Légèrement situé en retrait, l’établissement est implanté à Morzine (Haute-Savoie), entre la mairie et l’église. Baignant dans une atmosphère familiale particulièrement agréable, l’enseigne est une belle adresse gourmande à découvrir et qui réserve son lot de surprises, à commencer par l’ambiance. Lumière tamisée, décor intimiste, ambiance cosy… Les Vents d’Anges affichent un décor hors des sentiers battus, couplé à un service plutôt décontracté. Ici, le temps semble suspendu… On prend le temps de se poser, de s’imprégner du lieu et de savourer la bonne cuisine inventive, inspirée de belles associations. Des plats savoureux À la carte, de nombreuses suggestions gourmandes qui changent au gré des saisons. Parmi les plats phares qui ont séduit la clientèle s’inscrivent le Risotto à la crème de truffe, jambon blanc et pecorino truffé, les Noix de saint Jacques panées aux sarrasin torréfié ,andouille de guémené et émulsion de vert de poireaux ou le Crémeux au chocolat Li Chu et curcuma pour la note de douceur. Les produits classiques et originaux se mêlent et s’entremêlent pour former un bouquet de saveurs et d’arômes pas comme les autres. La carte des vins Aux Vents d'Ange, le tandem Elise-Laurent fonctionne à merveille. Monsieur s'occupe des fourneaux tandis que Madame s'affaire à acceuillir les clients mais pas seulement. Grande spécialiste de vins, Elise Camilleri se confie : « nous avons une belle carte de vins qu'on essaie d'enrichir grâce au travail des petits producteurs ». La particularité du restaurant est qu'il propose un vaste choix de vins au verre, au quart ou au demi-litre, selon les envies des clients. Quelques grandes appelations sont disponibles « complétées avec des petites trouvailles que je sélectionne moi-même" continue-t-elle. ...
Le domaine Charles Gouthière et Fils possède un vignoble d’exception installé sur la côte des Bar, dans l’Aube, et réparti sur six communes. « Nous avons un sol argilo-calcaire et pierreux, qui nous permet d’obtenir des vins agréablement fruités », explique Fredy Gouthière, gérant du domaine. Ce vignoble accueille les trois cépages traditionnels champenois, en honorant particulièrement le pinot noir, le cépage de prédilection utilisé dans la confection du champagne emblématique Brut Grande Réserve. Forte d’une expérience qui s’est transmise depuis des générations, la maison maitrise l’art de la vinification traditionnelle champenoise dans l’élaboration de sa gamme. Celle-ci gravite autour de 40 000 bouteilles chaque année. Démarche biodynamique En s’engageant dans une démarche de viticulture durable, la maison concrétise ainsi sa sensibilité écologique et sa volonté de protéger l’environnement. Cette initiative exige d’être constamment à l’écoute des vignes dans le but de raisonner l’utilisation des produits phytosanitaires. Et le domaine va encore plus loin : « Une de nos parcelles situées à Chêneau est travaillée selon une démarche biodynamique. Elle procure des cuvées saines, expressives et d’une grande fraicheur. » La cuvée D’antan, un assemblage surprenant des trois cépages, reflète toute l’authenticité de cette parcelle. ...
Haut lieu historique et culturel, telle est l’image marquante de Rouen et de sa région. C’est pourtant d’abord avant tout une zone économique de plus de 800 000 habitants, un centre urbain innovant et créatif et un très solide écosystème industriel de portée internationale. Du 6 au 19 juin 2019, le territoire se mobilise pour faire découvrir, au détour de l’Armada, grande fête fluviale, les atouts économiques et résidentiels de Rouen et de sa région. L’enjeu : révéler ses atouts clés : le marché, l’écosystème, les compétences humaines, et la qualité de vie. Rouen va vous surprendre, on vous le garantit ! Une localisation incomparable, entre terre et mer, au cœur des grands bassins d’affaires La performance économique de Rouen est soutenue par une position géographique stratégique : à une heure de Paris, proche des grandes capitales européennes, Rouen donne accès à des marchés dynamiques et variés. Au cœur de la vallée de la Seine, Rouen participe à l’économie fluviale et portuaire : les trois ports de Paris, de Rouen et du Havre constituent le premier ensemble portuaire français, pour les conteneurs, le commerce extérieur, l’approvisionnement énergétique, et Rouen est le premier port fluvial européen pour le vrac et l’export de céréales. Des filières industrielles performantes : l’industrie du futur, à Rouen, c’est maintenant C’est à Rouen que se sont écrites depuis quatre siècles toutes les révolutions industrielles, c’est aujourd’hui que s’y déploie la puissance de l’industrie 4.0 : un système pleinement connecté, où collaborateurs et partenaires construisent une chaîne de valeur en constante transformation, pour mieux s’adapter aux besoins du client. Travaillant en synergie, toutes les grandes filières industrielles sont concentrées sur ce territoire : automobile, aéronautique, chimie, pharmacie, santé, agroalimentaire, technologies vertes, construction, activités portuaires. L’innovation dans les services à l’industrie est portée par la puissance de ces fleurons, en particulier dans la logistique et le développement des technologies numériques. Renault, Thales, Sanofi, Lubrizol, Novacel, Ferrero, Ethypharm, Nutriset, Aspen, Ressorts Masselin, Aptar, Hermes Parfums, Janssen, Bolloré Logistics, Glaxo, Acticall, Cargill Cacao, PGS Group, Nexira, autant de noms qui font référence dans leur domaine et qui écrivent, chacun, des pages de leur histoire à Rouen. Innovation technologique mais aussi innovation par les services : si les secteurs bancaires, assurantiels, et relations client comptent dans l’économie locale, Rouen et sa région investissent aujourd’hui avec succès des secteurs tels que l’artisanat, le commerce de proximité, le tourisme, qui contribuent aussi à sa valorisation urbaine. Des compétences disponibles et formées pour les besoins locaux Les jeunes ne s’y trompent pas : avec une population étudiante des plus dynamiques de France, Rouen fait le plein dans ses onze écoles d’enseignement supérieur, à l’université et 4 000 chercheurs forment les talents de demain. Une offre adaptée aux besoins industriels, mais également aux services et au commerce : INSA Rouen Normandie, ESIGELEC, NEOMA Business School, Institut national de la boulangerie-pâtisserie, Uni LaSalle, 6 UFR, et bien d’autres, couvrent l’ensemble des besoins des secteurs économiques. Au-delà de la formation initiale, la Région Normandie croit en la formation professionnelle. En lien étroit avec les entreprises, la Région finance des actions de qualification, de reconversion et facilite ainsi l’embauche ou la mobilité professionnelle. Vivre à Rouen, un plaisir ? La qualité de vie d’une métropole à taille humaine est particulièrement appréciée à Rouen : juste la bonne échelle pour une vie professionnelle intense, où le choix des postes passionnants permet en toute quiétude de s’installer en famille, sans souci de logement, de garde d’enfants ou d’ennui mortel de province ! La ville est curieuse, sportive, culturelle, et offre alentour des espaces naturels in...
Une chose est sûre : vous ne risquez pas de vous ennuyer avec ce concept. Le fait de ne connaître le lieu de destination qu’au dernier moment nourrit l’imagination et conduit à l’aventure. En plus de proposer des voyages inoubliables, Cap Mystère contribue à sa mesure, à la conservation de l’environnement grâce à la plantation d'arbres au Pérou. Une expérience pleine de surprises Les arnaques des comparateurs de voyages en ligne sont les bêtes noires des vacanciers. Beaucoup ont donc pris l’habitude de ne rien perdre de l’organisation de leurs voyages, jusqu’à en oublier l’essentiel : prendre du plaisir. Mais Cap Mystère leur donne l’occasion de retrouver le goût de l’aventure. Ici, le lieu de destination reste un mystère jusqu’au jour du départ. Mais pour instaurer plus de confiance, il est possible de faire valider le voyage par ses proches. Tout commence par un questionnaire en ligne définissant le budget ainsi que les envies et contraintes des clients. C’est à partir des informations recueillies que l’agence établit un devis et choisit la destination, en privilégiant celles qui promettent de belles surprises comme entres autres le Portugal, la Slovénie, l’Albanie, le Monténégro, ou, un peu plus loin, l’Indonésie, le Panama, le Costa Rica et le Brésil. « On leur donne des indices à J-30 et à J-15 pour les aider à préparer leur valise », précise Nathalie Lafay, cofondatrice de Cap Mystère. Des offres correspondant à chaque profil L'offre sur-mesure s'adaptera totalement aux envies du client : l’hébergement, les activités qu’il souhaite faire, ce qu’il a aimé ou détesté au cours de ses précédentes expériences. Mais cela nécessite de sa part le plus de détails possible dans les réponses au questionnaire. Comme le dit Nathalie : « Chaque voyage est unique, car chaque demande l’est aussi. » En choisissant cette offre, le client peut choisir lui-même sa destination parmi celles qui sont proposées ou laisser Cap Mystère s’en charger et ne découvrir la destination qu’une fois sur place. Mieux encore, la carte cadeau permet d’offrir un voyage mystère à ses proches. À partir de 125 euros par personne, Cap Mystère propose une nuit mystère ou un week-end mystère, sans jamais oublier les surprises. Il est également possible de partir à la découverte de la France pour un week-end en couple ou en famille. L’occasion parfaite de vivre une pause gourmande, un moment de bien-être ou d’évasion. Si vous rêvez d’une escapade sans pour autant être brusquement coupé de la vie urbaine, le City-break sur mesure est l’offre parfaite. Que vous soyez intéressé par la culture, par la nature ou par les soirées animées et les événements sportifs, Cap Mystère vous emmène dans la ville européenne qui correspond le mieux à votre demande. Toutes ces offres peuvent convenir aux jeunes mariés qui ne se sont pas encore mis d’accord sur la destination de leur lune de miel. Pour vous garantir un dépaysement total, Cap Mystère choisira un petit coin de paradis (près d’un volcan, au bord d’un lagon turquoise, les pieds dans le sable), bref, des endroits que vous ne serez pas près d’oublier. Un couple témoigne d'ailleurs : « Nous nous sommes lancés dans cette aventure pour notre voyage de noces avec le souhait d'être libérés de l'organisation d'un voyage aussi compliqué et également avec l'idée que cela nous permettrait de découvrir un pays auquel nous n'aurions même pas pensé ». ...
À Bazas, tout est réuni pour passer de bons moments : sa magnifique cathédrale (classée au patrimoine mondial de l’UNESCO), sa viande de bœuf, ses fêtes, ses marchés animés… Et au milieu de tout cela, le long de la place et près de l’hôtel de ville, le restaurant Les Remparts accueille les touristes de passage ou les locaux. Un établissement aussi charmant que chaleureux, qui a su imposer son nom dans le milieu gastronomique au fil des années. Aujourd’hui, sa réputation n’est plus à faire et le chef Yannick Fauriès a plus d’un tour dans son sac pour préserver cette image et cette qualité d’accueil. Une cuisine gourmande Dès l’entrée, la salle dégage une certaine douceur qui met les convives à l’aise. Le mobilier et la décoration mêlent avec goût le contemporain et l’ancien. La table a été soigneusement dressée et démontre ce côté chic de l’établissement. Mais le restaurant n’a pas fini de surprendre… De l’autre côté, la magnifique terrasse séduit et attire instinctivement toute l’attention. Durant les beaux jours, c’est l’endroit idéal pour déguster les plats succulents de Yannick Fauriès, tout en contemplant la beauté de Bazas. En effet, la terrasse offre une vue imprenable sur la vallée, le jardin du Sultan et la fameuse cathédrale Saint-Jean-Baptiste. Un spectacle pour le plaisir des yeux, qui finit par faire croire que ces paysages ont été conçus spécifiquement pour les convives du restaurant. Une découverte culinaire pour continuer Côté cuisine, le restaurant Les Remparts est tout à fait à la hauteur de sa réputation. Au sommet de sa maturité, le chef Yannick Fauriès propose une cuisine proche du terroir mêlée à une touche contemporaine. Ainsi, avec ses plats à base de produits frais et d’herbes sauvages, il transporte ses convives vers la découverte de nouveaux horizons culinaires. Chaque plat témoigne de sa parfaite maitrise des saveurs, tout en mettant à l’honneur les produits (bio autant que possible). Pour Yannick Fauriès, « un bon plat doit procurer des plaisirs gustatifs, ludiques et esthétiques ». Un principe qu’il suit à la lettre et qu’on peut vérifier avec ses réalisations telles que le velouté d’herbes au maki de Saint-Jacques truffé, la brandade de morue douce aux escargots et beurre vert sauvage, le quasi veau rôti au foin et légumes au jus, la truffe palombe rôtie… La carte est renouvelée au gré des saisons. Certes, elle est courte mais propose des plats variés : deux entrées, deux plats et deux desserts. Le menu, quant à lui, change plus régulièrement et affiche toujours les produits phares du chef comme le bœuf de Bazas, les fraises ou encore les asperges. Et des douceurs pour terminer Qui dit bonne table dit bon vin ! Et des vins, le restaurant en possède de très bonne qualité dans sa collection. En effet, sa carte représente les meilleurs vignobles de France avec pas moins de 70 références. Parmi les plus prisés, on retrouve le margaux (vin rouge du Château Giscours), le sauternes (vin blanc liquoreux du Château Guiraud) ou encore le pessac-léognan (vin blanc sec du Clos Marsalette). La carte est régulièrement mise à jour en fonction des découvertes et des coups de cœur du propriétaire. ...
La marque Sassy est lancée en 2014 sous l’impulsion de deux amis d’enfance Pierre-Emmanuel RACINE-JOURDREN et Xavier D’AUDIFFRET-PASQUIER, originaires de Normandie et vouant une grande passion pour le cidre. Au cours de leurs études à l’étranger, ils constatent un engouement autour des « ciders ». Cependant, ces boissons à base de concentrés de jus de pomme sont loin des standards qualitatifs auxquels nos deux amis sont habitués. Ils décident alors de proposer un produit « made in France » à la fois moderne et haut de gamme. Des créations tendances Visant une qualité optimale, les créations Sassy sont sans ajouts et non concentrées. Du 100 % pur fruit, élaboré en partenariat avec un maitre de chai. Pour être dans l’air du temps, le design a été soigneusement travaillé et les créations mises en valeur dans des bouteilles de verre blanc de 75 et de 33 cl. Mais c’est véritablement sur la qualité que tout se joue. Pour preuve, les créations Sassy sont associées à des grands noms de la gastronomie et de la mixologie comme Alain Ducasse (éminent chef étoilé) ou Julien Escot (champion du monde de cocktail). Du brut au plus fruité, en passant par des arômes acidulés, les 5 produits de la maison se prêtent idéalement aux jeux des associations. ...
Niché au cœur des Alpilles, au pied de l’un des plus beaux sites de France : les Baux de Provence, l’hôtel La Benvengudo perpétue une tradition familiale de plus d’un demi-siècle. Une destination de luxe où le temps n’a plus d’emprise sur vous Daniel Beaupied, chef étoilé auprès de la Riboto de Taven aux Baux et son épouse Maryse décident en 1967 de construire leur propre hôtel dans une superbe propriété au pied du château des Baux de Provence. Ils voulaient un établissement à leur image pensé comme une maison de famille où convivialité rime avec le plaisir de recevoir. Un demi-siècle plus tard, l’esprit de la maison est toujours là avec leur fille Carole et son mari Viktor qui ont repris les rênes de ce merveilleux domaine. Au cours de cette décennie, la propriété a fait l’objet de plusieurs rénovations. La nouvelle génération a voulu laisser son empreinte dans l’histoire de cette saga familiale afin d’en faire un des plus intimistes hôtels de luxe des Alpilles. L’ambiance est à l’image des lieux : conviviale, élégante et raffinée. Coté décoration, deux déclinaisons de couleurs ont été appliquées à l’ensemble des chambres : le blanc et un camaïeu de beige. Une touche de couleur est amenée par les toiles de l’artiste régional Yves Boussin. Les chambres, suites et maisons ont été rénovées dans un style contemporain. Les meubles anciens se marient avec élégance et raffinement avec des pièces plus modernes. Toutes les chambres bénéficient d’une douche à l’italienne ainsi que pour certaines d’une baignoire balnéo. Les produits d’accueil sont signés Nuxe et sa gamme « Rêve de Miel ». Si votre choix se porte sur les chambres « Côté Jardin », vous bénéficierez d’un jardin ou d’une terrasse avec une magnifique vue sur l’oliveraie. Au cœur de la Provence, point de départ vers de multiples découvertes culturelles et sportives La Benvengudo jouit d’un emplacement exceptionnel car elle se trouve à proximité des plus beaux sites touristiques de Provence. Il est possible de partir pour une journée à la découverte d’Aix-en-Provence et de son musée Paul Cézanne, de flâner dans les ruelles de Saint Rémy de Provence un jour de marché, une ballade au soleil couchant dans le parc naturel de la Camargue ravira les amoureux de la nature et de beaux paysages. Les amoureux de golf seront à quelques minutes de greens d’exception. Quant aux cyclistes, ils pourront partir pour de belles excursions à travers les oliveraies et à l’ombre des pins. Un virtuose de romantisme culinaire Jouant avec subtilité avec les accords pour faire chavirer votre cœur et vos papilles, le jeune chef Thomas Voisin sait orchestrer à merveille les produits frais qu’il trouve sur les marchés régionaux. Sous-chef de cuisine pendant 3 ans à la Benvengudo, il est revenu cette année en tant que Chef de Cuisine dans cette belle maison après avoir fait ses armes dans de prestigieuses maisons étoilées telles que l’hôtel des Bories à Gordes, le restaurant l’Ekrin de l’hôtel le Kaila à Méribel avec le chef provençal Laurent Azoulay ainsi que Reine Sammut à l’Auberge de la Fenière à Lourmarin. Avant de passer à table, on aime s’installer dans le salon de jardin avec une coupe de champagne pour contempler le parc où toutes les essences du Sud se dessinent tel un tableau de Paul Cézanne. Le chef va vous emporter dans un songe gastronomique, les produits du terroir se retrouvent dans une partition de saveurs ou sont magnifiées les notes méditerranéennes et provençales. L’odeur du plat emblématique de la maison vient caresser vos narines. Ne passez surtout pas à côté du carré d’agneau rôti et fumé au thym de la garrigue du domaine. Christophe, le pâtissier va relever la douceur d’une belle soirée avec une compotée d’ananas au vieux rhum, crème légère à la passion, sorbet ananas et biscuit moelleux à l’huile d’olive du Domaine. ...
La famille Chatonnet a toujours été active dans le monde du vin. Dès 1750, celle-ci produisait déjà des vins de grande qualité. En 1967, André et Jeanine Chatonnet, les parents de Pascal, l’actuel gérant, décident de racheter la propriété, le Château Haut-Chaigneau. Durant près de 40 ans, le couple s’attèle à y cultiver les meilleurs cépages tout en s’efforçant de développer le vignoble au fil des années. Aujourd’hui, leur fils Pascal continue fièrement de poursuivre la voie tracée du succès. Celui-ci suit de près les évolutions en matière de vin, sans pour autant renier ce que ses parents ont accompli avant lui. Un singulier terroir Ce vignoble de 30 ha se répartit sur 3 zones différentes. La majorité des vignes est localisée sur Lalande-de-Pomerol ; 1,2 hectare est implanté sur Saint-Émilion et un demi-hectare sur la Montagne-Saint-Émilion. L’encépagement est dominé par le merlot, suivi par le cabernet franc et le malbec, en toute petite quantité. Sur ces terres, les vignes bénéficient d’un terroir particulier avec des sols composés de mélanges d’argiles et de graves. « Cette particularité au niveau de Lalande-de-Pomerol procure aux vins beaucoup de rondeur et un potentiel de garde important », souligne Céline Cassat, responsable commercial. Zéro résidu Respectueux à la fois de l’environnement et des consommateurs, le domaine pratique une agriculture conventionnelle avec une utilisation très limitée des produits chimiques. Par ailleurs, dans le but de proposer des vins exempts de tous résidus de pesticides, Pascal Chatonnet a créé, à travers ses laboratoires, le label « Phytocheck ». « Ce label certifie que les vins ne contiennent aucune trace de pesticide », indique-t-il. Côté vinification, la maison privilégie de longues macérations pouvant s’étaler sur 3 ou 4 semaines en fonction des cépages. Selon les parcelles, une partie du jus est ensuite vinifiée dans des cuves en bois tandis qu’une autre partie poursuit sa vinification dans des cuves en inox. Quotidiennement, un remontage est réalisé en vue d’extraire le maximum de tanins, d’arômes et de couleurs. « Sous la supervision de notre maitre de chai, nous procédons tous les jours à des dégustations tout en surveillant le bon déroulement des fermentations », nous explique-t-on. Des vins régulièrement primés La maison produit en tout 7 cuvées, dont la qualité est toujours reconnue à sa juste valeur. À l’exemple des cuvées « La Sergue » et « Le Château Haut-Chaigneau », les fleurons du domaine. « La Sergue » a reçu, en 2011, une médaille d’or au concours national des vins de Mâcon pour le millésime 2008 et, en 2014, une médaille d’or au concours Aquitaine de Bordeaux pour le millésime 2011. Issu de l’assemblage de 85 % de merlot, 12 % de cabernet franc et 3 % de malbec, ce vin reste LA référence incontournable de l’appellation Lalande-de-Pomerol. S’habillant d’une robe à la couleur dense, cette cuvée présente une bouche grasse et soyeuse par excellence. Quant à la cuvée « Le Château Haut-Chaigneau », les millésimes 2013 et 2016 ont respectivement gagné la médaille d’or au concours mondial de Bruxelles et la médaille d’argent au concours national des vins de Mâcon. Ce vin a fait l’objet d’une vinification particulièrement soignée et d’un élevage en barrique extrêmement précis. Il illustre le savoir-faire unique de la famille Chatonnet dans la production de grands vins. ...
Dans le Finistère-Sud, à Sainte-Marine, la villa Tri Men est un véritable havre de paix. En bordure de l’Odet, la demeure de caractère séduit par son élégance et son originalité. À l’extérieur, un impressionnant parc verdoyant s’ouvre au-dessus du port pour accueillir les convives. Dès la porte franchie, une ambiance cosy et chaleureuse se dégage du salon, où une large baie se présente comme un tableau vivant. Maison de famille revisitée, l’établissement propose aujourd’hui un hébergement dans son hôtel quatre étoiles et une pause gourmande dans son restaurant gastronomique, Les trois rochers. Une escapade gustative inédite À l’image du lieu, Les trois rochers incarnent la douceur de vivre en Cornouaille. Le restaurant est d’ailleurs salué par tous les guides et figure parmi les 200 tables recommandées par le Carnet gourmand de Châteaux et Hôtels Collection. Et en janvier 2016, il a été récompensé par une étoile au Guide Michelin pour son rapport qualité/prix. À la tête de ce succès, le chef Frédéric Claquin surfe sur les saveurs des saisons pour proposer une carte courte mais bien maîtrisée. Dans l’assiette, les produits de la mer et du terroir breton se marient à la perfection aux parfums des voyages lointains. L’occasion pour les convives de déguster le nouveau goût des ravioles de langoustines du Guilvinec, les ormeaux poêlés, le Saint-Pierre à la patate douce, sans oublier les poissons… mélangés à des fruits, racines, épices et féculents du monde. Pour les nouveaux venus, le menu Découverte est la meilleure approche pour connaître la cuisine du chef Frédéric. Pour les épicuriens, quoi de mieux que le menu Plaisir ? Et pour les gourmands curieux, le chef leur concocte un succulent menu dégustation. À savourer en salle ou sur la terrasse, qui offre une vue imprenable sur Bénodet. ...
Le DAP a pour rôle d’attirer et d’accélérer la création des jeunes pousses afin de dynamiser l’écosystème du Pays d’Aix. La plate-forme s’intéresse plus particulièrement aux projets technologiques et innovants, et finance la phase d’amorçage liée aux études techniques, études de marché, brevets, finalisation de prototype et présérie. Les porteurs peuvent intégrer une pépinière d’entreprises ou l’un des espaces économiques du territoire, tout en bénéficiant d’un accompagnement professionnalisé. Un prêt d’honneur à taux zéro Le DAP est géré par Pays d’Aix Développement (PAD) et cofinancé par l’État, la métropole Aix-Marseille-Provence-Territoire du Pays d’Aix et quelques entreprises privées. Le dispositif est une solution de financement de la R&D avant la création de l’entreprise. Un dispositif d’autant plus intéressant que ce type de financement constitue l’un des blocages majeurs rencontrés par les entrepreneurs. Le prêt d’honneur est donc proposé à un taux 0 %, remboursable avec différé sur une période de cinq ans à compter du premier exercice positif de l’entreprise ou de ses trois ans d’existence. Afin de bénéficier de ce prêt d’honneur, les candidats porteurs de projets doivent remplir trois critères déterminants. D’abord, ils doivent démontrer le caractère technologique et innovant du projet, en s’appuyant sur la potentialité de croissance et la valeur ajoutée que celui-ci peut apporter sur le long terme à la communauté. Le choix de l’emplacement géographique est également une condition d’éligibilité. La future start-up devra s’installer en Pays d’Aix ou sur le bassin minier de Provence, une fois son activité lancée. Enfin, le prêt d’honneur est octroyé uniquement en amont de la création de l’entreprise, pour répondre au concept de base du dispositif. L’étape de la sélection Un comité de sélection intervient une fois que tous les critères sont réunis. En plus de Pays d’Aix Développement (PAD), des représentants des banques partenaires, des investisseurs, des incubateurs ainsi que des pôles de compétitivité composent le jury. Ils ont pour rôle notamment de vérifier le respect des conditions d’éligibilité et d’évaluer la faisabilité de chaque projet. Les dossiers retenus passeront par la suite en comité d’engagement, qui va examiner et valider les moyens et les modalités stratégiques du financement accordé. Un autre comité, celui de pilotage, prend le relais et assure le suivi, la cohérence et l’exécution des dispositions prises. Une belle collection de lauréats Le DAP entend par domaine d’innovation tous les champs possibles, que ce soit en électronique, numérique, biotechnologie, aéronautique, santé… Cette grande ouverture a permis au dispositif de lancer des projets tout aussi originaux qu’ambitieux, dont certains ne nous sont pas inconnus. Novadem, par exemple, une entreprise experte dans la robotique aérienne à destination des marchés civils et militaires. Le projet a fait partie des premiers bénéficiaires du prêt d’honneur en 2006, et voit aujourd’hui sa notoriété croître au niveau international. On cite aussi Axyn robotique, spécialisé dans la conception de solutions robotiques au service des personnes handicapées ou en manque d’autonomie. Côté numérique, Editag via sa solution Moontag, a conquis les industriels et les entreprises grâce à un système intégré pour connecter objets et processus. L’innovation médicale n’est pas en reste, comme en témoigne le succès du service CardioNexion conçu par @-Health. Et pour finir, le DAP tient son 100e champion, Adéquabio, qui développe des systèmes biologiques de dépollution, notamment par le traitement des effluents phytosanitaires. ...
En vrai visionnaire, André Deberdt était à l’origine de la création du label Bio équitable et était à la fois un acteur majeur au sein du réseau Biocoop. Il fonde KAOKA en 1993, et choisit de se concentrer sur le cacao et le chocolat afin de maîtriser toute la chaîne de valeur, depuis la plantation jusqu’à la commercialisation des produits finis. Un cacao éthique et de qualité Présente sur quatre filières, à savoir l’Équateur, Sao Tomé, le Pérou et la République Dominicaine, la société entre en relation directe avec les producteurs locaux et s’investit dans une stratégie de codéveloppement concertée pour pérenniser l’activité. L’une des valeurs éthiques véhiculées par KAOKA est le respect des hommes, qui se concrétise par la mise en place d’un cadre de travail optimal ainsi qu’une rémunération juste et honnête. Cet enrichissement mutuel se poursuit notamment dans la mise en place de coopératives regroupant les petits planteurs de cacao, qui bénéficient d'équipements performants utilisés dans les étapes de fermentation et du séchage. Ces investissements garantissent une meilleure qualité des récoltes tout en simplifiant les activités des producteurs. Dans sa vision d’un partenariat à long terme et pour faire face aux menaces de la pénurie de cacao, la société a également développé une technique agronomique basée sur la méthode du greffage comme solution viable pour les deux parties. Au-delà de l'augmentation de la production de cacao pour les producteurs, cette technique permet surtout d'encourager et favoriser la culture des variétés locales de cacao aux arômes originels et exceptionnels. Cette démarche reconnue a valu à KAOKA l'obtention de la certification FFL pour l'ensemble de ses produits, selon le référentiel pointu et exigeant BioPartenaire. Une palette bien gourmande Selon l’origine des fèves, les produits KAOKA révèlent une typologie aromatique bien spécifique et riche en saveurs. La gamme Noir Dégustation qui est l’ambassadrice de la maison se décline en plusieurs tablettes et s’adapte au goût de chacun : allant d’un mélange de saveurs plus délicates jusqu’au noir intense à 90 % pure pâte de cacao. Récemment, la marque a lancé deux nouveaux produits : l'un agrémenté de citron-gingembre et l'autre de noix de coco, pour apporter une note exotique plus soutenue. En outre, la gamme pâtissière (chocolat de couverture, pépites et poudres de cacao) est souvent appréciée par les fabricants chocolatiers et les artisans pâtissiers, de par sa qualité et conformité à leur exigence. ...
Coaching « professionnel » : un adjectif à double sens Le coaching se développe à la faveur d’une demande croissante. Ce terme regroupe néanmoins des acceptions innombrables, ce qui rend la sélection d’un coach ardue – Face à cette multiplicité d’offre, la société Différence COACHING à Strasbourg a choisi un positionnement clair, dans une optique résolument professionnelle et s’adresse à une clientèle ciblée. Les termes « coach » et « coaching » ne sont en effet pas vraiment protégés : ils ne définissent pas précisément le profil, le contenu, ou le niveau de qualité de la prestation. Passé le premier tri entre coaching de vie et coaching professionnel (qui vise des objectifs d’ordre professionnel), la formation suivie ainsi qu’une certification reconnue s’imposent comme deux premiers critères de sélection, garants de la professionnalité dans cette pratique (en particulier par le respect d’une éthique et d’une charte). S’agissant d’un coaching effectué dans le cadre ou à des fins professionnels, quels autres critères une entreprise peut-elle considérer dans le choix d’un prestataire ? La qualité de la relation entre manager et coach, devrait être l’un de ces critères : celle-ci suppose la compréhension fiable et précise des tenants et aboutissants du milieu professionnel, du contexte donné et de la situation, aspects qui contribuent à la crédibilité professionnelle du coach. Ces aspects contribuent selon Alexandre Bouriant coach professionnel et créateur de Différence COACHING, à l’établissement possible d’une relation de confiance mutuelle qui contribuera grandement à l’efficacité d’une mission, en particulier quand cette dernière est commanditée par une entreprise et non par le manager lui-même. L’impact des cultures professionnelles dans la relation de coaching Vous l’avez sûrement remarqué : quand vous parlez avec quelqu’un venant de votre milieu professionnel, la « proximité » ressentie permet d’atteindre immédiatement une communication privilégiée. Une fois celle-ci installée, la part exprimée du dialogue se réduit à ce que l’on peut comparer à la partie visible d’un iceberg. Par contre, la partie immergée (sous-entendus, expériences vécues) qui contient une foule d’informations transmises de façon implicite, est souvent porteuse du sens profond et des aspects clé. Ce niveau de communication repose sur un bagage culturel professionnel commun aux interlocuteurs (études, milieu professionnel, spécialité, fonction, etc.). En face du coaché, s’il ne dispose pas de ce bagage proche de son client, le coach sera démuni de repères adéquats. Il lui manque alors des informations pour accéder à une perception fiable et complète du contexte professionnel et du ressenti de la personne coachée. L’efficacité de l’intervention du coach s’en trouve, de fait, limitée. De cette compétence communicative du coach par sa proximité culturelle avec le coaché, dépendra donc l’existence et l’étendue du dénominateur commun découlant de leurs bagages respectifs. C’est donc sur la base de l’expérience acquise par le coach dans une première vie professionnelle (branche, management, monde de l’entreprise) que pourra s’établir sa crédibilité face au coaché et une possible « intimité professionnelle ». Cette première expérience, avant celle de son métier de coach, est donc un prérequis et un critère de choix pour une réponse adéquate à la mission de coaching professionnel et favorise l’efficacité de son intervention. C’est à partir de cette constatation que Différence COACHING a décidé de centrer son offre de coaching sur cette optique professionnelle, ce afin de mieux adresser et satisfaire une clientèle ciblée de dirigeants et managers. Mieux identifier un possible dénominateur commun sur la base d’un positionnement de coaching spécifique Pour ses clients, Différence COACHING apporte son bagage sp&eacut...
Situé à Néac, à proximité de Bordeaux, le terroir entourant le Château Haut-Chaigneau favorise la création de vins d’exception. Il faut dire que nous nous trouvons à la croisée des grandes appellations Pomerol et Saint-Émilion. Une bonne raison d’en apprendre plus sur les vins du Vignoble Chatonnet. Histoire de la propriété Avant son rachat par la famille Chatonnet en 1967, la propriété du Château Haut-Chaigneau était en ruine. Ainsi, Jeanine et André firent leur possible pour rebâtir ce magnifique domaine de 30 hectares et pour l’améliorer au fil du temps. Aujourd’hui, c’est, Pascal, le fils, qui en est propriétaire. À savoir : la création de bon vin se transmet de génération en génération chez les Chatonnet. Et nous l’observons encore aujourd’hui avec les vins Château La Croix Chaigneu, Château Haut-Chaigneau, La Sergue et l’Archange, plébiscités aussi bien par les œnologues spécialistes que par les amateurs de bordeaux. Réalisés à partir de 3 cépages différents (Merlot noir, Cabernet Franc et Malbec), les vins profitent de la qualité naturelle du terroir de la région superposant des sols sablo-argileux, argilo-sableux et argileux. Souvent primés, nous les retrouvons régulièrement sur les tables des plus grands restaurants. Château La Croix Chaigneau : le vin qui se consomme sans complexe C’est grâce aux jeunes vignes de Merlot et de Cabernet Franc que le Château La Croix Chaigneau a vu le jour. Cet assemblage lui apporte à la fois une grande finesse et une certaine densité. Ainsi, il est parfait avec des grillades simples. Des brochettes, par exemple, iront à merveille avec son côté rafraichissant. À savoir : il est possible de le faire vieillir si vous le souhaitez. Château Haut-Chaigneau : un vin à la fois fin et élégant Idéal avec de la volaille, le Château Haut-Chaigneau est issu d’un assemblage 90% Merlot Noir et 10% Cabernet Franc. Ce qu’on apprécie avec le Haut-Chaigneau, c’est cette capacité à nous proposer des notes très fruitées portées sur les fruits rouges associées à des arômes beaucoup plus boisés. Pouvant être consommé à l’achat, ce vin aux tanins intégrés et à la bouche à la fois élégante et persistante peut aussi être vieilli pendant quelques années supplémentaires pour un résultat encore plus surprenant. La Sergue : une référence à part La Sergue est à la fois puissant et féminin. Pour le créer, les 3 différents cépages de la propriété ont été assemblés ensemble : Merlot Noir (85%), Cabernet Franc (12%) et Malbec (3%). Puis, il a été vieilli pendant 14 mois en barrique neuve. C’est ce travail qui lui donne sa bouche grasse et soyeuse qui lui permet d’accompagner à merveille du veau, de l’agneau voire une petite caille aux cèpes. L’Archange : le 100% Merlot Pour apprécier le côté puissant de l’Archange, issu de son cépage 100% Merlot et du terroir de Saint-Émilion, rien de mieux qu’une bonne côte de bœuf ou une pièce de bœuf au goût relevé. Élevé en barrique neuve, vous découvrez un vin à la fois fruité, dense et rond qu’il est possible de boire tout de suite ou de faire vieillir. ...
Conçu pour fonctionner sans abonnement ni carte SIM, ce petit bijou de technologie géolocalisable facilite le maintien à domicile des personnes diminuées. Rencontre avec ses créateurs, Didier et Joseph. Tout d’abord, qu’est-ce que M@TIS ? M@tis est un bracelet connecté géolocalisable qui permet le maintien à domicile de nos proches malades ou vieillissants en leur assurant une autonomie optimale et sécurisée tout en en simplifiant la vie de leurs proches. A quoi sert M@tis ? M@tis est un allié discret et facile d’utilisation. Une fois au poignet, il transmet à l’aidant la géolocalisation de la personne qui le porte dans trois cas de figure : soit par un appel volontaire de cette personne sur les boutons SOS, soit suite à une chute de celle-ci ou bien lors de sa sortie de la « zone de vie ». Fiable et léger, le bracelet M@tis possède, c’est nouveau sur le marché des bracelets connectés, une autonomie de 30 jours sans recharge. Il est aussi hypoallergénique, waterproof, et ne peut s’enlever d’une seule main. Comment ça marche ? M@tis met gratuitement à disposition des aidants une interface fonctionnant comme une application. Utilisable sur tablette, smartphone ou ordinateur, elle les prévient en cas de chute, d’éloignement de la « zone de vie » ou d’appui sur les boutons SOS. L’aidant a immédiatement connaissance de la nature de l’alerte et sait où la personne se trouve. C’est l’aidant qui configure cette interface, qui définit les alertes actives, les numéros de téléphones à appeler ainsi que la « zone de vie » en cas de nécessité. Vous avez dit innovation ? Le bracelet M@TIS est le premier système d’alerte connecté fonctionnant sans carte SIM ni abonnement. Il utilise le meilleur de la technologie, notamment en matière de géolocalisation, avec un degré de précision de 0 à 50 mètres. Si, comme la plupart des bracelets du marché, M@TIS est waterproof et hypoallergénique, il offre en plus un fermoir impossible à ouvrir d’une seule main. Ce qui permet à l’aidant d’avoir la certitude que M@TIS est toujours au bras de son proche. Alors que les bracelets connectés du marché doivent être rechargés fréquemment, M@tis garantit une autonomie de 30 jours sans recharge. Autre nouveauté à noter : si, comme certains bracelets du marché, M@TIS fonctionne aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur, il est le seul à n'avoir besoin ni de carte SIM, ni de téléphone associé. Donc pas d’abonnement à un opérateur et pas d’exposition permanente aux ondes GSM. Enfin, M@TIS avertit gratuitement et directement l’aidant ou les aidants (jusqu’à quatre numéros appelés simultanément) sur leur téléphone portable. De l’idée au développement : genèse d’un projet L’idée de ce petit bijou de technologie nous vient de deux entrepreneurs qui se sont associés pour un objectif commun et utile : concevoir un appareil simple qui permet de rester en contact avec ses proches. Joseph Torrente, expert en transmission de données sécurisées depuis 25 années et Didier Lecocq, spécialiste des installations de systèmes de sécurité électronique depuis plus de 30 années. Ils sont reconnus pour leurs compétences et expertises par des clients de renom tels que Gérard Darel, Euromaster, UTC, Bosch, Siemens et des milliers de particuliers. Lancée en début 2018, gageons que cette innovation (surnommée « le bijou magique » par ses créateurs) viendra révolutionner l’autonomie des personnes malades ou vieillissantes dans les prochaines années. Comment se procurer ce bracelet révolutionnaire ? M@TIS a été conçu pour être accessible à un large public. Le bracelet sera commercialisé autour de 300€ mais vous pouvez bénéficier dès à présent du prix de lancement durant la campagne de financement participatif qui démarre le 20 mars 2018 sur ulule.com Pour en savoir plus rendez-vous dès maintenant sur notre site matis-maintien-a-domicile.com ...
NutriZing se positionne comme le numéro un mondial des suppléments diététiques et des super aliments. Elle propose des produits extrêmement diversifiés, à base d’ingrédients naturels, qui sont formulés pour optimiser la santé et le bien-être des consommateurs. Expertise internationale Une grande variété de vitamines, d’aliments probiotiques, de suppléments pour la perte de poids, d’huiles de poisson enrichies en oméga 3, de poudre de protéines et de collagène compose la gamme de produits NutriZing. Si certains agissent contre le vieillissement et les maladies cardiaques, d’autres aident à maintenir la bonne croissance des articulations et à stimuler le système digestif. Ils sont conçus pour combler et soutenir les besoins fondamentaux en nutrition à chaque stade de la vie. Pour développer ses produits, l’enseigne s’est entourée d’une équipe de nutritionnistes experts dans la formulation des compléments alimentaires. Elle a également mis en place un dispositif de veille scientifique pour rapidement identifier les nouvelles percées de la science et étudier comment les consommateurs pourraient en bénéficier. Grâce à son réseau de collaborateurs répartis dans le monde, elle peut se permettre de procurer des ingrédients authentiques et locaux à travers une démarche simplifiée. Par la suite, le choix d’un fabricant se fait en fonction du savoir-faire de chaque pays en matière de production industrielle. Les produits finaux sont distribués en Europe, États-Unis, Nouvelle-Zélande, Sri Lanka, Inde, Japon, Angleterre, etc. Une sélection de produits Le Vitamin K2 & Vitamin D3 combo pack est un produit à double efficacité, qui combine ses bienfaits pour renforcer la densité osseuse et l’équilibre du calcium dans notre organisme. Les formules de ces produits sont régulièrement revisitées pour apporter de l’innovation à chaque fois. Ainsi, le combo pack contribue également à la récupération des muscles et de l’énergie, tout en favorisant la protection du système cardiovasculaire. Ce produit est fabriqué au Royaume-Uni, élaboré selon les impératifs HACCP. 100 % biologique et naturel, l’Organic PeaProtein Powder est une source alternative de protéines pour ceux qui ne consomment pas de viande ou qui observent un régime particulier. En effet, il contient les huit acides aminés essentiels en plus du calcium, phosphore, zinc et métal. Son efficacité est aussi prouvée dans la perte de poids et il peut être utilisé comme supplément de pré-entraînement. NutriZing offre un livre de recettes pour montrer plusieurs façons de préparer ce produit au quotidien. ...
Ouvert par madame Blanc en 1979, le restaurant la Croix d’Ouchy est une adresse incontournable. Grace notamment aux deux chefs, Thierry et Christophe Lacanne, la cuisine de l’établissement est fine et d’inspiration italienne avec des pâtes et des risottos maison. La gastronomie française n’est pas en reste puisque l’on retrouve également au menu des rognons de veau et des filets de rouget. La Croix d’Ouchy attire une clientèle internationale et a une capacité d’environ 75 personnes (35 dans le café et 40 dans la partie restaurant) et peut être réservé pour célébrer des événements privés tout en bénéficiant d'un service irréprochable. En été, lorsque les beaux jours arrivent, les clients peuvent, profiter du calme de la magnifique terrasse disposant de 80 places et étant protégé de la circulation par une épaisse haie, et apprécier la vue d’un marronnier centenaire. L’établissement offre la possibilité de manger aussi bien dans le café que dans le restaurant, et propose toujours deux services, comme le voulait la tradition des restaurants d’autrefois. Des plats faits maison et cuisinés à la minute Tous les plats proposés par le restaurant La croix d’Ouchy sont faits maison et préparés avec soin et à la minute. En particulier les pâtes entièrement confectionnées de manière artisanale. Ce qui est notamment le cas des raviolis, des pappardelles et des spaghettis accompagnés de diverses sauces: basilic, ricotta aux truffes ou citron. Mais aussi des succulents risottos agrémentés de différents parfums afin de satisfaire les palais les plus exigeants. On retrouve aussi, comme spécialités italiennes du jambon de Parme, de la salade de ricotta et du carpaccio. La cuisine hexagonale est également fortement présente sur la carte du restaurant grâce notamment au sublime médaillon de foie gras à l'Armagnac et oignons confits, aux délicieux rognons de veau à la graine de moutarde, au splendide cœur de filet de bœuf en croûte d’épices et au majestueux pavé de bœuf à la crème moutardée ou aux cèpes. Pour accompagner ses mets, La Croix d’Ouchy propose une sélection fine de vins provenant de Suisse, de France ou encore d'Italie. Un accueil chaleureux et un service impeccable dans un cadre idéal La quasi-totalité du personnel du restaurant de la Croix d’Ouchy est présente depuis plus de 30 ans. Ce qui soude les relations entre la direction et le reste des employés. Et engendre une certaine constance dans la qualité du service, accompli jour après jour, absolument réglé comme une horloge. En conséquence également, l’accueil est chaleureux et l’ambiance est familiale. Au niveau du design, si la partie restaurant est simple et élégante, celle du café est bien plus décontractée tout en restant très calme. Ce qui donne, au final, un cadre chic, assez tranquille et plutôt classique mais ne manquant cependant point de caractère. Considéré par beaucoup comme le meilleur restaurant de Lausanne, La croix d’Ouchy demeure une référence culinaire de cette grande ville suisse. D’autant plus que les prix fixés restent très abordables, rendant possible l’opportunité de déguster et de savourer une grande cuisine dans un environnement exceptionnel. ...
La maison Mira, c’est d’abord et avant tout une brasserie aux savoir-faire et au style bien affirmés. Mais c’est aussi un pub atypique, où la musique et l’art ont toute leur place. Mira, un concept à deux têtes Mira est la concrétisation d’un projet partagé par deux passionnés de houblon : Jacques Bellec et Aurélien Rey. En 2015, les deux associés ont eu le déclic au cours d’une visite effectuée dans une brasserie implantée au Canada. Un an plus tard, la première bière Mira voit le jour : la Mira Blonde n° 1 « floquée » d’une chimère, un animal fabuleux à deux têtes ! C’est le début d’une belle épopée, qui verra la création successive de nouvelles gammes de bières authentiques. Des produits diversifiés La Brasserie Mira confectionne ses produits de A à Z. En tout, la maison propose deux gammes de bières « Mira » et « BM », une gamme « Soda » et des spiritueux. Mais la brasserie n’a nullement l’intention d’en rester là. « Nous lancerons très bientôt une bière bio et sans gluten », annonce Lucile Crestey, chargée de marketing et communication. S’agissant de la production des bières justement, la maison se démarque par l’utilisation d’une eau de source presque « mira-culeuse » ! « La bière est composée de 82 % d’eau et celle que nous utilisons est très spéciale », nous confie-t-on. En effet, c’est à 300 m de profondeur, directement sous la brasserie, que la maison puise une eau de source de 22 500 ans d’une qualité exceptionnelle. Parfaitement minéralisée, cette eau d’une grande pureté a traversé pas moins de 67 couches. Avec cet ingrédient rarissime, la maison produit des bières au goût inimitable. À l’exemple de la Mira Blonde, mélange subtil de malt d’orge et de houblon, qui séduit par ses accents floraux et son arôme incomparable. Et que dire de la Mira Ambrée et de son surprenant gout caramélisé ? « Nous proposons aussi des bières en édition spéciale comme l’édition Noël », rapporte notre interlocutrice. La gamme « Soda », quant à elle, se compose de 3 boissons gazeuses : la limo, le cola et le tonic. 100 % rafraichissantes, celles-ci révèlent de subtils arômes, qui seront un pur délice pour toutes les papilles. Concernant les spiritueux, la maison présente un « London Gin » de haut de gamme, élaboré à partir d’alcool de blé et d’une macération botanique. Ce gin est le complice idéal du « Mira Tonic » avec lequel il peut exprimer toutes ses caractéristiques. Ensemble, ils forment un cocktail réussi, qui plaira aussi bien aux amateurs qu’aux passionnés. Si ces boissons offrent des expériences différentes en termes de saveurs, elles partagent toutes le même secret : une eau pure, exempte de pesticides, de chlore et de nitrates. Un pub atypique Accolé à la brasserie, le pub Mira est l’endroit indiqué pour faire plus ample connaissance avec les spécialités de la maison, grâce à une carte d’alcools et d’apéritifs bien fournie. Par ailleurs, les gourmets de passage ont l’occasion de déguster des plats savoureux, cuisinés exclusivement avec des produits frais. Le soir, tapas en tout genre et pièces du boucher sont à l’honneur. Côté animations, l’établissement organise un concert par jour. « Nous avons de nombreux évènements liés à la musique et nous accueillons des artistes qui viennent se produire tout au long de l’année », nous dévoile Lucile Crestey. Chaque mois, le pub Mira soutient les nouveaux talents locaux, en leur donnant l’opportunité de se produire devant un public. S’ils le souhaitent, ces artistes en herbe peuvent se perfectionner auprès d’une école de musique sous la supervision de professeurs expérimentés. Véritable lieu de culture et de partage, l’établissement accueille également de nombreuses manifestations artistiques (street art, expositions&...
L’hôtel*** Le Pigeonnier du Perron a la chance d’être implanté dans un bâtiment chargé d’histoire puisqu’il a été l’ancienne propriété du célèbre philosophe René Descartes. Cet ancien fief seigneurial du XVe siècle qui a appartenu à la famille Thiollet depuis 1852. Et c'est en 1998 que la batisse a subi d’importants travaux de rénovation pour être l’établissement de charme que l’on connaît aujourd’hui. Malgré ce lifting, elle a réussi à garder l’âme d’une maison d’accueil. C’est cet esprit du Perron que les Thiollet ont à cœur de préserver. Charme, confort et convivialité Le Pigeonnier du Perron accueille ses hôtes dans une ambiance cocooning et familiale. L’hôtel promet un séjour de détente dans un cadre paisible et agréable. Il propose 16 chambres non fumeurs, dont deux apparts-hôtels de 30 et de 46 m2 ainsi qu’une chambre pour personne à mobilité réduite. Cette adresse fournit une palette de prestations qui lui a d’ailleurs valu le label Qualité Tourisme. Toutes les chambres de l’établissement sont munies des installations de qualité et apportent beaucoup de confort à ses occupants. Elles sont climatisées, équipées d’une télévision, douche, WC séparés, sèche-cheveux et d’une connexion internet en wi-fi. Les appartements-hôtels bénéficient, en plus, d’une kitchenette équipée d’un réfrigérateur et d'un plateau de courtoisie. Garantir le maximum de confort à ses clients sans pour autant nuire à l’environnement. Telle est la ligne de conduite du Pigeonnier du Perron. La fille de Pascal, Émilie Thiollet, qui tient aujourd’hui les rênes de l’établissement nous explique : « Notre hôtel est détenteur de l’écolabel. Cette certification récompense les services d’hébergement touristique qui s’engage à mener leurs activités selon une démarche écologique. » Une palette d’activités pour tous L’établissement dispose d’espaces extérieurs bien aménagés. Il convie ses invités à partager d’agréables moments de détente et à bénéficier de la douceur du climat autour de la piscine extérieure chauffée, ouverte de mi-mai à début octobre. Durant l’arrivée des beaux jours, la terrasse reste propice pour déguster les petits déjeuners. À l’extérieur se trouve également un pigeonnier d’origine avec plus de 600 boulins en parfait état « qui date du XVe siècle » fait savoir notre interlocutrice. À proximité se trouve un jardin potager dans lequel la maison cultive ses propres légumes qui seront ensuite servis à la table du restaurant. Et pour ceux qui aspirent à découvrir les environs, un service de location de vélos est mis à disposition. L’occasion de sillonner la région et d’en apprécier les trésors. Au programme des visites : l’abbaye de l’Étoile, la ferme acadienne, le musée Sully, le musée Auto Moto Vélo… Une autre halte immanquable est celle du parc du Futuroscope qui se trouve à 20 minutes de l’hôtel et qui fera rêver petits et grands par ses nombreuses attractions : Arthur et l’aventure 4D, Danse avec les robots, le Monde de l’invisible, spectacle nocturne, etc. Un séjour au Pigeonnier du Perron est aussi une occasion de se ressourcer au Spa Source de la Roche-Posay pour un pur moment de détente, de bien-être et de remise en forme. Spa, hammam, jacuzzi et cure thermale sont notamment proposés. ...
Le Domaine Arvieux est situé à Saint-Victor-la-Coste et élabore des rouges, blancs et rosés sous l’appellation Côtes-du-Rhône. La qualité avant tout Vigneron de longue lignée, Nicolas Arvieux gère d’un bout à l’autre toute la chaine de production. Ici, tout se fait de façon artisanale pour que chaque cuvée créée soit vivante, unique et s’imprègne du caractère de celui qui travaille les vignes et au chai… Le Domaine Arvieux se démarque ainsi par un faible rendement au profit de la qualité. « Mon objectif est de maintenir le rendement à 30 hl par hectare pour plus de complexité », fait valoir Nicolas Arvieux. Les vins rouges ne font pas l'objet d'un filtrage afin de conserver les macromolécules et conserver toute la densité du vin. Les dépôts naturels qui en résultent prouvent que les vins restent vivants et naturels. Le coup de cœur est la cuvée Exception, qui porte bien son nom. « C’est uniquement quand la qualité du millésime est excellent que je réussis à sortir des vins comme cela », conclut le maitre des lieux. ...
En Auvergne-Rhône-Alpes, dans le département de l’Allier, à Lurcy-Lévis se trouve Street Art City, un site unique et pérenne entièrement dédié à cette expression artistique strictement visuelle. Un haut lieu de création, pensé le 22 janvier 2015 et livré aux artistes du monde entier, s’étendant sur 10 hectares et disposant de 13 bâtiments dont 7 000 m2 construits et 22 500 m2 de murs et façades en perpétuelle évolution, garantissant l'éternelle résurrection d'un patrimoine unique à offrir aux générations futures. Peu à peu, une monumentesque œuvre collective métamorphose ce site orphelin assurant son éternelle résurrection en apportant au public, depuis 2017, un nouveau regard sur cet art jusqu'ici urbain. Un ADN conforme à celui de la Villa Medicis La philosophie de Street Art City est de libérer l’esprit créatif en repoussant les limites matérielles. Ici, l’art est un puissant vecteur d’enrichissement intellectuel et de lien humain. Véritable «résidence tremplin» Street Art City accueille les Artistes en leur offrant des conditions propices à l'expression de leur talent. L’Artiste bénéficie d’un accompagnement personnalisé lui permettant de se dépasser tout en préservant son identité et son unicité, ce qui apportera également une valorisation de ses créations et une reconnaissance sur le marché de l'Art et la vente de ses œuvres. La ligne artistique de Street Art City impose comme critères indispensables l’équilibre la diversité des œuvres, la qualité graphique et l’esthétisme des compositions. Street Art City se veut aussi un laboratoire expérientiel et une base de pérennisation proposant une immersion totale mais aussi un carrefour de rencontres et un lieu de ressources et de transmission. Hôtel 128, endroit désaffecté ou sévit la créativité L’Hôtel 128 est un bâtiment de 4 étages, abritant 128 chambres, comme son nom l’indique. Et un endroit où l'on ne dort pas mais où l'on rêve le street art, les yeux grand ouverts. Aujourd'hui désaffecté, il est entièrement livré aux Artistes du monde entier selon un cahier des charges bien précis. Ainsi, chaque année de mars à août, les Artistes interviennent en investissant une chambre afin d’y créer leur univers du sol au plafond en passant par les murs, et en intégrant leurs toiles. Dès le 1er septembre le nombre de chambres réalisées au cours du printemps-été précédent est ouvert aux visiteurs. Expérience unique, l’Hôtel 128 donne l’occasion d'être immergé au cœur de l’œuvre. Et d’enrichir le visiteur du message, de l'histoire, du mystère et de l'étonnement provoqués par chaque ambiance. ...
Perdre un proche est une épreuve difficile pour chacun d’entre nous. Il est donc souvent rassurant de préparer ses propres obsèques afin de soulager ses proches émotionnellement et financièrement lors de ce moment particulier de la vie. Fortes de cette réflexion, 3 mutuelles (Harmonie Mutuelle, Mutac et MGEN) se sont associées pour créer leur propre réseau funéraire, la Maison des Obsèques, et pour offrir à chacun un service de proximité, d’humanité, d’accompagnement et de respect. Fondé en 2015, ce 1er réseau fondé par des mutuelles a pour vocation de vous guider en toute transparence et en toute sérénité pour la préparation d’obsèques ou la signature d’un contrat de prévoyance obsèques. Aujourd’hui, 72 agences La Maison des Obsèques et 35 agences partenaires publics vous accueillent sur l’ensemble du territoire mais l’ambition de la Maison des Obsèques est de construire un réseau de 400 agences à l’horizon 2025. Pourquoi choisir la Maison des Obsèques ? Dans les différentes agences de la Maison des Obsèques, vous êtes sûrs de trouver des professionnels de confiance, à votre écoute, vous prodiguant des conseils clairs et une bienveillance sincère. Ici, vous pourrez vous entretenir dans une alcôve conçue comme un doux cocon. Tout le protocole d’accueil est tourné vers les familles pour adoucir au maximum ces instants douloureux. Ces agences se chargeront, entre autres, des démarches administratives, de l’organisation de la cérémonie civile ou religieuse, de la prise en charge du défunt, des faireparts, de la mise à disposition d’un registre de condoléances. Selon vos besoins, elles vous proposeront également une large gamme de services, comme le rapatriement du corps, la prise en charge de nuits d’hôtel, des trajets en taxi, une aide psychologique, une aide post-obsèques pour le dernier vivant (ex : repas à domicile….). Pensez à souscrire un contrat de prévoyance obsèques Si, comme beaucoup de personnes, vous jugez que l’organisation de funérailles dans l’urgence est inappropriée à ce moment de la vie, vous choisirez sûrement de vous faire accompagner par des professionnels pour préserver vos proches et organiser des obsèques qui vous ressemblent. La meilleure solution est de souscrire un contrat prévoyance obsèques. La Maison des Obsèques vous propose une nouvelle gamme de 5 contrats, 2 contrats prévoyance conçus pour les moins de 70 ans et 3 pour les plus de 70 ans. Ces contrats de prévoyance sont entièrement dédiés au paiement et au choix des prestations obsèques du souscripteur. Ils sont uniquement distribués par les professionnels du funéraire. Ils sont considérés comme des contrats d’assurance-vie et à ce titre sont soumis au même régime fiscal. Avec ce type de contrat, vos proches bénéficieront de l’aide financière pour l’organisation de vos obsèques mais aussi d’un accompagnement professionnel et d’une aide psychologique grâce à l’expression précise de vos dernières volontés. Les contrats prévoyance en capital permettent d’assurer un montant pour financer vos obsèques, voire pour constituer un capital pour vos bénéficiaires. Les contrats prévoyance en prestations permettent de prévoir également le déroulement et l’organisation de vos obsèques comme vous le souhaitez. Ils sont assortis d’un devis détaillé des prestations souhaitées, devis qui devra être suivi à la lettre par votre famille qui n’aura rien à débourser. Par contre, vous pouvez modifier les prestations à tout moment. Avec ce type de contrat, vous pourrez décider à l’avance si vous souhaitez une crémation ou une inhumation, choisir le type de cercueil ou d’urne funéraire, les compositions florales, personnaliser votre cérémonie religieuse ou civile, etc. Pour souscrire un contrat qui vous correspond, un conseiller funéraire de la Maison des Obsèques sera présent pour vous accompagner dans vos choix et vos décisions. Ensuite, il effectuera toutes les démarches pour le compte de vos proches. ...
Situé dans l’appellation « Bas-Armagnac », ce domaine est la plus anciennepropriété familiale produisant cette noble eau-de-vie. Il traverse les siècles depuis 1711 sans jamais prendre une ride, et cela, grâce à la passion et au travail acharné d’hommes et de femmes. Gilles de Boisséson, 11ème génération, est particulièrement fier de son terroir qu’il qualifie « d’exceptionnel ». Au sein du domaine s’étendant sur 400 ha d’un seul tenant, les vignes (surface de 24 hectares) et un parc verdoyant agrémenté de chênes se côtoient en harmonie. Une production atypique Sur ces terres, le baco, la folle blanche et le colombard se révèlent dans leur plus belle expression. Les eaux-de-vie obtenues à partir de ces cépages et des seuls vins du domaine, sont très fines, peu agressives, longues en bouche et très parfumées. Vieillies uniquement en fûts de chêne de 400 litres, elles sont absolument pures et ne font l’objet d’aucune manipulation ni adjonction de produits extérieurs (colorants, sucres etc.). « Nous avons la particularitéd’adopter une politique de vendange, de vinification, de distillation, et de vieillissement par cépage. De quoi nous assurer une très bonne connaissance de l’évolution du cépage sur 20, 30 ans… », révèle notre interlocuteur. Une dégustation du « 12 ans d’âge » ou du « 1999 » est une opportunité de s’offrir ce voyage dans le temps. ...
Le Clos Saint-André est l’une d’entre elles. Depuis 2004, Jean-Claude Desmarty a repris cette micropropriété d’à peine 1 hectare, fondée par son arrière-grand-mère. Il en assure seul l’activité complète, du travail du sol à la commercialisation. Il produit 1 vin par an, en très petite quantité, véritable reflet de sa personnalité, de sa conception du travail de la vigne et du vin. Chaque millésime est différent, mais chacun possède un niveau qualitatif élevé. Un travail de précision, artisanal et réfléchi Les vignes du Clos Saint-André sont vieilles. Elles sont composées de Merlot (70%) et de Cabernet (30%). Jean-Claude Desmarty travaille l’intégralité de ses sols avec un cheval. Il veut favoriser au maximum la qualité de sa terre en développant sa biodiversité et en évitant tout tassement. Il attache beaucoup d’importance à la gestion de la surface foliaire de ses plantes, qu’il modifie en fonction du cycle et des besoins exprimés par la vigne. Il adapte son travail aux conditions météorologiques différentes d’une année sur l’autre, en se posant mille questions sur la manière d’améliorer encore ses interventions. Persuadé qu’il est important d’avoir des vignes vivantes, Il recherche en permanence des équilibres naturels qui vont faire la qualité de ses raisins. Jean-Claude Desmarty vinifie son vin de manière artisanale, avec un degré d’exigence rare concernant la qualité et la précision du travail effectué. Il s’attache à ramasser des raisins bien mûrs, à effectuer un tri extrêmement sélectif, et à travailler ses raisins de manière adaptée pour extraire au mieux les matières contenues dans les baies. Toujours en recherche d’équilibre dans le vin et de contact avec la matière, il privilégie une vinification naturelle, basée sur le brassage des raisins dans ses cuves, sous forme de pigeages, remontages et délestages. Le vin du Clos Saint-André est intégralement élevé en barriques dont les bois à grains fins et serrés sont issus de forêts du centre de la France. Elles sont fabriquées par un seul tonnelier, sélectionné pour sa capacité à proposer des barriques permettant de trouver chaque année le meilleur équilibre possible entre le vin et la barrique. C’est un élément essentiel pour préserver l’authenticité et le caractère fruité du vin. L’élevage dure environ 20 mois. Un vin de plaisir, alliant élégance et générosité Chaque millésime du Clos Saint-André est différent. Néanmoins, le plaisir qu’il procure aux privilégiés qui y ont accès est toujours élevé. S’il fallait décrire les caractéristiques propres au Clos Saint-André, on pourrait évoquer les arômes de fruits, l’élégance, le velouté et la richesse du vin, sa finale longue et gourmande….. Mais peut-être vaudrait-il mieux vous laisser le découvrir !!! ...
Cette propriété existait déjà depuis 1800 mais elle n’a été exploitée par la famille Rosier que depuis 1956 par le biais du grand-père Paul. Après des études d’œnologie à Orange et Belleville-sur-Saône, Bruno Rosier débute au domaine en 1990 auprès de son père. Il commence par planter de nouveaux cépages et introduit du Viognier sur le domaine. A cette époque, la production était encore amenée à la coopérative La Suzienne. Le domaine sous l’ère Bruno Rosier Dès qu’il reprend en main l’exploitation en 2002, Bruno décide de vinifier lui-même sa production. Il travaille ses 30 hectares de vignes et 20 hectares de lavandin en agriculture raisonnée. Cette technique consiste à mettre des rangées de paille de lavandin distillé sous les vignes. Cette seule action permet à la fois d’étouffer les herbes, de lutter contre l’érosion et la sécheresse et de nourrir le sol. Il s’initie aussi à la production de vins blancs, une grande première pour le domaine. Il commence par 55 tonneaux de Bourguignon de 228 litres dans la vieille cave du domaine. Comme le résultat s’est révélé encourageant, il décide de passer à la vitesse supérieure en investissant dans une cave moderne avec des cuves en inox et des 94 futs de chêne européen. Les vins du domaine Comme Bruno Rosier aime à le répéter, il faut du bon raisin pour faire du bon vin. Il s’efforce toujours de travailler des vins ronds et souples en structure. Il propose à la vente du rouge, du blanc et du rosé, et sa touche personnelle consiste à introduire du Viognier, son cépage fétiche, dans toutes ses cuvées. La cuvée « A l’Envol des Hirondelles » est un Vin de Pays de Méditerranée. Issu de coteaux sablo-argileux mêlés d’éboulis calcaires, ce moelleux 100% Viognier présente une robe jaune paille. Son nez est riche avec des notes de fruits mûrs et de fleurs blanches. En bouche, il est gras et doux avec une finale très longue aux arômes de fruits confits et de fruits exotiques. Il se déguste avec des toasts de tapenade, une tarte Tatin, une belle poire au chocolat ou au pain d’épices. La production de cette cuvée est limitée à seulement 3000 bouteilles. Le « Rosé Plaisir » AOC Grignan les Adhémar, est un vin à la robe rose pâle aux reflets orangés. Son nez est très riche, avec des notes de fruits rouges, pêches et agrumes. La bouche propose des touches d’amandes grillées avec des fleurs blanches. Le millésime 2012 a été récompensé d’une étoile au Guide Hachette 2014. Il se caractérise par une belle rondeur et une fraîcheur qui est parfait pour accompagner la cuisine méditerranéenne, salade, grillade et tajines, et la cuisine asiatique très épicée. ...