Il faut d’abord traverser les pelouses à l’anglaise du parc de l’hôtel pour découvrir le restaurant, face à la mer. Le Castel Marie-Louise est le terrain de jeu du chef Eric Mignard depuis 30 ans. Le chef fait jongler dans l’assiette à sa façon les saveurs de la région. La cuisine gastronomique et créative laisse un souvenir impérissable. Une cuisine pleine d’imagination Dans l’assiette, s'opère une rencontre ingénieuse des produits de la terre et de la mer, issue de l’esprit inventif du chef. « Ma cuisine est une cuisine qui célèbre les saisons et qui magnifie leurs produits. Mes ingrédients sont ceux de la mer et du terroir » explique Eric Mignard. Les spécialités fleurent bon le pays de la Baule : cochon noir, andouille de Guéméné, langoustine, huitre et sel de Guérande. Raffinement ultime, le chef ajoute sa propre touche originale aux recettes traditionnelles. Notamment les huitres servies avec un granité d’anis, ou la tomate de Madame Huitric et son sorbet framboise-betterave. Eric Mignard partage volontiers une de ses recettes créatives dont il a le secret : le foie-gras cuit cru au sel gris de Guérande. Après avoir laissé tremper le lobe deux heures dans du lait et de la glace, il le fait mariner deux à trois jours dans un mélange à lui : sel, sucre et poivre de Pondichéry. « Au nez, des parfums de fruits mûrs, de pain d’épice. à la dégustation, une première approche légèrement sucrée, un gout puissant sans trop, avec des notes de fruits confits ». Ensuite, le foie gras est coupé en tranches très fines, puis garni d’une salade croquante d’automne avec des lamelles fines de betterave, de radis daikon et de potiron. Une vinaigrette balsamique relève le tout. Un mets à savourer avec une belle tranche de pain au levain grillé. Le réveil des papilles Les arômes dansent, se mêlent entre eux et créent des saveurs inconnues. Et vous apprenez bien vite à les apprécier. Dès entrée de jeu, le chef vous soumet un de ces amuse-bouches dont il a le secret, histoire d’apprêter le palais. Puis s’enchaînent, au choix, une succession de mets des plus raffinés : foie gras de canard pressé à la langoustine, filet de Saint-Pierre et son jus d’araignée au Yusu, ou lotte rôtie au sarrasin grillé, avec sa framboise écrasée à l’huile d’amande douce. Sans omettre la spécialité du chef : le pigeon de Mesquer. Pour clore la kyrielle, optez pour une douceur sucrée : un soufflé chaud à la fraise du pays. Mais la véritable vedette de l’assiette du Castel-Louise s’avère être le homard. Eric Mignard lui dédie un menu spécial : le homard est d’abord poché en tartare, puis rôti et accompagné d’une mousseline de carottes des sables à la cannelle et à la badiane, et enfin servi au vin jaune, avec un pied de cochon et encormet. Les amateurs apprécient ces multiples déclinaisons savoureuses. Détente et relaxation à l’anglaise Après le diner, l’idéal est de prolonger ces moments d’agrément au bar de l’hôtel. Un endroit à l’esprit « so british ». Non sans raison, en effet les lieux ont servi de décor lors du tournage de « Hercule Poirot », série policière adaptée des romans d’Agatha Christie. Laissez-vous envouter par l’âme britannique : le barman vous sert un des whiskies ou cognacs soigneusement sélectionnés de l’éblouissante carte. Chaque semaine le Castel Marie-Louise vous donne rendez-vous. Le samedi après-midi, au cours d’un atelier cocktail, le barman dévoile les techniques et les secrets pour réussir de savoureux cocktails. Le dernier vendredi du mois, le sommelier initie les amateurs aux subtilités des arômes des vins, au cours d’un atelier d’œnologie. Pour parfaire les accords, les ateliers sont accompagnés de découvertes gustatives du chef Eric Mignard. ...
Des restaurants italiens ? On en compte pléthore à Paris. Certains se démarquent par les saveurs inattendues de leurs plats et la qualité exceptionnelle de leurs produits. C’est le cas d’Il Fico. Véritable ambassadeur de la cuisine sarde, le restaurant est géré d’une main de maître par Nicola Pisu et un pool de passionnés qui, ensemble, ont largement tenu leur promesse en proposant le meilleur de la cuisine traditionnelle sarde. Immersion Le restaurant se trouve rue Coquillière, l’une des plus anciennes rues du Ier arrondissement. Le bâtiment arbore de grosses pierres de couleur neutre, rappelant le charme d’une trattoria à l’ancienne. La grande baie vitrée, au style très industriel, vient s’ajouter à la façade pour renforcer le cachet du restaurant, laissant entrevoir l’ambiance intimiste et chaleureuse de la salle. Une fois à l’intérieur, toujours dans la continuité de ce charme rustique, quelques cadres ici et là embellissent les murs en pierre et les poutres apparentes. Des meubles modernes aux lignes épurées apportent un côté plus contemporain et rehaussent la décoration de table déjà bien soignée. Un concept innovant Le restaurant s’articule autour de deux concepts : « Un concept gastronomique et à la fois bistro », décrit le chef Nicola Pisu. Lui et son équipe travaillent des plats représentatifs des saveurs de la cuisine sarde à base de poissons et de fruits de mer en provenance des côtes de l’île. « La particularité de la cuisine sarde, c’est qu’il y a beaucoup de poissons, et ils sont cuisinés très frais », continue le chef. Viennent s’ajouter les viandes, champignons, fruits et légumes témoignant la richesse de ses terres. La carte sort de l’ordinaire et propose un panel de suggestions surtout orientées vers les produits marins, comme une salade de poulpe à la méditerranéenne en guise d’entrée, de la linguine aux langoustes et sauce tomate ou encore de l’espadon grillé saisi à l'huile aux herbes et ses légumes. L’on y retrouve aussi des plats typiquement italiens à l’image de l’antipasto, généreusement enrichi de mozzarella et de la charcuterie italienne. Au dessert, la panna cotta à la vanille avec poires caramélisées au romarin est un incontournable. Une carte qui suit la saisonnalité Des ingrédients frais et de saison sont les produits de prédilection de Nicola Pisu, et la carte va dans ce sens. « On a une belle équipe en cuisine, on est plus motivé, on cherche toujours de nouveaux produits et on imprime une carte sur mesure selon le marché », explique notre interlocuteur. Le chef travaille directement avec des producteurs locaux de Sardaigne et s’approvisionne auprès des producteurs français pour acquérir la meilleure matière première. Il s’inspire ensuite des produits sur le marché pour concocter de nouvelles recettes, ou pour revisiter certains plats afin de les adapter à la saison. Côté vins, le restaurant privilégie les vins de Sardaigne, et développe une quarantaine de références, qui évolue régulièrement. En rouge, notre interlocuteur cite le Giba Carignano 2012 en provenance du sud de Sardaigne, et aussi l’Olianas Cannonau 2014, un vin biologique très frais, idéal au moment de l’apéritif. La carte propose aussi du blanc, comme le Giba Vermentino 2014, ainsi qu’une intéressante sélection de vins rosés. ...
Il y en a pour tous les goûts : fruits et légumes, produits de la pêche, viande et volaille mais aussi boissons, charcuterie, plats cuisinés, boulangerie-pâtisserie, sucreries ou produits laitiers. Saveurs en’Or représente aujourd’hui la marque des produits de qualité fabriqués en Nord-Pas de Calais, que ce soit une tarte au sucre, une gaufre à la cassonade ou des bêtises de Cambrai tout comme l’andouillette, le bœuf à la bière de l’Avesnois ou l’endive. Force est de constater que le désormais célèbre blason est devenu une référence. L’objectif initial, c’était bien de « prendre la main de l’agriculteur et la main du consommateur puis les réunir », rappelle Jean-Marie Raoult fondateur et président de Saveurs en’Or. Cette initiative originale de la Chambre d’agriculture et du Conseil régional Nord-Pas de Calais a commencé avec une trentaine de produits. Plus de dix ans après, les résultats sont au rendez-vous : non seulement, Saveurs en’Or valorise plus de 1000 références, mais elle est également largement présente dans les rayons de la grande distribution. Surtout, elle représente aujourd’hui un gage de qualité. Car ne devient pas Saveurs en’Or qui veut. Il faut d’abord que les matières premières soient cultivées en priorité en Nord-Pas de Calais ou que les produits soient transformés dans la région, avec un minimum de 50% de denrées issues de la région. Il faut ensuite répondre à un cahier des charges strict, avec des exigences en matière de traçabilité et d’hygiène notamment. Chaque année, un organisme certificateur indépendant se charge de vérifier que le cahier des charges est bien respecté par les entreprises. Enfin, un panel de consommateurs goûte régulièrement les produits pour attester de leur saveur incomparable. Un partenariat gagnant-gagnant Derrière la marque collective Saveurs en’Or, il y a aussi et surtout un partenariat gagnant-gagnant. Gagnant pour les consommateurs de plus en plus désireux de consommer des produits locaux et de qualité. Gagnant aussi pour les producteurs et les distributeurs, en offrant de nouveaux débouchés notamment dans les grandes surfaces et en valorisant ainsi les entreprises génératrices d’emplois sur le territoire. Tous les producteurs sont d’accord. « En adhérant à la démarche Saveurs en’Or, nous défendons notre souhait de voir la véritable Lucullus de Valenciennes préservée au rang de produit du patrimoine gastronomique du Nord », note Augustin Motte, dirigeant de la société produisant cette fameuse spécialité de langue de bœuf fumée avec du foie gras. « Etre marqué Saveurs en’Or nous apporte non seulement un gage de qualité mais aussi un développement économique incontestable via le réseau de distributeurs partenaires et les nombreuses actions de promotions », ajoute Patrick Defroidmont, spécialiste de la fabrication artisanale de Maroilles. « Nous pouvons afficher notre fierté de travailler des produits, avec des viandes élevées, abattues, transformées et consommées au sein de notre région », conclut Laurent et Jean Pruvost, de l’entreprise familiale Pruvost Leroy. La marque collective représente aujourd’hui plus de 10 000 emplois dans la région. En offrant de nouveaux débouchés, elle a réussi le pari de valoriser le savoir-faire culinaire de toute une région, de l’éleveur au transformateur. Les consommateurs le savent : non seulement, ils misent sur de la qualité mais ils soutiennent aussi les filières de production durables. www.saveursenor.com ...
Véritable portail de la gastronomie orientale, Markar invite les plus curieux à un voyage inédit au cœur des saveurs arméniennes, libanaises, turques ou encore grecques. Une épicerie fine orientale Créée en 1990 par Kirkor Markarian, la maison Markar suggère une variété de produits qui réserveront des surprises à tous les palais. Pour un apéritif original, l’épicerie regorge de fruits secs, biscuits salés, mezze et charcuterie. Pour ceux qui n’ont pas encore eu l’occasion d’y goûter, la charcuterie arménienne est absolument à découvrir. Markar invite à déguster ses deux spécialités faites maison. Le Pasterma qui est une viande séchée de bœuf enrobée d’une pâte d’épice, et le Soudjouk, un saucisson de bœuf préparé à partir de viande hachée et de boyau naturel. « Pour la viande, on a un rayon boucherie et on utilise de la charolaise, c’est une des meilleures viandes racées françaises », explique Massis Markarian, le fils de Kirkor, qui co-gère la boutique familiale. En guise d'accompagnement de ce plateau de charcuterie, l’épicerie propose des vins d’Arménie aux qualités surprenantes. A découvrir : des vins rouges médaillés d’argent aux concours Mundus Vini en Allemagne comme le Karas ou le Takar ou encore un vin récompensé de la grande médaille d’or à Bruxelles, le Kataro. En parallèle, Markar dispose également de produits exceptionnels tels que le brandy. En effet, l’épicerie suggère à ses clients les brandys les plus raffinés comme le brandy ARARAT VASPURAKAN (15 ans d’âge) ou le brandy ARARAT NAÏRI (20 ans). « Ils sont quasiment introuvables en France, on est le seul à en avoir », souligne Massis Markarian. Au rayon des condiments, les épices indispensables à la cuisine orientale : cumin, piment, thym... mais aussi des huiles d’olive venant de Grèce sont à ne pas manquer. Côté douceurs, fruits secs, confiseries (loukoums, halva, kourabiedes) et pâtisseries orientales sont aussi disponibles. Markar suggère également des produits traiteur. Tout est fait maison ! Du houmous (à base de purée de pois chiches et tahini) en passant par le tzatziki (mezze grec et turc), le tarama (mezze à base d’œufs de poisson, lait, jus de citron et mie de pain) ou le ktipiti (amuse-bouche à base de feta, yaourt et poivron rouge). Enfin, l'une des spécialités de la maison : les feuilles de vigne farcies au riz, les Dolma. À ne surtout pas rater ! « On a des clients qui viennent de loin spécialement pour ces produits », raconte le gérant. ...
Sous le ciel ensoleillé de Trélou-sur-Marne, sur la rive droite de la Marne, entre Épernay et Château-Thierry, la maison Couvent Fils prend soin de ses trois hectares de vignes avec la plus grande rigueur. De ce terroir situé dans la vallée de la Marne se développent les trois cépages champenois, dont le pinot Meunier en sera le roi (70 %). Les vignes sont cultivées de façon raisonnée dans une optique de préserver le patrimoine, héritage des générations futures. Des bulles pétillantes Médaillée d'argent lors du Concours Général Agricole auquel la marque participe pour la première fois, la cuvée Empreinte est l’ambassadrice de la maison Couvent Fils. Elle est issue de l’association de trois cépages champenois et a bénéficié d'un vieillissement de 24 à 36 mois dans les caves. Pour satisfaire les amoureux de la gastronomie fine, la maison propose le Plaisir secret. Cette cuvée est élaborée à partir d’un millésimé sélectionné en fonction de sa finesse. Au moment du dégorgement, un dosage en demi-sec est réalisé. À consommer en apéritif, elle révèle aussi toutes les saveurs d’un foie gras et constitue l’allié incontournable des douceurs chocolatées. À la découverte d’un savoir-faire La maison Couvent Fils invite les touristes à découvrir le champagne à la source. Un parcours durant lequel la visite des caves ou du pressoir est organisée. Après cette balade pédagogique, les vignerons proposent une dégustation à leurs convives. L’occasion d’apprécier les cuvées fabriquées dans le respect des techniques traditionnelles. L’immersion totale au cœur de l’univers champenois s’effectue quant à elle grâce à un séjour complet au sein d’un gîte pour six personnes labellisé Gîte de France (trois épis). ...
Propriété vitivinicole depuis 1935, le Château du Cléray s’est transmis de génération en génération dans la famille Sauvion. Avec ses vieilles caves voutées, celui-ci compte parmi les plus anciennes propriétés du Pays Nantais. Aujourd’hui, c’est au tour de Pierre-Jean Sauvion, 4e génération, de s’atteler à la tâche et de façonner les vins de la maison. Honneur au muscadet Depuis sa création, le domaine a mis tout en œuvre pour donner au cépage Melon de Bourgogne ses lettres de noblesse. « C’est tout simplement l’un des plus grands cépages blancs au monde et il pousse uniquement dans notre région », explique Pierre-Jean Sauvion, œnologue et directeur technique. Ceci expliquant cela, le Melon de Bourgogne occupe aujourd’hui les deux tiers de l’encépagement de ce vignoble de 100 ha. Le reste se compose de chardonnay, de sauvignon et de folle-blanche (le cépage du gros plant). Les vignes du domaine sont plantées sur un sol silico-argileux, traversé par une veine de schiste qui apporte aux vins une complexité aromatique avec une belle minéralité accompagnée d’une touche saline. « De cette typicité naissent des vins avec une expression plus tardive. » Respect de la vigne et de la Nature Le domaine adopte des pratiques culturales qui respectent la Nature et s'est donc tout naturellement engagé dans une certification HVE (Haute Valeur Environnementale.) « Mon outil de travail, c’est la vigne. Donc je fais tout pour la préserver afin de la léguer un jour aux générations futures », plaide notre interlocuteur. Cependant, pour Pierre-Jean Sauvion, la démarche importe peu, qu’elle soit biologique, raisonnée ou organique. Pour lui, l’objectif reste le même : faire en sorte d’obtenir une qualité optimale. Et cette recherche de la qualité commence dans les vignes. « Nous sommes à l’écoute de la Nature. Et en fonction de cela, nous faisons ce qui est le mieux pour nos vignes. » Côté vinification, le domaine suit un schéma classique. Cependant, toutes les opérations sont effectuées sous gaz inerte pour éviter l’oxydation. Des façonneurs de plaisir Apporter du plaisir et le partager aux autres. C’est en quelque sorte la philosophie qui a animé la famille Sauvion depuis maintenant 4 générations. Ainsi, elle se définit volontiers comme « des façonneurs de plaisir », qui, chaque année, se plait à présenter de nouvelles saveurs aux œnophiles. Parmi les références de la maison, la gamme haute culture mérite une attention particulière. Issues des meilleurs terroirs et des vieilles vignes de la propriété, ces cuvées représentent le summum du savoir-faire du Château du Cléray. À commencer par le « Muscadet Sèvre et Maine sur Lie 2017 Château de Cléray » ! Un 100 % muscadet qui exhale des arômes de citron, de tilleul, de menthe et de pomme verte. En bouche, on retrouve une grande fraîcheur et une belle finesse. Ce vin accompagnera parfaitement un plateau de fruits de mer ou une mousseline de Saint-Jacques. ...
De retour d’un tour du monde où ils ont parcouru l’Amérique centrale, l’Amérique du Sud, l’Afrique, le Proche-Orient et l’Asie, Karine et Jeff Marie s’installent dans le Gers, leur département d’origine, pour créer leurs premières conserves en verre. Leur entreprise Le Bonheur est dans le Pot séduit rapidement les magasins bio du Sud-Ouest. En 2002, ils déménagent à Toulouse. Aidés par une petite équipe, ils étoffent leur gamme pour proposer 132 recettes, toujours dans des bocaux en verre. En 2011, ils font construire un nouveau bâtiment à Revel avec une immense cuisine bénéficiant de la lumière du jour. Vingt personnes en interne et vingt personnes en externe accompagnent cette aventure aujourd’hui. Désormais rebaptisée Karine & Jeff, l’entreprise s’est fait un nom à l’international, que ce soit en Suisse, aux Pays-Bas, en Belgique, au Japon, au Qatar ou encore en Amérique du Nord. Karine & Jeff sont lauréats du prix spécial de l’innovation et de l’économie dans le cadre des Septuors 2017. Des ingrédients sains et naturels… Tous les ingrédients composant les recettes de Karine & Jeff sont sélectionnés avec beaucoup de soin. Ils sont tous issus de l’agriculture biologique. Ils proviennent essentiellement de producteurs régionaux, respectant les qualités gustatives et nutritives de leurs produits. Tous les ingrédients provenant d’autres parties du monde, comme les lentilles corail de Turquie, le quinoa de Bolivie ou les épices, sont également choisis pour leur excellence éthique. Située au pied de la montagne noire, l’entreprise peut aussi bénéficier de la pureté de l’eau du parc naturel régional du Haut-Languedoc. Aucun épaississant, aucun arôme artificiel, aucun colorant, ni conservateur, que des produits sains et naturels pour une alimentation équilibrée. …pour des recettes créatives Hormis des soupes, des purées de légumes, des céréales et des légumes au naturel, vous trouverez dans la gamme Karine & Jeff de nombreuses recettes inspirées de leurs voyages. Par exemple vous pourrez vous régaler d’un tajine de lentilles et potimarron, d’une cocotte de tofu à la mangue ou accompagner votre plat d’un ketchup gastronomique. Tous les ans, une dizaine de nouvelles recettes viennent enrichir l’offre. ...
Le domaine possède 400 ans d’histoire au coeur de la Provence. En 1594, le roi Henri IV ordonne au Duc de Sully de planter les 15 majestueux platanes qui ombragent, encore de nos jours, le parc de la propriété. C’est en 1932 qu’Henri et Charlotte Fabre se prennent de passion pour le Château de l’Aumérade. Ils restructurent la propriété et obtiennent en 1955 le titre de Cru Classé. Henri Fabre développe une activité prospère qui lui permet de devenir l’un des premiers embouteilleurs de la région et l'un des fondateurs des côtes de Provence. Ils créent l’événement en 1956, avec le lancement de la célèbre « Marie-Christine », cuvée ambassadrice de charme des vins de l’Aumérade dans le monde. A partir de 1932, chaque génération de la famille Fabre a su transmettre sa passion de la vigne et son savoir-faire au service de l’excellence. Si la famille produit les 3 couleurs, la production de rosé représente plus de 90%. Les vins issus des cépages typiques de la Provence, (le grenache, cinsault, carignan, syrah et rolle pour le blanc) expriment avec élégance le caractère unique de ce terroir d’exception. La cuvée Marie-Christine Rosé mérite un intérêt particulier puisqu’elle est la cuvée emblématique de la propriété. Très aromatique, elle développe en bouche une intensité minérale ponctuée par des notes de fruits mûrs à chair blanche : une gourmandise ! Ce très beau rosé provençal vous est proposé dans un élégant flacon, imaginé par Charlotte Fabre, l’épouse du fondateur. Pour les blancs, c’est la cuvée Sully Blanc de Blancs qui retiendra notre attention. Ce vin est un grand blanc de Provence, élégant et complexe. Le Rolle, d’une grande qualité gustative s’exprime ici sur des arômes d’agrumes et de poire, traduisant une belle finesse de corps avec une remarquable persistance en bouche. Les rouges quant à eux, sont souples et fruités jeunes, ils évoluent en barriques sur des notes complexes épicées et vanillées développant de l’ampleur et de la puissance à travers des tanins soyeux et élégants. ...
Aujourd’hui encore, beaucoup ne savent pas ce qu’est exactement l’absinthe. Ce spiritueux, très apprécié pour ses saveurs typées, a su tant bien que mal exister à travers le temps. Sa plante de couleur verte et jaune peut être utilisée à des fins thérapeutiques pour contrer la fatigue, contrer les nausées ou servir de vermifuge. Aujourd’hui, l’absinthe est considérée comme un breuvage tout à fait exceptionnel, à déguster dans des moments spéciaux notamment en apéro… Tout un savoir-faire L’absinthe se déguste selon un rituel bien précis et nécessite l’usage de certains objets : la cuillère à absinthe, qui sert de support au sucre, et la fontaine à absinthe, où l’on verse à petite goutte de l’eau glacée sur le sucre pour un mélange donnant au spiritueux ce goût exceptionnel. Ce spiritueux se déguste de mille et une façons. Si les puristes la préfèreront nature, d’autres n'hésitent pas à la consommer sous forme de cocktails. Une gamme riche de produits À part l’absinthe qui a fait sa réputation, la maison « Les Fils d’Émile Pernot » propose plusieurs gammes de spiritueux, de liqueurs et eaux-de-vie, comme la liqueur d’absinthe, composée uniquement d’absinthe au goût très original. La Gentiane, eau-de-vie connue pour ses vertus digestives et obtenue grâce à une plante, est une des spécialités de la distillerie. La racine n’est récoltée qu’après cinq années de maturation et constitue également l’un des fleurons de la maison. Un fort attachement aux gestes ancestraux La fabrication de la large gamme de produits chez « Les Fils d’Émile Pernot » s’effectue dans le respect des traditions et des valeurs ancestrales. La distillerie fait partie des rares à encore utiliser des alambics de cuivre vieux de plus d’un siècle permettant la distillation de la fameuse absinthe. Il s’agit des seuls alambics de ce type qui fonctionnent encore dans le monde. Ils donnent leurs qualités aromatiques exceptionnelles aux absinthes fabriquées selon des techniques traditionnelles vieilles d’une centaine d’années. ...
À l’angle de la rue de la Ville-en-Bois et de la rue Nicolas-Appert, à quelques pas de la place Canclaux, La Table de Yo séduit par son décor unique et humble. À l’extérieur, l’enseigne grise et la grande ardoise verte attirent spontanément le regard des passants. Une fois à l’intérieur, la salle dégage une délicatesse qui fait que l’on s’y sent immédiatement bien. La décoration de la salle reflète une harmonie parfaite entre le moderne et le vintage. Les murs en pierres apparentes et les meubles en formica apportent une petite touche rétro tandis que le zinc, qui recouvre le bar, fait ressortir le côté cosy et chic du lieu. Les luminaires subtilement disposés à travers la salle créent une ambiance chaleureuse et conviviale. Et la petite touche musicale en fond sonore apporte un sentiment d’apaisement, de détente et de joie. Cuisine savoureuse et respect des produits Lieu de retrouvailles des habitués du quartier, La Table de Yo propose une cuisine à la fois simple et inventive pour séduire les palais nantais. Affichés à l’ardoise, les plats se déclinent en plusieurs choix pour satisfaire tous les gouts. Ainsi, les convives pourront opter entre 4 entrées, 4 plats et 3 desserts sans oublier les fromages fournis par le fromager du quartier. Pour débuter ce voyage culinaire, le gloire à l’œuf ou le millefeuille d’asperges à la coppa attendent d’être dégustés. En plat de résistance : le risotto, l’entrecôte du chef ou le poisson du marché accompagné par des betteraves et des petits pois primeurs donne l’eau à la bouche. Et en dessert : le fameux yodélice, la mousse d’avocat tartare de kiwi et le cœur coulant, légo croquant. Le tout à savourer sur la terrasse, en salle ou sur le comptoir. Yolaine Briec, la propriétaire, veille particulièrement à ce que les produits utilisés soient frais et issus au maximum des producteurs locaux. Fièrement, elle affiche le « fait maison », y compris pour le pain. Raison pour laquelle l’ardoise change quotidiennement et évolue au gré des saisons et des inspirations de Frédéric Legal. La cuisine de ce chef passionné conjugue alors la tradition avec une pointe de créativité. Il réussit à interpréter les grands classiques en y ajoutant quelques notes plus modernes rendant sa cuisine savoureuse, authentique, sans dévier de la belle simplicité qui fait la réputation de la maison. Fidèle à la philosophie de l’établissement, le chef Legal travaille le produit pour qu’il puisse révéler sa plus belle expression. Yolaine : artiste à multiples facettes À part la qualité de sa cuisine, La Table de Yo se démarque par la qualité de son accueil. Il s’agit là de la première marque d’attention qu’un restaurant doit accorder à ses convives. Grâce à ses nombreuses années d’expérience dans la restauration, Yolaine Briec l’a bien compris et le maitrise à la perfection. Ainsi, avec aisance et simplicité, elle prend en main ses convives, habitués ou non, de façon à ce qu’ils se sentent comme chez eux. Douée avec les mots, Yolaine Briec est aussi dotée d’un esprit créatif. Pour preuve : elle s’est occupée elle-même de la décoration de son restaurant. Ce qui n’a rien d’étonnant puisque la propriétaire a envisagé, à un certain moment de sa vie, de se lancer dans la décoration. En outre, elle ne reste pas seulement spectatrice en cuisine. Elle est toujours là pour apporter son petit grain de sel au menu et veille au respect de la qualité des plats. ...
1,2 mètre pour 25 kilos à l’âge adulte… mais pouvant dépasser les 500 kg ! Pêché depuis plus de 5 000 ans, le thon rouge est l’un des poissons méditerranéens les plus prisés par les consommateurs. Il est notamment pêché à la ligne selon trois méthodes : la palangre, la canne et la traine. Bien que l’espèce ait été fragilisée dans les années 1990, sa pêche est aujourd’hui fortement encadrée pour garantir une exploitation raisonnée. Concernant le thon rouge, les avis d’experts scientifiques sont redevenus positifs, d’où l’action de la marque « Thon Rouge de ligne », qui souhaite apporter une information transparente sur ses conditions d’exploitation, afin de promouvoir ce produit exceptionnel et de rassurer les consommateurs sur la santé du stock et les pratiques de pêche. Un numéro de suivi sur Internet La marque collective Thon Rouge de ligne est le résultat d’une démarche volontaire de pêcheurs artisans battant pavillon français et pratiquant la petite pêche ou la pêche côtière, qui s’engagent à promouvoir de bonnes pratiques et une approche socialement responsable et biologiquement durable de la pêche au thon rouge. Pour le consommateur, Thon Rouge de ligne est la garantie que le thon rouge a été capturé à la ligne, avec respect et selon des pratiques visant à préserver l’espèce et son écosystème, aujourd’hui et pour l’avenir, ainsi qu’à garantir une qualité irréprochable du produit. « Nous plaçons l’homme au centre des activités maritimes pour consolider l’emploi et le développement économique local », préconise l’association VALPEM (Association pour la valorisation des produits de la pêche en Méditerranée) en charge de cette marque collective. « Avec un engagement sur la qualité, la fraicheur et la traçabilité de chaque poisson : navire, technique, lieu et jour de pêche.» Cette traçabilité complète est parfaitement accessible au consommateur : l’obligation de baguer le thon rouge ‒ sans quoi il ne peut être ni débarqué ni commercialisé ‒ permet d’obtenir un numéro d’identification unique qui figure à l’extérieur de tout emballage contenant du thon. En utilisant ce numéro, chacun peut retrouver les différentes informations concernant son poisson sur le site Internet www.thonrougedeligne.com ...
Présent depuis 1934, le Cornet d’Amour a su diversifier ses prestations afin de satisfaire une clientèle de plus en plus exigeante. Véritable institution reconnue pour ses glaces aux parfums surprenants, l’établissement a également intégré une partie restauration. Les fins gourmets y trouvent une large variété de mets qui savent agréablement enchanter les papilles. Un décor qui en met plein la vue Avec une capacité d’accueil à hauteur de 220 places, cet établissement dispose d’un espace suffisant pour assurer le confort de tous ses clients. La décoration toute en couleurs du Cornet d’Amour vous plonge dans un monde de fantaisie donnant libre cours aux imaginations les plus vives. Un décor pétillant avec différents styles de table vous attend pour garantir des moments fun entre amis ou en famille. Équipé d’une terrasse chauffée offrant vue sur la mer, le Cornet d’Amour revêt un cachet particulier. La proximité de la mer procure une sensation d’évasion et de plaisirs inédits. Une carte étonnamment variée et adaptée à tous les budgets Le Cornet d’Amour vous invite à déguster ses glaces artisanales dont le secret et le savoir-faire sont transmis de génération en génération. Tout est fait maison ! Savourez un mélange de saveurs déclinées en une cinquantaine de parfums tels que citron vert menthe ou fraise-basilic. Bien que le Cornet d’ Amour se soit illustré dans les glaces, l’établissement propose également à travers sa cuisine de brasserie des plats typiques de la région comme le welsh mais aussi des plats à base de poisson ou de viande. Les palais les plus exigeants sauront apprécier la qualité des produits frais et locaux qui entrent dans la composition des plats. ...
La cave coopérative Fonjoya est issue d’une fusion entre la cave Les vins de Saint-Saturnin qui existe depuis 1950 et celle de Saint-Félix-Saint-Jean. Elle compte à ce jour près de 130 coopérateurs qui partagent des valeurs communes et s’établit au total sur un vignoble de 800 hectares produisant chaque année 5 millions de bouteilles. En hommage à l’occitan Le nom de la coopérative témoigne d’ores et déjà de ce profond attachement voué à l’occitan. Fonjoya qui signifie littéralement source de joie marque son empreinte en prônant une identité intimement liée à la culture locale. Elle a notamment créé sa gamme de vins en s’inspirant des œuvres de Max Rouquette, un écrivain et poète considéré comme une figure de proue de l’occitanisme. Parmi les cuvées qui font honneur au travail de cet ancien natif du village de Saint-Saturnin-de-Lucian figurent « Les Bergers des étoiles » en AOP Languedoc Saint-Saturnin. Médaillé d’or au Concours des Vins de la Vallée de l’Hérault, ce vin rouge est issu d’un assemblage de grenache, de syrah et de mourvèdre avant de passer par un élevage en fûts de chêne dans leur chai souterrain. Il séduit pour ses arômes de petits fruits noirs, d’épices, de moka et de cuir ainsi que pour sa rondeur et sa longueur en bouche. Des cuvées de plaisir, gardiennes de leur terroir Installée entre les causses du Larzac et la plaine de l’Hérault, Fonjoya a la chance de profiter d’une mosaïque de terroirs; ruffes, schistes, sables, grès, argilo-calcaires et galets roulés qui lui permet de travailler une grande diversité d’appellations à savoir AOP Terrasses du Larzac, AOP Languedoc Saint-Saturnin, AOP Languedoc et IGP Pays D’Hérault Mont Baudile et IGP Saint-Guilhem-le-Désert. De ces terres bénies des dieux découlent des vins expressifs à tous les niveaux qui immortalisent la qualité des raisins. En AOP Languedoc Saint-Saturnin, les cuvées «Vins d'une Nuit» et «Les Oiseaux de l’Aube » font notamment la fierté de la cave. Un vin qui se décline en rouge, en rosé et en blanc. Fonjoya possède aussi quelques pépites en AOP Terrasses du Larzac à l’instar des cuvées « Tèrra Autentica », « Tèrra Libra » et « Tèrra Rebella ». ...
La vigne s’étend sur 33 hectares où s’épanouissent Pinot noir, Chardonnay et Meunier. En sus de cet espace, la maison Cattier acquiert dans les années 50 un clos de 2, 20 hectares, rare dans la région. Une cuvée porte son nom « Clos du Moulin » reflétant toute l’élégance de la parcelle, avec son assemblage de trois précieux millésimes. La cave centenaire est lotie sous la maison familiale, avec une capacité de stockage de 2 millions de bouteilles. Une saga familiale vouée aux vignes Le domaine Cattier, familial et indépendant, est aujourd’hui dirigé par Alexandre Cattier. Le sang des vignes bat le cœur de sa prestigieuse histoire, riche en événements et en émotions. Jean Cattier père, blessé pendant la Grande guerre, revient cultiver ses vignes en 1916 et commercialise ses premières bouteilles de champagne en 1918. C’est dans les années 60, que le domaine développe son activité et champagne Cattier devient un des plus importants récoltants manipulants de la Champagne. Dans les années 70, Jean-Jacques, fils de Jean Cattier fils, prend la relève et développe l’export en Europe et dans le monde, dès les années 80. En 2006, il lance une nouvelle marque « Armand de Brignac » qui sera consacrée « Meilleur champagne du monde » en 2010. Depuis 2011, c’est son fils, Alexandre, qui reprend les rênes du domaine après des études en Australie. Œnologue de métier, porté par son héritage, il oriente le domaine vers la culture raisonnée. Les Champagnes Cattier sont aujourd’hui certifiés Haute Valeur Environnementale (niveau 3, le maximum), et Viticulture durable de Champagne (VdC). L’art de l’assemblage et le respect de la terre se révèlent dans chaque opus du domaine. Des champagnes d’excellence à savourer comme on porte une coupe d’histoire à ses lèvres. ...
Une petite soif ? Laissez-vous surprendre par le goût inimitable des jus de fruits Elite naturel ! Parfaits pour toute la famille, ils sont à consommer sans modération. Un partenariat « juteux » Active depuis 1975, Elite naturel est une entreprise familiale de boissons implantée en Turquie. À partir de 2003, elle s’est lancée dans le bio et s’illustre rapidement dans le domaine. Devenue leader des jus de fruits bio, la société a acquis depuis une renommée mondiale. Une notoriété qu’elle a su développer en partenariat avec la société Colibri. Cette dernière étant l’importateur distributeur de la marque Elite naturel. Colibri dispose d’un vaste réseau de clients auprès desquels il peut promouvoir non seulement sa propre marque mais également les marques Elite naturel. « Colibri travaille avec 90 % des magasins bio de France, y compris des épiceries fines, des pharmacies et quelques restaurants », souligne Béatrice Claman, la responsable commerciale. Des produits toujours plus innovants Constamment à la recherche de nouveaux goûts à proposer aux consommateurs, Elite naturel ne cesse d’innover ses produits. Aujourd’hui, l’entreprise peut se vanter de disposer d’une riche gamme de jus bio aux saveurs surprenantes : cerise, pastèque, abricot, mulberry, myrtille, melon… autant de délices pour les papilles ! Béatrice Claman explique fièrement : « On arrive à proposer des jus extraordinaires qui n’existent pas en France. » Mais le produit « star » de l’entreprise reste sans conteste le jus de grenade bio. Une nouvelle variété a justement été lancée sous le nom de grenade « Pink ». Sa douceur et sa couleur rose naturelle offrent un réel plaisir pour les sens. D’un point de vue purement gustatif, les consommateurs apprécieront du 100 % pur jus, sans ajout de sucre ni d’eau. En outre, c’est « le seul jus de grenade équitable au monde », rajoute Béatrice Claman. Ce qui en fait un produit vraiment exceptionnel. ...
Après plusieurs expériences réussies dans la restauration notamment dans de nombreux restaurants indiens, Julia et Sanjeev Kumar ont choisi de s’installer à Vannes. Ce sympathique couple de restaurateurs accueille ses convives du mardi au dimanche soir, dans son nouveau restaurant indien Les Saveurs de l’Inde, situé rue Thiers. L’établissement séduit par l’authenticité des goûts et les senteurs de ses plats, en plus d’offrir un cadre chaleureux et une fourchette de prix plus que raisonnable avec « un ticket moyen abordable de 16 à 20 € par personne », nous souffle-t-on. Familles, couples et groupes d’amis aiment s’y retrouver pour partager un repas en toute convivialité. Une authentique cuisine indienne Aux Saveurs de l’Inde, « c’est surtout les plats du Nord et la cuisine traditionnelle indienne avec des plats végétariens et d’autres avec de la viande », décrit Julia Kumar. Pour conserver la nature des aliments et en relever le goût, les produits et épices utilisés en cuisine (riz basmati, principales épices…) sont pour la plupart « directement importés de l’Inde », tient-elle à préciser, avec toutefois quelques infimes produits du marché, mais toujours préparés selon les principes de la tradition indienne. Les plats de viande sont majoritairement composés de poulet et d’agneau, mais on y sert aussi des fruits de mer. Avec ses 7 plats végétariens et ses formules pour végétaliens, Les Saveurs de l’Inde accordent toutefois une attention particulière à tous ceux qui ne sont pas friands de viande. Une carte des desserts variée La carte des desserts du restaurant est aussi riche que rafraichissante, avec un large choix de mangomastani, de coupes maharani à la mangue fraiche (la spécialité de la maison), de glaces maison aux pistaches (kulfi) et de gajarhalua (gâteau de carotte au cœur d’amande)… Un vrai délice pour les palais. Le restaurant propose également une longue liste de délicieuses boissons atypiques de l’Inde pour accompagner idéalement les repas, allant d’une ribambelle de thés variés aux liqueurs de mangue, en passant par des bières et vins d’origine indienne, particulièrement appréciés des clients. L’art de la culture indienne en tableaux Le restaurant Les Saveurs de l’Inde aime aussi faire découvrir à ses clients et visiteurs de passage la beauté de la culture indienne et ses particularités. Pendant deux mois ont été exposés des tableaux de peinture inspirés de la culture indienne (mandalas) et autres œuvres photographiques de la talentueuse Yona Colette Pruvot, une artiste locale et professionnelle de la danse traditionnelle indienne. Un évènement qui a particulièrement marqué les esprits par son originalité et son authenticité. ...
Le Château Les Chaumes revêt une belle histoire. Un livre de comptes datant de 1833 atteste que la propriété produisait déjà du vin à cette époque. Son architecture typique des anciennes villas romaines, ses bâtiments en carré et son vignoble en coteau ont d’emblée séduit Robert Parmentier, qui en a fait l’acquisition en 1965. Après avoir replanté le vignoble, celui-ci confia le développement de l’exploitation à son fils Pierre. En 2014, Henri et Anne, deux autres enfants de Robert, décident à leur tour de reprendre la propriété. Un terroir propice à la culture de la vigne Le vignoble, d’une superficie totale de 23 ha, repose en grande partie sur un terroir présentant des sols argilo-calcaires. « C’est un terroir un peu difficile à cultiver, mais qui donne des vins très concentrés », explique Anne Parmentier, la gérante de l’exploitation. Ici, le merlot y trouve toutes les conditions favorables à son épanouissement. Il n’est donc pas surprenant de constater qu’il compose 60 % de l’encépagement. Viennent ensuite le cabernet (30 %) et le malbec (10 %). Ce dernier est planté sur deux parcelles de 1,60 ha, sur lesquelles il peut s’exprimer comme nulle part ailleurs. « Le malbec a beaucoup de caractère, ce qui permet d’avoir des vins très expressifs », nous indique notre interlocutrice. Une viticulture raisonnée Quand elle a repris l’exploitation, Anne Parmentier n’a pas hésité à recourir aux services de deux ingénieurs agronomes, qui lui ont apporté de précieux conseils, notamment sur la conduite de la vigne. Soucieux de préserver la terre et les vignes, le domaine opte pour des pratiques culturales qui respectent l’environnement. L’utilisation des produits phytosanitaires est limitée au strict minimum. « Je ne traite que lorsque c’est vraiment nécessaire », clame notre interlocutrice. Outre le travail du sol, l’enherbement alterné est aussi privilégié dans le but d’apporter des engrais naturels aux vignes. Tous ces efforts ont contribué à entretenir la bonne santé du sol. D’ailleurs, la gérante constate : « Quand je replante, je m’aperçois avec joie que mes sols sont vivants. » La recherche de la qualité Depuis une vingtaine d’années, le Château Les Chaumes réalise des vendanges mécaniques. La machine permettant de ramasser chaque parcelle à maturité et de rapporter les raisins plus rapidement au cuvier. Ceci évite l'oxydation et leur permet d'exprimer tous leurs arômes. Avant leur arrivée en cuve, ils font l’objet d’un tri manuel au cours duquel seuls les raisins présentant une qualité optimale sont sélectionnés. Côté vinification, la maison s’en tient à des schémas classiques. « Durant la vinification, j’évite autant que possible les manipulations et je n’effectue pas de filtrage après la fermentation malolactique » confie Anne Parmentier. Les vins reçoivent ensuite un élevage en fûts de chêne français et vieillissent entre 12 et 20 mois. Les vins du domaine Le Château Les Chaumes produit quatre cuvées d’exception qui sauront surprendre tous les palais. Deux d’entre elles se distinguent du lot, à savoir le Château Les Chaumes Malbec et le Château Les Chaumes Vieilles Vignes. Pour le premier, il s’agit d’un vin concentré, produit avec de petits rendements et dans lequel on retrouve toute la puissance du malbec. « Ce vin est atypique et possède pas mal de caractère », souligne la gérante. Par ailleurs, cette cuvée a la particularité de présenter un bouquet épicé, des arômes de violette et de réglisse. Un élevage en fût de chêne, avec 25 % de bois neuf, lui confère beaucoup d’élégance. Quant à la cuvée Château les Chaumes Vieilles Vignes, elle séduit par ses arômes de cerise noire et de framboise. En bouche, on note des arômes de violette et de réglisse. À la fois équilibré et concentré, ce vin a subi un élevage en fûts de chêne et dévoile des tanins fins. Enfin, gage...
À déguster sous forme de cocktail ou sec accompagné de glaçons, le cognac offre un jeu subtil d’alliances de saveurs pour plaire aux amateurs. La production de cette eau-de-vie constitue le cœur de métier de la Maison Chollet. À travers une expérience de près d’un demi-siècle, le fabricant réalise ses assemblages avec harmonie, tel un véritable musicien ou un peintre, révélant toute la quintessence d'un produit d'exception. Une passion familiale depuis 1952… C’est entre 1952 et 1960 que Jacques et Jeanine Chollet investissent dans l’achat de leur terrain, puis aidés par leurs enfants, ils construisent une distillerie pour produire de l’eau-de-vie. Leur fils Chollet Bertrand reprend le flambeau en 1995 pour s’occuper et gérer le vignoble puis en 2008 c’est au tour de Christophe Chollet et sa compagne Marie Berry de prendre en main la partie élaboration et commercialisation de l’entreprise familiale. Après quarante ans d’existence, la Maison Chollet n’a pas changé son mode de production. Négociée puis sélectionnée méticuleusement, l’eau-de-vie est vieillie en fût de chêne pendant plusieurs années. De ce procédé naissent le VS de deux ans, le VSOP de quatre ans, le XO de dix ans ainsi que l’Altesse âgée de quarante ans, un élixir noble et très recherché. Parmi les produits phares de la maison figurent Les Millésimes « qui sont rares et plutôt difficiles à produire, car nécessitant une traçabilité draconienne », nous confie Marie Berry, propriétaire. Le 3945 : un coup de cœur… À la question « Quel est votre produit ambassadeur ? », Marie nous cite sans hésiter son cognac 3945. Distillé dans de vieux alambics et vieilli en fût de chêne, ce nectar rare et précieux est issu de l’assemblage d’eaux-de-vie de Fins Bois des années 1938 à 1946. De belles caractéristiques qui lui confèrent puissance et caractère. Avec un goût boisé et une bonne tenue en bouche, le 3945 est le must-have pour les amoureux de bon cognac. Et comme la maison possède moins de 400 bouteilles, « seuls les plus chanceux pourront le déguster », déclare notre interlocutrice. ...
L’endroit a tout pour plaire ! Classé au patrimoine, l’établissement a trouvé refuge dans une ancienne brasserie, structurée d’un majestueux décor de boiseries de chêne. Philippe Chevrier, actuel gestionnaire des lieux, a voulu renforcer l’esprit traditionnel de la maison à travers une cuisine italienne… certes classique, mais rayonnante de saveurs. À la découverte de la cuisine méditerranéenne Le restaurant Marjolaine s’approvisionne auprès de fournisseurs italiens implantés en Suisse. Simple et raffinée, la « cuisine du soleil » se prépare à partir des produits de premier choix. Avec une carte assez flexible, la maison se fait un plaisir de sublimer les produits de saison. Philippe Chevrier a trouvé en Francesco Tedesco, un généreux chef turinois, idéal pour son restaurant italien ! Sa restauration met en avant les ingrédients typiques de l’Italie, à l’instar de la burrata, de la mortadelle, du salami, de la bresaola et, bien évidemment, les pâtes ! Au restaurant Marjolaine, tout est fait maison : spaghettis, raviolis, tagliatelles, linguine, paccheri et gnocchi de pommes de terre. Vous vous ferez un réel plaisir à la seule vue des linguine au homard, sauce tomate ou encore des spaghettis « alla carbonara ». Si vous aimez la viande, vous n’hésiterez pas à déguster le filet de bœuf « Molard » aux bolets et chanterelles avec son jardin de légumes, le tout rehaussé d’une appétissante sauce espagnole. Les enfants se régaleront avec une escalope « alla Milanese » qui s’accompagnera de la garniture du jour. Vous êtes végétarien ? No problemo ! Francesco Tedesco, chef de cuisine, propose le minestrone della « Mamma » comme entrée et un bon risotto aux artichauts servi avec du fromage de chèvre au citron confit comme plat principal. L’aventure culinaire se termine en beauté avec une marjolaine à l’orange, sauce vanille ou tout simplement en savourant un grand classique du répertoire italien : le tiramisu. Qui dit bon repas dit bon vin En matière de vins, l’établissement dispose d’une cave riche en références. En apéritif ou en accompagnement, la cuvée qu’il vous faut est disponible au restaurant Marjolaine. Le maitre d’hôtel Filippo Denise, alias « Pippo », vous aidera à choisir le meilleur accompagnement pour votre repas. L’établissement propose notamment des cuvées suisses, italiennes et françaises. Les vins suisses proviennent essentiellement de maisons genevoises comme Chasselas Domaine du paradis ou le Domaine du Clos des pins. Retrouvez également Les Vins de Philippe Chevrier. Cette fois, dans la peau d’un vigneron, notre chef présente des millésimes 2016 à base de sauvignons blanc et de sauvignon gris. Les vins de France sont représentés à travers des appellations renommées comme le bourgogne ou les côtes-du-rhône. ...
L’histoire du Château de Lacarelle commence en 1750, au moment où la famille Lacarelle en fait acquisition lors d’une vente aux enchères à Paris. Depuis, neuf générations de la famille s’y sont succédé. Actuellement, trois générations de la famille, menées par le couple Elisabeth Durieu de Lacarelle et Xavier Marraud des Grottes, s’attellent avec passion à perpétuer cette tradition de produire des vins de garde bio et raffinés. Adoption d’une agriculture durable Le sol du domaine de Lacarelle est pauvre naturellement et aussi peu profond. Il s’est donc avéré nécessaire pour la famille de préserver et protéger ce milieu naturel afin de pérenniser le terroir. Pour ce faire, elle a développé une méthode de culture à la fois durable et raisonnée. Les parcelles du domaine sont issues de la décomposition lente du granit, qui est très sensible à l’érosion. Par conséquent, l’exploitation entame chaque année de lourds investissements pour lutter contre ce phénomène. L’utilisation de produits phytosanitaires est mûrement réfléchie, chaque année, afin de réduire les impacts sur l’environnement. Toujours dans cette démarche, le Château de Lacarelle travaille en étroite collaboration avec l’Agence de l’Eau du Rhône, Méditerranée, Corse et ne rejette dans le milieu naturel que de l’eau à la qualité irréprochable. Dans un futur proche, le domaine envisage de se reconvertir à l’agriculture biologique : « une vingtaine d’hectares sont en bio, et on compte agrandir petit à petit, avec une dizaine d’hectares en biodynamie. A terme, le but est de maintenir toute l’exploitation en bio » souligne Elisabeth Marraud des Grottes, gérante du domaine. Chaque année, deux hectares de vignes sont replantés pour assurer la persistance du potentiel du vignoble dans le temps. Une belle sélection de vins Le Château de Lacarelle exploite en tout 138 hectares de vignes sur des parcelles situées sur les coteaux de Saint-Etienne-des-Oullières, Saint-Etienne-de-la-Varenne et Arbuissonas, dans l'aire d'appellation Beaujolais- Villages. Il s’agit de la plus grande exploitation familiale du Beaujolais. Chaque année, elle produit environ un million de bouteilles destinées principalement à l’export vers la Chine ou les Etats-Unis. Depuis toujours, le domaine se voue à produire des vins jeunes mais de qualité. A l’image de son « Château de Lacarelle Rouge » AOC Beaujolais-Villages. Ce vin de garde est issu de Gamay à 100% de 31 ans. Frais, léger et fruité avec des tanins souples, il se déguste avec des charcuteries, des fromages ou du chocolat. La production annuelle de ce précieux nectar est particulièrement importante car elle s’élève à 800 000 bouteilles. Le vin propose aussi un blanc issu à 100% de Chardonnay, le « Château de Lacarelle Blanc » en AOC Beaujolais-Villages. Ce vin de garde sec, fruité aux notes de miel, vanille et fleurs accompagne les poissons ou viandes blanches, fromages ou desserts. Le « Rosé de Lacarelle » est composé de 100% de Gamay et élaboré de façon traditionnelle. Il présente une robe saumon clair avec des bulles fines. Ce vin de garde a été récompensé d’une médaille d’or au Concours International Gilbert et Gaillard en 2015. Le « Château de Lacarelle Crémant de Bourgogne » est quant à lui est un vin brut sec, à la robe or pâle avec des fines bulles. Il se boit dans l’année avec du foie gras, du caviar et tous les desserts sucrés. Souvent récompensé, il a été couronné d’une médaille d’or au Concours International Gilbert et Gaillard 2015. ...
Découvrir des vins, savoir les déguster, pouvoir les acheter facilement sans frais de port : voici les 3 piliers de notre galaxie ouverte à tous les passionnés de vin. L’abonnement vin My VitiBox My VitiBox, spécialiste de la box vin, vous propose de recevoir chaque mois 2 bouteilles sélectionnées par Philippe Defleur, ancien sommelier du Palais de l’Elysée. Un livret vous fera découvrir le monde du vin et comment profiter au mieux de vos vins en optimisant le service et les accords mets et vins. Pour répondre à vos envies ou gâter vos proches avec un cadeau mémorable, vous avez le choix entre 4 formules : Mariage du Palais, Rouge passion, Invitation au voyage ou Pépites du Vignoble. Vous pourrez ainsi découvrir des vins plaisir, des vins découvertes, des vins étrangers ou encore des vins d’auteur. Vous pourrez ensuite racheter vos coups de cœur avec une réduction de 15 % ! A partir de 81 euros pour 3 mois, frais de port compris. Prodégustation : l’œnologie pour tous Depuis 17 ans, Prodégustation, n°1 des cours d’oenologie, vous accueille dans 18 villes de France pour découvrir pendant 2 ou 4 heures autour de 5 à 7 vins l’art de la dégustation. Votre guide dans ce voyage culturel et sensoriel est l’un des 20 formateurs, tous œnologues ou sommeliers de renom et ambassadeurs des grands terroirs de France. Vous aussi, rejoignez les 13 000 élèves formés chaque année par Prodégustation à l’analyse sensorielle, l’histoire viticole, l’art du service ou encore les accords mets et vins et bien plus ! A partir de 59,90 euros. Le Club Français du Vin : le vin simplement Pour profiter des meilleurs vins dans des conditions exceptionnelles, le Club Français du Vin a créé en partenariat avec Prodégustation la Carte Magnum, une offre unique pour l’achat de vins : vos frais de port offerts, des promotions permanentes sur une sélection de vins, des magnums offerts pour vos grosses commandes et bien d’autres avantages. La Carte Magnum est proposée pour 100 euros, valable 2 ans pour profiter de tous ces avantages et accéder à la sélection du premier Club d’amateurs de vins en France fondé en 1973. ...
Situé à 40 minutes au nord-ouest de Tours, à Courcelles-de-Touraine, le Château du Golf des 7 Tours est décrit par l'assistant de direction Florent Charcellay comme étant « un château du XVe siècle remanié au cours des différentes époques ». Son emplacement aux accords riches et harmonieux, fait ainsi du lieu un site privilégié qui porte tous les atouts de la séduction. Dans une invitation à la découverte, à la sérénité et au bien-être, le domaine constitue un véritable havre de paix aux associations bien pensées. Un cadre d’exception Le Château du Golf des 7 Tours est un « château en plein cœur de son propre golf 18 trous, sur une propriété de 78 hectares » comme aime l’indiquer Florent. Une propriété qui bénéficie d’un cadre d’exception « avec des bâtiments remarquables » ajoute-t-il non sans oublier de relever le fait que « le Restaurant gastronomique est situé dans la véranda panoramique climatisée du château » et que « la brasserie a pris possession de l’ancienne chapelle réformée du domaine face à la piscine ». Des aménagements bien pensés pour répondre aux attentes de la clientèle en quête à la fois de confort, de bien-être et de satisfaction. Entre gastronomie et tradition Le Château du Golf des 7 Tours est une structure à trois entités constituée par la Brasserie du Golf, le Restaurant Gastronomique et le Château en lui-même, dans une belle harmonie. À travers mille-et-une saveurs, la Brasserie du Golf est particulièrement appréciée pour sa cuisine traditionnelle française. Dans un parfait équilibre évoluant entre gastronomie et tradition, le Château du Golf des 7 Tours constitue un lieu d’exception où il fait bon poser ses valises pour gouter à la sérénité du moment, un petit coin de paradis au cadre idyllique qui vous fait si bien apprécier la nature et le bien-être, mais par la même occasion, vous fait aussi découvrir les subtilités et les talents culinaires du chef Alain le Rest qui aime réinterpréter la cuisine dans le respect du produit. Grande capacité d’accueil Le Château du Golf des 7 Tours a le privilège d’offrir une grande capacité d’accueil. Le restaurant gastronomique a une capacité de 36 couverts, le grand salon en banquet peut accueillir jusqu’à 80 couverts et la brasserie jusqu’à 25 couverts en intérieur et 40 couverts en terrasse. « Les animations ou autres ateliers se font sur demande » tient-il à préciser. C’est ainsi une structure qui peut accueillir de nombreux événements à la demande, selon les préférences de la clientèle intéressée. ...
Situé à Nevers, le restaurant Ô Puits fait partie intégrante du paysage de la gastronomie bourguignonne depuis plus de 30 ans. Il se démarque par son puits visible à l’entrée qui date du XIVème siècle. Selon la légende, les filles, y jetant une obole et faisant le vœu de trouver un mari dans l’année, se voient exhausser leur souhait. Dans ce lieu rempli d’histoire, le chef, qui a toujours voulu être cuisinier et avoir son propre restaurant au sein de sa ville natale, reprend l’établissement en 2009 dans l’unique objectif de partager une cuisine riche en saveurs. Cadre intimiste entouré d’un environnement généreux Ô Puits est disposé sur deux niveaux. A l’étage, la salle propose une vue imprenable sur l’Eglise Saint-Pierre. Dans un cadre intimiste, elle affiche un décor bourgeois et moderne aux couleurs claires et offre une capacité d’accueil de 40 places. A l’extérieur, la terrasse est entourée d’un grand jardin calme et se tient prête à accueillir une quarantaine de personnes lors de l’arrivée des beaux jours. Cuisine copieuse et inspirée Le chef Noël Lantier, sortant de l’école Hôtellerie de Château Chinon, a fait ses gammes dans des établissements étoilés. Ressentant l’envie de pouvoir créer librement ses plats, il décide d’ouvrir Ô Puits où il propose une cuisine de terroir mettant en avant son inventivité et son expérience. Effectivement, il revisite les plats traditionnels français préparés avec des produits frais et locaux. Sa cuisine est copieuse et conviviale. Jusqu’aux glaces et tuiles, tout est fait maison. Des plats nobles à volonté Il suggère une formule du jour avec au choix trois entrées, deux plats (poisson ou viande) et trois desserts. Dans sa carte, le Saumon mariné maison au chablis et la crème fouettée au citron est proposé en entrée. En plat de résistance, les noix de Saint-Jacques poêlées ou le ris de veau poêlé accompagné d’une sauce aux morilles reflètent noblesse et saveurs enivrantes. Le tout peut être suivi d’un plateau de fromages affinés et d’une salade ou d’un dessert tel que le moelleux au chocolat et glace Chococaramel et tuile au grué de Cacao. Les formules de 25 € et 32,50 € quant à elles mettent à l’honneur un filet de bœuf charollais, un filet de sandre et des brochettes de veau au romarin. N’oublions pas le menu « Ô Puits » qui fait voltiger les papilles des fins gourmets avec l’incontournable escalope de foie gras de canard poêlé ainsi que le pigeon en croute et au foie gras. Carte de vins qui donne l’embarras du choix La sélection des vins s’effectue directement chez les vignerons. De prime abord, la carte privilégie les vins de Loire et de Bourgogne mais elle dispose notamment des crus de la Nouvelle Zélande. Parmi les vins blancs de la Loire, le Menetou Salon 2014 du Domaine Clément amuse les papilles. Un autre vin blanc à ne pas écarter : le Bourgogne Mercurey 1er cru 2008 du domaine Maréchal qui peut accompagner les plats à la carte. Au rang des vins rouges, les convives peuvent trinquer avec un bon verre de Coteaux Giennois 2013 du domaine Langlois, médaillé d’or dans le concours agricole 2014 ou le Beaujolais Brouilly 2014 du Domaine A.Merle, récompensé par le guide Hachette. ...
Cette exploitation de 22 ha en conversion HVE (haute valeur environnementale) est dirigée par une équipe féminine avec, à sa tête, Marielle Tadieu, gérante des lieux. Des produits récompensés De ses vignes, la Ferme de Gagnet élabore un excellent floc de Gascogne, médaillé d’or de 2012 à 2018 au Salon de l’agriculture. De ses canards élevés en liberté, la ferme confectionne du foie gras de canard, du confit, des rillettes, des pâtés, des cous farcis, du cassoulet… Mention spéciale pour le foie gras, médaillé de bronze en 2016 au Concours agricole, à Paris. ...