Jouissant d’un emplacement privilégié en plein cœur de l’Alsace, entre Strasbourg et Colmar, en face de la route des vins à 15 km, l’Hôtel Crystal – Restaurant Le B allie tradition et modernité. Dans un décor contemporain à l’ambiance feutrée, agencée autour d’un mobilier en bois à l’ancienne, cette adresse est à recommander aux amoureux de la bonne table, qui se sentiront particulièrement bien accueillis. Un chef passionné aux commandes Thierry Baumert débute dans le milieu entre 1979 et 1981, auprès d’un maitre d’apprentissage qui était connu dans la région. « Ensuite, j’ai travaillé dans un grand hôtel disposant d’un restaurant gastronomique. Je suis parti six ans en Suisse et deux ans en Allemagne », nous raconte-t-il. Il y a une vingtaine d’années, une opportunité s’est présentée à lui ainsi qu’à son épouse. « Comme on habitait près de l’hôtel et que ma femme a fait l’école hôtelière, nous avons décidé de nous lancer dans l’aventure en reprenant l’établissement », poursuit-il. Aujourd’hui, c’est avec ferveur qu’il gère l’Hôtel Crystal – Restaurant Le B, reconnu pour sa cuisine de tradition, préparée à base des trouvailles dénichées sur les marchés locaux. Un restaurant à la table gourmande Devant ses fourneaux, le chef Thierry Baumert se plait à inventer de belles associations de couleurs et de saveurs pour en faire de bons petits plats, au grand plaisir des habitués et des clients de passage. À travers des menus inventifs préparés à base de produits frais, l’établissement attire d’emblée la confiance et la sympathie. En guise d’entrée, Thierry Baumert invite sa clientèle à déguster son foie gras poêlé qui fait partie des best-sellers de la maison. La touche de douceur est procurée par la compotée de fruits rouges disposée en poche sur une assiette ronde et blanche. Le foie gras est posé par-dessus. De jeunes carottes cuites de différentes manières achèvent la présentation soignée. Cette suggestion gourmande se déguste idéalement avec un vin d’Alsace, à l’instar d’un Pinot Blanc Vieilles Vignes ou d’un Muscat Cuvée Prestige. Autre plat signature, l’os à moelle, dont les saveurs sont sublimées par un jambon ibérique cebo et de la cébette. Sur l’assiette, l’os à moelle longiligne est coupé en deux, puis disposé près de la purée de cèpes. L’ajout du cèpe frais juste mariné, du jambon ibérique en chiffonnade et de la cébette apporte une touche visuellement attrayante. En plat principal, le chef suggère le magret de canard de la ferme rôti, accompagné d’un condiment à l’ananas, de foie de canard poêlé et d’une purée de patate douce. Le magret de canard est coupé en deux dans le sens de la longueur ainsi que le foie de canard. La présentation s’effectue en strates. Une purée de patate douce est déposée à la poche sur l’assiette. La décoration est parachevée par un condiment à l’ananas ainsi qu’une feuille d’ananas. Une petite texture croquante est procurée par une chips d’ananas disposée par-dessus. Le dessert, quant à lui, offre des étincelles en bouche. Àl’honneur : un kougelhopf glacé au marc d'Alsace. Cette pâtisserie d’origine alsacienne est servie avec des raisins blancs, rouges et secs marinés dans le marc d’Alsace et s’accompagne d’une chantilly au mascarpone. Elle se savoure en toute volupté avec un bon verre de Gewurztraminer Vieilles Vignes de la cave de Ribeauvillé. ...
Environnement béni des Dieux ! C’est avec ce « poids sur la conscience », c’est à dire la preservation d’un cadre naturel exceptionnel, que s’est construit le projet de ce complexe hôtelier de luxe. Bâti en granit, la roche insulaire, L’Hôtel & Spa des Pêcheurs est le principal centre d’activité de l’ïle avec de nombreuses propositions compatibles avec cet esprit (tennis, golf, plongée, yoga, plage, excursion en bateau, location de voiturette électrique) et est très apprécié aussi pour son centre de soin thermal. Pour y séjourner, l’endroit saura séduire par l’élégance des suites et chambres avec vue panoramique sur la mer, à la decoration subtile, sobre et raffinée et bercées par le ronronnement délicat du flux et du reflux. On ne pourra qu’étre séduit aussi par son jardin aux milles et une fleurs. À chaque instant, les odeurs de myrte , de jasmin , de genièvre, de chèvrefeuilles, et de tant d’autres espéces, viennent se méler aux senteurs marines. Ces effluves remontent jusqu’au bar, situé sur l’une des plages de l’Hôtel. où la qualité de l’accueil et une pétillante carte sont la garantie d’apéros, de pauses roboratives ou de soirées conviales, festives et réussies. French touch et classe italienne au menu Attention les papilles ! Le restaurant de l’Hôtel, si romantique par son cadre, donne rendez-vous à un instant culinaire prêt à être gravé dans les mémoires. De mains de maître, le chef réussit merveilleusement le pari d’ une cuisine où la rigueur et la technicité des savoir-faire français s’associent à la nature d’une gastronomie italienne, plus simpliste dans son exécution, mais mettant davantage en avant la pureté du produit. La carte est variée et adaptée à garantir le respect et la fraicheur dus à la qualité des matières premières utilisées. Ici, le garde manger est bien évidemment frais et de saison, poissons et crustacés issus de la pêche locale ; les fournisseurs du continent (agriculteurs, éleveurs, fromagers, vignerons…) ont été sélectionnés parce qu’ils sont les dignes représentant de leur metier et qu’ils proposent l’excellence dans leur domaine. Les plats et les mets s’enchainent avec légèreté. Un dressage minutieux permet d’associer plaisirs olfactifs et visuels. En entrée, on retrouve crèmes, tartes et feuilletages élaborés, des tartares et poélées de poissons et de crustacés. Les Pasta sont exécutés dans le respect total de la gastronomie italienne, toujours inventive, harmonie subtile de formes et de sauces. L’assaisonnement et la cuisson des viandes et poissons sont parfaitement maîtrisés et souvent associés à des parfums de truffe ou d’épices du maquis. Les desserts ne dénotent en rien avec le reste et achève le repas par un florilège de douceurs sucrées. À 15 minutes seulement en bateau du port de Piantarella, situé sur la commune de Bonifacio, voici un adresse incontournable pour le fin gourmet… ...
Cette école de Management est intégrée, depuis ses débuts, à l’Université de Caen. « Sa vocation est de former des étudiants et des salariés aux métiers de la gestion et du management tout en développant des activités de recherche en lien avec ces domaines d’expertise », nous explique Patrice Georget, Directeur de l’IAE Caen. Avec le développement en 2011 d’une filière complète par e-learning, cette école se veut être un des pionniers de la formation à distance basée sur une pédagogie interactive qui place l’étudiant au centre de son apprentissage. Excellence et innovation se retrouvent ainsi dans une offre de formation en présentiel ou à distance adaptée à chaque apprenant et surfant sur la vague du progrès technologique. Une formation mixte : identité de l’IAE Avec une identité basée sur une expertise académique et une connaissance accrue du domaine du Management, cette école universitaire s’est forgée une solide réputation dans le domaine de la formation avec ses 40 cursus diplômants proposés en formation initiale ou continue, en présentiel ou à distance. La formation initiale, suivie par plus de 1 300 étudiants chaque année, est dédiée aux jeunes désirant faire carrière dans le management, le commerce ou dans d’autres domaines du secteur tertiaire. Sanctionnée par une Licence ou un Master, chaque formation initiale associe maîtrise académique du management et connaissance pratique du milieu professionnel. La formation continue, quant à elle, est « principalement pensée pour les salariés en entreprises désireux d’obtenir une plus forte mobilité professionnelle, tant dans l’Hexagone qu’à l’étranger, d’avoir une promotion de carrière ou de changer d’orientation professionnelle en reprenant leurs études », poursuit son directeur. Grâce à un large éventail de cursus, l’école propose ainsi des formations continues en management d’entreprises, en finances et en management du social et de la santé. Allant des ressources humaines au management d’établissements de santé en passant par l’ingénierie financière, chaque programme, avec un Master à la clé, est adapté à tous ceux qui souhaitent élargir leur horizon professionnel et saisir de nouvelles opportunités. La gérontologie, les métiers d’agence bancaires, le contrôle de gestion ou le marketing digital, n’auront plus aucun secret pour les apprenants, quelles que soient leurs origines professionnelles. Véritables tremplins, tous les parcours, en formation initiale ou continue, sont conçus et prodigués par des enseignants universitaires, 50 au total, et par près de 350 enseignants issus du monde professionnel « gages de leur qualité et de leur aspect professionnalisant », souligne Patrice Georget. L’innovation toujours au service de la formation Les lettres de recommandation sont aujourd’hui un véritable passeport pour l’emploi. L’IAE Caen l’a bien compris et a ainsi développé un système similaire pouvant être inséré dans son CV : les badges. Ces derniers sont produits en collaboration avec le CEMU (Centre d’enseignement multimédia de l’université de Caen). Leur objectif, toujours selon Patrice Georget, est d’« évaluer le savoir-être de l’étudiant et de révéler qui l’on est et trouver une forme de reconnaissance qui va au-delà du diplôme ». En effet, certains étudiants travaillent de nuit et étudient le jour, dépassent ainsi leurs limites et franchissent des obstacles apparemment infranchissables pour arriver au bout de leurs études. Ces efforts, trop souvent ignorés, sont désormais affichés au grand jour grâce au badge « Battant ». Symbole de persévérance et de détermination, ce badge sera le témoin des difficultés que l’étudiant a su surmonter. À celui qui s’investit dans la représentation de son école à l’occasion, par exemple, de concours d’entreprises, sera décerné le badge « Ambassadeur ». Le badge « Communiquant &raq...
A seulement 20 minutes de Bergerac se trouve le Château des Vigiers qui abrite un hôtel de charme et un restaurant de prestige dans lequel Didier Casaguana exerce sa passion pour la cuisine avec art et dextérité. Un mariage du luxe et de la saveur s’invite dans les assiettes soigneusement préparées par ce chef étoilé. Un décor à l’ancienne avec une touche modernisée « Les Fresques », tel est le nom du restaurant qui fait la fierté du Château des Vigiers. Il doit cette appellation aux murs du château décorés de fresques, un chef d’œuvre signé Liz king, une artiste anglaise. Ces visuels décoratifs forment une sorte de trompe-l’œil qui replonge les convives dans une époque lointaine. Dans l’ensemble, le restaurant offre une décoration assez épurée avec le beige et le marron, un mélange de sobriété et de raffinement. Dehors, les clients apprécient la vue imprenable sur le terrain de golf comportant 27 trous aménagés au milieu des bois de chêne, des pruniers et des vergers. Plus loin, il est possible d’apercevoir le lac. Outre le plaisir des yeux, les papilles sont aussi comblées avec la cuisine gastronomique élaborée au restaurant. Une cuisine de saison raffinée Aux Fresques, la cuisine de saison est à l’honneur. Tout en offrant des plats finement préparés, le restaurant veut « conserver son côté social en privilégiant le commerce équitable et en se fournissant auprès des petits paysans qui cultivent des produits bios » comme le raconte Niels Koetsier, le directeur d’exploitation du domaine. Avec ces produits de qualité quasiment introuvables dans le commerce, le chef et son équipe concoctent des plats qui émoustillent les papilles. Comme entrée en matière, la Pomme de ris de veau braisée et foie gras grillé, rhubarbe compotée, jus à la fleur de thym satisfait les fins palais. Vient ensuite le Dos de Turbot de chez « Jo » poêlé, condiments de printemps aux agrumes et premières herbes côté poisson ou le Pigeon entier de chez « Monsieur Linant » en cocotte, raviolis d’échalote et artichaut Macau, jus au café et noix côté viande. Pour terminer en beauté cette pause gastronomique, le dessert intitulé Mariage de saveurs entre la mangue, la passion et la coriandre parle de lui-même. Il est important de spécifier que le Château des vigiers abrite un second espace de restauration appelé Le Chai dans lequel officie également Didier Casaguana. Cette brasserie dont le style rappelle les anciens chais de vinification avec ses vieilles barriques et ses poutres apparentes est réservée aux adeptes du plein air car elle se trouve sur une terrasse surplombant le parcours de golf. Un chef passionné Son amour du terroir inspire le Chef étoilé Didier Casaguana dans ses préparations culinaires. Il ramène de sa région natale, la Gascogne, son affinité pour les produits locaux en particulier les fruits et les légumes avec lesquels il prépare d’excellents plats qui réveillent les sens. Les Fresques ouvrent ses portes tout l’été. Didier et son équipe vous attendent avec sa carte variée et ses trois menus : menu du midi à 39 €, menu du soir à 49 € et Esprit du chef à 105 €. Pour apprécier l’inventivité du maestro en cuisine, n’hésitez pas à découvrir ce fameux menu Esprit du chef dont le nom en dit déjà long sur ce qui vous attend. Celui-ci est élaboré à partir de produits prestigieux comme le foie gras d’une sélection rare, le homard, le caviar, l’huître, la langoustine, le veau... Seuls les ingrédients sont cités. C’est d’ailleurs toute la beauté de ce concept. Faites confiance aux talents du chef et appréciez l’expérience. ...
Technique médicale inventée par le Dr Michel Pistor en 1952, la mésothérapie consiste à injecter des microdoses de médicaments dans les couches superficielles de la peau au plus près des zones à traiter. Les injections se font à l’aide d’aiguilles très fines à usage unique de 4 à 13 mm de longueur. Cette technique est souvent utilisée dans le traitement de la douleur comme la tendinite, l’entorse, ou encore le claquage. Mais « les champs d’application de la mésothérapie restent très vastes et cela dépend du domaine sur lequel on travaille », souligne le Dr Jean-Marc Piumi, président en exercice de la SFM. En effet, la mésothérapie peut être appliquée en rhumatologie (notamment l'arthrose), dermatologie, infectiologie (ORL, stimulation immunitaire...), sevrage tabagique, médecine esthétique… Les produits injectés se composent selon le cas d’anti-inflammatoires, de vasodilatateurs, vitamines, silicium, magnésium, calcitonine, antispasmodiques, etc. « Ils varient dans leur proportion et dans leur composition par rapport à ce que l’on attend », explique notre interlocuteur. En outre, il est important de souligner qu’un mélange ne doit jamais dépasser plus de trois médicaments. « Injecter peu, rarement et au bon endroit » Cette devise du Dr Pistor en dit long sur les avantages procurés par la mésothérapie. « On peut dire que c’est une médecine douce, elle n’a quasiment aucun effet secondaire puisque les doses des médicaments sont faibles et la diffusion est lente et locale », développe le président de la SFM. Par ailleurs, la pratique de cette technique médicale préserve efficacement les organes tels que l’estomac ou le foie dans la mesure où la diffusion locale permet de limiter la circulation des substances actives dans l’organisme. Qualifiée par son fondateur comme la plus douce des médecines allopathiques, la mésothérapie peut soigner à la fois les enfants, les adultes ou même les personnes âgées polymédicamentées. La SFM, ses actions et missions La SFM a été créée en 1964 par le Dr Michel Pistor. Si au début elle ne comptait que 16 membres historiques, elle en accueille aujourd’hui plus de 700. Pour atteindre ses objectifs, la SFM s’est assigné deux grandes missions. Il s’agit d’abord de permettre à tout individu se rendant sur le site de la SFM de s’informer sur tout ce qui concerne la mésothérapie. Une fois renseignée, la personne pourra également trouver des mésothérapeutes au niveau de sa région qui seront capables de répondre à ses attentes. En effet, 95 % des médecins présents sur le site sont titulaires du diplôme Interuniversitaire de mésothérapie. Pour les médecins adhérents et non adhérents, « le site leur permet de glaner des informations sur l’enseignement, les bibliographies, les vidéos, les congrès ou les réunions de formations qui ont lieu dans différentes régions », renchérit le Dr Jean-Marc Piumi. Sur ce point, il faut savoir que chaque année, au mois de novembre, un congrès national se tient à Paris au sein de l’hôpital la Pitié-Salpêtrière. « Pendant deux jours, nous présentons les communications, nous déterminons un thème de table ronde et nous avons aussi la présentation des meilleurs mémoires de l’année. » Pour 2018, le congrès national aura lieu le 17 et 18 novembre. Quant aux congrès internationaux, ils se déroulent tous les trois ans et le prochain devrait se tenir à Tunis en mars 2019. ...
Le Labex CeLyA est une structure de recherche de l’université de Lyon qui a notamment pour objectif de réaliser une synergie régionale autour des sciences acoustiques. Les nombreuses collaborations universitaires ou industrielles qui sont développées assurent une application directe des résultats de la recherche dans des secteurs clés, à l’instar des transports (aériens ou terrestres) et de la santé (imagerie et thérapie par ultrasons). Avec près d’une centaine de collaborateurs permanents, professeurs, chercheurs et ingénieurs, et un nombre sensiblement équivalent de doctorants répartis dans neuf équipes de recherche, le Labex CeLyA focalise ses activités autour de trois grandes directions : l’étude des mécanismes physiques générateurs de bruit et de la propagation des ondes acoustiques et la caractérisation des impacts du bruit sur l’homme. CeLyA développe également une formation de haut niveau aux métiers de l’acoustique, tremplin pour une carrière réussie dans ce domaine. Un programme scientifique pluridisciplinaire L’acoustique est un domaine pluridisciplinaire qu’il convient d’étudier suivant plusieurs angles associés aux différentes disciplines impliquées. Neurosciences, traitement du signal et de l’image, science des matériaux ou mécanique des solides et des fluides sont autant de disciplines qui contribuent à former une vision globale de l’acoustique. La marque distinctive de CeLyA est de regrouper des spécialistes de chacun de ces domaines, ce qui permet de mener des actions de recherche coordonnées en vue de comprendre les phénomènes acoustiques dans leur globalité. À titre d’exemple des recherches entreprises, on peut citer : • L’analyse des sources de nuisances sonores et vibratoires que constituent les structures de véhicules de transport ou les écoulements (du ventilateur à l’avion supersonique) et le développement de moyens de réduction appropriés. • L’étude de la propagation des ondes sonores dans l’atmosphère depuis les sources de bruit jusqu’aux riverains. • L’optimisation des techniques d’imagerie ultrasonore des organes en trois dimensions et en temps réel. • La compréhension des effets de la perception des sons par l’homme ou l’animal, en associant ingénierie et neurosciences. Pour faciliter le transfert des connaissances et des compétences issues de la recherche, « nous avons développé un partenariat étroit avec les industriels les plus à la pointe tant au niveau régional, via les PME de haute technologie de la Région AURA, qu’au niveau national avec de grands groupes tels que Safran ou PSA, par exemple. Ce réseau industriel est complété par des alliances à l’international qui se développent notamment avec le Canada, les États-Unis et la Chine », explique Daniel Juvé, le directeur du Labex. Le master acoustique : un pôle dédié à la formation d’excellence Afin de concrétiser les actions entreprises pour développer la recherche en acoustique et l’ancrer régionalement, le Labex CeLyA a construit un master international d’acoustique, accrédité depuis la rentrée 2016. « La première année, assez généraliste, est une introduction à l’acoustique et aux vibrations via plusieurs disciplines de la physique, de la mécanique et du traitement des signaux tandis que la deuxième année permet aux étudiants de construire un parcours plus spécialisé suivant leurs domaines d’intérêt et de se préparer ainsi aux métiers de l’ingénieur ou du chercheur », reprend Daniel Juvé. Ce cursus personnalisé donne aux étudiants, encadrés par les chercheurs du Labex, l’opportunité d’approfondir par exemple la vibroacoustique, l’aéroacoustique, ou encore les relations entre acoustique et neurosciences, et cela dans un cadre universitaire ou lors d’applications en milieu industriel. Ce master qui s’appuie sur des associations avec des universités internationales de renom et un contact régulier avec le monde industriel est ainsi un gage d’employabilité pour les étudiants en ingénie...
Charismatique, le vignoble Schlumberger est aussi étendu qu’inspirant. Une partie des vignes - la totalité courant sur 850 kilomètres - est organisée en terrasses, soutenues elles-mêmes par des murs romains en pierres sur 50 kilomètres. Deux maçons s’attèlent à les ériger et à les préserver, dans le respect des traditions. Une cave centenaire, une récolte manuelle ou encore, deux chevaux de labour, révèlent les valeurs du domaine, portée par la famille Schlumberger depuis sept générations. Fidèles à leur terre, ces vignerons dans l’âme sont aussi 100% récoltants. Tout est fait maison, dans l’amour du vin et de la nature, loin des productions impulsives. 70 hectares sont classés Grands Crus : Kitterlé, Kessler, Saering, Spiegel. Le vignoble peut bien s’enorgueillir. Malgré un rendement assez faible et une production délibérément limitée, le domaine Schlumberger est considéré comme le plus grand producteur de crus d’Alsace. Ses vins sont certifiés Haute Valeur Environnementale (niveau 3, le maximum) et respectent consciencieusement la charte d’une culture raisonnée. Ici, on aime la biodiversité dans son ensemble et au détail, les raisins bien sur, en passant par les fleurs, les insectes etc. Une terre chérie depuis 1810 Thomas et Séverine Schlumberger sont à l’écoute de la nature. Ils ont repris le flambeau dans cet esprit, comme une philosophie intrasèque à leur héritage. La connaissance du terroir, de ses souvenirs à ses respirations, est sublimée dans chaque gamme du vignoble. Elles se racontent aussi, devant un verre de vin à la rondeur délicieuse et au caractère inspiré par les pierres ancestrales alentours. Fort d’une équipe investie, le domaine aspire à l’authenticité et à l’excellence sans compromis. Un bon vin est un plaisir que l’on prend le temps de choisir, dans une cave connaisseuse, un marché convivial, ou qu’on déguste dans un restaurant raffiné. Exportées dans le monde entier, médaillées et classées dans tous les guides, les bouteilles Schlumberger savent se rendre accessibles tout en préservant l’instant unique de leur dégustation. Des vins de collections aux grands crus Les Princes Abbés interpellent par leur nom, invitant à savourer de nouveaux récits. Durant 1000 ans, les abbés entretenaient le terroir de Guebwiller. En leur honneur, cette gamme classique se décline en deux couleurs. Des blancs à la fraîcheur limpide et à la robe citronnée y cotoient des rouge rubis soyeux ou joyeusement printanniers. Les grands crus du vignoble adoptent humeurs salines ou minérales, selon leurs sols d'origine. Ils diffusent leurs arômes, tour à tour moelleux, bucoliques, tendus ou tendres. Les cuvées de collection sont l’expression de grains nobles et de grands crus, qu’il a parfois fallu attendre longtemps, avant de vendanger. Baptisées par les prénoms des membres historiques de la famille Schlumberger, ils sont aussi des vins rares, à l'éclat patient. Le site Internet du domaine est à son image : épuré et généreux à la fois. Véritable poème pour les amateurs de très bons vins, il vous dira aussi comment associer les finesses entre elles. Cette fois, c’est le repas qui accompagnera le vin, pas l’inverse. ...
Saint-Louis est une Manufacture dans l’air du temps, savant mélange de tradition et d’innovation, qui n’a jamais cessé de puiser son inspiration dans les courants artistiques contemporains pour construire et renouveler son identité. Cette année, Saint-Louis présente la collection de bar et d’accessoires de cocktail Manhattan, ancrée dans l’esprit de la mixologie actuel, à mi-chemin entre inspiration américaine et convivialité à la française. Manhattan est tout d’abord le nom d’un célèbre cocktail issu d’une ville cosmopolite, verticale et vibrante comme le cristal. Y sont apparus les speakeasies, bars clandestins, nés sous la prohibition, de l’envie de continuer à faire la fête. Cette époque a eu une forte influence sur la mixologie. De nos jours, l’art du cocktail est dans l’air du temps, il s’invite chez soi pour créer et composer en toute liberté. C’est la proposition de Saint-Louis avec la collection Manhattan, interprétée par les trois fondateurs de l’Experimental Group, Romée de Goriainoff, Olivier Bon et Pierre-Charles Cros, créateurs de lieux où mixologie rime avec convivialité. Avec pas loin de treize produits, ainsi que deux coffrets, la collection a été pensée pour des usages spécifiques : les essentiels de la mixologie allant de la préparation à la dégustation. Pour amateurs ou experts, chaque pièce a été soufflée bouche et taillée main par des biseaux verticaux et horizontaux, révélant ainsi tout l’éclat du cristal à travers un décor architectural et résolument moderne. Imaginés pour les contenances internationalement standardisées des cocktails, chacun des verres et accessoires de la collection révèle une volonté de repousser les attentes en termes de qualité et de technicité. Le choix des verres n’a donc pas été laissé au hasard et se révèle d’une importance primordiale. D’abord esthétique : un cocktail doit être bu par les yeux en premier et donner envie. Technique ensuite : une dégustation réussie est notamment liée à la forme du verre. Rock et Double Rock pour les alcools « on the rocks », Shot pour les liqueurs, Highball pour les cocktails avec glaçons ou encore Coupe pour une préférence au mélange… Les accessoires comme le jigger, le bitter, les coupelles, prolongent également le plaisir en proposant une mise en scène spécifique qui magnifie les saveurs, tels des exhausteurs de goût. Les coffrets quant à eux ancrent immédiatement l’univers du cocktail au sein des intérieurs. Paré pour réaliser n’importe quel mélange avec le coffret Mixology composé d’un Shaker, d’un jigger en métal argenté et d’une cuillère Puiforcat. Aller encore plus loin avec le coffret Home Speakeasy où le Shaker se pare de cristal flanelle auquel s’ajoute quatre coupes. ...
Dans un paysage champêtre typique de la Marne, en contrefort du bassin de l’Île-de-France, mais aussi sur les coteaux du Sézannais, se dresse, sur un escalier de coteaux de craies d’une étendue de 25 hectares, le vignoble du champagne Launois Père & Fils. Cette oasis de grand cru est l’un des plus vastes domaines de vignerons de la côte des Blancs. Portrait du terroir et de l’exploitation En pénétrant dans le terroir, les allées de vignes offrent de beaux cépages champenois typiques de la région. Au-dessus du sol crayeux émergent les belles baies de pinot noir, de pinot Meunier et de chardonnay, prenant tout en douceur couleurs et arômes, en attendant la saison des vendanges. Dans ce cadre paisible et enchanteur, la machine du pressoir tourne, et le temps aussi. En effet, tout s’habille de neuf, comme le chai rénové récemment dans le but d’améliorer les cuvées. La thermorégulation des champagnes est ainsi optimisée grâce aux cuves en inox, et la finesse aromatique est d’autant plus relevée par la conservation en fûts de chêne. Une balade surprenante et gustative au domaine Launois Père & Fils Ouvert au public depuis 1978, le domaine propose durant l’année des journées oenotouristiques afin de tout savoir sur le terroir, l’élaboration des cuvées et les propriétaires, mais aussi sur les saveurs culinaires préparées pour l’occasion. Le voyage sensoriel commence dès les allées de vignes, et la promenade est idéale durant les vendanges. Un moment d’initiation concrète à la cueillette des raisins. Pour combler les envies gourmandes, place aux dégustations de champagnes, mais aussi aux repas gastronomiques à base de champagne concoctés par le chef dans le petit château. C’est l’endroit parfait pour déguster les incontournables comme la cuvée Grande réserve, caractéristique du terroir, ou encore le millésime et la cuvée Prestige, élaborés avec des raisins issus de vieilles vignes. Le musée, un incontournable du domaine, est un arrêt dans le temps avec ses photographies d’époque et ses expositions de machines traditionnelles. ...
Créé en 1986, l’Institut supérieur des arts appliqués (LISAA) est une école d’enseignement supérieur privé, reconnue par le ministère de la Culture et de la Communication. LISAA forme notamment des créateurs dans le domaine du design graphique, de l’architecture d’intérieur et du design, de la mode, de l’animation et des jeux vidéos. Elle propose des formations préparatoires en arts appliqués mais également des formations au niveau Bachelor et Mastère. Afin d’assurer un encadrement de qualité, toutes ces formations sont prodiguées par des professionnels en activité : artistes, architectes d’intérieur, designers… Une pédagogie adaptée aux besoins du marché de l'emploi LISAA privilégie un enseignement par projet, en partenariat avec des organisations publiques et privées. Ce travail en équipe permet aux étudiants de développer leurs compétences professionnelles et d'être opérationnels rapidement une fois sur le marché de l'emploi. Les écoles travaillent avec Carrefour, L'Oréal, Adagio, Orange, Made.com, Canal+, Sosh, Uniqlo, Givaudan, le festival d'animation de l'AFCA, WWF, Science & vie, le Théâtre du Rond-Point, le théâtre National de Strasbourg, le Petit Palais, le festival We Love Green... Pour compléter cette approche professionnelle, certaines formations sont proposées en alternance. Un réseau de plus de 5000 diplômés À travers l'excellence de ses formations et de ses résultats, l'école, qui accueille 3500 étudiants, fait aujourd'hui partie des écoles qui comptent sur la scène de l'enseignement des arts appliqués en France. Un classement dévoilé par le journal Le Monde (1er décembre 2017) la place parmi les 7 écoles d'arts appliqués privées les plus prestigieuses. LISAA est aussi la seule école à figurer dans le top 10 de tous les classements arts appliqués de l'Étudiant en 2018. Rien de surprenant lorsqu'on sait que de nombreux diplômés affichent de très beaux parcours professionnels comme René Richard, directeur artistique de Guy Laroche ou Xiang Fang Ye, co-fondateur de la marque Wasted mais bien d'autres encore : chef de produit maille chez Balenciaga, Architecture Project Manager chez Chaumet, webdesigner chez Publicis, Matte Painter chez Rodeo FX, 3D Generalist chez BUF company... ou encore des créateurs d'entreprise. Des implantations en France et à l'international LISAA est présente dans 6 grandes villes françaises : Paris, Rennes, Strasbourg, Nantes, Bordeaux et Toulouse, qui a rejoint le réseau en septembre 2018. L'école est aussi implantée à l'international puisqu'elle dispose, depuis 2010 d'un campus en Inde (Bangalore) depuis 2016, un campus en Chine, dans la ville de Suzhou. ...
Avant-gardiste et perfectionniste, Carbon est l'aboutissement de 4 années d'essais et d'expérimentations. Carbon représente l’union parfaite entre la tradition et la modernité Fondée par Alexandre Mea et dirigée par Jean-Baptiste Prevost, la Maison de Champagne Carbon, pionnière, se différencie et incarne une marque de défis. CARBON est l’assemblage audacieux de savoir-faire, un équilibre entre le respect de notre histoire familiale et une ingénierie innovante. ...
Les parents de Françoise, Paul et Marie-Élisabeth Joyet ont fait l’acquisition du Domaine des Girasols en 1974. Aujourd’hui, les deuxième et troisième génération entrent en scène pour veiller à la bonne marche de l’entreprise familiale. « De bon terroir, bon vin » S’étendant sur une superficie de 15 ha, le vignoble du Domaine des Girasols s’enracine sur un sol argileux riche en calcaire. La combinaison de ces deux matières est un véritable atout pour optimiser la qualité des vignes cultivées en côteaux. « L’argile maintient l’humidité dans le sol. C’est ce qui permet aux cépages, notamment les grenaches, de puiser dans le sol l’humidité nécessaire pour leur maturité », éclaire Françoise Larum, la gérante du domaine. Présente en grande quantité, cette matière permet de cultiver divers cépages de qualité. « Nous avons de très bons vins grâce au terroir que l’on a », clame fièrement la vigneronne. Une terre que la famille souhaite préserver en envisageant une conversion vers l’agriculture bio. Des cuvées hautes en saveur Le vignoble présente toute une variété de cépages. Les principaux cépages sont le grenache, la syrah et le mourvèdre. La maison vinifie précieusement ces raisins afin de produire des cuvées finement épicées et aromatiques. « Quand les vignes deviennent vieilles, elles nous donnent forcément le meilleur », déclare Françoise Larum. Les autres cépages comme le carignan et le cinsault entrent en plus petite quantité dans certaines cuvées. Le rosé, en AOC Côtes-du-Rhône Villages est la cuvée phare de la maison, élaboré à partir de grenache et cinsault, selon une vinification traditionnelle par saignée et pressurage. La maison propose également des vins doux naturels, vinifiés selon les méthodes traditionnelles. ...
La jeune Maison Jeeper se veut la marque de champagne qui monte avec une forte identité et un positionnement apte à séduire une clientèle branchée ? Pas si jeune que ça puisque la marque a été lancéeen 1949. Nous l’avons racheté avec mon mari en 2009 et avons décidé très rapidement de lui créer un flacon dédié pour se différencier des autres acteurs champenois. Le temps de fabriquer un moule, de réaliser les tirages et de faire le vieillissement, les premières cuvées de notre gamme premium ne sont sorties que l’année dernière. Nous avons écoulé 170 000 bouteilles avec cette nouvelle gamme de champagne de hautes lignées aux notes élégantes et persistantes dont l’excellent rapport qualité-prix explique sa popularité grandissante. Comment est élaboré le champagne Jeeper ? Il s’agit d’un champagne d’assemblage, une sélection du meilleur de nos approvisionnements. Nous disposons en effet d’un vignoble maison de 35 hectares environ et des contrats d’approvisionnement qui représentent 180 hectares. L’ensemble de ces raisins nous permettent de faire une sélection très rigoureuse pour produire nos quatre cuvées actuellement commercialisées, sachant que deux autres (le Premier Cruet le Grand Cru) patientent encore dans les chais. On parle aussi d’un goût Jeeper, pouvez-vous nous en dire plus ? Notre communication vante en effet ce goût Jeeper qui s’appuie sur le chardonnay vieillit en futs qui apporte finesse et élégance aux champagnes, les conseils de notre œnologue maison depuis toujours et une utilisation très parcimonieuse du soufre. La forme de la bouteille participe également à la qualité de votre champagne ? Tout à fait puisque notre bouteille possède un col peu haut, limitant le volume d’oxygène dans l’espace de tête à environ le tiers d’une bouteille classique. De quoi garder intact toutes les qualités gustatives, d’assemblage et de vinification tout en se démarquant de la bouteille de champagne traditionnelle avec un flacon maison reconnaissable immédiatement. ...
Des expositions hautes en couleur Son choix se porte pour les artistes strictement non-figuratifs, exception faite pour les photographes. Le choix des artistes et de leurs oeuvres est collégial, et intègre l'avis de Denise-Louise Samson, propriétaire des lieux et elle-même plasticienne, ainsi que de ses deux collaborateurs, Sylvie Langlois, et Jean-Pierre Giraud. Depuis deux ans, chaque exposition porte le titre de ONE (l'unique!) suivi d'un numéro correspondant à leur ordre d'exposition. Ainsi la derniere exposition de l'année 2017 porte le titre de ONE-VI, la sixième exposition depuis juin 2016. Elle était dédiée au photographe toulousain, Jacques MATALY, dont la renommée dépasse les frontières de l'Hexagone. Denise-Louise Samson-Dissès l'accompagnait de ses sculptures et installations. Elle évoquait le Trait ou la ligne d'horizon, véritable obsession pour tous les deux. " .... Derrière l'horizon il y a l'infini, il y a tout, tout ce que nous ne savons pas, tout ce qui nous échappe et nous inquiète... derrière, juste derrière , s'ouvrent les contrées de nos fantasmes, de nos peurs et de nos croyances... Toujours il y aura l'horizon infranchissable, car l'infini est une idée inhumaine, impossible à imaginer qui heurte l'enfant et contrarie l'adulte..." Alain MONNIER. La saison artistique 2018 commencera cette année le 9 Juin et se terminera le 15 septembre et présentera trois expositions individuelles. Un événement à ne pas manquer PHAART (Parcours Haut-Adour Art Rencontre et Territoire) qui se déroulera les 20-21-22 Avril 2018. Les Galeries et les ateliers de Bagneres et du Haut-Adour ouvriront à nouveau, comme chaque année, leurs portes (de 10h à 19h pour les 21 et 22) et accueilleront plus de 60 artistes qui viendront de tout l'Hexagone. ...
Imaginons un peu ces milliers de fûts de chêne qui reposent patiemment ; certains, jeunes, viennent accueillir les premières distillations de l’année ; d’autres ont plus de 130 ans. Imaginons un peu cette palette d’arômes avec plus de 300 eaux-de-vie différentes prêtes à exploser en bouche. Imaginons alors toute l’élégance du métier de maître de chais, qui, à l’instar du peintre ou du parfumeur, nécessite de posséder un solfège acquis par l’expérience, le travail aiguisé des sens et la maîtrise de soi afin de produire un assemblage harmonieux de textures et de saveurs. Des cognacs raffinés… Et c’est ce savoir qui s’est forgé au fil du temps, bonifié de génération en génération, que nous propose de partager la distillerie Tessendier au travers de trois gammes de cognac (Park , Campagnère, Grand Breuil) où chacune a sa propre spécificité, sa propre histoire… Autant de variétés qui ont vocation à satisfaire tous les goûts. Une maison toujours en quête d’innovation… Pour répondre aux besoins d’une clientèle internationale aux approches gustatives et culturelles souvent très différentes, l’entreprise a toujours su renouveler son offre. En témoigne la dernière bouteille de la gamme Park, où une finition de six mois en fûts de chêne de mizunara (chêne japonais très rare et très qualitatif) apporte une synergie entre les arômes floraux typiques des crus Borderies et le côté ambré des chivas japonais. En témoigne, aussi, depuis une dizaine d’années, la création d’une gamme de rhum où s’exprime tout l’art de l’assemblage de Jérôme et Lilian Tessendier, avec notamment l’arrivée de nouveaux produits dont le Rum Saison réserve. ...
Un vaste désert qui s’étend jusqu’à la mer, avec une population à la culture nomade très ancrée, la Mauritanie est loin de ressembler aux destinations touristiques classiques où l’on est habitué à «consommer» son séjour dans des hôtels étoilés. Cette destination invite à voyager autrement et implique de vivre pleinement son voyage. La Mauritanie ne manque pas d’attrait. Ici, le séjour peut être vécu, selon les envies, comme une simple découverte, une vraie aventure humaine ou un défi. Un voyagiste expert et engagé Si les férus de voyages sahariens ont dû oublier un certain temps cette destination pour des raisons de sécurité, la Mauritanie est de nouveau fréquentable et 2018 annonce son retour au-devant de la scène touristique. C’est ce qui a motivé Sylvain PHILIP, fondateur de l’agence Détours Mauritanie, à réactiver sa structure, née en 1994 d’une rencontre avec des natifs du pays désireux de faire connaitre la beauté de cette contrée singulière. Sylvain connait par cœur cette destination insolite, pour y avoir vécu pendant des années. Parfaitement conscient des atouts que peut offrir cette « terre des Hommes » comme se plait à la surnommer Antoine de Saint Exupéry, il veut offrir des voyages atypiques, ouvrant les portes d’un autre monde. L’équipe est composée de guides natifs de la région et sur certains voyages, d'un guide français impliqué au maximum pour assurer un séjour serein. Détours Mauritanie confectionne des voyages sur mesure. Que ce soit un road trip en groupe, un voyage contemplatif ou un voyage à thème, l’équipe relève le défi avec brio grâce à sa maitrise du terrain et sa force de proposition, forgée par des années d’expérience. Elle s’appuie également sur son réseau de partenaires fidèles. Adoptant une démarche engagée, Détours Mauritanie prône les valeurs éthiques du tourisme responsable. « Nous sommes attachés au respect des hommes et de l’environnement. Sans bruit, nous voulons laisser un impact positif sur la communauté locale », confie Sylvain. Une riche aventure humaine dans une destination à part Sylvain décrit la Mauritanie comme une terre de nomades. Le Sahara, s’étendant jusqu’à l’océan Atlantique, les voyageurs évoluent dans une succession de paysages. L’immensité invite à se laisser emporter par les horizons lointains. Ici, l’on réalise qu’avec pas grand-chose et dans la simplicité, le bonheur est possible. La Mauritanie s’apprécie notamment à travers des voyages itinérants. Randonnée pédestre acc o mpagnée de chameaux de bât, méharée avec chameaux sur selle ou bien voyage découverte en véhicule 4X4 sont autant de possibilités pour arpenter les grands espaces mauritaniens. Organisées en plusieurs étapes, elles réservent une riche aventure humaine dont l’initiation à la vie du désert, rencontres avec les nomades ou bivouac à la belle étoile. Pour se ressourcer, les randonnées sahariennes sont parfaites. Déconnecté du monde, le voyageur se retrouve avec lui-même à l’occasion d’un voyage introspectif. « Ici, l’on se débarrasse de tout superflu pour se confronter avec soi-même et se concentrer sur l’essentiel », explique Sylvain. Par ailleurs, les attractions ne manquent pas. La région de l'Adrar, le massif du Tagant, le Parc National du Banc d’Arguin sur la côte Atlantique, valent certainement le détour. Le pays d’Oulad Sassi invite les aventuriers. Autres incontournables, la ville historique de Chinguetti, la vieille cité caravanière de Wadâne, classées par l’Unesco, ou les fresques murales de Oualata. Les plus aguerris feront la Grande Traversée en randonnée entre Adrar et Tagant, sur les traces des nomades en pays des Ida'ou Ali. Les efforts sont vite récompensés par des haltes dans une oasis paradisiaque caché au fond d’un canyon. A défaut, un hébergement sous la khaïma ou bien dans des villages traditionnels où l’on peut s’immerger dans le ...
La famille royale danoise est propriétaire du château de Cayx depuis 1974. Son Altesse Royale le Prince Henrik de Danemark, époux de Sa Majesté la Reine, a passé une partie de son enfance dans la région de Cahors, plus précisément à Albas, où son père, le comte André de Monpezat, possédait un domaine viticole : le château Cayrou. Le famille des Monpezat est à l’origine native du Béarn. La reine et le prince ont restauré le château de Cayx, qui fut au XVIIIe siècle la propriété du poète et écrivain Lefranc de Pompignan. Le domaine existait déjà, selon toute probabilité, pendant la guerre de Cent Ans. Les vignes entourent le château comme c’était probablement déjà le cas du temps de Lefranc de Pompignan, dont le domaine produisait des vins envoyés un peu partout en France. Le vignoble du domaine Juché sur un flanc de colline, le château de Cayx domine le hameau éponyme, dans la vallée du Lot. Autour se déploient les terrasses de vignes, plantées à majorité de malbec. Les sols, composés d’éboulis de calcaire du causse et de graves, donnent des vins riches et aptes à la garde. Le domaine produit chaque année dans son chai environ 140 000 bouteilles de vin rouge, blanc et rosé. Des vins puissants, subtils et fruités, élevés, pour les plus élaborés, en futs de chêne pendant de longs mois. Vinification : la passion de la perfection Le château de Cayx s’engage dans une démarche exigeante en vue d’atteindre l’excellence. De la culture des vignes à la vinification, chaque étape du processus reçoit une attention particulière. Les sols sont traités écologiquement et l’enherbement préserve le caractère du terroir. Les vendanges en vert permettent d’atteindre des rendements maitrisés. Après l’élevage en fut, la mise en bouteille se fait au château afin de conserver les subtilités du terroir exprimées par le malbec. Gamme des vins : Cuvée Majesté, Château de Cayx, Marches de Cayx et La Cigaralle Les vins expriment toute la typicité du terroir. Un caractère subtil, que le prince Henrik de Danemark préfère traduire en quatrain : « Cahors de cœur / Des vins seigneurs / Du Lot la fleur / De Cayx l’honneur ». La Cuvée Majesté est une petite cuvée, pas plus de 5 000 bouteilles par an, issue des meilleures parcelles du domaine, avec un rendement de 35 hectolitres par hectare. Le raisin est vendangé, égrainé à la main, puis vieilli en fut de chêne pendant 24 mois. De la « petite dentelle », comme on appelle dans le pays, les vins dont on prend grand soin. La Cuvée Majesté est servie chaque année depuis 2008 à l’anniversaire de la reine de Danemark. La concentration du vin évolue vers la truffe. La Cuvée Majesté accompagne les viandes rouges, le fromage, le magret, et en particulier deux recettes danoises : le porc rôti à la purée de pommes et le gule erter, une variante locale du cassoulet. Fleuron de la propriété, le Château de Cayx porte un rouge à la noblesse et à l’élégance dignes d’une lignée royale. L’élevage en fut jusqu’à 18 mois confirme l’excellente maitrise de l’extraction du vin. D’une robe pourpre, le vin offre des aromes délicats de fruits rouges relevés par le caractère intense et charnu du malbec. En bouche se révèlent des notes épicées fondues dans un tanin soyeux. L’alliance de douceur et d’élégance en fait un des grands vins de Cahors. D’un bon potentiel de garde, le Château de Cayx se sert chambré à 19 °C. À présenter avec un magret de canard aux cerises ou un gigot d’agneau de Quercy. Les Marches de Cayx est vin composé à 90 % de malbec et 10 % de merlot. Les sols argilo-calcaires et une exposition ensoleillée donnent à ce vin un caractère frais et aimable. Sa robe est d’un rouge profond. Au nez s’expriment des aromes soutenus de fruits noirs avec des notes de prune et de m&...
Le Goeland Beach est idéalement implanté sur la plage de la Tonnara (qui signifie thon), en Corse du Sud où la mer, la montagne et une végétation luxuriante règnent en maîtres. Cet établissement a été construit dans les années 70, période durant laquelle la pêche au thon fait rage sur cette plage, entraînant ainsi les pêcheurs à y construire leurs cabanes. José Perez, chef de cuisine et propriétaire des lieux depuis 2007, transforme l’établissement et ouvre Goeland Beach. Le pari est osé, puisque le restaurant est situé dans ce surprenant endroit entouré de la réserve naturelle des Bouches de Bonifacio, loin de tout. Il met alors au point des stratégies efficaces. Il fait venir l’artiste guitariste Neville Lyon pour bercer la clientèle dans une ambiance jazzy et bossa-nova durant les repas du midi et du soir ; des groupes animent les lieux chaque lundi ; le mercredi, c’est soirée à thème avec un DJ qualifié. Un environnement paradisiaque Le restaurant se situe entre plage et port avec pour toile de fond, le ballet des bateaux venant s’amarrer à quai. José Perez souligne d’ailleurs que « l’établissement est entouré de mer à 80 %, ce qui confère une ambiance décontractée à l’endroit, même si le service reste très sérieux », sans oublier que l’extérieur est agrémenté d’une plage privée. Activités aquatiques, randonnées, balades en mer… Nombreuses sont les activités auxquelles vous pouvez vous adonner. Le soir venu, admirez le coucher du soleil tout en savourant votre dîner sur la terrasse du restaurant, un moment féerique à ne pas rater, surtout pour les couples en quête de romantisme et de tranquillité. Une carte surprenante José Perez se poste derrière les fourneaux pour concocter des plats issus de la cuisine du monde et d’une cuisine traditionnelle soignée. Il n’utilise que des produits locaux et des produits issus de la pêche locale, si bien que « la moitié de la carte affiche des plats à base de poissons, le homard et la langouste, entre autres, ne sont pas en reste non plus », nous indique-t-on. L’entrée la plus prisée est le duo de carpaccio et le tartare de poisson à la mangue, un mélange sucré-salé qui en séduit plus d’un. L’assiette signature du Goeland Beach, qui est un panaché de poissons grillés, fait rage avec ses saveurs et ses senteurs qui éveillent tous les sens. La crème brûlée est très appréciée en dessert. Pour relever les plats, des vins de toute la France, dont les fameux vins de Corse, sont à la carte. ...
1. La transition, c’est quoi ? La transition désigne le temps dédié à la préparation et à la planification du transfert d’un adolescent, porteur d’une maladie chronique depuis l’enfance, vers les services adultes. Il s’agit d’une période critique qu’appréhendent bien souvent à la fois le jeune patient mais aussi sa famille et son pédiatre. La réussite de ce passage nécessite, en amont, une préparation qui doit englober tout un processus d’autonomisation et de maturation du jeune patient. Ce processus doit être organisé et structuré afin, d’une part, d’éviter tout risque de rupture du suivi médical ou encore de non-observance du traitement. D’autre part, de réduire les risques éventuels de complications et de rechutes. Outre des collaborations entre les services pédiatriques et adultes, des outils ont été mis en place dans les centres des filières maladies rares pour permettre d’assurer le suivi des adolescents. 2. Les outils des filières de santé maladies rares Pour faire en sorte d’améliorer le processus de transition pour les adolescents atteints de pathologie rare, les filières de santé maladies rares disposent d’outils à la fois efficaces et pertinents. Parmi eux figure le Référentiel de Transition Filfoie. Il s’agit de recommandations générales visant à optimiser la prise en charge médicale globale des jeunes lorsqu’ils arrivent à l’âge adulte. Ce référentiel s’articule autour de 3 axes : • la préparation avant le transfert qui détaille les modalités de la consultation en pédiatrie et met l’accent sur l’importance de l’éducation thérapeutique. Celle-ci englobe la connaissance de la maladie, ses complications possibles et la nature de son traitement; • la période du transfert en service de médecine pour adultes. Cette section précise les modalités des premières consultations et rappelle la nécessaire collaboration entre les équipes pédiatriques et de médecine d’adultes. • l’accueil et le suivi en service de médecine pour adultes. On y traite des prérequis (comme la formation des médecins aux pathologies hépatiques pédiatriques) mais aussi de l’accueil et des modalités des consultations dédiées aux jeunes adultes. Un programme de transition/transfert basé sur des questionnaires a également été mis en place par la filière de santé des maladies rénales rares ORKiD. Structuré et adaptable à chaque spécificité, « À vos marques, prêts, partez » aide les jeunes à acquérir les compétences et les connaissances nécessaires pour qu’ils puissent gérer leurs soins avec sérénité, aussi bien dans les services pédiatriques qu’au sein des unités pour adultes. La Check-list transition FAI2R constitue un autre outil mis à la disposition des filières. Elle permet de définir comment et à quel moment doit être abordée la transition. Quant aux carnets de liaison MCGRE dont la création résulte d’une collaboration fructueuse avec ROFSED, ils ont pour but de faire le lien entre le service pédiatrique et le service adulte. Enfin, le dossier patient partagé (DPP) vient compléter la boîte à outils opérationnelle des filières. Sécurisé, confidentiel et gratuit, Compilio qu’ont respectivement développé et financé l’association R4P en région Rhône-Alpes et l’ARS, permet ainsi de faciliter la coordination et le suivi des soins dans le cadre d’un handicap et/ou d’une maladie rare en centralisant et en sauvegardant toutes les informations et documents relatifs au patient. Ces données pourront ensuite être partagées avec les professionnels qu’y aura autorisés le patient. 3. Les espaces dédiés à la transition Il existe aujourd’hui des lieux réservés aux adolescents atteints de maladie rare. Créée en 2016, la Suite Necker a ainsi vocation à accompagner les adolescents et les jeunes adultes suivis à Necker pour des maladies rares ou chroniques. Dans cet espace, ils trouveront toutes les informations et...
A l’extérieur du village de Saint Paul de Fenouillet, à 37 km de Perpignan, se dresse le château de Peyralade, demeure du XVIIIème siècle où Véronique et Xavier Maury reçoivent leur clientèle en table et en chambre d’hôtes. Situé à 45 minutes de la mer et à une heure de la montagne, ce site est dédié à la culture œnologique et gastronomique. Géographiquement, le château de Preyralade s’inscrit pleinement dans le territoire viticole du Roussillon et de sa production où vins rouges et blancs secs disputent désormais la vedette aux célèbres et ancestraux Vins Doux Naturels (VDN) de Maury, Rivesaltes et Banyuls. Mais sa situation également proche de celle du vignoble de Limoux lui permet de bénéficier des célèbres Crémant et Blanquette, effervescents éponymes. L’occasion en un périmètre restreint, de présenter tous les types de vins au cours de ses ateliers oenologiques. Des ateliers œnologiques complets et variés Au château de Peyralade, Xavier & Véronique animent tout au long de l’année un large choix d’ateliers éclectiques (12 au total) qui traitent des vins classiques et spéciaux, de façons ludique et interactive. L’occasion de raconter l’histoire de cette boisson depuis les origines de l’humanité et son lien aux Hommes et aux civilisations, tout en dévoilant son usage médical, social, sacramentel et économique. Dans un autre atelier, sera contée l’histoire des VDN et de leur inventeur Arnaud de Villeneuve, emblématique personnage médiéval des XIII° & XIV° siècles célèbre théologien catalan et médecin du roi Jacques Ier d’Aragon. Xavier dévoilera l’approche sensorielle et les outils du goût, en révélant notamment à chacun ses propres niveaux de perception des quatre saveurs fondamentales et démystifiera le langage des professionnels du vin. Chacun aura également l’occasion de mieux connaître les deux seuls crûs du Roussillon, les AOP Maury et Banyuls, d’apprendre à cerner les contours de leurs terroirs, en piéger les senteurs et en découvrir les saveurs d’exception. Au château de Peyralade, Xavier invitera chacun à confronter les deux AOP Maury et Rivesaltes, ou à découvrir chacune d'entre elles grâce à deux leviers : le premier, intitulé "Verticale" comparera un seul et même vin mais issu de plusieurs millésimes, le second, dénommé "Variation" présentera les interprétations d'un seul et même millésime de plusieurs producteurs. Enfin, les Rancios sont également explorés. Ces vins spéciaux résultent d’un élevage oxydatif long et puissant. Leur mystère sera éclairci à la lumière de plusieurs vins remarquables secs et doux. Un hébergement cosy pour une restauration fine et délicieuse Le château de Peyralade dispose de 2 chambres doubles et d’une suite pour un couple et deux enfants (ou 4 personnes), toutes avec salle d'eau privative et non-fumeur. D.O 620 est la dernière chambre aménagée. Malgré sa grande taille (24 m²), elle est la plus modeste. Ses teintes murales bleues lui confèrent un esprit très cosy et sa salle d’eau au coté rétro offre tout le confort nécessaire pour un séjour de tout repos. La suite Flavène, aux teintes très nature, se compose d’une chambre principale claire pour les parents, et d'une seconde pour 2 enfants (ou 2 adultes) à l'esprit très "cabane". La Anthocyane allie, quant à elle, l’ancienneté de la demeure à la modernité des équipements, en témoigne la présence de meubles d’antan associés à une décoration et des matériaux contemporains. L’anthocyane est la substance naturelle du raisin qui teinte les vins rouges Fort logiquement, cette couleur donne le ton de cette chambre. Le petit-déjeuner est continental et toujours inclus dans le prix de l’hébergement (Breakfast possible avec supplément et réservation la veille). De plus, Véronique et Xavier convient chaque soir leurs clients à partager la table d’hôtes autour d’un apéritif traditionnel suivi d’un repas complet En termes de r...
Parfaitement installé au bout du Sillon, la plus grande plage de sable de Saint-Malo, Le Coude à Coude est une invitation au voyage et au plaisir de la cuisine bistronomique. Dans ce petit établissement contemporain créé en 2009, l’accueil chaleureux de Karine Cordeau accompagné de musique discrète et des plats cuisinés divinement par le restaurateur, ne laissent pas indifférents les visiteurs de passage en Bretagne. L’atout majeur du restaurant, « c’est sa petite taille, sa cuisine ouverte ainsi que les jolis produits issus du terroir breton », souligne le propriétaire et chef Nicolas Bourdon. Une cuisine instinctive et traditionnelle Outre les crêpes, la cuisine bretonne cache plusieurs autres particularités et spécialités. Au Coude à Coude, le chef privilégie les produits du terroir, les fruits de mer, et plus particulièrement les poissons. Ces derniers sont sublimés par un accompagnement singulier (fenouil confit, émulsion de moules au curry) et une cuisson soignée. Pas uniquement ibère, ni seulement bretonne mais parfois un peu des deux, le style culinaire du restaurant mélange les produits frais locaux pour en faire une cuisine inventive à part entière à travers laquelle « les plats sont ancrés dans la tradition et la cuisine de grand-mère », explique notre interlocuteur. Une carte inventive et authentique Le Coude à Coude se distingue aussi par la créativité de son chef qui innove en permanence dans ses préparations. Sa « cuisine du marché » où tout est réalisé devant les convives flatte les palais les plus exigeants. Composée d’une entrée, d’un plat et d’un dessert, la formule du jour servie chaque midi est renouvelée régulièrement pour justement garantir cette notion de « fraîcheur et de qualité »... Le soir, les convives pourront choisir les plats sur l'ardoise de produits frais. Quant aux amateurs de bons vins, plus de 150 références sont mises à leur disposition pour leur plus grand plaisir. La carte est constituée par Nicolas, aidé de ses deux conseillers Christophe Péroux et Thierry Duchêne. La sélection créée notamment avec la collaboration de la Cave de l'abbaye St Jean vous fait voyager dans les plus beaux vignobles de France. ...
Pourquoi choisir une ossature en bois ? Cette technique très répandue consiste à établir une trame régulière de pièces de bois pour supporter le plancher et la toiture. Elle combine les atouts indispensables à une construction saine : matériau de qualité, esthétique, économie d’énergie et respect de l’environnement. L’ossature bois est une structure légère qui autorise de nombreuses formes de construction : extension, habitat, ou encore mur végétal. Le chantier est propre et peu énergivore, et la structure assure un habitat confortable et une isolation performante. Faire construire une ossature en bois Les Toits de Provence en ont fait leur spécialité. Marc Bourglan, gérant de l’entreprise, travaille en étroite collaboration avec architectes et maitres d’ouvrage pour la réalisation et le suivi des chantiers. Il appréhende chaque projet en ayant le souci de la qualité des matériaux, de la répartition dans l’espace et de l’esthétique de la construction. Les engagements pris sont respectés avec rigueur. À chaque ouvrage, Marc Bourglan prend en considération toutes les parties prenantes : de l’apprenti au donneur d’ordre. Les compétences des salariés sont valorisées par une formation continue, afin de répondre avec exigence aux spécificités de chaque projet. L’ossature en bois est modulable selon le type d’architecture. Ainsi, Les Toits de Provence rénovent des anciennes bâtisses, comme le château de Fonscolombe, classé aux Monuments historiques. L’entreprise réalise également des habitations et des extensions de toutes tailles, dans des styles architecturaux variés. Marc Bourglan met en œuvre son expertise dans un périmètre de 60 km autour du Puy-Sainte-Réparade. ...
Fraîcheur et authenticité ne sont pas de vains mots, quand on parle de la cuisine servie à La Cueillette®. Le chef, audacieux et créatif, concocte des menus colorés et goûteux – pour le plaisir – et d’une rare délicatesse, pour la santé. Car bien manger est ici un art cultivé par le maître des lieux, Jean Garnier, médecin et nutritionniste de son état. Un cadre fastueux pour le plaisir des yeux Le château de Cîteaux qui abrite La Cueillette® imprime à cette dernière les fastes de son époque d’origine. Les décors muraux, rehaussés de dorures exceptionnelles, tout comme le grand lustre, ont été reconstitués à l’identique de la salle à manger qui recevait les convives dans le château d’apparat datant de 1860. Chaque dîner dans les murs de ce restaurant de caractère est alors comme une incursion dans une époque, où le raffinement était une vertu essentielle. Dans une ambiance claire, la transparence des couverts dressés semble prédire la légèreté élégante qui enveloppe les plats à venir. Une cuisine simplement créative, pour saisir le meilleur de la nature Les cartes de La Cueillette® sont imaginées par le chef Sébastien Dorier rompu aux arts de la création culinaire sur la base de produits locaux. Le pléthorique n’est pas de mise. On privilégie l’essentiel, le bon goût de chez soi, en sélectionnant ses ingrédients chez les producteurs aux alentours au rythme des saisons. Les plats seront également créés selon les arrivages du marché. Finalement, les convives se retrouvent avec des plats simples et sains – tel ce filet de volaille fermière de Bourgogne – à apprécier les saveurs authentiques d’antan. Un bon cru sélectionné des domaines alentour finit de célébrer ce que le terroir a de plus vrai. ...
L’endroit a tout pour plaire ! Classé au patrimoine, l’établissement a trouvé refuge dans une ancienne brasserie, structurée d’un majestueux décor de boiseries de chêne. Philippe Chevrier, actuel gestionnaire des lieux, a voulu renforcer l’esprit traditionnel de la maison à travers une cuisine italienne… certes classique, mais rayonnante de saveurs. À la découverte de la cuisine méditerranéenne Le restaurant Marjolaine s’approvisionne auprès de fournisseurs italiens implantés en Suisse. Simple et raffinée, la « cuisine du soleil » se prépare à partir des produits de premier choix. Avec une carte assez flexible, la maison se fait un plaisir de sublimer les produits de saison. Philippe Chevrier a trouvé en Francesco Tedesco, un généreux chef turinois, idéal pour son restaurant italien ! Sa restauration met en avant les ingrédients typiques de l’Italie, à l’instar de la burrata, de la mortadelle, du salami, de la bresaola et, bien évidemment, les pâtes ! Au restaurant Marjolaine, tout est fait maison : spaghettis, raviolis, tagliatelles, linguine, paccheri et gnocchi de pommes de terre. Vous vous ferez un réel plaisir à la seule vue des linguine au homard, sauce tomate ou encore des spaghettis « alla carbonara ». Si vous aimez la viande, vous n’hésiterez pas à déguster le filet de bœuf « Molard » aux bolets et chanterelles avec son jardin de légumes, le tout rehaussé d’une appétissante sauce espagnole. Les enfants se régaleront avec une escalope « alla Milanese » qui s’accompagnera de la garniture du jour. Vous êtes végétarien ? No problemo ! Francesco Tedesco, chef de cuisine, propose le minestrone della « Mamma » comme entrée et un bon risotto aux artichauts servi avec du fromage de chèvre au citron confit comme plat principal. L’aventure culinaire se termine en beauté avec une marjolaine à l’orange, sauce vanille ou tout simplement en savourant un grand classique du répertoire italien : le tiramisu. Qui dit bon repas dit bon vin En matière de vins, l’établissement dispose d’une cave riche en références. En apéritif ou en accompagnement, la cuvée qu’il vous faut est disponible au restaurant Marjolaine. Le maitre d’hôtel Filippo Denise, alias « Pippo », vous aidera à choisir le meilleur accompagnement pour votre repas. L’établissement propose notamment des cuvées suisses, italiennes et françaises. Les vins suisses proviennent essentiellement de maisons genevoises comme Chasselas Domaine du paradis ou le Domaine du Clos des pins. Retrouvez également Les Vins de Philippe Chevrier. Cette fois, dans la peau d’un vigneron, notre chef présente des millésimes 2016 à base de sauvignons blanc et de sauvignon gris. Les vins de France sont représentés à travers des appellations renommées comme le bourgogne ou les côtes-du-rhône. ...