L’exploitation est fondée en 1984 par une famille de vignerons passionnée de la Champagne. En 1994, Didier Raimond, viticulteur et oenologue de formation, reprend les rênes et lance sa propre marque en conduisant son vignoble dans le respect de l'environnement. Une démarche engagée bientôt signée par une certification. Un art méticuleux Après les vendanges, les raisins sont directement envoyés au pressoir. Les jus sont décantés puis mis en cuves de fermentation sur lies fines. Afin de révéler au mieux les cépages et mettre l'accent sur la différenciation des terroirs, l'assemblage, qui est la base de tout le savoir-faire de la maison, se prolonge par un vieillissement sur lattes, ajusté selon les cuvées et pouvant durer 3 à 8 ans. Tout ceci dans le but de présenter à la clientèle des vins accomplis. La dernière opération du dégorgement et du dosage va parfaire la présentation en dégustation des champagnes Didier RAIMOND. De plus, certaines cuvées sont élevées partiellemet en fûts de chêne pour leur apporter plus de personnalité. Ainsi naissent des vins exceptionnels comme le Champagne rosé, le Brut Tradition, la Cuvée Sublime ou la Grande Réserve. ...
Petit déjeuner, pause déjeuner, plateaux repas, cocktail ou encore buffet... Tout & Bon, c’est avant tout de nombreuses formules au choix, élaborées exclusivement à partir de produits sains, sélectionnés pour leur qualité et leur fraicheur. Produits frais, réactivité, large choix L’enseigne a été créée en 2010 par Marc-Antoine Toulemonde. Celui-ci débute son aventure dans l’univers de la restauration en ouvrant un salad bar, implanté à Lille. Très vite, ce jeune entrepreneur se tourne vers la restauration d’entreprise et décide de se lancer dans la livraison de plateaux repas. Aujourd’hui, Tout & Bon se destine exclusivement à une clientèle B to B. L’enseigne se positionne en tant que premier réseau de restauration livrée en entreprise sur le marché de la livraison, avec plus d’une vingtaine d’établissements ouverts et en cours d’ouverture d’ici à fin 2018. Elle compte plus de 10 000 clients dans toute la France. Elle suggère une offre complète de produits frais directement préparés dans ses cuisines. Celle-ci inclut une gamme adaptée à des régimes alimentaires spécifiques (sans gluten, sans lactose ou végétarien). Ce qui fait surtout la force de l’enseigne, c’est sa capacité à apporter une réponse rapide et adaptée à toutes les demandes. « Nous avons su répondre à une demande grandissante d’un public de professionnels en quête de toujours plus de réactivité et de plus de choix dans leurs besoins de restauration. Ainsi, nous proposons la livraison de produits frais, commandés et livrés en un clic, même en dernière minute ! », fait valoir Marine Bolzan, chargée de communication de Tout & Bon. Un traiteur engagé En 2019, le traiteur national met l’accent sur le développement de packagings éco-conçus en intégrant des matières uniquement recyclées, recyclables ou biodégradables. Les coffrets de tous les plateaux repas Tout & Bon sont exclusivement fabriqués en France. L'enseigne propose également à ses clients un sourcing en faveur du « mieux manger » en incluant majoritairement des produits labélisés, respectant les divers régimes et contraintes alimentaires, en proposant une sélection de produits issus du commerce équitable, de l’agriculture biologique et des produits régionaux. Dans ce contexte, un partenariat avec l’association Reforest’Action a été établi pour compenser son empreinte carbone avec un objectif : 1 arbre planté tous les 100 repas servis ! ...
Saint-Jeannet a longtemps été connu pour l’agriculture, cette commune a même été surnommée « Saint-Jeannet le Riche ». Un muscat indigène a particulièrement intéressé une clientèle parisienne avant que les vignobles, victimes de la mondialisation, ne rétrécissent. Toutefois, un vigneron résiste grâce à un savoir-faire singulier et une connaissance du terroir. Le vignoble Le Vignoble des Hautes Collines de la Côte d’Azur est perché à 400 m d’altitude, à 6 km de la mer. L’exploitation s’étend sur 4 hectares. Georges Rasse n’est pas près de rompre avec son vignoble datant de l’époque romaine, même si ses confrères ont jeté l’éponge depuis longtemps. Mieux, il garde la technique que son père René lui a transmise dans la stabilisation naturelle du vin au soleil. De nouveaux cépages sont introduits aussi, après quelques expérimentations par rapport à leur résistance au climat et à leur adaptation au sol. Georges Rasse s’engage également à respecter l’environnement, en entamant sa reconversion au bio. En attendant sa labellisation, il continue de satisfaire les palais. Une technique de vinification particulière En Provence, Georges Rasse fait partie des vignerons à être convaincus des bienfaits du soleil sur le vin. Il retravaille donc une technique traditionnelle de Saint-Jeannet pour stabiliser naturellement ses crus et ainsi éviter l’utilisation du sulfite et d’intrant de type collage. Les vins sont logés pendant 3 mois à 2 ans dans des bonbonnes disposées sur la terrasse du caveau. Seules les bonbonnes en verre blanc peuvent être utilisées pour ne pas modifier le vin. Œnotourisme En collaboration avec des tour-operateurs, le Vignoble des Hautes Collines de la Côte d’Azur organise des visites et des dégustations de vins. Une formule « camping à la ferme » propose 25 emplacements de tentes aux pieds des oliviers. La moitié de la production est mise en vente directement sur place. Outre les visites, le vignoble participe chaque mois d’avril à une démarche collective baptisée « La France de ferme en ferme », qui consiste à partager son métier et sa passion. Chaque année, la Fête de la musique est rythmée par un concert. Georges Rasse rencontre également les sommeliers des restaurants clients une fois par an. ...
Au cœur de la Provence, au carrefour des régions Provence-Alpes-Côte-d’Azur, Occitanie et Rhône-Alpes, Avignon profite d’un emplacement stratégique. Déjà au XVIe siècle, cette situation a largement contribué à l’essor de la ville. L’histoire d’Avignon reste marquée par le passage des papes, qui en ont fait leur lieu de résidence du XIVe siècle jusqu’à la Révolution française. Sous leur pontificat, la ville se développe et s’embellit de somptueuses réalisations architecturales. Aujourd’hui, ces patrimoines culturels associés à de multiples autres attraits font d’Avignon un haut lieu du tourisme d’affaires. Des infrastructures adaptées Avignon dispose d’infrastructures de qualité pouvant accueillir tout type d’évènement professionnel (salons, conventions, congrès, expositions…). À seulement 10 min du centre-ville, le Parc des expositions d’Avignon propose une douzaine d’espaces adaptés, incluant 27 500m2 de surface couverte et 50 000 m2 de surface extérieure. « Grâce à d’importants travaux menés en 2013, ce site est en mesure de recevoir des congrès d’envergure qui nécessitent une importante capacité d’accueil », explique Carine Mériaux, directrice de la communication auprès d’Avignon Tourisme. À noter également que ce site est organisé autour de 3 pôles que sont l’espace salon, l’espace congrès et un pôle dédié à l’organisation des évènements. L’espace salon et l’espace congrès se composent de différentes salles adaptées à tous les projets (conférences, expositions, congrès…), avec des capacités d’accueil allant de 600 à 6 500 personnes. Outre le Parc d’exposition, la ville d’Avignon abrite aussi un centre des congrès unique en son genre : le Centre des congrès du Palais des papes. En plein centre-ville et à 2 h 40 à peine de Paris, ce site bénéficie de toutes les infrastructures techniques modernes pour assurer la réception de différents types de congrès. En tout, les professionnels profitent de 16 espaces situés à l’intérieur du plus grand palais gothique d’Europe, classé au patrimoine mondial par l’UNESCO. L’ensemble offre 1 800 m2 d’espace d’exposition et peut recevoir jusqu’à 550 personnes. Enfin, il faut souligner que le site est labellisé « Qualité tourisme » en récompense de la qualité des services et des prestations fournis sur les lieux. Avignon, une destination aux multiples atouts Idéalement situé, Avignon n’est qu’à 2 h 40 de Paris en TGV, à 1 h de Lyon et à 30 min de Marseille. La ville est dotée d’un aéroport qui assure des lignes régulières sur des destinations internationales. Ville de patrimoine et de culture, Avignon possède de nombreux musées et des monuments inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO. Citons, par exemple, le Palais des papes, l’ensemble épiscopal ou encore le fameux pont d’Avignon. Ce dernier, rendu célèbre grâce à la chanson éponyme, attire chaque année environ 300 000 visiteurs. Pour héberger tout ce beau monde, la ville compte sur un important parc hôtelier, comprenant près de 4 600 chambres, dont 1 839 chambres en intra-muros et 2 812 chambres en extra-muros. Côté évènements, elle organise tous les ans, au mois de juillet, le festival d’Avignon. « C’est le plus grand festival de spectacles vivants du monde », souligne fièrement la responsable. Loin de se cantonner à un statut de ville culturelle, Avignon est aussi une destination viticole de premier choix. En effet, à quelques dizaines de kilomètres plus au nord s’étendent les vignobles de Châteauneuf-du-Pape. Les vins produits dans cette région sont tout simplement classés parmi les meilleurs au monde. ...
EduFactory a été lancée en 2000. On vous décrit comme le « pionnier du e-learning sur-mesure en France ». Pourquoi avoir choisi de vous positionner sur ce secteur à l’époque, alors qu’Internet en était quasiment à ses débuts ? Alexandre Lect : Nous avons commencé notre activité en tant qu’acteur de la formation présentielle. Mais, très rapidement, nous nous sommes rendus compte, avec l’arrivée des nouvelles technologies et la pénétration d’Internet, que le secteur de la formation digitale allait être extrêmement prometteur. Nous nous sommes donc positionnés assez tôt sur la formation « blended-learning » pour ensuite basculer vers l’e-learning fin 2010. Nous avons voulu être en quelque sorte des précurseurs, puisqu’à l’époque, le marché était à ses débuts. Aujourd’hui, l’e-learning connait une croissance à deux chiffres et nous sommes parmi les premiers à nous positionner sur ce secteur. C’est un grand avantage pour nous puisque les clients font confiance à notre expérience. Votre positionnement stratégique et commercial porte donc sur les formations sur-mesure. Pourquoi ce choix ? En matière de formation, nous estimons que les solutions génériques ne s’appliquent que sur des sujets transverses. À partir du moment où il est question de formations plus complexes nécessitant l’acquisition de compétences spécifiques ou qui touchent la culture et l’ADN d’une entreprise, il est essentiel de s’orienter vers le sur-mesure. Par ailleurs, de plus en plus d’entreprises souhaitent personnaliser les expériences de formation de leurs collaborateurs, en optant pour ces solutions sur-mesure justement. Quel est l’intérêt de proposer cette approche sur-mesure aux entreprises ? Quels sont les avantages pour les apprenants ? Nous proposons aux entreprises de placer leur besoin de formation au centre de la stratégie que nous allons mettre en place. Concrètement, nous avons développé trois métiers qui nous permettent de faire bénéficier aux entreprises de tous les avantages du sur-mesure. En premier lieu, il s’agit de les conseiller et de les accompagner dans leur programme de digitalisation. En second lieu, il s’agit de procéder à la création de contenus sur-mesure qui est notre cœur de métier. Sur ce point, nous proposons plusieurs formats en fonction des objectifs pédagogiques : du vidéo-learning, du e-learning, de la simulation, des serious game, etc. Tout cela permet aux entreprises de bénéficier d’un large éventail de solutions complètement personnalisables. Enfin, nous leur proposons des solutions d’hébergement pour leurs contenus. S’agissant des apprenants, notre priorité est de faire en sorte qu’ils puissent retenir l’information de manière très simple et le plus rapidement possible. Pour cela, nous leur proposons une expérience de formation entièrement personnalisée, tout en veillant à optimiser leur ancrage mémoriel. Les contenus, les formats et les supports de formation que vous proposez sont innovants. Vous proposez également des formations gamifiées qui cassent le côté soporifique des formations traditionnelles. Pouvez-vous nous en dire plus ? Le monde de la formation s’inspire en grande partie des techniques de neuroscience, de l’industrie cinématographique et des jeux vidéo. L’idée est de susciter des émotions chez les apprenants et cela dans le but d’améliorer l’ancrage mémoriel. La gamification s’appuie sur les leviers du jeu, en se servant des mécaniques ludiques et émotionnelles. C’est un accélérateur puissant de l’expérience d’apprentissage et donc de la rétention d’information. Même chose pour la scénarisation, où nous allons également jouer sur l’émotion de l’apprenant en faisant en sorte qu’il se reconnaisse dans une situation, qu’il ait envie de réagir ou qu’il s’attache à des personnages. Avez-vous quelques exemples de projets menés avec vos clients à nous citer ? Nous nous adressons à la fois au secteur public et aux entreprises privées. Nous avons eu la chance de remporter le réf&e...
C’est en 1895 que le premier Cordon Bleu Paris - Institut d’arts culinaires et management hôtelier s'est établi à Paris dans le but de perpétuer les traditions culinaires françaises au travers de parcours dédiés à l’hôtellerie, au tourisme et à la restauration. Ce leader de l’art culinaire s’exportera au fil des années à l’international en ouvrant des campus aux quatre coins du monde, ceci dans une volonté de faire rayonner la culture française, mais aussi de valoriser le patrimoine culinaire de chaque pays. Allant des professionnels aux particuliers, en passant par les étudiants souhaitant faire carrière dans la gastronomie ou dans l’hôtellerie, « chaque formation sanctionnée par un Diplôme reconnu à l’international est un véritable passeport pour une carrière internationale », nous explique Sylvy Morineau, Directrice académique du Cordon Bleu Paris - Institut d’arts culinaires et management hôtelier. Le renouveau de l’institut parisien L’excellence, la passion, la transmission, la créativité et surtout la modernité constituent les valeurs fondamentales animant le réseau Le Cordon Bleu. Dans cette optique d’harmoniser tradition avec innovation, Le Cordon Bleu Paris - Institut d’arts culinaires et management hôtelier opère un renouveau en s’installant dans son nouveau campus de 4 000 m2 face à la Seine et la statue de la Liberté. De nombreuses salles dédiées à chaque spécialisation, un atelier dédié au public, un espace multimédia ainsi que des salles de démonstrations uniques font la singularité de ce campus prônant l’excellence pédagogique. Une de ses particularités réside dans la présence d’un jardin potager de 800 m2 sur le toit de l’établissement. « Cette végétalisation [véritable fleuron de l’agriculture urbaine] est utilisée comme un jardin pédagogique pour les étudiants en arts culinaires. Ces derniers pourront ainsi apprendre à monter un jardin potager et à reconnaître certains ingrédients pouvant pousser en jardin urbain, c’est-à-dire les herbes aromatiques, les fruits et les légumes », signale Eric Briffard, Chef exécutif et directeur des arts culinaires. À ce lieu, dont les produits sont utilisés dans les cuisines de l’institut parisien, s’ajoutent des ruches dont le miel est utilisé lors des classes pratiques en cuisine. Dans le rang des nouveautés, le campus est également fier de son tandoor (four en terre cuite) et de sa salle dotée de woks. Ces derniers, hommages à la cuisine asiatique, ont été aménagés afin de permettre aux étudiants de revisiter les plats traditionnels français en s’inspirant des succulences de l’Orient. Différents types de parcours C’est en proposant un panel riche et éclectique que Le Cordon Bleu Paris - Institut d’arts culinaires et management hôtelier s’est forgé une réputation solide dans le domaine de la formation. La cuisine, la pâtisserie, les métiers du vin, la boulangerie et le management hôtelier n’auront plus de secrets pour ceux qui auront l’opportunité de suivre des programmes dispensés par des formateurs expérimentés composés de chefs, d'experts internationaux, de professeurs universitaires et de spécialistes intervenant dans le milieu de l’hôtellerie et du tourisme. Des diplômes viendront clore chaque parcours, à l’instar d’un cursus sanctionné par un Bachelor en Management des arts culinaires ainsi que d’un programme débouchant sur un Bachelor en Management Hôtelier International. Chaque parcours sera dédié à la découverte des facettes des métiers liés à la gastronomie, des pratiques managériales et de la gestion d’entreprises spécialisées dans la gastronomie ou dans l’hôtellerie. Ces bachelors, dispensés en anglais, offrant un trimestre d'études à l'étranger dans un des 35 instituts du réseau et complétés par un stage à chaque fin d’année, seront un gage de réussite ouvrant grand les portes de l’emploi. Les étudiants qui ...
Aller vers l’autre, conjuguer les atouts pour aller plus loin tout en respectant un terroir aimé : c’est un peu le mantra qui fait avancer les hommes et les femmes de ce domaine authentique. Une histoire de rencontre et de valeurs partagées La famille de Jean-Christophe Dumas – cultivateurs et récolteurs de vignes – est implantée dans le piémont cévenol depuis plus de 5 générations. En 2017, le domaine de la Vaillère en association avec Sébastien Plagne, un jeune visionnaire passionné de vinification et d’œnologie se lance dans l’élaboration d’une gamme de vins plus complexes. Depuis, dans le chai, une petite équipe passionnée s’est formée, récoltant Cinsault, Grenache, Carignan, Cabernet, ou encore Chardonnay pour produire des vins fruités et imaginer de délicats assemblages. Dans les caves du domaine… Lorsqu’elle travaille sa vigne, la maison privilégie la recherche perpétuelle de la qualité, à travers la rigueur et l’innovation. L’alignement des pratiques aux exigences des labels illustre également son engagement pour l’environnement. « Depuis le début de l’année, on est en Terra Vitis », précise J.-C. Dumas. L’adaptation des étapes de l’élevage pour aboutir à la réduction des sulfites, voire leur suppression, révèle un savoir-faire minutieux et la volonté de s’engager dans le développement durable. Le rouge-merlot Obstiné 2018 et le blanc Chardonnay 2019 sont les premiers symboles de cette démarche. Les procédures de certification bio sont en cours depuis le 1er août. Si le maître des lieux évoque son domaine avec une certaine modestie, quelques-uns de ses vins ont déjà été récompensés. C’est le cas de Grand Pré, cuvées 2018, 2019, un rouge grenache-syrah-carignan, caressant et harmonieux en bouche et deux fois médaillés d’or au concours général agricole de 2019 puis 2020. La cave du domaine recèle d’autres pépites comme Gabriel, également médaillé d’or en 2018 et 2019 et Viognier - 2 étoiles au guide Hachette des vins. Mais le coup de cœur de Jean-Christophe Dumas va à un certain Futé, un vin vinifié avec 100% de Carignan qui a fait un bref passage en fût. Un cépage qui était largement répandu en Languedoc et qui de nos jours se fait beaucoup plus rare. Les références de vins du domaine de la Vaillère se retrouvent sur les bonnes tables de la région. ...
Café Soleil, un lieu où chaque moment est unique La France est bien connue pour ses montagnes, en période d'hiver, la station de Serre-Chevalier vous offre le soleil et un domaine skiable exceptionnel adapté aussi bien aux débutants qu'aux amateurs de sensations fortes. Il n'est pas rare de croiser au Café Soleil des champions, avec un peu de chance vous rencontrerez entre autre Luc Alphand (champion du monde de ski alpin) ou bien Pierre Vaultier (champion olympique de snow board cross), devenus amis de Serge et Laurence. Tradition et originalité : le secret de la réussite du Café Soleil Bien que le restaurant n'ouvre ses portes que 7 mois sur 12, la jeune équipe du Café Soleil se met en 4 pour vous offrir le meilleur des services, en tout liberté chaque client pourra choisir en fonction de son budget et de sa disponibilité : le Restaurant en self service (11h30 – 15h30), le Quick Corner Snack (10 h -16h), Le CARRE service à table (12h-14h30) et pour finir la journée dans une ambiance de fête : HAPPY HOUR (15h30-16H30). Buffets d'entrées et desserts maison,Tartiflette aux champignons des bois, mille feuilles de Bœuf au foie gras, steack haché maison, bol Vietnamien, Tiramisu aux fruits rouges, fondant aux marrons, fameuse mousse au chocolat… autant de propositions qui sont à l'image de ce lieu où se mêlent traditions, et singularités ! ...
Véritable ode à la musique populaire, le MuPop nous fait redécouvrir cette musique que l’on écoute tous les jours. Lieu incontournable de l'Allier, le Musée de la musique populaire emporte le visiteur à la découverte de la musique populaire du XVIIIème siècle à nos jours. Le MuPop : la musique si elle nous était contée ! La cité médiévale de Montluçon accueille l’un des endroits les plus emblématiques de la région de l’Allier. Construit par l’architecte Philippe Tixier en lieu et place des anciens hôtels particuliers Méchain et Charnisay, le Musée de la Musique Populaire ou MuPop plonge le visiteur au cœur de l’univers de la musique. Dans une architecture entre modernité et renaissance, les concepteurs du musée ont voulu croiser les époques. L’hôtel Chamisay a ainsi été restauré dans le respect de son intégrité patrimoniale. Quant à l’hôtel Méchain, victime du temps, a lui pris un tournant plus contemporain. Pour accueillir le visiteur, cela commence avec un parcours musical immersif. Muni d’un casque et d’un capteur, le visiteur conçoit lui-même sa visite en pointant son capteur vers les 150 points d’écoute répartis à travers le musée. 8 heures d’instruments en tout genre qui permettent de redécouvrir la musique populaire du XVIIIème siècle à nos jours. Baptisé SEM ou système d’écoute mobile individuel, on passe des musiques traditionnelles d’il y a 400 ans à la fanfare, suivi du bal populaire avant de partir à la rencontre de la musique électrique, Elvis, Johnny et jusqu’au Hard-Rock et au Métal. Afin de rendre l’expérience toujours plus enrichissante, le MuPop propose également un parcours instrumental enrichi et un parcours numérique interactif. Dans ce dernier, cinq écrans tactiles invitent le visiteur à tester ses connaissances sur les instruments phares de la musique populaire. De la vielle à nos jours ! Le MuPop, c’est d’abord l’histoire d’un musée vieux de plus de 50 ans. Tout commence en 1959, lorsque le musée de Montluçon dans l’enceinte du château des Ducs de Bourbon, était alors dédié à l’histoire et l’ethnologie locale. Conçu par Jean Favier, le musée conservait en son sein des vielles. Instruments de musique atypique, les vielles étaient selon Jean Favier spécifiques à la région en matière de musique locale. Dans les années qui suivirent, face à une collection de plus en plus croissante le musée de Monluçon devient le Musée des vielles. Dans les années 90, la collection s’étend d’abord aux cornemuses de Jean-Michel Renard, puis viennent les rejoindre en 1997, des guitares électriques de toutes sortes. Au fil des années, d’expositions en expositions, le MuPop devient le véritable porte étendard de la musique populaire. Mais le Mupop, ce ne sont pas que ses instruments. C’est aussi un endroit où l’on peut voir comment à évoluer la musique au fil des années. Des posters, des instruments, des vidéos sont aussi présents dans chaque salle. Des machines électroniques comme le jukebox et le scopitone sont aussi exposées. Symboles de la musique rock, on se laisse emporter dans une autre époque. A la recherche d’un nouveau monde, on y retrouve aussi un local de répétition d’un groupe punk de la région parisienne. A l’intérieur tout y est du synthétiseur en passant par le violon ou encore la batterie. On y retrouve même des mégots de cigarette et des cannettes de bière ! Pourquoi visiter le MuPop Derrière son aspect formel, le MuPop est un véritable lieu d’échange. On y incite les visiteurs à expérimenter, à toucher. On peut tester les instruments de musique comme les guitares avec des amplis. On vit l’exposition. Le musée réserve toujours de nouvelles expositions à découvrir : sur différents thèmes comme les costumes des artistes, leurs albums. Le musée est aussi un lieu d’échange où on peut se faire de nouveaux amis. On peut y rencontrer des amateurs et des passionnés de musique et partager ses expériences. Les amateurs de danse sont aussi les bienve...
Tantôt salon tantôt table gastronomique, Les Éditeurs vous emmène dans un voyage gustatif où les saveurs françaises sont savamment mêlées à la cuisine venue d’ailleurs. Assurant un service continu, dans une ambiance décontractée mais chic, cette table urbaine, qui se veut être traditionnelle dans l’âme, saura ravir vos papilles. Une explosion de saveurs C’est dans un cadre unique et exceptionnel que vous êtes accueilli aux Éditeurs. Ballotté entre bonne cuisine, littérature et ambiance cosy, vous y trouverez un véritable cocon gourmand. Régalez-vous en dégustant, bien lové dans des fauteuils et banquettes en cuir rouge, le foie gras de la maison, suivi d’une choucroute de la mer et d’une minute de chocolat noir « Tanzanie » pour clore le tout en beauté. Accompagnez tout cela d’un vin issu de la cave du restaurant, comprenant plus d'une vingtaine de références. A la carte, à travers le menu ou les choix à l'ardoise, faites votre choix parmi les nombreux plats savoureux rappelant toute la richesse de la gastronomie française. La littérature : une passion à partager Le restaurant Les Éditeurs puise ses origines dans la passion pour la littérature, passion partagée avec les hôtes grâce à la bibliothèque bien fournie mise à disposition. Dans un cadre artistique rappelant les anciens cafés littéraires, ce restaurant est un lieu à part où art culinaire et culture littéraire ne font qu’un. Idéal pour un brunch en week-end, un dîner en tête-à-tête ou un rendez-vous d’affaires, cette table élégante fera de vous, le temps d’une escapade culinaire, un critique littéraire et gastronomique hors pair. ...
Bonjour Madame Benali. Danielle Benali : Bonjour Emmanuelle ! Pour commencer, vous pourriez nous expliquer ce qu’est l’IFSI ? Danielle Benali : L’Institut de Formation Soin Infirmier est un institut qui a plusieurs formations dans ses cordes. Il y a les formations soin en infirmier, aide-soignant et auxiliaire de puériculture. Pour être précis, votre école s’appelle l’IFSI Britannique Œuvre du Perpétuel Secours. Un nom, qui j’imagine chargé d’histoire, non ? Danielle Benali : Historiquement, l’IFSI ou l’Institut de Formation en Soin Infirmier était et est toujours d’ailleurs sous l’égide de l’Œuvre du Perpétuel Secours. Nous étions rattachés à l’hôpital franco-britannique à Levallois-Perret. En 2019, l’hôpital a été repris par la Fondation Cognacq Jay. Cependant, la fondation n’a pas repris l’Institut de Formation Soin Infirmier. Nous sommes donc devenus un centre de formation indépendant, mais toujours sous l’égide de l’Œuvre du Perpétuel Secours. Nous avons gardé historiquement notre nom d’Institut de Formation Soin Infirmier de l’Institut Hospitalier Franco-Britannique, parce que nous étions rattachés depuis nombreuses années à ce centre hospitalier. Aussi, nous avons gardé des rapports très privilégiés avec l’hôpital franco-britannique à Levallois puisqu’il nous accorde une majorité de place concernant les stages pour nos élèves et nos étudiants. Depuis cette année 2022, nous avons intégré le pôle santé du groupe SOS, plus précisément depuis Juin 2022. Combien d’année d’étude il faut pour être diplômé de ces trois métiers ? Danielle Benali : Pour les infirmiers, c’est toujours 3 ans. Pour les auxiliaires de puériculture, c’est quasiment sur une année avec une rentrée en septembre également et une sortie en juillet de l’année d’après. Pour les aides-soignants, nous avons une rentrée en janvier, pour une sortie en décembre de la même année. Donc, on va voir la prochaine rentrée en Janvier 2023 pour une sortie en Décembre 2023. Ce qui est intéressant dans votre école Madame Benali est que nous nous formons à ces métiers en alternance. Comment cela se passe exactement ? Danielle Benali : Les aides-soignants et les auxiliaires de puériculture ont à peu près un parcours identique. C’est le contenu de formation qui n’est pas pareil. Les lieux de stage sont aussi différents. Ils ont 3 périodes de 5 semaines de stage et un quatrième stage qui est de 7 semaines. Ce dernier correspond à un stage qu’on pourrait parler de pré-professionnel pour qu’ils soient déjà immergés soit dans une structure où ils vont être embauchés, soit pour découvrir une typologie de service et de soin qu’ils n’ont pas pu découvrir jusqu’ici. Pour les infirmiers, ils ont des stages sur les 3 années. Il y a 15 semaines de stage sur la première année, 20 semaines de stage sur la deuxième année et 25 semaines de stage sur la troisième année. Puis, il y a ce qu’on appelle le service sanitaire durant la deuxième année, qui leur permet de faire des actions de prévention. Cela est organisé par l’IFSI. Les étudiants sont répartis au niveau de structure comme la médecine du travail, la médecine scolaire, mais aussi dans les établissements d’hébergement pour les personnes âgées dépendantes, les entreprises et tous ces lieux où on peut faire de la prévention. Et donc pour vos étudiants et élèves un peu plus voyageur, vous avez des partenariats un petit peu partout en Europe avec d’autres écoles. Ils peuvent partir à l’étranger pour continuer leurs études ? Danielle Benali : L’Institut de Formation de l’IHFB (Franco-Britannique) a eu la charte Erasmus depuis de nombreuses années. Cela va faire quasiment une dizaine d’année et nous avons un partenariat avec environ 13 partenaires européens, avec l’Espagne, le Portugal, l’Italie, la Suède, la Belgique. Nous avons également des partenariats internationaux puisque nous avons aussi un partenariat...
Son cœur de métier est la gestion de biens immobiliers permettant l’accueil industriel et tertiaire de ces entreprises. Elle répond aux besoins spécifiques liés à leurs activités : salles blanches ultra propres, laboratoires équipés, aménagement logistique et autres prestations sur site telles que des espaces collaboratifs et de co-working, des salles de réunion, un accès très haut débit fibré, une restauration de proximité, etc… Des parcs d’activités dédiés La SEML Route des Lasers assure l’aménagement, la construction, l’exploitation et la maintenance de 4 parcs d’activités dont un acquis récemment. Sur la commune du Barp, près du Bassin d’Arcachon, les parcs technologiques et scientifiques Laseris 1 & 2 s’étendent sur une surface totale de 40ha. Accueillant à l’origine les entreprises primo-contractantes du Laser Mégajoule exploité par le CEA-CESTA, ils offrent aujourd’hui un espace de développement privilégié aux sociétés souhaitant s’implanter en Gironde et bénéficier de l’émulation créée par le LMJ. Aujourd’hui, 35 entreprises, soit environ 300 personnes, travaillent quotidiennement sur Laseris. A Pessac, à proximité des grands laboratoires et centres de recherche de l’université de Bordeaux, la Cité de la Photonique accueille 27 entreprises, ce qui représente environ 400 emplois. Elle compte 7 bâtiments pour une surface totale de 23 000 m², le dernier étant livré en juin 2018. La SEML Route des Lasers a fait l’acquisition de l’ancien site industriel de Thales situé à Pessac-Bersol et a entrepris le réaménagement du parc pour y accueillir notamment des plateformes technologiques, des start-up, des ETI et des services. La société SERMA Technologies sera le premier occupant de ce parc de 11 ha à la fin 2018. Un accompagnement personnalisé pour l’implantation de votre entreprise La SEML Route des Lasers accompagne les entreprises souhaitant s’implanter en Gironde ou étendre leurs activités sur ses sites. Elle met à leur disposition son savoir-faire en tant qu’aménageur-constructeur, gestionnaire et mainteneur. Elle définit leurs besoins architecturaux, énergétiques et étudie avec elles les faisabilités techniques et financières de leur projet. Un écosystème environnant les aide dans leur développement technologique ou financier autour du centre de ressources Unitec, du pôle de compétitivité ALPHA-RLH, du centre technologique optiques et lasers, ALPHANOV, du CEA Tech et des nombreux laboratoires universitaires. ...
« Situé au cœur de l’Axe Seine qui relie Le Havre à Paris, à 120 kilomètres de la mer, Rouen réalise un trafic maritime de 23,5 millions de tonnes par an et 5 millions de tonnes par an pour le trafic fluvial », aime rappeler Pascal Gabet, président du Directoire et directeur général de Haropa – Port de Rouen (Haropa est la structure qui rassemble les ports du Havre, Rouen et Paris). Entre cinq et six heures d’une navigation aussi technique que splendide sont nécessaires pour remonter le fleuve et ses méandres sillonnant la Normandie. « Afin d'exploiter pleinement cette situation géographique exceptionnelle et nous positionner plus encore comme Hub logistique, nous avons mené d’importants travaux d’amélioration des accès maritimes entre 2012 et 2019 pour un coût de 200 millions d’euros. Désormais, des navires de grande capacité sont accueillis, pouvant dépasser les 11 mètres de tirant d’eau pour 290 mètres de long et 35 mètres de large ». Très concrètement, l’amélioration des accès maritimes permet au Port de Rouen d’accueillir des navires vraquiers de nouvelle génération, avec un tirant d’eau plus important dans des conditions de sécurité nautique optimales. Ce projet répond pleinement aux enjeux environnementaux en favorisant le développement du transport maritime. Les différentes infrastructures portuaires sont par ailleurs directement connectées aux nœuds ferroviaires et routiers qui irriguent le territoire français et le nord de l’Europe. Leur multimodalité est bien entendu renforcée par le fait que la Seine assure une desserte fluviale performante des terminaux rouennais. L’un des 1 ers viviers économiques de France desservi par 32 terminaux portuaires Les quais du Port de Rouen fourmillent d’une activité alimentée par l’économie industrielle et agricole de son territoire étendu. « C’est l’un de nos 1ers atouts différenciant : nous sommes au plus près des zones de production et de consommation. Un port, c’est de l’import-export : cela veut dire que l’on fait venir de la marchandise pour la consommer (en 2019, 8,54 Millions de tonnes importées, essentiellement des vracs liquides), mais également que l’on exporte les productions locales (en 2019, 14,91 millions de tonnes exportées, dont 8,26 Millions de tonnes de céréales). L’intérêt d’un port maritime en fond d’estuaire, à l’intérieur des terres, est là : offrir une chaine logistique compétitive en réduisant le coût du premier (export) ou du dernier (import) kilomètre. Haropa – Port de Rouen, avec ses 32 terminaux portuaires répartis le long de la Seine, est au plus près de son hinterland et des activités économiques : terminaux de Honfleur, terminaux de Port Jérôme et de Radicatel, proches du complexe pétro-chimique d’ExxonMobil à Port Jérôme sur Seine, terminaux de Saint Wandrille et du Trait (utilisé par le groupe TechnipFMC) et bien entendu les terminaux situés sur le territoire de la Métropole Rouen Normandie. Grenier à blé et Chocolate Valley « Le point fort de Rouen, c’est le trafic de céréales. 50 % des céréales exportées françaises transitent ici, environ 7,5 millions de tonnes par an. Nous sommes idéalement situés près de deux zones de production céréalière très importantes : la Normandie et l’Île de France ». Cette production française de céréales navigue vers différents endroits de la planète, participant de l’approvisionnement alimentaire de ces pays : notamment les pays du Maghreb ou du Moyen-Orient. De façon complémentaire, la présence agro-industrielle locale est également très forte, avec la présence de grands noms. « Qui sait par exemple que nous sommes la Chocolate Valley ? » Chaque année 125 000 tonnes de fèves de cacao arrivent à Rouen et sont transformées par les deux leaders mondiaux dans la fabrication du chocolat : Cargill et Barry Callebaut. Les productions des usines normandes de Ferrero (unique site Europe pour le Nutella et Kinderbueno) transitent depuis Rouen vers le port de Gennevilliers. 3éme région...
Le domaine de la Navicelle s’épanouie en harmonie avec un terroir et un climat exceptionnels. Ses vins, d’Appelation d’origine protégée Côte de Provence, sont les expressions d’un sol de caractère, nourri d’eaux de montagne et de mer. Cette fraîcheur subtilement iodée a inspiré de nouvelles idées à l’équipe récemment renouvelée. Romain Magnanou (directeur), Alice Euvrard (œnologue et directrice commerciale), Louisa Kober (responsable oenotourisme) et Laura Devillers Casel (administratrice) se consacrent à donner vie au domaine, de la viticulture à la mise en bouteille, la commercialisation et la valorisation du lieu. Leurs productions privilégient une envie de vins rosés, de fruits, de légèreté, de blancs maritimes, tout en préservant la conception de vins rouges de caractère. Une culture respectueuse de l’environnement 21 hectares de vignes s’étendent sur un sol d’argile composé de sous-couches de calcaire et de schiste. Cette richesse permet de cultiver différents cépages : Syrah, Grenache, Tibouren, Mourvèdre, Cinsault pour les rosés et rouges, Rolle et Clairette pour les blancs. Les cultures sont protégées de la chaleur et l’irrigation naturelle apporte aux gammes une belle minéralité. Cette viticulture est certifiée "Agriculture biologique" et "Haute valeur environnementale". Les précieuses bouteilles sont vendues dans des caves indépendantes, des restaurants gastronomiques, sur place, en ligne et exportées en Europe, au Japon, aux Etats-Unis, etc Du vignoble au séjour atypique Le domaine possède 7 jolis gîtes spacieux en pleine nature. Les touristes peuvent profiter de randonnées, de farniente sur les plages, de promenades équestres ou en vtt. Ils peuvent aussi visiter le vignoble, commander des petits paniers repas typiques ou choisir de flâner dans la grande piscine du lieu. Entre une production savoureuse et un site vivifiant, le domaine de la Navicelle a bien fait de choisir le nom d’un bateau. Il navigue vers de jolis horizons, à explorer dès que possible. ...
Une quarantaine d’accidents impliquant un transport en commun d’enfants a lieu chaque année en France. Il est donc essentiel d’œuvrer pour une meilleure sécurité de nos chères têtes blondes. Dans cette optique, Emmanuel Klett, consultant en sécurité incendie et fondateur d’Agora Formations, a imaginé un car simulant des situations réelles pour enseigner les meilleurs gestes en cas d’accidents. Le car pédagogique, un véhicule entièrement dédié à la formation Le car pédagogique est principalement destiné aux conducteurs de ce type de véhicule pour leur apprendre les processus d’évacuation, pour acquérir les bons réflexes lorsque le car se retrouve couché sur le côté ou lors de début d’incendie. Cet outil est également très utile pour sensibiliser les usagers scolaires à boucler leur ceinture de sécurité lors de leurs trajets quotidiens et pour leur expliquer la conduite à suivre en cas d’accident. Lors de la sensibilisation, après une discussion et une vidéo, les enfants montent dans le car pour participer à l’exercice d’évacuation lors d’un basculement de car. Quant à la formation des conducteurs, des exercices d’incendie, de secourisme et d’évacuation leur sont proposés. Unique au monde, ce car se déplace dans toute l’Europe et a accueilli 15.000 jeunes en 2017. ...
SOP Events se démarque par sa large panoplie de services, de prestations et d’activités pensés, conçus et réalisés pour les entreprises, dans leurs locaux ou dans des lieux atypiques. Séminaires d’exception, soirées de gala inédites, team-building inoubliables ou encore voyages incentive originaux sont autant de spécialités dédiées à vos collaborateurs, à vos clients ainsi qu’à vos collègues. Mettez ainsi la touche joviale, authentique et quelque peu fougueuse du Sud-Ouest au cœur de vos événements d’entreprise de toute taille. L’agence partenaire de vos projets Forte de ses nombreuses années d’expérience, cette agence événementielle couvre la totalité des villes du Sud-Ouest de l’Hexagone allant de Toulouse à Bordeaux. Découvrez ainsi, selon vos envies et vos besoins, chacune des particularités de ces villes réservant le meilleur d’elles-mêmes à l’occasion de vos événements d’entreprise. Dans cette optique, chaque séminaire, team-building ou séjour incentive sont organisés d’une main de maître par une équipe chevronnée, passionnée, et dont les membres mettent leurs expériences et leur dynamisme au service de votre manifestation. Allant du simple conseil à l’organisation de A à Z, en passant par l’accompagnement effectif tout au long des étapes du projet, l’expertise de l’équipe SOP Events est gage de réussite. « Pour les voyages d’entreprise à but uniquement professionnel, nous proposons, par exemple, des prestations à la carte, du vrai sur-mesure en fonction des besoins des entreprises », nous explique Jean-Jacques Castanet, le fondateur de l'entreprise. « Pour ce qui est des voyages incentive, dont le but est de récompenser ses collaborateurs, des circuits touristiques peuvent également être organisés dans le Pays basque, au Pic du Midi, dans un loft au dernier étage de la plus haute tour de Toulouse ou au cœur de Bordeaux. Prenons l’exemple de Bordeaux nous proposons des déjeuners atypiques Bordelais, des visites du marché avec balade en segway, des dégustations du fameux vin de Bordeaux, ainsi que la visite de la célèbre cité du vin », continue-t-il. Team-building, animations et séminaires fleurant bon l’insolite « En été comme en hiver, nous proposons aux entreprises un très large panel d’activités originales comprenant l’organisation de team-building, de séminaires et des animations musicales et artistiques. » Pour ce qui est des séminaires, vous aurez le choix entre un séminaire résidentiel ou un séminaire d’une journée. Dans la première catégorie, votre projet sera organisé en pleine nature sur trois jours environ, ou à bord d’une péniche. « Des séminaires résidentiels luxe à Biarritz sont également proposés à l’occasion de réunions de cadres. Dix à vingt personnes profiteront ainsi d’un événement unique en partenariat avec l’hôtel du palais de Biarritz, un magnifique hôtel cinq étoiles », toujours selon notre interlocuteur. Concernant les séminaires en journée, des activités extraprofessionnelles, à l’instar du kayak, viennent clore chaque événement. En hiver, profitez également de séminaires en Andorre et dans les Pyrénées avec des activités axées sur la neige, pour ne citer que les chiens de traîneaux, la recherche en avalanche ou la privatisation intégrale d’un restaurant niché en haut des pistes de ski. Toujours dans cet esprit d’inédit, les team-building conçus pour permettre aux collaborateurs de mieux se connaître et de communiquer, mettront ces derniers à l’épreuve à l’occasion de journées rafting, ateliers de création de vin, dégustations insolites ou défis divers qui les souderont au nom de l’esprit d’équipe et de la convivialité. SOP Events propose d’autres animations insolites : course de drones, chasse au trésor, magie numérique, bootcamp et des jeux dérivés de célèbres jeux télévisé...
Une approche originale et pragmatique de l’éducation artistique et culturelle Richement illustrés, chacun de ces livres aborde un thème, une œuvre ou un artiste pour en livrer une analyse certes complète mais aussi – et surtout – accessible à tous. Et pour cause, l’objectif des auteurs n’est autre que de mettre à la disposition du plus grand nombre (enseignants, lycéens, amateurs d’art en général) l’éducation artistique sous une autre forme. Plus simple. Moins austère. Bref, de vulgariser tout en gardant un niveau d’exigence élevé. Étape par étape, au moyen d’explications et d’exemples, un sujet qui aurait pu sembler, de prime abord, compliqué fera donc l’objet d’une clarification. Et sa compréhension par le lecteur s’en trouvera considérablement facilitée ! Libre à chacun de venir chiner, à sa propre convenance, des informations au fil des pages (sans risquer de s’y noyer !) ou de tout lire d’une traite. Des publications innovantes et en phase avec leur époque Dans un souci d’innovation et de renouvellement, ces publications (qui, rappelons-le, ne sont en aucune façon la chasse gardée des professeurs d’enseignement artistique ni des élèves de terminale) ont parfaitement intégré la révolution numérique. C’est pourquoi elles se déclinent en différents supports allant du livre imprimé au webdocumentaire en passant par le web. Si l’analyse des Lumières de la ville (pour le cinéma), le chef-d’œuvre de Charlie Chaplin, ou encore celle de l’univers de Rodin (pour les arts plastiques) font l’objet de livres imprimés, il est également possible de les télécharger au format PDF. De même, des compléments numériques sont très souvent proposés. Par exemple, L’Affaire Tailleferre, l’une des œuvres au programme du baccalauréat Musique, prend la forme d’un webdocumentaire pédagogique et d’un DVD au menu duquel figurent films documentaires mais aussi documents audio, vidéos, PDF, etc. Pour toutes ces raisons, nul doute que Réseau Canopé mériterait de décrocher une mention pour la façon dont il est parvenu à conjuguer innovation et pédagogie. ...
D’un côté, l’Institut IRPALL. Cette structure fédérative de l’Université de Toulouse 2 Jean Jaurès développe des programmes de recherche pluridisciplinaire de pointe, tout en favorisant le partage culturel pour le plus grand nombre. De l’autre, l’opéra. Une oeuvre d’art total, mêlant musique, paroles, décors et activant voix, corps et jeu de scène. Etudier l’opéra réclame une démarche scientifique pluridisciplinaire, puisque plusieurs champs de spécialités et de compétences sont requis, de la littérature à l’histoire en passant par la mythologie. Il y a 7 ans, le Théâtre du Capitole et l’IRPALL ont signé une convention de partenariat. Associer une institution culturelle lyrique et une structure de recherche, toutes deux de renommée internationale, relevait du défi. Pari réussi : les structures organisent désormais diverses manifestations par an, des journées d’études (15 depuis le début du partenariat), des rencontres avec le public, des ateliers d’écoute, des conférences d’avant-spectacle, etc. Institut IRPALL : étudier l'opéra nécessite une démarche scientifique pluridisciplinaire Cette variété d’activités implique le monde universitaire dans son ensemble. Par exemple, les Journées d’études réunissent des chercheurs français et internationaux, spécialistes de littérature, de musicologie, de langues, d’histoire et d’art. Les rencontres avec le public associent les étudiants en musique, ainsi formés à la prise de parole en public et à la diffusion des savoirs. Animée par Michel Lehmann, directeur de l’IRPALL et spécialisé notamment dans l’opéra du XIXe, et Christine Calvet, secrétaire générale, forte d’une expérience de 20 ans dans le pilotage de la recherche pluridisciplinaire, cette Convention affiche son dynamisme : amateurs, mélomanes, artistes, critiques, étudiants, chercheurs et groupes scolaires fréquentent ces activités qui favorisent les passerelles entre recherche et création artistique, université et cité, quartiers urbains et centre-ville, publics avertis et éloignés. ...
À l’image du cadre dans lequel le Fairmont Royal Palm Marrakech évolue, la cuisine s’annonce sous différentes couleurs : traditionnelle marocaine, naturelle, moderne, à la croisée du style oriental et occidental… En découvrant les différentes tables de l'hôtel, les hôtes se lancent dans un véritable tour du monde culinaire. Juillet 2018 – Fairmont Royal Palm Marrakech accueille son nouveau Chef Exécutif, Serge Jost. Après trente années passées au sein de maisons toutes aussi prestigieuses les unes que les autres : le restaurant gastronomique Petrus à l'hôtel The Island Shangri-La à Hong Kong et les restaurants du Westin Mont-Royal à Montréal en autres, Serge rejoint en 1998 pour la première fois un hôtel Fairmont, l’iconique Reine Elizabeth à Montréal. Après huit belles années, il décide de poursuivre son engagement pour la marque et prend en 2006, les commandes des cuisines du Fairmont Château Montebello. Le style de Serge Jost intègre une riche palette d’expériences culinaires internationales, mêlant les traditions gastronomiques européennes à celles du terroir local, y ajoutant une influence asiatique et une présentation toute contemporaine. Sa cuisine célèbre la richesse des produits régionaux : « Je crois en une cuisine simple et diététique, présentée de manière sobre et élégante, qui permette aux arômes naturels, aux couleurs et aux textures de chacune se révéler par elle-même tout en se complimentant mutuellement. » L’Olivier, une cuisine méditerranéenne raffinée Quand le soleil marocain se dresse dans toute sa splendeur, l’heure est à la fraîcheur à l’Olivier où la cuisine adopte une allure légère mais surtout savoureuse. Tout en appréciant la vue sur la piscine de 2000 m² de l’hôtel, les hôtes dégustent avec délice « le pavé de saumon aux épices d’ici cuit au four tandoori » ou le très sollicité « carpaccio de saumon relevé par une marinade au goût acidulé et au doux parfum de vanille », servi avec des légumes croquants. Pour la fin du repas, « l’île flottante caramélisée aux amandes torréfiées » connaît toujours un fervent succès. Le Caravane pour un voyage culinaire Le Caravane accueille les adeptes du goût exquis pour un moment intime à savourer à deux ou à plusieurs. Une grande salle conviviale, des tables d’hôte, des salons privatifs ou la Table du Capitaine, il appartient à chacun de choisir l’espace où il appréciera l’attrait gourmand de la rôtisserie et des plats raffinés proposés à la carte. Mais, le Caravane, c’est surtout un restaurant offrant une riche cave à vins qui regroupe les meilleures bouteilles du monde pour accompagner avec harmonie les plats de viande, d’agneau, de foie gras et de poisson. Al Aïn, la cuisine marocaine Des zelliges un peu partout, du mobilier typiquement marocain, Al Aïn invite à une escapade culinaire dans le royaume des mille et une nuits. Les épices et les condiments du Maroc viennent relever les préparations traditionnelles, à l’instar du couscous, de la soupe Harrira Fassia et du Tride de volaille aux lentilles. La couleur locale, une cuisine authentique, une ambiance à la marocaine, le dépaysement est garanti ! Le Sabra, élégant et décontracté Après la découverte du Country Club et de son parcours de golf impressionnant, Le Sabra appelle les visiteurs à se délecter du cadre somptueux du Fairmont Marrakech sous la lumière du jour, à l’ombre des oliviers centenaires. Dans une ambiance décontractée, le restaurant du Country Club propose des préparations simples composées de produits de saison. Le « Burger House » figure parmi les incontournables, au même titre que « la salade gourmande et son œuf mollet » et le « Fish and chips, sauce tartare ». Pour se désaltérer Plongé dans une ambiance vintage, le Bar, avec sa musique jazzy et sa signature très british, s’ouvre aux amateurs de cigares, de cocktails et de sushis dans un cadre élégant....
Perpétué par des artisans de Langres venus s’installer à Nogent entre le 17e et le 18e siècle, le savoir-faire coutelier de la Haute-Marne a son musée dédié depuis 1991. La noblesse des matériaux, comme la diversité des objets réalisés, constitue la marque de fabrique de la coutellerie de Nogent. Couteaux, limes, etc. Place Charles de Gaulle, le musée abrite une collection rassemblant tout le patrimoine coutelier nogentais. Celui-ci se caractérise par une remarquable diversité quant aux savoir-faire et aux matériaux exploités. Proposées dans un cadre moderne, avec sonorisation, les expositions permanentes révèlent des répertoires recouvrant des usages très variés. Ici, le bois précieux, l’écaille ou la nacre rehaussent le manche des couteaux de table et autres couteaux fermants. Ailleurs, les métiers – boucherie, charcuterie – se révèlent dans la singularité des couteaux qui leur sont dédiés. Les pendules sont vite remises à l’heure quand se déploient les pièces chirurgicales telles que burins, gouges, pinces et bistouris. La coutellerie d’origine a effectivement ouvert la porte à de nouvelles applications contemporaines autour du métal. Les outillages (enclumes, marteaux, martinets, matrices…), ainsi que les instruments de toilette comme le cure-oreille ou la pince à ongles trouvent alors naturellement leur place. Des expositions temporaires à thème La vie du musée est aussi ponctuée par les expositions temporaires qu’il organise, à l’instar des « outils de jardin », au programme des saisons 2017 et 2018. Cette institution met l'accent sur le savoir-faire sans second développé par les couteliers du bassin nogentais dans la fabrique d’outillages à main, dont les outils de jardins font partie. Les actes quotidiens de l’horticulture sont à l’honneur à travers les catégories d’outils déclinés, à savoir la coupe, la greffe et le multifonctionnel. ...
L’AFSEP est une association qui prend à cœur de rassembler les patients et leurs familles, les informer, les aider et même de les représenter auprès des pouvoirs publics. L’association en quelques lignes Créée il y a de cela plus de 50 ans, l’AFSEP est la plus vieille association de patients en France, toutes pathologies confondues. Elle est reconnue d’utilité publique depuis 1967. Sa spécificité par rapport à d’autres associations, c’est qu’elle est constituée uniquement de patients. « L’association est pour les patients et elle est faite par les patients » souligne un membre de l’équipe AFSEP. Cette particularité place véritablement l’association au cœur du terrain constituant ainsi un relais privilégié pour tous les acteurs concernés (pouvoirs publics, laboratoires…) dans la lutte contre la sclérose en plaques. Les actions et missions de l’association La sclérose en plaque (SEP) est une maladie neurodégénérative qui touche en majorité des femmes. La moyenne d’âge des personnes atteintes se situe à 40 ans. Incurable, la SEP entraîne des conséquences dévastatrices chez l’individu telles que l’apparition d’une déficience motrice (incapacité à marcher) ou la perte de la mémoire. « Cette maladie est épouvantable, on ne peut plus rien faire après, vous êtes complètement désocialisé » explique un responsable. Face à cette situation, l’une des missions de l’association est d’accompagner les personnes atteintes et leurs proches au quotidien. Afin de les aider dans leur démarche, l’AFSEP propose aux malades un service juridique et un service social. Pour faire en sorte que les patients puissent mieux vivre avec la maladie, l’association travaille également avec des ateliers de groupe de parole ou des ateliers d’équithérapie (soin psychique basé sur la présence d'un cheval comme médiateur thérapeutique). Outre l’accompagnement des malades, l’association s’est aussi engagée sur la sensibilisation et la formation sur la SEP. Cette dernière est assurée par le pôle formation de l’AFSEP et s’adresse aux acteurs intervenants auprès des malades. Enfin, l’association mène des actions concrètes pour soutenir la recherche sur la maladie. Label « Grande cause nationale » 2018 comme objectif ! Face à la forte progression de la sclérose en plaques dans l’hexagone (100 000 malades et 4000 nouveaux cas diagnostiqués chaque année), l’association s’étonne aujourd’hui de l’absence cruelle de communication sur la SEP. Les responsables soulignent en effet : « puisqu’on n’en parle pas dans le débat public, les gens porteurs de la maladie seront incapables de diagnostiquer le problème ». L’enjeu est de taille et il s’avère vital d’informer et sensibiliser le maximum de personnes afin d’éviter une prise en charge tardive de la maladie. D’autant plus que la SEP est très difficile à diagnostiquer car elle se manifeste à travers une multitude de symptômes. Pour faire entendre sa voix, l’association a adressé une lettre à l’attention du chef du gouvernement dans laquelle elle propose que la SEP fasse l’objet du label « Grande cause nationale » 2018. Ceci dans le but d’attribuer une plus grande visibilité et générer une forte mobilisation. « Avec l’aide du gouvernement, on réduira le temps de diagnostic de la maladie »indique l’équipe avec un brin d’optimisme. ...
Situé à quelques pas du centre historique de Bordeaux, rue Georges Bonnac, l'Hôtel Burdigala illustre le mariage réussi entre tradition et modernité. Dès l’entrée, sa façade en pierres blondes de Frontenac évoque le style architectural bordelais du XVIIIe siècle. Mais, une fois la porte franchie, la demeure séduit par sa décoration moderne, chic et cosy. Elle propose aujourd’hui un hôtel quatre étoiles et un restaurant bistronomique : La Table de Burdigala. Une très bonne table ! Installée sous une agréable verrière, La Table de Burdigala opte pour un décor contemporain et « urban chic », avec son subtil jeu de voilages. À l’image de la bâtisse, le restaurant dégage une ambiance à la fois élégante et détendue. Il plonge ses convives dans un confort unique et un calme feutré, en contraste avec l’agitation urbaine. À la hauteur de la beauté du lieu, la qualité des plats est irréprochable. À base de produits frais issus du terroir, le Chef Denis Lemercier - Maître Restaurateur revisite le répertoire de la gastronomie classique française en y apportant une touche dosée de modernité et d’originalité. Au gré des saisons, la carte et les menus proposent une grande variété de plats, pour satisfaire toutes les envies, même les plus exigeantes. Parmi eux, le gravlax de saumon et raifort, blanc de poireau en viennoise de sésame noir, en entrée ; et le paleron de bœuf du Limousin braisé aux morilles accompagné de pommes fondantes et de rutabaga, en plat principal, sont les plus prisés. ...
Situé à 10 minutes du centre de Marrakech, l’hôtel invite à une escapade hors du temps. En totale harmonie avec la nature et les paysages de rêve, les convives profitent de succulents mets et de plats aux saveurs ancestrales : une invitation gourmande selon les envies. Le Selman et le concept de La Table d’Antoine Chic et cosy, sobre et majestueux, le restaurant Le Selman est ouvert sur l’extérieur et ravit les amoureux de la nature verdoyante et des grands espaces. C’est un lieu intemporel, une invitation au voyage des sens. Le chef Antoine Perray et son concept La Table d’Antoine ont posé leur quartier au restaurant Le Selman, dans le cadre d’une résidence gastronomique. La carte est renouvelée chaque saison. En entrée, daurade royale en ceviche, condiment au citron beldi. En plats : volaille fermière au vin jaune, morilles, châtaignes, ou quasi de veau de lait, mole poblano… En dessert : soufflé cacao grand cru 80 % « cœur de Guanaja ». Concernant le cadre, il est des plus intimistes, idéal pour partager un agréable moment de détente. La fabuleuse escapade dans ce lieu près des montagnes de l’Atlas promet une paisible découverte entre amis, en couple ou en famille. Rien de mieux pour échanger, partager et se ressourcer là où la nature a son mot à dire. Les convives sont invités à profiter de ce cadre idyllique d’exception. ...
À travers un site pratique et simple d’utilisation, Sun Location met en relation les internautes en quête d’une location pour leurs vacances et les agences spécialisées. Lumière sur Sun Location Sun Location est une alternative de choix pour éviter d' être une proie facile aux arnaques autour des locations de vacances. Depuis 2006, cette plate-forme de réservation en ligne propose aux futurs vacanciers une multitude de choix de locations de vacances entièrement gérées par des agences spécialisées. Villas avec piscine privée, appartements chics, chalets en montagne... en tout plus de 100 000 offres d’hébergement sont disponibles via la plate-forme. Très simple d’utilisation, ce site sérieux s'est fixé le défi de permettre aux vacanciers de trouver rapidement la location idéale à travers des offres et informations pertinentes. Quelques clics et c’est parti pour un séjour idyllique dans le sud de la France, en Espagne, au Portugal ou en Croatie. « Notre service a l’ambition de proposer principalement des destinations au soleil », souligne Hamaied Shaiek, le responsable. La réservation sur Sun Location Pour faire preuve de tout son sérieux, Sun Location offre la possibilité à ses utilisateurs d’accéder aux informations relatives aux locations affichées sur le site. Ces informations proviennent exclusivement des agences spécialisées et comprennent la localisation géographique, le contenu descriptif et détaillé des logements, les disponibilités et prix en temps réel sans oublier les visuelles. Pour ce qui est de la réservation, elle se fait en ligne de manière instantanée et totalement sécurisée. Depuis la page d’accueil, l’utilisateur commence par saisir une destination puis choisit la date et durée de son séjour. Une liste de résultats va alors s’afficher avec une première sélection de locations. Pour qu’il puisse affiner ses recherches, l’utilisateur dispose de plusieurs critères : nombre de personnes, nombre de chambres, piscine, jardin, barbecue, etc. « En cliquant sur les résultats de recherche, la personne aura accès à une fiche descriptive détaillée concernant le logement sélectionné », développe notre interlocuteur. Une fois que l’utilisateur a sélectionné ses dates de séjour, il devra remplir un formulaire de réservation en indiquant le nombre de personnes participant au séjour ainsi que ses coordonnées personnelles. Il a aussi la possibilité de consulter le récapitulatif du prix du séjour (acompte à payer, solde, frais supplémentaires). « Un e-mail de confirmation va lui parvenir dès qu’il aura validé sa réservation et ce qui entraînera dans la foulée un blocage automatique de ses dates de séjour ». ...