Le Château Tour Castillon ouvre les portes de son domaine à tous les amateurs de vins du Médoc. L’occasion de découvrir les créations uniques et originales de cette famille de vignerons depuis plusieurs générations. Château Tour Castillon : le domaine L’histoire du vignoble Peyruse remonte à 1914. À cette date, Théobal Peyruse acheta la propriété de Castillon, située à 60 km au nord de Bordeaux. Classée en appellation Médoc, la vigne s’étend sur 40 hectares. Puis, dans les années 90, ce fut au tour de Pierre Peyruse de prendre les rênes de la propriété avant de les laisser à ses enfants, Sébastien et Laure, en 2019. Ces derniers représentent la quatrième génération en charge du domaine et de l’élaboration du vin. Aujourd’hui, le vignoble est réputé pour ses cuvées nobles, issues de l’assemblage de 5 cépages : merlot, cabernet sauvignon, cabernet franc, petit verdot et carménère. Régulièrement récompensées, les créations de la propriété profitent d’un élevage en fût de chêne pendant 2 ans. Ce qui leur permet de révéler une grande élégance ainsi qu’une grande intensité aromatique. L’oenotourisme au château Tour Castillon Pour apprendre à découvrir les vins du vignoble Peyruse, plusieurs événements sont organisés tout au long de l’année. Ainsi, il est possible de visiter le domaine et de déguster les vins du vignoble du lundi au vendredi. Si vous passez dans le coin, sachez que la visite est gratuite. À savoir : il n’y a qu’en juillet/août qu’elle est sans rendez-vous. Le reste de l’année, il est préférable d’annoncer sa venue. En complément, vous pouvez aussi réserver une balade commentée qui est un moment privilégié pour en apprendre plus sur le vignoble tout en profitant de paysages d’exceptionnels. Cette promenade qui peut se faire en famille débute directement dans la vigne et se termine dans les chais. Commentée par un membre de la famille Peyruse, c’est l’occasion unique de parfaire votre connaissance des vins de la région et de la viticulture en général. Il ne faut pas oublier non plus l’apéro estuaire qui vous invite à déguster du bon vin et apprécier une bonne planche de charcuterie dans une montgolfière ou sur un carrelet de pêche tous les mardis et vendredis de juillet et août. Finalement, si vous aimez la musique, vous devez noter dans vos agendas les dates des différentes soirées Music and Wine qui se déroulent au bord de l’Estuaire tout au long du mois d’août. Un groupe différent se produit sur scène à chaque fois. De quoi ravir les épicuriens à la recherche d’expériences de dégustation uniques mêlant musique, tapas et vins du Médoc. ...
Tout le monde sait que Clairefontaine est la résidence de l’équipe de France de football. Savez-vous que c’est aussi un lieu de séminaires d’entreprises ? Des événements d’entreprises sur-mesure Il n’y a pas que les équipes de football professionnel et amateur qui se rendent au centre de Clairefontaine pour s’entrainer. Ce lieu historique possède, en effet, l’espace nécessaire pour accueillir tous types d’événements (journée d’étude, séminaire résidentiel, tournois de football…). Profitez d’infrastructures à la pointe pour l’organisation de vos événements. Quel que soit votre projet, l’équipe commerciale du CNF se mobilisera pour trouver une réponse adaptée et sur-mesure à vos besoins. Grâce à des installations modernes et configurables à l’envie, vous avez toutes les clés pour mettre en œuvre des séminaires de grande qualité, des conventions instructives, des lancements de produit réussis ou tout autre type de réception impliquant vos collaborateurs. À savoir : que vous vouliez organiser votre événement sur une demi-journée, une journée ou plusieurs jours, tout est possible. Entre deux réunions, offrez la possibilité aux participants de visiter le centre, profiter de l’intervention de professionnels du football ou prendre part à des activités de team building pour fédérer vos équipes. Ce centre a permis à de nombreux sportifs d’atteindre des sommets. Pourquoi pas vous ? Un centre séminaire moderne en constante évolution Depuis son inauguration, en 1988, le CNF s’est amélioré afin de rester un lieu d’accueil performant. Il possède ainsi assez de ressources pour faire de votre événement une réussite. Premier point fort : son environnement. Situé en pleine nature, dans la forêt de Rambouillet, vous profitez d’un espace calme et reposant offrant un cadre propice à la détente et la réflexion. Parfait pour aider vos collaborateurs à sortir de leur quotidien et à fournir le meilleur d’eux-mêmes. De plus, les nombreux travaux entrepris ont permis au CNF de se moderniser afin de fournir des prestations de grande qualité, répondant aux attentes de toutes les entreprises. À commencer par le CFC proposant 5200 m² répartis sur 4 niveaux. Pour garantir à votre manifestation prestige et excellence, vous profitez de l’espace Jules Rimet de 540 m² reconfigurable et divisible en trois espaces égaux de 180 m². En complément, vous découvrez l’auditorium Georges Boulogne (110 places assises) et l’auditorium Fernand Sastre (254 places assises) ainsi que 5 salles de réunion (sur les 15 du CNF) avec tout le matériel multimédia dont vous avez besoin. Autant d’outils favorisant des sessions de travail studieuses et décontractées, centrées sur le partage et la réussite de vos projets. Compris dans le package, sachez que vous profitez aussi de plusieurs gammes de repas allant du self-service au repas étoilé, en passant par le repas brasserie et gastronomique ainsi que des cocktails debout et finger-food. Installez-vous confortablement dans l’un des 7 salons privatifs, dans le café lounge ou directement au restaurant (250 places) et appréciez une cuisine savoureuse et raffinée. Finalement, si vous avez prévu de rester plusieurs jours, découvrez des résidences aussi confortables que modernes ayant une capacité d’hébergement de 160 lits répartis en chambre twin et single. De la résidence Équipe de France ayant servi de lieu de repos aux plus grands footballeurs (20 chambres singles et 10 twins) à la résidence Espoirs (30 chambres twins) en passant par la résidence Villa ou Élite : vous trouvez facilement l’hébergement adapté. Sans oublier neuf terrains de football (en gazon naturel, en herbe synthétique ou en gazon renforcé Desso GrassMaster) offrant des sensations incroyables. ...
C’est au cœur du parc naturel régional de Millevaches, dans le Limousin, que Françoise et Jules Lahaye invitent les amoureux de la nature et les fins gourmets à déguster leurs savoureuses spécialités. Des produits nobles comme la viande bovine de race limousine, une cuisine raffinée sublimée par les meilleurs vins et des services dignes des meilleures tables étoilées… Tout un programme ! Un maître restaurateur rend hommage à la viande Privilégiant saveurs, traditions et savoir-faire, la cuisine du Ranch des Lacs propose le meilleur des produits locaux, parmi lesquels figurent la viande bovine de race limousine et des autres produits comme le Belou agneau du pays de Vassivière et le canard / foie gras de la ferme de Beauregard. Le maître restaurateur Jules Lahaye sélectionne uniquement des produits issus de vaches nées, élevées, engraissées et abattues dans le Limousin. L’établissement sert uniquement de la viande ayant bénéficié d’une longue maturation de plus de neuf semaines. Un produit qui surprend par sa texture moelleuse et son succulent goût de noisette. Les entrecôtes, côtes et autres carrés de bœuf préparés par le boucher Hugues Burgalières libèrent ainsi un concentré unique de saveurs. Autre produit phare de la maison : le bœuf de Coutancie, un produit unique en provenance de Dordogne. Nourri aux céréales, fini et massé deux fois par jour durant 20 minutes, ce dernier est reconnu pour être l’équivalent du fameux bœuf de Kobé d’origine nippone. Cette viande d’exception est à la fois tendre et savoureuse. Spécialités de la maison Sur la carte défilent des recettes plus succulentes les unes que les autres, dont la spécialité de la maison : la fondue pelaude, une fondue de viande bovine de race limousine (cela va de soi) accompagnée de différentes sauces, crudités et de gratin de pommes de terre. Le porc cul-noir du Limousin et le caviar de Neuvic sont également aux premières loges pour le plus grand plaisir des gourmands et fins gourmets. Chaque plat est accompagné de petits légumes privilégiés pour leur qualité et sélectionnés chez des producteurs locaux. Une cave aux trésors Pour parfaire les plaisirs gastronomiques de sa clientèle, la maison abrite une cave où plus de 800 vins sont référencés. Et depuis 2009, le tarif caviste a été adopté permettant aux épicuriens de profiter de dégustations moins chères. Les vins à déguster sur place ou à emporter font balader dans les plus grandes régions viticoles du pays mais aussi d’Italie, du Portugal et même du Chili. ...
Cette bière était brassée au sein même de l’abbaye de Tongerlo, il y a déjà 110 ans. Hélas, la première guerre mondiale mit un terme abrupt à cette tradition, puisque l’occupant allemand réquisitionna les cuves pour en utiliser le cuivre. Après de nombreuses pérégrinations avec leur bière, les moines Prémontrés de l’abbaye trouvèrent enfin la quiétude auprès de la brasserie Haacht, en 1990. En échange de la licence accordée, la brasserie apporte son soutien à une communauté monastique des plus dynamiques de Belgique. Brasserie Tongerlo : tradition ancestrale pour une bière blonde aux aspects cuivrés et aux arômes de miel... Le choix des moines s’est porté sur une brasserie à caractère familial, qui attache une grande importance à la qualité et à l’authenticité. Cette attitude se laisse découvrir à chaque dégustation de la bière Tongerlo. Fidèle à leur devise présente sur les portes de l’abbaye du 14e siècle, « Festina Lente » (« se dépêcher lentement » en latin), les moines préconisent que cette bière brassée avec savoir se déguste avec sagesse. Bière blonde aux teintes cuivrées de fermentation haute, la Tongerlo se distingue par son délicat arôme de miel et sa douceur en fin de bouche. Elle est tout en rondeur. À noter également que, courant 2017, la bière présentera une nouvelle identité visuelle plus moderne déclinée sous trois formats : pack de 6 x 25 cl, boîte de 50 cl et bouteille de 75 cl. Aujourd’hui, l’abbaye se visite et vaut le détour. ...
Dans un décor empreint de modernité et d’originalité, Anova Hôtel & Spa est une invitation permanente à la gourmandise et aux séjours sur mesure. Dominant en été le golf international 18 trous et en hiver les pistes de ski, il conjugue, au présent, la magie des lieux et la combinaison des saveurs. Un trio d’espace dans un cadre d’exception Anova Hôtel & Spa offre un cadre d’exception ouvert sur les Alpes françaises. Mélangeant des éléments de déco rustiques et chics, l’enseigne se trouve à proximité immédiate du golf de Montgenèvre, à une distance de 1,5 km de la frontière italienne. L’établissement réunit en un seul lieu un espace d’hébergement avec des chambres à l’intérieur élégant, qui donnent toutes sur la montagne, un espace bar et restaurant à l’ambiance chaleureuse, ainsi qu’un bassin de détente avec des banquettes de massage, d'un jacuzzi, d'un sauna et d'un hammam. Entre le restaurant et le bar, une salle de jeux est disponible pour faire le bonheur des petits et des grands. Une cuisine du terroir et d’ailleurs À travers une cuisine authentique et originale, où les saveurs du terroir et les parfums d’Italie se marient autant qu’ils se complètent, l’enseigne dispose d’un large choix d’espaces pour les gourmands et les gourmets. Qu’il s’agisse d’une halte rapide ou d’une étape gourmande, tout est possible : siroter un verre, déjeuner en terrasse ou encore dîner au coin de la cheminée. Laissez-vous surprendre par les spécialités du chef, qui à travers une cuisine du terroir et d’ailleurs, fait danser les papilles, même celles des plus exigeants. Des plats-signatures à découvrir et à recommander L’espace restaurant & bar de l’Anova Hôtel & Spa est le lieu idéal pour découvrir dans un plaisir sans cesse renouvelé, les spécialités franco-italiennes du chef, allant de la fondue savoyarde à la tartiflette au reblochon en passant par le risotto végétarien aux légumes de saison et la tarte citron by Anova. En mesure de proposer différents menus incluant des menus enfant, sans gluten, végétalien et végétarien, l’enseigne sait satisfaire tous les palais avec les meilleurs accords mets-vins. ...
Après des années de recherche, le pharmacien Jean-Pierre Pallier a réussi à mettre au point un dispositif permettant de soigner le mal de dos sans besoin pour le patient de s’aider de la médication ou de manipulations supplémentaires. Spinup est une innovation dans le secteur de la rhumatologie car il a fait ses preuves en milieu hospitalier sur des personnes souffrant des maux de dos les plus courants. Spinup, un système simple pourtant efficace pour soulager le mal de dos Spinup est unique en son genre grâce à sa simplicité d’utilisation et ses effets immédiats. Il suffit pour son utilisateur de s’allonger dessus quotidiennement pendant une quinzaine de minutes pour sentir l’état de son dos s’améliorer. Sabine Pallier, co-gérante de la société Spinup, explique que ce dispositif breveté possède deux missions en étant « préventif et curatif ». Les « orthèses » mises au point sur Spinup jouent un rôle essentiel dans le soulagement des maux de dos d’origine physique, tels que lombalgies, cervicalgies, sciatique, arthrose, scoliose, ostéoporose, hernie discale, mais elles fonctionnent aussi sur les maux dus au stress et à la fatigue, tout en contribuant à décontracter les muscles. Ces deux barres saillantes et souples épousent les contours de la colonne vertébrale afin de redresser et replacer celle-ci correctement, en effectuant en même temps un massage. Comme l’indique notre interlocutrice, « Spinup peut être utilisé simplement pour se détendre », en mentionnant toutefois que celui-ci « agit sur la douleur et sur la posture ». Adospin, le coussin idéal pour reposer le dos Adospin, le « petit frère » de Spinup, est un coussin gonflable également pensé pour soulager le dos mais s’utilise, quant à lui, en position assise. Il s’utilise au moment des trajets en voiture, en train ou en avion. Sa forme anatomique épouse le dos et il a été conçu en double-face, le premier dédié aux douleurs dorsales, le second aux douleurs lombaires. Ses deux faces sont également constituées d’orthèses corrigeant la mauvaise posture de la colonne vertébrale. Adospin a fait l’objet de tests cliniques et ses effets sont sans appel sur le soulagement des maux de dos. Il convient même à un meilleur ajustement de la posture des personnes à mobilité réduite. ...
Depuis mai 2017, Enzo et Rida vous accueillent dans une ambiance cosy au sein du restaurant Vava. Tables basses et tables hautes en bois, faites sur mesure par une ébéniste, côtoient cuir, aluminium, laiton, carreaux bleu mat et mur en pierre, pour vous plonger dans une décoration inspirée des années 70. Aux beaux jours, la vitrine s’ouvre sur la rue pour vous faire profiter d’une mini terrasse. Pour un repas bistronomique Dans ce cadre intimiste, vous pourrez parcourir la carte originale imaginée par le chef consultant Benjamin Mathieu. Passé par les cuisines de restaurants étoilés comme le Louis XV et le Bristol, il propose une cuisine bistro inspirée de ses origines méditerranéennes. Il aime particulièrement mettre à l’honneur les produits de la mer, comme les couteaux ou les palourdes par exemple. Tout au long de votre repas, vous pourrez apercevoir le chef Maxime Villevaud dans la cuisine ouverte. Après des débuts à 17 ans chez Jacques Chibois, il vous fera découvrir sa cuisine instinctive et nomade, se déclinant au fil des saisons. Avant de commencer, pensez à goûter aux passe-temps, ces délicieux tapas revisités à la mode Vava. Puis, vous pourrez savourer un des plats signatures de ce restaurant. Comme le ris de veau croustillant laqué, originalement sublimé par des câpres, du chorizo et du citron et accompagnée d’une délicieuse purée. Ou le calisson déstructuré avec madeleine et fleur d’oranger, un dessert moelleux et ultra-léger. Tous les plats sont déjà un plaisir pour les yeux avant de l’être pour vos papilles. Saveurs originales et associations délicates sont toujours au rendez-vous. La carte est courte et variée. Elle est renouvelée tous les mois pour des plats préparés à partir de produits frais et de saison. Avec une belle carte des vins La carte des vins a été soigneusement élaborée par Sébastien Depis. Avec principalement des vins français, mais aussi des vins bio et des vins italiens. Vous pourrez par exemple déguster un vin blanc du domaine des Coudereaux. Vous trouverez toujours un vin en accord parfait avec votre plat. N’hésitez pas à demander conseil. ...
Saulieu : parenthèse de fraîcheur dans le Morvan Vous voulez un séjour empreint de fraîcheur ? Rendez-vous à Saulieu. A l’entrée du parc naturel du Morvan, c’est « le site » des breaks vitaminés et gourmands. Commencez déjà par mettre de la distance entre vous et vos préoccupations purement citadines en posant vos bagages à l’une des adresses, toutes charmantes, qui foisonnent dans le coin. Cédez à l’appel de l’expérience Relais&Château en vous installant au Relais Bernard Loiseau ou préférez l’insolite d’un tipi, d’une yourte ou d’une maison de hobbit au Domaine de la Pierre Ronde. Préparez le bataillon à faire le plein d’oxygène lors de virées en quad ou à cheval. Sports nautiques et tree climbing seront également au programme. Un détour par le Bistro Charolais requinquera l’équipe qui se retrouvera autour des grillades et autres spécialités bourguignonnes de la maison. Et pour « épater la galerie » au retour, prévoir un crochet par le Café parisien – l’un des plus anciens bistros de France ! – et le musée François Pompon. Pays châtillonnais : la Côte-d’Or viticole Comme touriste, vous êtes plutôt porté sur les bons crus ? Tournez-vous vers le Pays châtillonnais, une destination Vignobles&Découvertes pleine de ressources. Le Crémant de Bourgogne se dévoile en toute intimité au long de la route qui lui est consacrée. Sur le trajet, au niveau de Massingy l’oenocentre Ampélopsis accueille petits et grands pour un parcours pédagogique et ludique unique autour du vin. Moments d’émotion quand on rencontre les Sylvain Bouhélier et les Van-Hecke Roland dans leur domaine. Prolongez ces expériences sensorielles en goûtant aux spécialités gourmandes de la Bourgogne comme les escargots. A moins que le menu gastronomique du Restaurant du Château de Courban vous parle plus. Points de chute recommandés : Les Chambres de Rochefort aménagées dans une authentique demeure du 19ème, ou celles du Clos d’Orret avec leur panorama à couper le souffle et leur salle de musique exceptionnelle avec orgue à tuyau ! Les plus beaux villages de France, c’est par ici Au-delà de ces incontournables, la Côte-d’Or et sa belle campagne, c’est avant tout une destination authentique, l’Auxois, ou surgissent des villages labellisés « Plus Beaux Villages de France » comme Chateauneuf-en-Auxois ou Flavigny-sur-Ozerain. Longues promenades romantiques en vue à travers les ruelles pavées au cœur des remparts. Pour se restaurer, on fonce à la Grange, une auberge tenue par les femmes d’agriculteurs du village, un bon petit plat très local et c’est reparti pour un autre tour de visite dans la bonne humeur. ...
Créée en 2003, Evazio a créé des circuits touristiques : dans la région bordelaise avec sa grande richesse culturelle et patrimoniale, au Pays Basque, en Périgord, en Charente-Maritime au départ de La Rochelle et en Charente aux environs de Cognac et Angoulême. Ces circuits sont conçus pour offrir aux touristes liberté, découverte et plaisir. Ils sont organisés autour de randonnée de 4 à 8 jours, à pied ou à vélo, pour admirer les aspects variés du Sud-Ouest de la France. Ainsi villages de caractère, paysages, châteaux viticoles et vignobles sont au rendez-vous. Les hébergements sont prévus dans des hôtels 3 ou 4 étoiles ou dans des chambres d’hôtes. Le déroulé d’un circuit Arrivés au 1er lieu d’hébergement, vous prenez possession de vos vélos, du dossier de voyage avec le road book, la carte détaillée du parcours et les éléments touristiques. Le transfert des bagages étant pris en charge, vous n’avez plus qu’à vous laisser guider et décider des visites que vous désirez réaliser. Un séjour actif, en toute liberté, sans contrainte ! ...
Le Pont de l’Ouysse est un héritage familial qui se distingue par une cuisine jalousement conservée dans la tradition et perpétrée de génération en génération. La passion du métier aidant, accentuée par le désir d’aller plus loin dans les études hôtelières, Stéphane et Mathieu, issus de la 5è génération, ont aujourd’hui repris les rênes de ce bel héritage gastronomique familial pour continuer l’aventure. Une cuisine gastronomique de région est privilégiée à laquelle vient s’ajouter des plats d’ailleurs revisités. Une invitation aux plaisirs gustatifs et au dépaysement Dans un style « campagne chic » à l’ambiance cosy, le restaurant Le Pont de l’Ouysse est une irrésistible invitation à la découverte et aux plaisirs gustatifs. Il offre un cadre aux notes nostalgiques où se marie merveilleusement une profusion de couleurs et de senteurs. Le restaurant est particulièrement pensé pour offrir au lieu, une pointe de romantisme très recherché, tout en laissant opérer la magie. Les clients aiment parcourir ses berges aménagées en jardins et en promenades, afin de gouter avec sérénité, au calme et au dépaysement, dans un décor idéalement fleuri… Un véritable plaisir pour les yeux et pour les sens ! « Nous pouvons y accueillir 60 personnes en salle et 70 personnes en terrasse » précise Mathieu Chambon, maître d’hôtel. Une cuisine locale Le restaurant privilégie les circuits courts en travaillant avec des producteurs locaux. « Nous mettons en valeur les produits régionaux (melon, truffe, agneau, pigeon, fraise, asperge, noix, fromage, foie gras, safran etc…) et nous constituons la carte en fonction des produits de saison » tient à préciser Stéphane Chambon, Chef étoilé. La maison s’attelle également à la préparation de différents plats créatifs et authentiques à partir d’un bouquet de fruits de mer tels que Saint-Jacques ou homard, ceci pour répondre aux besoins de certains clients. Les plats-signatures à l’honneur avec des menus et formules à la carte Parmi les plats-signatures figurent notamment le pied de porc truffé, la crème de pommes de terre, le foie gras Bonne Maman, les queues de langoustines rôties ou encore la pomme de terre à la truffe. Afin de satisfaire toutes les gourmandises, la maison a développé plusieurs formules dont le Menu Belcastel à 92 euros, le Menu des moulins à 60 euros et le Menu du Vieux Pont à 40 euros (servi uniquement le midi excepté le dimanche et les jours fériés). Sur la carte des vins, « nous privilégions plutôt le vin régional (vignobles de Cahors et Bergerac), mais nous proposons également des vins provenant de toutes régions de France » spécifie Mathieu. ...
La maison Yveline Prat a été fondée en 1975 par Alain et Yveline Prat. Établie dans les coteaux du Sézannais à la limite de la côte des blancs, elle dispose d’un vignoble qui s’étend sur une superficie totale de 13 ha. La maison travaille actuellement sur trois grands terroirs situés respectivement sur la côte des Bars, la côte du Sézannais et dans la vallée de la Marne. Une méthode bien particulière Dans son ensemble, le vignoble comprend trois principaux cépages adaptés à chaque terroir : le chardonnay, le pinot meunier et le pinot noir. En ce qui concerne le type de viticulture, la maison adopte une démarche raisonnée avec un soin tout particulier apporté au travail du sol. « Nous limitons au maximum les intrants et l’usage de phytosanitaire », explique Alexandre Prat, le fils du fondateur. Récoltant-manipulant, la maison Yveline Prat possède ses propres vignes et vinifie elle-même ses raisins. Pour cela, elle utilise une méthode de vinification traditionnelle. « Nous travaillons avec des pressoir à membrane, ce qui permet d’avoir un jus de meilleure qualité. » Deux gammes et une multitude de saveurs Les spécialités de la maison se déclinent en deux gammes : la gamme tradition et la gamme exclusive. Chacune développe un assemblage de cépages issus de différents terroirs de champagne. C’est en quelque sorte « la marque de fabrique » d’Yveline Prat. Parmi la sélection, quatre cuvées viennent représenter la maison : brut tradition, fût de chêne, rosé et millésime. D’abord,le brut tradition est sans conteste la cuvée la plus représentative. Élaborée avec 35 % de chardonnay, 30 % de pinot noir et 35 % de pinot meunier, elle revêt une robe aux reflets or très clair. L’attaque en bouche est très fraîche et la douceur se révèle par une sensation de fruits mûrs et juteux. Cette cuvée est à déguster au moment de l’apéritif et au dessert, notamment sur un gâteau sablé ou une tarte aux abricots. Ensuite, médaillé au concours général agricole 2018, le fût de chêne est un champagne de caractère. Vieilli plus de six mois en fût de chêne, il est très apprécié pour ses subtils arômes boisés, idéal pour accompagner une belle viande en sauce. Le rosé, quant à lui, enveloppe subtilement un arôme de fruits rouges frais, de fruits confits, le tout associé avec quelques notes épicées. À déguster autour d’un repas exotique ! Enfin, le millésime se compose de 50 % de chardonnay, 25 % de pinot noir et 25 % de pinot meunier. Un champagne avec de délicieuses notes de fruits d'été. En bouche, il propose un très bel équilibre sucre/acidité. ...
Reliant Dijon à Santenay, la route des grands crus de Bourgogne a été créée en 1937 par le conseil général de la Côte-d’Or. Traversant une mer de vignes qui forme un paysage atypique façonné par la nature et perfectionné par la main de l’homme, il s’agit là de la première route à avoir associé le développement du tourisme à la commercialisation des vins de Bourgogne. Ce concept visionnaire, auquel elle doit son incomparable succès, lui a ainsi permis d’acquérir une notoriété bien au-delà des limites de l’Hexagone. La route des grands crus de Bourgogne, comme si on y était… Sur un parcours de 60 kilomètres qui permet la traversée de 37 villages aux appellations légendaires ainsi que les villes de Dijon et de Beaune, particulièrement réputées pour leurs richesses patrimoniales, la route des grands crus est un itinéraire merveilleux au cœur du vignoble de la Bourgogne où sont répertoriés des centaines de climats aux noms intrigants pour ne citer que Le clos des ducs, Les amoureuses, La ruchotte, Creux de Tillet, Les pas de chat ou encore Climat du val… Loin de la signification originelle du terme « climat », il fait ici référence à une traduction typiquement bourguignonne du mot « terroir ». Ce qui confère à l’ensemble un caractère spécifique qui fait toute la différence. Partiellement aménagée en chemins pour les randonneurs et en véloroute pour les cyclistes, la route est une pure invitation à la découverte. Les paysages typiques, l’histoire du vignoble de Bourgogne et ses « climats » lui valent d’être, depuis l’été 2015, inscrits au patrimoine mondial de l’Unesco. La Route des grands crus de Bourgogne : la vidéo 14 mai 1937 – 14 mai 2017 : 80 ans de succès Première route viticole touristique de France, la Route des Grands Crus de Bourgogne fête aujourd’hui ses 80 ans d’existence ! Une célébration marquée notamment par l’exposition photographique Nature humaine du réalisateur Cédric Klapisch, qui a tourné son dernier film sur la route des grands crus, accueillie au cœur du Château du Clos de Vougeot du 14 mai au 14 juillet. L’occasion de découvrir la magnifique architecture style cistercien et Renaissance du berceau du vignoble bourguignon. A travers la découverte de ce site emblématique des climats du vignoble de bourgogne, c’est avant tout l’entrée dans le monde de la viticulture de terroir, inventée en bourgogne, que l’on comprend et que l’on ressent. Berceau de nombreuses inspirations cinématographiques Faisant désormais partie des sites de prédilection des réalisateurs, les villes et villages situés sur la Route des grands crus de Bourgogne ont toujours inspiré de nombreux films pour ne citer que les grands succès d’antan que furent La Grande Vadrouille, avec Bourvil et Louis de Funès, Les Amants, avec Jeanne Moreau, Le Repos du guerrier, avec Brigitte Bardot et Michel Serrault, sans oublier L’Étudiante de Claude Pinoteau tourné à Dijon avec Sophie Marceau et Vincent Lindon ou encore le fameux Cyrano de Bergerac avec Gérard Depardieu. Claude Lelouch a récemment choisi Beaune pour le tournage de son film intitulé Chacun sa vie dont la sortie en salles a eu lieu en mars. Quant à Cédric Klapisch, il a choisi le cœur du vignoble pour tourner son nouvel opus Ce qui nous lie, dont la sortie est programmée le 14 juin, et qui relate l’histoire d’une lignée de frères et de sœurs qui reprend l’exploitation familiale en Bourgogne. ...
Le Château Les Chaumes revêt une belle histoire. Un livre de comptes datant de 1833 atteste que la propriété produisait déjà du vin à cette époque. Son architecture typique des anciennes villas romaines, ses bâtiments en carré et son vignoble en coteau ont d’emblée séduit Robert Parmentier, qui en a fait l’acquisition en 1965. Après avoir replanté le vignoble, celui-ci confia le développement de l’exploitation à son fils Pierre. En 2014, Henri et Anne, deux autres enfants de Robert, décident à leur tour de reprendre la propriété. Un terroir propice à la culture de la vigne Le vignoble, d’une superficie totale de 23 ha, repose en grande partie sur un terroir présentant des sols argilo-calcaires. « C’est un terroir un peu difficile à cultiver, mais qui donne des vins très concentrés », explique Anne Parmentier, la gérante de l’exploitation. Ici, le merlot y trouve toutes les conditions favorables à son épanouissement. Il n’est donc pas surprenant de constater qu’il compose 60 % de l’encépagement. Viennent ensuite le cabernet (30 %) et le malbec (10 %). Ce dernier est planté sur deux parcelles de 1,60 ha, sur lesquelles il peut s’exprimer comme nulle part ailleurs. « Le malbec a beaucoup de caractère, ce qui permet d’avoir des vins très expressifs », nous indique notre interlocutrice. Une viticulture raisonnée Quand elle a repris l’exploitation, Anne Parmentier n’a pas hésité à recourir aux services de deux ingénieurs agronomes, qui lui ont apporté de précieux conseils, notamment sur la conduite de la vigne. Soucieux de préserver la terre et les vignes, le domaine opte pour des pratiques culturales qui respectent l’environnement. L’utilisation des produits phytosanitaires est limitée au strict minimum. « Je ne traite que lorsque c’est vraiment nécessaire », clame notre interlocutrice. Outre le travail du sol, l’enherbement alterné est aussi privilégié dans le but d’apporter des engrais naturels aux vignes. Tous ces efforts ont contribué à entretenir la bonne santé du sol. D’ailleurs, la gérante constate : « Quand je replante, je m’aperçois avec joie que mes sols sont vivants. » La recherche de la qualité Depuis une vingtaine d’années, le Château Les Chaumes réalise des vendanges mécaniques. La machine permettant de ramasser chaque parcelle à maturité et de rapporter les raisins plus rapidement au cuvier. Ceci évite l'oxydation et leur permet d'exprimer tous leurs arômes. Avant leur arrivée en cuve, ils font l’objet d’un tri manuel au cours duquel seuls les raisins présentant une qualité optimale sont sélectionnés. Côté vinification, la maison s’en tient à des schémas classiques. « Durant la vinification, j’évite autant que possible les manipulations et je n’effectue pas de filtrage après la fermentation malolactique » confie Anne Parmentier. Les vins reçoivent ensuite un élevage en fûts de chêne français et vieillissent entre 12 et 20 mois. Les vins du domaine Le Château Les Chaumes produit quatre cuvées d’exception qui sauront surprendre tous les palais. Deux d’entre elles se distinguent du lot, à savoir le Château Les Chaumes Malbec et le Château Les Chaumes Vieilles Vignes. Pour le premier, il s’agit d’un vin concentré, produit avec de petits rendements et dans lequel on retrouve toute la puissance du malbec. « Ce vin est atypique et possède pas mal de caractère », souligne la gérante. Par ailleurs, cette cuvée a la particularité de présenter un bouquet épicé, des arômes de violette et de réglisse. Un élevage en fût de chêne, avec 25 % de bois neuf, lui confère beaucoup d’élégance. Quant à la cuvée Château les Chaumes Vieilles Vignes, elle séduit par ses arômes de cerise noire et de framboise. En bouche, on note des arômes de violette et de réglisse. À la fois équilibré et concentré, ce vin a subi un élevage en fûts de chêne et dévoile des tanins fins. Enfin, gage...
Nous sommes en 1982. Issu de la lignée des premiers vignerons de la famille Rollin, attachés à leur terre et produisant du vin pour les plus grandes maisons de champagne, Monsieur Rollin décide de créer sa propre marque en produisant des cuvées typiques du terroir au sol argilo-calcaire de la vallée de la Sarce. Sa fille, Sandrine Braux et son mari Eric Braux, ont repris le flambeau en 2010, et perpétuent cet héritage en mêlant tradition et modernité. Des cuvées purement traditionnelles D’emblée, nous nous retrouvons dans un vignoble de six hectares sur lequel sont cultivés les deux principaux cépages champenois, avec la prédominance du pinot noir. Une fois les vendanges manuelles effectuées, ces cépages subissent une transformation suivant un procédé de vinification artisanale. La maison tient à préserver les traditions, tout en accélérant le processus de modernisation. S’ensuit alors la production de 8 cuvées différentes de qualité aux goûts relevés rappelant la diversité des saveurs du terroir champenois. Du champagne de qualité en préservant l’environnement Parmi les cuvées d’exception de la gamme Rollin, la cuvée Grande Réserve sort du lot. Il s’agit d’un champagne élégant et mature à souhait, ponctué de notes trés fruitées. Pour un apéritif, optez pour l’Or Noir, un 100 % pinot noir équilibré et doté d’une finesse aromatique sans égal. Ce champagne de qualité est élaboré suivant des procédés respectueux de l’environnement, ce qui a valu à la maison Rollin l’octroi du label national de viticulture durable « Terra Vitis » en 2012. ...
Le mot fourme vient du latin et signifie « mettre en forme le cailler ». En français moderne, ce mot signifie « fromage ». De là, est apparue la combinaison des mots « fourme d’Ambert », qui signifie « fromage d’Ambert en Auvergne ». Une histoire raconte qu’à l’époque napoléonienne, des écrits de dragon autrichien témoignent de l’achat du fromage à Ambert. Une denrée ensuite jetée dans la rivière parce qu’elle était moisie. Mode de fabrication Fromage à pâte persillée, la fourme d’Ambert se caractérise par sa forme verticale, ronde et haute. Elle est produite principalement en Auvergne, sur la montagne du Puy-de-Dôme (600-1 600 mètres d’altitude), dans 5 cantons du Cantal, mais également dans 8 communes de la Loire. La fabrication de la fourme d’Ambert se fait manuellement et naturellement, respectant ainsi les techniques ancestrales de fabrication et les valeurs même de son terroir d’origine. Le lait de vache est alors mélangé avec un champignon appelé le Penicillium Roqueforti, afin d’obtenir le persillage. Vient ensuite l’étape du caillage puis, le travail en cuve (découpage et brassage). La mise en moule se fait à l’aide d’un tapis afin de préserver les grains coiffés, pour aller directement à l’égouttage, où les fromages sont retournés durant 24-48 heures. Une des étapes les plus importantes est le salage qui se fait manuellement au sel sec, puis le piquage, qui consiste à créer des trous à l’aide de grandes aiguilles, pour permettre le développement du bleu. Pour finir : le passage dans les caves d’affinage, où la fourme d’Ambert repose durant vingt-huit jours. Un goût unique aux mille recettes De ce fromage bénéficiant de l’Appellation d’origine contrôlée (AOP) depuis 1972 naissent des milliers de recettes créées par des professionnels de la gastronomie, mais également par des amateurs de la cuisine. Facile d’utilisation, il rayonne aux quatre coins de la planète par son goût de champignon et sous-bois, à la nuance fruitée. En arôme, il dégage une odeur de cave. La fourme d’Ambert s’accorde avec tous types d’aliments, chauds, froids, ou sucrés, salés et même avec des boissons, comme le mélange du cappuccino de betterave et de la fourme d’Ambert. Elle sublime ainsi toutes les créations culinaires : tartelette de fourme d’Ambert aux brocolis et caramel de pommes, magret de canard, rillettes aux noix et à la fourme d’Ambert, crème brûlée à la fourme d’Ambert. ...
On le surnomme le château de la démesure. 426 pièces, 156 mètres de façade, 282 cheminées, 77 escaliers, plus de 800 chapiteaux sculptés : ce colosse de pierre reflète l’ambition insatiable d’un grand homme du XVIe siècle imprégné des idées de la Renaissance. Sa passion pour l’architecture, l’art, la culture et la chasse se découvre tout au long des visites, des spectacles et des évènements organisés au Château de Chambord. Singulière construction, emblème de la monarchie française Œuvre d’art d’exception, Chambord nait d’un désir de François Ier de construire un édifice beau, grand et somptueux. En 1519, il concrétise son rêve en choisissant ces terres marécageuses, au cœur d’une forêt giboyeuse et près de la rivière Cosson. Ce pavillon de chasse s’inspire des châteaux forts médiévaux, tout en livrant une silhouette empruntée à la Renaissance italienne. « Avec son donjon composé de quatre tours massives à l’esprit médiéval, la forteresse s’articule autour d’un axe central : le fameux escalier à double révolution inspiré des travaux de Léonard de Vinci », décrit Pauline Savoyini, chargée de communication. Ce vieux génie polymathe de De Vinci, très proche du roi François Ier, qu’il appelle d’ailleurs « Mon père », a largement contribué à l’identité architecturale de la demeure. Les deux impressionnants escaliers menant jusqu’aux terrasses en haut ressemblent à une double hélice d’ADN et tournent dans la même direction sans jamais se croiser. Éveil à la nature Du haut de ces terrasses à l’italienne rehaussées de petits dômes, de clochetons, de lucarnes et de balustrades sculptées apparait une vue admirable sur le parc, qui représente le cœur même du projet royal de François Ier. « Il s’agit du plus grand parc forestier d’Europe qui s’étend sur une superficie de 5 440 hectares et qui se découvre grâce à des balades à vélo, en voiturette électrique ou même en calèche, via les sentiers qui couvrent 900 hectares depuis l’été 2016 », explique Pauline Savoyini. Cette réserve naturelle abrite une faune et une flore emblématiques, notamment une importante population de cervidés, faisant aujourd’hui l’objet d’un programme scientifique. Une étude intitulée « Chasse et dynamique des populations d’ongulés sauvages » est menée en collaboration avec la fondation François Sommer et l’Office national de la chasse et de la faune sauvage. L’objectif est de modéliser la démographie des cerfs et des sangliers et de mettre en place des outils cynégétiques destinés à assurer la gestion durable des écosystèmes. Une programmation culturelle à la hauteur des lieux Grand amateur de chasse, François Ier manifeste également une passion effrénée pour les arts. C’est d’ailleurs sous son règne que débute la collection d’œuvres d’art des rois de France présentée au Louvre. À l’époque, plusieurs artistes participent aux divertissements et fêtes de cour organisés par le monarque. Dans une volonté de pérenniser cette tradition artistique, Chambord a mis en place une riche programmation culturelle s’articulant autour de la musique, des beaux-arts, du texte, de la danse et du théâtre. Parmi les événements phares figure le Festival de Chambord qui se tient au mois de juillet et dont la programmation marie harmonieusement style musicaux et époques. Autre incontournable : le concert de trompes orchestré par les Sonneurs de l’École de trompe de Chambord partageant la scène avec l’un des meilleurs groupes du moment. Régulièrement, le domaine reçoit des artistes en résidence ayant pour mission de réaliser des créations originales et d’initier le public à l’expression artistique. Du 16 octobre 2016 au 12 février 2017, il présente l’exposition de fin de résidence de Kôichi Kurita Terre Loire dans laquelle le public peut d&...
Oi Sushi est un établissement familial où les membres de l’équipe sont également des membres de la famille. Unis par la même passion du métier et l’art de composer de belles assiettes avec, en plus, le sens de l’accueil et du service au client, le personnel travaille en phase et dans la même direction… De quoi ravir tous les clients qui se sentent bien accueillis et prêts à une découverte culinaire hors du commun. Quand on parle de cuisine japonaise, le sushi est toujours en tête d’affiche. Plat tout autant incontournable qu’intemporel, c’est une spécialité typique du Japon qu’on aime déguster dans un plaisir toujours renouvelé. D’une grande fraicheur et quasi sans gras ajouté (hormis celui naturel du poisson), ces fameuses boules de riz japonaises vinaigrées sont des spécialités qui conservent tout leur luxe au Japon. Saines et faciles à digérer, elles se déclinent sous plusieurs formes au restaurant Oi Sushi. Généralement présenté sous forme de riz roulé en ovale, une pointe de wasabi et par-dessus une fine tranche de poisson, le choix est large entre le saumon, le thon, l’anguille, le poulpe ou l’omelette japonaise… Manger sainement à la japonaise Le restaurant Oi Sushi est une adresse à recommander à celles et à ceux et qui se soucient réellement de leur ligne. Dans « une ambiance chaleureuse et conviviale », l’enseigne figure parmi les lieux qu’on aime particulièrement découvrir ou fréquenter en famille ou entre amis. En fonction des gouts (poisson, viande ou végétarien) des clients, « le restaurant propose du sushi maki, des brochettes de poisson ou des menus végétariens maki et brochette », nous explique Xia, gérant de l’établissement. Selon lui, « les menus midi Sushi, California et Maki » sont les plus appréciés des clients, d’autant plus qu’ils sont copieux et pas chers avec un bon rapport qualité-prix. ...
Les statistiques montrent que la perte auditive affecterait 9,3 % de la population française, ce qui équivaut à près de 6 millions de personnes malentendantes. Or seul un tiers de cette population concernée est équipé d’un appareil auditif. « Les gens ne savaient tout simplement pas qu’ils pouvaient compenser leur perte auditive avec des solutions immatérielles », éclaire Mehdi Labidi, responsable marketing de chez Profonia. De plus, la prise de conscience sur les premiers troubles de l’audition s’avère très tardive. Dans ce contexte, Profonia se révèle comme le médiateur tant attendu à l’égard des personnes malentendantes et des professionnels de l’audition. MyProfonia : un complément incontournable pour mieux entendre MyProfonia est une application mobile destinée à accompagner le malentendant dans son parcours de soins. En interagissant en permanence avec son audioprothésiste, il bénéficie d’un service plus qualitatif quant à la prise en charge de son accompagnement. L’accompagnement s’effectue via les différents contenus de l’application : tutoriels de manipulation de l’appareil auditif, leçons de coaching sur les activités à réaliser, questionnaires... Notons que MyProfonia cible également les individus qui souhaitent s’informer sur leurs éventuels troubles auditifs et trouver une solution pour les prévenir. Une des principales raisons qui a poussé l’équipe de Profonia à développer un test d’audition, qui sera directement intégré dans l’application. Un outil de valorisation des professionnels Les médecins ORL, les audioprothésistes et autres spécialistes profitent d'une solution qui leur est spécialement dédiée à savoir Profonia Pro. Via l’application, ils peuvent établir des programmes de suivi personnalisé selon chaque profil de patient. Ainsi, ils pourvoient le plus riche accompagnement possible. Et grâce aux feedbacks des patients recueillis par les questionnaires de satisfaction, ces professionnels sont en mesure d’ajuster les programmes de suivi. Par ailleurs, Profonia souhaite élargir la solution en adoptant une approche pluridisciplinaire. L’objectif est d’intégrer les autres professionnels de santé dans la prise en charge des patients et de créer ainsi un « écosystème Profonia ». Cette perspective concerne, par exemple, l’accompagnement psychologique pour les personnes souffrant d’acouphènes ou le conseil de pédiatre pour les enfants malentendants. ...
Créée en 2001 à l’initiative des parents et des enfants Geoffrey et Renaud, l’entreprise Péhu Guiardel & Fils exploite un vignoble dans l’Aube et dans La Marne. Vignerons indépendants dotés d’un grand savoir-faire séculaire, les Péhu travaillent les trois cépages régionaux, faisant de leurs champagnes des produits à savourer avec délectation et en toute occasion. Pour les visiteurs de passage dans la côte des Bar, le domaine propose une salle de dégustation dans un cadre chaleureux et convivial. Un champagne, trois villages Chez les Péhu, le champagne est à la fois une passion et un héritage transmis depuis cinq générations. « Anciens habitants de Verzenay et Rilly-la-Montagne, mes parents disposaient à l’époque d’un vignoble dans la Montagne de Reims où nous cultivons encore quelques parcelles. Vers les années 70, ils sont venus s’installer dans l’Aube pour investir dans Les Riceys », relate Geoffrey Péhu, l’actuel dirigeant du domaine. L’entreprise familiale exploite actuellement un domaine de cinq hectares où le pinot noir accapare environ 75 % de la surface cultivée. Le reste est consacré au meunier et au chardonnay pour l’élaboration des champagnes d’assemblage. Chaque année, la maison enregistre une production moyenne de 10 000 bouteilles destinées à la consommation locale et/ou étrangère. Quatre cuvées bien contrôlées Soigneusement manipulés dans les règles de l’art, les quatre principaux champagnes de la marque respectent une chaîne de fabrication stricte depuis la vendange au pressurage, en passant par l’assemblage jusqu’à la mise en bouteille. « Toutes les interventions sont rigoureusement notées sur un cahier des charges pour répondre aux exigences de la certification HACCP », atteste notre interlocuteur. Composé de 80 % de pinot noir et de 20 % de chardonnay, les champagnes bruts et demi secs de Péhu Guiardel & Fils conjuguent rondeur, caractère et élégance. On les apprécie volontiers à l’apéritif ou aux desserts. Quant au rosé, il est constitué de vin brut et de 15 à 16 % de vin rouge. Après vieillissement, on obtient un champagne plein de fraîcheur à la mousse légère et subtile renfermant des arômes fruités. Le blanc de blancs, lui, est fabriqué uniquement avec du chardonnay des Riceys et se reconnaît par sa grande fraîcheur. Côté Verzenay, l’incomparable cuvée Émotion s’invite à toutes les tables pour faire le bonheur des connaisseurs grâce à son caractère fruité et sa complexité. ...
L'Acula Marina est implanté à l’est de la ville de l’Île-Rousse, en Balagne, sur la plage de Caruchettu. Entouré de mer et de sable blanc, cet endroit offre un cadre paradisiaque, avec en prime une vue sur le Cap Corse et la Cité Paoline. Comme l’évoque Julien Dary, le gérant actuel des lieux, « c’est un petit restaurant de plage un peu retiré du centre-ville », que les clients apprécient pour son calme sans pareil et son merveilleux paysage. Un environnement idyllique Ce restaurant propose à sa clientèle de savourer les plats tout en profitant de la vue et en écoutant le doux bruit de la mer depuis la terrasse ombragée. Mieux encore, par beau temps, appréciez des moments magiques sur les transats et leurs parasols installés sur la plage aménagée de l’établissement. Quoi de mieux que d’admirer un coucher de soleil laissant place au clair de lune, au bord de la mer, avec des assiettes gourmandes et en bonne compagnie. Il est également possible de prendre place à l’intérieur pour jouir d’une ambiance cosy. Étant à l’écart des promeneurs, L'Acula Marina permet une petite évasion le temps d’un déjeuner ou d’un dîner. L’accueil chaleureux en séduit plus d’un, avec un personnel souriant, attentionné et très à l’écoute. À noter que l’espace est privatisable pour des repas d’affaires ou d’autres événements pas comme les autres. Les saveurs méditerranéennes La cuisine semi-gastronomique met à l’honneur les spécialités méditerranéennes. Julien Dary souligne que « tout est fait maison, avec des produits frais ; le chef concocte beaucoup de plats à base de poissons, surtout le loup de mer ». La carte est bien riche. Le tartare de saumon d’Écosse « label rouge » rehaussé avec une mousseline d’avocats au mascarpone et au wasabi léger, ainsi qu’une émulsion de betterave au citron vert, est l’une des entrées les plus appréciées. Le plat principal recommandé, quant à lui, est le Filet de « St Pierre » cuit à l’unilatéral, beurre d’herbe croustillant au zeste d’agrumes, pleurotes juste saisies, jus de viande corsé, risotto crémeux au parmesan. Pour finir, rien de tel que la glace artisanale corse. Ces assiettes, hautes en couleurs et riches en saveurs, peuvent être accompagnées d’une bouteille de vin corse. ...
L’hôtel-restaurant Tante Yvonne propose une cuisine du terroir préparée avec soin et qui fait la part belle aux produits locaux. Par ailleurs, pour ceux qui ne sont pas très « viande », du poisson et des crustacés sont également proposés à la carte (bar de ligne, coquilles St Jacques, maquereaux, poissons de roche…) L’endroit est tout indiqué pour ceux qui aiment concilier villégiature de charme et plaisir du terroir. Une institution familiale aux charmes intemporels Depuis 1959, l’établissement a connu trois générations. C’est Yvonne, la grand-mère, qui s’est lancée la première dans l’aventure. Ensuite, ce fut le tour de Michel, le père et aujourd’hui c’est son fils Bernard qui a pris les rênes… et les fourneaux aussi ! En compagnie de Cathy, ce dernier accueille les fins gourmets dans une authentique demeure du XVIIIe siècle. Pour conjuguer le passé au présent, la maison s’est permis quelques petites retouches ici et là. Remise au goût du jour, l’ambiance se décline dans un style « chic & rustique » : sol en parquets, murs aux couleurs pastel pour plus de douceur, luminaires en bois naturel et fauteuils aux tissus chamarrés. Les adeptes du cocooning sont prévenus, il fait bon vivre chez Tante Yvonne. Et comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, aménagée à l’ombre de grands platanes, une magnifique terrasse spacieuse leur promet quelques moments de pure évasion, hors du temps. Une cuisine du terroir comme on les aime Avec sa table semi-gastronomique, la maison a déjà conquis le cœur des Quincerots. Les épicuriens de passage apprécieront une cuisine traditionnelle qui fait la part belle aux produits du terroir. Escargots, volailles, grenouilles, poularde… la fraîcheur est au rendez-vous avec des produits dégotés auprès des producteurs locaux. En cuisine, le chef Bernard, toque blanche lyonnaise, s’interdit tout gaspillage, « tout est utilisable », clame-t-il. Parmi ses spécialités, le poulet aux écrevisses, dos de bar de ligne rôti, pâté en croûte de gibier au foie gras ou les grenouilles fraîches en persillades sont les plus appréciés des fins gourmets. Sans oublier des plats typiques comme le filet de bœuf poêlé avec l’os à moelle ou escargots avec des ris de veau, toujours servis avec générosité. Chaque semaine, la maison propose un menu au retour du marché avec une entrée du moment ou des œufs meurette à la bourguignonne, un poisson ou viande du moment et un dessert du moment ou une assiette de fromage. Chez Tante Yvonne, le plus difficile c’est de choisir ! Entre le menu Tante Yvonne, le menu terroir, le menu 3 générations et le menu enfant, chacun y trouve son compte. Côté vins, la maison présente une carte qui fait honneur aux producteurs locaux avec du beaujolais, bourgogne et côtes-du-rhône. Enfin, l’établissement assure également des prestations traiteur. « Nous offrons un service traiteur pour les mariages, anniversaires, soirées privées entre Lyon et Villefranche-sur-Saône et, en général, dans tout le Rhône et les alentours », explique Philippe Ciamous, responsable de la communication. ...
Issu d’une famille de papetiers, Aristide Bergès installe son usine à Lancey (Isère), en 1869. Afin d’alimenter ses défibreurs, il met en place un système hydraulique permettant de produire de l’énergie. Il couple alors une dynamo à la « houille blanche » (hautes chutes) pour produire de l’électricité. C’est ainsi que l’ingénieur contribue au développement de sa région et grave son nom dans l’histoire industrielle de Grenoble. Dès son installation à Lancey, il achète l’humble maison d’un meunier. Avec la contribution de ses enfants, il agrandit l’habitation et peaufine le décor à leur goût. Ainsi nait un style raffiné, conjuguant sublimement éclectisme et Art nouveau. Un décor qui reflète toute une histoire « La maison est très caractéristique de la fin du XIXe siècle », décrit Sylvie Vincent. L’extérieur interpelle déjà avec sa porte sculptée, ses linteaux décorés... L'intérieur, en lien avec l’éclectisme et l’Art nouveau, révèle, quant à lui, un style tout à fait distingué. Les Bergès avaient d’ailleurs un goût prononcé pour les arts décoratifs, l'affche et le papier peint. Il était donc évident pour la famille d’imposer cette matière comme élément majeur de la décoration intérieure. Les créations de Maurice, fils d’Aristide Bergès, apportent une autre touche à la personnalité du décor. En effet, Maurice Bergès, bien qu’il ait essayé de suivre les pas de son père en tant qu’ingénieur, finit par se familiariser beaucoup plus avec les pinceaux et les crayons. Il devient un artiste incurable. Une collection riche et exceptionnelle À l’évidence, les papiers peints de la maison et plusieurs oeuvres d'Alfons Mucha, grand maître de l'Art Nouveau font partie des collections phares du musée. « Nous avons conservé cinq ensembles de papiers peints que l’historien spécialiste, Jérémie Cerman, a qualifié d’“assez exceptionnels” », confie notre interlocutrice. La collection Maurice Bergès, quant à elle, regroupe non seulement des arts graphiques (gravures, dessins, peintures…) mais aussi des meubles et des bijoux. Et il ne faut oublier en aucun cas les prouesses techniques d’Aristide Bergès. Dans la liste des patrimoines figurent notamment les archives de l’ingénieur innovateur : cahiers, dessins, brevets d’invention, etc. Le musée a conservé des éléments techniques qui se rapportent à l’hydroélectricité, une belle collection ancienne d’ampoules et un certain nombre de turbines qui sont exposées à l’extérieur. ...
Installé en face de la gare Rive Gauche à Versailles, l’agence Guidatours a pour objectif de vous accompagner lors de votre visite du château de Versailles et de vous faire découvrir toute la richesse du domaine. Le château de Versailles est l’un des monuments français les plus visités puisqu’environ 6 millions de personnes s’y rendent chaque année. En raison de cette affluence, choisir Guidatours c’est profiter d’une visite agréable en évitant les files d’attente. Les formules proposées Guidatours propose plusieurs formules de visite aux individuels ou aux groupes. Vous trouverez forcément celle qui vous convient. Vous avez par exemple la possibilité de profiter d’une visite avec un guide expérimenté. Il vous fera visiter le château, en particulier les grands appartements royaux et la célèbre Galerie des glaces. Cette visite pourra être faite en français, anglais, allemand, espagnol ou italien pour un groupe d’environ 25 personnes. Puis vous pourrez à loisir vous balader dans les jardins. Vous pourrez également consacrer toute une journée sur ce fabuleux domaine pour y découvrir, entre autres, les Trianons et le Domaine de Marie-Antoinette. Si vous préférez visiter à votre rythme en toute liberté, vous choisirez le billet coupe-file avec audioguide. A part le français, 9 langues sont disponibles (anglais, allemand, espagnol, italien, chinois, japonais, coréen, russe et portugais). La demi-journée vous permettra de visiter château et jardin. La totalité du domaine vous sera accessible en optant pour la journée complète. Pour faciliter votre venue, Guidatours a également mis en place un système de bus depuis le centre de Paris, ou un trajet plus écologique en RER accompagné d’une hôtesse. Si vous désirez gouter aux charmes inépuisables de ce lieu, vous pourrez séjourner un week-end dans un hôtel de prestige et assister aux grandes eaux nocturnes ou au spectacle équestre chorégraphié par Bartabas. Pour les CE ou les associations, Guidatours se tient à votre disposition pour préparer des visites sur mesure à Paris ou à Versailles, comme par exemple les lieux cachés de Versailles ou les passages couverts de Paris, avec déjeuner inclus. Quelques chiffres En 2017 Guidatours a permis a plus de 75.000 personnes de visiter le château de Versailles dans de bonnes conditions et sans file d'attente. ...
L’organisation d’une rencontre ou réunion professionnelle mérite qu’on lui accorde les meilleures ressources. Si déplacer ses événements dans un pays étranger peut constituer une valeur ajoutée, se pose l’enjeu de cerner les réalités sur place. Le Suisse Convention Bureau s’attache justement à faciliter l’accès des organisateurs aux gammes des possibles sur le territoire helvète, afin d’optimiser l’efficacité de leurs préparatifs. Atouts de pointe : l’expérience, les infrastructures et le service De Genève à Davos, en passant par Lausanne, Zurich ou Bâle, les villes suisses ont une longue tradition dans l’accueil de congrès internationaux ou événements d’entreprise. Cette expérience, où rigueur et ponctualité priment, est au cœur des avantages que représente la destination pour les organisateurs. S’y ajoute la qualité des infrastructures de réunion. Des efforts considérables sont consentis chaque année à la rénovation, à l’agrandissement, voire à la construction de nouveaux hôtels, centres de congrès ou lieux événementiels aux 4 coins du pays. Le SwissTech Convention Center – le plus avant-gardiste des centres de congrès, ouvert en 2014 – en est la parfaite illustration. Le design futuriste du bâtiment, intégrant de nombreuses parois coulissantes, assorti d’une technologie révolutionnaire d’aménagement, en fait une formule modulable à loisir. Pour ceux qui cherchent avant tout l’excellence de service ou le petit plus « humain » dans l’accueil hôtelier, la Suisse est carrément prédestinée : Raffiné, design, résolument high tech ou plus intimiste - les diverses adresses d’hébergement réservent des formules à la hauteur des attentes les plus pointilleuses. Peu ou pas de gros porteurs, la Suisse se distingue avant tout par une hôtellerie familiale et à taille humaine ; parfois même avec des concepts uniques, à l’instar de Montagne Alternative, un hameau réhabilité en lieu de séminaire. Des centaines de possibilités à composer en fonction de l’objectif de l’événement, de la taille et de la culture de l’entreprise, de son budget et du cadre de travail souhaité. Valeurs ajoutées : accessibilité et dépaysement La facilité d’accès du site figure parmi les exigences récurrentes de la clientèle, en matière de tourisme événementiel. Ici encore, la Suisse possède un argument solide avec sa position centrale en Europe. 3 aéroports internationaux majeurs, Genève, Bâle-Mulhouse et Zurich, possèdent une desserte aérienne assurée par des compagnies de référence infaillible. Pour la France, la proximité de la destination n’est plus à démontrer, même par voie ferroviaire, avec 3 lignes de TGV : Paris-Bâle-Zurich, Paris-Genève et Paris-Lausanne. En dépit de cette proximité, la Suisse propose un réel dépaysement, lié à son environnement naturel préservé et à la richesse de son patrimoine culturel et architecturale qui englobe 3 grandes régions linguistiques (allemand, français, italien) sur un tout petit territoire. La richesse de l’offre des activités à assortir à son événement, se nourrit de cette variété de paysages et de coutumes, et constitue un autre argument qui fait de la Suisse une destination à part. Franziska Luthi, Directrice Marketing et Ventes du Suisse Convention Bureau, garantit l’accès à « quelque chose qui colle bien à chacun » en dépeignant les combinaisons envisageables. Culturel, insolite, bienfaisant ou tonique, toutes les aspirations sont autorisées. En ville, en montagnes, sur l’eau ou dans les vignobles, le pays est naturellement doté d’atouts singuliers pour répondre à divers soucis d’unicité et de convivialité des lieux. Et pour ceux qui recherchent avant tout un lien « business » dans le choix de leur destination, sachez que le tissu économique de la Suisse, porté sur l’innovation et l’excellence, se distingue dans de nombreux domaines comme les Sciences de la Vie, les « Cle...