« Que du frais et des produits de qualité ». Le restaurant Seb’on s’appuie sur ce concept pour séduire sa clientèle. Et ça marche ! « Nos clients viennent pour notre travail artisanal identitaire mettant à l’honneur le fait maison avec tendance gastronomique », raconte Sébastien Héloin, maître des lieux. Ainsi, pour préparer une glace au praliné, il préfère concocter sa propre praline lui-même, en caramélisant et en torréfiant les noisettes. Le plaisir de chaque convive étant la priorité de l’établissement, il s’efforce de changer ses menus toutes les semaines, en fonction des saisons et de la disponibilité des produits. « Néanmoins, grâce à un partenariat avec les fournisseurs de Rungis, il arrive que des changements s’opèrent en cours de semaine », annonce le propriétaire. Les spécialités de la maison Malgré la diversité de sa carte, l’établissement propose toujours son plat-signature depuis son ouverture, le 28 juillet 2014, à savoir le foie gras au vin rouge. Préparé avec des épices de vin chaud, de la cannelle ou des clous de girofle, ce mets est à faire précéder d’une entrée à base de poisson ou de viande. Il est très apprécié des « franchouillards », mais aussi des touristes venus visiter Montmartre, qui l’appellent parfois le « foie gras parisien ». Pour découvrir tout le savoir-faire du chef, les noix de Saint-Jacques snackées agrémentées de risotto noir et de jus de homard sont à déguster absolument. « Ce plat est préparé à base de riz noir riche en céréales, qui, autrefois, en Chine, était réservé à l’empereur », explique-t-il. Dans le registre du dessert, Monsieur Héloin fait preuve d’innovation en concoctant son diplomate au litchi, gâteau servi avec un crémeux de clémentine corse, le même que celui utilisé pour agrémenter les tartes au citron. Au coup de cœur… Pour accompagner les plats proposés par le restaurant Seb’On, le chef aime suggérer quelques accords à sa clientèle. Toutefois, toujours fidèle à son concept de diversification, il lui arrive de présenter d’autres vins choisis « au coup de cœur ». Ainsi, les convives pourront savourer des vins issus de la vallée du Rhône, de la Bourgogne ou des Hautes Côtes de Nuits, et notamment de chez Pierre Naigeon, un jeune passionné qu’il admire particulièrement. ...
L’endroit a tout pour plaire ! Classé au patrimoine, l’établissement a trouvé refuge dans une ancienne brasserie, structurée d’un majestueux décor de boiseries de chêne. Philippe Chevrier, actuel gestionnaire des lieux, a voulu renforcer l’esprit traditionnel de la maison à travers une cuisine italienne… certes classique, mais rayonnante de saveurs. À la découverte de la cuisine méditerranéenne Le restaurant Marjolaine s’approvisionne auprès de fournisseurs italiens implantés en Suisse. Simple et raffinée, la « cuisine du soleil » se prépare à partir des produits de premier choix. Avec une carte assez flexible, la maison se fait un plaisir de sublimer les produits de saison. Philippe Chevrier a trouvé en Francesco Tedesco, un généreux chef turinois, idéal pour son restaurant italien ! Sa restauration met en avant les ingrédients typiques de l’Italie, à l’instar de la burrata, de la mortadelle, du salami, de la bresaola et, bien évidemment, les pâtes ! Au restaurant Marjolaine, tout est fait maison : spaghettis, raviolis, tagliatelles, linguine, paccheri et gnocchi de pommes de terre. Vous vous ferez un réel plaisir à la seule vue des linguine au homard, sauce tomate ou encore des spaghettis « alla carbonara ». Si vous aimez la viande, vous n’hésiterez pas à déguster le filet de bœuf « Molard » aux bolets et chanterelles avec son jardin de légumes, le tout rehaussé d’une appétissante sauce espagnole. Les enfants se régaleront avec une escalope « alla Milanese » qui s’accompagnera de la garniture du jour. Vous êtes végétarien ? No problemo ! Francesco Tedesco, chef de cuisine, propose le minestrone della « Mamma » comme entrée et un bon risotto aux artichauts servi avec du fromage de chèvre au citron confit comme plat principal. L’aventure culinaire se termine en beauté avec une marjolaine à l’orange, sauce vanille ou tout simplement en savourant un grand classique du répertoire italien : le tiramisu. Qui dit bon repas dit bon vin En matière de vins, l’établissement dispose d’une cave riche en références. En apéritif ou en accompagnement, la cuvée qu’il vous faut est disponible au restaurant Marjolaine. Le maitre d’hôtel Filippo Denise, alias « Pippo », vous aidera à choisir le meilleur accompagnement pour votre repas. L’établissement propose notamment des cuvées suisses, italiennes et françaises. Les vins suisses proviennent essentiellement de maisons genevoises comme Chasselas Domaine du paradis ou le Domaine du Clos des pins. Retrouvez également Les Vins de Philippe Chevrier. Cette fois, dans la peau d’un vigneron, notre chef présente des millésimes 2016 à base de sauvignons blanc et de sauvignon gris. Les vins de France sont représentés à travers des appellations renommées comme le bourgogne ou les côtes-du-rhône. ...
L’histoire de la famille Lacombe a toujours été liée aux vins. Déjà en 1910, les arrière-grands-parents d’Aristide Lacombe, l’actuel gérant, travaillaient la vigne avec passion. Malheureusement, leurs efforts n’ont pas été poursuivis par la génération suivante, qui a choisi d’autres voies laissant ainsi la propriété familiale à l’abandon. Quelques années plus tard, c’est à force de travail et de sueur que les parents d’Aristide Lacombe ont réussi à rebâtir le domaine. Avec l’aide de leur fils, ils réalisent une restructuration et remettent le domaine sur les bons rails. Aujourd’hui, la propriété familiale commence à faire parler d’elle et en bien ! Des cépages propres au terroir La maison travaille sur un vignoble d’environ 30 ha en appellation Gaillac. « Il s’agit d’une AOP (Appelation d'Origine Contrôlée) comprenant une grande variété de cépages autochtones », précise d’emblée Aristide Lacombe. Pour les rouges, on remarque, par exemple, la présence du braucol et du duras tandis que, au niveau des blancs, intervient un cépage encore méconnu du grand public : le loin de l’œil (un cépage blanc de Gaillac). « Celui-ci est planté sur des terroirs en premières côtes », nous indique-t-on. Sur ces terroirs majoritairement argilo-calcaires pousse également le mauzac, cépage typique de la région qui donne, notamment, des vins blancs gras aux multiples arômes et avec un peu d’acidité. Une belle philosophie Léguer une terre saine et fertile aux futures générations : ces quelques mots résument la philosophie du Domaine Grand Chêne. Pour Aristide Lacombe, le fait d’être en bio, en agriculture raisonnée ou en biodynamie ne doit en aucun cas constituer une fin en soi. « Nous sommes inscrits dans une démarche attentive à l’environnement, mais nous avons découvert que le bio n’est pas toujours aussi idéal pour la Nature », dévoile-t-il. En effet, il trouve illogique que des produits utilisés en agriculture conventionnelle soient éligibles en agriculture bio. Bref, quelle que soit la démarche adoptée, chacun doit garder à l’esprit l’héritage qu’il compte laisser à ses enfants. Une machine « écolo » Même si la maison opte pour une vinification traditionnelle, elle compte bien y apporter quelques améliorations grâce, notamment, à ses expériences. Ainsi, depuis quelque temps, le chai s’est doté d’une machine innovante permettant de réaliser une vinification assez particulière. « Nous avons construit et breveté une machine qui nous donne la possibilité de consommer très peu d’énergie pour la vinification. » À l’image des pompes à chaleur, la machine récupère les calories produites par les fermentations alcooliques qui seront ensuite utilisées dans la production d’eau chaude. Deux cuvées incontournables Parmi les 8 cuvées de la maison, la cuvée « Méthode ancestrale Brut » et la cuvée « Réserve Apolline » sont les plus représentatives. Alors que la première permet d’en savoir un peu plus sur l’histoire du domaine, la deuxième marque plutôt une ouverture vers la modernité et l’innovation. La cuvée « Méthode ancestrale Brut » porte bien son nom. « Nous y tenons beaucoup, car c’est un véritable héritage de nos ancêtres et sur lequel nous appliquons une méthode de vinification qui est restée inchangée », rapporte notre interlocuteur. Obtenu exclusivement à partir de mauzac, ce vin effervescent illustre un savoir-faire exceptionnel, transmis de génération en génération. Il séduit par ses notes pomme-poire, très caractéristiques du cépage mauzac. Quant à la cuvée « Réserve Apolline », elle mérite largement le titre de « cuvée ambassadrice ». Entre le rouge et le blanc, le choix est un peu délicat mais c’est finalement le rouge qui l’emporte. Élaboré...
Opérant dans le domaine du vin depuis plus d’une quinzaine d’années, Christophe Kaczmarek fait ses premières initiations au sein d’un des plus célèbres cavistes parisiens Le Repaire de Bacchus. Il affûte ensuite ses armes en se formant auprès de Jean-Michel Deluc et Paolo Bouca Nova puis intègre des maisons viticoles de grande renommée comme les Domaines Paul Mas ou le Groupe Castel. Fort d’une solide expérience professionnelle, il met à profit ses acquis pour lancer son entreprise en 2015, puis la marque French Beaches en 2020. Une marque française audacieuse et décomplexée French Beaches, c’est une gamme de vins dans l’air du temps produite à partir de l’assemblage de différents jus récoltés auprès de vignerons certifiés en agriculture biologique et biodynamique. La jeune marque française tire aussi profit de la vogue des bières artisanales pour créer ses propres « crus ». La micro-brasserie se trouve en plein Massif central, en Auvergne et tisse des partenariats avec d’autres brasseurs dans la conception de ses produits. « Je travaille avec Romain Paire du Domaine des Pothiers qui est vigneron, brasseur mais aussi éleveur de vaches », raconte Christophe Kaczmarek. Un troisième larron se rejoint au groupe en la personne de Ludovic Chaillit, Brasseur à Saint-Romain-la-Motte. Ensemble, le trio crée la Liberté Unplugged — A.P.A, une nouvelle bière artisanale fraîche et désaltérante. Une A.P.A digne de ce nom Les American Pale Ale (A.P.A) sont des bières fortement houblonnées aux puissants arômes d’agrumes, de fruits exotiques ou floraux. La Liberté Unplugged – A.P.A. se veut légère car elle contient un plus faible taux d’alcool. Facile à boire, elle dévoile une bouche houblonnée, dense et veloutée qui s’achève par de belles notes d’amertume. « Je voulais avoir une bière à l’équilibre gustatif entre l’amertume et la gourmandise », déclare le brasseur. ...
En créant Papilles & Mamies, Cyril Romanet et Charlotte Thienpont ont voulu rendre accessible à tous une cuisine de qualité toujours élaborée à partir de produits frais et de saison. Faire du désir de bien manger un plaisir du quotidien, tel est l’objectif que se sont fixé ces deux amoureux de la cuisine traditionnelle française. Une histoire née de la passion pour la bonne cuisine L’univers culinaire n’a aucun secret pour les deux épicuriens dans l’âme puisque, dès leur plus tendre enfance, ils y ont été initiés. Ayant grandi dans une ferme, Charlotte a développé un amour particulier pour le bon produit. Quant à Cyril, il a appris à aimer et préparer la cuisine du terroir auprès de sa grand-mère. Dans une volonté de pérenniser ces souvenirs et partager leur passion pour la cuisine au plus grand nombre, le duo s’accorde à créer une solution qui permettrait à chacun de se faire livrer de bons plats authentiques. Le défi est donc lancé en 2018 quand Charlotte et Cyril décident de participer au concours « 100 jours pour entreprendre » qu’ils remportent avec succès. Ensemble, ils poursuivent leur entreprise avec l’aide de l’incubateur Smart Food Paris et ont réalisé un test de commercialisation avec succès. A noter que ces bons petits plats qui fleurent bon les odeurs d’enfance et les matinées agitées sont tous mijotés en cuisine par l'équipe, avec des ingrédients méticuleusement sélectionnés. Et pour que l'offre soit accessible à tous, nos deux cordons bleus préparent en coulisse l'ouverture officielle des commandes, qui sera annoncée sous peu. Des repas chaleureux et conviviaux Pour Cyril et Charlotte, alimentation de qualité rime avec produits sains et frais. Ainsi, seuls les meilleurs ingrédients locaux et de saison ont la place dans leur cuisine. Et pour conserver le maximum d’apports nutritionnels, les repas vont être soigneusement mijotés à basse température dans des bocaux en verre. Bannissant les additifs et autres conservateurs, ce mode de préparation artisanal permet d’assurer une conservation plus naturelle des plats. Le consommateur bénéficie ainsi de repas frais, et équilibrés, riches en saveurs et préparés avec amour et délicatesse, exactement comme on les aime. Et parce qu’un bon lunch n’est pas uniquement réservé pour les grandes occasions, Papilles et Mamies fait de ce plaisir une expérience à vivre et à partager au quotidien. L’occasion de se réunir en famille ou entre amis pour un moment gourmand et convivial. ...
L’idée de départ était d’améliorer les troupeaux français en les croisant avec des têtes issues du cheptel anglais. Le système d’exploitation appliqué en Anjou, à cette époque, a favorisé le succès de l’expérience. Aujourd’hui, ce croisement de taureaux Durham à la Mancelle génère des viandes de haute qualité bouchère, réclamées par les connaisseurs. La plus anglaise des races françaises Reconnaissable à son allure longiligne, son fort gabarit et la pie rouge foncé de sa robe, la Rouge des prés était d’abord baptisée de la désignation Maine-Anjou. Elle portera ce nom jusqu’en 2004. « Longtemps, cette race qui est née au XIXe siècle a été exploitée de façon mixte, avec une production laitière relativement importante », précise M. Albéric VALAIS, le DG du Domaine rouge des prés. Aujourd’hui, elle s’aligne exclusivement dans les troupeaux allaitants, étant plus volontiers recherchée pour les riches caractères gustatifs de ses viandes. Un savoir-faire pointu pour l’élevage Question de terroir, les Pays de la Loire sont demeurés le site d’élevage de prédilection de cette race. C’est en tout cas la zone de couverture de l’appellation d’origine protégée. Ensuite, quelques troupeaux sont retrouvés au nord des Deux-Sèvres et en bordure de l’Ille-et-Vilaine. Des contextes particuliers définissent naturellement cette répartition des zones d’élevage. La race s’adapte à des facteurs pédoclimatiques doux. « Cette douceur angevine, elle cadence un petit peu notre année. C’est-à-dire que l'on a la chance chez nous d’avoir un printemps plus précoce. Ça permet de sortir les animaux à l’herbe très tôt. Au mois de mars, une bonne partie des troupeaux sont déjà arrivés en pâture », se réjouit Albéric Valais. Dans ces conditions, les bêtes jouissent alors d’une période d’alimentation à l’herbe très faste. Celle-ci se poursuit jusqu’en juin, voire au-delà. La douceur de l’automne permet de rattraper la « disette estivale » et de reprendre de l’état en perspective de l’hiver. Cette spécificité climatique offre aux éleveurs la possibilité de valoriser leurs prairies de façon optimale, alternant le recours aux prairies de fond de vallée ou de bord de ruisseau à l’exploitation des prairies sèches, à bon escient. La viande d’appellation Maine-Anjou Attribuée en 2004, l’AOC Maine-Anjou marque la consécration de la viande issue des Rouges des prés. Celle-ci se reconnaît d’emblée par sa couleur rouge intense, se distinguant tout de suite lorsque confrontée à des morceaux coupés dans d’autres races. Côté goût, ce sont les notes persillées du gras qui signent son originalité. La jutosité et la saveur de la chair sont typiques et très recherchées par les gourmets. Les néophytes en la matière peuvent toujours essayer la technique de la « mastication prolongée ». Loin du rendu granuleux qui se produit avec d’autres viandes, celle-ci a « une attaque en bouche onctueuse qui va rester même si vous mâchez longtemps ». Principalement découpés dans les quartiers arrière, les morceaux se déclinent en bourguignon, côtes, faux-filets, entrecôtes et rosbifs. D’excellentes pièces destinées au pot-au-feu ou aux recettes de fondues sont également proposées. Pour en arriver à ces produits de qualité éminemment courus, il a fallu respecter un cahier des charges rigoureux. L’homogénéisation des systèmes de production – « une vache et sa suite pour 1 hectare d’herbe » – et les conditions de finition des animaux sont parmi les priorités des éleveurs de cette appellation. Pour les dernières, le mot d’ordre est « matières premières mélangées et non OGM ». ...
Pour un domaine viticole, la Bergerie d’Aquino est un nom pour le moins insolite, n’est-ce-pas ? Ce nom tire en fait ses origines d’une légende née dans la région comme quoi le fameux Saint-Thomas d’Aquin aurait fait de cette bergerie à l’époque, une étape régulière durant ses nombreux voyages entre la France et l’Italie. Un terroir qui se prête au bon développement des vignes Composé d’un terroir à base d’argile, le vignoble du domaine est, selon les explications d’Eric Bompard, propice à la viticulture : « Nous avons un sol argilo-calcaire très caillouteux qui favorise le drainage ». Les parcelles de Grenache, Syrah, Cabernet Sauvignon et Rolle y sont exposées plein sud et bénéficient d’un ensoleillement exceptionnel toute l’année. En 2015, une nouvelle parcelle de Cinsault a été cultivée pour élargir les possibilités d’assemblage, notamment pour le rosé. Les premières vendanges de cette parcelle auront lieu dans deux ans. En matière de viticulture, profiter d’un bon terroir n’est pas suffisant pour avoir des récoltes de qualité. La façon de le cultiver est également une étape primordiale. « Nous n’utilisons aucun pesticide, aucun engrais et évitons de traiter les vignes. En revanche, en cas de maladie prévisible, nous prenons la liberté d’éviter par traitement le risque d’une dégradation de la récolte » note Eric Bompard. Les rendements y sont rigoureusement maîtrisés et donnent une production de l’ordre de trente à trente-cinq hectolitres à l’hectare, garantissant une maturité et une concentration optimale des baies de raisins. Et pour finir, les vendanges se font exclusivement à la main dans des petites caissettes de 35 kilos. Gastronomique ou plaisir immédiat, il y a le choix Lorsqu’il a acquis ce domaine en 2014, Eric Bompard nourrissait fortement l’ambition de produire des vins de qualité. Nouveau venu dans la filière mais non moins passionné, il a fait appel à un œnologue spécialiste de ce terroir pour mener à bien la vinification. Ce dernier jongle entre les techniques modernes de contrôle des températures avec les méthodes traditionnelles de macérations et de fermentations pour élaborer ses vins. Il en résulte deux gammes de vins aussi différentes qu’exceptionnelles que sont les cuvées « Bergerie », vins de gastronomie déclinés en rouge et blanc d’une part et d’autre part la gamme « Etoiles d’Aquino », « une gamme destinée à une consommation plus immédiate, aux arômes puissants, fruités, qui correspondent au terroir de la Provence » explique Eric. Cette dernière gamme, en appellation protégée Coteaux Varois en Provence est composée de trois vins déclinés sur les trois couleurs. ...
Lors de son acquisition en 1997, Gontran Dondain, passionné de vin, a imaginé pour ce domaine un projet visionnaire et ambitieux, axé sur l’univers du vin et qui offrirait au terroir du Languedoc la place qui lui revient dans le monde viticole français et mondial. Actuellement, ce projet est d’ores et déjà une réussite. Toutefois, avec sa soif de perfection, Gontran Dondain ne cesse d’apporter des améliorations continuelles au Château Cabezac. Quatre terroirs gages de vins exceptionnels En plein cœur d’une terre gorgée de soleil, Château Cabezac exploite 40 hectares de vignes se déclinant en quatre terroirs complémentaires. Le mont des Capitelles est caractérisé par un sol pauvre disposé en pente mais profitant d’une bonne alimentation hydrique. Son exposition face à la méditterannée le rend propice au développement des cépages blancs, qui apporte aux vins finesse, arômes et complexité. Les Garrigots sont un terroir alluvionnaire recouvert de galets, très bien drainé, qui convient parfaitement à l’élaboration de vins rouges. Le plateau de Belvèze et son sol composé d’argiles schisteuses et de cailloux métamorphiques en provenance de la Montagne noire permet d’obtenir des vins de garde sublimes. Enfin, situé à 200 m d’altitude, le plateau de Cazelles dispose d’un sol riche en matière organique et recouvert de pierres blanches, qui possède une certaine typicité apportée par ses calcaires de gélifraction. Viticulture raisonnée en adéquation avec son terroir Afin de pérenniser son terroir et de respecter la nature et les hommes, Château Cabezac a fait le choix murement réfléchi d’appliquer une agriculture raisonnée tout au long de ses procédés d’élaboration du vin. En aval, les rendements sont limités en de çà de la normale, en fonction des parcelles et la vendange s’effectue essentiellement à la main à la maturité optimale des raisins. Une équipe menée par les œnologues Cathie Fournié et Mathieu Dubernet, assistée par l’agronome Jean-Dominique Fourment, supervise rigoureusement la vinification en amont. Celle-ci est pratiquée à la sélection parcellaire et par gravité pour préserver au maximum l’intégrité du fruit au sein de l’ancienne cave du Château, datant de 1900, entièrement restaurée et modernisée. Des vins dignes de son terroir Gilles Goujon, Guy Savoy et Pierre Gagnaire, Four Seasons et le Park Hyatt, notamment, figurent parmi les cuisiniers et les hôtels prestigieux et étoilés qui ont récompensé le travail d’orfèvre mené au Château Cabezac depuis 19 ans. Parmi toutes les cuvées exceptionnelles mises en avant par ces restaurants, « la Cuvée Les Capitelles » Minervois est incontournable. Médaillée à de multiples reprises et citée par plusieurs guides spécialisés, cette cuvée d’assemblage présente une robe pâle aux reflets argentés. Son nez citronné, aux notes anisées, est suivi d’une belle rondeur et d’une souplesse en bouche marquée par une agréable fraicheur. Il n’en est pas moins du Carinù Minervois Rouge, issu de vieilles vignes de carignan et élevé en fûts de chêne français durant 18 mois. Cette cuvée à la robe rouge grenat livre des arômes de fruits rouges bien mûrs, avec des notes d’olives noires au nez, et une bouche charnue et ample, avec des notes de cerise noire et d’épices. Dernier et non des moindres : la Grande Cuvée Belvèze Minervois Rouge, qui est issue de macération traditionnelle et a été élevée en fûts de chêne français 18 mois avant d’être mise en bouteilles. D’une grande complexité, ce vin s’ouvre sur des notes de torréfaction minérales, suivi d’une bouche puissante avec une finale long. La grande cuvée Belvèze doit être mise en carafe quelques heures avant de pouvoir dévoiler sa finesse et son élégance. ...
L’oignon de Roscoff est une appellation d’origine contrôlée depuis 2009 et protégée depuis 2013, délimitée dans la zone littorale nord du Finistère, gérée et contrôlée par le « syndicat oignon de Roscoff » qui a son siège au sein de la ville de Saint-Pol-de-Léon. Dans le respect des traditions Cette variété d’oignon issue de l’espèce Allium Cepa a été apportée pour la première fois au XVIIe par des moines capucins portugais. Son nom fait référence à son berceau historique qu’est la ville de Roscoff. Cru, cuit, en salade ou tout simplement confit, cette plante à bulbe se démarque des autres par son gout unique. « Doux, juteux et croquant, avec des arômes fruités, elle porte énormément d’atouts gustatifs » explique Robert Jézéquel, le président du syndicat de l'AOP oignon de Roscoff. Un temps délaissé car supportant mal la culture intensive, cet oignon rosé a joui de la ferveur et de la passion d’un groupe d’irréductibles producteurs qui veulent en assurer la valorisation. Ils s'attachent à fournir aux amateurs de nourriture de qualité les quantités nécessaires au marché devenu porteur. Le cahier des charges de cette appellation impose un calibre compris entre trente et quatre-vingt millimètres de diamètre et un conditionnement laissant au moins 5 cm de queue pour favoriser la conservation naturelle permettant d’éviter le traitement antigerminatif. La conservation « est naturelle, ceci afin de ne pas dénaturer son gout » toujours selon Robert. La Fête de l’Oignon de Roscoff Tous les ans durant l'avant-dernier week-end du mois d’août, a lieu dans la ville de Roscoff la Fête de l’Oignon. Drainant près de trente-mille personnes, « il est possible de s’y approprier et déguster les premiers oignons de la saison » note Robert Jézéquel. A ne pas manquer également : la découverte de « La maison des Johnnies et de l’oignon de Roscoff » qui relate l’histoire de cette culture et des Johnnies, ces marchands qui vendaient leurs produits en Grande-Bretagne. ...
Le Mas Janeil Le Mas Janeil est une propriété située dans la vallée de l’Agly, dans les Pyrénées-Orientales, avec des parcelles sises entre les communes de Maury et de Tautavel. Son terroir, à cheval sur une faille géologique, présente une très grande diversité. Ses vignes sont constamment soumises aux souffles de la tramontane et du marin. Les vieilles vignes de grenache, de mourvèdre et de syrah ne sont vendangées qu’à leur pleine maturité, ce qui confère aux cuvées une belle maturité aromatique. Les vins qui y sont produits sont déclinés sous le nom de « Mas Janeil », en appellation AOP Côtes-du-Roussillon et Côtes-du-Roussillon Village et « Les Hauts de Janeil » en IGP Pays d’Oc. Le Château des Erles François Lurton a acquis avec son frère ce vignoble situé aux confins des Corbières en 2001. Les 18 hectares, composés de sols schisteux mélangés à du grès noir, sont plantés de carignan, de grenache et de syrah, en faible densité de 3000 pieds par hectare. Il est soumis à un climat méditerranéen typique et une pluviométrie faible qui sont à l’origine de la fraicheur prononcée de ses vins. Les herbes de Provence qui entourent le vignoble donnent à ses cuvées des notes d’herbes. Le domaine produit deux vins en appellation Fitou : le « Grand Vin du Château des Erles » et la « Cuvée des Ardoises ». Le Domaine du Ministre Le Domaine du Ministre, situé sur la commune de Murviel-lès-Béziers, se trouve en plein cœur de l’appellation Saint-Chinian. Ses cépages de syrah, de grenache et de mourvèdre grandissent sur un sol calcaire contenant de la marne. L’exploitation produit le vin du même nom, le « Domaine du Ministre », qui bénéficie d’une couleur rouge rubis profond, avec un nez complexe et intense,tout en offrant un bel équilibre en bouche avec des tanins suaves et des arômes concentrés. Le Domaine des Salices Le Domaine des Salices est un vignoble situé dans le Minervois, entre la Montagne noire et la Méditerranée. Ses vignes bénéficient d’un excellent ensoleillement toute l’année, qui garantit un murissement parfait des raisins. Le terroir produit quatre cuvées en appellation IGP de Pays d’Oc. Les Fumées Blanches « Les Fumées Blanches »constitue la cuvée de référence qui fait la renommée mondiale de François Lurton. Celle-ci tire son nom de la brume matinale qui couvre les vignes de sauvignon blanc, au pied de la Montagne noire, entre l’Atlantique et les Pyrénées. Ce vin de cépage monovariétal est un assemblage de sauvignon blanc issu de plusieurs terroirs différents dans cette région du Gers, à 150 km de Bordeaux. Créée il y a 18 ans, la gamme de vins s’est dotée d’une nouvelle venue, plus pétillante grâce à l’ajout d’une légère dose de dioxyde de carbone qui révèle la délicatesse des arômes du cépage. ...
Ouverte toute l’année, la Brasserie du Port est située aux portes de Metz et de Nancy. L’établissement offre un cadre agréable et reposant sur le lac de Madine en Meuse, auquel vient s’ajouter une ambiance authentique et conviviale. Des plats artisanaux faits maison La Brasserie du Port est un établissement sympathique particulièrement attaché à la cuisine du terroir. Foie gras maison, terrine maison et salades à foison sont à l’honneur au sein de cet établissement de la Meuse au cadre convivial, qui, tout au long de l’année, met les petits plats dans les grands pour satisfaire la clientèle. L’enseigne n’écarte pas pour autant de ses suggestions culinaires les grands classiques tels que les poissons, viandes, tartare, volaille, qui sont proposés à la carte avec une formule du jour qui varie selon les saisons et un menu au choix composé par le client lui-même. Un cadre convivial La Brasserie du Port baigne dans une ambiance agréable, où familles et amis aiment se retrouver autour d’une table à la cuisine gourmande avec des mets principalement faits maison. C’est un vaste espace organisé autour d’une immense salle au décor contemporain, équipée de mobilier récent. La maison offre une vue magnifique sur le port et le lac en lui-même, le tout dans une ambiance particulièrement chaleureuse et conviviale. ...
Caroline Barroux | Alors, j’ai repris l’exploitation familière en 2004, le château Barrabaque, qui est une propriété de 10hectares en appellation Fronsac-Canon-Fronsac. Et l’histoire de ce domaine commence en 1936 avec monsieur Achille Noël qui cultivait une vigne exclusivement rouge. Comment votre domaine a évolué et quel type d’agriculture vous y pratiquez maintenant ? C B | Alors, c’est une propriété qui appartenait à mon grand-père et ma mère a pris le relais jusqu’en 2004. C’est une exploitation avec principalement des rouges puisque l’appellation Fronsac-Canon-Fronsac ce sont des rouges, et dans les années 2000, j’ai diversifié en faisant du blanc et du rosé. Alors, on est en agriculture raisonnée maintenant depuis plus de 25 ans puisque c’est une démarche que ma mère avait démarrée fin des années 80, qui, ces dernières années ont permis de tenir la certification HVE Haute Valeur environnementale, mais cette certification n’a fait que mettre un mot, j’allais dire sur les pratiques éco responsables que l’on a depuis maintenant plus 25 ans. Une agriculture raisonnée depuis très longtemps pour plusieurs types de cépages, un sauvignon et un sémillon blancs, un rouge merleau, cabernet franc, cabernet sauvignon et petite particularité pour le domaine Barrabaque du Malbec, alors comment est-ce qu’on assemble tout ça chez vous ? C B | Alors, les vins de Barrabaque sont tous des vins d’assemblage, le prestige en est majoritairement merlot du cabernet franc et du malbec. Le château Barrabaque tradition, ce sont les trois cépages, j’allais dire majoritaire de notre appellation, merlot cabernet franc et cabernet sauvignon et puis ensuite la cuvée divins 50% malbec et 50% merlot. Les blancs c’est 2/3 sauvignon et 1/3 sémillon. Alors la particularité du caprice de Caroline c’est qu’il est vinifié en barrique, ça donne un vin un peu atypique dans la mesure où il y a à la fois beaucoup de fruits de fraîcheurs, et quand même une complexité qui est amenée par l’élevage en barrique. Et quant aux rosés, c’est un rosé de saignée, la méthode traditionnelle de production de rosé à Bordeaux et qui est un assemblage 50% merlot 50% cabernet. Et avec tous ces assemblages, nous obtenons vos sept vins, vous nous en parlez ? C B | Alors, nous avons d’abord le rosé qui s’appelle le rosé de Barrabaque, en blanc nous faisons deux blancs différents, le caprice de Caroline qui est vinifié en barrique et le gourmandise certaines années et en particulier les années où nous avons des jeunes vignes parce qu’une jeune vigne ne pourra pas faire l’objet du caprice de Caroline. Et ensuite sur les rouges, nous avons quatre rouges principaux la cuvée Hugo qui est, j’allais dire notre entrée de gamme sans vieillissement en barrique, ensuite nous avons le château Barrabaque tradition, le château Barrabaque prestige et pour finir, une cuvée atypique qui s’appelle le Barrabaque Divin. Et pour parler un peu de votre grand-père grâce à qui tout ça a débuté, qu’est-ce qu’il disait sur les millésimes ? C B | Mon grand-père dirait qu’on reconnaît les bons vignerons, les petits millésimes parce qu’un bon vigneron va faire un bon tous les ans. Les millésimes exceptionnels, on en a forcément, c’est 2015 ça va être 2016, ça va être 2018, 2019, mais des millésimes plus difficiles comme 2014, 2012, et bien quand on fait un grand vin, j’allais dire qu’on peut reconnaître si on a un bon vigneron en face de nous. Une parole sage de votre grand-père. Alors, si moi cet été, pour encore mieux apprécier mes vacances je veux venir visiter votre domaine, comment ça se passe ? C B | Alors nous, on peut s’adapter à toutes les possibilités, j’allais dire qu’on est une des rares propriétés ouvertes au public sept jours sur sept parce que nous habitons sur place. Pour les gens qui ne connaissent pas, on peut faire la visite des cuviers, des chais à barrique et terminer par une dégustation, bon les clients qui connaissent finalement ils viennent déguster les nouveautés et ensuite, on propose également des ateliers de dégustations depuis un an maintenant Et je suis sûre que de déguster vos v...
Ayant littéralement baigné dans la cuisine française depuis sa tendre enfance, le maitre des lieux Ludovic Perraudin y puise toute son inspiration. Cependant, c’est son imagination culinaire surprenante qui fait toute la différence dans chacune de ses créations. Burgermania à Paris C’est dans un cadre entièrement renouvelé que le fils Ludovic opère toute sa magie. Installé derrière son comptoir, ce chef gastronomique élabore des burgers comme vous n’en dégusterez pas ailleurs. Au choix : plus d’une dizaine de variétés. Parmi les burgers qui ont reçu le plein d’éloges de la part des clients figure le Black Spicy, composé de steak de viande bovine française, de pickels, tomate, oignon, cantal AOP, sauce pimentée, tabasco, fleur de sichuan (petit bouton de fleur du sud de la Chine), salade de type iceberg ; le tout enrobé de pain à l’encre de seiche, dont l’apparence noire apporte un contraste au plat. Dans le registre végétarien, le burger Veggie fait le bonheur des foodies avec sa crème truffée, champignons de Paris, tomate, cantal AOP, escorté d’une galette de pommes de terre qui ne cannibalise pas les saveurs des ingrédients mais, bien au contraire, en affirme le gout. Des viandes de qualité Pains issus du boulanger Au Bon Louis, sauce maison, fromage affiné, viandes d’origine française, recettes originales : telles sont les combinaisons gagnantes qui ont fait le succès de Wagy Burgers du Père Claude. La maison va même jusqu’à proposer des steaks de bœuf Wagyu, appréciés pour leur délicatesse, leur texture tendre et persillée. Une cuisson à point est recommandée aux clients afin de savourer au mieux ces viandes d’exception. ...
Paléo Toi-même propose une solution unique et originale : des en-cas sains, gourmands et nutritifs. Si à l’origine le concept était destiné aux femmes actives, reines du grignotage mais qui tiennent à leur ligne, ces petites gourmandises à forte teneur en nutriments et en bonne graisse conviennent tout aussi bien aux enfants qu’aux adultes. Un concept novateur Partant du principe que les oléagineux et les fruits séchés recèlent de trésors pour la santé, Pascal Baup, le fondateur de Paléo Toi-même a saisi cette opportunité pour en faire un concept novateur : des en-cas anti-grignotage car selon lui, « s’il faut grignoter en cas de petits creux, autant le faire intelligemment ». C’est ainsi qu’il se lance dans cette aventure, épaulé par Laurence Salomon, chef culinaire et naturopathe de profession qui lui fait part de ses précieux conseils pour assortir les produits de façon à optimiser les apports nutritifs et informer sur leurs vertus à travers des fiches nutritionnelles. Forte de ses 13 ans d’expérience au sein de son restaurant Nature & Saveur à Annecy, elle propose aussi des idées recettes à base de leurs produits. Des produits gourmands et pleins de ressources empreints d’un retour à la vie saine A l’image des snacks, barres de céréales et autres gâteaux préparés, ce ne sont pas les propositions qui manquent sur le marché. Pourtant, c’est Paléo Toi-même qui a pensé à allier gourmandise, santé et bien-être. Avec sa large gamme d'en-cas gastronomiques à base de fruits séchés et d’oléagineux, de chocolat cru, de baies, de muesli… les plaisirs sont variés et tout le monde y trouve facilement son bonheur. Les produits sont issus de la culture biologique, non transformés, exempts de conservateurs, pesticides, herbicides et autres perturbateurs endocriniens à effets délétères sur la santé. De plus, ils sont vegan et sans lactose avec des valeurs nutritives intenses qui ne sont plus à vanter. Contrairement aux goûters industriels, les offres de Paléo Toi-même sont dépourvues de sucres rapides, facteurs de prise de poids et de maladies. « On a l’offre la plus diversifiée » souligne Pascal Baup. Plus de 100 choix sont proposés. Ils sont disponibles sur la boutique en ligne et sur abonnement avec des box personnalisables au gré de toutes les envies car « les goûts des uns et des autres doivent être pris en compte », se plaît à dire notre interlocuteur. Impossible de les citer tous, mais à titre d’exemples, des produits atypiques comme les figues zagros bio, le Fenelar offrent des expériences gustatives à part. Des fruits séchés bio comme les bananes, litchis, fraises, des baies de goji qualifiées de super-aliment grâce à leur forte teneur en fibre et en nutriments ravissent également les épicuriens. Les Blissballs, fibreux et à effet coupe-faim, composés de canneberges, dattes, amandes crues, noix de cajou crues, raisins sultanine, noix de coco, baies d'acaï sont très plébiscités. Leurs apports combinés font de ce produit une collation idéale pour les enfants en pleine croissance. Paléo Toi-même propose aussi des coffrets de poche pratiques et non encombrants. Des petites boites réalisées avec du fer blanc et barquette en APET, des matériaux fiables qui se glissent facilement dans tous les sacs à main et les cartables, pour transporter ces collations d’exception. ...
Depuis plus d’un siècle, la famille Fagot élabore des champagnes d’une qualité rare qui font honneur à la réputation de cette boisson pétillante de saveurs. Réparti en deux terroirs – celui de la Rilly-la-Montagne et d’Hermonville –, le domaine de Michel Fagot profite des conditions exceptionnelles offertes par ses terres pour la production de ses vins de gourmandise dans le respect des plus pures traditions champenoises et des exigences de développement durable. Un vignoble classé premier cru Installé au cœur de la grande montagne de Reims, le vignoble de Michel Fagot occupe une superficie de plus de 15 hectares propices à la production de pinots noirs et de meuniers d’une grande finesse mais aussi d’excellents chardonnays. Grand passionné, Olivier Fagot, le premier responsable de la marque, se fait toujours un plaisir d’expliquer aux visiteurs comment « les vignes vont puiser leurs nutriments dans la terre » pour donner aux terroirs, donc aux champagnes, leurs « signatures olfactives typiques ». Une démarche qualité À partir de cépages à parts quasiment égales de chardonnay, de pinot noir et de meunier, la maison Michel Fagot produit des cuvées de premier choix dont le Blanc de Blancs Premier Cru, le Brut Rosé Premier Cru, le Millésime 2004 Premier Cru et surtout « Le Clos de Marzilly » qui est en quelque sorte l’ambassadrice de la marque. Afin d’atteindre un plus haut degré de perfection, celle-ci intègre dans ses outils de production aussi bien des cuves modernes que des pressoirs traditionnels tout comme des fûts tronconiques permettant d’ « adoucir un petit peu les vins » et de « rééquilibrer aussi l’acidité » selon les termes d’Olivier Fagot. Un partage de plaisirs Au détour d’un voyage en Champagne, le domaine se prête parfaitement à des visites empreintes de culture et de gourmandise pour le plus grand plaisir des œnologues en herbe. Ici, l’on peut s’initier aux techniques d’élaboration de champagnes, déguster les meilleurs crus de la marque et explorer ses différentes installations. Des moments de partage et de convivialité à la découverte d’un authentique propriétaire récoltant qui « défend un terroir, un savoir-faire », comme le souligne notre interlocuteur. ...
Après la prise de conscience collective des consommateurs français quant à la nécessité de manger plus sainement, l’on remarque une explosion des produits bio sur le marché. En effet, la succession des scandales alimentaires qui ont frappé le secteur agro-industriel a orienté les habitudes d’achats vers une consommation plus raisonnée et transparente. Mais souvent, le plaisir gustatif s’efface derrière ce nouveau comportement alimentaire qui prône une alimentation équilibrée. Est-il vraiment nécessaire de sacrifier notre appétit au profit des besoins nutritionnels de notre corps ? Non, bien sûr ! Terra Bacchus a trouvé la formule parfaite pour combiner les deux : retrouver notre plaisir en mangeant des bons petits plats et profiter du bonheur de faire un achat responsable. Le début de l’aventure Un trio de fins gourmets a créé ce magasin bio, situé à Paris, pour satisfaire toute personne qui partage la même exigence qu’eux en matière de qualité gustative. Mais Kim, Michael et Jessica sont, par-dessus tout, soucieux de préserver notre environnement. Leur façon à eux de militer en faveur d’une agriculture durable et pérenne est de sélectionner les meilleurs produits de la terre pour les faire goûter aux consommateurs gourmands, comme eux. Chacun d’eux a pris le temps de chercher, de déguster et d’apprécier chaque aliment que l’on peut retrouver dans le magasin, car le goût est un critère majeur dans le choix des produits à proposer aux clients. De l’apéritif au dessert « Notre gamme de produits est assez variée, nous avons essayé de concilier l’exceptionnel et la cuisine de tous les jours pour permettre de bien manger en toute occasion », explique Jessica Bounar, gérante du magasin. Les jolies couleurs des fruits et légumes de saison dominent les rayons du magasin Terra Bacchus. Préparées avec des pâtes végétales ou des produits laitiers frais vendus sur place, ces belles récoltes vont se transformer en des mets simples et délicieux. L’on y trouve aussi une large gamme de chocolats, fruits secs, miels et autres ingrédients de qualité venant directement des producteurs. En outre, une autre section propose de la charcuterie avec des saucissons des Hautes-Alpes, des terrines, une collection de fromage français, et des antipasti, tels que des tomates séchées, poivrons, et cœur d’artichauts grillés. Enfin, le rayon snacking expose d'appétissants plats préparés maison, comme des salades composées, des soupes et sandwichs, à emporter pour manger sainement à toute heure de la journée. « Nos produits vont vraiment satisfaire tous les régimes alimentaires, que l'on soit végétarien, vegan ou que l’on mange de tout, chacun y trouvera quelque chose à son goût », ajoute Jessica. Un accent sur les vins 100 % bio Dans cette belle collection de produits, la sélection de vins mérite une attention particulière. Kim et Jessica sont de grands connaisseurs en vins, certifiés Wine & Spirit Trust, et pour composer la gamme ils ont parcouru les domaines viticoles de la France pour dénicher le meilleur des vins bio et vins biodynamiques auprès des vignerons passionnés par leur métier. « Cette gamme de vins a été créée minutieusement, choisie en prenant notre temps, en dégustant chacun d’entre eux pour ne sélectionner que ceux que nous trouvions les mieux réalisés, les plus à même de procurer du plaisir à la dégustation », nous dévoile-t-elle. Cet investissement particulier de leur part nous en dit long sur leurs exigences quant à la qualité des vins à offrir aux clients, et sur leur volonté à honorer les produits bio. Ces cuvées représentent fièrement, chacune à leur manière, leur terroir d’origine et le savoir-faire traditionnel dans lequel elles sont élaborées. En provenance d’Alsace, du Beaujolais, de Bordeaux, de Bourgogne, du Jura, du Languedoc-Roussillon, de la Loire ou du Rhône, les vins arborent toutes sortes de labels : AB, ECOCERT, Biodyvin, Demeter. Rouges, blanches ou rosées, les cuvées partagent en commun une personnalité captivante équilibrée par une justes...
Établi dans les Pyrénées orientales, au cœur du Roussillon, le Domaine Clos Saint Georges jouit d’une situation privilégiée dans le terroir particulier « Les Aspres ». Le vignoble de 120 hectares certifié Haute Valeur Environnementale produit une gamme de cuvées en rouge, blanc et rosé sous les appellations AOP Côtes du Roussillon, AOP Côtes du Roussillon Villages "Les Aspres", IGP Vin de Pays d'Oc, IGP Côtes Catalanes. Le rouge à l’honneur La cuvée de Pierre, un rouge millésimé de 2010 fait particulièrement la fierté du domaine. Ce vin de garde sous l’appellation AOP Côtes du Roussillon Villages « Les Aspres » est passé par un élevage long, comme tous les vins de l’appellation. « Les Aspres ne sont mis sur le marché qu’après 7 à 8 ans », précise Claude Ortal, propriétaire des lieux. Ce vigneron indépendant pur et dur et passionné par son métier est épaulé dans son ouvrage par son épouse, Dominique Ortal. Elle est l'une des rares à avoir été nommée par Monsieur le President de la République, Chevalière de l'Ordre National de la Légion d'Honneur au nom de la viticilure. ...
Partez à la découverte de la Maison Goutorbe : une entreprise familiale spécialisée en création de champagnes de grande qualité. Passion et savoir-faire : les deux piliers pour créer d’excellents vins Pour revenir aux origines du champagne Henri Goutorbe, il faut revenir au début du 20e siècle. Alors pépiniériste, la famille Goutorbe (par le biais d’Henri et René Goutorbe, père et fils) décide de commercialiser du vin de Champagne. Les enfants de René Goutorbe le rejoignent quelques dizaines plus tard pour agrandir et améliorer l’exploitation avec toujours cette même volonté de créer de grands vins de Champagne. Le travail effectué sur la vigne et le domaine favorise l’obtention des labels Haute Valeur Environnementale (HVE) et Viticulture Durable en Champagne (VDC). ...
Dans une grande salle lumineuse se dressent des tables soigneusement alignées et habillées de nappes blanches, prêtes à accueillir les assiettes colorées et savoureuses. Dans ce cadre au charme atypique, l’odeur enivrante du fameux cassoulet de Castelnaudary s’échappe de la cuisine. Un avant-goût prometteur dont les convives peuvent se délecter, bien que la maison propose aussi plusieurs plats typiquement toulousains. Les réjouissances peuvent s’achever sur une bonne tasse de café, un autre produit qui fait la réputation de la maison depuis 1984. Une cuisine originale aux accents du Sud-Ouest À découvrir en plein centre de Toulouse, au 14 rue Bayard, le restaurant Le Colombier est une excellente adresse pour les adeptes de la cuisine traditionnelle. Au centre des saveurs, des produits du terroir sont mis en avant. Le foie gras, le jambon d’Espagne ou encore le saumon fumé maison rythment les plats. Un bon compromis entre la cuisine locale et des créations personnelles est proposé par les cuisiniers. Cette harmonie peut se retrouver dans la carte. À midi, l’établissement propose un condensé de gourmandises avec une entrée de foie gras, un cassoulet au confit d’oie et la croustade aux pommes en guise de dessert. Autant d’émotions en bouche pour confirmer la réputation du Colombier. Le restaurant sélectionne également les meilleurs vins de la région, pour une expérience plus jouissive. Il s’approvisionne directement chez les viticulteurs locaux, dans une volonté de privilégier le circuit court. Les vins des terroirs du Sud-Ouest et près du Languedoc Roussillon enrichissent une carte aux nombreuses références. La passion et la qualité La maison est également guidée par une passion qui évolue au fur et à mesure du temps. Ses menus sont empreints d’élégance et de technique. Les déclinaisons de plats proposées par le restaurant laissent transparaître un choix très strict pour les bons produits. Le soin est apporté à la présentation de l’assiette, tout comme au mariage des saveurs. ...
Propriété familiale depuis 1692, le domaine Alary s’est transmis de père en fils. Jean Étienne Alary, onzième génération, assure aujourd’hui la gestion de l’exploitation. Chaque année, ce dernier n’hésite pas à faire preuve d’audace, en expérimentant de nouvelles techniques, pour le plus grand plaisir des œnophiles. Des terroirs d’exception Ce vignoble de 29 ha mené en agriculture bio repose sur différents terroirs. Il bénéficie ainsi d’une grande diversité de sols : un plateau présentant un sous-sol d’argile blanche et rouge, des sols de garrigues et des demi-coteaux constitués d’argile blanche et rouge. « La combinaison de ces terroirs nous permet de produire des vins empreints à la fois d’élégance, de fraicheur et de finesse », souligne Jean Étienne Alary. Sur ces sols propices à la vigne s’épanouissent une belle variété de cépages. En rouge, on trouve en cépages principaux le grenache, la syrah et le mourvèdre. Ceux-ci peuvent être complétés par du carignan, du cinsault ou du picpoul. En blanc, la clairette, la roussanne et le grenache blanc sont majoritaires, suivis des cépages accessoires tels que le viognier et le bourboulenc. « Grâce à cette diversité, nous pouvons élaborer des vins très différents », nous indique-t-on. À côté des classiques, le domaine Alary s’attache à faire revivre des cépages oubliés comme la counoise, le picpoul noir et le picpoul blanc. « Ils sont plus fins, moins riches en alcool et procurent une meilleure acidité », rapporte notre interlocuteur. Innover encore et toujours Afin d’améliorer la qualité de ses vins, le domaine Alary ne cesse d’expérimenter de nouvelles techniques. Pour 2019, la maison prévoit une vinification en chapeau immergé. « Le principe est de faire passer le jus par-dessus le chapeau de marc », explique Jean Étienne Alary. Ici, l’objectif est de procéder à une extraction plus fine dans le but d’éviter d’avoir des tanins grossiers. Enfin, pour préserver l’authenticité de ses vins, le domaine délaisse volontiers les cuves en bois au profit des cuves en inox et en béton. Des vins reconnus Parmi les spécialités de la maison, deux cuvées se démarquent nettement des autres : la cuvée Jean de Verde et l’Estevennas, toutes deux issues de sélection parcellaire. Obtenue à partir de l’assemblage de grenache et de carignan, la cuvée Jean de Verde se démarque par une explosion de fruits noirs, de chocolat et d’épices douces. Ce nectar n’a rien à envier aux grands vins de la vallée du Rhône en termes de puissance, de finesse et d’élégance. Notée 96/100 par le Wine Advocate, il remporte la meilleure note jamais attribuée sur un cairanne. Quant à l’Estevennas, il s’agit d’un vin complexe avec une sucrosité en bouche très intéressante. Il est doté d’une grande qualité de tanins qui lui confère toute sa puissance. Noté 95/100. ...
Avec ses 250 adhérents, les Vignerons de Bel Air figurent parmi les premiers producteurs de crus du Beaujolais de la région. Ceux-ci, avant-gardistes et décomplexés, travaillent artistiquement leurs vignes ; et la coopérative s’efforce de faire ressortir ce côté artistique dans ses vins déclinés en cuvées Mode, Classique et Chic. La cave de 1929 à nos jours L’histoire des Vignerons de BelAir commence en 1929, alors que l’économie est frappée par une crise sans précédent. Afin d’y résister, un petit groupe de viticulteurs du Beaujolais décident de se réunir en une coopérative. Au fil du temps, les rangs et la production de la cave ne cessent de monter en flèche. L’année 1984 correspond à l’ouverture du premier magasin, qui accueille les nombreux amateurs des vins de l’exploitation. Chemin faisant, la cave de Bel Air de Saint-Jean- d’Ardières fusionne avec celle de Chiroubles, située au cœur des crus du Beaujolais, en 2008. Entre temps, les adhérents de BelAir n’ont cessé de moderniser leurs outils et méthodes de travail. Actuellement, la cave compte près de 250 vignerons membres intervenant sur une surface totale de 700 hectares de vignes, qui couvrent les grands crus du Beaujolais à savoir Brouilly, Chénas, Chiroubles, Côte-de-Brouilly, Fleurie, Juliénas, Morgon, Moulin-à-Vent, Régnié, Saint-Amour, Beaujolais-Villages et Beaujolais. 10 crus, 13 appellations, 30 vins Sur les vignobles couvrant 13 appellations du Beaujolais incluant 10 crus, il est assez difficile d’obtenir une qualité de production uniforme. En conséquence, la cave effectue un tri très sélectif des raisins et une vinification séparée selon les différentes qualités pour l’élaboration de ses vins. Ceux-ci sont déclinés en une trentaine de produits sur les trois couleurs. La cuvée « Régnié Printemps Fleuri », à la robe cerise aux reflets violets, est l’un des joyaux que possèdent la cave. Ce vin puissant et élégant, aux tannins fins et harmonieux, livre des notes de groseilles, mûres et framboises au nez. Il se déguste avec une papillote de saumon aux épices, une poêlée de champignons ou encore un fromage de chèvre. Il en est de même pour le « Brouilly Château de Fouilloux ». De couleur rubis profond, il exhale des arômes intenses de myrtilles, cerises et cassis mêlés de café et réglisse en bouche. Au nez, il exprime des senteurs de fruits rouges, prune et pêche, avec des notes minérales. À table, ce vin accompagne parfaitement un civet de lapin, un rôti de porc aux pruneaux, des fromages ou des charcuteries. Dernier et non des moindres : le « Morgon Le Py » est un vin aux arômes floraux avec un noyau de cerise. Il est issu de vieilles vignes de 49 ans se développant sur un sol composé de schistes imprégné d’oxyde de fer et de manganèse. Ces particularités lui confèrent toute sa plénitude, avec une bouche marquée par des notes de kirsch, cerises, groseilles et mûres. Ce vin s’accorde avec les gibiers, un bœuf bourguignon ou des viandes rouges. Il est très structuré et peut vieillir. ...
Situé dans l’appellation « Bas-Armagnac », ce domaine est la plus anciennepropriété familiale produisant cette noble eau-de-vie. Il traverse les siècles depuis 1711 sans jamais prendre une ride, et cela, grâce à la passion et au travail acharné d’hommes et de femmes. Gilles de Boisséson, 11ème génération, est particulièrement fier de son terroir qu’il qualifie « d’exceptionnel ». Au sein du domaine s’étendant sur 400 ha d’un seul tenant, les vignes (surface de 24 hectares) et un parc verdoyant agrémenté de chênes se côtoient en harmonie. Une production atypique Sur ces terres, le baco, la folle blanche et le colombard se révèlent dans leur plus belle expression. Les eaux-de-vie obtenues à partir de ces cépages et des seuls vins du domaine, sont très fines, peu agressives, longues en bouche et très parfumées. Vieillies uniquement en fûts de chêne de 400 litres, elles sont absolument pures et ne font l’objet d’aucune manipulation ni adjonction de produits extérieurs (colorants, sucres etc.). « Nous avons la particularitéd’adopter une politique de vendange, de vinification, de distillation, et de vieillissement par cépage. De quoi nous assurer une très bonne connaissance de l’évolution du cépage sur 20, 30 ans… », révèle notre interlocuteur. Une dégustation du « 12 ans d’âge » ou du « 1999 » est une opportunité de s’offrir ce voyage dans le temps. ...
Dans le but de séduire les épicuriens, le restaurant O Bistrot mise sur un cadre contemporain et original, la combinaison parfaite pour générer une ambiance cosy, conviviale et chaleureuse. On lui prête souvent un style néo-pub avec un décor teinté d’un esprit vintage faisant tout son charme. Toute la particularité de l’établissement repose aussi sur la présence de sa terrasse, ce qui est rare dans les environs. Une cuisine française bistronomique O Bistrot a bâti sa notoriété sur sa cuisine française bistronomique à ranger dans les registres « fait maison » et « de saison ». Les produits du terroir sont joliment mis en scène dans les assiettes et mettent en valeur les spécialités régionales. Dans une volonté de satisfaire tous les goûts et toutes les envies, des plats végétariens ou sans gluten sont également servis. Parmi les mets ayant fait la notoriété de l’établissement, figure le foie gras de canard et sa confiture aux mendiants, une entrée conjuguant à la perfection le fondant du foie gras et l’onctuosité de la confiture pour ouvrir l’appétit des fins gourmets. Dans le registre des plats, la belle entrecôte grillée accompagnée d’une sauce béarnaise promet de faire redécouvrir le plaisir de la table. Pour finir en beauté ce mélodieux repas, rien de tel que le riz au lait « Grand-Mère ». Nacré, soyeux, frais… autant de qualificatifs à associer à ce dessert à la fois crémeux et onctueux. Une carte de vins très variée O Bistrot propose une carte de vins se voulant éclectique, tout en privilégiant toutes les sous-régions de France. Ainsi, dans la liste des références qui font le plus d’adeptes s’inscrivent le Chorey-les-Beaunes de Bourgogne, le Haut-Médoc de Bordeaux ou encore Les Creisses de l’Herault, Domaine de Montcalmès Coteaux du Languedoc, La Réserve d’O « Huissez O » Terrases du Larzac, Terrassses d’Elise et autres Condrieu, etc, sans oublier une sélection de vins étrangers. ...
Partir en voyage et s’offrir des présents en guise de souvenir, ce sont les idées qui ont animé Marianne Billy, ainsi que Lory et Ludmilla, ses deux filles, en créant le punch Mabi en 2004. Mélanges de rhum traditionnel et de fruits tropicaux à la préparation exclusive, Mabi a permis de faire asseoir une idée ingénieuse : mettre en avant les richesses du terroir guadeloupéen. Des fruits antillais pour envoûter les sens Mabi laisse découvrir un caractère bien imprimé, un rhum guadeloupéen élaboré avec des matières premières rares issues des paysages antillais. « Ce qui fait l’originalité de nos produits, c’est que nous travaillons avec des fruits du pays », évoque Marianne Billy en parlant de ces fruits oubliés séduisant par leurs goûts sauvages et originaux. Les noms de maracuja, de pomme cajou, de mombin, de prune café, de carambole, de pomme surette appellent à l’évasion, le temps d’une dégustation ou d’un apéritif. Déroutantes et enivrantes, les liqueurs décuplent le plaisir avec des sensations douces ou fortes, grâce aux nectars de mangue, d’abricot, de goyave, de coco ou de piquant de gingembre. Punch Mabi : l’excellence jusqu’au bout Captivants dès les premiers regards, les flacons des punchs Mabi se parent d’un design raffiné, laissant transparaître les couleurs chaudes des fruits exotiques, et donnant ainsi un avant-goût de ces breuvages exquis. Un challenge qui répond au désir de respect de l’environnement. « Nous faisons un produit qui reste écologique ; nous n’utilisons que des produits naturels, du papier, du carton… Il n’y a aucun additif dans ces produits-là », rappelle Marianne Billy. La forme et le fond semblent ainsi se rejoindre, pour offrir des liqueurs de première qualité, primées au concours général agricole de Paris par une médaille d’or et d’argent en 2015, et par une médaille d’argent en 2016. ...