Le doyen du coworking en France Historiquement, La Bo[a]te est le premier espace de coworking à avoir ouvert ses portes en France. Excusez du peu. Ce doyen dans la location d’espaces de travail partagés est né de l’initiative de Martine Sousse et Marin Garrigues. Une dizaine d’années plus tôt, les deux complices animaient ensemble un espace de mécénat pour une grande marque internationale de soda. Ils mettaient alors à la disposition des jeunes du quartier un lieu, des ordinateurs, une connexion Internet et un savoir-faire pour leur enseigner à se servir des nouveaux outils numériques et les accompagner dans leur découverte du tout jeune réseau Internet. Capitalisant sur leur expérience, ils rachètent l‘endroit en 2007 et ouvrent cet espace de coworking, avant le nom donc, qu’ils nomment La Bo[a]te, en hommage aux ferrys qui traversent quotidiennement le Vieux-Port. Un lieu, plusieurs activités Au départ, il y a un lieu atypique du centre-ville de Marseille. Le sol est fait d’un vieux parquet en bois. Sur les murs, on remarque des affiches vintages, comme les meubles et les canapés qui trônent dans la pièce principale. On n’est pas du tout dans l’idée des espaces de coworking que l’on peut voir ailleurs. Il y règne une ambiance cosy et artistique. Plusieurs formules de coworking sont proposées aux start-up et aux petites entreprises. À partir de 50 euros (TTC) par mois, on y vient travailler bien sûr, mais aussi échanger et partager. « un espace de coworking sans animations et sans une communauté des coworkers qui collaborent entre eux, ce n’est que de la location de bureau, explique Marin Garrigues. Dans notre idée du coworking, il y a toute une partie de l’activité qui est consacrée à créer des synergies pour qu'ils développents leur activité et leurs projets grâce à l’organisation par exemple, de rencontres informelles, de MeetUp, de réunions autour de thématiques nouvelles, Machine learning, Design thinking, Veille autour d'appels a projets, Open data, ateliers du code (pour les enfants) » On vient à La Bo[a]te principalement pour travailler, mais on y discute aussi avec d’autres porteurs de projets innovants afin de grandir ensemble. Car au-dela du coworking, c'est aujourd'hui de "co-growing" qu'il faut parler. Le lieu, qui a gardé à cœur son esprit « mécénat », accueille régulierement des associations et collectifs autour de problématiques entrepreuneuriales, citoyennes et créatives. En 2018 la Boate va dupliquer le modèle avec un partenaire important de la Métropole Aix-Marseille. Une manière de consolider son offre au jeunes entreprises et aux porteurs de projets ...
Alors que l’année 2020 est frappée par la crise du COVID-19, les vacances à l’étranger sont évidemment compromises. Heureusement, il existe de nombreux lieux en France qui ne demandent qu’à être découverts. Le Cœur des Collines Cathares est l’un d’entre eux. Un territoire qui fait le bonheur des amateurs de randonnées et de villages pittoresques Pour trouver le Cœur des Collines Cathares, il faut se rendre entre Castelnaudary et Carcassonne. Nous nous situons donc en région Occitanie, plus précisément à 45 minutes de Toulouse. La première chose qui nous frappe, c’est le magnifique paysage qui nous entoure. Celui-ci cache d’ailleurs de nombreux sentiers de promenades qui invitent à enfiler ses chaussures ou à enfourcher son vélo pour profiter des nombreuses boucles mises en avant par l’Office du Tourisme. Ces parcours sont d’ailleurs tous référencés au sein de l’application gratuite Au Cœur des Collines Cathares qui se révèle être votre meilleure alliée si vous souhaitez partir à la découverte de ce territoire préservé. En l’installant sur votre téléphone, vous pouvez choisir entre 5 parcours de 45 minutes à 2h. Plans, contenus audio et multimédias sont alors mis à votre disposition. Idéal pour visiter à votre rythme les petits villages pittoresques disséminés au sein de ce territoire sauvage et authentique (tel que Fanjeaux), pour suivre le Sentier historique et ornithologique de Laurac le Grand ou pour emprunter le Sentier des Crêtes à Hounoux. De nombreuses activités pour tous les âges Entre deux promenades, vous pouvez vous arrêter pour déguster les spécialités régionales. Fromages, charcuteries, miels, vins de l’IGP Côtes de Prouille ou de l’AOC Malepère… après une journée en pleine nature, rien de mieux qu’une assiette bien remplie pour reprendre des forces. Il ne faut d’ailleurs manquer sous aucun prétexte les marchés nocturnes de producteurs locaux et d’artisans de juillet/août. À cela, il faut rajouter de nombreuses activités telles que des chasses au trésor pour petits et grands, du téléski nautique, une promenade en bateau ou du canoë-kayak. Tout le monde y trouve son compte le temps d’un séjour plus ou moins long. ...
Pas très étonnant qu’en ces temps de montée de la violence et de l’intégrisme le yoga prenne une place de plus en plus prépondérante dans nos sociétés. Cet art qui nous vient de l’Inde a véritablement pris son essor aux USA et en Europe après la seconde guerre mondiale jusqu’à devenir aujourd’hui accessible à tous quelques soient ses capacities physiques et mentales. Ni sport, ni médicament, ni technique de bien-être, ni religion, le yoga a maintes fois montré sa capacité d’adaptation. Le Mahâbhârata le définit comme une technique spirituelle, Krishna parle de renoncement aux fruits de l’action, d’équanimité et d’habileté dans les œuvres (Bhagavad-Gîtâ), et Patanjali a codifié une “voie de réalisation” dont le but serait de “délivrer l’homme de l’ignorance”. Le projet est donc vaste, et l’on comprend que ce moment de l’histoire occidentale en crise, encore troublé par la guerre à ses frontières et déstabilisé par l’individualisme forcené apporté par la marchandisation des rapports, soit en recherche d’un “chemin de sagesse” (Jean Varenne). Un week-end à Paris Véritable “poumon” en plein cœur de Paris, le Yoga Festival accueillera pour sa 4ème édition pendant 4 jours son public nombreux pour un peu plus de paix. Tous les participants auront à cœur de partager « leurs » clés pour vivre mieux. Développer son cerveau par l’entrainement au yoga, c’est développer le sentiment d’être heureux, nous dit le Dr. Lionel Coudron. Les études scientifiques nous en apportent aujourd’hui la preuve : la pratique du yoga ou de la méditation influence la structure du cerveau et augmente l’épaisseur notamment du précunéus, relié aux structures en rapport avec la conscience de ce que nous faisons. Le bonheur, définit comme « la conscience d’être heureux » ? Un Yoga Village Venez déambuler, discuter, écoutez des conférences, pratiquer et découvrir ce que vous cherchez : tapis, coussins, vêtements, accessoires, et aussi professeurs, écoles, stages et formations, voyages, massages, alimentation & cosmétique vegan ou ayurvédique, plus d’une centaine d’exposants représentent l’univers de cet art de vivre. Venez aussi à la rencontre du yoga qui vous convient, méditatif, thérapeutique ou dynamique : plus de 100 cours gratuits de yoga tout niveau accessibles à tous sans inscription, donnés par des grands noms du yoga, une restauration végétarienne et vegan, des ateliers de cuisine, et aussi un espace jeunes yogis en continu. Une tente gonflable (Hotpod) venue de Londres pour expérimenter le yoga dans une atmosphère à 37°C. Un lieu dédié aux blogueuses et à tous ceux qui souhaitent appuyer leur pratique avec des tutoriaux, des vidéos ou formations sur internet. Entrée gratuite avec une invitation à télécharger sur www.yogafestival.fr Notez que l’invitation vous permet également de rentrer sur le Salon Bio VIVEZ NATURE et sur le Village des SENSIbilités Alimentaires, car, nous partageons un même Hall et parce que le Yoga et le bio visent tous deux à l’harmonie entre l’homme et la nature. Méditation & respiration : focus Mircéa Eliade nous le rappelait : le yoga sert à désigner « toute méthode de méditation ». Cette année nous proposons un choix diversifié d’Ateliers ou de Master Class sur ces pratiques. Le prânayama avec Sudhir Tiwari ou Lav Sharma. La méditation avec Patrick Torre, Eric Baret & Marie Claire Reigner (Cashmire), Micheline Flak, Laurence Bibas et Morgane Gottschalk (pleine conscience), Uma Peudennier (Deepak Chopra), Marie Laurence Cattoire (Ecole de Fabrice Midal), Philippe Filliot, Lama Gyourmé (Bouddhiste), Joëlle Maurel. …etc. Prise de conscience progressive et harmonisation de vos facultés à la fois corporelle, émotives, mentales et spirituelles, c’est ce qui vous attend au Yoga Festival. Il suffit pour s’en convaincre de regarder les visages sereins et attentifs des participants aux ateliers et d’entendre leurs témoignages. Programme et invitation sur www.yogafestival.fr ...
Lancé en septembre 2017, par Christelle Sol et Pascal Dubourgnoux, deux quadras épicuriens et désireux de créer leur propre entreprise, Miamz’y est une application mobile gratuite permettant de commander des plats à emporter dans des restaurants traditionnels. Une véritable alternative aux fast food permettant à tous ceux n’ayant pas le temps de cuisiner ou de s’asseoir au restaurant de déguster des plats de qualité. L’application est disponible sur iOS, Android et via le site internet. Miamz’y rentre désormais dans une phase de croissance, comptant dès cette année élargir son offre à tout le territoire Auvergne-Rhône-Alpes. D’ici trois ans, le service sera opérationnel sur tout l’hexagone. Un concept innovant et intelligent Plébiscité par plus de 51% des français (d'après l'Étude Next Content : « Click and collect, les principaux enseignements »), le « click and collect » est un service permettant aux consommateurs de commander en ligne pour ensuite retirer leur article dans un magasin de proximité. Miamz’y est la première start-up à utiliser cette solution dans le domaine de la restauration, ce qui en fait un concept inédit en France. En pratique, l’application permet à ses utilisateurs de commander et d’aller récupérer leur plat à l’heure voulue dans le restaurant sans aucune attente et sans payer de frais de livraison. De plus, les plats du jour de chaque restaurant sont mis en ligne quotidiennement sur l’application. Variés et peu onéreux, ils offrent la possibilité aux consommateurs de manger rapidement pendant la pause déjeuner. Une solution adaptée à la taille des villes et aux restaurateurs Les fonctionnalités de l’application Miamz’y ont été conçues afin de répondre aussi bien aux besoins des habitants de grandes métropoles que des villes de taille moyenne telles que Clermont-Ferrand. Elle concerne également tous les oubliés de la livraison habitant dans les petites villes aux alentours. Grâce à l’application, il est possible de découvrir rapidement les restaurants disponibles le long des trajets quotidiens par exemple, il suffit de renseigner son itinéraire « Travail – Maison » pour savoir où commander le soir en rentrant du travail. Les besoins des restaurateurs sont également pris en compte, puisqu’ils ont étroitement collaboré au développement de l’application Miamz’y. Le résultat de cette alliance permet de moderniser et de dynamiser toute une économie grâce à un nouvel outil numérique permettant d’attirer de nouveaux clients. ...
Dans le Var, entre Lorgues et Le Thoronet, se dévoile un des plus anciens domaines viticoles de la Provence. Le Château La Martinette, blotti au cœur d’une nature luxuriante, invite à la découverte de vins de plaisir et équilibrés. À déguster : ses côtes-de-provence, qui sont produits sur ses 45 hectares de vignes. Un terroir d’exception, de précieux cépages Au Château La Martinette se développent, sur un sol argilo-calcaire, divers cépages dont ceux, traditionnels de la Provence comme le grenache, le cinsault, la syrah, le rolle, le cabernet-sauvignon et même le tibouren, qui « est un cépage un peu oublié et difficile à travailler, mais typique de la Provence et que le domaine a voulu reprendre », précise Sarah Idrissi Lorin, responsable marketing et communication. Ces précieux cépages prospèrent dans un environnement naturel unique de 350 hectares, traversé par l’Argens, fleuve provençal, et bordé de végétation typique comme les oliviers ou les lavandes... D’ailleurs, grâce à ses 1 400 pieds d’olivier, la maison produit de l'huile selon la méthode traditionnelle et actuelle. Le domaine propose également du miel et exploite un verger-potager. Le domaine cherche à tout prix à préserver ce magnifique cadre. « Notre credo est d’être au plus proche de la nature. La démarche philosophique de proposer des produits biologiques existe depuis 2012. Contrôlé depuis 2017, nous sommes actuellement en conversion biologique dans la perspective d'obtenir notre certification en 2020 », souligne Sara Idrissi Lorin. Le domaine met ainsi tout en œuvre pour tirer le meilleur des raisins en optant pour des vendanges et des tris à la main et en adoptant un travail par gravité. Des vins auréolés de récompenses Le Château La Martinette se distingue par ses rosés (de 75 à 80 % de la production), et notamment le « Reflets d’Argens » 2015. Issu des plus vieux et plus beaux cépages de grenache, de cinsault et de rolle, ce vin dont le nom se réfère au fleuve traversant tout le domaine, reflète bien l’identité de ce dernier : « Il exprime à la fois l’audace avec laquelle nous travaillons le raisin et notre exigence de qualité », indique Sarah Idrissi Lorin. Cependant, le domaine ne se cantonne pas au rosé. « Nous tenons à développer nos gammes de rouges et de blancs », fait remarquer notre interlocutrice. Pour l’heure, le Château La Martinette propose déjà 9 cuvées réparties en 3 gammes : « Rollier », pour les adeptes de la fraicheur ; « Parcellaire », magnifiant le terroir ; et « Château », signature du domaine. Le succès de ces vins est tel qu’ils ont été auréolés de plusieurs récompenses, en plus d’avoir depuis longtemps traversé les frontières françaises. Ils sont présents en Russie, en Belgique, à Hong Kong et au Québec. Le Château rouge 2016 s’est vu attribuer 2 étoiles et un coup de cœur par le Guide Hachette 2019. La cuvée Haut de gamme en blanc « Clos blanc 2014 » fait l'objet d'un coup de coeur du guide de référence Bettane et Desseauve. Par ailleurs, au concours des Vins de Provence, des médailles d'or ont été décernées à La Grande Pièce et au Rollier Rosé. ...
C’est au bord du couloir rhodanien que le Beaujolais accueille les amoureux du bon vin, les férus d’histoire mais également les passionnés de la nature. Arpentez ainsi la fameuse route des vins pour découvrir les 12 appellations d’exception : les dix crus, les Beaujolais Villages et les Beaujolais issus du cépage Gamay, aux saveurs agrémentées de forêts aux cimes tutoyant le ciel, de villages en pierres dorées, de formations géologiques imposantes et inédites, de châteaux révélant tout leur mystère ainsi que de vallées envoûtantes bercées au rythme d’une nature généreuse. La nature dans toute sa splendeur D’est en ouest, du nord au sud, le Beaujolais vous réserve des surprises qui vous rempliront d’amour et d’admiration pour cette terre bénie. Le Sud, avec ses villages sertis de vignes, aux bâtisses faites de pierres dorées, vous offre un spectacle inoubliable illuminé par les rayons révélateurs du soleil. Les terres viticoles aux paysages vallonnés du Nord, riches de panoramas appelant à la détente, seront également l’occasion de s’adonner à la visite des domaines viticoles, aux promenades dans les vignobles, mais aussi à la dégustation des fameux vins du Beaujolais. Rejoignez maintenant l’Ouest boisé de Douglas, les plus hauts pins d’Europe, contrée propice aux balades et aux randonnées avec plusieurs pistes VTT, d’ultra-trail et de chemins de randonnée. Également appelé poumon vert d’Europe, ce Beaujolais vert est la promesse d’un dépaysement en communion avec mère nature. Découvrez, entre autres, sur votre chemin, 146 villages d’exception dont Oingt, classé plus beau village de France, des châteaux de la Renaissance, des églises romanes ainsi que de nombreux musées, à l’instar du musée Paul Dini dédié à l’art de la région Rhône-Alpes. Flânez également dans le centre-ville de Villefranche-sur-Saône, capitale historique du Beaujolais dotée de monuments historiques tels que Notre Dame des Marais, un fleuron du patrimoine beaujolais. ...
La gestion de l’hébergement et de la table d’hôtes du lieu a été confiée à l’association Club d’Animation de la Ferme équestre du Puits de Riquier. Toute personne faisant une réservation à la ferme devient ainsi automatiquement membre passif de cette association, la participation financière faisant office de cotisation. Les membres actifs sont ceux qui l’animent. Des hébergements originaux Pour accueillir ses stagiaires, la Ferme équestre du Puits de Riquier dispose de site d’hébergement pour le moins originaux. Il s’agit en l’occurrence de chalets en bois et de tipis indiens. La particularité des chalets ? Ils ont été conçus et réalisés par Laure elle-même, avec l’aide de membres de l’association, d’où leur nom de Fanny, Charlotte et Claudine. Le chalet Fanny ne dispose pas de chambre. Il est commun à toute la clientèle pour servir de sanitaire. A l’instar des indiens, les tipis de la ferme proposent à ses stagiaires de dormir à même la terre. Toutefois, ils bénéficieront de plus de confort avec des matelas gonflables. Dans le grand tipi Tashunka, qui peut accueillir 4 à 6 personnes, il est possible de faire un feu de bois à l’intérieur. La ferme dispose également des infrastructures nécessaires pouvant servir de relais aux motards. Les stages équestres Le stage équestre est l’activité centrale proposée par Laure au sein de sa ferme. Il est destiné aux amateurs de chevaux et de randonnée, qu’ils soient débutants ou confirmés. L’apprentissage s’étend sur une semaine, du dimanche soir au samedi matin. Il inclut deux heures au minimum de randonnées en cheval par jour, des sorties en extérieur et différents animations et jeux ainsi que le tournage du cheval en longe. Pour toutes les activités équestres de la ferme, et précisément pour les stages, Laure recommande vivement de nouer le contact avec les chevaux, en les brossant et en les sellant notamment pour faciliter la relation homme-animal. Les randonnées à cheval Le ranch, installé près des lacs du Verdon et de plusieurs sentiers de randonnées, est le coin idéal pour les randonneurs, marcheurs et touristes. Le « Rando des Lacs » propose trois journées de balade en cheval autour des lacs, avec des pique-niques en pleine nature à base de produits du terroir. Le « Randovar » est un rendez-vous annuel qui invite à une traversée du Var, du Verdon à la Méditerranée. Il dure huit jours et permet la découverte de la richesse et la beauté de la flore et de la faune du département. Cette formule offre la possibilité d’amener et de monter son propre cheval. Autre formule disponible : la « Rando Magique », une promenade d’une heure et demi dans les environs d’une ferme templière et de la Fontaine aux Souhaits, suivie d’une dégustation de fromages et de vins de la région. Week-end en romantique Pour les amoureux qui veulent passer un moment inoubliable et inédit, la Ferme équestre du Puits du Riquier a développé une offre spéciale. Le temps d’un week-end, ils bénéficient d’une randonnée à cheval à la fontaine romantique, suivie d’un diner aux chandelles avec repas gastronomique et champagne. De plus, ils profitent d’une nuit dans un des chalets de la ferme et les photos souvenirs leurs seront envoyées gratuitement. ...
« Situé au cœur de l’Axe Seine qui relie Le Havre à Paris, à 120 kilomètres de la mer, Rouen réalise un trafic maritime de 23,5 millions de tonnes par an et 5 millions de tonnes par an pour le trafic fluvial », aime rappeler Pascal Gabet, président du Directoire et directeur général de Haropa – Port de Rouen (Haropa est la structure qui rassemble les ports du Havre, Rouen et Paris). Entre cinq et six heures d’une navigation aussi technique que splendide sont nécessaires pour remonter le fleuve et ses méandres sillonnant la Normandie. « Afin d'exploiter pleinement cette situation géographique exceptionnelle et nous positionner plus encore comme Hub logistique, nous avons mené d’importants travaux d’amélioration des accès maritimes entre 2012 et 2019 pour un coût de 200 millions d’euros. Désormais, des navires de grande capacité sont accueillis, pouvant dépasser les 11 mètres de tirant d’eau pour 290 mètres de long et 35 mètres de large ». Très concrètement, l’amélioration des accès maritimes permet au Port de Rouen d’accueillir des navires vraquiers de nouvelle génération, avec un tirant d’eau plus important dans des conditions de sécurité nautique optimales. Ce projet répond pleinement aux enjeux environnementaux en favorisant le développement du transport maritime. Les différentes infrastructures portuaires sont par ailleurs directement connectées aux nœuds ferroviaires et routiers qui irriguent le territoire français et le nord de l’Europe. Leur multimodalité est bien entendu renforcée par le fait que la Seine assure une desserte fluviale performante des terminaux rouennais. L’un des 1 ers viviers économiques de France desservi par 32 terminaux portuaires Les quais du Port de Rouen fourmillent d’une activité alimentée par l’économie industrielle et agricole de son territoire étendu. « C’est l’un de nos 1ers atouts différenciant : nous sommes au plus près des zones de production et de consommation. Un port, c’est de l’import-export : cela veut dire que l’on fait venir de la marchandise pour la consommer (en 2019, 8,54 Millions de tonnes importées, essentiellement des vracs liquides), mais également que l’on exporte les productions locales (en 2019, 14,91 millions de tonnes exportées, dont 8,26 Millions de tonnes de céréales). L’intérêt d’un port maritime en fond d’estuaire, à l’intérieur des terres, est là : offrir une chaine logistique compétitive en réduisant le coût du premier (export) ou du dernier (import) kilomètre. Haropa – Port de Rouen, avec ses 32 terminaux portuaires répartis le long de la Seine, est au plus près de son hinterland et des activités économiques : terminaux de Honfleur, terminaux de Port Jérôme et de Radicatel, proches du complexe pétro-chimique d’ExxonMobil à Port Jérôme sur Seine, terminaux de Saint Wandrille et du Trait (utilisé par le groupe TechnipFMC) et bien entendu les terminaux situés sur le territoire de la Métropole Rouen Normandie. Grenier à blé et Chocolate Valley « Le point fort de Rouen, c’est le trafic de céréales. 50 % des céréales exportées françaises transitent ici, environ 7,5 millions de tonnes par an. Nous sommes idéalement situés près de deux zones de production céréalière très importantes : la Normandie et l’Île de France ». Cette production française de céréales navigue vers différents endroits de la planète, participant de l’approvisionnement alimentaire de ces pays : notamment les pays du Maghreb ou du Moyen-Orient. De façon complémentaire, la présence agro-industrielle locale est également très forte, avec la présence de grands noms. « Qui sait par exemple que nous sommes la Chocolate Valley ? » Chaque année 125 000 tonnes de fèves de cacao arrivent à Rouen et sont transformées par les deux leaders mondiaux dans la fabrication du chocolat : Cargill et Barry Callebaut. Les productions des usines normandes de Ferrero (unique site Europe pour le Nutella et Kinderbueno) transitent depuis Rouen vers le port de Gennevilliers. 3éme région...
À travers les saveurs de la cuisine traditionnelle bretonne, concoctée à base de produits frais, ce restaurant vous promet d’authentiques recettes toutes aussi surprenantes les unes que les autres. Une cuisine 100 % bretonne Derrière les fourneaux, Emmanuel LAURAND, source d’inspiration pour toutes les recettes, prend plaisir à sélectionner soigneusement des produits frais venant des petits artisans bretons. Pour préparer les crêpes et autres galettes, cet établissement n’hésite pas à se procurer de la farine bio fabriquée à l’ancienne dans un petit moulin du Morbihan. Résultat, les saveurs et la qualité sont bel et bien présentes dans chaque plat. À midi, le menu Maïwen à 9,90 € fait des ravages et se compose d'une galette avec trois ingrédients au choix et d'une crêpe au dessert. Parmi les spécialités de la maison, laissez-vous tenter par une galette Tréhorenteuc, à base de crottin de chèvre, de miel, de paprika, de salade de mâche et de pignons. Une glace au chèvre préparée par un artisan glacier achève la composition de ce subtil mélange chaud-froid. Les amateurs de cuisine de brasserie avec des plats du terroir essaieront le magret de canard au caramel salé, une formule qui fait mouche. Côté crêpe, ce ne sont pas les parfums qui manquent. Caramel salé nature, caramel de chocolat, caramel de whisky breton, tout est fait pour subjuguer le palais. Les cidres Ambassade de Bretagne Cidre doux, jus de pomme, confiture de lait, ce restaurant propose également la découverte exclusive de gourmandises concoctées par des artisans bretons. Dégustez un large choix de 18 cidres issus des départements bretons pour une escapade authentique en terre bretonne. À l’instar de la cuvée blanche du Manoir de Kinkiz fabriquée à partir d’une pomme spéciale à la fois acidulée et fruitée. Un breuvage au goût très particulier, fort agréable en bouche. ...
Du bœuf de Kobe, à l’agneau d’Irlande en passant par le porc Genevois, le chef suisse doublement étoilé au Domaine de Châteauvieux Philippe Chevrier attise les braises dans son steak house à l’américaine. Cet authentique grill à l’américaine situé en plein cœur de Genève, sur la célèbre rue du Rhône est un repère idéal pour les fins gourmets. Célébrée dans un décor époustouflant, la viande est au centre des saveurs gastronomiques. Un peu de New York à Genève Pour Philippe Chevrier, cuisinier genevois doublement étoilé, c’est un vieux rêve qui s’est réalisé, avec l’ouverture de ce grill en fin 2015, à Genève. Le chef multi-restaurateur qui a bâti sa réputation au domaine mythique de Châteauvieux a toujours été fasciné par New-York. Preuve en est, il s’y rend régulièrement depuis 1984 pour participer au marathon. Plus qu’une inspiration, il a ramené du pays de l’oncle Sam de nouvelles façons de savourer la cuisine. Sur deux immenses étages boisés au chic incontestable tout de briques et de poutres, de matières brutes et de gros volumes, le décor de Chez Philippe semble tout droit sorti des quartiers de Brooklyn. Très fréquenté, l’établissement propose un dyptique au charme certain. Au rez-de-chaussée, le bar, lounge et décontracté propose à la carte burger, salades et viandes. Idéal pour un verre entre amis ou un repas sur le pouce. Le petit plus pour un moment after work : un pianiste qui accompagne les moments culinaires dans une ambiance conviviale. La brasserie est ouverte 7 jours sur 7 et prend les dernières commandes à 23h. A l’étage, c’est la partie grill-restaurant qui se dévoile. Plus intimiste, cultivant l’élégance et le raffinement cosy. Un immense loft au plafond haut et au décor vitré accueille le visiteur. Dans une ambiance tamisée et un design épuré, les chefs de Chez Philippe mettent sur le feu une gastronomie tendre et juteuse. Le succès du restaurant repose en effet sur la grande variété de viandes proposées sur le grill. A la carte, vous trouverez une vingtaine de pièces de viandes cuisinées et réputées pour leurs qualités gustatives. On y trouve, entre autres, de l’agneau d’Irlande, du porc Suisse, du boeuf d’Australie et du bœuf de Kobe (japonais). De quoi satisfaire toutes les envies des gourmets. Des tranches de rêve dans l’assiette Comme toujours dans les établissements signés Philippe Chevrier, les produits locaux restent à l’honneur avec des viandes suisses d’exception. Gourmandes, les recettes que l’on retrouve aux tables sont toutes réalisées avec maîtrise et savoir-faire sur le grill. Les plus belles races de bœuf, maturées sur l'os pendant 3 à 5 semaines sont travaillées par les chefs sur la base d’une cuisson au bois de hêtre dont les vertus sont reconnues pour une cuisine plus saine et diététique mais protéinée. Chez Philippe, la viande est aussi sélectionnée sur des marchés d’excellence incontournable, nous dit-on. En témoigne une collaboration fidèle depuis l’ouverture de l’établissement avec la grande boucherie du Molard, une institution Genevoise incontournable depuis 1921. Un boucher est d’ailleurs présent le midi pour découper la viande sous l’œil des clients dans les règles de l’art. Loin de se confiner à l’art terrien, la cuisine prend aussi le grand large. Homards, crevettes, noix de Saint Jacques snackées et autre mets de la mer connaissent également l’épreuve du feu avant de rejoindre le bois somptueux des tables et du bar. Le restaurant propose également un joli banc d’huitres d’Oleron. Du côté des desserts, les clins d’œil à New York se multiplient avec l’Empire State Building, ce gros gâteau meringué, servi aux fruits exotiques l’été et aux fruits rouges l’hiver. Le Genève-New-York est aussi à la carte, une sorte Paris Brest revisité et rebaptisé, véritable gourmandise agrémentée de chocolat et de café. ...
Société Coopérative et Participative (SCOP), l’Atelier du Bouilleur, situé à une vingtaine de kilomètres de Béziers, est le fruit d’une coopération entre distillateurs et vignerons. « L’entreprise se compose de 6 membres : distillateurs et distillatrices, prestataires de service pour des vignerons mais également des entrepreneurs qui veulent créer leur marque d'eau-de-vie sans être du milieu du vin ou des spiritueux », fait savoir Jennifer Frair, distillatrice, consultante en management des organisations et « disciple » de Matthieu Frécon et Martial Berthaud. Le retour à la source Produit emblématique de l’Atelier du Bouilleur, la Fine Faugères, créée par Noël Salles, est une eau-de-vie de vin vieillie IGP Faugères dont l’histoire remonte au XIXe siècle. En 1985, la distillation de la fine s’est arrêtée. En 2000, le distillateur Matthieu Frécon reprend sa production afin de lui rendre ses lettres de noblesse. En France, l’Atelier du Bouilleur figure parmi l’une des rares distilleries qui disposent encore des alambics à repasse originaux, notamment de type charentais. « Notre plus ancien alambic date de 1927 », signale notre interlocutrice, et de continuer que « contrairement aux producteurs industriels, nous proposons une petite production 100 % artisanale et naturelle (certifiée bio) afin de poursuivre notre démarche du retour aux traditions, du bien manger et du bien boire ». À la découverte du métier de distillateur Profitant d’une situation géographique exceptionnelle au milieu de vignerons dotés d’un savoir-faire ancestral, l’Atelier du Bouilleur distille du vin, des marcs et autres eaux-de-vie. Au sein de cette distillerie coopérative, « notre activité se divise en deux, dont la distillation à façon pour d’autres marques, et celle de nos propres produits ». Outre la distillation de vins de Faugères issus des cépages de la région (syrah, grenache, cinsault, carignan, mourvèdre), l’atelier propose des stages d'un weekend assurés par Matthieu Frécon. Le samedi, les participants suivent une formation en distillation d'alcool de bouche. Le dimanche quant à lui est dédié à la distillation alchimique (huiles essentielles, spagyrie, alcoolatures). La Fine Faugères : le succès de l’Atelier du Bouilleur La distillerie élabore une large gamme de produits parmi lesquels figure la Fine Faugères. Réputée comme étant la « troisième eau-de-vie de France », celle-ci est fabriquée suivant un cahier des charges précis. Vieillie en fût de chêne pendant au moins cinq ans, la Fine promet des notes fruitées et salines avec une belle douceur en bouche lors d’un dessert par exemple. La distillerie produit aussi des gins fabriqués à partir de baies de genévrier fraîches, sans sulfite et 100 % bio, ainsi que l'inédite Eau-de-vie de Verveine (une verveine sans sucre). Au-delà de ces classiques, l’Atelier du Bouilleur propose des séries limitées à l’instar de la vodka aromatisée à la lavande baptisée Lavodka, le vin distillé aromatisé à la flouve qui porte le nom de Flouvovin, ou encore le Printemps à base d'aspérule odorante fraîchement cueillie dans la région. « Le but de notre gamme série limitée est de montrer notre savoir-faire et le potentiel d'un vrai distillateur tel qu'on le connaissait avant, c'est-à-dire le bouilleur ambulant » rapporte Jennifer Frair. ...
Dans l'optique de mettre en valeur un produit en plein essor, qui est le vin conditionné en bag in box, la compétition baptisée Concours International Wine in Box a été lancée en 2015. Car aujourd’hui, les vins sous forme de BIB n’ont rien à envier à ceux en bouteille. « Nous sommes partis du constat que le marché des vins en BIB connaît une forte croissance. Des efforts considérables ont été entrepris par les producteurs de vins et les négociants pour rehausser la qualité des vins conditionnés en BIB entraînant une hausse de la demande sur le marché », nous explique Anne-Marie Estampe, directrice de la société Amelovin. Et d'expliquer que « grâce à ce concours, les consommateurs ont la possibilité de repérer les produits de qualité désormais estampillés de leurs médailles, comme les grands vins. » Un concours d’une envergure internationale En trois ans, CIWIB est devenu une référence. Le nombre d'inscrits ne cesse d’évoluer. Depuis la première édition en 2015, les vins qui sont en lice ont connu une hausse considérable. « En 2015, nous avons eu 250 bags in box avec une augmentation de 20 % en 2016 et en 2017. Cette année, on a eu l’Afrique du Sud, l’Argentine, l’Australie, la Bulgarie, la Grèce, l’Espagne, la France, le Luxembourg, les États-Unis… C’est vraiment un concours international, donc nous avons davantage de bags in box qui arrivent du monde entier », précise Anne-Marie. En tout, 384 compétiteurs notamment des producteurs, des coopératives, des négociants ou d'autres groupements de producteurs, ont concouru pour cette 3e édition du CIWIB. En France, les produits éligibles à la compétition sont surtout les « vins tranquilles français » ainsi que ceux certifiés selon l’article R.665-24 du code rural. Quant aux crus provenant des autres pays, ils doivent être conformes au code international des pratiques œnologiques de l’Organisation internationale de la vigne et du vin. Une compétition réglementée Au cours du concours, chaque participant doit présenter en tout quatre échantillons de vins dans un contenant Bag In Box de moins de 5 litres. Pour assurer leur confidentialité, les vins sont classés selon les appellations IGP, AOC/AOP, VDL et par catégorie : millésime, cépage, couleur. Ces produits seront évalués par des professionnels du secteur lors d’une dégustation. L’équipe du jury de cinq personnes est constituée par des œnologues, des sommeliers, des cavistes, des restaurateurs... Elle est systématiquement présidée par un œnologue. La dégustation est aussi ouverte aux amateurs. « Nous avons beaucoup de clubs d’œnologie qui rassemblent des passionnés originaires de France ou d’autres pays qui sont capables de déguster un grand nombre de vins en un laps de temps court, ce qui n’est pas donné à tout le monde », fait savoir Anne-Marie Estampe. À noter que l’or représente l’unique titre octroyé lors de ce concours international. Les résultats sont publiés le lendemain de la journée du concours. Les producteurs lauréats, quant à eux, reçoivent leurs diplômes au cours d'une cérémonie officielle de remise des diplômes qui se déroule lors d'un salon viti/vinicole. En 2015, ce fut à Bordeaux lors de VINEXPO, en 2016 ce fut à Bordeaux lors de VINITECH, en 2017 ce sera à Montpellier lors du prochain SITEVI. ...
De l’ingénierie au coaching professionnel Après avoir exercé le métier d’ingénieur pendant plus de 15 ans, Céline Poloce suit une formation de coach pour créer sa structure et lancer son activité professionnelle. « Je suis quelqu’un de rationnel » précise-t-elle. « Par mon parcours scientifique, mon approche des choses est très analytique. J’ai une vision très systémique et globale des interactions qui existent entre mes clients et leur environnement professionnel ». Pour autant, Céline n’hésite pas à combiner des outils très pragmatiques avec d’autres, moins rationnels. « Ma capacité à actionner une large palette de leviers, très concrets pour certains, plus métaphoriques pour d’autres, me permet de m’adapter rapidement à mes interlocuteurs. Je peux ainsi les aider à répondre efficacement aux questions qu’ils se posent ». Se garder de proposer des réponses à ses clients À la différence d’un consultant, un coach ne conseille pas son client mais permet plutôt à celui-ci de mobiliser les ressources nécessaires pour surmonter les obstacles qui lui barrent la route. En clair, un coach ne saurait se substituer à son client. Céline a donc appris à neutraliser les réflexes qu’elle avait hérités de son ancienne activité professionnelle. « L’une des missions de l’ingénieur consiste à résoudre les problèmes des autres à leur place. On recherche son expertise et son analyse » indique-t-elle. « Au contraire, un coach doit faire en sorte que ce soit son client qui trouve lui-même les réponses les plus adaptées pour atteindre ses objectifs. À moi de l’aider à voir la situation qu’il est en train de vivre d’un autre oeil. Tout n’est bien souvent qu’une question de point de vue. ». Sortir de sa zone de confort Basée sur la confiance et le respect, la relation qui se noue entre le coach et son client vise à obtenir des résultats concrets et mesurables. Pour y arriver, il peut s’avérer nécessaire de « bousculer » le coaché et de le faire sortir de sa zone de confort. « L’idée » explique Céline, « c’est d’emmener le client là où il n’est jamais allé, hors des sentiers balisés ». En le poussant à oser s’aventurer en « terre inconnue » plutôt qu’en « terrain connu », le coach amènera ainsi son client à l’autonomie. Prendre conscience de son potentiel et comprendre son propre mode de fonctionnement permettra au coaché d’être mieux armé pour affronter les difficultés de son travail quotidien. « Qu’il s’agisse pour un dirigeant de prioriser les actions à mener dans son entreprise, de modifier son leadership, ou encore de s’impliquer différemment en osant lâcher du lest et en confiant davantage d’autonomie à ses équipes ». ...
Situé à 10 minutes du centre de Marrakech, l’hôtel invite à une escapade hors du temps. En totale harmonie avec la nature et les paysages de rêve, les convives profitent de succulents mets et de plats aux saveurs ancestrales : une invitation gourmande selon les envies. Le restaurant marocain de prestige, Assyl Le restaurant Assyl paraît tiré des Mille et une Merveilles du Royaume du Maroc. Il a remporté en 2016 le prix du meilleur restaurant de luxe au Maroc (Luxury Restaurant Of Morocco), délivré par Luxury Lifestyle Awards 2016. Dans un décor de charme, le menu est exceptionnellement gourmand et met à l’honneur toute la richesse de la cuisine marocaine. Le chef Bahija sublime les saveurs en y apportant sa touche créative personnelle. Les produits frais et les textures se mixent avec délicatesse et subtilité pour ravir les papilles des convives. Assortiment de salades marocaines façon Dada, tagine de lotte à l’Argan, ou la spécialité Selman Tride au poulet fermier, safran de Talouine lentilles et fèves, et autres spécialités marocaines s’invitent à cette table qui vaut le détour ! Une cuisine marocaine résolument authentique… Le dîner est animé par un duo live andalou et un spectacle de danse orientale. ...
Quelle est l’histoire de Margo ? Ma fille Margo a été diagnostiquée d’un cancer à l’âge de 14 ans. Malheureusement, il s’agissait d’une tumeur au cerveau incurable. Pendant seize mois, ma fille s’est battue contre cette maladie tout en organisant parallèlement une collecte de fond pour aider la recherche qui a permis de récolter plus de 100 000 euros. Ce combat, je l’ai vécu à ses côtés et cela m’a fait prendre conscience que les enfants n’étaient pas épargnés par les cancers. Il s’agit même de la première cause de décès par maladie des enfants de plus d’un an en France et en Europe. Lorsque Margo nous a quittés, elle a laissé dans un cahier ce message inspirant : « Vas y, bats-toi, gagne ! » J’ai alors créé, avec son père, mon mari, l’association Imagine for Margo afin de poursuivre le combat. Parlez-nous de la genèse de l’association ? Déjà, c’est un changement de vie complet. J’ai dû arrêter de travailler pour m’investir totalement dans l’association que je voulais professionnelle et qui s’est développée rapidement. L’objectif a rapidement été clair : faire bouger les lignes pour obtenir des traitements et des médicaments moins toxiques et plus efficaces pour les enfants au travers de l’accès sécurisé à une recherche innovante et du développement de la médecine de précision. Parallèlement, l’objectif est de rechercher et d’obtenir des financements en mobilisant différents acteurs qu’ils soient industriels ou politiques et faire évoluer la réglementation européenne en la matière. L’idée, aussi, est de sensibiliser l’opinion publique sur les cancers qui touchent les enfants à travers des campagnes de communication. Enfin, l’association entend également apporter du soutien aux enfants et à leurs familles dans leur combat. Quels sont vos partenaires financiers ? Il faut bien comprendre que le cancer de l’enfant est peu attractif pour les industriels du médicament, qui préfèrent privilégier la recherche pour les cancers des adultes qui concernent plus de patients. Face à cette réalité, nous avons mobilisé activement nos donateurs ; particuliers et entreprises. Ainsi, en 10 ans, l’association Imagine for Margo a affecté 17 millions d’euros à la recherche en oncologie pédiatrique permettant de cofinancer 42 programmes de recherche aboutissant, aujourd’hui à 28 nouveaux traitements bénéficiant à 3000 enfants en France et en Europe. Depuis 2020, nous avons aussi fait changer d’échelle notre combat. En effet, avec deux autres associations européennes au Luxembourg et en Belgique, nous avons créé, l’appel à projets, Fight Kids Cancer. Ce regroupement est inédit et significatif. L’objectif est de booster la recherche contre le cancer en mutualisant nos fonds afin d’agir plus vite contre ce fléau qui touche 35.000 enfants et adolescents en Europe. En 3 ans, ce sont plus de 12 millions d’Euros qui ont été affectés à des programmes de recherche innovants. Pour les chercheurs, le message est clair : Nous souhaitons qu’ils passent moins de temps à chercher du financement et qu’ils se consacrent à leur mission : créer un monde avec des enfants sans cancer. Parvenez-vous à sensibiliser vraiment les politiques et les industriels du secteur ? Il faut être volontariste. Ainsi, nous souhaitons que des fonds européens soient dédiés à la recherche pour les cancers des enfants. D’ailleurs, les lignes bougent avec le premier Plan cancer européen et la Mission cancer pour financer de nouveaux projets au niveau européen. Aussi, le changement de la règlementation européenne va être annoncé en mars et nous espérons que cela va aller en faveur du développement des médicaments anti-cancéreux chez l’enfant, comme cela est déjà le cas dans la règlementation américaine depuis 2020. Par ailleurs, des laboratoires pharmaceutiques commencent à mettre en place des équipes dédiées à la pédiatrie, c’est prometteur et nous e...
Animé depuis toujours par la passion du vin, Didier Duplouy décide de se reconvertir vigneron à l'âge de 57 ans. Il reprend les vignes du Pallet en fermage le 1er janvier 2014 et créé dans la foulée sa propre entreprise. A son installation, il est aidé par plusieurs amis vignerons retraités qui lui inculquent leur savoir-faire familial. Il commence par construire un bâtiment pour entreposer ses matériels. Cette année, Didier en est à sa troisième récolte. Il se fixe comme objectif de pérenniser son entreprise et de transmettre son concept de domaine breton aux notes d'amour. Un domaine respectueux de l’environnement Le domaine d'Héloïse et Abélard est une petite exploitation viticole de 6,6 hectares. Ses parcelles sont cultivées de Melon de Bourgogne pour le Sèvre-et-Maine et Cabernet Franc pour son rosé, qui donnent en moyenne 220 hectolitres de vins. Dans un souci de considération et de respect pour la nature, Didier Duplouy mène une politique d'agriculture raisonnée. Il envisage même dans les années à venir de se reconvertir à l'agriculture biologique. Un coffret pour deux cuvées Le Domaine d'Héloïse et Abélard produit uniquement deux cuvées. Le " Muscadet Sèvre-et-Maine sur Lie " AOC, est une cuvée premium issue de raisins récoltés à pleine maturité. Elle est élevée 11 mois sur lie avec une vinification maîtrisée de bout en bout avant d'être mise en bouteille. Parée d'une robe jaune dorée, elle possède des notes de fruits compotés et miellés avec une pointe vanillée. Ce vin propose une rondeur et un bel équilibre en bouche avec une finale aux notes anisées. A table, il accompagne les fruits de mer ou les viandes blanches. Le " Rosé Cabernet Franc " IGP Val de Loire est une cuvée à la robe rosée aux reflets tuilés. On distingue au nez des notes poivrées et de petits fruits rouges. Son attaque est souple et harmonieuse sur des notes de cassis et cerise. Elle se déguste avec des crudités, salades composées ainsi que des viandes blanches et rouges. Ces deux vins sont présentés et commercialisés ensemble dans un seul coffret qui véhicule 3 concepts novateurs. Et d'un, il représente le produit breton typique, avec le blason du Pallet sur le devant avec en fond, une croix médiévale composée d’hermines bretonnes. Et de deux, il symbolise l'amour des amants célèbres Héloise et Abélard. Cette histoire est racontée en français et en anglais au dos du coffret. Et pour finir, son design a été pensé pour que le coffret soit idéal à offrir en cadeau. ...
Située au cœur du 15e arrondissement de Paris, cette enseigne aux dehors innovants, en plus d’être populaire, tranquille et un rien bobo, met le quartier en ébullition. À travers une cuisine bistronomique à base de produits frais et de saison, l’établissement propose une carte évolutive intégrant trois entrées, trois plats et trois desserts qui changent tous les mois, avec, à côté, un menu du midi composé de deux entrées, deux plats et deux desserts, qui, chaque semaine, ne sont jamais les mêmes. Misant sur la fraîcheur et la qualité des produits, l’établissement met à l’honneur le « fait maison ». Son menu bistronomique séduit plus qu’il ne surprend avec ses cinq variétés de plats, à savoir un assortiment d’amuse-bouches, une entrée, un plat de poisson, un plat de viande et un dessert. Les ingrédients sont ingénieusement agencés dans les assiettes, dans une intéressante alliance de couleurs et de saveurs. Magret de canard, Saint-Jacques et autres matières premières d’exception sont délicieusement mis en scène. Une ambiance bistronomique La Table des Insolents, c’est un fond de cuisine un peu fusion aux tendances légèrement orientales. Avec un brin d’audace, comme le laisse supposer le nom de l’établissement, les classiques sont ici revisités avec des plats à l’image du restaurant. Dans un décor assez épuré aux tables d’une grande sobriété, l’accent est mis sur la qualité et la simplicité, pour une belle harmonie. ...
Situé à 10 minutes du centre de Marrakech, l’hôtel invite à une escapade hors du temps. En totale harmonie avec la nature et les paysages de rêve, les convives profitent de succulents mets et de plats aux saveurs ancestrales : une invitation gourmande selon les envies. Le Pavillon, restaurant méditerranéen Une véritable pause gustative attend les convives au Pavillon du Selman Marrakech. La carte, quant à elle, est résolument méditerranéenne. Elle dévoile des plats frais et goûteux à apprécier en toute décontraction. Spécialités italiennes, espagnoles… Mille saveurs méditerranéennes avec pour toile de fond mère Nature ! Le carpaccio ou la burrata en entrée, la bolognaise à la menthe basilique en plat, et, en dessert, la crème brûlée à la vanille macaron et friandise… Tous les dimanches de la saison, Le Pavillon accueille les convives pour partager son fameux brunch. Au programme : un buffet méditerranéen et marocain sublimé par une présentation des pur-sang arabes et par un groupe de musique live. ...
Dans une perpétuelle quête d’excellence, la maison de champagne Gratiot-Delugny a su apporter à ses vins un caractère unique reflétant terroir, gestes ancestraux et authenticité familiale. Depuis 1946, chaque génération a participé à l’évolution des champagnes en misant sur la passion et le savoir-faire traditionnel. Un terroir de caractère D’une superficie totale de 10 hectares, le vignoble est réparti sur trois communes, à savoir Croûttes-sur-Marne, Nanteuil-sur-Marne et Charly-sur-Marne. S’y développent les trois cépages champenois, à savoir le Pinot Meunier, qui est à l’origine de caractéristiques fruitées et aromatiques avec une touche de vinosité ; le Chardonnay, offrant finesse et élégance aux vins ; et enfin le Pinot Noir, source de puissance et garant de vins à la structure solide. Soucieuse de préserver l’environnement et de laisser au terroir la possibilité de s’exprimer pleinement, la famille Gratiot-Delugny opte pour un mode de viticulture raisonnable. Ses terres aux sols argilo-calcaires font l’objet d’une vendange de 90 et 100 jours en septembre, après floraison. Un pressurage traditionnel des raisins est ensuite réalisé au domaine. Des champagnes alliant finesse et générosité La maison a développé six cuvées avec une production de 90 000 à 100 000 bouteilles par an. À découvrir : la cuvée Réserve à 80 % Meunier et 20 % Pinot Noir, le terroir authentique, qui est un champagne long en bouche, parfait pour l'apéritif sur de petites bouchées salées. La cuvée Sélection, issue d’un assemblage de 60 % Chardonnay et 40 % Pinot Noir, est un champagne vif et aux bulles fines, qui se déguste à tous les moments de la journée. La cuvée Millésime sera appréciée lors de vos soirées entre amis et accompagnera parfaitement les petites douceurs sucrées. La cuvée Histoire d'Hommes, quant à elle, est composée de 90 % Chardonnay et 10 % Pinot Noir. Elle est vinifiée en fûts de chêne et dévoile des petites notes briochées qui s'accorderont à merveille avec des mets de caractère, comme des terrines de gibier. ...
À quelques kilomètres de Fontainebleau, à deux pas du château de Bourron, Le Martingo est le lieu de rendez-vous incontournable des gourmets de la région. À l’extérieur, le restaurant séduit par son édifice en briques, à l’image de l’architecture locale. Une fois la porte franchie, la salle dégage une ambiance à la fois chaleureuse, chic et intimiste. La décoration y a été minutieusement repensée pour être au goût du jour tout en préservant l’esprit d’antan de la bâtisse. Et, durant les beaux jours, la terrasse ombragée est une véritable invitation à la détente et au plaisir. Une bonne table ! À l’image de l’établissement, la cuisine s’inspire du terroir avec une petite touche de fraîcheur. Grâce à des produits frais issus du marché local, le chef Nicolas Guillebeaux propose des plats authentiques, savoureux et gourmands. Tous les midis, une formule « déjeuner » propose deux entrées, deux plats et un dessert ou un fromage au choix. La proposition est renouvelée chaque semaine selon la disponibilité des produits sur le marché. Au gré des saisons, la carte propose des plats gastronomiques à base d’ingrédients nobles. L’occasion pour les convives de déguster le fameux foie gras à la truffe ou le succulent confit de canard, des plats estampillés « fait maison ». Pour accompagner cette bonne cuisine, la carte des vins met en avant les grands classiques ainsi que des révélations du paysage viticole français. Parmi les plus prisés figurent le vin rouge Irancy, un Bourgogne, et le vin blanc ou rosé Sancerre, de la vallée de la Loire. ...
Depuis des années, cet endroit au décor intimiste est devenu le cocon de sérénité des amoureux avides de calme et de tous ceux qui sont en quête d’instants paisibles loin des agitations parisiennes. Des plats classiques à la saveur unique Au restaurant Le Temps au Temps, les plats classiques seront préparés passionnément avec des ingrédients de saison et retouchés avec créativité par Denis Sabarots. Le moment de relâche s’entame dès qu’on franchit les portes à baie vitrée du restaurant. Le long bar et les tables tout en bois satiné imprégneront les convives d’une ambiance calme, intime mais chaleureuse. Bien installé près de la grande horloge noire qui orne subtilement le mur, on pourra commencer à savourer la Tartine de merlan en escabèche en toute tranquillité. « C’est un filet de merlan cuit à la plancha, mis sur un pain de campagne et accompagné d’une garniture constituée de carottes, d’oignons, de vinaigre à l’alcool, de thym et d’huile d’olive », explique le chef. En guise de plat de résistance, le délicieux Cabillaud à la mousseline d'artichaut émoustillera vos papilles. Des morceaux d’artichaut cuits avec de l’eau, un peu de vin blanc, des oignons émincés et de l’ail écrasé puis mixés avec du beurre enrichiront le cabillaud. Un mélange de saveurs et d’arômes à découvrir absolument. Et pour achever ce périple avec douceur, rien de tel que le Sablé au chocolat et à la marmelade d’orange. Dans cette adresse hors pair, on se laisse également tenter par les nombreuses références de vins, qui seront à la hauteur de toutes les espérances pour assurer la touche qui ira parfaitement avec le décor et les mets copieux proposés par la maison. « Le Menetou Salon ou les vins Pierre Richard font partie de ceux qui marchent bien », selon Denis Sabarots....
Déployé à Nantes et à Angers, cet institut prodigue des soins complets aux malades atteints de pathologies cancéreuses et qui sont à la recherche de traitements innovants. Ici, chaque patient bénéficie d’un parcours de soins personnalisé et d’un suivi thérapeutique complet. Mis à part cette prise en charge globale de qualité, l’institut accueille également les chercheurs ainsi que les professionnels de santé pouvant apporter leur contribution à cette lutte humaine grâce à leurs connaissances et à leurs expériences. Radiothérapeutes, oncologues médicaux, chirurgiens, anatopathologistes ou mêmes infirmières s’adonnent main dans la main à des activités de recherche entamées avec un partenariat solide entre le centre, le CRCINA (Centre de recherche en cancérologie et immunologie Nantes, Angers, regroupant des laboratoires INSERM et CNRS), les CHU de Nantes et d’Angers (centres hospitaliers universitaires) et d’autres institutions travaillant pour la même cause. Ainsi, l’ICO teste des molécules innovantes, adapte chaque traitement à la résistance des tumeurs, améliore les protocoles de traitement par radiothérapie et les protocoles de chirurgie, s’investit dans la médecine nucléaire et se focalise sur une thérapie de précisiontout en assurant un lien effectif entre la recherche fondamentale et la recherche clinique. Il en découle une expertise reconnue tant au niveau régional qu’au niveau national, une renommée qui fait la force de ce pôle d’excellence dans la lutte contre le cancer. Un pôle d’excellence composé d’équipes pluridisciplinaires « Ici, chaque discipline est organisée de manière à pouvoir effectuer des recherches dans plusieurs domaines à la fois », explique le Professeur Mario Campone. « La recherche est menée avec des spécialistes de ce type de pathologies, mais aussi et surtout avec des médecins et des infirmières, afin de maximiser la collecte de données cliniques et favoriser la transition entre la recherche clinique et la recherche fondamentale. » Les essais cliniques sont d’ailleurs conduits suivant une politique de qualité au niveau de chaque salarié du centre, une politique qui a valu au centre d’obtenir en 2017 la certification ISO 9001-V2015 pour son département de Recherche Clinique. Ce label de qualité garantit pour les laboratoires pharmaceutiques le savoir-faire et des résultats de haute qualité produits par l’ICO. Toujours suivant cette politique de l’excellence, le centre participe à l’évaluation des futurs nouveaux médicaments. Les équipes chargées d’effectuer les tests axent leurs essais non seulement sur l’efficacité de ces médicaments, mais également sur leur capacité à contrer la résistance des cellules tumorales aux précédents traitements. Le centre est également le premier centre français de radiothérapie et est doté d’un parc de onze accélérateurs comprenant un accélérateur peropératoire. Le perfectionnement de la radiothérapie figure d’ailleurs parmi les priorités du centre, qui voit en cette technique la technologie curative de demain. Les radiothérapeutes ont pour priorité de rendre leurs interventions efficaces tout en préservant les cellules saines non touchées par les tumeurs. Les chirurgiens, de leur côté, œuvrent également pour améliorer le traitement chirurgical de chaque patient, en misant par exemple sur des recherches en robotique. Des soins d’accompagnement psychologique, esthétiques et même kinésithérapeutiques sont également prodigués au sein de l’ICO. La prise en charge de chaque patient est de ce fait assurée par une équipe pluridisciplinaire, dont les membres s’appliquent à donner le meilleur d’eux-mêmes afin de mener à bien la lutte contre le cancer et de proposer des traitements adaptés à chaque individu, allant du diagnostic au traitement. La recherche pour sauver le plus de patients Allant de la recherche fondamentale à la recherche clinique, en passant par la recherche dite de transfert, l’ICO multiplie ses pôles d’intervention en travaillant en partenariat avec des équipes de recherche fondamentale du C...
Présente en France depuis déjà deux siècles, la maison familiale Cuperly est en perpétuel progrès en basant sa production sur la vitiviniculture traditionnelle et raisonnée avec une parfaite maîtrise des techniques de vinification modernes. Situé dans la montagne de Reims, son vignoble s’étend principalement au sein de trois grandes communes plébiscitées pour la qualité de leur sol et de leur climat à produire des vins d’exception, Verzy, Verzenay et Mailly-Champagne. La trentaine de parcelles est destinée à la culture du pinot noir et du chardonnay, les seuls cépages qui entrent dans l’élaboration des champagnes grand cru Cuperly. En tant qu’entreprise familiale, « une partie de nos raisins provient des achats familiaux », nous informe Anne-Sophie Cuperly, gérante. Une gamme éclectique de cuvées S’inscrivant dans une démarche de production durable et de qualité, la maison Cuperly exclut la fermentation malolactique (FML) dans son processus de fabrication afin de garder la fraîcheur de ses produits. En effet, « une partie de nos vins est élevée en fûts de chêne de 300 litres et nous faisons nos liqueurs nous-mêmes à partir des raisins de la production grand cru, pour sublimer nos champagnes et respecter le dosage traditionnel », ajoute notre interlocutrice en toute franchise. Quel que soit l’événement à célébrer, la large palette de cuvées grand cru et carte verte (grande réserve) de la marque raviront tous les palais à l’instar des champagnes grande réserve rosé, blanc de blancs et prestige Millésime 2009. À l’occasion de la Saint-Valentin par exemple, Cuperly propose les collections fleur grande réserve (bouteille rouge) et prestige (bouteille bleue) pour le bonheur des couples. La grande réserve joyeuses fêtes, quant à elle, se déguste volontiers lors des grandes fêtes : Noël, fin d’année, etc. Parmi ces produits, les cuvées prestige ( environ 30 % de chardonnay et 70 % de pinot noir) et le blanc de noirs (100 % pinot noir) constituent respectivement les champagnes emblématiques et typiques de la maison. Une expérience inédite au cœur de la Champagne Tout au long de l’année, des visites guidées au sein de sa propriété pour découvrir tous les processus de fabrication du champagne Cuperly, depuis le chai à la cave à millésimes sont organisées. Quant à la dégustation, la maison dispose d’un espace d’accueil éblouissant et convivial où l’initiale de la marque est mise en avant sur un mur en bouteille de verre éclairé. Par ailleurs, en partenariat avec les offices de tourisme de Châlons-en-Champagne, d’Épernay et de Reims, Champagne Cuperly développe actuellement une offre œnotouristique particulière afin de permettre aux visiteurs de profiter pleinement de leur séjour dans la région du Grand-Est. ...
Perdu au milieu des champs de vignes et idéalement installé au cœur d’une réserve naturelle, le restaurant Les Granges puise son inspiration dans ce cadre exceptionnel. Ici, le soleil et les chants d’oiseaux sont complices du charme du moment. Le soin apporté à la décoration procure encore plus d’apaisement : la lumière naturelle, les meubles en bois, les lignes épurées et le style moderne et minimaliste. Un jeu de saveurs dans les assiettes Aux fourneaux, le duo de chefs formé par le chef Erwan Le Cadet et Alexis Lejeune propose une cuisine de brasserie à mi-chemin entre tradition et gastronomie, où les produits locaux de première qualité sont à l’honneur. « Le restaurant est axé autour d’une démarche de proximité, et la charte signée avec Pro Natura nous engage à utiliser au maximum des produits du terroir et des produits bio », nous dévoile Gaëlle Le Cadet, la gérante. C’est avec le respect de cette philosophie « engagée » que l’établissement confectionne sa carte, son menu de la semaine et ses formules en privilégiant les produits de saison. Les incontourables de la carte sont les assortiments de burger maison, la viande à la broche tous les samedis de Mai à Septembre, les plats de la semaine et le brunch tous les dimanches.. Erwan Le Cadet concocte des plats plus sophistiqués et audacieux à l’instar de la daurade sauce vierge et riz parfumé ou la joue de porc cuite à basse température cuisson 13 heures. Côté dessert, c’est le jeune chef pâtissier Alexis Lejeune qui s’y attelle en déployant toute sa créativité. Ses signatures : le moelleux chocolat crème anglaise ou son café gourmand. « Les Granges est une aventure qui nous lie tous, chacun apporte sa personnalité et son énergie », nous rappelle l’équipe. Animée par la volonté d’offrir l’excellence à ses clients, ce pool de passionnés travaille exclusivement avec les producteurs locaux, dont la Culture locale à Dardagny, la boucherie d’Onex et la Genevoise du Terroir. Enfin, pour enrichir la cave à vins, la maîtresse des lieux sélectionne les meilleures cuvées genevoises comme celles issues du domaine Dugerdil, du domaine Chafalet et du domaine Clos des Pins, tous situés à Dardagny. Des formules gourmandes De mai à septembre, les samedis c'est viande à la broche, avec possibilité de broche en dehors des samedis pour les groupes ( mariages, anniversaires, ...) à partir de 30 personnes... « Les morceaux sont découpés et préparés devant les clients, servis avec un buffet de salade, de frites et ratatouille ». Un brunch à discrétion est en revanche proposé tous les dimanches pour environ 54 francs, avec possibilité de brunch en dehors du dimanche à partir de 30 personnes également. Le brunch consiste en un gigantes-que buffet chaud/froid, avec boissons sans alcool (café, thé, jus de légumes) à déguster ou à emporter. Petits et grands vont se régaler avec les mini-viennoiseries, jus de fruits de saison, amuses-bouche salés, boissons chaudes, et desserts maison au choix. Et, en été, on sort pour profiter du beau temps et du paysage. Ces formules alléchantes sont ponctuées d’une ambiance champêtre qui s’adapte à tout événement familial. ...