Le golf a en effet évolué au fil des années pour permettre aux amateurs de pratiquer leur sport favori. Comme les parcours qui se multiplient à travers toute la planète, les offres de services et de matériels autour du golf se diversifient également. Ces changements permettent aujourd’hui à d’autres classes sociales de s’initier au golf. Néanmoins, avant de se démocratiser, le golf est aussi passé par plusieurs étapes et transformations. Le golf du XVè siècle à aujourd’hui Le golf tel que nous le connaissons actuellement est apparu à la fin du XVè siècle en Europe. Initié par Jacques IV, roi d’Ecosse à l’époque et repris notamment par Jacques Ier d’Angleterre, le golf devient une passion pour la noblesse et l’aristocratie, d’autant plus que les balles et les clubs étaient encore trop onéreux pour permettre à la classe moyenne de le pratiquer. Tombé dans l’oubli à la disparition des pionniers, le golf revient en force au XVIIIè siècle grâce aux francs-maçons. Ils étaient également des grands parieurs et passionnés de golf. Ils organisent les premiers tournois et compétitions puis ils établissent les premières règles. Les clubs organisés font leur apparition. Le golf se répand alors en Europe et arrive même au Canada. Aux Etats-Unis, le premier club de golf voit le jour en 1888. Après une victoire américaine au British Open en 1922, le sport se développe très vite sur le territoire ; les compétitions se tiennent même dans les universités. Puis, l’arrivée et les nombreuses victoires de Tiger Woods ont définitivement changé la vision du golf aux Etats-Unis. On le reconnaît comme une vraie discipline sportive et on en parle beaucoup dans les médias. La passion pour le golf arrive peu à peu aux autres continents, il devient même une véritable tradition dans certains pays du Moyen Orient. Le public s’intéresse ainsi de plus en plus au golf même s’il n’est pas gratuit et même s’il est encore peu connu par rapport aux autres sports. Qui peut jouer au golf ? Ce qui rend le golf si particulier, c’est que tout le monde peut le pratiquer. Mis à part les championnats où se confrontent les athlètes, il n’y a pas de conditions particulières pour pouvoir jouer. Quel que soit votre âge et votre niveau, vous pouvez toujours apprendre et jouer au golf. Il s’agit d’un sport de précision dont les bases peuvent être apprises assez rapidement. Si on a plus l’habitude de voir des hommes jouer au golf, la discipline est aussi ouverte aux dames ; d’ailleurs, il existe aujourd’hui plusieurs tournois dédiés au golf féminin. Les femmes ont en effet leurs propres championnats comme le Ladies European Tour, le Ladies Professional Golf Association Tour (LPGA) et les Open féminins. Aujourd’hui, les adolescents sont aussi intéressés par ce sport grâce à l’existence des jeux vidéo de golf et au palmarès des champions les plus connus. Autrement dit, tous les passionnés de golf peuvent en jouer. Cependant, seules la pratique et la persévérance peuvent amener au professionnalisme ! Comment intégrer l’univers du golf ? S’il fallait faire partie d’un club pour pouvoir pratiquer le golf auparavant, ce n’est plus le cas aujourd’hui, en tous cas pour la plupart des parcours. En général, il suffit de payer un ticket d’entrée. La fabrication de matériels de golf étant déjà industrialisée, leurs coûts sont plus accessibles aujourd’hui. Néanmoins, il est indispensable de prendre des cours avant de jouer au golf. Bien qu’il existe aujourd’hui des nouvelles technologies qui facilitent l’apprentissage du golf, il est bien plus intéressant de l’apprendre sur de vrais terrains. Et pourquoi ne pas organiser des vacances de golf pour le faire ? Vous pouvez programmer à l’avance votre stage en approchant des spécialistes comme Parcours & Voyages. Vous aurez ainsi le privilège de découvrir de très belles destinations tout en pratiquant sur les meilleurs parcours. La plupart des clubs de golf proposent en effet des cours pour ceux qui veulent s’initier. ...
Petit déjeuner, pause déjeuner, plateaux repas, cocktail ou encore buffet... Tout & Bon, c’est avant tout de nombreuses formules au choix, élaborées exclusivement à partir de produits sains, sélectionnés pour leur qualité et leur fraicheur. Produits frais, réactivité, large choix L’enseigne a été créée en 2010 par Marc-Antoine Toulemonde. Celui-ci débute son aventure dans l’univers de la restauration en ouvrant un salad bar, implanté à Lille. Très vite, ce jeune entrepreneur se tourne vers la restauration d’entreprise et décide de se lancer dans la livraison de plateaux repas. Aujourd’hui, Tout & Bon se destine exclusivement à une clientèle B to B. L’enseigne se positionne en tant que premier réseau de restauration livrée en entreprise sur le marché de la livraison, avec plus d’une vingtaine d’établissements ouverts et en cours d’ouverture d’ici à fin 2018. Elle compte plus de 10 000 clients dans toute la France. Elle suggère une offre complète de produits frais directement préparés dans ses cuisines. Celle-ci inclut une gamme adaptée à des régimes alimentaires spécifiques (sans gluten, sans lactose ou végétarien). Ce qui fait surtout la force de l’enseigne, c’est sa capacité à apporter une réponse rapide et adaptée à toutes les demandes. « Nous avons su répondre à une demande grandissante d’un public de professionnels en quête de toujours plus de réactivité et de plus de choix dans leurs besoins de restauration. Ainsi, nous proposons la livraison de produits frais, commandés et livrés en un clic, même en dernière minute ! », fait valoir Marine Bolzan, chargée de communication de Tout & Bon. Un traiteur engagé En 2019, le traiteur national met l’accent sur le développement de packagings éco-conçus en intégrant des matières uniquement recyclées, recyclables ou biodégradables. Les coffrets de tous les plateaux repas Tout & Bon sont exclusivement fabriqués en France. L'enseigne propose également à ses clients un sourcing en faveur du « mieux manger » en incluant majoritairement des produits labélisés, respectant les divers régimes et contraintes alimentaires, en proposant une sélection de produits issus du commerce équitable, de l’agriculture biologique et des produits régionaux. Dans ce contexte, un partenariat avec l’association Reforest’Action a été établi pour compenser son empreinte carbone avec un objectif : 1 arbre planté tous les 100 repas servis ! ...
Une prime de Noël pour quoi faire ? À l’instigation du Gouvernement en 1998, il a été instauré une prime de Noël pour les plus démunis. Bénéficier de la prime de Noël 2017 permet ainsi d’améliorer le pouvoir d’achat afin de profiter également dans de bonnes conditions des fêtes de fin d’année, et ce quel que soit le nombre d’enfants. Les conditions pour bénéficier de la prime de Noël 2017 Pour bénéficier de la prime de Noël 2017, il faut tout d’abord vérifier si vous êtes éligible au dispositif. Les bénéficiaires Pour cette année, sont concernées les personnes qui touchent les aides ou revenus suivants : Le RSA (Revenu de Solidarité Active) L’ASS (Allocation de Solidarité Spécifique) L’AER (Allocation Équivalent Retraite) La PTS (Prime Transitoire de Solidarité) La prime forfaitaire mensuelle de reprise d’activité NB : Attention seuls les bénéficiaires du RSA socle et les personnes cumulant le RSA socle avec la prime activité (elle remplace depuis le 1er janvier 2016 le RSA activité) pourront bénéficier de la prime de Noël 2017. Les cas non couverts par la prime Les bénéficiaires de la prime d’activité, de l’AAH (Allocation aux Adultes Handicapés), d’une pension invalidité ou de l’Aspa (minimum vieillesse) ne sont pas concernés par la prime de Noël. Les personnes qui bénéficient des allocations chômage (ARE – Allocation de Retour à l’Emploi) ne sont PAS concernées par le dispositif. Montant de la prime La prime versée par la CAF au motif du RSA Le montant de la prime de Noël versée par la CAF dépend de la composition familiale. Pour chaque enfant supplémentaire, le montant est majoré de 60,98 €. La prime versée par Pôle Emploi au motif des autres aides La prime versée par Pôle Emploi est unique et n’est pas indexée sur le nombre de personnes du foyer. Son montant est donc de 152,45 €. Modalités Dans un souci d’améliorer les démarches administratives, il n’y aucune formalité à accomplir pour bénéficier de la prime de Noël 2017, quel que soit votre organisme. Les bénéficiaires concernés la recevront automatiquement dans la semaine du 18 décembre. Ce sont les organismes auxquels les personnes sont affiliées qui verseront la prime : CAF, la MSA ou Pôle Emploi selon la situation. Faux courriels Conformément aux modalités ci-dessus, les bénéficiaires de la prime de Noël n’ont aucune démarche à effectuer. Ainsi, en cette période festive, tout courriel vous demandant de fournir vos coordonnées bancaires est frauduleux. Il s’agit d’une tentative de phishing par laquelle l'émetteur usurpe l'identité de la CAF ou de Pôle emploi. Ce procédé vise à recueillir certaines de vos données confidentielles. Effectivement, si vous bénéficiez des aides allouées par ces organismes, cela signifie que ceux-ci possèdent déjà vos coordonnées bancaires ; ils n’auront donc pas besoin de vous les redemander. Il est donc très facile de bénéficier de la prime de Noël 2017, du moment que vous êtes dans l’une des situations décrites dans cet article. ...
Tristan Larsen, vigneron, travaille 15 hectares de gamay noir plantés en coteau, en adoptant une pratique culturale saine. Une vinification spécifique Pour offrir des cuvées uniques, la maison opte pour une vinification parcellaire. Après égrappage, chaque sélection parcellaire est associée à un type de cuve adapté avant de subir un élevage prolongé. Le domaine vient de construire un nouveau cuvage. Il permet d'élaborer les vins du domaine en Morgon, tous vinifiés climat par climat, parcelle par parcelle. Parmi les nectars proposés, « Les charmes » et « Le clos » sont incontournables. Le premier présente une harmonie et une belle palette aromatique ; le second est structuré et dévoile des tanins concentrés. ...
L’histoire des champagnes Taittinger commence en 1734 quand Jacques Fourneaux entame son activité de négociant en vins. C’est à cette époque que les vins effervescents commencent à s’imposer. Il travaille alors avec des abbayes bénédictines qui possèdent les plus beaux vignobles champenois. La famille Fourneaux s’associe au début du XIXe siècle avec la famille Forest pour continuer à produire des grands crus millésimés comme le Vin de Sillery ou le Vin de Bouzy. En 1932, suite à la crise de 1929, Pierre Taittinger rachète le château de la Marqueterie. Cette propriété dont les vignobles sont plantés en chardonnay et en pinot noir appartenait à la maison Forest-Fourneaux. Avec l’aide de son beau-frère Paul Evêque, ils créent la marque Taittinger et développent la production de champagne. Sous la présidence de François, le troisième fils de Pierre, la Maison Taittinger installe son siège social sur la butte Saint-Nicaise. Il y est toujours établi aujourd’hui. En 2006, Pierre-Emmanuel Taittinger rachète la maison de champagne éponyme après un court passage dans le giron de Starwood Capital. Ses enfants Clovis, directeur du département export, et Vitalie, directrice artistique, l’accompagnent dans cette entreprise familiale. Aujourd’hui, les vignobles se composent de multiples parcelles réparties sur 288 hectares, avec 37 crus différents et une prédominance du cépage chardonnay. La maison Taittinger emploie 220 personnes et produit six millions de bouteilles par an dont 70 % sont distribuées à travers le monde. Visite des caves Saint-Nicaise : un vrai parcours historique Après la diffusion d’un film vidéo présentant l’histoire de la maison, un guide vous présentera les secrets de la production du champagne. Ce voyage dans le temps vous mènera tour à tour dans les vestiges de l’abbaye Saint-Nicaise datant du XIIIe siècle, puis à dix-huit mètres de profondeur, dans de somptueuses crayères gallo-romaines faisant partie des coteaux, maisons et caves de champagne inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. À l’issue de la visite des caves, vous pourrez admirer la Taittinger Collection. L’ensemble des différentes bouteilles sont décorées par des artistes de renom, tels que Roy Lichtenstein ou Victor Vasarely et plus récemment le photographe brésilien Sebastião Salgado. La dégustation : un instant de plaisir La Maison Taittinger vous offre la possibilité de choisir entre différentes formules de dégustation qui vous permettront de déguster une ou plusieurs cuvées. L’instant Premier : la cuvée Brut Réserve issue d’un assemblage de 40 % de chardonnay, 35 % de pinot noir et de 25 % de pinot meunier, vieilli de trois à quatre ans en cave. Cette formule coûte 19 €. L’instant Dévoilé : vous pourrez goûter en plus du Brut Réserve un autre champagne de la Maison Taittinger. Le Prélude Grands Crus assemblé à partir de 50 % de chardonnay et 50 % de pinot noir, une cuvée aux saveurs d’agrumes et de pêche blanche. Le Prestige rosé composé de 30 % de chardonnay et de 15 % de vin rouge tranquille, un champagne plus fruité, vif et gourmand. Ou encore le Brut Millésimé 2012, à l’intensité aromatique étonnante procurée par les vins de première presse de chardonnay et de pinot noir. Cette formule coûte 30 €. L’instant Signé : là, vous aurez l’occasion de découvrir, en plus du Brut Réserve, le fleuron de la maison Taittinger, la cuvée Comtes de Champagne Blanc de Blancs 2006. Ce Blanc de Blancs issu exclusivement de la prestigieuse côte des Blancs est vieilli dix ans dans les caves de l’Abbaye Saint-Nicaise, le temps nécessaire pour élaborer un champagne exceptionnel à la fois tout en finesse et en maturité. Cette formule coûte 40 €. L’instant Absolu : vous pourrez savourer trois flûtes dont une flûte de Brut réserve, une flûte de Prestige rosé ou Prélude Grands crus ou Brut Millésimé, et une flûte de Comtes de Champagne Blanc de Blancs 2006. Cette formule coûte 45 €. ...
Qu’il s’agisse de dirigeants d’entreprises, managers ou même de particuliers, Altamira Développement propose de développer les aptitudes au leadership à travers une approche inédite et une méthode s’inspirant d’un art martial traditionnel japonais : l’aïkido. Tout est question d’équilibre(s) Chaque individu a la possibilité de développer son leadership. Pour cela, se sentir confiant et bien dans sa peau est primordial. « On est d’autant plus performant quand on est heureux et serein », souligne Éric Hubler, le fondateur. Pour accéder à ce bien-être intérieur, l’individu doit avant tout trouver son équilibre. « L’équilibre s’exprime à travers une façon d’être, d’agir, de communiquer qui fait appel à des ressorts profonds », explique notre interlocuteur. Notion intrinsèquement dynamique, l’équilibre est une balance permanente entre des déséquilibres sans cesse exprimés et rattrapés. En un mot, l’équilibre n’existe que par rapport aux déséquilibres sur lesquels la personne va pouvoir s’appuyer pour progresser à travers l’expérience et développer une certaine forme d’équilibre qui lui est propre. Aïkido Management® : une méthode de formation surprenante et accessible à tous Pour Éric Hubler, le leadership est d’abord « une question d’attitude, de comportement et d’éthique ». Et quel moyen plus adapté que la référence aux arts martiaux, véritables écoles de la vie aux enseignements universels, pour forger un comportement exemplaire. En effet, la pratique des arts martiaux permet de renforcer des aptitudes telles que la maîtrise et le dépassement de soi, la concentration, le respect, l’adaptation permanente au changement… Toutes ces qualités sont essentielles dans la vie quotidienne et doivent s’appliquer également dans le monde de l’entreprise. Dans une session Aïkido Management (qui n’est pas un cours d’aïkido !), la forme accompagne le fond, pas question de rester cloîtré dans un bureau en costume-cravate car tout se déroule sur un tatami. En kimono, les « apprentis » apprennent à se recentrer et à libérer leurs énergies tout en restant acteurs de la formation. À travers l’Aïkido Management, Éric Hubler montre la voie mais il appartient à chacun d’incarner le changement. « Cela suppose un important travail sur soi et plus encore pour le manager du fait de sa mission… c’est une vraie démarche transformationnelle qui s’inscrit dans la durée », rajoute Éric. Les livres et les conférences, une ouverture au grand public Si les offres d’Altamira Développement s’adressent principalement aux entreprises, une ouverture vers le grand public se développe parallèlement par le biais des livres comme « L’Equilibriste » devenu un bestseller international, mais également des conférences. D’une durée d’une heure et demie en moyenne, elles ont pour objectif de réveiller et de révéler le potentiel de chaque individu. « Pendant mes conférences, je fais réfléchir les gens, mais je les fais également bouger, respirer, se tenir différemment car le changement passe aussi par le corps », termine Éric Hubler. ...
Niché au cœur de ce village fleuri, le restaurant Le Vauban se trouve à 150 mètres des trois frontières suisse-allemande-française et à seulement quelques minutes du parc des Eaux-Vives. Cette impressionnante bâtisse, construite à l’époque des fortifications de Vauban, fait office d’hôtel-restaurant depuis plus d’un siècle. Dès la porte franchie, l’on s’y sent déjà comme à la maison. Sans doute grâce à la décoration à la fois rustique et raffinée, l’ambiance familiale sans chichi et l’accueil chaleureux qu’Isabelle Godhbane réserve à ses clients. « L’amabilité, la gentillesse et vouloir bien faire sont nos maîtres mots », précise-t-elle. Les spécialités de la maison Le Vauban propose une cuisine authentique et généreuse, assumant avec caractère toutes les saveurs de la cuisine traditionnelle française et alsacienne. « Nous travaillons principalement avec une carte de base qui reprend les classiques de la cuisine française sur laquelle on rajoute des plats typiquement alsaciens, surtout en hiver », explique la gérante, Isa pour les habitués. À ses côtés depuis quatre ans, le jeune chef Mickaël Deleau, toujours fidèle à lui-même et à ses plats audacieux et hauts en couleur. De ses mains d’artiste, celui-ci n’hésite pas à jouer sur les textures, les saveurs, les épices et les aromates et à miser toujours sur la saisonnalité et la fraîcheur des produits. Si de nouvelles suggestions sont à découvrir chaque semaine, la carte reste inchangée toute l’année pour « retrouver les incontournables de la maison ». Parmi eux, les fameuses tartes flambées à commander selon le goût de chacun : forestière gratinée, bourguignonne, roquefort, tomate mozzarella, végétarienne, munster, ou encore « La savoyarde ». Sans oublier de mentionner les planchettes (assortiment de fromages, plateau de charcuterie) à déguster en solo ou à partager à l’apéritif. Des recettes de burger tout aussi originales qu’alléchantes sont également à découvrir sur place. Cuisine inspirée et recettes de saison Puisque l’établissement fait la part belle aux ingrédients frais provenant des producteurs de la région, le chef peut se permettre de varier ses propositions au rythme des saisons. « Maintenant que la saison d’été arrive, nous proposons cinq nouvelles salades en guise d’entrée et ça change très régulièrement », renchérit Isabelle. En plat, les gourmets peuvent savourer le steak tartare préparé à la minute et devant les clients, hachée à la commande et accompagnée de sa sauce, le tout servi avec des toast et des frites. Ou encore le fameux cordon-bleu de veau, en pièces XXL de 350 g, avec jardin de légumes et frites maison. Mieux, les créations sucrées du chef en surprennent plus d’un. Le Paris-Brest revisité avec mousse au basilic et crème pâtissière framboise est un grand coup de cœur. « On peut noter aussi la crème brûlée à la rhubarbe et la brioche à la mangue. » Les petits choisiront une coupe de glace artisanale aux parfums exotiques. Quand le soleil est au rendez-vous, on opte pour la belle terrasse à l’extérieur, un lieu de vie agréable pour une parenthèse gourmande entre proches, amis ou collègues. Une excellente carte de vins La carte est éclectique, toutes les régions de la France y sont dignement représentées : des bordeaux, des vins de Bourgogne, des côtes-du-rhône et bien sûr des vins alsaciens. La liste évolue tous les trois mois en gardant toujours quelques références alsaciennes. Une sélection de cuvées du domaine Pierre Adam à Ammerscwihr est particulièrement mise à l’honneur, car elle reflète fidèlement toutes les richesses du terroir. Pour sublimer la dégustation, Isabelle Godhbane a eu « la folle idée » de servir tous les vins de table au verre ou en pichet, de quoi faire plaisir à tous les amateurs de bonne chère. ...
Séminaires, réunions d’affaires ou team building sont autant d’événements d’entreprise que l’équipe de Game It organise sous le signe de l’inédit et de la surprise. L’imagination débordante des concepteurs vous emporte, en effet, dans un monde où les aventures sont faites de mystères, d’énigmes et de secrets prêts à être dévoilés. Sur les traces d’un célèbre scientifique ayant découvert la clé de la vie éternelle, ou à l’occasion d’un voyage dans le temps direction la préhistoire, le défi est ludique, passionnant, et convivial, assurant ainsi une immersion totale dans un univers parallèle dominé par la créativité. Des aventures imprégnées de mystères Le principe de l’escape game est simple. Une équipe composée de trois à six personnes est enfermée dans une pièce. « Deux aventures sont proposées : l'une sur les mystères de Nostradamus et l'autre sur la préhistoire. Le but est de s’échapper de la pièce en effectuant une enquête ou en accomplissant une mission », nous explique Jordan Janisson, le fondateur. Dans l'une des deux salles dédiées aux mystères de Nostradamus, chaque équipe est plongée dans l’univers énigmatique de cet illustre personnage du XVIe siècle, dont la science a été empreinte d’une mystérieuse touche astrale. Les deux autres pièces dédiées à la préhistoire emmèneront les joueurs tout droit vers le paléolithique supérieur en vue de découvrir les secrets d’une tribu qui n’aurait jamais connu de maladie. Grâce à ces salles, quatre équipes composées au total de vingt-quatre joueurs pourront s’affronter mutuellement en vue de s’évader de ces quatre murs en soixante minutes, en ayant pour seuls outils leur logique, leur esprit d’équipe et leur sens de l’observation, tout cela dans un décor plus vrai que nature. Toujours selon Jordan Janisson, « tels des détectives, les équipes s’attelleront à fouiller les pièces, à détecter des indices, à percer les mystères, ce qui leur permettra, une fois l’aventure terminée, d’obtenir le code permettant de sortir de la pièce ». Ce dernier de rajouter qu’ « afin que les équipes ne restent pas bloquées, un maître du jeu les assistera et les aidera en leur envoyant des indices supplémentaires ». Des prestations sur mesure pour personnaliser votre événement L’équipe de Game It propose des prestations sur mesure aux entreprises souhaitant organiser des événements suivant un thème donné. Le principe est, néanmoins, toujours basé sur l’évasion. « Nous nous adaptons à tout type de thème en concevant des jeux personnalisés, sur les journées du patrimoine, par exemple, ou sur l’œnologie », continue notre interlocuteur. De plus, le concept de l’escape game est ici disponible à l’extérieur des locaux lyonnais. En effet, grâce au concept de l’escape game mobile, l'exclusivité de cette agence, les aventures peuvent être effectuées au plus près de vos locaux. Que ce soit dans une caserne de police, dans un château ou même dans une caverne, l’équipe de Game It recréera un univers, fondé sur le même concept de l’évasion, mais cette fois-ci axé sur l’histoire d’une famille mystérieuse. Le scénario est ici modifiable selon le lieu d’accueil et le nombre de joueurs est nettement supérieur, pouvant aller jusqu’à soixante-dix personnes. Autre signature de l'agence : la possibilité de créer des concepts dérivés qui permettent d'accueillir plus de 200 participants dans des jeux ludiques. ...
Ce restaurant au décor chic, épuré et délicatement boisé dégage une ambiance conviviale et chaleureuse qui vous met d’emblée à l’aise, comme à la maison. Ayant gardé précieusement en mémoire les saveurs extrêmes des plats riches et variés préparés jadis par sa maman, le chef Raoul Coly se plaît à refaire le chemin à l’envers pour faire découvrir à son tour la cuisine africaine, et notamment sénégalaise. En composant de belles assiettes inventives aux épices d’ici et d’ailleurs, il nous embarque dans un festival de couleurs et de saveurs, où l’authenticité et le goût sont à l’honneur. À ses côtés, toute une équipe œuvre avec passion pour vous garantir de précieux moments en famille ou entre amis. Comme le dit l’un des proverbes africains préférés du restaurant, « seul on va plus vite, mais ensemble on va plus loin ». Un club d’amateurs de saveurs exotiques Dans un voyage culinaire qui suscite aussi bien l’envie que la curiosité, découvrez une cuisine qui allie fraîcheur et originalité. Sa rafraîchissante salade Diola, avec son aïoli et ses herbes de Casamance, ou son fameux tartare de bar à la mangue et parfumé au cumbawa sont autant de véritables découvertes culinaires insoupçonnées. Poursuivez avec son savoureux thiéboudienne, le plat national du Sénégal, à base de riz cassé au poisson et ses légumes. Terminez sur une note joyeuse avec son surprenant ananas rôti dans son jus… Un beau parcours en perspective ! ...
Considérée comme la plus grande église cistercienne d'Europe, cet exceptionnel patrimoine des XIIe et XIIIe siècles, témoigne de la transition entre art roman et art gothique (première utilisation de la voûte d'ogive en Bourgogne). Un prestigieux patrimoine Après la Révolution, seuls l'église et le dortoir des Convers ont été préservés. L'ensemble du domaine, acquis en 1910 par Paul Desjardins -professeur à l'Ecole Normale Supérieure- a accueilli jusqu'en 1939 un grand nombre d'intellectuels internationaux, dans le cadre des "Décades de Pontigny". A découvrir, entre autres témoins de l'innovation cistercienne, le prestigieux vignoble de Chablis, dont la réputation doit beaucoup aux moines et convers de Pontigny. ...
Les produits de la mer surfent désormais sur la vague de la vente en ligne. C’est du moins le pari qui a conduit Erwan Corre et Pierre-Yves Bizien à créer poissonnerie.com, un site exclusivement dédié à la vente de poissons, coquillages et crustacés en très grand majorité en provenance de Bretagne. En priorisant un approvisionnement en circuit court et un service de livraison en température contrôlée, poissonnerie.com vous permet donc de recevoir dès le lendemain des produits de la mer ultra frais et au meilleur prix, chez vous ou bureau (les emballages sont sans odeurs, ne coulent pas, et peuvent tenir 24h à température ambiante, ce qui vous permet même de les faire livrer sur votre lieu de travail et de les ramener le soir chez vous). Le plus court chemin de la mer à l’assiette « Notre mission est de livrer à domicile les produits de la mer frais, de qualité et à prix compétitif, en seulement 24 h », dixit Pierre-Yves Bizien. Pour ce faire, l’entreprise a noué des contacts directs avec des pêcheurs et des bateaux qui vont se fournir essentiellement au large des côtes bretonnes : plus de 95% des produits sont sourcés dans un rayon de moins de 100 km autour de Plougasnou, où sont préparées les commandes et où se trouvent les plus grands viviers d’Europe, les Viviers de la Méloine, récemment acquis par l’entreprise. Les produits de cette pêche, notamment les homards, les Saint-Jacques ou les huîtres, seront, par la suite, remis en bassin dans le but d’être stockés dans des conditions idéales et purifiés. Sur le site, des explications sur les spécificités et particularités des produits, en termes de saveurs notamment, sont proposées avec, en prime, quelques idées de recettes simples accessibles à tous, pour une dégustation des plus gourmandes. Lorsque le consommateur finalise sa commande en ligne, il peut choisir sa date de livraison. Les équipes de poissonnerie.com prépare les commandes le jour même de l’expédition et les colis sont ensuite acheminés par Chronofresh, un service de Chronopost qui se charge du transport de marchandises en garantissant un parfait respect de la chaîne du froid, avec une température contrôlée qui reste ainsi dans la fourchette des 0 - 4 °C. La commande est ensuite livrée partout en France, avec un service alliant ainsi rapidité et efficacité afin de garder toute la fraîcheur des produits et donc de préserver toute leur qualité. ...
C’est entre 1775 et 1779 que Claude-Nicolas Ledoux, architecte de renom, bâtit cette usine de transformation de sel suivant les ordres de Louis XV. Abritant onze bâtiments au total, dont certains dédiés à accueillir les ouvriers d’antan et leurs familles, ce lieu construit en arc de cercle symbolise alors le progrès industriel entamé, au milieu du siècle des Lumières, par des bâtisseurs de l’impossible. Cette ancienne usine, dédiée à la production de sel et premier site de son genre à être inscrit au patrimoine mondial, accueille le grand public lors d’événements culturels à l’instar d’expositions temporaires et permanentes, de colloques ou de concerts. La Saline accueille pour plusieurs années en Résidence artistique le célèbre musicien Jordi Savall et son ensemble Le Concert des Nations. Culture et histoire se retrouvent ainsi dans cette enclave où séminaires, congrès et réunions d’affaires seront organisés au cœur d’une ancienne cité industrielle, « véritable œuvre architecturale unique semblable à un palais », décrit Hubert Tassy, le directeur de la Saline. « Un patrimoine dédié à la culture » C’est en ces termes qu’Hubert Tassy continue la description de la Saline royale, acquise en 1927 par le département du Doubs après un siècle d’abandon environ. Reconstruite à quatre reprises avant d’être totalement rénovée en 1996, cette manufacture devient un centre culturel vers la fin du XXe siècle. De nombreuses manifestations culturelles inédites se tiendront dans les salles et dans les extérieurs du bâtiment, notamment dans les fameux jardins des ouvriers. « Ces jardins accueillent chaque année un festival de création éphémère. En 2017, le thème était, en correspondance avec l’exposition « Le monde d’Hergé » les personnages des albums de Tintin. » Des étudiants issus des écoles nationales du paysage ont concouru et ont été sélectionnés par un jury présidé par Alain Baraton. Hubert Tassy de rajouter que durant tous les week-ends d’été, « nous proposons une immersion spectaculaire dans un monde d’images animées et de projections monumentales sur une création musicale de Bruno Coulais, le spectacle Lux Salina retrace ainsi l’histoire, réelle ou rêvée, de la Saline ». Outre les expositions temporaires, ce Centre Culturel de Rencontre propose également trois expositions permanentes : une, intitulée « Histoires de sel », retraçant l’histoire du sel et sa transformation dans les salines ; une autre relatant l’histoire des lieux depuis sa fermeture en 1895 jusqu’à aujourd’hui, exposition baptisée « Mémoires du lieu », et une dernière dédiée à l’architecte-père de ce monument, le musée Ledoux. « Seul musée d’Europe dédié à un seul architecte, il abrite plus de 50 maquettes des réalisations, construites ou imaginaires, de Claude-Nicolas Ledoux. La plupart de ces œuvres sont tirées de son traité L'Architecture Considérée sous le rapport de l'Art, des Mœurs et de la Législation, ouvrage visionnaire qui a inspiré de nombreux architectes » relate notre interlocuteur. ...
Fille de Pierre et de Germaine Brisson, agriculteurs et éleveurs, Éliane Brisson, avec son mari Joël Lahaye, décident de rejoindre l’exploitation familiale après la naissance de leurs enfants, Laure et Guillaume. De là commence l'aventure pour le Champagne Brisson-Lahaye. La famille a alors l'opportunité de faire l'acquisition de parcelles de vignes AOC Champagne un peu partout dans la Marne et se défait du travail d'agriculture pour se consacrer uniquement au travail de la vigne et à l'élaboration de leur champagne de vigneron. Après avoir fait ses études au lycée viticole de la Champagne, Laure décide de revenir travailler sur l'exploitation familiale. Guillaume, quant à lui, décide d'un autre parcours professionnel. Un vignoble atypique « Nous avons un vignoble atypique, car nous sommes localisés à Tours-sur-Marne mais nous n’avons pas un seul pied de vigne à Tours-sur-Marne ! », précise Laure. « Nous possédons des vignes sur les trois vignobles majeurs de la Marne avec, en plus, l’avantage d’avoir les trois cépages principaux de la Champagne dans leur terroir de prédilection », ajoute-t-elle. Les différentes expositions s’ajoutant aux natures de sols variables confèrent aux cuvées des arômes complexes, avec une richesse variée de saveurs. De plus, la qualité des raisins issus d’une terre majoritairement calcaire, rehaussée par un savoir-faire traditionnel, explique le succès des champagnes du domaine auprès des fins connaisseurs. Tradition et modernité Récoltant-manipulant, le domaine Brisson-Lahaye est parfaitement autonome et s’occupe de toute la chaine de production, à l’exception de la mise en bouteille, qui revient à un prestataire. Il parvient ainsi à fabriquer entre 35 000 et 38 000 bouteilles dans l’année. Pour la confection des champagnes, la maison allie tradition et modernité. Cueillette, vinification, remuages, dégorgements sont élaborés au moyen des savoir-faire traditionnels. Partisan d’une lutte raisonnée, le Domaine limite l’utilisation de pesticides. « Dans le respect de la Nature, on essaie vraiment de limiter ces traitements», confie Laure. En revanche, pour optimiser la qualité du produit fini, les matériels utilisés sont pour la plupart à la pointe de la technologie. Parmi eux, un pressoir pneumatique à cage fermée et à gros drain. « C’est une nouvelle génération de pressoir qui respecte vraiment les raisins. Par ailleurs, il répond aux normes d’hygiène et donne de très bons résultats », souligne notre interlocutrice. Les cuvées Sept Cuvées constituent la gamme Brisson-Lahaye. « Notre gamme de champagnes est assez étendue », déclare Laure Lahaye. La fraternelle, un assemblage des trois cépages Champenois (Pinot Noir, Pinot Meunier et Chardonnay). L'immuable qui est en Premier Cru est issue d'un assemblage de Chardonnay et de Pinot Noir, ce qui lui confère des arômes floraux d'une belle finesse et une belle longueur en bouche. L'arrogante, un rosé qui reste pour le moment un assemblage de vin blanc et de vin rouge AOC Champagne. En effet, le rosé de saignée est en cours d'élaboration. Pour la mise en vente de ce dernier, il faudra cependant être patient et compter au moins deux années avant de le voir apparaître pour la vente. La sentimentale est un champagne Blanc de Blancs issu des meilleurs Chardonnay du Domaine Brisson-Lahaye. Il bénéficie de la fraîcheur et des saveurs atypiques du pur Chardonnay. Il a reçu une médaille d'Or et d'Argent au concours Mondial des Féminalises en 2017 et 2018. La passionnée, Champagne Blanc de Noirs, issu des Pinots noirs et des Meuniers cultivés dans leur secteur de prédilection, exprime des notes de fruits jaunes accentués par son assemblage de vin passé en fût. Il a reçu une médaille d'or et a été élu «Prix Plaisir» en 2016 au Concours Bettane&Desseauve 2016. La distinguée, mariage de Chardonnay et de Pinot Noir, possède une palette aromatique riche ainsi qu'une finesse et une fraîcheur remarquable. Son passage en fût apporte une touche de raffinement et une belle longueur en bouche. Il a reçu une médaille d'or au Concours mondi...
Les trois fondateurs de TIRAWA se sont concentrés sur cette façon de voyager. Passionnés d’aventure, et ici on parle d’aventure dans son sens originel : destinations confidentielles, immersion dans la réalité locale, sites remarquables et parfois même nuit à la belle étoile. La promesse d’une découverte plus authentique, plus spontanée, et au plus proche des hommes et de la nature. Une expertise fondée sur une culture « de terrain ». Avoir une parfaite connaissance du terrain est la première condition requise pour concevoir un itinéraire et proposer un voyage qui soit, en 2 ou 3 semaines, l’exact reflet d’une destination. « Chaque créateur de voyages part sur le terrain et prend le temps d’explorer lui-même le pays pour saisir les particularités à mettre en avant », explique Rose Policastro, la responsable marketing et communication chez TIRAWA. Se rendre sur place s’impose régulièrement pour améliorier sans cesse notre offre et innover. Cette initiative part aussi d’une volonté de maîtriser chaque étape du voyage pour offrir les meilleures expériences aux voyageurs, que ce soit au niveau des hébergements, souvent de charme, des sites et points d’attraits visités, etc. L’agence, indépendante et à taille humaine, se concentre donc sur une quarantaine de destinations reparties sur les cinq continents. Le Bhoutan reste la destination qui fait la signature de l’agence depuis sa création en 1999. Si ce petit royaume himalayen vous attire, Tirawa est sans conteste le spécialiste reconnu de la profession. Du trekking engagé au voyage de découvertes, les voyageurs bénéficient d’un large choix d’itinéraires selon leurs envies, leurs budgets, leurs objectifs et temps passé sur place. Le trekking est dans l’ADN de Tirawa qui vous emmène parcourir à pied les plus beaux sentiers du Népal, du Ladakh, du Tibet, du Pérou, de Patagonie ou de Kirghizie. L’Éthiopie, la Norvège ou Oman viennent compléter la liste non exhaustive des destinations trekking et destinations «trekking et randonnées». On ne le soupçonne pas mais ces destinations peuvent aussi être abordées en voyages « découverte » avec des marches faciles et des rencontres avec les populations. «Voyager sans rencontrer l’autre, ce n’est pas voyager, c’est se déplacer.» Cette citation d’Alexandra David Neel correspond bien à Tirawa. Les voyageurs auront de quoi combler largement leurs soifs de connaissance grâce aux 74 voyages proposés de l’Inde au Japon, de la Colombie à la Nouvelle-Zélande, de la Bolivie au Vietnam en passant par la Mongolie. Actuellement, les destinations « Safari » comme la Namibie, le Botswana ou l’observation des grands singes en Ouganda plaisent beaucoup et on le comprend aisément. Assister au bain des éléphants dans les rivières de l’Okavango ou admirer le « port de tête » de girafes élégantes ne sera peut-être plus d’actualité dans 30 ans… Des offres « tout inclus » La qualité passe par le sens du détail. TIRAWA s’engage à proposer des voyages avec le plus de prestations comprises : hébergement, restauration, déplacement sur place, entrées de site, pour offrir le maximum de confort aux clients. Pour chaque périple, l’agence privilégie les vols internationaux directs avec les compagnies aériennes reconnues. Une fois sur place, le client est chaleureusement accueilli par un guide local et francophone qui va l’accompagner tout au long du séjour. Quant à l’hébergement, « On privilégie aussi souvent que l’on peut les petites structures, les hôtels de charme que l’on a déjà testés, plutôt que les hôtels de chaîne souvent impersonnels » pour garantir une expérience plus vivante et authentique. Côté circuits et visites, ils sont organisés de manière précise et détaillée sans pour autant effacer l’effet de surprise et de spontanéité qui vient enrichir les découvertes. ...
Tout commence dans le sud-est de la France, à Saint-Émilion, connu pour ses propriétés viticoles et son microclimat rare. La Famille Sadel décide alors de s’y approprier une parcelle de vigne pour produire son propre breuvage. C’est en 2014 que l’extension s’effectue jusqu’en Côtes-du-Rhône. Qualité et noblesse définissent le mieux le travail de cette famille qui n’en est qu’à ses débuts… Le rouge, tout un savoir-faire La Famille Sadel produit en majeure partie du vin rouge sous les appellations Lalande de Pomerol, Montagne Saint-Émilion, Gigondas, Vacqueyras et Côtes-du-Rhône. La principale exploitation se trouve en région bordelaise et s’étend sur onze hectares (60 % cabernet franc, 10 % cabernet sauvignon et 30 % merlot). Les grandes cuvées y sont produites, à l’exemple de la cuvée Alexandre 2012, un mélange de cabernet franc et de merlot, assez riche en bouche et très fruité (cerise, fruits confits, chocolat). Ce vin possède un potentiel de garde pouvant aller jusqu’à quinze ans. La Famille Sadel intervient également dans la production de rosé et de blanc, tous issus de vignes différentes (Côtes-du-Rhône, Macon Charnay, Côtes-de-Provence). Tout juste arrivé et déjà apprécié Preuve de la qualité et du savoir-faire de cette jeune famille vigneronne, la production annuelle compte jusqu’à 100 000 bouteilles. Les États-Unis, l’Angleterre, la Russie et la Chine font partie de ceux qui apprécient le plus les vins SADEL à l’étranger. Il n’en est pas moins pour la France, qui reste le premier consommateur et meilleur producteur de vin au monde. ...
Le festival Bellevue en scène a été initié en 2008 par Benjamin Goudergues. Après avoir été élu conseiller municipal à la culture, celui-ci cherche un moyen pour assouvir sa passion du théâtre. « Compte tenu de mon activité professionnelle de l’époque, je ne pouvais pas faire régulièrement du théâtre et c’est ainsi que m’est venu l’idée d’organiser un festival », rapporte-t-il. Il commence donc à regarder du côté des théâtres professionnels mais après avoir obtenu quelques devis, ce dernier s’aperçoit que la commune ne dispose pas de budgets suffisants. Benjamin pense alors à créer un festival de théâtre amateur et se renseigne auprès de la Fédération Nationale des Compagnies de Théâtres et d’Animation (FNCTA). « Ils nous ont expliqué de A à Z sur la manière de monter un festival de théâtre amateur », confie Benjamin. De là naît le projet. Focus sur la dixième édition L’association DIAM, en charge de l’organisation du festival, invite tous les passionnés de théâtre à Montberon le 4, 5, 6 et 7 octobre 2018. Jeudi soir, Saint-Geniès-Bellevue (village à 5km de Montberon) aura l’honneur d’accueillir l’avant-première de cet évènement culturel de qualité. A partir de vendredi soir, les spectateurs ont droit à une programmation particulièrement éclectique: comédies dramatiques ou burlesques, spectacles, pièces de théâtre, animations…En tout, une vingtaine de troupes amateurs venant de divers horizons se produiront sur la scène du festival. « Pendant l’événement, nous utilisons en alternance deux salles : la salle des fêtes et la salle Carlos Gardel appartenant à la Maison des associations, la plus prisée des troupes », souligne l’initiateur du Festival. Les temps forts à ne pas rater L’ouverture officielle prévue le vendredi (20h30) sera sans doute l’un des temps forts de cet événement. Des personnalités locales et plus de 200 convives sont attendus à l’apéritif inaugural offert par l’association. L’occasion également de souffler les dix bougies du Festival Bellevue en scène. La célébration sera marquée par quelques surprises. En effet, le samedi soir, le festival accueille à l’occasion d’un café-théâtre, un invité de marque en la personne de Carlo Bozo, grand dramaturge et Directeur de l’école de la Commedia dell’arte de Paris. Inutile de préciser que les réservations sont fortement recommandées via la page billetterie de l’association. Enfin, il est aussi conseillé de faire dès à présent le choix des 5 pièces à regarder sachant qu’il reste la possibilité de changer une pièce par une autre. ...
Quelle est votre mission au sein de la DGOS (Direction Générale de l’Offre de Soins) ? Mon rôle consiste à coordonner la mise en œuvre de ce que prévoit le Plan National Maladies Rares. Je viens notamment en aide aux personnes désignées pour élaborer des propositions pour le Plan n°3. Ma mission est donc une mission de suivi et de coordination interministérielle. Qu’est-ce qu’un centre de maladies rares ? Tous ces centres sont organisés en réseaux. Il en existe plusieurs catégories. Les centres de compétences (CC) assurent la prise en charge des patients atteints de maladies rares et la coordination de leur parcours de soin. Les centres de référence maladies rares (CRMR) prennent également en charge les malades mais ils ont des missions complémentaires d’animation et de coordination au sein du réseau, d’expertise, de recours, d’enseignement-formation et de recherche. On dénombre 23 filières de santé maladies rares (FSMR). Quand ont-elles été créées et dans quel but ? Leur création remonte au 2ème plan national maladies rares 2011-2014, lequel a été prolongé jusqu’en 2016. Ces filières ont pour but de favoriser la lisibilité de l’organisation entre les 109 réseaux dont nous disposons actuellement. Ce découpage en 23 filières facilite considérablement l’orientation des malades vers un centre qui soit adapté à leur pathologie. Ces filières ont également pour objectif de coordonner les différentes actions qui sont menées : expertise, recherche, enseignement, formation… On pourrait donc dire des filières qu’elles constituent l’interface entre les différents acteurs du domaine. Les réseaux maladies rares, bien sûr, mais aussi les laboratoires de diagnostic, les unités de recherche, les universités et les structures médico-sociales sans oublier les associations qui sont toutes très impliquées. Pour résumer, les filières de santé maladies rares répondent à un double objectif : faciliter la compréhension de l’organisation (centres de référence, centres de compétences) mais aussi « décloisonner » le système pour favoriser la communication entre ses acteurs.Où en est-on en France du parcours de soins dans le cas des maladies rares ? Une bonne coordination de la prise en charge des patients est essentielle. En France, nous avons la chance de pouvoir nous appuyer sur une offre non seulement de haut niveau mais aussi très structurée. Cette structuration (centres de référence maladies rares, centres de compétences, filières de santé maladies rares) que les autres pays européens nous envient, forme un maillage très dense. Grâce à elle, nous pouvons orienter efficacement les malades et leur proposer une prise en charge adaptée.. C’est ce maillage très dense qui nous permet actuellement d’orienter efficacement les malades et de leur proposer une prise en charge adaptée. Bien que nous ayons beaucoup progressé, l’errance diagnostique reste bien évidemment une préoccupation majeure. Le diagnostic est parfois difficile à établir. Mais à partir du moment, et ce indépendamment de la pose précise du diagnostic, où une personne atteinte de maladie rare sera orientée vers le centre approprié, sa prise en charge sera la plus complète possible. Nos centres sont pluri-professionnels. C’est à dire qu’aux équipes médicales viennent s’ajouter des psychologues, des assistantes sociales, des kinésithérapeutes, des nutritionnistes, etc. Chacun de nos centres réunit donc des professionnels dont la spécialité est adaptée aux pathologies devant être traitées. De plus, ces centres collaborent étroitement avec le médecin traitant, les associations de malades et tous les acteurs d’accompagnement. Et au niveau européen ? Une organisation est en train de se mettre en place an niveau européen. En 2016, la commission européenne a lancé 24 réseaux européens de référence (ERN). Certains de ces réseaux européens sont d’ailleurs coordonnés par des équipes françaises. La France est le premier pays en Europe à avoir élaboré puis mis en œuvre un plan national. Et elle contribue à cette construction européenne.Un mot sur les Assises de Génétique Humaine et Médicale et la Journée Internationale des Maladies rares ? Il est essentiel de parvenir à faire connaître, et même reconnaître davantage les maladies rares. Et des événements comme les Assisses de la Génétique ou encore la Journée Mondiale des Maladies Rares y contribuent. Comme je le disais, le diagnostic de certaines maladies rares est compliqué. Pour un médecin, cela nécessite d’avoir une véritable « culture du doute » face à des symptômes qu’il ne parviendrait pas à expliquer. On estime à 3 000 000 en France le nombre de personnes qui pourraient être atteintes de maladies rares. Or une prise en charge adaptée permet sinon d’assurer la survie, au moins d’améliorer la qualité de vie du malade. Je suis convaincue que plus on communiquera sur les maladies rares, plus on contribuera à réduire l’errance diagnostique. L’errance diagnostique est donc une priorité de santé publique ? Exactement. L’objectif, ...
Il nous est tous arrivé d’avoir peur de perdre nos bagages quand nous prenons l’avion. En effet, une fois arrivée à destination, l’épreuve du tapis est stressante pour tous voyageurs. C’est pourquoi l’entreprise E-LOSTBAG a inventé le concept de bagage connecté. Connaitre la position de son bagage en toutes circonstances Le concept d’E-LOSTBAG est très simple. Avant de partir, vous placez une puce dans votre valise. Ainsi, au moment d’enregistrer votre bagage à l’aéroport, vous obtenez un numéro d’identification unique (LPN) qui vous permet d’obtenir une traçabilité de votre valise en temps réel. De ce fait, en cas de perte, les professionnels du transport peuvent identifier votre bagage sans avoir à l’ouvrir. Ce qui leur permet de connaitre l’identité de son propriétaire pour vous aider à le récupérer rapidement. À savoir : l’entreprise a aussi créé une version premium de ce produit qui prend la forme d’un petit boitier que vous placez dans votre valise. Grâce à lui, vous recevez une alerte quand votre valise arrive sur le carrousel. De plus, en vous créant un compte client, vous pouvez aussi consulter le statut de vos vols. Bien sûr, vos informations personnelles restent confidentielles. La mission d’E-LOSTBAG : réduire le taux de perte des bagages D’après les chiffres avancés par la société, à l’heure actuelle, nous comptons 82 000 bagages perdus par jour dans le monde. Souvent causé par une étiquette arrachée, 13 % ne seront jamais retrouvé. En partant de ce constat, la société lance, en 2013, sa puce électronique. Le succès est immédiat puisque, à ce jour, E-LOSTBAG estime équiper 12 000 000 de bagages pour 4 000 000 de clients. Cela grâce à son réseau comprenant plus de 380 partenaires et 570 points de vente dans le monde. Grâce à sa formule sans abonnement et l’attention accordée à la protection et la sécurisation des informations personnelles de ses clients, E-LOSTBAG équipe de nombreux voyageurs tout en continuant à nouer des relations privilégiées avec de nombreux partenaires (hôtel, voyagistes, gares, aéroport, assurances, etc.). ...
Travailler avec le CNRS est désormais possible pour tous les professionnels. L’entrée se fait simplement en déposant une demande sur le site web de Trouver un Expert, conçu pour faciliter les relations entre la société et les acteurs de la recherche du CNRS et de ses partenaires. Ces demandes sont étudiées par une équipe de 4 scientifiques qui vont ensuite identifier le personnel de la recherche le plus à même de répondre à cette demande. « En général, nous avons identifié un ou plusieurs chercheurs au bout de 15 jours. Cela va vite ! », explique Edith Wilmart, directrice du service Trouver un Expert. Des demandes très variées Depuis ses débuts, le service Trouver un expert travaille sur des sujets divers et variés : aménagement du territoire, instrumentation médicale, transformation environnementale, recherche sur l’énergie... Pour citer quelques exemples de demandes, une grande entreprise de cosmétique a soumis au CNRS une demande de sciences humaines et sociales autour de la perception de ses produits. Une autre entreprise a sollicité des recherches pour limiter la pollution atmosphérique de son activité. Un service territorial a géré avec le CNRS un risque explosif ou encore, un grand groupe a demandé au service Trouver un expert de l’aider à monter en compétences sur des questions d’électronique de puissance. « De par sa diversité, notre job est passionnant ! », commente Edith Wilmart. En sus de ces demandes « classiques », le service reçoit des demandes de recherche d’autres laboratoires pour monter des projets collaboratifs afin de répondre à des appels d’offre européens ou autres, ou encore des demandes d’investisseurs qui souhaitent avoir une expertise scientifique des projets dans lesquels ils envisagent de s’impliquer… Les sociétés souhaitant garder leur démarche confidentielle peuvent l’indiquer dès le dépôt de la demande. Dans ce cas, l’anonymat ne sera levé que lors de la mise en relation. 65% des demandes déposées viennent des TPE et PME A ce jour, ce sont essentiellement des TPE et des PME qui font appel au service Trouver un Expert avec près de 65% des demandes déposées. Ces types d’entreprises se rapprochent du service dans le cadre de leur projet de développement quel que soit son niveau de maturité, car leur département R&D, lorsqu’il existe, est souvent peu développé. Mais cela ne les empêche pas d’investir une partie de leur Chiffre d’Affaires dans la R&D ! Souvent, ces entreprises franchissent la porte de Trouver un Expert lorsqu’elles ont une idée innovante en lien avec leur activité ; elles attendent un état de l’art écrit, analysé et pensé par des scientifiques du domaine pour se lancer puis, in fine, elles recherchent un accompagnement dans leur stratégie d’innovation. Aussi, les TPE et PME font appel au service car elles souhaitent valider un concept, étape qui peut être déterminante pour une petite entreprise car cette validation pourrait lui permettre d’obtenir une subvention, essentielle dans le développement de son projet. Les ETI, les Grandes Entreprises et Trouver un Expert Les entreprises de taille intermédiaires et les grandes entreprises, elles, font appel à Trouver un Expert car elles recherchent les savoirs et savoir-faire interdisciplinaires des laboratoires du CNRS. C’est alors la méthodologie et la capacité que possèdent toute une équipe de scientifiques à trouver une solution pertinente, adaptée et qui était préalablement inexistante à un problème donné ou pour le lancement de leur projet qui les attire ; elles ne veulent pas de solutions « prêtes à l’emploi » déjà existantes sur le marché. Trouver un Expert, pour la multiplication des liens entre public et privé Mêmes si ces entreprises attendent des solutions différentes de la part du CNRS, elles sont conscientes de l’importance de nouer une relation de confiance avec la recherche publique : les laboratoires de recherche publique et les entreprises sont complémentaires dans leur quête à l’innovation ! C’est pourquoi, de plus en plus de programmes sont proposés pour multiplier les liens et les partenariats publ...
A Lancey, petite commune située à 15 km de Grenoble au pied du massif de Belledonne, la Maison Bergès-Musée de la Houille blanche vous accueille depuis 2011 pour vous faire découvrir la personnalité d’Aristide Bergès dont l’action va être décisive dans le développement industriel de la région au début du XXe siècle. Aristide Bergès, un industriel hors du commun … Cet entrepreneur a été un élément moteur du développement industriel dans la région. Au départ, pour faire fonctionner sa papeterie, il met en place des conduites forcées pour capter l’eau dans la montagne. Par la suite il produit de l’électricité et permet à toute la vallée du Grésivaudan de bénéficier de l’éclairage né de cette nouvelle énergie qu’il nomme lui-même la « houille blanche ». … mais aussi un collectionneur d’art Cette maison-musée est également très marquée par l’art. Papiers peints Art nouveau, programme ornemental empreint d’éclectisme, hall d’honneur garni de marbre et de mosaïques, tableaux et dessins de Maurice Bergès, fils cadet d’Aristide, ingénieur et artiste à ses heures perdues, peuvent y être observés. L’exposition temporaire « Alfons Mucha et les Bergès, une amitié » Sous le prisme de l’amitié, l’exposition temporaire sur Alfons Mucha complète toutes les œuvres déjà présentes de l’artiste dans cette maison, comme l’affiche « L’Automatique » créée à partir de « La Rêverie » pour la promotion du papier photographique fabriqué aux papeteries Bergès, des portraits d’Aristide Bergès, des dessus de portes, une série de verres peints, la chambre qu’il occupa pendant ses séjours, des peintures sur toile, des pastels, etc. Sur les 100 m² de l’exposition, vous pourrez découvrir en plus la correspondance entre ce célèbre affichiste tchèque et la famille Bergès, des cartes avec dédicaces, des évocations des œuvres disparues, une vingtaine d’affiches de la Bibliothèque Forney à Paris ainsi que des calendriers publicitaires. ...
A une petite vingtaine de minutes du centre de Paris par Eole, le laboratoire Chelles Surdité reçoit sa clientèle toute l’année en continu. Son cœur de service, la correction auditive, bénéficie de l’expertise d’Elisabeth Peltier et Cédric Peltier son fils. Les personnes ayant des problèmes d’acouphènes et d’hyperacousie accèdent ici à une prise en main professionnelle, soutenue par la technique d’appareillage initiée par Elisabeth Peltier. L’audioprothèse pour une correction durable des acouphènes « J’ai créé une technique d’appareillage et je participe et j’initie d’autres audioprothésistes pour travailler sur cette méthode », annonce d’emblée Elisabeth Peltier pour poser le cadre d’activité du laboratoire. La recherche en question cible les acouphènes dont son équipe a fait un vrai cheval de bataille. L’objectif est de supprimer ces troubles de l’audition qui concernent de nombreuses personnes, toutes tranches d’âge confondues. « On réussit, nous avons de très bons résultats reconnus par les patients et leurs médecins. Nous recueillons leurs témoignages », ajoute notre interlocutrice. Au moment du bilan, elle nous précise que les meilleurs résultats sont observés sur les surdités génétiques. En soulignant que ses patients sont suivis par des équipes pluridisciplinaires incluant des médecins spécialistes dont O.R.L., des sophrologues et des spécialistes de la PNL. Les patients ayant des difficultés relevant de l’hyperacousie profitent également de ces services. Le laboratoire délivre, un véritable coaching à l’intention des patients présentant ces symptômes. Cet accompagnement personnalisé constitue un peu la signature des services dispensés par le laboratoire. Appareillage auditif pour adultes et enfants « La prothèse auditive, c’est le premier traitement pour éviter le déclin cognitif et préserver la mémoire » tient à préciser Elisabeth Peltier pour souligner les enjeux des troubles de l’audition. Quel que soit l’âge du patient, la correction de ces troubles par les appareils est envisagée en prenant en compte deux dimensions essentielles. Il s’agit, d’une part, de mettre à disposition des prothèses en adéquation avec le mode de vie. Les modèles les plus récents intègrent la numérisation pour s’adapter tant au profil auditif du porteur qu’à l’environnement sonore. D’autre part, les correcteurs d’audition doivent se faire le plus discret possible. L’équipe d’audioprothésistes et de techniciens de chez Chelles Surdité collabore activement pour concilier ces paramètres aux préoccupations de chaque client, notamment en matière budgétaire. Ensuite, différentes formes esthétiques sont proposées selon l’expérience de port qui convient au sujet : contour d’oreille RIC, avec écouteur dans le conduit, ou contour d’oreille conventionnel. Diverses configurations d’appareils sur-mesure intra-auriculaires sont également accessibles. Préalablement à l’adoption de l’une ou l’autre solution, les sujets font l’objet d’un test préalable dans les cabines audiométriques dont est équipé le laboratoire. Focus sur la prévention Dans une perspective de prévention, l’enseigne propose également différentes gammes de protection auditive, sur-mesure ou standards. Embouts moulés waterproof pour les baignades, audioprothèse d’atténuation réglable pour la chasse, anti-bruit pour atténuation linéaire dédiée aux musiciens constituent autant de solutions préventives commercialisées par Chelles Surdité. Cette prévention est réalisée chaque année avec des élèves des écoles, des collèges et des lycées de Chelles. Notamment dans le cadre de la Journée nationale de l’audition. Chaque année, madame Peltier organise avec ses équipes pluridisciplinaires un colloque ouvert au public, animé par des chercheurs et des médecins sur le thème des acouphènes et de l’hyperacousie afin de partager les derni&...
C’est à Champillon, un village de la vallée de la Marne, que la famille Méa vit de sa passion pour la vigne et le vin. Sur son vignoble riche de nombreux hectares et implanté dans les terroirs les plus notoires de la région champenoise, elle travaille ces cépages dans le respect de l’écosystème et de l’environnement. La production reste confidentielle. La maison préfère se concentrer sur la qualité selon une démarche orientée sur l’excellence. Pour sa marque, Alexandre Méa, dirigeant de Champagne Carbon, a voulu associer le passé et le présent, la technologie et la perfection, en proposant un emballage exceptionnel pour son nectar. Un packaging à forte identité « Il a fallu près de quatre ans de recherche et développement pour pouvoir sortir la bouteille », révèle le fondateur. Et quelle bouteille ! Celle-ci casse les règles en se recouvrant entièrement d’une fine couche de carbone. En plus de protéger le vin et de l’aider à mieux vieillir tout en le respectant, cet habillage procure une différence énergétique au nectar qui a la chance d’être issu des meilleurs terroirs champenois. Pari gagné en tout cas pour le vigneron et son équipe. Le flacon recouvert de matière carbonique symbolise un univers technique marqué par la performance et la puissance. Il n’a donc pas fallu longtemps à Champagne Carbon pour se faire remarquer dans des secteurs prestigieux où ce matériau est privilégié à l’instar du sport automobile. Depuis 2017, la maison est en effet partenaire de la Formule 1. En 2019, elle devient champagne officiel de la maison Bugatti. Bien que le succès ait été fulgurant, la maison continue de miser sur une approche « modeste » dans son travail, mettant en valeur la tradition champenoise et le savoir-faire familial. Des cuvées qui marquent tous les esprits Alexandre Méa précise que « chaque bouteille est réalisée et habillée à la main. À la suite de la vinification, la production nécessite une dizaine d’étapes différentes. Un délai d’une semaine au moins est nécessaire pour produire une bouteille. » De ce procédé long et complexe naissent plusieurs cuvées millésimées. Parmi les incontournables de la maison, le Champagne Carbon Brut, composé de 50 % de chardonnay, de 25 % de pinot noir et de 25 % de meunier. Lumineuse dans sa belle robe or, la cuvée exprime des notes salines au nez. En bouche, place à des saveurs gourmandes et délicates, associant beurre caramélisé salé, arachide, boisé fin et viennoiserie. ...
Le domaine est actuellement dirigé par la quatrième génération de vignerons chez les Peyruse. Avec Laure, aux commandes de la gestion et de l'oenotourisme, et son frère Sébastien, habile dans la manipulation des raisins, l’entreprise familiale ne peut qu’être honorée. Le terroir Le vignoble s’enracine sur un sol graveleux, dont les particularités se révèlent à travers la qualité des vins de la maison. Riche et drainant, ce terroir de graves se prête parfaitement à la culture des cépages phares du Médoc, qui sont le merlot et le cabernet. La maison travaille également sur d’autres cépages, dont le cabernet franc, le petit verdot et le carménère. « C’est l’assemblage de ces cinq cépages qui donne naissance à nos vins classés crus bourgeois », explique Laure Peyruse, responsable de l’œnotourisme au sein du domaine. En matière de vinification, la maison s’appuie notamment sur un cahier des charges strict et rigoureux, tout en préservant l’empreinte familiale qui a toujours démarqué les cuvées du Château Tour Castillon. Des cuvées nobles L’emblème du domaine est « La Révélation de Castillon », le mariage parfait entre merlot (50 %) et cabernet sauvignon (50 %). « Cette cuvée représente idéalement Médoc et ses terroirs », nous indique-t-on. Elle est issue des meilleures sélections du vignoble du Château Tour Castillon. L’élevage du millésime pendant 2 ans en fût de chêne ne joue qu’en faveur de son élégance et de l’intensité de ses arômes. Les autres cuvées n’ont absolument rien à envier à cette dernière. Les médailles de bronze attribuées récemment aux millésimes « Château Tour Castillon 2017 » et « Château Moulin de Taffard 2017 » au Concours agricole de Paris sont la preuve que chaque élixir a sa spécificité. Par ailleurs, les Peyruse se concentrent actuellement sur une nouvelle expérience : l’immersion de bouteilles de vins rouge dans la baie de Paimpol, en Bretagne. Une dégustation plutôt prometteuse ! ...
C’est sous l’impulsion de l’amiral Castex que nait en 1936 le Collège des hautes études de défense nationale. Celui-ci devient en 1948 l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN). En 1979, l’institut est officiellement reconnu en tant qu’établissement public administratif, à dimension interministérielle, qui agit sous la tutelle du Premier ministre. Chaque année, grâce à l’IHEDN, ce sont près de 13 000 personnes, auditeurs ou public de tous horizons qui sont formés ou sensibilisés sur les enjeux de la pensée stratégique de défense. Inculquer l’esprit de défense par des formations L’IHEDN s’engage dans deux principales missions : développer l’esprit de défense et sensibiliser les citoyens aux questions stratégiques internationales. Avec un regard ouvert sur le monde, l’institut élargit ses champs d’intervention sur la défense, l'armement et l'économie de défense et la politique étrangère. « Notre pédagogie inductive s’adapte aux hauts cadres de l’État, aux décideurs du secteur privé, civils et militaires, ainsi qu’aux étudiants et aux professionnels », déclare Linda Thisse, conseillère en communication de l’IHEDN. Concrètement, l’IHEDN accomplit sa vocation via ses nombreux programmes de formation. On y trouve aussi, par exemple, des formations à l’intelligence économique. Tandis que les sessions nationales s’orientent davantage vers les décideurs militaires et les hauts responsables civils, les sessions en région irrigent tout le territoire national. D'autres formations, cycles spécialisées et plus courts, s'adressent essentiellement aux acteurs sociaux, aux professionnels, aux jeunes militaires ou encore aux étudiants. En plus de servir de trait d’union entre le monde civil et le monde militaire, l’IHEDN se consacre au rayonnement de la politique de défense française à l’étranger. Les sessions européennes et internationales se focalisent sur la confrontation d’idées et de visions sur le futur de la politique de défense. Sont particulièrement abordées les problématiques actuelles, telles que la sûreté maritime, la cybersécurité et la citoyenneté ou encore la gestion civilo-militaire des crises extérieures. Chaque année, plus d’une centaine de pays dans le monde viennent participer à ces nombreuses rencontres stratégiques. Vecteur de la pensée stratégique de défense Pour promouvoir les initiatives de recherche sur les questions de défense, de sécurité et de relations internationales, l'IHEDN conduit plusieurs programmes annuels. A commencer par l'aide financière et pédagogique attribuée aux doctorants en sciences humaines et sociales. Dans ce cadre, avec le soutien de la Fondation de France, l'institut appuie aussi les jeunes chercheurs dont les thèses s'intéressent aux questions de défense et de la sécurité nationale. En outre, les meilleurs travaux de recherche sont primés par les prix scientifiques de l'IHEDN. Seul ou en partenariat avec des universités et des établissements supérieurs, l'institut participe également à des études, à des recherches et à des publications collectives traitant des sujets de défense. Parallèlement, dans sa mission de sensibilisation, l'IHEDN organise des évènements publics au cours de l 'année, qui se déclient en conférences, débats stratégiques, colloques et rencontres diverses. Le rendez-vous mensuel « Lundi de l'IHedn » réunit notamment un public de connaisseurs autour des sujets d'actualité sur les questions stratégiques de défense et de politique internationale. Toujours dans cette démarche participative, les « Rencontres IHEDN » donnent la parole aux experts, professionnels, organismes et organisations concernés par les enjeux de la défense et de la sécurité nationale. Enfin, l'IHEDN fédère 43 associations autour de sa mission, où quelques 10 000 adhérents sont mobilisés. « Cette communauté est comme un ambassadeur de l’institut. Elle permet à nos auditeurs de véhiculer et de culti...