Installée dans une maison familiale dans l’Enclave des papes, à Richerenches, la table du chef Nicolas Pailhes propose une cuisine qui invite vraiment à L’Escapade. Ici, « les produits sont assemblés de manière instinctive », dit-il. Depuis l’ouverture de l’établissement, le plaisir de partager une passion et l’envie d’échanger des moments sont les valeurs qui animent L’Escapade. « Un restaurant n’est pas que la cuisine : le vin, le chef et le serveur, ce sont aussi des moments dont on se souvient », relate Nicolas Pailhes. Avec ce même esprit, il espère ouvrir plus tard un deuxième restaurant. Une cuisine d’inspiration Situé en Provence, le restaurant L’Escapade bénéficie d’un terroir riche et de vignobles d’exception. Parmi les produits de la région, la truffe noire (ou tuber melanosporum) inspire le plus Nicolas Pailhes, du moins lorsque la saison le permet. De l’entrée au dessert, le menu peut s’ouvrir par une assiette d’œufs brouillés aux truffes, suivie d’un demi-pigeonneau de la Lance braisé aux truffes et finir par une pomme Ariane à la truffe de Richerenches. La maison est approvisionnée par l’un des plus grands marchés aux truffes d’Europe, se trouvant à proximité. Le restaurant se métamorphose en été : la truffe cède la place aux asperges, fraises, gigot d’agneau, pied de cochon, volaille et terrine. Parfois, le chef Nicolas Pailhes navigue du côté de la cuisine méditerranéenne, en utilisant des poissons d’eau douce. Ces derniers sont travaillés de la même manière que les poissons d’eau de mer, c’est-à-dire avec des sauces fortes à base d’aïoli ou de bouillon de safran. Le menu de L’Escapade présente chaque semaine trois entrées, trois plats et trois desserts. Les suggestions changent en fonction des produits disponibles, ce qui garantit la fraicheur de la cuisine. Côté vins, la carte favorise à 90 % ceux qui sont issus du terroir. Les préférences de la maison vont aux domaines Art Mas et Famille Perrin. Les cuvées Parure d’Art Mas et Les Coudoulets de Beaucastel sont idéales pour accompagner la truffe. ...
Entreprise à taille humaine, Les Commis vous réconcilient avec vos fourneaux en vous proposant ses paniers de produits frais prêts à cuisiner. Avec des recettes originales et équilibrées, et surtout simples et rapides à préparer. Vous n’aurez plus d’excuses pour ne plus cuisiner chez vous. Manger des plats faits maison en toute simplicité Lancée en 2012, l’entreprise débute en proposant des repas gastronomiques en kit pour les soirs de fête. Depuis 2016, elle vous permet désormais de faciliter les repas du quotidien. Dans un colis livré partout en France en camion frigorifique, les clients trouveront tous les ingrédients nécessaires pour cuisiner 3 ou 4 plats en moins de 30 minutes ainsi que les fiches recettes. « Nous nous procurons directement à la source des produits d'une qualité exceptionnelle que nos clients auront du mal à trouver ailleurs », indique Cyril Francin, fondateur de la start-up. Un travail qui plaît aux consommateurs exigeants en quête de transparence et d'authenticité. Du frais ! Les recettes, quant à elles, changent toutes les semaines pour éviter la routine et respectent les saisons pour garantir la parfaite fraîcheur des légumes. « Nous proposons des recettes très faciles et très variées, tant dans les ingrédients utilisés que de la façon de les préparer », souligne l'entrepreneur. Elles sont concoctées par le chef Owen Marlaud qui trouve son inspiration dans la tradition gastronomique française, dans ses nombreuses expériences aux quatre coins du monde, mais surtout dans les produits, au fil des saisons. Et semaine après semaine, ceux qui choisissent de recevoir ces paniers sous forme d'abonnement progressent aux fourneaux, pour le plus grand plaisir de leur famille. ...
Au centre d’un village pittoresque du département de l’Ardèche, entourée de vignobles et de champs de lavandes, juste à 15 km de la grotte du Pont d’Arc, s’impose modestement une auberge qui force naturellement à la halte : l’Auberge La Farigoule. Toutefois, les réservations sont de rigueur, et Brigitte Dumarché, maitresse des lieux, s’attèle à offrir un accueil des plus chaleureux aux touristes de passage et aux habitués de la maison. Cette auberge composée de trois chambres, d’un restaurant et d’une boutique de produits régionaux est labellisée à la fois « Qualité tourisme » et « Bistrot de pays ». Une auberge recommandée par les guides Murs en pierres apparentes, buffet digne de la campagne, vaisselle ancienne, cheminée où crépite le feu en période d’hiver : un décor comme on en retrouve dans les romans de Marcel Pagnol. Pendant l’été, les hôtes de Brigitte profitent pleinement de la terrasse et, bien avant même de commander, ils ont d’ores et déjà la possibilité de savourer une vue ensoleillée sur les étendues vertes et violettes des vignobles et des champs de lavandes qui,tous deux, alternent jusqu’à l’horizon. Recommandée par les guides régionaux tels que Le Guide vert Michelin ou encore Le Petit Futé, l’Auberge La Farigoule offre un cadre convivial et même familial aux visiteurs souhaitant séjourner en Ardèche et profiter de la région. Elle met ainsi à la disposition de sa clientèle3 chambres attrayantes et reflétant parfaitement l’esprit de la Farigoule. En clair, un total dépaysement qu’affichent les décors des chambres, qui ont chacune un accès indépendant à une salle d’eau avec douche, wc et lavabo, en plus de la terrasse qu’elles partagent. Lorsque les hôtes finissent par quitter leurs chambres en début de matinée, c’est direction le restaurant de l’auberge ! Une cuisine typiquement ardéchoise Aux fourneaux, Brigitte Dumarché, cuisinière en chef, mène la cadence en proposant des plats faits maison qui racontent les histoires d’Ardèche et parlent des Ardéchois. En effet, la cuisine traditionnelle ardéchoise ici est à l’honneur avec des plats authentiques. Des plats comme le broufado, qui est une recette provençale au goût remis à jour et un met propre aux mariniers du Rhône ; des recettes originales, mixant truffes, cèpes et châtaignes comme le cuissot de cochon aux cèpes fait maison, le bœuf aux cèpes et ses brisures de châtaignes, le gratin vivarois, fourré aux cèpes ; chacun de ces plat pouvant être accompagné d’un vin rosé des côtes du Rhône et d’un fondant aux châtaignes en dessert. Des recettes que la maitresse des lieux a héritées de sa famille, couplées à d’autres recettes de livres anciens. Recettes qu’elle partage avec ses hôtes depuis 18 ans tant elle est passionnée par la cuisine de l’Ardèche, une cuisine aux saveurs locales qu’elle considère comme le moyen le plus efficace pour valoriser, faire découvrir et faire apprécier sa région. Les gourmets viennent et reviennent nombreux déguster les saveurs du terroir qui sont parfois inédites, et provenant toujours à 95 % de produits locaux. Brigitte Dumarché valorise ainsi les produits du terroir à travers les plats proposés à la carte, mais aussi à travers les produits régionaux disponibles dans sa boutique. Des produits de diverses saveurs que les touristes rapportent en souvenir, tels que la crème de châtaignes, la terrine de porc, les marrons grillées ou encore la confiture de châtaignes. Brigitte Dumarché, à travers l’Auberge La Farigoule, se donne à cœur joie pour promouvoir les saveurs du terroir de son Ardèche tant aimée. Et elle conclut tout naturellement : « Je suis un produit du terroir, moi aussi ! » ...
L’on peut faire attention à ce que l’on met dans ses plats, tout en goûtant aux fastes de la cuisine gastronomique. C’est notamment le cas quand on s’invite aux tables du Cheval blanc. Dans son cadre feutré et lumineux de la route de Wissembourg, à Lembach, cette adresse conjugue goût et bien-être autour de produits célébrant le local. Trois partitions pour un concerto de saveurs de saison Les plats que l’on sert aux tables du Cheval blanc célèbrent la tradition, tout en se parant de touches inventives et modernes. Au fil de ses trois menus riches en rebondissements, le chef joue la carte de la fraîcheur au rythme des saisons. Sélectionnant ses ingrédients chez les producteurs du voisinage, il les intègre dans des recettes que les papilles découvrent comme un parcours d’exploration. Instant savoureux garanti. Ceux qui préfèrent un guidage en douceur ne manqueront pas d’essayer le « Cannelloni de foie gras poêlé », l'un des incontournables de la maison. Truffe fraîche râpée et sauce aux truffes noires enveloppent le plat d’un grand zeste d’élégance. Dans le même menu, inutile de résister au mariage surprise « Fraise/huile d’olive » pour clore en douceur la fin des réjouissances. Pour les plus connaisseurs, le « Homard bleu rôti en deux services » mêle les notes marines à d’étonnantes touches toniques mariant gingembre, curry doux et poire Williams. Instant suprême de dégustation, réservé aux fins gourmets de souche quand se déploie le menu Épicure. Le filet de bœuf prend des tournures opulentes quand il est servi avec un condiment aux framboises et une légère béarnaise. Le « Grand dessert du Cheval blanc » clôturera en douceur et en grande pompe le service. ...
L’oignon de Roscoff est une appellation d’origine contrôlée depuis 2009 et protégée depuis 2013, délimitée dans la zone littorale nord du Finistère, gérée et contrôlée par le « syndicat oignon de Roscoff » qui a son siège au sein de la ville de Saint-Pol-de-Léon. Dans le respect des traditions Cette variété d’oignon issue de l’espèce Allium Cepa a été apportée pour la première fois au XVIIe par des moines capucins portugais. Son nom fait référence à son berceau historique qu’est la ville de Roscoff. Cru, cuit, en salade ou tout simplement confit, cette plante à bulbe se démarque des autres par son gout unique. « Doux, juteux et croquant, avec des arômes fruités, elle porte énormément d’atouts gustatifs » explique Robert Jézéquel, le président du syndicat de l'AOP oignon de Roscoff. Un temps délaissé car supportant mal la culture intensive, cet oignon rosé a joui de la ferveur et de la passion d’un groupe d’irréductibles producteurs qui veulent en assurer la valorisation. Ils s'attachent à fournir aux amateurs de nourriture de qualité les quantités nécessaires au marché devenu porteur. Le cahier des charges de cette appellation impose un calibre compris entre trente et quatre-vingt millimètres de diamètre et un conditionnement laissant au moins 5 cm de queue pour favoriser la conservation naturelle permettant d’éviter le traitement antigerminatif. La conservation « est naturelle, ceci afin de ne pas dénaturer son gout » toujours selon Robert. La Fête de l’Oignon de Roscoff Tous les ans durant l'avant-dernier week-end du mois d’août, a lieu dans la ville de Roscoff la Fête de l’Oignon. Drainant près de trente-mille personnes, « il est possible de s’y approprier et déguster les premiers oignons de la saison » note Robert Jézéquel. A ne pas manquer également : la découverte de « La maison des Johnnies et de l’oignon de Roscoff » qui relate l’histoire de cette culture et des Johnnies, ces marchands qui vendaient leurs produits en Grande-Bretagne. ...
Actuellement installé à Montreuil, Frédéric Marr et son équipe vont investir de nouveaux locaux en plein centre de Paris, non loin de la rue Montorgueil, dès septembre prochain. Fabrique et boutique y seront installées. La façade vitrée acceptera les regards des passants pour contempler à l’envi le travail des meules en pierre ou celui des chocolatiers. Le plafond sera végétalisé pour rappeler les origines naturelles de tous les produits utilisés. Pour la préparation des chocolats Rrraw, toutes les fèves de cacao proviennent de cacaoyers semi-sauvages de l’Amazonie péruvienne, cultivés à 800 mètres d’altitude. Ce qui fait dire à Frédéric Marr que « le cœur de l’Amazonie va battre au centre de Paris ». Un nouveau process de fabrication La vraie saveur du chocolat, sa délicatesse et ses arômes subtils sont révélés grâce au process de fabrication élaboré par Frédéric Marr : Bean to bar* (*de la fève à la tablette) à cru (sans torréfaction ni cuisson) Les fèves de cacao ne subissent aucune torréfaction ni de conchage. Elles sont fermentées puis sèchent au soleil. Elles sont ensuite broyées finement à la meule de pierre. Tous les autres ingrédients entrant dans la composition des chocolats Rrraw sont végétaux et biologiques. Epices moulues, fruits ou plantes déshydratées, sucre de canne intégral, sucre de fleur de coco, miel ou sirop d’agave, tels sont tous les composants soigneusement sélectionnés pour sublimer les produits Rrraw. Ne contenant aucun produit laitier, ni huile, ni œuf, ni lécithine, ni additif, ni arôme artificiel ni conservateur, les chocolats Rrraw peuvent être savourés par tous les consommateurs soucieux d’une alimentation saine et respectueuse de l’environnement. En effet, tous les produits sont certifiés bio, vegan, sans gluten et solidaire. Des chocolats pour un plaisir quotidien Pour vous faire plaisir au quotidien, vous pouvez choisir une des nombreuses truffes de cacao cru comme les truffes chanvre et cacao ou les truffes miel et pollen, une des tablettes de chocolat cru, nature ou aromatisées, des fèves de cacao cru, et encore du chocolat pâtissier, des pépites de chocolat cru ou poudre de cacao pour préparer de délicieux desserts. Chacun trouvera un chocolat qui lui ressemble, fondant ou croquant, doux ou fruité, brut ou enrobé. Tous feront frémir vos papilles grâce à leur excellence nutritionnelle et gustative. Vous pouvez acheter tous ces produits dans certaines épiceries fines, sur le site Internet et bientôt directement à la boutique sur Paris. ...
Le village de Puligny-Montrachet, situé au Sud de Beaune, enveloppe des paysages magnifiques bordés de vignes, la fameuse Côte de Beaune. L’un des domaines les plus réputés de la région accueille les œnophiles et les amateurs de bonne chère dans sa « Table de Dégustation » : son Restaurant, où l’on peut déguster et acheter directement le vin. Chez Olivier Leflaive on prône une culture de la qualité et une philosophie engagée, à l’image du domaine. Mariage de régions et de saveurs « Notre cuisine bistronomique et notre concept oenotouristique sont le fruit d’un travail de longue haleine depuis 2006 : notre idée est de travailler sur l’équilibre subtil entre l’accueil , la viticulture, le tourisme et l’accord mets et vins », résume Olivier Leflaive, le maître des lieux. « Le Restaurant est avant tout une vitrine, destinée à célébrer la richesse et la diversité de nos vins. Pour le déjeuner, la formule Repas-Dégustation se décline en deux sélections comportant chacune 3 plats, qui évoluent au fil des saisons, avec une dégustation de 6 à 9 vins. Si le Carpaccio de Lotte aux légumes croquants se marie merveilleusement bien avec un Puligny-Montrachet Enseignères 2011, le suprême de volaille rôti, crémeux butternut, carotte et coppa est relevé par la puissance d’un Meursault 1er Cru Poruzot 2012. Au dîner, les clients peuvent composer eux-mêmes leur formule sur les conseils précieux des sommeliers-animateurs. « Ils se déplacent de table en table pour expliquer les vins à nos hôtes et guider leurs choix ». La carte des Vins compte plus de quatre-vingts références, toutes vinifiées par la Maison Olivier Leflaive, essentiellement du blanc ; mais aussi quelques propositions en rouges issus d’autres domaines. Un amour effréné pour la Bourgogne L’histoire d’Olivier Leflaive La Maison Hotel**** et le Restaurant est intimement liée à la famille, si bien que des visites de vignes et de caves sont organisées chaque jour par les frères Leflaive, pour que les clients puissent mieux saisir l’univers du vin. Ces balades techniques et pédagogiques au milieu des vignes ont lieu presque tous les jours et sont rythmées par une ambiance familiale et chaleureuse. Mieux encore, le gérant conseille les bonnes adresses, les domaines viticoles et les monuments à visiter dans la région pour compléter le séjour. « Notre objectif va bien au-delà de la concurrence, nous avons une plus grande vision qui est d’honorer notre région. » ...
Discrètement lovée sur les hauteurs de Biarritz, la demeure blanche aux volets rouge vif donne du pétillant et de la dynamique à ce quartier calme. C’est bel et bien à cet endroit que le couple Rosier exerce sa passion depuis 2008. Elle, meilleure ouvrière de France ; lui, grand chef passionné. Ensemble, ils relèvent avec brio le pari de proposer une cuisine gastronomique qui plaît pour sa constance et sa simplicité. Une cuisine à quatre mains, harmonieuse, où chacun des chefs met en valeur les produits qui lui tiennent à cœur, en veillant à leur laisser leur plus belle expression. Bienvenue au restaurant Les Rosiers. Meilleure ouvrière de France Le choix de ces volets rouges n’est pas le fruit du hasard. Car, après un détour vers la maison familiale de la chef, on sait d’où vient l’idée. En réalité, tout cet amour qu’elle voue pour la cuisine, Andrée Rosier la doit à ses parents, notamment à sa mère qui se plait à travailler les produits du terroir pour concocter des plats typiques du Pays basque. Après avoir effectué une formation hôtelière à Biarritz, en 1994, elle fait ses débuts dans le milieu professionnel à titre de commis au sein de la Villa Eugénie de l’Hôtel du palais de Biarritz. Le destin a voulu qu’elle y rencontre l’homme qui deviendra son époux : Stéphane Rosier. Grâce à son talent, ce grand gaillard à lunettes séduit les plus grandes maisons, dont l’Hôtel du palais où il exerce en tant que 1er sous-chef de cuisine durant 4 ans. Il a également exercé dans le célèbre restaurant 2 étoiles La Chèvre d’or, à Eze. En 2007, c’est la consécration pour Andrée Rosier certes, mais aussi pour son époux qui n’a cessé de l’épauler. Elle est la première femme à obtenir le titre de meilleure ouvrière de France. Ce défi relevé, elle s’en fixe un nouveau : ouvrir son propre établissement. De là est né Les Rosiers. Quand la simplicité s’allie à la perfection Le couple Rosier concocte une cuisine gastronomique concrétisée dans le respect des traditions culinaires régionales et qui fait totalement honneur à sa distinction. Car n’oublions pas que, en 2009, l’établissement a reçu la prestigieuse étoile au Guide Michelin. Chaque matin, Andrée et Stéphane se rendent ensemble au marché pour trouver les produits qu’ils sublimeront le midi. Parmi les plats à ne manquer sous aucun prétexte : ce succulent crabe en fine gelée de crustacées, caramel de fenouil et pomme verte, que l’on sert en entrée. En plat principal : une belle assiette de filets de rougets cuits à l’unilatéral, daube de cochon et châtaigne en crépinette, frites de polenta, sauce vin rouge. En bouquet final : un moelleux au chocolat, glace crémeuse au gingembre, écume de lait à l’huile de cacahuète. Vos palais n’en reviendront pas. Le duo Rosier possède une technique et une maitrise imparables, qui lui permettent de mettre en valeur le produit brut, sans jamais le dénaturer. Toutes ces belles propositions culinaires sont rehaussées par une carte des vins éclectique, suggérée par le maitre d’hôtel, Pierre Ransinangue. ...
Le Domaine du Moulin de Lachaud se trouve dans un cadre champêtre à Sainte-Fortunade dans le département de la Corrèze. Bruno et Armelle seront heureux de vous y accueillir en toute saison pour un séjour au calme ou pour déguster une cuisine gastronomique inspirée du terroir. Le domaine est aussi un lieu idéal pour des repas de famille, des anniversaires ou des mariages. L’hébergement : une large palette d’espaces dédiés Au Domaine du Moulin de Lachaud, vous pourrez résider dans l’une des 3 chambres d’hôtes ou dans le studio, tous prévus pour recevoir 2 personnes. Si vous recherchez plus d’originalité, vous pourrez choisir la hutte gauloise pour 4 personnes ou encore l’ancien moulin rénové qui peut accueillir jusqu’à 10 personnes. Si vous préférez le camping, une plateforme surplombant l’étang est réservée aux camping-cars. Eau et électricité sont ainsi à disposition. Le restaurant : une cuisine gastronomique inventive La salle du restaurant vous accueille dans un espace coloré et moderne. L’été, vous pourrez aussi profiter de la terrasse de 100 m² avec une superbe vue sur l’étang. Le chef vous régalera avec sa cuisine gastronomique inventive et raffinée. Tous les plats sont concoctés à partir de produits frais et de saison. En entrée, le magret fourré au foie gras ou le duo de foie gras mi-cuit aux fruits secs et écorces d’orange confites sont des spécialités maison très appréciées. En plat, le grenadin de veau aux girolles fera succomber vos papilles. Mais les pâtisseries sont également à l’honneur avec le pudding à l’ananas, une recette familiale très légère sans lactose ni gluten, ou la tarte Mojito à base de jus de citron jaune et vert, de menthe et de rhum. Ici tout est fait maison, même le pain bio est préparé sur place, comme par exemple celui au petit épeautre. Des concerts et des soirées à thème y sont organisés tout au long de l’été. L’étang : pour tous les amateurs de pêche L’étang situé sur le domaine s’étend sur 2,5 hectares et est alimenté par des sources naturelles. Ce site classé en titre vous dispense de la carte de la Fédération Nationale de la pêche. Vous pourrez y pêcher carpe, truite ou black-bass toute l’année sur réservation auprès du restaurant. Si vous aimez pratiquer la pêche à la mouche, rendez-vous d’octobre à février. ...
D’un côté, les commerçants de proximité (épiceries fines, fromageries, boucheries…) souhaitent mettre en valeur leur savoir-faire. De l’autre, les consommateurs sont toujours à la recherche de produits frais, sains et locaux. Fraichy met en relation tout ce beau monde grâce à une plateforme à la fois ergonomique et très simple d’utilisation. Offrir plus de visibilité Fraichy est née sous l’impulsion de trois jeunes Montpelliérains : Thibaud Audry, Tom Vea et Gabriel Nuel. Ces amateurs de bonne cuisine issus d’une formation en management et entrepreneuriat se sont rendu compte d’un réel besoin sur le secteur alimentaire, notamment auprès des commerçants de bouche. « La grande majorité ne dispose pas de visibilité sur Internet ou se contente d’un site vitrine sur lequel il n’y a pas d’activités digitales », souligne Thibaud Audry. Et c’est donc de là que tout est parti. Fraichy, une solution avantageuse pour tous En intégrant la plateforme, les commerçants bénéficient d’un nouveau canal de distribution. Ces derniers profitent des apports du digital pour gagner en visibilité et accroitre leurs activités grâce à la mise en valeur de leur savoir-faire. « En se digitalisant, les commerçants vont non seulement agrandir leur zone de chalandise mais aussi augmenter leur chiffre d’affaires » nous indique-t-on. Mais pour faire partie de la communauté Fraichy, il faut avant tout répondre à des critères bien précis. « Nous sélectionnons nos commerçants selon une charte qualité incluant, par exemple, la provenance des produits ou encore les avis clients consultables sur Internet », rapporte notre interlocuteur. Du côté du consommateur, la solution peut représenter un gain de temps non négligeable. Ce dernier a ainsi la possibilité de choisir très facilement les produits dont il a besoin. En effet, une fois connecté sur le site, il lui suffit d’indiquer son adresse ainsi que les modalités de livraison, puis celui-ci accède à différentes catégories de commerçants et peut sélectionner tranquillement ses produits. La livraison se fait soit à domicile soit sur le lieu de travail du consommateur. À ce sujet, la startup privilégie une livraison écoresponsable en travaillant avec des coursiers à vélo cargo. « Nous pouvons regrouper toutes les commandes en une seule livraison », explique le cofondateur de Fraichy. ...
Au cœur de l’appellation Lalande-de-Pomerol, cette propriété de 27 ha se compose aujourd’hui de deux châteaux : Château Moncets et Château de Chambrun. Un troisième existe également, château la Bastidette en AOP montagne Saint Emilion, 1ha À partir de 2015, les vignobles se dotent de nouveaux chais compétitifs avec des matériels à la pointe. Objectif affiché : adapter le vignoble au changement climatique, tout en favorisant l’expression du terroir. Un terroir diversifié Avec une superficie de 18 ha d’un seul tenant, le vignoble du Château Moncets est formé de 20 parcelles reposant chacune sur un terroir spécifique. « L’appellation est connue pour ses terroirs très diversifiés et rien que pour le Château Moncets, nous avons la chance d’avoir des sols à dominance d’argile avec des variances de sable de graves », annonce Julien Noël, directeur commercial. Cette diversité des terroirs permet au domaine d’élaborer des vins plus complexes. Dans un rayon de 2km plus au nord, les vignes du Château de Chambrun s’épanouissent sur des plateaux à forte teneur d’argile et présentant des graves en surface. « Sur ces terroirs combinés au climat d'aujourd'hui, les vignes parviennent facilement à maturité et nous confectionnons des vins plus fins et délicats. » Faire face au changement climatique Depuis 2017, le domaine est en cours de conversion vers l’agriculture biologique. Aucun produit de synthèse n’est donc toléré ! Par ailleurs, de nombreuses expérimentations sont menées à la fois au chai et au niveau du vignoble, notamment en ce qui concerne le changement climatique. Pour superviser la transition de ces opérations, la maison est maintenant suivie par Thomas Duclos, oenologue associé du laboratoire Oenoteam. Le laboratoire Michel Rolland ayant suivi les millésimes 2012 à 2017. L’introduction récente du cépage malbec est l’un des résultats notables issus de ces expérimentations. En effet, le malbec semble bien réagir aux effets du réchauffement climatique, compte tenu du fait que celui-ci a tendance à perdre de son acidité. Un système parcellaire Afin de s’adapter aux typicités propres à chaque parcelle, le domaine a mis en place un travail fondé justement sur un système parcellaire. « Non seulement nous avons des processus de culture spécifiques à chaque parcelle, mais également nous réalisons des vinifications adaptées grâce à notre cuvier parcellaire », indique Julien Noël. En plus de ses cuves sur mesure, le domaine utilise aussi un système gravitationnel pour placer les raisins dans les cuves. Résultat, les baies restent intactes et évitent par la même occasion l’oxydation. Mais ce qui démarque véritablement le domaine, c’est le recours à la technique de vinification intégrale, au cours de laquelle les meilleures parcelles sont vinifiées directement en barrique. ...
Le concept Vitaline naît dans l’esprit de deux comparses férus de sport et soucieux de toujours bien s’alimenter. Ces scientifiques tentaient de trouver des alternatives aux offres d’aliments prêts à consommer, présentant toujours ici et là quelques failles pour ces perfectionnistes. Contre la pauvreté en micronutriments de formules pourtant équilibrées en macronutriments, ils mettent sur le marché des repas optimisés nutritionnellement, affichant un sans-faute côté apport. Des repas à boire différents parce qu'optimisés « Vitaline contient beaucoup de produits pointus en ingrédients qui sont totalement absents du reste du secteur […] que nous sommes les seuls en Europe à proposer », se félicite Sébastien Worms, l’un des fondateurs de la marque. Concrètement, la ligne contient entre autre des phytonutriments – notamment phénols et polyphénols – et des probiotiques de qualité, que l’on peut retrouver dans des compléments alimentaires, mais qu’aucun autre acteur des repas à boire ne propose. Question apport protéinique, dans le secteur, on retrouve souvent des quantités élevées de protéines mais de faible qualité. Les formules de la marque intègrent des protéines de sources diversifiées et d'ingrédients entiers. L'aminogramme performant joue un rôle important dans la construction et l'entretien musculaire, ainsi que pour la forme en général. Des repas digestes pour une forme optimale « Quand on veut être en forme, la digestion c’est essentiel », rappelle notre interlocuteur qui pointe ainsi la biodisponibilité optimale et le travail sur la digestion. Cela permet d’éviter notamment les crashs d’énergie et autres inconforts post-repas. Avec un indice de 2211 sur l’échelle ORAC, les repas sont riches en antioxydants, notamment ceux issus des super-aliments comme l’açaï, la spiruline, la chlorella et la maca. Des repas en bouteille rigoureusement conçus et prêts à consommer Les produits sont travaillés pour s'appuyer sur la pointe des connaissances scientifiques en nutrition. Ils sont ensuite préparés avec des ingrédients bio soumis à un sourcing rigoureux. La ligne lancée en 2015 permet aujourd’hui, de jouir des bienfaits de repas complets dans des formats simples, prêts en une minute. Consommer simple et mobiliser sa performance à 100 % est au cœur de l’ambition de Vitaline. Les produits sont vendus uniquement sur le web et l’achat peut se faire par bouteille de 400 kcal (500 ml) ou en sachet de 6 repas de 660 kcal. Pour faire découvrir toutes les versions, Vitaline propose un pack découverte contenant 3 bouteilles de chaque goûts. La qualité de ses produits a amené Vitaline à gagner de nombreux prix et à être suivi par les médias nationaux : JT de 20h de TF1, France Inter, Marianne ... Les spécialistes du secteur aussi ne s'y trompent pas : "On le voit, chaque détail de chaque ingrédient a fait l’objet d’attentions, d’analyses et de choix réfléchis."(Nicolas Robaux, auteur de repasenpoudre.com). En outre, janvier 2018 signe le lancement de la gamme Catalyst, destinée à cibler des besoins spécifiques. Vitaline Ignite, le premier produit de la gamme est conçu pour optimiser votre séance de sport et procurer force, endurance et énergie. Ensuite Vitaline Focus, (favoriser la concentration et répondre au stress intellectuel), Recover (maximiser la récupération post-sport) et Recharge (permettre le repos et la détente) sortiront successivement au cours de 2018. ...
À quelques kilomètres de Fontainebleau, à deux pas du château de Bourron, Le Martingo est le lieu de rendez-vous incontournable des gourmets de la région. À l’extérieur, le restaurant séduit par son édifice en briques, à l’image de l’architecture locale. Une fois la porte franchie, la salle dégage une ambiance à la fois chaleureuse, chic et intimiste. La décoration y a été minutieusement repensée pour être au goût du jour tout en préservant l’esprit d’antan de la bâtisse. Et, durant les beaux jours, la terrasse ombragée est une véritable invitation à la détente et au plaisir. Une bonne table ! À l’image de l’établissement, la cuisine s’inspire du terroir avec une petite touche de fraîcheur. Grâce à des produits frais issus du marché local, le chef Nicolas Guillebeaux propose des plats authentiques, savoureux et gourmands. Tous les midis, une formule « déjeuner » propose deux entrées, deux plats et un dessert ou un fromage au choix. La proposition est renouvelée chaque semaine selon la disponibilité des produits sur le marché. Au gré des saisons, la carte propose des plats gastronomiques à base d’ingrédients nobles. L’occasion pour les convives de déguster le fameux foie gras à la truffe ou le succulent confit de canard, des plats estampillés « fait maison ». Pour accompagner cette bonne cuisine, la carte des vins met en avant les grands classiques ainsi que des révélations du paysage viticole français. Parmi les plus prisés figurent le vin rouge Irancy, un Bourgogne, et le vin blanc ou rosé Sancerre, de la vallée de la Loire. ...
Environnement béni des Dieux ! C’est avec ce « poids sur la conscience », c’est à dire la preservation d’un cadre naturel exceptionnel, que s’est construit le projet de ce complexe hôtelier de luxe. Bâti en granit, la roche insulaire, L’Hôtel & Spa des Pêcheurs est le principal centre d’activité de l’ïle avec de nombreuses propositions compatibles avec cet esprit (tennis, golf, plongée, yoga, plage, excursion en bateau, location de voiturette électrique) et est très apprécié aussi pour son centre de soin thermal. Pour y séjourner, l’endroit saura séduire par l’élégance des suites et chambres avec vue panoramique sur la mer, à la decoration subtile, sobre et raffinée et bercées par le ronronnement délicat du flux et du reflux. On ne pourra qu’étre séduit aussi par son jardin aux milles et une fleurs. À chaque instant, les odeurs de myrte , de jasmin , de genièvre, de chèvrefeuilles, et de tant d’autres espéces, viennent se méler aux senteurs marines. Ces effluves remontent jusqu’au bar, situé sur l’une des plages de l’Hôtel. où la qualité de l’accueil et une pétillante carte sont la garantie d’apéros, de pauses roboratives ou de soirées conviales, festives et réussies. French touch et classe italienne au menu Attention les papilles ! Le restaurant de l’Hôtel, si romantique par son cadre, donne rendez-vous à un instant culinaire prêt à être gravé dans les mémoires. De mains de maître, le chef réussit merveilleusement le pari d’ une cuisine où la rigueur et la technicité des savoir-faire français s’associent à la nature d’une gastronomie italienne, plus simpliste dans son exécution, mais mettant davantage en avant la pureté du produit. La carte est variée et adaptée à garantir le respect et la fraicheur dus à la qualité des matières premières utilisées. Ici, le garde manger est bien évidemment frais et de saison, poissons et crustacés issus de la pêche locale ; les fournisseurs du continent (agriculteurs, éleveurs, fromagers, vignerons…) ont été sélectionnés parce qu’ils sont les dignes représentant de leur metier et qu’ils proposent l’excellence dans leur domaine. Les plats et les mets s’enchainent avec légèreté. Un dressage minutieux permet d’associer plaisirs olfactifs et visuels. En entrée, on retrouve crèmes, tartes et feuilletages élaborés, des tartares et poélées de poissons et de crustacés. Les Pasta sont exécutés dans le respect total de la gastronomie italienne, toujours inventive, harmonie subtile de formes et de sauces. L’assaisonnement et la cuisson des viandes et poissons sont parfaitement maîtrisés et souvent associés à des parfums de truffe ou d’épices du maquis. Les desserts ne dénotent en rien avec le reste et achève le repas par un florilège de douceurs sucrées. À 15 minutes seulement en bateau du port de Piantarella, situé sur la commune de Bonifacio, voici un adresse incontournable pour le fin gourmet… ...
Dirigé par la famille Petit, cet établissement entièrement rénové en 2012, axe sa cuisine sur son savoir-faire et sa passion pour le produit donnant naissance à un bistrot grill spécialisé dans les viandes et poissons grillés. Longé par la Mourachonne, petite rivière affluent de la Siagne ayant donné son nom au restaurant, il offre une atmosphère chaleureuse et exotique. Un restaurant riche en histoire Niché au cœur de Pégomas, ce restaurant fût jadis la boulangerie du village. Sa localisation centrale sur la place du Logis a toujours fait de cet emplacement un lieu de passage pour rallier le littoral. Au fil du temps, cette bâtisse faite de pierres de taille entièrement rénové à inspirer la famille Petit pour y créer ce lieu de ralliement dédiés aux passionnés de viandes et de produits du terroir. Dans cet endroit élégant et chaleureux où règne une ambiance authentique, les valeurs culinaires artisanales et l’esprit convivial de partage sont à l’honneur. La décoration et les matériaux choisis offrent un savant mélange entre chic et modernité. La salle principale baigne dans une luminosité grâce à une véranda entourée de baies vitrées donnant directement sur le jardin exotique en bambou. Le Grill M, c’est ainsi un cadre raffiné dans une atmosphère conviviale et familiale, à travers une équipe avenante vous faisant découvrir avec enthousiasme leur vision de la gastronomie. Rencontre avec les chefs Le restaurant vibre autour des deux maestros en cuisine. D’un côté, Lionel Loterie qui assure la direction de la cuisine et partage son amour pour la gastronomie française. D’origine parisienne et fort de ses nombreuses années d’expérience dans la capitale puis à l'embouchure marseillaise, ce chef propose des suggestions où souci du détail s’allie à l’art de la présentation des assiettes. Sa signature se reconnaît à travers la cuisson des poissons travaillés avec soin et au juste dosage des épices du monde qu’il peut associer à ses compositions. Il s’est également bâti une solide réputation dans l’univers de la pâtisserie. Quant à Michel Pietrus, il est l’autre atout du Grill M. Ce chef cuisinier, originaire des Antilles offre une cuisine riche et généreuse aux saveurs provençales, pleines de soleil. Il propose un incroyable voyage culinaire issu de son pays natal et de son expertise où viandes, marinades, et saveurs exotiques font partie de ses spécialités et de son identité. Une cuisine spécifique Le Grill de la Mourachonne doit sa notoriété à son bistrot grill qui met à l’honneur les viandes et les poissons grillés. Pour ce faire, les chefs travaillent en étroite collaboration avec les éleveurs, producteurs locaux et régionaux. Soucieux d’offrir des produits de qualité et dignes de ce nom, l’établissement s’approvisionne par exemple chez des éleveurs bien connus comme l'éleveur boucher Polmard ou encore le château Pesquié pour ses accords mets-vins. Une rigueur qui se reflète au travers de la carte et des suggestions quotidiennes recherchées et créatives. Pour réaliser cette cuisine faite maison, l’établissement s’attache à la recherche des beaux produits issus du terroir. Avec les producteurs locaux, il cultive des valeurs qu’ils défendent en commun : manger frais au fil des saisons avec une traçabilité optimale. ...
Une race de prestige La Limousine est une race à vocation bouchère originaire de la région du Massif Central, à la robe froment vif. Son excellent rendement en viande et sa facilité d’élevage ont fait d’elle la deuxième race à viande en France avec plus d’un million de têtes pour plus de cinq-mille éleveurs dans tout l’Hexagone. Un mode de production spécifique La production de Bœuf Limousin est encadrée depuis 1988 par un cahier des charges Label Rouge qui garantit de bonnes pratiques d’élevage (élevage au près, densité à l’hectare et en bâtiment limitées, …) mais aussi les bonnes pratiques de transport et d’abattage (conditions de transport maîtrisées, abattage dans le respect des bonnes pratiques et de la règlementation). Avec une alimentation à base d’herbe, (87% au minimum consommée au pré ou en fourrage), complémentée avec des céréales. Une viande haut de gamme et de qualité supérieure La qualité supérieure de la viande est ce qui fait sans le moindre doute sa renommée : « elle a la particularité d’être peu grasse, tendre et savoureuse. Il est possible de tirer parti de tous les morceaux. Toutes les pièces sont utilisées mais les plus fameuses sont certainement l’entrecôte, le faux filet et le rumsteck souligne Jean Marc Escure. Sa qualité est garantie par des tests organoleptiques menés en laboratoire » conclut-il. ...
À l’entrée de l’île de Noirmoutier, juste à côté du pont, La Maison sur l’Eau émerveille par sa simplicité et son élégance. La demeure au charme maritime arbore fièrement son allure au style colonial, mêlé à une certaine touche de modernité. Une promesse de voyage dans le temps, à travers vents et marées, où la détente et le plaisir sont les mots d’ordre ! Un hôtel de charme Créée en 1870, La Maison sur l’Eau est un ancien relais des voyageurs. Rénové et décoré au goût du jour tout en préservant son esprit d’antan, l’établissement est aujourd’hui un hôtel de référence à Noirmoutier, avec ses quatre étoiles bien méritées. En tout, l'hôtel dispose de deux chambres et quatre suites duplex avec vue sur la mer. À l’image de la bâtisse, chaque pièce dégage une ambiance sobre, chic et conviviale. À cela s’ajoute un écrin de verdure avec son jardin exotique, une piscine-solarium, un jacuzzi et divers autres services, dont le bateau de l’hôtel avec ski nautique à la disposition des clients, ainsi qu'un paddle et un canoë-kayak et enfin des massages sur rdv. Un restaurant gastronomique Au milieu de cet endroit féérique, les gourmets ne sont pas en reste ! En effet, La Maison sur l’Eau dispose aussi d’un restaurant gastronomique, dont les 300 m2 de terrasse offrent une vue imprenable sur la baie. Sur réservation, le chef Bruno Raballand y propose une cuisine traditionnelle à base de produits frais et de qualité issus du terroir. Au gré des saisons, la carte suggère des plats variés avec une alliance terre-mer. L’occasion pour les convives de découvrir les spécialités de la région, dont le fameux homard grillé, l’appétissant plateau de fruits de mer ou encore le succulent magret de canard de Soulans sauce miel et le filet de bar rôti sauce beurre nantais. Par ailleurs, la carte de vins recèle quelques pépites du vignoble vendéen, sans oublier les grands classiques. ...
À travers une belle association de tradition et de saveurs, le Restaurant Chez Féraud (puisque c’est de lui qu’il s’agit), propose une cuisine gourmande et généreuse où la fraîcheur et l’authenticité de la Provence se conjuguent au présent jusque dans les assiettes. Un emplacement privilégié Reliant la rue Granet à la rue Loubon, la rue du Puits-Juif, où l’établissement est implanté, se trouve dans un quartier historique, ce qui fait tout son charme et sa particularité. Ce privilège constitue pour l’enseigne un atout majeur qui joue en faveur du lieu et qui fait qu’il soit particulièrement apprécié des clients. Dans une ambiance simple et bon enfant, le restaurant surprend autant qu’il séduit avec son décor intemporel, et avec juste ce qu’il faut comme dose d’audace et de curiosité. Grâce à une belle devanture joliment couverte de lierre, il est non seulement un véritable plaisir pour les yeux, mais aussi une excellente adresse, où la gourmandise et la découverte sont en parfaite harmonie. Une délicieuse cuisine aux accents de Provence Chez Féraud, c’est aussi l’histoire d’une famille de cuisiniers à l’ancienne dont le goût pour les recettes familiales s’est jalousement transmis de père en fils. C’est ainsi que derrière les fourneaux de cette belle adresse, mijotent en permanence de bons plats traditionnels aux accents du Sud pour ne citer que la soupe au pistou, la dorade royale à la provençale et les clémentines semi-confites avec, à côté, la daube et les pieds paquets marseillais ou encore les figues rôties au miel et au caramel. Un parfait accord mets-vins qui met à l’honneur des valeurs sûres comme les coteaux d'aix-en-provence et vient sublimer le tout, constituant une véritable surprise pour les papilles. ...
Une histoire de vins Créée en 1822 par Louis NICOLAS, la petite boutique de vins du 53 rue Sainte-Anne à Paris ne connaît son véritable essor que quelques années plus tard, quand le gérant a l’idée, saugrenue pour l’époque, de commencer à livrer ses vins au domicile des particuliers. NICOLAS avait déjà surpris le monde parisien quand il s’était lancé dans la commercialisation de vins en bouteilles, alors que ses contemporains n’achetaient et ne vendaient que leurs produits en barriques ou tonneaux. L’idée fonctionne et la Maison NICOLAS multiplie les ouvertures d’établissements, jusqu’à compter 42 enseignes partout en France au tournant du XXe siècle et près de 140, une vingtaine d’années plus tard. Aujourd’hui, le numéro un et plus ancien distributeur de vins en France est présent sur tout le territoire avec près de 500 boutiques (dont 10 dans les départements d’outre-mer) et à l’étranger grâce à un réseau d’établissements et de franchises. Le groupe confirme son ambition internationale en ouvrant régulièrement des succursales en Belgique et en Suisse et des franchises au Maroc, au Royaume-Uni et même à Beyrouth au Liban. Plusieurs innovations et idées nouvelles ont accompagné le développement de l’enseigne et continuent aujourd’hui à contribuer à la notoriété populaire de la marque. Car non content d’avoir démocratisé un nouveau format de bouteille auprès des particuliers, la Maison NICOLAS a utilisé a son bénéfice l’essor d’un nouveau média de communication, la publicité, en créant, en 1922 un personnage attachant et directement reconnaissable : Nectar, le livreur moustachu aux bras chargés de bouteilles. Plus tard, la Maison NICOLAS sera encore précurseur en proposant le beaujolais nouveau à grande échelle, puis en mettant les vins de pays de France à l’honneur de sa carte et à des prix abordables. Une qualité constante sur chaque bouteille Une équipe d’une demi-douzaine de personnes est dédiée à la qualité des vins dont trois d’œnologues qui œuvrent constamment en coulisse pour sélectionner chaque année les meilleurs nectars des différents terroirs français et des autres régions du monde où NICOLAS choisit ses vins. Tous les vins sont goûtés, même quand il s’agit d’un changement de millésime, par cette petite équipe (8591 dégustations d'agréage effectuées en 2017). Le chiffre est variable selon la période de l’année, mais ce sont près de 1 200 références qui sont disponibles sur Internet et dans les différentes boutiques de l’enseigne à chaque instant, et dont il faut s’assurer de la qualité constante sur chaque bouteille. Ce contrôle de qualité permet de retirer immédiatement de la vente une référence si elle n'affiche pas toutes les qualités qu'elle avait préenté lorsqu'elle a été agréée. De même, chaque bouteille qui revient en magasin, si par exemple le client estime que ses qualités gustatives sont altérées, est directement envoyée au laboratoire du Groupe pour vérification. Ce qui permet des échanges constructifs avec chaque fournisseur que la Maison préfère nommer " partenaire ". Cette qualité dans la sélection des bouteilles se retrouve tout naturellement dans les cuvées spécifiques de la Maison. Même s’il reste essentiellement un revendeur de vin, NICOLAS propose quelques « cuvées Nicolas » spécialement assemblées pour l’enseigne par sa propre équipe d'oenologues. Les gammes couvrent les trois couleurs classiques avec des propositions à des prix abordables. On retrouve dans la gamme Cub. Collection NICOLAS quelques merveilles dont un AOC côtes-du-rhône, composé principalement de syrah, qui s’avère surprenant. Proposé dans un format cubique à l’emballage moderne, il trouve facilement sa place sur un coin de table. Les Vinissimes, le nouveau salon haut de gamme Le premier caviste de France organise aussi chaque année un salon haut de gamme pour présenter quelques-unes de ses plus pres...
Situé aux portes du Verdon à seulement trente minutes des côtes varoises, le Restaurant Le Nid a ouvert ses portes au public en 2015, à l’initiative du couple Émilie et Davy Jobard. Postée sur la route de grands domaines de vins dans le charmant village provençal de Flayosc, on peut dire que cette ancienne pizzeria a plutôt réussi son incroyable reconversion. Un établissement au nom évocateur Sous des dehors de pépinière gourmande, à la table un chouïa bourgeoise, cet établissement au nom évocateur baigne dans une ambiance intimiste, à l’image d’un parfait nid douillet, où le jeune couple de cuisiniers a bien pris ses marques. Dans un cadre cosy où émane une belle convivialité, ce restaurant au service agréable séduit par son ambiance feutrée dans laquelle on aime se retrouver en famille ou en amoureux, à la recherche de détente et de bien-être. Oui, il faut dire que la cuisine faite minute et bien tournée du chef, combinée avec l’accueil personnalisé de la maîtresse des lieux, y sont pour beaucoup. Une cuisine de marché au fil des saisons Très belle enseigne pour amoureux, le Restaurant Le Nid est un haut lieu de restauration où les compétences et l’expérience de deux talents se valent et se complètent en parfaite osmose. À travers une cuisine de marché au fil des saisons, concoctée à base de produits qui mettent à l’honneur le savoir-faire de petits producteurs locaux, le lieu nous embarque dans une farandole d’authentiques saveurs provençales comme on les aime. ...
Ayant fait ses débuts en toute confidentialité, la marque initiée par un duo d’enfants terribles de la restauration se fait vite remarquer. Les fondateurs Fabien Gomez et Loïc Cheveu font montre d’un savoir-faire qui convainc les grands comptes. Depuis 2012, ils sont de plus en plus nombreux à associer le nom du traiteur parisien à leurs événements. Privés ou pour le compte d’entreprises, ces rendez-vous bénéficient alors d’un service où compétence et discrétion, attention et qualité se déploient en bonne mesure. Des hommes et des femmes de talent Sens Gourmand est une adresse jeune, mais son ADN est nourri par l’expérience de l’équipe qui la compose. Parlant des talents qui ont vu l’impulsion de son aventure, l’enseigne livre un beau palmarès. Les deux fondateurs affichent chacun un parcours ponctué de contacts remarquables auprès de brillantes références. Loïc Cheveu étoffe ses compétences en service traiteur en évoluant au sein de maison de prestige comme Potel et Chabot, un parcours qui n’étonne que peu chez celui qui a fait ses gammes dans de prestigieuses adresses comme le Grand Vefour et la maison Lenôtre elle-même. Son comparse, Fabien Gomez, principal fondateur, n’a rien à lui envier côté CV. Son chemin l’a mené dans l’intimité de Benoît Guichard et de Joël Robuchon après ses débuts dans un deux-étoiles lyonnais. Le directeur général, Olivier Lepetit, les rejoints en 2010 ; Olivier a lui acquis une solide expérience de l’organisation d’événements chez Potel&Chabot, mais également en Grande-Bretagne où formé par le majordome de la Reine d’Angleterre, il va officier auprès de grandes familles. Le produit au cœur d’une cuisine inventive et locavore Ayant à cœur de développer pour sa clientèle une gastronomie « claire, précise et lisible », Sens Gourmand place le produit au centre de son métier au quotidien. Lorsque le bataillon de la maison se met en œuvre, c’est dans une intention créative empreinte d’audace et d’innovation mais en gardant la maîtrise. L’esbroufe ? Très peu pour cette enseigne qui nourrit pour le produit et la saisonnalité un respect quasi sacré. Ici, l’on vibre entièrement local et l’on évite les tendances éphémères. L’on attend que les vergers français aient livré leurs poires, leurs pommes et leurs fraises pour les intégrer dans des recettes plutôt que de les proposer hors saison, en les faisant venir du bout du monde. Tout cela n’empêche pas ces professionnels d’apporter des réponses sur mesure aux demandes de sa clientèle, aux plus simples comme aux plus originales. Au final, les particuliers et les entreprises accèdent à des gammes de saveurs où la finition visuelle fait également l’objet du plus grand soin. Un service remarquable Fiabilité et constance sont les maîtres mots du service qui accompagne les prestations de Sens Gourmand. Attachant une grande importance à l’écoute du client, l’adresse sait apporter sa dose de créativité sans jamais contraindre son prospect. Au-delà du service repas lui-même, l’enseigne met un point d’honneur à penser rigoureusement chaque détail qui pourrait faire la différence sur chaque événement. Selon les souhaits du donneur d’ordre, les décorations des tables, comme la mise en scène des buffets sont conçues pour un fini plus décalé, épuré ou classique. Quant à la décoration florale, elle est assurée par une jeune et talentueuse décoratrice florale Céline B. Sens Gourmand complète sa gamme de service offert à ses clients d’entreprises par un service de recherche de lieux gracieux et efficace ...
Le champagne est symbole de célébration, de bonheur et de la douceur de vivre à la française. Conserver l’authenticité de cette cuvée mythique relève d’un art, que le Champagne Loriot Xavier maitrise avec grande précision comme l’exige son statut de vigneron indépendant. Mieux, la maison sait réinviter en permanence sa belle collection pour être créatrice d’émotion et d’émerveillement. Conseil de dégustation L’élégance envoûtante du champagne 100S Sans Sulfites Ajoutés Extra Brut s’accorde harmonieusement avec les mets à base de poisson, de coquillages et de crustacés. Élaborée à partir d’un assemblage de chardonnay et de pinot noir, cette création atteint une symbiose parfaite entre caractère et finesse. Une attaque ronde et soyeuse succède au nez intense sur des notes de fruits blancs et de fruits secs. La fraicheur, la tension et la pureté en bouche signent la grandeur de ce champagne aux bulles vives cristallines. « Il représente vraiment l’aboutissement de notre volonté de travailler en harmonie avec l’environnement », nous confie Charlène Loriot, de la 5e génération, aujourd’hui à la tête de l’entreprise. Pour accompagner les recettes de volaille et de viande blanche, le choix s’oriente plus vers le champagne Hynoptic Brut, Brennus d’or à la Foire de Sens 2018. Cette cuvée est le fruit d’un assemblage de chardonnay, de pinot meunier et de pinot noir issus des meilleurs coteaux de la vallée de la Marne, conduits en lutte raisonnée. L’étape de la fermentation malolactique lui confère un nez subtilement grillé, tantôt mentholé, tantôt minéral, qui transite vers un arôme boisé exhalant des notes végétales. La plus sincère expression du terroir, Hypnotic Brut incarne à merveille le style de la maison : fin, intense et aérien. À déguster sur du canard à l’orange ou encore du jambon de parme et confiture de griottes. Le Fragment de Noirs du champagne Loriot Xavier s’invite au plat principal, en accompagnement de mets à base de viande rouge (petit gibier à plumes et ses cerises compotées, mignon de veau truffé cuit à la ficelle, etc.) ou de la cuisine thaïlandaise. Il est issu de la meilleure sélection de cépages noirs, dont 65 % de pinot meunier et 35 % de pinot noir. Sa robe dorée scintillante suggère un nez de fruits jaunes à pleine maturité, enveloppant un arôme de pain d’épices et de cacao. Cette belle nervosité se poursuit en bouche par une attaque souple et franche. S’enchaîne un tourbillon de palette aromatique agréablement fruitée, qui se termine en élégance sur une note de fruits secs. Au dessert, douceurs sucrées aux fruits rouges ou fromage, le domaine propose sa création Collision Meunier Rosé, en monocépage pinot meunier. Gâtés par une exposition plein sud sur un terroir crayeux, les cépages donnent cette cuvée tannique à la personnalité corsée, qui ne trahit pas à son style contemporain. Sa robe rouge saumonée surprend par la pétillance de ses bulles fines. Le nez est marqué par des arômes de violettes relevées délicatement par une note iodée. La bouche, elle, est plus tourbée, évoluant vers une douceur finement fruitée. Des cuvées uniques Au mois de septembre 2018, la maison Loriot Xavier lance son dernier-né, conçu en 100 % pinot noir. « Ce champagne sera issu exclusivement des vieilles vignes de mon arrière-grand-père », nous souffle notre interlocutrice. Une série intime au nombre très limité de 3 000 bouteilles. Pour compléter la gamme, le Blanc des Blancs Insaisissable Brut en monocépage chardonnay est également à (re)découvrir. D’une grande richesse aromatique, ce champagne enivre les palais avec subtilité et fraicheur. La bouche exprime les typicités du terroir et rappelle la parfaite maturité du cépage. À servir idéalement en apéritif ou en dégustant des beignets de légumes, des fruits de mer, des langoustines ou du filet mignon. Ce champagne est salué par les meilleurs guides de vins : Dussert Gerber 2012 (4 étoiles), Gilbert et Gaillard 2012 (...
Les Vignobles Jander s’épanouissent sur une exploitation de 17 ha, où le merlot (53 %) et le cabernet sauvignon (47 %) règnent en exclusivité. Le terroir est départagé entre deux types de sols : un terrain sablo-graveleux pour le Château Sémeillan-Mazeau et argilo-graveleux pour le Château Jander. Vinifier dans les règles du bio Depuis 2012, la maison conduit son exploitation selon les principes de l’agriculture biologique. Cette méthode assure que les vins gagnent en équilibre et expriment pleinement le terroir. Une réelle fierté, comme l’affirme Maxime Julliot, directeur du domaine : « Depuis 2015, nous sommes la seule propriété certifiée en agriculture biologique sur les appellations Moulis et Listrac-Médoc. » Dès lors, le traitement des vignes respecte un cahier des charges bien défini, qui allie judicieusement tradition et modernité. La vinification s’opère dans un chai « très pratique à travailler », selon les termes de notre interlocuteur. L’endroit est en effet équipé de matériels de pointe comme des cuves thermorégulées, donnant la possibilité de diversifier les modes de fermentation, et des cuves extrêmement larges, qui permettent l’extraction des tanins pendant la fermentation. La maison met de côté le foulage pour permettre des vinifications plus respectueuses de la matière première. Par ailleurs, le processus de vinification est réalisé avec patience et délicatesse. À titre illustratif, la période d'élaboration de la cuvée « Sémeillan-Mazeau » s’étend sur presque 30 mois. Dans un premier temps, les récoltes des vendanges parcellaires sont vinifiées et élevées séparément pendant un an. Au bout de cette période, chaque lot de vin est encore retravaillé pendant 12 mois afin de bien accentuer toutes les caractéristiques des raisins (structure, arômes…). Ce temps écoulé, l’équipe du domaine procède enfin à l’assemblage dans les cuves. « La séance d’assemblage n’est pas qu’une somme des caractéristiques. L’objectif est de créer un juste équilibre entre ces différents composants », révèle Maxime Julliot. Et pour un résultat impeccable, six mois de plus sont nécessaires pour stabiliser les vins et les préparer à la mise en bouteille. Un vin pour une appellation À chacune des deux appellations correspond une cuvée qui arbore idéalement tous les traits particuliers de son terroir. « Notre stratégie de produits consiste à rassembler tous les vins d’une appellation dans une bouteille. » Ainsi, l’appellation Moulis est représentée par la cuvée « Château Jander », qui est un millésime aussi élégant que complexe. « Le Château Jander est fait pour les gens qui aiment les ‘’vins sérieux’’», a voulu préciser avant tout notre interlocuteur. En effet, ce vin fait partie du haut de gamme, à en juger par la qualité de ses cépages issus de vieilles vignes (25 ans en moyenne), élevées sur terroir argilo-graveleux, et la façon dont ceux-là sont travaillés. Ainsi, contrairement au Château Sémeillan-Mazeau, l’assemblage des cuvées s’effectue dès que la vinification est terminée. Au bout de longs mois d’élevage en barrique naît un vin puissant avec des tanins aussi souples qu’élégants. Quant à l’appellation Listrac, elle se révèle à travers les bouteilles de « Château Sémeillan-Mazeau ». Ces cuvées sont caractérisées par leurs notes de fruits rouges et de bois très harmonieuses. Tandis que la fraicheur de leurs arômes crée un véritable moment d’émotion pour les papilles, la souplesse de leurs tanins ne fait qu’accentuer le plaisir à la dégustation. Ainsi, le Château Sémeillan-Mazeau est aussi idéal en apéritif qu’en accompagnement du repas, sans compter qu’il se marie quasi avec tous les types de plats. On distingue parmi les meilleures références de cette cuvée le mill...
Situé dans la ville d’Huningue, le restaurant Le Vauban est un lieu privilégié qui gagnerait à être connu. Se trouvant à 150 m de la passerelle piétonne des trois pays menant vers l’Allemagne et à 2 km à peine de la Suisse, ce petit coin de paradis bien connu de l’Alsace est loin d’avoir livré tous ses secrets, vous laissant ainsi la surprise de la découverte. Un lieu chargé d’histoire Édifiée à l’époque des fortifications de Vauban, la bâtisse qui abrite le restaurant est vieille de plus de trois cents ans. Depuis plus d’un siècle, l’établissement a baigné dans l’hôtellerie-restauration à travers différents décors en passant du stade d’hôtel à celui de restaurant et de bar avant de se transformer en cette charmante « brasserie sans prétention » décrite par l’actuelle propriétaire, Isabelle Godhbane, qui d’ailleurs, tient à garder ce côté familial. C’est un lieu chargé d’histoire qui a su garder un côté rustique et moderne à la fois. Le plaisir et la satisfaction s’y conjuguent au présent. La surprise de la découverte aidant, le lieu attire de nombreux visiteurs qui n’ont qu’une hâte : celle d’y retourner ! Une cuisine entre tradition et modernité La cuisine du restaurant se veut traditionnelle avec toutefois une légère pointe de modernité dont seul le Chef connaît le secret. Travaillés avec le maximum de produits frais, les plats sont goûteux et particulièrement généreux. Ce qui donne, selon Isabelle Godhbane, le sentiment d’être «|comme à la maison mais avec le petit plus qui va donner envie de sortir ». Alliant cuisine du terroir et cuisine plus moderne, l’établissement reste cependant dans le registre du traditionnel français et fait de ses spécialités alsaciennes ses meilleurs plats d’hiver. Les tartes flambées restent ses produits phares dont la plus appréciée est la forestière gratinée à laquelle viennent s’ajouter ses tartes flambées végétariennes qui font un vrai tabac. Travaillant sur les groupes et les réservations, l’établissement a depuis longtemps supprimé les menus de son ardoise. Les choix se font uniquement sur la carte avec aussi des plats sur commande, le tout à juste prix et à la portée de toutes les bourses. Le vin d’Alsace à l’honneur La carte des vins de l’établissement est riche de près de 25 références avec une forte proportion de vins alsaciens. Situé au cœur des trois frontières, à 200 m de la frontière allemande et à 350 m de celle de la Suisse, le carrefour international de Bâle astreint le restaurant à aligner le plus grand nombre de vins alsaciens reconnus d’ailleurs pour leur finesse et leur élégance, et ce, pour tous les cépages. En dépit de cette préférence, il convient de noter que l’ensemble des vins du restaurant reste bien français avec tous les trois mois des vins différents. Tous les vins sont par ailleurs proposés aussi bien au verre qu’en pichet, en quart et en demi. Parmi les best-sellers figure le puissant et très aromatique gewurztraminer, une très belle référence alsacienne. Le petit plus qui fait la différence Pour remercier ses clients de leur fidélité, le restaurant Le Vauban a une façon bien particulière de le montrer. Loin de l’idée de se faire juste de la publicité, il tient particulièrement à cœur d’organiser des petits concerts réguliers, notamment en été, pour apporter un plus à la clientèle. C’est aussi pour la maison, une manière de leur dire « merci d’être là toute l’année ». On y retourne pour le plaisir et aussi pour la qualité de la cuisine et du service. Et c’est ce qui fait toute la différence ! ...