Bonjour Florent ! Florent Binon | Bonjour ! On arrête le suspens. Vous allez nous parler de médecine chinoise puisque vous êtes co-directeur de l'École Zhōng Lì, qui forme les praticiens professionnels à la médecine chinoise. Pour les plus novices d’entre nous, vous pourriez peut-être nous expliquer en quelques mots, même si c’est assez compliqué j’imagine, ce que c’est la médecine traditionnelle chinoise ? F B | La médecine chinoise est une médecine à part et à part entière. Elle se base sur une observation de la nature, une observation du vivant qu’elle considère dans son ensemble. L’être humain, vivant dans la nature, est donc fait à son image. Et donc, tout comme sur terre, nous pouvons observer les fleuves et les rivières qui s’écoulent, nous allons retrouver le même fonctionnement au sein de l’être humain, même circulation, à travers de ce qu’on appelle les méridiens, les canaux où l’énergie, le qì, le sang, les liquides vont pouvoir s’écouler, parcourir l’ensemble de l’organisme, relier les différentes structures entre elles, assurer le lien, mais également l’intégrité de l’être humain tant au niveau physique que psychique. En médecine chinoise, il est possible d’agir et d’intervenir sur ces méridiens et canaux afin de permettre une circulation libre et harmonieuse et d’équilibrer l’ensemble des structures de l’organisme. Vous, comment vous êtes arrivé à devenir praticien et à ouvrir votre école ? F B | J’ai commencé les études de médecine chinoise il y a plus de 20 ans maintenant. Lorsque j’avais 15 ans, je suis « tombé » dans la médecine chinoise et j’ai véritablement commencé mes études à l’âge de 18 ans. Puis, à force d’étudier et de pratiquer la médecine chinoise, j’ai commencé à enseigner au sein de l’école où j’ai été formé, l’école Lümen. Les co-directeurs de cette école, m’ont/nous ont encouragés avec deux autres collègues à l’époque, à créer notre propre structure. C’est pour cela que nous avons créé il y a maintenant 7 ans, l'École Zhōng Lì qui forme des praticiens en médecine chinoise, en médecine traditionnelle chinoise comme on a l’habitude de dire en Occident. Vous appelez votre école, l'École Zhōng Lì. Qu’est-ce que cela veut dire ? F B | La médecine chinoise est très vaste avec 3000 ans/ 2500 ans d’expérience clinique. Donc, on ne devrait peut-être pas parler d’une médecine chinoise mais des médecines chinoises. Certains médecins à travers les siècles, se sont orientés dans une direction spécifiquement. Au moment où nous avons voulu créer l'École Zhōng Lì, nous nous sommes dit, avec mes deux collègues de l’époque, : « Quand nous sommes face à quelqu’un, l’objectif est de soulager la personne ». Mais pour cela, il n’y a pas une technique ni une approche qui puissent convenir à tout le monde. Nous sommes partis de ce principe-là, c’est-à-dire ne pas se focaliser dans une direction particulière. Le professeur Leong Kok Yuen était parti justement de ce principe et parlait de ce que l’on appelle l’« Ecole de la voie neutre ». Nous pouvons résumer cela en disant : « Utiliser la bonne technique, la bonne approche, chez la bonne personne, au bon moment ». Si on traduit littéralement « Zhōng Lì », il s’agit justement de la neutralité. « Zhōng », c’est le centre et « lì » est justement le côté neutre. Donc, c’est ne pas s’orienter dans une direction ou une autre spécifiquement au risque d’être limité dans la prise en charge des personnes que l’on peut recevoir en cabinet. Florent, la formation chez vous, cela se passe comment ? Est-ce du distanciel ou du présentiel ? Cela dure combien de temps ? F B | La formation de 5 ans que nous proposons est une formation à temps partiel avec des temps de r...
Luc Siméon, le fondateur de la société, a toujours gravité autour du monde de la voile depuis son jeune âge. Après avoir obtenu une qualification professionnelle spécialisée dans le maniement de bateaux et navires de plaisance, il a enchaîné dans l’enseignement pour devenir moniteur de voile. Plus tard, il a décidé de se lancer pour son propre compte et de capitaliser ses expériences au service des armateurs et des plaisanciers. Un vaste champ d’application LUC-e-SAIL réalise des prestations de maintenance nautique, de réparation et de dépannage. Ces services se déploient sur plusieurs niveaux : accastillage, gréement, rénovation coque du bateau, réglage de voiles, stratification, travaux de menuiserie et entretien hors-bord. La société intervient également dans l’agencement intérieur depuis l’installation d’un système électrique autonome jusqu’à la mise en service des équipements sanitaires et thermiques (climatisation, plomberie, désalinisateur, réservoir, etc.). Outre l’expertise confirmée, la réactivité d’intervention et la souplesse au niveau de la disponibilité distinguent les prestations de Luc Siméon. En parallèle, la société propose également un service d’hivernage à flot au port de Bonifacio. Que ce soit pour un entretien fin de saison, un contrôle périodique ou un entretien début de saison, les offres sont entièrement modulables en fonction des besoins des clients. Le gardiennage vient en complément de celles-ci pour maintenir le voilier dans les meilleures conditions pendant son immobilisation au port ou à l’anse de la Catena. « J’effectue moi-même un suivi régulier chaque semaine pour vérifier les charges batteries et le moteur, et surveiller les amarres et les équipements », explique-t-il. Éventuellement, ce service peut s’accompagner d’un nettoyage complet. LUC-e-RENT, une extension d’activité Lancée en 2017, la location de voiliers est une nouveauté destinée à satisfaire les envies d’évasion souvent réclamées par les clients en Corse. Les deux voiliers mis à disposition, Hivaoa et Diogène, peuvent accueillir douze personnes chacun et se dotent d’un équipement de bord complet doublé d’une installation confortable. « Je discute personnellement avec les clients pour organiser ensemble leur aventure en mer. J’évalue leur compétence en navigation nautique et je leur attribue un skipper pour les accompagner quand cela est nécessaire. » Au départ de Bonifacio ou de Pianottoli, le programme de navigation promet une semaine de découvertes inédites. Immersion dans les archipels des îles Lavezzis, escale sur Fazzio, baignade dans les eaux transparentes de Palombaggia, expérience gustative à Cala Gavetta et bien d’autres ponctuent cette parenthèse enchantée. ...
Flashmatin : Pouvez-vous présenter l'Institut de la Vision ? Serge PICAUD : L’Institut de la Vision a pour missions principales de comprendre le fonctionnement de la vision et de prévenir les pathologies pouvant entraîner la perte de vue. Le jury international réuni par l’HCERES (Haut Conseil de l'Evaluation de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur) a conclu que ce centre de recherche fait partie des meilleurs centres de recherche mondiaux dédiés aux maladies de la vision. Les vingt équipes académiques se répartissent sur cinq axes majeurs : le développement du système visuel, la génétique des maladies visuelles, le traitement des informations visuelles, les thérapies et le développement de techniques d’imagerie ainsi que de nouveaux instruments diagnostiques. Quels sont les résultats innovants et les solutions thérapeutiques qui y ont déjà été développés ? En dix ans d’existence, l’Institut a enregistré des avancées significatives dans la compréhension des maladies de la vision et le développement de stratégies thérapeutiques, dont certaines arrivent aujourd’hui au stade de l’essai clinique. Pour vous donner quelques exemples, GenSightBiologics, une start-up de l’Institut de la Vision, est en train de mener des essais cliniques sur une pathologie héréditaire appelée « Neuropathie Optique Héréditaire de Leber » (NOHL). Pour cette première mondiale par thérapie génique, les résultats montrent une amélioration durable de la vision et de la qualité de vie des patients traités. D’autres essais cliniques portent actuellement sur des implants rétiniens développés pour restaurer la vision de patients aveugles par Pixium Vision, une autre start-up de l’Institut de la vision. Leur implant photovoltaïque est actuellement en essai clinique sur des patients souffrant de dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), qui peuvent à nouveau lire des mots ! Des essais cliniques très prometteurs viennent également d’être lancés avec une approche alternative, la thérapie optogénétique : nous utilisons le génome d’une algue pour transformer les neurones résiduels de la rétine en une sorte de photorécepteur. L’objectif est encore de restaurer la perception visuelle chez d’autres patients devenus aveugles. Enfin, nous avons participé à l’amélioration des traitements pour le glaucome en retirant un conservateur toxique des gouttes. Fin 2018, vous avez été labellisé IHU (Institut Hospitalo-Universitaire). Que va apporter cette nouvelle structuration ? Le premier ministre, Edouard Philippe, a en effet avalisé l’avis du jury international en attribuant au Pr Sahel la mission de construire l’hôpital de demain en ophtalmologie. Cette nouvelle structure va réunir l’Institut de la Vision et le Centre Hospitalier des Quinze-Vingts pour accélérer le transfert clinique des innovations thérapeutiques et diagnostiques. L’objectif est d’améliorer l’accès aux soins et la prise en charge des patients pour leur apporter une réponse thérapeutique, quelque soit le stade de leur pathologie. Cet objectif est extrêmement ambitieux puisque de nombreuses pathologies rétiniennes n’ont pas encore de traitement pour prévenir leur évolution vers la cécité. Nous devons également former les personnels soignants et techniques pour permettre le déploiement des innovations thérapeutiques sur l’ensemble du territoire. L'Institut de la Vision est soutenu par la Fondation Voir & Entendre et ses donateurs. Pouvez-vous nous expliquer l'importance des dons et legs pour vos recherches ? A l’Institut de la Vision, chercheurs et cliniciens travaillent pour prévenir l’évolution des maladies de la vision vers la cécité. Pour développer nos recherches et être soutenus par les agences de financement publiques, nous devons leur présenter les preuves de concept des futures stratégies thérapeutiques. Grâce à nos donateurs, nous pouvons amorcer ces projets et obtenir les preuves de concept initiales. Les dons sont donc essentiels ! Ils sont de véritables déclencheurs de la recherche et permettent aux chercheurs d’initier tous leurs t...
Un savoir-faire et une passion familiale C’est à la fin des années 70 que l’entreprise voit le jour à l’initiative de Clément Lapierre. Fort d’une expérience auprès de chefs de plusieurs restaurants étoilés, il fonde avec son épouse la maison Lapierre Traiteur. Ce n’est alors qu‘une simple maison artisanale, comme on en compte tant dans la région. « On avait de vieux locaux qui ont été agrandis au fil des années. En 2007, avec toute mon équipe, on a déménagé dans nos nouveaux bâtiments dans lesquelles nous avons installé notre laboratoire de cuisine », nous explique au téléphone Fabien Lapierre, fils du fondateur de la maison et actuel dirigeant de l’entreprise. Avant d’exercer ses talents derrière les fourneaux de l’entreprise familiale, le jeune chef est allé se former longtemps au Meurice et au Georges V. Une étape a été franchie dans la vie de l’entreprise en 2007, avec l’acquisition de plus de 1 100 m2 en Plaine-Saint-Denis où il a installé sa batterie de cuisine de dernière génération répondant aux normes sanitaires européennes (CE). C’est de là que partent chaque jour les centaines de macarons et de petits canapés qui ont sublimé plusieurs générations de papilles, forgeant à chaque bouchée un peu plus la réputation de cette maison. Une carte d’exception pour tous les types d’événements Tout commence par un entretien avec le client pour bien cerner ses attentes, pour trouver avec lui l’axe nutritionnel de son repas. Selon les besoins, Lapierre Traiteur va proposer un repas sans sel ou sans gluten, avec ou sans crustacés, toujours en gardant à l’esprit le budget que le client souhaite allouer à cette prestation.« On accompagne entre 10 et 30 événements par jour tout au long de l’année. D’une commande de quatre plateaux-repas à l’organisation d’une réception de 200 personnes avec un cocktail dînatoire, on apporte toujours le même soin dans la finition de nos repas », explique Fabien Lapierre. Tout le monde fait très attention à son budget, particuliers comme professionnels. Pour proposer à tous une offre abordable et de grande qualité, Lapierre Traiteur choisit de ne travailler qu’avec des produits simples, de saison, obtenus auprès d’un réseau fidèle de distributeurs et fabrique 90 % de ses produits distribués. Un service de livraison de plateaux-repas C’est une tendance : les grandes entreprises délaissent de plus la restauration « classique » pour l’organisation de la pause déjeuner de leurs collaborateurs. Trop long, trop fastidieux, pas adapté à un monde qui bouge vite. Pour ceux qui mangent au bureau lors de réunions d’affaires, Lapierre traiteur propose un service de livraison de plateaux-repas. Pour à peine plus d’une dizaine d’euros, on choisit parmi une gamme de six plateaux-repas qui satisferont tous les goûts. Bio, végétariens, sans gluten ou composés à base de produits de saisons, ils viennent toujours accompagnés d’un fromage et d’un dessert afin de transformer une banale « pause déj. » en un moment sain et convivial. ...
Quand le Collège Culinaire de France (créé en 2011 et co-présidé par Alain Ducasse et Joël Robuchon) décide d’attribuer le titre de « Restaurant de Qualité » à l’établissement, ou quand le guide Best Restaurants Paris continue de présenter La Casa dell’Estelle deux années de suite dans sa sélection, cela aiguise notre curiosité. La Casa dell’Estelle ne se contente pas de proposer une délicieuse cuisine transalpine, mais réinvente sa cuisine pour offrir une expérience gustative exclusive à ses clients. Un pari réussi pour les propriétaires Jacques Younes et sa fille Anne-Laure, qui sont tombés « par hasard » dans ce métier… Des combinaisons de saveurs Ici règne une atmosphère zen et décontractée, dans un cadre à la fois cosy et raffiné. L’accueil est sympathique, bercé par un fond de musique jazzy. Cette ambiance agréable invite à un voyage culinaire à travers l’Italie, ponctué par une inspiration française. La carte offre un bel éventail de choix : salades, spécialités italiennes, plats végétariens, pizzas, desserts. En entrée, elle suggère du foie gras de canard servi avec une compotée de figues et pain d’épices, et de la salade Romana au saumon fumé d’Écosse ou à la Bresaola. En plat, les linguine aux cèpes et au foie gras ou encore le sauté de gambas et de noix de Saint-Jacques accompagné de linguine déclenchent à chaque fois des émotions. En outre, « à la Casa, les escalopes sont dans la noix de veau origine France, et les poissons et fruits de mer sont frais de la marée », explique le gérant. Aux desserts faits maison, les clients succombent facilement au tiramisù sans alcool, au fraisier, à la merveille et au café gourmand avec sa glace artisanale au basilic. Mais que serait La Casa dell’Estelle sans leurs incontournables pizzas revisitées qui font mouche auprès de la clientèle. Les pizzas à base de mascarpone se déclinent en plusieurs variétés : pizza salmone au saumon fumé d’Écosse au sel sec, pizza au jambon de Parme, pizza à la bresaola assaisonnée à l’huile de truffe et pizza au foie gras. « Notre cuisine est évolutive, nous recherchons en permanence de nouveaux thèmes et de nouvelles propositions à présenter à nos clients », raconte le gérant. La carte est donc renouvelée, non seulement au gré des saisons, mais également en fonction de nouveautés. Apprécier un bon moment ensemble À La Casa dell’Estelle, les clients viennent en amoureux, en famille, entre amis ou entre collaborateurs pour passer un moment convivial. La formule entrée-plat/plat-dessert à 28 € ou le menu complet à 34 € fonctionnent parfaitement pour les groupes. « Pour une meilleure gestion du temps, nous proposons, en entrée, l’assiette conviviale à partager qui se présente comme un assortiment de salades, d’entrées variées et de l’authentique foccacia, et ce concept est une idée originale pour mettre l’accent sur la convivialité, le partage et la communication entre les convives. » La salle est entièrement modulable pour être privatisée en toute occasion : une réunion de travail en petit groupe, une fête intimiste en famille ou une réception debout autour d’un buffet. La maison élabore avec les clients un menu spécial pour satisfaire au mieux leurs exigences. ...
Favoriser la double carrière dans les couples expatriés, tel est l’objectif que s’est fixé Absolutely French. Cette startup leur offre un vrai coup de pouce. Comment ? Grâce à une formation de français, qui propose une approche à la fois ludique et conviviale aussi bien de la langue que de la culture. Conjoint.e d’expatrié.e Ayant été conjointe d’expatrié dans 6 pays différents, Armelle Perben, fondatrice d’Absolutely French, sait mieux que quiconque les conséquences qu’impliquent une telle situation sur la carrière professionnelle. « Dans la grande majorité des cas, ce sont presque toujours les femmes qui sacrifient leur carrière afin de suivre leur mari », explique-t-elle. Une fois arrivées à destination, ces dernières rencontrent ensuite énormément de difficultés pour décrocher un emploi. Si, finalement, elles y parviennent, le poste proposé ne correspond ni à leurs études ni à leurs expériences professionnelles. C’est en partie pour tenter de corriger cette situation qu’Armelle Perben crée Absolutely French en 2015. Pédagogie active La startup élabore les cours des français en fonction des besoins des conjoints. Ici, la pédagogie se veut être active : les participants évoluent dans des situations réelles qui les incitent à échanger directement avec les locuteurs natifs. « Nous les amenons au marché et ils font eux-mêmes les courses, cela leur permet, par exemple, de travailler les outils linguistiques servant à exprimer la quantité ou les chiffres », nous indique-t-on. Après le marché, tout le monde se retrouve ensuite en cuisine. Évidemment, les apprentis en profitent pour apprendre quelques notions grammaticales tout en cuisinant. Il est vrai qu’avec Absolutely French les apprenants n’ont pas le temps de s’ennuyer ! Et c’est justement le but recherché, puisque la startup se sert expressément des jeux comme leviers d’apprentissage. Partir à la découverte de Paris à travers des jeux de pistes, simuler un entretien d’embauche, visiter des lieux importants comme la mairie ou la poste… Quelle que soit l’activité proposée, celle-ci est toujours présentée de manière ludique. Les formations intègrent également les informations jugées utiles au quotidien. « Quand ils arrivent en France, beaucoup d’étrangers ne savent pas trier les déchets ou quel numéro composer pour appeler les services publics », rapporte notre interlocutrice. Projet de vie Afin de favoriser l’intégration des expatriés, Absolutely French les assiste et les accompagne dans leur projet de vie. Une mise au point portant sur l’avancement du projet ou sur les difficultés rencontrées est réalisée régulièrement. « Nous leur donnons des informations sur une école ou bien sur un travail qu’ils souhaitent faire. » Pour aller plus loin, Absolutely French intervient même sur le plan relationnel, en aidant les apprenants à développer leurs réseaux d’amis grâce au Club Absolutely. Régulièrement, des évènements sont organisés pour que les expats puissent se rencontrer dans une ambiance conviviale et partager leurs expériences. ...
Choisir de s’implanter à Rouen, c’est bénéficier de son environnement économique propice : sa position stratégique incomparable (à seulement 1h de Paris, au cœur de l’axe Seine, proche des capitales nord-européennes Londres - Bruxelles), son vivier de compétences et de savoir-faire, son industrie puissante où se concentrent les grandes filières et ses nombreux clusters (automobile, santé, aéronautique…). Du portuaire à l’assurance Au centre du 1er hub logistique portuaire français, Rouen est un port particulièrement spécialisé dans les marchandises diverses et l’agroalimentaire (1er port céréalier Ouest-Européen, trafic total - maritime et fluvial - de 24,5 Mt) ; s’y note aussi une activité forte dans le secteur de la chimie (1er port français pour la quotation des engrais). Historiquement lié à l’activité portuaire, le secteur de l’assurance a connu un essor considérable à tel point qu’il est devenu un marqueur de la vie économique et tertiaire du territoire. Des acteurs majeurs comme la Matmut, AXA ou MAE sont des moteurs d’emplois et d’investissements immobiliers. Cet écosystème assurantiel a également servi d’élément déclencheur au déploiement de plateformes de relation client. « Ce sont les leaders de l’assurance à Rouen, notamment AXA, qui ont expérimenté en premier la relation client à distance », nous explique Dominique Lemoine, Responsable du Développement Tertiaire & Numérique au sein de Rouen Normandy Invest. Ce secteur économique, en constante évolution, a mis l’accent sur la formation et les dispositifs de recrutement. Aujourd’hui, le territoire rouennais accueille 30 centres de relation client (SITEL France, Matmut, Voxens, CTRA Dalkia, …) représentant 3 000 emplois, dont 2 000 directement liés à l’implication de RNI. Territoire d’industrie 4.0 Le territoire abrite des fleurons de l’industrie nationale et internationale dans les secteurs automobile (Renault, pôle de compétitivité Mov’éo), aéronautique (Thales), pharmacie (Aspen, Sanofi), agroalimentaire (Ferrero, Nutriset, Touflet, Cargill), chimie (Lubrizol)… Dans un contexte international concurrentiel, ces industries sont engagées dans la transformation digitale de leurs activités pour répondre aux grandes mutations techniques et environnementales. Le territoire fournit les ressources digitales permettant aux différents acteurs de l’industrie d’opérer cette transformation. Des écosystèmes inter-filières accompagnent ces mutations et confortent l’avenir pour accueillir de nouvelles industries sur le territoire. Les usines Renault et Schneider (labellisée « Usine du futur ») sont des exemples de cette industrie 4.0. Territoire d’innovation Le consortium associant Renault, Transdev, la Matmut et la Métropole Rouen Normandie témoigne de cet élan d’innovation. Ici, en 1ère européenne s’expérimente la mobilité autonome et partagée (Mobility as a Service) avec le transport à la demande via des véhicules électriques, sans intervention humaine, sur routes ouvertes. (https://www.rouennormandyautonomouslab.com/) Côté numérique, Rouen Seine-Eure facilite son développement grâce à un réseau d’acteurs solidaires et réactifs, une gamme de lieux dédiés comme Seine Innopolis ou Le Hub/La Filature attirent aujourd’hui des startups installées à Paris (Qwant) et des pépites locales (Saagie, YesWe Hack, Paygreen…). « Le numérique enrichit notre tissu tertiaire. Et il prend part également à la transformation digitale de nos entreprises », rapporte toujours Dominique Lemoine. Rouen, un des 1ers campus de France ESIGELEC, INSA Rouen Normandie, CESI, NEOMA Business School, CNAM, ENSA Normandie, UniLaSalle, ERFPS sont, avec l’UFR, quelques-unes des grandes écoles qui forment les talents de demain. 44 000 étudiants, des laboratoires de pointe (CORIA, GPM, SGS Multilab…) constituent un véritable vivier de compétences et de savoir-faire sur mesure. Des signatures immobilières Avec un parc tertiaire de 1 100 000 m², Rouen poursuit son développement en matière de tertiaire supérieur : «...
Faire plaisir, il n’en faut pas beaucoup plus pour faire le bonheur de ces deux épicuriens. Riches de leurs expériences passées et animés par une passion effrénée pour leur métier, Sébastien Riou et Catell Kergadallan peuvent se targuer d’offrir l’une des tables les plus réputées de Périgueux. A l’honneur : une cuisine gastronomique, gourmande et maîtrisée à travers laquelle vous vous laisserez surprendre par la créativité débordante du chef. Chaque plat raconte une histoire : celle d’une originale association de saveurs et produits triés sur le volet auprès de producteurs locaux. Un concept unique Ayant passé son enfance en Lorraine, Sébastien Riou fait ses classes dans de prestigieux établissements notamment à Carantec auprès du chef doublement étoilé Patrick Jeffroy ou encore à Valence chez Anne-Sophie Pic détentrice de trois macarons au Guide Michelin. Chez l’un, Sébastien s’initie à la sélection rigoureuse des produits, chez l’autre, il apprend à mettre en avant rigueur et inventivité. Grâce à ses talents, il décroche un poste important à Puylaurens au Cap du Castel dont il devient le chef de cuisine. Voulant s’épanouir davantage en ayant la liberté de faire sa propre cuisine, le chef décide d’ouvrir son établissement. Il vivra cette aventure avec sa compagne Catell Kergadallan, pour qui l’univers de la cuisine n’a plus aucun secret. Ayant grandi dans une famille de maraîchers, elle est très tôt initiée au goût des bons produits. Son parcours au sein des grandes maisons comme les Relais & Châteaux des Côtes Finistériennes ou encore chez Michel Chabran à Pont de l’Isère (26) l’a aidé à acquérir une importante expérience qu’elle met désormais à profit au Parfum de Gourmandise où elle assure l’accueil et le service. Au rythme des saisons, ce restaurant désormais incontournable à Périgueux s’est lancé dans le concept de menu unique. L’idée est de vous faire découvrir des produits nouveaux qui n’auront probablement pas attiré votre attention dans un autre contexte. Laissez-vous guider par le prodigieux talent du chef en cuisine et appréciez l’expérience. Une rigoureuse sélection de produits auprès de producteurs locaux Ce menu unique est à la base constitué de quatre plats à savoir deux petites entrées, un plat et un dessert. Toutefois, il est possible d’aller jusqu’ à cinq voire sept services pour ainsi goûter à toutes les propositions suggérées par la maison. La cuisine personnelle inspirée de l’enfance du chef promet de surprendre vos papilles. L’un des ingrédients pique votre curiosité ? Catell vous donne de plus amples explications et va même aller le chercher en cuisine pour vous le montrer. Ce moment d’échange contribue à amplifier votre expérience Au Parfum de Gourmandise. La création des menus s’effectue en fonction des produits disponibles chez les éleveurs et agriculteurs locaux. « Tout est réfléchi d’avance. Deux à trois mois à l’avance, on fait un point avec nos maraîchers pour savoir ce qu’ils vont pouvoir nous offrir d’ici quelques mois. C’est de là que naissent les idées du chef » raconte Catell. D’ailleurs, en consultant la carte, la liste de producteurs qui ont aidé le chef à monter son menu est affichée. Une manière de rendre hommage au fabuleux travail de ces professionnels. Quand la simplicité côtoie le raffinement Le décor mise sur la simplicité et le raffinement. Rien de trop guindé. La salle révèle un style sobre avec une prépondérance de couleur claire pour conférer plus de luminosité. La cheminée en pierre donne un côté rétro-chic tandis que les poutres apparentes procurent une ambiance plus traditionnelle. Les luminaires judicieusement agencées donnent du charme à l’ensemble sans oublier l’art de table, avec des assiettes notamment dénichées chez la céramiste du coin. En tout, le restaurant possède 16 couverts répartis sur 6 tables. Pour être sûr d’y avoir ses entrées, il est donc plus sage de r...
Plus qu’une tradition familiale, le champagne est pour la famille Millet une passion qu’ils aiment partager. Leurs quatre hectares de vignoble classés 1er Cru, héritage d’une lignée de vignerons, s’étendent sur un terroir au sol calcaire du crétacé . Le pinot noir, le pinot meunier et le chardonnay y règnent en maitre et y puisent dans ce sol riche en minéraux, en oligo- éléments ou sels minéraux leurs caractéristiques aromatiques qui donnent au Champagne Gabriel Boutet ses saveurs déclinées en différentes cuvées qui vous seront présentées sur le domaine. Une marque fidèle aux traditions Gabriel Boutet, c’est une maison traditionnelle qui a su s’adapter aux pratiques culturales de de la viticulture raisonnée depuis plus de 20 ans. Aujourd’hui c’est vers la viticulture durable que Luc Millet le petit fils de Gabriel Boutet s’oriente. Quant aux méthodes de pressurage et de vinification c’est grâce à la modernisation et la collectivisation des outils que les vins sont travaillés sans additifs de produits animaux qui permettent au champagne d’être consiéré comme végan. C’est cette importance conférée aux valeurs ancestrales du métier de vigneron, conjugué à la modernité des outils utilisés qui est la garantie de la qualité des assemblages appréciés pour la subtilité des différentes cuvées de leur champagne. Accompagnez vos desserts aux fruits acidulés d’une flûte de la cuvée Miss Pat*, un Blanc de Blancs au goût miéllé et suave qui exalte des saveurs d'agrumes et de fruits exotiques. Pour vos mets raffinés, optez pour la cuvée Gold Spirit of Sélection qui est la cuvée « la plus représentative du terroir », selon Patricia Millet. Cet assemblage harmonieux d’environ 75 % de pinot noir confère au champagne sa puissance arômatique alors que les 25 % de chardonnay apportent la fraicheur et la légèreté. La convivialité d’abord En matière d’œnotourisme, la maison Gabriel Boutet se démarque en proposant, au-delà des clichés liés au champagne, des sorties alliant ambiance festive et découverte. L’œil du naturaliste, de l’entomologiste et du botaniste vous fera découvrir que depuis que la Champagne est passée à la culture raisonnée on trouve 35 fois plus de papillons et 15 fois plus de coccinelles sans parler des syrphes, des téléphores. Durant une promenade on pourra dénicher en observant attentivement avec une loupe l’acarien rouge, la larve de cochenille, la cicadelle, le gibouri, la tenthrède… Vous découvrirez comment combattre par la confusion sexuelle les prédateurs, comment les coccinelles à 2 points ou six points, grosses consommatrices de pucerons, les lézards, salamandres tachetées, les grenouilles rousses et crapauds aident le vigneron à lutter contre les maladies. D’autres animations sont prévues en étroite collaboration avec L’IMPERIALE de Marie-Antoinette. La maison conduit ses invités au cœur des villages et des vignes de la champagne historique. Cette prestation unique est organisée à bord d’un bus aménagé spécialement à cet effet avec, au menu, une balade au cœur des vignes et une vue imprenable sur la vallée de la Marne. Au programme : dégustation de trois cuvées Gabriel Boutet et du Ratafia de Champagne, arrêts dans des vignobles et découverte de la région sur la plate-forme panoramique du bus. Des promenades en bateau à aube CROISI CHAMPAGNE, avec repas et animation musicale, et des balades en TUK- TUK CHAMPENOIS sont également proposées à Cumières Hautvillers et Avenue de Champagne à Epernay. Fière de son appartenance à cette terre bénie, la famille Millet vous accueille chaleureusement au milieu de leur domaine centenaire. ...
Avec le développement de l’utilisation d’Internet, de plus en plus d’entreprises ouvrent leur système d’information à leurs clients, leurs partenaires ou leurs fournisseurs lors de démarches d’externalisation. Il est donc devenu essentiel de protéger et de maitriser le contrôle d’accès et les droits des utilisateurs du système d’information. Cette mission passe obligatoirement par la connaissance approfondie des ressources de l’entreprise à protéger et par la maitrise du contrôle d’accès et des droits d’utilisation du système d’information. Il en va de même lors de l’ouverture de l’accès de l’entreprise sur Internet. Le vol de données sensibles ou à caractère personnel est un enjeu de taille que les chefs d’entreprise ont fini par comprendre et assimiler. Pour sécuriser leurs données, ils ont consenti de façon progressive à se doter de responsables sécurité des systèmes d’information (RSSI), une profession clé dont la mission est en priorité de protéger le patrimoine informationnel des entreprises. Lieu d’échanges et de coopération Pour assurer pleinement son rôle et faire face à la menace grandissante, cette profession avait un besoin urgent de se structurer, de s’organiser, voire de se professionnaliser. Toutes ces raisons ont conduit à la création du Club des Experts de la Sécurité de l’Information et du Numérique (CESIN) avec, en esprit, « des objectifs bien précis qui sont de mettre en place une plateforme d’échange, de partage d’expériences et de coopération pour les professionnels de la sécurité de l’information et du numérique », explique Alain Bouillé, président de l’association. Dans une démarche règlementaire s’appliquant à l’échelle nationale et internationale, « le CESIN vise la promotion de la sécurité des informations et favorise les échanges avec les pouvoirs publics ». ...
En été, la Brasserie fait profiter ses clients d'une terrasse spacieuse offrant une vue splendide sur le bois de la Cambre et les alentours. Elle propose également une aire de jeux et une patinoire pour le divertissement des enfants. Une gastronomie authentique et savoureuse Il y vous est proposé une cuisine gastronomique et traditionnelle qui s'alterne et donne naissance à des plats succulents et originaux élaborés avec des produits nobles et de saison tels thon rouge, côte à l'os, sole sauvage... Les clients savourent également des plats typiques de la Brasserie dont « Les plats de Granny », des mets à base de viande de boeuf ou de poularde tels que blanquette de veau à l'ancienne, vol au vent de poularde, rognons de veau à la dijonnaise... Le service Tea Room et Petite restauration, quand à eux, invitent à un voyage au pays de la gourmandise. Au programme : chocolat chaud, glaces faites maison, crèpes, gaufres, croque-monsieur, vin chaud en hiver... Avis aux amateurs de vins. Cette brasserie possède aussi une cave à vins français, espagnols, italiens, australiens et des bouteilles qui viennent d'Afrique du Sud. Accueil chaleureux et service de qualité Questionné sur la décoration et l'ambiance de la Brasserie de la Patinoire, Frédéric Eberhart décrit l'intérieur comme « un endroit cosy, calme, posé, décontracté ». Côté service, le gérant des salles affirme : « On est très attentionné, on est très attentif à la demande des clients. » Outre l'écoute et la disponibilité, le personnel de l'établissement fait preuve de réactivité. Récompenses et partenariat La Brasserie de la Patinoire est dans le guide Michelin 2017. Avec son « menu du mois » proposé par le chef, en effet, l'établissement a obtenu un Bib Gourmand au guide Michelin. Le concept est simple : pas besoin de se ruiner pour déguster des mets sains et succulents. La formule gourmande proposée par la Brasserie respecte bel et bien ces critères. Soucieux du confort de la clientèle, cet établissement a encore réalisé un partenariat de type « Pass Confort » avec le Théâtre de Poche. Cela se traduit par le droit à un repas à la Brasserie, trois plats au choix, pour le prix d'une place au théâtre. ...
Le propriétaire du Monsieur Bouillon, le chef Philippe Chevrier est notamment connu en Suisse pour sa cuisine étoilée au Domaine de Châteauvieux, seul restaurant 2 étoiles Michelin du canton de Genève mais aussi pour l’originalité et la diversité de ses autres établissements . Il possède en effet 6 restaurants qui ont chacun leur particularité. Si le bar tea-room Les Aviateurs intrigue par exemple par son concept et par sa décoration, le restaurant Monsieur Bouillon est le seul à Genève à dresser toute sa carte autour de 2 produits que nous avons l’habitude d’utiliser quotidiennement. L’œuf et le poulet à l’honneur Les deux produits phares du Monsieur Bouillon, ce sont l’œuf et le poulet. La volaille étant l’un des produits favoris du chef Chevrier, il a choisi de travailler avec des éleveurs locaux. Ce choix a aussi été motivé par les nombreuses possibilités offertes par le poulet et l’œuf en cuisine. Accompagné d’un produit de luxe comme la truffe noire, le poulet devient en effet un plat raffiné. Mais il peut aussi être associé à des recettes simples comme les œufs brouillés ou les œufs à la coque. En outre, le restaurant propose aussi au second plan d’autres viandes et du poisson. Au restaurant Monsieur Bouillon, la cuisine change selon la saison pour faire place à des touches méditerranéennes, à quelques plats végétariens et même à des plats exotiques inspirés de la cuisine japonaise comme les brochettes yakitori et les œufs de poisson. La carte du Monsieur Bouillon satisfait ainsi un très large public. Mais la variété des recettes n’est pas le seul atout du restaurant, il plaît aussi aux genevois pour d’autres raisons. Pourquoi Monsieur Bouillon ? Le chef Chevrier a choisi le nom du restaurant en pensant aux bouillons parisiens, ces endroits où les ouvriers pouvaient manger rapidement dans une ambiance très conviviale. En ouvrant le Monsieur Bouillon, il voulait recréer la même atmosphère tout en s’adaptant au marché local de Genève. Pour ce faire, le chef Chevrier a choisi un décor chic et moderne avec l’aide d’un architecte d’intérieur. Dans ce restaurant si particulier, le cadre est élégant et le service rapide. Le restaurant est accessible à tous au niveau des tarifs et la qualité toujours au rendez-vous. Il ne cuisine en effet que des poulets Romands certifiés IP Suisse, élevés en plein air. Les œufs sont également labellisés Genève Terre Avenir. Ils sont produits dans la Ferme de la Pièce à Céligny, dans la campagne de Genève. Et comme le dit le chef Philippe Chevrier, « le chef n’est pas la star, ce sont les produits. » Par ailleurs, le Monsieur Bouillon est aussi connu pour la générosité de sa cuisine, à l’instar des autres restaurants du chef. La cuisine axée autour de ces deux ingrédients est dirigée par le chef Simone de Santis. Un italien qui a été formé par le chef Chevrier lui-même dans ses autres établissements avant de prendre ses fonctions au Monsieur Bouillon. Un espace à privatiser Situé en plein cœur des quartiers des banques, le Monsieur Bouillon accueille en semaine une clientèle business. Le soir, il y règne une ambiance citadine et le week-end, il accueille de nombreuses familles. Outre le restaurant, le Monsieur Bouillon met aussi à la disposition de tous ses clients un espace privatisable à l’étage. Il s’agit d’un lounge qui peut accueillir différentes sortes d’évènements tels les lancements de produits et les cocktails dinatoires. Dans la même ambiance que le restaurant, le lounge est mis en valeur par des tableaux d’artistes, des œuvres d’art et des meubles vintage. ...
À déguster sous forme de cocktail ou sec accompagné de glaçons, le cognac offre un jeu subtil d’alliances de saveurs pour plaire aux amateurs. La production de cette eau-de-vie constitue le cœur de métier de la Maison Chollet. À travers une expérience de près d’un demi-siècle, le fabricant réalise ses assemblages avec harmonie, tel un véritable musicien ou un peintre, révélant toute la quintessence d'un produit d'exception. Une passion familiale depuis 1952… C’est entre 1952 et 1960 que Jacques et Jeanine Chollet investissent dans l’achat de leur terrain, puis aidés par leurs enfants, ils construisent une distillerie pour produire de l’eau-de-vie. Leur fils Chollet Bertrand reprend le flambeau en 1995 pour s’occuper et gérer le vignoble puis en 2008 c’est au tour de Christophe Chollet et sa compagne Marie Berry de prendre en main la partie élaboration et commercialisation de l’entreprise familiale. Après quarante ans d’existence, la Maison Chollet n’a pas changé son mode de production. Négociée puis sélectionnée méticuleusement, l’eau-de-vie est vieillie en fût de chêne pendant plusieurs années. De ce procédé naissent le VS de deux ans, le VSOP de quatre ans, le XO de dix ans ainsi que l’Altesse âgée de quarante ans, un élixir noble et très recherché. Parmi les produits phares de la maison figurent Les Millésimes « qui sont rares et plutôt difficiles à produire, car nécessitant une traçabilité draconienne », nous confie Marie Berry, propriétaire. Le 3945 : un coup de cœur… À la question « Quel est votre produit ambassadeur ? », Marie nous cite sans hésiter son cognac 3945. Distillé dans de vieux alambics et vieilli en fût de chêne, ce nectar rare et précieux est issu de l’assemblage d’eaux-de-vie de Fins Bois des années 1938 à 1946. De belles caractéristiques qui lui confèrent puissance et caractère. Avec un goût boisé et une bonne tenue en bouche, le 3945 est le must-have pour les amoureux de bon cognac. Et comme la maison possède moins de 400 bouteilles, « seuls les plus chanceux pourront le déguster », déclare notre interlocutrice. ...
Depuis 2014, une solution digitale a réinventé la recherche de remplacements médicaux, de gardes et d’astreintes. Docndoc rapproche les professionnels de santé de toutes disciplines dont la médecine générale, la radiologie, la psychiatrie, la chirurgie, la neurologie ou la gériatrie autour d’un réseau fiable et réactif. Le défi était de réduire le temps nécessaire à la très engageante et laborieuse démarche pour trouver un remplaçant tout en favorisant la confraternité entre praticiens. Trouver le remplaçant idéal en quelques clics Docndoc est une plate-forme dédiée exclusivement à la recherche d’un remplaçant médical entre médecins et professionnels de santé exerçant en France métropolitaine et dans les DOM/TOM. Conçue pour faciliter et accélérer la mise en relation directe entre praticiens installés et médecins remplaçants, elle fonctionne selon un algorithme interne qui permet de « matcher » une demande à une offre. Une fois inscrit, chaque profil est filtré non seulement sur la base de ses compétences, mais aussi sur sa disponibilité et sur la localisation géographique souhaitée. La gestion de son espace membre est d’autant plus simplifiée en utilisant les outils proposés sur le site : tableau de bord, calendrier et agenda, consultation sans rendez-vous... Ainsi, pour chaque demande postée sur la plate-forme, Docndoc génère en temps réel une liste de médecins remplaçants préqualifiés qui ont répondu à la correspondance spécialité/date/lieu. « Le site ne s’intéresse pas uniquement aux médecins libéraux, mais aussi aux groupes de médecins, cliniques, établissements de santé et centres hospitaliers », explique Pascal Karila-Cohen, la présidente de la société. Il en résulte donc une grande liberté de choix dans la recherche d’un confrère intérimaire grâce à une sélection plus affinée et plus ciblée s’étendant sur le territoire national. Élargir les possibilités en partenariat avec les régions de France L’équipe de Docndoc a comme ambition de transformer la plate-forme en un véritable tremplin à la collaboration et à la succession des médecins. Elle a ainsi imaginé une approche innovante, basée sur des conditions de remplacement attrayantes, pour dynamiser les échanges entre les grandes villes et les zones plus éloignées. Cette stratégie consiste, entre autres, à offrir une formule spéciale au remplaçant lui permettant par exemple de découvrir des activités touristiques, sur le lieu qui lui est proposé par le site, à un prix préférentiel. « Nous avons pensé à une solution qui combine le déplacement à une attractivité territoriale pour inciter les médecins à partir plus loin et à casser le cloisonnement de certaines zones. » Le site incite surtout les jeunes médecins à explorer d’autres régions potentiellement favorables à l’activité médicale. ...
Vous souhaitez vous épanouir professionnellement ? Gérer vos tâches quotidiennes de façon plus efficace, prendre de nouvelles responsabilités, développer votre leadership, définir et mettre en œuvre un plan d’action ? Le cabinet proactif Ressources, met à votre disposition un service aussi performant que novateur. Un coaching professionnel pour accélérer la réussite de ses projets En tant que spécialiste du développement de l’efficacité professionnelle, du management de carrière et du bien-être au travail, ProActif Ressources est en mesure de répondre aux attentes des managers, dirigeants et porteurs de projet. En s’appuyant sur l’expertise de sa créatrice, Véronique Sanna, et d’un réseau solide de spécialistes et partenaires, ProActif Ressources propose des parcours d’accompagnement individuels et collectifs autour des services du coaching, de la formation et du mentorat. Mieux se connaitre pour réussir Tout commence par une phase de diagnostic, étape indispensable pour comprendre ses modes de fonctionnement et identifier les freins qui compromettent la réalisation de ses projets ou celle des équipes. La force de l’accompagnement réside dans l’utilisation, de méthodes et outils reconnus scientifiquement. Ils sont issus des dernières recherches en neuroscience basées sur le mécanisme de la pensée (biais cognitifs) qui permettent d’évaluer l’incidence des raisonnements sur les émotions et les comportements productifs et contreproductifs. De plus, l’approche en coaching cognitif (travail sur les croyances limitantes) et comportemental (centré sur l’atteinte d’objectifs opérationnels) s’avère être un véritable atout pour accompagner la conduite du changement et évoluer avec plus de sérénité dans des situations complexes. Comment se déroule la prestation ? Pour ceux qui souhaitent aller au-delà du diagnostic, qui comprend une séance de débriefing 1 h 30, il est possible de s’entrainer à agir et interagir avec son environnement. Dans ce cadre, un parcours d’accompagnement personnalisé est proposé. Son objectif : vous permettre d’élaborer et de mettre en œuvre un plan d’action tant pragmatique qu’opérationnelle en vous guidant sur le chemin de la réussite de votre évolution et de votre performance. Le parcours varie de 8 à 10 séances de 1 h 30 environ. Un coaching bref de 4 à 6 séances peut aussi être envisagé selon la demande et vos besoins. Les séances se déroulent dans les locaux de ProActif Ressources, en visio, ou encore par téléphone selon vos souhaits et disponibilités. Booster son efficacité, développer son intelligence émotionnelle, gérer son stress, manager sa carrière, transmettre son patrimoine professionnel : voici quelques champs d’actions de ce cabinet de coaching. ProActif Ressources s’engage au quotidien à vos côtés pour vous permettre de libérer votre potentiel et de réaliser vos plus beaux projets. ...
Entre terres et mers, villes et campagnes, monuments historiques et parcs naturels, les Balkans sauront combler les attentes de chaque voyageur friand d’escapades hors du commun, loin des circuits et séjours habituels. « Le but est, ici, de faire découvrir des villes et des pays méconnus ne figurant pas dans l’offre touristique classique mais qui sont pourtant situés à seulement deux heures de la France », explique Laurent Abbondanza, directeur et fondateur de l’agence. Découvrez ainsi le meilleur de chaque pays des Balkans et imprégnez-vous de la richesse de ces contrées qui ont tout à vous offrir. Séjours d’immersion dans les pays des Balkans Les pays balkaniques regroupent tout ce qu’un explorateur en herbe désire retrouver dans un voyage. « Le culturel, les belles capitales à visiter et le tourisme vert se retrouvent tous dans ces pays », fait savoir Laurent. Allant du week-end au long séjour, en passant par les excursions, chaque pas est le début d’une entraînante aventure. À l’occasion d’une halte nature, accordez-vous un séjour personnalisable en Slovénie, la destination verte des Balkans. Au bord de son fameux lac Bled, surplombé par une île à la végétation luxuriante, adonnez-vous à vos sports nautiques favoris, à des randonnées entre cascades et rocailles au cœur des gorges de Blejski Vintgar ainsi qu’à une visite du château de Bled, bâti au XIe siècle et au sein duquel de nombreux événements redonnant vie au Moyen Âge sont régulièrement organisés. La Macédoine reste, quant à elle, la destination phare pour les inconditionnels des séjours culturels. Chaque ville est ici un musée à ciel ouvert où les empires romains et ottomans ont laissé des vestiges à jamais figés dans le temps. La ville d’Ohrid, classée avec son lac au patrimoine mondial de l’Unesco, vous ouvre ses portes à l’occasion de visites emplies de mythes, de traditions et de culture macédoniens. Faites un tour en bateau sur le lac majestueux d’Ohrid avant de poursuivre vers le parc naturel de Galicica à la découverte de la richesse faunistique et floristique du pays. Des escapades citadines d’exception Le temps d’un week-end ou d’excursions, profitez d’escapades citadines en plein cœur de Belgrade, la capitale authentiquement serbe, pour y découvrir des cathédrales et églises séculaires, des quartiers aux rues pittoresques et à l’ambiance festive ainsi que des monuments inscrits au patrimoine mondial de l’Unesco, à l’instar du parc de Kalemegdan et de sa forteresse. « Des activités shopping, des moments de farniente dans les espaces verts et des détours gourmands dans les restaurants abordables de la ville figurent aussi au menu », reprend notre interlocuteur. Dans la même optique, la capitale bulgare, Sofia, se visite aussi au fil de vos envies. Allant des vestiges thraces et romains à la gastronomie, en passant par les musées, cette ville cosmopolite et dynamique se veut être le carrefour entre la Bulgarie traditionnelle et moderne, propice aux excursions récréatives empreintes de découvertes. Le temps d’un city break d’un week-end, Sofia révèle un visage accueillant, marqué par l’histoire. ...
Le mot fourme vient du latin et signifie « mettre en forme le cailler ». En français moderne, ce mot signifie « fromage ». De là, est apparue la combinaison des mots « fourme d’Ambert », qui signifie « fromage d’Ambert en Auvergne ». Une histoire raconte qu’à l’époque napoléonienne, des écrits de dragon autrichien témoignent de l’achat du fromage à Ambert. Une denrée ensuite jetée dans la rivière parce qu’elle était moisie. Mode de fabrication Fromage à pâte persillée, la fourme d’Ambert se caractérise par sa forme verticale, ronde et haute. Elle est produite principalement en Auvergne, sur la montagne du Puy-de-Dôme (600-1 600 mètres d’altitude), dans 5 cantons du Cantal, mais également dans 8 communes de la Loire. La fabrication de la fourme d’Ambert se fait manuellement et naturellement, respectant ainsi les techniques ancestrales de fabrication et les valeurs même de son terroir d’origine. Le lait de vache est alors mélangé avec un champignon appelé le Penicillium Roqueforti, afin d’obtenir le persillage. Vient ensuite l’étape du caillage puis, le travail en cuve (découpage et brassage). La mise en moule se fait à l’aide d’un tapis afin de préserver les grains coiffés, pour aller directement à l’égouttage, où les fromages sont retournés durant 24-48 heures. Une des étapes les plus importantes est le salage qui se fait manuellement au sel sec, puis le piquage, qui consiste à créer des trous à l’aide de grandes aiguilles, pour permettre le développement du bleu. Pour finir : le passage dans les caves d’affinage, où la fourme d’Ambert repose durant vingt-huit jours. Un goût unique aux mille recettes De ce fromage bénéficiant de l’Appellation d’origine contrôlée (AOP) depuis 1972 naissent des milliers de recettes créées par des professionnels de la gastronomie, mais également par des amateurs de la cuisine. Facile d’utilisation, il rayonne aux quatre coins de la planète par son goût de champignon et sous-bois, à la nuance fruitée. En arôme, il dégage une odeur de cave. La fourme d’Ambert s’accorde avec tous types d’aliments, chauds, froids, ou sucrés, salés et même avec des boissons, comme le mélange du cappuccino de betterave et de la fourme d’Ambert. Elle sublime ainsi toutes les créations culinaires : tartelette de fourme d’Ambert aux brocolis et caramel de pommes, magret de canard, rillettes aux noix et à la fourme d’Ambert, crème brûlée à la fourme d’Ambert. ...
La brasserie Les Éclusiers se situe à Henridorff, entre Sarrebourg et Saverne, proche du camping du plan incliné d’Arzviller. Les clients sont reçus dans un cadre authentique : une grande salle au style contemporain agrémenté par une décoration épurée, une terrasse bien spacieuse avec vue panoramique sur le paysage. Le Chef Nicolas Kohler et son équipe promettent un moment agréable dans une ambiance décontractée que ce soit en salle ou à l’extérieur. Un endroit théâtre de sorties entre amis, rendez-vous en tête à tête ou même repas en famille. Une cuisine du terroir La carte ainsi que les menus du jour mettent en valeur une cuisine du terroir. « La carte est renouvelée trois fois par an au gré des produits de saison », nous explique le propriétaire Frédéric Beno, cuisinier de métier. En entrée, l’on redécouvre la terrine campagnarde maison ou le carpaccio de bœuf façon Fritz, des classiques mais un régal garanti à chaque dégustation ! En résistance, les clients peuvent opter pour des plats à base de poissons frais, telle la truite aux amandes de vivier, pêchée à la minute. Pour les amateurs de viandes, la carte propose un savoureux faux-filet de viande charolaise ou encore de l’entrecôte Angus bien tendre. Un plus non négligeable : « La cave à maturation pour les viandes », révèle le chef. Au passage, difficile de résister au cordon-bleu de veau avec sa crème faite maison. Pour terminer, la bûchette exotiko aux fruits et autres créations sucrées de la maison signées par le pâtissier Cédric Jacob achèvent en beauté le périple culinaire. Les menus suggérés sont inspirés par les produits frais du marché et se déclinent en quatre, dont un menu enfant. Les plats typiques de la région sont au rendez-vous : quiche lorraine, joue de bœuf à la bière, rognon de veau flambé à la crème, Kougelhopf et baba au rhum. Avec le menu Découverte, les clients peuvent composer eux-mêmes leur formule entrée, plat et dessert. Pour un accord mets et vin réussi, la brasserie Les Éclusiers sélectionne une vingtaine de références en vins français. L’on cite notamment les vins alsaciens, des côtes-du-rhône ou des bordeaux. Au plus près des producteurs locaux Labélisée « maître restaurateur », la brasserie Les Éclusiers s’engage dans une démarche locale et s’approvisionne en produits frais directement auprès des producteurs de la région. La maison travaille avec la pâtisserie Reutenauer et la boulangerie tabac-presse Rein Chistian pour garnir son café gourmand. En outre, la pisciculture Messang située à Abreschviller assure la livraison en produits marins. Côté boisson, la maison possède sur place une branche dédiée à la fabrication de bières artisanales. « Nous élaborons trois types de bières à la pression : blonde, blanche et ambrée », reprend Frédéric Beno en présentant fièrement ces produits que les clients sirotent avec grand plaisir. ...
La marque a monté tout un univers créatif pour donner vie à l’intérieur de notre maison et pour égayer notre table. Entourée de très talentueux designers nationaux et internationaux, elle veut hisser le savoir-faire français dans l’art et la décoration. Un savoir-faire savamment exprimé avec créativité dans le travail des matières, des lignes, des courbes et des textures. Le style contemporain revisité Sibo Homeconcept est créateur de nouvelles tendances en articles de verrerie, de vaisselle, de mobilier, de la décoration et divers accessoires qui se regroupent en différentes collections. À mi-chemin entre le style contemporain et un design industriel, chaque collection se compose de pièces uniques dont la plupart sont façonnées à la main. Méticuleusement conçus par des designers, les articles de la marque s’affichent dans les plus grands hôtels et restaurants du monde. Et peu importe le goût de chacun, le concept novateur et simpliste des produits de Sibo Homeconcept séduit aussi bien les particuliers que les restaurateurs et les chefs étoilés. Le choix d’une palette de couleurs neutres pour accompagner les courbes épurées suggère un esprit minimaliste. Et cette esthétique sobre et chic renforce encore plus la fonctionnalité primaire des objets, et n’encombre en rien leur utilisation. La gamme de collection vaisselle Chaque collection vaisselle est fabriquée à partir de matières composites : bois, verre, métal, verre soufflé, grès, porcelaine fine, etc. Et elles sont élaborées de façon à préserver ce côté naturel, qui devient l’âme de la collection. OSLO est une collection qui fait honneur aux matières organiques, plus spécifiquement le grès. Les articles revêtent un design moderne, aux courbes fines et légères. Une finition à la main affine les textures et crée une nuance d’effet mat et brillant. Les couleurs restent dans les tons naturels et sobres, pour souligner l’authenticité de la matière utilisée. NORI : collection marquée par ses formes arrondies et imparfaites. Le design apporte une touche de modernité au charme intemporel des vaisselles rustiques. Le mélange de grès et des émaux réactifs soumis à la chaleur explique la nuance de couleur vert amande, très caractéristique à chaque article. Une sélection conçue pour la maison et pour une utilisation quotidienne. URBAN, quant à elle, est composée exclusivement de flûtes à champagne, de verres à vin et de gobelets. Grâce à leur transparence, ils sont discrets mais ne passeront pas inaperçus et se fondent parfaitement dans la décoration de table. Au style contemporain très affirmé, ces articles sont créés par des artisans verriers en soufflé bouche. Chaque type de produits est commercialisé en lot de six pièces. ...
A une petite vingtaine de minutes du centre de Paris par Eole, le laboratoire Chelles Surdité reçoit sa clientèle toute l’année en continu. Son cœur de service, la correction auditive, bénéficie de l’expertise d’Elisabeth Peltier et Cédric Peltier son fils. Les personnes ayant des problèmes d’acouphènes et d’hyperacousie accèdent ici à une prise en main professionnelle, soutenue par la technique d’appareillage initiée par Elisabeth Peltier. L’audioprothèse pour une correction durable des acouphènes « J’ai créé une technique d’appareillage et je participe et j’initie d’autres audioprothésistes pour travailler sur cette méthode », annonce d’emblée Elisabeth Peltier pour poser le cadre d’activité du laboratoire. La recherche en question cible les acouphènes dont son équipe a fait un vrai cheval de bataille. L’objectif est de supprimer ces troubles de l’audition qui concernent de nombreuses personnes, toutes tranches d’âge confondues. « On réussit, nous avons de très bons résultats reconnus par les patients et leurs médecins. Nous recueillons leurs témoignages », ajoute notre interlocutrice. Au moment du bilan, elle nous précise que les meilleurs résultats sont observés sur les surdités génétiques. En soulignant que ses patients sont suivis par des équipes pluridisciplinaires incluant des médecins spécialistes dont O.R.L., des sophrologues et des spécialistes de la PNL. Les patients ayant des difficultés relevant de l’hyperacousie profitent également de ces services. Le laboratoire délivre, un véritable coaching à l’intention des patients présentant ces symptômes. Cet accompagnement personnalisé constitue un peu la signature des services dispensés par le laboratoire. Appareillage auditif pour adultes et enfants « La prothèse auditive, c’est le premier traitement pour éviter le déclin cognitif et préserver la mémoire » tient à préciser Elisabeth Peltier pour souligner les enjeux des troubles de l’audition. Quel que soit l’âge du patient, la correction de ces troubles par les appareils est envisagée en prenant en compte deux dimensions essentielles. Il s’agit, d’une part, de mettre à disposition des prothèses en adéquation avec le mode de vie. Les modèles les plus récents intègrent la numérisation pour s’adapter tant au profil auditif du porteur qu’à l’environnement sonore. D’autre part, les correcteurs d’audition doivent se faire le plus discret possible. L’équipe d’audioprothésistes et de techniciens de chez Chelles Surdité collabore activement pour concilier ces paramètres aux préoccupations de chaque client, notamment en matière budgétaire. Ensuite, différentes formes esthétiques sont proposées selon l’expérience de port qui convient au sujet : contour d’oreille RIC, avec écouteur dans le conduit, ou contour d’oreille conventionnel. Diverses configurations d’appareils sur-mesure intra-auriculaires sont également accessibles. Préalablement à l’adoption de l’une ou l’autre solution, les sujets font l’objet d’un test préalable dans les cabines audiométriques dont est équipé le laboratoire. Focus sur la prévention Dans une perspective de prévention, l’enseigne propose également différentes gammes de protection auditive, sur-mesure ou standards. Embouts moulés waterproof pour les baignades, audioprothèse d’atténuation réglable pour la chasse, anti-bruit pour atténuation linéaire dédiée aux musiciens constituent autant de solutions préventives commercialisées par Chelles Surdité. Cette prévention est réalisée chaque année avec des élèves des écoles, des collèges et des lycées de Chelles. Notamment dans le cadre de la Journée nationale de l’audition. Chaque année, madame Peltier organise avec ses équipes pluridisciplinaires un colloque ouvert au public, animé par des chercheurs et des médecins sur le thème des acouphènes et de l’hyperacousie afin de partager les derni&...
Idéalement situé dans les Vosges, à La Bresse, Bol d’air s’étend sur un domaine de cinq hectares entouré de montagnes et de rivières. Fêtant, en 2017, ses 30 ans d’activité, le parc a été fondé par Régis Laurent et son épouse Jocelyne, des passionnés de la montagne et de sensations fortes. À ses débuts, le parc accueillait quelques apprentis du parapente, mais au fil des années, d’autres activités se sont développées. Aujourd’hui, les formules proposées s’adaptent aux envies de chaque type de client, particuliers ou entreprises, en été comme en hiver. Aventures dans les airs Le Fantasticable est l’une des attractions phares du parc. Les participants vont littéralement voler et planer au-dessus des belles vallées de La Bresse, sur un câble qui fait 1,35 km de long. « On descend en position allongée, la tête la première, avec une vitesse maximale de 110 km/h », explique Laurent Mougel, le responsable communication de Bol d’air. Cette activité peut se pratiquer en mode solo ou duo en accompagnant votre enfant pendant le parcours. Et pour encore plus de sensations, un masque de réalité virtuelle (VR) peut être fourni à la demande du client. Montée d’adrénaline assurée ! La grande tyrolienne Bol d’air Line, la première dans son genre en Europe, est réservée pour les plus audacieux. Suspendu dans le vide, le participant va voler à grande vitesse, en traversant des loops, des droops, des virages jusqu’à 720 degrés sur un parcours de 900 mètres. Une expérience inédite ! Séjour à La Clairière aux cabanes Au cœur de la forêt, le parc accueille ses clients qui veulent rester pour la nuit, dans ses treize cabanes insolites. Perchée dans les arbres ou installée sur sol, chaque cabane représente un univers différent, avec des décorations pittoresques. « Les clients peuvent venir 13 fois de suite sans jamais vivre le même séjour », reprend Laurent Mougel. Des cabanes indoor, des cabanes de standing, en passant par des cabanes style chalet, tout le monde peut trouver son cocon à lui. ...
Des progrès considérables ont déjà été faits sur le parcours de soins, notamment via la prise en charge qu’effectuent les centres de référence, mais diriez-vous que le parcours de vie des patients continue de s’apparenter, malgré tout, à un parcours du combattant ? Le problème des maladies rares est double. En effet, elles sont non seulement rares mais aussi très différentes les unes des autres. Par conséquent, il est impossible de faire des généralités. Des progrès ont effectivement été effectués. Au sein de la filière FAVA-Multi, nous constatons, par exemple, que les centres de référence ainsi que les centres de compétence traitent plus de patients qu’auparavant. On peut donc en déduire que les malades sont de mieux en mieux orientés. Et que la prise en charge ainsi que le parcours de soins s’améliorent. Pour autant, certains diagnostics restent difficiles à poser. Car en raison de la « rareté » de ces maladies et de leur diversité peu de médecins généralistes y ont été confrontés. Or plus un diagnostic est tardif, plus les difficultés (scolaires, familiales, professionnelles… ) qu’éprouvent les patients atteints de maladies rares augmentent et plus des complications risquent de survenir. - « Le parcours de vie des patients atteints de maladies rares peut s’apparenter à un parcours du combattant. Mais pas toujours. Des progrès ont été faits » Quels sont les obstacles auxquels se heurtent le plus souvent les patients et leurs proches ? Ces obstacles sont multiples. L’errance diagnostique, c’est à dire le délai excessif qui peut séparer l’apparition des premiers symptômes de l’établissement du diagnostic, est bien souvent très difficile à vivre. Et ses conséquences sur le parcours de vie du patient peuvent être dramatiques. Sans traitement adapté, son état de santé risque de s’aggraver. Un sentiment d’isolement puis d’exclusion peut aussi apparaître, le malade se sentant incompris aussi bien par les médecins qu’il consulte que par son entourage. Parce qu’elles contribuent à rompre l’isolement, les associations de patients sont d’ailleurs d’une grande utilité. L’errance diagnostique peut également entraîner un retard dans le processus de compensation du handicap. Des difficultés scolaires peuvent aussi se présenter. En effet, il peut être compliqué de scolariser un enfant atteint d’une maladie rare qui nécessite une prise en charge pluri-disciplinaire. Il en va de même du maintien d’un adulte dans son emploi. Les malades et leurs proches peuvent également rencontrer des difficultés à s’orienter dans le parcours de soins. Mais le travail effectué par les filières de santé « maladies rares » contribue à accroître la visibilité des structures mises en place. Enfin, dépressions, séparations ou encore difficultés à obtenir un prêt immobilier font partie des répercussions qu’ont les maladies rares sur le quotidien des patients et de leurs proches. - « Les associations de malades créent du lien et aident à rompre l’isolement »Comment peut-on aider les professionnels - non spécialistes - à avoir une meilleure connaissance des maladies rares ? Il est impossible de tout savoir sur les plus de 3 000 maladies rares ayant été répertoriées. Moi-même, qui travaille sur le sujet depuis des années, je ne les connais pas toutes… En réalité, ce qui compte, c’est que les professionnels aient accès à l’information. Qu’ils sachent où elle se trouve et comment l’obtenir. Aujourd’hui, la visibilité des maladies rares est plus importante qu’auparavant. Et il existe de nombreuses portes d’entrée : Orphanet qui regroupe des informations sur les maladies rares, les sites Internet des filières, les centres de référence, les hôpitaux, etc. Mais plutôt que de former chaque médecin à toutes les maladies rares, il est préférable de les aider à savoir où trouver l’information s’ils sont face à un cas inhabituel. Si l’on peine à établir un diagnostic, il faut envisager la possibilité qu’il puisse s’agir d’une maladie rare. - « Il faut faire en sorte que les médecins sachent où chercher l’information face à un cas inhabituel »Pouvez-vous nous parler du Tour de France des Filières ? En quoi consiste-t-il ? La filière FAVA-Multi qui fédère les maladies à « anomalies vasculaires rares avec atteinte multi-systémique », et que j’ai l’honneur d’animer, organise un Tour de France des filières. L’idée, c’est de faire en sorte que les professionnels qui prennent en charge - au-delà du suivi médical - les patients atteints de maladies rares, puissent se rencontrer, échanger et tisser des liens entre eux. Participent ainsi à cet événement travailleurs sociaux, enseignants, réducteurs, MDPH, kinésithérapeutes, etc. En effet, avant que le tour de France des filières ne soit mis en place, en 2016, toutes ces personnes n’en avaient pas forcément l’occasion. Il y a pourtant une réelle demande. La toute première rencontre que nous avons organisée se déroulait sur une matinée, à Lyon. Mais les participants étaient tellement contents de se rencontrer qu’ils...
Un voyage dans l’Histoire de la Bretagne : voilà ce que vous propose le musée de la Carte postale, récemment installé au sein du Quatro, nouveau centre culturel de la ville de Baud, dans le Morbihan. Une visite qui vaut le détour, ne serait-ce que pour découvrir une collection de plusieurs milliers de cartes postales qui replonge le visiteur dans l’ambiance de la région à la fin du XIXe et tout au long du XXe siècle. Musée de la Carte postale de Baud : entre passé et présent Sur 240 m2 d’exposition, le curieux pourra y admirer les images figées des paysages, des villes et villages mais aussi se pencher sur les correspondances échangées par nos aïeux avec ces petites écritures serrées… La nouvelle scénographie du « Carton voyageur », contemporaine et interactive, mêle à la fois photographies anciennes et diaporamas, films d’époque et dessins, objets et musique, tout en explorant les multiples facettes du quotidien des Bretons au siècle dernier. Le parcours permanent, baptisé « Bretagne recto-verso », propose un va-et-vient entre passé et présent et souligne une culture bretonne créative et vivante. Il se prolonge par une exposition temporaire consacrée en 2016 aux carnets de croquis de l’artiste peintre Charles Homualk. Que l’on soit seul ou en famille, plusieurs parcours de visite sont proposés pour suivre un thème particulier ou picorer selon ses envies. À ne surtout pas manquer : la 3D des années 1900 et le studio photo. ...
Si l’exploitation a toujours été transmise de génération en génération, la marque Forest-Marié résume quant à elle l’union de deux familles et surtout de deux terroirs : celui de Thierry à Trigny situé dans le Massif Saint-Thierry et celui de son épouse Gracianne, à Ecueil classé Premier Cru et implanté sur la Montagne de Reims. Des viticulteurs attentionnés Thierry et son fils Louis présent sur l’exploitation depuis 2013 ne comptent plus le temps qu’ils passent dans les rangs de vignes. Des soins et une attention qui constituent un gage de la qualité et de la finesse des raisins produits. Les deux hommes ont pour mission d’observer la nature, de surveiller l’éclosion des premiers bourgeons sur les sarments, ou encore de comparer le comportement des vignes à celui des années précédentes. « Très attentifs à la qualité de la terre, nous y mettons de la paille pour retenir l’eau et épargner le sol de l’érosion. Elle permet aussi d’avoir un humus naturel et favoriser le développement des micro-organismes qui rendront le sol bien vivant », explique Gracianne. « Vigneron Indépendant, nous faisons tout nous-mêmes de la vigne au travail du vin. Nous avons notre pressoir et notre cuverie. » Tout ce travail basé sur le savoir-faire transmis entre les générations garantit le caractère affirmé des cuvées. Les cuvées emblématiques de la maison Dans la gamme des champagnes classiques, le Brut Tradition est le plus représentatif. Il est né d’un assemblage sophistiqué des trois cépages et de terroirs. Ce champagne jaune pâle aux reflets ambrés révèle finesse et complexité au nez, avant de dévoiler des arômes de pêche et de poire en bouche. Parmi les monocépages figure le Saint-Crespin. Issu des coteaux Premier Cru, il est composé à 100% de pinot noir, vinifié en foudre et vieilli cinq ans. Il propose une rondeur gourmande le rendant idéal pour accompagner divers mets. ...