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La Grande Saline, un voyage au centre de la terre

Au cœur du vignoble du Jura, à 10 kms d'Arbois, pays de Louis Pasteur, se cache à 246 mètres de profondeur un trésor qui faisait naguère l’attractivité, la prospérité et la richesse d’une région. Ce trésor, c’est le sel de la Grande Saline. Témoin au fil des siècles d'une industrie insolite dans une contrée pourtant si éloignée de la mer, le sel de Salins-les-Bains a été l'ingr...

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Musée La Grande Saline, interview, podcast avec Perrine Lefebvre-Girardot

Salut à tous ! Très heureuse de vous retrouver pour un nouvel épisode de notre podcast “On en parle”. Aujourd'hui, nous allons nous intéresser à cet or blanc dont nous saupoudrons chacun de nos plats, ou presque, qui nous servait à conserver la nourriture et sans lequel Salins-les-Bains n'aurait pas connu ce développement social et économique incroyable. J'ai nommé le sel. Eh o...

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Grande Saline, la Légende de Saint Anatoile ou le Miracle de l’eau

Dans l'histoire riche et mystérieuse de Salins-les-Bains et de la Grande Saline, une légende se distingue par son pouvoir évocateur et sa signification profonde : celle de Saint Anatoile et le miracle de l’eau. Cette légende ancienne, transmise de génération en génération, raconte l'histoire d'un ermite écossais ayant vécu au Ve siècle et d'un miracle qui a marqué à jamais la d...

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Patrimoine-histoire
Fondation du patrimoine : sauvegarde et appel urgent aux dons pour la Grande Saline

« Entretenir le souvenir des principales productions et reconvertir les éléments notoires du patrimoine régional à des fins culturelles et touristiques : voilà l’une des ambitions de la Mission Patrimoine » confiée à Stéphane Bern par la Fondation du patrimoine en partenariat avec le Ministère de la Culture et la Française des Jeux. L’homme de télé, l’animateur radio, le journa...

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Exposition
Visite guidée à La Grande Saline de Salins-les-Bains

Bastion du tourisme jurassien avec chaque année 80 000 entrées, la Grande Saline est le pilier incontournable de la région à visiter. Pour les touristes avisés, Salins-les-Bains réserve même un voyage insolite à travers des monuments millénaires, invitant à une immersion captivante d’un passé prestigieux à la rencontre de l’or blanc, le sel de la Grande Saline, fleuron jadis d...

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Restaurants, traiteurs :
les meilleures adresses de la semaine

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Vins, œnotourisme, champagne, cavistes :
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LES ARTICLES LES PLUS LUS

Oovatu : des voyages enfin centrés sur le client, imaginés par des connaisseurs

Offrir au client une expérience forte, du départ à l’arrivée et à chaque instant de son voyage, voilà résumé en quelques mots le défi quotidien d’Oovatu. L’agence a vu le jour, avec la conviction que des voyages proposés en ligne et à prix étudiés peuvent conserver leur part de rêve. A la clé, des catégories d’offres sans ambigüités pour garantir aux voyageurs des séjours qui leur ressemblent. L’expertise d’un connaisseur pour des vacances réussies Oovatu défend l’idée de périples empreints de merveilleux. Le fondateur Stéphane Letessier, regrette que l’arrivée en ligne des professionnels du secteur, courant 2002, ait enlevé aux voyages leur supplément d’âme. Entendant y remettre bon ordre, l’entreprise lance un concept où les offres proposées sont garanties par une approche « expertise ». Traduire, des destinations, itinéraires et solutions d’hébergement préalablement explorés et testés par les conseillers eux-mêmes, avant d’être suggérés au client. Rien n’est laissé au hasard, ni la fiabilité des prestations offertes sur place, ni le confort des voyageurs. Service et conseil dédiés viennent conforter les usagers dont les souhaits et habitudes de voyage sont pleinement intégrés. Selon son budget, chacun est assuré de partir serein pour une destination et d’en revenir heureux. Des idées de voyage claires, sans mauvaises surprises Selon ses envies et possibilités, le client Oovatu sera aiguillé vers des séjours classés en 3 catégories. De Basic à Top, en passant par Smart, ils promettent des expériences où les mauvaises surprises et autres frustrations ne sont jamais au menu. Sur des séjours Basic, place à des vacances accessibles assorties de prestations correctes, sur les critères de la maison. Au Laos, au Royaume de Siam ou au Cambodge, des itinéraires culturels riches en découvertes sont au programme. Les sélections Smart allient plaisir et maîtrise du rapport qualité/prix. Océanie, Moyen-Orient, Etats-Unis et ailleurs, l’expertise et la sélection rigoureuse d’Oovatu précèdent toujours le client à sa destination pour lui garantir un séjour sans fausses notes. Sans concession ni compromis, les offres Top ciblent les épicuriens qui livrent un vrai culte aux voyages. Les sites les plus exceptionnels, les itinéraires les plus époustouflants les attendent dans les destinations caribéennes, asiatiques, européennes, entre autres. Une nuit étoilée au Sultanat d’Oman, des expériences authentiques dans la Baie d’Halong, le dépaysement et l’exotisme de l’océan Indien ? Des instants singuliers, attendent chacun à chaque détour des périples concoctés par cette équipe passionnée. Plus que jamais, les critères rigoureux de la maison décantent les possibilités pour ne retenir que les plus authentiques, les plus surprenantes et les plus fiables. ...

Restaurant Chez Minnà : tradition corse garantie

Un brin nostalgique de son enfance, le propriétaire du restaurant Chez Minnà, Saveriu Cacciari, a voulu recréer une ambiance fidèle à son enfance et à la maison de sa grand-mère corse. Pour l’aménagement intérieur, il a fait appel à Claire Peretti, une décoratrice corse. Des tables de classe, où subsistent des mots écrits par des écoliers, ont été repeintes et patinées. Pour l’éclairage, de simples fils de linge traversant la salle où sont suspendues des ampoules. Mais aussi de petites serviettes de type pique-nique, un tableau noir, des cartes postales de la Corse participent au cadre contemporain, sobre et soigné de ce lieu. Une cuisine 100 % corse En cuisine, tout est fait maison à partir de produits frais de saison. Des classiques de la cuisine familiale corse sont proposés. Avec la formule déjeuner à 15 € (entrée + plat ou plat + dessert) en semaine, vous pourrez voyager au quotidien, en dégustant de savoureuses recettes de la gastronomie familiale corse. Si vous êtes pressé, vous pouvez juste profiter du plat du jour pour la modique somme de 12 €. Tous les soirs de la semaine ainsi que le samedi, parcourez la liste de tous ces mets traditionnels corses inscrits sur l’ardoise, et vous en aurez déjà l’eau à la bouche. En entrée, commencez par des beignets de courgettes, servis avec deux sauces maison. En plat, pourquoi ne pas vous régaler d’un filet mignon de cochon avec une crème de pancetta, accompagné d’une succulente purée à l’huile d’olive. En dessert, vous pourrez (re)découvrir le traditionnel fiadone, un flan corse à base de brocciu, parfumé d’eau-de-vie et de zeste de citron, sublimé par du limoncello.  Vous pourrez également vous attabler au long comptoir pour partager des tapas corses (charcuterie, fromages, croquettes de jambon) lors d’une restauration plus rapide. Les vins aussi Tous les vins proposés sont achetés en direct à de petits domaines corses, dont un tiers est produit en bio. Vins rouges, vins blancs et surtout vins rosés accompagnent à merveille tous les plats de ce lieu. Et vous aurez peut-être le plaisir de rencontrer Arnaud Montebourg ou Julie Zenatti lors d’un repas Chez Minnà. ...

LA CAVE LAMBERT, pour la sauvegarde du SEYSSEL, l'une des plus anciennes AOC Françaises

L’appellation Seyssel est reconnue pour sa méthode traditionnelle, une démarche ancestrale qui permet à un vin de devenir effervescent.  Seyssel est également un petit village de vignes, de vignobles et de vins vieux, dont les origines remontent à 2 000 ans. C'est au Ier siècle que les premiers écrits mentionnent la vigne dans la région, avec Pline l’Ancien, un philosophe romain qui vantait déjà les vins de Seyssel. Jouissant d’un climat particulièrement favorable, de mollasses sableuses et d'une bonne exposition au soleil, les vins de Seyssel se distinguent par la finesse des bulles et leur authenticité. Royal Seyssel, un vin, une histoire Dans une bouteille Seyssel, il y a du bon vin, mais il y a aussi quelque chose du passé qui dort là, c’est ce que nous raconte Gérard Lambert : « C’était un vin bu par les rois et reines qui venaient dans la cité voisine d’Aix-les-Bains. Il a été consommé par la reine Victoria et par d’illustres personnalités européennes. Il a été baptisé Royal Seyssel, en leur hommage, en 1901. » Au début, le Royal était effervescent, mais il s’est développé en vin tranquille, appelé le « Seyssel tranquille » issu du cépage Altesse.  Ce vin a connu une grande période de gloire mais a vite décliné lorsqu’il fut racheté par un grand groupe. « Il y a eu une dégringolade au niveau des ventes et le site de production a dû fermer en 2007. Cette fermeture a mis en péril tout le vignoble. Tous les vignerons qui apportaient les vendanges ont aujourd’hui les larmes aux yeux », déplore Gérard Lambert. Le Royal, fleuron de l’appellation Seyssel Touché par la disparition de ce patrimoine, le couple Lambert décide de sauver une partie de leur héritage. Mal compris par son entourage, il s’engage dans ce projet fou pour « sauver l’appellation, le tissu viticole et tous les vignerons encore présents ».  Il décide d’aller bien plus loin que ses confrères pour lesquels la méthode champenoise consiste pour la plupart du temps à 9-12 mois de vieillissement pour fabriquer les bulles, avant de tourner les bouteilles dans les caves à vin ou à champagne. Selon lui, pour obtenir un bon vin, il faut bien plus. Et de préciser : « Il y a beaucoup de mauvais champagnes, parce qu’ils ne les laissent vieillir qu’un an, alors que les bonnes maisons patientent 2 ou 3 ans avant de tourner les bouteilles. » Ce projet et cette vision lui donnent raison aujourd’hui. Un nectar de haute qualité sur le devant de la scène « Malheureusement, aujourd’hui, ce qu’on trouve dans les bouteilles est très souvent ACIDE, avec de grosses bulles et un dosage trop important.» En revanche, Gérard Lambert ne fait que du millésimé, c’est-à-dire qu’il ne mélange pas plusieurs années. Il laisse en moyenne vieillir ses bouteilles 4 à 6 ans, parfois même 10 ans. Cette méthode crée une qualité largement supérieure à la moyenne, avec une bulle très fine et un nectar pur. Grâce à cette ingéniosité, le Royal de Seyssel est revenu sur le devant de la scène et a été classé pour la deuxième année consécutive parmi les meilleurs effervescents au monde. Les cépages principaux sont la Molette et l’Altesse, qui donnent des vins blancs aux arômes fruités.  La Cave Lambert est un petit domaine de 4 ha avec plusieurs cuvées, spécialisé dans l’élaboration de vins de Seyssel en méthode traditionnelle, mais qui offre également une large gamme de vins de Seyssel et de Savoie.  À l’œil, le vin Royal Seyssel a une robe jaune avec des bulles très fines. Au nez, il est assez fruité et, en bouche, il est agréable et léger. Il est idéal à l’apéritif avec des canapés salés, des crustacés, des homards ou des langoustines. Une véritable merveille pour les papilles. ...

Maison Jean-Marc Brocard : l’expression,
la complexité et la minéralité du terroir chablisien

Entre les Brocard et les vins se cachent une véritable histoire d’amour. La grande aventure familiale a commencé en 1973, lorsque Jean-Marc Brocard rencontre son épouse, descendante d’une lignée séculaire de vignerons de Saint-Bris-le-Vineux qui partage avec lui une passion effrénée pour le vin. Le destin de Jean-Marc change radicalement lorsqu’il se rapproche de Louis Petit, un grand virtuose des vins qui l’initie dans l’art de manipuler la vigne comme il se doit, avec patience et respect. Ainsi motivé, Jean-Marc Brocard devient viticulteur et installe son domaine au cœur du vignoble, à Préhy (Yonne). Son fils Julien, ayant grandi au rythme de la vigne, se laisse séduire par le métier de vigneron à partir de 1995. Ce dernier étant passionné par la biodynamie, il décide d’insuffler un nouvel élan à la production en misant sur un mode cultural qui respecte la Nature. Le terroir de prédilection du chardonnay La maison Brocard a choisi de travailler en monocépage. L’heureux élu est le chardonnay, une variété tout à fait caractéristique de l’appellation Chablis. Aujourd’hui, ce cépage règne en maitre absolu sur 200 ha de sol argilo-calcaire. À noter que le chablis est un vignoble de bassin sédimentaire, c’est-à-dire une terre riche en matières et dont le sous-sol est constitué du fameux kimméridgien. Cet étage géologique datant du Jurassique supérieur est notamment composé de couches de marnes et de calcaires qui forgent tout le caractère des vins chablisiens. Ainsi, le chablis fait partie des rares vignobles d’appellation à pouvoir vanter expressément son identité géologique. Et pour les Brocard, se trouver sur un tel terroir ne peut être qu’une fierté. Qui dit « terroir exceptionnel » dit « traitement exceptionnel ». Julien Brocard insiste sur la contribution de l’agriculture biologique et de la biodynamie dans la qualité de ses vins : « Ces méthodes culturales nous conduisent à pratiquer une vinification naturelle. Ainsi, nous n’utilisons que des levures indigènes et laissons place à une fermentation spontanée pour obtenir des vins d’une harmonie optimale. » Les ambassadeurs de la maison Précision, force et fraicheur… Ces trois mots résument le style de production de la maison. Soit, tout ce que représente la cuvée « Sainte Claire ». Au-delà de ses arômes et de ses notes fraiches, caractéristiques du terroir, ce vin raconte une histoire. Son nom rend hommage à l’église voisine du domaine, autour de laquelle se sont enracinées les premières vignes de Jean-Marc Brocard. La cuvée « Montée de Tonnerre » quant à elle, est un emblème par excellence de l’AOC Chablis. « C’est un Premier Cru qui nous tient particulièrement à cœur et qui, d’autant plus, est très apprécié des amateurs de chablis », déclare fièrement notre interlocuteur. Idéal pour une longue garde, le vin en question séduit par ses arômes d’agrumes légèrement épicés et ses délicieuses notes toastées. Enfin, il est impératif de faire mention de « La Boissonneuse », le premier chablis conduit en biodynamie. Cette cuvée symbolise 20 ans de travaux acharnés dans le respect de l’environnement. « Des pratiques culturales entièrement saines qui vont vitaliser la terre et la vigne, afin de donner naissance à un vin naturellement exquis. » Découvrir le domaine Le cadre a tout pour plaire : un domaine, des vignes et une église du XVe siècle qui offre un beau panorama sur l’ensemble du vignoble chablisien. Quand des visiteurs viennent au domaine, les Brocard et leur équipe professionnelle se font un plaisir de les accueillir le temps d’une halte œnotouristique. Au programme : tour du vignoble à pied ou en gyropode, dégustation et déjeuner au domaine… Les œnophiles peuvent également acquérir quelques produits dans les boutiques de vente. Par ailleurs, une salle de réception est mise à disposition des clients désireux de fêter une occasion spéciale dans l’ambiance chablisienne. Les prof...

Le restaurant des Jardins de la Medina, une gastronomie inventive, un cadre idyllique

Le restaurant est situé dans la partie la plus ancienne de cette demeure princière aux magnifiques plafonds de cèdre sculpté. Plusieurs suspensions de cuivre en forme de gouttes d’eau finement travaillées laissent filtrer une lumière tamisée qui diffuse ses arabesques sur les murs ancestraux. Dès que le soleil apparaît le restaurant prend ses aises et se répand sur la grande terrasse qui ouvre sur la piscine et son grand jardin luxuriant. A chaque moment de la journée « Les Jardins de la Médina » offre l’occasion d’une expérience gastronomique unique et constamment renouvelée. Petit-déjeuner, réveillez vos papilles ! Chaque matin, le buffet des Jardins de la Médina est un moment privilégié à partager en famille ou entre amis. Des baguettes chaudes et croustillantes, des viennoiseries à peine sorties du four, des fruits de saison, des jus de fruits frais, des confitures maison, des crèpes marocaines (msemmens, beghrir), des œufs sous toutes les formes possibles, du fromage, du jambon, du saumon … Le petit-déjeuner des Jardins de la Médina est un régal pour les papilles et un plaisir pour les yeux. L’occasion de charger les batteries avant une journée bien remplie à la découverte des trésors cachés de Marrakech. Le déjeuner, la pause gourmande Au retour d’une excursion dans les environs de Marrakech ou d’une balade shopping dans les souks accordez-vous une pause gourmande sur la terrasse au bord de la piscine, à l’ombre du Jacaranda centenaire et savourez une salade d’araignée au guacamole et sorbet d’avocat, un tagine du moment ou plus simplement un tartare de veau préparé et épicé juste comme vous l’aimez. Le dîner, un voyage initiatique et romantique, un métissage des saveurs Soyez les bienvenus dans le salon de cette ancienne demeure princière transformé en un restaurant  chaleureux et romantique. A la lumière des bougies et des suspensions en cuivre ciselé découvrez la nouvelle carte du dîner imaginée par la cheffe Sana Gamas. Ici la tradition se conjugue au présent et le savoir faire culinaire marocain s’ouvre sur le monde. La harira, soupe traditionnelle du ramadan, côtoie la tempura de crevettes parfumées à l’huile d’argan. La mourouzia de Fès au jarret de veau parfumé au raz el hanout vous fait hésiter avec un dos de cabillaud poché en mille feuilles de pommes de terre. Laissez vous guider par tous vos sens et faites vous une raison : Il vous faudra rester au moins une semaine aux Jardins de la Médina pour goûter à tous ces merveilleux plats. Des évènements incontournables « Les Jardins de la Medina » organise des évènements réguliers devenus incontournables. C’est le cas notamment du désormais traditionnel brunch qui se déroule chaque dimanche de 12 à 16 heures. Le brunch est imaginé et réalisé autour d’un thème différent chaque semaine : Brunch de la mer, brunch asiatique, espagnol ou breton … La surprise et la variété des plats sont chaque fois au rendez-vous. Les mélomanes sont également comblés. Grâce notamment, aux jeudis musicaux : Jalal et Jamal, guitariste et violoniste vous invitent chaque jeudi de 20 h à 23 h à une soirée endiablée et joyeuse aux rythmes d’une musique arabo-andalouse rythmée et irrésistible. Avec sa voie chaude, sensuelle et profonde la chanteuse libérienne Linda Johnson enchante les soirées du restaurant avec un répertoire inédit de musique black, soul, reggae et jazz. Elle se produit aux Jardins de la Médina le 7 avril, 21 avril et 5 mai 2018 de 20 h à 23 h. ...

Via Costa : la Dolce Vita sur les côtes bretonnes

A Etables-sur-Mer, une cité balnéaire des Côtes d’Armor, se trouve le restaurant Via Costa. On quitte la Bretagne pour un dépaysement total : décor exotique, ambiance d’ailleurs, mer turquoise, sable fin. L’endroit semble sorti tout droit d’une carte postale d’une plage de Bali. A l’entrée, se dresse un imposant portique orné de motifs végétaux indiens. A l’intérieur, murs en bois exotiques, paillotes, palmiers, bouddhas en pierre et transats plantent le décor : le visiteur semble pénétrer dans un de ces lieux surprenants perdus au bout du monde. Idéal pour un après-midi de détente. Le visiteur prolonge volontiers son escale au Via Costa pour le restant de la soirée. Cocktails et farniente L’après-midi est encore chaud. Il est temps de s’attabler à la terrasse du Via Costa. La carte propose des idées originales autour du cocktail. Le barman vous sert un de ces breuvages traditionnels aux vacances ensoleillées : Mojito, Cosmopolitan, Margarita. Pour des sensations plus intenses, il confectionne pour vous une des spécialités de la maison : un Daïquiri frais et acidulé, ou un Pina Colada, une mixture glacée à base de coco et ananas. Il existe également des versions sans alcool : milkshake à la vanille ou au chocolat. Les hôtes expérimentent un moment totalement zen : siroter un cocktail glacé devant une mer d’azur, avec en arrière-fond, des sons de musiques du monde. Excursion gourmande Côté assiette, le chef emmène les hôtes explorer le continent asiatique. Les ingrédients sont locaux : poisson frais breton. Les mets du terroir côtoient les plats des îles. Au départ, au choix : une cuisine tout en fraîcheur comme le tartare de Saint-Jacques de la baie et saumon fumé, ou bien des plats exotiques : accras de morue et salade de poulet Tandoori. Le voyage des papilles se poursuit avec de nouvelles surprises. La spécialité du chef ici, c’est le carpaccio. Les lamelles de bœuf marinées sont préparées et arrangées à toutes les sauces. Chaque plat est une invitation à découvrir le mariage de nouvelles saveurs. Le convive découvre des inspirations méditerranéennes : le carpaccio aux copeaux de chèvre, noix et tomates confites, ou bien le carpaccio à la mozarella di buffala et pignons de pins. Et d’autres inspirations inattendues : le carpaccio façon thaï, aux oignons rouges, pousses de soja fraîches, sésame, gingembre et coriandre. Côté lagon, les amateurs des fruits de mer retrouvent des produits frais et des saveurs totalement exotiques : wok de gambas marinées au gingembre et à la coriandre ou dos de cabillaud rôti au crumble de chorizo. Le dépaysement est assuré côté sable. Les spécialités culinaires du chef sont innovantes : tajine berbère d’agneau aux abricots et poulet Massalé à la réunionnaise. Pour le dessert, le chef suggère de gouter à des horizons lointains : traverser l’Atlantique et dévorer un véritable cheesecake new-yorkais, ou bien s’arrêter au milieu de la mer et tenter une exotic island, une ile flottante à la noix de coco et aux zestes de citron vert. Ceux qui préfèrent les charmes du pays, savoureront la douceur d’une tarte fine aux pommes, et son coulis de caramel au beurre salé. Ambiance caliente ! Pas question de rentrer chez soi pour le moment. L’équipe du Via Costa propose aux convives un large éventail d'activités, histoire de s’attarder après le repas. Des événements sont régulièrement organisés pour animer la soirée. Les convives peuvent s’initier à de nouveaux pas de danse, zumba et salsa, à l’ombre d’une paillote. A la nuit tombante, les visiteurs se laissent entraîner au rythme de la musique. DJ et groupes animent la soirée dans un climat décontracté. La programmation musicale est variée et répond à tous les goûts : jazz, reggae, musique du monde, etc. Tout le monde doit s’amuser ! Le Via Costa organise à la demande des séminaires et réceptions pour les groupes pour un minimum de 20 personnes. Les menus, à partir de 35€, permettent de se régaler dans un environnement atypique. A l’ord...

À Délices Africa, le temps suspend son vol

Sénégal, Mali, Cameroun, Ghana, ici, on goute à chaque bout d’Afrique.  Dans un décor basique, orné de tableaux typiques et de statuettes majestueuses, le restaurant est d’une simplicité chaleureuse.   La musique est là pour rappeler l’identité du lieu dans des sons jazz, soul, makossa, mbalax, bikutsi ou des iles. Des soirées à thème invitent régulièrement les convives à la fête et à la danse.  Un vrai melting-pot au Délices AFRICA où toutes les communautés aussi bien africaines qu’européennes, passent un moment hors du temps. Il y règne comme maitre-mot : la sympathie et la gourmandise. Inspiration africaine Préparés avec soin par la cheffe cuisinière, Marie Dumas, spécialiste en cuisine africaine, les entrées font sensation auprès de la clientèle friande de découverte. « Mon inspiration vient de toute l’Afrique », sourit-elle.  En entrée, les accras de morue, croustillants et moelleux, des tapas typiquement antillais, sont plébiscités. La salade de morue avec ses avocats, ses concombres, ses citrons verts est également très demandée.  La salade ghanéenne a aussi ses lettres de noblesse parmi la clientèle avec son goût sucré-salé. Pour cette entrée composée des crevettes, de l’ail, des œufs, de la banane plantain, de la laitue et d’autres crudités sont de mise dans un goût épicé selon les besoins du client.  Les épices de poisson parmi lesquelles, les messep (basilic sauvage) et l’odzem (gingembre local) sont importées d’Afrique pour ravir les papilles des curieux et des amateurs de condiments exotiques.  Des mises en bouche qui vous mettent en haleine puisque le vrai voyage, ici, c’est dans les plats. Florilège de saveurs Le poulet braisé fait mouche.  Il est fermier (produit typiquement français) et préparé lentement au charbon de bois. C’est un incontournable du continent.  Le poisson (bar, sole, tilapia) est aussi préparé dans ce savoir-faire.  Les accompagnements conseillés par la Cheffe pour ces grillades braisées sont : le bâton de manioc, le chikouang, le riz parfumé et cantonné, la banane plantain et évidemment, les épices sur demande du client, c’est l’évasion faite maison. Direction Cameroun avec son poulet DG, accompagné de ses bananes plantains, de ses oignons fondants en bouche, de ses carottes et d’un coulis de tomates relevé au gingembre. Il est présenté dans l’authentique tradition africaine, où chacun se sert directement dans le plat. Un vrai florilège de saveurs ravira vos sens avec le classique mafé avec sa pâte d’arachide, du tiep bou diemme avec son riz typiquement sénégalais garni aux légumes. Une autre découverte camerounaise est le fameux que dis-je, le fabuleux ndolé avec (ses feuilles qu’on pourrait prendre pour des épinards) avec des cacahuètes vapeurs, bouillies garnies aux crevettes et à la viande fraiche.  Pour les desserts, c’est une vraie expérience fruitée qui s’offre à vous avec des fruits exotiques (selon les saisons) tels que la mangue, la papaye, l’ananas, la noix de coco, les glaces ou encore le café gourmand dressés dans un style simple mais très étudié. Boire local Des boissons locales sont également suggérées pour accompagner vos spécialités.  Le cocktail planteur typiquement antillais ravira les amateurs de rhum et de boissons sucrées pour un apéritif. La Flag, bière ivoirienne, se marie bien avec la salade ghanéenne ou de morue. Pour le Ndolé, une Castel. Une sélection de vins locaux est proposée pour accompagner les plats.  D’humeur festive, le Pti-punch, sucré à souhait avec de la canne, du rhum et du citron ravive le gout sucré des tapas avec fraicheur. Vous y trouverez également des cocktails maisons : le Bissap ou le jus de gingemble au rhum, les tops ou les maltas Guinness.  Le Restaurant Délices AFRICA possède également un service traiteur avec les mêmes spécialités pour notamment : les mariages, les anniversaire et d’autres cérémonies comme les séminaires, les repas d’entreprises, les repas syndicaux, etc...

Château de la Roche : entre patrimoine et plaisir

Le château de la Roche est une étonnante bâtisse qui se dresse au bord de la Loire, sur la commune de Saint-Priest-la-Roche. Une maison fortifiée dont les premières pierres ont été posées dans la seconde moitié du XIIIe siècle, à une époque tourmentée. Le château a été construit au milieu des gorges pour être protégé des éventuels envahisseurs. Il servit de point de péage et de surveillance pour les voyageurs et les commerçants qui circulaient le long du fleuve en direction de Roanne. Pendant plus de six siècles, les propriétaires successifs vont être confrontés aux violentes crues de la Loire. Le bâtiment n’y résistera pas et devra être reconstruit à plusieurs reprises, mais le plus grand bouleversement va être celui subi par le paysage il y a une trentaine d’années. En 1982, EDF va construire le barrage de Villerest, qui se trouve à une vingtaine de kilomètres. Le lac de retenue, créé simultanément, va inonder les gorges où se trouve le château. Depuis, il semble être posé sur l’eau. Pendant ces travaux, le château reste à l’abandon et va être pillé de nombreuses fois. Il était voué à la destruction. Mais grâce à une association de défense du site créée par les habitants locaux, le château va retrouver son apparence d’autrefois, à partir d’iconographies du XVIe siècle. Des visites théâtralisées … Des guides en tenue d’époque font découvrir à tous les visiteurs l’histoire de ce château, ainsi que tous ses coins et ses recoins. Ils sont secondés par plusieurs fantômes des anciens occupants, qui font revivre les grandes heures du château, mais aussi les plus sombres. … ou libres À l’aide d’un audioguide, le visiteur peut parcourir librement et à son propre rythme les différentes salles du château. Là aussi, d’anciens habitants viennent chuchoter quelques histoires pour agrémenter la visite. Un anniversaire au château Les enfants seront ravis de fêter leur anniversaire entourés de leurs copains au château de la Roche, le mercredi ou le samedi. Avec Dame Perrine, ils vivront des aventures exceptionnelles, comme les princesses ou les chevaliers de l’époque. De nombreuses animations Tout au long de l’année, de nombreuses animations sont organisées : chasse aux œufs pour Pâques, nuit des musées le 20 mai, journées du patrimoine en septembre et Halloween pendant les vacances de la Toussaint. Mais aussi des apéro-concerts les vendredis et certains samedis soirs en juillet et août. ...

Hôtel et restaurant de l'Abbaye royale de Fontevraud :
profitez d'un lieu magique

Trois monastères subsistent de l’ancienne Abbaye royale de Fontevraud. L’hôtel et le restaurant ont investi l’un d’eux, le Prieuré Saint-Lazare, qui fut successivement une léproserie, un hospice pour religieuses et l’hôpital de la prison. Le restaurant : une explosion de textures et de saveurs Le restaurant a pris plus particulièrement possession du cloitre et de la salle capitulaire. Le chef Thibaut Ruggeri, Bocuse d’or Monde 2013, confectionne une cuisine française raffinée et créative. Il privilégie le terroir et les saisons, en partant de produits locaux majoritairement bio ou cultivés dans le potager du domaine. Vous pouvez choisir entre 3 menus, avec la possibilité de l’accompagner d’un verre de vin en accord avec chaque plat. Vos enfants ne seront pas en reste grâce au menu Robin des bois. Votre repas débutera inexorablement par une soupe, chaude ou froide suivant la saison, principalement à base de végétaux. Elle rend hommage à toutes les religieuses ou tous les prisonniers ayant un jour séjourné à l’Abbaye. Ensuite, vous pourrez vous régaler d’une Révolution du potager, une entrée à base de légumes et de plantes aromatiques. À l’automne, elle se compose, par exemple, de châtaignes, de chou-fleur et de légumes racines du jardin. Découvrez également le très apprécié Champignon de Paris à Fontevraud, un plat qui marie champignons blancs et blonds, crus et cuits, associés à du foie gras, pour une explosion de textures et de saveurs en bouche. En plat, poisson, volaille ou gibier sont régulièrement à l’honneur. En dessert, savourez le surprenant et délicieux Citron jaune-Olives noires, une crème brulée revisitée au gout subtil. La carte des vins privilégie les vins de Loire, de Saint-Nazaire à Sancerre, avec une grande place accordée aux vins d’Anjou et aux vins de Saumur, notamment Les Fines Bulles de Saumur, un crémant exceptionnel. Le restaurant souhaite surprendre les convives par la qualité de ces vins. L’hôtel : un moment inoubliable L’hôtel 4 étoiles met à disposition 54 chambres, dont 6 chambres familiales. Les designers Patrick Jouin et Sanjit Manku ont travaillé sur les matières et les couleurs pour offrir une décoration épurée, dans le respect de ce lieu historique. Tout invite au recueillement pour un moment inoubliable. Les chambres sont toutes du même niveau de confort, bien insonorisées, avec le même mobilier, composé notamment d’une literie spécialement conçue par Biosense en latex, coton et lin bio. Seule leur surface est différente, puisqu’elle s’adapte à la configuration du lieu (de 17 à 24 m²). Deux salons sont accessibles avec bibliothèque et machine à café. Les hôtes pourront déguster leur petit déjeuner dans la salle capitulaire. Ils pourront également s’approprier l’ensemble du domaine pendant leur séjour. Quel ravissement de déambuler la nuit dans les bâtiments, dans les jardins, loin de la foule de la journée ! Une façon de s’imprégner véritablement de l’ambiance sereine et reposante, de l’environnement pour des souvenirs à jamais gravés. Évènementiel à l'Abbaye royale Pensez à l'Abbaye royale de Fontevraud pour organiser vos évènements. La configuration du site permet d’accueillir des réunions de 6 à 2 500 personnes, des séminaires. Les repas peuvent soit être pris au restaurant de l’Abbaye, soit être confectionnés par un traiteur extérieur. Sont également proposées des offres d’activités à réaliser au sein de l’Abbaye. Bien sûr, le lieu peut aussi être loué pour des mariages. ...

Un restaurant bistronomique à l'ambiance cosy

Installé au portes du Forez, à Saint-Cyprien, le restaurant Autour du tilleul est un établissement à l’ambiance cosy, où l’on propose une cuisine moderne et créative, préparée à base de produits bruts sur commande. Le fait maison à l’honneur Bien connu des habitués constitués majoritairement d’une clientèle d’affaires, l’établissement reçoit également des familles et des amis, surtout en weekend. Privilégiant le concept du circuit court Werner Coetzee, chef et propriétaire des lieux, ne cuisine que du frais et achète ses produits localement à la source. Il faut dire que le restaurant est très strict sur la qualité de ses matières premières, donnant aux clients le privilège de goûter à une cuisine préparée entièrement à la main : « Que du frais, tout est fait maison », assure Juliane Méric, son épouse.    Sens du détail et de la présentation Werner Coetzee se plait à préparer des assiettes aux belles présentations, où chacune est décorée à la manière d’un tableau auquel se mêle une savante association de couleurs et de saveurs intégrant des plantes aromatiques, des légumes, des herbes et des fleurs de bourrache. L’établissement Autour du tilleul est particulièrement connu pour ses plats signatures qui mettent en avant le carpaccio de bœuf charolais en rosaces avec une salsa verde. Pour accompagner ce plat, Juliane Méric propose un vin de Nouvelle-Zélande : « le Marlboro, un sauvignon blanc extrêmement parfumé, qui se marie à la perfection avec la plupart des entrées », explique-t-elle. La viande charolaise est également une spécialité de la maison et s’accompagne idéalement de « vins qui ont du gout » comme le Saint-Joseph ou encore le Côtes-du-Rhône. La ballotine de lote farcie à la mousse de gambas aux asperges et petit pois, servie avec un consommé safrané présenté en bol ainsi que le barreau d’agneau grillé avec des ris d’agneau et des petits pois à la menthe ont aussi du succès auprès des fins palais. Selon Juliane, « le vin qui se marie le plus à la lote serait le Chablis ou le Chardonnay alors que, pour l’agneau, ce serait plutôt le Saint-Nicolas de Bourgogne ». Dans la liste des desserts, les brownies à la Guinness, une spécialité irlandaise revisitée à la manière du chef, accompagné d’une boule de sorbet de glace artisanale fait toujours l’unanimité, sans parler de l’incontournable crème brulée à la lavande servie avec un petit biscuit maison, et aussi la meringue à la crème glacée accompagnée d’un peu de crème anglaise, de salade de fruit et de caramel en dentelle, décrite par Juliane Méric comme « une ile flottante qui ne flotte pas ». Une déco épurée Juliane Méric décrit Autour du tilleul comme étant un « restaurant au décor assez épuré » avec des fonds naturels où peinture couleur de dune et terracotta font bon ménage. Elle évoque notamment trois belles peintures qui illuminent de manière significative le restaurant, illustrées par « un triptyque géologique » et qui fait référence aux montagnes de l’Afrique du Sud, aux sommets des Alpes et à la Chaussée des géants en Irlande. Autour du tilleul baigne dans un décor convivial où l’on se sent décidément comme chez soi.   ...

Philosophie & Coaching au service du dirigeant

Parce que philosopher c’est trouver son centre de gravité personnel, engager des relations claires avec les autres  et aller à l’essentiel pour ne pas se tromper de combat. Et le coaching, c’est confronter avec bienveillance pour prendre conscience de soi, des autres et agir en conséquence de ce que l’on est / de ce qu’est le collectif. Cette combinaison apporte une puissance d’action inédite et un recentrage sur le sens pour tout dirigeant qui doit faire face aux enjeux de transformation de notre « hyper » société. De quoi s’agit-il ? Il s’agit d’un programme de développement au service des dirigeants et équipes de direction, qui se déploie en individuel, comme en collectif. Ce programme est animé de façon indissociable par deux professionnels qui représentent respectivement la philosophie et le coaching.  Il s’articule autour de 3 temps forts : Déposer son Armure : une journée intense pour entrer en authenticité et en résonance avec soi et/ou les autres, pour questionner le sens de son action et sa capacité à dialoguer. La Liberté de s’Accomplir (indiv.) ou S’accomplir Ensemble (collect.) : un parcours complet de 8 modules en individuel et de 6 modules en collectif qui se déroule sur plusieurs mois. Chacun des modules avec des objectifs précis, mais globalement, il s’agit de redonner la puissance d’agir avec sens, pour soi-même et pour les autres, durablement. Chemin Faisant : c’est la possibilité de choisir à la carte, un ou plusieurs de ces modules pour avancer à son rythme et selon ses enjeux.  En quoi est-ce bénéfique pour un dirigeant ? Philo&Coaching apporte aux dirigeants :  Une connaissance de soi, de ses limites comme de ses potentiels, de son intelligence sous ses différentes formes;  un entraînement au discernement pour décider et agir en connaissance de cause ; une capacité accrue à entrer en dialogue véritable avec autrui pour convaincre et mobiliser;  un soutien indéniable face à une fonction qui crée l’isolement et génère un sentiment de solitude. Enfin, une aide dans la conduite des projets stratégiques et la tenue ferme du cap face aux aléas. Ayant accompli sa propre transformation, le dirigeant sera à son tour capable d'apporter les transformations qui font sens pour son entreprise et son environnement. ...

Domaine des Frontières : des vins d’artisan dans le Beaujolais

Le Domaine des Frontières est situé à Jullié, non loin de Mâcon dans le Rhône, qui est considéré comme l’un des plus anciens villages du Beaujolais tirant son nom de Jules César et ses légions qui s’y établirent autrefois. Il y travaille essentiellement l’AOC Juliénas réputée pour ses vins printaniers aux notes de fruits rouges, de pêche et d’arômes floraux et l’AOC Beaujolais-Villages s’illustrant pour ses crus de caractère, charpentés et colorés exprimant finesse et souplesse. Le gamay dans toute sa splendeur Le lancement du Domaine des Frontières est un véritable projet de vie pour Jérémy Thien qui quitte sa carrière dans l’administration pour se reconvertir en vigneron. Il crée l’exploitation familiale de toute pièce en faisant progressivement acquisition de parcelles aujourd’hui d’une superficie totale de 6 hectares. Son vignoble composé de vieilles vignes de 60 à 80 ans met à l’honneur le gamay, cépage phare du beaujolais. Les raisins expriment leur plus belle intensité sur ce terroir constitué de roches volcaniques anciennes. Tout est fait pour leur épanouissement. « Nous faisons un véritable travail d’artisan avec très peu de mécanisation », confie Jérémy. La certification HVE atteste de ce soin apporté à la vigne qui ne subit aucun traitement chimique agressif. Plusieurs cuvées pour les meilleurs moments de vie Sous le label Juliénas, le Domaine des Frontières propose deux crus atypiques à savoir La Cuvée Classique et la Cuvée Réservée. La Classique se veut solaire avec des arômes de poivre, d’épices, de fruits noirs, de cacao et de cuir noble. Élégante et intense à la fois, elle se sert avec des gibiers à plume, des viandes rouges, du bœuf bourguignon ou du magret de canard. La Cuvée Réservée est produite à partir d’une sélection parcellaire issue du lieu-dit Vayolette qui procure une finesse et une concentration exceptionnelles. Avec un potentiel de garde de 7 à 8 ans, ce 100 % gamay révèle un beau bouquet floral et fruité ainsi qu’une belle longueur en bouche. À accompagner avec des crustacés, du bœuf, de l’agneau ou du gibier. Quant au Beaujolais-Villages Vers le Château, il se veut plus fruité, rond et charmeur. Parfait pour les barbecues estivaux ou en apéritif avec un plateau de fromages et de charcuteries. ...

Podcast interview Bicentenaire Nicolas avec Christopher Hermelin

Bonjour Christopher Hermelin. Christopher Hermelin | Bonjour. 1822 donc il y a 200 ans maintenant, c’est l’année où tout commence. Alors pouvez-vous nous parler de Monsieur Louis Nicolas fondateur de la célèbre enseigne Nicolas. C H | Louis Nicolas fait partie de cette génération des entrepreneurs du XIXe siècle, à l’heure de l’âge d’or de l’économie française. Je rappelle que le XIXe siècle c’est Haussmann, c’est les grands travaux, c’est la révolution industrielle. C’est un véritable génie du commerce, qui va reprendre plein d’idées à droite et à gauche, et qui va ouvrir et développer une chaîne de magasins qui va littéralement exploser à Paris en quelques années. Il va créer la chaîne telle qu’on la connaît aujourd’hui, parce qu’en 200 ans, il y a beaucoup de choses qu’il a institué et qui ont assez peu évolué. Il a surtout institué le fait que l’on puisse acheter une bouteille de vin dans un magasin. Comment ça se consommait le vin à l’époque ? C H | La consommation du vin à l’époque était assez simple. Soit il se consommait à la taverne, soit les gens aisés achetaient des tonneaux, ils les mettaient dans leur cave, ils avaient des carafes et allaient tirer le vin. La pratique industrielle de la bouteille n’était pas là. Louis Nicolas a l’idée de lui-même d’embouteiller, pour faciliter l’accès au vin. C’est ce qui va faire son succès. Offrant ainsi l’opportunité au particulier d’avoir plus facilement accès à ce vin-là, en termes d’achat et en termes de stockage et de consommation. Et comme une idée de génie n’arrive jamais seule, Louis Nicolas a l’idée de lancer la livraison de vin à domicile. C H | Alors grande révolution, on pense toujours que la livraison à domicile c’est Amazone, et bien non, c’est une entreprise française.  Le vin est un produit lourd, même mis en bouteille, il le reste. Ils vont donc mettre en place un ensemble de moyens, qui s’adressent principalement à une population aisée, il faut le reconnaître au début.  Ce sera des livraisons faites par des porteurs, des cavistes. Et un ensemble de moyens tout au long des siècles va être utilisé. On va avoir le porteur, on va avoir les charrettes à chevaux, et puis par la suite avec la motorisation, vont naitre les triporteurs à moteur, qu’on trouvera dans les années 50/ 60, les camions et tout un ensemble de livraison.  Ce qui est toujours le cas au XXIe siècle. Aujourd’hui on a service de livraison de proximité. Si vous demandez à votre caviste de vous livrer il pourra le faire. Et plus les années passent, plus Nicolas se développe. Comment la famille Nicolas a compris qu’il fallait ouvrir autant de magasins dans une seule ville ? C H | Très vite, la famille Nicolas va comprendre l ‘enjeu de la proximité.  Au XXIe siècle on parle de proximité, rurale, urbaine, on parle de tout ça.  Mais très vite ils vont comprendre que les gens se déplacent assez peu. L’investissement va être fait, à l’époque à Paris, pour mailler le territoire. Avec un modèle économique assez intéressant, puisque les cavistes qui sont logés en général, par couple, au-dessus des caves.  Et c’est modèle qui va perdurer pendant des décennies des décennies. On a aujourd’hui encore des cavistes, qui travaillent en couple, et qui résident à proximité ou au dessus de leur cave.  Et ça va contribuer, à la fois avec les produits, le maillage, et ce modèle social, à développer l’enseigne et à multiplier les points de ventes dans Paris pour répondre à la demande des clients parisiens.  Et l’histoire ne s’arrête pas là, puisqu’en 1895 c’est Etienne Nicolas, fils de Louis Nicolas qui reprend l’affaire familiale. C H | Louis Nicolas génie du commerce, de l’industrialisation etc., Etienne Nicolas, ça va aussi être un génie mais de la publicité. Il a une passion pour les arts, il a une passion pour le vin. Il va chercher à faire connaître cette entreprise et à développer principalement ...

EUREKAM : un dispositif pour réduire les erreurs médicamenteuses en anesthésie

EUREKAM a réussi à percer le marché européen grâce à son dispositif DRUGCAM, aujourd’hui installé dans une trentaine de centres hospitaliers en France. Créée en 2012, la startup rochelaise est éditrice de systèmes de contrôle numérique pour la sécurisation et la continuité des soins. Ses deux cofondateurs, des passionnés de l’innovation technologique, ont pour ambition de révolutionner le métier de la santé, grâce à des machines capables de prévenir les erreurs médicamenteuses. En combinant intelligence artificielle et savoir-faire technique, l’équipe crée de nouvelles solutions pour mieux soigner. Une technologie innovante Injection d’un produit au lieu d’un autre, préparation de médicament avec une posologie incorrecte, erreur de voie d’administration…, les erreurs médicamenteuses peuvent survenir à n’importe quel instant dans un établissement de santé. En France, ce fléau est à l’origine de 70 000 EIG (évènements indésirables graves) par an, soit environ un cas toutes les demi-journées d’hospitalisation (étude nationale de 2005). « Pour le moment, nous n’avons que la vérification humaine pour éviter ces erreurs. Et encore, cette étape est souvent négligée », se désespère Loïc Tamarelle, président d’EUREKAM. La société était, à l’origine, spécialisée dans la sécurisation des préparations de la chimiothérapie. Aujourd’hui elle s’attache au protocole des praticiens du service anesthésie. « Ce service manipule continuellement des médicaments puissants, relativement à risque, tels les curares, des narcotiques ou de l’adrenaline », fait comprendre l’équipe. Dans la plupart des cas, la préparation reste encore manuelle. Ainsi, le danger auquel s’exposent les patients s’avère immédiat si jamais une erreur médicamenteuse a lieu. Contacté par un grand CHU de la France, EUREKAM accepte alors de développer une technologie innovante permettant de sécuriser le process des préparations médicamenteuses en anesthésie. Sécurité et intégrité Le détrompeur d’EUREKAM est une machine fonctionnant sur la base d’analyses d’images. Grâce à cette technologie, celle-ci est capable de détecter, de reconnaitre et de vérifier l’étiquetage d’un flacon ou d’une ampoule. « La machine va d’abord scanner le texte. Ensuite, elle lit à haute voix les informations écrites », explique le dirigeant de l’entreprise. La synthèse vocale a l’avantage d’offrir beaucoup plus de précisions par rapport à la lecture visuelle, qui, elle, peut être troublée par plusieurs facteurs (fatigue, confusion ou illisibilité, lumière inadaptée, etc.). En plus d’identifier la molécule, elle peut en même temps informer sur sa concentration. « Autrement dit, la machine alerte tout le bloc opératoire s’il s’agit effectivement du bon médicament administré avec le bon dosage. » Toutes les actions entreprises par le médecin ou l’infirmier anesthésiste sont par la suite stockées sur un horodatage numérique. Cette traçabilité médicale entre en jeu quand ils ont besoin de s’assurer de la conformité de leurs actes à la bonne pratique. Une autre façon d’honorer la sécurité, l’intégrité et la valeur éthique exigée par le métier. En outre, l’horodatage est également autorisé en guise de preuve médico-légale.  Le détrompeur, nouvelle solution Le Salon SFAR 2018 (Société française d’anesthésie et de réanimation) va accueillir en grande première le lancement de cette nouvelle solution. « Ce détrompeur en est à sa première génération. Vont suivre d’autres versions plus perfectionnées qui iront plus loin encore », assure Loïc Tamarelle. La startup prévoit la version commercialisable pour janvier 2019. En attendant, elle cogite déjà sur la possibilité d’utiliser cette technologie en service de pédiatrie...

Huîtres Yvon : l’engagement envers la qualité

Dans le domaine de l’ostréiculture, la côte bretonne a toujours été associée à une production de qualité. Déjà à l’époque de l’Empire romain, les huîtres d’Armorique jouissaient d’une excellente réputation et étaient très prisées de la noblesse romaine. Aujourd’hui, la renommée des huîtres de la baie de Quiberon et de l’huître de Cancale n’a pas pris une seule ride et dépasse largement les frontières de l’Hexagone. Les huîtres bretonnes Qu’elles soient plates ou creuses, les huîtres de Bretagne ont une saveur incomparable. Cela s’explique notamment par une forte teneur en iode ainsi qu’à un équilibre parfait entre le sucré et le salé. Il faut dire que, dans la région, les huîtres bénéficient de conditions d’élevage optimales. Un environnement sauvage et préservé allié à un savoir-faire presque « ancestral » des ostréiculteurs de la région fait des huîtres bretonnes les meilleures au monde. Bien que l’on se dirige actuellement vers une tendance à la modernisation de la filière, certains ostréiculteurs restent farouchement attachés à des valeurs plus traditionnelles. C’est le cas de Jean-Noël et Tifenn YVON. Les établissements Yvon, des huîtres naturelles de qualité Installée à Listrec depuis les années 50, l’entreprise a été reprise par l’actuel producteur en 1989. De père en fils, la famille a su faire perdurer sa passion pour les huîtres tout en maintenant un degré de qualité élevé. En vue de garantir cette qualité sur le long terme, l’entreprise a adhéré au réseau Cohérence et se plie rigoureusement à un cahier des charges très strict. Privilégiant une exploitation rationnelle, elle adopte une démarche reposant totalement sur le respect du cycle naturel de l’huître. Les huîtres poussent en mer sur 14 ha du domaine public maritime avec une partie en élevage au sol et l'autre dans des poches (8 000 environ). Une exploitation à petite échelle si l’on se réfère à la structure de production autorisée. Ce respect du produit et de l’environnement s’inscrit parfaitement dans le cadre du mouvement Slow Food auquel adhère l’entreprise. Elle est devenue d’ailleurs sentinelle Slow Food depuis 2009. Créé en 1986 par l’Italien Carlo Petrini, ce mouvement se veut garant du bien manger avec une nourriture de qualité en opposition au concept de fast-food. ...

Le coaching d’organisation ou l’avenir du coaching en entreprise 

Mieux accompagner la transformation permanente et rapide des entreprises Le rythme de transformation parfois effréné que connaissent les entreprises et plus globlement l’instabilité du monde VUCA (volatility - uncertainty - complexity, ambiguity) désormais la norme, requièrent des dispositifs d’accompagnement favorisant rapidité, impact et ajustement permanent. Les interventions ponctuelles, successives et non coordonnées auprès de tel ou tel manager ou de telle ou telle équipe constituent un étai et un soutien précieux mais souvent insuffisamment impactant. Que les modèles d’organisation soient anglo-saxons complexes et conceptuels, que les fonctionnements soient franco-français, ou déjà très décentralisés, pour tous la question est la même : comment trouver sans cesse de la réactivité, de l’efficacité, de la souplesse pour survivre et prospérer dans un monde global, connecté, mobile qui va vite, très vite ? Il est impératif que les accompagnements ne concernent pas uniquement les dirigeants, quelques équipes et parfois certains managers en difficulté mais puissent de manière directe et indirecte s’adresser à l’ensemble des membres de la communauté humaine que constitue l’entreprise. Il s’agit de mettre les hommes et les femmes au cœur des projets de transformation, en sortant des déclarations et des modèles existants, en misant sur leur intelligence, leur implication et leur irrationalité. Il est possible de changer les habitudes, réformer, inventer d’autres façons de travailler tous ensemble et de susciter des initiatives créatrices, issues des organisations elles-mêmes.  Transformer le collectif pour reinventer les organisations Le coaching, en pleine métamorphose, est en train de passer du prisme individuel qui l’a constitué à un prisme collectif qui est l’essence même de l’entreprise. Le coaching d’organisation, par ses interventions réalisées par des équipes de transformation supervisées mixant ressources internes et coachs externes, par son approche globale et multi-niveaux, par l’attention qu’il porte aux phénomènes systémiques, sociologiques et inconscients présents dans tout collectif, par son principe d’ajustement et de co-construction permanent, constitue, sans aucun doute, l’avenir du coaching. Il répond son besoin de démocratisation à des populations qui aujourd’hui ne sont pas concernées. Il mobilise des effets de levier et de synergie que n’apportent pas suffisamment les coachings individuels et d’équipes. Il travaille à une montée en autonomie et en responsabilité de l’ensemble de la collectivité humaine qu’est l’entreprise. La transformation ne se décrète pas et ne peut être commandée. C’est toujours une complicité entre le haut et le bas, entre tous les niveaux et toutes les ressources de l’entreprise. Le coaching d’organisation est à même de proposer, de soutenir et d’orchestrer des démarches innovantes et toujours spécifiques. Sans diminuer les bienfaits des autres coachings qu’il intègre dans ses designs d’accompagnement, le coaching d’organisation représente une approche plus globale et plus complète qui permet de réinventer l’intervention en entreprise et de revisiter les autres formes d’accompagnement dans une perspective plus holistique et plus efficiente. ...

César Losfeld : affineur de fromage depuis 1871

Véritable patrimoine gastronomique français, le fromage traverse les siècles et se redécouvre ici au travers d’une large gamme de produits affinés de manière artisanale. C’est en 1871 que l’épopée familiale commence pour se perpétuer jusqu’à aujourd’hui grâce à un attachement à des valeurs telles que l’authenticité, la rigueur et l’excellence. Pionnier de l’affinage effectué dans le respect de la tradition, avec un brin de modernité, la Maison Losfeld se veut être la fière ambassadrice de la richesse gourmande de sa région. Une identité séculaire… Nous sommes au XIXe siècle. « Alors ouvrier, César Losfeld décide de se reconvertir, sous les conseils bienveillants de sa femme, Sophie-Adélaïde, dans le commerce de fromage. En vendant leurs produits en faisant du porte à porte auprès de la bourgeoisie d’antan, César Losfeld se découvre une passion qui va grandir au fur et à mesure à l’image de son petit commerce. Ainsi naquit la maison César Losfeld », nous raconte Monsieur Losfeld, quatrième génération de cette famille animée par le désir de partager les bonnes choses. Avec le temps, les fromages, en pâte dure ou en pâte pressée, seront affinés par la petite entreprise qui, pour répondre à l’essor du marché, décide d’acquérir de nouvelles caves plus spacieuses et dotées de la température idéale pour un affinage réussi. Ces nouvelles caves seront situées dans une ancienne usine textile sise à Roubaix dans laquelle l’affinage continue de se faire jusqu’à aujourd’hui. Ce patrimoine très bien conservé s’est doté d’un équipement moderne afin de faciliter l’acheminement du fromage, son affinage, son entreposage et sa distribution tant auprès des particuliers qu’auprès des crémiers. Afin de garantir, par ailleurs, la qualité et l’origine des précieuses meules, l’entreprise a pris, à partir des années 90, une nouvelle orientation marquée par un partenariat avec les fromagers et les fermiers locaux. De plus, l’affinage des fromages se fait sur des planches en bois de sapin avec un retournement et un brossage manuel qui favorisent le goût corsé et typé de chaque fromage, succulence rehaussée par une maturation longue de deux à vingt-quatre mois. Ces soins artisanaux et ces origines à la traçabilité fiable font ainsi l’identité et la renommée de la Maison Losfeld dont la réputation dépasse désormais les frontières françaises grâce à l’exportation de ses produits vers l’extérieur, notamment vers les États-Unis et le Japon. L’affinage… Ce savoir-faire, permettant aux cirons et aux acariens de grignoter la croûte du fromage et de faire ressortir l’humidité de chaque meule, est transmis de génération en génération et fait la fierté de la famille Losfeld, qui s’est donnée pour mission de valoriser les fromages locaux et régionaux. « Fondées sur l’affinage et la sélection du fromage, allant du négoce à l’achat, les activités de l’entreprise sont désormais axées sur l’affinage de pâte pressée à l’instar de la mimolette, produit phare de la maison, ou du pavé du Nord, un fromage en forme de pavé et doté d’une pâte pressée, spécialité créée il y a de cela vingt-cinq ans », reprend notre interlocuteur. Affinant également des fromages à pâte orangée tels que le géant des Flandres ou le gouda, Losfeld propose tout un éventail de produits inclus dans la gamme La Reine du Nord. ...

Musée national des douanes : 35 ans au service de l’Histoire et de la valorisation de l’administration des douanes

Le Musée national des douanes (MND) a fait son nid dans la halle de l’Hôtel des fermes du roi, un des plus précieux vestiges architecturaux de Bordeaux. Dédié exclusivement à l’Histoire et à la valorisation de l’administration des douanes, le musée regroupe actuellement plus de 13 000 objets, dont 600 sont exposés dans le parcours permanent. Le reste est dévoilé occasionnellement, lors d’expositions temporaires qui sont, le plus souvent, associées à un thème spécifique. L’exposition permanente, un parcours riche de découvertes « Nous avons des collections très variées et assez intrigantes pour nos visiteurs », introduit Aurélie Guichemerre, conservatrice et chargée de communication au MND. « Très variées », en effet, car, entre les œuvres d’art, les équipements et toute une panoplie de documents d’archives, il y a beaucoup à découvrir. Le parcours permanent du MND se décline en trois temps. Une première section retrace brillamment les moments clés de l’Histoire en abordant notamment l’Ancien Régime, la Révolution française, l’époque napoléonienne ou encore l’ère contemporaine. La deuxième section met en avant l’évolution du métier d’agent douanier. Y sont présentés toute une collection d’uniformes et d’accessoires, mais aussi un vaste panel d’outils et de matériels de travail dont l’utilisation remonte au XIXe et au XXe siècle. Quant à la dernière section (inaugurée récemment), elle dévoile un aspect plus contemporain. En ce lieu sont exposées les missions actuelles de la douane (perception des taxes, régulation des marchés, protection des citoyens, des espèces menacées, du patrimoine culturel…) et les différentes fonctions exercées par ses 16 800 agents (employés de bureau, maîtres-chiens, pilotes…). Se plonger dans la documentation historique Le centre de documentation historique (CDH) est accessible uniquement sur rendez-vous. Doté d’une bibliothèque et d’une médiathèque, cet espace est surtout dédié à la recherche. « Nous accueillons souvent des chercheurs, des journalistes souhaitant recueillir des éléments pour alimenter leurs articles ou même des personnes qui sont à la recherche d’une piste généalogique. Dans ce dernier cas, nous regroupons les informations trouvées dans les registres du personnel », explique Aurélie Guichemerre. Le CDH est dirigé par une documentaliste qui se charge d’aider les visiteurs à mieux s’orienter dans leurs recherches. Le centre propose également différentes prestations afin de répondre aux demandes les plus spécifiques. Parmi les éléments de documentation mis à disposition figurent des ouvrages, des photographies et des documents d’archives, tous en lien avec l’histoire et les différents services de la douane. ...

La Rotonde : au cœur de la gastronomie savoyarde

La Rotonde propose à ses invités une cuisine traditionnelle à la fois savoureuse et généreuse où les plats sont faits maison.  Un cadre somptueux Sans conteste, La Rotonde conjugue aisément raffinement et air du temps. En été, les convives peuvent bénéficier d’un jardin verdoyant à l’ombre de grands parasols en bois. Ils pourront également profiter de la cascade taillée dans une pierre des ardoisières de Morzine avec une vue magnifique sur les montagnes. Pour les soirées plus fraîches, une magnifique terrasse tout en parquet et entièrement vitrée confère un style moderne et contemporain à l’établissement. A l’intérieur, trois salles permettent d’accueillir des groupes. L’ambiance est différente mais c’est tout aussi agréable. Une cuisine traditionnelle et régionale La Rotonde aspire à répondre aux attentes de chacun que ce soit les enfants, adultes en couple, en famille, amis ou collègues. Dans cette perspective, le Chef propose des plats soignés, qui évoluent au fil des saisons, et des envies. Des suggestions qui changent toutes les semaines permettent d’ailleurs à ce dernier d’exprimer toute sa créativité, et aux convives, de découvrir en permanence de nouveaux plats. Vous y retrouverez les spécialités régionales comme la raclette ou la Potence (morceaux de bœuf flambés au whisky) qui sont à la carte toute l’année. Ces dernières sont servies à volonté pour rassasier même les plus gourmands. Durant les beaux jours, garden party et barbecue sont organisés tous les dimanches dans le jardin. Le restaurant proposant également des plats végétariens et sans gluten (également possible pour les pizzas et les fondues), il va sans dire que même les plus difficiles y trouveront leur bonheur. La carte des vins est mise en place par le directeur de la maison, François, sommelier de formation. Une sélection de vins au verre est également proposée toutes les semaines, permettant à tous les palais de trouver l’accord parfait entre le met et le vin tout en étant plus accessible à tous les budgets. Vous pourrez même avoir le plaisir de découvrir des vins « biologiques ». La Rotonde est un endroit cosy, où on aime prendre le temps de partager un plat de la carte soignée, dans un cadre somptueux avec des personnes que l’on apprécie. Le restaurant est ouvert à l’année, ce qui permet aux morzinois et vacanciers d’un week-end de profiter de l’un des seuls restaurants ouverts en ces périodes plus calmes. N’hésitez pas à vous y arrêter, vous ne serez pas déçus. Le restaurant est le fief des morzinois à l’entre-saison et devient alors le cœur du village. ...

La Côte Saint-Jacques : une table de grand art

C’est à Joigny, dans un cadre intimiste, que Jean-Michel Lorain officie, mettant ses talents de chef au service d’une table qui célèbre les ingéniosités de Mère Nature. Réserver chez cet enfant terrible de la gastronomie française, c’est ouvrir ses palais à l’expérience d’un voyage dont les papilles ressortent ragaillardies et transformées. Quand gastronomie rime avec simplicité Placée sous le signe de la légèreté et de la fraîcheur, la cuisine gastronomique vue par le chef de la Côte Saint-Jacques puise ses inspirations au cœur des produits. Sélectionnés chez des fournisseurs triés sur le volet, ils rendent le meilleur d’eux-mêmes dans un défilé de saveurs aussi changeantes que les saisons. Le classique y fraye délicatement avec l’exceptionnel, à travers des plats signatures comme la poularde de Bresse à la vapeur de champagne. Pour les très grandes occasions, la maison convie à un parcours savoureux où les papilles se retrouvent au détour de mille nouvelles initiations. Le thé fumé lapsang souchong révèle le foie gras sous un jour nouveau. Tous les sens sont en émoi, à l’instant du dessert, devant un service sucré qui déploie d’opulentes notes florales dans un camaïeu de rose. L’ambiance contemporaine et claire de la salle, qui rend élégamment la finesse des couverts, ajoute une touche d’ailleurs à toutes ces pérégrinations au cœur du goût. ...

L’Institut de Sciences et de technologies

Sous l’égide de l’Institut, elles mettent en commun leur expertise bicentenaire afin de poursuivre deux grandes ambitions : développer des programmes de formation d’excellence et une recherche de pointe. Grâce à l’ancrage de ses cinq Écoles fondatrices, l’Institut Polytechnique de Paris se positionne comme une institution d’enseignement et de recherche leader en France et à l’international. L’École polytechnique, l’ENSTA Paris, l’ENSAE Paris, Télécom Paris et Télécom SudParis ont contribué aux révolutions industrielles et technologiques majeures de ces deux derniers siècles. Parmi les diplômés de ces Écoles figurent plusieurs prix Nobel, ainsi que de grandes personnalités du monde politique, économique et de la recherche. Un Institut d’enseignement, de recherche et d’innovation L’Institut Polytechnique de Paris développe des programmes de formation et de recherche pluridisciplinaires s’appuyant sur une communauté de 1000 enseignants-chercheurs oeuvrant au sein de dix départements disciplinaires. Cette approche croisée crée des synergies inédites entre différents domaines, favorisant par exemple l’application des nouvelles technologies aux domaines d’ingénierie traditionnels tels que la physique ou les transports. Le transfert de connaissances vers l’économie et la société est au coeur des missions de l’Institut, dont le réseau d’incubateurs et l’écosystème dynamique favorise l’innovation de pointe et stimule l’inventivité des étudiants. Une offre de formation variée et d’excellence L’Institut Polytechnique de Paris et ses Écoles offrent une importante variété de formations couvrant les besoins des étudiants mais aussi des professionnels. Les étudiants, admis suite à un recrutement hautement sélectif, bénéficient d’un enseignement de haut niveau dispensé par des enseignants-chercheurs et des experts reconnus dans leur domaine. Les programmes de l’Institut Polytechnique de Paris permettent à ses futurs diplômés d’acquérir les compétences nécessaires pour s’adapter à un marché du travail de plus en plus compétitif et ce quel que soit le secteur visé. ...

Le Champagne Pompon Champy : quand on a le vin dans le sang

Priorisant les pratiques anciennes afin de préserver les saveurs du terroir, Pompon Champy se démarque par sa démarche qualité visant à proposer du champagne unique. Elle a bâti sa réputation autour de la production de ses cuvées avec des méthodes de travail authentiques et dans le respect des traditions. « Marcher dans les pas de mon père » Ces propos de Marie-Paule Pompon, héritière de la maison Pompon Champy, illustrent son attachement aux valeurs traditionnelles et familiales dans le processus de viticulture. « Mon père est arrivé à l’âge de 14 ans pour travailler chez un viticulteur, c’est là qu’il a appris son métier et qu’il a rencontré ma mère qui faisait les vendanges. Ils ont tous les deux travaillé comme salarié puis ont acquis des vignes avant de créer leur propre exploitation… C'est par leur travail et leur courage qu’ils ont créé une exploitation prospère » nous raconte Marie-Pompon.  Ainsi est née donc Pompon-Champy, une marque produisant des cuvées d’exception obtenues dans le respect des cépages, essentiellement du pinot meunier, qui poussent sur les quelque quatre hectares de terrain. Une terre « travaillée par une équipe de passionnés composée notamment d'Aurélie et de Freddy» tient à souligner notre interlocutrice. Pratiques anciennes et viticulture raisonnée Le riche héritage de Pompon Champy, ce sont des « pratiques anciennes que [Paul Pompom] a apprises de gens qui travaillaient le vin dans les années 50 », toujours selon Marie-Paule. Ces méthodes traditionnelles, alliant vendanges manuelles, travail soigné de la vigne et techniques anciennes de vinification, confèrent aux cuvées de la maison le goût typé caractéristique du terroir. Lors de vos instants gourmands, laissez-vous tenter par le Brut Tradition, un champagne 100 % pinot meunier, « fruité et fort en goût, et décliné en demi-sec », selon Marie-Paule. Accompagnez vos mets raffinés d’un Brut Réserve, une cuvée équilibrée obtenue par l’assemblage des trois cépages champenois. Notez que tous ces champagnes ont été élaborés selon une démarche de viticulture raisonnée. En réduisant le plus possible l’usage d’herbicides, la maison se veut être une marque prônant la durabilité dans les pratiques agricoles. ...

Restaurant LA TABLÉE : une nouvelle aventure gourmande

Située à Nantes, LA TABLÉE prône une cuisine familiale et conviviale, inspirée par le partage d’un repas comme à la maison. Le restaurant se distingue par ses plats réalisés à partir des conserves de Sardines, Thons et Maquereaux de  la Conserverie la belle-iloise. La décoration originale de la salle reflète bien cet esprit : maison de famille, thème marin, murs en pierre, meubles en bois clair, quelques touches de couleur rouge et jaune mélangées au bleu marin, des photos de famille et illustrations rappelant l’histoire de la Conserverie… Bref, un branding vraiment recherché invitant à une nouvelle découverte culinaire. Entre terre et mer En cuisine, le Chef Patrice Christodoulos fait preuve d’une grande créativité et d’ingéniosité pour révéler ce que l’on fait de mieux avec les poissons en conserve. « Ce sont des produits qui sont déjà travaillés, assaisonnés, et notre objectif est de cuisiner différemment pour offrir une cuisine de qualité originale à nos clients », explique-t-il. Avec d’autres ingrédients frais et rigoureusement sélectionnés à sa disposition, il peut laisser libre cours à son imagination pour élaborer des recettes savoureuses, raffinées et hautes en couleur. En plus des produits de la conserverie familiale, la maison travaille également avec des producteurs locaux. Ces derniers assurent l’approvisionnement en fruits et légumes, en viandes ou autres ingrédients. « Les matières premières sont fraîches et cuisinées sur place afin de vraiment sublimer nos plats », continue le Chef. Une carte du midi et une carte du soir  Les menus s’adaptent au rythme de la clientèle. Avec la formule BBI à midi par exemple, à emporter ou à consommer sur place, le client va pouvoir choisir son burger maison parmi les cinq spécialités proposées, opter pour une boisson chaude ou froide, avant de terminer avec le dessert du jour. Le soir, des plats plus élaborés sont au rendez-vous à travers le menu Quiberon, avec au choix la terrine de foie gras au thon blanc germon accompagné d’un pain d’épices à l’émietté de Sardine des Bastides ou encore le pavé de thon blanc germon lardé braisé de cinq heures. « On se rapproche vraiment  du civet, marinade de vin rouge et plantes aromatiques pour relever le goût !», reprend le Chef en décrivant ce plat. La carte Tapas où se côtoient croquetas de ratatouille au Thon fumé et accras de Maquereaux à la moutarde est disponible tout aussi bien le midi qu’en soirée. Le tartare de bœuf et Sardines à la Luzienne ou encore les Aubergines rôties au Brocciu et Sardines au citron coriandre viennent s’intégrer à la nouvelle carte de LA TABLÉE, pour ravir les gourmets. « Les gens aiment bien faire des découvertes, ils s’intéressent aux nouvelles choses », renchérit notre interlocuteur. Pour accompagner ces plats, le restaurant propose une carte de vins assez riche, où l’on y retrouve des vins de la région et des vins bio, le tout en rouge, en blanc et en rosé. Côtes-du-rhône, Menetou-Salon et Bourgogne pinot noir figurent parmi la sélection de rouges. En blanc, l’on cite les vins en appellation Muscadet-Sèvre-et-Maine et Gaillac. Le rosé AOP Côteaux-d’Aix-en-Provence complète la liste des vins qui marchent le mieux. LA TABLÉE privilège aussi les bières locales, à l’image de la Brigantine, une bière biologique fabriquée à Pornic. ...

Le Carré Rouge : délices et saveurs

Le Carré Rouge est situé dans les quartiers des Carmes, au cœur de Toulouse. Cet établissement, renommé et récompensé récemment par une toque au Gault & Millau, ravit les palais avec des plats gastronomiques recherchés et savoureux. Le chef Jules Frank, passionné, aime surprendre ses convives avec des recettes respectant la saisonnalité. Cadre sympathie et accueil agréable Le chef Jules Frank élabore une cuisine traditionnelle délicate revisitée, en sélectionnant des produits frais du marché. Ses mets sont à savourer dans un cadre chic et intime, pour un instant consacré à la découverte de nouvelles saveurs.L’établissement a été rénové et redécoré par l’architecte Véran Émilie. Cette jeune spécialiste apprécie particulièrement l’architecture contextuelle et sensorielle. Pour ce restaurant, elle a choisi un décor boisé allié à un travail graphique sophistiqué, tout en gardant l’esprit cosy. La salle principale est spacieuse et comporte des mobiliers colorés ainsi qu’une vaisselle moderne. Les banquets adossés aux murs et les chaises assurent le confort aux invités. Le coin VIP, quant à lui, est réservé aux soirées jazz. L’intimité se construit grâce à un fond musical très calme et une lumière légèrement tamisée. Excellente adresse, excellent repas Le chef présente des plats très soignés avec une subtile association de goûts et de couleurs. Il élabore une carte et des menus qui changent à chaque saison. Côté carte, le cordon bleu a personnalisé lui-même celle du soir qu’il a nommée « Carte du soir, au rythme du printemps ».À l’honneur ce jour-là, un gaspacho et tuile de pesto servi en entrée. Vient ensuite le gigot d’agneau, sauce gastrique à la sauge, fenouil rôti, pomme de terre « chérie ». En guise de dessert, une délicieuse charlotte à la fraise. Côté menu, la maison en propose trois au choix : le menu découverte, le menu du soir et le menu du Carré rouge. Elle sert également une formule du midi en deux déclinaisons. « Le classique », à 10 €, donne le choix entre une entrée et un plat ou un plat et un dessert. « Le complet », à 13 €, est constitué d’une entrée, d’un plat et d’un dessert. En musique La maison organise toutes sortes d’évènements à vivre entre amis ou en famille. Dans l’espace VIP ,les repas sont accompagnés d’un concert de jazz and blues. L’année dernière, l’établissement a été animé d’une soirée spéciale « piano-contrebasse » avec Thibaud Dufoyet Thibaud Saulas. Le restaurant est également privatisable et peut accueillir des fêtes comme les anniversaires, les communions, les baptêmes et les mariages mais aussi les buffets de soirées et de réunions professionnelles. Nouveauté : Le carré rouge proposera à partir du dimanche 9 octobre, un brunch dominical composé de pancake maison, de jus de fruit frais (pressés ou centrifugés), d’une gamme de thés et d’assiettes autour de la mer. Une déclinaison de viennoiserie et d’œufs travaillés de différentes manières sera aussi au programme. ...