Le Domaine des Frontières est situé à Jullié, non loin de Mâcon dans le Rhône, qui est considéré comme l’un des plus anciens villages du Beaujolais tirant son nom de Jules César et ses légions qui s’y établirent autrefois. Il y travaille essentiellement l’AOC Juliénas réputée pour ses vins printaniers aux notes de fruits rouges, de pêche et d’arômes floraux et l’AOC Beaujolais-Villages s’illustrant pour ses crus de caractère, charpentés et colorés exprimant finesse et souplesse. Le gamay dans toute sa splendeur Le lancement du Domaine des Frontières est un véritable projet de vie pour Jérémy Thien qui quitte sa carrière dans l’administration pour se reconvertir en vigneron. Il crée l’exploitation familiale de toute pièce en faisant progressivement acquisition de parcelles aujourd’hui d’une superficie totale de 6 hectares. Son vignoble composé de vieilles vignes de 60 à 80 ans met à l’honneur le gamay, cépage phare du beaujolais. Les raisins expriment leur plus belle intensité sur ce terroir constitué de roches volcaniques anciennes. Tout est fait pour leur épanouissement. « Nous faisons un véritable travail d’artisan avec très peu de mécanisation », confie Jérémy. La certification HVE atteste de ce soin apporté à la vigne qui ne subit aucun traitement chimique agressif. Plusieurs cuvées pour les meilleurs moments de vie Sous le label Juliénas, le Domaine des Frontières propose deux crus atypiques à savoir La Cuvée Classique et la Cuvée Réservée. La Classique se veut solaire avec des arômes de poivre, d’épices, de fruits noirs, de cacao et de cuir noble. Élégante et intense à la fois, elle se sert avec des gibiers à plume, des viandes rouges, du bœuf bourguignon ou du magret de canard. La Cuvée Réservée est produite à partir d’une sélection parcellaire issue du lieu-dit Vayolette qui procure une finesse et une concentration exceptionnelles. Avec un potentiel de garde de 7 à 8 ans, ce 100 % gamay révèle un beau bouquet floral et fruité ainsi qu’une belle longueur en bouche. À accompagner avec des crustacés, du bœuf, de l’agneau ou du gibier. Quant au Beaujolais-Villages Vers le Château, il se veut plus fruité, rond et charmeur. Parfait pour les barbecues estivaux ou en apéritif avec un plateau de fromages et de charcuteries. ...
Le Domaine Monastrel travaille sur un vignoble qui s’étend sur environ 8 ha. Bénéficiant d’un bel ensoleillement dans la partie orientale de l’AOC Minervois, celui-ci repose sur un terroir présentant un sol argilo-calcaire à forte capacité drainante. L’encépagement est composé majoritairement de mourvèdre, qui semble trouver ici les conditions climatiques propices à son épanouissement. Le vignoble est également composé de syrah, de grenache et de cinsault, utilisés pour l’élaboration des vins rouges et rosés, mais aussi de la roussanne et du vermentino pour les vins blancs. Une viticulture raisonnée Soucieuse de préserver l’environnement, la maison mise sur des pratiques culturales qui respectent les vignes et la Nature. « Pour l’essentiel de mes traitements, j’utilise des produits agréés bio », indique Vincent Énaud, le propriétaire des lieux. Celui-ci fait partie de ces vignerons qui appliquent rigoureusement des mesures prophylactiques pour éviter tout traitement excessif aux vignes. Afin d’assurer la qualité, les rendements sont limités en moyenne à 35 hl/ha. Ici, les vendanges sont encore effectuées à l’ancienne. Ainsi, cette cueillette manuelle permet déjà de réaliser un tri sélectif au niveau des grappes. Une fois triés, les raisins sont égrappés avant de passer en cuve pour la macération. Côté vinification, la maison privilégie la méthode traditionnelle. « Je vinifie par cépage et en fonction des cuvées, la macération peut durer de 5 à 20 jours », précise Vincent Énaud. Le meilleur du Minervois En tout, le domaine élabore 8 cuvées qui reflètent parfaitement la typicité du terroir du Minervois. « Ce sont des vins généreux, soutenus et qui ont beaucoup de couleurs. Leurs tanins sont à la fois souples et fins », explique notre interlocuteur. Parmi les spécialités de la maison, 3 cuvées sortent du lot : la cuvée « Bizan », la cuvée « Bélibaste » et la cuvée de haut de gamme « Victor ». « Bizan » est un vin méditerranéen obtenu à partir de 35 % de mourvèdre, 25 % de grenache, 25 % de syrah et 15 % de carignan. Cette cuvée se démarque par ses arômes de fruits rouges mûrs et de garrigues. Elle dévoile une étonnante fraicheur en bouche ainsi que des notes d’épices et d’aromatiques. Un vin auréolé de deux étoiles au Guide Hachette des vins 2018. La cuvée « Bélibaste » est le fruit de l’assemblage de 80 % de carignan, 15 % de syrah et 5 % de mourvèdre. Le nez est fruité et développe des arômes de fruits noirs et d’épices. Idéal pour accompagner charcuteries, viandes blanches grillées ou poissons fumés. Enfin, la cuvée « Victor », un assemblage de 55 % de mourvèdre, 30 % de syrah et 15 % de grenache, séduit par ses arômes intenses de fruits rouges ainsi que ses tanins suaves et boisé fondu. ...
Les origines de Léovillle remontent à 1638, l’année où Jean de Moytié a élaboré les premiers crus de l’histoire du Médoc. Suite à plusieurs successions et partages, Léoville Poyferré nait en 1840 lorsque le Baron de Poyferré et sa femme héritent d’une partie du vignoble et accolent leur nom à Léoville. 15 ans plus tard il figurera au rang de 2nd Grand Cru Classé du Médoc lors du Classement de 1855. Négociants en vins depuis 1804 à Lille, berceau de la famille, les Cuvelier acquièrent tout d’abord le Château Le Crock (Cru bourgeois à St Estèphe) en 1903, puis les Châteaux Léoville Poyferré et Moulin Riche en 1920. Le Grand Cru dans les règles de l’art Le Château Léoville Poyferré se trouve en AOC Saint-Julien, une appellation de 920 ha nichée sur la rive gauche de l’estuaire de la Gironde. « Ici, nous retrouvons à la fois le côté féminin des margaux au sud et le côté masculin des pauillac au nord. Finesse, équilibre et élégance qualifient nos vins aux tanins veloutés, soyeux», nous raconte Anne Cuvelier, en charge de l’oenotourisme. Le vignoble couvre 80 ha, établi sur une terrasse graveleuse et un sous-sol sableux, une configuration géologique favorisant le drainage naturel. L’obsession de la famille Cuvelier pour l’excellence l’a obligée à restructurer plusieurs fois le vignoble et la plantation jusqu’à ce qu’elle trouve l’encépagement idéal : 61 % de cabernet sauvignon, 27 % de merlot, 8 % de petit verdot et 4 % de cabernet franc. Aujourd’hui, l’ensemble du vignoble est mené en lutte raisonnée en vue d’une conversion vers la viticulture biologique. En parallèle, la propriété s’est dotée d’équipements de pointe et de technologies innovantes pour assurer la meilleure qualité des vins. En 2010 le domaine a investi dans de nouvelles cuves tronconiques à double paroi qui permettent une macération pré-fermentaire à froid et de travailler la pureté du fruit et des arômes, la souplesse de l’extraction et l’intensité de la couleur. Puis 2011 a vu l’achat d’une trieuse optique pour un contrôle précis de la maturité des raisins. « Cela permet d’apprécier les vins dès leur jeunesse car les raisins et leurs pellicules et pépins sont vendangés à maturité optimale, puis triés par fluorescence et infrarouge pour éliminer tous débris végétaux et raisins pas assez mûrs », explique-t-elle. La propriété élabore trois vins : Château Léoville Poyferré, Château Moulin Riche et Pavillon de Léoville Poyferré. Visites et dégustations Au-delà d’une découverte, il s’agit d’une immersion dans l’univers du Château Léoville Poyferré et sa légende façonnée par les hommes et les générations qui s’y sont succédé. Pour comprendre comment les raisins se transforment en des cuvées cultes, il faudra reprendre là où tout commence : le vignoble. Les visites se poursuivent dans les installations techniques jusqu’à l’élaboration des vins. Les visiteurs, qu’ils soient amateurs néophytes ou œnophiles avertis, peuvent par la suite choisir entre les trois formules de dégustation proposées par la maison. La Dégustation Panoramique est idéale pour découvrir les grandes cuvées ambassadrices du terroir. Les Dégustations Eclairée et Finesse, s’adressent plutôt aux connaisseurs et aux épicuriens séduits par un mariage de saveurs inattendues : 3 millésimes soigneusement sélectionnés pour accompagner au mieux soit des chocolats grands crus de différentes origines pour l’Eclairée, soit des fromages affinés pour la Finesse. Par ailleurs, le château complète son offre œnotouristique par une magnifique salle de réception d’une capacité de 180 personnes idéale pour des diners de gala, d’une salle de réunion, d’un petit salon et d’une salle à manger pour recevoir les rendez-vous d’affaires. ...
En 1953, alors que l’appellation Buzet n’existe pas encore, un groupe de viticulteurs s’allie pour former la coopérative Les Vignerons de Buzet. La coopérative Les Vignerons de Buzet représente aujourd’hui 95% de l’appellation Buzet. Elle s’engage à vinifier et commercialiser des vins issus de pratiques responsables et durables. Une démarche responsable et durable à tous les niveaux « Nous sommes une coopérative fortement engagée sur le thème du développement et de la transition agroécologique », introduit Mariane Riboulet, responsable de la communication chez Les Vignerons de Buzet. Depuis 12 ans maintenant, cette philosophie est appliquée de la vigne à la bouteille. A cet effet, les vignes sont conduites en agriculture raisonnée et certains traitements chimiques sont supprimés. Ce qui signifie : zéro engrais chimiques, zéro désherbants chimiques résiduaires, zéro produits CMR (cancérigènes, mutagènes, reprotoxiques). Et comme la coopérative veille méticuleusement à la préservation de l’écosystème, les insecticides nocifs pour les abeilles, dont les néonicotinoïdes, sont également bannis du cahier des charges. Par ailleurs, la question de l’économie d’énergie est réellement prise au sérieux. Les Vignerons de Buzet misent notamment sur les couverts végétaux afin de mieux gérer la ressource en eau dans les vignes. Toutes ces initiatives sont volontaires et vont au-delà de l’aspect environnemental. « Ces démarches écoresponsables ne se limitent pas au niveau du traitement des vignes », ajoute Mariane Riboulet. « Nous nous employons à ce que tout le processus d’élaboration du vin soit conforme à notre vision. C’est pourquoi nous travaillons aussi à l’écoconception de nos bouteilles, cartons, coffrets, etc…». Des vins pour tous « Baron d’Ardeuil » est un vin représentatif de la coopérative. « C’est la cuvée historique de la maison », nous confie notre interlocutrice. Le Baron d’Ardeuil se décline en rouge et en blanc. Baron d’Ardeuil rouge est issu de terroir de graves et d’argilocalcaires où les cépages Merlot, Cabernet Franc et Cabernet Sauvignon s’enracinent harmonieusement. Baron d’Ardeuil rouge est un vin plutôt puissant, boisé sans excès. De son côté, la cuvée Petit Baron se révèle être une porte d’entrée dans l’univers des vins de Buzet. Lancée en mars 2019, sur les trois couleurs (rouge, rosé et blanc), la gamme Petit Baron est née d’une volonté de donner une place à la chouette Chevêche d’Athéna, espèce protégée qui accompagne les viticulteurs des Vignerons de Buzet depuis longtemps car elle a été réintroduite dans le vignoble. Guidés par la chouette, Les Vignerons de Buzet reversent 1% des bénéfices générés par les ventes de cette cuvée en soutien à des initiatives environnementales, via l'organisme "1% for the Planet". La coopérative a également développé des vins sans sulfites ajoutés. Cette fois-ci, on dit non au soufre ajouté, additif qui a désormais rejoint le rang des allergènes. Parmi les ambassadrices de cette gamme de vins figure la cuvée "Sans", qui se décline en vin sans sulfites ajoutés rouge, rosé et blanc. Dans l’atelier du vigneron Les Vignerons de Buzet proposent une visite guidée dans le vignoble. L’animation est assurée par un viticulteur et un apiculteur qui se feront un plaisir d’exposer le cœur de métier de la coopérative. « Ces experts expliqueront respectivement toutes nos pratiques culturales liées à la transition agro-écologique. Les visiteurs découvriront, par exemple, comment sont préservés les insectes pollinisateurs, notamment les abeilles », éclaire Mariane Riboulet. Notons que la coopérative est engagée dans le label Bee Friendly qui promeut fervemment la protection des abeilles. Cette balade pédestre s’achève par une séance de dégustation où les visiteurs peuvent apprécier les vins et les produits du terroir en toute convi...
Tout commence sur un coup de cœur ! Thomas Sananes, l’actuel propriétaire, se souviendra encore longtemps du jour où il a visité pour la première fois le domaine. L’atmosphère singulière qui y règne, la quiétude et la beauté du lieu l’ont tout de suite convaincu de se lancer dans l’aventure. Il décide en 2015 d’acheter la propriété et suit des études poussées afin d’acquérir les techniques ainsi que les connaissances exigées en viticulture. Le vignoble et ses cépages Le Domaine de Cantalauze travaille actuellement sur un vignoble en appellation Minervois d’une superficie de 50 ha. Les vignes y poussent et s’épanouissent idéalement sur un terroir argilo-calcaire. L’encépagement se compose à majorité de carignan. Celui-ci est complété par la syrah et le grenache, cépages utilisés pour la fabrication des vins rouges. Au niveau des blancs, le chardonnay et le sauvignon blanc sont à l’honneur. Les saveurs de la maison Afin de satisfaire les amoureux de bons vins, le domaine de Cantalauze est fier de dévoiler ses 3 cuvées : « Primum Vinum », « Le bec dans l’eau blanc » et « Le bec dans l’eau rosé ». Parmi elles, la cuvée « Primum Vinum » mérite une attention toute particulière. Comme son nom l’indique, il s’agit du premier vin produit par la maison. « C’est un vin mêlant fougue, insouciance et honnêteté », souligne Thomas Sananes. Sa particularité ? Un assemblage réalisé le jour des vendanges, et ce dans la même cuve. Ainsi, ce vin est obtenu à partir de 50 % de syrah, 40 % de grenache et 10 % de carignan. Il séduit par sa belle fraicheur et ses arômes de fruits noirs comme la mure et le cassis. Idéal en apéritif avec du jambon pata negra mais il peut également être servi avec un dessert. ...
Depuis des siècles, les terroirs du village des Roques produisent l’un des meilleurs vins rouges du monde : le Cahors. L’Église orthodoxe en a fait un vin de messe ; et les rois d’Europe, leurs vins de table. François Ier (1494-1547) fut, par exemple, un de ses plus grands admirateurs. Eu égard à ce passé glorieux, Martial Guiette a réalisé un fabuleux rêve, en créant, en 2007, le domaine Les Roques de Cana, établi sur le terroir prestigieux du causse de Cahors. Son objectif ? Partager l’amour ainsi que l’émotion à travers des cuvées exceptionnelles et faire en sorte que les générations futures puissent aussi en profiter. Un cépage légendaire et bénéfique Historiquement, Cahors figure parmi les plus vieux vignobles de France. Il a ainsi été le seul vignoble que l’empereur Probus (IIIe siècle) a autorisé de replanter en Gaulle. Et c’est justement sur les plateaux calcaires du causse de Cahors que les premiers plants de vignes ont été repiqués. C’est également à cet endroit que le domaine Les Roques de Cana a choisi, quelques siècles plus tard, son lieu de prédilection pour élaborer ses prestigieuses cuvées. Exposées plein sud, les vignes y bénéficient d’un sol argilo-calcaire et ferrugineux. « La particularité et la force des terroirs des Roques de Cana reposent sur la présence de fer sur une quantité très équilibrée, ce qui apporte aux vins une grande finesse et ce côté très fruité », explique le propriétaire. Sur ce terrain à la fois très rocailleux et argileux, la vigne souffre juste comme il faut pour donner naissance à des fruits somptueux. Ici, le malbec, cépage emblématique des vins de Cahors, règne en maître absolu. Déjà aux temps de Jésus, il jouissait d’une excellente réputation et pouvait se targuer de produire le meilleur vin. Beaucoup plus tard, c’est au tour du pape Jean XXII, natif de Cahors, de reconnaitre les qualités de ce cépage particulièrement riche en tannins et en pigments. Celui-ci demande alors à ce que des pieds de Malbec soient plantés au château de Fontainebleau. Autre particularité de ce cépage : il renferme de puissants antioxydants qui lui confèrent des vertus bénéfiques sur la santé. Pierre le Grand (1672-1725), un des plus grands tsars de Russie, a été parmi les premiers à en constater les bienfaits. Souffrant régulièrement de maux d’estomac, celui-ci s’aperçoit que son état s’améliore après avoir bu du vin de Cahors. La quête de l’excellence Récoltant-manipulant, le domaine Les Roques de Cana maitrise toute la chaine de production. Il est mené en lutte raisonnée tout en mettant en avant une pratique culturale respectueuse de l’environnement. « Nous limitons au minimum l’utilisation de désherbants et autres produits phytosanitaires. Nous essayons d’optimiser nos techniques culturales pour faire le meilleur vin possible », nous indique-t-on. Par ailleurs, quelques parcelles servent aujourd’hui de terrain d’expérimentation à la culture bio. Mais il faudra attendre 4 ou 5 ans pour savoir si cette méthode est la mieux adaptée et surtout si elle permet de produire des vins d’excellente qualité. Côté vinification, le domaine s’est équipé de matériels de pointe afin de tirer le meilleur parti de son terroir. Table de tri, rampes de robots pigeurs, microbulleurs, cuves ouvertes en inox… Tout est fait pour assurer une production qualitative. Afin de garder intacte toute l’expression aromatique du vin, la maison privilégie un élevage en cuve ciment sur certaines de ses cuvées. Pour le reste, le vieillissement se fait en barriques qui sont renouvelées chaque année. Les spécialités de la maison Les Roques de Cana élabore un vin rouge d’exception décliné en 3 saveurs différentes correspondant aux 3 moments importants de l’Évangile : le vin des Noces, Sanguis Christi et le Graal Sanctus. Chacune de ces cuvées peut prétendre, de manière légitime, le titre de « cuvée emblématique » du domaine. « Toutes nos cuvées représentent tr&...
A Blanquefort, à proximité de Bordeaux, aux portes du Médoc sur la Route des vins, l’Hôtel les Criquets *** réserve la meilleure qualité d’acceuil à ses convives au sein de ses chambres hautement confortables ou dans son appart’hôtel le 126. A côté de ses nombreuses activités de détente, l’établissement est connu pour son restaurant qui offre une cuisine aux bons goûts du terroir. Un chef créatif à l’infini Issu de l’école hôtelière de La Rochelle, le chef Jean-Luc Molle a fait ses armes dans un établissement étoilé du Guide Michelin, à La Rochelle. Il a ensuite pris la tête de l’établissement Les Criquets pour pouvoir pleinement s’affirmer. En collaboration étroite avec les producteurs locaux de la région, le chef met en avant une cuisine totalement improvisée où chaque jour est une occasion de mijoter une recette nouvelle et originale. Contrairement à certains restaurants, Jean-Luc Molle n’a pas de plat phare. À partir des différents produits qu’il a sous la main, il concocte ses recettes au gré des saisons, des marchés et de son inspiration du jour. D’ailleurs, le talent et la créativité du chef s’expriment à travers le menu surprise où seuls les ingrédients sont énoncés. Du reste, il faudra faire confiance au maestro en cuisine. Pour ceux qui ne sont pas trop adeptes des surprises, la carte du restaurant met en avant de succulentes suggestions. Le chef exprime une affinité particulière pour les saveurs asiatiques marquées par les goûts iodés, le sucré-salé et l’acidulé. En entrée, le choix s’effectuera entre le tartare de crevettes, la truffe noire de Brie ou le foie gras mi-cuit avec du chutney d’algues wakamé. En plat de résistance, le Filet de Dorade et Coquillages ou l’Aloyau de Veau Fèves et Petits Pois à la Française émoustillent les papilles. En guise de dessert, un Merveilleux Noisette et Praliné à la Passion ou une Sphère Chocolat Blanc Amande Framboises à l’Hibiscus apporteront un peu de fraicheur. Tous ses succulents plats peuvent se déguster dans la salle à l’ambiance cosy et à la décoration fine et élégante ou plutôt sur la terrasse, qui devient l’endroit incontournable avec l’arrivée des beaux-jours. Cet espace extérieur offre une agréable vue sur le parc arboré entourant l’établissement. Un restaurant vert En partenariat avec la chambre de commerce et de l’industrie de la ville de Bordeaux, le restaurant Les Criquets propose chaque dernier mardi du mois un « Menu (Re)Pas pour la planète ». 100% végétarien, celui-ci est constitué d’une entrée, d’un plat et d’un dessert et est uniquement cuisiné avec des légumes ou des algues. Jamais en manque d’imagination, le restaurant s’est associé avec la start-up Entomo Farm pour proposer une cuisine pour le moins innovante et originale. En effet, Jean-Luc Molle a présenté lors de manifestations, à titre expérimental pour promouvoir la protéine d’insectes, des plats comme des tartines de tapenade avec olives noires et vers de farines concassées, des burgers aux légumes de soleil avec des morceaux de criquets concassés ou encore des mélanges de chocolat blanc et de fourmis. Une cave à vins éclectique Comme tout restaurant de la région bordelaise qui se respecte, le restaurant possède une belle carte des vins. En effet, ses caves sont enrichies de près de 400 références. La majeure partie des crus est bordelaise. Toutefois, la maison a également d’autres références issues de Champagne, de la Loire et d’autres régions viticoles reconnues dans le pays. Et si le choix des accords s’avère délicat, le sommelier reste disponible pour vous conseiller. En outre, des soirées œnologiques sont régulièrement organisées, avec des thèmes précis autour des vins de Bourgogne, étrangers ou plus largement les vins de France. ...
L’amour du terroir et des valeurs transmises. Le goût des autres, aussi, et celui de l’authenticité. Christine et Hugues de la Guéronnière portent avec passion un héritage familial ancré dans l’histoire depuis 1928. Si le vignoble rencontre ses lettres de noblesses dans les années 50, il n’a pas cessé de les honorer depuis. Terroir et artisans oeuvrent ici conjointement à créer le meilleur. Un terroir et un savoir-faire complices derrière des vins d’exception Les vignes du Château Chatain, d’une moyenne d’âge de 50 ans, content les vallées, la Barbane, les sources d’eau qui les traversent et un sol graveleux -argilo-limoneux, dans lequel elles puisent minéralité et caractère. La hauteur des feuilles, l’ébourgeonnage, le labourage au tracteur : Christine de la Guéronnière perpétue un savoir-faire acquis de son père, Hugues tout en organisant le domaine dans un esprit d’agriculture raisonnée. Merlot, Cabernet Franc, Cabernet Sauvignon, Malbec sont cueillis à maturité par les mains attentives des vendangeurs. Puis vient l’assemblage, ces précieux instants où l’alchimie s’invente, à l’écoute des cépages et de leurs aromes. Les vins sont élevés en fûts de chêne, où ils révèleront leur quintessence au bout de douze mois ou plus. Le domaine utilise même un pressoir hydrolique de 1900, assurant un pressurage lent mais qualitatif. Ici, la productivité n’est pas le maître mot et ne se fait jamais au détriment du « très bon ». Dans leur robe rouge rubis, les vins Lalande de Pomerol du Château Chatain profitent aussi de label européen AOP. Médaillés, salués par les critiques, les opus libèrent leur tanin puissant et subtil. Rondeur et longueur en bouche révèlent une complexité à la profondeur tranquille et veloutée. Le fruit s’exprime dans toute sa primeur. Un domaine dynamique et inspiré La famille de la Guéronnière compte artisans, artistes et voyageurs depuis plusieurs générations : vigneron, ébéniste, pianiste polyglotte. Une ouverture d’esprit qui amène Christine de la Guéronnière à étudier dans le commerce international et à voyager elle-même, avant de rejoindre le domaine pour y semer son énergie solaire. Équipe, amis, famille, voisins prêtent main forte, fédérant une dynamique locale impliquée et unie. Marie de la Guéronnière, la sœur cadette de Christine, a rejoint cette année le vignoble, après une carrière en tant que comédienne, metteuse en scène et Directrice de théâtre en Irlande. Une heureuse présence promettant quelques rendez-vous artistique in situ. La solidarité avec les châteaux voisins est palpable, tout comme la convivialité que le domaine entretient avec les cavistes, les restaurateurs locaux, avec un goût prononcé pour les plus inventifs. Au Château Chatain, on aime le bon vin mais aussi les bonnes idées. Quand oenotourisme rime avec imagination Et côté idées, le Château n’est pas en reste. Des visites œnologiques donnent à découvrir terroir, savoir-faire et histoire. Des jeux d’assemblage permettent aux visiteurs de recevoir quelques secrets de cette « cuisine des dieux ». L’été, on y organise des barbecues champêtres où savourer produits du terroir mais aussi des apéritifs fluviaux à Libourne. Avec d’autres partenaires locaux, le domaine proposent des visites en calèche, en tuk-tuk, en vélo ou en side-car. Des moments joyeux qui pensent à toute la famille, toujours clos par une dégustation savoureuse. Le bonheur s’invente chaque jour au Château Chatain, qui le partage volontiers, de grands vins en bons moments. ...
Dans un décor entièrement rénové où il fait bon se retrouver, cette charmante bâtisse historique au cadre chaleureux est située au carrefour de la route des grands vins, entre Beaune et Cluny. Avec son jardin, ses grandes salles au plafond à la française et son magnifique caveau, elle représente l’endroit parfait pour accueillir vos différents évènements tant privés que professionnels. Des plats traditionnels avec de bons vins À travers une cuisine du terroir, au gré du marché qui privilégie le cycle court pour la majorité des produits, Les Trois Maures est en mesure de proposer un menu de 2 à 5 services (qui change à 5 reprises dans l'année), allant de18 à 45 €. Ses plats à la portion généreuse et particulièrement savoureux n’attendent plus que vous. Ravissez vos papilles avec sa Fricassée d’escargots sauce Brillat et Morteau, son Tournedos de charolais avec son jus à l’huile de truffe ou sa Poire pochée à la dijonnaise avec sa crème glacée pain d’épices qui sont de véritables délices. Les Trois Maures, c’est aussi une très belle carte des vins issus essentiellement de l’ensemble des régions viticoles françaises, surtout de la Bourgogne, mais aussi avec quelques vins étrangers d’Italie et d’Autriche. Pour accompagner chacun de vos repas, son Sancerre « Côtes des Monts damnés » Domaine Brochard, son Mercurey 1er cru « Clos du roi » Domaine Tupinier-Bautista ou encore son Cornas « Arènes sauvages » Cave de Tain sont d’excellents choix et des références bien connues des habitués de l’établissement. Dans un village à très fort terroir, où la romance est à l’honneur, avec un château du XIe et du XIIIe siècle, et aussi grâce à un bon partenariat avec les propriétaires du château, le restaurant a le privilège d’organiser des évènements dans un cadre d’exception. En effet, « à la demande des clients, nous organisons des diners de dégustation, des dégustations commentées ou à l’aveugle et des animations ludiques autour du vin », fait valoir le gérant Lucien Tolfo. ...
Pour le couple Doris et Renaud Gruyer, être fromager est avant tout un art. Un art qui exige savoir-faire, talent et passion. Ils se sont lancés dans l’aventure de la ferme de Gennetay, il y a sept ans de cela en reprenant une fromagerie existante depuis treize ans, avec l’ambition d’honorer une riche tradition fromagère du terroir angevin. Aujourd’hui, cette petite entreprise familiale développe une identité porteuse de valeur et d’engagement. Protéger une méthode artisanale Depuis sa création, la ferme de Gennetay fabrique une gamme de fromages frais élaborés exclusivement avec du lait de vache cru soigneusement sélectionné. Plus tard, elle s’est tournée vers des produits plus traditionnels tels que les fromages affinés pour faire un clin d’œil à la typicité du terroir. Le fournisseur exclusif de la fromagerie, le GAEC écoferme du Gennetay, n’est autre que sa ferme voisine implantée sur le même site. Une proximité qui garantit une meilleure traçabilité et un meilleur contrôle sur la qualité des matières premières. « Notre lait est issu d’une ferme qui applique l’agriculture raisonnée et évolue dans une démarche de conservation de sol, qui consiste notamment à éliminer le labour de la terre et à minimiser le traitement phytosanitaire », explique-t-il. Dans cette continuité, il décide aussi de cultiver lui-même ses levains et d’opter pour un emprésurage naturel afin de conserver la palette aromatique de chaque produit. Les étapes qui s’enchaînent par la suite sont toutes réalisées à la main, respectant la méthode de fabrication d’antan : le moulage, l’étalage, l’aromatisation séchage, le retournement et le conditionnement. « Si nous avons choisi de tout faire à la main, c’est uniquement pour obtenir le meilleur produit fromager qui soit, en apportant tout le soin du travail fait main. Ce n’est pas pour folklore », nous confie Renaud Gruyer. La promesse d’une belle expérience gustative Les tomes « La Grise d’Anjou » déclinées en quatre produits, figurent parmi la grande spécialité de la ferme de Gennetay. Ce fromage à la texture à la fois fondante et moelleuse sera déposé sur des planches d'épicéa et placé pour l'affinage en troglodyte, pendant une durée comprise entre quatre et six semaines. « La phase d’affinage lui confère sa particularité, car les troglodytes nous permettent d’obtenir un équilibre parfait et constant entre la température et l’hygrométrie. » A noter que toutes les tomes sont fabriquées en chaudron cuivre. La gamme s’étoffe par une sélection de délicieux fromages frais de fabrication artisanale : fromage sans sel, nature ou agrémenté d’ail et fines herbes, oignon, échalote et ciboulette, aux trois poivres, cendré, et fromage pempa (poivron, échalote, graine de moutarde, poivre et ail). Une mention spéciale pour Le Crêmet d’Anjou, la star du concours international des fromages et produits laitiers 2013. Petite douceur authentiquement angevine, ce dessert est fabriqué à base de crème, de blanc d'oeuf et de sucre. Mais la Ferme fabrique aussi Le Crêmet d'Angers, qui lui, est à base de fromage blanc, crème, blanc d'oeuf et sucre. D’autres créations maison sont également à découvrir, à l’instar des bûches, pâtes à tartiner, fromages blancs et faisselles. Possibilité d’achat direct à la fromagerie et livraison dans le département du Maine-et-Loire et à 100 km autour de la fromagerie ( Maine et Loire, Indre et Loire et Sarthe) et par prestataire en dehors de ces départements. ...
En 2002, Mathieu et Gwenaëlle de Wulf rachète le domaine de Jas D’Esclans. L’ancienne ingénieure chimiste et le mari agriculteur décident de vivre de leur passion pour le vin et s’offrent l’un des vignobles les plus fameux de la région. Le Jas d’Esclans fait en effet partie des rares crus classés de Provence. Une classification obtenue en 1955, grâce à la qualité des sols, aux équipements et aux techniques de vinification. Outre cela, le vin produit sur place est également certifié « Bio » depuis 1990 par Nature et progrès et depuis 1992 par Ecocert. Une suite somme toute logique puisque depuis trois générations, les vignes sont élevées sans désherbants, ni insecticide, ni produits chimiques de synthèse. Sur place, ce sont 60 hectares de vigne dont dispose le domaine et 55 qui sont en production tous les ans. On y retrouve les cépages si chers à l’appellation grenache, mourvèdre, syrah, cinsault, et tibouren (le cépage local), pour les rosés et les rouges ; ugni blanc, clairette et rolle pour les blancs. Des vins à taille humaine Avec une production de 400 000 bouteilles par an, le domaine de Jas D’Esclans est avant tout un vignoble à taille humaine. Sept personnes y travaillent à l’année pour une production majoritairement destinée au marché local. Située sur les bords de l’Endre, le sol y est composé d’argiles rouges, de grès et de schistes de la période permienne issu de l’Esterel et des Maures. Alimenté par un climat marin, la mer se trouve à seulement 12km à vol d’oiseau. L’ensemble est protégé du Mistral par les collines environnantes. Les vignes sont travaillées à l’ancienne à travers des techniques qui respectent la nature et la biodiversité. Les techniques de culture consistent entre autres à chausser et déchausser régulièrement les sols pour permettre l’oxygénation de sols. En moyenne, les labours se font 10 fois par an permettant ainsi aux sols de favoriser la vie microbienne et l’enracinement profond des vignes. Outre des méthodes vertueuses d’élevage de la vigne, la vinification se fait également de manière naturelle notamment avec une cave entièrement construite en mode écoconstruction. Un éco-dôme qui vient perpétuer une tradition désormais familiale qui produit des vins de grande qualité. ...
La traçabilité et la fraîcheur des produits locaux inspirent à un retour à l’alimentation saine. L’on ne s’étonne que peu du regain d’intérêt du consommateur à acheter local. Et pour cause, ces derniers sont de plus en plus attentifs à ce qu’ils mangent. C’est une aubaine pour la Ferme de Sigy qui se veut être un instigateur de la démarche locavore, au profit de l’économie et de la consommation locale. Si le projet d’Ottman et Omar de se lancer dans la transformation laitière n'a pu se réaliser à la date prévue, c'était sans compter sur leur détermination et leur volonté à défendre les produits du terroir, si chers à leurs yeux. Une transformation laitière à la démarche engagée Après avoir acquis quinze ans d’expérience au sein de l’industrie laitière, c’est en 2013 qu’Ottman et Omar se lancent dans l’aventure en reprenant la fromagerie de Robert Villain pour donner naissance à la Ferme de Sigy. La ferme a progressivement pris son envol pour devenir aujourd’hui une référence dans les produits laitiers. Les particularités qui font le succès de la maison ? Sa spécialisation dans la transformation laitière artisanale, la vente en circuit court et son implantation au cœur même d’une ferme laitière. Attaché à l’idée de rendre le produit local et les produits bio finis plus accessibles, de fournir des produits de proximité à prix raisonnable, le duo gagnant travaille en partenariat avec le groupement des agricultures biologiques d’Île-de-France, et leur enseigne est sociétaire de la coopérative bio de la région. La production est ainsi destinée pour la consommation locale et la maison fournit les cantines scolaires, les restaurants d’entreprise, mais aussi des magasins et supermarchés de la région, qui adhèrent à leur valeur et partagent leur conviction. Par ailleurs, un chalet de vente permet de mettre les produits finis directement à disposition des consommateurs avec ceux d’autres producteurs locaux, à l’instar du miel et d’autres fromages. Pour les deux associés, la croissance spectaculaire que connaît la maison leur offre une opportunité d’étendre leurs activités hors de Sigy. C’est ainsi qu’en 2016, ils se lancent dans la transformation du lait bio par le biais des nouveaux ateliers de transformation laitière biologique à la Bergerie nationale de Rambouillet. En dehors de l’approvisionnement des restaurants franciliens, les yaourts et le fromage blanc bio qui y sont fabriqués sont commercialisés par la SCOP Bio d’Île-de-France. Une large sélection de bons produits laitiers Véritables mordus du lait, ces artisans de talent veulent partager le bon goût des produits laitiers à travers une production diversifiée à l’instar du yaourt aromatisé dont la texture se rapproche de celle du yaourt maison. Rien à voir avec le yaourt industriel. Les parfums se déclinent dans toutes les possibilités à l’aide d’un arôme naturel pour éveiller les sens des fins gourmets. Avis aux amateurs, le yaourt bio La Ferme de Sigy élaboré avec le lait de la ferme de Beaulieau est disponible sur le marché depuis 2014. Les férus de fruits ne manqueront pas d’apprécier le Raïbi ainsi que le yaourt aux fruits conçu avec une base de préparation de fruit comme l’ananas, la myrtille, la cerise, la fraise, ou la vanille pour une touche d’exotisme. Ces produits sont élaborés avec des fruits de Nogent-sur-Seine pour qu’ils conservent toute leur fraîcheur, gage de qualité des produits de l’enseigne. Les crèmes desserts au chocolat, au caramel, ou au café sont des délices qui ravissent les papilles les plus délicates. Le fromage qui représente le patrimoine gastronomique français n’est pas en reste. La maison produit en l’occurrence du fromage blanc de campagne ainsi que du fromage frais et du fromage blanc bio. Le lait étant la base de fabrication de ces produits, la Ferme de Sigy élargit ses offres avec le lait pasteurisé ou fermenté et adapte les conditionnements aux besoins de la restauration. D’ailleurs, c’est une partie du lait issu de la bergerie qui sert à la fabricatio...
Située rue du Louvre, le restaurant La Dame de Pic vous accueille dans une ambiance féminine avec des tons très poudrés. Imaginée par Bruno Borrione, la décoration intérieure associe dans une parfaite harmonie le blanc des murs avec effet de pierres apparentes, le rose pâle des appliques, la couleur havane des sièges en cuir et le palissandre des tables. Quant aux tableaux en cuir où feuilles et fleurs se découpent, ils évoquent l’univers culinaire d’Anne-Sophie Pic. Tout concourt à une atmosphère conviviale, cosy et chaleureuse. Dans la cuisine ouverte sur la salle, tout est blanc. Sous le regard des convives, le chef Jean-Yves Bournot et sa brigade écrivent chaque jour une nouvelle page dans un cadre apaisant. Le Guide Michelin a décerné une étoile à La Dame de Pic dès février 2013. L’univers d’Anne-Sophie Pic Toute la cuisine d’Anne-Sophie Pic découle d’une recherche constante autour de l’association et de l’équilibre des saveurs. Elle aime sublimer les produits un peu oubliés, mal aimés, les produits du quotidien. Végétaux, épices, herbes aromatiques, fleurs, bourgeons et même feuilles de fruits prennent une place importante dans ses créations. Pour une expérience gastronomique Vous pouvez choisir entre 3 menus. Le menu déjeuner à 59 € est servi le midi en semaine et comprend une entrée, un plat et un dessert. Avec le menu plaisir à 105 €, vous pourrez déguster deux entrées, un poisson ou une viande et un dessert. Quant au menu gourmandise à 135 €, vous vous régalerez avec une entrée, un poisson, une viande et un dessert. Tous ces menus sont régulièrement renouvelés pour mettre à l’honneur les nouvelles créations d’Anne-Sophie Pic. Toutes les assiettes sont composées avec délicatesse, recherche esthétique ainsi qu’avec un travail sur les couleurs. Elles sont toujours agrémentées d’un petit jus ou d’un consommé. Une grande importance est donnée aux herbes aromatiques et aux herbes sauvages. On retrouve souvent des notes anisées, réglissées ou mentholées. Le sommelier, originaire de la Drôme, vous propose une belle sélection de vins, notamment des vins de la vallée du Rhône. Avec une possibilité de vins au verre. ...
Jouissant d’un emplacement privilégié en plein cœur de l’Alsace, entre Strasbourg et Colmar, en face de la route des vins à 15 km, l’Hôtel Crystal – Restaurant Le B allie tradition et modernité. Dans un décor contemporain à l’ambiance feutrée, agencée autour d’un mobilier en bois à l’ancienne, cette adresse est à recommander aux amoureux de la bonne table, qui se sentiront particulièrement bien accueillis. Un chef passionné aux commandes Thierry Baumert débute dans le milieu entre 1979 et 1981, auprès d’un maitre d’apprentissage qui était connu dans la région. « Ensuite, j’ai travaillé dans un grand hôtel disposant d’un restaurant gastronomique. Je suis parti six ans en Suisse et deux ans en Allemagne », nous raconte-t-il. Il y a une vingtaine d’années, une opportunité s’est présentée à lui ainsi qu’à son épouse. « Comme on habitait près de l’hôtel et que ma femme a fait l’école hôtelière, nous avons décidé de nous lancer dans l’aventure en reprenant l’établissement », poursuit-il. Aujourd’hui, c’est avec ferveur qu’il gère l’Hôtel Crystal – Restaurant Le B, reconnu pour sa cuisine de tradition, préparée à base des trouvailles dénichées sur les marchés locaux. Un restaurant à la table gourmande Devant ses fourneaux, le chef Thierry Baumert se plait à inventer de belles associations de couleurs et de saveurs pour en faire de bons petits plats, au grand plaisir des habitués et des clients de passage. À travers des menus inventifs préparés à base de produits frais, l’établissement attire d’emblée la confiance et la sympathie. En guise d’entrée, Thierry Baumert invite sa clientèle à déguster son foie gras poêlé qui fait partie des best-sellers de la maison. La touche de douceur est procurée par la compotée de fruits rouges disposée en poche sur une assiette ronde et blanche. Le foie gras est posé par-dessus. De jeunes carottes cuites de différentes manières achèvent la présentation soignée. Cette suggestion gourmande se déguste idéalement avec un vin d’Alsace, à l’instar d’un Pinot Blanc Vieilles Vignes ou d’un Muscat Cuvée Prestige. Autre plat signature, l’os à moelle, dont les saveurs sont sublimées par un jambon ibérique cebo et de la cébette. Sur l’assiette, l’os à moelle longiligne est coupé en deux, puis disposé près de la purée de cèpes. L’ajout du cèpe frais juste mariné, du jambon ibérique en chiffonnade et de la cébette apporte une touche visuellement attrayante. En plat principal, le chef suggère le magret de canard de la ferme rôti, accompagné d’un condiment à l’ananas, de foie de canard poêlé et d’une purée de patate douce. Le magret de canard est coupé en deux dans le sens de la longueur ainsi que le foie de canard. La présentation s’effectue en strates. Une purée de patate douce est déposée à la poche sur l’assiette. La décoration est parachevée par un condiment à l’ananas ainsi qu’une feuille d’ananas. Une petite texture croquante est procurée par une chips d’ananas disposée par-dessus. Le dessert, quant à lui, offre des étincelles en bouche. Àl’honneur : un kougelhopf glacé au marc d'Alsace. Cette pâtisserie d’origine alsacienne est servie avec des raisins blancs, rouges et secs marinés dans le marc d’Alsace et s’accompagne d’une chantilly au mascarpone. Elle se savoure en toute volupté avec un bon verre de Gewurztraminer Vieilles Vignes de la cave de Ribeauvillé. ...
Situé à 5 km de Chambéry, à Montagnole, le prestigieux Domaine des Saints Pères propose son restaurant fraichement rénové. En optant pour la terrasse, vous bénéficierez d’une vue splendide sur le lac du Bourget ainsi que sur les massifs qui composent la nature savoyarde. Néanmoins, sachez que l’intérieur est un véritable chef-d’œuvre architectural. Toujours dans cet esprit de maison de maitre du XIXe siècle, le décor sobre et raffiné démontre la belle harmonie associant le romantique et le luxe moderne. Mélange entre le rustique et le luxe moderne Primant la convivialité et le partage, le restaurant joue la carte de la cuisine ouverte. Du mardi soir au dimanche midi, le chef et son équipe réalisent avec perfection des associations de saveurs et de textures devant leurs convives. En privilégiant des produits locaux, ils revisitent les classiques de la région pour vous entrainer vers une exaltation gustative. Un joli bar à l’ambiance des années 1930 invite à profiter de la saveur sucrée des cocktails de son barman. Si vous préférez plutôt le vin, sachez que l’établissement possède une cave éclectique composée de quelques appellations allant jusqu’aux meilleurs crus. En outre, il peut accueillir plusieurs événements, dont les mariages, les séminaires professionnels, les réunions familiales… Si besoin, tout le domaine est privatisable. La grande salle, de 360 m2, accueille jusqu’à 300 personnes et la terrasse entre 100 à 150 personnes. Aussi, différentes offres selon vos besoins et votre disponibilité sont élaborées. Enfin, pour rendre la réception inoubliable, une équipe de professionnels sera à votre disposition de la préparation jusqu’à la réalisation de votre projet. « Une adresse pas comme les autres » Le Domaine des Saints Pères est une ancienne maison bourgeoise qui a été transformée par Éric Claret-Tournier en un prestigieux hôtel. Actuellement, l’hôtel propose 14 chambres divisées en 3 catégories : Suite, Supérieure et Prestige. Tout comme le restaurant, le décor de chaque chambre allie parfaitement l’ancien et le contemporain. À l’extérieur, les passionnés de la nature seront particulièrement comblés. D’une part, le domaine leur propose un grand jardin arboré à la française. De l’autre, ils bénéficient de la beauté exceptionnelle de la nature savoyarde : le lac d’Aiguebelette à 10 km, le lac du Bourget, à 15 km (soit environ à 20 min), ainsi que les parcs régionaux de Chartreuse et des Bauges. Par ailleurs, il est à rappeler que Chambéry est considérée comme une ville d’art et d’Histoire depuis 1985. Elle est devenue un endroit incontournable de rendez-vous culturels et dispose de plusieurs monuments et sites emblématiques, dont le château des ducs de Savoie et plusieurs musées… Un lieu incontournable En somme, le Domaine des Saints Pères possède tous les critères nécessaires pour vous faire passer un moment agréable, en amoureux, en famille ou entre amis. Que ce soit dans l’hôtel ou dans le restaurant, l’équipe du domaine a à cœur de satisfaire toutes vos demandes. Découvrez un monde où le luxe devient abordable et où la nature est à portée de main. Mais aussi, et surtout, son restaurant d’exception, qui est aujourd’hui devenu un lieu incontournable sur le bassin chambérien et qui saura vous surprendre. ...
Le Château Huneau a été repris depuis un an par Mathieu Lecourt. Descendant de viticulteur, il a bénéficié de l’expérience de ses prédécesseurs et continu à développer l’activité. Dans ce domaine, 80% des vendanges sont faites à la machine, et pour d’autres vins, elles sont faites à la main. Les cépages du Château Le château Huneau utilise majoritairement des cépages Merlot, Cabernet Sauvignon, Cabernet Franc et Malbec. Ces différents cépages sont plantés afin de bénéficier des bienfaits du soleil. Ceci permet de garantir le bon développement du raisin, et l’élaboration d’un vin de qualité. Et donc, la disposition se fait à flanc de coteaux surplombant la vallée de la Garonne. Le terroir ici est de type argilo-calcaire et grave. L’assemblage de Merlot et de Cabernet Sauvignon débouche sur un vin rosé. Le vin blanc est élaboré avec du Sauvignon, tandis que le Sémillon permet d’obtenir un vin blanc moelleux. Les vins de Bordeaux Le château produit 4 variétés de vins de Bordeaux : les vins de Bordeaux rouges, les vins de Bordeaux blanc, les vins de Bordeaux rosés et les Crémants. Parmi les vins de Bordeaux rouges, se distingue le « Bordeaux rouge fut de chêne ». C’est un vin avec une magnifique robe grenat profond. Après agitation, ses nuances épicées, de cannelle et de myrtilles sont mises en exergue. L'attaque en bouche est grasse, ample, avec un fond vanillé accompagné de fruits rouges. Ce vin est indiqué pour les viandes rouges, gibiers, volailles, mais aussi fromages. Egalement parmi les vins, le « Magnum bordeaux rouge ». Celui-ci possède une étincelante robe rubis au nez de prune écrasée, accompagnée de tanin fondu avec des notes de pain d'épices et cerises. Sa structure agréable et harmonieuse confère une bonne longueur en bouche. Il se marie parfaitement aux viandes rouges, blanches, et aux fromages pâte pressée. Pour les vins Bordeaux blancs, le « Bordeaux blanc sec » avec sa fine et délicate robe nuancée de vert. Il dégage une élégante senteur florale aux arômes sauvignonnes et anisés. En bouche, il est tout en rondeur fort de sa note aromatique ajoutée par le zeste de pamplemousse en plus de sa fraîcheur. C’est le vin idéal pour accompagner les plats de crustacés, poissons et salades. Le « Bordeaux blanc moelleux », quant à lui, possède une robe d'un ton jaune brillant de toute beauté. Son nez floral et abricot frais est suivi d’une pointe d'amande. Rond en bouche, il confère un parfait équilibre où les arômes privilégient une saveur prononcée, et une finale allégée et fraîche. Adapté pour les apéritifs, ce vin peut aussi accompagner un bon plat de viande blanche, du foie gras ou encore du roquefort. Au rayon des vins de Bordeaux rosés, voici pour accompagner grillades et salades, le « Bordeaux Rosé ». Avec une teinte groseille significative aux reflets saumonés, il propose une belle complexité aromatique, penchée sur de subtiles émanations de fraises cuites et agrumes. Dans la famille des crémants, le « Crémant de bordeaux brut ». Ce vin possède une robe jaune pâle aux reflets verts. Fine mousse perlée, cordon dense et persistant, il met en avant un nez constitué de notes florales, accompagné de fraîcheur et de minéralité. En bouche, il est ample et équilibrée, vif et en toute finesse. ...
Situé au cœur de la sous-préfecture de la Martinique ou « l’île aux fleurs », à Trinité, entre la commune du Robert et la presqu’île de la Caravelle, le domaine agricole Le Galion se trouve à environ un kilomètre de Fort-de-France. C’est dans un environnement paisible et enchanteur que l’usine accueille les visiteurs pendant la période de production sucrière en leur proposant des dégustations de ses produits, notamment du sucre roux et du rhum agricole. Une sucrerie martiniquaise séculaire Construit entre 1861 et 1865 par Émile Bougenot, un jeune ingénieur de 23 ans mandaté par l’ancien propriétaire des lieux, le site de production sucrière actuel a lancé sa première véritable campagne en 1864 après un prétest fructueux un an auparavant. Son nom est tiré de la rivière éponyme se trouvant à proximité de l’usine, qui autrefois faisait office de lieu de ravitaillement en eau potable aux navires espagnols : les Galions. Depuis le succès de sa campagne, la sucrerie du Galion perpétue la culture de la canne à sucre en produisant et en commercialisant ses produits à l’international, « essentiellement en Europe », précise Marcel Marie-Sainte, le propriétaire actuel. À la découverte d’une nouvelle aventure Chaque année, Le Galion ouvre ses portes au grand public afin de lui faire découvrir le secret de fabrication du sucre roux et de rhums agricoles, « de l’arrivée de la canne à sucre dans l’usine jusqu’à la sortie du sucre, les visiteurs composés d’un groupe de quinze personnes, vont découvrir une véritable magie », révèle le propriétaire. Une visite guidée d’environ une heure est assurée par une hôtesse. Au programme : découverte de l’histoire de la canne à sucre, du domaine agricole, de l’usine centrale à vapeur du Galion, ainsi que des dégustations et des projections vidéo au sein de la boutique du domaine, un espace détente aménagé juste à l’entrée. Lors de la visite, « il est possible d’échanger avec les opérateurs à leur poste de travail », continue notre interlocuteur. Une unité sucrière hors du commun En Martinique, Le Galion est la seule unité de production sucrière qui fonctionne 365 jours sur 365 depuis 1899. Il propose deux types de produits exclusivement martiniquais, dont le sucre « Le Galion » et ses déclinaisons « Cassonades », ainsi que les rhums « Grand Fond Galion » et le « Grand Arôme ». Ces derniers sont obtenus par fermentation naturelle du saccharose, « sans apport d’aucun élément, ni ferment ni levure », ce qui fait leur originalité explique Marcel Marie-Sainte. Étant donné que le processus dure au moins huit jours afin de maintenir en vie les souches bactériennes, l’usine est en activité toute l’année générant ainsi une production annuelle de 500 000 à 600 000 litres de rhums. Quant au sucre roux, il est élaboré à partir de cannes 100 % locales. ...
Depuis 14 ans maintenant, et investi totalement dans son rôle de vigneron, toujours épaulé par son père Jean-Pierre, ils exploitent ensemble les 10 ha de vignes que compte le domaine. Eparpillés sur 4 km de côte viticole, l'exploitation est fière de compter parmi ses parcelles quelques-unes dans l'aire d'appellation du Klevener de Heiligenstein. Domaine Herr : la gamme de vins Attaché à l'authenticité des cépages alsacien, le domaine Herr propose plusieurs gammes de vins. Des traditionnels ou " tout néophytes ou amoureux de vins d'Alsace doit s'y retrouver " aux cuvées en sur-maturation en passant par les Crémant ... Jamais à court d'idées, Yann se plaît à élaborer des cuvées insolites " j'aime sortir des sentiers battus et trouver dans nos cépages quelque chose de différent, actuellement je propose La cachette un assemblage de Riesling et de Muscat vinifié en macération ". Mais c'est dans ses "petits terroirs" qu'il trouve tout le mérite de son travail " quand je retrouve millésimes après millésimes les caractéristiques, l'identité de chaque lieux ". Les arômes épicés du Gewurztraminer Weinberg, l'acidité vibrante du Riesling Hoell ou encore l'intensité fruité du Muscat Berg en font quelques une de ces particularités. Toujours partant pour faire découvrir ses vins, le domaine Herr vous accueille sur simple rendez-vous. ...
Une table délicate au cœur de Saint-Dizier Après avoir fait ses classes auprès de quelques-uns des grands noms de la gastronomie française (notamment François Clerc à la Vieille Fontaine), Didier Muckerhirn s’est lancé dans l’aventure en reprenant en solo un ancien établissement du centre-ville de Saint-Dizier. Mais la passion pour la cuisine lui est venue dès son plus jeune âge ; déjà tout petit, il consacrait une partie de son argent de poche à l’achat de livres de cuisine. « Le besoin d’ouvrir mon propre restaurant est venu en même temps que l’envie de mettre plus de créativité dans mes plats. C’est une petite structure familiale de 25 places assises et je travaille avec ma femme et mon fils », nous explique le chef. Maître restaurateur de France, Didier Muckerhirn essaye au maximum d’avoir des circuits courts et des produits locaux afin de faire profiter ses clients de son savoir-faire et des saveurs d’une région. « Pour nos viandes, on travaille avec un petit producteur de Saint-Dizier, nos cailles grandissent à moins de cinquante kilomètres de nos fourneaux. Comme nos fois gras et nos canards. On essaye de coller au maximum à ces valeurs de proximité. » Une carte qui change tous les mois La proposition de Didier est surprenante : avoir une carte-menu qui affiche 4 entrées, 4 plats et 4 desserts différents, qui changent chaque mois. Même si le restaurateur n’a pas encore trouvé son « plat-signature », les critiques, comme les clients, sont unanimes sur la qualité générale des assiettes qui sortent de cette cuisine. Le cadre est, lui, à l’image de la cuisine. Intimiste, la décoration relève avec goût le charme de la vieille maison. En été, on profite de la terrasse située dans la cour intérieure du bâtiment pour se régaler d’un magret de canard à la mangue accompagné de quelques rigatonis d’épeautre, tout ça devant la grande fresque murale qui habille magnifiquement l’espace. ...
Profitant d’une situation très convoitée en plein cœur du centre historique de la Ville des Lumières, le restaurant L’Éclat côtoie la Cathédrale, la colline de Fourvière et les rives de Saône. À l’intérieur, lustre Tom Dixon, tons boisés et formes design sont sublimés par des jeux de matières et des couverts raffinés. Vitrée, la cuisine permet à la clientèle de découvrir les talents du chef Vincent Leleu et de sa brigade. L’éclat de la cuisine à la française C’est à travers des sélections de recettes gastronomiques raffinées que le restaurant L’Éclat évoque toute l’intensité d’une cuisine riche en traditions. Du choix des produits jusqu’à la présentation artistique et moderne de chaque assiette, en passant par la maîtrise des cuissons, l’établissement garantit de vivre d’intenses découvertes gustatives. La carte propose des mets qui allient diversité et authenticité. Foie gras, merlu, rouget, cabillaud, pigeon de Pornic, bœuf et cochon s’agrémentent de champignons, de truffes et de légumes de saison. Chaque recette témoigne d’un savoir-faire respectueux des produits. Ces derniers révèlent de parfaites textures en bouche sublimées par des concentrés de saveurs. Pour l’approvisionnement, la maison collabore avec des fournisseurs triés sur le volet. « Nous avons fait le choix de ne travailler qu’avec des producteurs qualifiés et des produits de saison », nous précise le jeune chef de talent, Vincent Leleu. Celui-ci privilégie aussi bien les producteurs locaux que d’autres professionnels situés dans les autres régions, pour mettre en valeur toutes les particularités et richesses du pays. Dans la cave à vins qui est visible depuis la salle, toutes les régions sont également mises en valeur. La carte propose actuellement près d’une centaine de références, dont des bios, spécialement choisies pour être en harmonie avec les mets proposés. Une touche d’innovation personnelle Permettant de redécouvrir les standards de la cuisine traditionnelle française, le restaurant L’Éclat met en scène tout le savoir-faire de son chef Vincent Leleu. Avec talent et discipline, il élabore chaque recette avec minutie tout en respectant les valeurs d’une gastronomie ancrée dans l’air du temps. C’est à travers quatre choix de menus alliant tradition et innovation qu’il invite à voyager au sein de la culture culinaire française. Dans son ambiance design, chic et contemporaine, le restaurant propose entre autres de profiter d’agréables repas d’affaires. Servi à midi, le menu affaires à 30 € propose carotte, poire et jésus de Morteau en guise d’entrée. En plat de résistance, lieu jaune, petit pois menthe et œuf de caille feront plaisir aux fins palais. Mêlant fraîcheur et douceur, pomme, aneth et citron seront parfaits à titre de dessert. Les trois autres menus proposés respectivement à 45 €, 55 € et 75 € sont servis midi et soir. Ils permettent de goûter à des saveurs inédites, telles que la Royale d’épinards, tuile de pain et noisettes torréfiées, lard Contadino ou le bœuf en gravlax condiment fenouil anis et jus de bœuf corsé, sans oublier le merlu de ligne, terrine de chou vert brûlé jus de citron de Menton. Parmi les signatures du chef, le foie gras tartare de tomates fraises et coriandre, ainsi que le pigeon de Pornic rôti sur coffre fumé au foin et cranberries sont incontournables. L’exquise tarte Tatin circulaire aux pommes avec sa crème glacée à la vanille de Madagascar et aux cacahuètes titille également les papilles à chaque bouchée. Garante de plaisirs culinaires intenses, la succession des saveurs proposées sonne comme une véritable mélodie qui égaye les sens. Il est possible de faire découvrir cette cuisine haute en couleur aux convives de vos événements. « On fait des dîners pour les particuliers chez eux et pour des entreprises, donc des séminaires, des cocktails dînatoires », nous souffle-t-on. ...
La sobriété et l’élégance définissent instinctivement le cadre avenant et reposant du Bistrot de Fontcaude. Les habitués se retrouvent sur la terrasse pour une atmosphère décontractée à ciel ouvert. Un retour au calme et à l’apaisement est assuré à l’intérieur pour déguster autrement des produits frais du terroir du Languedoc-Roussillon sur des assiettes riches en goûts. Thierry Rousset enrichit ses plats en s’inspirant du patrimoine culinaire régional. La carte se veut fraîche, prônant les produits de saison et mettant en valeur les trésors cachés du terroir. Ses créations évoluent aussi au fil des rencontres et des découvertes qu’il réalise lors de ses voyages à l’étranger. Des plats revisités Au Bistrot de Fontcaude, de curieux gourmets, toujours à l’affût d’originalité, réclament, dès la mise en bouche, des plats revisités par les mains de Thierry Rousset, reconnu pour son don de marier les goûts et les textures. En entrée, rien de tel que l’os à moelle pour se délecter de saveurs authentiques. En plat, les cannellonis aux épinards et ricotta gratinée, noisettes grillées et cèpes sont un nouveau-né de sa carte fraîchement repensée. La présentation met l'accent sur les couleurs. Réservant le meilleur pour la fin, le chef suggère un mirliton aux zestes d’agrumes avec sa fine meringue aux pastilles de Vichy en guise de dessert. Des vins du Pays de l’Hérault Dès les premières bouchées, les plats prennent une autre volupté grâce aux vins de la région servis en accompagnement. C’est l’occasion de déguster des vins du Pays de l’Hérault. En vedette, les vins Pic Saint-Loup et Les terrasses du Larzac, des vins de terroir, produits de différentes associations de cépages languedociens. ...
Dans un décor médiéval fait de pierres apparentes et de voûtes, cet établissement de style lounge au cadre raffiné et à la musique d’ambiance ne manque pas de caractère. Prenez le temps de déguster la cuisine raffinée, savoureuse et soignée du chef François Le Touche, où le fait maison est particulièrement à l’honneur. En plus du menu des Lys proposés à chaque repas, incluant 3 plats à 47 € ou 4 plats à 50 €, le restaurant propose également une formule déjeuner à 29 €, du mercredi au samedi, ainsi que différents plats à la carte allant de 16 à 30 €. Son foie gras de canard fait maison, son filet de taureau poêlé et son crumble d’abricot aux coulis de fruits rouges sont d’autant plus renversants qu’incroyablement délicieux. Une sélection de bons vins Pour accompagner chacun de vos repas, Le Caveau des Lys vous propose une carte des vins plutôt éclectique, incluant des bouteilles de 75 cl, des demi-bouteilles ainsi que des vins au verre « ouverts à tous les budgets », comme le précise Marion Orfeuille, coordonnatrice, qui conseille notamment le Saint-Amour, l’Aloxe-Corton, le Nuits-Saint-Georges ou encore le Saint-Émilion. Aimant composer de belles assiettes, le chef met les petits plats dans les grands à travers un mariage réussi de saveurs et de textures pour un résultat à couper le souffle. Très présent également dans son deuxième restaurant au nom évocateur, Le Jardin des Lys, il est animé de la même passion pour offrir le meilleur dans vos assiettes. ...
La canne à sucre. On peut dire qu’Elie Gomba est tombé dedans dès sa plus tendre enfance. Ce passionné a grandi dans une famille elle-même spécialisée dans la production de canne à sucre. Son grand-père qui possède une importante exploitation familiale aux Antilles lui a transmis cette envie d’anoblir ce précieux produit. C’est avec volonté et détermination qu’il décide alors de créer un concept à vocation de démocratiser le jus de canne à sucre et le faire connaître aux quatre coins du globe. Le concept CannElie offre l’opportunité aux consommateurs de déguster du pur jus de canne fraîchement pressé. Avec l’aide d’un fabricant spécialisé dans la conception d’extracteur de jeu, Elie Gomba créée la première machine homologuée CE qui permet de broyer la canne à sucre surgelée fournie par l’entreprise puis d’obtenir le fameux breuvage. Très simple d’utilisation, elle offre également une importante capacité de production allant jusqu’à 300 verres par jour. Son installation est aisée puisqu’il suffit d’une prise pour la faire fonctionner. Comme la machine est à la fois discrète, compacte et surtout très stylée, elle se fond naturellement dans tous les décors. Les bars, les restaurants, les cafés, les night-clubs, les traiteurs et même les professionnels de l’évènementiel souhaitant proposer un bar à jus de canne pourront facilement l’intégrer dans leur environnement. Au niveau des matières premières utilisées, la sélection se veut très rigoureuse. « Il existe plus de 4000 variétés de cannes à sucre dans le monde et la plupart ne sont pas faites pour être dégustées. Nous choisissons plusieurs variétés avec différents taux de sucre en fonction des besoins de chacun », explique l’entrepreneur. Une panacée aux mille et un bienfaits Encore peu connu en Europe, le jus de canne révèle pourtant une myriade de vertus. Il est très riche en vitamine B1, B5, B3 et en vitamine C et contient de l’oméga 3 ainsi que de l’oméga 6. Ce nectar a entre autres le pouvoir de booster le système immunitaire, d’augmenter la capacité de concentration, d’optimiser la digestion, de renforcer les ongles, de ralentir le vieillissement cutané ou lutter contre la chute de cheveux. Il est même préconisé chez les diabétiques à taux glycémique bas. « Il s’agit d’un sucre naturel qui est facilement assimilé par le corps, c’est pourquoi il peut être consommé par tout le monde, des jeunes au moins jeunes », plaide notre interlocuteur. Les sportifs notamment pourront se fier aux apports énergétiques du jus de canne lors des phases de récupération après l’effort. Le jus de canne pour émoustiller les palais Par ses multiples qualités nutritionnelles et ses saveurs tropicales insoupçonnées, CannElie a déjà réussi à séduire de nombreux hôtels, bars et restaurants en France, en Belgique, au Luxembourg ou encore en Suisse. Seul accompagné de quelques glaçons ou associé avec des jus de fruits exotiques et des alcools, le jus de canne se révèle dans sa plus belle expression et fait le bonheur des mixologistes de tout horizon. CannElie a aussi imaginé d’innombrables recettes de cocktails, de mocktails ou de smoothies qui invitent à découvrir ce breuvage sous un nouveau jour. De la Canarita, au Can’Soft, en passant par le Can’Ginger, le Canamango ou le Canabrico, il y en a pour tous les goûts et toutes les envies. ...
Situé en région Provence, le domaine Les Beates propose un large choix de cuvées pour toutes les envies. Les Beates : un terroir fabuleux qui favorise la création de boissons exceptionnelles Acquis en 2002 par Pierre-François Terrat, le domaine Les Beates a considérablement évolué avec le temps. Profitant d’un terroir fabuleux à flanc de coteau de la Chaine des Côtes, son nouveau propriétaire a, en effet, décidé de travailler à sa manière les 40 hectares de vigne à sa disposition. Tout en poursuivant une viticulture biologique (la conversion bio du domaine a été initiée en 1980), ce vigneron passionné réalise un véritable travail sur le végétal et fait son maximum pour mettre en avant la biodiversité. Ce respect du vivant se poursuit au chai avec le processus de vinification : les fermentations sont réalisées grâce aux levures indigènes et l'usage d'intrants est réduit au minimum. L'objectif est clair : permettre à chacun de profiter d'un vin de qualité pour la bonne occasion et, surtout, le bon plat. ...