En France, 11 millions d’aidants accompagnent au quotidien des personnes en perte d’autonomie. Ainsi investis dans le soutien de leurs proches, les aidants peuvent s'oublier et s'épuisent. Dans ces conditions, une pause s’avère primordiale. La maison de répit « Les Grands Monts » leur offre l’opportunité de se reposer et de se ressourcer au cours d’un séjour pensé spécialement pour eux. Une bouffée d’oxygène Créée en 2014, MBO2 est une association à but non lucratif dont la mission est d’organiser et de gérer la maison de répit « Les Grands Monts ». Il s’agit d’un établissement hôtelier situé à Megève, en Haute-Savoie. Sa particularité ? Offrir du répit pour les proches aidants et les personnes en perte d’autonomie. « Nous proposons une solution de répit pour les aidants, un séjour oxygène pour qu’ils puissent se reposer et prendre du temps pour eux », explique Malourène Cordier, chargée de communication. Considéré comme un enjeu de santé publique, le droit au répit est en effet officiellement reconnu en 2015 par la loi d’adaptation de la société au vieillissement de la population. Profiter des vacances ensemble Les aidants séjournent avec la personne en perte d'autonomie qu'ils accompagnent. Les Grands Monts permet de profiter sereinement de quelques jours de « vacances de ressources. » Cette maison de répit dispense pour cela un confort et des prestations dignes d'un établissement haut de gamme. En tout, une vingtaine de chambres adaptées et de suites spacieuses sont mises à la disposition des vacanciers. L’établissement dispose également d’un restaurant qui sert des plats concoctés exclusivement à partir des produits locaux. « Nous avons un chef qui veille à ce que les saveurs, la présentation et les textures des plats puissent stimuler les sens des convives », nous confie-t-on. Pour éveiller la curiosité, Megève a de quoi assurer un séjour stimulant aux vacanciers. Réputée comme étant l’une des plus importantes stations de ski de France, elle offre de multiples activités : ski de piste, ski de fond, handiski, balade à raquettes ou en chiens de traineau… En été, des randonnées et des promenades autour des lacs de la région peuvent être organisées. Enfin, le charme de Megève se découvre également à travers ses fermes et ses produits d’exception tels que le fromage. Outre ces prestations, l’établissement se démarque par sa capacité à offrir un service d’accompagnement pour les personnes en perte d’autonomie. Ce service appelé « La Belle Vire » est assuré par une équipe spécialisée qui propose de prendre en charge les personnes dépendantes pendant la journée. « L’avantage est de pouvoir venir ensemble et que les aidants puissent se reposer pendant que notre équipe prend le relais », rapporte notre interlocutrice. Les personnes en perte d’autonomie bénéficient ainsi d’un panel d’activités incluant des ateliers de création, des sorties ou encore des exercices physiques comme la gymnastique adaptée. En fin de séjour, un temps d'échange permet à MBO2 de proposer des pistes pour le retour au domicile. Un vrai engagement ! ...
C’est au sein de cette cité médiévale et viticole située sur la Route des vins que les Lichtle remontent la généalogie jusqu’en 1650. À Gueberschwihr, leurs descendants possèdent aujourd’hui un vignoble de 5,5 ha établi sur un terroir au climat sec et aux sols marno-calcaires. Sous un micro-climat spécifique, le domaine travaille les sept cépages alsaciens permettant de produire des vins en AOC Alsace, AOC Crémant d'Alsace, AOC Alsace Grand Cru et Vendanges Tardives (sélection de grains nobles). Des vins pas comme les autres Les œnophiles en quête de vins hors des sentiers battus trouveront leur bonheur chez Lichtle Benoît, notamment à travers leurs cuvées telle que L’Inattendu. Avec ses saveurs de fruits jaunes en pâte de fruit et ses arômes de citrons confits, ce vin accompagne à merveille la cuisine asiatique ou les poissons crus. ...
Au ReminiSens, on ne réserve pas pour manger. On bloque un créneau pour se laisser emporter dans une gamme d’expériences culinaires et culturelles, empreintes de magie, de voyage dans le temps. L’esprit de la maison réside justement en cela. Le temps d’une soirée, remonter aux fastueuses époques où Versailles était ville royale. Se divertir comme on l’eût fait alors, se délectant des saveurs fines d’antan, se laissant bercer par l’heureux babillage des « nobles » acteurs recréant les intrigues et anecdotes d’époque. Une capsule « hors du temps » pour une soirée d’exception Tenant boutique rue Baillet Reviron, au numéro 20, ReminiSens peut vite devenir un incontournable pour les férus de programmes exceptionnels. Dans une ambiance baroque, reconstituant l’esprit des appartements privés du temps des rois de France, l’on pénètre dans une capsule – hors du temps – où les yeux reçoivent les premières décharges. Caroline Masselin, conceptrice et source de cette inspiration inattendue, n’a rien laissé au hasard. Rideaux, lustres, appliques murales, chandeliers, tout est là pour recréer une atmosphère qui donne envie de s’abandonner, faisant fi des contraintes du moment. Les costumes d’apparat du personnel – également d’époque – ajoutent la touche finale pour vraiment propulser le visiteur dans le Versailles d’alors. Ces courtisans-acteurs divertiront la galerie, tout au long du dîner, par des saynètes reprenant des détails croquants de la vie à la cour. D’avance, l’on trépigne de curiosité alors que les papilles n’ont encore aucune idée des plaisirs auxquels le chef de la maison va les initier. Honneur au bien manger de l’époque Les tables de ReminiSens rendent un hommage vibrant à la gastronomie du temps où le Roi Soleil et Louis XV régentaient la France. Les menus, concoctés avec de sérieuses références historiques, célèbrent le potager, la chasse et la pêche. Il faut se laisser guider par la fibre de la Chef Marie Bin pour initier ses papilles aux mystères des gibiers comme l’on peut en avoir goûté à l’époque. Le potager se fait mine de saveurs royales quand elle propose la « Découverte de M. Parmentier ». L’on redécouvre les notes perdues de légumes comme le topinambour. L’on garde longtemps en bouche les délicats effluves de sa « Truite au champagne ». ...
Face à une offre de séjours linguistiques très polychrome, l’on se retrouve vite noyé. Pour cet organisme basé à Lille, le temps des packages préconçus qui font fi des vrais besoins des stagiaires est dépassé. Accompagnement et transparence sont au centre des services dispensés par cette institution qui bénéficie d’une validation à l’international et qui a été créé par un véritable expert des séjours linguistiques. Avant de lancer Idéalangues, Yohan Duchatelle a en effet vécu plus de 8 ans à l'étranger dont 7 en pays anglophones et a visité près de 45 pays. Une expérience qui lui permis de connaître plus en détail chaque destination qu'il propose aujourd'hui dans son agence. Des séjours anglophones d’immersion personnalisés Les prestations offertes par Idéalangues ciblent les étudiants mais également les adultes. Les aspirations profondes de ces auditeurs sont explorées à travers un entretien approfondi. Niveau, perspective métier, souhait de compétences à acquérir, tout est pris en compte pour orienter le stagiaire vers une école ou un programme spécifique. Les préférences en matière de localisation et de conditions de vie sur place sont même intégrées. Cette analyse des besoins est effectuée gratuitement. Plus généralement, l’accompagnement de l’organisme est décliné sous trois autres formules payantes : Confort, Confort+ et Duo. Organisation du séjour, inscription, démarches de visa, entre autres, viennent alors enrichir les services de base. L’organisation du transport et/ou l’organisation de stage en entreprise peuvent encore étoffer les prestations, dans certaines formules. Un réseau de partenariat élargi À ce jour, Idéalangues collabore avec près de 250 écoles à travers le monde. Elles sont implantées, pour la plupart, dans des pays où le fondateur a lui-même déjà fait un séjour. Cette bonne connaissance du terrain est effectivement proposée comme un bonus quant à la garantie de qualité des offres recommandées par l’enseigne. Celle-ci a, en outre, la particularité d’afficher des preuves d’accréditations internationales telles que English UK. « Je suis le seul agent français accrédité par Business English UK, ce sont des écoles spécialisées en anglais des affaires », rajoute Yohann Duchatelle. Membre du réseau Quality English et accréditée IALC (Association internationale des centres de langue), l’enseigne a également obtenu de nombreuses distinctions pour son travail. Elle a notamment été récompensée au Canada par un Premier Agency Business Awards au titre de meilleure nouvelle agence, en 2013. ...
Comment est née l'aventure E. Jamart ? Karine : Dans les années 30, Émilien Jamart, boulanger, a acquis un bâtiment. C’était une ancienne exploitation viticole, qui avait gardé toute sa configuration, notamment son pressoir. De grandes récoltes se sont succédé. Les vignerons du village ne pouvaient plus monnayer les prestations de pressureur. Ils ont laissé le vin à Émilien Jamart, mon arrière-grand-père, qui s’est retrouvé en possession du stock. Nourri de sa passion du vin, transmise par son beau-père, caviste chez Moët & Chandon, il a vinifié, puis est devenu marchand de vin. Au fur et à mesure, il a acquis des vignes. Et il a créé la société en 1936. Comment se déroule la vinification ? Karine : La vinification se fait en cuve béton carrelé. S’ensuit la fermentation alcoolique et malolactique naturelle, sans passage au froid, pour conserver tous les arômes. À la propriété, nous réalisons toutes les étapes, de l’embouteillage à la conservation dans nos caves. Concernant les cuvées, trois gammes sont disponibles. D’abord, les Intemporelles ! Ces assemblages font la signature de la maison. Ils la caractérisent depuis son origine. Ils vieillissent sur lies au minimum deux ans. Ensuite, nous avons une gamme de vins de prestige, appelés les Exceptionnelles, des millésimes qui sont conservés au minimum cinq ans sur lies. Ils ont le temps de développer tous leurs arômes et toute leur complexité. Trois types de vins dans cette gamme : le blanc de blancs, le blanc de noirs, et également une cuvée, qui est notre cuvée premium, appelée la trilogie, avec un assemblage des trois cépages champenois. Des événements prévus pour cette année 2017 ? Karine : Cette année, nous participons à des salons partout en France. Nous organisons aussi au domaine un week-end portes ouvertes, avec une bourse aux capsules. ...
Sous la houlette d’Éric Violette, qui est à l’accueil, et son chef cuisinier écossais. La cuisine Faite Maison de ce bistrot chic se déguste dans une ambiance conviviale et amicale. La petite anecdote des lieux concerne son nom Aux 24 Colonnes, qui s’inspire de la proximité avec le Palais de Justice du Vieux Lyon. Une cuisine gourmande dans un cadre authentique Implanté dans le quartier du Vieux Lyon, classé au patrimoine mondial de l’humanité, Le Bistrot du Palais offre un cadre authentique et original, puisqu’il est installé dans une ancienne écurie de la primatiale Saint-Jean-Baptiste, qui date de 1388. Tous les matériaux du bâtiment sont faits uniquement en matière naturelle, avec du bois ou de la pierre. Rien que son plafond à la française du début du XIXe siècle mérite amplement le détour. La salle affiche un décor traditionnel et élégant. Les grandes banquettes, les tables et les chaises en bois donnent tout son cachet à cet espace intérieur. Les nombreuses surfaces vitrées donnent l’impression d’agrandir les lieux tout en conférant un air chic et rétro au restaurant. Les spécialités lyonnaises à l’honneur Le restaurant prône une cuisine faite maison, élaborée avec des produits frais et de saisons. Toutes les matières premières sont fournies par des professionnels de la région comme la charcuterie Bobosse, la fromagerie de la Mère Richard, le glacier Nardone ou le pain des Jacobins. Elles permettent au chef d’élaborer de nombreux plats gourmands qui ravissent les palais. Ici, pas de menu. Seule une carte constituée de nombreuses spécialités lyonnaises est proposée. Celle-ci change tous les 3 mois, à chaque changement de saison. Tous les plats, même les spécialités de la région, sont revisités à la façon 24 Colonnes et font la réputation du restaurant. En entrée, les convives se délecteront d’une gratinée lyonnaise, de l’œuf meurette ou d’une salade lyonnaise à base de 5 variétés de salades, de lardons, de croûtons et d’œuf poché, ou encore du Claqueret. En plat de résistance, place à l’andouillette « Bobosse » à la Beaujolaise, le blanc de Poulet de Bresse farci au boudin noir et jambon cru, la Quenelle aux queues d’Ecrevisses. Pour les desserts, la tarte pralinée, le cake à la rhubarbe et aux amandes, le soufflé au chocolat achèvent le repas en beauté. ...
Moins sucrés qu’un soda et plus savoureux que de l’eau : testez la kombucha 100% naturelle de Jubiles. La Kombucha : la nouvelle boisson tendance Aujourd’hui, quand vous ne voulez pas boire d’alcool, vous avez le choix entre des boissons (trop ?) sucrées ou de l’eau. La kombucha se positionne parfaitement entre ces deux catégories ! Originaire de Chine et consommée là-bas depuis des milliers d’années, vous découvrez une boisson naturelle qui s’obtient à partir de fermentation de thé au moyen de souches de kombucha. Jubiles les aromatise ensuite avec des jus frais réalisés dans son atelier afin de proposer des recettes aussi légères que succulentes. Par exemple : thé noir citron vert menthe, thé vert pomme curcuma et thé vert citron gingembre. Légèrement pétillante et réputée pour fournir de nombreux bienfaits au corps humain (renforcement du système immunitaire, amélioration de la digestion, effet anti-inflammatoire, etc.), elle répond aux besoins et envies de tout le monde. Mais ce n’est pas tout ! Car Jubiles propose aussi des jus de fruits et de légumes bio conservés dans des bouteilles bio dégradables (fabriquées à partir de résidus de canne à sucre). Pour essayer, rendez-vous dans un magasin bio près de chez vous (toutes les adresses sont sur le site) et achetez votre boisson en format snack de 25 cl ou en bouteille de 75 cl. Jubiles : une jeune entreprise éco-responsable La création de Jubiles remonte à 2017. À l’origine du projet, 4 personnes : Alexandre, Claire, Antoine et François. Comment leur est venue l’idée de cette boisson ? Ce sont les problèmes de santé d’Alice, la mère d’Antoine, qui sont à la base de tout. En effet, pour dépasser cette épreuve, celle-ci a modifié ses habitudes alimentaires et s’est mise à consommer quotidiennement des boissons brutes qu’elle réalisait elle-même telle que la Kombucha. Et les résultats furent surprenants. Le quatuor décida donc de passer à l’étape supérieure en proposant cette boisson au grand public tout en sensibilisant à l’impact d’une bonne alimentation sur la santé. Mais, là où le petit groupe innove, c’est dans leur charte qualité. Proposée en toute transparence sur leur site, on observe que chaque étape de production est pensée pour avoir un impact minimal sur l’environnement. Du procédé de fabrication utilisant des ingrédients biologiques de première qualité à la distribution en voiture électrique : tout est réfléchi en amont pour garantir un processus le plus durable possible. A ce titre, Jubiles met actuellement en place une démarche RSE afin d’obtenir l’agrément Bio ED (Bio entreprise durable) mis en place par le Synabio. Prochaine étape de l’entreprise : multiplier les partenariats et, surtout, approfondir la connaissance et le procédé de la Kombucha en s’impliquant dans un programme de recherche. ...
À travers ses nouveaux plats concoctés tous les jours, C’du Jardin a de quoi surprendre ses invités tout en leur faisant vivre une expérience culinaire unique. Un concept original Restaurant de l’enseigne Bio c’ Bon, C’ du Jardin ouvre pour la première fois ses portes, en 2016, dans la ville de Boulogne. Est-il nécessaire de souligner que Bio c’ Bon est une enseigne qui ambitionne de rendre le bio accessible à tous ? Pour ce faire, elle dispose de nombreux magasins en France mais aussi à l’étranger. D’ailleurs, tous les produits utilisés par le restaurant C’ du Jardin viennent de Bio c’ Bon. « Le restaurant est communicant avec le magasin », explique un responsable. À l’intérieur, les convives peuvent, selon leurs envies, s’installer au coin bistrot ou au bar à sandwich et salade. Un cadre des plus attrayants Le restaurant C’du Jardin accueille ses invités dans un décor convivial. Ici, le style est plutôt contemporain et empreint d’une touche d’originalité avec de nombreux bocaux et bouteilles en verre suspendus qui font office de luminaires. Un mélange de sobriété et d’élégance transparaît dans les lieux. Les mobiliers comme les chaises et tables épousent des contours arrondis. Le bois et le verre s’alternent et se marient harmonieusement pour créer une ambiance particulière. Un restaurant pas comme les autres Chez C’ du Jardin, les invités ne se contentent pas d’attendre tranquillement d’être servis. Ces derniers sont les artisans de leur « Bionheur » ! Le bar à salade se prête au jeu en permettant aux convives de composer leur salade parmi plus de 40 ingrédients bio. Ils peuvent également préparer eux-mêmes des sandwichs sur mesure. Ils choisissent le pain, la charcuterie et le fromage à la coupe. Pour accompagner idéalement leurs salades et leurs sandwichs, il est conseillé de prendre une soupe bio du jour et des smoothies. À consommer sur place ou à emporter, c’est selon la préférence de chacun ! Côté bistrot, tout est fait pour que les convives se sentent comme chez eux. Les entrées et les desserts circulent sur un tourniquet afin de faciliter les choix. Passer au C’ du Jardin, c’est retrouver le plaisir de déguster des plats qui changent tous les jours ! Même si des plats tels que des burgers végétariens ou des plats au saumon ou au poulet reviennent quotidiennement au menu. Pour ceux qui sont sujets à des intolérances ou ceux qui ont adopté une alimentation spécifique, pas de panique ! C du Jardin a pensé à tout et propose des alternatives véganes et sans gluten. Les produits utilisés sont de qualité, provenant essentiellement de l’agriculture biologique. Ils sont cultivés ou fabriqués selon des principes respectueux de l’homme et de l’environnement. Depuis peu, avec C’ du Jardin Boulogne, il est aussi possible de passer une commande en ligne. Au cas où le consommateur n’aurait pas le temps de passer la récupérer sur place, le restaurant assure la livraison. De plus, sur le site de Bio c’ Bon, les plus curieux peuvent retrouver des conseils ainsi que de délicieuses recettes pour se familiariser avec les produits bio. ...
Des formes de collaborations multiples entre le monde socio-économique et le CNRS Les modalités de collaborations entre un industriel et le CNRS sont nombreuses et s’adaptent à tous les besoins des entreprises des grands groupes aux PME et start-up au travers d’accords-cadres autour de programmes de recherche, de laboratoires communs, de contrats de recherche ou d’expertise, d’accompagnement de start-up, d’encadrement commun de thèses CIFRE ou encore de formations courtes de haute technicité. En effet, qui, mieux que les personnels des laboratoires du CNRS et de ses partenaires, peut informer sur les dernières avancées scientifiques mais aussi sur les technologies expérimentales de pointe, sur l’intelligence artificielle ou encore sur les phénomènes sociétaux qui impacteront nos usages économiques et plus largement comportementaux ? Où, mieux que sur des plateformes de recherche, peut-on apprendre et mieux comprendre ? Dans ce cadre, la formation continue joue un rôle clef et répond à une demande croissante des industriels : CNRS Formation Entreprise forme plus de 1600 stagiaires chaque année dont la moitié issus d’entreprises et environ 20 % du secteur public non académique. Des formations adaptées aux besoins des filières industrielles CNRS Formation Entreprises adapte chaque année son offre aux besoins du monde socio-économique. Cette année, son catalogue de formations répond aux priorités nationales et aux enjeux des filières industrielles énergie, automobile, eau, cosmétique, électronique et santé. Pour 2022, CNRS Formation Entreprises propose aux ingénieurs, chercheurs, techniciens des secteurs privés et publics plus de 230 formations de haute technicité. Ces formations sont dispensées partout en France, par les personnels de la recherche des 1100 laboratoires du CNRS et de ses partenaires ; la pédagogique s’appuie sur l’apprentissage par la manipulation d’équipements ou de données et sur les échanges interactifs entre personnels de la recherche et professionnels apprenants (en petits groupes). La qualité des apprentissages est privilégiée, en exploitant les nouvelles modalités pédagogiques offertes par les technologies numériques. Pour plus de flexibilité, des formations sur mesure Les formations intra-entreprise peuvent être une solution pour faire monter en compétences une équipe ou répondre aux besoins de collaborateurs travaillant dans différents services d’une même entreprise. Ces formations peuvent être adaptées à partir d'une formation existant au catalogue ou bâtie sur un programme sur-mesure défini par l’entreprise avec l’équipe pédagogique du CNRS qui identifiera l’expert ou les experts les plus à même de répondre au besoin de la société cliente. Depuis la crise sanitaire, les demandes concernant ce format intra-entreprise sont croissantes. Ces formations dispensées dans les locaux de la société cliente présentent de nombreux avantages : pas de déplacement des collaborateurs qui sont absents sur une durée moins longue ; flexibilité sur les dates de la formation. A la demande de la société cliente, ces formations intra-entreprises peuvent également avoir lieu dans un laboratoire du CNRS. Dans tous les cas, les collaborateurs sont regroupés autour d'un thème commun, plus ciblé et personnalisé créant une dynamique de groupe voire une cohésion d'équipe ! ...
Tout commence dans le sud-est de la France, à Saint-Émilion, connu pour ses propriétés viticoles et son microclimat rare. La Famille Sadel décide alors de s’y approprier une parcelle de vigne pour produire son propre breuvage. C’est en 2014 que l’extension s’effectue jusqu’en Côtes-du-Rhône. Qualité et noblesse définissent le mieux le travail de cette famille qui n’en est qu’à ses débuts… Le rouge, tout un savoir-faire La Famille Sadel produit en majeure partie du vin rouge sous les appellations Lalande de Pomerol, Montagne Saint-Émilion, Gigondas, Vacqueyras et Côtes-du-Rhône. La principale exploitation se trouve en région bordelaise et s’étend sur onze hectares (60 % cabernet franc, 10 % cabernet sauvignon et 30 % merlot). Les grandes cuvées y sont produites, à l’exemple de la cuvée Alexandre 2012, un mélange de cabernet franc et de merlot, assez riche en bouche et très fruité (cerise, fruits confits, chocolat). Ce vin possède un potentiel de garde pouvant aller jusqu’à quinze ans. La Famille Sadel intervient également dans la production de rosé et de blanc, tous issus de vignes différentes (Côtes-du-Rhône, Macon Charnay, Côtes-de-Provence). Tout juste arrivé et déjà apprécié Preuve de la qualité et du savoir-faire de cette jeune famille vigneronne, la production annuelle compte jusqu’à 100 000 bouteilles. Les États-Unis, l’Angleterre, la Russie et la Chine font partie de ceux qui apprécient le plus les vins SADEL à l’étranger. Il n’en est pas moins pour la France, qui reste le premier consommateur et meilleur producteur de vin au monde. ...
Bien loin des préjugés, le parcours de Charline Prunier, fondatrice du bureau d’études WENES STAND, est un bel exemple de réussite à la française. En 2007, à seulement 23 ans, elle crée l’agence WENES STAND. Cette toute jeune femme s’engage alors dans une aventure qui n’est pas près de s’arrêter ! Historiquement parisien, le groupe ouvre une seconde agence à Lyon en 2012 sous l’impulsion de sa fondatrice. Puis, pour fêter les dix ans du groupe, une troisième, en 2017 à Nantes. Toujours à l’écoute de ses clients, leurs besoins ont dessiné le groupe Ce désir de placer les besoins de ses clients au centre de la construction du groupe imprègne son évolution. Originellement dédié à la réalisation de stand sur-mesure, c’est le développement de nouveaux besoins client qui a poussé WENES GROUP à créer deux entités : WENES EVENT & WENES AGENCEMENT. Ces deux entités répondent, chacune à leur manière, au développement de l’image d’une marque. WENES AGENCEMENT est dédiée à la réalisation de showroom, bureau, conciergerie ou corner commerciale. WENES EVENT est spécialisée dans la réalisation de structures destinées aux opérations de street-marketing (pop-up store, roadshow ou stand en extérieur). La création de marques dédiées, à contre-pied des conventions du secteur, a fait ses preuves ! En dix ans d’existence, le groupe se place dans le top des agences françaises, avec un chiffre d’affaires de 5.2 millions € en 2017. L’agilité, marque de fabrique de WENES STAND Au fil des ans, le groupe a su s’attacher des marques de renom : • les marques Beko & Grundig dans le secteur de l’électroménager • la marque Giraudi & le label Pays d’Oc en agroalimentaire • les compagnies d’assurances Allianz & Liberty La diversité des secteurs d’activité s’explique par l’agilité dont fait preuve l’équipe. Le soin apporté à la compréhension du secteur d’activité et aux besoins spécifiques d’une marque permet à l’agence d’imaginer des projets innovants, répondant parfaitement aux attentes des exposants. Cette approche sur mesure est la signature du groupe. Ces dernières années, les objectifs ont évolué et les besoins liés aux expositions se sont multipliés. Toujours à l’écoute des exposants, l’agence a créé un nouveau service dédié à toutes les exigences annexes : le service 360°. L’idée ? Offrir un service qui englobe les services satellites propres aux expositions et ainsi libérer l’exposant de toute contrainte. Ce service peut aller de la gestion des invitations salons, à la création d’animations sur stand, ou encore l’organisation de cocktail post-salon. Le savoir-faire des agences s’exporte au-delà des frontières ! Habituée des salons internationaux, l’agence accompagne ses clients dans toute l’Europe. Allemagne, Angleterre, Pays-Bas, les centres d’expositions européens n’ont plus de secret pour elle ! Deux avantages non négligeables pour les exposants français : la facilité de gestion de projet grâce à une proximité géographique et un interlocuteur français. ...
Le restaurant D’Eux-Mêmes garantit à ses hôtes de jolies découvertes culinaires rouennaises. Inspirée de l’esprit Escoffier, la cuisine respecte le gout authentique des produits frais. David Oper et Amélie Tessier, propriétaires du restaurant et du bistrot gourmand, soutiennent : « La cuisine est instinctive et ludique. Le produit est la star car notre philosophie c’est de dénicher un produit local d’exception ! ». Au restaurant, une carte audacieuse, des produits frais et des prix attractifs séduisent les gourmets. Aux Halles : l’esprit marché Aux Halles, Ici, c’est comme au marché, un même lieu pour savourer plusieurs ambiances : cave à vins, boucherie, terre et mer, et aussi espace boudoir et salon privé. Une salle privative dédiée au rugby reçoit les sportifs pour la troisième mi-temps mais aussi pour les clients d’affaire. Fauteuils en cuirs, tables et sièges colorés, le décor des Halles by D’Eux-Mêmes est une invitation aux moments festifs et conviviaux. Côté cuisine, les mets sont riches de saveurs. Spontanéité et inventivité sont les lignes de conduite du chef. On y goute sa spécialité : le fish and chips. Les merlans en colère, voutés et alignés en cercle, sont panés. Au milieu, se nichent des frites croustillantes. Côté boucherie, les amateurs apprécient les déclinaisons de jambons basques ou normands. Les pièces sont de qualité : iberico ou bodega reserva, avec 24 à 60 mois d’affinage. Une spécificité maison : thon, saumon et canard sont fumés à la sciure de bois à l’intérieur de la cuisine. En bref, aux Halles, c’est ici, que l’on sirote un mojito glacé ou une sangria rosé et que l’on croque de bons tapas, tout en bavardant entre copines. Les amateurs de vins s’accoudent au bar, et dégustent un des crus sélectionnés avec soin. Restaurant D’Eux-Mêmes : jeux de saveurs Au restaurant, fraîcheur et originalité sont maîtres-mots. « On s’inspire des voyages autant au niveau de la décoration comme de l’assiette » sourit David Oper, propriétaire des lieux. Les produits du terroir sont choisis avec soin par le chef. Les fournisseurs sont des producteurs locaux pêcheurs du Havre, éleveurs de Normandie. Les plats d’inspiration normande enchantent les papilles. En entrée, dégustez le foie gras de canard mi-cuit en terrine, assaisonné aux grains de café torréfiés, le chef présente un accord délicat de sucré-salé. Le pressé d’épaules et de pieds de cochons normands est un plat réputé du pays. Ici, le chef l’arrose de vin rouge et le sert à la façon d’une terrine, agrémenté d’une sauce à la moutarde de violette. En plat principal, on choisit la côte de bœuf frottée finement à la fleur de sel avec ses pommes de terres montées au beurre frais. Côté mer, on goûte le pavé de cabillaud snacké au beurre ½ sel, étuvée de poireaux aux coques, émulsion au lard fumé légèrement iodé. Les curieux la saint jacques raidies à la plancha, betterave en déclinaison de textures et de saveurs, quelques gouttes d’hules de noisettes. En dessert, optez pour une des créations originales du chef : parfait glacé à la clémentine, copeaux de chocolat noir, jus de clémentines réduit aux clous de girofles ou bien un biscuit moelleux à l’amande et chocolat blanc, fine compote de pommes à la vanille bourbon et sa glace. Tout chocolat : palet chocolat a l’ariaga noir, crémeux au miel de fleur et cacao, glace chocolat une douceur pleine de sensualité. La carte des vins propose une sélection variée avec quelques crus bourgeois. Amoureux du gout du « vrai », le chef met à l’œuvre dans l’assiette l’esprit D’Eux-Mêmes : des produits frais, une cuisine spontanée pour le plaisir des sens. Le Restaurant D’Eux-Mêmes est continuellement à la recherche d’artistes locaux afin de vous proposer un endroit toujours en mouvements. Le Restaurant propose régulièrement des animations ainsi que ...
Pouvez-vous nous rappeler ce qu’est la transition « enfant-adulte » dans le contexte des maladies rares ? Le terme de transition désigne un processus visant au passage des services de pédiatrie aux services adultes. Dans le cas des maladies rares, les patients sont suivis en pédiatrie depuis leur naissance, voire même avant. Pour la plupart d’entre eux, ce passage sera donc vécu comme une véritable séparation du milieu hospitalier pédiatrique sécurisant. C’est l’une des raisons pour lesquelles la transition est une étape d’une grande importance. Toutefois, il ne s’agit en aucun cas d’effectuer cette transition de manière automatique, une fois la limite d’âge atteinte. Au contraire, le relais de la prise en charge des services pédiatriques vers les services pour adultes doit se faire très progressivement. Il est important que le jeune se sente prêt et qu’il ait acquis la maturité nécessaire. Personnellement, c’est un sujet que j’aborde avec mes jeunes patients vers l’âge de quatorze, quinze ans. Avant, cela leur paraît trop lointain. Le passage des soins pédiatriques vers les soins pour adultes est-il redouté par les patients ? Oui, c’est souvent le cas. Comme je l’évoquais, certains patients vivent ce passage comme une séparation. Pour autant, même s’il s’agit bien d’une séparation, elle ne doit pas être vécue comme une rupture mais au contraire comme une étape d’évolution, de progression du jeune dans sa prise d’autonomie avec sa maladie. Si le jeune patient le souhaite, le contact avec les équipes pédiatriques est maintenu. J’ai des patients de 25 ans passés qui me donnent régulièrement de leurs nouvelles. Il est aussi important de préciser que la décision de quitter les soins pédiatriques pour les soins adultes n’est pas toujours ‘’subie’’ par le jeune. Il arrive, en effet, qu’au moment de la transition, des patients soient demandeurs car ils se sentent prêts à franchir ce cap, et qu’ils ont compris que cela leur serait bénéfique. A nous de juger s’ils ont raison, et le plus souvent, ils ne se trompent pas. En tant que parent, il arrive un moment où l’on sent que nos enfants sont prêts à quitter le nid, à prendre leur autonomie. Parfois même, ils le demandent. Il faut alors accepter cette décision de se séparer, car c’est pour mieux progresser. Dans mon exemple, on voit bien que la séparation est finalement difficile tant du côté des parents que de celui des enfants. Eh bien, dans le cas de la transition « adolescent-adulte », c’est la même chose. La séparation est difficile pour le patient mais elle l’est tout autant pour les soignants qui se sont occupés de lui depuis sa naissance. L’adolescence est une période de transformation (physique, psychique, affective, sexuelle…). En quoi la maladie rare peut-elle compliquer les choses ? Dans le cas d’une maladie chronique comme l’asthme ou le diabète, par exemple, un adolescent peut trouver d’autres personnes qui ont la même pathologie que lui. Bien sûr, cela ne le consolera pas mais il se sentira moins seul et pourra échanger avec ses pairs sur ses difficultés. Dans le cas d’une pathologie rare, même s’il est très entouré, le patient se sent bien souvent isolé. Parfois même rejeté. Et ce sentiment de solitude est souvent renforcé à l’adolescence. En plus des contraintes liées au suivi, au traitement etc… , les maladies rares infligent au jeune une ‘’double peine’’. En effet, à la transformation physique qui s’opère à la puberté viennent parfois se greffer des transformations physiques, voire un handicap, liés à l’évolution de la maladie. C’est difficile à assumer pour un ado… L’adolescence est un âge où l’image de soi revêt une importance disproportionnée. D’ailleurs, les médias véhiculent trop souvent des images stéréotypées du corps. Les patients dont je m’occupe ont des problèmes d’incontinence. Ce n’est pas le genre de choses que l’on confie facilement d’une façon générale, et encore moins à cet âge-là… Leur pathologie les marginalise encore davantage. Certains patients vont parfois jusqu’à se déscolariser pour éviter le regard des autres et les moqueries. Ils ne voient plus les personnes bienveillantes autour d’eux, et s’isolent encore plus.En quoi la phase de transition doit-elle faire l’objet d’un surcroît d’attention de la part des médecins mais aussi de la famille du patient ? Parce que le risque d’une rupture du parcours de soin, avec les conséquences parfois dramatiques que l’on connaît, est bien réel. Le risque que le patient décide d’arrêter de se faire suivre est clairement amplifié à l’adolescence. De plus, c’est le plus souvent à l’adolescence que le patient va réaliser que, finalement, il ne guérira jamais. Jusque-là, je dirais que d’une certaine façon, le doute persistait : peut être n’y aurait-il pas de suite une fois « devenu grand » ? Lui parler de son suivi adulte, lui présenter les équipes qui vont prendre le relais, c’est lui confirmer qu’il y a bien une suite, que la maladie va durer. À vie. La transition n’est qu’un passage, la mal...
Codataschool a été créé en 2017 à l’initiative de Laure Bourgois, docteure en Intelligence Artificielle (IA Symbolique et simulations). Cet organisme propose plus de 50 formations axées sur le Big Data, l’Intelligence Artificielle et le développement Web. L’offre s’adresse aussi bien aux professionnels, à l’instar des développeurs, qu’aux chefs d’entreprise. C’est après son parcours d’enseignante à l’université dès l’âge de 23 ans et ses 18 ans d’expérience en recherche et développement (France Telecom R&D, IFSTTAR et autres organismes publics et privés) que Laure Bourgois, 42 ans, a créé Codataschool. « Nous élaborons nos formations selon les besoins du marché des entreprises. Nous permettons aux ingénieurs et aux décideurs d’intégrer l’IA dans leurs applications afin de créer des services innovants à forte valeur ajoutée », déclare d’entrée de jeu la fondatrice pour souligner les particularités de son offre. Elle constate : « La formation est non plus un stock (auparavant un ingénieur était titulaire d’un bac + 5 et ce diplôme constituait une assise pour la vie entière) mais un flux : il faut se former en permanence. Le but de ces formations est d’améliorer votre compétitivité grâce aux nouvelles technologies. L’or de demain, c’est la donnée à extraire et à structurer. » Modulables, ces formations peuvent s’adapter également à tous types de profils, débutant comme expert. Plus de pratique Chacun des 3 domaines (big data, IA, développement Web) intègre différentes thématiques de formation. En développement Web, l’apprenant est formé, par exemple, au développement Front End et Back End, deux outils essentiels et complémentaires. Autre exemple, dans le domaine du Big Data, l’étude des concepts et outils issus du Machine Learning occupe une part assez importante, étant donné la corrélation existante entre ces deux technologies. Codataschool propose des formations appliquées en IA Symbolique, Traitement Automatique des Langues Naturelles, Outils de simulations et Internet des Objets (IOT). Chez Codataschool, les formations se déclinent sous différents formats, en fonction des besoins des apprenants. Mis à part le format séminaire dédié aux chefs d’entreprise, tous les autres formats (module, projet, accompagnement) privilégient la pratique. Petite nouveauté : l’organisme suggère un format challenge dans lequel les concepts et les technologies sont assimilés via des sprints. Trois valeurs Codataschool s’est construit autour de trois valeurs que sont l’égalité des chances, l’intégrité et le bien commun. En considérant le numérique comme étant un vecteur d’ascension sociale, l’organisme s’attelle à promouvoir l’égalité femmes-hommes. « Il y a des femmes qui excellent dans le domaine de l’Intelligence Artificielle. Malheureusement, elles sont trop peu nombreuses, autour de 15 % dans la technique selon différents instituts », déplore notre interlocutrice. En ce qui concerne l’intégrité, celle-ci se rapporte aux données. Conscient de l’enjeu que ces dernières représentent, Codataschool met tout en œuvre pour garantir leur sécurité et leur fiabilité. De plus, Codataschool propose des formations et outils pour l'aide à la détection des fake news, qui se propagent insidieusement sur la Toile. Enfin, l’organisme affiche son attachement à la question de l’éthique, en veillant à ce que les solutions développées puissent améliorer la vie des personnes concernées. ...
Située sur la côte normande, à faible distance de Deauville, cette société emblématique a gagné ses lettres de noblesse avec un seul et unique produit « le Saveur des Potages », plus connu sous l’appellation « Arôme Patrelle » qu’elle doit à Louis Salve Patrelle, le premier du nom. Il s'agit d'un colorant alimentaire à base de glucose destiné à permettre le fonçage de sauces, marinades, potages, gratins,… Il permet également la couverture des préparations de viandes, comme le jambon, ou de volailles grillées (poulet, escalopes). Enfin, il s'utilise pour colorer les gélatines nécessaires à la préparation des charcuteries ou dans la liaison des sauces. Bref, un incontournable en cuisine. Grâce au Saveur des Potages®, chaque plat livre ses meilleurs atouts. Le succès d’une marque au fil du temps Fort du succès de la marque qui a autant séduit que fidélisé les consommateurs pendant près d’un siècle, Patrelle prend son envol en 1961 avec la partie confiserie et produit ses premiers délices aux saveurs sucrées : la boule coco (une meringue fantaisie enrobée de noix de coco râpée) et le roudoudou (le célèbre coquillage avec une sucette à l’intérieur). L’incroyable odyssée d’un authentique patrimoine familial Sous la direction de Laurent Patrelle (de la cinquième génération) depuis 1987, la société Patrelle continue à se développer et à innover dans sa palette de goûts et de couleurs avec la création en 1993 des lignes de production des P’tits Top (goûter avec gressins et pâte à tartiner) et des bâtons à congeler, suivie dix ans plus tard par la ligne de production du Trio Top (goûter avec gressins, pâte à tartiner et boisson). En 2001, Patrelle marque sa présence à l’échelle internationale en matière de confiserie, notamment en Europe (Belgique, Allemagne, Portugal, Pologne et Roumanie), mais aussi aux Émirats arabes unis et en Nouvelle-Calédonie, puis récemment en Russie et au Sénégal. L’année 2013 voit, quant à elle, la commercialisation de trois nouveaux arômes Patrelle sur le marché, à savoir les arômes Patrelle balsamique, bœuf et barbecue. En 2016, la gamme snacking sucrée et salée entre, elle aussi, dans la danse avec de nouvelles saveurs telles que le spéculoos, le beurre de cacahuètes, et aussi les sauces ketchup, Barbecue et tex-mex. Et le petit dernier le « P’tite Pomme ». En effet, fort de son expérience dans le snacking pour enfants, la société Patrelle vient de lancer ce nouveau concept : des biscuits Petits-beurre et une spécialité de pomme pour offrir un goûter plus sain et équilibré. Vous pourrez découvrir tous ces produits dans leur magasin d’usine. ...
« Chaque année, plus de 30 millions de journées de remplacement sont à pourvoir dans ces secteurs en France », fait savoir la Start-Up. « L'embauche de vacataires reste un exercice difficile car il faut tenir compte de nombreuses contraintes : organisation des entretiens d'embauche, récupération des pièces administratives, rédaction des contrats, spécificité des profils recherchés, mobilisation de personnel… » Les employeurs ont donc souvent recours à l'intérim faute de disponibilité de leurs vacataires attitrés. Un outsourcing essentiel pour garantir le bon fonctionnement des services mais néanmoins très coûteux. Avec de surcroît un environnement financier toujours plus tendu pour les établissements sanitaires et médico-sociaux, la plateforme tombe à point nommé. L’objectif est clair : simplifier considérablement le recrutement par une mise en relation directe entre les établissements (cliniques, hôpitaux, maisons d'accueil spécialisées, Ehpad, etc.) et les professionnels de ces secteurs (Infirmièr(e)s, aide-soignant(e)s, kinés, Educs Spé, AMP etc.). Grâce à un système de matching et d'alertes par SMS et E-mail, les candidats sont directement avertis des offres de vacations qui correspondent à leur profil. Dès acceptation, un contrat de travail avec signature électronique est automatiquement généré. Innovante et efficiente, la solution Bipsoin met avant tout l'accent sur la fluidité du service et le niveau d’expertise des profils proposés. Après vérification, seuls des professionnels qualifiés sont sélectionnés et intégrés dans le gisement de ressources. Aussi, pour les établissements, les bénéfices sont immédiats : - Réduction des coûts liée à l’économie de temps de gestion. - Souplesse et réactivité accrues dans la planification des remplacements. - Possibilité de recruter de nouveaux profils y compris sur des filières dont la « ressource » se fait plus rare (Médecins, Infirmièr(e)s, anesthésistes, orthopho-nistes…). Mais les avantages de Bipsoin ne s’arrêtent pas là. En garantissant le maintien des taux d'encadrement, cette solution profite aussi aux patients. In fine, Bipsoin leur permet d'être mieux accompagnés, suivis et soignés. Avantages du côté des établissements Avec Bipsoin, les établissements du secteur vont réduire significativement les coûts liés à la gestion des remplacements: « Nous permettons aux établissements de réaliser jusqu'à 80 % d'économie en évitant l'appel à l'intérim. », explique le Directeur des Opérations. En parallèle, la solution impulse une nouvelle dynamique dans l'optimisation des process RH. En effet, grâce à Bipsoin, les établissements sanitaires et médico-sociaux profitent d'un accès instantané à une multitude de profils de soignants disponibles et compétents. De plus, pour davantage de proximité, la solution intègre une fonctionnalité permettant la mise en relation avec des candidats situés à proximité des établissements. Il en résulte « une réactivité et un gain de temps non négligeables » dans le processus de recrutement. Finalement, Bipsoin permet aux établissements d'envoyer, en quelques clics, leurs offres de vacation. Mais « l'une des fonctionnalités les plus appréciables, c'est la possibilité d'accéder aux agendas des professionnels et d'anticiper la planification ». Bipsoin compte déjà de nombreux partenaires dont des associations gestionnaires d'établissements parmi les plus représentatives du secteur. Avantages du côté des soignants L'objectif de Bipsoin est de devenir la première communauté du secteur en créant un réseau fédéré autour de valeurs éthiques communes. En effet, en s'inscrivant sur www.bipsoin.fr les candidats intègrent la communauté des «Bippers» qui, quelques semaines après sa création, rassemblait d&e...
Le domaine Terre de Mistral déploie une vue admirable sur le mont Aurélien et la montagne Sainte-Victoire. Son paysage de campagne, ses 55 hectares de vignes, son moulin à huile et sa cuisine bistronomique procurent un ressourcement inégalé. Les visites du lieu sont aussi ponctuées par des découvertes originales, des animations et des évènements culturels autour du vin qui vont ravir les épicuriens. Vins et huiles aux parfums de la Provence Conduit en lutte raisonnée, le vignoble du domaine Terre de Mistral accueille les cépages traditionnels de la Provence (grenache, syrah, rolle, cinsault et carignan) qui servent à l’élaboration des vins en AOP Côtes de Provence et AOP Côtes de Provence Sainte-Victoire. « En outre, le vignoble porte aussi d’autres variétés de cépages comme le muscat ou encore le sangiovese, que nous réservons exclusivement pour notre gamme IGP », fait savoir Laura Martin, responsable de communication du domaine. Rosé fruité à l’image de la cuvée Rosalie Collection, vin blanc plein d’élégance ou vin rouge charpenté de caractère... : la palette aromatique du terroir n’en finit pas de surprendre. Ce terroir offre également la meilleure sélection d’oliviers que le domaine transforme en une gamme d’huiles d’olives vierges obtenues par première pression à froid. « Labellisée AOP Aix-en-Provence bio, notre huile Jeanne reflète fidèlement les typicités du terroir grâce à son arôme herbacé, relevé par une note piquante en fond de gorge », poursuit Laura Martin. L’huile Jeanne est à déguster sur une salade de saison pour un plaisir gustatif absolu. Une halte gourmande bistronomique Le voyage se poursuit dans le restaurant bistronomique du domaine Terre de Mistral. La chef a choisi de mettre la cuisine provençale à l’honneur. Cabillaud confit à l’huile d’olive Jeanne, ou encore ballotine de cochon du domaine en feuilles de brick, velours de pois chiches de Bras, carottes rôties au cumin, accompagnée de sa sauce de soja... « En tant que ferme-auberge, nous privilégions d’abord les produits de notre propre exploitation. Ce qui ne nous empêche pas pour autant de travailler avec les producteurs locaux », précise la chef. Les épicuriens se délectent du jeu des saveurs, des textures et des couleurs qui habillent les plats, défiant presque les assiettes dignes des établissements étoilés. « En fait, notre restaurant se veut bistronomique, car l’ambiance y est plus décontractée et plus sympathique. » En guise d’apothéose, une belle carte des vins invite à goûter les créations de la maison. Œnotourisme et évènements culturels Ceux qui veulent prolonger l’expérience peuvent s’offrir une visite découverte du domaine, en parcourant les caves à vin, le moulin à huile et la salle de dégustation. Ici, les visiteurs vont s’initier à la dégustation des huiles et des vins de la maison, toujours placée sous le signe de la convivialité. En outre, les esprits curieux apprécieront les balades dans les vignes, déclinées en parcours nature et en parcours audioguidés, pour en connaitre davantage sur le domaine et ses alentours. Des activités ludiques, telles qu’un atelier de création de cuvées et le casino des vins, font également partie du programme. Une vraie réussite pour une journée de détente en groupe, entre amis ou en famille. « Par ailleurs, le domaine organise beaucoup d’évènements culturels autour du vin, dans le but de démocratiser la passion de la vigne », souligne l’équipe. Parmi eux, le sentier Art et Vin, balade d'un kilomètre où les oeuvres d'art côtoient la nature environnante (vignes, potager...). Ou encore le festival Vinômusic, au mois de juillet, qui réunit les mélomanes autour d’une soirée musicale en plein air, au cœur même du domaine Terre de Mistral. ...
L’Association Neurofibromatoses et Recklinghausen regroupe principalement des malades souffrant de Neurofibromatose et leurs proches. Au sein de leur communauté, ils se battent pour une cause commune : la lutte contre cette maladie génétique. En plus des levées de fonds et des réunions à but informatif, leur combat ne se limite pas là. Les membres de l’A.N.R veulent apporter un support aussi bien matériel qu’émotionnel. Selon les derniers chiffres, en France on compterait près de 20 000 personnes touchées par cette maladie. Depuis sa création en 1986, l’équipe a largement fait ses preuves, si bien qu’elle compte désormais 1200 adhérents. Elle intervient non seulement en France métropolitaine mais aussi en Outremer et dans les pays d’Europe francophone. Elle rassemble un conseil d’administration, des bénévoles, des délègues locaux ou thématiques et un conseil scientifique. Portée sur l’ouverture, l’Association Neurofibromatoses et Recklinghausen ouvre ses bras à tous ceux qui voudraient rejoindre leur communauté. Qu’est-ce qu'une neurofibromatose ? C'est une maladie génétique qui se manifeste par le développement de tumeurs sur le système nerveux. Comme il s’agit d’un syndrome neurocutané, elle affecte le cerveau, la colonne vertébrale, les nerfs, les organes internes et la peau. Elle s’extériorise par l’apparition de nodules (neurofibromes) et de taches planes brunes sur la peau. Cependant, chaque type présente ses propres symptômes. En effet, il existe différentes neurofibromatoses (NF): maladie de Von Recklinghausen (NF1), NF2, Syndrome de Legius, schwannomatose et les neurofibromatoses segmentaires. Souvent héréditaire, elle se transmet à travers les générations en présence d’un gène porteur. Toutefois, d’autres patients témoignent d’une néo-mutation génétique et non d’une cause héréditaire. A ce jour, il n’existe aucun traitement qui puisse guérir et éradiquer cette maladie. Mais si le patient souhaite se débarrasser des excroissances, il est possible d’intervenir en effectuant une ablation par laser, une électrocoagulation voire une chirurgie. Quels objectifs vise l’Association ? L’A.N.R définit ses objectifs sur trois grandes lignes : écouter, soutenir et informer. Une oreille à l’écoute Ce syndrome neurocutané peut provoquer un sentiment d’exclusion, de culpabilité, d’anxiété, et même des complexes. Effectivement, avec seulement 1 individu atteint sur 4000, les malades peuvent se sentir incompris. Pourtant, l’Homme a besoin d’une oreille attentive sur qui compter quand son vase est sur le point de déborder. Les bénévoles de l’A.N.R, eux-mêmes atteints de neurofibromatose ou ayant des proches touchés, se portent volontaires pour être le refuge dont ces patients ont besoin. Ils écoutent, comprennent et proposent des solutions pour les guider. L’Association est également en mesure de les orienter vers les équipes médicales du réseau NF France. « Entretenir l’espoir », un combat de toute une vie Grâce aux dons récoltés, l’Association Neurofibromatoses et Recklinghausen a la possibilité de participer au financement de la recherche sur ce syndrome. En finançant ces études, elle contribue à l’identification des gènes modificateurs, la résolution des difficultés cognitives des enfants malades et même aux essais thérapeutiques en vue d’un traitement efficace. La Neurofibromatose est une maladie n’ayant actuellement aucun remède. Mais depuis 1999, plus de 3 millions d’euros de dons ont été investis pour changer la donne. Dans cette optique, « Ensemble, entretenons l’espoir » prend tout son sens. Les patients attendent de la médecine une solution pérenne à leurs maux. L’A.N.R veut nourrir cet espoir jusqu’au jour où on leur affirmera enfin : « Votre maladie peut être guérie ». Informer le grand public : une lutte médiatique à gagner Classée comme maladie rare, la neurofibromatose reste inconnue du grand public. L’A.N.R souhaite la médiatiser un peu plus afin de promouvoir l’information. En effet, plus...
Traditions, succulences et plaisirs du palais trouvent ici leur quintessence dans un cadre sobre et élégant. Cette table, fièrement dressée dans un havre de paix propice à la détente, est la promesse d’un voyage gourmand conjuguant découvertes culinaires, extase gustative et excellence gastronomique. L’art culinaire dans toute sa splendeur Les délicieuses assiettes concoctées avec passion et minutie s’apprécient soit dans une salle fastueuse et savamment illuminée, soit à l’ombre d’une terrasse face à la mer. Sublimant les produits du terroir, mettant les producteurs locaux en avant et révélant l’art méditerranéen de la table, chaque plat est un hommage à la région. Cette cuisine traditionnelle se revisite ici de façon plus moderne en ponctuant certains plats d’accents asiatiques et de saveurs d’ailleurs. Une langoustine royale, suivie de rougets cuits sur la peau, fera le bonheur des amoureux du goût authentique. Pour les accompagner dignement un excellent vin, le Clos Saint Vincent, un vin haut de gamme de l’appellation Bellet issu de la cave à vins de la salle de restaurant présentée dans une armoire murale. A cette décoration épurée, s’ajoute la touche artistique de l’art de la table illustrée par des assiettes de présentation signées ÉrickIfergan. Véritable ode à la perfection, ce restaurant accueille ses convives dans le charme intemporel de Cannes. ...
Europe Active, une agence de voyages réceptive et spécialiste du séjour actif implantée près de Bastia ouvre une infinie de possibilités pour explorer les meilleures destinations d’Europe en randonnées, à vélo, à moto, ou en véhicule. Aujourd’hui, elle se positionne comme une experte de la destination Corse et vient de lancer sa nouvelle prestation : la location de camper-van, présentée en séjours packagés tout compris. Proposer des itinéraires oniriques Deux modèles de minibus de la marque allemande Volkswagen sont à disposition des voyageurs nomades. Ces véhicules hybrides à mi-chemin entre camping-car et voiture de tourisme sont plus adaptés pour sillonner la Corse en toute liberté. « Ils sont plus modernes, plus performants sur route et sont dotés d’une installation très confortable, les clients peuvent même dormir dedans », explique Patrick Jean, le chef de produit. Totalement modulable, l’intérieur est aménagé autour du siège-lit ergonomique, d'un toit relevable camouflant un vrai lit double sur lattes en bois, et d’un espace cuisine équipée. Pour leurs voyages, les clients peuvent choisir entre deux itinéraires hors des sentiers battus : L’ouest et le nord sauvage de la Corse, ou la traversée des plages du nord au sud. La première formule promet une semaine d’aventure à la découverte des villages pittoresques de Balagne, des sites naturels, des lieux historiques, des forêts de Verghio et des eaux cristallines de Calacuccia, ainsi que de magnifiques plages de la côte ouest. Quant à la seconde formule, les clients partent de Bastia pour parcourir le Cap Corse, Nonza et Patrimonio avant d’arriver au désert des Agriates et savourer une parenthèse de douceur, les pieds dans l’eau. Ensuite, cap vers Calvi, Porto et Bonifacio qui offrent une évasion exclusive au milieu des villages et cités atypiques avant de revenir vers le nord. Des prestations haut de gamme Afin d’offrir la meilleure expérience séjour aux voyageurs, Corsica Camper a intégré en complément du GPS du véhicule un roadbook digital et parfaitement détaillé. Cette fonctionnalité permet aux clients de découvrir la Corse à leur rythme mais aussi « d’obtenir toutes les informations dont ils auront besoin pour enrichir le voyage : petite histoire et anecdotes, les bonnes adresses, des bons de réduction, etc... ». De son côté, l’équipe prend en charge la réservation d’emplacement dans des campings 4**** pour chaque nuitée et garantit une assistance 7 jours sur 7. En outre, l’agence propose également une option premium pour satisfaire les plus exigeants. Ils seront gâtés avec un pack de bienvenue à leur arrivée, comprenant notamment des produits locaux, une sélection de la meilleure charcuterie corse, et des bières artisanales. Mais bien sûr, pour ceux qui préfèrent organiser leur séjour à leur guise, l'enseigne propose aussi la location dite « sèche » ou basique de campervan, sans le package. ...
L’enseigne est située rue du Rhône, dans le food hall du grand magasin Globus à Genève. Elle s’est lancé un défi de taille : donner au fast-food un nouveau visage en proposant de délicieux burgers gastronomiques, à déguster sur place ou à emporter. Créé sous l’impulsion du chef doublement étoilé Philippe Chevrier, le pari est réussi pour ce snack artisanal et gourmet. Chez Denise, la carte fait aussi la part belle à des hot-dogs, des salades et des desserts gourmands, tous disponibles à emporter. Quand le fast-food devient gourmet Au homard, au bœuf suisse des alpages, à l’agneau, au foie gras ou encore végétarien. Toujours des garnitures uniques et créatives pour des petits pains sains mais gourmands. Des produits du terroir sélectionnés avec soin par une équipe conviviale. C’est l’idée que l’on se fait du burger chez Denise, goûteux mais simple et accessible. Dans ce snack haut de gamme, vous pourrez goûter à l’originalité raffinée de la maison comme « le homard du Maine avec sa rémoulade au citron vert nappé d’une mousseline d’avocat ». Le Spice Lamb propose, quant à lui, une recette alléchante à base d’agneau confit aux sept épices dans un pain pita. On compte au total près de sept recettes finement élaborées et chaque mois possède son lot de surprises avec un burger spécial à la carte. Un classique simple et indémodable ? Le Roast Chicken avec son poulet rôti confit, ses chips maison et sa sauce moutarde à l’ancienne. Si l’enseigne jouit d’une belle sélection de viandes, les végétariens n’en sont pas pour autant délaissés avec au menu un burger spécial galette de maïs aux délicieux légumes. Le tout est servi dans de jolis pains buns à l’épeautre, au sésame, à l’encre de seiche ou encore aux graines de courge, réalisés sur mesure par un artisan boulanger de Genève. Philippe Chevrier, chef doublement étoilé, affirme avec simplicité sa passion pour les produits du terroir et sa volonté de proposer un snack de qualité et accessible à tous ceux qui cultivent le « fast good ». Tous à la gastronomie Le lieu, décontracté et familial, invite les gourmands à vivre des instants culinaires conviviaux, cristallisés autour d’une idée essentielle : la sélection de bons produits tels que la célèbre tomme genevoise ou le bœuf suisse auprès des meilleurs producteurs locaux. Et pour rompre définitivement avec les clichés sur le burger, l’enseigne se veut responsable et proche de ses consommateurs comme de ses fournisseurs. Chez Denise, tout est fait « maison ». Même les sauces, comme la fameuse sauce Denise. À l’opposé de la malbouffe, on déguste ici le burger au naturel, c’est-à-dire sans arôme, sans conservateur, avec des produits cent pour cent locaux. Résultat ? Dans les cuisines, le burger subit un lifting complet pour retrouver ses lettres de noblesse. Manger sur le pouce mais gastronomique, c’est aussi une invitation à la convivialité, une valeur chère à Philippe Chevrier. Et pour perpétrer le paradis sensoriel découvert dans la cuisine familiale, le chef a choisi de rendre hommage à sa mère en lui dédiant son restaurant. « Depuis ma tendre enfance, le plaisir de la cuisine, transmis par plusieurs femmes dont ma maman, n’a fait qu’inculquer en moi cette passion et cette force qui m’ont fait grandir tout au long de ma vie », explique-t-il. Ces quelques mots rappellent que l’art culinaire est avant tout un savoir-faire empreint d’histoires qui nous replongent dans les souvenirs d’un repas de famille autant qu’une passion pour l’excellence. Sur place, en plus des produits frais et de la conception de burgers uniques, l’invitation à déguster se fait sans complexes et de manière décontractée. On voit les cuisiniers à l’œuvre dans la cuisine vitrée, en train de s’activer autour du toaster et de la plancha. Côté sucré, on se laisserait volontiers envoûter par le cake aux carottes et au gingembre, le cheese-cake new-yorkais à m...
La start-up eVeDrug en quelques mots Le constat : une législation qui confère au patient le droit de déclarer lui-même ses propres effets indésirables (depuis 2011) mais où le taux de déclaration patients ne dépasse guère 5%. Cela remet en cause l’efficacité du système de pharmacovigilance classique (la notification spontanée), d’autant plus que les patients se tournent de plus en plus vers les réseaux sociaux et les forums de discussion pour s’exprimer. La solution d’eVeDrug : une application qui permet aux patients et professionnels de déclarer les effets indésirables d’un médicament depuis tout type de support numérique (téléphone, tablette etc... ) et depuis tout pays de l'Union Européenne. Une transmission en temps réel vers les autorités de santé. L’innovation prend tout son sens : l’e-santé revisite la voie classique de la notification en prônant une voix plus rapide, fiable et sécurisée. My eReport : une interface entre les acteurs de la pharmacovigilance À la croisée des « enjeux de santé publique, commerciaux et concurrentiels », l'application My eReport, première application européenne à avoir été créée en 2013, joue le rôle d'un outil collaboratif permettant de collecter les effets indésirables à grande échelle. Traduite en sept langues, utilisable dans tous les pays de la zone européenne, l’application permet, sur la base de la localisation géographique fournie par le patient ou le professionnel de santé, l'envoi de la déclaration à l'autorité de santé concernée. En contrepartie de sa déclaration, le déclarant bénéficie d'un retour d'information lui indiquant, d'une manière très pédagogique (sans remettre en cause la qualité du médicament ni celle du traitement concerné), le nombre de personnes ayant présenté les mêmes effets secondaires déclarés avec les mêmes médicaments. L'application lui renvoie également l'adresse mail exacte du service auquel sa déclaration a été envoyée et propose, dans le cas d'une déclaration patient, l'envoi d'une copie au médecin traitant. Le patient désireux d'être recontacté par une autorité de santé peut s'authentifier, mais l'anonymisation est proposée par défaut (Toutes les études montrent qu'un patient obligé de s'authentifier ne déclarera jamais rien... la peur de mal faire. À l'heure du Patient expert, il faut respecter le choix du patient et prendre en compte les déclarations anonymes... D'ailleurs, les déclarations anonymes sont tout aussi pertinentes sur le fond que les autres). À noter que le système est le seul à proposer un retour d'information en temps réel (pour l'utilisateur de l'application, à la fin de sa déclaration... ou pour tous, par l'intermédiaire du site en ligne myereport.eu) Patients et professionnels ont donc tout intérêt à déclarer. Cette déclaration se fait uniquement vers les autorités de santé. À terme, il faudrait que ces données puissent être également utilisées rapidement par l’industrie pharmaceutique afin que celle-ci puisse mieux anticiper les risques liés à ses produits. « les circuits de déclaration sont à revoir afin de sortir des stéréotypes du style gentils Institutionnels (qui contrôlent les médicaments) contre méchants industriels (qui les fabriquent). Peut-être alors arrivera-t-on à parler de pharmacovigilance véritablement citoyenne où patients, professionnels de santé, laboratoires et autorités de santé travailleraient vraiment ensemble pour le bien des patients ». * Source ...
La fondation HP Metz soutient l'ensemble des missions et des projets menés par les Hôpitaux privés de Metz. Ces hôpitaux réunis depuis 10 ans au sein d'une même structure sont associatifs et donc par essence à but non lucratif. La fondation poursuit plusieurs objectifs, notamment celui de venir en aide aux patients en mettant à leur disposition des dispositifs médicaux innovants et en mobilisant des moyens concrets afin d'améliorer la prise en charge de la douleur. Quelques mots sur la fondation La fondation HP METZ, créée en janvier 2015, regroupe des hôpitaux privés qui sont exclusivement des établissements à but non lucratif. Parmi eux, l’hôpital Belle-Isle, créé en 1874 par les sœurs Diaconesses de Stuttgart ou encore l’hôpital Sainte Blandine, créé par les sœurs franciscaines allemandes et qui a ouvert ses portes en 1886. On note également les 2 Résidences à savoir Sainte Marie et Sainte-Claire qui sont spécialisées dans la prise en charge des personnes âgées dépendantes. Enfin, plus récemment, l’hôpital Robert Schuman dont l’ouverture en mars 2013 s’inscrit dans la continuité d’unification des HP METZ. A ses débuts, la fondation HP METZ avait comme principal objectif la recherche de fonds destinés au financement d’un robot chirurgical à la fois innovant mais couteux. Mais au fil du temps et en fonction de nouveaux besoins, elle a élargi considérablement son champ d’action pour pouvoir assurer un accompagnement de qualité à tous les patients. Présidée par Paul ARKER, ancien président de la Chambre de Commerce et d'Industrie de Lorraine, la fondation est placée sous l’égide de la Fondation de France. Ses principales missions La fondation HP METZ s’est assignée 4 grandes missions. La première concerne le financement de dispositif innovant qui inclue trois volets essentiels : l’acquisition d’équipements de pointe et l’accompagnement de l’équipe médicale et soignante dans la lutte contre la douleur, la poursuite de la restructuration et modernisation des unités et services de soins. Ensuite, à travers ses actions de financement, la fondation s’est engagée à contribuer au développement de la recherche clinique. Concrètement, il s’agit ici d’encourager la recherche médicale dans le traitement des maladies systémiques rares ou soutenir la lutte contre le cancer. Pour les malades, la fondation prévoit de développer non seulement les programmes d’aides et de prévention mais aussi tout ce qui touche de près à l’éducation thérapeutique. Pour les résidents en longue maladie, en fin de vie ou en situation de handicap, l’idée est de leur fournir une assistance efficace tout en soutenant les actions des bénévoles et des aidants. Enfin, l’accompagnement des personnes âgées dépendantes est également une des missions prioritaires de la fondation. Cet accompagnement consiste notamment à améliorer leurs conditions d’hébergement et les aider au mieux dans leur vie quotidienne. Les réalisations de l’année 2016 et 2017 La fondation s’est illustrée dans le financement d’une prothèse révolutionnaire : l’endoprothèse fenêtrée. Il s’agit d’une nouvelle technique permettant d’effectuer un traitement directement à l’intérieur d’un vaisseau sanguin. Cette prothèse est confectionnée manuellement et fabriquée sur mesure pour être adaptée à chaque patient. Ce qui explique son coût très onéreux. De plus, elle n’est pas remboursée par l’assurance maladie. L’utilisation de l’endoprothèse fenêtrée a permis d’augmenter considérablement les chances de survie des patients qui ont pu en bénéficier. En raison de la nécessité de ce traitement, la fondation HP METZ a financé ces endoprothèses sans reste à charge pour les patients. L’implantation est réalisée par un chirurgien vasculaire attaché à l’hôpital Robert Schuman. La fondation a aussi procédé au financement et à l’installation d’un dispositif livesurgery permettant de retransmettre en direct des interventions chirurgical...
Situé sur la route des stations de skis des Pyrénées, au croisement des départements de l’Aude, de l’Ariège et des Pyrénées Orientales, le Rucher de l’Ours s’est implanté dans un environnement idéal pour les abeilles. Ainsi, ses 300 ruches peuvent être déposées au rythme des saisons et des floraisons près du littoral méditerranéen, dans les garrigues ou plus haut dans les montagnes. Tous les miels sont ensuite récoltés dans le plus pur respect de la tradition apicole. Une grande diversité de miels Les 5000 clients réguliers savourent toujours avec autant de plaisir les miels produits par le Rucher de l’Ours. Outre les classiques miels d’acacia, de sapin ou de châtaignier, vous pourrez découvrir par exemple le miel de rhododendron, un miel clair légèrement parfumé, le miel de bruyère blanche au gout typique de caramel, le miel de lavande stoechas aux arômes puissants, ou encore le miel de garrigue-thym, un miel toutes fleurs à dominante de thym. Mais aussi des miels produits en plus petite quantité : le miel d’arbousier et le miel de sarrasin. En tout, le rucher de l’Ours propose 22 sortes de miels différents. Les autres produits de la ruche Bien d’autres produits de la ruche sont disponibles au Rucher de l’Ours, comme le pollen de fleurs, la gelée royale ou encore le propolis. Ainsi que des produits transformés tels l’hydromel un apéritif vieilli en fut de chêne, des bonbons, des savons, du nougat et 8 sortes de pains d’épices. Visite et vente Vous pouvez visiter la miellerie tout au long de l’année. Vous y découvrirez leurs différents produits. Mais vous pouvez également les commander via leur site Internet. Votre commande sera traitée avec beaucoup de soin et vous sera envoyée très rapidement. Voua avez également une chance de les rencontrer sur les marchés de Noël de la Défense, d’Amiens, de Neuilly, de Perpignan, de Toulouse ou encore de Montpellier. ...