Les professionnels, spécialistes du vin ou ayant un intérêt en relation avec les crus, se donneront rendez-vous du 12 au 14 février 2018 pour une 2ème édition de VinoVision Paris. Cet événement né à l’initiative des interprofessions des Vins du Val de Loire, du Centre-Loire, de Bourgogne, du Beaujolais, d’Alsace et du Syndicat Général des Vignerons de la Champagne et organisé par Comexposium se tiendra Porte de Versailles pour rendre un nouvel hommage aux vins septentrionaux. Et par la même occasion, aux terroirs qui bercent leur création sous le signe de la diversité. Une place de marché pour des vins singuliers VinoVision Paris n’est pas un salon comme les autres. Il ambitionne d’être une plateforme de référence, un haut lieu de rencontre entre les négociants, vignerons et producteurs qui nourrissent un intérêt partagé pour les vins du nord. Ces crus développés à partir des vignobles du Val de Loire et de la Savoie, du Jura et de Bourgogne. L’Alsace, la Champagne et le Beaujolais se feront également porte-fanions de ces terroirs septentrionaux pour défendre les honneurs de leurs crus réputés vivaces et frais. Objectif de sortie : changer le regard porté sur les Mondeuse, Gamay, Gewurztraminer et autres Cabernet Franc élevés sous climats froids. Un salon international à taille humaine Privilégier le contact et les opportunités d’échanges entre les participants est au centre des préoccupations, côté organisateur. Pour répondre à la gageure, des conférences et des Masterclass se succèderont sur les trois jours de l’événement. Les intervenants compteront notamment le Syndicat des cavistes professionnels, la Winetech et l’Union de la Sommellerie Française. Les vins septentrionaux seront abordés par leur singularité, durant les Masterclass, à travers des thèmes variés. Entre autres, on discutera : facettes du Cabernet Franc, terroirs d’Alsace - avec un clin d’œil au Riesling – et vignobles de Bourgogne sous l’angle de leurs climats. La « Tasting Avenue », de son côté, ouvrira aux participants les portes d’une expérience intime des spécificités des vins à l’honneur. Les effervescents et les champagnes d’un côté, les vins tranquilles de l’autre, deux zones de libre dégustation sont prévues. Un site Internet mobile dédié sera accessible pour les aspects techniques et les poursuites des échanges pendant et au-delà du salon. Carrefour de visions partagées Les futurs participants attendus à la prochaine édition de l’événement partagent, en tout cas, l’idée d’un VinoVision Paris qui met les demandes en face d’offres à leur taille. Les producteurs sont effectivement assurés que les vins septentrionaux remplissent, par bien des manières, les souhaits des œnophiles. Authenticité, accessibilité, variété, modernité sont autant de critères qui définissent les tendances d’achat actuelles. Les différents crus présentés par chaque région sont à même de satisfaire à ces conditions. En matière d’expansion professionnelle, le salon offre naturellement aux exposants des opportunités de convaincre, et peut-être de conclure, avec des prospects internationaux. Sans manquer d’encourager les nouvelles affaires entre professionnels français. Pour ce nouveau cru, les dates ont été choisies exprès pour coïncider avec l’évènement des vins méditerranéens. En accueillant ses 500 exposants et 5000 visiteurs, VinoVision Paris ambitionne de créer des synergies. En effet, en 2018 les salons Vinisud (le mondial des vins méditerranéens) et VinoVision Paris se rapprochent et organisent leurs événements conjointement, pour répondre encore mieux aux attentes des professionnels du vin en France et à l’international. Pendant 8 jours, le monde du vin vibrera en France au rythme successif de 3 événements (VinoVision Paris du 12 au 14 février, les rencontres d’affaires WWM du 14 au 17 février 2018 à Paris et Vinisud du 18 au 20 février à Montpellier). ...
Le PALM HOTEL & SPA dispose de trois restaurants qui, malgré leurs spécificités, présentent tous le même point commun : la promotion d’une cuisine authentique concoctée essentiellement à partir des produits locaux. Le MAKASSAR, table gastronomique Le restaurant MAKASSAR reçoit ses invités dans un décor empreint d’élégance et de convivialité. En cuisine, le chef Claude Pothin met à l’honneur les produits locaux et encense par l’occasion le terroir réunionnais. D’ailleurs, par souci de qualité, l’établissement respecte la charte « locavore » qui consiste à utiliser des produits récoltés, péchés ou élevés dans un périmètre de 150 km autour de PALM HOTEL & SPA. Papayes de Petite-Île, pigeon des Avirons, foie gras de la Plaine des Palmistes, herbes issus du potager de l’hôtel… en sont quelques exemples qui illustrent parfaitement cette démarche. Combiné au talent et savoir-faire du chef Claude Pothin, tout cela donne lieu à des créations naturelles et subtiles aux saveurs surprenantes. Comme entrée, la maison suggère des « Camarons black tiger & tomate arbuste » s’enchaînant sur une délicieuse « Langouste rouge et sa déclinaison de légumes bio ». Enfin, il convient d’achever la découverte avec une pointe d’exotisme en dégustant un « Tantinet soufflé à l’ananas ». Pour les amateurs de découverte gustative, le chef a pensé à eux en leur réservant un menu « surprise ». Depuis 2009, chaque année (au mois de mars), le lieu est devenu le point de ralliement d’un événement de grande envergure dénommé le MAKASSAR FESTIVAL. L’occasion pour l’établissement d’accueillir de grands noms de la cuisine française et des vignerons provenant de diverses régions viticoles de l’hexagone et d’Afrique du Sud. Dégustation de vins, concours d’œnologie, gastronomie figurent au programme de cet évènement d’exception. En matière de vins, la maison peut se vanter de bénéficier d’une carte à la fois riche et éclectique. Un véritable trésor œnologique où se côtoient quelques 300 références de grands crus et petits producteurs. Le KAH et son concept original Dans un espace de 1200 m2, le KAH Beach & Restaurant associe détente et gourmandise. Cet espace repos faisant face à l’océan propose un hammam, un bain à remous, des transats et des lits à baldaquin. Un restaurant vient compléter ce concept unique de plage suspendue entre ciel et mer. Les pieds dans le sable, les convives peuvent déguster grillades, bagels avec des pains « faits maison », sandwichs et autres salades. Pour de purs moments de gourmandises, glaces, pâtisseries et smoothies les attendent l’après-midi. Le KOKOA, bar lounge Dans un style chic et décontracté, le KOKOA invite ses convives à déguster de délicieux cocktails. Chaque semaine, des animations sont proposées autour de la fabrication de rhum arrangé et des vins d’Afrique du Sud. Tous les dimanches soir, un rendez-vous lounge avec DJ et musique éléctro-jazz est au programme ! En hiver, le KOKOA offre un point d’observation idéal pour apprécier le passage des baleines dans la baie de Grand Anse. ...
À travers ses différents programmes et diplômes, Le Cordon Bleu offre des opportunités uniques et ouvre les portes pour des carrières en France ou à l’international. Une équipe pédagogique à la pointe Créé en 1895 par la fameuse journaliste culinaire Marthe Distel, Le Cordon Bleu est aujourd’hui un réseau qui réunit près de 40 écoles réparties dans 20 pays à travers le monde. Ce sont 20 000 étudiants de 100 nationalités différentes qui sont formés chaque année par Le Cordon Bleu. Cette prestigieuse école dispense deux types de formations : des formations et diplômes en Arts Culinaires (cuisine, pâtisserie, boulangerie) et des formations en Œnologie et des Bachelors en Management Hôtelier International et en Management des Arts Culinaires. « Ce sont des formations dispensées par des professionnels reconnus et de grands chefs aux parcours exceptionnels », nous précise l’équipe marketing. En effet, l’institut Le Cordon Bleu Paris peut se targuer d’avoir sous la main, le chef Éric Briffard, meilleur ouvrier de France, actuellement directeur des Arts Culinaires et chef exécutif de l’institut parisien. Avec ses 35 ans d’expérience dans l’univers de la gastronomie, Éric Briffard a été récompensé à plusieurs reprises notamment de 2 étoiles au guide Michelin lors de son passage à l’Hôtel Georges V. À ses côtés, œuvre une équipe de chefs enseignants en cuisine, pâtisserie et boulangerie. Quant aux formations en management ce sont des professionnels reconnus et hautement qualifiés du milieu de l’hôtellerie et de la restauration qui forment les étudiants à devenir les managers de demain dans les secteurs de l’Hôtellerie-Restauration Des formations de haut vol Le Cordon Bleu Paris propose aux étudiants quatre formations en Arts Culinaires : le Grand Diplôme, le Diplôme de Cuisine, le Diplôme de Pâtisserie et le Diplôme de Boulangerie. Le Grand Diplôme, d’une durée de neuf mois, regroupe le diplôme de Cuisine et de Pâtisserie Le Cordon Bleu, permettant aux étudiants d’acquérir toutes les techniques des grands maitres, entre tradition et innovation. Les cours en Arts Culinaires sont prodigués de manière bilingue (français et anglais) et structurés en deux parties : une démonstration durant laquelle les étudiants observent, prennent des notes et un cours pratique durant lequel ils appliquent et reproduisent les gestes du chef. Les diplômes en Arts Culinaires évoqués ci-dessus vont permettre aux étudiants de découvrir les techniques culinaires françaises. Des techniques qu’ils pourront mettre en pratique à l’issue de leur formation, lors de stages professionnels. Le Diplôme de Boulangerie s’étale sur une durée de six mois incluant un stage obligatoire de deux mois. Il forme notamment les étudiants aux techniques essentielles de la préparation du pain. Le Cordon Bleu Paris dispense également des formations en management applique dans les secteurs de l’hôtellerie, la restauration ou dans les métiers du vin. L’institut de Paris propose deux bachelors (bac +3) : le Bachelor en Management Hôtelier International et le Bachelor en Management des Arts Culinaires. Ces diplômes, d’une durée de 3 ans, ont pour objectif de former de futurs managers dans les métiers de l’hôtellerie et de la restauration. Pendant leur bachelor les étudiants réaliseront plusieurs stages en entreprise à Paris ou à l’international. Parmi les partenaires de l’institut : Hôtel de Crillon, Trianon Palace, Chef Michalak, The Peninsula Paris, Sofitel Dubaï, Four Season Los Angeles, Raffles Istanbul, Taj Mahal Palace Mumbai, The Nile Ritz-Carlton, etc., les etudiants auront l’opportunité de réaliser un certificat d’une durée de 3 mois au sein du réseau d’institut Le Cordon Bleu dans le monde. À compter d'octobre 2018, le Bachelor en Management Hôtelier International et le Bachelor en Management des Arts Culinaires seront dispensés en partenariat avec une université française de renom, l’Université Paris-Dauphine. A l'issue des 3 ans, les étudiants obtiendront donc un double diplôme, celui de « Talent en Management des Arts Cu...
Volupté, extase des sens et subtiles saveurs méditerranéennes se retrouvent dans chaque cuvée du terroir tropézien. Les vignes s’épanouissent sur une terre de gneiss métamorphique bénéficiant d’un ensoleillement idéal, et d’une légère brise marine conférant toute sa typicité au vin. Symbole de l’art de vivre à la tropézienne, cette cave figure parmi les plus grandes références dans le monde vinicole. Un terroir d’expression singulier Ce sont 180 hectares de vignobles perdus entre terre et mer, traités dans le respect de l’environnement, qui produisent un vin caractéristique rendant hommage à une terre bénie. Les particularités géologiques et climatologiques riches de ce terroir favorisent l’obtention de cuvées riches en saveurs, matures et complexes. « Ce vignoble au cœur du village de Saint-Tropez se veut [ainsi] être le fier représentant de l’identité tropézienne », nous confie Alain Guichet, directeur de la cave. Les vignobles de Saint-Tropez se font aujourd’hui les défenseurs zélés de cet héritage vinicole précieux. Chevalier Torpez : une ode au village Parmi les gammes emblématiques de la cave, la gamme provençale Chevalier Torpez fait fière figure d’ambassadrice de l’excellence vinicole tropézienne. Décliné en rosées, en domaines ou en bruts tradition, Chevalier Torpez est « un mélange d’histoire et de traditions », continue notre interlocuteur. En effet, en s’inspirant de l’histoire du chevalier Torpez, régisseur du temps de l’empereur romain Néron et élevé au rang de saint après être mort en martyr au nom de sa foi, l’origine de cette gamme ambassadrice est intimement liée à celle du village. Appréciez ainsi, lors de vos instants gourmands, les cuvées de cette gamme incluant le vin Château la Moutte, « produit dans un domaine ambassadeur de 4 hectares, dont le vignoble en coteaux, établi sur la pointe de Salin, fait face à la mer », reprend Alain. ...
Installé pas loin de la tour Eiffel, le restaurant Truffes folies accueille ses clients dans une ambiance feutrée, sobre et pleine de cachet. En amoureux ou en famille, ceux en quête de saveurs authentiques seront ravis de prendre place sur les tables de cet établissement de charme pour une (re) découverte des différentes déclinaisons de ce champignon de luxe. Une panoplie de combinaisons possibles… follement atypique ! En déployant des recettes revisitées, cet établissement parisien choisit la truffe comme produit de prédilection. Toujours considérée comme « une pépite d’or de la gastronomie », elle y est disponible en différentes variétés, de la truffe noire du Périgord considérée comme la reine des truffes et recherchée pour son goût marqué, en passant par la truffe blanche, plus douce, jusqu’à la truffe d’Italie au parfum très typé. La meilleure qualité est sélectionnée auprès de producteurs locaux afin d'offrir des plats aux saveurs intrigantes et envoûtantes. La carte vante différentes recettes, des associations peu communes, mais comme par magie, le goût est toujours rendez-vous. L’œuf cocotte aux truffes, le bon vieux risotto paré de ses pétales de truffes, et en dessert le tiramisu revisité à la truffe, feront un déjeuner idéal. Côté vin, la carte simple mais complète compte une dizaine de références. Un établissement qui n’a jamais fait comme les autres Tandis que les grandes maisons présentent la truffe comme un produit de luxe inaccessible au plus grand nombre, le restaurant nous prouve finalement que manger ce mets d’exception sans se ruiner est possible. Accessible à toutes les bourses, l’endroit offre une cuisine mi-bistrot, mi-gastronomique. Et pour encore plus de proximité, maintenant il est possible de commander à emporter. Le restaurant Truffes folies tire également sa renommée de son épicerie fine. Mais là encore, l’originalité est le maître-mot. Le chef Bocciarelli a concocté effectivement une sélection de produits qui sortent des sentiers battus et qui invitent à découvrir la truffe autrement. Ketchup à la truffe noire pour vos frites, le miel aux truffes pour accompagner vos tartines, ou même le pop-corn goût truffe lors de vos soirées cinéma en famille. Plus de soixante produits sont élégamment présentés sur les étagères de l’épicerie fine pour surprendre vos papilles. ...
Au Touquet, à Wimereux ou en plein cœur du Marais parisien, vous trouvez une adresse atypique et pleine de surprises : Le Burger Fermier des Enfants Rouges. Un Burger délicieux qui ne ressemble à aucun autre Malheureusement pour le burger, ce plat n’a pas toujours eu bonne réputation en France. Toutefois, certains restaurateurs ont décidé de redonner à ce sandwich mythique ses lettres de noblesse. Parmi eux, Le Burger Fermier des Enfants Rouge. Grâce à sa recette simple et sans artifice, l’entreprise répond aux attentes de sa (vaste) clientèle. Il suffit de consulter les avis des consommateurs sur leurs différentes pages Facebook pour s’en rendre compte. En effet, les clients sont unanimes : ce burger est un véritable délice. Mais comment font-ils ? Tout simplement en utilisant des produits locaux (Buns maison avec une farine du pas de calais, viande de race Angus, fromage, frites fraiches…) et en offrant la possibilité de choisir la cuisson et le fromage (assez rare pour le souligner). Même les boissons sont locales. Il n’en faut pas plus pour offrir des saveurs incomparables. Un Burger Fermier issu du monde paysan L’histoire du Burger Fermier remonte à une dizaine d’années et est liée, en partie, à celle du Marché des Enfants Rouges en plein cœur du Marais à Paris. À cette époque, Christine Muller, la gérante, décide de proposer un produit simple et gourmand avec un seul objectif : celui de faire travailler les entreprises locales. Elle ouvre alors, au fil du temps, 3 enseignes à Paris, au Touquet et Wimereux. Fille de paysan et propriétaire terrienne elle-même, elle explique que cette idée lui est venue après avoir observé qu’elle avait trop de bêtes. Ainsi, en utilisant son réseau et en se fournissant chez des producteurs locaux, elle commence à cuisiner des burgers. Le succès est immédiat et les restaurants ne désemplissent pas. A savoir : les boutiques sont ouvertes tous les jours sauf lundi pour le Touquet, mardi pour Wimereux et lundi et mardi pour Paris. Ainsi, si vous êtes de passage dans l’un de ces trois coins de France, n’hésitez pas à vous arrêter un moment. Vous ne serez pas déçu de l’expérience. Petite anecdote sympathique : Christine Muller nous explique qu’elle conserve les restes pour les donner à ses bêtes de retour dans sa ferme. Il paraitrait même que les vaches adorent les frites précuites tandis que les veaux seraient plus amateurs de pain. ...
À travers l'enseigne A Casetta, la famille Torre et son équipe proposent une cuisine singulière, préparée à base de produits dont une grande partie sont récoltés dans l'exploitation agricole de la famille. Satisfaire ses clients par des produits issus de ses propres terres, telle est l’ambition d’A Casetta depuis maintenant plusieurs décennies. Au fil des années, la terre familiale s’est agrandie et se dote désormais de son propre élevage. Avec l'exploitation agricole, la famille a l'avantage de maîtriser elle-même la transformation des produits de A à Z. Toute la panoplie de mets exquis proposés par A Casetta se découvrent ainsi dans son restaurant et à travers son service traiteur. L’art du fait maison Le fait maison et la fabrication artisanale font la signature de la maison. Les ressources issues des terres agricoles de l’entreprise familiale, tels foie gras, terrine, fromage, confiture, pain artisanal, gâteaux, chocolat, permettent de soigneusement travailler chaque ingrédient de façon à valoriser l’art du fait maison. « Les produits qui ne viennent pas de notre exploitation proviennent des agriculteurs locaux », souligne M. Michael Torre. Une manière de rassurer le consommateur sur l’authenticité et la traçabilité des matières premières. Les plats sont élaborés dans le respect des traditions corses et de la gastronomie française afin que les adeptes de la cuisine traditionnelle et de la cuisine moderne puissent trouver chacun leur bonheur. Et pour sublimer les saveurs, le restaurant propose une belle carte de vins qui fait honneur à la Corse. Bénéficiant d’un climat ensoleillé, les vignobles du pays composés de cépages endémiques offrent des vins de grande qualité. La généreuse cave du restaurant, qui est riche de plus de 150 références entre Corse et Continent a de quoi assurer les meilleurs accords mets-vins. Des prestations traiteur à la hauteur des exigences les plus pointues A Casetta a développé son offre en proposant un service traiteur. Des salles de réception pouvant accueillir jusqu’à 350 personnes sont mises à la disposition des clients. Envie de profiter du beau temps ? Une belle terrasse à l'ambiance intimiste peut aussi accueillir toutes sortes d’événements professionnels ou familiaux. « Elle dispose d’une capacité maximale de 250 personnes » selon les précisions apportées par notre interlocuteur. Lui de continuer « que ce soit pour des buffets, des cocktails dînatoires ou même des formules plus conviviales comme les viandes cuites à la rôtissoire, notre équipe peut également se rendre au lieu choisi par les clients et s’engage à servir des plats exclusivement faits maison. » Assurer la qualité des repas malgré un nombre très important de convives compte parmi les engagements d’A Casetta. Ainsi, la maison peut assurer des prestations regroupant plusieurs centaines de personnes comme des réceptions plus intimes avec seulement quelques invités. Anniversaire, mariage, fiançailles, baptême… les particuliers seront satisfaits de l’accompagnement proposé. Idem pour les professionnels. Les séminaires, lancements de produit et autres soirées d’entreprise seront placés sous le signe de la réussite. Et pour simplifier l’organisation, l’équipe s’occupe de tout pour les prestations hors du restaurant, que ce soit en termes de logistique, de matériels, tentes, tables et couverts, mobiliers, décoration, fleurs, ou d'éclairage… ...
En France, 11 millions d’aidants accompagnent au quotidien des personnes en perte d’autonomie. Ainsi investis dans le soutien de leurs proches, les aidants peuvent s'oublier et s'épuisent. Dans ces conditions, une pause s’avère primordiale. La maison de répit « Les Grands Monts » leur offre l’opportunité de se reposer et de se ressourcer au cours d’un séjour pensé spécialement pour eux. Une bouffée d’oxygène Créée en 2014, MBO2 est une association à but non lucratif dont la mission est d’organiser et de gérer la maison de répit « Les Grands Monts ». Il s’agit d’un établissement hôtelier situé à Megève, en Haute-Savoie. Sa particularité ? Offrir du répit pour les proches aidants et les personnes en perte d’autonomie. « Nous proposons une solution de répit pour les aidants, un séjour oxygène pour qu’ils puissent se reposer et prendre du temps pour eux », explique Malourène Cordier, chargée de communication. Considéré comme un enjeu de santé publique, le droit au répit est en effet officiellement reconnu en 2015 par la loi d’adaptation de la société au vieillissement de la population. Profiter des vacances ensemble Les aidants séjournent avec la personne en perte d'autonomie qu'ils accompagnent. Les Grands Monts permet de profiter sereinement de quelques jours de « vacances de ressources. » Cette maison de répit dispense pour cela un confort et des prestations dignes d'un établissement haut de gamme. En tout, une vingtaine de chambres adaptées et de suites spacieuses sont mises à la disposition des vacanciers. L’établissement dispose également d’un restaurant qui sert des plats concoctés exclusivement à partir des produits locaux. « Nous avons un chef qui veille à ce que les saveurs, la présentation et les textures des plats puissent stimuler les sens des convives », nous confie-t-on. Pour éveiller la curiosité, Megève a de quoi assurer un séjour stimulant aux vacanciers. Réputée comme étant l’une des plus importantes stations de ski de France, elle offre de multiples activités : ski de piste, ski de fond, handiski, balade à raquettes ou en chiens de traineau… En été, des randonnées et des promenades autour des lacs de la région peuvent être organisées. Enfin, le charme de Megève se découvre également à travers ses fermes et ses produits d’exception tels que le fromage. Outre ces prestations, l’établissement se démarque par sa capacité à offrir un service d’accompagnement pour les personnes en perte d’autonomie. Ce service appelé « La Belle Vire » est assuré par une équipe spécialisée qui propose de prendre en charge les personnes dépendantes pendant la journée. « L’avantage est de pouvoir venir ensemble et que les aidants puissent se reposer pendant que notre équipe prend le relais », rapporte notre interlocutrice. Les personnes en perte d’autonomie bénéficient ainsi d’un panel d’activités incluant des ateliers de création, des sorties ou encore des exercices physiques comme la gymnastique adaptée. En fin de séjour, un temps d'échange permet à MBO2 de proposer des pistes pour le retour au domicile. Un vrai engagement ! ...
Auréolé de 4 étoiles, l'hôtel Borel est un vrai havre de paix, avantagé par sa situation géographique puisqu’il se trouve en face du port et près de plusieurs restaurants et magasins. Dès l’entrée, les clients sont éblouis par la décoration soignée et épurée de cet établissement édifié dans les années 50. Rien de trop guindé. Ici, place à l’élégance et à la simplicité. La qualité est aussi au rendez-vous et cela commence à l’accueil. Une équipe rompue à l’art de bien recevoir promet un service irréprochable à la clientèle. Des chambres luxueuses et reposantes L’hôtel est composé de 48 chambres spacieuses incluant des suites, des chambres standards pour une ou deux personnes et des chambres PMR et familiales. Les logis standards sont équipés d'un lit de 160 x 190 cm, de télévision Satellite ou Canal+, de mini-bar, et de salle de bains privative... Bref, toutes les commodités garantissant le confort de chaque client. Les neuf chambres confort quant à elles sont d'une superficie moyenne de 40 m2. Ces pièces sont pourvues d’équipements haut de gamme ainsi que de lits king size qui promettent des nuits douces et ressourçantes. Toujours dans cette volonté d’offrir la qualité à ses clients, l’hôtel Borel veille à assurer une rénovation continue des pièces afin de parfaire l'esthétique et l'attrait des lieux : « Petit à petit, on les rénove toutes. Du coup, elles seront toutes modernes […] », nous confient les membres de l’équipe. Tout pour la satisfaction des professionnels et des vacanciers Un salon spacieux est visible dans le hall de l'hôtel. Il s'agit du « Salon Le Leughenaër » dans lequel les gens peuvent se détendre, boire un verre, regarder la télé et côtoyer d'autres personnes résidant à l'hôtel. Une bibliothèque y est aussi disponible pour ceux souhaitant lire ou emprunter des livres. À noter que cet espace est disponible à la location pour accueillir des réunions ou des séminaires. La seconde salle baptisée « Le Corsaire » permet de prendre un petit déjeuner buffet. Les mets proposés sont diversifiés. Le service de plats chauds en chambre est également possible. Le menu est disponible dans chaque chambre. Ceux qui ont envie de se dépenser et faire du sport peuvent rejoindre le « Salon le Galérien » au 3e étage. Cette salle présente un lot de matériels sportifs dernier cri. Une palette de services disponibles L’Hôtel Borel a à cœur d’optimiser au maximum l’expérience de chaque client de passage. Il met à disposition une palette de prestations dont notamment un service de blanchisserie. À la réception, coffre-fort, ordinateur portable, trousse médicale de premiers soins et autres indispensables pourront être demandés. ...
Linguizzetta est un village bâti sur les contreforts du mont Sant’Appianu, qui offre des panoramas fantastiques sur le littoral et sur l’ile d’Elbe. Pour séjourner à Linguizzetta, de nombreuses locations de vacances vous attendent ainsi que des hôtelleries de plein air. Patrimoine culturel et naturel Linguizzetta est une station balnéaire où s’alignent les plages de Chiosura, de Tropica, de Bagheera, de Linguizzetta, du Ranch, de Bravone, de Riva Bella et de Bravone sur plus de 8 kilomètres, autant d’étendues de sable fin très agréables à fréquenter pour des moments de farniente et pour des baignades dans une eau transparente. Bien sûr, tous les loisirs nautiques sont au rendez-vous. La commune a également équipé la plupart des plages pour qu’elles soient accessibles aux personnes handicapées. Même si Linguizzetta est surtout appréciée pour ses nombreuses plages dont certaines sont réservées aux naturistes, ce village recèle un patrimoine culturel à découvrir. Vous pourrez par exemple admirer la très belle fontaine des 5 canons avec son lavoir, la chapelle San Lurenzu, le baptistère romain ou l’église Saint-Pierre-Saint-Paul avec son clocher isolé et ses objets classés aux monuments historiques. Si vous aimez les randonnées, venez emprunter le sentier Linguizzetta - Canale-di-Verde pour contempler la nature sauvage et authentique de cette partie de l’ile de Beauté. Vous êtes à la recherche des produits typiquement corses ? Rendez-vous directement chez les producteurs locaux. Charcuterie, moutarde, confiture, fromage, huile d’olive, spiruline ; découvrez la diversité et la qualité des produits des artisans. ...
Véritables hommages aux traditions ancestrales françaises, la Capricieuse et la Philosophe sont le reflet d’une histoire, d’une passion et d’un dévouement à la perfection. Cette gamme de spiritueux de haute qualité qui se veut être l’ambassadrice de l’excellence à la française surprendra les papilles des plus exigeants. La Philosophe : une vodka à contre-courant Élégante et gourmande, la Philosophe fait fière figure de référence dans le domaine des vodkas françaises issues d'une conception typiquement artisanale. La dilution très lente, l’absence de sucre ajouté et un vieillissement optimal confèrent à cet élixir, travaillé à base de blé et fait à la main, une maturité digne des plus grands spiritueux de France. C’est d’ailleurs « pour rendre une image plus noble à la vodka que la Philosophe, [distillée à Cognac], s’éloigne de la tradition russe pour se rapprocher des eaux-de-vie à la française », nous confie Alexandre. Avec le blé pour la terre, l’alambic pour le feu, l’évaporation pour l’air et la source charentaise de distillation pour l’eau, la Philosophe nous rappelle l’étude quantique, une doctrine philosophique fondée sur ces quatre éléments qui contribuent à en faire une vodka d’exception. Équilibrée, ponctuée de notes tantôt suaves tantôt épicées et dotée d’une légère touche d’agrume, cette vodka est la promesse d’un voyage gustatif au cœur de la perfection. La Capricieuse : le terroir berrichon à l’honneur Afin de rendre hommage à sa province, le Berry, Alexandre - et son associé Nicolas - décident d'innover par la création d’une crème alcoolisée à base de lait de chèvre : la Capricieuse. S’inspirant du meilleur de son terroir, produit en partenariat avec des producteurs locaux et chéris des Berrichons, ce nectar, véritable fierté régionale, mérite amplement sa place dans le monde de la quintessence du spiritueux à la française. « Cette liqueur fidèle à la région s'apprécie pour sa touche lactée et gourmande et est idéale en digestif [ou en apéritif]» » précise Alexandre. Un Baileys Berrichon, décliné sous plusieurs versions dont les plantes, le miel ou la châtaigne. ...
La renommée viticole du Vivarais remonte au XVIe siècle, lorsqu’Olivier de Serres loue les mérites de ses crus. Cette qualité, qui deviendra le maître-mot des vignerons de cette terre, sera rehaussée par un travail de rénovation marqué par l’introduction de cépages nobles produisant des cuvées gourmandes et rocailleuses. Un engagement envers l’excellence qui sera récompensé en 1999 lorsque les Côtes-du-Vivarais obtiennent l’Appellation d’Origine Contrôlée (AOC), gage de l’authenticité des vins produits sur ces terres généreuses. Terre de vie, terre de vins… L’appellation Côtes-du-Vivarais est nourrie par un vignoble s’étendant sur 14 communes de part et d’autre des gorges de l’Ardèche. Ici les vignes côtoient chênes verts et oliviers en puisant tous les arômes et les saveurs typiques d’un terroir rustique. Les cuvées d’exception qui en découlent se caractérisent ainsi par leur fraîcheur, leur minéralité et leur robustesse. Côté gardois, vous pourrez visitez Aiguèze, classé parmi les plus beaux villages de France, et sa falaise abrupte sur la rivière Ardèche. De l’autre côté du pont, Saint Martin d’Ardèche est le pont d’arrivée des canoës achevant la descente des impressionnantes gorges. ...
Créé en 1986, l’Institut supérieur des arts appliqués (LISAA) est une école d’enseignement supérieur privé, reconnue par le ministère de la Culture et de la Communication. LISAA forme notamment des créateurs dans le domaine du design graphique, de l’architecture d’intérieur et du design, de la mode, de l’animation et des jeux vidéos. Elle propose des formations préparatoires en arts appliqués mais également des formations au niveau Bachelor et Mastère. Afin d’assurer un encadrement de qualité, toutes ces formations sont prodiguées par des professionnels en activité : artistes, architectes d’intérieur, designers… Une pédagogie adaptée aux besoins du marché de l'emploi LISAA privilégie un enseignement par projet, en partenariat avec des organisations publiques et privées. Ce travail en équipe permet aux étudiants de développer leurs compétences professionnelles et d'être opérationnels rapidement une fois sur le marché de l'emploi. Les écoles travaillent avec Carrefour, L'Oréal, Adagio, Orange, Made.com, Canal+, Sosh, Uniqlo, Givaudan, le festival d'animation de l'AFCA, WWF, Science & vie, le Théâtre du Rond-Point, le théâtre National de Strasbourg, le Petit Palais, le festival We Love Green... Pour compléter cette approche professionnelle, certaines formations sont proposées en alternance. Un réseau de plus de 5000 diplômés À travers l'excellence de ses formations et de ses résultats, l'école, qui accueille 3500 étudiants, fait aujourd'hui partie des écoles qui comptent sur la scène de l'enseignement des arts appliqués en France. Un classement dévoilé par le journal Le Monde (1er décembre 2017) la place parmi les 7 écoles d'arts appliqués privées les plus prestigieuses. LISAA est aussi la seule école à figurer dans le top 10 de tous les classements arts appliqués de l'Étudiant en 2018. Rien de surprenant lorsqu'on sait que de nombreux diplômés affichent de très beaux parcours professionnels comme René Richard, directeur artistique de Guy Laroche ou Xiang Fang Ye, co-fondateur de la marque Wasted mais bien d'autres encore : chef de produit maille chez Balenciaga, Architecture Project Manager chez Chaumet, webdesigner chez Publicis, Matte Painter chez Rodeo FX, 3D Generalist chez BUF company... ou encore des créateurs d'entreprise. Des implantations en France et à l'international LISAA est présente dans 6 grandes villes françaises : Paris, Rennes, Strasbourg, Nantes, Bordeaux et Toulouse, qui a rejoint le réseau en septembre 2018. L'école est aussi implantée à l'international puisqu'elle dispose, depuis 2010 d'un campus en Inde (Bangalore) depuis 2016, un campus en Chine, dans la ville de Suzhou. ...
Lieu propice à la détente et à la découverte, L’Auberge des roses ne manque pas de charme avec ses pierres et poutres apparentes, sa cheminée au feu crépitant et sa terrasse ombragée à la vaste pergola, qui n’attend que vous pour les beaux jours. Une salle divisée en 3 niveaux avec une petite estrade en hauteur, appelée « petit salon », et une grande véranda font par ailleurs la particularité de cet établissement de caractère, dont la réputation n’est plus à faire. À travers une cuisine traditionnelle et gastronomique, composée en grande partie de poissons de la criée de Saint-Jean-de-Luz, le chef et gérant Hervé Barrière régalera vos papilles dans un voyage culinaire authentique et gourmand, où le temps semble s’être arrêté. Le rendez-vous des gourmets L’établissement vous invite à découvrir son appétissante et rafraichissante cuisine avec un menu à 30 € au choix, ainsi qu’une carte avec des suggestions qui changent tous les jours. Difficile de ne pas succomber à son Croustillant de gambas sur coulis de mangue marinés et roulés dans une feuille de brique, sa savoureuse Parillada de poissons, un assortiment de 4 poissons sur un lit de moules, de chipirons et de gambas, sans oublier son Pain perdu brioché pommes caramel au beurre salé qui est un véritable délice ! Pour accompagner chacun de vos repas, la maison dispose d’une très belle carte des vins, représentative de toutes les régions, avec près de 45 références, dont les fief la grange, ainsi que le vin local du Jurançon en sec et en doux. Un très beau bouquet au choix pour un accord parfait met-vin. N’hésitez pas à demander conseil ! ...
Dominique Sendron a repris l’exploitation familiale il y a 22 ans. Elle perpétue le savoir-faire en veillant minutieusement à la manipulation des vignes, de la récolte à la mise en bouteille. Un terroir productif Le terroir est habillé d’un sol argilo-calcaire, où sont cultivés essentiellement du meunier (85 %) et du pinot noir. L’exposition sud favorise la maturation des vignes et procure une intensité aromatique aux champagnes. ...
Au Moyen Âge, Pierrefeu-du-Var, situé dans le triangle d’or des vins Côtes-de-Provence, formé de Pierrefeu, de Puget-Ville et de Cuers, était déjà réputé pour la qualité exceptionnelle de ses vins. Un terroir complexe Les 22 hectares de vignes du Clos Real se trouvent sur un terroir schisteux très particulier et varié, constitué notamment de schiste, de quartz, de feldspath, de gneiss et de schiste bleu. Les parcelles du vignoble se trouvent sur des terrasses en altitude particulièrement difficiles à cultiver et dont le sous-sol très pauvre est enclavé dans le maquis. Il faut remarquer que, sur la production totale de vins réalisée dans l’Hexagone, celle du vin de schiste ne représente que 5%. Installées dans la vallée fluviale du Réal Martin, les vignes du domaine sont par ailleurs soumises à un microclimat unique, méditerranéen et à tendance continentale. Concernant les cépages de l’exploitation, ils sont conformes aux exigences de l’appellation Côtes-de-Provence. Grenache noir, syrah, vermentino, cinsault, carignan noir connu pour apprécier les sols schisteux et mourvèdre en petite quantité sont présents sur le domaine. Les cépages de vigne sont en moyenne âgés de 19 ans ; toutefois, certaines parcelles comportent des vieilles vignes âgées de 50 ans, voire de 100 ans pour les raisins blancs. La biodynamie au service de l’agriculture et de la vinification Au Clos Real, la méthode d’agriculture mise en pratique est biodynamique. Dans les faits, cela signifie non seulement que les produits phytosanitaires chimiques sont proscrits, mais aussi que l’usage des produits dits naturels comme le cuivre ou le soufre sont drastiquement limités afin de préserver au maximum l’environnement. Pour lutter contre les attaques de parasites et les maladies, des tisanes et des décoctions de plantes dynamisées avec de l’eau sont utilisées. S’agissant de la vendange et de la vinification, le Clos Real procède à la méthode de sélection microparcellaire : les cépages d’une même parcelle sont vendangés et vinifiés ensemble, contrairement à la méthode classique où seuls les mêmes cépages sont vendangés et vinifiés ensemble. Cette pratique était celle qu’employaient les moines au Moyen Âge, qui avaient compris que cette mixité avait un effet bénéfique sur le goût, la couleur, la saveur et la texture des vins. Du fait de la déclivité importante du terrain, seule la vendange manuelle est possible à pratiquer et elle s’effectue en suivant le calendrier lunaire. Le concept de biodynamie est encore et toujours présent à la cave, où le travail est un compromis entre tradition et modernité. Les vins sont élaborés dans des cuves en inox avec deux méthodes thermiques opposées. Dans la réalisation de la presse, aucune pompe ni pressoir ne sont utilisés, car c’est la gravité qui est mise à contribution avec ces caves disposées sous forme de succession d’étages. Au final, on obtient un vin d’une complexité anodine avec une forte empreinte de son terroir. En raison de tous ces facteurs contraignants (biodynamie, petite surface et structure du sol), la production annuelle du Clos Real est faible, avec moins de 600 hectolitres par an. Toutefois, ce faible rendement permet de favoriser la qualité des vins. ...
La marque Batisse Lancelot a été lancée dans les années 1970 au temps des parents de Guillaume Batisse, première génération de la famille à travailler les vignes et à élaborer du champagne. Les cuvées phares En quatre générations, la maison a su se démarquer à travers des cuvées comme « Prestige » et « Brut Rosé ». Tandis que l’une révèle l’équilibre parfait entre chardonnay et pinot noir, l’autre séduira les papilles avec ses arômes intensément fruités. ...
Cet ancien pavillon de chasse est repris par Félix et Élisabeth Milhard en 1870, qui décident de créer une exploitation viticole sur la propriété et de produire leur propre vin. Après la succession de quatre générations, c’est aujourd’hui Jérémie qui reprend le flambeau. Outre la production de vins, la famille Milhard-Bessard ouvre ses portes pour une visite classique, une visite prestige et une visite atelier. Le domaine bénéficie de nombreux labels qui garantissent la qualité de ses services touristiques. Il est, par exemple, reconnu par le « Best of Wine Tourisme » en 2014. Le domaine La propriété se trouve dans la commune de Petit-Palais-et-Cornemps, à 50 km de Bordeaux et à 12 km du village de Saint-Émilion. Plus précisément, elle est située à la limite de l’appellation Lussac-Saint-Émilion. Les caractéristiques du climat océanique, doux et pluvieux en hiver et frais et humide en été, s’allient avec le sol limoneux-argileux pour un développement optimal des vignes. Les cépages ont en moyenne 45 ans. Ils sont cultivés sur 10 hectares, dont 9 en rouge, composés de 70 % de merlot et 30 % de cabernet franc et 1 en blanc, exclusivement du sémillon. Le respect de l’environnement et des saisons font partie des valeurs de la famille Milhard-Bessard depuis 1870. Les méthodes ancestrales encore utilisées aujourd’hui ne nécessitent aucun produit et désherbant chimique. De simples gestes comme la taille bordelaise avec ébourgeonnage et l’effeuillage manuel à la fin de la floraison et avant les vendanges permettent à la famille Milhard-Bessard de conduire à maturité des raisins naturellement sains Et dans un souci de valoriser l’expression du terroir et de préserver la biodiversité et l’écologie, le Château Vieux Mougnac produit en bio et bénéficie d’une certification Agriculture biologique (AB) depuis 2012. La vinification Les vins sont vinifiés dans des cuves en béton, dont les volumes correspondent aux parcelles. Les températures de fermentation sont contrôlées attentivement lors de l’extraction des arômes et des composants phénoliques naturels. Le pressurage est toujours effectué avec le vieux pressoir hydraulique vertical des années 1940. Les vins vieillissent pendant 2 ans en cuves en béton, sauf les cuvées qui sont élevées 1 an en cuve et ensuite 12 mois en barriques neuves de chêne français. Les vins, quant à eux, sont mis en bouteille au château après clarification et stockés dans leur chai avant d'être commercialisés. ...
Madame RIGLET, directrice de l’Institut de Formation en Soins Infirmiers (IFSI) a l’agrément pour former 90 Etudiants en Soins Infirmiers (ESI), 60 élèves Aides-Soignants (AS) et 45 élèves Auxiliaires de Puériculture (AP). Avec ses infrastructures modernes, l’IFSI jouit d’un espace de travail de qualité comprenant 17 salles dont 3 sont dédiées à la pratique des soins et réparties sur deux niveaux. Un pôle simulation avec la reproduction d’une chambre d’hôpital, équipée avec mannequin haute-fidélité permet aux étudiants et élèves de développer leurs apprentissages et leurs compétences dans un environnement au plus près de la réalité du terrain et de répondre au concept « jamais la première fois sur le patient ». Pour leurs recherches, les étudiants ont accès à une salle informatique et un centre de documentation informatisé et bénéficient des conseils d’une documentaliste. Leur confort étant aussi une priorité, des infrastructures adaptées ont été conçues pour eux, notamment un « foyer étudiants » donnant sur une terrasse extérieure leur permettant de se restaurer ou de faire des pauses en inter cours. Des formations complètes L’IFSI offre deux départements de formation distincts : un département de formation initiale et un département de formation continue. Dans le cadre de la formation initiale, les étudiants ont la possibilité de faire une expérience de stage à l’étranger, en Europe via le programme Erasmus + ou à l’international dans le cadre d’un projet de stage en santé humanitaire dans des pays comme l’Inde ou le Népal où un groupe d’étudiants est parti en 2018. « L’équipe de l’institut a à cœur de construire avec les étudiants leur projet et de les accompagner dans toutes leurs démarches et tout au long de leur expérience », souligne Danielle Benali, directrice adjointe. Le département de la formation continue permet de professionnaliser des personnels de santé en les préparant : - Aux concours d’entrée en formation d’aide-soignant, d’auxiliaire de puériculture. - Aux diplômes d’Etat d’aide-soignant et d’auxiliaire de puériculture dans le cadre de fomations modulaires. - Au Diplôme d’Etat d’infirmier pour les médecins extracommunautaires. - Au tutorat des étudiants et des nouveaux diplômés - A la première année de formation infirmière afin de fournir aux futurs étudiants en soins infirmiers quelle que soit la filière suivie dans leur parcours scolaire, les outils, les méthodes et les contenus de base indispensables pour réussir une formation universitaire dans les meilleures conditions. - A se présenter devant un jury de la validation des Acquis de l’Expérience pour les métiers du domaine médico-social Un encadrement de qualité Tout au long de son parcours au sein de l’institut, l’équipe pédagogique et administrative met tout en œuvre afin que l’étudiant bénéficie d’un suivi individualisé et personnalisé, assuré par un même référent pédagogique. Cela permet de connaitre les potentialités et les difficultés rencontrées par chaque étudiant et d’adapter ainsi son parcours de formation en fonction de ses attentes et de ses besoins afin qu’il réalise son projet professionnel. Au niveau de l’encadrement, l’équipe pédagogique est composée de 18 formateurs, dont la plupart sont titulaires d’un diplôme de master. Les méthodes pédagogiques pratiquées privilégient l’interactivité, l’analyse des pratiques professionnelles permettant aux futurs professionnels d’être réflexifs, autonomes et responsables. A ce titre et dans l’objectif d’améliorer la qualité des formations, l’IFSI est engagé depuis un an dans une démarche qualité visant à l’obtention de la certification. L’FSI en quelques chiffres : - Diplôme d’Etat en Soins Infirmiers : 80% de réussite - Diplôme d’Etat d’Aide – Soignant : ...
Comment la musique vient aux instruments1 ? Le concept du musée répond à une double vocation. Le musée s’impose naturellement comme le lieu témoin de la ville, dont l’identité est fortement marquée par la production traditionnelle d’instruments de musique à cordes et la transmission des savoir-faire qui lui est associée. Parallèlement, il donne l’occasion de porter un regard nouveau sur l’ensemble du processus de fabrication de l’instrument de musique pris comme composant de la fabrication de la musique. Les luthiers et les archetiers, les savoir-faire qu’ils transmettent, les instruments qu’ils fabriquent, les musiciens qui les jouent, les compositeurs qui écrivent pour eux, les auditeurs et les critiques qui écoutent et jugent les musiques produites ainsi que les interactions entre ces différents acteurs sont au cœur du projet du musée. Ainsi, le visiteur, en fonction de sa culture, peut se reconnaître dans l’un ou l’autre rôle. Il n’est pas seulement « spectateur » du projet. 1 MABRU Lothaire. Comment la musique vient aux instruments : Ethnographie de l’activité de lutherie à Mirecourt. Sarreguemines – Metz : Editions Pierron, DRAC de Lorraine, 1998, pages 179 -192. ...
Depuis sa création en 1964, la CFDT s’est battue pour obtenir des droits nouveaux pour les salariés, pour construire une France plus juste et plus équitable. La CFDT s’est toujours impliquée dans l’accompagnement des salariés pour une rémunération plus juste, pour améliorer les conditions de travail, pour réduire les inégalités, pour augmenter la solidarité, pour créer des droits nouveaux et renforcer ceux existants, pour sécuriser le travail. Et, surtout, a toujours placé les salariés au cœur des projets et des activités des entreprises, plutôt que de s’en servir comme variable d’ajustement. Le but de la CFDT est de rendre les entreprises plus performantes au niveau social, économique et environnemental. La CFDT revendique le dialogue social, car pour la confédération, il est toujours préférable de discuter, négocier plutôt que de provoquer le blocage et d’entrer dans le conflit. Ainsi les bonnes idées et les bonnes volontés sont mises en commun pour améliorer la performance économique de l’entreprise, en préservant l’emploi, en améliorant les conditions de travail et le pouvoir d’achat des salariés. Elle préfère avancer pas à pas afin d’obtenir des avancées significatives pour tous les salariés. La CFDT agit à plusieurs niveaux : État, branches professionnelles et entreprises. Depuis cinquante ans, de nombreuses avancées pour les salariés… Ces dernières années, la CFDT a obtenu de nouveaux droits pour tous les salariés. En voici quelques exemples. En 2003, la CFDT obtient la prise en compte des carrières longues lors de la réforme des retraites. Ainsi, tout salarié qui a commencé tôt sa carrière peut partir en retraite à 60 ans. Lors de la mise en place de la loi sur la modernisation du marché du travail en 2008, la CFDT a milité pour la rupture conventionnelle du CDI. Cette disposition permet à l’employeur et au salarié de convenir d’un commun accord de la rupture du contrat qui les lie. Depuis janvier 2015, chaque salarié a droit à un compte personnel de formation pour renforcer ses compétences tout au long de sa vie professionnelle. Ce compte permet de développer les niveaux de qualification et de sécuriser les parcours professionnels. Une autre mesure longtemps revendiquée par la CFDT est venue enrichir les droits des salariés ces dernières années. C’est la mise en place du compte pénibilité. Ce système permet aux salariés travaillant dans des conditions jugées difficiles de partir jusqu’à deux ans plus tôt à la retraite. … et encore en 2017 En 2017, la CFDT continuera à accompagner les avancées sociales et à défendre les intérêts des salariés tant au plan national que régional, tant au niveau des branches que des entreprises. Par exemple, la CFDT se mobilise pour une nouvelle avancée sociale : la généralisation de la prévoyance lourde. En effet, elle désire que chaque salarié soit bénéficiaire d’un grand nombre de garanties au niveau de sa complémentaire santé, notamment concernant les arrêts de travail, le décès, l’incapacité de travail ou l’invalidité. ...
L’histoire de la famille Lacombe a toujours été liée aux vins. Déjà en 1910, les arrière-grands-parents d’Aristide Lacombe, l’actuel gérant, travaillaient la vigne avec passion. Malheureusement, leurs efforts n’ont pas été poursuivis par la génération suivante, qui a choisi d’autres voies laissant ainsi la propriété familiale à l’abandon. Quelques années plus tard, c’est à force de travail et de sueur que les parents d’Aristide Lacombe ont réussi à rebâtir le domaine. Avec l’aide de leur fils, ils réalisent une restructuration et remettent le domaine sur les bons rails. Aujourd’hui, la propriété familiale commence à faire parler d’elle et en bien ! Des cépages propres au terroir La maison travaille sur un vignoble d’environ 30 ha en appellation Gaillac. « Il s’agit d’une AOP (Appelation d'Origine Contrôlée) comprenant une grande variété de cépages autochtones », précise d’emblée Aristide Lacombe. Pour les rouges, on remarque, par exemple, la présence du braucol et du duras tandis que, au niveau des blancs, intervient un cépage encore méconnu du grand public : le loin de l’œil (un cépage blanc de Gaillac). « Celui-ci est planté sur des terroirs en premières côtes », nous indique-t-on. Sur ces terroirs majoritairement argilo-calcaires pousse également le mauzac, cépage typique de la région qui donne, notamment, des vins blancs gras aux multiples arômes et avec un peu d’acidité. Une belle philosophie Léguer une terre saine et fertile aux futures générations : ces quelques mots résument la philosophie du Domaine Grand Chêne. Pour Aristide Lacombe, le fait d’être en bio, en agriculture raisonnée ou en biodynamie ne doit en aucun cas constituer une fin en soi. « Nous sommes inscrits dans une démarche attentive à l’environnement, mais nous avons découvert que le bio n’est pas toujours aussi idéal pour la Nature », dévoile-t-il. En effet, il trouve illogique que des produits utilisés en agriculture conventionnelle soient éligibles en agriculture bio. Bref, quelle que soit la démarche adoptée, chacun doit garder à l’esprit l’héritage qu’il compte laisser à ses enfants. Une machine « écolo » Même si la maison opte pour une vinification traditionnelle, elle compte bien y apporter quelques améliorations grâce, notamment, à ses expériences. Ainsi, depuis quelque temps, le chai s’est doté d’une machine innovante permettant de réaliser une vinification assez particulière. « Nous avons construit et breveté une machine qui nous donne la possibilité de consommer très peu d’énergie pour la vinification. » À l’image des pompes à chaleur, la machine récupère les calories produites par les fermentations alcooliques qui seront ensuite utilisées dans la production d’eau chaude. Deux cuvées incontournables Parmi les 8 cuvées de la maison, la cuvée « Méthode ancestrale Brut » et la cuvée « Réserve Apolline » sont les plus représentatives. Alors que la première permet d’en savoir un peu plus sur l’histoire du domaine, la deuxième marque plutôt une ouverture vers la modernité et l’innovation. La cuvée « Méthode ancestrale Brut » porte bien son nom. « Nous y tenons beaucoup, car c’est un véritable héritage de nos ancêtres et sur lequel nous appliquons une méthode de vinification qui est restée inchangée », rapporte notre interlocuteur. Obtenu exclusivement à partir de mauzac, ce vin effervescent illustre un savoir-faire exceptionnel, transmis de génération en génération. Il séduit par ses notes pomme-poire, très caractéristiques du cépage mauzac. Quant à la cuvée « Réserve Apolline », elle mérite largement le titre de « cuvée ambassadrice ». Entre le rouge et le blanc, le choix est un peu délicat mais c’est finalement le rouge qui l’emporte. Élaboré...
Propriété de Francis Burn, le Clos Saint-Imer fait partie intégrante du Domaine Ernest Burn, qui lui-même est inclus au sein du village de Gueberschwihr. Terre de prédilection pour les sept cépages nobles alsaciens, ce village est reconnu depuis plusieurs siècles pour l’excellence de ses vins. Ernest Burn, précurseur du domaine Terroir de premier choix pour les grands vins avec son sol calcaire et sa forte pente, les villageois de Gueberschwihr commencèrent à défricher la colline à partir du VIIe siècle, sous l’impulsion de son protecteur Saint-Imer. Toutefois, suite à la Révolution qui morcela ces terres, au phylloxera qui décima les plantations et aux difficultés d’exploitation, la viticulture fut abandonnée sur cette colline à la fin du XIXe siècle. Ernest Burn, issu d’une très longue lignée de vignerons et conscient de l’énorme potentiel de ce terroir, s’attela à partir de 1934 à le faire renaître de ses cendres. Il releva les murs de pierres, rouvrit les chemins et replanta les parcelles qu’il acquit au fur et à mesure. Son nom est resté attaché au domaine qu’il a transmis à ses enfants. Son fils Francis continue son œuvre et exploite avec passion ce vignoble tant réputé. Le Clos Saint-Imer Juché à 330 mètres d’altitude au nord du village de Gueberschwihr, le Clos Saint-Imer occupe cinq hectares d’un seul tenant au lieu-dit Grand Cru Goldert. Son terroir calcaire est propice aux cépages nobles alsaciens, en particulier le Gewurztraminer et le Muscat d’Alsace. Cette particularité lui a d’ailleurs valu le surnom d’ « aristocrate du vignoble alsacien ». Imposé par la forte déclivité du terrain (jusqu’à 60% de pente en certains endroits) mais aussi dans un souci de préservation de la nature, les vignes y sont travaillées à la manière traditionnelle. « Nous travaillons surtout à l’ancienne, tout est manuel. » explique Francis Burn. Et lui de poursuivre : « depuis toujours, les insecticides sont bannis de ce clos afin de respecter un type d’agriculture raisonnée, voire au-delà. Des vins riches et fruités Avec ses dix hectares en tout, dont cinq pour le Clos Saint-Imer, le Domaine Ernest Burn produit annuellement quarante-mille bouteilles, déclinées en une quinzaine de vins différents. « Nous ne commercialisons que des vins mûrs, qui ont entre trois et quatre ans, élevés trois ans minimum avant d’être mis en bouteille. Nos vins sont très riches, fruités…» précise Francis. Le « Clos Saint-Imer - Muscat Vendanges Tardives » 2007, AOC Alsace Grand Cru Goldert illustre la richesse des vins issus de ce clos. Composé de Muscat à 100% récolté en surmaturité, il présente une robe jaune doré, aux reflets cuivrés. Son nez ouvert et complexe, offre un mélange d’arômes de rose, d’abricot, de miel et d’épices. Equilibré et structuré, cette cuvée est à réserver pour les occasions particulières, et s’accompagne d’un roquefort ou d’une mousse au chocolat. A l’instar du Muscat, le « Clos Saint-Imer - Gewurztraminer Vendanges Tardives » 2011 AOC Grand Cru Goldert est également un grand vin de garde qui peut se bonifier jusqu’à quinze ans en cave. La finesse de sa sucrosité permet à ce vin moelleux des accords gourmands. Présenté en coffret de bois, il s’offre en cadeau aux amateurs de grands vins. ...
Entre Villefranche-sur-Saône et Mâcon, à 40 km au nord de Lyon, dans la commune d’Odenas, le Château de La Chaize se dresse majestueusement sur les flancs des monts du Beaujolais. A part le fait qu’il soit devenu le plus grand producteur en appellation Brouilly, ce domaine fait partie intégrante du patrimoine historique de la région. Un château chargé d’histoire La longue histoire du Château de La Chaize débute en 1670, lorsque François de La Chaize d’Aix s’approprie la terre de La Douze à Odenas. La construction du château commence en 1674 selon les plans établis par de grands architectes de l’époque, à savoir Jules-Hardouin Mansart et Thomas Blanchet. En 1735, par le biais du mariage de Françoise de La Chaize d’Aix et d’Antoine Marquis de Montaigu, le domaine alors passe entre les mains de la famille Montaigu. En 1967, la Marquise de Roussy de Sales hérite du domaine. « Ma mère a fait énormément de travaux de restauration et de restructuration, notamment en passant de l’agriculture traditionnelle à l’agriculture raisonnée » confie Caroline de Roussy de Sales. Ces efforts ont été récompensés. L’ensemble du château, du cuvage et des jardins a effectivement été inscrit au titre des Monuments Historiques en 1972. La notoriété de cette propriété est telle qu’en 1996 la marquise a reçu Bernadette Chirac et Hillary Clinton dans le cadre d’un sommet du G7. Un vignoble d’exception Le domaine de 99 hectares profite d’excellentes conditions favorisant le développement optimal des vignes. Le sol, assez homogène et composé de sable granitique ocre spécifique à l’appellation Brouilly, favorise un drainage naturel des eaux de pluie. De plus, l’exposition à mi-pente des vignes par sa situation au sein d’un cirque naturel permet une maturité optimale des raisins. L’encépagement est intégralement composé de Gamay noir à jus blanc. La moitié du vignoble est formée de vieilles vignes de 40 ans et plus avec des parcelles qui sont même âgées de 80 ans. Un mode d’agriculture respectueux de l’environnement Depuis des générations, la famille Roussy de Sales exploite ce domaine en association avec sept familles de métayers. Depuis que Caroline de Roussy de Sales tient les rênes, de nouveaux changements ont été apportés au sein du vignoble, notamment concernant les méthodes d’agriculture. « Nous avons transformé beaucoup de choses au niveau des traitements. Il y a dix ans, nous avons entammé une nouvelle forme de plantation moins dense avec de l’enherbement et des palissages qui permettent de structurer les vignes pour faciliter le passage des tracteurs. En 2008, le domaine a reçu le certificat Bureau Veritas pour l’agriculture raisonnée », confie-t-elle. Terre du Brouilly Depuis le XVIIe siècle, le Château de La Chaize a pour vocation de produire des Brouilly qui ont toujours été mondialement reconnus. Son catalogue de vins est composé de quatre cuvées, toutes issues d’assemblage. Le « Château de La Chaize Brouilly » est la cuvée ambassadrice du domaine. Il s’agit d’un vin de garde expressif et puissant. La « Cuvée Vieilles Vignes » est, comme son nom l’indique, issue des parcelles de vieilles vignes du domaine. C’est un vin gastronomique élevé dans d’authentiques pièces bourguignonnes. La « Réserve de la Marquise », est une cuvée d’exception destinée à la garde. Elle est issue d’une macération longue et est élevée 12 mois en futs de chêne français neufs. Quant au « Rosé du Château de La Chaize », nouvel arrivant au catalogue depuis 2008, il exprime l’élégance et le côté fruité du Gamay. ...