Si la scène du 38 RIV permet à de nombreux talents de s’exprimer, le club se veut être avant tout être un tremplin pour la scène locale et donner aux jeunes artistes l’opportunité de dévoiler leur potentiel au grand jour auprès d’un public averti. Avis aux amateurs ! Tout sur le club Le 38 RIV a ouvert la première fois ses portes aux mélomanes en 2008. À l’époque, Vincent Charbonnier, l’actuel gérant, décide de racheter l’établissement après y avoir effectué une visite. Ce passionné de jazz et ancien contrebassiste a ensuite transformé les lieux en club de jazz. « Cela fait dix ans que ça dure, il y a eu quelques rénovations et de légers changements au niveau des événements ainsi que sur certains types de concerts », nous indique Rémi Taranta, chargé de communication et de programmation. C’est au 2e sous-sol, au sein d’une belle cave voûtée du XIIe siècle, que le club donne rendez-vous chaque soir aux artistes et au public. « Dans ce cadre atypique et intimiste, les gens prennent tout de suite la mesure de l’âme musicale qui habite les lieux », assure notre interlocuteur. Le 38 RIV se décline en trois espaces : une salle de spectacle, un bar pour se rafraîchir et un petit salon. Côté déco, l’authenticité des vieilles pierres s’associe parfaitement aux styles modernes des mobiliers contemporains. Pour permettre aux invités de ne rien rater, chaque salle dispose d’un écran assurant une diffusion en live du spectacle. Une programmation éclectique de qualité Chaque semaine du lundi au dimanche, le club devient le lieu de toutes les rencontres musicales. Ici se côtoient des artistes connus tels que le guitariste Frédéric Favarel, le pianiste Daniel Janke, le saxophoniste Godwin Louis ou encore le trompettiste Ashlin Parker, mais aussi des artistes de la scène locale comme Alexis Valet (vibraphone), Pierre Marcus (contrebasse) ou Julien Francomano (batterie). La programmation est certes variée mais elle consacre une part importante au jazz. « Ce sont essentiellement des concerts de jazz swing mais aussi bebop et hardbop pour les puristes de jazz des années 40, 50 et 60 », nous confie Rémi. Le lundi, le mardi, le jeudi et le vendredi en deuxième partie de soirée, place à l’improvisation à travers les Jam Session Jazz (bœufs musicaux) et Jam Session Funk. Les concerts de jazz sont quant à eux programmés pour le mercredi et le vendredi soir. Le samedi, la musique latine est à l’honneur avec des concerts largement dédiés à la musique brésilienne. Mais comme une fois n’est pas coutume, le club reçoit de temps à autre des groupes de jazz cubain, des artistes afro-caribéens ou même argentins. Pour clôturer la soirée, un trio se charge de faire se déhancher les spectateurs au rythme de la bossa nova et de la samba. Le dimanche, c’est au tour de la musique baroque de s’inviter dans la cave voûtée du 38 RIV. Pour aider les amateurs de jazz qui souhaitent améliorer leur pratique, le gérant anime des ateliers tous les lundis et jeudis avant les concerts. D’une durée d’une heure et demie, ces ateliers dénommés « ateliers d’Octave » s’adressent avant tout à des musiciens avertis qui ont déjà une certaine maîtrise du jazz. Pour ceux qui souhaitent organiser des soirées privées ou des événements d’entreprise, le 38 RIV leur propose un cadre de prestige avec un espace de réception de 70 m2. « Nous suggérons un pack incluant du champagne ou du vin mais aussi un trio de jazz pour animer la soirée », souligne le responsable. ...
Dans l'optique de mettre en valeur un produit en plein essor, qui est le vin conditionné en bag in box, la compétition baptisée Concours International Wine in Box a été lancée en 2015. Car aujourd’hui, les vins sous forme de BIB n’ont rien à envier à ceux en bouteille. « Nous sommes partis du constat que le marché des vins en BIB connaît une forte croissance. Des efforts considérables ont été entrepris par les producteurs de vins et les négociants pour rehausser la qualité des vins conditionnés en BIB entraînant une hausse de la demande sur le marché », nous explique Anne-Marie Estampe, directrice de la société Amelovin. Et d'expliquer que « grâce à ce concours, les consommateurs ont la possibilité de repérer les produits de qualité désormais estampillés de leurs médailles, comme les grands vins. » Un concours d’une envergure internationale En trois ans, CIWIB est devenu une référence. Le nombre d'inscrits ne cesse d’évoluer. Depuis la première édition en 2015, les vins qui sont en lice ont connu une hausse considérable. « En 2015, nous avons eu 250 bags in box avec une augmentation de 20 % en 2016 et en 2017. Cette année, on a eu l’Afrique du Sud, l’Argentine, l’Australie, la Bulgarie, la Grèce, l’Espagne, la France, le Luxembourg, les États-Unis… C’est vraiment un concours international, donc nous avons davantage de bags in box qui arrivent du monde entier », précise Anne-Marie. En tout, 384 compétiteurs notamment des producteurs, des coopératives, des négociants ou d'autres groupements de producteurs, ont concouru pour cette 3e édition du CIWIB. En France, les produits éligibles à la compétition sont surtout les « vins tranquilles français » ainsi que ceux certifiés selon l’article R.665-24 du code rural. Quant aux crus provenant des autres pays, ils doivent être conformes au code international des pratiques œnologiques de l’Organisation internationale de la vigne et du vin. Une compétition réglementée Au cours du concours, chaque participant doit présenter en tout quatre échantillons de vins dans un contenant Bag In Box de moins de 5 litres. Pour assurer leur confidentialité, les vins sont classés selon les appellations IGP, AOC/AOP, VDL et par catégorie : millésime, cépage, couleur. Ces produits seront évalués par des professionnels du secteur lors d’une dégustation. L’équipe du jury de cinq personnes est constituée par des œnologues, des sommeliers, des cavistes, des restaurateurs... Elle est systématiquement présidée par un œnologue. La dégustation est aussi ouverte aux amateurs. « Nous avons beaucoup de clubs d’œnologie qui rassemblent des passionnés originaires de France ou d’autres pays qui sont capables de déguster un grand nombre de vins en un laps de temps court, ce qui n’est pas donné à tout le monde », fait savoir Anne-Marie Estampe. À noter que l’or représente l’unique titre octroyé lors de ce concours international. Les résultats sont publiés le lendemain de la journée du concours. Les producteurs lauréats, quant à eux, reçoivent leurs diplômes au cours d'une cérémonie officielle de remise des diplômes qui se déroule lors d'un salon viti/vinicole. En 2015, ce fut à Bordeaux lors de VINEXPO, en 2016 ce fut à Bordeaux lors de VINITECH, en 2017 ce sera à Montpellier lors du prochain SITEVI. ...
Le CFA SMS Centre-Val de Loire a été créé en 2012. Il forme par l'apprentissage aux métiers du secteur social et médico-social. En 2017, un nouvel arrivant : le diplôme d'État d'infirmier, dispensé par les Unités de Formation d'Apprentis de l'Institut Régional de Formation Sanitaire et Sociale (IRFSS) de la Croix-Rouge à Chambray-lès-Tours (37) et de l'Institut de Formation aux Soins Infirmiers (IFSI) de Dreux (28). La formation au diplôme d'État d'infirmier par l'apprentissage était jusque-là, pour des raisons historiques, rattachée au CFA du Campus des Métiers de Joué-lès-Tours. En transférant ce diplôme au CFA SMS Centre-Val de Loire, l'intégration du sanitaire et du social prend tout son sens, conformément aux souhaits de la Branche Associative, Sanitaire, Sociale et Médico-sociale à but non lucratif (BASS), qui labellise un CFA sanitaire et social par région. Une offre de formation ajustée pour les cinq ans à venir Dans le cadre du renouvellement conventionnel, chaque CFA va s'engager avec la Région Centre - Val de Loire pour la période 2017-2022. C'est l'occasion de faire le point sur l'offre de formation, en la redéfinissant, en l'adaptant en fonction des besoins sur les territoires. Une meilleure articulation avec le médico-social ne peut être que bienvenue, car la frontière est souvent ténue entre les besoins sur le plan strictement sanitaire et la prise en compte des problématiques concernant les personnes âgées dépendantes, l'aide à domicile ou le handicap. Devenir infirmier par l'apprentissage C'est possible depuis 2010, mais cette voie d'accès au diplôme d'État n'est pas assez connue. Compte tenu de la durée des études (3 ans) et des 1800 heures de cours magistraux et travaux dirigés, la formation en apprentissage est actuellement centrée sur la troisième année du cursus. ...
Installé sur le campus universitaire de Richter, au sud de Montpellier, Montpellier Management est né de la fusion entre la faculté d’Administration économique et sociale (AES) et l’Institut des sciences de l’entreprise et du management (ISEM), qui existaient depuis plus de plus de 40 ans.. Avec ses quarante formations diplômantes – initiales, continues et en alternance – ainsi que son expertise dans le domaine du management, l’Institut répond aux besoins des étudiants, des actifs en recherche de reconversion ou de spécialisation, ainsi qu’aux exigences des entreprises en quête d’évolution, en France comme à l’international. Cinq pôles d’expertise Afin de soutenir les étudiants et les professionnels dans la réalisation et le développement de leurs projets, l’Institut Montpellier management propose différents cursus de formation axés sur cinq pôles d’excellence : audit contrôle finance, marketing-vente, entrepreneuriat et PME, management stratégie et management public. Les cours sont assurés par un corps professoral constitué de formateurs de qualité issus des milieux académique et professionnel. Deux nouveaux MOOC pour mieux entreprendre Montpellier Management profite des évolutions technologiques pour transmettre son expertise à travers des MOOCs (Massive Open Online Course), des « cours en ligne ouvert et massif ». En effet, l’année 2017 est marquée par le lancement de deux nouvelles formations en ligne ouvertes à tous: le Balanced Scorecard (BSC), qui s’adresse aux étudiants en management de niveau master, aux entreprises et à tous les intéressés par le domaine de la finance et l’Entrepreneuriat et Croissance Attitude, ouvert à toutes les personnes qui portent une attention particulière à la croissance des entreprises. Ses ressources innovantes permettent à l’Institut de former à distance des managers hautement qualifiés. MOMA Junior Conseil : le management pour les jeunes Outre l’apprentissage et les stages, les étudiants peuvent également s’inscrire à MOMA Junior Conseil, la junior entreprise de l’Institut. Cela leur permet de mettre en œuvre les connaissances acquises et de développer leurs compétences. Grâce une formation pluridisciplinaire, la junior entreprise bénéficie de multiples domaines de compétences tels que la communication, le marketing, la finance, les sciences de gestion, mais également la stratégie et la création d’entreprise. La junior entreprise a pour mission principale de réaliser des audits d’entreprises, tous secteurs d’activité confondus. Celles-ci peuvent ainsi faire appel à ses services pour réaliser des études du marché, rédiger un business plan et bien d’autres missions. ...
Fondé le 15 décembre 2007, l'aquarium Mare Nostrum fait partie de cette nouvelle génération d'aquariums qui ont été créés ces dix dernières années. À vocation de faire voyager ses visiteurs à travers les océans du monde en les plongeant dans des scénographies aussi réalistes qu'immersives, l'aquarium embarque ces derniers dans des endroits stratégiques et typiques des zones en question à l'image des fresques et des falaises de l'Afrique du Sud, ou bien sur les rivages de la Méditerranée. L’aquarium Mare Nostrum : une découverte participative et immersive En plein cœur de Montpellier, l’aquarium lance une véritable invitation à un voyage au cœur de l’océan. Ses visiteurs parcourent tous les océans du monde au travers de bassins géants. Cet aquarium, nouvelle génération, est doté d’un cadre plus vrai que nature et recèle une biodiversité marine de plus de 400 espèces. De la Méditerranée à l’Afrique du Sud, passant par le détroit de Gibraltar ou le Pacifique nord-est… des scénographies réalistes vous plongent dans une ambiance captivante et vous livrent les secrets de cet univers aux mille facettes. Tous les éléments sont fidèlement reconstitués, les aménagements et les décors soigneusement étudiés de façon à ce que les animaux puissent reproduire leurs comportements naturels. De la pleine mer aux rivages tropicaux et tempérés, chaque parcours est la promesse d’une découverte palpitante. Par ailleurs, une grande variété de poissons et d’espèces aussi rares qu’étranges évolue dans ce milieu, à l’instar des Périophthalmes ou des Toxotes. Planetoceanworld : une nouveauté empreinte d’une évolution constante L’exposition « entre ciel et mer » constitue le dernier né de l’établissement et fait le lien entre la partie océan et la partie planétarium. Des séances d’observation du ciel et des projections de films sont proposées pour le plus grand bonheur des passionnés du ciel et de ses spectacles comme à la grande satisfaction des plus curieux. Visant à une amélioration continue, l’exposition est permanente tout en adoptant une démarche évolutive. En dehors de son aspect ludique, le concept vise à développer l’esprit responsable des visiteurs et rappelle l’enjeu majeur que constituent nos écosystèmes. Un voyage du côté des Galapagos, un des plus beaux endroits du monde sera en l’occurrence entrepris dans une zone en réalité virtuelle. Une bonne occasion pour parler de la plus grande tortue du monde, du phénomène El Niño, ou encore du rythme biologique de l’océan au travers des voyages de méduses. ...
La société Séjours internationaux linguistiques et culturels (SILC) est un pionnier en matière d’organisation de séjours linguistiques. Depuis maintenant cinquante ans, l’entreprise familiale dirigée par Jean-Luc MAURY-LARIBIÈRE œuvre pour faire découvrir aux apprenants d’autres cultures et surtout leur permettre de tisser des liens privilégiés avec les locuteurs natifs. Le concept de « bain linguistique » prend ici tout son sens. Des prestations de qualité Grâce à sa longue et riche expérience dans le domaine, SILC est l’un des rares organismes certifiés NF Service. Cette certification, gage de qualité et de sécurité oblige l’entreprise à remplir des exigences très strictes imposées par les normes Afnor par rapport aux séjours linguistiques. L’objectif étant de fournir des prestations à même de répondre aux attentes des participants. Ceci implique toutes les composantes relatives à l’organisation de séjours : transport, hébergement, cours… La qualité des séjours SILC repose en grande partie sur la capacité de l’organisme à mobiliser un vaste réseau de familles d’accueil réparties aux quatre coins du monde. Des offres variées et personnalisées Malgré une expertise longuement éprouvée, SILC ne cesse de se remettre en question et expérimente, avec succès, de nouvelles idées. Ainsi, la programmation, le style de séjour, les thématiques, tout est prétexte au renouvellement et à l’innovation. C’est dans cette optique que l’organisme vient de lancer un concept destiné à révolutionner les séjours linguistiques. Il s’agit de la formule « Les nouvelles aventures linguistiques » qui se compose de quatre gammes Spikylive, Spikosmo, Spikolo et Spiklass. S’adressant exclusivement aux adolescents de 7 à 18 ans, cette formule vise surtout à convaincre les récalcitrants qui pensent que partir en séjour linguistique équivaut à travailler pendant les vacances. Afin de supprimer toute forme de contrainte, l’idée était donc de réunir les conditions favorables d’une pratique décomplexée de la langue en mettant l’accent sur l’expérience humaine. ...
Une équipe passionnée « L'acquisition de ce domaine est parti d’un coup de cœur, d’une histoire complexe et assez exceptionnelle. C’est vraiment une belle aventure que nous vivons avec cette propriété depuis trois ans » raconte Edwige Lurton-Michon, propriétaire du domaine avec son mari Olivier Michon. La propriété avait été achetée par un investisseur russe, qui malheureusement n’a pas réussi à mettre en valeur son terroir. Avec l’appui d’une équipe aussi professionnelle que passionnée, les époux Michon ont commencé à la remettre sur pied, petit à petit. Avec Patrick Turani, régisseur ,Sandra Desgroppes, assistance administrative, Evelyne, John, Loïc, Sylvie et Dominique qui se partagent entre vigne et chai, chacun apporte tout le soin nécessaire à l'épanouissement de ce patrimoine végétal et architectural. La propriété est suivie par les oenologues Eric Boissenot et Marco Balsimelli. Des ressources sous-estimées Depuis quelques décennies, le Château Livran avait quelque peu disparu des écrans radars de la place de Bordeaux. Cependant, grâce à l’importante restructuration menée par l’équipe actuelle, le domaine est en pleine renaissance. « La propriété était en sommeil, nous nous employons à la remettre dans son énergie. De nouveaux chais et cuvier innovants dans le respect de l’environnement (climatisation naturelle grâce aux puits canadiens, nettoyage des eaux usées par compostage des sarments...) sont en cours de construction au cœur du domaine» affirme Edwige. Le vignoble dispose pour le moment de 27 hectares de vignes. Toutefois, 10 autres hectares sont en train d’être replantés, en Merlot majoritairement. Ce cépage est en effet complémentaire avec le Cabernet Sauvignon, leur assemblage permet d’obtenir des vins fins et structurés. Concernant la politique culturale, le vignoble introduit doucement mais sûrement une agriculture en biodynamie « afin de préserver et faire fructifier de manière harmonieuse ce site naturel» précise la vigneronne. Plus aucun herbicide n’y est employé, et les doses de produits chimiques ont été réduites de façon drastique. Le domaine use à présent de tisanes et d’engrais organiques pour amender et protéger les vignes. Deux cuvées distinctes Aujourd’hui, le Château Livran produit 50 hectolitres à l’hectare de vins, soit 150 000 bouteilles réparties en parts égales de « Château Livran » cru bourgeois et « Les sources de Livran ». « Le terroir, composé de marnes et de calcaire qui se chevauchent, est assez atypique pour le Médoc et ressemble plus au Saint-Emilionnais » selon Edwige. Vinifiés à partir de méthodes traditionnelles en cuves béton, les raisins issus de ce terroir donnent des vins fins et fruités. ...
Situées sur un plateau de garrigues argilo-calcaires dans le Vaucluse, les vignes du domaine de la Brunely plongent leurs racines loin dans la terre pour puiser l’eau. « Cette particularité du sol nous donne des vins qui sont assez puissants et assez riches », souligne Edouard Carichon, responsable commercial et fils de Charles Carichon, propriétaire. Le domaine s’étend sur 80 hectares, dont 35 en appellation Vacqueyras. Concernant les cépages, les plus typiques de la vallée du Rhône sont privilégiés comme le grenache, la syrah, le mourvèdre ou encore le carignan. La vinification, une philosophie « On fait tout nous-mêmes. On s’attache à suivre tous les processus. C’est notre philosophie depuis le début pour offrir le meilleur du terroir et respecter la vigne et son environnement », explique Mr Carichon. Car, à défaut d’adopter une viticulture raisonnée, le domaine de la Brunely applique la méthode dite raisonnable. Pour preuve, il n’utilise aucun désherbant et va jusqu’à embaucher des saisonniers pour piocher les mauvaises herbes dans les cas extrêmes. La vinification, quant à elle, se fait main dans la main avec un œnologue-conseil, selon les techniques traditionnelles : vendange à maturité optimale, utilisation de levure naturelle, etc. Modernité oblige, les vins sont élevés dans des cuves en inox et en béton. Une cuvée, une appellation Le domaine de la Brunely propose une gamme très variée des grands crus de la vallée du Rhône : Vacqueyras, Gigondas, Châteauneuf-du-Pape, Côtes-du-Rhône et Ventoux. Cependant, ici, on ne produit qu’une seule cuvée par appellation. Régulièrement récompensée lors de divers concours, comme le Gigondas « Les Rocassières 2009 » coup de cœur du Guide Hachette 2012, la cuvée Châteauneuf-du-Pape est de celle qui fait la fierté du domaine : « C’est le seul vin qu’on élève en barriques. Il est très structuré, avec des tannins assez fins mais puissants. » ...
Pour Jef Aérosol, "Jef", comme il est affectueusement surnommé, cette exposition est une collection de souvenirs, de moments urbains et d'aventures. Elle raconte l'histoire d'un artiste originaire de Nantes qui, à partir des années 80, a conquis le monde avec ses créations murales. Ses œuvres, souvent marquées par une flèche rouge distinctive, sont devenues des éléments de "l'imagerie populaire" contemporaine, que ce soit l'iconique autoportrait "Chuuuttt !!!" à Paris ou la fresque "Waz' Up" à Lille. Cette exposition exceptionnelle explore la diversité et la richesse de son univers artistique. Une Exposition en deux actes En collaboration avec les galeristes Mathilde et Gautier Jourdain, experts en art urbain et commissaires de l'exposition, Jef Aérosol présente ses œuvres emblématiques dans l'ancienne salle des malades du musée de l'Hospice Comtesse. Pour l'artiste, cette exposition est un album de souvenirs qui offre aux visiteurs une immersion dans son univers, avec des dessins de jeunesse, des pochoirs, des photos, des vidéos, des objets personnels, des documents d'archives, des affiches, des flyers, des livres, et bien plus encore. De plus, un film réalisé dans sa maison et son atelier permet aux visiteurs de découvrir son quotidien créatif. La Chapelle attenante à la salle des malades abrite une installation unique avec près de 200 portraits réalisés au pochoir sur carton grandeur nature. Une fenêtre sur le Monde L'univers artistique de Jef Aérosol est une véritable fenêtre ouverte sur le monde. Au fil des ans, l'artiste a constitué une immense galerie d'hommes, de femmes et d'enfants, tous représentés avec élégance et bienveillance. Son style distinctif, caractérisé par des peintures en multi-couches, confère à ses œuvres un réalisme saisissant, parfois comparable à la photographie. Bien que son travail ait évolué vers une palette plus sobre, la couleur demeure discrètement présente dans ses créations, notamment dans les arrière-plans. Plus poétique que politique, le message de Jef Aérosol est profondément humaniste, reflétant un regard bienveillant sur l'humanité et son époque. ...
CREATIS a pour mission d’acquérir et d’extraire des informations anatomiques, fonctionnelles et métaboliques pour contribuer à la compréhension des tissus et organes vivants sains ou pathologiques en utilisant l’imagerie multi-physique comme outil principal d’exploration. Dans ce contexte, l’engagement des membres du laboratoire est d’identifier les verrous et points de blocage scientifiques théoriques relatifs à l’acquisition et au traitement de ces informations. Le centre répond également au défi d’apporter davantage de réponses aux grandes questions médicales dont les enjeux sont aujourd’hui majeurs. Une approche multidisciplinaire Les investigations menées au sein de CREATIS s’effectuent à l’interface entre la science et la santé, et requièrent des compétences interdisciplinaires. Ainsi, cette unité de recherche de quelque 200 personnes rassemble des chercheurs issus de trois disciplines principales : la science du vivant, la science et la technologie de l’information et de la communication, et la science pour l’ingénieur. On compte parmi eux des physiciens spécialisés dans la méthodologie et l’instrumentation. Concrètement, ils sont chargés de concevoir des capteurs ou sondes, de nouvelles stratégies ou procédés d’acquisition pour mesurer les signaux comme par exemple en IRM ou en ultrason. Les images et informations spécifiques acquises sont ensuite exploitées et quantifiées par des spécialistes en traitement du signal et de l’image grâce à des techniques de traitement avancées. On détermine ainsi une multitude de paramètres, qui permettent une meilleure compréhension du fonctionnement des organes et des tissus vivants. Une fois validés, ces paramètres peuvent devenir des biomarqueurs d’imagerie qui sont essentiels dans l’établissement de diagnostics ou de pronostics, ainsi que dans les approches thérapeutiques des pathologies graves, dont l’accident vasculaire cérébral (AVC), le cancer et le syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA). Les équipes de CREATIS CREATIS comporte cinq équipes de recherche, dont les projets sont axés sur différents objectifs bien identifiés mais toujours orientés vers la simulation, la modélisation et la quantification de données d’imagerie pour le progrès réel et concret de la médecine. L’équipe « imagerie et modélisation vasculaire et thoracique » est spécialisée dans l’établissement des liens entre les données d’imagerie et les questions cliniques concernant les pathologies cardiovasculaires et pulmonaires. Elle s’intéresse donc principalement à l’étude, sur le versant vasculaire, des organes situés dans le thorax comme le poumon et le cœur, en exploitant les différentes modalités d’imagerie disponibles. L’équipe « Imagerie ultrasonore » a pour objectif d’extraire des paramètres de mouvement, d’élasticité, de pression ou encore de flux nécessitant des acquisitions ultra-rapides tridimensionnelles. Ces méthodes sont développées à partir de simulations et validées sur des objets physiques (dits fantômes) avant d’être transférées sur le vivant. L’équipe « imagerie tomographique et radiothérapie » développe principalement l'imagerie par rayon X, communément appelée scanner, et s’investit dans le domaine de la radiothérapie en exploitant l’image comme support pour guider la thérapie. Cette équipe applique ses recherches au traitement du cancer et à l’imagerie osseuse à différentes échelles spatiales (nano, micro). L’équipe « RMN et Optique : de la mesure aux biomarqueurs », met les biomarqueurs au cœur de ses objectifs de recherche. Les biomarqueurs sont des paramètres liés directement au développement d’un processus pathologique dont l’usage est adopté dans la pratique clinique. Ces biomarqueurs sont de types morphologiques, structuraux, hémodynamiques, viscoélastiques ou encore métaboliques. Ils sont recherchés spécifiquement dans l’exploration du foie, des p...
La Fédération internationale des sports populaires (FISP) est née en 1968, quand des associations d'Allemagne, de Suisse, du Liechtenstein et d'Autriche, partageant le sigle I.V.V (Internationaler Volkssport Verband) sur leurs documents ou balisages temporaires ou définitifs, se sont réunies autour d’un réseau. Aujourd’hui, l’égide I.V.V au travers de laquelle de nombreux participants et randonneurs internationaux s’identifient, est exclusivement protégée par les 35 pays membres à travers le monde. Encourager la mobilité transfrontalière La FFSP elle-même, basée à Strasbourg, a été fondée en 1975 et a obtenu l’agrément ministériel du ministère de la Jeunesse et des Sports en juin 2006. Son objectif s’inspire de la mission principale de la FISP, celle de favoriser les rencontres interculturelles par l’élaboration de manifestations de sports populaires ouvertes au plus grand nombre. Cette notion d’échange implique une dimension humaine, touristique et sportive. Ainsi, les activités proposées par la FFSP doivent s’inscrire dans le concept du sport de loisirs et de détente : à la portée de tous pour créer la convivialité, des sports non compétitifs, sans classement et destinés à entretenir la santé. Et surtout, ces manifestations doivent s’intégrer dans la découverte d’une région, d’une ville ou d’un village : patrimoine et sites historiques, architectures, musées, gastronomie, etc. La FFSP dynamise également l’économie locale en permettant aux acteurs du tourisme sur place d’héberger, de restaurer et de proposer des prestations hôtelières diverses aux participants, qui atteignent le nombre de 800 000 en une année. À leurs partenaires, elle offre en plus une large visibilité grâce à ses publications annuelles, notamment via le calendrier national « Bouquet de santé », la revue trimestrielle La Gazette des sports et sur le site Internet officiel. Des activités visant à partager la passion du sport et de l’aventure La fédération a pour rôle de soutenir et lancer le programme d’activité proposé par ses 600 associations affiliées. Ces manifestations tournent principalement autour de la marche populaire ou randonnée sous toutes ses formes, mais aussi du roller, lde a natation et du cyclisme (VTT et bicyclette). La marche populaire, cet événement phare, attire chaque année l’engouement des marcheurs venus des quatre coins du monde. Celui-ci se décline sous plusieurs thématiques, ponctuelles et non ponctuelles, pour permettre à tous de progresser et d’explorer à leur rythme : la marche de jour (sur 1 ou 2 jours), la marche de nuit, la marche découverte, la marche scolaire, la randonnée populaire guidée (sous plusieurs jours), le parcours permanent balisé, et la randonnée de longue distance. Les participants peuvent également choisir la marche nordique sur des parcours et/ou balisés d’une distance entre 5 et 100 kilomètres ou la marche « neige » à raquettes accompagnée ou balisée. 16e édition des Olympiades de l’IVV : vitrine culturelle de la France Après l’Allemagne, c’est au tour de la France de recevoir les olympiades organisées tous les deux ans. Aix-en-Provence aura le privilège d’accueillir cet événement international qui célèbre le sport populaire et les patrimoines locaux. Cette destination est très appréciée pour ses nombreux attraits touristiques (sites, monuments historiques, natures et parcs, musées, espaces naturels, etc.) mais aussi pour le développement du tourisme sportif et du sport populaire. Ce territoire se dote également d’une infrastructure adaptée à l’envergure de cet événement unique, car l’on y compte pas moins de 4 732 hotel rooms. Facilement desservi par les moyens de transport publics (train, avion, voiture, bateau), Aix-en-Provence est une destination accessible qui promet pourtant un dépaysement total. Rendez-vous donc en 2019 pour la 16e édition des Olympiades de l’IVV. ...
Le champagne est symbole de célébration, de bonheur et de la douceur de vivre à la française. Conserver l’authenticité de cette cuvée mythique relève d’un art, que le Champagne Loriot Xavier maitrise avec grande précision comme l’exige son statut de vigneron indépendant. Mieux, la maison sait réinviter en permanence sa belle collection pour être créatrice d’émotion et d’émerveillement. Conseil de dégustation L’élégance envoûtante du champagne 100S Sans Sulfites Ajoutés Extra Brut s’accorde harmonieusement avec les mets à base de poisson, de coquillages et de crustacés. Élaborée à partir d’un assemblage de chardonnay et de pinot noir, cette création atteint une symbiose parfaite entre caractère et finesse. Une attaque ronde et soyeuse succède au nez intense sur des notes de fruits blancs et de fruits secs. La fraicheur, la tension et la pureté en bouche signent la grandeur de ce champagne aux bulles vives cristallines. « Il représente vraiment l’aboutissement de notre volonté de travailler en harmonie avec l’environnement », nous confie Charlène Loriot, de la 5e génération, aujourd’hui à la tête de l’entreprise. Pour accompagner les recettes de volaille et de viande blanche, le choix s’oriente plus vers le champagne Hynoptic Brut, Brennus d’or à la Foire de Sens 2018. Cette cuvée est le fruit d’un assemblage de chardonnay, de pinot meunier et de pinot noir issus des meilleurs coteaux de la vallée de la Marne, conduits en lutte raisonnée. L’étape de la fermentation malolactique lui confère un nez subtilement grillé, tantôt mentholé, tantôt minéral, qui transite vers un arôme boisé exhalant des notes végétales. La plus sincère expression du terroir, Hypnotic Brut incarne à merveille le style de la maison : fin, intense et aérien. À déguster sur du canard à l’orange ou encore du jambon de parme et confiture de griottes. Le Fragment de Noirs du champagne Loriot Xavier s’invite au plat principal, en accompagnement de mets à base de viande rouge (petit gibier à plumes et ses cerises compotées, mignon de veau truffé cuit à la ficelle, etc.) ou de la cuisine thaïlandaise. Il est issu de la meilleure sélection de cépages noirs, dont 65 % de pinot meunier et 35 % de pinot noir. Sa robe dorée scintillante suggère un nez de fruits jaunes à pleine maturité, enveloppant un arôme de pain d’épices et de cacao. Cette belle nervosité se poursuit en bouche par une attaque souple et franche. S’enchaîne un tourbillon de palette aromatique agréablement fruitée, qui se termine en élégance sur une note de fruits secs. Au dessert, douceurs sucrées aux fruits rouges ou fromage, le domaine propose sa création Collision Meunier Rosé, en monocépage pinot meunier. Gâtés par une exposition plein sud sur un terroir crayeux, les cépages donnent cette cuvée tannique à la personnalité corsée, qui ne trahit pas à son style contemporain. Sa robe rouge saumonée surprend par la pétillance de ses bulles fines. Le nez est marqué par des arômes de violettes relevées délicatement par une note iodée. La bouche, elle, est plus tourbée, évoluant vers une douceur finement fruitée. Des cuvées uniques Au mois de septembre 2018, la maison Loriot Xavier lance son dernier-né, conçu en 100 % pinot noir. « Ce champagne sera issu exclusivement des vieilles vignes de mon arrière-grand-père », nous souffle notre interlocutrice. Une série intime au nombre très limité de 3 000 bouteilles. Pour compléter la gamme, le Blanc des Blancs Insaisissable Brut en monocépage chardonnay est également à (re)découvrir. D’une grande richesse aromatique, ce champagne enivre les palais avec subtilité et fraicheur. La bouche exprime les typicités du terroir et rappelle la parfaite maturité du cépage. À servir idéalement en apéritif ou en dégustant des beignets de légumes, des fruits de mer, des langoustines ou du filet mignon. Ce champagne est salué par les meilleurs guides de vins : Dussert Gerber 2012 (4 étoiles), Gilbert et Gaillard 2012 (...
Stéphane Bern, pourquoi un tel attachement au patrimoine ? Comment vous est venue cette passion pour l’histoire et la sauvegarde du patrimoine ? Stéphane Bern | Écoutez, cela a commencé vraiment tout petit. Quand j'étais enfant, j'habitais Nancy, qui est une ville ô combien patrimoniale. Mon école était à côté de la Place Stanislas, pas très loin du Palais du Gouverneur et du Musée Lorrain. Enfin, j'habitais un appartement dans un immeuble moderne assez laid. Et j'avoue que j'ai découvert enfant, ce qu’était la beauté grâce au patrimoine ce qui a éveillé tout mon intérêt pour l'histoire. C’est vrai aussi que cette passion, cet intérêt naissant pour l'histoire et le patrimoine, m’a été encouragé dès l’enfance par mes parents et mes grands-parents luxembourgeois. Et au fond, j'ai très vite compris que le patrimoine était quelque chose qui réunissait les gens, les générations. Que c’était un vecteur d'identité. On naît du lieu qu'on a choisi. On s'intègre grâce aux bâtiments qu'on s'approprie. Et j'ai toujours pensé aussi que derrière les vieilles pierres, il y avait des aventures humaines incroyables. Des aventures humaines que j'aime raconter parce que c'est ça, l'histoire ! Ce n'est pas quelque chose d'abstrait. C'est la vie de femmes et d'hommes qui ont fait des exploits ou parfois des choses désagréables. Cela peut arriver aussi mais la vie c’est avant tout des aventures humaines. Chaque année, la mission Bern inclut dans son « état des lieux national du patrimoine remarquable en péril » une proportion non négligeable de monuments industriels. Pouvez-vous nous en dire plus ? Stéphane Bern | Écoutez, pour moi, le patrimoine industriel a toujours été ma préoccupation. Je dirais même patrimoine industriel et ouvrier. Parce qu'il y avait beaucoup de bâtiments ou d'anciennes usines intéressantes du 18e, du 19e siècle qui sont à l'abandon et qui racontent la mémoire de femmes et d’hommes qui ont travaillé. Et, quand il n'y a plus d'emplois dans ces lieux, ces lieux se meurent. Et donc, il faut les réhabiliter pour leur rendre leur mémoire. On a aidé, par exemple, la Grande Forge de Buffon, c’était la première année, je me souviens aussi d’une remise aéronautique tout à fait impressionnante, une poterie aussi, une ancienne tannerie, des séchoirs à houblon. Et c'est vrai que la Grande Saline entre dans ce patrimoine industriel parce que c'est avec sa poêle à sel et toutes ses installations une mémoire ouvrière importante. C'est une typologie du patrimoine parmi les autres, châteaux, patrimoines religieux, maisons d’illustres, jardins, sites archéologiques, mais je n'oublie pas le patrimoine industriel et ouvrier. D'ailleurs, cette année, on a encore distingué, pour la mission Bern 2024, l'usine de la Grande Vapeur à Oyonnax dans l'Ain, qui est l’un des sites emblématiques de l'industrie locale dédié au savoir-faire du peigne et de la plasturgie. Ce sont des choses comme ça qui m'intéressent. Des bâtiments qui sont emblématiques dans une région parce que ça a été une industrie qui a fonctionné pendant des siècles. Et tout d'un coup, il n'y a plus rien. Le bâtiment est là, et quand les gens voient le bâtiment se dégrader, ils ont le sentiment qu'on les abandonne, qu'on a abandonné l'emploi et qu'on abandonne les gens. Et donc, c'est pour ça qu'en sauvant ce patrimoine, nous sauvons la mémoire de ceux qui y ont travaillé. D’où est venue cette idée géniale de « Loto du patrimoine » pour financer des restaurations ? Et quel apport financier la Fondation du patrimoine reçoit-elle chaque année de la Loterie nationale ? Stéphane Bern | Je n'ai pas eu à chercher bien loin. J'ai été piquer l'idée en Angleterre, où ce qui avait été fait pour le National Trust, qui est une sorte de consortium regroupant tous les monuments, privés ou publics, bénéficie chaque année de la Loterie, ...
Le restaurant Le coup de feu promet une expérience unique en termes de plaisir de la table. Le chef affiche sa volonté de séduire le plus grand nombre en proposant une cuisine traditionnelle teintée d’inventivité. Un cadre cosy pour manger autrement Le restaurant Le coup de feu réserve à ses convives un accueil chaleureux dans un cadre offrant le juste milieu entre une décoration moderne et une salle de style rétro. Poutres apparentes, grande cheminée au milieu de la salle, mobiliers vintage, mais aussi sol carrelé… autant d’éléments évoquant charme et convivialité. Le restaurant propose une cuisine basée sur la gastronomie parisienne. Concoctés exclusivement avec des produits frais, les plats de l’ardoise changent toutes les semaines afin de varier le plaisir des habitués et de faire découvrir de nouvelles saveurs aux nouveaux venus. Certains mets illustrent à merveille le savoir-faire de Sylvain Le Grand, chef et non moins propriétaire du restaurant. Dans le registre des entrées, la poitrine de cochon confite, laquée au miel et servie avec un duo d'artichauts cru et cuit, émoustille les papilles. Le filet de bar est quant à lui très recommandé en guise de plat. Au Coup de feu, cette suggestion est accompagnée de jus aux fruits de la passion. Enfin, pour le dessert, le chef se fera un grand plaisir de servir l’ananas victoria rôti en tranches au sucre muscovado, agrémenté de sorbet au basilic thaï. Une cave à vins complète Pour mieux savourer les mets proposés par le restaurant Le coup de feu, le chef reste disponible pour quelques conseils sur les meilleurs accords de vins et de plats. Dans sa cave marquée par une présence remarquée de vins de Bourgogne, il présente une trentaine de références. Le chef Sylvain sélectionne d’ailleurs les vins en collaboration avec des producteurs régionaux lui permettant de mettre en valeur des produits peu connus mais à découvrir absolument. ...
Préparé uniquement à base de produits frais et de saison, chaque plat est une belle découverte qui met à l’honneur le meilleur des produits de la Bretagne. À travers sa passion dans laquelle transparait avec raffinement l’amour du beau, la cuisine du chef Rachel Gesbert est un véritable régal pour les papilles. Il va sans dire que l’établissement travaille également les produits du terroir tels que le lièvre, le gibier ou le cabillaud. Grands moments de gastronomie Sa galette de blanc de turbo au tartare d’andouille, qui est un savoureux mélange de poisson, d’andouille et de galette de blé noir, est, en l’occurrence, « le plat magique du restaurant », comme aime l’appeler Rachel Gesbert, chef et propriétaire de l’enseigne. Mais cela n’empêche pas d’autres découvertes comme sa salade gourmande de trois crustacés, composée de tourteau, de langoustine et de homard, son ris de veau forestier, ses crêpes au Grand Marnier au beurre de caramel ou encore son millefeuille chocolat-café soufflé à la vanille, sans pour autant oublier son fromage au lait cru et son pain perdu mirabelle. Bien que, à midi, la cuisine du marché à 28 € fasse sensation auprès des convives, la maison suggère aussi de nombreuses formules aux noms évocateurs, comme le menu Perle de cristal à 39 € ou le menu Perle de nacre à 57 €, dont la différence repose sur le nombre de choix de plats. En dehors de ces menus, les suggestions du jour permettent de varier les plaisirs des clients qui viennent très régulièrement. Chaque plat se savoure autrement grâce à la très jolie carte des vins enrichie de 53 lignes de champagne et de 450 références de vins à la carte. Des grandes appellations aux petits producteurs, la sélection affirme un bel éclectisme qui fait honneur à toutes les grandes régions du pays pour satisfaire tous les gouts et toutes les envies. ...
Une salle ornée de pièces de musée authentiques, une terrasse très prisée en temps estival donnant sur un jardin verdoyant, le cadre séduit d’emblée par la vue bien dégagée sur le lac Léman et les sommets neigeux des Alpes. D’ores et déjà, les yeux se régalent de ce spectacle avant même de découvrir ce que le chef propose. Deux cartes proposées pendant toute l’année Derrière les fourneaux, le chef Gilles Vincent dirige une fine équipe rompue à l’art de la bonne cuisine pour concocter les incontournables du restaurant. Au menu : des plats typiques de la gastronomie française et des recettes inspirées de l’art culinaire asiatique pour sortir des sentiers battus. Du foie gras en entrée, du carré d’agneau servi avec ses pommes galettes et une ratatouille, des soufflés parfumés aux fruits de saison, ce ne sont que des exemples des préparations qui ne font jamais défaut dans le restaurant. Outre la carte classique, le chef et son équipe concoctent également des menus conçus avec des produits frais de saison dans une carte qui se renouvelle quatre à cinq fois dans l’année. Des formules au-delà des cartes Jamais à court de créativité, le restaurant propose des formules toutes faites à l’instar du menu d’affaires et du menu du soir. Le buffet accueille tous les jours les visiteurs désireux de satisfaire leurs palais pour un petit déjeuner, un déjeuner, un dîner et un apéritif. À la demande des clients, un segment de la salle peut être privatisé. Dans la même optique, le personnel se prêtera volontiers aux besoins d’organisation d’une animation personnalisée pour les clients célébrant un événement particulier. Un service à la hauteur de la renommée L’accueil figure parmi les points forts du restaurant. Le chef de la réception, M. Laurent Bouriot résume la ligne directrice de leur politique à ce sujet : « On est toujours à l’écoute du client et on fait tout notre possible pour le satisfaire. » Et ce tout inclut, bien sûr, le wi-fi gratuit sur place, le parking, le garage chauffé, mais aussi et surtout le large choix de grands crus pour accompagner avec goût les assiettes de viande et le filet d’omble chevalier du lac et autres spécialités du restaurant. Pour épater les convives, Toni Mittermair, le directeur propriétaire du domaine, a sélectionné près de 400 références de vins composées de bouteilles venant des caves suisses et françaises. La carte de vins très achalandée met aussi à l’honneur d'autres vins de renommée internationale, vieillis dans plusieurs pays. ...
En France, l’introduction d’un nouveau cadre réglementaire qui joue en faveur de la mobilité alternative constitue un levier intéressant pour Green On. Cette start-up, fondée en 2009, offre une solution de mobilité durable, basée sur le modèle de vélo partage électrique, à destination des entreprises, des collectivités, du secteur immobilier et le secteur du tourisme. Mobiliser tous les moyens possibles « Aujourd’hui, nous nous positionnons comme un opérateur de mobilité à vélo et nous déployons un ensemble de services pour démocratiser l’usage du vélo », explique Yann Devaux, directeur général de l’entreprise. Ainsi, Green On développe une expertise affirmée dans l’exploitation des flottes de vélos, allant d’une installation complète d’un parc à vélos ergonomique jusqu’à la gestion opérationnelle de celui-ci et à la création d’une plate-forme web usagers. Elle fournit également des vélos électriques en libre-service aux collaborateurs en entreprises, aux résidents d’un immeuble, aux habitants d’une collectivité et aux clients d’un hôtel pour leurs déplacements en ville. Un ensemble de services sur mesure accompagne l’installation d’une telle vélostation, à savoir la maintenance, l‘assurance, le reporting, la communication ciblée, une interface numérique pour s’inscrire, réserver et payer. Enfin, la start-up met en place un système d’abonnement mensuel de 12 à 36 mois sur les modèles de vélos VAE. En outre, pour optimiser ses prestations, l'enseigne offre aux particuliers la possibilité de faire de la location longue durée ou de la vente groupée. Plan de mobilité vélo pour entreprise Le vélo comme alternative de mobilité a déjà fait ses preuves dans certaines métropoles en France à l’instar de Paris, Lyon ou Lille. Tous les aspects de la vie urbaine sont mobilisés pour faciliter son usage, à commencer par la sensibilisation des citoyens sur la pollution jusqu’à la conception d’un nouveau plan d’urbanisme et l’adoption de nouveaux textes. Mais l’enjeu de cette nouvelle solution de mobilité n’est pas uniquement d’ordre environnemental et économique, mais concerne aussi la performance et la productivité en entreprise. Yann Devaux soutient que trente minutes de trajet domicile-travail à vélo par jour réduisent considérablement le stress, les risques psychosociaux et le taux d’absentéisme au travail. Green On vise donc plus grand en incitant les entreprises à « investir dans une démarche qui va être une force fédératrice en matière de ressources humaines ». De plus, la réglementation actuelle simplifie énormément la conversion vers l’utilisation des vélos dans le cadre de la mobilité professionnelle. Par ailleurs, l’entreprise a rejoint le groupe Mobivia afin d’élargir son axe de développement à travers des collaborations innovantes entre start-up. ...
Le chef Pepe Iglesias a commencé sa carrière au Mexique, dans l’État d’Oaxaca. En avril 2003, il s’est installé rue Geoffroy-Marie, dans le 9e arrondissement de Paris, à deux pas des Folies Bergère. Ici, il confectionne des plats de la gastronomie mexicaine dans sa cuisine ouverte sur la salle. Le restaurant Zicatela peut accueillir jusqu’à 34 convives, qui s’installeront sur les deux étages. Un petit espace, des poutres apparentes, une décoration résolument sobre pour une ambiance chaleureuse. Une carte 100 % mexicaine À côté des célèbres burritos et fajitas, vous trouverez des plats typiquement mexicains. En entrée, les plus curieux commenceront par un pozole, cette soupe traditionnelle mexicaine légèrement piquante, à base de gros grains de maïs soufflé et de poulet, les autres savoureront un guacamole ou des nachos. En plat, privilégiez l’enchilada, cette tortilla enroulée garnie de fromage et de poulet, recouverte d’une sauce et de fromage fondu. Pour une version sucrée-salée légèrement piquante, optez pour la negra et sa sauce mole (cacao et épices). Si vous aimez une version plus piquante, choisissez plutôt l’enchilada roja, servie avec une sauce rouge à base de chipotle (piment mexicain), ou l’enchilada verde, avec une sauce verte à base de piment vert et de tomates vertes. Toutes sont accompagnées de guacamole, de haricots rouges, de riz et de crème. Si vous raffolez des haricots rouges, vous serez conquis par le frijoles charros. Vous pouvez également déguster un mole, une marmite avec des morceaux de poulet et une sauce mole, ou des tingas. En dessert, savourez un tamal, cette pâte de maïs cuite à la vapeur dans une feuille de maïs parfumée à la crème de coco et à l’ananas. De nombreux plats sont également déclinés pour les végétariens. Côté boissons, vous avez le choix entre vins mexicains, argentins ou chiliens, mais aussi des bières mexicaines ou des aguas frescas. Sans oublier la tequila, le mezcal ou la piña colada pour un apéritif dans la pure tradition. Une clientèle mexicaine aime se retrouver dans ce lieu où elle peut venir savourer les plats emblématiques de son pays. ...
Le Domaine Monastrel travaille sur un vignoble qui s’étend sur environ 8 ha. Bénéficiant d’un bel ensoleillement dans la partie orientale de l’AOC Minervois, celui-ci repose sur un terroir présentant un sol argilo-calcaire à forte capacité drainante. L’encépagement est composé majoritairement de mourvèdre, qui semble trouver ici les conditions climatiques propices à son épanouissement. Le vignoble est également composé de syrah, de grenache et de cinsault, utilisés pour l’élaboration des vins rouges et rosés, mais aussi de la roussanne et du vermentino pour les vins blancs. Une viticulture raisonnée Soucieuse de préserver l’environnement, la maison mise sur des pratiques culturales qui respectent les vignes et la Nature. « Pour l’essentiel de mes traitements, j’utilise des produits agréés bio », indique Vincent Énaud, le propriétaire des lieux. Celui-ci fait partie de ces vignerons qui appliquent rigoureusement des mesures prophylactiques pour éviter tout traitement excessif aux vignes. Afin d’assurer la qualité, les rendements sont limités en moyenne à 35 hl/ha. Ici, les vendanges sont encore effectuées à l’ancienne. Ainsi, cette cueillette manuelle permet déjà de réaliser un tri sélectif au niveau des grappes. Une fois triés, les raisins sont égrappés avant de passer en cuve pour la macération. Côté vinification, la maison privilégie la méthode traditionnelle. « Je vinifie par cépage et en fonction des cuvées, la macération peut durer de 5 à 20 jours », précise Vincent Énaud. Le meilleur du Minervois En tout, le domaine élabore 8 cuvées qui reflètent parfaitement la typicité du terroir du Minervois. « Ce sont des vins généreux, soutenus et qui ont beaucoup de couleurs. Leurs tanins sont à la fois souples et fins », explique notre interlocuteur. Parmi les spécialités de la maison, 3 cuvées sortent du lot : la cuvée « Bizan », la cuvée « Bélibaste » et la cuvée de haut de gamme « Victor ». « Bizan » est un vin méditerranéen obtenu à partir de 35 % de mourvèdre, 25 % de grenache, 25 % de syrah et 15 % de carignan. Cette cuvée se démarque par ses arômes de fruits rouges mûrs et de garrigues. Elle dévoile une étonnante fraicheur en bouche ainsi que des notes d’épices et d’aromatiques. Un vin auréolé de deux étoiles au Guide Hachette des vins 2018. La cuvée « Bélibaste » est le fruit de l’assemblage de 80 % de carignan, 15 % de syrah et 5 % de mourvèdre. Le nez est fruité et développe des arômes de fruits noirs et d’épices. Idéal pour accompagner charcuteries, viandes blanches grillées ou poissons fumés. Enfin, la cuvée « Victor », un assemblage de 55 % de mourvèdre, 30 % de syrah et 15 % de grenache, séduit par ses arômes intenses de fruits rouges ainsi que ses tanins suaves et boisé fondu. ...
S’étendant à ses débuts, en 1989, sur une surface de 9 000 m², Swiss Vapeur Parc a vu sa superficie doubler en 2016, avec un tracé ferroviaire de 1500 mètres. Un chemin piétonnier permet de découvrir divers bâtiments reproduits à l'échelle, ainsi que différentes œuvres d'art. Le parc compte aussi 19 locomotives miniatures (1 :4) dont 10 à vapeur et 9 avec un moteur. Une merveilleuse visite du patrimoine culturel helvétique Unique en son genre, le Swiss Vapeur Parc offre l’occasion à ses visiteurs de s’émerveiller en train ou à pied. De découvrir au fil de leur voyage, un somptueux décor ainsi que de sublimes ouvrages ferroviaires indispensables au fonctionnement des trains que sont les 4 gares (Chablais City, Chablais Village, La Prairie et Leysin) mais aussi des dépôts, des ponts, des viaducs et des tunnels). Sans oublier, les fabuleuses reproductions de bâtiments mythiques telles que le château d’Aigle, l’église de Saanen, les Halles de Neuchâtel, le Kuklos et le bisse de Savièse. Un fabuleux rendez-vous avec la nature suisse Le Swiss Vapeur Parc a toujours eu pour vocation d’être bien plus qu’un simple lieu ferroviaire. Ainsi, ses créateurs et fondateurs ont conçu un décor permettant aux visiteurs de se promener d’un coin à l’autre du parc et de découvrir à chaque fois un paysage différent et toute la richesse de la flore. La création de reliefs à partir d’éboulis survenus dans la région à la fin des années 80 a permis de dessiner les principaux “massifs” et ont permis dès l’ouverture de proposer un circuit sur deux niveaux. ...
À Marne-la-Vallée, au cœur du mythique hôtel Vienna House Magic Circus, une table proposant des spécialités gastronomiques françaises, mais aussi européennes, s’érige pour le plaisir des épicuriens. L’hôtel appartenant à un grand groupe hôtelier autrichien se veut être l’ambassadeur de l’art culinaire de l’Hexagone et celui des terres du vieux continent, allant des plats typiques aux vins régionaux. Bar et terrasse, sous un soleil généreux, sont également mis à disposition des hôtes afin d’égayer encore plus leur pause gourmande. Mettant en avant les produits locaux et de saison, la cuisine est ici teintée de saveurs locales mariées à un subtil goût d’ailleurs… Des délices du palais à la simplicité retrouvée… Même si les spécialités européennes font partie du menu, les plats typiques de la France et de la région hôte sont mis en avant afin de révéler le meilleur de cette gastronomie unique au monde. Le temps d’un petit déjeuner ou d’un dîner, laissez ainsi vos papilles frétiller avec les saveurs régionales proposées sous forme de buffet ou servies à table. Avec un menu adulte riche en découvertes et un menu enfant appelant au régal, chaque instant passé dans ce restaurant sera la promesse d’un voyage culinaire au pays du bon et du beau. Un vin français régional ou autrichien viendra y clore un déjeuner copieux placé sous le signe de la simplicité élégante et délicieuse. La salle de ce restaurant peut, entre autres, accueillir au total 450 personnes, de quoi favoriser les rencontres et la convivialité. Les friands de repas en plein air et en communion avec la nature pourront, par ailleurs, profiter d’un déjeuner à l’ombre d’une terrasse à l’exposition idéale. Cette magnifique terrasse de quelque 80 places est, de plus, dotée d’une vue imprenable sur un lac et sur les magnifiques jardins à la française qui entourent l’établissement dans son ensemble. Pour les amateurs de cocktails, d’apéritifs ou de moments de détente intimistes, le bar des artistes les accueille dans une ambiance raffinée, toujours à l’image des lieux. Avec une carte des vins riche et éclectique, ce bar est une invitation à la détente et aux plaisirs gourmands. …au cœur d’un havre de paix Le restaurant L’Étoile est lové au cœur d’un établissement hôtelier de près de 396 chambres et suites, perdu dans un écrin de verdure spécialement imaginé pour s’intégrer dans le paysage campagnard. Ce paysage authentique et pittoresque vient ajouter la touche de sérénité attendue d’une bâtisse dont certains traits rappellent, non seulement la magie du cirque, mais aussi l’âme et le charme intemporels des vieux manoirs français. Non loin du restaurant, vous pourrez vous adonner à la visite de nombreux monuments emblématiques tout en découvrant le patrimoine inégalé d’une région qui a tout à offrir. Avec les parcs de Disneyland® Paris situés à proximité immédiate de l’établissement, des cités médiévales, la Vallée Village et plusieurs châteaux d’époque, allant de Versailles à Fontainebleau, viendront s’ajouter à votre escapade gourmande. À pieds, en voiture ou en VTT, imprégnez-vous ainsi de la beauté du fameux vignoble champenois, du caractère singulier et enchanteur des paysages environnants et goûtez aux plaisirs du vin au sein des nombreuses caves champenoises ou chez les vignerons qui croiseront votre route. Un programme d’exception aux découvertes chargées d’émotions, d’histoires et de passions… ...
Située dans le village de Bouzy nichée sur la montagne de Reims, la maison Moreau dispose d’un vignoble de 4 ha, entièrement classé 100 % Grand Cru, la plus haute distinction des vignobles champenois. Ici, Arnaud Moreau élabore des cuvées d’exception qui rend honneur à la typicité du terroir. Honneur à la tradition Le vignoble comprend des cépages formés majoritairement de pinots noirs et de chardonnay. « Le caractère unique de notre terroir fait que nos pinots noirs peuvent exprimer pleinement leurs arômes », précise Arnaud Moreau. La maison opte pour une viticulture raisonnée avec une utilisation très réduite des intrants. Côté vinification, elle suit une technique traditionnelle utilisée depuis la création de la marque et qui s’est transmise de père en fils. Les cuvées emblématiques Les spécialités de la maison se déclinent en deux gammes : les cuvées traditionnelles et les cuvées prestiges. Parmi la sélection, la cuvée Tradition et la cuvée Réserve sont, sans conteste, celles qui représentent le mieux la maison Moreau. « Ce sont des champagnes très fruités, matures avec une belle longueur en bouche et qui reflètent vraiment le vieillissement du pinot noir avec ses arômes de fruits confits », dévoile notre interlocuteur. Élaborée à partir de 70 % de pinot noir et 30 % de chardonnay, la cuvée Tradition est un champagne consensuel, capable de séduire des palais différents. Quant à la cuvée Réserve, il s’agit d’un pur champagne de repas qui offre une sensation de plénitude et de maturité. Enfin, en tant que grand amateur de champagne non dosé, Arnaud présente également ses deux cuvées phares : Arrakis et Odyssée. « Ce sont des "Brut Zéro" qui sont très appréciés dans les palaces et les restaurants étoilés », confie-t-il. ...
Une école où le « savoir-être » prime le « savoir-faire » Organisme de formation au coaching professionnel bénéficiant d’une large implantation sur l’ensemble de l’hexagone, Coaching Ways France propose à ses élèves des formations à la fois sérieuses et certifiées. Mais alors que d’autres établissements se cantonnent à l’accompagnement des personnes, Coaching Ways France propose à ses élèves d’aller plus loin. « Notre but » précise Arnaud Hélard, Directeur Marketing de Coaching Ways France, « c’est que les personnes qui suivent nos formations acquièrent véritablement une posture de coach. Qu’elles soient en mesure d’incarner cette posture. Car c’est précisément cette approche qui permettra à nos élèves, une fois devenus coachs eux-mêmes, de contribuer à faire évoluer les consciences ». Au-delà d’un « savoir-faire », c’est donc un « savoir-être » que Coaching Ways France entend transmettre. Une approche centrée sur l’humain Fondé en Belgique - en 2005 - par Max Meulemans, Coaching Ways s’est rapidement exporté en France. Sous l’impulsion conjointe de Caroline Pinguet et de Christian Legrand, plusieurs écoles ont ainsi vu le jour à Lille et à Paris dès 2012. Ont suivi Aix-en-Provence en 2013 puis Bordeaux et Strasbourg en 2015 et enfin Nantes qui accueillera une école Coaching Ways France en 2019. Tous ces établissements ont en commun une même approche, à la fois innovante (car prenant en compte les évolutions structurelles, sociétales et comportementales), globale (appréhendé dans son entièreté, l’individu est contextualisé à son environnement et systématiquement replacé dans son écosystème) et centrée sur l’humain (« savoir-faire » et « savoir-être » sont indissociables). « Notre approche contribue, par le biais des formations que nous proposons, à favoriser un développement durable et vertueux des individus » explique Arnaud Hélard. Car la seule, la vraie clé du succès d’une transformation, c’est l’humain. Et tout au long de leur formation, les apprentis-coachs réaliseront que leurs futurs clients auront déjà en eux, sans même le savoir, les réponses à toutes leurs questions. En effet, à la différence d’un consultant, un coach ne se substituera pas à son client. Car « le meilleur outil dont dispose celui-ci n’est autre que… lui-même ! L’idée, ce n’est pas de fidéliser le client mais plutôt de l’aider à s’autonomiser au maximum. Découvrir que la solution vient de lui pérennisera son évolution et lui (re)donnera confiance en ses capacités ». C’est pour toutes ces raisons que l’enseignement prodigué par Coaching Ways France, en accordant une large part au facteur humain et à l’expérience humaine, constitue une réelle expérience de vie. Mieux vaut une tête bien faite qu’une tête bien pleine À l’image de Montaigne (1533-1592) qui estimait que l’important n’était pas de remplir la tête des étudiants de toutes sortes de connaissances (culturelles, scientifiques, etc.) mais plutôt de les éduquer afin qu’ils soient capables de faire le tri entre les informations qu’ils engrangeaient, Coaching Ways France fait l’emporter la qualité de l’enseignement et des compétences pédagogiques sur le nombre de techniques enseignées. « Lorsqu’ils arrivent, nos nouveaux élèves sont avides de méthodes de coaching, de techniques. Ils sont persuadés qu’un bon coach se doit de connaître le maximum d’outils. Mais c’est davantage la posture qu’ils acquerront progressivement qui comptera que le nombre de techniques qu’ils étudieront. D’une part, parce qu’une fois acquise la posture du coach, l’efficacité des techniques de coaching sera décuplée. D’autre part, parce que ça prend du temps de digérer, d’assimiler et de s’approprier les techniques ...
En Saône-et-Loire, environ 3 000 acteurs touristiques incluant sites touristiques, hébergeurs, activités et équipements de loisirs bénéficient d’une promotion touristique relayée grâce aux supports promotionnels de l’agence. Consciente à la fois des richesses du patrimoine naturel et du paysage viticole de la région, cette dernière a décidé de concentrer ses efforts sur le développement de deux filières porteuses que sont l’oenotourisme et le vélotourisme. Un vignoble riche en diversité Le vignoble de Saône-et-Loire est le plus méridional de Bourgogne. Il s’étend sur une large bande de 50 km de longueur et 50 km de largeur. « Nous avons la chance d’être le plus grand vignoble de Bourgogne-Franche-Comté en termes de superficie », précise Arnaud Durix, président de Destination Saône & Loire. Mais le véritable atout de ce territoire réside essentiellement dans sa diversité. En effet, il se compose de 5 vignobles : les Maranges Côte de Beaune (inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO en 2015), le Couchois, la Côte Chalonnaise, le Mâconnais et le Beaujolais. En tout, il abrite une trentaine d’AOC, comptant des appellations prestigieuses comme Maranges, Pouilly-Fuissé, Givry, Moulin-à-Vent et Côtes du Couchois. Côté production, 45 % des vins d’appellation de Bourgogne sont issus de Saône-et-Loire. Des vins de qualité exceptionnelle à l’image des Mâcon blancs et les vins rouges de la Côte Chalonnaise. Dans leur jeunesse, les premiers exhalent des parfums de fleurs du printemps tels que l’aubépine ou l’accacia. En prenant de l’âge, ils dévoilent des arômes de sous-bois, de noisette, de miel et de pain grillé. Quant aux rouges de la Côte Chalonnaise, ceux-ci sont souvent profonds, au fruité croquant, évoluant vers des notes d’épices douces. « La force de nos vins vient de leurs richesses aromatiques », fait valoir Arnaud Durix. Un haut lieu de l’œnotourisme La Saône-et-Loire possède de nombreux atouts en matière d’œnotourisme. La région abrite notamment de sites intéressants tels que le Hameau Dubœuf et le Château de Chamirey, véritables fleurons de l’œnotourisme local. « Ce sont des sites importants en termes de fréquentation touristique », nous indique-t-on. Premier œnoparc de la vigne et du vin créé en Europe, le Hameau Dubœuf, situé à Romanèche-Thorins, propose aux visiteurs un voyage inédit dans l’univers de la vigne et du vin. D’une manière ludique, les secrets des vignobles, leurs origines ainsi que les différentes techniques sont dévoilés au public. Une collection impressionnante d’objets rares, des spectacles d’animation et des attractions insolites (cinéma dynamique, cinéma en 3D…) feront le bonheur des petits et des grands. Quant aux œnophiles, ceux-ci ne rateront sous aucun prétexte les séances de dégustations. Deuxième pépite du département, le Château de Chamirey a la particularité d’offrir des activités variées. Il dispose d’un domaine viticole (visites suivies de dégustations), d’espaces de séminaires pour les entreprises et d’une chambre d’hôtes, le tout en plein cœur de la Côte Chalonnaise. Sans oublier également les balades organisées dans les vignes. Ces deux sites, labellisés Vignobles & Découvertes, permettent d’apprécier les potentialités du département d’un point de vue œnotouristique. Des conditions d’accueil optimales En choisissant la Saône-et-Loire pour destination de voyages, les touristes sont assurés d’être accueillis dans des conditions optimales. Grâce à un important vivier de structures labellisées Vignobles & Découvertes, les visiteurs profitent d’une offre touristique complète qui leur permet de faciliter l’organisation de leur séjour et de les orienter sur des prestations de qualité. « Notre ambition est de valoriser les professionnels labellisés Vignobles & Découvertes par le biais d’actions d’animation et de promotion menées auprès des touristes », souligne Arnaud Dur...