Les mots ne seront jamais suffisants pour décrire toute la splendeur de cet endroit qui, ne serait-ce qu’au regard, vous aide à atteindre le « nirvana ». Imaginez un déjeuner sur une terrasse bordée par une rivière, la valse de ce ruissellement qui vous berce pendant que vous vous régalez de la truite au bleu du vivier. Une cuisine du terroir Il est de coutume chez les Arcé que l’homme soit aux fourneaux et la femme à la réception. Pascal et Christine travaillent donc de concert pour faire tourner cet établissement. Installée à la place de l’ancien trinquet, la table du restaurant présente des plats colorés et ce n’est pas qu’une simple façon de parler. Les cuisiniers aiment chouchouter les plats en soignant le visuel. La cuisine du chef s’inspire des saisons et met en valeur les produits du terroir. Ainsi, il se lie de partenariat avec les habitants de la vallée pour l’acquisition des truites. Lors d’une commande, cette dernière est capturée dans la Nive des Aldudes, devant le regard émerveillé du client. Moins spectaculaire mais aussi succulente, la truite de Banka commandée auprès de la célèbre pisciculture Goicoechea saura enchanter vos papilles. Elle est cuisinée sous plusieurs formes : en carpaccio, en tartare, cuite… Autre spécialité de la maison : « l’Agneau de lait en fricassée, artichauts violets à la barigoule, pomme de terre vitelotte, jus réduit au thym » qui fera le bonheur des gourmands et gourmets. Et en dessert, savourez le « Praliné Bayonne-Baïgorry, choux crème au praliné, glace et tuile aux amandes ». Ce menu est surement celui qui reflète le mieux la cuisine typique du terroir basque. Une nature paradisiaque qui offre mille et une activités Qui ne désire pas s’évader du rythme infernal des métropoles, de la pollution urbaine ? Vous avez longtemps cherché un endroit qui soit à la hauteur de vos attentes, celui-ci sort tout droit de vos rêves. Dans un décor de carte postale ou de fond d’écran pour les plus jeunes, la maison Arcé se présente comme un havre de paix. Le dépaysement est assuré, surtout si vous optez pour un séjour. Ce vaste espace est idéal pour une virée en amoureux, entre amis ou une réunion de famille. Plusieurs activités sont proposées à l’intérieur comme à l’extérieur du domaine Arcé. En plus de la piscine chauffée et du terrain de pétanque, cet environnement authentique de Saint-Étienne-de-Baïgorry offre différentes possibilités en matière d’activités ludiques et sportives. Le relief est particulièrement propice à la randonnée pédestre ou équestre et Christine Arcé aura le plaisir de vous expliquer les différentes balades pouvant s’enchainer entre le pic du Jara, le mont Hautza, l’Oilarandoy avec la chapelle Notre-Dame, le col d’Ispéguy et autres sites aussi extraordinaires les uns que les autres. Vous découvrirez lors de vos promenades les porcs pies noirs en montagne ou encore les pottoks, petits chevaux sauvages du Pays Basque. Pour les plus courageux, il est tout à fait possible de faire du VTT, de la trottinette tout terrain, du tandem mais également un baptême de parapente au Baïgura, à Hélette. Vous pouvez également faire une halte à Biarritz ou à Saint-Sébastian pour visiter leurs musées de la Mer. De nombreuses autres activités existent, comme le karting à Briscous, le spectacle de vaches landaises à Saint-Jean-le-Vieux, l’initiation à la pêche à la mouche... Bref, il y en a pour tous les âges et pour tous les gouts. Vous aurez donc une journée bien remplie, voire plus, et gagnerez en sérénité et en bien-être. ...
La distillerie a été fondée par Jean-Paul Metté dans les années 60. Autodidacte, il a appris les ficelles du métier au contact de l’un de ses voisins distillateurs. En 1985, il prend sous son aile le jeune Philippe Traber, son filleul, pour le former à son art. En 1997, à la suite d'ennuis de santé, Jean-Paul cède son affaire aux mains désormais expertes de Philippe et de son épouse Nathalie. Actuellement, la relève est assurée par Timothée et Mathieu, respectivement fils et neveu de Philippe. Le choix de la qualité Bien plus qu’une ligne de conduite, la qualité est une devise pour la distillerie Metté. Et c’est pourquoi la maison a toujours voulu préserver sa taille humaine tout en conservant les anciens procédés artisanaux alsaciens. Parmi les 87 types d’eaux-de-vie et 28 sortes de liqueurs fabriquées par la maison, la « Poire Williams » est celle parmi les incontournables. « Dans la bouche, elle est vraiment exceptionnelle. On a l’impression de croquer dans le fruit », s’enflamme Nathalie à son évocation. Toujours à la recherche de nouveaux produits, la distillerie Metté a lancé FASS, une collection de trois eaux-de-vie de caractère, avec des promesses d'expérience en bouche allant de soyeuse à franche. ...
Le Centre-Val de Loire, une grande région gastronomique Des pommes aux poires en passant par les cerises, les asperges et la mâche, la région produit de nombreux fruits et légumes primeurs de qualité pour agrémenter les repas. Le Val de Loire se veut aussi être une importante région productrice de fromages, de miel, de safran, de poulet connu sous le nom de géline de Touraine et de poissons tels que le sandre, le brochet, la carpe et la brème. Les spécialités culinaires sont composées, entre autres, des coquilles Saint-Jacques à la nantaise, du bar en croûte de sel, du matelote des tonneliers et de la tarte tatin. On y trouve aussi les crémets d'Angers, qui consistent en une crème fraiche battue avec du fromage et du blanc d’œuf, ainsi que le matelote d'anguille, une étuvée de poisson au vin rouge d'Anjou. Cette région est aussi connue pour son vignoble, qu’on appelle le « vignoble du Val de Loire », qui produit de délicieux vins d’AOC Muscadet et d’AOC Anjou. Il est encépagé, entre autres, de chenin, de cabernet franc, de cabernet sauvignon, de gamay, de sauvignon et de pinot noir. Tradition française et créative L’Arôme se trouve en pleine ville, à proximité de l’église Saint-Julien, dans une zone qui contient de nombreux restaurants. L’intérieur du bâtiment est sobrement décoré de tableaux de bouteilles de vin. Avant la création de L’Arôme, Mickaël Teluk a été sous-chef cuisinier à l'Atelier Étoile de Joël Robuchon et travaillé au Choiseul avant devenir chef cuisinier au Bistrot de la Tranchée à 24 ans. Sûr de ses compétences, il ouvre L’Arôme en 2010 afin de travailler à son compte et pour mieux exprimer ses talents culinaires. Mickaël Teluk propose une cuisine traditionnelle française créative. « En cuisine, le gout est essentiel. Nous souhaitons faire découvrir à nos clients une autre version de la cuisine, celle d’une cuisine traditionnelle française au gout revisité », nous explique-t-il. Une cuisine légère et authentique Le ticket moyen du restaurant est de 15 € le midi et de 30 € le soir. Mickaël Teluk met un accent fort sur la qualité, c’est pourquoi sa carte change au gré des produits de saison et de son inspiration. En guise d’entrées, le chef propose le marbré de cèpes : une terrine accompagnée de pommes de terre, de cèpes et de lardons ; il est servi avec une sauce bordelaise et s’accorde parfaitement avec la Folie du domaine Château Yvonne. Autre découverte : le Cromesquis de chorizo avec tartare de green zebra, préparé à base de chorizo et de lard ; il est accompagné par de la tomate fraiche et de la feta douce ; il s’accorde parfaitement avec des vins d’AOC Anjou comme le Château du Fresne Anjou. Après cette mise en bouche, enchainons avec les plats principaux. Le tronçon de joue de bœuf fondante est un assortiment de joue de bœuf, de choux croquants et de gnocchis. Pour la présentation, la joue de bœuf est placée au milieu d’une assiette plate autour de laquelle sont disposés les gnocchis poêlés. On y ajoute ensuite le jus avec des pétales de tomates séchées. La brandade safranée aux endives rouges braisées et moules marinières est une recette de pommes de terre cuites avec du safran, des endives rouges braisées au vin rouge et des moules marinières réalisées selon la tradition. Elle s’accompagne d’une sauce coraline réalisée à partir de têtes de langoustine. Les saveurs sucrées parachèvent d'assurer la réputation de L’Arôme. La barre chocolatée est un biscuit de pâte sablée à la polenta sur lequel on coule une ganache avec de la framboise fraiche. Le glaçage est ensuite réalisé avec du chocolat. Elle est servie avec un coulis de fruits rouges et un sorbet de framboise. La poire pochée aux épices, ganache au gingembre et crème glacée à la vanille bourbon est un assortiment de poire pochée, d’épices, de gingembre, d’une ganache au chocolat et de crème. ...
Le Vignoble des 2 lunes est un domaine familial qui existe depuis 7 générations. Amélie et Cécile Buecher y ont passé leur enfance. Passionnées par le travail de leurs prédécesseurs, elles ont opté pour des études en œnologie. Amélie, l’ainée, a fait un bachelor en viticulture œnologie suivi d’un master en commerce international des vins et spiritueux. Quant à Cécile, elle a fait des études de commercialisation et de management en vin pour finir avec le même master. Le Vignoble des 2 lunes fait partie du vignoble d’Alsace couvrant une superficie de plus de 15 500 hectares de terrains plantés, entre autres, de riesling, de gewurztraminer, de sylvaner, de pinot et de muscat. Son terroir est composé de calcaire, de granite, de schistes, de gneiss et de grès. L’appellation Alsace produit des vins bio, des vins effervescents d’appellation Crémant d’Alsace, des vins blancs d’appellation Alsace et Alsace grand cru, des vins rouges et rosés d’appellation Alsace. Ce sont vins puissants, intenses et fruités. Agriculture bio et biodynamique Le Vignoble des 2 lunes comprend des vignes de coteaux très rares en Alsace. Celles-ci se trouvent sur des sols marno-calcaires, argilo-calcaires, granitiques et encépagés de riesling, de gewurztraminer, de muscat de pinot blanc et noir. Le domaine est certifié en agriculture bio et biodynamique. Amélie et Cécile Buecher sont de ferventes défenseuses des méthodes de culture artisanale. « On travaille avec les mouvements de la lune, on n’utilise pas de pesticides, on fait notre propre compost maison », nous explique Amélie Buecher. Le désherbage se fait à la main, mécaniquement ou avec des chevaux. Les vendanges, la vinification et l’élevage sont faits traditionnellement. Le Vignoble des 2 lunes, ce sont 25 références de vins élaborés, dont 4 crémants en brut nature zéro dosage, des cuvées tradition, des vins de terroir produits sur des parcelles situées à des endroits spécifiques, des vendanges tardives, des sélections de grains nobles, une liqueur élaborée à base de jus de raisin gewurztraminer, des schnaps, les grands crus Hengst et Hatschbourg. Le Crémant Clair de lune, un savoureux effervescent Le Crémant Clair de lune est un vin effervescent produit exclusivement avec du pinot noir, mais vinifié en blanc. Il a une belle couleur jaune dorée. En apéritif, il peut accompagner un tapas saumons crevettes, à table avec des Saint-Jacques aux agrumes, une dorade au four et un sorbet aux fruits rouges. Le Pinot gris Sélénite, une belle rondeur Le Pinot gris Sélénite est un vin de terroir élaboré avec du Pinot gris. Sa couleur est jaune pâle. Au nez, on sent du pain grillé ou des notes exotiques fumées. En bouche, il a une belle rondeur et un bel équilibre. Il va bien avec la charcuterie, la volaille, les tajines, les poissons gras en sauce, le porc et tous les mets à base de champignons. Le Crémant Clair de lune, un savoureux effervescent Le Crémant Clair de lune est un vin effervescent produit exclusivement avec du pinot noir, mais vinifié en blanc. Il a une belle couleur jaune dorée. En apéritif, il peut accompagner un tapas saumons crevettes, à table avec des Saint-Jacques aux agrumes, une dorade au four et un sorbet aux fruits rouges. Le Pinot gris Sélénite, une belle rondeur Le Pinot gris Sélénite est un vin de terroir élaboré avec du pinot gris. Sa couleur est jaune pâle. Au nez, on sent du pain grillé ou des notes exotiques fumées. En bouche, il a une belle rondeur et un bel équilibre. Il va bien avec la charcuterie, la volaille, les tajines, les poissons gras en sauce, le porc et tous les mets à base de champignons. Le Gewurztraminer Hengst, un vin puissant et concentré Le Gewurztraminer Hengst est un grand cru de couleur jaune or. Au nez, il a des notes de fruits exotiques, de pétales de rose et de litchi. En bouche, il est puissant et concentré avec un bel équilibre. En apéritif, Le Gewurztraminer Hengst s’accorde avec du foie gras, des mets exotiques, des fromages forts et des desserts chocolatés. On a aussi la Vendange tardive Riesling, un vin complexe en bouche pour l’apéritif et le spiritueux Schnaps (eau de vie de Marc Gewurztraminer), avec sa robe blanche cristalline et sa texture d’épice. ...
L’exploitation familiale Th. Petit a été reprise en 1995 par Bénédicte Bérard-Meuret. Aujourd’hui, elle et son époux travaillent ensemble sur un vignoble qui s’étend sur une superficie d’environ 6 ha. L’encépagement s’y compose majoritairement de pinot noir et de chardonnay. « Notre terroir jouit d’un très bon ensoleillement et il est très favorable à l’expression du pinot noir », souligne la gérante. Un processus maitrisé Depuis sa création, la maison Th. Petit a toujours cherché à privilégier une méthode culturale qui respecte l’environnement. Actuellement, elle s’est engagée sur une viticulture raisonnée, impliquant une utilisation très limitée de produits phytosanitaires. Concernant la vinification, le pressurage est confié à la coopérative vinicole du village. Les précieux jus rejoignent ensuite les cuves de l’Union Champagne à Avize. Il s’agit d’une structure qui regroupe plusieurs coopératives champenoises et dont le savoir-faire est reconnu par les plus grands experts en vin. « L’élaboration, quant à elle, est assurée par un œnologue », nous confie-t-on. Des cuvées prestigieuses Afin de satisfaire une large diversité de consommateurs, la maison propose une gamme complète de champagnes : Blanc de blancs, Brut, Brut rosé, Demi-Sec, Millésimé 2012 et Prestige Millésime 2006. La cuvée Brut et la cuvée Prestige Millésimé 2006 peuvent toutes les deux prétendre au titre de « cuvée emblématique » de la maison Th. Petit. La première est obtenue à partir de 75 % de pinot noir et de 25 % de chardonnay. Ce champagne de cœur revêt une teinte or brillant et séduit par ses arômes de fruits rouges et de pêche. Une cuvée de qualité exceptionnelle récompensée par 3 étoiles au Guide Hachette. Le Millésime 2006, quant à lui, s’obtient par l’assemblage de 50 % de pinot noir et de 50 % de chardonnay. C’est un champagne racé, puissant et qui saura accompagner parfaitement tous les moments d’exception. ...
Depuis 14 ans maintenant, et investi totalement dans son rôle de vigneron, toujours épaulé par son père Jean-Pierre, ils exploitent ensemble les 10 ha de vignes que compte le domaine. Eparpillés sur 4 km de côte viticole, l'exploitation est fière de compter parmi ses parcelles quelques-unes dans l'aire d'appellation du Klevener de Heiligenstein. Domaine Herr : la gamme de vins Attaché à l'authenticité des cépages alsacien, le domaine Herr propose plusieurs gammes de vins. Des traditionnels ou " tout néophytes ou amoureux de vins d'Alsace doit s'y retrouver " aux cuvées en sur-maturation en passant par les Crémant ... Jamais à court d'idées, Yann se plaît à élaborer des cuvées insolites " j'aime sortir des sentiers battus et trouver dans nos cépages quelque chose de différent, actuellement je propose La cachette un assemblage de Riesling et de Muscat vinifié en macération ". Mais c'est dans ses "petits terroirs" qu'il trouve tout le mérite de son travail " quand je retrouve millésimes après millésimes les caractéristiques, l'identité de chaque lieux ". Les arômes épicés du Gewurztraminer Weinberg, l'acidité vibrante du Riesling Hoell ou encore l'intensité fruité du Muscat Berg en font quelques une de ces particularités. Toujours partant pour faire découvrir ses vins, le domaine Herr vous accueille sur simple rendez-vous. ...
Dans une perpétuelle quête d’excellence, la maison de champagne Gratiot-Delugny a su apporter à ses vins un caractère unique reflétant terroir, gestes ancestraux et authenticité familiale. Depuis 1946, chaque génération a participé à l’évolution des champagnes en misant sur la passion et le savoir-faire traditionnel. Un terroir de caractère D’une superficie totale de 10 hectares, le vignoble est réparti sur trois communes, à savoir Croûttes-sur-Marne, Nanteuil-sur-Marne et Charly-sur-Marne. S’y développent les trois cépages champenois, à savoir le Pinot Meunier, qui est à l’origine de caractéristiques fruitées et aromatiques avec une touche de vinosité ; le Chardonnay, offrant finesse et élégance aux vins ; et enfin le Pinot Noir, source de puissance et garant de vins à la structure solide. Soucieuse de préserver l’environnement et de laisser au terroir la possibilité de s’exprimer pleinement, la famille Gratiot-Delugny opte pour un mode de viticulture raisonnable. Ses terres aux sols argilo-calcaires font l’objet d’une vendange de 90 et 100 jours en septembre, après floraison. Un pressurage traditionnel des raisins est ensuite réalisé au domaine. Des champagnes alliant finesse et générosité La maison a développé six cuvées avec une production de 90 000 à 100 000 bouteilles par an. À découvrir : la cuvée Réserve à 80 % Meunier et 20 % Pinot Noir, le terroir authentique, qui est un champagne long en bouche, parfait pour l'apéritif sur de petites bouchées salées. La cuvée Sélection, issue d’un assemblage de 60 % Chardonnay et 40 % Pinot Noir, est un champagne vif et aux bulles fines, qui se déguste à tous les moments de la journée. La cuvée Millésime sera appréciée lors de vos soirées entre amis et accompagnera parfaitement les petites douceurs sucrées. La cuvée Histoire d'Hommes, quant à elle, est composée de 90 % Chardonnay et 10 % Pinot Noir. Elle est vinifiée en fûts de chêne et dévoile des petites notes briochées qui s'accorderont à merveille avec des mets de caractère, comme des terrines de gibier. ...
Marie-Line et Michel Roche, les propriétaires commencent à faire des travaux à partir de 1988 pour construire un petit restaurant, puis une partie hôtellerie en 2002. Pour optimiser l’ambiance et le charme du lieu, ils aménagent l’extérieur d’un jardin personnalisé et mettent aussi sur pied une jolie terrasse ombragée. Les clients de l’Auberge y viennent pour « passer un bon moment et se reposer en même temps. », d'après Michel Roche. Aujourd'hui, l'établissement compte 60 places assises, 11 chambres et 4 suites. Une ambiance douce L’Auberge Bienvenue porte bien son nom. Son magnifique jardin fleuri et verdoyant reflète d’ores et déjà son accueil chaleureux. Ses murs extérieurs de couleur naturelle et les auvents roses présagent une ambiance conviviale, où il fait bon vivre. L’intérieur n’en est pas moins coquet et chic. Des belles arcades surplombent la salle, le bois modernisé apporte élégance et raffinement. Les chambres, quant à elles, sont décorées avec goût, bien spacieuses et confortables. Une cuisine originale Au piano : Michel Roche se plaît à revisiter les recettes traditionnelles pour en faire ressortir des plats savoureux. Il ne cuisine que des produits frais, en grande partie issus du terroir. Ses sauces, dont il est le seul à connaître le secret, relèvent le goût de ses assiettes, ce qui lui vaut d’ailleurs d’être primé par plusieurs guides culinaires, tels que Logis, le Guide Michelin, le Bottin Gourmand et le Gault et Millau. Les menus sont tous attirants, l’entrée la plus prisée est la demi-mangue rôtie et son escalope de foie gras poêlée. En résistance, le filet de sandre rôti au four avec sa sauce rehaussée de vin savennières crée une explosion de saveurs qui séduit tous les palais. Pour finir en beauté, le parfait glacé au Cointreau et ses zestes d’orange confits est un incontournable « que l’on a régulièrement à la carte, ce dessert est très sollicité», souligne le maître des lieux. Une carte de vins élaborée au rythme des saisons vient valoriser chaque plat. En été, les vins du Val de Loire sont mis à l’honneur, tandis qu’en hiver, les Bordeaux et Bourgognes prennent le relais. « Il y a de quoi satisfaire les clients, autochtones comme plaisanciers », conclut notre interlocuteur. ...
L’Auberge de Sumène, réputée pour la qualité de ses plats raffinés, se veut être l’ambassadrice du label « fait maison ». Motivé par « l’envie de faire des choses simples avec de bons produits », Basile accueille ses hôtes avec une formule unique, à base d’une entrée copieuse et d’un plat ponctué de fromages et de desserts, promettant des instants gourmands de tous les délices. Une carte (avec entrées, plats, desserts) met quant à elle en scène des produits rigoureusement sélectionnés. L’excellence des produits locaux à l’honneur En constante quête de la qualité, Basile souhaite affirmer l’authenticité de sa cuisine en priorisant « au maximum des produits frais, de saison et locaux voire même biologiques dans la mesure du possible », nous confie-t-il. Les classiques auvergnats, à l’instar de l’aligot ou de la truffade que l’auberge met en avant, en sont ainsi sublimés. Cette cuisine traditionnelle familiale proposée dans la fameuse formule unique de l’auberge, dont le plat est décliné en trois choix le week-end, fait la fierté de cet établissement convivial. Chaque menu est ponctué de fromages du terroir et de délices sucrés, pour ne citer que le Mystère d’Agayrou, un dessert exquis composé d’une meringue avec une boule de glace au choix (à la menthe, nous conseille le chef), accompagnée de liqueur chocolatée et d’un tulle de chocolat. Cet ensemble copieux sera idéalement suivi d’un spiritueux issu de « la cave à vins française composée à 90 % de vins biologiques et de producteurs », relate Basile. ...
Cette belle propriété de 24 hectares est située entre Valréas et Montbrison-sur-Lez. Elle appartient et est gérée par Patrice Mery, un passionné qui est dans le métier depuis 1976, succédant à son grand-père en 1981. Le Domaine des Treilles appartient à la famille depuis 8 générations c’est-à-dire 1772. En 1994, Patrice décide de s'engager dans la démarche de l'agriculture biologique, et obtient le label 3 ans après. Il plante 1000 pieds d'oliviers en 1999 et se lance dans la fabrication de l'huile d'olive, toujours en agriculture biologique. Aujourd'hui, ce vigneron de 57 ans en est à son 40e millésime de vins. Les avantages de l'agriculture biologique Depuis 1994, le Domaine des Treilles adopte une agriculture biologique avec deux labels. Le premier est celui attribué par l'organisme européen ECOCERT, qui délivre son agréement chaque année. Depuis 2011, le domaine est aussi certifié par le label de " Nature et Progrès ", encore plus sévère dans ses contrôles. " C'est une double garantie pour le consommateur " explique Patrice Mery. Dans les faits, cela implique des procédés de production drastiques à suivre. En premier lieu, tous les produits chimiques quels qu'ils soient et dédiés au traitement des cultures sont strictement interdits. Le sol est travaillé par labours et griffages et les vignes sont traitées avec des produits naturels comme le soufre ou le cuivre à faible dose. Ensuite, le processus de vinification s'effectue sans filtration ni enzymage avec une utilisation en quantité infime de sulfite ( - 25mg/ litre ) pour conserver le gout du terroir dans les cuvées. Une belle sélection de vins « Le Domaine des Treilles produit annuellement dans les 900 hectolitres de vins. Ils sont composés de quatre vins dont un blanc et trois rouges qui sont en appellation d'origine contrôlée Côtes du Rhône et Côtes du Rhône Villages Valréas » raconte Patrice. La " Cuvée de la Pierre Plantée " 2015 sans sulfite est issue d'une parcelle à cheval sur la Drôme et le Vaucluse. Elle est élaborée à partir de Syrah et de Grenache en parts égales. Son terroir argilo-limoneux confère à ce vin un nez très floral, avec des notes de fruits rouges, réglisse, vanille et épices en bouche. L’idéal est de le servir avec une côte de bœuf, un magret de canard ou un chapon farci. Le " Côtes du Rhône Villages Valréas " est un vin de Syrah et Grenache noir. Il se caractérise par des notes de fruits rouges mûrs. Il est épicé et cacaoté en nez, avec une bouche charnue et des tanins puissants. Il se déguste en alliance avec du gibier, de la daube ou des desserts au chocolat. Avant de le savourer, il est conseillé de le carafer pour qu'il libère ses arômes. Une huile d'olive bio « Depuis 1999, le Domaine des Treilles s'est aussi lancé dans la production d'huile d'olive afin de diversifier son activité. Comme pour le vin, cette huile est produite suivant une démarche biologique. » précise le vigneron. Une partie de la production du domaine est élaborée au sein même du domaine avec le moulin itinérant " Le moulin de Marie ". L'autre partie est transformée dans le moulin de Mirabel-les Baronnies. Cette huile très fruitée, lactée et douce propose des arômes délicats de noisette et d'amande. Elle accompagne idéalement les poissons, salades, viandes blanches ou chèvre affiné. ...
À travers ses différents programmes et diplômes, Le Cordon Bleu offre des opportunités uniques et ouvre les portes pour des carrières en France ou à l’international. Une équipe pédagogique à la pointe Créé en 1895 par la fameuse journaliste culinaire Marthe Distel, Le Cordon Bleu est aujourd’hui un réseau qui réunit près de 40 écoles réparties dans 20 pays à travers le monde. Ce sont 20 000 étudiants de 100 nationalités différentes qui sont formés chaque année par Le Cordon Bleu. Cette prestigieuse école dispense deux types de formations : des formations et diplômes en Arts Culinaires (cuisine, pâtisserie, boulangerie) et des formations en Œnologie et des Bachelors en Management Hôtelier International et en Management des Arts Culinaires. « Ce sont des formations dispensées par des professionnels reconnus et de grands chefs aux parcours exceptionnels », nous précise l’équipe marketing. En effet, l’institut Le Cordon Bleu Paris peut se targuer d’avoir sous la main, le chef Éric Briffard, meilleur ouvrier de France, actuellement directeur des Arts Culinaires et chef exécutif de l’institut parisien. Avec ses 35 ans d’expérience dans l’univers de la gastronomie, Éric Briffard a été récompensé à plusieurs reprises notamment de 2 étoiles au guide Michelin lors de son passage à l’Hôtel Georges V. À ses côtés, œuvre une équipe de chefs enseignants en cuisine, pâtisserie et boulangerie. Quant aux formations en management ce sont des professionnels reconnus et hautement qualifiés du milieu de l’hôtellerie et de la restauration qui forment les étudiants à devenir les managers de demain dans les secteurs de l’Hôtellerie-Restauration Des formations de haut vol Le Cordon Bleu Paris propose aux étudiants quatre formations en Arts Culinaires : le Grand Diplôme, le Diplôme de Cuisine, le Diplôme de Pâtisserie et le Diplôme de Boulangerie. Le Grand Diplôme, d’une durée de neuf mois, regroupe le diplôme de Cuisine et de Pâtisserie Le Cordon Bleu, permettant aux étudiants d’acquérir toutes les techniques des grands maitres, entre tradition et innovation. Les cours en Arts Culinaires sont prodigués de manière bilingue (français et anglais) et structurés en deux parties : une démonstration durant laquelle les étudiants observent, prennent des notes et un cours pratique durant lequel ils appliquent et reproduisent les gestes du chef. Les diplômes en Arts Culinaires évoqués ci-dessus vont permettre aux étudiants de découvrir les techniques culinaires françaises. Des techniques qu’ils pourront mettre en pratique à l’issue de leur formation, lors de stages professionnels. Le Diplôme de Boulangerie s’étale sur une durée de six mois incluant un stage obligatoire de deux mois. Il forme notamment les étudiants aux techniques essentielles de la préparation du pain. Le Cordon Bleu Paris dispense également des formations en management applique dans les secteurs de l’hôtellerie, la restauration ou dans les métiers du vin. L’institut de Paris propose deux bachelors (bac +3) : le Bachelor en Management Hôtelier International et le Bachelor en Management des Arts Culinaires. Ces diplômes, d’une durée de 3 ans, ont pour objectif de former de futurs managers dans les métiers de l’hôtellerie et de la restauration. Pendant leur bachelor les étudiants réaliseront plusieurs stages en entreprise à Paris ou à l’international. Parmi les partenaires de l’institut : Hôtel de Crillon, Trianon Palace, Chef Michalak, The Peninsula Paris, Sofitel Dubaï, Four Season Los Angeles, Raffles Istanbul, Taj Mahal Palace Mumbai, The Nile Ritz-Carlton, etc., les etudiants auront l’opportunité de réaliser un certificat d’une durée de 3 mois au sein du réseau d’institut Le Cordon Bleu dans le monde. À compter d'octobre 2018, le Bachelor en Management Hôtelier International et le Bachelor en Management des Arts Culinaires seront dispensés en partenariat avec une université française de renom, l’Université Paris-Dauphine. A l'issue des 3 ans, les étudiants obtiendront donc un double diplôme, celui de « Talent en Management des Arts Cu...
Bénéficiant du label Maitre restaurateur, Le Paname fait sensation par son brunch dominical à concept unique. Mais sa bonne cuisine de marché, faite maison, concoctée au quotidien à partir d’ingrédients frais est pareillement un pur bonheur pour les papilles. Plaisir des sens au Paname Dans un cadre calme, Le Paname reste l’endroit idéal des foodies adeptes de cuisine gourmande. La grande terrasse protégée par des parasols beiges et entourée de verdure invite à profiter du soleil durant l’arrivée des beaux jours. Plutôt en quête de tranquillité et d’intimité ? Investissez la salle intérieure offrant une atmosphère chaleureuse dans un décor agréable. Au quotidien, 2 formules déjeuners sont proposées à un prix des plus abordables si vous ne préférez pas piocher d’autres délices dans la carte. Rien de tel que les croustillants de gambas et leur mousse de poivron rouge ou l’une des salades (Paname, Caesar, Norvégienne, Landaise, etc.) pour entamer le repas. Laissez-vous ensuite tenter par un pavé de saumon mi-cuit accompagné d’un risotto crémeux ou par le Paname Burger, plat signature du restaurant. Une salade de fruits frais, une crème brûlée à la vanille ou des crêpes Suzette flambées au Grand Marnier vous attendent en guise de desserts. Côté boissons, Le Paname fait les choses en grand avec une large palette qui comble toutes les envies : vins, champagnes, cocktails, bières, apéritifs, digestifs, smoothies, milkshakes ou jus de fruits. Et cerise sur le gâteau : le happy hours commence dès 17 h, jusqu’au soir à 23 h. ...
Élégant, prestigieux, somptueux… On serait vite tenté d’enchaîner les superlatifs pour décrire l’hôtel Westminster et ses deux restaurants ainsi que son bar, à savoir le Céladon, le Petit Céladon et le Duke’s Bar. En vérité, cet établissement est le meilleur endroit pour vivre une expérience gastronomique inoubliable. Le Céladon, un restaurant étoilé Le Céladon accueille ses convives dans un cadre unique bénéficiant d’un décor typiquement bourgeois. Ce restaurant étoilé au Michelin d’une capacité de 28 couverts promet ainsi une ambiance conviviale et raffinée. Le chef Christophe et sa brigade proposent un large choix de formules à l'instar du Menu express concocté en seulement trois quarts d’heure pour les plus pressés à midi. À noter que le Céladon change son menu très gastronomique toutes les semaines de façon à varier le plaisir des habitués. Le Petit Céladon, le relais week-end Durant le week-end, le Céladon ferme ses portes pour laisser place au Petit Céladon. Les convives sont bercés par une ambiance et un service nettement plus décontracté, sans se défaire du contexte d’un restaurant étoilé. La métamorphose concerne également la carte et l’art de la table. Cerise sur le gâteau : la légèreté est au rendez-vous en ce qui concerne les tarifs. Pour autant, les gourmets ont toujours droit à un menu-carte raffiné proposant une sélection minutieuse de produits frais et de qualité, qui est une ligne de conduite au Céladon. Le Duke’s Bar, le garant d'instants magiques Le Duke’s Bar mise quant à lui sur cette ambiance atypique des clubs anglais pour séduire, puis fidéliser les convives. Dans ce cocon feutré, rien de tel pour se retrouver entre amis et s’accorder des instants de pure détente. Les grands guides sont particulièrement conquis par ce lieu, qu’ils ont intégré dans le cercle très fermé des plus éminents bars de la capitale française. Au programme : snacking, apéritifs et spiritueux très appréciés de la clientèle. Ce coin bistronomique parisien est surtout reconnu pour son fameux club sandwich, mais aussi pour son cocktail de crevettes roses ou pour son inimitable burger de Kobe. ...
Avec une cuisine traditionnelle concoctée essentiellement à partir des produits frais, ce petit restaurant de campagne se plait à chouchouter ses convives en leur proposant le meilleur des saveurs locales. Comme à la maison Simplicité et convivialité : voilà les deux mots qui résument parfaitement l’ambiance qui règne à L’Étoile. Dans ce restaurant familial, tout est fait pour mettre les invités à leur aise. « Chez nous, la bonne humeur et la sympathie sont toujours au rendez-vous. Les gens se sentent comme à la maison », confie Éva Tardy, la cheffe de cuisine. Côté déco, on trouve une grande variété de couleurs. Au bar, la star se nomme Betty Boop. Elle est visible partout, en hommage au grand-père d’Éva, qui était passionné par cette héroïne de dessins animés américains des années 1930. Privatisable, l’établissement dispose de différentes salles adaptées pour les événements privés ou professionnels. Une jolie véranda est prévue pour accueillir tout type de buffets : apéritifs, entrées ou dinatoires. À l’extérieur, les convives profitent d’une belle terrasse ombragée. Juste à côté, ils peuvent s’offrir quelques moments de détente grâce à des jeux de boule mis à leur disposition. Une cuisine simple mais authentique Soucieuse d’offrir une cuisine de qualité, la maison n’utilise que des produits frais, tout en assurant un approvisionnement en circuit court. Ainsi les fromages, viandes, poissons ou encore les vins proviennent directement des producteurs locaux. « Nous avons les mêmes fournisseurs depuis quinze ans », rapporte notre interlocutrice. Quant aux légumes, ceux-ci sont fraichement cueillis dans un potager familial soigneusement entretenu par Maxime, le père de famille. En cuisine, Éva fait parler son expérience et son savoir-faire pour sublimer comme il se doit ces produits d’exception. Parmi les spécialités de la maison, les gâteaux de foie de volaille, le poulet aux morilles, les grenouilles, les bréchets de poulet, les goujonnettes de carpe et les ris de veau enchanteront les papilles les plus délicates. À L’Étoile, on adore faire plaisir aux fins gourmets. Ainsi, les formules à volonté et les menus du jour sont servis toute la semaine, même les dimanches et les jours fériés. « Nous sommes à l’écoute de nos hôtes et nous pouvons changer le menu à leur convenance », nous indique-t-on. Pendant les weekends, Éva invite les convives à partager un moment chaleureux autour d’une délicieuse raclette, avec une variante au bleu de Bresse ou des fromages locaux. Des têtes de veau ou des tapas concoctés à partir des meilleurs produits de la région peuvent être également servis. Une carte au gré des saisons Pour offrir davantage de choix, l’établissement propose quatre menus classiques. Entre le pavé de truite au citron, l’entrecôte poêlée ou le canard au poivre vert, c’est selon les envies de chacun ! À part ses menus, l’établissement présente une carte qui évolue au gré des saisons. En été, les épicuriens pourront déguster différentes salades et autres assortiments de charcuterie. Afin de combler toutes les attentes, le restaurant L’Étoile suggère aussi de succulents plats végétariens, végétaliens ou sans gluten. « Nous nous adaptons aux demandes spécifiques de nos clients », souligne Éva. Côté vins, la maison propose un large choix qui s’accorde merveilleusement bien avec les saveurs de la région. Parmi les références, les côtes-du-rhône, les vins du Bugey, de Mâcon ou de la Loire sont les plus demandés. ...
Le village de Puligny-Montrachet, situé au Sud de Beaune, enveloppe des paysages magnifiques bordés de vignes, la fameuse Côte de Beaune. L’un des domaines les plus réputés de la région accueille les œnophiles et les amateurs de bonne chère dans sa « Table de Dégustation » : son Restaurant, où l’on peut déguster et acheter directement le vin. Chez Olivier Leflaive on prône une culture de la qualité et une philosophie engagée, à l’image du domaine. Mariage de régions et de saveurs « Notre cuisine bistronomique et notre concept oenotouristique sont le fruit d’un travail de longue haleine depuis 2006 : notre idée est de travailler sur l’équilibre subtil entre l’accueil , la viticulture, le tourisme et l’accord mets et vins », résume Olivier Leflaive, le maître des lieux. « Le Restaurant est avant tout une vitrine, destinée à célébrer la richesse et la diversité de nos vins. Pour le déjeuner, la formule Repas-Dégustation se décline en deux sélections comportant chacune 3 plats, qui évoluent au fil des saisons, avec une dégustation de 6 à 9 vins. Si le Carpaccio de Lotte aux légumes croquants se marie merveilleusement bien avec un Puligny-Montrachet Enseignères 2011, le suprême de volaille rôti, crémeux butternut, carotte et coppa est relevé par la puissance d’un Meursault 1er Cru Poruzot 2012. Au dîner, les clients peuvent composer eux-mêmes leur formule sur les conseils précieux des sommeliers-animateurs. « Ils se déplacent de table en table pour expliquer les vins à nos hôtes et guider leurs choix ». La carte des Vins compte plus de quatre-vingts références, toutes vinifiées par la Maison Olivier Leflaive, essentiellement du blanc ; mais aussi quelques propositions en rouges issus d’autres domaines. Un amour effréné pour la Bourgogne L’histoire d’Olivier Leflaive La Maison Hotel**** et le Restaurant est intimement liée à la famille, si bien que des visites de vignes et de caves sont organisées chaque jour par les frères Leflaive, pour que les clients puissent mieux saisir l’univers du vin. Ces balades techniques et pédagogiques au milieu des vignes ont lieu presque tous les jours et sont rythmées par une ambiance familiale et chaleureuse. Mieux encore, le gérant conseille les bonnes adresses, les domaines viticoles et les monuments à visiter dans la région pour compléter le séjour. « Notre objectif va bien au-delà de la concurrence, nous avons une plus grande vision qui est d’honorer notre région. » ...
Faire plaisir, il n’en faut pas beaucoup plus pour faire le bonheur de ces deux épicuriens. Riches de leurs expériences passées et animés par une passion effrénée pour leur métier, Sébastien Riou et Catell Kergadallan peuvent se targuer d’offrir l’une des tables les plus réputées de Périgueux. A l’honneur : une cuisine gastronomique, gourmande et maîtrisée à travers laquelle vous vous laisserez surprendre par la créativité débordante du chef. Chaque plat raconte une histoire : celle d’une originale association de saveurs et produits triés sur le volet auprès de producteurs locaux. Un concept unique Ayant passé son enfance en Lorraine, Sébastien Riou fait ses classes dans de prestigieux établissements notamment à Carantec auprès du chef doublement étoilé Patrick Jeffroy ou encore à Valence chez Anne-Sophie Pic détentrice de trois macarons au Guide Michelin. Chez l’un, Sébastien s’initie à la sélection rigoureuse des produits, chez l’autre, il apprend à mettre en avant rigueur et inventivité. Grâce à ses talents, il décroche un poste important à Puylaurens au Cap du Castel dont il devient le chef de cuisine. Voulant s’épanouir davantage en ayant la liberté de faire sa propre cuisine, le chef décide d’ouvrir son établissement. Il vivra cette aventure avec sa compagne Catell Kergadallan, pour qui l’univers de la cuisine n’a plus aucun secret. Ayant grandi dans une famille de maraîchers, elle est très tôt initiée au goût des bons produits. Son parcours au sein des grandes maisons comme les Relais & Châteaux des Côtes Finistériennes ou encore chez Michel Chabran à Pont de l’Isère (26) l’a aidé à acquérir une importante expérience qu’elle met désormais à profit au Parfum de Gourmandise où elle assure l’accueil et le service. Au rythme des saisons, ce restaurant désormais incontournable à Périgueux s’est lancé dans le concept de menu unique. L’idée est de vous faire découvrir des produits nouveaux qui n’auront probablement pas attiré votre attention dans un autre contexte. Laissez-vous guider par le prodigieux talent du chef en cuisine et appréciez l’expérience. Une rigoureuse sélection de produits auprès de producteurs locaux Ce menu unique est à la base constitué de quatre plats à savoir deux petites entrées, un plat et un dessert. Toutefois, il est possible d’aller jusqu’ à cinq voire sept services pour ainsi goûter à toutes les propositions suggérées par la maison. La cuisine personnelle inspirée de l’enfance du chef promet de surprendre vos papilles. L’un des ingrédients pique votre curiosité ? Catell vous donne de plus amples explications et va même aller le chercher en cuisine pour vous le montrer. Ce moment d’échange contribue à amplifier votre expérience Au Parfum de Gourmandise. La création des menus s’effectue en fonction des produits disponibles chez les éleveurs et agriculteurs locaux. « Tout est réfléchi d’avance. Deux à trois mois à l’avance, on fait un point avec nos maraîchers pour savoir ce qu’ils vont pouvoir nous offrir d’ici quelques mois. C’est de là que naissent les idées du chef » raconte Catell. D’ailleurs, en consultant la carte, la liste de producteurs qui ont aidé le chef à monter son menu est affichée. Une manière de rendre hommage au fabuleux travail de ces professionnels. Quand la simplicité côtoie le raffinement Le décor mise sur la simplicité et le raffinement. Rien de trop guindé. La salle révèle un style sobre avec une prépondérance de couleur claire pour conférer plus de luminosité. La cheminée en pierre donne un côté rétro-chic tandis que les poutres apparentes procurent une ambiance plus traditionnelle. Les luminaires judicieusement agencées donnent du charme à l’ensemble sans oublier l’art de table, avec des assiettes notamment dénichées chez la céramiste du coin. En tout, le restaurant possède 16 couverts répartis sur 6 tables. Pour être sûr d’y avoir ses entrées, il est donc plus sage de r...
Tel un chef d’orchestre, Arnaud Donckele dirige une équipe de choc composée de 21 passionnés tous aussi doués les uns que les autres. Thierry Di Tullio, le directeur du restaurant La Vague d’Or ; il a été récemment élu « Meilleur directeur de salle de l’année 2016 » par le guide Gault & Millau. Avec lui, le chef sommelier Franck Perroud élabore les meilleurs accords pour sublimer les créations culinaires du chef. En cuisine, aux côtés d’Arnaud Donckele, le chef pâtissier Guillaume Godin s’occupe de ravir les palais avec ses desserts gourmands et raffinés. Arnaud Donckele, artisan du goût Si la cuisine était une musique, alors Arnaud Donckele, chef du restaurant La Vague d’Or, serait tout simplement Mozart. Petit-fils d’agriculteurs, ce prodige de la cuisine a fait ses armes auprès des plus grands noms de la cuisine française, comme Michel Guérard, Alain Ducasse et Jean- Louis Nomicos, au Lasserre. En 2005, il décide de voler de ses propres ailes et débarque à La Vague d’Or, où carte blanche lui est donnée au regard de son parcours déjà impressionnant. D’une créativité sans limites et d’une grande rigueur au travail, il met en avant son amour pour la cuisine provençale et méditerranéenne. La consécration est indiscutable et ne tarde pas à venir. En 2013, il est couronné de trois étoiles au Guide Michelin, ce qui fait de lui le plus jeune chef étoilé en France à 35 ans. En 2016, c’est au tour du guide Gault & Millau de lui décerner 5 toques. Cuisinier hors pair, Arnaud Donckele s’essaye aussi à la littérature. À l’instar de son ancien mentor Alain Ducasse, il a édité un Best of (Éd. Alain Ducasse, 2015) de ses 11 meilleures recettes ainsi que l’ouvrage Ma Provence (Flammarion, 2015), dans lequel 60 recettes typiquesde la Provence sont dévoilées. Une cuisine entre terre et mer À La Vague d’Or, une cuisine gastronomique issue du terroir provençal et méditerranéen est mise en avant. Les produits frais de saison, en provenance des petits producteurs du littoral varois, y sont privilégiés. Arnaud Donckele met à contribution avec raffinement les herbes de Provence pour illuminer ses plats, à l’image de sa « pâte Zitone », délicatement fourrée de truffe noire et de foie gras avec l’artichaut violet en trois textures, rehaussé de basilic. Le chef affectionne particulièrement les alliances, parfois insolites et audacieuses, cuisinées avec subtilité, tel le homard combiné avec la truffe noire de Carpentras. La cuisine de La Vague d’Or, c’est aussi une valse entre terre et mer, à l’exemple du râble de lapin roulé au lard paysan « façon Claudette » et homard bleu. Pour aller à la découverte du pays des délices d’Arnaud Donckele, trois menus sont proposés. En quatre actes, « L’escapade gourmande » retrace l’identité des plats tirés de la bouillabaisse, fondement de la cuisine provençale. « Au fil du temps », décliné en cinq actes, est la composition des plats traditionnels et des plats modernes mise en harmonie. La formule en huit actes de la « Balade épicurienne » propose de faire découvrir la philosophie culinaire de la maison. Quant à la carte de La Vague d’Or, elle est une invitation au voyage entre terre et mer... ou les deux. Ainsi, on se plaira à déguster les « langoustines vivifiées au pamplemousse en deux séquences », suivies d’un « mignon de veau à la mode carqueirannaise », pour terminer en beauté avec le « feuille à feuille aux dix agrumes ». ...
À travers une histoire de famille plutôt réussie qui a commencé en 1987, le restaurant connait à ce jour 30 ans de succès bien mérité. Succédant à ses parents, initiateurs de l’aventure, Valérie assure, depuis maintenant un an, la gérance de l’établissement, guidée par la même passion du métier et son expérience professionnelle Shanghaïenne. Le Palais de Port-Marly a l’énorme avantage de proposer en un seul lieu un bouquet de saveurs gourmandes inspirées de trois pays que sont la Thaïlande, le Vietnam et la Chine. Disposant d’un menu à 26 € pour le midi et le soir, avec entrée-plat-dessert, l’enseigne dispose également d’une formule à 16,50 € « pour les gens plutôt pressés » et qui peut être servie en une demi-heure, incluant 1 entrée et 1 plat. Une cuisine pleine d’exotisme En entrée, il vous est conseillé les nems faits maison, « que nos clients apprécient énormément », selon Valérie, mais aussi les raviolis vietnamiens et les rouleaux de printemps au bœuf, servis tièdes, que l'on ne trouve nulle part ailleurs. Dans le registre des plats, optez pour le bœuf sauté Mongoli qui n’est autre que du bœuf émincé mariné dans du soja et sauté avec des grains de poivre et des petits oignons sur plaque chauffante, « ce qui permet aux clients de choisir la cuisson de la viande ». Comme c’est rarement le cas dans la restauration asiatique, l’établissement est en mesure de proposer « de la viande bleue, à point ou saignante ». Les crevettes à la sauce piquante sont également à découvrir. Crevettes sauvages préalablement décortiquées, sautées avec des petits oignons, une sauce piquante parfumée légèrement aigre douce. Cette sauce se marie aussi très bien avec du cabillaud ou des Saint-Jacques. Parfait pour les amateurs de fruits de mer. Sans oublier le saumon au jus de coco pour un plat très en sauce au très joli rendu, accompagné de riz gluant ou de riz nature. Le Palais de Port-Marly pratique principalement la cuisine au wok, « pour une cuisson rapide et où la matière première ne perd pas de son goût ni de sa texture ». Cette technique contribue aussi de réduire l’utilisation de matière grasse. Toutefois, ce qui fait la particularité de la cuisine asiatique, ce sont les épices dont les préférées de la maison sont l’épice de saté à base de cacahuètes, de piment, d’ail et d’herbes concassés, qui permet d'obtenir une sauce accompagnant délicieusement le bœuf et les crustacés, et également le basilic avec son croquant en bouche, le curry et aussi la citronnelle. ...
Idéalement situé sur le village de Cascastel et de Corbières, au centre du triangle Narbonne-Perpignan-Carcassonne (Hautes Corbières, dans l’Aude), le Domaine Grand Guilhem travaille les AOC Corbières, Rivesaltes et Muscat de Rivesaltes et produit aussi des Vins de France. Les vignobles répartis sur 18 parcelles sont plantés de 8 cépages, dont le macabeo, un cépage blanc d’origine espagnole. Le respect de la Terre au cœur de ses actions Le Domaine Grand Guilhem a commencé sa reconversion en agriculture biologique en 1997. Mais c’est en 2011 qu’il adopte un virage à 360° en fabriquant des vins naturels « faits exclusivement avec des raisins sans ajout de levures, de sulfites ni autres intrants », explique Gilles Contrepois, maitre des lieux. « À l’époque, ce n’était pas dans l’air du temps. Mais je ne me voyais absolument pas mettre des produits chimiques dans la vigne, dans mes vins et pour les consommateurs ». Attestant de son engagement, le Domaine Grand Guilhem est officiellement certifié Ecocert en 2004 et fait partie de l’Association des vins naturels. Aujourd’hui, il fabrique huit gammes de vins incluant les trois couleurs. Une particularité de la maison est la production de vin orange, un vin blanc vinifié comme du vin rouge, avec une structure tanique, beaucoup de caractère et une expression aromatique large et variée. Étant un vin très digeste, il n’a nul besoin de se cantonner à des produits particuliers puisqu’il se marie avec tous les plats. ...
Situé au cœur de Toulouse, Le colombier vous propose une cuisine riche en variété et en finesse dans une ambiance chaleureuse et conviviale. Malgré son évolution, le restaurant a su garder son âme bourgeoise. Les poutres, les vieilles pierres ainsi que les briques apparentes ravivent le côté rétro du lieu tandis que les meubles en bois reflètent son côté authentique et raffiné. Pour finir, les tables soigneusement dressées qui exposent une magnifique vaisselle disposée sur une nappe blanche mettent en valeur une cuisine toute en couleur. Reflet de la cuisine du sud-ouest Devenu un emblème de la gastronomie dans la ville Rose, Le Colombier est le digne héritier de l’ancienne maison bourgeoise, en 1924, dédiée « au vrai cassoulet de Castelnaudary ». Depuis 2007, Françoise et Alain Lacoste ont repris le flambeau et ont su maintenir la tradition à travers une cuisine traditionnelle. Ainsi, ils proposent les grands classiques et les spécialités de la région comme le foie gras, le cassoulet ou encore les poissons et les crustacés concoctés dans les règles de l’Art. Mais ceci n’empêche, en aucun cas, la créativité du chef de s’exprimer. En exploitant les meilleurs produits locaux, il surprend avec ses plats à la fois authentiques et audacieux. Par son inventivité, il arrive alors à transporter ses convives vers un voyage gastronomique inédit afin de les faire découvrir de nouveaux horizons culinaires. Selon les envies : les cuisines dites « bistrot », régionale, traditionnelle ou gastronomique promettent un moment de plaisir inégalé. Une expérience transcendante pour un prix abordable autant au niveau des plats que pour des vins dont l’établissement possède une bonne collection, notamment les vins régionaux. Alain Lacoste, un visionnaire gastronomique Dès son enfance, Alain Lacoste s’intéresse à la cuisine. Les délicieux plats proposés par sa mère et sa tante au quotidien ont nourri sa passion pour cet univers. Ainsi, dès sa quatorzième année, il a décidé de se consacrer dans des études spécialisées en s’inscrivant à l’école Jean Ferrandi (Ecole Nationale de Cuisine Française actuellement). Après trois ans, il obtient son diplôme et s’est rapidement lancé dans le milieu professionnel. En 1978, il met le cap vers le Sud, direction Toulouse. A 30 ans, il devient le chef de La Corde où il a évolué pendant trois ans. En 2007, Alain et sa femme Françoise ont décidé de reprendre Le Colombier. En apportant leur propre vision du restaurant traditionnel, ils ont su innover tout en restant fidèle aux arpèges de la cuisine traditionnelle et familiale. Pour le couple, le mot d’ordre est : « faire plaisir et se faire plaisir ». Avec une telle motivation, les 14h à 18h de travail par jour ne seront jamais vécus comme une contrainte. Un plaisir qu’ils comptent bien partager à tous leurs convives en leur proposant des plats succulents élaborés avec soin et passion le tout ponctué d’un accueil chaleureux et d’une ambiance sereine. ...
FlashMatin | Bonjour Marion ! Marion Rouaux | Bonjour ! Vous allez nous aider à mieux connaître Monsieur Philippe Chevrier, grand cuisinier qui exerce son art principalement en Suisse. Il possède six restaurants, dont nous allons parler tout au long de ce podcast. Tout d’abord, évoquons le premier établissement du chef : le domaine de Châteauvieux. M R | Philippe Chevrier a débuté en tant que chef de cuisine. A l’issue de la première année, il a décidé d’acheter le domaine parce qu’il en est tombé amoureux. C’est un bâtiment du XVIIe siècle qui a conservé son cachet, entouré de vignes, avec le Rhône qui coule aux pieds, les montagnes du Salève et du Jura en toile de fond. On ne peut que tomber amoureux de l’endroit. Mais, n’étant pas situé au centre-ville de Genève, Philippe Chevrier s’est dit : « Pour faire venir les gens jusqu’ici, il faut que je fasse une cuisine d’exception. » Une cuisine d’exception, c’est le bon mot je pense car le chef Chevrier obtient sa première étoile au guide Michelin en 1991 au sein du domaine Châteauvieux. On suppose que cela l’a aidé à faire venir la clientèle dans son restaurant. M R | Bien sûr ! À l’époque, les réseaux sociaux n’existaient pas, tout comme les nombreuses références sur Internet. Les clients se fiaient aux guides, notamment Michelin, Gault&Millau, qui est très pertinent en Suisse. À l’époque, c’était l’un des premiers restaurants référencés dans le guide Michelin en Suisse. Cela ne s’est pas arrêté là puisque le chef Chevrier a obtenu depuis une deuxième étoile. Comment se distinguait-il des autres cuisiniers ? M R | Il faut savoir qu’il propose une cuisine assez traditionnelle, mais sa particularité est de sublimer le produit, sans trop le transformer. Sa cuisine est aussi très généreuse. On pouvait retrouver des plats assez régressifs qui font penser à la cuisine de nos grand-mères, notamment des jambonnettes de cuisses de grenouille sautées à l’ail avec une petite purée mousseline de pomme de terre. Des choses assez simples finalement, mais qui rassemblent tout le monde autour des traditions. Encore une fois, il met en avant la qualité du produit. Ce sont toujours des produits d’exception, de premier choix. Souvent, ce n’est pas le chef de cuisine la star, mais vraiment le produit et le goût. Cette philosophie a permis à Chevrier de se développer, jusqu’à posséder désormais six restaurants tous différents et uniques. Il faut préciser qu’il dirige personnellement le domaine de Châteauvieux, mais que les chefs cuisiniers aux commandes des autres établissements sont passés préalablement par ses cuisines. C’est donc une assiette de qualité que vous retrouverez dans n’importe quelle assiette des restaurants Chevrier, et notamment « Chez Philippe », un restaurant qui a sa petite histoire, non ? M R | Monsieur Chevrier est un amoureux de New-York. Il court d’ailleurs le marathon chaque année. Encore aujourd’hui, il s’est dit : « C’est un rêve de créer un jour un établissement avec cet esprit new-yorkais, façon Steak House. » D’ailleurs, c’est ce qu’il a réalisé avec la création de « Chez Philippe ». C’est un Bar-Grill, un établissement à grande envergure, qui accueille environ 500 personnes tous les jours, 7j/7. Dans un style un petit peu similaire c’est-à-dire un peu industriel, mais avec une carte totalement différente, il y a aussi le « Denise’s Art of Burger ». Un restaurant de Burger gastronomique appelé Denise, en hommage à la maman du chef Chevrier. Pouvez-vous nous dire à quoi ressemble un burger gastronomique ? M R | Tout tourne autour du produit. Même sur un burger basique, on va travailler avec un pain d’un boulanger qui a été spécialement conçu pour les Buns, pour nos burgers. On va travailler avec un bœuf 100% suisse, qui est un steak taillé au couteau, et encore une fois sur un fromage de gruyère suisse. Donc, la différence se fait vraiment sur la qualité du produit. Il y a ...
Pour Tine et Marc Verstraete, la reprise du Château Castigno marque un tournant dans leur vie. En faire un havre de paix où se cultivent le plaisir de vivre heureux et l’amour des grands vins, tel est leur objectif. Le domaine viticole Le destin a voulu que les voyages de Tine et de Marc Verstraete à travers le monde les conduisent vers un endroit atypique du sud de la France. Un lieu exprimant l’histoire d’un terroir et du temps passé. Tombés sous le charme du domaine Château Castigno, ils décident d’y construire un lieu de détente, de quiétude et de découverte ainsi qu’un vignoble cultivé dans le respect de la tradition. Sur ces terres qui ont connu l’époque cathare et les chevaliers de l’Ordre de Malte se développe aujourd’hui une sélection de vins produits à partir de syrah, de carignan, de grenache, de roussanne, de cinsault, de mourvèdre et de merlot. Parmi ceux qui font la fierté de la maison figure l’AOC Saint-Chinian Rouge Secret des Dieux. Ce vin de soleil accompagne merveilleusement bien des viandes grillées, des plats en sauce, du gibier ou des plats exotiques. L’offre hôtelière Le village Castigno cultive l’art de l’accueil et de la convivialité. Il s’est doté d’une offre d’hébergement classée 5 étoiles et éclatée en de nombreuses villas privatives. Installée dans un ancien logement de vignerons, la Maison d’amis garantit un hébergement atypique au milieu des vignes. Elle est composée de 9 chambres luxueuses possédant leur salle de bain privée et peut être louée entièrement ou par chambre. Cet hôtel « hybride » est équipé d’une piscine chauffée privative, d’une grande terrasse et de jardins. A découvrir également : les anciennes écuries transformées en deux suites contemporaines et confortables. N’ayant rien laissé au hasard, le village Castigno propose de nombreuses activités pour un séjour oenotouristique inoubliable : randonnées pédestres, initiation à l’œnologie, dégustation de vins, balade en scooter à travers des labyrinthes de vignes… Il a également créé un centre de bien-être utilisant des cosmétiques élaborés dans des laboratoires sur mesure à partir de l’huile de pépin de raisin dont les fabuleuses propriétés font l’unanimité. Un village gastronomique Le village Castigno séduit les fins palais à travers son restaurant gastronomique La Table où les convives savourent une cuisine généreuse et conviviale. La grande nouveauté : l’établissement accueille deux nouveaux chefs Ruben De Maesschalck et son frère Pieter. Les plats à base de produits frais et de saison laissent transparaître les origines flamandes de ces deux maestros des fourneaux. Ils se dégustent dans la salle dont la décoration s’inspire indubitablement de l’univers des vins, marquée par une prépondérance de couleur mauve. A l’extérieur, la terrasse s’ouvre sur un cadre bucolique appelant au romantisme. Les jardins procurent un coin paisible, propice à la sérénité. Au contact des beaux paysages de l’appellation Saint-Chinian, les amoureux de la nature et des vignes se laisseront séduire par la cuisine nomade du Château Castigno. Au programme : des mets savoureux à déguster dans un cadre champêtre. A noter que l’équipe de la Nomad Kitchen propose aussi des cours de cuisine durant lesquels seront développées des recettes du bout du monde. Le vin étant au cœur même de la vie du Château Castigno, les propriétaires ont aussi décidé d’ouvrir un bar à vins sobrement baptisé « La Petite Table », d’où il est possible de découvrir un large choix de tapas à la lumière du soleil couchant. A ne pas rater : les vins du domaine qui rehaussent les saveurs du Midi. Pour finir, rendez-vous dans le restaurant Thaï au sein duquel les convives dégustent une cuisine du marché élaborée à base de produits locaux mais en version thaï. ...
Une salle ornée de pièces de musée authentiques, une terrasse très prisée en temps estival donnant sur un jardin verdoyant, le cadre séduit d’emblée par la vue bien dégagée sur le lac Léman et les sommets neigeux des Alpes. D’ores et déjà, les yeux se régalent de ce spectacle avant même de découvrir ce que le chef propose. Deux cartes proposées pendant toute l’année Derrière les fourneaux, le chef Gilles Vincent dirige une fine équipe rompue à l’art de la bonne cuisine pour concocter les incontournables du restaurant. Au menu : des plats typiques de la gastronomie française et des recettes inspirées de l’art culinaire asiatique pour sortir des sentiers battus. Du foie gras en entrée, du carré d’agneau servi avec ses pommes galettes et une ratatouille, des soufflés parfumés aux fruits de saison, ce ne sont que des exemples des préparations qui ne font jamais défaut dans le restaurant. Outre la carte classique, le chef et son équipe concoctent également des menus conçus avec des produits frais de saison dans une carte qui se renouvelle quatre à cinq fois dans l’année. Des formules au-delà des cartes Jamais à court de créativité, le restaurant propose des formules toutes faites à l’instar du menu d’affaires et du menu du soir. Le buffet accueille tous les jours les visiteurs désireux de satisfaire leurs palais pour un petit déjeuner, un déjeuner, un dîner et un apéritif. À la demande des clients, un segment de la salle peut être privatisé. Dans la même optique, le personnel se prêtera volontiers aux besoins d’organisation d’une animation personnalisée pour les clients célébrant un événement particulier. Un service à la hauteur de la renommée L’accueil figure parmi les points forts du restaurant. Le chef de la réception, M. Laurent Bouriot résume la ligne directrice de leur politique à ce sujet : « On est toujours à l’écoute du client et on fait tout notre possible pour le satisfaire. » Et ce tout inclut, bien sûr, le wi-fi gratuit sur place, le parking, le garage chauffé, mais aussi et surtout le large choix de grands crus pour accompagner avec goût les assiettes de viande et le filet d’omble chevalier du lac et autres spécialités du restaurant. Pour épater les convives, Toni Mittermair, le directeur propriétaire du domaine, a sélectionné près de 400 références de vins composées de bouteilles venant des caves suisses et françaises. La carte de vins très achalandée met aussi à l’honneur d'autres vins de renommée internationale, vieillis dans plusieurs pays. ...
Perché à 30 m de haut, Vertigo Restaurant/Skybar occupe les plus hauts niveaux du magnifique immeuble Ehundura, situé dans le quartier des Machines de l’ile de Nantes, un endroit assurément branché. Le restaurant offre un cadre moderne et épuré et bénéficie d’une vue imprenable sur la cité des Ducs. Trois niveaux, trois ambiances Pour tutoyer les cimes, rendez-vous au Vertigo, un établissement de caractère qui se décline en trois espaces. Au 6e étage du fameux immeuble, place à l’élégance et à la convivialité. Les convives ont accès à un salon privatif, à une salle de restauration, à un bar et à une cuisine ouverte. Toujours au 6e étage, le restaurant ouvre sa terrasse durant l’été pour servir les déjeuners ou les diners avec une vue surplombant la Loire et le centre historique de Nantes. Un étage plus haut se trouve la principale salle de restauration appelée La Verrière, offrant une vue sur le ciel, qui comporte un jardin extérieur, un salon privé ainsi qu’un bar et un piano. Le Skybar panoramique, au 8e et dernier étage, offre un magnifique panorama sur toute la ville et invite à passer des moments privilégiés entre amis ou entre collègues à déguster les savoureuses tapas accompagnées des cocktails maison. Une cuisine de maitre restaurateur Depuis 2013, Vertigo Restaurant/Skybar bénéficie du label « Maitre restaurateur ». En tant que tel, tous ses plats sont faits maison, élaborés essentiellement à partir de produits bruts et frais (80 % au minimum). Vertigo travaille par ailleurs en étroite collaboration avec les producteurs et les artisans locaux pour son approvisionnement. Il est aussi partenaire et ambassadeur du label « Saveurs DétonNantes », qui met en avant les artisans et les produits de la région nantaise. Changeant au gré des saisons, la cuisine du Vertigo est à la fois raffinée et contemporaine, ouverte aux saveurs du monde. Elle est dirigée en coulisses par Emmanuel Prévot, un chef originaire de Nantes. « Pourtant diplômé en restauration, je me considère plus comme un autodidacte », raconte-t-il. Il a en effet beaucoup appris du métier au contact de grands noms de l’art culinaire tels que Stéphane Gravouille du restaurant Bénureau, Bernard Pelhatre du Café Cult’ ou Thierry Martin du Roman Bleu. Ce personnage ouvert d’esprit et rigoureux affirme un gout du détail très prononcé. Son plat fétiche : la Saint-Jacques gratinée au chorizo, accompagné d’une purée de patates douces rhum-vanille et d’un écumé de roquette et chips de légumes d’antan. Cette suggestion culinaire se déguste de préférence avec un Bourgogne blanc, un Muscadet millésimé ou un Saumur Champigny. ...