Située au cœur du 15e arrondissement de Paris, cette enseigne aux dehors innovants, en plus d’être populaire, tranquille et un rien bobo, met le quartier en ébullition. À travers une cuisine bistronomique à base de produits frais et de saison, l’établissement propose une carte évolutive intégrant trois entrées, trois plats et trois desserts qui changent tous les mois, avec, à côté, un menu du midi composé de deux entrées, deux plats et deux desserts, qui, chaque semaine, ne sont jamais les mêmes. Misant sur la fraîcheur et la qualité des produits, l’établissement met à l’honneur le « fait maison ». Son menu bistronomique séduit plus qu’il ne surprend avec ses cinq variétés de plats, à savoir un assortiment d’amuse-bouches, une entrée, un plat de poisson, un plat de viande et un dessert. Les ingrédients sont ingénieusement agencés dans les assiettes, dans une intéressante alliance de couleurs et de saveurs. Magret de canard, Saint-Jacques et autres matières premières d’exception sont délicieusement mis en scène. Une ambiance bistronomique La Table des Insolents, c’est un fond de cuisine un peu fusion aux tendances légèrement orientales. Avec un brin d’audace, comme le laisse supposer le nom de l’établissement, les classiques sont ici revisités avec des plats à l’image du restaurant. Dans un décor assez épuré aux tables d’une grande sobriété, l’accent est mis sur la qualité et la simplicité, pour une belle harmonie. ...
Dispersées sur les communes de la Cadière d’Azur, du Castellet et de Saint-Cyr-sur-Mer, les vignes de la maison Castell puisent leur complexité gourmande, leur richesse aromatique et leur équilibre dans un terroir préservé au sol argilo-calcaire. Les cuvées Castell-Reynoard, élégantes et généreuses, sont ainsi les ambassadrices d’un savoir-faire ancestral savamment allié au respect de la terre. Un terroir d’exception respecté Depuis 1892, la famille Castell s’attache à produire du vin de qualité respectueux des traditions et de la nature. Le cinsault, la grenache, la clairette, le mourvèdre ou le carignan sont des cépages qui y sont travaillés avec passion dans le but d’élaborer des cuvées d’exception fidèles à leur terre. Julien Castell tient aujourd’hui à préserver l’âme de cette maison familiale en s’assurant que « l’exploitation s’harmonise avec le développement de l’écosystème à savoir la flore et la faune naturelles », explique-t-il. Travail du sol à cheval, accompagnement du vignoble selon les influences cosmiques et traitement des vignes suivant des pratiques raisonnées et naturelles sont autant de gages d’aboutissement de cette noble quête de la qualité au naturel. D’ailleurs, pour Julien, « il est important de restituer et de respecter la vigne comme un être vivant ». Ce vignoble idéalement exposé et bénéficiant d’une influence marine produit ainsi des cuvées d’exception dans lesquelles le terroir s’exprime naturellement. Parmi les ambassadeurs de cette gamme fleurant bon l’authenticité, appréciez le vin haut de gamme Clos Castell à l’occasion de vos instants raffinés. Doté d’un nez sublime, long en bouche et ponctué d’une riche palette d’arômes relevés et garrigues, ce vin rouge intime de 600 bouteilles, véritable fleuron du terroir, surprendra vos sens. Accompagnez également vos apéritifs d’une Cœur de Vigne, un vin rosé équilibré, ample et doté de légères touches saumonées et fruitées. ...
Avec son patrimoine culturel exceptionnel et son ambiance chaleureuse, Douai donne envie aux visiteurs de s'y perdre le temps d'un séjour. Vous avez dit culture ? Une cité au si riche passé et aux traditions si bien ancrées ne peut qu’être une ville de culture. Les acteurs culturels, institutionnels ou non, y sont donc extrêmement nombreux. • Le Musée de la Chartreuse, installé depuis 1958 dans l’ancien couvent des Chartreux, détient l’une des plus belles collections de la région Hauts-de-France, du XVe siècle à nos jours. Depuis sa constitution à partir des saisies révolutionnaires, il s’est enrichi de dons (Bellegambe, Jean de Bologne…), d’achats (Véronèse, Greuze, Pissarro, Bonnard…) et de dépôts de l’État (Maître de la Manne, Corot). Douai a en outre vu naître de très nombreux artistes, dont Bellegambe, Bologne, Bra, Cross, Labisse… • Le conservatoire à rayonnement régional Victor Gallois. S’il dispense un enseignement de grande qualité aux amateurs, le CRR prépare également ses étudiants à l’entrée dans les meilleurs établissements supérieurs français et étrangers. Avec ses départements d’art dramatique et de danse, c’est un fleuron de la culture douaisienne. Son auditorium Henri Dutilleux, à l’acoustique remarquable, accueille les concerts de Musique à Douai et de l’Orchestre régional de Douai. • La bibliothèque Marceline Desbordes-Valmore. Créée en 1767 pour accueillir la bibliothèque confisquée aux Jésuites, elle s’est ensuite notamment enrichie des saisies révolutionnaires. Ses 2 000 manuscrits, ses enluminures exceptionnelles, ses 4 600 lettres (1 600 autographes et 3 000 copies par son fils Hippolyte) de la poétesse Marceline Desbordes-Valmore, ses 300 incunables, dont la célèbre Bible dite de Douai, en font un établissement hors du commun. • Les archives communales. Elles sont réputées dans la région et se distinguent par leur richesse, l’importance de leurs fonds médiévaux et par leur collection de 35 000 chirographes, dont 6 000 contrats de mariage du XIIIe au XVIIe siècle, que de nombreux chercheurs étrangers étudient régulièrement. • Le théâtre à l’italienne. Sa création date de 1785. Il accueille dans un écrin entièrement rénové de nombreux spectacles, dont certaines pièces enregistrées pour la télévision. Il est aussi régulièrement le cadre de tournage de films. • Tandem Douai-Arras. Né du rapprochement de L’Hippodrome (scène nationale) de Douai et du Théâtre d’Arras, Tandem soutient la jeune création et favorise le croisement des arts. Par exemple lors de la manifestation Happy AnD qui investit, chaque année, différents lieux des deux villes avec concerts, théâtre, danse, arts du cirque, magie… • Musée-parc archéologique Arkéos. Le musée, dont les collections sont en grande partie constituées du résultat de fouilles préventives, retrace l’évolution du Douaisis et de l’Ostrevent depuis le Paléolithique, tandis que dans le parc, auquel on accède par une passerelle enjambant la Scarpe, seront progressivement restitués un portus, un ensemble carolingien avec église, cloître, jardin médiéval, une motte féodale et son donjon entouré d’un large fossé en eau. • La collégiale Saint-Pierre, quant à elle, a été construite au XVIIIe siècle et allie le style gothique flamand au classicisme des XVIIe et XVIIIe siècles. Cet écrin, monument historique, renferme de nombreuses œuvres d’art classées elles aussi. Depuis 2009 sont entrepris de gros travaux de restauration des toitures, façades et vitraux, dans le cadre d’une opération globale de 5 millions d’euros. Douai : une ville d'histoire En plus d'être l’un des rares territoires à posséder trois inscriptions au Patrimoine mondial de l’Humanité, la ville de Douai est riche d’un magnifique beffroi qui culmine à 61 mètres et renferme en son cœur l’un des plus grands carillons d’Europe avec 62 cloches. La cité...
Pour Frédéric Bourgoin, le temps est venu de dépoussiérer l’image désuète associée au cognac. Un phénomène qui – d’ailleurs - mérite amplement une réflexion. Dans son propre pays natal, ce spiritueux a été relégué au rang de digestif de vieux pépères. Une situation inadmissible pour ce jeune vigneron qui aspire à tellement mieux pour un si beau produit. Histoire de faire bouger les lignes du cognac, il s’est alors imposé une nouvelle vision directrice. L’idée ? « Proposer une approche viti-vinicole naturelle, de la transparence à outrance, et un soupçon d’innovation ». De la vigne au verre À côté des grandes marques de cognac, les faiseurs de petits volumes tentent de se tailler une place au soleil en adoptant une toute approche dans la production de leurs spiritueux. C’est le cas de Bourgoin Cognac. Cette maison implantée sur la commune de Saint-Saturnin, dans le village de Tarsac fait appel à l’expérience familiale, l’amour du terroir et l’innovation pour tirer son épingle du jeu. Constitué en 1930, le domaine a vu succéder quatre générations de vignerons et s'étend aujourd'hui sur les crus premiers bois (hautement revendiqué), petite champagne et fins bois. Frédéric est particulièrement admirateur du terroir des premiers bois. « C’est un minuscule cru oublié de la carte AOC cognac du 1er Mai 1909, doté de sous-sols calcaires du Crétacé (cénomanien moyen) », communique-t-il. Ce fort attachement à la terre s’illustre par des méthodes de fabrication typiques. « Je m’obstine à faire des cognacs « nature » qui expriment au mieux le terroir qui les a vus naître. Donc chez moi pas d’assemblages, pas de filtrations, pas de colorants, et pas de sucres ajoutés ». En clair, le produit et rien d’autre. Pour aller encore plus loin dans sa démarche, le vigneron-terroriste fait aussi tout lui-même, aidé de quelques membres de la famille. De la récolte des raisins, au pressurage, en passant par la distillation jusqu’au vieillissement, le domaine maîtrise l’ensemble de la chaîne de production. Quelques ambassadeurs de la maison L’innovation constitue l’une des marques de fabrique de Bourgoin Cognac. Une philosophie qui se découvre à travers le Micro-barrique 1998. Ce cognac XO est élevé dans des micro-barriques de 10 litres, ce qui lui donne plus de rondeur et de suavité. Ce n’est pas tout. « Ces contenants sont surchauffés à l’intérieur à l’aide de charbon actif qui va capter les éléments trop agressifs du cognac et le rendre plus doux en bouche. C’est ce qu’on appelle la méthode du bousinage crocodile », nous informe notre interlocuteur. L’objectif étant de redonner l’envie à certaines personnes qui boudaient le cognac de se remettre à en déguster. Pari gagné. Les produits Bourgoin Cognac commencent à imposer leur signature auprès du cercle très fermé des jeunes branchés parisiens. « Nous avons pour ambition de plaire notamment aux trentenaires qui ont envie de se différencier de la consommation de leur papa plus axé sur le whisky et qui redécouvrent cet alcool français oublié. Cette jeunesse qui aime déjeuner dans les restaurants gastronomiques, en quête de naturalité, de produits vrais et authentiques, de structures familiales et de produits en direct du producteur. Bref, ceux qui ont en marre d’acheter des marques déconnectées du terrain. » Message clair et limpide Monsieur Bourgoin ! ...
Le restaurant Bellini invite les épicuriens en herbe à découvrir ou à redécouvrir toutes les subtilités et les saveurs de la cuisine traditionnelle italienne. Un décor sobre mais authentique S’inviter au restaurant Bellini est synonyme de voyage pour les sens. Comme préambule à une expérience gustative unique, le décor annonce d’entrée la couleur ! Un cadre cosy, simple et élégant attend les convives. L’ambiance se prête idéalement à un dîner en famille, entre amis ou collègues. Les invités notent une touche d’authenticité qui transparaît à travers ces pierres apparentes. Bien visible, un four à bois s’offre au regard des convives. Bref, tout concourt à donner à ce bel endroit un charme presque inimitable. Une cuisine savoureuse Le chef, Rémi Barthe, concocte avec amour et passion une cuisine traditionnelle qui fait la part belle aux produits frais. Ainsi, viandes, poissons, fruits et légumes proviennent essentiellement des producteurs locaux. Pour les produits secs, cet établissement importe directement d’Italie. Chez Bellini, la carte se garnit, au gré des saisons, des nouvelles trouvailles du chef. Celui-ci suggère à ses invités d’entamer leur escapade gastronomique par un assortiment d’antipasti suivi d’un succulent veau à la milanaise, fettucines au marsala. Et pour achever comme il se doit ce voyage culinaire, rien de tel qu’un tiramisu aux cerises pour donner l’envie aux grands gourmands de réitérer cette agréable expérience. Mais le restaurant Bellini, c’est aussi des pizzas délicatement cuites dans des fours à bois. D’authentiques pizzas italiennes à emporter ou à déguster sur place selon les envies ! Côté vins, entre les rouges et les blancs, les connaisseurs trouveront certainement leur bonheur parmi une trentaine de références. ...
Le nom de Molin’Agly est dérivé du mot molin qui veut dire moulin en occitan et d’Agly, la vallée où se situe cette exploitation. Elle est la propriété d’Eric Pimpurniaux, un Belge qui a reçu le soutien de la population locale pour sa passion du vin. Cinq ilots de vignes Le vignoble qui se trouve à une altitude de 350 à 400m, est éparpillé sur cinq parcelles autour du village de Caudiès de Fenouillèdes. Exposé plein sud et légèrement en pente, l’encépagement du « Mousquier » est composé de Chardonnay et Merlot. « Le Ravin des Sieures » et « Garrigue Haute » sont quant à eux plantés de la Syrah et « Le Cagne » est cultivé de Chardonnay, Sauvignon Blanc et Cabernet Franc. La dernière parcelle, « Bram Fam », est le joyau du domaine avec ses vieilles vignes de Carignan de 50 à 80 ans d’âge. Le domaine de Molin’Agly profite du climat méditerranéen tout en étant préservé de la sécheresse estivale grâce à sa proximité avec les Pyrénées, conférant à ses vins une belle fraîcheur et des arômes puissants. A l’instar de la plupart des agriculteurs de la région (80%), le domaine Molin'Agly est en phase de reconversion pour être agréé sous le label agriculture biologique. Ainsi, les produits chimiques ont été bannis de toutes les parcelles depuis les dernières années. Une cave bien équipée Ne disposant pas de cave propre au domaine, Molin’Agly a opté pour la location d’une cave de la région pour vinifier et élever ses vins. Inutilisée pendant un certain nombre d’années, elle a été complètement rénovée et rééquipée. Elle est dotée d’une cuverie inox, d’un groupe de froid, d’un pressoir et d'égrappoirs. Ces matériels permettent à l’œnologue du domaine d’obtenir des produits à l’hygiène impeccable et de minimiser au maximum syndical l’oxydation des produits qui y sont stockés et en cours d’élevage. Des vins au caractère bien trempé Depuis sa reprise en 2014 par la bande à Eric, Molin’Agly produit une belle gamme de cinq vins qui se distinguent par leur nom à l’image de leur caractère. Ainsi, ces cuvées s’appellent « L’Intense », « L’Audacieux », « L’Espiègle », « Du Nord au Sud » et « Bram Fam ». Cette dernière, qui signifie littéralement « Crie la faim » en occitan, est issue de Syrah lieu-dit éponyme. Toujours fin et très équilibré quel que soit le millésime, ce vin se déguste en accord parfait avec des viandes rouges, du gibier ou des mets relevés tels que tajines ou grillades. Pour le domaine de Molin’Agly, jeunesse ne rime pas avec inexpérience, puisque ses vins se retrouvent d’ores et déjà sur les tables de restaurants belges de renom tels que le « Pilori » à Ecaussines, la « Loungeatude » à Louvain-la-Neuve, ou récemment au restaurant éphémère « La Saison » à Corbais, mais également en France au restaurant « Verte Campagne» à 10 minutes de Toulouse ! ...
Poussez les portes du bureau de Corsazur et découvrez la Corse autrement. Corsazur : quand la Bretagne rencontre la Corse Des Bretons qui proposent des locations de voiliers avec ou sans skipper sur le littoral Corse : un concept qui peut surprendre le voyageur. Et pourtant, en échangeant avec Edmée et Étienne Delaisi, les chefs de base, vous comprenez rapidement les raisons qui les ont poussés à venir s’installer sur l’île de beauté. Expatriés depuis plusieurs années sur ce territoire, ils ont posé leurs valises en plein cœur du port d’Ajaccio afin d’aider les passionnés de voile à prendre le large. Avec leur flotte de 10 voiliers parfaitement entretenus, ils font leur maximum pour se démarquer de la concurrence. Comment ? En permettant aux amoureux de la mer de louer le monocoque de 30 à 50 pieds adapté à leurs envies et en proposant des services personnalisés de qualité. Avant de prendre le large, laissez-vous conseiller par ces deux passionnés qui prennent à cœur de satisfaire leurs clients. Les plus beaux paysages de Corse vus de la mer Pourquoi avoir choisi Ajaccio ? Parce que la côte ouest de l’île regorge de panoramas à couper le souffle. Véritable objectif pour tous les marins, c’est le point de départ de la route du nord menant vers la réserve de Scandola, Porto, Girolata et Cargèse ou de la route du sud avec des destinations telles que Senetosa, Bonifacio, Tizzano, Roccapino ou les îles Lavezzi. Choisissez l’une ou l’autre en fonction de vos envies (et de la météo !). Dans tous les cas, vous prenez la mer en toute sérénité. Laissez-vous porter par la brise marine et le flot des vagues et ressentez cette incroyable sensation de liberté si chère aux navigateurs. À noter : en téléchargeant le guide de croisière gratuitement sur le site, vous trouverez de nombreuses informations dont des trajets types qui vous aideront à vivre une expérience à la hauteur de vos attentes. Deux itinéraires vous sont proposés, avec chacun leurs lots d’escales et de lieux à visiter. ...
Située à Lirac, une commune au cœur du Gard, cette très ancienne propriété de la famille de Régis de Gatimel a été reprise en 1995 par Henri de Lanzac. Le château du XVIIe siècle est aujourd’hui tenu par des passionnés : trois générations (le grand-père, les enfants et le petit-fils) travaillent de concert pour produire des vins en AOP Lirac mais aussi AOP Tavel et AOP Côtes-du-Rhône. Incursion au sein d’une exploitation unique… Une diversité de terroirs Le Château de Ségriès constitue une véritable vitrine pour la vallée du Rhône méridionale, en regroupant 3 AOP sur ses 58 hectares de vignobles notamment constitués de vieilles vignes. Les 43 hectares servent à la production du Lirac (rouge et blanc) tandis que les 11 hectares composés typiquement de galets roulés, de silice, d’argile, de sable et de lauzes sont dédiés au Tavel. Depuis 1995, la maison détient en fermage le Clos Jean Alesi, l'ancien pilote de F1, installé sur l’AOC Côtes-du-Rhône et qui représente environ 4 hectares. Sur ces sols à dominance argilo-calcaire, le grenache, la syrah, le cinsault, le mourvèdre, l’ugni blanc, la clairette, le bourboulenc, le picpoul et la roussanne sont cultivés dans le respect de la tradition paysanne et selon une démarche raisonnée. « Nous avons fait le choix de ne prendre que ce que la Nature nous offre. Notre rendement est certes inférieur aux autres exploitations, mais cette philosophie nous permet de garantir une belle concentration à nos vins et donc une meilleure qualité », explique la famille de Ségriès. Des vins typiques, comme autrefois Lorsque la famille reprend le Château de Ségriès, elle décide de l’exploiter sans rien changer. Après des vendanges à la main, les raisins sont travaillés dans les mêmes installations qu’en 1925, notamment dans des cuves en ciment mais avec des techniques d'élaboration plus modernes. « Fermentation et macération se font alors plus naturellement, à l’origine d’une plus fine stabilité des vins », continue-t-elle. Ainsi, la majorité se conserve facilement une dizaine d’années (en dehors du Tavel qui se garde 4 ou 5 ans). Dans la gamme des cuvées ambassadrices, le Lirac Rouge trône en tête, car il reflète le plus le terroir, selon les gérants de la SCEA. « Sur les 41 hectares utilisés pour la production de ce vin, 30 hectares sont d’un seul tenant, lovés au creux de collines. Les vignes bénéficient alors d’un bel ensoleillement et, durant la nuit, la chaleur emmagasinée pendant la journée est redistribuée. Cela aboutit à des raisins d’une maturité rare, faisant toute la particularité de nos Lirac rouges ». Cette qualité est régulièrement reconnue lors des concours de vins. En 2016, une médaille d’or a été décernée au Lirac Rouge millésime 2015, à Orange, de même qu’en 2017, à Paris et à Mâcon. En 2018, le millésime 2016 a remporté deux médailles d’or. Entre autres exemples, le Tavel Rosé 2017 s’est vu attribuer 2 étoiles au Guide Hachette des Rosés 2018. Autant de preuves d’un vif succès ! ...
Frais Émincés, c’est avant tout une entreprise à taille humaine, employant une quarantaine d’employés. « Chez nous, la valeur familiale est très ancrée dans notre culture du travail », renchérit Marc Pajotin, le directeur de l’enseigne. Cette dimension humaine pousse l’entreprise à privilégier une démarche locavore, non seulement pour honorer les produits de la région Loire-Atlantique mais surtout pour avoir la garantie d’obtenir des produits frais à tout moment. Du producteur à notre assiette La fraîcheur et la qualité constituent l’ADN de Frais Émincés. L’entreprise s’approvisionne directement et quotidiennement auprès des maraîchers régionaux travaillant en agriculture raisonnée. « On vérifie à la réception la bonne qualité des fruits et légumes, car on a des critères exigeants sur le choix de matières premières », explique notre interlocuteur. Les produits sont alors épluchés, débactérisés et lavés avant d’être découpés sous plusieurs formes : en rondelle, en émincé, en julienne, en cube, en lanière… À partir de là, des procédés variés permettent alors de réaliser différents types de produits, soit par simple mélange pour les apéritifs et snacking, soit par une technologie à haute pression afin de conserver plus longtemps la fraîcheur, soit par des méthodes de découpe particulières pour répondre aux demandes spécifiques des clients de la restauration. Les produits sont alors prêts à être conditionnés et sont envoyés à la livraison. Et toutes ces étapes sont réalisées en un temps record, pour relever le défi de « livrer dans la journée toute commande reçue le matin et ainsi ne pas altérer la fraîcheur ». Une gamme de fruits et légumes prête à l’emploi et prête à la consommation « À la base, notre idée était de fournir des produits super frais prêts à l’emploi aux restaurateurs pour leur faire gagner du temps », reprend Marc Pajotin pour expliquer le concept. En effet, les légumes et fruits découpés présentent un double avantage pour les restaurateurs, aussi bien sur la rapidité de la préparation que sur la qualité de la présentation des plats, pour être à la hauteur des exigences de leurs clients. Toujours avec cette même expertise, Frais Émincés a décidé d’adapter ses offres à une demande plus large et pour un usage quotidien, en essayant de varier les recettes et le mode de cuisson. En 2005, donc, elle a lancé le plateau apéro qui se compose de bâtonnets de carottes, de céleris et de courgettes accompagnés d’une petite sauce pour manger sainement tout au long de la journée. De savoureux shakers de fruits ont été également introduits quelques années plus tard au sein des rayons frais des fruits et légumes en Grande Distribution. C'est la société Frais Emincés qui récemment a lancé les spaghettis de légumes ou une nouvelle gamme de fraîche découpe bio que l'on retrouve dans les rayons frais des Fruits et Légumes en Grande Distribution. « Il est important pour nous de proposer un large choix de produits de qualité et surtout des produits qui ont du goût », termine-t-il. ...
L’histoire de Coding Days a commencé lorsque Alexandre Zana, un étudiant en école de commerce, a décidé un jour d’apprendre à coder. En effet, il avait beaucoup de mal à formuler ses besoins et à communiquer avec des développeurs, l’obligeant à mettre en place lui-même ses projets. C’est à travers cette expérience qu’il se passionne pour la programmation et qu'il apprend le code informatique de façon autodidacte. La suite ? Il souhaite aller plus loin et décide de se rendre chez Makers Academy, à Londres, pour une formation intensive au code pendant 12 semaines, avant de revenir en France et fonder la start-up, début 2017. Cette expérience chez Makers Academy était l’une des plus belles de sa vie, après Coding Days ;-). Faire ses premiers pas dans le code « Notre philosophie n’est pas de former des développeurs ou experts en code, mais de former des compreneurs, des gens qui sont capables d’assimiler le code et ses enjeux », explique, explique Émilie Rehmann, responsable marketing. En d’autres termes, le concept vise à démocratiser le développement web et à le rendre ainsi accessible au plus grand nombre. La start-up cible un public débutant très large : chef de projet marketing en entreprise, entrepreneurs et intrapreneurs qui veulent booster leurs business, simple étudiant à la recherche d’une compétence supplémentaire, ou designer qui souhaite créer son propre site internet. Coding Days forme notamment celles et ceux qui exercent des professions libérales et qui ont un réel besoin relatif à leur site internet, mais qui n’ont pas les compétences techniques appropriées. L’objectif ? Parler le langage web pour mieux comprendre l’univers de la programmation. « Armés d’un bagage technique, ils seront capables de trouver les bons mots pour mieux s’exprimer et faire évoluer leur projet personnel. » À l’issue de la formation, les apprenants peuvent déchiffrer les jargons utilisés dans ce domaine (client, serveur, hébergement, langage, notions HTML5 et CSS3, frameworks, bibliothèques, Front-End et Back-End, etc.) et repartent même avec leur propre site web à l’issue de la formation d’une semaine. Les formateurs de Coding Days interviennent également dans des écoles de commerce telles que l'EM Normandie, l’ISCOM, l’ESD ou encore Audencia Nantes. Ils forment aussi des étudiants d'écoles de communication, de journalisme et de design qui s’intéressent de plus en plus au monde digital et aux nouvelles technologies. Déjà établie à Paris et donnant également des cours à Londres, la startup poursuit sa conquête de l’Europe et donnera prochainement des formations à Madrid. Une pédagogie active En se lançant dans cette aventure, les fondateurs de Coding Days et l’équipe pédagogique ont développé une pédagogie innovante inspirée des méthodes Montessori, de la pédagogie inversée ou encore de l’intelligence collective qui requiert beaucoup de pratique. « Notre propre méthodologie est ce qui nous permet justement de nous adresser à des personnes vraiment novices dans la programmation web.» Il poursuit en insistant sur l’importance de la pédagogie au sein des formations de Coding Days : « Ce n’est pas la même chose d’apprendre à coder et d’apprendre à comprendre le code. La pédagogie n’a rien à voir. » déclare Alexandre Zana. En parallèle, l’équipe collabore avec une vingtaine de mentors (développeurs full-stack, CEO, growth hackers, data scientists, experts en cyber-sécurité, etc.) qui sont des experts, passionnés par la pédagogie issus des start-up françaises ou des groupes internationaux. Un mentor est dédié à chaque groupe de cinq personnes (1 pour 3 durant la semaine pour créer son site) et aura comme mission de cadrer l’échange et de favoriser l’interaction pendant les séances de challenge. De leur côté, les participants, autrement appelés les « Explorers » travaillent chacun sur leur site internet personnel à partir de la plate-forme E-learning conçue par Coding Days pour booster l’imagination tout en stimulant l’apprentissage. Plutô...
Tel un refuge à la table gourmande et bien dressée, Le Central est une bonne adresse nichée dans un ravissant jardin, propice au partage de purs instants de bonheur… Une belle occasion de découvrir le Marais poitevin, où la présence des bateliers est une promesse pour de superbes balades à travers des paysages enchanteurs ! Une cuisine délicate avec des produits frais C’est avec un plaisir sans cesse renouvelé que le couple Hervine et Jean-Paul Guenanten vous accueille dans l’univers lumineux de leur restaurant à Coulon, dans le but de vous faire découvrir une cuisine régionale aux gouts du terroir, qui, à travers de belles associations, vous fera voyager dans toute la France et pourquoi pas ailleurs… Considéré comme l’une des meilleures tables de la Venise verte, Le Central jouit d’un cadre aussi harmonieux que raffiné, sans parler de son patio fleuri ou de sa terrasse, à profiter aux beaux jours. À travers des menus très abordables à base de produits frais, l’établissement propose une formule de midi uniquement en semaine à 17,80 €, incluant un plat-un dessert ou une entrée-un plat. Pour 3 € de plus, accédez à un plat supplémentaire. D’autres formules à 30 et à 45 € sont à ne pas rater. Entre son Foie gras anguilles fumées à la gelée de pomme, son Gratin d’anguilles à la coulonnaise, où les anguilles sont cuites au four avec de l’ail, de l’oignon et de l’échalote, du persil, du vin blanc et du beurre, et son Coing moelleux aux pommes servi avec un sorbet d’angélique… vous n’aurez que l’embarras du choix ! À cela s’ajoute une belle sélection de vins du Bordelais, du Val de Loire, quelques vins de régions entre Loir-et-Cher et Bourgogne. Le restaurant est en mesure de proposer 130 références de vins français et quelques vins étrangers triés sur le volet, provenant d’Afrique du Sud, d’Espagne et d’Argentine. ...
Depuis plusieurs années, la filière Sciences, Technologies Santé de l’université Lille Sciences et Technologies occupe la 2eplace en France pour l’insertion professionnelle de ses diplômés. Le taux d’insertion frôle les 100% ! La politique de stages en entreprise, initiée dès la 4eannée du master et développée en dernière année, et les liens étroits noués entre les entreprises et le monde économique facilitent évidemment le recrutement, ainsi que la taxe d’apprentissage. Exemple : les diplômés de master en formation initiale occupent des emplois à temps plein à 97 %. Et un sur cinq occupe un emploi stable. Durée de recherche d’emploi : à peine 2 mois. Les licences professionnelles ne sont pas en reste et le taux d’insertion est de 90 %. De même, neuf sur dix des diplômés de licence occupent des postes de cadres, un gros progrès. La licence ER2E vient d’être distinguée en 1reposition dans le classement EDUniversal des formations dans le domaine des énergies renouvelables. Une très large palette de métiers partout dans le monde Car les métiers de la physique sont presque infinis ! Et les emplois sont variés. D’ingénieur recherche-développement à ingénieur technico-commercial en passant par ingénieur de production ou responsable marketing, la palette est large. Des profilstels que journaliste scientifique, chargé d’études ou responsable ressources humaines. Sans oublier, bien sûr, le consulting et le conseil. Côté secteurs à fort potentiel de développement, la liste est aussi longue. Citons : les énergies renouvelables, la santé, la recherche médicale, l’aéronautique, l’astronomie, la biologie médicale, l’enseignement et la diffusion des connaissances, l’environnement, les télécommunications et le multimédia, les transports… Autant de profils et de métiers de plus en plus recherchés en France et en Europe, voire dans le monde. Un haut niveau de recherche L’un des derniers accords signés par l’UFR de Physique porte sur la création d’une unité de recherche commune avec le Commissariat aux énergies alternatives et le laboratoire de physique des lasers atomes et molécules de Lille (CNRS) et consacrée à la fabrication et au développement de la fibre optique. Un dispositif unique en Europe. Voici un bon exemple du très haut niveau de recherche développé par l’UFR. Les laboratoires et les équipes de recherche sont associés aux grands organismes tels que le CNRS, l’INRIA ou l’INSERM. Plus de 250 chercheurs et enseignants-chercheurs, dont 75 doctorants, forment les équipes pédagogiques dédiées à plus d’un demi-millier d’étudiants. Les formations initiales et professionnelles vont du DEUST au doctorat et s’inscrivent dans un environnement idéal et propice au développement d’un esprit scientifique adapté au monde de l’entreprise. Ainsi formés aux clés de l’innovation et du développement économique, les étudiants bénéficient de plateformes techniques dernier cri, adossées à des unités de recherche à la pointe du progrès. ...
Des programmations culturelles autour de ces Maîtres flamands constitueront le clou des visites touristiques en Flandre, sur les trois prochaines années. De Bruxelles à Anvers, en passant par Gand, les villes d’Art redécouvriront le génie des trois grandes figures de la peinture flamande, à travers les années thématiques qui leur seront respectivement consacrées. Au menu, des expériences multisensorielles qui traversent les autres pans de la culture : gastronomie, musique et art de vivre. 2018 : explorer Anvers à travers les yeux de Rubens « Anvers Baroque 2018, Quand Rubens inspire » transportera les touristes au cœur d’expériences de haut vol. Trois jours de danse, de musique, de théâtre et de feux d’artifice inaugureront les réjouissances. L’impressionnant MAS (Museum aan de Stroom), situé dans le quartier en plein renouveau de l’Eilandje, célébrera le baroque au féminin par une rétrospective consacrée aux œuvres de Michaelina Woutiers. Au musée d’Art contemporain, rendez-vous pour un face à face entre le baroque d’hier et d’aujourd’hui. Les peintres du temps de Rubens verront leurs œuvres mises en présence de créations plus contemporaines, signées Ed Kienholz ou Luc Tuymans. Avec les installations sonores ou odorantes prévues pour la scénographie, tous les sens vont vibrer au rythme baroque. Ateliers créatifs, visites guidées par les habitants, inauguration de nouveaux ouvrages de l’espace public étofferont encore cette année de célébration. L’ouverture du centre de découverte Rubens marquera le point d’orgue des festivités. 2019 : Bruegel vous invite à plonger dans son monde Pieter Bruegel l’Ancien est un artiste dont on sait fort peu de choses. Durant l’année qui lui est consacrée, ses œuvres se chargeront de dévoiler sa personnalité. Ses méthodes de travail et l’ensemble de ses tableaux seront exposés au tout nouveau centre d’accueil portant son nom, à Bruxelles. Un rendez-vous convivial est également donné au château de Gasbeek, avec la « Fête des fous ». Les réinterprétations de Bruegel par les artistes du XXesiècle constitueront le clou de l’exposition. Elle sera clôturée par un pot de gueuze artisanale, comme on a pu en goûter du temps du peintre. Dès le printemps, « Bruegel en noir et blanc » lèvera le voile sur les travaux sur papier de l’artiste à la Bibliothèque royale de Belgique. À l’automne, Anvers se joindra également à ces hommages en accueillant au musée Mayer van der Bergh, une exposition retraçant ses dernières années dans la ville. 2020 : une année pour venir adorer l’Agneau mystique à Gand Jan van Eyck sera le centre de toutes les attentions en 2020. Son mythique retable Adoration de l’agneau mystique sera au cœur des festivités prévues en son honneur à Gand. Le très convoité retable en douze panneaux réalisé avec son frère Hubert est en phase de restauration. Une fois cette dernière achevée, cette œuvre époustouflante sera alors replacée dans la cathédrale Saint-Bavon pour laquelle elle était initialement commandée, en 1432. Dès fin 2019, le cloître des Carmes de la ville tiendra une exposition sur une œuvre singulière par bien des aspects. Elle a effectivement suscité de nombreuses passions à travers les six siècles qu’elle a traversé : copie, démontage, menace par le feu, dissimulation, vol ne sont que des exemples des péripéties par lesquelles le polyptyque est passé. « Jan van Eyck et la cour bourguignonne » promet, de son côté, d’être une expérience artistique immersive des plus marquantes. ...
A Moustiers Sainte Marie, le restaurant Le Jadis se présente comme un endroit de repos gustatif idéal après une journée touristique dans le parc naturel régional du Verdon. La maison privilégie les produits français comme la viande de bœuf, mais surtout locaux comme la chèvre bio de Moustiers et son fromage, l’agneau du pays élevé à proximité. Une cuisine traditionnelle Le restaurant Le Jadis propose une cuisine traditionnelle majoritairement fait-maison qui favorise les produits frais du terroir. Le Chef Romain Colin collabore avec les fournisseurs locaux pour s’approvisionner en chèvre bio, en agneau mais également la truffe lorsque c’est la saison. Très important, toutes les viandes sont exclusivement françaises (porc, bœuf, agneau). Tous ces produits régionaux sont préparés dans le respect des recettes traditionnelles. La carte et les menus proposent de succulentes suggestions. La salade du Verdon, un mélange de fromage bio de Moustiers, jambon cru, miel du producteur et des figues est l’une des signatures du restaurant. Les pieds et paquets, une spécialité marseillaise à base de panses et pieds d’agneau sont aussi proposés. Ces abats sont mijotés dans une sauce à la tomate, au vin blanc et aux herbes de Provence. La cuisson de cette recette doit être longue et à feu doux. Difficile de ne pas mentionner la fameuse côte de bœuf qui est la plus représentative de l’excellent rapport qualité-prix prôné par l’établissement. Les convives peuvent avoir 500 g de viande par personne pour 25 euros. Autre plat phare : la soupe au pistou qui est une soupe de Provence très parfumée et très nourrissante à base de basilic. La majorité des ingrédients sont composés de légumes à savoir les pommes de terre, carottes, haricots, haricots verts, courgettes et poireau. De la tomate est ajoutée avant une cuisson d’une heure. Pendant que le plat mijote, le basilic est préparé avec des gousses d’ailles, de l’huile d’olive, du parmesan et des pâtes. Cette soupe est meilleure lorsqu’elle est servie chaude avec du fromage rappé. Comme la maison veut combler tous ses convives, elle offre aussi des plats végétariens et bio comme les raviolis au tofu basilic, les pâtes bolognaises ou encore les gnocchis au broutin (spécialité fromagère bio à la sarriette et herbes de PROVENCE). Il ne faut pas oublier que Le Jadis est aussi une pizzeria. Les pizzas aux proportions généreuses ont une pâte fine et croustillante. Les ingrédients sont très variés, de quoi largement satisfaire toutes les envies. Un cadre authentique Le restaurant-pizzeria Le Jadis propose un cadre provençal, jovial et cosy. Des murs aux tables, en passant par les portes, tout est coloré. Dans la salle, le set de table a été créé par le faïencier Bruno Louis et la fresque murale qui représente le village donne une touche artistique. Au niveau du bar lounge, les vieux murs de pierres apparentes donnent un ton traditionnel quand les meubles apportent de la modernité. Dans ce village où le soleil est au rendez-vous toute l’année, la terrasse du Jadis est l’endroit idéal pour apprécier la tranquillité de cet environnement de charme. Un environnement préservé Les Gorges du Verdon, le plus beau canyon d’Europe, constituent un des plus beaux sites d’escalade de France grâce à ses falaises. Ils font partie des principales attractions touristiques de la Provence. Ce site grandiose appartenant au parc naturel régional du Verdon offre des panoramas immenses. Aux portes du canyon du Verdon, Moustiers Sainte Marie a gardé le charme des authentiques villages provençaux. Il est classé parmi les plus beaux villages de France et bénéficie du label « Villages et cités de caractère » grâce à son patrimoine architectural et paysager exceptionnel. Ce village est reconnu pour la création de faïence et ses décorations uniques, une dizaine d’atelier lui sont encore dédiés aujourd’hui. ...
Le Carré Rouge est situé dans les quartiers des Carmes, au cœur de Toulouse. Cet établissement, renommé et récompensé récemment par une toque au Gault & Millau, ravit les palais avec des plats gastronomiques recherchés et savoureux. Le chef Jules Frank, passionné, aime surprendre ses convives avec des recettes respectant la saisonnalité. Cadre sympathie et accueil agréable Le chef Jules Frank élabore une cuisine traditionnelle délicate revisitée, en sélectionnant des produits frais du marché. Ses mets sont à savourer dans un cadre chic et intime, pour un instant consacré à la découverte de nouvelles saveurs.L’établissement a été rénové et redécoré par l’architecte Véran Émilie. Cette jeune spécialiste apprécie particulièrement l’architecture contextuelle et sensorielle. Pour ce restaurant, elle a choisi un décor boisé allié à un travail graphique sophistiqué, tout en gardant l’esprit cosy. La salle principale est spacieuse et comporte des mobiliers colorés ainsi qu’une vaisselle moderne. Les banquets adossés aux murs et les chaises assurent le confort aux invités. Le coin VIP, quant à lui, est réservé aux soirées jazz. L’intimité se construit grâce à un fond musical très calme et une lumière légèrement tamisée. Excellente adresse, excellent repas Le chef présente des plats très soignés avec une subtile association de goûts et de couleurs. Il élabore une carte et des menus qui changent à chaque saison. Côté carte, le cordon bleu a personnalisé lui-même celle du soir qu’il a nommée « Carte du soir, au rythme du printemps ».À l’honneur ce jour-là, un gaspacho et tuile de pesto servi en entrée. Vient ensuite le gigot d’agneau, sauce gastrique à la sauge, fenouil rôti, pomme de terre « chérie ». En guise de dessert, une délicieuse charlotte à la fraise. Côté menu, la maison en propose trois au choix : le menu découverte, le menu du soir et le menu du Carré rouge. Elle sert également une formule du midi en deux déclinaisons. « Le classique », à 10 €, donne le choix entre une entrée et un plat ou un plat et un dessert. « Le complet », à 13 €, est constitué d’une entrée, d’un plat et d’un dessert. En musique La maison organise toutes sortes d’évènements à vivre entre amis ou en famille. Dans l’espace VIP ,les repas sont accompagnés d’un concert de jazz and blues. L’année dernière, l’établissement a été animé d’une soirée spéciale « piano-contrebasse » avec Thibaud Dufoyet Thibaud Saulas. Le restaurant est également privatisable et peut accueillir des fêtes comme les anniversaires, les communions, les baptêmes et les mariages mais aussi les buffets de soirées et de réunions professionnelles. Nouveauté : Le carré rouge proposera à partir du dimanche 9 octobre, un brunch dominical composé de pancake maison, de jus de fruit frais (pressés ou centrifugés), d’une gamme de thés et d’assiettes autour de la mer. Une déclinaison de viennoiserie et d’œufs travaillés de différentes manières sera aussi au programme. ...
Entreprise familiale à taille humaine, AlterRUMBO se spécialise dans l’organisation de voyages individuels et scolaires à travers six destinations réparties aux quatre coins du monde. À propos d’AlterRUMBO Créée en octobre 2017, l’agence AlterRUMBO a été lancée sous l’initiative de Mme Aliénor SIMON. Après avoir longtemps travaillé au sein de différentes agences, cette passionnée de voyages a souhaité avoir plus d’indépendance et a décidé de se mettre à son propre compte. Pour l’épauler dans ses démarches et l’aider dans l’organisation des voyages, elle a fait appel à une professionnelle de l’enseignement et du monde hispanophone. « Nous avons chacune nos spécificités en termes de type de voyage et de destination », souligne Aliénor. L’objectif d’AlterRUMBO est de pouvoir répondre efficacement aux attentes des voyageurs en leur suggérant des offres sur mesure. Les destinations proposées se déclinent en deux thématiques, à savoir les voyages individuels et les voyages scolaires éducatifs. Voyager différemment L’Espagne, Singapour, le Canada, le Costa Rica, la Colombie et le Chili, en tout, six destinations différentes composent le panorama des voyages individuels. Selon les envies, les destinations sont entièrement adaptables. AlterRUMBO met tout en œuvre pour que chaque voyage puisse satisfaire des demandes spécifiques. « C’est vraiment du sur-mesure, nous cherchons à comprendre les attentes du voyageur pour lui proposer ce qu’il recherche », renchérit Aliénor. Les programmes affichés via le site comprennent des séjours riches d’un maximum d’expériences à réaliser, une fois arrivé sur place. Le voyageur garde aussi la possibilité de faire par lui-même d’autres découvertes sur le terrain. Les destinations sont variées et peuvent être abordées sous des angles différents : nature & aventure, culture & découverte, détente & bien-être, etc... Pour les passionnés d’observation faunistique, le Costa Rica est tout indiqué ! En couple ou en famille, ces derniers se plairont à admirer les tortues dans leur élément naturel à Tortuguero, ou à observer en toute sécurité des crocodiles au niveau de la côte pacifique centrale. Les découvertes culturelles ne sont pas en reste. Elles se présentent sous forme de visites de musées, de visites guidées, ou encore d’échanges avec les « natifs » autour d’une spécialité culinaire locale. L’expérience des voyages éducatifs Les voyages scolaires concernent uniquement deux destinations : la Colombie et l’Espagne. Sur la première destination, « nous sommes les seuls à proposer des échanges entre des établissements français et des établissements colombiens », explique fièrement la fondatrice. Ces séjours d’une durée de trois à cinq semaines s’inscrivent dans le cadre d’un projet pédagogique et peuvent être adaptés en fonction des besoins de l’établissement. Pendant deux à quatre semaines, les élèves français auront l’occasion d’étudier en compagnie de leurs camarades colombiens tout en suivant le système d’enseignement du pays. Un véritable bain linguistique où ils s’imprègnent de la culture et s’ouvrent à des modes de pensée différents. Pour permettre à ces apprenants de décompresser et de profiter pleinement de leur séjour, la dernière semaine sera consacrée à des visites culturelles. Plus proche de la France, la destination Espagne s’articule autour de courts séjours d’une durée d’une semaine. Il s’agit de voyages conçus pour des établissements et qui s’inscrivent également dans un projet pédagogique. AlterRUMBO propose aussi à l’attention des parents des séjours linguistiques individuels pour leurs enfants. Ceux-ci seront en immersion en famille ou en centre de vacances. Au programme : espagnol, sorties, sport, plage et soleil ! ...
Le cancer des enfants en quelques mots Causes Quel que soit son âge, un enfant ou un adolescent est susceptible d’être diagnostiqué par un cancer. Aujourd’hui, on estime que 1 enfant sur 440 aura un cancer avant l’âge de ses 15 ans et que 1250 enfants développent cette maladie chaque année en France avant leurs 5 ans. Le cancer correspond à une dégénérescence des cellules. En effet, notre corps est composé de milliards de cellules enfermant, pour chacune d’entre elles, nos gênes. Ces derniers détiennent l’information nécessaire au bon fonctionnement de notre corps ou, dans le cas d’un cancer, une information erronée. Chaque cellule nait, se multiplie et meurt. Lors de la division cellulaire, elle transmet à sa cellule enfant le matériel génétique qu'elle détenait. Parfois, il peut arriver que certaines subissent des mutations et transmettent une information erronée. Celle-ci va soit être détruite par notre corps, soit se multiplier et propager l’anomalie dans notre corps. Les causes réelles du cancer des enfants sont encore très mal connues. En effet, contrairement aux adultes, les enfants sont souvent « vierges » de la consommation de facteurs favorisant le développement de cancer chez l’adulte (alcool, tabac, mauvaise hygiène de vie…). Le rôle des facteurs environnementaux dans la survenue d'un cancer chez l'enfant fait l'objet d'études. Les données actuelles sont encore fragmentaires et leur interprétation est souvent difficile. À ce jour, il n'y a pas de données scientifiques solides et argumentées permettant d'incriminer un ou des facteurs environnementaux dans la survenue d'un cancer chez l'enfant. Des travaux de recherche sont en cours et permettront d'améliorer les connaissances sur le rôle éventuel de ces facteurs environnementaux. Le rôle de facteurs génétiques est, là aussi faible (environ 5 % des cas). Le point de départ de la prolifération des cellules cancéreuses peut être la moelle osseuse, il s'agit alors d'une leucémie. S’il est dans un organe ou un tissu, on parle alors de tumeur cancéreuse ou de tumeur maligne (ou encore appelée tumeur solide). De nombreux travaux de recherche ont été co-financés par Imagine for Margo et/ou ses partenaires associatifs et sont en cours de réalisation afin de faire progresser la connaissance, la prévention et le développement de traitements adaptés. Traitements En 2023, il y a près de 100 types de cancers différents pour l’enfant, ce qui en fait, pour les industriels, des maladies rares. Chacune de ces formes de cancer pédiatrique requiert un traitement spécifique, ce qui, malheureusement, n’est pas encore possible aujourd’hui pour tous les cancers de l’enfant. Les probabilités de contrôler la maladie ou de la guérir complètement sont différentes pour chaque type de cancer. Les thérapies Afin de prescrire les traitements adaptés à chaque type de cancer, il est nécessaire de rapidement évaluer, avec un professionnel de santé, les possibilités qui s’offrent à lui. Les soins les plus fréquents sont la chimiothérapie, la chirurgie et la radiothérapie. Les possibilités sont diverses et doivent correspondre au type de cancer de votre enfant. Depuis de nombreuses années, Imagine for Margo agit afin que la médecine de précision se développe pour les enfants. Celle-ci permet, grâce à la généralisation des séquençages moléculaires initiés par le programme MAPPYACTS et qui a depuis été repris par l’État dans le cadre du programme France Génomique, de cibler spécifiquement, lorsque cela est possible, les anomalies de la tumeur. L’objectif est de guérir plus et guérir mieux tous les enfants et les adolescents touchés par ce fléau. Patricia Blanc, Présidente fondatrice d’Imagine for Margo : « il faut savoir que pour 20% des enfants diagnostiqués d’un cancer, le seul espoir reste les progrès de la recherche. Il est donc important de mettre la priorité sur les cancers incurables. Toutefois, nous nous mobilisons aussi pour guérir mieux et réduire les séquelles importantes liées aux traitements et à la maladie....
Le terroir du Domaine de Cadablès présente un intérêt bien particulier : les vignes sont plantées sur un volcan. « C’est ce qui apporte la minéralité à nos vins, les rendant très digestes et hors du commun », explique Bernard Isarn. Celui-ci n’a pas hésité à en faire l’acquisition en 2004, « avec la noble ambition d’y produire du vin biologique ». Une maison engagée Poursuivant sa démarche agro-environnementale, le Domaine de Cadablès signe son engagement à travers le label AB en cours et ses vins fins biologiques. La cuvée « Terre Promise » est particulièrement à découvrir. ...
Dans un monde de plus en plus connecté où le numérique occupe une place de choix dans des domaines variés, pourquoi la restauration devrait-elle faire exception ? Prenant conscience de l’atout majeur que pourrait constituer le digital dans la promotion des CHR, Geoffrey Cuberos, le fondateur de Tastycloud profite de l’aubaine pour en faire « la solution » qui révolutionne le domaine de la restauration. L’origine du concept C’est à l’issu de 2 ans d’étude du marché des CHR au sein d’une école supérieure de commerce, que Geoffrey Cuberos entame une brillante carrière en créant la société TastyCloud à Paris. Il part du concept qu’une bonne communication de base ne peut qu’être rentable pour un prestataire de service. Il a su tirer les leçons de ses multiples expériences personnelles à l’étranger et allier ses acquis sur le marketing sensoriel et expérientiel durant l’apprentissage. Cette démarche lui a valu une expertise infaillible en termes de création de stratégies pour l’acquisition et la fidélisation des clients. C’est ainsi que la start-up innovante a déjà bénéficié de la confiance de plusieurs clients restaurateurs et hôteliers pour la gestion de leur menu digital, à l’image des Turbulentes, Courtepaille, Ibis, Le Bal Courchevel ou encore les Dim Sum Cantine et Dim Sum Montmartre. Ses prestations s’adressent aux cafés-hôtels-restaurants en remplaçant la classique carte papier, par des menus sur tablettes tactiles à présenter au client pour qu'il fasse son choix. Le menu digital : de nombreux avantages au service de la croissance économique des CHR Les menus digitalisés sont clé en main étant donné que TastyCloud prend tout en charge, depuis la fourniture de la tablette l'offre entrée de gamme Archos 10,1″ à l'offre premium Samsung Galaxy 10,1″ full HD, jusqu'à l'application finale. Un photographe professionnel shoote tous les menus, cocktails et boissons de sorte à les mettre visuellement à leur avantage car, selon le fondateur Geoffrey Cuberos : « on mange d’abord avec les yeux… ». Des traducteurs professionnels spécialisés dans l’univers culinaire traduisent les menus parmi 25 langues pour aider les clients étrangers dans leur compréhension de la carte. Un véritable atout pour les restaurateurs situés en zone touristique. Le menu digital est une manière de rendre le consommateur plus actif dans sa consommation. Mais c’est aussi une bonne façon de le rassurer car toutes les infos qui lui sont utiles seront accessibles depuis le menu tactile, à l’instar des accords mets/vins et des allergènes. Il choisit les intolérances qui le concernent et celles-ci s’afficheront sur les plats concernés. Quant aux photos, elles font découvrir aux clients l’ensemble des menus et les aident à les comprendre en moins de 10 secondes, en plus de donner envie par des apparences alléchantes. Elles vont rassurer le client sur le côté visuel et lui donner une idée de la quantité des plats. Rassurés, les clients consomment davantage. L’augmentation du chiffre d’affaire de 10 à 30 % est assurée. « On considère que nous sommes une source de revenu au quotidien pour le restaurant », se plait à affirmer notre interlocuteur. Avec les menus classiques, il n'est pas rare de voir un restaurateur dépenser de 3000 à 5000€ par an pour renouveler sa carte papier. TastyCloud lui permet d’investir dans autre chose car toutes les modifications qu'il souhaite apporter se font en un clic, que ce soit pour une simple correction ou des rajouts de produits. Pareillement, si des produits ne sont plus en stock, la carte peut être mise à jour à tout moment. Une synchronisation automatique facilite toutes les modifications qui se font automatiquement sur le site, sur le menu ainsi que toutes les plateformes où il est exposé. La perte de temps n’existe plus. La solution qui se démarque du lot Etant un complément digital au service, le menu digitalisé n'a pas pour vocation de se substituer au serveur réel pour la simple raison que l'accueil des clients et le service sont primordiaux. Toutefois, le service reste personnal...
Installé dans une bâtisse d’antan qui a connu ses heures de gloire à Barjac, 7ici est repris en 2013 par un couple belge. 7ici porte bien son nom car « c’est ici qu’on a choisi d’investir et de s’installer, de créer un restaurant comme à la maison », souligne Thierry Lemaire, propriétaire. Un bel esprit de famille entoure à la fois le personnel et la clientèle, avec toujours la présence rassurante des propriétaires : lui, actif devant les fourneaux ; et son épouse, généralement en salle, s’occupant intégralement de toute la production et des desserts qu’elle fabrique artisanalement comme à la maison. Une cuisine de saison, une ambiance conviviale Au cœur d’une vieille pièce voûtée chargée d’Histoire, la salle du restaurant a entièrement été refaite et remise au goût du jour par ce couple passionné de cuisine. 7ici a l’allure d’un restaurant très cosy au cadre révolutionnaire, à découvrir absolument. Son mobilier en cuir noir et ses tables en chêne confèrent au lieu un cachet particulier et une ambiance familiale. Disposant d’un personnel présent à plein temps, l’enseigne est en l’occurrence « un des rares établissements de la région à être ouvert toute l’année », apprend-on. Un paramètre qui fait la force de l’établissement. On y partage de vrais moments de plaisir en famille. 7ici, c’est avant tout de la cuisine fraiche et raffinée, issue de producteurs locaux, avec des produits 100 % français. Du fait de son implantation dans une région où l’on produit énormément de fromage de chèvre, les suggestions sont loin de manquer. L’on nous recommande notamment du pélardon des Cévennes et du fin gras du Mézenc, « une viande de bœuf persillée en appellation d’origine protégée de la race limousine », une exclusivité de la maison d’avril à juin. Beaucoup d’autres spécialités sont à découvrir selon la saisonnalité des produits. Par conséquent, la carte change tous les 15 jours. Le midi, 7ici reçoit plutôt une clientèle d’affaires et propose « une carte réduite avec un lunch en produits frais au tarif de 15 € dans la formule entrée-plat-dessert-café bio ». Le soir vient une autre clientèle qui vient plutôt en famille : les menus sont composés par les clients eux-mêmes à partir de 3 entrées et de 3 plats, avec une carte qui s’adapte au rythme des saisons pour un budget de 32 €. ...
C’est en 2008 que Bernard Boullanger décide de se lancer dans l’aventure de la Guyane épicurienne en ayant « comme objectif de promouvoir le développement de ce pays magnifique et mal connu par la structuration de l’agriculture guyanaise ». Avec sa boutique parisienne, Délices de Guyane devient ainsi l’ambassadeur du pays en proposant des condiments, de la confiture, des sirops, des punchs, du rhum et d’autres délices fidèles à leur terre et élaborés exclusivement avec des produits frais locaux. Un soupçon de Guyane dans chaque bouchée Chaque sirop, punch, gelée ou pâte de piment révèle toutes les saveurs d’un pays riche de ses traditions et de sa fertilité. Issus de l’agriculture guyanaise, ces produits sont fabriqués avec 100 % de fruits frais et naturels, dont « 40 % sont issus de jardins de particuliers », précise Bernard Boullanger. « Entièrement traités à la main, les fruits et les piments sont transformés sur place sans conservateurs, sans gélifiant ni colorants », poursuit-il. Les saveurs naturelles sont conservées tout en garantissant la fabrication artisanale de chaque produit. Découvrez ainsi un large éventail de confitures, de gelées et de sirops à base de fruits tropicaux, une gamme riche de rhums et de punchs ainsi qu’une collection de condiments, oscillant entre piments extra-forts, doux et non piquants. Offrez également des colis gourmands Délices de Guyane en guise de cadeaux pour partager ces saveurs d’exception. ...
Le monde des affaires étant de plus en plus complexe et stimulant, s’entourer de partenaires stratégiques contribue à promouvoir l’engagement, optimiser les processus et instaurer des relations positives pour augmenter les performances des équipes. SL Consultant accompagne les entreprises dans leurs changements en leur proposant un service de coaching chargé d’impulser la croissance individuelle et l’efficacité collective. Contribuer au développement des performances humaines Un coach professionnel a besoin d’avoir une expertise en dynamique d’entreprise et de comprendre les enjeux organisationnel et managériaux pour mieux appréhender les éléments systémiques et stratégiques. Sylvie Roche détient un socle de connaissances sur l’écosystème des organisations et du management grâce à ses nombreuses années d’expérience passées dans de grandes entreprises. Après avoir suivi plusieurs formations notamment d’ingénieur en ingénierie pédagogique, en leadership ou encore en conduite du changement et reçu une accréditation Insights Discovery et MBTI, elle élargit son champ de compétences par la maîtrise de plusieurs outils complémentaires : analyse transactionnelle, programmation neuro-linguistique, hypnose ericksonienne, etc. « Avoir différentes boîtes à outils est indispensable pour un coaching plus personnalisé. Une technique qui fonctionne pour une personne ne marchera pas forcément pour une autre face à la différence de contexte, de personnalité ou de problématique à résoudre », confie-t-elle. Elle complète son expertise grâce à une formation de coach professionnel. Aujourd’hui, elle met son savoir-faire au service des professionnels souhaitant entre autres profiter d’un coaching orienté solution. Sa spécialité ? L’accompagnement de personnes en situation de burn-out. ...
Peu importe vos envies, l’agence francophone Ekima Afrika Travel y répond précisément. Une offre complète qui fait le bonheur de tous les voyageurs Basée au cœur de la ville du Cap, l’agence francophone Ekima Afrika Travel permet à tous les aventuriers de vivre le grand frisson tout en découvrant la culture africaine. Afrique du Sud, Botswana, Namibie, Mozambique : parcourez ces terres sauvages à pied, en voiture ou en camping-car et profitez d’itinéraires exceptionnels, hors des sentiers battus. Un bon moyen de vous dépayser totalement. Deux grands types de voyages sont proposés par l’agence : des séjours sur mesure avec location de voiture et des séjours guidés correspondant à des itinéraires originaux avec un principe de saisonnalité. Le premier type restant toujours adapté à vos attentes, nous vous conseillons le voyage Du Kruger au Cap qui vous invite à découvrir le Blyde River Canyon, la Réserve privée du Timbavati et la ville du Cap. Le second vous permet quant à lui de participer en petit groupe à des voyages exclusifs au départ unique comme par exemple un Safari photo au Botswana au mois de Novembre avec guide photographe professionnel. Rassurez-vous : l’agence s’occupe de tout Ekima Afrika Travel a été fondée il y a maintenant plus de 8 ans par Roxane Lebrun. Après avoir fait ses marques chez Terres d’Aventure, cette passionnée de randonnées décide de s’entourer de baroudeurs comme elle et de monter sa propre agence. Son objectif : permettre aux amoureux de l’Afrique de se construire un voyage unique et mémorable. Pour ce faire, l’agence fait appel à des locaux qui connaissent bien la région. De plus, certains membres d’Ekima Afrika Travel sont guides et accompagnent leur clients. Un petit plus qui fait la différence. Aussi, il est intéressant de préciser que les clients participent à hauteur de 10 € (prélevé directement lors du paiement) à des projets caritatifs et culturels. En effet, par le biais du programme Ekima Smile, l’agence s’engage à reverser cette somme à des structures et associations telles que Greenpop, Blood Lions et Rainbow of Hope. À noter : Ekima propose à ses voyageurs, à travers sa compagnie parallèle VillaOCap, de louer une maison de vacances dans la région du Cap avec tous les services qui vont avec. Une bonne alternative à l’hôtel lorsque l’on voyage en groupe (en Français bien sûr !). ...
La sclérose en plaques (SEP) est actuellement reconnue comme une des causes principales du handicap chez l‘adulte jeune en France. La maladie s’explique par une inflammation du système nerveux central (SNC) et se manifeste par différents symptômes qui varient selon la localisation des lésions. Les symptômes les plus connus sont les troubles moteurs tels que la difficulté à marcher ou les troubles de l’équilibre. Mais il existe des troubles tout aussi invalidants que l’on désigne par « symptômes invisibles ». C’est ce que le hashtag #MyInvisibleMS tient actuellement à faire connaître sur la Toile et les réseaux sociaux. Une maladie auto-immune Les causes exactes de la SEP sont jusqu’à présent méconnues. Pour l’heure, les recherches révèlent uniquement les mécanismes de la maladie. Tout se déroule au niveau du système nerveux central qui comprend le cerveau, la moelle épinière et les nerfs optiques. On parle de SEP lorsque la gaine de myéline qui enveloppe ce système se dégrade à cause des inflammations. Notons que cette gaine de myéline a pour rôle de protéger les nerfs et d’augmenter la vitesse de propagation de l’influx nerveux. Une démyélinisation entraine des troubles neurologiques, puisque la transmission de l’information élaborée par le cerveau ou venant de la périphérie est perturbée. Mais, en général, la majorité de ces troubles disparaissent, ou du moins régressent, une fois que la myéline se régénère. Il faut noter toutefois que si la maladie évolue ou que les inflammations sont trop importantes, les mécanismes de réparation sont insuffisants. Dès lors, les symptômes persistent et le handicap s’installe. Par ailleurs, le fait que la SEP soit une maladie auto-immune rend la remyélinisation plus difficile. En effet, lors des poussées, le système immunitaire de l’individu concerné considère la gaine de myéline comme un corps étranger. Ce qui fait que la réaction immunitaire est menée contre le corps lui-même. Des symptômes multifactoriels Il est souvent difficile pour l’entourage du patient de reconnaitre et de comprendre les symptômes invisibles de la sclérose en plaques. Le patient lui-même a du mal à admettre sa maladie, s’efforçant de tenir le coup lors de la première poussée. Durant cette phase apparaissent les dénommés « symptômes invisibles » qui sont d’ordre neurologique : fatigue extrême, troubles de la mémoire ou de la concentration, dépression, anxiétés… L’aggravation de ces symptômes ou l’apparition de nouveaux signes cliniques est ce qu’on désigne par le terme « poussée ». Les symptômes de la SEP diffèrent d’une personne à l’autre, selon la zone lésée. Ainsi, certains patients souffrent de troubles de la sensibilité qui se manifestent notamment par des sensations de fourmillement ou de picotement au niveau des bras, des jambes, du thorax ou encore d’une partie du visage. Ces sensations sont souvent suivies d’une impression de froid ou de ruissellement sur la peau ou bien encore d’une sensation d’étau, voire des douleurs. Une personne atteinte de SEP peut également présenter une baisse de l’acuité visuelle accompagnée d’une douleur autour de l’orbite. Dans d’autres cas, on note une diplopie (vision double), ces symptômes étant dus à une névrite optique (inflammation du nerf optique). D’autres symptômes de troubles urinaires peuvent aussi se manifester. Traitement de la SEP : un défi encore à relever Malgré l’avancée des recherches, aucun traitement n’a encore été trouvé pour lutter efficacement contre la sclérose en plaques. Les solutions adoptées jusqu’alors ne permettent que de ralentir l’évolution de la maladie et de diminuer la fréquence des poussées. Par ailleurs, la prise en charge de la SEP est multidisciplinaire. Différentes compétences sont donc associées dans le but d’améliorer le quotidien des patients. Une première approche consiste à traiter la maladie par des médicaments à effet anti...