Des progrès considérables ont déjà été faits sur le parcours de soins, notamment via la prise en charge qu’effectuent les centres de référence, mais diriez-vous que le parcours de vie des patients continue de s’apparenter, malgré tout, à un parcours du combattant ? Le problème des maladies rares est double. En effet, elles sont non seulement rares mais aussi très différentes les unes des autres. Par conséquent, il est impossible de faire des généralités. Des progrès ont effectivement été effectués. Au sein de la filière FAVA-Multi, nous constatons, par exemple, que les centres de référence ainsi que les centres de compétence traitent plus de patients qu’auparavant. On peut donc en déduire que les malades sont de mieux en mieux orientés. Et que la prise en charge ainsi que le parcours de soins s’améliorent. Pour autant, certains diagnostics restent difficiles à poser. Car en raison de la « rareté » de ces maladies et de leur diversité peu de médecins généralistes y ont été confrontés. Or plus un diagnostic est tardif, plus les difficultés (scolaires, familiales, professionnelles… ) qu’éprouvent les patients atteints de maladies rares augmentent et plus des complications risquent de survenir. - « Le parcours de vie des patients atteints de maladies rares peut s’apparenter à un parcours du combattant. Mais pas toujours. Des progrès ont été faits » Quels sont les obstacles auxquels se heurtent le plus souvent les patients et leurs proches ? Ces obstacles sont multiples. L’errance diagnostique, c’est à dire le délai excessif qui peut séparer l’apparition des premiers symptômes de l’établissement du diagnostic, est bien souvent très difficile à vivre. Et ses conséquences sur le parcours de vie du patient peuvent être dramatiques. Sans traitement adapté, son état de santé risque de s’aggraver. Un sentiment d’isolement puis d’exclusion peut aussi apparaître, le malade se sentant incompris aussi bien par les médecins qu’il consulte que par son entourage. Parce qu’elles contribuent à rompre l’isolement, les associations de patients sont d’ailleurs d’une grande utilité. L’errance diagnostique peut également entraîner un retard dans le processus de compensation du handicap. Des difficultés scolaires peuvent aussi se présenter. En effet, il peut être compliqué de scolariser un enfant atteint d’une maladie rare qui nécessite une prise en charge pluri-disciplinaire. Il en va de même du maintien d’un adulte dans son emploi. Les malades et leurs proches peuvent également rencontrer des difficultés à s’orienter dans le parcours de soins. Mais le travail effectué par les filières de santé « maladies rares » contribue à accroître la visibilité des structures mises en place. Enfin, dépressions, séparations ou encore difficultés à obtenir un prêt immobilier font partie des répercussions qu’ont les maladies rares sur le quotidien des patients et de leurs proches. - « Les associations de malades créent du lien et aident à rompre l’isolement »Comment peut-on aider les professionnels - non spécialistes - à avoir une meilleure connaissance des maladies rares ? Il est impossible de tout savoir sur les plus de 3 000 maladies rares ayant été répertoriées. Moi-même, qui travaille sur le sujet depuis des années, je ne les connais pas toutes… En réalité, ce qui compte, c’est que les professionnels aient accès à l’information. Qu’ils sachent où elle se trouve et comment l’obtenir. Aujourd’hui, la visibilité des maladies rares est plus importante qu’auparavant. Et il existe de nombreuses portes d’entrée : Orphanet qui regroupe des informations sur les maladies rares, les sites Internet des filières, les centres de référence, les hôpitaux, etc. Mais plutôt que de former chaque médecin à toutes les maladies rares, il est préférable de les aider à savoir où trouver l’information s’ils sont face à un cas inhabituel. Si l’on peine à établir un diagnostic, il faut envisager la possibilité qu’il puisse s’agir d’une maladie rare. - « Il faut faire en sorte que les médecins sachent où chercher l’information face à un cas inhabituel »Pouvez-vous nous parler du Tour de France des Filières ? En quoi consiste-t-il ? La filière FAVA-Multi qui fédère les maladies à « anomalies vasculaires rares avec atteinte multi-systémique », et que j’ai l’honneur d’animer, organise un Tour de France des filières. L’idée, c’est de faire en sorte que les professionnels qui prennent en charge - au-delà du suivi médical - les patients atteints de maladies rares, puissent se rencontrer, échanger et tisser des liens entre eux. Participent ainsi à cet événement travailleurs sociaux, enseignants, réducteurs, MDPH, kinésithérapeutes, etc. En effet, avant que le tour de France des filières ne soit mis en place, en 2016, toutes ces personnes n’en avaient pas forcément l’occasion. Il y a pourtant une réelle demande. La toute première rencontre que nous avons organisée se déroulait sur une matinée, à Lyon. Mais les participants étaient tellement contents de se rencontrer qu’ils...
La transmission du savoir-faire de père en fils a contribué à maintenir la qualité des vins de la Grand’Vigne et de construire sa notoriété. Cette exploitation se transmet donc depuis quatre générations et la cinquième est bientôt prête à prendre le relais. Deux terroirs aux caractéristiques différentes s’expriment à travers la Grand Vigne Cuvée Traditionnelle, Les Fournerys et Florian. Appellation Coteaux-Varois-en-Provence : les caractéristiques d’un terroir d’exception Le domaine de la Grand’Vigne est perché à 240 mètres d’altitude, à côté de l’ancienne voie romaine « Via Aurélia ». Il bénéficie d’un climat méditerranéen froid et rigoureux en hiver, chaud et sec en été. Les courants marins sont stoppés par les nombreuses collines. Situé essentiellement près des sites d’extraction de bauxite, le terroir de la Grand’Vigne est fait d’argile rouge de bas de pente. La profondeur du sol permet d’amoindrir l’effet de la sécheresse estivale. Entre garrigues, pinèdes et genêts, le terroir des Fournerys possède des sols caillouteux qui garantissent la typicité des vins. La Grand’Vigne : vinification et savoir-faire Les procédés des paysans des bastides provençales dans les travaux de la vigne, les vendanges et la vinification connaissent un tournant en 1948 avec l’adhésion à la coopérative des Cordeliers. Ce n’est qu’une cinquantaine d’années plus tard que la production et la vinification s’effectuent à nouveau à la propriété. Depuis, la tradition et le savoir-faire œnologique des viticulteurs du Var leur permettent de viser l’excellence, un objectif qui se concrétise par les médailles et récompenses de guides et concours. La vinification suit différentes démarches pour les vins blancs, rouges et rosés. Celle du blanc commence par la macération préfermentaire à froid en milieu inerte, une technique qui consiste à retarder le départ de la fermentation. Elle permet d’extraire en douceur les arômes, tanins, pigments et donne au vin un côté fruité intense. L’étape suivante est le débourbage statique ou la séparation des bourbes et du mout. Le liquide passe maintenant dans des cuves thermorégulées entre 16 et 18 °C pour la fermentation. Le vin est élevé sans être séparé de ses lies pour augmenter ses arômes et sa rondeur. Le procédé finit par un collage doux avant la mise en bouteille. L’assemblage et la mise en bouteille sont précoces pour le blanc et le rosé. La méthode pour le rouge se distingue par une sélection des parcelles, puis l’éraflage en totalité. Il y a également le remontage et délestage régulier, suivi d’une cuvaison de 12 à 15 jours en maitrisant la température entre 24 et 26 degrés. Selon le millésime, une macération post-fermentaire peut être effectuée avant l’élevage en barrique partiel. ...
Prothèses ou bouchons auditifs sont autant de solutions apportées par le cabinet dans lequel soins efficaces et suivis personnalisés sont les maîtres-mots. « Sur rendez-vous, nous recevons nos patients, par recommandation ou sur prescription médicale, dans un cabinet paramédical dynamique et pluridisciplinaire », explique Maud Chanaud. Épaulée par une équipe composée de psychologues, d’orthophonistes, d’hypnothérapeutes ou d’ostéopathes, elle s’attelle alors à prodiguer une aide sur mesure aux personnes souffrant de troubles auditifs ou souhaitant prévenir les risques de surdité liés à leurs activités professionnelles ainsi qu’à celles qui aspirent, de par leur hypersensibilité auditive ou pour d’autres raisons personnelles, à se protéger du bruit. Outre les services complets et personnalisés octroyés aux patients, le cabinet se distingue par son statut d’indépendant. « Aujourd’hui, beaucoup de centres auditifs ont été rachetés par des fabricants d'appareils auditifs et ne sont donc plus indépendants vis-à-vis des marques. Je suis, pour ma part, totalement indépendante et travaille avec toutes les marques », nous détaille Maud Chanaud. Des prothèses auditives thérapeutiques ou dédiées au confort Allant des enfants, jeunes ou adultes qui entendent moins bien aux seniors atteints de surdité, en passant par les personnes souhaitant tout simplement s’abriter du bruit, chaque prothèse façonnée au sein de ce cabinet s’adapte à tous les besoins et à toutes les attentes. « Outre le but thérapeutique, certains patients nous demandent de leur confectionner des appareils auditifs de protection et/ou de prévention par rapport à leurs activités professionnelles. Que ce soit le travailleur du BTP [exposé au vacarme des chantiers], le dentiste gêné du bruit de sa fraise ou le musicien souhaitant se doter d’un retour de scène ou d’un moulage auriculaire sur mesure, nous élaborons des dispositifs adaptés à chaque situation », rajoute l’audioprothésiste. Pour les situations plus complexes, à l’instar du chasseur souhaitant mieux entendre les pas de ses proies tout en étouffant la détonation de son fusil ou de l’enfant au tympan percé souhaitant s’adonner à la natation, des bouchons personnalisés et réglables sont élaborés par le cabinet. Toujours dans le cadre de cette isolation sonore, des bouchons similaires peuvent également être utilisés par les personnes à l’audition hypersensible aspirant à retrouver une meilleure qualité du sommeil en étant protégées de la cacophonie ambiante. Chaque patient repart ainsi avec le dispositif de confort ou thérapeutique qui lui convient. La pluridisciplinarité au service de l’efficacité « Au sein de notre centre de santé, la prise en charge de chaque patient se veut être complète, pluridisciplinaire et assurée par des professionnels paramédicaux exerçant, entre autres, en milieu hospitalier », assure notre interlocutrice. En effet, l’audition est un domaine complexe où certaines interventions ou prises en charge se doivent d’être entamées par une équipe aux spécialisations multiples. La perte de l’ouïe peut, par exemple, entraîner une gêne ou un mal-être, une situation à laquelle la présence d’un psychologue au sein du cabinet Maud Chanaud peut remédier. Les adultes ainsi que les enfants ayant un trouble d'audition et de compréhension nécessitant le port d’une prothèse peuvent également bénéficier de séances de rééducation qui seront, ici, assurées par un orthophoniste. ...
La famille royale danoise est propriétaire du château de Cayx depuis 1974. Son Altesse Royale le Prince Henrik de Danemark, époux de Sa Majesté la Reine, a passé une partie de son enfance dans la région de Cahors, plus précisément à Albas, où son père, le comte André de Monpezat, possédait un domaine viticole : le château Cayrou. Le famille des Monpezat est à l’origine native du Béarn. La reine et le prince ont restauré le château de Cayx, qui fut au XVIIIe siècle la propriété du poète et écrivain Lefranc de Pompignan. Le domaine existait déjà, selon toute probabilité, pendant la guerre de Cent Ans. Les vignes entourent le château comme c’était probablement déjà le cas du temps de Lefranc de Pompignan, dont le domaine produisait des vins envoyés un peu partout en France. Le vignoble du domaine Juché sur un flanc de colline, le château de Cayx domine le hameau éponyme, dans la vallée du Lot. Autour se déploient les terrasses de vignes, plantées à majorité de malbec. Les sols, composés d’éboulis de calcaire du causse et de graves, donnent des vins riches et aptes à la garde. Le domaine produit chaque année dans son chai environ 140 000 bouteilles de vin rouge, blanc et rosé. Des vins puissants, subtils et fruités, élevés, pour les plus élaborés, en futs de chêne pendant de longs mois. Vinification : la passion de la perfection Le château de Cayx s’engage dans une démarche exigeante en vue d’atteindre l’excellence. De la culture des vignes à la vinification, chaque étape du processus reçoit une attention particulière. Les sols sont traités écologiquement et l’enherbement préserve le caractère du terroir. Les vendanges en vert permettent d’atteindre des rendements maitrisés. Après l’élevage en fut, la mise en bouteille se fait au château afin de conserver les subtilités du terroir exprimées par le malbec. Gamme des vins : Cuvée Majesté, Château de Cayx, Marches de Cayx et La Cigaralle Les vins expriment toute la typicité du terroir. Un caractère subtil, que le prince Henrik de Danemark préfère traduire en quatrain : « Cahors de cœur / Des vins seigneurs / Du Lot la fleur / De Cayx l’honneur ». La Cuvée Majesté est une petite cuvée, pas plus de 5 000 bouteilles par an, issue des meilleures parcelles du domaine, avec un rendement de 35 hectolitres par hectare. Le raisin est vendangé, égrainé à la main, puis vieilli en fut de chêne pendant 24 mois. De la « petite dentelle », comme on appelle dans le pays, les vins dont on prend grand soin. La Cuvée Majesté est servie chaque année depuis 2008 à l’anniversaire de la reine de Danemark. La concentration du vin évolue vers la truffe. La Cuvée Majesté accompagne les viandes rouges, le fromage, le magret, et en particulier deux recettes danoises : le porc rôti à la purée de pommes et le gule erter, une variante locale du cassoulet. Fleuron de la propriété, le Château de Cayx porte un rouge à la noblesse et à l’élégance dignes d’une lignée royale. L’élevage en fut jusqu’à 18 mois confirme l’excellente maitrise de l’extraction du vin. D’une robe pourpre, le vin offre des aromes délicats de fruits rouges relevés par le caractère intense et charnu du malbec. En bouche se révèlent des notes épicées fondues dans un tanin soyeux. L’alliance de douceur et d’élégance en fait un des grands vins de Cahors. D’un bon potentiel de garde, le Château de Cayx se sert chambré à 19 °C. À présenter avec un magret de canard aux cerises ou un gigot d’agneau de Quercy. Les Marches de Cayx est vin composé à 90 % de malbec et 10 % de merlot. Les sols argilo-calcaires et une exposition ensoleillée donnent à ce vin un caractère frais et aimable. Sa robe est d’un rouge profond. Au nez s’expriment des aromes soutenus de fruits noirs avec des notes de prune et de m&...
Fondée juste après la Première Guerre Mondiale, la maison de champagne J.MARGOUILLAT accueille ses clients depuis 4 générations. Son vignoble s’étend sur les coteaux sud d’Epernay (Commune de Chavot) où sont cultivés les fameux cépages champenois que sont le pinot noir, le pinot meunier et le chardonnay. Champagne J. Margouillat : un millésime 2013 qui fait le bonheur des amoureux de vin effervescent C’est à partir de leurs fruits que sont élaborés quatre types de vin effervescents aussi riches qu’équilibrés. L’emblème de la maison est symbolisé par le « Millésime 2013 », une année particulièrement favorable pour réaliser le mariage parfait entre les 3 cépages. La maison a toujours forgé la notoriété de ses produits sur le système du bouche à oreille. Une façon humble et pourtant efficace de promouvoir des cuvées de grande qualité uniquement disponibles « en direct » auprès du producteur. Seules quelques épiceries fines soigneusement sélectionnées disposent de certaines cuvées. La société est actuellement dirigée par François MARGOUILLAT, un passionné qui perpétue soigneusement la tradition familiale. ...
Cisbio est spécialisé dans les technologies, les produits et les services pour le diagnostic in vitro et la recherche dans les sciences du vivant. Elle propose de nombreux dosages pour le diagnostic de cancers, de maladies métaboliques ou auto-immunes. Dans le domaine de la recherche, elle a mis au point une méthode de détection par fluorescence en milieu homogène (HTRF) et a développé une offre d'essais et de services à destination des chercheurs impliqués dans la découverte de nouveaux médicaments. Sur la base de ce savoir-faire et de plus de 200 brevets déposés, Cisbio commercialise aujourd'hui plus de 500 essais et réactifs pour accélérer les projets de recherche de ses clients et partenaires. Un rôle important dans l’économie Cisbio emploie plus de 200 personnes, dont 40 chercheurs ayant une formation scientifique en chimie, en biologie cellulaire et moléculaire ou en biophysique. Basé à Codolet, dans le Gard, Cisbio possède des filiales à Boston, à Shanghai et à Tokyo et dispose d’un réseau de distributeurs qui commercialise ses produits dans le monde entier. Cisbio joue un rôle important dans l’économie de la région Occitanie, en créant de nombreux emplois et en ayant un rôle actif en matière de formation, ainsi qu'au travers de ses partenariats avec les instituts de recherche et les universités de Montpellier et de Marseille. 2016 : création de Ze Lab Dans le courant de l’année 2016, fort de son expérience et de ses compétences aussi bien scientifiques que commerciales, Cisbio a décidé de mettre en œuvre une nouvelle structure, Ze Lab, afin d’aider et d’accompagner des startups à se développer. Pour bénéficier de cet accompagnement, les candidats doivent déjà avoir testé et validé leur concept, établi un business model et être dans une phase de finalisation de recherche, d’industrialisation ou de commercialisation. Ils doivent travailler dans des domaines d’activités bien spécifiques tels que la recherche de thérapeutiques ciblant les maladies infectieuses, le diabète, l’oncologie ou les maladies rares. Cisbio souhaite que les startups rejoignant Ze Lab se concentrent sur leur cœur de métier dans les meilleures conditions possibles. Pour cela, elle va en particulier les accompagner au niveau de l’organisation de la structure, sur la mise en place d’un business plan, sur l’étude de marché ou sur la recherche de fonds. Ainsi, mettre en place une organisation de recherche et développement performante, définir une stratégie claire, développer et commercialiser les produits, structurer les équipes, rechercher et trouver des investisseurs sont au cœur du package proposé par Cisbio. Un écosystème déjà présent et un réseau international Certains critères sont déterminants pour la sélection de ces entreprises émergentes comme la qualité de l’équipe, une offre ayant une valeur ajoutée identifiable et une forte motivation. Quelques startups ont déjà déposé leur dossier pour rejoindre Ze Lab. Ils sont à l’étude auprès du comité de sélection de Cisbio. Les sociétés retenues pourront intégrer pendant 3 mois à 2 ans un espace mis à leur disposition avec bureaux, plateaux techniques et salles de réunion. Elles peuvent ainsi bénéficier de tout l’écosystème déjà présent sur place et, potentiellement, d’un réseau commercial international. ...
L’Association Neurofibromatoses et Recklinghausen regroupe principalement des malades souffrant de Neurofibromatose et leurs proches. Au sein de leur communauté, ils se battent pour une cause commune : la lutte contre cette maladie génétique. En plus des levées de fonds et des réunions à but informatif, leur combat ne se limite pas là. Les membres de l’A.N.R veulent apporter un support aussi bien matériel qu’émotionnel. Selon les derniers chiffres, en France on compterait près de 20 000 personnes touchées par cette maladie. Depuis sa création en 1986, l’équipe a largement fait ses preuves, si bien qu’elle compte désormais 1200 adhérents. Elle intervient non seulement en France métropolitaine mais aussi en Outremer et dans les pays d’Europe francophone. Elle rassemble un conseil d’administration, des bénévoles, des délègues locaux ou thématiques et un conseil scientifique. Portée sur l’ouverture, l’Association Neurofibromatoses et Recklinghausen ouvre ses bras à tous ceux qui voudraient rejoindre leur communauté. Qu’est-ce qu'une neurofibromatose ? C'est une maladie génétique qui se manifeste par le développement de tumeurs sur le système nerveux. Comme il s’agit d’un syndrome neurocutané, elle affecte le cerveau, la colonne vertébrale, les nerfs, les organes internes et la peau. Elle s’extériorise par l’apparition de nodules (neurofibromes) et de taches planes brunes sur la peau. Cependant, chaque type présente ses propres symptômes. En effet, il existe différentes neurofibromatoses (NF): maladie de Von Recklinghausen (NF1), NF2, Syndrome de Legius, schwannomatose et les neurofibromatoses segmentaires. Souvent héréditaire, elle se transmet à travers les générations en présence d’un gène porteur. Toutefois, d’autres patients témoignent d’une néo-mutation génétique et non d’une cause héréditaire. A ce jour, il n’existe aucun traitement qui puisse guérir et éradiquer cette maladie. Mais si le patient souhaite se débarrasser des excroissances, il est possible d’intervenir en effectuant une ablation par laser, une électrocoagulation voire une chirurgie. Quels objectifs vise l’Association ? L’A.N.R définit ses objectifs sur trois grandes lignes : écouter, soutenir et informer. Une oreille à l’écoute Ce syndrome neurocutané peut provoquer un sentiment d’exclusion, de culpabilité, d’anxiété, et même des complexes. Effectivement, avec seulement 1 individu atteint sur 4000, les malades peuvent se sentir incompris. Pourtant, l’Homme a besoin d’une oreille attentive sur qui compter quand son vase est sur le point de déborder. Les bénévoles de l’A.N.R, eux-mêmes atteints de neurofibromatose ou ayant des proches touchés, se portent volontaires pour être le refuge dont ces patients ont besoin. Ils écoutent, comprennent et proposent des solutions pour les guider. L’Association est également en mesure de les orienter vers les équipes médicales du réseau NF France. « Entretenir l’espoir », un combat de toute une vie Grâce aux dons récoltés, l’Association Neurofibromatoses et Recklinghausen a la possibilité de participer au financement de la recherche sur ce syndrome. En finançant ces études, elle contribue à l’identification des gènes modificateurs, la résolution des difficultés cognitives des enfants malades et même aux essais thérapeutiques en vue d’un traitement efficace. La Neurofibromatose est une maladie n’ayant actuellement aucun remède. Mais depuis 1999, plus de 3 millions d’euros de dons ont été investis pour changer la donne. Dans cette optique, « Ensemble, entretenons l’espoir » prend tout son sens. Les patients attendent de la médecine une solution pérenne à leurs maux. L’A.N.R veut nourrir cet espoir jusqu’au jour où on leur affirmera enfin : « Votre maladie peut être guérie ». Informer le grand public : une lutte médiatique à gagner Classée comme maladie rare, la neurofibromatose reste inconnue du grand public. L’A.N.R souhaite la médiatiser un peu plus afin de promouvoir l’information. En effet, plus...
L’histoire commence en 1927, lorsque le domaine de Boursault, ancienne propriété de Madame Veuve Cliquot, est repris par un aïeul de Charlotte Le Gallais, en la personne d’Hachod Fringhian. Ce bel endroit, situé à quelques kilomètres d’Épernay, révèle un excellent potentiel dans l’élaboration des Champagnes. Ses pierres calcaires aux propriétés filtrantes associées à la fraîcheur de l’argile contribuent à l’équilibre du terroir, nécessaire dans la fabrication de vins fins et élégants. Des caractéristiques qu’Hervé Le Gallais et sa fille Charlotte entendent préserver, mais aussi partager. Entre qualité et respect de l’environnement S’étendant sur quatre hectares, le vignoble est planté de 45 % de Pinot Meunier, 45 % de Pinot Noir et 10 % de Chardonnay. Le domaine Le Gallais est l’un des rares en Champagne à posséder un clos. « Il n’en existe qu’une vingtaine sur les 320 villages d’appellation », précise Marine Zabarino, Wine Tourism Manager. Cette particularité permet d’être au plus près des installations et facilite tout le processus. « Être installé dans un clos nous assure une grande fraîcheur de nos raisins au moment du pressurage. Les vendanges en Champagne se font obligatoirement à la main, et ici le vignoble est suivi à la parcelle afin de mieux gérer la maturité des raisins. » Entretenir la qualité de ce terroir constitue la ligne de conduite de la maison Le Gallais, d’où l’adoption d’un mode de culture raisonnée avec une demande de certification courant 2018 en label HVE (Haute Valeur Environnementale). Depuis 1991, les insecticides ont été bannis du vignoble, et la biodiversité est très présente au sein de ce clos arboré et fleuri. Les sols sont qu’en à eux travaillés mécaniquement, sans aucune utilisation d’herbicides. Une cuvée, une histoire… Le domaine produit cinq cuvées qui ont leur propre identité, « long vieillement et très peu de dosage en sucre ». Le Rosé des Poètes, qui est un rosé de saignée brut, fait la fierté de l’entreprise. Cette technique de production de rosé en Champagne est de plus en plus rare. La couleur naturelle s’obtient par macération des raisins noirs dans le jus. Composé de Pinot Noir et de Pinot Meunier, ce vin révèle une robe intense avec des reflets ambrés, et un nez fruité et profond. Du côté des millésimes, si la législation en Champagne impose trois années de repos minimum en cave, la maison Le Gallais n’offre que des millésimes ayant reposé neuf à dix années. Cette technique laisse le temps aux vins d’évoluer profondément. Selon Marine Zabarino, « cet élevage est certes long, mais il apporte un grand développement des arômes pour des vins à la fois complexes, structurés et raffinés. Patience et passion sont les maîtres-mots de la maison. » ...
FlashMatin | Bonjour ! Jean-Michel Dubois | Bonjour. Monsieur Dubois, vous êtes président d’une association qui s’occupe de très près de la neurofibromatose. Je vous laisse vous présenter et présenter votre association s’il vous plait. JM D | Jean-Michel Dubois, je suis le président de l’association neurofibromatose recklinghausen depuis 2010. L’association est né en 1986. Elle a été créée par des parents qui étaient concernés par la neurofibromatose. A l’heure actuelle, il y a à peu près un millier d’adhérents et une cinquantaine d’actifs, tous bénévoles. Et donc Monsieur Dubois pouvez-vous nous expliquer ce qu’est la neurofibromatose ? JM D | On parle des neurofibromatoses, qui sont des maladies génétiques, neurologiques, caractérisées par l’apparition de tumeurs sur les gaines des nerfs, avec une caractéristique commune qui est que c’est assez imprévisible dans les évolutions de ces maladies ; à la fois dans la forme et dans le temps. Donc, on a affaire à trois maladies bien distinctes. La NF1, la maladie de Von Recklinghausen, qui est elle-même un ensemble de maladies tant il y a une variété dans l’ expression. Un enfant ou en adulte qui a une NF1 ne va pas forcément ressembler à un autre. Ensuite la neurofibromatose 2 qui atteint souvent l’appareil auditif, et enfin la schwannomatose qui s’apparente beaucoup à la neurofibromatose 2, mais qui est différente, et là aussi on est toujours dans le domaine de tumeurs sur les nerfs. Il y a donc plusieurs formes de neurofibromatoses. Mais alors comment se rendre compte que notre enfant ou qu’un adulte est atteint de cette maladie ? JM D | La neurofibromatose 2 et la Schwannomatose apparaissent plus tardivement que la neurofibromatose 1 où l’un des critères principaux diagnostiqués est l’apparition de tâches café-au-lait, qui peuvent aussi être présentes dès la naissance. Au départ c’est assez compliqué, même si pour beaucoup d’enfants, il n’y a pas une manifestation de la maladie qui les handicape. Dans la NF1, il y a aussi une proportion plus grande par rapport à la population générale de difficultés des apprentissages. Il y a des manifestations qui arrivent plus rapidement. Un gliome des voix optiques, ça apparaît très rapidement chez certains enfants. On peut avoir une pseudarthrose c’est-à-dire une malformation des os. Et ça nécessite des greffes osseuses, des hospitalisations, de la rééducation. Un gamin qui subit ça, c’est compliqué. Alors justement, on imagine qu’être porteur d’une maladie rare en France c’est assez compliqué, quel est donc le rôle de votre association ? JM D | D’abord on est à l’écoute. Souvent le cas de figure c’est : « Je rentre de chez le médecin ou de chez le pédiatre, mon enfant a des taches café-au-lait, on me parle de neurofibromatose 1, qu’est-ce que c’est, qu’est-ce que je dois faire ? ». La première chose c’est d’être ouvert et d’être à l’écoute. Ensuite, c’est de les orienter vers des centres, de références s’ils sont en Île-de-France, ou de compétences s’ils sont en région. Notre rôle c’est de les diriger vers des équipes médicales qui connaissent et qui peuvent organiser le suivi médical. Il faut être vigilant, il faut être attentif, il faut s’informer, c’est le rôle de l’association. On publie une revue pour nos adhérents, sur notre site on met des choses qui ont été vérifiées et pas des… Des informations qui ne seraient pas fondées. Mais vous apportez aussi un soutien financier avec votre association ? JM D | On a déjà apporté 3 millions d’euros pour des équipes de recherche. On est là aussi pour leur apporter un soutien à la fois financier mais aussi un soutien moral, une sorte de caution, parce que c’est important que ces équipes de chercheurs puissent faire état de notre soutien. Ça leur donne une sorte de crédibilité, même si c’est d’abord leurs compétences qui sont importantes. Comme je le dis parfois, il manque peut-être un z&eac...
Dans la vie estudiantine comme dans la vie professionnelle, on entend souvent parler de la barrière de la langue. En effet, il n’est plus possible pour les étudiants, les travailleurs et les entrepreneurs de tous les niveaux de minimiser l’importance des langues étrangères dans ce monde globalisé. Pour suivre l’évolution incessante des échanges aujourd’hui, il faut pouvoir communiquer, comprendre et se faire comprendre à travers les langues. Si plusieurs écoles et institutions proposent déjà des cours de langues actuellement, une méthode se démarque des autres par son efficacité : un séjour linguistique en Irlande ou dans tout autre pays anglophone. Pourquoi apprendre une langue à l’étranger ? Bien qu’internet ait effacé les frontières et qu’il permette aujourd’hui d’apprendre une langue étrangère sans avoir à sortir de chez soi, ou faire un erasmus force est de constater que le résultat est loin d’être le même comparé aux études en immersion. Apprendre une langue ne se résume pas à maîtriser la grammaire et à avoir un vocabulaire de base. C’est aussi une culture à découvrir, une intonation et des nouvelles tournures que l’on ne peut découvrir qu’en côtoyant les natifs. Bref, si vous souhaitez parler l’anglais comme un anglais, il n’y a pas de meilleure façon d’y arriver que d’étudier en Angleterre ou de faire un séjour linguistique dans un pays anglo-saxon. Il en est de même pour toutes les langues étrangères. Afin de permettre à chacun d’apprendre la langue de son choix en immersion, certaines institutions comme EF Education First organise des séjours linguistiques dans différents pays du monde. Elle facilite énormément l’apprentissage pour les étudiants de tous les âges. Un large choix de destinations pour vos séjours linguistiques Si vous souhaitez connaître les subtilités d’une langue étrangère, partez en séjour linguistique dans le pays de cette langue maternelle. Avec l’aide de EF Education First, vous avez le choix entre 50 destinations à travers le monde selon la langue que vous voulez apprendre. Pour l’anglais, EF Education First vous propose des séjours linguistiques aux Etats-Unis, en Angleterre, en Australie, en Irlande, en Nouvelle-Zélande, en Afrique du Sud, à Malte, au Canada et à Singapour. Pour apprendre l’espagnol, partez en Espagne ou à Costa Rica. Avec Education First, voyagez aussi au Japon pour apprendre la langue du pays, en Allemagne pour parler l’allemand et en Italie pour maîtriser l’italien. Découvrez aussi la Corée du Sud tout en apprivoiser le coréen. Dans toutes ces destinations, EF Education First dispose de programmes adaptés aux enfants à partir de 10 ans, aux jeunes, aux adultes et aux entreprises désirant se perfectionner sur une langue étrangère. Afin de permettre aux étudiants de se concentrer sur leurs études, Education First organise des séjours linguistiques tout inclus. Comment réussir votre immersion Si vous êtes parti dans le pays où l’on parle la langue qui vous intéresse, c’est bien pour la pratiquer. Aussi, la première chose à faire est de parler cette langue quel que soit votre niveau de vocabulaire. Même si vous séjournez avec vos compatriotes, mettez-vous dans la peau d’un natif pour ce moment et vous allez acquérir naturellement tout le vocabulaire qu’il vous manque ! Autant que possible, choisissez de vivre chez l’habitant au cours de votre séjour linguistique pour une immersion totale. Vous pourrez acquérir rapidement l’accent des locaux, l’intonation et même les tournures typiques à la langue. Si vous n’avez pas cette chance, vous allez quand même pouvoir évoluer rapidement avec des spécialistes des séjours linguistiques comme EF Education First. Leur apprentissage est basé sur l’expérience. Vous aurez l’opportunité de rencontrer d’autres élèves ou étudiants du monde entier vu que l’institution possède ses propres écoles dans chacune des destinations qu’elle propose à ses étudiants. Elle organise de nombreuses activités qui vous permettront de dialoguer avec d’autres étudiants telles les...
Les façades entièrement sculptées de cette demeure du Port-Marly, dans les Yvelines, ne laissent personne indifférent. C’est même ce qui rend cette propriété, commandée par Alexandre Dumas en 1846, si particulière et si attachante. Cela, et également toutes les traces des moments que l’auteur a passés dans ce domaine que l’on évoque comme « son paradis terrestre ». Sauvé d’un destin qui aurait pu être dramatique par le syndicat intercommunal de Monte-Cristo, le château est un lieu d’intérêt et de connaissance qui vaut grandement le détour. Un paradis né dans l’imaginaire de l’auteur Alexandre Dumas est au sommet de sa gloire quand il brosse le portrait de la demeure qu’il voulait à un grand architecte de l’époque : Hippolyte Durand. Nous sommes au milieu du XIXe siècle. Parc à l’anglaise faisant se succéder rocailles, cascades et grottes, un château néo-Renaissance pour habiter et un castel à part pour travailler, l’auteur ne lésine sur aucun moyen pour concrétiser son souhait d’un endroit rien qu’à lui. Dépassé le premier enchantement suscité par l’ensemble sculpté des façades, l’on prend le temps de les saisir dans leur détail. L’on se rend compte alors que c’est le moi profond de l’homme de lettres qui se décline en ces ouvrages. Les visages surmontant les fenêtres du rez-de-chaussée sont ceux des écrivains qu’il affectionnait. Animaux fantastiques, personnages mi-anges, mi-végétaux et instruments de musique se succèdent, ailleurs, pour rappeler son univers. À l’intérieur, Dumas a fait aménager un authentique salon mauresque par des artisans ramenés de l’un de ses voyages en Orient. Le roi Hassan II du Maroc a tenu à financer personnellement la restauration de cette pièce en 1985. Un lieu de vie culturel dynamique Au-delà des visites du lieu, le château de Monte-Cristo s’explore également à travers ses offres éminemment culturelles. Les animations et les expositions se succèdent ici sans jamais se ressembler. Deux événements marquent notamment la vie du site dans l’année : la journée thématique de mai ou juin et le salon du livre jeunesse, en octobre. Pour ce dernier, le parc se fait le théâtre de présentation et de vente de livres ainsi que de prestations de comédiens sur le thème de la saison, en partenariat avec des librairies et des bibliothèques. Le programme annuel au Monte-Cristo, c’est également une exposition d’art contemporain présentée sur trois mois. Des expositions temporaires viennent éventuellement ponctuer ces programmations récurrentes. L’adresse participe activement aux journées des patrimoines et organise des animations à destination des plus jeunes durant les vacances de Pâques ainsi qu’en juillet. Des visites pour tous les goûts Outre les formules libres, guidées ou de groupe, les explorations du château de Monte-Cristo peuvent prendre des allures autrement plus animées avec les visites théâtralisées et musicales. Proposée aux visiteurs individuels, cette déclinaison propose une découverte des lieux à travers la scénarisation de la vie au château du temps de son héros éponyme par des comédiens. Les familles, elles, peuvent toujours s’attendre à la compagnie surprise d’un personnage créé par l’auteur qui retrace, en toute intimité, les circonstances de sa rencontre avec celui-ci. Les romantiques invétérés, eux, se délecteront d’une exploration du parc de trois hectares lors d’une visite exclusive entre ses arcades, ses grottes et ses allées. ...
Depuis que les deux amis de longue date Florence Domec et Michael Piednoel ont fait du P’tit Vélo le théâtre de leur amitié, la cuisine et l’art y forment une parfaite alliance. Ils ont repris le restaurant en octobre et se sont investis pour faire de leur bistrot « un endroit agréable, idéal pour passer des moments avec ses proches autour d’un verre, sortir en amoureux ou simplement profiter de la bonne cuisine qu’on y propose », dixit Anne Debauve, chargée de communication. Un défi dignement réussi. Un endroit bourré de charme Les convives sont reçus dans un cadre fraichement rénové. Les tables, les chaises et le bar en bois sombre lustré sont une invitation au confort et à la volupté. Aux murs, une fresque colorée conjuguée au petit vélo accroché dans la salle donne une note artistique à l’ensemble de la pièce. Un décor original, fruit de l’inspiration de Florence, de Michael et de leurs amis. Une cuisine française revisitée Côté cuisine, le chef Rachid Ibouh séduit les sens avec une réinvention des plats classiques français. Ici, le pur, le frais et l’authentique qui font toute la beauté de l’art culinaire sont à l’honneur. La terrine du chef, le hareng pommes à l’huile ou encore le foie gras fait maison en entrée concrétisent ce concept. On pourra ensuite gouter à l’un des plats emblématiques de la maison : le foie de veau. Le soir, les convives auront droit au poisson du marché, un pur délice mettant en avant le talent et le savoir-faire du chef. En dessert, les papilles seront éblouies par la crème brulée maison, la mousse chocolat au piment d’espelette ou l’incontournable café gourmand du P’tit Vélo. Une large palette de vins Michael et Florence, passionnés comme ils sont, misent aussi sur les vins pour assurer la perfection de ce périple enchanteur. Les clients du P’tit Vélo ont le privilège de choisir parmi la belle collection de la cave. Des vins de soleil comme le Corbières, le Minervois ou le Rousillon, une palette de Beaujolais et Côtes-du-Rhône mais aussi des vins bio et des références issues de petits producteurs ou de cultures raisonnées. ...
Qu’il s’agisse de dirigeants d’entreprises, managers ou même de particuliers, Altamira Développement propose de développer les aptitudes au leadership à travers une approche inédite et une méthode s’inspirant d’un art martial traditionnel japonais : l’aïkido. Tout est question d’équilibre(s) Chaque individu a la possibilité de développer son leadership. Pour cela, se sentir confiant et bien dans sa peau est primordial. « On est d’autant plus performant quand on est heureux et serein », souligne Éric Hubler, le fondateur. Pour accéder à ce bien-être intérieur, l’individu doit avant tout trouver son équilibre. « L’équilibre s’exprime à travers une façon d’être, d’agir, de communiquer qui fait appel à des ressorts profonds », explique notre interlocuteur. Notion intrinsèquement dynamique, l’équilibre est une balance permanente entre des déséquilibres sans cesse exprimés et rattrapés. En un mot, l’équilibre n’existe que par rapport aux déséquilibres sur lesquels la personne va pouvoir s’appuyer pour progresser à travers l’expérience et développer une certaine forme d’équilibre qui lui est propre. Aïkido Management® : une méthode de formation surprenante et accessible à tous Pour Éric Hubler, le leadership est d’abord « une question d’attitude, de comportement et d’éthique ». Et quel moyen plus adapté que la référence aux arts martiaux, véritables écoles de la vie aux enseignements universels, pour forger un comportement exemplaire. En effet, la pratique des arts martiaux permet de renforcer des aptitudes telles que la maîtrise et le dépassement de soi, la concentration, le respect, l’adaptation permanente au changement… Toutes ces qualités sont essentielles dans la vie quotidienne et doivent s’appliquer également dans le monde de l’entreprise. Dans une session Aïkido Management (qui n’est pas un cours d’aïkido !), la forme accompagne le fond, pas question de rester cloîtré dans un bureau en costume-cravate car tout se déroule sur un tatami. En kimono, les « apprentis » apprennent à se recentrer et à libérer leurs énergies tout en restant acteurs de la formation. À travers l’Aïkido Management, Éric Hubler montre la voie mais il appartient à chacun d’incarner le changement. « Cela suppose un important travail sur soi et plus encore pour le manager du fait de sa mission… c’est une vraie démarche transformationnelle qui s’inscrit dans la durée », rajoute Éric. Les livres et les conférences, une ouverture au grand public Si les offres d’Altamira Développement s’adressent principalement aux entreprises, une ouverture vers le grand public se développe parallèlement par le biais des livres comme « L’Equilibriste » devenu un bestseller international, mais également des conférences. D’une durée d’une heure et demie en moyenne, elles ont pour objectif de réveiller et de révéler le potentiel de chaque individu. « Pendant mes conférences, je fais réfléchir les gens, mais je les fais également bouger, respirer, se tenir différemment car le changement passe aussi par le corps », termine Éric Hubler. ...
En place depuis 2015, la nouvelle équipe de La Java entend en faire un lieu à la fois engagé et accessible à tous les passionnés de musique alternative. La programmation 2018 est déjà des plus bouillonnantes. Tout sur La Java Établie dans le sous-sol du Palais du Commerce, La Java est un club emblématique du quartier de Belleville qui a ouvert pour la première fois ses portes en 1923. « C’est le premier dancing de Paris où se sont produits des artistes historiques tels qu’Édith Piaf, Fréhel ou Django Reinhardt », nous explique Louis Dubresson, chargé de communication. À ses débuts, la Java était connue pour être un dancing de jazz puis, dans les années 80, elle a accueilli de nombreux concerts de rock’n’roll et soirées afro. Au cours des années 90, la salle a servi durant un certain temps de temple à la salsa. Aujourd’hui, elle présente une programmation éclectique avec une large part consacrée à la musique électronique. « La programmation de La Java a toujours été soit avant-gardiste, soit ancrée dans l’évolution culturelle », confie notre interlocuteur. Un établissement engagé Tout en faisant venir des artistes de renom, La Java veut mettre l’accent sur le développement de la scène locale et émergente. Ce positionnement a pour objectif de propulser de jeunes artistes auprès d’un large public. Parmi ses engagements, l’établissement s’efforce également de faciliter l’accès à la culture au plus grand nombre. Pour cela, il a revu sa politique tarifaire. « Nous pratiquons des tarifs qui sont nettement en dessous de ce que proposent les autres clubs parisiens », nous indique-t-on. Par ailleurs, le fait qu’il se situe dans un quartier historique est essentiel. Fréquenté depuis ses débuts par la population locale, l’endroit est devenu un vecteur de rencontre et d’expression entre différents publics. En effet, La Java c’est également des espaces accessibles à tous où chacun peut s’exprimer librement sans craindre d’être jugé pour ce qu’il est. C’est le cas lors des soirée Queer accueillies par la maison et autour desquelles se retrouve la communauté LGBTQI (lesbien, gay, bi, trans, queer, intersexe). Manifestant son appui à un public parfois marginalisé, ce club mythique n'oublie pas également ses engagements pour la santé et la sécurité des publics. « Nous mettons en place des stands de prévention pour informer les participants sur les conduites à risque, il est primordial que les gens apprennent à faire la fête de manière responsable », précise Louis Dubresson. ...
Une histoire de vins Créée en 1822 par Louis NICOLAS, la petite boutique de vins du 53 rue Sainte-Anne à Paris ne connaît son véritable essor que quelques années plus tard, quand le gérant a l’idée, saugrenue pour l’époque, de commencer à livrer ses vins au domicile des particuliers. NICOLAS avait déjà surpris le monde parisien quand il s’était lancé dans la commercialisation de vins en bouteilles, alors que ses contemporains n’achetaient et ne vendaient que leurs produits en barriques ou tonneaux. L’idée fonctionne et la Maison NICOLAS multiplie les ouvertures d’établissements, jusqu’à compter 42 enseignes partout en France au tournant du XXe siècle et près de 140, une vingtaine d’années plus tard. Aujourd’hui, le numéro un et plus ancien distributeur de vins en France est présent sur tout le territoire avec près de 500 boutiques (dont 10 dans les départements d’outre-mer) et à l’étranger grâce à un réseau d’établissements et de franchises. Le groupe confirme son ambition internationale en ouvrant régulièrement des succursales en Belgique et en Suisse et des franchises au Maroc, au Royaume-Uni et même à Beyrouth au Liban. Plusieurs innovations et idées nouvelles ont accompagné le développement de l’enseigne et continuent aujourd’hui à contribuer à la notoriété populaire de la marque. Car non content d’avoir démocratisé un nouveau format de bouteille auprès des particuliers, la Maison NICOLAS a utilisé a son bénéfice l’essor d’un nouveau média de communication, la publicité, en créant, en 1922 un personnage attachant et directement reconnaissable : Nectar, le livreur moustachu aux bras chargés de bouteilles. Plus tard, la Maison NICOLAS sera encore précurseur en proposant le beaujolais nouveau à grande échelle, puis en mettant les vins de pays de France à l’honneur de sa carte et à des prix abordables. Une qualité constante sur chaque bouteille Une équipe d’une demi-douzaine de personnes est dédiée à la qualité des vins dont trois d’œnologues qui œuvrent constamment en coulisse pour sélectionner chaque année les meilleurs nectars des différents terroirs français et des autres régions du monde où NICOLAS choisit ses vins. Tous les vins sont goûtés, même quand il s’agit d’un changement de millésime, par cette petite équipe (8591 dégustations d'agréage effectuées en 2017). Le chiffre est variable selon la période de l’année, mais ce sont près de 1 200 références qui sont disponibles sur Internet et dans les différentes boutiques de l’enseigne à chaque instant, et dont il faut s’assurer de la qualité constante sur chaque bouteille. Ce contrôle de qualité permet de retirer immédiatement de la vente une référence si elle n'affiche pas toutes les qualités qu'elle avait préenté lorsqu'elle a été agréée. De même, chaque bouteille qui revient en magasin, si par exemple le client estime que ses qualités gustatives sont altérées, est directement envoyée au laboratoire du Groupe pour vérification. Ce qui permet des échanges constructifs avec chaque fournisseur que la Maison préfère nommer " partenaire ". Cette qualité dans la sélection des bouteilles se retrouve tout naturellement dans les cuvées spécifiques de la Maison. Même s’il reste essentiellement un revendeur de vin, NICOLAS propose quelques « cuvées Nicolas » spécialement assemblées pour l’enseigne par sa propre équipe d'oenologues. Les gammes couvrent les trois couleurs classiques avec des propositions à des prix abordables. On retrouve dans la gamme Cub. Collection NICOLAS quelques merveilles dont un AOC côtes-du-rhône, composé principalement de syrah, qui s’avère surprenant. Proposé dans un format cubique à l’emballage moderne, il trouve facilement sa place sur un coin de table. Les Vinissimes, le nouveau salon haut de gamme Le premier caviste de France organise aussi chaque année un salon haut de gamme pour présenter quelques-unes de ses plus pres...
Si le domaine des Champs Fleuris est surtout connu pour son vin appellation Saumur-Champigny, il ne l’est pas moins pour ses excursions découvertes. Deuxième passion du propriétaire des lieux, Denis Retiveau nous emmène à la découverte de la Loire dans des toues cabanées. Ces embarcations d’abord destinées à la pêche au saumon au filet-barrage ont été revisitées pour entraîner le visiteur vers une rêverie calme et reposante. Depuis 6 ans, il navigue ainsi sur la Loire et possède aujourd’hui trois bateaux. Un de 12m, un de 14m et un de 18m. Une petite flottille entièrement réaménagée pour transporter une douzaine de passagers et deux membres d’équipage. Disponible uniquement à la réservation, ces petites balades d’une à trois heures se font au rythme de l’eau pour partir à la découverte de la région. Des embarcations et une histoire Ses trois bateaux, Denis les a acquis au fil des années. On retrouve d’abord l’Etoile qui Rit en hommage à Saint-Exupéry et inspiré de sa belle-mère. Il y aussi Topette un lundi racheté à un grand industriel et Rebelle, un bateau d’occasion de 5 ans racheté à un retraité. Comme le raconte Denis, « les bateaux n’ont pas été rebaptisés, cela pourrait porter malheur dit-on ». C’est ainsi que l’on part à la découverte de la région vers Saint-Germain-sur-Vienne pour visiter le village et le château de Montsoreau. Le château qui a servi de décor à la série TV La Dame de Montsoreau dans les années 80. Ou encore vers la Collégiale de Candes-Saint-Martin et ses châteaux. Et pour l’histoire, à la mort de l’évêque local, on aurait volé son corps. En plein mois de novembre, les arbres et arbustes se seraient alors mis à fleurir et c’est ainsi que l’endroit fut baptisé l’Eté de Saint-Martin. Et des anecdotes comme celles-là, le maître des lieux en a encore plein en réserve. En fonction de la durée de l’excursion, on peut remonter la Vienne et même jusqu’à Chouzé-sur-Loire ou Chinon. Pour ces dernières, il faudra compter jusqu’à 3h de navigation. Outre les excursions sur la Loire, il est également possible de passer la nuit à quai sur ces toue cabanées qui ont été spécialement aménagées pour. ...
Lancée en Mai 2017, Closer to the world compte déjà de nombreux adeptes. Si le site e-commerce ciblait essentiellement les Parisiens de 25 à 35 ans, les consommateurs viennent désormais des quatre coins du pays. Des gens qui rêvent de voyager et de découvrir d’autres richesses gastronomiques. Closer to the world exauce leur souhait en leur proposant des coffrets gourmands. Une expérience insolite pour apprécier la cuisine du monde « Closer to the world », derrière cette dénomination traduite littéralement par « plus proche du monde » se cache un concept innovant. Muriel Mechica, la gérante du site e-commerce dévoile la genèse de sa start-up : « L’idée est née de ma frustration de la disponibilité limitée en France des nombreux produits gastronomiques que j'avais découverts lors de mes nombreux séjours à l'étranger. Mon objectif est de faire vivre une parenthèse d’évasion pour découvrir une culture à travers des produits gourmets et de qualité, mais aussi d’apprendre un peu plus sur les traditions culinaires dans le monde». Pour garantir l’authenticité des produits qu’elle commercialise, l’entreprise s’approvisionne directement auprès des artisans locaux et des entreprises familiales. Cette démarche permet d’assurer la traçabilité et la qualité des produits. Une explosion de saveur et la découverte ludique d’une culture Les amateurs de la gastronomie peuvent s’offrir un voyage culinaire au Portugal grâce au coffret mis en avant par Closer to the world. Ce panier est composé, entre autres, de la sauce piri-piri, une épice qui haussera le goût du poulet à la portugaise. Les sardines à l’huile d’olive ou le thon en filet Cantara sont, de leur côté, des mets riches en goût pour le plaisir des papilles. Du thé vert des Açores ou encore des biscuits traditionnels viennent compléter le coffret. Afin de choisir les meilleurs produits, Closer to the world travaille en collaboration avec des chefs cuisiniers œuvrant un peu partout dans le monde. Une démarche garantissant la haute qualité et l’authenticité des produits. Outre les produits en question, « chaque coffret contient un guide de culture qui participe à l'immersion dans la culture du pays ainsi qu'une présentation du chef, ses recettes de cuisine exclusives pour utiliser certains produits du coffret et également l'histoire derrière chaque produit gourmet proposé », souligne le nº 1 de la plate-forme en ligne. Pour l’achat de ces produits, les consommateurs ont le choix entre différentes formules d’abonnement. Muriel précise que les prix sont dégressifs si la durée de l’abonnement s’étend sur plusieurs mois. ...
La créativité n’est pas une faculté propre aux artistes. C’est aussi un état d’esprit, une façon d’envisager les choses. Elle est à la portée de chaque individu mais encore faut-il savoir de quelle manière la développer de façon efficiente. La créativité, un levier du coaching Directrice artistique et conseil en communication pendant une vingtaine d'années, Émilie CLEACH a pris conscience à quel point les entreprises gagneraient à développer leur agilité créative, leur capacité à sortir des mécanismes automatiques pour s'ouvrir à des solutions à la fois pertinentes et différenciantes. Devenue coach et facilitatrice en créativité, elle accompagne désormais des personnes et des équipes dans leur démarche de changement et de transformation. Pour atteindre ses objectifs, elle s’appuie notamment sur des outils et des processus structurés de créativité. « L’important est de permettre aux personnes d’activer leur énergie créative pour aller plus loin dans leur recherche de solution et dans leur démarche d’innovation », précise-t-elle. Membre de Créa-France (Association française pour le développement de la créativité) et de l’EMCC (Association européenne de coaching et de mentorat), Émilie CLEACH adopte une approche professionnelle dans toutes ses prestations. Du coaching individuel Qu’il s’agisse de coaching personnel ou professionnel, l’accompagnement proposé conduit les personnes au-delà de leur frontière habituelle et leur donne l’opportunité d’ouvrir le champ des possibles. Pour cela, la démarche adoptée suit des processus structurés incluant au passage diverses étapes et s'appuie sur des techniques de créativité comme le « photolangage », une méthode qui se sert de supports visuels comme des embrayeurs de processus associatif dans le but de décadrer la vision, de déclencher la prise de conscience et favoriser l'émergence de solutions. Une fois le projet ou la problématique clarifié, la deuxième étape va déterminer ce qui empêche la personne d’atteindre ses objectifs ou de résoudre son problème. Et la meilleure façon d’y parvenir est d’abord de l’amener à se redécouvrir, à mieux se connaître en identifiant ses besoins et ses désirs. Après cela, le rôle du coach consiste à réactiver des ressources jusque-là insoupçonnées et qui seront mobilisées pour atteindre l’objectif fixé et établir un plan d'action. « Le but est vraiment d’offrir à chacun la possibilité de développer ses compétences créatives, de gagner en agilité et pour trouver ses propres solutions, adaptées aux situations bien sûr mais aussi à soi-même » , nous explique Émilie. Les supports créatifs sont très aidants pour cela. Du coaching d’équipe Avoir une équipe soudée et savoir communiquer en interne sont des conditions sine qua non pour assurer la réussite d'un projet. « Pour recréer du lien et restaurer les interactions entre les individus, je les entraîne d’abord à mieux se connaître individuellement et ensuite à se reconnaître, c’est-à-dire à se donner de la reconnaissance à l’intérieur de l’équipe », souligne Émilie. Si la cohésion d’équipe peut se construire de différentes manières, notre coach a opté pour un processus en 3 étapes, basé sur le Creativ Problem Solving — une technique créative de résolution de problème — : Clarification de la situation, Recherche élargie des solutions, Plan d'action. A chaque étape, des outils spécifiques sont utilisés pour faciliter l'intelligence créative et collective. Les modalités d'animation sont elles aussi variées et dynamiques, allant des techniques de Coaching classique au World Café en passant par le Business Model Canvas... Chaque intervention fait l'objet d'une phase de conception personnalisée en amont. Émilie CLEACH a également développé un...
Tel un bijou dans son écrin de verdure, La Table du Château de Laléard est une belle découverte pour qui sait apprécier le caractère particulier des vieilles bâtisses. Représentant une des meilleures tables à des kilomètres à la ronde, le domaine est un véritable lieu d’exception. Une étendue de tapis vert en pleine campagne, ponctuée de magnifiques espaces arborés, fait le charme de cet établissement où la cuisine familiale est toujours à l’honneur. Privilégiant les produits de saison et de marché, l’enseigne s’attache à collaborer avec les producteurs locaux qui sont ses principaux fournisseurs. Découvrez les talents du chef Thierry Favier à travers une cuisine authentique, concoctée avec passion à partir de produits locaux et de région. Délectez-vous d’escargots, d’huitres et de foie gras pour le plaisir des papilles. Le restaurant ne dispose pas de carte proprement dite pour la simple et bonne raison que tout tourne autour des suggestions du chef Thierry Favier. En fonction des produits qu’il rapporte, un menu à l’ardoise est dressé. Le menu plafond se compose d’une entrée-plat-fromage-dessert avec, notamment, 2 choix de plats et 2 choix de desserts qui varient tous les 3 mois, c’est-à-dire à chaque saison. Des découvertes culinaires à ne pas rater En famille ou en amoureux, ne vous privez pas du plaisir de savourer son duo de foie gras maison au chutney ou encore sa gelée « Pineau des Charentes » suivie de son incontournable moelleux au chocolat de Guarana qui est une véritable découverte en matière de dessert. Une belle gamme de vins accompagne le tout, dont principalement le Baudry Vieilli, un excellent vin de région. Mais cela n’empêche pas qu’on y trouve aussi du cognac ou du Pineau des Charentes par exemple… L’enseigne a bâti sa renommée sur la relation de confiance qu’elle a entretenue avec les petits producteurs qui lui proposent d’excellents vins biodynamiques ou sans soufre également. Soigneusement sélectionnés par Thierry Favier en personne, les vins sont issus de maisons et de producteurs avec qui le château a l’habitude de travailler. ...
Dispersées sur les communes de la Cadière d’Azur, du Castellet et de Saint-Cyr-sur-Mer, les vignes de la maison Castell puisent leur complexité gourmande, leur richesse aromatique et leur équilibre dans un terroir préservé au sol argilo-calcaire. Les cuvées Castell-Reynoard, élégantes et généreuses, sont ainsi les ambassadrices d’un savoir-faire ancestral savamment allié au respect de la terre. Un terroir d’exception respecté Depuis 1892, la famille Castell s’attache à produire du vin de qualité respectueux des traditions et de la nature. Le cinsault, la grenache, la clairette, le mourvèdre ou le carignan sont des cépages qui y sont travaillés avec passion dans le but d’élaborer des cuvées d’exception fidèles à leur terre. Julien Castell tient aujourd’hui à préserver l’âme de cette maison familiale en s’assurant que « l’exploitation s’harmonise avec le développement de l’écosystème à savoir la flore et la faune naturelles », explique-t-il. Travail du sol à cheval, accompagnement du vignoble selon les influences cosmiques et traitement des vignes suivant des pratiques raisonnées et naturelles sont autant de gages d’aboutissement de cette noble quête de la qualité au naturel. D’ailleurs, pour Julien, « il est important de restituer et de respecter la vigne comme un être vivant ». Ce vignoble idéalement exposé et bénéficiant d’une influence marine produit ainsi des cuvées d’exception dans lesquelles le terroir s’exprime naturellement. Parmi les ambassadeurs de cette gamme fleurant bon l’authenticité, appréciez le vin haut de gamme Clos Castell à l’occasion de vos instants raffinés. Doté d’un nez sublime, long en bouche et ponctué d’une riche palette d’arômes relevés et garrigues, ce vin rouge intime de 600 bouteilles, véritable fleuron du terroir, surprendra vos sens. Accompagnez également vos apéritifs d’une Cœur de Vigne, un vin rosé équilibré, ample et doté de légères touches saumonées et fruitées. ...
Le Centre national d’enseignement e-learning, ou plus communément appelé CNEEL, est un établissement d’enseignement à distance qui s’adresse particulièrement aux élèves français expatriés ou adoptant l’instruction en famille (IEF). Le CNEEL a recours au système du Web présentiel, qui permet, entre autres, de créer une véritable interaction entre l’élève et l’enseignant. Ainsi, chaque partie est en mesure de poser des questions et d’obtenir des réponses directement, comme dans une vraie salle de classe. De la maternelle à la terminale, les élèves du CNEEL sont suivis de près par des enseignants qualifiés et sélectionnés selon les critères de l’Éducation nationale. Une solution unique en son genre « Nous proposons exactement les mêmes conditions qu’un établissement classique, bien que nous œuvrions à distance », indique l’équipe pédagogique du CNEEL. Les cours sont entièrement interactifs et prennent l’ambiance d’une véritable école traditionnelle. Jusqu’à présent, le CNEEL est le seul établissement scolaire à proposer cette méthode d’e-learning. De plus, l’établissement cultive une certaine proximité à travers un contact quotidien avec les élèves et les parents. Selon les enseignants, « le CNEEL est vraiment l’école qui s’invite à la maison ». Une structure fiable Le CNEEL agit sous la tutelle du ministère de l’Éducation nationale. Comme tout établissement, il reçoit régulièrement la visite d’inspecteurs du travail qui contrôlent les enseignants, les cours ainsi que les supports pédagogiques. Un programme bien organisé Comme beaucoup d’établissements scolaires, le CNEEL s’appuie sur le logiciel Pronote. Pensé pour faciliter l’organisation de l’enseignement, ce dispositif permet notamment aux élèves de consulter leur emploi du temps et de consulter tous les cours enregistrés. Ainsi, même en cas d’absence, l’élève peut facilement obtenir le contenu du cours qu’il a raté. Pronote met à disposition des élèves les devoirs à faire, les leçons à réviser et, éventuellement, les contrôles à travailler. Très important : le nombre de places chez CNEEL est limité en fonction de chaque année scolaire. ...
Une offre des formations renouvelée « L’université de Franche-Comté fait de l’innovation un élément constitutif suivant une méthodologie très exigeante, nous proposons de nouvelles formations caractérisées par un changement de philosophie et par une évolution des contenus », nous explique Frédéric Muyard, vice-président de la formation et de la vie étudiante. Les cursus de formations sont fondés sur la professionnalisation, comprenant une sensibilisation à l’entrepreneuriat, des ateliers de projets professionnels et un renforcement des langues étrangères, avec des certifications à la clé pour les étudiants en master. L’université de Franche-Comté propose, par exemple, huit Cursus master ingénierie (CMI) - dont la géologie appliquée ou encore la géographie, l'information et la communication - pilotés par le réseau Figure, une initiative d’excellence en formation innovante. « Ces cursus, s’appuyant sur un continuum licence-master, visent à former les ingénieurs sur le modèle européen intégrant une forte interaction avec la recherche », selon Frédéric Muyard. Enfin, dans ce renouveau, l’université garantit la qualité des formations grâce à l’élaboration de son propre référentiel de formation suivant les standards européens et l’accompagnement d’un dispositif d’appui à la qualité pour tous les cursus. Un gage d’employabilité à long terme grâce à la Formation tout au long de la vie Il s’agit ici, selon Laurence Ricq, vice-présidente chargée de la formation tout au long de la vie et des relations avec le monde socio-économique, « de répondre aux besoins des salariés ou des demandeurs d’emploi qui souhaitent se reconvertir professionnellement, reprendre des études et acquérir de nouvelles compétences». Plusieurs dispositifs ont été mis en place par l’université de Franche-Comté. Ils incluent la reprise d’études à distance, en présentiel, en alternance ou les trois combinés, des formations courtes sur mesure effectuées en entreprises ou la modularisation et la capitalisation, c’est-à-dire l’obtention d’un diplôme par blocs de compétences. Accessibles et s’adaptant aux mutations constantes du monde professionnel, ces formations sont un gage d’employabilité sur le long terme. Une ouverture internationale réussie Priorité de l’Université de Franche-Comté, l’internationalisation se traduit par l’accueil de plus de 6 000 étudiants et stagiaires étrangers chaque année, dont plus de la moitié au sein du Centre de linguistique appliquée (CLA), le plus grand Centre universitaire de français langue étrangère en France et où l’on enseigne également neufautres langues. Cet atout majeur confère à l’Université de Franche-Comté un rôle de premier plan dans la promotion et la diffusion de la Francophonie dans le monde. « Des parcours sur mesure combinant formation linguistique et culturelle à des cours disciplinaires, ainsi que des cours enseignés en anglais, sont aussi proposés aux étudiants internationaux afin de faciliter leur intégration et leur réussite. Les étudiants de l’UFC ont, quant à eux, la possibilité d’effectuer des mobilités au sein de quelques 300 universités partenaires dans le monde », explique Anne-Emmanuelle Grossi, vice-présidente chargée des relations internationales et de la francophonie. Tout étudiant engagé dans un programme d’échange bénéficie d’un accompagnement personnalisé. La qualité de l’accueil se traduit également par l’engagement de l’UFC auprès du public migrant au travers d’un important dispositif de formation linguistique permettant la poursuite d’études en France. Enfin, la spécificité géographique transfrontalière de l’UFC favorise une mention particulière des coopérations de l’UFC avec l’Allemagne et la Suisse. L’université de Franche-Comté fait ainsi de ses relations avec la Suisse un axe de développement à l’international, et une fen...
Fort de ses 20 années d’expérience dans le milieu du vin, François Gaillard se lance dans la vente à domicile en proposant une sélection de diverses cuvées de différents domaines et appellations. Son objectif ? Partager un bon moment autour d’une présentation et d’une dégustation auprès de connaisseurs ou de simples amateurs de vin. Un riche parcours Avant de lancer Au Gaillard Des Vins , François Gaillard a bénéficié d’un riche parcours. Fils d’agriculteur et petit-fils de vigneron bourguignons, il grandit dans ces deux milieux que sont l’agriculture et la viticulture. Après ses études de commerce, il rejoint les États-Unis et travaille dans des grands magasins de vins. Il saisit ensuite l’opportunité d’évoluer dans la restauration et réussit à décrocher le poste de sommelier. Une offre personnalisée « Un service de caviste direct à domicile. » C’est en ces termes que François Gaillard définit volontiers son nouveau concept. À l’occasion de réunions façon « tupperware », il suggère et fait déguster une série de vins rigoureusement choisis selon un critère spécifique : l’excellence du rapport qualité-prix. « Ce sont des vins que je sélectionne à un moment clé. Et donc je me rends dans différents domaines à différents moments de l’année », explique François Gaillard. Au Gaillard Des Vins se démarque aussi par sa flexibilité. « Je m’adapte en fonction des régions et des demandes de mes clients. » De plus, grâce à son expérience acquise dans la restauration, François Gaillard est à même d’assurer différentes thématiques. « Avec le client, nous pouvons réaliser une dégustation à l’aveugle, faire un petit jeu ou proposer une thématique entre plusieurs blancs du même cépage mais provenant de différentes régions/ pays par exemple », nous indique-t-il. ...
Cette maison de maitre au style néoclassique attire irrémédiablement l’attention. Ancienne résidence de nombreuses familles dont l’histoire est liée à celle de Strasbourg, la villa Kayserguet prend un coup de jeune lorsqu’elle commence à abriter le Lieu d’Europe et se pare d’un espace vitré donnant sur le parc. Lieu d’Europe (Strasbourg) : un centre de partages et de rencontres sur l'importance des institutions européennes... À l’intérieur, la visite débute par l’exposition permanente qui « veut montrer le lien très fort entre la ville de Strasbourg, ville aux origines européennes anciennes, et la construction européenne », explique Anne Billaut, directrice. Dans la partie historique, elle déroule la construction chronologique des institutions européennes en démarrant avec le Conseil de l’Europe qui voit le jour en 1949. « Fait intéressant : ce sont les Anglais qui ont suggéré que Strasbourg soit la ville siège de cette organisation intergouvernementale européenne », souligne Anne Billaut. Cette première pierre angulaire a permis ensuite à Strasbourg d’accueillir les autres institutions. À l’étage, les visiteurs ont accès à un centre de ressources et d’informations sur les institutions européennes. « Documents et brochures en plusieurs langues sont en libre service. Une documentaliste est également présente et guide les visiteurs dans leurs recherches », indique la directrice de l’établissement. Lieu de débats, d’échanges, de partages et de rencontres, le Lieu d’Europe est également doté, au premier étage, d’une salle de réunion et de projection baptisée « Daniel Riot », en hommage à ce journaliste français spécialiste de l’Union européenne. ...