Alors que l’année 2020 est frappée par la crise du COVID-19, les vacances à l’étranger sont évidemment compromises. Heureusement, il existe de nombreux lieux en France qui ne demandent qu’à être découverts. Le Cœur des Collines Cathares est l’un d’entre eux. Un territoire qui fait le bonheur des amateurs de randonnées et de villages pittoresques Pour trouver le Cœur des Collines Cathares, il faut se rendre entre Castelnaudary et Carcassonne. Nous nous situons donc en région Occitanie, plus précisément à 45 minutes de Toulouse. La première chose qui nous frappe, c’est le magnifique paysage qui nous entoure. Celui-ci cache d’ailleurs de nombreux sentiers de promenades qui invitent à enfiler ses chaussures ou à enfourcher son vélo pour profiter des nombreuses boucles mises en avant par l’Office du Tourisme. Ces parcours sont d’ailleurs tous référencés au sein de l’application gratuite Au Cœur des Collines Cathares qui se révèle être votre meilleure alliée si vous souhaitez partir à la découverte de ce territoire préservé. En l’installant sur votre téléphone, vous pouvez choisir entre 5 parcours de 45 minutes à 2h. Plans, contenus audio et multimédias sont alors mis à votre disposition. Idéal pour visiter à votre rythme les petits villages pittoresques disséminés au sein de ce territoire sauvage et authentique (tel que Fanjeaux), pour suivre le Sentier historique et ornithologique de Laurac le Grand ou pour emprunter le Sentier des Crêtes à Hounoux. De nombreuses activités pour tous les âges Entre deux promenades, vous pouvez vous arrêter pour déguster les spécialités régionales. Fromages, charcuteries, miels, vins de l’IGP Côtes de Prouille ou de l’AOC Malepère… après une journée en pleine nature, rien de mieux qu’une assiette bien remplie pour reprendre des forces. Il ne faut d’ailleurs manquer sous aucun prétexte les marchés nocturnes de producteurs locaux et d’artisans de juillet/août. À cela, il faut rajouter de nombreuses activités telles que des chasses au trésor pour petits et grands, du téléski nautique, une promenade en bateau ou du canoë-kayak. Tout le monde y trouve son compte le temps d’un séjour plus ou moins long. ...
Allant du quinoa d’Inde au coco des Philippines, en passant par le baobab du Sénégal, chaque filière est ici gérée suivant une politique humaniste veillant à assurer une juste répartition des bénéfices des activités commerciales. Dans cette gamme bio, la poudre de baobab fait figure de fleuron de par son caractère emblématique et ses nombreux bienfaits. Consommée quotidiennement, cette poudre garantit force et vitalité de par les nombreux éléments nutritifs qu’elle contient. La poudre de baobab : un pré-biotique naturel Symbole majestueux d’Afrique, le baobab dans son intégralité est, depuis des siècles, utilisé au Sénégal à des fins alimentaires ou médicinales. Le fruit de baobab, duquel est tirée ladite poudre, contient, par exemple, du potassium, du manganèse, du calcium, de la vitamine C ainsi que des antioxydants. « Également riche en fibres solubles, cette poudre est un probiotique permettant de nourrir la flore bactérienne intestinale », nous explique Pierre-Alexandre Huber, fondateur de la marque. Ce dernier de rajouter : « Le transit intestinal et le système digestif dans son ensemble sont ainsi améliorés. » Le baobab : une filière équitable Grâce à un partenariat durable avec un fournisseur sénégalais, Ecoidées figure parmi les précurseurs du commerce équitable et durable. La filière éthique du baobab au Sénégal trouve sa raison d’être dans une action inscrite dans le développement social et économique des populations locales, notamment des familles impliquées dans le processus de production de la poudre de baobab. Les hommes et les femmes impliqués dans la collecte et la transformation du baobab et qui travaillent dans différents villages au Sénégal bénéficient des actions sociales sur le terrain et des retombées du commerce de cette ressource naturelle. ...
Restaurant au décor lumineux, moderne et agréable, Le Fanal est une adresse d’exception située en plein port de Banyuls-sur-Mer. Adresse reprise par Pascal Borell et sa compagne il y a plus de 3 ans. Le couple compose des plats inventifs, colorés et saisonniers, qui mettent en avant la cuisine du terroir catalan. Une cuisine qui leur a valu 1 étoile au célèbre Guide Michelin, et le certificat d’excellence Tripadvisor. Une cuisine coup de cœur Le restaurant Le Fanal tient sa renommée de sa cuisine créative, contemporaine et aux influences méditerranéennes, variant selon les saisons et portée sur la découverte de l’essentiel : « le beau produit ». Aux fourneaux, Pascal élabore des entrées et plats savoureux, tandis que sa compagne orchestre de magnifiques desserts et s’occupe du service en salle. Tous deux ont eu à faire leurs preuves auprès de grands restaurants étoilés tels que L’Arpège d’Alain Passard, à Paris, ou encore La Famille By Bardet de Jean Bardet, à Tours. Ici, la carte change régulièrement, et la cuisine est fonction des produits du jour. Dès l’entrée, le délicieux tartare de poisson issu de la pêche locale est accompagné d’une émulsion à base de lait de coco, de concombre et de jus de citron. C’est un plat préparé à partir de poissons découpés en petits morceaux et mélangés à un assaisonnement d’huile d’olive, de jus de citron, de ciboulette et d’un peu d’huître pour apporter une petite touche iodée. La petite crème émulsionnée est versée au-dessus du tartare pour donner plus de fraicheur au plat, sans oublier le caviar perle noir du Périgord en fin de présentation. Autre entrée signature, le cromesquis d’œuf à la truffe. C’est un beignet cuit à basse température et renfermant un œuf au jaune coulant. Croustillant à l’extérieur et fondant à l’intérieur, il est servi avec une purée de champignons sur laquelle il est déposé. Les champignons utilisés pour cette préparation sont issus de la cueillette du jour. En guise de plat principal, le merlu de ligne. Ce plat cuit à basse température est un tronçon de merlu posé au centre d’une assiette, avec de la quenelle de risotto de fregola sarde. Au-dessus, une sauce accompagnée de fumé et de gingembre. Les desserts sont également élaborés en fonction des saisons. Des desserts comme la nage de pêche à la verveine, qui est une soupe froide à la pêche accompagnée de sirop à la verveine. Celui-ci est servi sur une coupe transparente légèrement givrée, et dans laquelle sont mis le sirop et la pêche découpée en petites billes. Le dessert est complété avec un sorbet au yuzu, et du romarin. Le restaurant sert également trois sortes de pain fait maison pour chaque service : un pain à l’épeautre bio, un aux céréales et un autre au maïs. Et les jolis dressages sont un appel sûr à l’appétit ! Harmonie entre cuisine et vins Les vins de la cave du restaurant Le Fanal se marient merveilleusement bien avec les plats élaborés en cuisine. À la carte, Signature millésime 2014 du Domaine du Mas Blanc. Ce vin blanc sec du terroir de la Côte Vermeille, constitué de quatre cépages, confère une fraicheur aux fines notes citronnées et iodées. Il est parfait pour accompagner le tartare de poisson. Également le Banyuls blanc, indiqué pour la nage de pêche à la verveine. Ce vin doux et naturel est consommé jeune, il se marie efficacement avec les desserts. Légèrement sucré avec des notes fraiches de fruits blancs et des nuances de poire, ce vin blanc peut être conservé longtemps pour mieux apprécier son côté aromatique. ...
EduFactory a été lancée en 2000. On vous décrit comme le « pionnier du e-learning sur-mesure en France ». Pourquoi avoir choisi de vous positionner sur ce secteur à l’époque, alors qu’Internet en était quasiment à ses débuts ? Alexandre Lect : Nous avons commencé notre activité en tant qu’acteur de la formation présentielle. Mais, très rapidement, nous nous sommes rendus compte, avec l’arrivée des nouvelles technologies et la pénétration d’Internet, que le secteur de la formation digitale allait être extrêmement prometteur. Nous nous sommes donc positionnés assez tôt sur la formation « blended-learning » pour ensuite basculer vers l’e-learning fin 2010. Nous avons voulu être en quelque sorte des précurseurs, puisqu’à l’époque, le marché était à ses débuts. Aujourd’hui, l’e-learning connait une croissance à deux chiffres et nous sommes parmi les premiers à nous positionner sur ce secteur. C’est un grand avantage pour nous puisque les clients font confiance à notre expérience. Votre positionnement stratégique et commercial porte donc sur les formations sur-mesure. Pourquoi ce choix ? En matière de formation, nous estimons que les solutions génériques ne s’appliquent que sur des sujets transverses. À partir du moment où il est question de formations plus complexes nécessitant l’acquisition de compétences spécifiques ou qui touchent la culture et l’ADN d’une entreprise, il est essentiel de s’orienter vers le sur-mesure. Par ailleurs, de plus en plus d’entreprises souhaitent personnaliser les expériences de formation de leurs collaborateurs, en optant pour ces solutions sur-mesure justement. Quel est l’intérêt de proposer cette approche sur-mesure aux entreprises ? Quels sont les avantages pour les apprenants ? Nous proposons aux entreprises de placer leur besoin de formation au centre de la stratégie que nous allons mettre en place. Concrètement, nous avons développé trois métiers qui nous permettent de faire bénéficier aux entreprises de tous les avantages du sur-mesure. En premier lieu, il s’agit de les conseiller et de les accompagner dans leur programme de digitalisation. En second lieu, il s’agit de procéder à la création de contenus sur-mesure qui est notre cœur de métier. Sur ce point, nous proposons plusieurs formats en fonction des objectifs pédagogiques : du vidéo-learning, du e-learning, de la simulation, des serious game, etc. Tout cela permet aux entreprises de bénéficier d’un large éventail de solutions complètement personnalisables. Enfin, nous leur proposons des solutions d’hébergement pour leurs contenus. S’agissant des apprenants, notre priorité est de faire en sorte qu’ils puissent retenir l’information de manière très simple et le plus rapidement possible. Pour cela, nous leur proposons une expérience de formation entièrement personnalisée, tout en veillant à optimiser leur ancrage mémoriel. Les contenus, les formats et les supports de formation que vous proposez sont innovants. Vous proposez également des formations gamifiées qui cassent le côté soporifique des formations traditionnelles. Pouvez-vous nous en dire plus ? Le monde de la formation s’inspire en grande partie des techniques de neuroscience, de l’industrie cinématographique et des jeux vidéo. L’idée est de susciter des émotions chez les apprenants et cela dans le but d’améliorer l’ancrage mémoriel. La gamification s’appuie sur les leviers du jeu, en se servant des mécaniques ludiques et émotionnelles. C’est un accélérateur puissant de l’expérience d’apprentissage et donc de la rétention d’information. Même chose pour la scénarisation, où nous allons également jouer sur l’émotion de l’apprenant en faisant en sorte qu’il se reconnaisse dans une situation, qu’il ait envie de réagir ou qu’il s’attache à des personnages. Avez-vous quelques exemples de projets menés avec vos clients à nous citer ? Nous nous adressons à la fois au secteur public et aux entreprises privées. Nous avons eu la chance de remporter le réf&e...
Pour la 44e édition, cet évènement d’envergure tient ses deux ambassadeurs : Nans et Mouts de l’émission « Nus et Culottés ». Quoi de mieux que deux fervents défenseurs du voyage alternatif pour soutenir le concept « voyager autrement et intelligemment » prôné par le salon ? 400 professionnels du tourisme Du 14 au 17 mars 2019, Paris reçoit à Porte de Versailles toute la planète tourisme. Plus de 400 professionnels sont attendus pour présenter les dernières offres de destinations aussi bien en France qu’à l’étranger. Comme à son habitude depuis maintenant quelques années, le salon met en avant les acteurs qui œuvrent activement pour un tourisme raisonné. Afin d’orienter les visiteurs, de nombreux espaces (espaces Bonnes Affaires, espaces thématiques, espaces Tendances & Innovations) sont mis à leur disposition. Sans oublier « La Grande Scène », où musiques, danses et découvertes seront à l’honneur. Des ambassadeurs tout indiqués Nans et Mouts se sont fait un nom à travers « Nus et Culottés », une émission de voyages pour le moins originale qui met en scène les deux compères. Le principe est simple : sans argent ni vêtements, le duo part pour une destination avec un objectif précis (siroter un thé dans le désert, admirer une aurore boréale en Islande, faire du tandem en Hollande…). Pour les aider dans leur périple, Nans et Mouts comptent sur la générosité des gens rencontrés sur la route, en échange, bien sûr, de quelques services. Mine de rien, les deux amis prouvent à travers leur émission que d’autres manières de voyager existent et sont réalisables. En choisissant Nans et Mouts comme ambassadeurs, le Salon mondial du tourisme partage la même philosophie : agir pour la promotion d’un voyage responsable, fondé sur l’échange, la découverte et la bonne humeur. Téléchargez des invitations gratuites ...
Les futurs éducateurs, un précieux vivier d’avenir Les formations (BAFA, BAFD) que dispense l’Afocal visent à développer non seulement les compétences techniques des futurs éducateurs mais aussi leurs valeurs humaines. « Dans un monde où tout le monde aspire à devenir “quelqu’un”, à l’Afocal, nous mettons tout en œuvre pour qu’au sortir de sa formation, un stagiaire soit devenu une “personne” », précise Marc Guidoni, secrétaire général de l’Afocal-IDF. Car indépendamment du bagage technique que procure un diplôme comme le BAFA, ce sont aussi des valeurs (respect, solidarité, acceptation des différences, relation à l’autre…) qui sont transmises lors des sessions de l’Afocal. Et pour cause, dans le cadre de leur activité future d’encadrement, il est essentiel que directeurs et animateurs allient la connaissance (le « savoir » acquis par l’apprentissage), la pratique (le « savoir-faire » issu de l’expérience) et enfin, l’attitude (le « savoir-vivre » qui est la somme des qualités personnelles et comportementales) dans le contexte éducatif mais aussi au-dehors. « Le BAFA fait grandir. Quand nos stagiaires entament la formation, ce sont encore presque des enfants. Et quand ils repartent, ce sont presque des adultes, prêts à passer le relais aux enfants qu’à leur tour, ils auront à encadrer. » Le BAFA, un diplôme à haute valeur ajoutée Bienveillante tout en étant exigeante, la pédagogie déployée par l’Afocal est en prise directe avec son époque. « Pas question d’essayer d’imposer à nos stagiaires un modèle qui serait dépassé. Au contraire, nous mettons un point d’honneur à ce que nos formations soient adaptées au contexte actuel », insiste Marc Guidoni. La pédagogie de l’Afocal a pour autre spécificité de s’articuler autour d’un véritable « contrat de confiance » passé avec le stagiaire. « En contrepartie de l’implication du jeune et de son engagement, l’Afocal, de son côté, s’engage à l’aider à mener à bien son projet… et à décrocher son diplôme ! » Car, pour paraphraser Michel Berger, le BAFA n’est peut-être qu’un détail pour vous, mais pour celui qui l’obtient, ça veut dire beaucoup ! Force est même de constater que le BAFA est loin de n’avoir de valeur qu’aux yeux de celui qui réussit cet examen. En effet, c’est un véritable sésame pour la vie active. Et de nombreux employeurs potentiels y attachent une grande importance dans un CV. Parce qu’il témoigne de la capacité de celui ou celle qui en est titulaire d’agir en équipe de manière à la fois responsable, citoyenne et pédagogique, le BAFA constitue indéniablement un atout précieux dont il serait dommage de se priver… ...
Coaching « professionnel » : un adjectif à double sens Le coaching se développe à la faveur d’une demande croissante. Ce terme regroupe néanmoins des acceptions innombrables, ce qui rend la sélection d’un coach ardue – Face à cette multiplicité d’offre, la société Différence COACHING à Strasbourg a choisi un positionnement clair, dans une optique résolument professionnelle et s’adresse à une clientèle ciblée. Les termes « coach » et « coaching » ne sont en effet pas vraiment protégés : ils ne définissent pas précisément le profil, le contenu, ou le niveau de qualité de la prestation. Passé le premier tri entre coaching de vie et coaching professionnel (qui vise des objectifs d’ordre professionnel), la formation suivie ainsi qu’une certification reconnue s’imposent comme deux premiers critères de sélection, garants de la professionnalité dans cette pratique (en particulier par le respect d’une éthique et d’une charte). S’agissant d’un coaching effectué dans le cadre ou à des fins professionnels, quels autres critères une entreprise peut-elle considérer dans le choix d’un prestataire ? La qualité de la relation entre manager et coach, devrait être l’un de ces critères : celle-ci suppose la compréhension fiable et précise des tenants et aboutissants du milieu professionnel, du contexte donné et de la situation, aspects qui contribuent à la crédibilité professionnelle du coach. Ces aspects contribuent selon Alexandre Bouriant coach professionnel et créateur de Différence COACHING, à l’établissement possible d’une relation de confiance mutuelle qui contribuera grandement à l’efficacité d’une mission, en particulier quand cette dernière est commanditée par une entreprise et non par le manager lui-même. L’impact des cultures professionnelles dans la relation de coaching Vous l’avez sûrement remarqué : quand vous parlez avec quelqu’un venant de votre milieu professionnel, la « proximité » ressentie permet d’atteindre immédiatement une communication privilégiée. Une fois celle-ci installée, la part exprimée du dialogue se réduit à ce que l’on peut comparer à la partie visible d’un iceberg. Par contre, la partie immergée (sous-entendus, expériences vécues) qui contient une foule d’informations transmises de façon implicite, est souvent porteuse du sens profond et des aspects clé. Ce niveau de communication repose sur un bagage culturel professionnel commun aux interlocuteurs (études, milieu professionnel, spécialité, fonction, etc.). En face du coaché, s’il ne dispose pas de ce bagage proche de son client, le coach sera démuni de repères adéquats. Il lui manque alors des informations pour accéder à une perception fiable et complète du contexte professionnel et du ressenti de la personne coachée. L’efficacité de l’intervention du coach s’en trouve, de fait, limitée. De cette compétence communicative du coach par sa proximité culturelle avec le coaché, dépendra donc l’existence et l’étendue du dénominateur commun découlant de leurs bagages respectifs. C’est donc sur la base de l’expérience acquise par le coach dans une première vie professionnelle (branche, management, monde de l’entreprise) que pourra s’établir sa crédibilité face au coaché et une possible « intimité professionnelle ». Cette première expérience, avant celle de son métier de coach, est donc un prérequis et un critère de choix pour une réponse adéquate à la mission de coaching professionnel et favorise l’efficacité de son intervention. C’est à partir de cette constatation que Différence COACHING a décidé de centrer son offre de coaching sur cette optique professionnelle, ce afin de mieux adresser et satisfaire une clientèle ciblée de dirigeants et managers. Mieux identifier un possible dénominateur commun sur la base d’un positionnement de coaching spécifique Pour ses clients, Différence COACHING apporte son bagage sp&eacut...
Acteur du mécénat en France Créée par le Groupe APICIL en 2004, la Fondation APICIL fait partie des rares fondations Reconnues d’Utilité Publique créées par une seule entreprise. Elle participe à l’action philanthropique du Groupe au niveau national. Soucieux de mener des actions innovantes et adaptées, le Groupe APICIL a choisi la lutte contre la douleur à tous les âges de la vie pour sa Fondation. Au cœur des valeurs du Groupe APICIL, transversale et universelle, la douleur constitue un lien fort entre les différents métiers du Groupe, tout en promouvant un aspect profondément humain et moderne de la santé. Aujourd’hui plus que jamais d’actualité, la prise en compte de la douleur des personnes touchées par la maladie est essentielle. Mais les priorités gouvernementales ne vont pas dans ce sens. Sans programme douleur engagé par le ministère de la santé, la Fondation APICIL a plus que jamais un rôle à jouer auprès des équipes de terrain. Impulser de nouvelles idées Pour mener à bien sa mission, la Fondation APICIL a choisi d’aider les associations, les chercheurs et les professionnels de santé actifs et audacieux, qui œuvrent au plus près des patients et de leurs proches. Elle permet ainsi l’émergence de projets novateurs et répondants aux préoccupations des soignants, des patients et de leurs proches. Les projets soutenus par la Fondation APICIL sont sélectionnés par le Conseil Scientifique composé de 15 experts indépendants, et par le Conseil d’Administration, tous engagés bénévolement. La Fondation apporte son soutien à travers un financement attribué après une étude approfondie. En plus de l’aide financière, la Fondation APICIL apporte une caution scientifique, un accompagnement institutionnel et une aide à la valorisation. Lutter contre la douleur Aiguë, chronique, physique, psychique, la douleur ne se voit pas, elle se ressent. On distingue habituellement deux catégories de douleur, aiguë et chronique, en fonction de leur durée. La douleur aiguë peut être intense, mais souvent brève, elle joue donc un rôle d’alarme qui va permettre à l’organisme de réagir. La douleur est dite chronique (ou pathologique), lorsque la sensation douloureuse excède trois mois et devient récurrente. Par exemple certaines douleurs musculaires, les migraines ou encore des douleurs associées à des lésions nerveuses. «la douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable, associée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle, ou décrite dans ces termes» La douleur repose sur le ressenti du patient, cela la rend difficile à quantifier et à qualifier. De plus, elle n’est pas systématiquement liée à une lésion, une caractéristique qui complexifie encore son étude. Aiguë ou chronique, la douleur serait à l’origine de près de deux tiers des consultations médicales, c’est pourquoi il est particulièrement important de la considérer et de la traiter avec les bonnes réponses. D’après étude française, les douleurs chroniques affectent environ 30% des adultes. La douleur chronique a un impact très fort sur la qualité de vie et déborde sur la sphère personnelle comme professionnelle. La Fondation agit à travers 4 axes principaux : - Soutien à la recherche, - Formation des soignants, - Sensibilisation et information, - Développement de programmes innovants et des techniques complémentaires dans les soins. Grâce à la recherche, de grandes avancées ont été accomplies dans la compréhension de la douleur et les mécanismes de la douleur chronique. Les techniques d’imagerie cérébrale ont permis d’identifier, visualiser, voire quantifier la douleur au niveau cérébral et de traduire en images les liens étroits entre douleur et émotion. Consciente des enjeux de la recherche pour la prévention et le traitement de la douleur, la Fondation APICIL consacre annuellement plus de 50% des financements à des équipes de recherche. Alors que la technologie et les médicaments sont de plus en plus performants, les pratiques non médicamenteuses, complémentaires, sont très attendues par les patients. La Fondation APICIL s’attach...
Blanc, simple, linéaire, reposant, il est l’endroit idéal pour se poser et réfléchir dans le cadre d’une réunion professionnelle. Entouré de vignes, au calme, il est également le lieu propice au repos du weekend après une semaine de dur labeur. Que l’on décide de profiter de l’agrément de la piscine, de celui du spa ou encore des largesses de Bacchus ou des plaisirs de la table, ce lieu réserve des surprises à chacun. Passez le portail d’entrée et venez découvrir le mariage du confort et des matières contemporaines avec celui de la pierre de taille blanche utilisée pour construire la bâtisse dès le 13°siècle. Passez côté jardin et découvrez la vue magnifique sur la vallée, apercevez au loin la montagne noire et sur la colline en face les tours trapues du Château de Mauriac, demeure des anciens rivaux des seigneurs de Salettes. Laissez-vous bercer par le silence et le chant des oiseaux, laissez-vous baigner par les rayons bienfaisants du soleildu sud-ouest. Des hommes célèbres, d’autres inconnus mais des hommes qui ont fait l’histoire du lieu Depuis le XIIIe siècle, ce Château en a vu des hommes, le Comte de Toulouse, Le Général d’Hautpoul (qui est né dans la tour), Toulouse Lautrec (le lieu a appartenu à sa famille). Au final, Roger Le Net achète la propriété en 1994, avec le château alors en ruines. L’idée folle de la rénovation vient très vite et c’est lui qui fera de ce qui n’était plus qu’un vague témoignage du passé un Hôtel restaurant où il fait bon vivre. Aujourd’hui l’équipe du Château de Salettes vous accueille simplement, et n’a qu’une envie : vous faire plaisir... Quand Bacchus rencontre un disciple d’Auguste Escoffier Le chef propose une cuisine gastronomique, moderne. La carte et les menus suivent le cours des saisons et l’équipe du restaurant cherche toujours quel vin va sublimer le plat, le défi et la recherche de l’accord parfait : « l’équilibre » vin plat (ou accord mets et vins) est proposé pour tous les menus. Découverte des vins du domaine, des vins de Gaillac, de vins de France et même, pour les « aventuriers » J de vins étrangers ! ...
Depuis 2005, Martine Cazin expose ses œuvres parmi celles d’autres artistes dans la Maison de Brian. Cette dernière lui a été léguée par Brian Featherstone, son compagnon. Outre ses métiers de traducteur aux Nations Unies, écrivain et berger, cet anglais amoureux de la France était connu au village de Simiane-la-Rotonde : il participait activement à la défense et au renouveau du village. Une galerie d’art atypique La Maison de Brian est une maison du 16ème siècle, très connue dans le village de Simiane-la-Rotonde grâce à la place que tenait Brian Featherstone dans la communauté. Les matériaux bruts tels que les poutres en bois et les murs de pierres reflètent l’authenticité de cette demeure, typique des villages de Haute-Provence. Une galerie d’art contemporain occupe la moitié de la maison. Elle reçoit de fin avril à fin août quatre expositions temporaires, soit une par mois. L’esprit de la Maison de Brian s’écarte un peu des idées reçues sur les galeries d’art. Aucune description ne saurait être plus explicite que celle de la propriétaire : « le concept de départ consiste à montrer des œuvres dans une vraie maison habitée, dans les mêmes conditions que chez les gens qui vont les acheter. » Le fait d’être aménagée dans une maison habitée rend la galerie plus vivante et plus naturelle. L’art y fait partie du quotidien, les œuvres bénéficient simplement d’un éclairage adapté. L’exigence d’une artiste Au départ La Maison de Brian, qui est une association loi de 1901, privilégiait les artistes de la région. Mais avec douze années d’existence, elle s’est ouverte à d’autres régions et à Paris. Martine Cazin et ses amis restent toutefois à l’affut des nouveaux talents qui pourraient exposer dans sa galerie. Elle-même, plasticienne et ancienne céramiste aime faire découvrir de nouveaux artistes. Sa curiosité l’emmène souvent dans les expositions de groupe et salons. Sa galerie étant bien connue, beaucoup d’artistes lui adressent des dossiers de candidature. Tout en garantissant le professionnalisme des artistes qu’elle choisit, Martine Cazin agit généralement sur un coup de cœur : « mon choix reste extrêmement subjectif, je me fie à mon propre goût » déclare-t-elle. Trois facteurs peuvent influer son choix. D’abord, elle part du principe que l’art doit être accessible, ce qui met déjà au second plan les œuvres hors de prix. Elle se base ensuite sur sa sensibilité personnelle. Enfin, Martine Cazin pense qu’un art a plus de sens en coexistant avec d’autres. Elle s’aventure donc à chaque fois à marier les œuvres de deux ou trois artistes qui pratiquent des disciplines différentes, par exemple un peintre et un sculpteur. Cela donne un sens à l’ensemble et provoque un sentiment supplémentaire chez le public. Programme 2016 La Maison de Brian a quatre expositions en perspective cette année. Martine Cazin met particulièrement en focus celle du 2 au 31 juillet associant Edmée Delsol et Alexandre Hollan. La première est une Parisienne qui a étudié la peinture et la sculpture aux Beaux-Arts de Paris, elle est connue pour l’association de la pâte de verre au raku. Le second, d'origine Hongroise, qui a développé une carrière de peintre en France : les arbres et les « vies silencieuses » sont ses thèmes de travail. ...
L’histoire familiale commence en 1900, à l’époque où Louise Brison continue de travailler ses parcelles, et ce, malgré un contexte défavorable en viticulture. Sa ténacité a permis aux générations futures d’hériter d’un riche patrimoine devenu un emblème de qualité et d’originalité en Champagne. Aujourd’hui, Delphine Brulez succède à son père, Francis, et ambitionne de porter haut les couleurs de ses cuvées millésimées. Sublimer la nature et en faire une alliée Sur le terroir de l’Aube, dans la Côte des Bars, la famille Brulez s’emploie à travailler son vignoble de treize hectares dans le respect le plus strict de la plante et du sol. Le pinot noir, à l’origine de la charpente, de l’équilibre et du corps des vins, y est privilégié, bien que les exploitants aient aussi un faible pour le chardonnay, gage de finesse et de légèreté. Interrogée sur les techniques particulières de viticulture utilisées dans son domaine, Delphine Brulez évoque « une démarche raisonnée qui permet de maintenir et de développer l’activité biologique du sol, et d'assurer la santé et la bonne durée de vie des plants. » La vinification, pour sa part, s’effectue en fûts de chêne avec un élevage minimum de six mois « pour apporter sa complexité et ses bulles fines au champagne, bref, tout son potentiel aromatique », déclare-t-elle. Dans une région comme la Champagne, soumise aux vicissitudes du climat, cet important temps de garde contribue effectivement à la plénitude des qualités organoleptiques des vins. Des champagnes de plaisir pour des occasions rares « C’est avec les années que naissent les légendes. » Une belle entrée en matière qui définit la gamme « Légende » produite par la maison. La vinothèque regroupe tous les millésimes créés depuis la naissance de Louise Brison. Des conditions de garde particulièrement pointues ont été mises en place dans l’optique de laisser aux vins le temps d’évoluer selon leur rythme. La gamme « Les petites sœurs », quant à elle, est disponible en trois qualités différentes, à savoir un blanc de blancs, un assemblage de chardonnay et de pinot noir, et enfin un champagne rosé de macération. « Nous avons cette chance de produire des champagnes de repas qui accompagnent toutes les occasions, ainsi que des champagnes de garde », souligne Delphine. ...
C’est en 2008 que Bernard Boullanger décide de se lancer dans l’aventure de la Guyane épicurienne en ayant « comme objectif de promouvoir le développement de ce pays magnifique et mal connu par la structuration de l’agriculture guyanaise ». Avec sa boutique parisienne, Délices de Guyane devient ainsi l’ambassadeur du pays en proposant des condiments, de la confiture, des sirops, des punchs, du rhum et d’autres délices fidèles à leur terre et élaborés exclusivement avec des produits frais locaux. Un soupçon de Guyane dans chaque bouchée Chaque sirop, punch, gelée ou pâte de piment révèle toutes les saveurs d’un pays riche de ses traditions et de sa fertilité. Issus de l’agriculture guyanaise, ces produits sont fabriqués avec 100 % de fruits frais et naturels, dont « 40 % sont issus de jardins de particuliers », précise Bernard Boullanger. « Entièrement traités à la main, les fruits et les piments sont transformés sur place sans conservateurs, sans gélifiant ni colorants », poursuit-il. Les saveurs naturelles sont conservées tout en garantissant la fabrication artisanale de chaque produit. Découvrez ainsi un large éventail de confitures, de gelées et de sirops à base de fruits tropicaux, une gamme riche de rhums et de punchs ainsi qu’une collection de condiments, oscillant entre piments extra-forts, doux et non piquants. Offrez également des colis gourmands Délices de Guyane en guise de cadeaux pour partager ces saveurs d’exception. ...
Actrice majeure de l’industrie touristique, cette association promeut les voyages responsables et équitables en accord avec les chartes émises par l’Association pour le Tourisme Equitable et Solidaire (ATES), dont elle est cofondatrice. Tous les voyages organisés par Arvel s’inscrivent dans l’économie locale et sont ainsi empreints d’un grande respect mutuel entre visiteurs et visités. Une dizaine de voyages labélisés Solidaire soutiennent directement des actions inscrites dans une volonté de développement économique durable. La cinquantaine de destinations proposées, allant des pays d’Asie du Sud-Est à ceux d’Afrique, en passant par l’Amérique latine, est alors dévoilée au-delà de leur façade touristique, une promesse d’immersions inédites et de rencontres authentiques. L’authenticité du tourisme solidaire… pour tous Les activités touristiques se doivent d’avoir des retombées sur les populations d’accueil afin d’amorcer le véritable développement économique d’une région ou d’un pays. Convaincu de ce constat, Stéphane Lyonne, responsable d’Arvel, orchestre des projets dont le but est de « donner du sens aux voyages en les mettant au service du développement de l’économie locale ». Loin de la charité spontanée et parfois irréfléchie, les modestes actions menées par l’association, par le biais de ses voyages et en partenariat avec des ONG et des associations locales, reflètent alors une volonté partagée de développement sur le long terme. D’ailleurs, un fonds de solidarité de soutien et de financement des projets locaux a été créé en 2008 par l’association. Chaque voyage répond également à une charte éditée par l’association afin de garantir des séjours respectueux du contexte culturel, social et environnemental des destinations. Ainsi, au-delà des clichés du tourisme classique, le voyageur se retrouve confronté au vrai visage de chaque destination, « ce qui leur permet de prendre conscience de la réalité socioculturelle de la destination et d’avoir ainsi une meilleure compréhension du pays visité », reprend Monsieur Lyonne. Comme le tourisme solidaire long-courrier à un coût, Arvel Voyages propose également aux petits budgets des réductions dans le cadre du tourisme social qui a inspiré sa création il y a de cela quarante ans. C’est cet esprit engagé, généreux et motivé par le partage que l’association souhaite inculquer aux voyageurs à travers une offre touristique humaniste, responsable et durable. Les voyages Arvel ou voyager autrement Les voyages à Madagascar, au Pérou, en Iran, en Inde, au Japon… garantissent une immersion culturelle et humaine mémorable pour chaque voyageur parti avec l’esprit curieux. En effet, lors de ces voyages itinérants, chaque groupe composé d’une dizaine de personnes sera accompagné par un animateur qui se chargera de toute la logistique et de les assister au cours de leur imprégnation dans le quotidien des populations d’accueil. Les cars pour touristes laissent ainsi parfois la place aux moyens de transport locaux, les logements chez l’habitant ou en petites chambres d’hôtes remplacent les grands hôtels sans âme et les circuits classiques revisités sont ponctués de visites d’associations, de moments de partages authentiques ou d’escales culturelles. Tout le voyage est organisé dans la plus grande souplesse, afin de favoriser toutes les possibilités de rencontres le temps d’une fête villageoise ou d’une pause gourmande chez un restaurateur local. Loin des échanges arrangés et artificiels du tourisme de masse, « les voyageurs pourront, d’ailleurs, faire de véritables rencontres et de vrais échanges lors de leur temps libre, l’occasion pour eux de vivre leur propre expérience », continue notre interlocuteur. ...
Situé aux portes du Verdon à seulement trente minutes des côtes varoises, le Restaurant Le Nid a ouvert ses portes au public en 2015, à l’initiative du couple Émilie et Davy Jobard. Postée sur la route de grands domaines de vins dans le charmant village provençal de Flayosc, on peut dire que cette ancienne pizzeria a plutôt réussi son incroyable reconversion. Un établissement au nom évocateur Sous des dehors de pépinière gourmande, à la table un chouïa bourgeoise, cet établissement au nom évocateur baigne dans une ambiance intimiste, à l’image d’un parfait nid douillet, où le jeune couple de cuisiniers a bien pris ses marques. Dans un cadre cosy où émane une belle convivialité, ce restaurant au service agréable séduit par son ambiance feutrée dans laquelle on aime se retrouver en famille ou en amoureux, à la recherche de détente et de bien-être. Oui, il faut dire que la cuisine faite minute et bien tournée du chef, combinée avec l’accueil personnalisé de la maîtresse des lieux, y sont pour beaucoup. Une cuisine de marché au fil des saisons Très belle enseigne pour amoureux, le Restaurant Le Nid est un haut lieu de restauration où les compétences et l’expérience de deux talents se valent et se complètent en parfaite osmose. À travers une cuisine de marché au fil des saisons, concoctée à base de produits qui mettent à l’honneur le savoir-faire de petits producteurs locaux, le lieu nous embarque dans une farandole d’authentiques saveurs provençales comme on les aime. ...
Partez à la découverte de la Maison Goutorbe : une entreprise familiale spécialisée en création de champagnes de grande qualité. Passion et savoir-faire : les deux piliers pour créer d’excellents vins Pour revenir aux origines du champagne Henri Goutorbe, il faut revenir au début du 20e siècle. Alors pépiniériste, la famille Goutorbe (par le biais d’Henri et René Goutorbe, père et fils) décide de commercialiser du vin de Champagne. Les enfants de René Goutorbe le rejoignent quelques dizaines plus tard pour agrandir et améliorer l’exploitation avec toujours cette même volonté de créer de grands vins de Champagne. Le travail effectué sur la vigne et le domaine favorise l’obtention des labels Haute Valeur Environnementale (HVE) et Viticulture Durable en Champagne (VDC). ...
Réaliser son propre vin, trouver l’équilibre entre les arômes des cépages, décrire les émotions au nez, en bouche : Le Maitre de Chai entretien une relation subtile avec le temps et la nature. Son métier fascine, intrigue ou force l’admiration depuis des siècles. Aujourd’hui, l’occasion est donnée pour vivre en famille ou entre amis cette expérience sensorielle et ludique : celle de la conception d’un vin prestigieux. L’idée naît dans l'esprit inventif de Christine de la Guéronnière. Issue d’une famille de vignerons et d’artistes, cette vinificatrice rejoint le domaine familial en 2015, après avoir excercé dans le commerce international. Inventive, animée par la dimension de partage et la passion d’un métier porté par les siens depuis 1928, elle joint l’art à l’artisanat dans ce jeu audacieux, olfactif et instructif. Créer un grand vin de Bordeaux : mode d’emploi écriVins parle des grands vins libournais. Dans le coffret, se présentent élégamment 3 bouteilles de vin monocépages (Merlot, Cabernet Franc, Cabarnet Sauvignon), 4 pipettes en verres, 4 supports de jeu, des cartes d’aides à la description sensorielle et une carte des règles du jeu. Celui-ci se déroule en trois parties, amenant les participants à reproduire de grands vins avant de concevoir le leur. Cinq AOC Pomerol, puis cinq AOC Saint-Emilion classés Grand Cru livrent ainsi leurs secrets, via une approche empirique. Une fois ces saveurs historiques assemblées, goûtées, notées, les joueurs (jusqu’à 4) s’adonnent aux derniers assemblages, ceux-là même qui définiront leur propre création. L’expérience est complète mais ne s’arrête pas là. Le vin réalisé in fine peut être commandé sur Internet. écrivins vous en proposera une caisse de 6 bouteilles, habillées d’une étiquette à votre nom ou celui de votre choix. Le jeu est également rechargeable sur leur site et chez les cavistes partenaires. Un écrin de bonnes idées au service des vins du terroir S’il s’adresse aux particuliers, écriVins est aussi un support didactique et soutenant, tendu vers les viticulteurs Libournais. Vignobles, caves, bars à vins, peuvent ainsi disposer d’une animation oenologique "clé en main", originale et dynamique. L’art de l’assemblage participe à dorer les notes de noblesse des grands vins de Bordeaux mais reste parfois méconnu à l’international, souvent plus sensible aux monocépages. Eclairer les richesses et la complexité de cette "cuisine des dieux" compte parmi les buts du jeu. Sa créatrice témoigne avec joie des réactions de ses auditeurs venus du monde entier, curieux et ravis de l’expérience. Des coffrets à (s') offrir, sans modération écriVins peut se commander sur le site dédié https://www.ecrivins.fr/. Ce jeu innovant, porté par le goût du vin et des autres, ravira les participants (de 1 à 4 joueurs), de 18 à 99 ans. Le coffret inclut convivialité et bonne humeur, à savourer en famille ou entre amis. A l’approche des fêtes de fin d’année, à l’occasion d’un anniversaire, d’un événement, écriVins est l'occasion de surprendre, de faire plaisir et de savourer, en plus de bons vins, de précieux instants. Les curieux, les œnologues en herbe, les vignobles désirant développer leurs animations oenotouristiques seront servis et quelques vocations, pourquoi pas, pourraient se dessiner. Il n’y a plus qu’à céder à la tentation de ce jeu qui, en plus d’être ludique, signe un joli clin d'oeil aux artisans de la terre. ...
Produit de santé employé à des fins thérapeutiques ou diagnostiques pour compenser par exemple un handicap, le dispositif médical (DM) forme un écosystème innovant en pleine expansion. Cette discipline appartenant au domaine médical joue le rôle d’interface technique ou technologique entre la santé des patients et l'univers médical. En 2017, le secteur a représenté un marché de 28 milliards d’euros et a généré pas moins de 85 000 emplois directs en France. Pour être à la hauteur des nouveaux défis imposés par la filière, l’Institut supérieur d'ingénieurs de Franche-Comté (ISIFC) renforce son engagement de préparer des ingénieurs qualifiés et polyvalents, qui vont élargir le champ des possibles dans le génie biomédical. Appuyé par un réseau d’experts « Notre école est agréée CTI depuis sa création en 2001 et nous basons notre expertise sur le DM, depuis la conception jusqu’à la mise en marché, en passant par la fabrication et la validation », introduit Vincent Armbruster, directeur de l’institut. Le génie biomédical, défini comme « un art d’appliquer les sciences et les techniques les plus avancées à la conception et à la validation d’appareils pour prévenir, diagnostiquer, traiter et assister les patients », intègre une dimension transversale qui sous-tend une approche pluridisciplinaire. De ce fait, cet institut d’excellence s’entoure d’une solide équipe pédagogique regroupant des enseignants-chercheurs de l'université de Franche-Comté au sein des laboratoires de recherche, mais aussi des formateurs issus des entreprises et des centres de soins locaux. L’ISIFC jouit également de la synergie développée avec le CHRU, l’EFS et l’incubateur de Besançon, le SNITEM, le pôle de compétitivité des microtechniques de Franche-Comté et la CDEFI. Développer des compétences et des talents Le génie biomédical offre l’opportunité aux étudiants d’œuvrer dans le secteur de santé sans forcément passer par médecine. La formation proposée par l’ISIFC s’intéresse à trois cultures spécifiques : la technique qui traite les sciences de l’ingénieur, le médical ou la biologie santé et le volet réglementaire. « Le champ d’application de notre filière est très vaste mais exige un niveau de connaissance très précis et très pointu », explique notre interlocuteur. « Durant la première année du cursus, on va venir établir un socle commun de connaissances sur lequel fonder les futures spécialisations de nos étudiants. » Ce travail met l’accent sur l’aspect mécanique, électronique, mathématique, informatique et biologie santé pour permettre à tous de partir sur une base homogène et d’évoluer vers des compétences plus affirmées et plus ciblées. Pendant la seconde année d’études, cette approche se complète par un approfondissement de la réglementation et de l’éthique, un sujet particulièrement sensible quand on parle de DM. « L’idée étant de former des ingénieurs spécialistes dans le volet réglementaire qui vont développer des produits tout de suite certifiés par les normes européennes, et ainsi accélérer les procédures de mise en marché », reprend-il. La troisième et dernière année du programme prévoit la possibilité de conclure un contrat pro (formation en alternance) et offre trois options de spécialisation : la bio-ingénierie, l’e-santé, et la biomécanique et microsystème. En outre, différents stages (stage découverte, stage hospitalier, stage R&D, stage industriel) et projets tutorés sont obligatoires et représentent près de la moitié du temps de la formation, avec un encouragement à partir à l'international. Pour les professionnels et les entreprises, plusieurs formations thématiques à la carte et sur mesure sont à découvrir, allant des formati...
Installé sur une immense terrasse de plain-pied de 2 500 m2, le Restaurant Les Ombres est une table prestigieuse à l’ambiance intimiste qui sait apporter de l’originalité à la gastronomie. Alain Ducasse a déclaré : « Aux Ombres, j’ai voulu réaliser la synthèse de ce que je suis aujourd’hui. Riche d’un parcours culinaire au cours duquel j’ai célébré la Méditerranée, ciselé la cuisine française contemporaine et créé la Naturalité, j’ai eu envie de rassembler ces trois courants majeurs en un restaurant qui condense mon ADN originel. » LA MÉDITERRANÉE « En tant que cuisinier, c’est sur la Riviera que je suis né », aime à dire Alain Ducasse. Le chef découvre ce terroir à 20 ans et se passionne depuis pour ses produits généreux. Les saveurs de la Méditerranée sont inscrites à jamais dans le cœur d’Alain Ducasse et dans son répertoire culinaire. LA MODERNITÉ Nourrir un client urbain, curieux et informé, dans un lieu d’exception : telle est la vocation d’Alain Ducasse pour Les Ombres. En constante évolution, délibérément contemporaine et parisienne, la cuisine répond ici avec brio aux exigences des convives avertis. LA NATURALITÉ Céréales, légumes, poissons issus de la pêche durable : tels sont les piliers de cette philosophie culinaire, inventée par Alain Ducasse avec Romain Meder dès 2014. « La Naturalité est une telle évidence qu’elle ruisselle sur tous mes restaurants. Aujourd’hui, notre responsabilité est de proposer une cuisine bonne à penser avant d’être bonne à manger. » Ce sont ces trois lignes maîtresses que l’on retrouve dans les menus proposés par les Chefs Rui Martins ( chef exécutif des Ombres et du Café Jacques) et Alexandre Sampere, qui fut le sous-chef de Romain Meder au restaurant Alain Ducasse au Plaza Athénée. Un « enfant » de la Naturalité, avec tout ce que cela comporte d’audace et de maîtrise des nouvelles techniques : extraction, déshydratation, fermentation... Ce jeune chef est aussi un saucier hors pair, passionné par les jus et les condiments. Autant de qualités qui le désignent, aux yeux d’Alain Ducasse, comme le nouvel homme des Ombres. ...
Que ce soit au niveau personnel ou professionnel, tout individu est inscrit et évolue dans des systèmes. « Je suis intimement convaincue que lorsqu’une personne n’est pas à sa place et qu’elle est mal à l’aise l’impact se ressent sur le système dans lequel elle évolue », explique Caroline Scherlen. Il est donc primordial que chaque individu puisse prendre sa vraie place, afin de s’épanouir et d’être productif. Une coach expérimentée Membre de l’EMCC France, Caroline Scherlen dispose de 20 d’expérience dans l’exploration production au sein d’une grande entreprise pétrolière. Au cours de sa carrière, elle a occupé de nombreux postes dans différents domaines comme la recherche et le développement, le management hiérarchique ou transverse dans un contexte multiculturel ou encore des postes opérationnels. Aujourd’hui, elle met à profit son riche parcours afin d’aider ses clients à prendre leur juste place, et ce même dans les environnements complexes (réorganisation, positionnements stratégiques, management transverse…). « Je me suis vraiment spécialisée dans ce type d’accompagnement », souligne-t-elle. Des outils innovants Caroline Scherlen propose un coaching professionnel et de vie à des entreprises ou à des particuliers, en individuel, en binôme, en équipe ou en organisation. Pour les accompagner efficacement, elle mobilise des méthodes originales et innovantes telles que les constellations familiales ou le DoLquest, un questionnaire de personnalité de 3e génération reposant sur une approche systémique. La première approche se pratique en groupe et consiste à créer une constellation familiale, en désignant, parmi les personnes présentes dans la salle, celles qui vont représenter et incarner les rôles des membres de sa famille. Le coaché va ensuite placer chacun des personnages dans l’espace en leur demandant d’adopter une posture spécifique et d’orienter leur regard dans telle ou telle direction. Dans leur position respective, les « acteurs » sont invités à exprimer leur ressenti. À travers ce jeu de rôles, l’objectif est de soulever les problèmes et de remettre chacun des membres de la famille à sa juste place. Cette approche peut également être transposée dans le monde professionnel afin, par exemple, de rétablir l’équilibre dans la structure d’une entreprise. ...
Cette demeure au cadre champêtre et à l’ambiance romantique est un lieu chargé d’histoire qui laisse transparaitre en toile de fonds, les secrets de la Gascogne pour un spectacle de toute beauté, composé de vallons parsemés d’abbayes cisterciennes et de villages typiques aux marchés animés. Un cadre historique couplé à une cuisine de tradition Dans un cadre verdoyant qui domine à perte de vue la campagne gersoise, le château de Larroque se trouve à proximité immédiate de Gimont, fameuse bastide à la gastronomie authentique et au marché au gras typique de la région. Les lieux se prêtent merveilleusement aux célébrations familiales et privées mais pas seulement… weekends détente, anniversaires et séminaires d’entreprise y trouvent tout aussi bien leur place ainsi que plusieurs activités extérieures. Au château de Larroque, 17 chambres dont une suite sont mises à disposition des convives où confort et bien-être sont au rendez-vous. Ouvert du mardi matin au dimanche midi inclus, son restaurant reçoit plutôt une clientèle d’affaire que de touristes avec une carte à 3 menus incluant un menu express le midi. Si la carte est assez stable en hiver, « elle est beaucoup plus changeante pendant la saison » nous précise Rosemary Rodriguez, propriétaire. Adepte de la cuisine bio et du fait maison, l’enseigne travaille prioritairement les produits frais cuisinés sur place et met à l’honneur les meilleurs des produits gersois. En marge de travailler avec un réseau régulier d’agriculteurs et de producteurs gimontois, elle peut se permettre le luxe de produire elle-même ses légumes dans les serres et potager du château. ...
Le Mas Janeil Le Mas Janeil est une propriété située dans la vallée de l’Agly, dans les Pyrénées-Orientales, avec des parcelles sises entre les communes de Maury et de Tautavel. Son terroir, à cheval sur une faille géologique, présente une très grande diversité. Ses vignes sont constamment soumises aux souffles de la tramontane et du marin. Les vieilles vignes de grenache, de mourvèdre et de syrah ne sont vendangées qu’à leur pleine maturité, ce qui confère aux cuvées une belle maturité aromatique. Les vins qui y sont produits sont déclinés sous le nom de « Mas Janeil », en appellation AOP Côtes-du-Roussillon et Côtes-du-Roussillon Village et « Les Hauts de Janeil » en IGP Pays d’Oc. Le Château des Erles François Lurton a acquis avec son frère ce vignoble situé aux confins des Corbières en 2001. Les 18 hectares, composés de sols schisteux mélangés à du grès noir, sont plantés de carignan, de grenache et de syrah, en faible densité de 3000 pieds par hectare. Il est soumis à un climat méditerranéen typique et une pluviométrie faible qui sont à l’origine de la fraicheur prononcée de ses vins. Les herbes de Provence qui entourent le vignoble donnent à ses cuvées des notes d’herbes. Le domaine produit deux vins en appellation Fitou : le « Grand Vin du Château des Erles » et la « Cuvée des Ardoises ». Le Domaine du Ministre Le Domaine du Ministre, situé sur la commune de Murviel-lès-Béziers, se trouve en plein cœur de l’appellation Saint-Chinian. Ses cépages de syrah, de grenache et de mourvèdre grandissent sur un sol calcaire contenant de la marne. L’exploitation produit le vin du même nom, le « Domaine du Ministre », qui bénéficie d’une couleur rouge rubis profond, avec un nez complexe et intense,tout en offrant un bel équilibre en bouche avec des tanins suaves et des arômes concentrés. Le Domaine des Salices Le Domaine des Salices est un vignoble situé dans le Minervois, entre la Montagne noire et la Méditerranée. Ses vignes bénéficient d’un excellent ensoleillement toute l’année, qui garantit un murissement parfait des raisins. Le terroir produit quatre cuvées en appellation IGP de Pays d’Oc. Les Fumées Blanches et Domaine Les Fumées Blanches « Les Fumées Blanches » constitue la cuvée de référence qui fait la renommée mondiale de François Lurton. Celle-ci tire son nom de la brume matinale qui couvre les vignes de sauvignon blanc, au pied de la Montagne noire, entre l’Atlantique et les Pyrénées. Ce vin de cépage monovariétal est un assemblage de sauvignon blanc issu de plusieurs terroirs différents dans cette région du Gers, à 150 km de Bordeaux. Créée il y a 18 ans, la gamme de vins s’est dotée d’une nouvelle venue, plus pétillante grâce à l’ajout d’une légère dose de dioxyde de carbone qui révèle la délicatesse des arômes du cépage. Depuis bientôt trois décennies, François Lurton parcourt la France du nord au sud pour sélectionner les raisins de sa fameuse cuvée « Les Fumées Blanches ». Si les raisins vinifiés et assemblés pour Les Fumées Blanches sont récoltés dans différentes régions françaises, il en est une qui reste majoritaire et particulièrement chère à François : le Gers. C’est donc sur une terre argileuse plantée sur une roche mère calcaire, en plein pays gascon, que François Lurton va implanter son domaine; le Domaine Les Fumées Blanches. Plus précisément au cœur de la Ténarèze, terre de contraste qui relie l’Armagnac Noir Atlantique à l’Armagnac Blanc méditerranéen. La volonté de François au sein du domaine n’est plus tant d’exprimer toute la complexité du sauvignon blanc mais plutôt à présent, son incroyable délicatesse et sa capacité à exprimer son terroir. Le Domaine Les Fumées Blanches est devenu le fruit de près de trente années d’expériences et d’innovations autour de la culture et d...
A une soixantaine de kilomètres au Sud de Bastia, le Domaine Vecchio et son vignoble sont situés sur les pentes de la montagne de Monte San Appiano. Sous l’appellation AOP Vin de Corse et IGP de l’ile de Beauté, cette région est renommée pour ses vins à forte potentialité aromatique. Quatre terroirs pour vingt huit hectares Les vingt huit hectares de vignes du Domaine Vecchio sont installés sur les coteaux du Monte San Appiano qui se divisent en quatre types de terroirs bien distincts : argiles légères sur graves, schistes, graves et argiles légères avec marne de cailloux. Ce vignoble livre une grande diversité de cépages, qui vont des typiques de la région comme le Niellucciu ou le Sciaccarellu, aux cépages dits nobles comme le Grenache, le Vermentino ou la Syrah. Situées à proximité de la mer, les vignes jouissent d’un microclimat favorisant des brumes matinales et des nuits fraîches qui confèrent aux raisins leurs fruités et leurs acidulés. « Ce microclimat spécial va me permettre de laisser la pourriture noble se développer » pour le liquoreux fait sur vermentino ajoute Florence. Toutes ces conditions réunies permettent ainsi aux vignes de se développer favorablement. Rien ne vaut les bonnes et vieilles méthodes « Nous sommes des vignerons artisans » tient à préciser Florence. En tant que tels, le couple s’est engagé à travailler leur vignoble selon les anciennes méthodes. Dans les faits, cela consiste à l’observation de la météo pour déterminer les traitements à appliquer, limiter les rendements (30 hectolitres/hectares) pour réduire l’usage d’intrants, travailler le sol par labourage et enherbement pour préserver la flore et enfin employer uniquement le cuivre et le soufre pour le traitement des pieds de vignes. Le plaisir avant le prestige Paul Claudel a dit qu’« en matière de vin, il faut savoir faire passer le plaisir avant le prestige ». Cette citation s’applique autant pour ceux qui boivent le vin que ceux qui le produisent. Et c’est exactement le cas au Domaine Vecchio où l’étape cruciale de la vinification est menée « artistiquement », selon le plaisir des maîtres des lieux. Les techniques varient en fonction de la couleur travaillée, mais toujours en équilibrant les éléments et en adéquation avec le terroir. Le domaine obtient ainsi une gamme de trois cuvées à savoir « Tradition », « Prestige » et « Fût de Chêne » déclinées en huit vins différents. La cuvée « Uva Antica » se démarque par sa composition à 100% de Minustellu, que seule une poignée de vignerons insulaires cultivent encore de nos jours. Ce vin est gourmand et fruité, donnant sur des saveurs de caramel, mûres et chocolat. Il est le compagnon idéal sur des viandes nobles, ou des desserts au chocolat. ...
Situé à la pointe du Cap Ferrat, entre Nice et Monaco, le restaurant le Cap étoilé au Guide Michelin attise la gourmandise des locaux ou touristes de passage à Saint-Jean Cap-Ferrat. Installé au rez-de-chaussée du Grand-Hôtel du Cap-Ferrat, A Four Seasons Hotel, il séduit par sa décoration à la fois chic et épurée. Dès l’entrée, la salle dégage une ambiance chaleureuse et conviviale. L’authenticité dans toute sa splendeur se dévoile avec la magnifique fresque réalisée par l’artiste Michèle Letang en hommage aux œuvres de Jean Cocteau, un client fidèle du Grand Hôtel. Pour couronner le tout, l’éclat des lumières apporte une certaine douceur à l’ensemble. Durant les beaux jours, la terrasse surprend par sa vue imprenable sur le grand bleu et sur les ravissants jardins de l’établissement. Cet espace extérieur à l’ombre des pins centenaires accueille jusqu’à une quarantaine de personnes. Des chefs hors-pairs Depuis 2007, la notoriété de ce restaurant n’a pas cessé de croître. Pour cause, un chef créatif et méticuleux se trouve à la tête de la brigade : Didier Aniès. Doté de plusieurs années d’expériences auprès de très grands noms de la gastronomie française, il a réussi à imposer son nom et son empreinte dans le monde culinaire. Ainsi, il a remporté le titre du meilleur ouvrier de France en 2000. Entouré d’une équipe compétente et gagnante composée des meilleurs artisans cuisiniers, il est épaulé par le chef pâtissier de renommée qui vient ajouter son nom aux multiples talents que compte déjà le restaurant. En effet, Gaëtan Fiard qui a été sacré champion du monde des Arts Sucrés 2014 promet de faire voltiger les papilles avec des saveurs douces et recherchées. Une cuisine inventive Tout comme la décoration, la cuisine joue sur le ton du raffinement et de l’authenticité. Créative sans être exagérément complexe, elle met l’accent sur les produits d’exception qui ont été minutieusement sélectionnés auprès des marchés locaux. Outre le menu, le restaurant propose une carte riche en saveurs et en idées. Parmi les plats phares : Les Langoustines à peine Pochées à la Pomme Verte surprend par l’insolite mariage entre le Céleri Blanc Parfumé au Citron Vert et les Perles de Hareng fumé. De son côté, le savoureux Turbot Cuit à basse température, Salicorne accompagné de Girolles, Pois Chiches au Persil plat, et d'une réduction d’Agrumes au Poivre de Timut relève d’un grand art maitrisé mais discret. Côté viande, le Carré d’Agneau « Allaiton de l’Aveyron » au Romarin du Jardin, Gnocchi à la Betterave et Ricotta Safranée, Petits Pois satisfait toutes les gourmandises. Le repas s’achève sur une note rafraîchissante avec le Citron de Menton à l’Huile d’Olive. Pour accompagner le diner, une carte de vins expose la grande collection de l’établissement. Pas moins de 600 références y sont présentes dont principalement les bouteilles du Château d’Yquem (depuis 1854) et celles du Château Lafite Rothschild. Par ailleurs, les amateurs de vins pourront découvrir les plus grands crus du restaurant, jalousement exposés dans l'écrin du « Salon des collections ». ...
Idéalement situé sur le port de Vannes, ce restaurant « bistrot chic » a tout juste re-ouvert le 31 janvier 2016, après d’importants travaux de rénovation. La décoration, entièrement refaite, révèle une tendance contemporaine agrémentée de touches asiatiques ; en témoignent les tableaux d’un grand maitre malaisien qui égayent les murs et la tapisserie aux motifs de fleurs japonaises. La salle dispose de 10 tables pour 30 places. Le service de qualité, les produits frais et l’accueil chaleureux forment le socle contribuant au succès du restaurant Rive Gauche. Une cuisine d’inspiration Après avoir passé plusieurs dizaines d’années en Asie, Dominique Blais a finalement décidé de se poser et d’ouvrir un restaurant à son propre compte. « Le Rive Gauche met en avant la cuisine française, revisitée avec une touche personnelle à tendance asiatique et des saveurs du monde», présente-t-il. C’est un chef qui fait une cuisine libre et un peu rebelle. Compte tenu de l’emplacement idéal du restaurant, sur le port de Vannes, celui-ci privilégie le poisson, les fruits de mer et les coquillages, sans toutefois délaisser les viandes et les volailles. Tous les produits utilisés en cuisine sont issus du terroir de la Bretagne et du Morbihan et proviennent des marchés locaux. Grâce à son inventivité et à son inspiration hors du commun, le chef parvient à sublimer ces ingrédients pour que ceux-ci livrent leur plus belle expression. Récemment, il a surpris ses convives en proposant sa papillote de fruits de mer et poissons nobles, servie avec une sauce aigre-douce à la mangue et aux agrumes, cuite et servie dans une feuille de banane. À la carte et à la cave Le restaurant Rive Gauche propose différentes formules. À 19 € et 25 €, les deux formules du midi offrent un rapport qualité-prix plus que satisfaisant. Elles sont composées de deux entrées au choix, de deux plats principaux avec une viande ou un poisson et de deux desserts. Dans la gamme des plats principaux, la papillotte de bar curry coco, mangue font le bonheur des fins gourmets. La carte du soir, à 36 € et à 42 €, se compose de trois formules différentes, avec trois entrées, trois plats principaux et trois desserts au choix. Parmi les plats les plus prisés figurent le croustillant de crevettes à l’avocat, la déclinaison au goût Asiatique. Rive Gauche étant un bistrot, la carte des vins se doit d’être en adéquation avec les suggestions culinaires. Elle est éclectique bien qu’elle privilégie davantage les cuvées de la région et des Pays de la Loire. La maison a surtout une préférence pour les vins bio ou produits par des petits vignerons passionnés. Le maitre Cuisiniers de France et la sommelière / Maitre d’hotel de Rive Gauche parcourent les salons consacrés aux vins pour sélectionner les cuvées dignes de la maison. Le parcours de Dominique Blais « La passion et le travail devraient former un seul tout », selon Dominique Blais. Le maitre Cuisinier a passé toute sa vie active à exercer dans le milieu de la restauration et de l’univers culinaire. Cela fait 30 ans qu’il parcourt l’Asie et le monde aux services de grands hôtels 5 étoiles de renommée internationale comme Starwood, Ritz ou Hyatt, où il a tenu le rôle d’Executive chef et de créateur de concept restaurant. En pratique, son travail consistait à concilier le domaine de la gastronomie de haut standing à celui du marketing. Fort de ses expériences, Dominique Blais n’a pas hésité à sauter le pas et à se mettre à son propre compte pour ouvrir Rive Gauche. ...