Un lieu qui incarne l’esprit Paris-Saclay, à savoir « sa capacité de connecter des talents de toutes les origines et de tous les statuts », pour reprendre le responsable de l’institution, Ronan James. Cette vision d’ouverture est celle qui a, d’emblée, permis de tracer les premières esquisses du Proto204. Ce lieu de travail collaboratif de 200m2 est porté par l’Etablissement public d’aménagement Paris-Saclay et se situe sur le campus de l’Université Paris-Sud. Ici, les communautés se rencontrent et développent des partages centrés sur l’innovation. Développer l’économie collaborative Depuis son lancement en 2014, le PROTO204 a organisé 600 conférences, ateliers créatifs et sessions de mentoring. C’est dire combien les talents s’activent et les idées fourmillent dans ce lieu urbain où mixité et créativité ouvrent quotidiennement à de nouvelles perspectives. Les innovateurs de tous horizons – entrepreneurs, industriels, chercheurs, étudiants – trouvent ici un point de chute pour apporter leurs projets et les confronter à d’autres « énergies » afin de les tester, les diffuser ou les améliorer. Il n’est effectivement pas rare que des produits imaginés pour un usage très précis voient leur application s’étendre à des aspects que leurs porteurs n’ont pas nécessairement envisagés. Cet enrichissement mutuel des démarches d’innovation fait partie de la sève qui carbure cet endroit où co-design et co-construction de projets passent pour des attitudes naturelles. Incubateur et accélérateur d’innovation ouverte Les idées ne font pas que se confronter dans les antres du Proto204 : elles s’y maturent et prennent forme par le biais du FabLab dont ce « think-and-do-tank » s’est doté, début 2016. Même les plus néophytes peuvent profiter des installations et équipements fournis dans cette unité disposant d’un atelier de fabrication et d’une imprimante 3D. Des formations gratuites de codage et de prototypage y sont effectivement dispensées. Un show-room modulable, une cafétéria et un espace de co-working composent également cette friche créative gérée par l’EPA Paris-Saclay. ...
Après avoir suivi des études en architecture, Emmanuel Lansyer nourrit l’ambition de devenir peintre. En 1861, il préfère s’inscrire dans l’atelier fraichement ouvert de Gustave Courbet plus éloigné de l’enseignement académique. Peintre impétueux et provocateur, considéré comme un artiste libre et indépendant, Courbet est à l’époque au sommet de son art. Le maître d’Ornans a eu une empreinte déterminante sur le jeune Lansyer qui, à ses côtés, explore la technique de la texture, de la couleur et de la peinture et s’imprègne de la démarche réaliste. Loches : expositions, ville d'art et d'Histoire... Dans l’optique de faire découvrir l’œuvre de Courbet et de la mettre face à face avec celle de son disciple, la ville de Loches présente l'exposition « Courbet s’invite chez Lansyer », qui se tient dans l’ambiance intime de la maison d’Emmanuel Lansyer. La demeure bourgeoise, héritée de sa mère, est aujourd’hui classée « Maison des illustres » et « Musée de France ». La première étape de l’exposition retrace le parcours des deux artistes avant leur rencontre. Le deuxième volet dévoile l’influence du maître sur le travail de son disciple. La troisième étape relate la rencontre entre les deux hommes. Enfin, la quatrième partie propose un focus sur l’engagement de Courbet dans l’art et la politique. Plus d’une centaine d’œuvres et objets personnels des deux artistes sont ainsi exposés et invitent les visiteurs à s’imprégner de l’univers du Réalisme. Une exposition réalisée en partenariat avec l’Institut Gustave Courbet ...
Présente en France depuis déjà deux siècles, la maison familiale Cuperly est en perpétuel progrès en basant sa production sur la vitiviniculture traditionnelle et raisonnée avec une parfaite maîtrise des techniques de vinification modernes. Situé dans la montagne de Reims, son vignoble s’étend principalement au sein de trois grandes communes plébiscitées pour la qualité de leur sol et de leur climat à produire des vins d’exception, Verzy, Verzenay et Mailly-Champagne. La trentaine de parcelles est destinée à la culture du pinot noir et du chardonnay, les seuls cépages qui entrent dans l’élaboration des champagnes grand cru Cuperly. En tant qu’entreprise familiale, « une partie de nos raisins provient des achats familiaux », nous informe Anne-Sophie Cuperly, gérante. Une gamme éclectique de cuvées S’inscrivant dans une démarche de production durable et de qualité, la maison Cuperly exclut la fermentation malolactique (FML) dans son processus de fabrication afin de garder la fraîcheur de ses produits. En effet, « une partie de nos vins est élevée en fûts de chêne de 300 litres et nous faisons nos liqueurs nous-mêmes à partir des raisins de la production grand cru, pour sublimer nos champagnes et respecter le dosage traditionnel », ajoute notre interlocutrice en toute franchise. Quel que soit l’événement à célébrer, la large palette de cuvées grand cru et carte verte (grande réserve) de la marque raviront tous les palais à l’instar des champagnes grande réserve rosé, blanc de blancs et prestige Millésime 2009. À l’occasion de la Saint-Valentin par exemple, Cuperly propose les collections fleur grande réserve (bouteille rouge) et prestige (bouteille bleue) pour le bonheur des couples. La grande réserve joyeuses fêtes, quant à elle, se déguste volontiers lors des grandes fêtes : Noël, fin d’année, etc. Parmi ces produits, les cuvées prestige ( environ 30 % de chardonnay et 70 % de pinot noir) et le blanc de noirs (100 % pinot noir) constituent respectivement les champagnes emblématiques et typiques de la maison. Une expérience inédite au cœur de la Champagne Tout au long de l’année, des visites guidées au sein de sa propriété pour découvrir tous les processus de fabrication du champagne Cuperly, depuis le chai à la cave à millésimes sont organisées. Quant à la dégustation, la maison dispose d’un espace d’accueil éblouissant et convivial où l’initiale de la marque est mise en avant sur un mur en bouteille de verre éclairé. Par ailleurs, en partenariat avec les offices de tourisme de Châlons-en-Champagne, d’Épernay et de Reims, Champagne Cuperly développe actuellement une offre œnotouristique particulière afin de permettre aux visiteurs de profiter pleinement de leur séjour dans la région du Grand-Est. ...
Pour les particuliers et professionnels qui ont besoin d’internet en toutes circonstances, le boîtier Wifi Phenix Telecom est le matériel adapté. Boîtier Phenix Telecom : internet sécurisé et illimité dans plus de 110 pays Grâce au boîtier Wifi Hotspot Phenix Telecom, les particuliers et les professionnels qui prévoient de voyager peuvent profiter d’une connexion de qualité et sécurisée. En effet, pour 7,90 € par jour (à condition de partir plus de 10 jours), vous pouvez louer un petit boîtier discret et performant. Profitant d’une couverture 4G dans plus de 110 pays, il permet à 5 personnes de se connecter simultanément par ordinateur, smartphone, tablette ou console de jeux simplement et sans passer par le WiFi public non sécurisé des hôtels, aéroports, bars ou restaurants. Facile à utiliser, il vous suffit d’appuyer sur le bouton marche/arrêt et de sélectionner le réseau privé et crypté (qui vous protège contre toute tentative de piratage) pour profiter d’internet haut débit 4G, sans coût caché ni surfacturation. À savoir : le boîtier est livré 7 jours avant votre départ pour partir serein (une enveloppe prépayée est mise à votre disposition pour le renvoyer une fois la durée de location arrivée à son terme). De plus, pour les personnes qui voyagent beaucoup, il est possible de l’acheter et de le recharger directement en ligne. Phenix Telecom : une entreprise spécialiste de la téléphonie mobile Depuis sa création, en 1999, Phenix Telecom fait le nécessaire pour être toujours à la pointe de la technologie en matière de téléphonie mobile. Reconnue par l’ARCEP, elle a commencé par l’édition de cartes téléphoniques prépayées. Puis, afin de répondre précisément aux besoins de ses clients, elle a développé le boîtier Wifi qu’elle vend aujourd’hui aux entreprises et particuliers. Son objectif : permettre à la téléphonie mobile de traverser les frontières et d’être accessible à chacun, aussi bien en termes de coûts que d’usage. En étant simple à utiliser, performant et sans frais cachés, son équipement de voyage high-tech et sur-mesure s’inscrit parfaitement dans cette démarche. ...
Depuis quelques années, la nutrition fait l’objet de grand tapage médiatique. Le phénomène est tel que le consommateur lambda se retrouve aujourd’hui noyé dans un flot d’informations où il lui est parfois difficile de démêler le vrai du faux. Et pour cause, les différents médias (Internet, télévision, magazines…) n’ont de cesse de véhiculer des messages contradictoires sur le sujet. Désorienté, le consommateur a de plus en plus de mal à prendre les bonnes décisions en ce qui concerne son alimentation. En s’appuyant sur l’expertise nutritionnelle de WeCook WeCare, ce dernier n’a plus à se préoccuper de savoir si ce qu’il mange est équilibré ou non. Une équipe de diététiciennes nutritionnistes assure en amont la validation de la qualité nutritionnelle de ses repas. Les enjeux d’une alimentation saine Selon The Institute for Health Metrics and Evaluation (IHME), la mauvaise alimentation est à l’origine de 21 % de décès évitables dans le monde. Avoir une alimentation équilibrée et de qualité est donc plus que recommandée dans la prévention des pathologies lourdes comme le diabète, les maladies cardiovasculaires, le cancer, etc. Mais qu’entend-on par alimentation équilibrée ? « C’est une alimentation qui fournit l’intégralité des éléments nutritifs nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme. Cela doit être une alimentation variée, diversifiée et de saison », explique Séverine Gailler-Legendre, directrice scientifique de WeCook WeCare et également diététicienne. Le rôle clé de l’accompagnement diététique À l’instar de tous les professionnels de la santé, les nutritionnistes établissent leurs recommandations en se fondant sur des données scientifiques crédibles. En effet, certains programmes diététiques qui reposent sur des idées fausses et des informations erronées peuvent présenter de graves risques pour la santé. « Le sucre est devenu l’ennemi public numéro un alors qu’il y a une grande différence entre les aliments riches en glucides non transformés et les aliments transformés où le sucre est utilisé comme exhausteur de goût », indique notre interlocutrice en guise d’exemple. Même topo pour les graisses ! Tout comme le sucre, celles-ci sont, dans des quantités et des qualités bien précises, indispensables au bon fonctionnement de l’organisme. Les exclure et opter pour un régime restrictif n’est donc pas forcément la meilleure solution. D’où l’importance d’un accompagnement diététique personnalisé permettant des changements alimentaires sains et durables. « Quelles que soient les contraintes, il faut malgré tout conserver un réel plaisir à se nourrir pour ne pas se sentir au régime et éviter le sentiment de monotonie, qui sera contreproductif sur le long terme », souligne Séverine Gailler-Legendre. Chez WeCook WeCare, les diététichefs assurent ainsi un accompagnement complet, qui non seulement respecte la santé des patients mais également concilie régime et plaisir du palais. A noter que deux livres sortiront prochainement aux Editions La Maison, dans la collection LQDP en vue de venir en aide aux patients souffrant de ces troubles fonctionnels intestinaux. Le premier s'intitule « Le Syndrôme de l'intestin irritable (SII) - Comment l'identifier et le combattre » est écrit par Séverine Gailler-Légendre. Le second ouvrage « Comment suivre une alimentation pauvre en FODMAPs sans galérer », écrit par Béatrice Housez-Février, renseignera sur les aliments à privilégier et à bannir pour soulager tous les symptômes du colon irritable. ...
Situé à proximité immédiate de l’aéroport de Toulouse et à 15 min du centre-ville, le prestigieux hôtel Radisson Blu de Blagnac est une belle découverte qui permet d’explorer dans les moindres détails le cadre reposant de deux restaurants aux noms évocateurs : La Vie en rose et L’Écrin. Installé notamment dans le jardin particulièrement verdoyant de l’hôtel, dans un cadre composé en grande partie de vignes, le restaurant La Vie en rose s’enveloppe d’un décor feutré à l’ambiance lounge où se marient à merveille l’authenticité des produits chauds du Sud-Ouest et les saveurs d’ailleurs, dans une inspiration originale. Une cuisine créative et traditionnelle Le restaurant La Vie en rose se démarque par sa cuisine traditionnelle et originale aux notes rafraîichissantes qui allie à la fois la pertinence d’une touche créative et l’élégance d’une pointe de raffinement. Une belle signature qui confère à l’enseigne un cachet particulier. À travers un voyage culinaire aux couleurs du monde qui invite à la découverte, le talentueux chef Gérald Potron et son équipe sauront ravir les fins palais ainsi que les inconditionnels de la cuisine simple et créative, sans pour autant sacrifier la tradition. Laissez-vous guider dans cette belle aventure, où le talent et l’imagination font bon ménage, au grand plaisir des habitués et des visiteurs de passage. Une touche exotique aux saveurs d’Orient Gérald Potron s’inspire en grande partie de la cuisine japonaise dans la préparation de ses plats, une tendance qu’il a d’ailleurs su merveilleusement partager avec son équipe qui y trouve de belles associations. L’établissement propose le midi une formule « Vol de jour », bien connue des habitués, composée de 1 entrée + 1 plat ou de 1 plat + 1 dessert, café inclus, à 21 €, si ce n’est l’option entrée + plat + dessert, café inclus, à 27,50 €. Ce menu est parfait pour les déjeuners d’affaires. En soirée, la carte propose une myriade de suggestions gourmandes. En entrée, les convives se laisseront tenter par un nougat de foie gras, accompagné d’une purée cardinal, tube de peinture à l’orange amère. En plat de résistance, place au filet de daurade royale, servi avec des écailles de courgettes et un risotto au parmesan. En guise de bouquet final, rien de tel qu’un crémeux au citron « Lemon curd » pour flatter les papilles. Une carte des vins particulièrement fournie Au grand bonheur des amateurs de bon vin, le restaurant La Vie en rose peut se targuer de posséder une carte de vins éclectique et particulièrement bien fournie. L’enseigne est ainsi en mesure de proposer des vins du monde et de région qui, selon leurs arômes et leur teneur, vont idéalement accompagner les repas. À la demande des clients, certaines marques pourront également être suggérées pour relever la saveur des plats, dans une belle alliance. Un service d’exception Disposant d’une capacité d’accueil pouvant aller jusqu’à 200 couverts, le restaurant La Vie en rose est un endroit idéal pour abriter les grands évènements et les retrouvailles en famille ou entre amis. On y revient par plaisir et on se laisse toujours surprendre par son cadre accueillant à l’ambiance conviviale et sa cuisine savoureuse et raffinée. L’établissement donne également aux parents la possibilité de commander pour leurs enfants un menu qui leur est adapté. ...
Installé en plein cœur du centre de la ville d’art et culture, sur la Place des Cardeurs, le restaurant l’Epicurien tranche par la qualité des services et des menus proposés. Une adresse discrète à l’ambiance intimiste qui fait le bonheur des aixois et touristes de passage venus déguster une cuisine bistronomique. Un chef inspiré et créatifPour vivre une expérience culinaire hors des sentiers battus, dans une ambiance conviviale aux couleurs du sud, l’Epicurien ouvre ses portes. Un établissement qui porte bien son nom, dirigé par un chef passionné. Ludovic Aillaud fait ses premières gammes dans le Luberon au sein de l’établissement étoilé d’Edouard Loubet où il se découvre une prédilection pour les herbes, qu’il apprendra à maîtriser à la perfection. En parallèle, il continue ses études dans les métiers de la restauration et de l’hôtellerie. Plus tard, il intègre l’établissement marseillais Le Charles Livon et exerce comme second de Christian Ernst. Avec son expérience et ses talents, il est temps pour le chef de voler de ses propres ailes. En 2010, il investit le Forum des Cardeurs et concrétise un rêve : l’ouverture de son restaurant aux allures de bistrot chic, devenu rapidement l’une des références les plus citées de la ville. L’intérieur propose un cadre agréable et cosy ponctué par une décoration raffinée. Les toiles d’artistes ornant les murs et les tables en bois donnent tout son cachet à la salle. Le personnel est sympathique et Laura Aillaud, la maitresse des lieux, garantit un bon acceuil et service. Elle pourra notamment vous conseiller sur les choix des vins car il faut savoir que l'établissement possède une centaine de références variant régulièrement. Des vins de vignerons oeuvrant dans le respect du terroir et de leur écosystème ont été spécialement sélectionnés. Une cuisine de saisonEcrite à l’ardoise, la carte est évolutive et change toutes les semaines. Elle est élaborée suivant la saisonnalité, la qualité et la fraîcheur des produits mais surtout, en fonction de l’inspiration et de l’humeur du chef. Pour flatter les papilles, il n’hésite pas à plonger dans ses livres de cuisine qui lui soufflent les idées les plus originales. Chaque jour, trois entrées, trois plats et trois desserts sont proposés, de quoi satisfaire toutes les envies.Des plats signatures ? Oui. En été, les aixois investissent la belle terrasse de l’Epicurien qui se prolonge dans la rue pour venir déguster les fameux fleurs de courgette qui font la réputation du chef. Il lui arrive même d’organiser des ateliers où il partage tous les secrets de préparation de cette spécialité provençale. En tempura, vapeurs ou farcies, les fleurs de courgette se déclinent en de multiples saveurs. A ce titre, si vous souhaitez participer aux cours de cuisine du chef, il est temps de d’ores et déjà vous renseigner. Mais vous pourrez aussi faire appel à ses services pour animer vos événements (anniversaire, séminaire d’entreprise, enterrement de vie de jeune fille…) dans le cadre d’ateliers privés. ...
S’il fallait remonter aux origines de la famille, cela nous ramènerait jusqu’en 1605, à l’époque d’un certain Jaume Fabre. Tour à tour, ses descendants ont perpétué son œuvre jusqu’à faire briller le patronyme familial dans le paysage viticole languedocien et par-dessus les frontières. L’immense patrimoine est aujourd’hui composé de cinq domaines dont Château Fabre Gasparets de Boutenac, berceau historique de la maison. Aux origines d’un Cru Boutenac Situé dans le Massif du Pinada, le secteur du Boutenac s’inscrit comme l’un des plus beaux terroirs des Corbières. Suite à une politique de hiérarchisation, cette zone géographique a obtenu officiellement l’autorisation d’opérer en tant qu’appellation à part entière. Une victoire pour Louis Fabre et sa sœur Marie qui se sont consacrés pendant plusieurs années aux côtés de nombreux autres vignerons à faire reconnaître le Cru Boutenac. Pour les Fabre, cette terre s’étendant du Massif des Corbières jusqu’au Massif des Pyrénées est digne d’un tableau de maître. Les vignes entourées de pinèdes et de garrigues avec des collines comme toile de fond proposent un paysage envoûtant, à l’image des vins qui y sont produits. De grands vins concentrés, symboles d’excellence Sur ces sols composés de grès de Boutenac et de galets roulés, le carignan est travaillé selon des pratiques culturales qui promeuvent l’équilibre entre les vignes et l’environnement. Transporté par les fameux « wagonnets », il arrive au chai sans éraflure et peut se dévoiler dans sa plus belle expression. Le Château Fabre Gasparets propose deux cuvées : une éponyme et l’autre intitulée La Serre,une cuvée parcellaire limitée à 3000 bouteilles par an. Ambassadeurs du savoir-faire séculaire, ces deux vins sont produits d’une façon relativement spécifique car le carignan qui est à la base un cépage tannique et puissant n’est pas élevé dans des barriques, mais plutôt dans des jarres de 150 litres en argile et en forme d’œuf. Après un assemblage avec la syrah et le mourvèdre et un élevage de 12 à 15 mois, les Crus obtenus s’illustrent pour leur raffinement et la subtilité de leurs arômes. ...
Ils sont de plus en plus nombreux à emprunter le fameux pont reliant l’île au continent pour venir implanter leur entreprise et y vivre. Avec plus de 21 800 habitants à l’année (plus de 200 000 en haute saison) et 2 600 entreprises, la deuxième île de France métropolitaine, la plus méridionale de l’arc atlantique, concilie durablement qualité de vie et dynamique économique. C’est le fruit d’une politique conduite de longue date par la Communauté de communes conjuguant actions liées à la préservation de son patrimoine naturel et à l’attractivité économique, avec comme ambition, aujourd’hui, de faire émerger de nouveaux projets liés aux téléactivités et favoriser la création d’entreprises issues de l’économie numérique. Une île où il fait bon vivre et travailler à l’année Une île 100% nature, dont 84% de sa surface est classée, qui décline une large palette de loisirs tournés vers la mer et offre un cadre de vie confortable pour la vie quotidienne des familles. Un territoire tout aussi soucieux de préserver la richesse des savoir-faire et la diversité de son tissu économique, soutenant ses filières phares, à l’instar de son industrie nautique présente depuis plus de 60 ans et aujourd’hui considérée comme l’une des meilleures références françaises voire européennes sur le segment de marché «pêche et croisière 5 à 10 m ». Une île fière de ses activités traditionnelles Ostréiculture, pêche et agriculture portent haut et fort la notoriété des productions de l’île d’Oléron. Marennes-Oléron, 1er bassin ostréicole d’Europe, a obtenu pour ses huîtres une IGP et deux Label Rouge. Le port de La Cotinière se classe au 8e rang des ports de pêche français avec un CA de 26 M€ en 2014. Sans oublier l’agriculture et le groupement de producteurs locaux « Marennes-Oléron Produits Saveurs » qui œuvrent pour la qualité des produits agricoles ou encore, le « Vignoble de l’île d’Oléron » qui a obtenu le label oenotouristique national Vignobles & Découvertes. Une île durable par excellence Dès 2010, la CdC s’est dotée d’un Agenda 21 plaçant, dès lors, l’île comme site pilote en termes de développement durable. Récemment lauréate de l’appel à projets «Territoires à énergie positive pour la croissance verte» du ministère de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie, Oléron s’impose comme un territoire de l’excellence environnementale doté d’un programme d’actions global : réduction de la consommation d’énergie dans les bâtiments, gestion durable des déchets, développement des énergies renouvelables, préservation de la biodiversité… ...
Un réseau wifi privé, sécurisé et accessible partout Que ce soit pour faire fonctionner ses applications, regarder ses séries préférées sur son smartphone, son portable ou sa tablette tactile, lire et envoyer des e-mails, surfer sur le Web, ou encore communiquer sur les réseaux sociaux, avoir la garantie que l’on pourra se connecter à Internet sur son lieu de vacances est devenu une préoccupation essentielle lorsque l’on voyage. Force est pourtant de constater que trouver une connexion wifi peut se révéler un parcours semé d’embûches : bornes wifi en libre accès dont la sécurité laisse à désirer, qualité inégale du réseau… Et si les frais d’itinérance ont été supprimés au sein de l’Union européenne, dans le reste du monde, ils peuvent gonfler considérablement votre facture ! No stress, la solution à tous ces problèmes se présente sous la forme d’un petit boîtier. Travel Wifi, une start-up fondée en 2014 propose, en effet, à ses clients de louer – à partir de 3 € par jour – un modem XXL (il tient dans la poche) capable de capter la 4G environnante pour la convertir en un réseau wifi privé, totalement sécurisé et accessible dans 120 pays, 24 heures sur 24. Quasiment illimitée, la connexion peut même être partagée simultanément entre dix utilisateurs. Une solution nomade, facile d’utilisation et modulable Chacun voyageant différemment, c’est à vous d’opter pour l’offre la mieux adaptée à vos besoins. Lire et envoyer des e-mails consomment, par exemple, moins de data que de regarder des vidéos en streaming ou de télécharger des applications sur votre smartphone. Travel Wifi propose ainsi une enveloppe "data" allant de 500 Mb à 3 Gb par jour. Après avoir effectué votre réservation en ligne, vous pouvez récupérer votre box de poche directement chez Travel Wifi, dans le IIIe arrondissement, à Paris (même qu’ils vous offriront le café !). Mais vous avez également la possibilité de vous faire livrer (hôtels, locations de vacances, points "Information Tourisme" des aéroports parisiens, points de retrait, etc.). À l’expiration de la location, vous n’aurez qu’à retourner le boîtier en le plaçant dans l’enveloppe prépayée que l’on vous aura remise. Une clientèle en pleine évolution La majorité des clients de Travel Wifi sont des touristes (souvent américains ou asiatiques) qui passent leurs vacances en France. Pour autant, Léopold Goraguer, l’un des cofondateurs (aux côtés de Jonathan Justman, Benoît Marie et Vincent Rebus) constate que « de plus en plus d’Européens font désormais appel à leurs services et souscrivent l’offre ‘’monde’’ pour rester connectés lorsqu’ils voyagent hors des frontières de l’Union européenne ». ...
Environ 90% des personnes de plus de 65 ans prennent des médicaments de façon régulière. Le taux d’observance est d’environ 50%. Pour tous ces patients avec 5 médicaments ou plus, Medissimo a créé medipac, son pilulier sécurisé, pour sécuriser la prise des médicaments. Les premiers résultats ont montré que le taux d’observance atteignait 98%, dès le premier mois. Le quotidien d’un patient chronique Jeanne, une personne de 77 ans, en affection longue durée (ALD), prend 6 médicaments par jour sur 4 prises. Sa fille Claire, lui fait ses piluliers en plastique quand elle passe. Mais cette solution est imparfaite et risquée : Chronophage, outre la préparation, il faut aussi assurer le nettoyage quotidien et il n’est pas rare que les médicaments tombent, provoquant ni une bonne hygiène ni le respect du traitement. Elle craint aussi de se tromper en les préparant, ce qui pourrait avoir de graves conséquences pour sa mère. Lorsque sa fille découvre le pilulier medipac, tout change. Elle lui achète chaque trimestre sur internet son set de 12 piluliers pour ses 3 mois de traitement. Au début elle le préparait elle-même, puis elle a décidé de confier cette mission importante à son pharmacien, s’assurant de la bonne préparation des piluliers. Ainsi les médicaments sont bien enfermés dans le pilulier. Grâce à l’application mobile, Claire enregistre l’observance de sa mère quand elle passe. Elle enregistre aussi ses problèmes de tolérance. Et elle peut envoyer le rapport d’observance au pharmacien. Entre deux visites elle s’inquiète moins, elle peut également les espacer. Quant à son pharmacien, il peut suivre l’observance de sa patiente et son médecin peut éventuellement ajuster sa prescription. ...
Niché au coeur du pays des vignerons, la Table du Donjon vous accueille dans un cadre chaleureux contemporain. Les deux chefs de l'établissement, Jean Marc NABET et Mathieu MOUCHET rivalisent d'ingéniosité pour vous servir des plats d'exception. Du vrai « fait maison » La Table du Donjon, c'est la promesse d'une escapade gastronomique au beau milieu des vignes et du patrimoine architectural unique du village. Appréciez les plats privilégiant les produits locaux sur la terrasse, donnant sur les envoûtants Monts du Beaujolais des Pierres Dorées, ou dans l'une des deux salles joliment décorées, à la présentation soignée. Au menu ou à la carte, goûtez au nombreux délices alliant créativité et saveur du terroir, à l'instar des profiteroles de caille farcie au foie gras de canard fait maison, que vous accompagnerez d'un succulent dessert et d'un Brouilly de la Maison viticole Jérôme Mathon. Apiculteurs, vignerons et maraîchers locaux sont mis à l'honneur dans des plats raffinés représentant les authentiques succulences de la région. De la bonne cuisine au pays du bon vin Faites-vous plaisir à l'occasion d'un détour gourmand à la Table du Donjon. Au menu : délices du palais, convivialité et instants intimes ou en famille. Le restaurant propose notamment un éventail de choix en matière de vins, établis sur deux cartes. Présentant des cuvées issues de tout le pays,l'enseigne priorise, entre autres les vins locaux. Riche et fier de ce patrimoine, l'établissement affiche dans sa cave plus de 360 références. ...
Sous l’impulsion de son directeur général Joël Julien, élu meilleur manager de l’année en Languedoc Roussillon, la cave est actuellement une référence mondiale en vins de Beauvignac, avec près de 20 millions d'euros de chiffre d’affaires annuel. Des appellations de renom Sur les 1800 hectares de vignoble, 450 sont classés en AOP Picpoul de Pinet. « Il s’agit de l’appellation emblématique de la coopération, celle qui a permis d’acquérir une notoriété reconnue dans le monde », explique Joyce Arends, responsable caveaux et marketing. Ces vins, élevés sur des terres en arc de cercle ensoleillées et argilocalcaires nommées Costières, s’apprécient pour leur fraîcheur, leur vivacité et leurs arômes fruités de pamplemousse et de citron vert. Outre cette fameuse appellation, le vignoble en compte d’autres tout aussi prestigieuses, comme l’AOP Languedoc, l’IGP Pays d’Oc ou encore l’IGP Côtes de Thau. Parmi la large palette de grands vins blancs, rouges et rosés que propose la coopérative, on retrouve la cuvée exceptionnelle Chardonnay Beauvignac ou encore l’incontournable cuvée Prestige Cabernet Sauvignon, les deux médaillées d’Or lors du concours général agricole de Paris 2016. Avec sa robe jaune pâle aux reflets vifs, la cuvée Beauvignac AOP Picpoul de Pinet (médaille d’argent) offre un équilibre harmonieux entre fruité et vivacité et se déguste avec les huîtres de Bouzigues. De nombreuses animations œnotouristiques Au sein de la cave, une initiation à la dégustation sous la houlette d’un sommelier est proposée afin de découvrir les saveurs et arômes subtils des vins de Beauvignac. Les visiteurs peuvent également partir à la découverte du savoir-faire Beauvignac à travers des visites complètes allant de la vinification jusqu’à la mise en bouteille finale. Des escapades gourmandes en catamaran ou bien encore des balades sur le terroir avec en prime une initiation aux plantes aromatiques dirigée par l’herboriste Corinne Fabre complètent l’apprentissage sur l’univers des vins et affinent les connaissances sur la biodiversité. ...
Convaincue que la culture participe à une plus belle compréhension du monde, sa fondatrice d’origine russe, Darya Brient, imagine ce lieu d’amitié entre les peuples comme un facilitateur de dialogue et d’échanges. Elle incite donc les badauds curieux à découvrir des artistes méritant d’être médiatisés en France, provenant généralement de Russie et des pays de l’Est, mais sans s’y limiter, allant ainsi jusqu’au pays occidentaux.. Un autre regard sur les pays de l’Est Souvent considérés comme inaccessibles, les pays de l’Est dévoilent ici quelques visions intimes perçues de l’intérieur. En découvrant les œuvres exposées, le public est invité à partager les regards singuliers et résolument contemporains des artistes sur le monde. Peintres, graphistes, photographes, de notoriété internationale ou promis à elle, accrochent aux murs des univers pleins, solaires ou mélancoliques. Car si l’Ouest se raconte avec des mots, l’Est se confie en images. Un sens profond de la métaphore témoigne d’une intense vie artistique, oscillant entre quotidien et poésie, réalisme et résilience. Des langages sans concession s’inventent, dépassent les murs et les frontières. Des célébrités et des nouveaux talents La programmation de la Galerie de l’Est affectionne les pépites et favorise les artistes contemporains qui ont choisi de vivre de leur passion. Darya Brient parle avec ferveur de ces « fouilleurs d’âmes » en quête perpétuelle de profondeur. Alexei Lantsev,,peintre originaire du sud de la Russie, aux toiles heureuses, traverse avec simplicité les territoires où la vie est reine. Ses empreintes aux couleurs éclatantes précèdent aux aquarelles abstraites et en relief de l’artiste Polina Egorushkina qui dépeignent l’ensemble des entités du paysage. La galeriste expose aussi les photographies mystérieuses du photographe Stephane Spach, qui puise son inspiration dans une nature mélancolique - ainsi que dans l’infiniment subtil, tout comme les sculptures organiques en porcelaine de Daria Surovtseva. Prochainement, ce lieu proposera de découvrir l’univers évaporé, méditatif et puissant d’Evgeniya Buravleva. Exposées dans plusieurs pays du monde, ces célébrités partagent les murs avec de nouvelles figures non moins remarquables. Des diamants bruts dont le talent n’attend que de croiser notre regard. À titre d’exemple, “Fragile” – l’une des dernières expositions de la galerie – présente la photographe polonaise Laura Makabresku, une artiste imprégnée d’une dimension onirique et spirituelle singulière, inspirée par la nature humaines et ses relations. Une adresse précieuse Conçue dans un esprit de partage, la Galerie de l’Est est une adresse précieuse où il fait bon de laisser vagabonder les yeux. Ses portes sont grandes ouvertes aux échanges et à la rencontre. Le public de Compiègne ou d’ailleurs peut y entrer librement, discuter avec la maitresse des lieux et remplir son sac d’émotions tenaces et impalpables. Pour la galeriste, « l’art est un art de vivre ». Et elle le sait : voir et savoir sont deux intentions essentielles pour faire connaissance. Un rendez-vous multiculturel à saisir absolument et à savourer longtemps. ...
Verzenay, avec ses 1 000 habitants, se trouve dans la Grande montagne de Reims. Réputé pour ses vignes qui dominent les terres à perte de vue, le village compte environ 410 hectares de vignobles pour une surface totale de 1 062 hectares. Son encépagement comprend 86 % de pinot noir, 14 % de chardonnay et 0.6 % de meunier, avec une classification 100 % Grand cru. Son climat fait une de ses particularités, puisqu’il jouit d’un climat dit « océanique dégradé ». Son terroir quant à lui repose sur un sol argilo-calcaire et de la coccolite (craie). C’est sur cette terre bénie par la nature que la famille Vignon produit ses champagnes dans le respect des traditions. Grâce à un savoir-faire ancestral et une grande passion pour le champagne de terroir, la maison Vignon fait partie des plus respectées dans sa région. Ses cinq hectares de vignes permettent la production de 15 000 à 18 000 bouteilles, dont 30 % est vouée à l’exportation (Allemagne, Japon, Angleterre, Italie, Costa Rica, Espagne, Belgique). Sur ce terroir, Stéphane Vignon prône « le respect au maximum de la nature ». Animé par l’amour de la terre et dans un souci de préserver l’environnement, le vigneron y pratique une viticulture raisonnée, d'ailleurs, le vignoble est en conversion pour obtenir l'HVE (Haute Valeur Environnementale). Des champagnes élaborés avec passion et amour La maison Vignon fait partie des producteurs à user de la technique de vinification parcellaire, dont 65% est travaillée en fûts issus de chênes des forêts de Verzenay. L’élevage en fûts se fait dans un nouveau cellier inauguré en 2006. Les vins quant à eux vieillissent dans une cave voûtée du 19e siècle. Un autre aspect important, les cuvées sont non filtrées, non collées, sur lies, dosées en extra-brut et la chaptalisation n'est pas recherchée. Des champagnes riches en goût et en saveur prennent ainsi vie au sein du domaine, à l’exemple du Vignon les Marquises Rosé (2012) élaboré à partir d'une seule vigne de 1965 et avec lequel la maison a gagné le Concours des Jeunes Talents du Champagne. Laissez-vous également charmer par la cuvée Vignon la Réserve des Marquises (2013), issue de sélection parcellaire de vieilles vignes de plus de 40 ans des terroirs Grand Cru de Verzy et Verzenay. ...
Lancé il y a deux ans par Éric Galula Perez, le concept a depuis cartonné et rencontre aujourd’hui un succès incontestable auprès des particuliers, des entreprises, mais aussi des stars du showbiz. Que du beau monde ! Un style décalé mis au goût du jour Ayant pris ses quartiers dans un endroit à la fois chic et discret, Loft Champs-Élysées dispose d’un espace de 85 m2 pour une capacité d’accueil d’environ 95 personnes. À l’intérieur, une association atypique entre style baroque et moderne attire d’emblée le regard. Une décoration inspirée de la fusion de deux époques. Plutôt plaisants, ces tableaux du XVIIe siècle au milieu des meubles design et contemporains ! De grandes baies vitrées pour laisser entrer plus de lumière, de petits espaces communicants non cloisonnés… on est bien dans l’esprit loft. L’espace dispose en plus de deux balcons pour jouir d’une vue imprenable sur la plus belle avenue du monde, un véritable must en son genre ! Le rendez-vous des stars En seulement quelques années, Loft Champs-Élysées s’est taillé une très bonne réputation auprès des stars et autres personnalités en vue. Cet espace unique en son genre a déjà accueilli du beau monde. Acteurs, chanteurs, personnalités de la télévision ! Autant de célébrités qui sont passées par le loft Champs-Élysées. Très récemment, l’univers de la haute couture a investi les lieux. Ainsi le temps d’une soirée, des créateurs de mode ont pu disposer du loft à leur guise. ...
Avec des menus changeant en fonction des produits du marché, Le Bistr’Eau Ryon propose des assiettes où les saveurs terre et mer se rencontrent. Dans un cadre bistronomique, le restaurant accueille ses clients pour leur servir les spécialités du chef qui varient selon les saisons. Une expérience affirmée dans le milieu Ayant à son compte 35 bonnes années d’expériences dans le domaine de la restauration, Alain Ryon puise son inspiration dans toute cette passion effrénée pour la cuisine. Originaire de la commune de Bressan, le chef est tombé très jeune dans la marmite. Déjà, enfant, il adorait passer du temps dans la cuisine familiale. Faisant ses débuts aux côtés du grand maitre Georges Blanc dès l’âge de 14 ans, Alain poursuit son chemin sur la Côte d’Azur avec Pierre Gleize et Roger Vergé pour s’initier à la cuisine provençale dont il tombera rapidement amoureux. Le chef cumule les expériences dans le feu de la passion et des découvertes. Ses efforts seront récompensés car il sera nommé plus jeune étoilé de France. Aujourd’hui, au sein du Bistr’Eau Ryon, il propose des plats raffinés et authentiques, reflétant ses origines et témoignant de la richesse de son parcours professionnel. Des saveurs marines s’alliant au goût des produits du terroir, soigneusement préparés et mijotés avec une véritable passion, voilà ce qui attend ceux qui viendront s’aventurer dans ce restaurant sis en lisière du beau sable blanc de la plage Saint Clair. Une carte terre mer Alain Ryon tombe littéralement amoureux de la fraicheur des produits qu’il trouve sur le marché. C’est la raison pour laquelle sa carte ne présente qu’une liste de plats assez restreinte. En effet, le chef préfère proposer le menu en fonction de ses trouvailles, pour ensuite inscrire les plats sur une petite ardoise. Quoi qu’il en soit, les suggestions du restaurant changent toutes les semaines. Comme proposition en entrée, le choix vacille entre un Tian de crabe et homard au guacamole de fèves, un Compressé de légumes au foie gras et un Tartare de thon et st-jacques. En plat de résistance, place aux poissons avec le Saint-Pierre portion rôti au fenouil sauvage & beurre blanc, le Risotto aux gambas sauvages ou le Dos de cabillaud sauvage cuit à la peau & rougail de tomates aux agrumes. Durant les mois de juillet et août, le Homard bleu sauvage entier aux tagliatelles & truffes de la Saint Jean fera voltiger les papilles des gourmets. Le restaurant n’oublie pas les amateurs de viandes et concocte un succulent Magret de canard rôti jus de miel et citrons ou encore une entrecôte race « Angus » poêlée et jus court. La carte se termine par un large choix de dessert exquis avec quelques classiques comme le fondant au chocolat ou la tarte au citron caramélisé. Le tout s’arrose d’une bonne bouteille de vin local, fourni par les petits producteurs de la région. ...
L’ensemble s’apparente à l’image que l’on peut avoir d’un campus américain. Telle était l’ambition qui a présidé à sa création en 1998, sous l’impulsion de l’Association française contre les myopathies (AFM-Téléthon), avec le soutien pérenne de l’État, de la Région Île-de-France et du Département de l’Essonne. Genopole, devenu GIP (groupement d’intérêt public) en 2002, compte à présent 82 entreprises de biotechnologies, 19 laboratoires académiques de recherche, 25 plates-formes technologiques mutualisées et 104 000 m² de parc immobilier. 2400 emplois directs y sont recensés. Un écosystème scientifique et technologique Comptant parmi les premiers bioclusters européens, Genopole réunit compétences et ressources pour favoriser la création d’entreprises spécialisées dans les sciences de la vie (santé, environnement, agro-alimentaire…) ainsi que la recherche en génomique au sein de laboratoires académiques sous tutelle de l’Inserm, du CNRS, du CEA…. Son écosystème scientifique et technologique contribue à l’effloraison d’innovations qui amélioreront demain nos conditions de vie, notre santé et notre environnement. Ses axes stratégiques vont vers le développement d’une médecine personnalisée, ciblée en fonction du profil génétique des patients, et celui de la biologie de synthèse pour une chimie verte et une industrie moins polluante. Genopole travaille en étroite collaboration avec l’université Évry Val-d’Essonne (UEVE, 15 000 étudiants), rattachée à l’université Paris-Saclay, pour développer de nouveaux enseignements dans les sciences de la vie : c’est ainsi qu’a été créé le premier master européen de biologie systémique et synthétique. Genopole s’adresse aussi au grand public pour vulgariser les avancées scientifiques dans le domaine génétique, au cours de Cafés du gène ou de la Fête de la science. Chercher, entreprendre, innover Genopole n’est pas seulement un campus où les entreprises et les laboratoires trouvent des locaux où s’installer. C’est aussi tout un dispositif d’accompagnement des acteurs de la recherche et de l’entrepreneuriat. Les chercheurs ou jeunes entrepreneurs souhaitant valoriser une innovation manquent souvent d’expérience dans le monde des affaires et de la création d’entreprise. A Genopole, ils peuvent compter sur une équipe de chargés d’affaires qui les conseillent sur les plans juridique, administratif, financier : business plan, benchmark concurrentiel, recrutement, protection de la propriété intellectuelle, affichage à l’international, communication, aide à la recherche de financements publics et privés ... Le label Genopole, accordé après expertise, apporte une crédibilité forte aux entrepreneurs face aux investisseurs. Depuis 1998, 166 sociétés ont pu s’appuyer sur ce label. Citons à titre d’exemples : Global Bioenergies, entreprise cotée a mis au point un procédé de conversion de ressources sucrières en isobutène, un dérivé du pétrole, pour la production de biocarburant et de biomatériaux. InnaVirVax développe un vaccin pour le traitement des infections causées par le VIH SIDA. Ynsect élève et transforme des insectes en huile et farine pour les marchés de la nutrition animale (animaux de compagnie et poissons d'élevage)… Créer des liens, insuffler l’esprit biocluster Un cluster n’a pas de raison d’être sans liens entre ses entités. Genopole invite régulièrement les chercheurs, les entrepreneurs, les étudiants à des colloques, ateliers et animations sur des thématiques business, scientifiques, technologiques… Ces temps de rencontres insufflent un sentiment d’appartenance au biocluster, permet des échanges d’informations et facilite les possibilités de collaborations. Pour les chercheurs, des actions très ciblées sont mises en place, comme les « Atige », allocation postdoctorale visant à favoriser le retour des chercheurs effectuant des stages à l’étranger après ...
Créé en décembre 2005, Quantum Genomics est une société de biotechnologie cotée en Bourse et 100 % française. L’entreprise se spécialise dans le développement de médicaments pour le traitement de l’hypertension artérielle résistante et l’insuffisance cardiaque. Deux maladies qui constituent les premières causes de mortalité dans le monde. L’enjeu est donc de taille puisque, aujourd’hui, 1 personne sur 3 est atteinte d’hypertension artérielle, tandis que 23 millions d’individus sont touchés chaque année d’insuffisance cardiaque. « 50 % des patients diagnostiqués insuffisants cardiaques décèdent dans les 5 ans », explique Anaïs Dulord, responsable de la communication. Sauver la vie de ces millions de personnes, telle est la vocation première de Quantum Genomics. Le firibastat, un médicament très prometteur Issu de 20 années de recherche, le firibastat est le tout premier médicament qui agit au niveau du cerveau afin de traiter l’insuffisance cardiaque et l’hypertension artérielle. « Nous sommes les seuls à avoir développé une nouvelle classe de molécule appelée BAPAI ou Brain Aminopeptidase A Inhibitor, un inhibiteur de l’aminopeptidase A. » Une fois absorbée, cette molécule libère le principe actif qui inhibe de manière sélective l’aminopeptidase A, empêchant ainsi la transformation de l’angiotensine II en angiotensine III. La normalisation de l’activité de l’aminopeptidase A va entrainer une normalisation de la pression artérielle et une amélioration de la fonction cardiaque. Une des innovations apportées par le BAPAI réside dans son triple mécanisme d’action permettant d’agir en monothérapie simultanément sur les reins, le cœur et les vaisseaux. Des études en cours Au niveau de l’hypertension artérielle, l’étude de phase IIb NEW-HOPE a été une réussite. En effet, les résultats obtenus ont été excellents en termes d’efficacité aussi bien qu’en termes de tolérance. Forte de ce succès, la société va maintenant initier une étude de phase III et prévoit le recrutement de 600 patients. En ce qui concerne l’insuffisance cardiaque, Quantum Genomics a débuté une étude de phase IIb appelée QUORUM et destinée à établir une véritable preuve de concept. ...
Deux étoiles au guide Michelin, ce restaurant perché au plein cœur du vignoble suisse est une adresse de référence internationale pour les gastronomes depuis près de trente ans. Travailler dur pour réaliser son rêve. C’est l’histoire du chef genevois Philippe Chevrier, qui anime les fourneaux de ce charmant site champêtre situé à Satigny, une des plus grande commune viticole suisse. Un chef qui prône la simplicité A sept ans, Philippe Chevrier le savait déjà : il sera un jour cuisinier. Bosseur né, adolescent, il entre par la petite porte, en commençant par la plonge et en enchaînant avec des stages en boulangerie et en confiserie/pâtisserie. Quelques années plus tard, il devient l’élève des cuisiniers renommés Louis Outhier et Frédy Girardet. A 29 ans, il devient propriétaire du magnifique domaine de Châteauvieux. C’est dans sa première maison qu’il affirme ses talents culinaires. Aujourd’hui, cet alchimiste des produits du terroir est multi-restaurateur et fourmille d’idées pour créer de nouveaux concepts. Et Châteauvieux reste sa plus belle réussite. Avec son 19/20 Gault&Millau, ses deux macarons Michelin, membre de Relais&Châteaux, des Grandes Tables du Monde et des Grandes Tables de Suisse, le château cumule les titres prestigieux. Il est devenu un emblème de la gastronomie suisse autant qu’un lieu d’évasion couru, puisqu'on peut aussi séjourner dans cette magnifique bâtisse datant du XVI ième siècle. Produits de qualité et amour des saisons Accompagné du talentueux Damien Coche, Philippe Chevrier y concote une cuisine généreuse et cultive un amour inconditionnel de la convivialité. A Châteauvieux, ce sont ne sont pas les effets de mode, mais les saisons et leur temporalité naturelle qui sont au cœur de l’art culinaire. Dans cette ancienne ferme vigneronne superbement rénovée, le cadre fait la part belle à la chaleur des matériaux simples comme les pierres et poutres apparentes. L’écrin est rustique mais cosy et chic. Les tables blanches nappées et espacées, le bois, la cheminée : tout est là pour appeler à la détente et la sérénité. La terrasse, espace privilégié a la belle saison, offre une vue imprenable sur les vignes et le Rhône. Le jardin des plantes et le potager sont un véritable vivier d’inspiration avec les aromates, plantes, fruits et légumes de saison. Sous les couteaux des chefs, sont travaillés des produits de qualité pour révéler les arômes et les saveurs de matières généreuses. Viandes et volailles, poissons et crustacés sont à l’honneur des formules. Les menus subliment des aliments nobles comme le homard, le bœuf suisse des Alpages ou encore la truffe noire en hiver. On retient à la carte, la truffe noire de la Drôme cuite entière en chausson au foie gras, l’aile de raie bouclée poêlée a la farine de châtaigne ou encore le cœur de filet et petits farcis de bœuf des alpages suisse. En salle, c’est Esteban Valle qui met en scène les desserts avec des flambages et des découpages dont il a une parfaite maîtrise .Proposant près de 800 crus, la carte des vins, elle, est à tomber. A Châteauvieux, le voyage est des plus savoureux, loin du tumulte de la ville et idéal pour une pause nature hautement gastronomique. Le must : On peut même fumer des cigares dans le "fumoir" du domaine en savourant la digestion dans un fauteuil en cuir. Une escale d’exception et une invitation au rêve pour tous les amoureux de la campagne, de la simplicité et du bien manger. ...
Le golf a en effet évolué au fil des années pour permettre aux amateurs de pratiquer leur sport favori. Comme les parcours qui se multiplient à travers toute la planète, les offres de services et de matériels autour du golf se diversifient également. Ces changements permettent aujourd’hui à d’autres classes sociales de s’initier au golf. Néanmoins, avant de se démocratiser, le golf est aussi passé par plusieurs étapes et transformations. Le golf du XVè siècle à aujourd’hui Le golf tel que nous le connaissons actuellement est apparu à la fin du XVè siècle en Europe. Initié par Jacques IV, roi d’Ecosse à l’époque et repris notamment par Jacques Ier d’Angleterre, le golf devient une passion pour la noblesse et l’aristocratie, d’autant plus que les balles et les clubs étaient encore trop onéreux pour permettre à la classe moyenne de le pratiquer. Tombé dans l’oubli à la disparition des pionniers, le golf revient en force au XVIIIè siècle grâce aux francs-maçons. Ils étaient également des grands parieurs et passionnés de golf. Ils organisent les premiers tournois et compétitions puis ils établissent les premières règles. Les clubs organisés font leur apparition. Le golf se répand alors en Europe et arrive même au Canada. Aux Etats-Unis, le premier club de golf voit le jour en 1888. Après une victoire américaine au British Open en 1922, le sport se développe très vite sur le territoire ; les compétitions se tiennent même dans les universités. Puis, l’arrivée et les nombreuses victoires de Tiger Woods ont définitivement changé la vision du golf aux Etats-Unis. On le reconnaît comme une vraie discipline sportive et on en parle beaucoup dans les médias. La passion pour le golf arrive peu à peu aux autres continents, il devient même une véritable tradition dans certains pays du Moyen Orient. Le public s’intéresse ainsi de plus en plus au golf même s’il n’est pas gratuit et même s’il est encore peu connu par rapport aux autres sports. Qui peut jouer au golf ? Ce qui rend le golf si particulier, c’est que tout le monde peut le pratiquer. Mis à part les championnats où se confrontent les athlètes, il n’y a pas de conditions particulières pour pouvoir jouer. Quel que soit votre âge et votre niveau, vous pouvez toujours apprendre et jouer au golf. Il s’agit d’un sport de précision dont les bases peuvent être apprises assez rapidement. Si on a plus l’habitude de voir des hommes jouer au golf, la discipline est aussi ouverte aux dames ; d’ailleurs, il existe aujourd’hui plusieurs tournois dédiés au golf féminin. Les femmes ont en effet leurs propres championnats comme le Ladies European Tour, le Ladies Professional Golf Association Tour (LPGA) et les Open féminins. Aujourd’hui, les adolescents sont aussi intéressés par ce sport grâce à l’existence des jeux vidéo de golf et au palmarès des champions les plus connus. Autrement dit, tous les passionnés de golf peuvent en jouer. Cependant, seules la pratique et la persévérance peuvent amener au professionnalisme ! Comment intégrer l’univers du golf ? S’il fallait faire partie d’un club pour pouvoir pratiquer le golf auparavant, ce n’est plus le cas aujourd’hui, en tous cas pour la plupart des parcours. En général, il suffit de payer un ticket d’entrée. La fabrication de matériels de golf étant déjà industrialisée, leurs coûts sont plus accessibles aujourd’hui. Néanmoins, il est indispensable de prendre des cours avant de jouer au golf. Bien qu’il existe aujourd’hui des nouvelles technologies qui facilitent l’apprentissage du golf, il est bien plus intéressant de l’apprendre sur de vrais terrains. Et pourquoi ne pas organiser des vacances de golf pour le faire ? Vous pouvez programmer à l’avance votre stage en approchant des spécialistes comme Parcours & Voyages. Vous aurez ainsi le privilège de découvrir de très belles destinations tout en pratiquant sur les meilleurs parcours. La plupart des clubs de golf proposent en effet des cours pour ceux qui veulent s’initier. ...
Après une rénovation salutaire, le restaurant La Casserole s’est taillé une place en or dans le cœur des gourmets d’Alsace. En parfait maitre d’hôtel, Cédric Kuster est aux petits soins avec ses convives pendant que Jean Roc, son chef, officie aux fourneaux. L’authentique qui ravit les yeux À La Casserole, le ton beige se marie harmonieusement avec les articles décoratifs qui ornent l’endroit pour former un écrin authentique, raffiné, contemporain et lumineux. Sublimée par des objets uniques signés par de talentueux artistes, la salle du restaurant est une véritable œuvre d’art à elle toute seule. Les murs sont estampillés par des créations de la Londonienne Helen Amy Murray. On aperçoit aussi de beaux services en cristal Baccarat, de l’argenterie Saint Louis, des tissus de la manufacture italienne Rubelli… Bref, un décor de haute voltige qui forme une heureuse harmonie avec une cuisine aussi raffinée que savoureuse. Une cuisine classique empreinte d’inspiration À vrai dire, Cédric Kuster ne se contente pas de recevoir dans un lieu à couper le souffle. De succulents mets qui en disent long sur les talents du chef Jean Roc sont également au rendez-vous dans son restaurant (avec le service qui va avec, bien sûr !). « On essaie de former une belle unité entre la cuisine que l’on propose et le décor », raconte Cédric. Les ingrédients, rythmés par les saisons et fournis en majeure partie par les producteurs locaux, sont retravaillés et combinés afin d’en faire des plats classiques teintés d’originalité. Plusieurs formules sont donc proposées : menus Déjeuner, Découverte, Bruits de casserole et Saveurs iodées (un menu qui prône uniquement les produits de la mer). En entrée, savourez le foie gras de canard de la ferme Schmidt avec son confit de chou rouge, panais mariné aux noisettes. Ensuite, le homard décliné en deux services témoigne de toute l’inventivité du chef. Le homard sera préparé de deux manières bien distinctes et servi en deux temps. Le croustillant au chocolat de Madagascar accompagné d’une glace au sésame noir garantira une fin gourmande à ce repas. Une cave à vins riche et variée En matière de vins, La Casserole dispose d’une carte digne des plus grands restaurants. Riche de 1 200 références, sa cave saura garantir un bel accord mets et vins. Grandes appellations et producteurs issus de toutes les régions de France sont à l’honneur : le Muscat Les 3 Demoiselles de Mélanie Pfister représente l’Alsace, le Chassagne-Montrachet « Grandes Ruchottes » de Bernard Moreau transporte en Bourgogne, les Châteaux L’Angelus 1983 pour la région bordelaise… ...
Aller vers l’autre, conjuguer les atouts pour aller plus loin tout en respectant un terroir aimé : c’est un peu le mantra qui fait avancer les hommes et les femmes de ce domaine authentique. Une histoire de rencontre et de valeurs partagées La famille de Jean-Christophe Dumas – cultivateurs et récolteurs de vignes – est implantée dans le piémont cévenol depuis plus de 5 générations. En 2017, le domaine de la Vaillère en association avec Sébastien Plagne, un jeune visionnaire passionné de vinification et d’œnologie se lance dans l’élaboration d’une gamme de vins plus complexes. Depuis, dans le chai, une petite équipe passionnée s’est formée, récoltant Cinsault, Grenache, Carignan, Cabernet, ou encore Chardonnay pour produire des vins fruités et imaginer de délicats assemblages. Dans les caves du domaine… Lorsqu’elle travaille sa vigne, la maison privilégie la recherche perpétuelle de la qualité, à travers la rigueur et l’innovation. L’alignement des pratiques aux exigences des labels illustre également son engagement pour l’environnement. « Depuis le début de l’année, on est en Terra Vitis », précise J.-C. Dumas. L’adaptation des étapes de l’élevage pour aboutir à la réduction des sulfites, voire leur suppression, révèle un savoir-faire minutieux et la volonté de s’engager dans le développement durable. Le rouge-merlot Obstiné 2018 et le blanc Chardonnay 2019 sont les premiers symboles de cette démarche. Les procédures de certification bio sont en cours depuis le 1er août. Si le maître des lieux évoque son domaine avec une certaine modestie, quelques-uns de ses vins ont déjà été récompensés. C’est le cas de Grand Pré, cuvées 2018, 2019, un rouge grenache-syrah-carignan, caressant et harmonieux en bouche et deux fois médaillés d’or au concours général agricole de 2019 puis 2020. La cave du domaine recèle d’autres pépites comme Gabriel, également médaillé d’or en 2018 et 2019 et Viognier - 2 étoiles au guide Hachette des vins. Mais le coup de cœur de Jean-Christophe Dumas va à un certain Futé, un vin vinifié avec 100% de Carignan qui a fait un bref passage en fût. Un cépage qui était largement répandu en Languedoc et qui de nos jours se fait beaucoup plus rare. Les références de vins du domaine de la Vaillère se retrouvent sur les bonnes tables de la région. ...
Une maladie est qualifiée de « rare » si son apparition au sein de la population est moins d’un cas sur 2 000. Les maladies rares sont dans la plupart du temps d’origine génétique. On compte aujourd’hui environ 8 000 maladies rares dont fait partie le syndrome de Rett, l'ostéogenèse imparfaite ou encore la neurofibromatose. L’inexistence de traitement curatif pose actuellement un problème majeur en ce qui concerne une grande partie de ces maladies. Les MDPH : interlocuteur privilégié des personnes en situation de handicap Les MDPH (maison départementale des personnes handicapées) ont été mis en place dans chaque département pour accueillir, informer, orienter et accompagner les personnes handicapées. Selon la loi n° 2005-102 du 11 février 2005, la MDPH doit « offrir un accès unique aux droits et prestations, à toutes les possibilités d’appui dans l’accès à la formation et à l’emploi, et à l’orientation vers des établissements et services, ainsi que faciliter les démarches des personnes handicapées et de leur famille ». Parmi ses principales missions, la MDPH procède à la création d’une équipe pluridisciplinaire en vue d’étudier chaque cas, de cerner les besoins de la personne et de proposer des solutions à travers un plan personnalisé de compensation (PPC). Les aides financières qui sont du ressort de la MDPH L’AAH, ou allocation aux adultes handicapés, est octroyée d’une part aux personnes ayant un taux d’incapacité égal à 80 % sur une période de un à cinq ans (voire plus) et, d’autre part, aux personnes qui présentent un taux d’incapacité supérieur ou égal à 50 % mais inférieur à 80 %. Ensuite, l’AEEH, ou allocation d’éducation de l’enfant handicapé, est accordée aux personnes résidant sur le territoire français et qui ont un enfant en situation de handicap de moins de vingt ans. La prestation de compensation du handicap (PCH) Les personnes en situation de handicap peuvent bénéficier d’un certain nombre d’aides. À commencer par la prestation de compensation du handicap (PCH). Il s’agit d’une aide financière octroyée par le département pour compenser les besoins liés à la perte d’autonomie. Elle s’adresse aux personnes âgées jusqu’à 60 ans et résidant en France mais également aux enfants qui perçoivent l’AEEH (allocation d’éducation de l’enfant handicapé, attribuable jusqu’à 20 ans). La PCH peut concerner différents besoins. L’« aide humaine » par exemple permet au malade de bénéficier de l’assistance d’une tierce personne dans ses activités quotidiennes telles que l’habillage, la toilette, les déplacements... L’« aide technique » peut être délivrée pour permettre l’acquisition ou la location d’équipement destiné à pallier une limitation d’activité liée à un handicap. La PCH peut financer aussi, si besoin est, l’aménagement du logement et du véhicule. Cela dans le but d’améliorer l’autonomie de l’individu tout en facilitant par la même occasion le travail des aidants. L’« aide animalière » ainsi que les charges spécifiques ou exceptionnelles figurent également parmi les éléments de la PCH. ...