par nature n’émettent pas de son, afin de les rendre perceptibles et accessibles aux personnes déficientes visuelles. C'est grâce aux écouteurs Airdrives que l'utilisateur peut entendre les sons tout en restant alerte à son environnement… Avec l’application Wizigo, un GPS communau-taire, l’utilisateur déficient visuel est capable de se déplacer grâce à une grammaire sonore 3D constituée de 3 sons. L’utilisateur peut donc suivre sereinement et facilement une direction uniquement en suivant des son...

Hôtel*** Pigeonnier du Perron : bio et écolo, le combo gagnant !

L’hôtel*** Le Pigeonnier du Perron a la chance d’être implanté dans un bâtiment chargé d’histoire puisqu’il a été l’ancienne propriété du célèbre philosophe René Descartes. Cet ancien fief seigneurial du XVe siècle qui a appartenu à la famille Thiollet depuis 1852.  Et c'est en 1998  que la batisse a subi d’importants travaux de rénovation pour être l’établissement de charme que l’on connaît aujourd’hui. Malgré ce lifting, elle a réussi à garder l’âme d’une maison d’accueil. C’est cet esprit du Perron que les Thiollet ont à cœur de préserver. Charme, confort et convivialité Le Pigeonnier du Perron accueille ses hôtes  dans une ambiance cocooning et familiale. L’hôtel promet un séjour de détente dans un cadre paisible et agréable. Il propose 16 chambres non fumeurs, dont deux apparts-hôtels de 30 et de 46 m2 ainsi qu’une chambre pour personne à mobilité réduite. Cette adresse fournit une palette de prestations qui lui a d’ailleurs valu le label Qualité Tourisme. Toutes les chambres de l’établissement sont munies des installations de qualité et apportent beaucoup de confort à ses occupants. Elles sont climatisées, équipées d’une télévision, douche, WC séparés, sèche-cheveux et d’une connexion internet en wi-fi. Les appartements-hôtels bénéficient, en plus, d’une kitchenette équipée d’un réfrigérateur et d'un plateau de courtoisie. Garantir le maximum de confort à ses clients sans pour autant nuire à l’environnement. Telle est la ligne de conduite du Pigeonnier du Perron. La fille de Pascal, Émilie Thiollet, qui tient aujourd’hui les rênes de l’établissement nous explique : « Notre hôtel est détenteur de l’écolabel. Cette certification récompense les services d’hébergement touristique qui s’engage à mener leurs activités selon une démarche écologique. » Une palette d’activités pour tous L’établissement dispose d’espaces extérieurs bien aménagés. Il convie ses invités à partager d’agréables moments de détente et à bénéficier de la douceur du climat autour de la piscine extérieure chauffée, ouverte de mi-mai à début octobre. Durant l’arrivée des beaux jours, la terrasse reste propice pour déguster les petits déjeuners. À l’extérieur se trouve également un pigeonnier d’origine avec plus de 600 boulins en parfait état « qui date du XVe siècle » fait savoir notre interlocutrice.  À proximité se trouve un jardin potager dans lequel la maison cultive ses propres légumes qui seront ensuite servis à la table du restaurant. Et pour ceux qui aspirent à découvrir les environs, un service de location de vélos est mis à disposition. L’occasion de sillonner la région et d’en apprécier les trésors. Au programme des visites : l’abbaye de l’Étoile, la ferme acadienne, le musée Sully, le musée Auto Moto Vélo… Une autre halte immanquable est celle du parc du Futuroscope qui se trouve à 20 minutes de l’hôtel et qui fera rêver petits et grands par ses nombreuses attractions : Arthur et l’aventure 4D, Danse avec les robots, le Monde de l’invisible, spectacle nocturne, etc. Un séjour au Pigeonnier du Perron est aussi une occasion de se ressourcer au Spa Source de la Roche-Posay pour un pur moment de détente, de bien-être et de remise en forme. Spa, hammam, jacuzzi et cure thermale sont notamment proposés. ...

Champagne Dérouillat : des champagnes alliant typicité et élégance

Les champagnes Dérouillat, c’est à la fois une histoire de cœur et une histoire de terre. Tout commence d’une aventure de deux hommes : Georges Dérouillat et William Franquet. Chacun de leur côté, ils décident de replanter d’anciens vergers, l’un sur la côte des Blancs et l’autre tout autour de Monthelon. Une épopée qui continue à la suite de l’union de leurs enfants Jean Dérouillat et Régine Franquet. Depuis, quatre générations se sont succédées au sein de la maison Dérouillat. Des terroirs variés Fondée en 1929, cette maison travaille actuellement sur un vignoble d’environ 6 ha. Elle réunit les trois cépages champenois plantés sur différents terroirs, à savoir la côte des Blancs, les coteaux sud d’Épernay et le sud de l’Aisne. « C’est cette diversité qui caractérise nos assemblages », souligne Fanny Dérouillat. Récoltant-manipulant, le domaine familial gère tout : de la vigne à la cave. Privilégiant une viticulture saine et durable, il opte pour des techniques culturales respectueuses de l’environnement. Les engrais chimiques ont été remplacés depuis des années par de la fumure et des algues compostées. Il faut dire que la petite famille est particulièrement soucieuse de sa terre. Aucun désherbant n’est toléré, car cela impacte sur la stabilité du sol.  Côté vinification, la maison Dérouillat allie volontiers tradition du métier et modernité des techniques. Ainsi, les raisins sont pressés à l’aide de cages en bois puis élevés dans des cuves en inox. Deux gammes pour sept champagnes En tout, sept élégantes cuvées réparties entre deux gammes sont élaborées : créations privilèges et trésors confidentiels. Chaque cuvée reflète idéalement la qualité et les spécificités du terroir. Parmi les spécialités proposées, la cuvée George William-Secret de famille est sans doute la plus représentative mais aussi la plus intrigante de toutes. Comme un clin d’œil aux fondateurs de la maison, ce champagne fruité et racé garde jalousement le secret de son élaboration. ...

Maladies rares, 1 personne sur 2000 atteinte : définition et avancées d’un enjeu de santé publique majeur

Depuis quelques années, que ce soit en Europe ou plus particulièrement en France, de réelles avancées ont été réalisées dans la lutte contre les maladies rares. Elles se traduisent entre autres par une meilleure prise en charge et un accès privilégié à l’information. Qu’est-ce qu’on entend par maladie rare ? Selon les spécialistes, une maladie est qualifiée de « rare » lorsque celle-ci présente une faible prévalence qui est de l’ordre d’une personne sur  2000. Aujourd’hui, le nombre d’individus concernés par ce type de maladies est en constante progression notamment en raison de leur grande variété. La plupart des maladies rares (près de 80%) sont génétiques. Jusqu’ici, les experts de la santé ont réussi à identifier 8000 maladies dont le quart se manifeste au-delà de la quarantaine. Ces maladies impactent directement sur la qualité de vie des personnes affectées puisque dans la moitié des cas, elles occasionnent une perte partielle ou complète de la motricité. On constate également une perte progressive tant au niveau des fonctions sensorielles que cognitives. Par ailleurs, il est important de souligner qu’il n’existe pas de traitement curatif pour la grande majorité des maladies rares. On parlera alors dans ce cas de « maladies orphelines » en faisant référence à ces pathologies qui ne disposent d’aucun traitement.  A titre d’exemples figurent la microcéphalie, la drépanocytose, l'hémophilie, la myasthénie auto-immune, les leucodystrophies ou encore la fibrose pulmonaire idiopathique. Le point sur la situation de la France face aux maladies rares En France, 4,5% de la population sont touchés par des maladies rares. Dans la moitié des cas, ces maladies affectent des enfants âgés de moins de 5 ans et sont à l’origine de 10% de la mortalité infantile (enfant de 1 à 5 ans). Depuis quelques années, de nombreuses actions ont déjà été menées à l’échelle nationale. D’ailleurs, la France est connue au niveau européen pour être le premier à avoir développé et réalisé un plan national. Une action rendue possible grâce à l’impulsion des différents acteurs à savoir les associations et professionnels de la santé appuyés par les pouvoirs publics. En effet, dès 1995, les maladies rares ont commencé à occuper une place importante dans les débats sur la santé publique. La ministre des affaires sociales en exercice à cette époque décide alors de créer la mission des médicaments orphelins. En 2001, les principaux acteurs impliqués se sont réunis autour d’une plateforme dédiée aux maladies rares. Orphanet, Maladies rares infos services, Alliance maladies rares, Eurodis en sont quelques exemples. En 2003, un plan stratégique a été lancé dans le but d’améliorer la prise en charge des patients touchés par ces maladies. Ce plan initié par le ministre de la santé, Jean François Mattei s’inscrit dans le cadre de la loi santé publique 2004-2007. Le PNMR ou Plan National Maladies Rares voit officiellement le jour. ...

Sun Location : pour des vacances ensoleillées

À travers un site pratique et simple d’utilisation, Sun Location met en relation les internautes en quête d’une location pour leurs vacances et les agences spécialisées.  Lumière sur Sun Location  Sun Location est une alternative de choix pour éviter d' être une proie facile aux arnaques autour des locations de vacances. Depuis 2006, cette plate-forme de réservation en ligne propose aux futurs vacanciers  une multitude de choix de locations de vacances entièrement gérées par des agences spécialisées. Villas avec piscine privée, appartements chics, chalets en montagne... en tout plus de 100 000 offres d’hébergement sont disponibles via la plate-forme. Très simple d’utilisation, ce site sérieux s'est fixé le défi de permettre aux vacanciers de trouver rapidement la location idéale à travers des offres et informations pertinentes. Quelques clics et c’est parti pour un séjour idyllique dans le sud de la France, en Espagne, au Portugal ou en Croatie. « Notre service a l’ambition de proposer principalement des destinations au soleil », souligne Hamaied Shaiek, le responsable. La réservation sur Sun Location Pour faire preuve de tout son sérieux, Sun Location offre la possibilité à ses utilisateurs d’accéder aux informations relatives aux locations affichées sur le site. Ces informations proviennent exclusivement des agences spécialisées et comprennent la localisation géographique, le contenu descriptif et détaillé des logements, les disponibilités et prix en temps réel sans oublier les visuelles. Pour ce qui est de la réservation, elle se fait en ligne de manière instantanée et totalement sécurisée.  Depuis la page d’accueil, l’utilisateur commence par saisir une destination puis choisit la date et durée de son séjour. Une liste de résultats va alors s’afficher avec une première sélection de locations. Pour qu’il puisse affiner ses recherches, l’utilisateur dispose de plusieurs critères : nombre de personnes, nombre de chambres, piscine, jardin, barbecue, etc. « En cliquant sur les résultats de recherche, la personne aura accès à une fiche descriptive détaillée concernant le logement sélectionné », développe notre interlocuteur. Une fois que l’utilisateur a sélectionné ses dates de séjour, il devra remplir un formulaire de réservation en indiquant le nombre de personnes participant au séjour ainsi que ses coordonnées personnelles. Il a aussi la possibilité de consulter le récapitulatif du prix du séjour (acompte à payer, solde, frais supplémentaires). « Un e-mail de confirmation va lui parvenir dès qu’il aura validé sa réservation et ce qui entraînera dans la foulée un blocage automatique de ses dates de séjour ». ...

Angel ’Électricité : fournisseur de solutions en système électrique et domotique

La société capitalise une solide expérience et une expertise confirmée dans l’installation, la rénovation et le dépannage réseaux en Rhône-Alpes et dans la région PACA. Ses prestations professionnelles sur mesure se déploient sur plusieurs niveaux en fonction des besoins des particuliers, commerces, entreprises ou industriels. Aujourd’hui, Angel ‘Electricité axe ses prestations vers la domotique intelligente, une solution plus durable et plus écologique gage d’une meilleure qualité de vie. Des offres ciblées La société se spécialise dans les installations électriques pour logement, local d’entreprises et bâtiments hospitaliers. Conformément au cahier des charges fourni, elle est à même d’effectuer une installation complète des réseaux de communication et des équipements à commande automatique, des systèmes de verrouillage électroniques et des équipements de sécurité. « Nos métiers passent par l’alarme, le chauffage, l’éclairage, la climatisation, l’aspiration centralisée, l’interphonie, le multiroom audio, et la vidéosurveillance », précise Didier ANGELI, gérant de cette société rhônalpine. Outre le service de conception et de montage, Angel ‘Électricité intervient également dans la maintenance des éclairages techniques, le dépannage et la rénovation électrique sur des logements existants. En parallèle, elle effectue aussi des remises aux normes des équipements de sécurité, du contrôle d’accès et des installations thermiques, aussi bien sur les maisons neuves qu’anciennes. « À chaque intervention, nous appliquons le référentiel RT2012 afin de respecter les impératifs de sécurité et de sûreté exigés par notre métier. » Habitat connecté, la maison du futur Angel ‘Électricité entre dans une nouvelle ère en orientant son cœur de métier vers l’univers de la maison connectée. La domotique version light et la domotique intelligente figurent désormais parmi sa gamme de solutions. « En collaborant avec nos partenaires privilégiés, à l’instar de la marque Legrand Netatmo, Loxone, Delta Dore,et Hager, nous souhaitons nous développer dans un premier temps sur le marché de la rénovation. » Grâce à la micro-informatique, tous les appareils domestiques peuvent être reliés et centralisés sur une box, qui va piloter l’ensemble via des commandes numériques. Le smart home est synonyme de confort mais aussi d’énergie positive en tant qu’alternative respectueuse de l’environnement. Ainsi, la société apporte une panoplie de solutions dans la gestion de consommation de chauffage, d’éclairage et d’électricité pour réduire la facture d’énergie des foyers, sans engager de lourds travaux. Des prestations personnalisables sont aussi proposées à destination de ceux qui souhaitent évoluer vers l’installation connectée, que ce soit au niveau du système de sécurité ou d’automatisation des volets et portails. ...

Champagne Th. Petit :
des champagnes de caractère

L’exploitation familiale Th. Petit a été reprise en 1995 par Bénédicte Bérard-Meuret. Aujourd’hui, elle et son époux travaillent ensemble sur un vignoble qui s’étend sur une superficie d’environ 6 ha. L’encépagement s’y compose majoritairement de pinot noir et de chardonnay. « Notre terroir jouit d’un très bon ensoleillement et il est très favorable à l’expression du pinot noir », souligne la gérante. Un processus maitrisé Depuis sa création, la maison Th. Petit a toujours cherché à privilégier une méthode culturale qui respecte l’environnement. Actuellement, elle s’est engagée sur une viticulture raisonnée, impliquant une utilisation très limitée de produits phytosanitaires. Concernant la vinification, le pressurage est confié à la coopérative vinicole du village. Les précieux jus rejoignent ensuite les cuves de l’Union Champagne à Avize. Il s’agit d’une structure qui regroupe plusieurs coopératives champenoises et dont le savoir-faire est reconnu par les plus grands experts en vin. « L’élaboration, quant à elle, est assurée par un œnologue », nous confie-t-on. Des cuvées prestigieuses Afin de satisfaire une large diversité de consommateurs, la maison propose une gamme complète de champagnes : Blanc de blancs, Brut, Brut rosé, Demi-Sec, Millésimé 2012 et Prestige Millésime 2006. La cuvée Brut et la cuvée Prestige Millésimé 2006 peuvent toutes les deux prétendre au titre de « cuvée emblématique » de la maison Th. Petit. La première est obtenue à partir de 75 % de pinot noir et de 25 % de chardonnay. Ce champagne de cœur revêt une teinte or brillant et séduit par ses arômes de fruits rouges et de pêche. Une cuvée de qualité exceptionnelle récompensée par 3 étoiles au Guide Hachette. Le Millésime 2006, quant à lui, s’obtient par l’assemblage de 50 % de pinot noir et de 50 % de chardonnay. C’est un champagne racé, puissant et qui saura accompagner parfaitement tous les moments d’exception. ...

L’Assiette d’Arthur et Alex : le bon goût de la ferme à sa table

C’est souvent en étant privé d’une chose que l’on mesure sa vraie valeur. Le fondateur de la marque et son associé de cousin ont vécu cette expérience en s’éloignant de leur campagne d’origine pour faire leurs études. « C’est vraiment à ce moment-là qu’on a pris conscience de la chance qu’on avait […], de ce savoir-faire, de la gastronomie, de tous ces bons produits au final dont on peut bénéficier en France », nous confie Alexandre Nillès. Les deux comparses mûrissent alors l’idée d’un service faisant le trait d’union entre les producteurs du terroir et le consommateur épris de goûts authentiques. De la ferme à l’assiette Direct, simple, transparent, ce trépied de valeurs définit le concept de l’Assiette d’Arthur et Alex. Démarré avec les réseaux de relations des deux cousins, petits-fils de bouchers-charcutiers-traiteurs, le répertoire des producteurs associés à cette aventure s’est enrichi de fil en aiguille. « […] on a grandi en campagne, on a beaucoup d’amis producteurs, donc on s’est déjà inspiré de ce que l’on connaissait. » Cette connaissance profonde de leurs partenaires a ensuite aidé le duo d’entrepreneurs à définir les critères de sélection des nouveaux fournisseurs. Ceux-ci sont fédérés autour des mêmes valeurs de savoir-faire et de qualité pour proposer ensuite des produits 100 % français, parfaitement traçables. Ils assurent eux-mêmes la livraison de ces produits chez le client qui bénéficie, toute l’année, d’une fraîcheur garantie sur leur commande. L’interface de l’enseigne se veut ainsi  être le plus court chemin pour convier à sa table le meilleur des terroirs français. Du chapon en direct de la plaine de Bresse, du champignon du Périgord ou des terrines de la Bourgogne du Sud, le client peut sélectionner précisément ce qu’il souhaite faire venir et de quelle région. ...

Merci Bernard : une cuisine urbaine et gouteuse

2014 est une année riche en émotions pour ChampikaWijesekera et Fanny Jospeh. Le couple ouvre son premier restaurant, qu’il décide de nommer Merci Bernard, en référence à unprivatejoke entre la propriétaire et sa meilleure amie. Une déco conviviale et sans chichis Dès l’extérieur, l’établissement appelle à la convivialité. On ne s’imagine pas que derrière ce bâtiment à la façade noir et blanc, au logo visuellement graphique et contemporain, se cache un excellent restaurant. Une fois que vous pénétrez dans la salle, vous êtes touché par toute la simplicité et l’esprit cosy qui s’en dégagent. Les tables sont entourées de chaises rouges apportant de la dynamique à la décoration. Merci Bernardprône une cuisine dite urbaine.Les produits du terroir garnissent les assiettes copieuses concoctées par le chef ChampikaWijesekera. Justement, parlons-en de ce passionné des fourneaux originaire du Sri Lanka. Après avoir forgé ses armes pendant près de 17 ans dans de nombreux restaurants parisiens,ChampikaWijesekerafinit par voler de ses propres ailes, en ouvrant son restaurant à Carquefou, petite commune tranquille située au nord-est de Nantes. Son épouse Fanny Jospeh l’épaulera dans cette belle expérience. Le rendez-vous des gourmands La maison propose une carte riche et gourmande aux saveurs du monde. En entrée, l’honneur est bien évidemment donné au Sri Lanka avec les rolls présentés sous forme de rouleaux de pommes de terre et garnis de poireaux et de thon. Envie plutôt d’une escapade en Espagne ? La quesadilla n’attend plus que d’être dégustée. Elle est délicieusement constituée de tortilla de blé, de guacamole, de cheddar fondu et de salade. Pas de panique. Merci Bernard n’a pas oublié ceux qui désirent manger « léger ». Le chef a prévu une sélection de salades intitulées Popeye, Chèvre, Caesar ou Bernard. En plat de résistance, place à des mets plus consistants à l’instar des incontournables burgers qui sont des ambassadeurs de cette cuisine urbaine que veut promouvoir le restaurant. Plusieurs déclinaisons sont proposées : Montagne, Anglais, Veggie, Seguin, Classique… En outre, la maison sert des fajitas ou encore des travers de porc à la sauce barbecue. Et pour terminer en beauté ce voyage culinaire, les classiques cheese cake et brownie feront le bonheur de tous. Tous les jours, la maison sert aussi des plats et des desserts classiques mais qui varient quotidiennement : de quoi permettre aux clients de découvrir à chaque fois de nouvelles saveurs. Outre cette carte, quatre menussont disponibles : à 8 € (enfant), à 11,50 € (formule midi), à 14,90€ (formule Bernard) et à 17 € (formule Grand Bernard). Le menu Bernard est notamment constitué d’un burger ou d’un plat ou d’une salade, avec un dessert ou une entrée. Les producteurs locaux à l’honneur Bien qu’il soit assez jeune, puisqu’il a été lancé en 2014, le restaurant Merci Bernard a déjà réussi à se construire une solide réputation grâce à la fraicheur et à la qualité de ses plats. Il faut dire que l’établissement travaille énormément avec des producteurs locaux.Boucher, boulanger, fromager, maraicher… tous les fournisseurs sont basés à Carquefou ou dans ses environs. Même pour le choix des vins, Fanny Jospehet ChampikaWijesekerafont confiance à un caviste sis à Nort-sur-Erdre. Celui-ci se charge de sélectionner les meilleures appellations en accord avec les plats servis au sein du restaurant. Les vignerons de Carquefou sont privilégiés. ...

Paradis Plage : nature et bien-être

L’ambiance est calme, propice à la détente, avec la montagne derrière qui surplombe la mer. D’un côté, la nature est incroyable. Elle surgit comme un secret bien gardé. Et de l’autre, il y a l’océan, comme si l’on était ailleurs que sur Terre. Une formule bien-être basée sur la complémentarité des activités La nature est très présente à l’hôtel, déjà par son emplacement et son ancrage mer/montagne. C’est un vrai patrimoine naturel à couper le souffle. Le surf, ce n’est pas un sport comme les autres. Il s’agit d’un sport qui connecte à l’élément naturel. Alors, pour apprendre à surfer ou simplement se laisser guider, les voyageurs découvrent les meilleures vagues de la région en fonction de leur niveau. Grâce à son partenariat Rip Curl ® et ses coachs de surf certifiés, Paradis Plage offre des expériences de surf d'une qualité unique. Pour le spa, il y a toute une partie de soins qui est faite à base d’éléments naturels, comme l’huile d’argan, produite exclusivement dans le sud du Maroc et véritable trésor régional exporté dans le monde entier.  Plusieurs groupes choisissent de venir s’établir quelques semaines pour une retraite yoga, avec une immersion en ambiance feutrée, un peu suspendue. Le yoga shala offre un cadre exceptionnel et permet aux voyageurs de profiter d'une ambiance unique en son genre avec de superbes couchers de soleil. Un quatrième pilier vient s'ajouter à ce trio orienté bien-être, à savoir le fitness, avec entre autres le crossfit, un espace indoor et un outdoor, pour une approche plus ludique de cette expérience qui se veut "nouvelle génération". Aussi, avec les feux de camp, le cinéma en plein air et le zen garden, les voyageurs, des petits aux grands, sont des plus heureux. Découvrir la richesse naturelle et culturelle La richesse locale naturelle et culturelle place l’identité marocaine au centre des soins de détente et de bien-être. La mission de Paradis Plage tourne autour du bien-être du corps et de l’esprit, dans un écrin naturel d’exception. Paradis Plage est l’un des rares hôtels qui est beach front, directement les pieds dans le sable. Il y a un « back country » dans les montagnes, avec des chemins extraordinaires, des trekkings, autant de balades à faire, aussi bien à vélo, qu'en quad ou en buggy. Les équipes de Paradis Plage sélectionnent des activités qui permettent de découvrir la région autrement. La clientèle a tout le loisir de découvrir ce qu’il y a de plus marquant dans la région, des excursions et des balades sur une demi-journée ou sur une journée entière, aussi bien en nature, qu’en visites guidées. ...